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Perfectionnement aux téléphones automatiques Un.grand nombre d'abonnés téléphoniques, hoteliers, cafetiers, commerçants mettent leur appareil.téléphonique à la disposition de la clintèle. Parmi celle-ci il est des personnes qui, abusant de la confiance de l'abonné, prennent ' ainsi à ses frais et à son insu, des communications inter- nationales et interurbaines tout en né lui acquittant que le prix moins élevé d'une communication locale..
Cette fraude, de pratique fréquente, orée de nombreu- ses difficultés entre l'exploitant du réseau et les abonnés dupés de la sortes
Sans doute ceux-ci peuvent dans une certaine mesure surveiller les communications, mais pour peu que se oon- trôle soit sérieux il paraîtra indiscret et vexatoire pour les clients sorupuleux.
D'ailleurs, 1'introduction du service interurbain " rapide " appelé encore " à non racorochement". grâce auquel on peut obtenir sur le-champ , sans rappela des . communications à longue distance, a rendu illusoire toute, ' possibilité de contrôle sérieux de la part de l'abonné.
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De leur coté, les exploitants de réseau ont voulu apporter également un moyen de supprimer les fraudes incriminées: ils ont pour cela établi les oirouits " à service restreint " qui consistent à raccorder au central, à des groupes spéciaux de machines que l'on appelle en langage de métier " circuits de cordon et d'enregistreur ", l'abonné qui le demande.
Par un tel raccordement, il n'est plus possible d'obtenir que des communications locales, ce qui empêche évidemment toute possibilité de la fraude qui nous occupe, mais constitue également une gène pour le titulaire de l'appareil lui- même* D'ailleurs pour des raisons de rentabilité des installations spéciales que ce système nécessite l'exploi- tant se voit contraint d'en limiter l'application aux grandes agglomérations et d'en priver ainsi tous les rac- cordés des petites centrales rurales.
L'objet de la présente invention consiste à appli- quer à l'appareil téléphonique de l'abonné un.dispositif tel que, sans l'assentiment du titulaire, on'ne pourra ja- mais obtenir par cet appareil que des communications loca- les .Le dispositif en question sera muni d'un appareil de débloquage moyennant la manoeuvre duquel, le titulaire pourra à son gré, permettre toutes communications loin- taines, internationales ou interurbaines de la même façon qu'avec un appareil ordinaire.
D'autre part ce dispositif n'affectera que l'appareil de l'abonné, aucune modifioa- tion quelconque n'étant nécessaire à, la centrale.Enfin en toutes oiroonstanoee, l'appareil muni de ce dispositif permettra la-prise irréprochable dos communications loca- les. On voit d'après cela que le système revendiqué par
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, '"5 * .. k l'inventeur supprime les possibilités de fraude en évi- tant un contrôle vexatoire et indiscret de la clientèle
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.;.;..5-, ;: r t et tout en supprimant-les. inconvénients du système .;- k.., ''"' serv10ê rëìit'..,: ,I.,.
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Avant de décrire déplus près quelques formes de . réalisation de l'invention il est nécessaire que@nous
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1 ,,: i1 .. #I rappelions oerta1nes"noYÁons fondamentales communes à la plupart des systèmes'de téléphonie automatique.
Pour,se mettre en communication avec les "annota- trioes " en vue d'obtenir une communication interurbaine, internationale, ordinaire ou rapide ou pour introduire des télégrammes téléphonés, il faut t'orner¯sur le"dis- . que d'appel " de l'appareil automatique certaines combi- naisons numériques, qui commencent généralement par le signe ou par le ohiffre 1. En Belgique par exemple les combinaisons 01, 03 et '05 donnent respectivement le ser- vice interurbain ordinaire, le même service rapide et le service d'enregistrement des télégrammes téléphonés.
Le dispositif suivant l'invention doit être tel que par la manoeuvre d'un verrou approprié, on puisse à loi- sir modifier l'appareil de telle manière qu'il ne trans- mette plus les appels vers les dites annotatrices.
