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Perfectionnements aux dispositifs téléphoniques ou dispositifs analogues.
La présente invention est relative à des dispositif téléphoniques ou dispositifs analogues de transmission, et plus particulièrement au réglage et a la commande des interrupteurs téléphoniques automatiques par l'intermédiaire d'itinéraires de grande longueur passant par des lignes et comprenant des systèmes mixtes à fréquences audibles et des dispositifsde sélection à courant continu ainsi que des dispositifs de contrôle à courant continu.
La présente invention doit être considérée comme un perfectionnement des dispositifsdécrits dans les demandes de brevet belges déposées par la demanderesse le 17 août 1946 pour :"Dispositif téléphonique ou dispositif de transmission ,analogue sous le n 362.791. (A.1684/66).
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et le 18 octobre 1946 pour "Perfectionnements aux dispositifs , analogues téléphoniques ou dispositifs/de transmission,sous le n 363.826 (A.1693) et son but consiste d'une façon générale en un perfectionnement du fonctionnement des systèmes de ce 'type par la suppression des répétitions inutiles d'impulsions dans les parties a courant continu de la communication,
de façon que l'exploitation puisse se faire à des vitesses plus grandes et avec moins de risques d'erreur dus a des distorsions.
Dans le premier des brevets précités, on a proposé que dans le cas où la communication qui doit être établie comprend un dispositif de liaison à courant continu qui suit un dispositif de liaison a fréquence audible, on puisse assurer la suppression de deux répétitions dans le même central en donnant accès au répéteur de sortie automatique-automatique du côté de la ligne de telle sorte que ce répéteur soit, en fait, franchi sans être traversé pour les communications de ce type.
Toutefois, cette façon de disposer le répéteur n'est pas absolument recommandable, étant donné qu'eile suppose des conditions dans lesquelles on s'écarte des usages normaux, et, de plus, on ne peut pas en faire usage d'une manière satisfaisante si le dispositif comporte une partie de ligne de transmission à courant continu dans un autre central, auquel cas la répétition des impulsions est inévitable.
Conformément à l'ane des caractéristiques de la présen- te invention, dans un dispositif téléphonique ou analogue utili- sant des courants à fréquence audible pour des transmissions de contrôle et pour la commande du réglage sélectif des interrup- teurs automatiques, on dispose un répéteur d'entrée pour la transformation des signaux d'entrée à fréquence audibl'e en si- gnaux a courant continu, de façon à transmettre vers l'avant un signal d'essai à fréquence audible à la fin de chaque train d'impulsions a courant continu, et.
de façon à répondre à un si- gnal caractéristique envoyé en retour par un répéteur de sortie si la ligne reliant deux centraux qui vient ensuite est exploi- tée sur la base d'une fréquence audible, et de façon à mettre
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hors service ensuite l'équipement de transformation et a mettre le répéteur en état d'assurer la transmission directe des cou- rants a fréquence audible.
Selon une autre caractéristique de la présente invention, dans un dispositif téléphonique ou analogue utilisant des cou- rants a fréquence audible pour la signalisation de contrôle et pour la commande du réglage sélectif d'interrupteurs automati- ques, chaque fois qu'une ligne reliant entre elles des postes centraux et agencés de façon à fonctionner à l'aide de fréquences audibles est mise en service, un répéteur à l'extrémité de sor- tie de cette ligne effectue un test pour un signal transmis d'un étage précédent de la communication, et de façon à transmettre, sous l'action d'un tel signal, un signal caractéristique en re- tour vers ledit étage précédent et à mettre hors.
service l'équi- pement qui sert à transformer les signaux à courant continu en signaux à fréquence audible, de manière à permettre une trans- mission continue des courants à fréquence audible.
Une telle transmission continue évite la distorsion qu'on introduit autrement à chaque répétition d'impulsions à courant continu, et permet un fonctionnement plus rapide sousl'effet des signaux de contrôle qui peuvent être transmis d'une extré- mité à l'autre sous une forme à fréquence audible qui ne subit pas de changement.
Toutefois, on ne peut pas utiliser un dispositif de ce genre si les dispositifs de liaison à courant continu utilisent des dispositifs dits régénérateurs d'impulsions, et comme un certain nombre de ces derniers dispositins sont déjà en usage, il faut s'attendre a ce qu'il s'écoule un teps considérable avant qu'on.puisse être sur qu'aucune communication pouvant être établie a partir d'un central particulier ne contient de diapo- sitir régénérateur.
Il est éviuent que si la ligne contient des régénérateurs, il n'est pas possible d'assumer une transmission des impulsions d'une extrémité à l'autre, à cause du délai in- troduit par les régénérateurs qui coupent la ligne durant
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l'émission d'un renseignement accumulé sous la forme de numéros de contacts.
Autrement dit, il n'est pas possible d'établir la continuité de la communication et d'assurer une signalisation directe à l'aide du courant à fréquence audible sans entraîner un délai, entre les transmissions des numéros des contacts, qui auraient une durée inadmissible, étant donné qu'il n'est pas pos- sjble de savoir avec précision l'état de fonctionnement que les régénérateurs ont atteint avant qu'un temps suffisant se soit écoulé pour qu'ils aient eu la possibilité d'acheminer les nu- méros accumulés de tous les contacts.
Dans ces conditions, après que la communication a été établie, il faut prendre des précau- tions spéciales au sujet des signaux de contrôle, afin d'obte- nir d'une manière certaine que ces derniers seront transmis en cascade de section en section, et qu'aucun signal ne peut ac- tionner l'équipement répondeur de plusieurs sections simultané- ment, étant donné que ce signal provoquerait un chevauchement des signaux et une confusion en ce qui concerne l'information qu'on se proposait de transmettre. Ceci s'applique en particulier au signal de réponse de l'abonné demandé, sous l'effet duquel un signal d' accusé de réception est ordinairement susceptible d'être transmis vers l'avant à partir du point de réception.
Q,uoique la transmission en cascade des signaux de con- trôle sur des connexions comportant des régénérateurs fournisse une base satisfaisante d'exploitation, on se rendra compte de ce que la transmission d'une extrémité a l'autre est plus dési- rable en raison de l'économie de temps qui en résulte. Dans ces conditions, lorsqu'on donne le signal de réponse de l'abonné tous les régénérateurs auront terminé leurs fonctions, et par conséquent les objections fondamentales formulées à l'encontre de la transmission d'une extrémité à l'autre ne sont plus vala- bles.
Il est par conséquent préférable d'agencer le disposi- tif de façon que sous l'effet de la réponse du correspondant ,
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demandé, l'équipement de transformation qui se trouve dans les répéteurs d'entrée et de sortie soit mis dans l'impossibilité de.fonctionner, afin de permettre une transmission continue des courants a fréquence audible constituant des signaux de contrôle consécutifs.
'La description qui va suivre en regard des dessins annexés, donnés a titre d'exemples non limitatifs, fera bien comprendre comment l'invention peut être mise en-pratique.
