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SYSTEMES DE SIGNALISATION ELECTRIQUES.
La présente invention est relative à des systèmes de signalisation électriques comportant un certain nombre de postes groupés sur une ligne commune.
L'invention est caractérisée par l'établissement d'un appareillage de régénération des signaux associé avec la ligne commune et disposé de manière à transmettre aux postes, en réponse aux signaux émis en un poste émetteur de signaux, d'autres signaux ayant une forme d'onde constante indépendante de celle des signaux reçus par l'appareillage. Le poste émetteur des signaux peut être lui-même sur la-ligne commune, ou en être indépendant.
Appliquée au système dit "dispatching" bien connu dans le contrôle du trafic et la signalisation ferroviaire, dans lesquels un contrôleur du trafic installé à une station cenrale peut lancer un appel sur un système bifilaire unique à l'une quel- conque d'un grand nombre de postes ou stations intermédiaires ré- ., parties le long de la ligne unique, l'invention assure des possi- @
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bilités d'appel mutuel entre les différentes stations x;ir ia ligne commune. L'invention peut encore être utilisée pour assu- rer des a.ppels téléphoniques sélectifs sur une ligne partagée dans un service téléphonique public normal.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description détaillée qui suit et à l'examen des dessins joints qui représentent, à titre d'exemple non limitatif, un mode de mise en oeuvre de ladite invention.
La figure 1 est un schéma de montage appartenant à un système téléphonique connu comportant une station de commande et un certain nombre de stations intermédiaires, toutes ces sta- tions étsatsur une ligne unique..
Les figures 2 et 3 représentent ensemble un disposi- tif de montage à intercaler à la, station de commande et au moyen duquel une station intermédiaire quelconque peut en appeler une autre sans qu'un epéra eur aisà intervenir à ladite station de commande.
A la figure 1, il est représenté un système télépho- nique à ligne commune qui, à l'exception des connexions E, B est de type connu. La station de commande CS est reliée aux diffé- rentes stations intermédiaires WS par une ligne bifilaire unique L qui peut, lorsqu'il s'agit de signalisation ferroviaire, avoir une longueur de plusieurs centaines de kilomètres.
Pour décrire brièvement le fonctionnement d'un tel système, on peut dire qu'à la station de commande CS, la batterie de ligne LB est reliée à la ligne L lorsque le relais de batterie 3R est actionné, ses contacts br1 et br2étant fermés. La sélec- tion des stations intermédiaires désirées WS s'effectue, à partir du contrôleur, à l'aide d'une série d'impulsions de courant sous la forme d'un train d'ondes dont chaque demi-élongation constitue une impulsion quelle que soit sa polarité. Ce train d'ondes ré- versible est produit par l'actionnement et le relâchement, alter- nés d'un relais télégraphique TR dont les contacts tr1 et tr2
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constituent un inverseur entre la batterie de ligne et la ligne elle-même.
Avant d'être transmis, le courant d'appel traverse un réseau de filtrage SN pour modifier l'onde rectangulaire de manière à ce que des déclics de manipulation trop secs ne puis- sent se produire dans le récepteur téléphonique mais seulement des bruits sourds moins gênants.
L'une des caractéristiques du système particulier con- nu représenté sur les figures, réside en ce que les indicatifs d'impulsions utilisés pour appeler des stations intermédiaires différentes sont composés de trois signaux séparés l'un de l'au- tre par un intervalle de courant constant et en ce que le nombre total d'impulsions des trois signaux est constant pour tous les indicatifs d'une installation particulière quelconque. Le nom- bre total généralement utilisé est de 17, ce qui permet la com- binaison de 78 indicatifs différents, le nombre minimum d'impul- sions pour chaque caractère étant de deux. Cette caractéristique de total-constant rend le système exceptionnellement exempt de mauvais fonctionnements.
Aux stations intermédiaires, le circuit récepteur uti- lise un sélecteur, représenté schématiquement à la figure 1, com- portant- un enroulement RW monté aux bornes de la ligne L en série avec un condensateur RC,permettant d'accorder ledit enroulement à la fréquence des impulsions reçues, une fréquence convenable étant sept impulsions' et, par conséquent, de trois périodes et demie par seconde'. Une roue à rochet RR avance d'un pas pour chaque impulsion indépendamment de la polarité et est conçue de telle manière que si' un doigt de retenue, dont la position dépend de l'indicatif est engagé lorsque la rouera rochet s'arrête après le passage, d'un train d'un seul signal, la roue à rochet soit maintenue dans cette position mais que, si ces conditions ne sont pas remplies, ladite roue revienne à sa position normale.