Lorsqu'un titulaire d'appareil téléphonique décroche , son appareil récepteur, il provoque à-la oentrale des opérations préliminaires qui relient sa ligne'à un circuit de connexion composé essentiellement de trois ' relais,qui sont représentés à la fig 1 du dessin oi-annexé : Le pre- mier relais désigné par la lettre A s'appelle relais d' impulsion, est à action rapide et se prouve sur la ligne de " l'appelant"; le relais désigné par B s'appelle
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,q " relais verrou "; 1l;estYaotion retardée et doît'mairl- tenir pendant le temps nécessaire la liaison entre le circuit de connexion et la ligne de " rappelant " ;
\ enfin le relais 0, appelé " relais de commutation " ou
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" relais.aiguilleur " est également à aotion retardée- et a pour fonotion d'établir une distinotion entre les divers chiffres qui seront transmis par la manoeuvre du disque d'appel.
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Dès que la liaison avec le circuit de connexion est établie, l'appelant en est avisé par le signal au- ditif bien connu; c'est alors qu'il peut former le nu- méro de son correspondantPendant qu'il fait tourner le disque, il bande un ressort contenu dans le boîtier du disque, et fait tourner en même temps une roue dentée représentée à la fig.2 et désignée par la lettre P, une flèche indiquant le sens de sa rotation. Lorsque l'on tourne au disque, les dents de la roue P font basculer le cliquet H dont le galet G est ainsi éloigné des res- sorts D auxquels sont reliés les deux fils dela ligne marqués "a" et "b".
Abandonné à lui-même, le disque revient à sa position de repos avec une vitesse constante, grâce à l'action d'un régulateur à force centrifuge logé
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dans le boîtier et nop représenté à la fig.2. Pendant ce mouvement de retour, la roue dentée P tourne également en sens inverse.et chacune de ses dents actionne à son
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passage le oliquet Ei et chaque fois le galet OE éoaite les ressorts D ce qui entraîne la opupure de la ligne ; par contre, entre deux dents, le cliquet H est libéré, le 'galet G retombe et la ligne est rétablie.
Il se produit ainsi une succession de coupures que l'on appelle impul- sions dont chacune dure environ 1%158,de seconde et dont le nombre est égal au chiffre du disque qui a été amené contre la butée, avec cette réserve toutefois qu'au signe 0 correspondent 10 Impulsions*
Le relais A qui se trouve bouclé sur la ligne est actionné par chacune des impulsions¯et grâce à une série
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dlopérationsg,ubqequenteu,dont le détail n'intéresse pas '*'' 'OE;,, la présente,invention, il transmet celles-ci au disposi- tif automatique de réception qui sera constitué suivant
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les cas soi;
?a'.eiiroui,t de connexion lui-nléàe, soit ..par u'.apppi'',pôa3. appelé " enregistreur "1 Après que le 'dloqti*' enilh-à,4a' position de repos,l'appelant .<...'...,l/+>.< ;,i', > ..
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forme le chiffrer suivant du numéro qu'il, veut appeler Ainsi l'émission d'un numéro- à deux chiffres s'il s'a- git d'un appel aux' services spéciaux, à 5 ou 6 chiffres s'il s'agit d'un numéro d'abonné - se traduira par.l'en. voi d'une succession de 2, 5 ou 6 trains d'impulsions* L'intervalle entre deux trains successifs est toujours beaucoup plus long que celui d'une impulsion;
il est de l'ordre de 1/2 seconde minimum soit 7 à 8 fois celui d' une impulsion.
Le relais C s'actionne en même temps que le relais A dès la première impulsion mais comme à l'inver- se de celui-ci il est doué d'une certaine paresse à la. retombé, il ne retombe pas entre deux -impulsions d'un ' 'marne train mais bien dans les intervalles-plus longs' qui séparent ces trains d'impulsions. A chaque retombée après la réception d'un chiffre, l'armature du relais 0 prépare ainsi la réception du chiffre suivant.et établit ainsi la discrimination entre ceux-ci*
Enfin le relais B ,qui présente une paresse plus accusée encore à la retombée, il ne retombe même pas en- tre deux trains d'impulsions et son rôle n'intéresse pas la présente invention..