La figure 1 est un schéma simplifié des,lignes représen- tant une communication caractéristique à laquelle la présente invention peut être appliquée.
Les figures 2 à 5, lorsqu'on les dispose de la manière représentée dans la figure 6, représentent un schéma électrique d'un jeu de relais'à fréquence audible de sortie, qu'on peut occuper soit à partir d'une position de l'opératrice, soit à partir d'un niveau de sélecteur, tandis que les figures 7 et 8, lorsqu'on les dispose avec la figure 7 à gauche, représentent un schéma des circuits d'un jeu de relais d'entrée qui termine une ligne de jonction à fréquence audible reliant -des centraux entre eux, et auquel est associé un sélecteur d'entrée. Le jeu de relais de sortie fonctionne, ainsi qu'on le supposera, sur la base connue, de la commande par manchon.
Les figures 9 et 10 représentent des modifications qui, lorsqu'on les applique res- pectivement aux jeux de relais a fréquence audible de sortie et d'entrée, permettent d'introduire une signalisation de bout en bout pour certains signaux de contrôle dans des communica- tions comprenant des régénérateurs d'impulsions a courant con- tinu.
Les circuits des jeux de relais a fréquence audible de sortie et d'entrée ressemblent beaucoup à ceux qui ont été décrits dans les deux brevets précités, quelques-unes des dif- férences apparentes résultant du fait que dans les présents circuits, les représentations conventionnelles, la nomenclature et les symboles ont été plus étroitement adaptés aux usages
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actuels des postes anglaises.
En ce qui concerne, tout d'abord, la figure 1, on supposera qu'une communication doit être établie a partir du tableau manuel MB du central A avec un abonné du central D.
Quand l'opératrice enfonce sa fiche dans le jeu de relais a fré- quence audible de sortie, un signal d'occupation a fréquence au- dible est transmis par l'intermédiaire de la ligne à fréquence audible VFTI vers le central B pour préparer au fonctionnement le jeu de relais à fréquence audible d'entrée @@@@.
Quand l'opératrice sélectionne le premier contact, les impulsions sont transformées dans le jeu de relaisORS1 en des signaux de code à fréquence audible appropriés, qui sont reçus par le jeu de relais d'entrée IRS1 où ils sont retransfor- més en impulsions de bouclage à courant continu qui actionnent le sélecteur d'entrée IS1. Ceci a alors pour effet d'occuper une ligne de jonction a courant continu DCT avec le central C par l'intermédiaire du répéteur automatique-automatique A-A REP, étant donné qu'on a supposé qu'on utilise entre les centraux B et G la signalisation a courant continu.
Le second contact sélectionné par l'opératrice est trans- mis sous la forme d'un code a fréquence audible du central A au central B, où il est transformé-en des impulsions à courant continu qui sont répétées par le répéteur automatique-automati- que par l'intermédiaire de la ligne de jonction DCT allant au sélecteur d'entrée IS2 du central C.
La ligne de jonction VFT2 du central C au central D est agencée pour le fonctionnement a fréquence audible, par conséquent pour le jeu IRS1 de relais d'entrée du central B il n'est plus nécessaire de transformer la troisième traduction en code a fréquence audible ni aucune autre traduction ulté- rieure en ce code des numéros des contacts en des trains d'im- pulsions a courant continu, étant donné que ces traductions en code à fréquence audible peuvent être transmises directement
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,d'une manière satisfaisante du jeu initial de relais ORS1 au jeu IRS2 de relais de terminaison du central D.
On assure la dé- termination du fait que l'on a atteint la seconde partie à fréquence audible en agençant le jeu de relais d'entrée IRS1 de façon qu'il transmette un signal à fréquence audible relativement long, de l'ordre de 800 millisecondes, après chaque train d'im- pulsions à courant continu. Cette impulsion de signalisation a fréquence audible est sans effet jusqu'a ce qu'on ait atteint le jeu suivant ORS2'de relais à fréquence audible de sortie, et lorsque ce jeu de relais reçoit l'impulsion il renvoie en retour par l'intermédiaire de la ligne un signal constitué par le ren- versement de la polarité de la batterie, lequel signal amorce lors de sa réception dans le jeu de relais IRS1 l'établissement dans ce dernier des conditions permettant la réalisation de la continuité de la communication.
L'impulsion de signalisation a fréquence audible amorce également l'établissement des conditions de réalisation de la continuité de la communication dans le jeu de relais de sortie ORS2, de sorte que le troisième contact et tous les contacts suivants dont les numéros sont transformés en une traduction en code a fréquence audible pour la transmission du central A au central B sont transmises, sans transformation sous la forme a'courant continu, a travers les centraux B et C vers le central terminal D où elles actionnent le jeu de relais d'entrée IRS2. Ceci a pour effet de les transformer en'impulsions a courant continu pour la manoeuvre de l'interrupteur approprié ou du jeu d'interrupteurs dans ce dispositif, pour obtenir l'ac- cès de l'abonné demandé.
Dans le central B, SUB désigne un abonné local, tandis que la petite croix indique l'interrupteur ou chercheur de ligne à l'aide duquel on obtient l'accès d'un interrupteur numérique local dont le banc multiple est relié au banc du sélecteur d'en- trée IS1.
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En ce qui concerne le circuit des figures 2 à 5 corres- pondant au jeu de relais ORS1 ou ORS2 de la figure 1, ce dernier est en grande partie identique à celui qui a été décrit dans le second des brevets précités, mais il a été modifié a différents points de vue qui ont de l'importance. Ces modifications compren- nent l'addition d'un relais RB (figure 5), la modification du circuit du relais AC (figure 4) qui précédemment avait pour ef- fet d'opérer une discrimination appropriée sous l'effet de l'occu- pation du jeu de relais a partir d'un niveau de sélecteur, et la prévision de moyens pour répondre a un signal a la fréquence Y transmis vers l'avant.
Dans ces lignes générales, le mode d'exploitation est le même et l'équipement d'entrée éloigné est agencé de façon à répondre a chaque numéro de contact traduit en code par l'é- mission d'un signal préparatoire de code consistant en deux fréquences seulement qui diffèrent suivant que le contact dont il s'agit de transmettre le numéro appartient au groupe 1 à 5 ou au groupe 6 à 0.
Un code caractéristique établi sur cette base est repro- duit ci-dessous, et, dans l'exemple qui va suivre, on supposera que c'est ce code qu'on utilise :
EMI8.1
<tb> Contact <SEP> Impulsion <SEP> Code <SEP> Contact <SEP> Impulsion <SEP> Code
<tb>
<tb> préparatoire <SEP> préparatoire
<tb>
EMI8.2
1 WY W 6 WZ W 2 Yi'Y x 7 w 3 WY y 8 IVL., 4 WY EX 9 YiZ 1 lX 5 WY xi 0 WZ :Q.,
L'impulsion préparatoire de code a par hypothèse une durée de 160 millisecondes, et l'impulsion suivante de traduc- tion en code du numéro d'un contact une durée de 100 millise- condes.