Un second train de signaux déplace la roue à rochét dans le même sens, soit depuis la position de retenue par le doigt, soit de-
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puis la position normale et, après le passage de ce train, pour un nombre d'impulsions approprié, la roue à rochet est à nouveau retenue. Enfin, un troisième train de caractère, amenant le nom- bre total d'impulsions à dix-sept, entraîne une roue à rochet seu- lement parmi toutes celles de la ligne, jusqu'à une position fi- nale pour laquelle un courant d'appel passe et déclenche automa- tiquement une sonnerie à la station particulière intéressée.
Bien entendu, des dispositions peuvent être prises pour déclencher les sonneries de toutes les stations intermédiai- res en un appel général oupour déclencher simultanément les son- neries de certains groupes de stations, ou encore, pour adresser à toutes les stations des signaux horaires. De telles caracté- ristiques sortent toutefois du cadre de la présente description.
La réalisation particulière de l'invention étudiée ici est relative à l'établissement aux stations intermédiaires bernes d'une possibilité d'appel d'une autre station intermédiaire quelconque sur la line commune. On y parvient en transmettant un signal de sélection, depuis la station intermédiaire appelante jusqu'à la station de commande en un certain code, en traduisant ledit signal dans un codeà trois éléments à total d'impulsions constant à la station de commande et en transmettant le signal ainsi traduit de la station de commande à la station appelée.
A cet effet, on utilise le dispositif représenté sur les figures 2 et 3 des dessins, qui est normalement relié à la ligne L par les contacts arrière br1 et br2.
Lorsqu'à une station intermédiaire quelconque, on désire lancer un appel, il faut tout d'abord se mettre à l'écoute pour s'assurer que la ligne est libre, puis actionner le cadran d'appel de ladite station, et composer l'indicatif à deux carac- tères correspondant à la station intermédiaire à appeler.
Les impulsions lancées par le cadran sont du type habituel à inter- ruption de courant, de sorte que le relais récepteur d'impulsions IR répondant à l'indicatif composé sur le cadran, soit à l'aide
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d'une connexion simplex avec retour par la terre comme représenté, soit à l'aide d'impulsions en boucle de la manière bien connue, s'excite dès que le cadran d'appel d'une station intermédiaire quelconque est actionné. 'Le relais IR étant excité, le relais à relâchement lent G est actionné par les contacts ir2 et, par conséquent, le relais GA est actionné par le contact gl; finale- ment le relais DC est également actionné; le circuit est le sui- vant : positif, contacts ga3, gcr1, balai 1 du commutateur de ligne SA à la position de repos, contacts ds1, enroulement infé- rieur de DC, négatif.
Après réception de la première impulsion de numérota- ge, le relais IR relâche de sorte que l'électro du commutateur SA .est excité comme suit : positif,contacts ir2, ga4, dc4, ds2, en- , roulement de SA, négatif. L'enroulement supérieur du relais DC est également excité en parallèle avec l'électro du commutateur par les contacts dc3.
Lorsque le relais IR est actionné à nouveau à la fin de la première impulsion,l'électro du commutateur SA est désexci- té et ledit commutateur avance d'un pas. Ce déplacement d'un'pas du commutateur SA, à partir de la position 'de repos, provoque l'interruption du circuit de préexcitation du relais DC mais, en- suite, ledit relais DC se garde sur son enroulement supérieur pendant la durée du 1er train de signaux. Le commutateur SA avan- ce d'un pas pour chaque impulsion du premier signal.
Au cours de l'intervalle entre caractères, le relais IR est actionné pendant une période suffisamment longue pour per- mettre au relais DC-de relâcher. Le relais DS est alors actionné comme suit : positif, ga3, ger1, balai 1 du commutateur SA dans une position quelconque autre que celle de repos', contacts dc1, enroulement du relais DS, négatif. Le relais DS se garde ensuite sur ses contacts ds3, indépendamment du fonctionnement suivant'du relais DC. Ledit relais DC est actionné à nouveau par son enrou- lement de préexcitation à travers .le contact de retour à la posi-
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tion de repos du commutateur SB, le balai 1 et les contacts ds1 actionnés.
Lorsque le second signal est formé sur le cadran, le relais IR opère comme précédemment et les impulsions provenant des contacts ir2sont transmises, par les contacts ds, à. l'électro du commutateur SB lequel, d'une manière analogue au commuta- teur SA, avance d'un pas pour chaque impulsion du second signal.
A la fin du second signal, le relais IR est actionné pendant une période relativement longue et le relais DC relâche en conséquence.
Lorsque le cadran à la. station intermédiaire appelan- te revient à sa position normale, -le relais IR est finalement re- lâché sur quoi le relais LC est actionné comme suit: positif, contacts ga3, ger1, balai 1 du commutateur SB dans une position quelconque autre que celle de repos, contacts de 29 irl, enroule- ment de LC, négatif. Le relais LC se garde sur ses contacts le? etle balai 1 du commutateur SC.