Ces points établis, nous allons décrire quelques . modes de réalisation'de l'objet de la présente invention afin d'en mieux saisir le mécanisme, mais il doit être entendu que ces descriptions ne sont fournies qu'à titre exemplatif et non limitatif de l'invention qui.embrasse également tous autres modes de réalisation.
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1. Examinons d'abord un oas d'application simple qui pourrait convenir sur la plupart des téléphones automati- ques installés en Belgique, cas où les services spéciaux ont un vindicatif commençant par le signe C, où le poste d'abonné est du type de ceux adoptés par la " Bell Tele- phone Manufacturing Company " d'Anvers ( ses types 2712 A ou 2714 4 par exemple) et où enfin l'installation de la
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-/Mc/µ' centrale est également & au moyen dtappareils système 7A ou système 7D de cette même compagnie ou bien au moyen d'appareils similaires, Pour réaliser le dispositif selon la présente invention il suffira alors'd'introduire les appareils suivants représentés à là fig.5.
a/ un plateau métallique analogue à celui qui se trouve dans le disque et qui porte les contacts d'impulsion D ; ce nouveau plateau portera deux contacts Cl et C2 commandés par une came spéciale également ajoutée au disque et conditionnée pour fonctionner comme suit : 03 normalement fermé,est réglé pour s'ouvrir un instant en fin de course aller du disque d'appel et cela uniquement si l'on forme le chiffre O.
Cl également fermé à l'état normal, souvre un instant très court à la fin de chaque course de retour du disque d'appel, quel que soit le chiffre'forme* b/ un relais R de faible résistance muni suivant les cas de deux ou de trois contacts et introduit dans le circuit téléphonique . c/ un électro aimant R' de faible résistance et introduit également dans le circuit téléphonique et réglé de manière qu'il ne fonctionne pas au moment du décrochage de l'appareil récepteur, mais seulement plus tard lorsqu'il se produit dansée cirouit une chute de la résistance ,par suite du raccordement au circuit de connexion,c.à.d. que aet électro aimant ne fonctionnera pas avant que' .appelant cet électro aimant ne fonctionnera pas avant que l'appelant perçoive le signal auditif dit" d'envoi ".Au repos
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n v x 4.
l'armature de cet élôtrâ,ïmant par .son encliquetage.. dans uni 0ouroi12e X 0 &14 méah.qûâm.ent .7.ë disquei i dans une couronne K'oale .mé6àU¯ioûémén% .le disque d'appel, dont la manoeuvre etdin4,môssiblé avant qu'fn usait .perçu le signal d'onvà$iÎ(1' >?" /> ; ' µÙ>,;i l' :' , i' /. , ' >, 'une ;,i,.< , . > ., ,; du , > , > ..> d/ une .clef de coupure N "a-dïs'posit"o'n du titulaire' Les connexions des divers appareils entre eux et. /,¯ au circuit téléphonique èont,cèllee'zel5r4sentde>àâ la figez Pour p.us de olerté lea , :'''''*'-# fig4 * Pour plus'de clarté les oontaota Dà' 01\ et OS. qui sont montés à l*intérieur au disque, ont été représenta en dehors de oolui-ol. Dtéleotro aimant R' devra, être.
, monté à l'intérieur de l'appareil téléphonique; quant au relais R il pourra 'être logé dans un boîtier spécial; enfin la clef de coupure se placera n'importe où.
Voyons maintenant le fonctionnement des appareils:
L'appelant décroche son récepteur; quelques secondes
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après il entend le signal auditif, le circuit renvoi" s'établit comme suit Bureau central à ler enroulement du relais A ** ligne ** poste - fil q à contact 08 ** Qon, tact Da contact 01 - contact de repos de gauche du relais R ± ,31eatro aimant R* <" fil b poste ligne et retour au Bureau Central' sur le 2d eoulemént .du relais A.