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Le code de surveillance ou de contrôle a fréquence audi- ble a utiliser est reproduit ci-dessous, afin de rendre la des- cription complète :
EMI9.1
<tb> Manoeuvre <SEP> Signal
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Occupation <SEP> ou <SEP> saisissement <SEP> 100 <SEP> millisecondes <SEP> X
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Réponse <SEP> de <SEP> l'abonné <SEP> ( <SEP> 140 <SEP> " <SEP> Y
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> demandeur <SEP> ( <SEP> 360 <SEP> " <SEP> d'intervalle <SEP> (avec
<tb>
<tb> ) <SEP> répétition <SEP> jusqu'à <SEP> réception <SEP> dé
<tb>
<tb>
<tb> ( <SEP> l'accusé <SEP> de <SEP> réception,).
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
Accusé <SEP> de <SEP> réception <SEP> 440 <SEP> millisecondes <SEP> X
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Coupure <SEP> de <SEP> l'abonné <SEP> ( <SEP> 140 <SEP> " <SEP> Y
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> demandé <SEP> ( <SEP> 360 <SEP> " <SEP> d'intervalle <SEP> (avec
<tb>
<tb> ) <SEP> répétition)
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Coupure <SEP> de <SEP> l'opératrice <SEP> ( <SEP> 2 <SEP> secondes <SEP> Y
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> 300 <SEP> millisecondes <SEP> Y
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> Coupure <SEP> de <SEP> l'opératrice <SEP> ( <SEP> 6 <SEP> secondes <SEP> X
<tb>
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> faute <SEP> de <SEP> réponse.
<SEP> ( <SEP> 300 <SEP> millisecondes <SEP> Y
<tb>
En ce qui concerne maintenant les manoeuvres des cir- cuits, la description qui va suivre n'entrera dans les détails que lorsque les manoeuvres correspondante's des circuits sont différentes de celles décrites dans les brevets précités.
On supposera tout d'abord que le jeu de relais de sor- tie est occupé à partir d'une position dopératrice, par exemple du tableau manuel MB du central A de la figure 1 ; lorsque l'o- pératrice enfonce sa fiche dans le jack JCK, le relais M (figure 2) et le relaisMM (figure 5) entrent en action à tour de rôle, à la suite de quoi leur lampe de contrôle scintille par suite du branchement du potentiel intermittent de la terre par l'intermé- diaire du conducteur 10 (figure 2) sur le circuit du manchon par l'intermédiaire de 11-enroulement supérieur à faible résis- tance du relais M.
En entrant en action, le relais MM provoque la manoeuvre du relaisSR (figure 5) par l'intermédiaire de son enroulement supérieur, ce qui provoque l'avancement des balais .de l'interrupteur TS dans la position 1 dans laquelle les relais
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CO et FXY sont actionnés. En entrant en action, le relais CO provoque la manoeuvre du relais BS (figure 3) qui reste sans effet.
Le relais FXY provoque la manoeuvre du relais CS et pro- voque l'avancement automatique de l'interrupteur TS jusque dans la position 3, à la suite de quoi le relais SR tombe et les re- lais FXY et CS tombent a leur tour, Pendant ce temps, les con- tacts CS1 et CS2 ainsi que FXY4 de la figure 3 auront provoqué la transmission vers l'avant d'une impulsion a la fréquence X et d'une durée de 100 millisecondes vers le jeu de refais d'en- trée IRS1 dans le central B pour provoquer l'occupation du sélec- teur d'entrée correspondant IS1.
En tombant, le relais FXY pro- voque la manoeuvre du relais FC qui se verrouille et provoque l'avancement de TS jusque dans la position 4 a partir de laquelle il avance dans la position 6 sous la commande de la source du potentiel de terre interrompu branchée sur le conducteur 11 re- lié a l'électro-aimant de l'interrupteur par l'intermédiaire du' banc et du balai TS5.
Quand l'opératrice inverse sa clé de sélection, la ten- sion de la batterie est branchée dans son circuit de position- sur les conducteurs de conversation et le relais RR (figure 2) est actionné par l'intermédiaire de son enroulement supérieur, et la résistance élevée est introduite dans le circuit de sa po- sition dans le circuit du manchon pour éteindre la lampe de con- trôle de la demande. Le relais RR assure la manoeuvre du relais A de la figure 2, du relais B de la figure 4, et du relais BR de la figure 5 à tour de rôle, ce dernier relais débranchant le relais RR et branchant le relais A sur les conducteurs de la pointe et de la bague du jack.
Quand l'opératrice sélectionne le numéro de l'abonné demandé, les impulsions sont reçues sur le relais A qui les ré- pète par l'intermédiaire du relais C (figure 4) sur l'électro- aimant d'avancement DSAM de l'interrupteur DSA accumulant le numéro du premier contact, lequel fait avancer ses balais pas à
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pas dans la position eorrespodante, Les relais B et C se main- tiennent actionnés pendant l'émission des impulsions, le dernier de ces deux relais actionnant le relais CS pour préparer le circuit de signalisation à fréquence audible sur les contacts CS1 et CS2. Le relais C provoque également l'excitation de l'é- lectro-aimant d'avancement DDm de l'interrupteur DD distribu- teur dès contacts, mais les balais de cet interrupteur ne se dé- placent pas tant que 1'aimant est désexcité.
A la fin de la première série d'impulsions, le relais A se maintient, et le relais C tombe après son délai de retarde- ment, en actionnant par ce moyen les relais CNA et CNR en série par l'intermédiaire du balai DSA1. Si le contact sélectionné porte le numéro 5 ou un numéro plus faible, le relais CNA entre en action par l'intermédiaire de son enroulement de gauche, et, ainsi qu'on le voit plus loin, on prévoit un intervalle entre les traductions en code des numéros des contacts successifs,cet intervalle étant plus court que celui qui est prévu pour les contacts dont les numéros s'échelonnent'de 6 à 0.
-En entrant en action, le relais CNA applique, sur les contacts CNA1 et CNA2, le potentiel de la terre par l'intermédiaire du balai et du banc DSA1 et du banc et du balai SC3 pour faire avancer l'interrupteur SC de commande de l'émission de sa position de repos dans la position 1 dans laquelle le relais ST est actionné.
Le relais ST branche son enroulement de droite a faible résis- tance pour assurer l'avancement automatique de l'interrupteur SC jusque dans la position 4, il maintient le relais CS et, sur les contacts ST2 et ST3 (figure 3), il provoque le branche- ment d'une impulsion préparatoire a la fréquence WY sur la ligne de jonction allant au central B. Quand l'interrupteur SC atteint la position 4, le relais ST tombe après son délai de ralentissement pour débrancher l'impulsion préparatoire WY et actionner le relaisS. La durée de l'impulsion préparatoire est mesurée par le temps qu'il faut a l'interrupteur SC pour .