Le relais PM est un relais spécial comportant un pen- dule fixé à son armature et ajusté de manière à avoir une période naturelle d'oscillation d'environ 7 périodes par seconde, le sys- tème connu déjà décrit à propos de la figure 1 fonctionnant à une fréquence de 7 impulsions, soit trois périodes et demie par seconde.
Pendant la réception de l'indicatif à deux signaux dé- crit ci-dessus, l'un des enroulements de PM est excité par les contacts de ga5, de sorte que l'armature et le pendule sont maintenus actionnés avec une amplitude maximum. Lorsque le relais GA relâche après le relâchement final de IR, le premier enroulement du relais P] est désexcité et, étant donné que le second enroule- ment de P@ est court-circuité par les contacts actionnés pml, le pendule est relâché.
Lors du relâchement, les contacts pm1 passent à la position de repos et le relais SD est excité sur les contacts le-,et pm1 L'enroulement de PM est à nouveau excité
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sur les contacts lc5en série avec la résistance YD, jusqu'à ce que le pendule ait effectué son élongation de retour et que les contacts pm1 court-circuitent à nouveau l'enroulement de PM.
La résistance YD est choisie telle que la bobine PM reçoive suffisamment d'éhergie pour entretenir l'oscillation du pendule après l'élongation totale initiale due au premier enroulement de PM.
Pour chaque oscillation du pendule, le relais SD est actionné et relâché à nouveau. Les contacts sd1 actionnent l' électro du commutateur SC de telle manière que ledit commutateur avance pas à pas à une vitesse constante d'environ sept pas par seconde et continue à le faire tant que le relais LC reste ac- tionné.
L'opération des contacts le,relie les bornes K1 et
K3 en excitant le relais de batterie BR (figure 1) et en commu- tant la ligne de l'appareillage récepteur du relais IR à l'appa- reillage transmetteur.
Lorsque le commutateur SC avance pas à pas sous la commande du relais à pendule PM, le relais IS (figure 3) est ac- tionné suivant les connexions établies par les balais 2 et 3 du commutateur. Pendant quelques-uns des premiers pas, IS, n'est pas actionné, ce qui fournit une période préparatoire d'environ une seconde après la connexion initiale de la batterie de signa- lisation à la ligne; lorsque le commutateur SC atteint son dixième pas, le relais IS est actionné, la borne positive d'e la' batterie étant reliée au balai 2 du commutateur SC. Ensuite, insensible à toute connexion positive par l'intermédiaire'de A et'de B, le relais IS est actionné et relâché alternativement pour les pas successifs du commutateur SC jusqu'à ce que IS ait effectué vingt-cinq inversions.
A chaque opération du relais
IS, le relais télégraphique TR est actionné, et déplace les con- tacts tr1 et tr.inverseurs de la batterie de ligne.
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Les commutateurs SA et SB ont avancé pas à. pas suivant les premier et second signaux formés sur le cadran et lesdits commutateurs sont ensuite utilisés pour sélecter les deux inter- valles entre signaux d'un code à trois caractères de telle manié- re que le nombre total d'impulsions des trois signaux de chaque indicatif ou code soit toujours dix-sept.
Les signaux formés à l'origine sur le cadran de la station intermédiaire appelante correspondent aux premier et troi- sième signaux de l'indicatif normal d'appel à trois éléments de la station de commande, le second signal étant intercalé automa- tiquement pour amener le nombre total d'impulsions à 17. par exemple, en supposant que l'indicatif formé sur le cadran soit 5: 3, d'âpres la figure 3, lorsque le commutateur SC commence à avancer pas à pa.s, le commutateur SA se trouve dé- jà sur son cinquième contact et le commutateur SB sur son troi- aième contact.
Le relais IS est actionné lorsque le commutateur SC atteint son 10éme contact, relâché sur le llème, actionné à ncu- veau sur le 12ème, relâché sur le 13ème et actionné à nouveau sur le 14ème. Lais, lorsque le commutateur SC atteint le 15ème con- tact, le relais IS est maintenu actionné par application du pôle positif au 15ème contact par le balai 4 du commutateur SA. IS reste action.né sur le 16ème contact, puis sur le 17ème contact.
Sur le 18ème contact, le relais IS reste également actionné, mais il relâche sur le 19ème etla transmission du second carac- tère commence.
Ensuite, IS opère et relâche alternativement sur les contacts successifs jusqu'à ce que le commutateur SC atteigne le con-tact numéro 28. A ce moment, le relais IS est prêt à fonc- tionner mais il en est empêché en vertu de la connexion positive appliquée par le balai 4 du commutateur B sur son 3ème contact, ladite connexion positive aboutissant par le 28ème contact au. balai 3 du commutateur SC pour court-circuiter le relais IS, la.