Ltétabiiasemenù de ce circuit a provoqué à la centrale la présélection " qui consiste a.connecter la ligne
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appelante à un circuit de connexion et à un " enreglot'r?lul des chiffres envoyés. A l'issue de o e ;phénoménj' ,1 ' élflo ,. , , tro aimant R' fonctionne et la manoeuvre du disque de- vient possibles .
Supposons maintenant que l'on forme le chiffrer
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par lequel commencent les indicatifs des services spéf 7"r, oiaux prohibés* A 1a fin de la course aller du disque .le contact C2 s'ouvre un court Instant et envoie ainsi dans le circuit d'envoi une Impulsion. Pour que cotte \ , impulsion puisse 'être " enregistrée isolément et non comme constituant la première du'train correspondant au chiffre O il faut qu'elle précède ce train d'impulsions
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d'un temps suffisant pour que le relais C puisse retomber et ainsi faire passer l'enregistreur dans la position de réception dtun second chiffre.
L'inventeur a constate que cela est parfaitement possible pour les appareils "Bell
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11 .-l--rdiP
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Téléphone X:ufour1l" irai envisagés, le contact D de
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uc9 upyaruiin ne uvillin-u-4 pas Lez[ ilapuibluils nés le ueuui de la course de retour du disque mais seulement avec un certain retarda
On voit donc que lorsque l'appelant voudra former le 0, l'enregistreur recevra la combinaison 1 - 0 et la communication sera perdue*
Mais il faut qu'un chiffre 0 qui ne soit pas le premier d'un indicatif, mais par exemple la 2e, 3e, ...etc. d'un numéro normal d'abonnée soit transmis et enregistré correctement sans déformation. Notons qu'un numéro d'abon- né ne commence jamais par le chiffre O.
Lorsque l'appelant a forme le premier chiffre ( autre que O) d'un numéro
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d'abonné, à la fin de la course de retour du dis que,lors- que le contact D a donné les impulsions, le contact-CI s'ouvre un instant et rompt une connexion de court circuit établie sur le relais R; dorénavant celui-ci restera ac-
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tisonné par on contact de gauche après que Cl se sera re- fermé; désormais aussi pour les 2d, 3e... eto chiffres restant à envoyer le circuit d'envoi détaillé plus haut se trouve être remplacé par le circuit suivant :
Bureau
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centrals ler 'enfloulement de A- ligne - poste - fil a - contact Intérieutcee droite de R contact D - enroulement' du relaie - bobine R' - fil b - poste ligne - Ze en- roulement de A -' bureau centrale On le voit 03 est laissé de coté et n.,re8 lus à même d'apporter sa perturbation dans la transmission du. chiffre O.
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.Sur;1 relaia R est ménagé un court circuit sup- ,, , plém9ntair.e,uia, est commandé par la manoeuvre d'une olaf'.'das'ïrt< ;3tq;u' se trouve a. la disposition exclusive 'g%pt:à""¯"gd±µà<jy"iui' %roùve,à ia àispositi'on exolugive 4u.,tjtulaàrµ(%ç$p.(a'%e& un ëndro,t'qu.7.aou.quér,
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Lors que le. ficaire par'la,manoeuvre de la clef
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fermé cette aonnexô#;lé poste fonctionne comme il est démaillé plus "haut ï'.''...-'. ' ' ";l'i' 1 / il permet,âW âltération., la transmission di
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¯tout numéro ne commentant pas par zéro, c'est-à-dire des ,1',,' numéros d'abonnés .< '"- - .
' 20/ il déforme et dévoie les numéros commençant par érO). o'est'a.-dire ceux des services spéciauxë ;'
Par contre lorsque.le titulaire manoeuvre la clef et ouvre la connexion le poste poste ordinaire et transmet sans altération tout numéro commen- gant ou ne commençant pas par zéro.
On sait que dans certains appareils téléphoniques.