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avancer pas a pas jusque dans la position 4, plus le délai de retard a la chute du relais ST, ce qui 'donne un chiffre total de 160 millisecondes.
Le relais S maintient le relais CS et branche sur la ligne l'impulsion de traduction en code du numéro du contact, cette impulsion dépendant, au point de vue de sa composition, du réglage du balai DSA3 ou DSA4 (figure 3) de l'interrupteur de balayage des contacts et étant par conséquent caractéristique du contact sélectionné. Le relais S court-circuite son enroule- ment de gauche à grande résistance, pour faire avancer l'in- terrupteur SC automatiquement dans la position 8 dans laquelle le relais Z entre en action par l'intermédiaire de son enroule- ment inférieur a grande résistance (1'électro-aimant SCM n'étant pas en action dans ces conditions), tandis que sur les contacts Z3 de la figure 3 il débranche l'impulsion de traduction en code du numéro du contact de la ligne de jonction.
Le relais::; tombe également, mais le relais 1 maintient le relais CS. La durée de l'impulsion de code est mesurée par le temps pris par l'in- terrupteur SC pour avancer pas à pas de la position 4 a la posi- tion 8, ce temps ajouté au temps de fonctionnement du relais Z étant à peu près de 100 millisecondes. Le relais maintient sur les contacts Z2 les relais CNA et CNR et, sur les contacts '/.!, il applique le potentiel de la terre vers l'avant par l'in- termédiaire de son enroulement supérieur a faible résistance, pour rappeler l'interrupteur DSA dans sa position de repos, a la suite de quoi le relais Z tombe et fait tomber le relais uS et provoque également l'avancement de l'interrupteur SC jusque dans sa position de repos.
Si, entre temps, l'opératrice a sélectionné un second contact, par exemple le contact 4, qui sera reçu dans l'inter- rupteur DSB, qui n'est pas représenté, le relais CNR se main- tient actionné en série avec le relais en CNB, qui n'est pas représenté, le relais CNA étant tombé lors de la chute du relais Z. En conséquence, lorsque l'interrupteur SC arrive dans sa
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position de repos, il avance de nouveau automatiquement jusque dans la position 1, dans laquelle le relais ST entre en action à nouveau pour émettre l'impulsion préparatoire à la fréquence WY, suivie de l'impulsion de code WX pour le contact 4 dont le numéro est recueilli par le réglage de l'interrupteur DSB.
Si, ainsi qu'on l'a supposé, le premier contact était le contact 5 ou un contact d'un numéro plus faible, l'intervalle entre les traductions en code des deux numéros transmis à la li- gne est mesuré par le temps qu'il faut pour le rappel de l'in- terrupteur DSA, plus le temps de rappel de l'interrupteur SC à cinquante contacts, ce qui donne un total qui ntest pas infé- rieur à 1. 200 millisecondes. Pendant ce temps, cinq impulsions ou un nombre moindre d'impulsions engendrées par la machine sont délivrées par le jeu éloigné de relais d'entrée au sélecteur d'entrée, puis se produit le balayage en vue de sélectionner une ligne inoccupée dans le niveau sélectionné, après quoi une im- pulsion de 800 millisecondes à la fréquence Y est transmise vers l'avant à partir du jeu de relais, ainsi que cela sera décrit plus loin.
Tandis que le sélecteur balaye, les relais qui, dans le jeu de relais d'entrée, retraduisent le code en clair tombent et sont réglés à nouveau pour recevoir le second signal prépara- toire et les seconds signaux de code, ce qui.demande un délai de 160 plus 100 millisecondes donnant un total de 260 millisecon- des, qui ajoutées à la période ou durée de l'intervalle, de l'ordre de 1.200 millisecondes déjà mentionnées, donne un total de l'ordre de 1460 millisecondes pour l'intervalle complet entre les signaux de traduction des numéros des contacts.
Si le premier contact avait été l'un des contacts de 6 à 0, il aurait fallu un intervalle plus long entre les signaux de traduction de ces contacts pour permettre au sélecteur d'en- trée d'effectuer la série de ses manoeuvres, ce qui va être dé- crit à propos du changement du signal préparatoire qui doit éga- lement s'effectuer pour définir un contact du second groupe.
Dans ces conditions, le relais CNA est actionné par
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l'intermédiaire de son enroulement de droite, en série avec le relais CNR, tandis que sur les contacts CNA3, il provoque la manoeuvre du relais HS qui se verrouille par l'intermédiaire des contacts HS1. Sur les contacts HS7 (figure 3), le relais HS inverse les connexions du circuit de l'impulsion préparatoire de façon que, lorsque le relais ST entre en action sur le premier pas effectué par l'interrupteur SC, une impulsion WZ soit appli- quée sur la ligne. Cette manoeuvre est suivie de l'impulsion de traduction en code du numéro du contact, et lorsque le relais entre en action pour terminer l'impulsion, l'interrupteur DSA avance jusque dans sa position de repos en mesurant ainsi une partie de l'intervalle séparant deux traductions en code de con- tacts.
Le relais HS est alors débranché sur le balai et le banc DSA1, mais il se maintient pendant un court intervalle de temps par suite de son retard et provoque, sur les contacts HS3, l'exé- cution par l'interrupteur DSA d'une autre demi-révolution. Au cours de cette dernière manoeuvrer le relais HS tombe, mais le relais reste maintenu par l'intermédiaire de son enroulement supérieur en provoquant par ce moyen une augmentation apprécia- ble de l'intervalle entre les traductions en code. Cet intervalle exceptionnel a pour effet que l'équipement éloigné a suffisamment de temps pour effectuer les manoeuvres déjà décrites avant que soit transmis le numéro, retraduit en clair, du contact suivant.
Lorsque tous les numéros accumulés des contacts ont été transmis en code, il ne s'établit plus aucun autre circuit de démarrage pour l'interrupteur SC de commande de l'émission, et tous les relais UNA à CND et le relais CNR reviennent également a leur position normale. Les relais M, MM, CO, BS, FC, A, B et BR restent actionnés, l'interrupteur TS reste dans la position 6, et l'interrupteur DD occupe une position qui est en concor- dance avec le numéro des contacts sélectionnés.
Quand l'opératrice fait revenir sa clé de sélection dans sa position initiale, le courant qui passe dans le circuit du manchon augmente, et la batterie appliquée sur les conduc-
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teurs de la pointe et de la bague est retirée peu après. nsui- te, le relais LR (figure 2) entre en action et prépare les cir- cuits de contrôle et fait tomber les relais A, B et BR tour à tour. En tombant, le relais B rappelle l'interrupteur distribu- teur DD (figure 4) danssa position moyenne dans laquelle il,est alors prêt à la manoeuvre du relais AA à un instant ultérieur, tandis que le relais BR branche, en tombant, l'enroulement infé- rieur, à faible résistance, du relais RR dans le circuit du manchon, ce relais RR n'exerçant aucune action, mais provoquant l'allumage de la lampe de contrôle de l'opératrice.