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résistance YE étant intercalée pour limiter le courant de court- circuit.
Sur le contact n 29, le.relais IS n'a pas d'alimenta- tion positive. Sur le contact 30 il est à nouveau court-circuité par l'application du pôle positif par le balai 3 du commutateur SB.
Sur le contact 31, pas d'alimentation positive, sur 32, nouvelle opération d'IS ; 33, IS relâche et sur 34 IS est à nouveau ac- tionné pour une période relativement.longue.
C'omme exposé, chaque opération du relais IS relie l'une à l'autre les bornes K1 et K2 et, dans l'appareillage de la sta- tion de commande, il en résulte l'opération du relais télégraphi- que TR qui inverse la polarité de batterie appliquée à la ligne L.
On verra, par conséquent, que dans le cas décrit ci-dessus, le ré- lais IS provoque la transmission de cinq impulsions de polarités alternées sur la ligne, reste ensuite actionné pendant une période correspondant. à cinq impulsions, transmet à nouveau neuf impulsions alternativement positives et négatives, reste désexcité pendant un second intervalle entre signaux équivalent à cinq impulsions et transmet finalement un troisième signal de trois impulsions. IS reste alors excité pendant une période relativement longue, par exemple deux secondes, période au cours de laquelle le sélecteur de la station intermédiaire correspondant à l'indicatif 593 se trouve sur sa position d'appel et, par conséquent, la sonnerie désirée est déclenchée pendant environ deux secondes.
Comme dans le système connu, lors du relâchement final d'IS, une impulsion unique est transmise sur la ligne ce qui ramè- ne le sélecteur appelé à sa position normale.
Lorsque le commutateur SC, continuant à .avancer pas à pas sous la commande du relais à pendule PM dépasse la partie de son banc utilisée pour la transmission de l'indicatif à trois élé- ments à total d'impulsions constant et la période de déclenchement de la sonneriè, le relais LC est relâché par le balai 1 du commu- tateur SC èt la fermeture des contacts le, prépare un circuit de
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retour à la position normale pour les trois commutateurs, par leurs arcs de retour à zéro et leurs contacts interrupteurs de la manière bien connue.
Dans le cas où un système d'appel mutuel conforme à certaines caractéristiques de l'invention est utilisé avec un central non automatique, l'opérateur dudit central peut être con- sidéré comme un poste groupé sur la, ligne et, après avoir établi la communication avec l'abonné désirésur la ligne postes grou- pés, effectue la connexion de ladite ligne avec une autre ligne quelconque sur le central manuel, de la manière habituelle.
Lorsqu'un tel système est utilisé avec un central automatique, dans le cas d'appel du central vers la ligne à postes groupés, les commutateurs SA et SB peuvent être mis en position convenable par les deux derniers caractères d'un indi- catif formé sur le cadran au central, les caractères préliminai- res étant formés auparavant par l'abonné pour obtenir l'accès de la ligne à postes groupés désirée. D'autre part, dans le cas d'appel provenant de la ligne à postes groupés et dirigé vers le central, l'abonné de ladite ligne forme sur son cadran un premier signal spécial qui fait avancer de quelques pas le commutateur SA jusqu'à un point particulier de l'un des bancs dudit commuta- teur.
Cette dernière condition est utilisée lorsqu'on désire établir une connexion entre la ligne à postes groupés et une ligne de 'prolongement au central et, l'abonné d'origine de la ligne à postes groupés est alors considéré exactement de la même manière que chaque ligne de prolongement particulière.
Lorsque deux ou plus de deux lignes d'appel mutuel sont utilisées avec des facilités d'interconnexion, il est com- mode de prévoir une commutation additionnelle pour recevoir un signal préliminaire indiquant la ligne à laquelle un appel est destiné: chaque ligne est alors munie d'un élément distinct récepteur et retransmetteur de code analogue à celui décrit ci- dessus, les commutateurs de code SA et SB étant mis en position
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par le signal formé par 1'abonné appelant après que la connexion préliminaire entre les lignes à postes conjugués a, été établie en réponse à un signal préliminaire.
Dans la réalisation de l'invention décrite en détail ci-dessus, on a supposé qu'après avoir formé sur un cadran un signal à deux éléments, le cadran d'appel est ramené à la posi- tion normale pour commencer la transmission du code de commande à trois éléments mais, selon une variante, il peut être commode d'amorcer la transmission de l'indicatif à trois éléments automa- tiquement à la fin du second signal envoyé, la clé de l'abonné appelant restant actionnée pendant toute la conversation pour maintenir la ligne o'ccupée soit au point de vue de la connexion avec la station centrale, soit de l'interconnexion avec d'autres lignes à postes groupés.