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dont la fourche n'est pas pourvue d*un dashpot, il est possible moyennant quelque habilité'de lancer les trains .d'impulsions par la manoeuvre dela fourcher sans. tourner
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au disqué* Les dispositifs déformateurs décrits ci-dessus étant solidaires du disque, on pourrait toujours par ce moyen appeler les services spéciaux prohibdâe,pout pemé'* dier à cette lacune il a été prévu sur le relais R un troisième contact de travail '( contact de droite) lequel commande une connexion spéciale de.QOUrtoirauit du miï- orophone de 1 tâppareil ,téléphonique
Si le numéro est formé au moyen du disque nous avons vu qu'après le premier chiffre le relais R reste attira;
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par le fait méme il coupe la connexion de court-circuit du microphone et celui-ci peut fonctionner* Si le numéro est formé par la fourche, le contact 01 iecontaot.V:: n'opèrent pas, le relais Il reste en court-ciroultt le microphone reste également en court-circuit par oonsé-.
"quont l'appelant verra son appel reçu ,par 1'annotatrice. maie il ne pourra communiquer aveu oelis:ai ^ qua ài"'16 titulaire de l'appareil veut bien ouvrir la clef de
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contact M de façon à actionner le relais 8 et rendre ainsi la ocmmunioation possible. Pour la mtme raison ie z
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titulaire devra ouvrir cette clef M lorsque son poste sera appelé de l'extérieur.
Enfin il nous reste expliquer le rôle de 1' éleotro aimant R'. Son but est de déjouer deux moyens de fraude, pour lesquels les appareils précédents ne suffisent pas. , .
1 On peut former le chiffre 0 et ne décrocher le récepteur qu'à la fin de la ooutse aller du disque, lors- que le doigt touche la butée. Le contact C2 va s'ouvrir normalement mais comme le circuit de connexion n'est pas établi encore, son impulsion est perdue ; ladéformation du 0 n'est pas réalisée et oelui-oi sera enregistré sans altération. Pour éviter qu'on puisse manoeuvrer de la sorte il faut que l'on ne puisse manoeuvrer le disque' avant d'avoir décroché. Un blocage mécanique comme le représente la fig. 3 satisfait à ce desideratum.
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3"/ On peut décrocher normalement> mais aussitôt, avant que la préseleation soit terminée, lancer une im- pulsion par le disque( en formant 1). On produit ainsi une impulsion qui ne sera pas enregistrée, mais en même temps on a fait fonctionner le relais R qui, restant calé, per- met la transmission de tout nombre commençant par zéro sans que le contact C2 puisse en altérer l'enregistrement*
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Ltéleotro aimant R' dont nous avons plus haut expliqué le fonctionnement ne permet pas de tourner au disque avant que la présélection soit terminée; il élimine donc les deux fraudes ci-dessus expliquées.
Il convient de remarquer que les bobines R et R' restant dans le circuit de conversation, il faudra les
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choisir de-réfitnaes et d'impédances assez faibles pour qu'elles nlozitraiue4t pas un affaiblissement sensible des courants " , ' 0n poudleille .urs faciliter le passaga ;dw'ëë x tipjànts ¯ a7.terüais et améliorer la trans- ,i.asiôn .en?7 1eo diçe bobines, d'un condensateur et-év'entuelloee,,,à"luùd résistance appropriée.
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II: Ayant explillie,r "application qui met à , profit une particularisé à6ë+,àisque> d'appel dès appa . relis envisageons maintenat:l'ôas de tous appareils , :j'µ quelconques les servioésh à±'p@ô4iber, ayan% toujours des , indicatifs oommengant par é"çï ' fi>.,,', , La fig.4 s*applique ce cas'., On y retrouve'; les oontacts Cl 03 et la' bobine t qui. ont gardé la mtmo, fonotiont Le Circuit est cependant modifié;
il comprend 2 relais marqués RI et R2e de faible rés.stanoe branchés.
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entre'eux et au restant du ,circuit comme indiqué par la
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fig.'4.. , ' "' 5' Quand on décroche le récepteur, dès la fin de' la présélection, lorsqu'on perçoit le,signal à',envqi.,1 . circuit s'établit oomme'"suit 9 Bureau central or en44," roulement du relais à à ligne - fil a bobine Rw oonw tact al - contact de repus gauche de R2 = contact D' contact C2 w oontaot de repos droit deIR:1 <",fil b\.< poste- ligne Bd enrouleisent de à bureau central* '¯ F j/j/1'/ ,Tournons le chiffre 0 .