Les relais
M, MM, CO, BS, FC et LR restent actionnés et l'état de la ligne est tel que l'opératrice est à même de recevoir des tonalités qui correspondent à l'état de la li'gne du correspondant désiré, et, si c'est nécessaire, de parler sans qu'il soit nécessaire de faire émettre un signal de réponse par le correspondant de- mandé.
Lorsque le correspondant demandé répond, un signal de réponse comprenant des impulsions de 140 millisecondes à la fré- ' quence Y, séparées par des intervalles de 360 millisecondes, est transmis en retour à partir du jeu de relais d'entrée, ce signal étant répété jusqu'à réception d'un accusé de réception par l'émission d'un signal .1(. par le jeu de relais de sortie.
Lors de la réception de la fréquence Y, le relais Y qui se trouve dans le récepteur VFR (figure 3) à fréquence audible en- tre en action et ouvre le circuit pour le relais BS. Lors de la chute du relaisBS après un délai de l'ordre de 100 millisecon- des, les relais MS et MT sont actionnés tour à tour et se main- tiennent pour le reste de la durée de l'impulsion Y. Quand l'impulsion Y est terminée, le relais BS entre en action à nou-
Veau et outre d'autre part le circuit du relais MS qui comporte un retard de l'ordre de 350 millisecondes à la chute.
Si l'in- tervalle entre les impulsions reçues est de la durée correcte, c'est-à-dire de 360 millisecondes, le relais MS tombe, mais non pas le relais MT, étant donné qu'il s'écoule un temps d'une
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durée de 360 millisecondes, plus le délai de chute de 100 milli- secondes du relais BS, avant qu'aucun autre circuit ne puisse être établi et complété jusqu'au relaisMS, de sorte que lors de la réception de l'impulsion Y suivante, le relais SA est ac- tionné, et qu'a la fin de cette impulsion le relais SB fonctionne en série avec le relais SA.
En entrant en action, le relais SA établit un contrôle local et continu dans la position de sortie de l'opératriue. Le'reiais SB provoque la manoeuvre du relais AA de la figure 4, en série'avec l'électro-aimant DDM d'avance- ment de l'interrupteur DD, qui procède à l'avancement automati- que, tandis que le relais AA actionne à nouveau le relais CS de la figure 5 et que, sur les contacts AA1 de la figure 3, il applique la fréquence X sur la ligne de sortie.
La durée du si- gnal d'accusé de réception à la fréquence X se mesure par le temps qu'il faut pour rappeler l'interrupteur DD dans sa posi- tion, plus le temps de cloute du relais AA. Quand on reçoit l'im- pulsion X dans le jeu de relais d'entrée, la transmission de l'impulsion Y s'arrête. Le relais BS reste par conséquent ac- tionné, tandis que le relais MT tombe.
La conversation s'échange alors, mais lorsque le corres- pondant demandé raccroche, le jeu de relais d'entrée transmet des impulsions Y du même type que pour le signal ae réponse de l'abonné demandé. Dans le jeu de relais de sortie, les relais M, MM, LR, CO, FC, BS, SA et SB sont maintenus actionnés, et l'interrupteur TS est dans la position 6, de sorte que la pre- mière impulsion de 140 millisecondes, a la fréquence Y, fait tomber le relais BS et actionne le relais MS et MT, comme pré- cédemment. La période de coupure suivante de 360 millisecondes actionne le relais BS et fait tomber le relais l'Il::3, mais non pas le relais mT, de sorte que, lorsqu'on reçoit l'impulsion Y suivante, le -relais BS tombe à nouveau et actionne alors au cours de la période de chute lente du relais mT le relais SY.
Ce relais SY, qui a un fêtard a la chute de 400 a 450 millise- condes, se verrouille lors des impulsions Y, il actionne le
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relais SZ et fait tomber le relaie ;SA qui donne dans la posi- tion de sortie de l'opératrice le signal nécessaire de contrôle de*la coupure,
Quand l'opératrice coupe en retirant la fiche du jack, les relais M, MM et LR tombent a leur tour. L'interrupteur TS est ensuite entraîné dans un mouvement d'avancement pas à pas sur le banc TS3 qui le fait passer de la position 6 à la posi- tion 7, a la suite de quoi les relais BR et SR entrent en-action en série par l'intermédiaire du banc TS4. Le relais CS entre alors en action à nouveau par l'intermédiaire du banc TS1, à la suite de quoi la fréquence X est appliquée sur la ligne de jonc- tion.
Le relais SB étant actionné, l'interrupteur TS avance au- tomatiquement sur le banc TS3 de la position 7 à la position 15, puis il avance pas a pas au moyen du potentiel de terre inter- rompu du conducteur 11, sur le banc TS5, jusque dans la position 19.Le relais FXY est,alors actionné par l'intermédiaire du banc
TS4 pour débrancher la fréquence X, la durée d'application étant de l'ordre de deux secondes, tandis qu'il assure également le branchement de la fréquence Y sur la ligne de jonction.
En étant avancé pas a pas jusque dans la position 19, le balai TS4 provo- que la chute des relais SR et BH après l'écoulement deleur pé- riode de ralentissement et, lors de la chute du relais BR, le potentiel de la terre s'applique par l'intermédiaire du banc TS3 pour faire avancer il interrupteur pas a pas a partir de la position 19, de telle sorte que le relais FXY tombe et qu'après l'écoulement de son délai de retardement il termine la fréquence Y après une durée d'application de 300 millisecondes. L'inter- rupteur TS avance alors de la position 20 a la position 23 sur le banc TS3, puis lentement pas a pas surles contacts 23 et 24 par l'intermédiaire du banc TS5, pour atteindre sa position de repos dans laquelle les relais CO, FC et SB tombent.
Au cours de l'application vers l'avant de la fréquence Y, le relais BS est tombé, et les relais MS et MT ont été actionnés, mais sans effet utile. La manoeuvre du relais SR au cours de l'application
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pendant 2 secondes de la fréquence X sur la ligne permet au relais SY de tomber et provoque également la terminaison de l'é- mission du signal de coupure a partir du jeu de relais d'entrée.
En tombant, le relais SY fait tomber le relais SZ, et le jeu de relais est par conséquent disponible pour une utilisation ultérieure.
Dans le cas où la communication ne s'établit pas complè- tement, par suite de ce que l'abonné demandé ne répond pas ou qu'il est occupé ou qu'on reçoit des tonalités NU, l'impulsion de coupure à la fréquence 7, subit un allongement jusqu'à six secondes, par suite du défaut de fonctionnement du relais SB, afin de fournir l'assurance qu'il entre en action sous l'effet d'une tonalité NU émise pendant des périodes d'une durée de cinq secondes séparées par des intervalles d'une seconde.
Ces manoeu- vres des circuits ont été décrites en détail dans la demande de brevet déposée par la Demanderesse le 17 août 1946 sous le N -362.791. -
Dans ces conditions, si on met alors le jeu de relais de sortie en service a partir de n'importe quel circuit ne con- tenant pas de dispositifsde liaison à fréquence audible, par exemple a partir du niveau d'un sélecteur mis en service par un abonné, ou a partir d'un niveau de sélecteur faisant suite à un dispositif de liaison a signalisation entièrement en courant continu, auquel cas on ne reçoit----, lors de l'occupation, au- cure impulsion de signalisationà fréquence audible,
ou si on suppose au contraire que le jeu de relais est mis en service à partir d'un niveau de sélecteur faisant suite à un circuit qui comprend un dispositif de liaison a fréquence audible et égale- ment un dispositif de liaison a courant continu comprenant un régénérateur d'impulsions, auquel cas toute impulsion de signali- sation a fréquence audible transmise vers l'avant est dans l'im- possibilité de parvenir a destination par suite de la coupure de la ligne par le régénérateur au cours de son fonctionnement,/
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dans l'un et l'autre de ces deux cas les manoeuvres sont essen- tiellement celles qui ont déjà.'été décrites et qu'on peut résu- mer de la manière suivante.
L'occupation d'un jeu de relais s'effectue dans ce cas par l'application du potentiel de la, terre en direction de l'a- vant par l'intermédiaire du conducteur privera la suite de quoi le relais SR entre en action et écarte l'interrupteur TS de sa position normale, comme cela a déjà été décrit ci-dessus, et se verrouille par l'intermédiaire de son enroulement supé- rieur sur les contacts 1 et 2 du banc TS4. En avançant dans la position 1, l'interrupteur TS actionne les relais CO, BS, CS et FXY. En entrant dans l'action, le relais SR branche, sur les contacts SR6 et SR7 (figure 3), le récepteur VFR à fréquence au- dible sensible à la fréquence Y sur les conducteurs de ligne a partir du niveau du sélecteur et par l'intermédiaire des conden- sateurs QC et QD.
Cette manoeuvre est sans effet dans ce cas.
Une boucle s'établit également en direction de l'avant par l'in- termédiaire du sélecteur et actionne le relais A qui provoque à son tour la manoeuvre des relais B et BR, à la suite de quoi, sur les contacts BR2, une terre de garde est appliquée en retour par l'intermédiaire du conducteur P pour maintenir le sélecteur.
Le relais FXY applique une impulsion d'occupation à la fréquence X et d'une durée de 100 millisecondes en direction de l'avant par l'intermédiaire de la ligne en direction du jeu de relais d'entrée éloigné et provoque en même temps l'avancement automa- tique de l'interrupteur TS dans la position 3 dans laquelle les relais SR et FXY sont débranchés, tandis que le relais FXY termine, après l'écoulement de son délai de retardement à la chute, l'impulsion X et fait tomber le relais CS.
Le relais FC de la figure 5 est alors actionné par l'intermédiaire du banc TS4, il se verrouille et sert a faire avancer pas a pas l'in- terrupteur TS dans la position 4 a partir de laquelle il avance
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lentement pas a pas jusque dans la position 6 sous l'action du potentiel interrompu de la terre qui est appliquée sur le conducteur 11. A partir de ce point, l'appel se fait comme pour un appel d'opératrice tel qu'il a déja été décrit, c'est-a-dire que le relais A entre en action sous l'effet des impulsions de sélection qui sont accumulées par l'intermédiaire de l'interrup- teur distributeur DD dans les interrupteurs DSA à DSD et émises ensuite sous la commande de l'interrupteur d'émission SC sous la forme d'un code à fréquence audible.
Quand on reçoit ensuite de la part de l'extrémité d'entrée éloignée le signal de réponse du correspondant demandé, le relais SA inverse, lorsqu'il entre en action, les connexions du relais A en direction de l'abonné demandeur, pour assurer le contrôle, tandis que le refais SB provoque la transmission vers l'avant, en direction du central éloigné, d'un signal d'accusé de réception sous la forme d'une impulsion X, pour terminer le signal de réponse Y envoyé vers l'arrière et permettre ainsi l'établissement des conditions de conversation.
Si, toutefois, le jeu de relais est occupé à partir d'un circuit comprenant un dispositif de liaison a fréquence audible, mais non pas de régénérateur, par exemple si le jeu de relais dont il s'agit est le jeu ORS2 du central C de la figure l, et si on admet que A-A REP désigne dans le central B un répéteur ordinaire d'impulsions, lors de l'occupation à partir du sélec- teur le potentiel de la terre est alors transmis vers l'avant par l'intermédiaire du conducteur P pour actionner le relais SR qui met l'interrupteur TS en mouvement pour l'écarter de sa position normale, comme cela a été décrit précédemment et qui se verrouille par l'intermédiaire de son enroulement supérieur et des contacts 1 et 2 du banc TS4. L'interrupteur TS actionne, en avançant dans la position 1, les relais CO, BS, CS et FXY.
En entrant en action, le relais SR branche le récepteur VFR à fréquence audible sur les conducteurs de ligne à partir du niveau du sélecteur, les contacts FXY5 et FXY6 servant au mouillage
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des contacts. Une boucle s'établit également en direction de l'avant par l'intermédiaire du sélecteur et actionne les relais A, B et BR à tour de rôle. Le relais FXY applique une fréquence X de 100 millisecondes a titre d'impulsion d'occupation par l'in-, termédiaire de la ligne sur le jeu éloigné IRS2 de relaisd'en- trée dans le central D et provoque en même temps l'avancement automatique pas à pas de l'interrupteur TS jusque dans la posi- tion 3 dans laquellenles relais SR, FXY et CS tombent à leur tour, le relais FXY terminant l'impulsion X après sa période de chute lente.
Toutefois, avant la chute du relais FXY, une im- pulsion à la fréquence Y d'une durée prolongée, de l'ordre de 800 millisecondes, est envoyée vers l'avant, à partir du jeu de relais d'entrée IRS1 du central B, une pareille impulsion à la fréquence Y faisant suite a chaque train d'impulsions à courant continu du jeu de relaiss IRSl, mais étant sans effet avant d'a- voir atteint un jeu de relais de sortie. Par conséquent, le re- lais Y contenu dans le récepteur VFR à fréquence audible entre en action, par conséquent les relais MS et MT sont excités.
Le relais RB de la figure 5 entre alors en action et provoque à son tour la manoeuvre du relais AC de la figure 4 a partir des contacts Bl mis à la terre. En entrant en action, le relais RB inverse sur les contacts RB2 et RB3 de la figure 2 les con- nexions du relais A' sur la ligne d'entrée, et, ainsi que celà sera décrit plus loin à propos des figures 7 et 8, il réalise ies conditions nécessaires a l'établissement de la continuité de la communication dans le jeu de relais d'entrée IRS1 du cen- tral B,.de telle sorte que les renseignements ultérieurs reçus par ce jeu de relais au sujetues numéros des contacts traduits en un code a fréquence audible ne sont pas transformés en une impulsion de bouclage- a courant continu, mais sont transmis directement au central C.