A;là fin de 1â:'oâus::: aller le contact. 02 s'ou'Tre un instant; t rompt -le, courte circuit qu'il établissait sur le relais El.dont '1].armafl".l'j ture est attirée et restera désormais.bloquée grâce à l'attraction de son contact de droite ,0e faisant grâce son contact de travail de gauche il substitue ati oir-µh<,;'
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cuit d'impulsion décrit plus haut le circuit suivant,t Bureau central ** ler enrouleMent de & 6ligni à poste à ' ¯ bzz fil a bobine R4 contact de travail de gauche de B-1, r' ) fil b poste - ligne - Bd enroulement de A w Bureari-oen: 1
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Irai
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On le voit les contacts D et 01 sont hors 0 cuit ;
les impulsions du chiffre 0 ne sont pas ènvoyées.z;= à l'enregistreur et la transmission de tout chiffra ulè, térieur est impossible. é /¯ <" Si le premier chiffre n'est pas zéro sa trans-
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mission a lieu correctement,
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Enfin après que l'on a transmis un premier chiffre autre que zéro, la transmission de chiffres zéro oonsti- tuant les 2d, 3e, etc chiffres du numéro appelé, se fera sans altération. En effet après la transmission d'un pre- mier chiffre autre que 0, à. la fin de la course de retour du disque.
Cl s'ouvre un instant et ooupe le oourt-cir- ouit qu'il établissait sur le relais R2; grâce à son con- taot de travail gauohe celui-ci reste attiré et modifie le oirouit d'envoi comme suit : Bureau oentral - 1er enroulement de A - ligne - poste - fil a - bobine R' relais R2- contact D - contact de travail intérieur droit de R2- fil b w poste - ligne - 2d enroulement de A- Bureau central . Le contact C2 est devenu inopérant et les zéros subséquents sont transmis correctement.
On le voit le contact R2 reste attiré pendant la conversation et on peut lui appliquer tout ce qui a été dit pour le relais R du système précédent* On peut no- tamment lui adjoindre un contact de travail supplémentai- re comme indiqué sur la fige 4 afin de déjouer la fraude qui consiste à former les impulsions par la fourohe des appareils non munis de dash pot.
On peut aussi réduire son influence sur les oourants miarophoniques en le pon- tant au moyen d'un condensateur* De morne que pour le dispositif décrit précédemment une clef de contact est à la disposition du titulaire du poste téléphonique par la manoeuvre duquel ,il peut
1 / ou bien faire que-son poste fonctionne à tous points de vue comme' un poste ordinaire
2 / ou bien mettre en servioe le dispositif de pro- hibitionde certains appels comme ci-dessus décrit
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III, Nous -asldis -enfin, déar,i,re un troisièmes mode.de -'réalisa ± . lij Îb3 . ,;,, " " ' > : . zou1 ' ' '-, mode.de réalisation de'f'invention qui convient pour "1: - .;. 1 if ...,1 \',.'......' ,1 r 1 r ,,, >.-t--! '1;
' '.'" tous les appareils) quâd. -tùf ils oi.ent* .et pour,le cap. à 1 >1,ÎÀ µ1, " ' " .... . ,>- ', ..,>If particulier ou.les' .sefv.,oes spéoiaux dont l'appel doit, ' 'J.lt,..\,,"\ Q.jj.. ,,, .. ' - r'dtre prohibé ont un indicatif oommêhganf par le chiffre r.:',. f' , {' {,(1,t:..
1 é, '' """', t .tI""';::{"':'" l )0 , '1 11. ' '1....., <.y..
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' Le sohéma' de cette installation se trouve'
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à la fige 5 La bobine Ri devenue inutile a t'suppri- .... ' .}" mëe< On if retrouve le oontaot 01. ,le relais R8' et le, contact à 'impulsions -D. le amntaôt ,J2 a été modifié,et , ...-1 .. , , , " ""....J.} - "'. '1';; ': .: est à -double effet .