En entrant en action, le relais AC se verrouille sur les contacts AC1, tandis que sur les contacts AC3 de la figure 5 il complète un circuit d'avancement automati- que pour l'interrupteur TS de façon que ce dernier avance jusqu?--,
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dans la position 20, que sur les contacts AC4 il débranche le conducteur 11 donnant le potentiel de terre interrompu, et que sur les contacts AC5 de la figure 3 il met hors service le ré- cepteur VFR a fréquence audible, a la suite de quoi les relais
MS et MT tombent. Lors de l'avancement de l'interrupteur TS jusque dans la position 3, le relais SR se débranche du banc
TS4 et fait ainsi tomber le relais RB, maisle relaisAU resté verrouillé.
Les connexions du relais A avec la ligne sont par conséquent rétablies normalement, tandis que lors de la chu- te du relais SR, le relais CS tombe également, et comme les re- lais BR et CO sont toujours actionnés, les conducteurs d'entrée venant du niveau du sélecteur se continuent tout droit jusque sur la ligne de sortie par l'intermédiaire de la bobine de ré- péteur RPC1. Lorsque les relais A, B, BR, CO, BS et Au sont actionnés et que l'interrupteur TS est dans la position 20, les autres renseignements à fréquence audible relatifsaux nu- méros des contacts sont transmis d'une façon directe du central
A au central D sans aucune transformation en impulsions à courant continu entre les centraux B et C.
Dans le central D, le jeu de relais d'entrée IRS2 transforme le renseignement a fréquence audible reçu au sujet des numéros des contacts en un train d'impulsions à courant continu, afin d'actionner un ou plusieurs interrupteurs automatiques de manière a donner accès a l'abonné demandé dans ce central. Les signaux suivants de contrôle sont également transmis dans les deux sens sur la base d'une transmission a fréquence audible d'une extrémité à l'autre.
En ce qui concerne maintenant le jeu de relaisd'entrée des figures 7 et 8, ce jeu peut être utilisé comme jeu de re- lais IRS1 ou IRS2 dans les centraux B ou D.
On supposera tout d'abord qu'il représente les circuits du jeu de relais IRS1. Quand on le met alors en service au moyen d'une impulsion d'occupation à la fréquence X, le relais IX ,(qui n'est pas représenté mais qu'on supposera disposé dans le
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récepteur à lampe 1VFR) entre en action et provoque la manoeu- vre du relais XR. Sur les contacts XR4, le relais XR actionne le relais L qui se verrouille et provoque la manoeuvre du relais
PY et applique en même temps un potentiel de terre en direction de l'avant par l'intermédiaire du conducteur P sur le sélecteur d'entrée IS1 (figure 1) dans le cas où cela serait nécessaire.
Lors de la terminaison de l'impulsion X, le relais IX tombe et fait tomber le relais XR qui actionne le relais NN. Ce relais
NN met ensuite le conducteur P allant au sélecteur a la terre,il actionne le relais IL par l'intermédiaire de la ligne négative en série avec le relais acceptant les impulsions du sélecteur, et actionne également le relais GX, à la suite de quoi le relais
PY est verrouillé, Par conséquent, les relais L, PY, NN, IL et
GX sont maintenus actionnés dans cette phase du fonctionnement.
Lorsque le jeu de relais de sortie ORS1 du central
A transmet l'impulsion préparatoire de 160 millisecondes à la fréquence WY ou WZ, comme cela a été décrit, les relais 1W et ou 1W IYet 1Z entrent en action dans le récepteur 1VFR du jeu de re- lais d'entrée et provoquent la manoeuvre de leurs relais de ré- tablissement WR et YR ou WR et ZR. Suivant que c'est l'un ou l'autre des deux signaux préparatoires caractéristiques des con- tacts 1 à 5 ou 6 à 0 que l'on transmet, le relais CL est actionné seul, ou bien on actionne simultanément les relais CL et CH.
Dans l'un et l'autre cas, la terminaison de ligne, qui comprend normalement les résistances YM et YN en parallèle, YP, YS et YT en parallèle, l'impédance de la bobine de répéteur RPC2 étant suffisawment grande pour être négligée cette fois, est transfor- mée en un circuit de pertes comportant un affaiblissement consi- aérable qui empêone le passage des signaux a fréquence audible au-delà du jeu d'entrée.
L'impulsion préparatoire de 160 millisecondes, est sui- vie de l'impulsion,'d'une durée de 100 millisecondes, correspon- dant à -La traduction en code au numéro du contact, les relais
CL et CH se maintenant actionnés, s'ils sont excités, au cours
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duncourt@intervalle de temps qui sépare les impulsions, en rai- son de leur retard a la chute.
Si on admet que le premier con- tact est -Le contact 1, le relais CL est actionné en réponse a une impulsion préparatoire WY par l'intermédiaire des contacts YR2, WR2, IR2, Il et NN1 et de la terre, et il prépare un circuit pour le relais CB qui a ce moment est court-circuité.
Quand l'impulsion préparatoire est remplacée par le signe de code W pour le contact 1, le relais WR se maintient et le relais YR tombe, et le relais CB entre par conséquent en action en série avec le relais CL qui maintenant se maintient, En entrant en action, le relais CB verrouille le relais WR pour l'accumulation du numéro du contact, et ce relais se prépare, par l'intermé- diaire des contacts WR4 de la figure 8, qui font partie d'une pyramide appropriée de contacts, au branchement du potentiel de la terre sur le contact 2 du banc SS2 de l'interrupteur d'émis- sion SS en vue de terminer l'émission après qu'une impulsion a été transmise au sélecteur d'entrée, comme cela va ressortir de la description qui va suivre.
La pyramide de contacts des relais de code WR à ZR se prépare au branchement du potentiel de terre de repérage sur le banc de l'interrupteur d'émission SS2 pour commander l'émission du numéro de contact intéressé. La partie particulière du banc SS2 qui, à un instant donné, doit entrer en action se détermine en. fonction du contact intéressé au moyen du relais CH entré, en action ou.resté dans sa position normale. Si le contactin- téressé est du groupe des contacts 1 à 5, le relais CH reste dans sa position normale, et un potentiel de terre de repérage se prépare sur l'un des cinq contacts 2 à 6 par l'intermédiaire des contacts SZ1 et CH2, et lorsqu'on met en mouvement l'inter- rupteur SS, la tension de repérage s'applique par l'intermédiaire du banc SS3 lorsque le balai.