D'un ooté, marqué à.,il se,fermera chaque fois qu'à 1toooasion de la formation d*un chiffre
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le trou correspondant au chiffre 1 passera,, pendant la,
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course à'aller, à ltaplanb de la butée gJqrfµi; il reste-' :1' . rà d'ailleurs fermé jusqu'à la fin de la course de retour.
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De l'autre coté marqué e il se fermera de
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.' "":1 - . , . :, , même, mais seulement à. >ar'%ir ,àù moment o, otést le. trou .." ......'': ri... .. , f;( l" "'l."'- 2 qui passe. pendant la course d'aller, sous la butée ,'- d'arrêt. ." ',' ] ' l ' 1 /j , " -¯ .] ¯¯ ? lé < .;J, 1..""./';'" ! J<'"I 1 r-t.. ,
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Dès lors, quand on décroche le récepteur,
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. . , '" , t.... 'f.,:...j J r j, \ .....' . le oirouit se' forme comme suit z', Bureau Óentrèl.:- 1er ':.:' . ' ... , , ;
N,,. 4..;:Pa t., 'enroulement du relais A '- ligne " poste' i, f(1 "À oni " . , \ ''"''"' 1. Jt... f. <,' -'J.'' tact D 4t relais Rt ;. contact de repos de gauche de : .-' 1 i11\.I' "II" oontaot 01 ... fil b - poste ', ligne - ;ad enroulements de. y : '1'z .\ .7.-: A l* bureau central* , , ? . l,1; 1. ¯ Ç ;.j ±> 1. > . bure tral... ' 1 .."'''' ,,', 'i:" '; ....1; " ', ....... }..; :,.,,;;' ( -"'... ',.,
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Le relais Rl attire son'armature.'et grâce
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...:!.{-lr;' - r à son contact de travail de gauche, met,en,ourtoirou1t 7 J'''',\ ("- ",J.J'" le contact d'impulsions D"Ltno1 à'un b.umérÓ:):uil0on: que vers la centrale est impossible.. Oep..enâw1;ti' .1.1 ton \,hif " ..
('" ;1: ll --; . '(.r"':"..l forme un premier .chiffre qui n'est pas 'l,. dès, le :déb;t1tf':".l 1 > '" '' ' lYa, rigâa\', "'J de l'envoi de ce chiffre El est mis ,en court-circuit .et ! r{"f."J . ,... \ -\\"5 ->. " l le circuit se forme comme suit : Bureau aentra,*:'wt 1er, .'', " i . t,é: 'd fif ,. enroulement de à à* ligne *- poste.. fil a w QoitaatYDw , , ; : ... . ,l <G. contact de repos intérieur droit,de R2 .à contact 2(oaé,
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e)- contact de repos gauche de R2 - contact Cl' ' fil
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poste - ligne - 2d enroulement de A - Bureau central. Le oontaoteur D est rentré en circuit et l'envoi des impul- sions de tous les chiffres - sauf 1 - est possible.
Quant à un chiffre 1 constituant le 2d, 3e...
'eto chiffre d'un numéro, il sera transmis correctement.
En effet à la fin de l'envoi du premier chiffre, différent de 1, le contact Cl s'ouvre pendant un instant, rompt le court circuit qui, existait sur R2 dont l'armature restera attirée grâce à son contact du travail de gauche. Après l'envoi du premier chiffre, le circuit d'envoi est ainsi devenu le suivant : Bureaucentral ler enroulement du relais A - ligne - poste - fil a - contact D - con- tact de travail intérieur gauche de R2 - contact C2 (côté d) - enroulement de R2- fil b - poste - ligne - 2d enroulement de A - Bureau central.
Le relais C2 reste en circuit pendant la oon- versation. Pour obvier à l'affaiblissement des courants miorophoniques on pourra employer les dispositions pré- vues aux descriptions précédentes.
Enfin dans ce dispositif égalementle titulai- re de l'appareil disposera d'une olé de coupure grâce à laquelle il pourra à loisir mettre en ou hors service l'appareil de prohibition de certains appels comme ci- dessus décrit)et le court circuit du microphone.