SS3 atteint la position 2, ce balai étant mis à la terre par l'intermédiaire de contacts MA7 et MN4 et de la terre. Si le contact intéressé appartient au groupe des contacts de 6 à 0, auquel cas le relais CH est alors actionné,
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la terre de repérage se prépare sur les contacts 7 à Il du banc SS2 par l'intermédiaire des contacts SZ1 et est ensuite appliquée par l'intermédiaire du banc SS3 lorsque le balai SS3 atteint la position 7. Dans le cas présent, où le contact intéressé est le contact 1, c'est le relaisWR qui est actionné tandiss que le relais CH reste dans sa position normale, de sorte qu'il se pré- pare un potentiel de terre de repérage sur le contact 2 du banc SS2.
En ce qui concerne, de nouveau, le fonctionnement du relais CB en série avec le relais CL, lors du fonctionnement du relais OB le potentiel de terre s'applique pour la manoeuvre du relais CY par l'intermédiaire des contacts CL5, CB5, NN3 et L3, tandis que le relais P est également actionné et se ver- rouille. Sur les contacts P4, le relais P prépare un circuit pour le relais 1 de contrôle 'de la ligne, tandis que le relais CY court-circuite, en entrant en action, son enroulement infé- rieur, pour tomber lentement, tandis que sur les contacts CY3 il prépare un circuit pour la transmission vers l'avant de la fréquence Y, et que sur les contacts CY2 il actionne le relais CC.
Les relais CB et CC étant actionnés, un circuit se com- plète pour le relais IG de la figure 8, lequel entre en action' lorsque les ressorts d'impulsion 66% M s'ouvrent ensuite. Sur les contacts IG3, le relais IG fait tomber le relais IL et trans- fert sur les ressorts 33% M le circuit d'occupation vers l'avant d'un sélecteur, précédemment fermé par le relais NN sur les con- tacts NN5. Les ressorts 33% M sont fermés à cet instant, étant donné qu'ils sont actionnés d'une manière contraire de celle des ressorts d'impulsions d'électro-aimant 66% M qui viennent justement d'être ouverts pour assurer la manoeuvre du relais IG.
On remarquera que les'ressorts d'impulsion 33% M sont normalement court-circuités par l'intermédiaire du balai SS1 dans sa position. de repos, de sorte que, lorsque les ressorts
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d'aimant 66% M se ferment ensuite pour exciter 1'électro-aimant SSM de l'interrupteur SS, l'ouverture des ressorts 33% M est sans effet. Lors de l'ouverture consécutive des ressorts 66%,M, l'é- lectro-almant SSM cesse d'être excité, et les balais de l'inter- rupteur SS sont avancés de ce fait jusque dans la position 1 dans laquelle les ressorts 33% M exercent alors leur action, mais sont fermés a cet instant particulier.
Lors de la fermeture suivante des ressorts 66% M, les ressorts 33% s'ouvrent pour émettre la première impulsion, et lors de l'ouverture suivante des res- sorts 66% M qui provoque l'avancement dans la position 2 dos ba- lais de l'interrupteur SS, les ressorts 33% M se referment pour terminer la coupure d'interruption de la première impulsion.
Dans ce cas, le contact dont il s'agit est le contact 1, de sorte que le balai SS2 qui se trouve dans la position 2 recueille un potentiel de terre de repérage par l'intermédiaire des contacts WR4 qui sont actionnés, et le relais SZ entre en action et boucle sur les contacts SZ2 les conducteurs de ligne de sortie pour ter- miner le train d'impulsions sortant. Sur les contacts SZ1, il com- plète un circuit de verrouillage pour lui-même par l'intermédiaire du banc et du balai SS3, tandis que sur les mêmes contacts il supprime le court-circuit du relais PR qui entre en action en série avec le relais SZ qui se maintient, tandis que, sur les contacts SZ3, un circuit d'avancement automatique se complète pour 1'électro-aimant SSM, par l' intermédiaire du balai et du banc SS4.
En entrant en action, le relais PR se prépare, sur les contacts PR1, pour le branchement du relais DT polarisé du redresseur en travers de la ligne-de sortie, tandis que sur les contacts PR2, il complète un circuit de maintien secondaire pour le relais CY, que, sur les contacts PR4 (figure 7), il fait tom- ber les relais CB et CL, a la suite de quoi les relais WR et IG tombent, et que sur les contacts PR5 il assure le branchement de la fréquence Y sur le transformateur VFT2.
En tombant, le relais CB branche, sur les contacts CB6 de la figure 8, le relais polarisé DT aux bornes des conducteurs de sortie, la résistance
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YV évitant toute tendance de la part du sélecteur de tomber au cours de cette manoeuvre de commutation, et permettant eh même temps a la fréquence Y d'être branchée du transformateur VFT2 sur la ligne négative de sortie par l'intermédiaire du condensa- teur QH, des contacts rRl, CB6, SZ2 et NN6, et sur la ligne positive de sortie par l'intermédiaire des contacts rR6 et du condensateur QG.
La fréquence Y transmise vers l'avant se propage sans exercer d'effet sur le sélecteur d'entrée IS1 qui, maintenant, a été réglé sur le niveau 1 et, lorsque ce sélecteur recueille ultérieurement après une manoeuvre de balayage sur ce niveau un répéteur automatique-automatique de sortie libre, comme le répéteur A-A REP (figure 1), la fréquence Y qui persiste pendant un temps de l'ordre de 800 millisecondes, ainsi que celà sera décrit plus loin, s'applique sur le répéteur automatique- automatique.
C'est de nouveau sans effet que cette manoeuvre s'accomplit, étant donné qu'on ne désire pas encore réaliser la continuité de là communication sur le jeu de relais d'entrée, par conséquent aucun signal envoyé en retour, sous la forme de renversement de la batterie, et qui terminerait la transmission de la fréquence Y et établirait la continuité de la communication n'est envoyé en retour sur le jeu de relais d'entrée. Le relais .. polarisé DT qui entrerait en action sous l'effet d'un tel signal ne fonctionne donc pas dans ces conditions.
Lorsque l'interrupteur SS, en exécutant sa manoeuvre d'avancement automatique, atteint la position 12, le relais SR entre en action en série avec l'électro-aimant $ssm qui, à ce mo- ment, ne peut pas agir. Le relais SR court-circuite son enroule- ment de gauche à grande résistance et permet a l'interrupteur d'avancer pas a pas jusque dans la position 13. Lorsque cette manoeuvre s'est accomplie, le relais SR tombe et complète, sur les contacts sr1, un circuit d'avancement de l'interrupteur jus- que dans la position 14. Cette manoeuvre continue jusqu'à-ce que l'interrupteur atteigne la position 22 dans laquelle le relais PR est -débranché et tombe pour terminer la transmission de la
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fréquence Y après une durée d'application de l'ordre de 800 millisecondes.
Lors de la chute du relais PR, les contacts PR3 complètent un circuit servant à rappeler l'interrupteur SS, a la suite de quoi le relais SZ tombe, puis le relais IL entre en action a nouveau par l'intermédiaire du conducteur négatif. En tombant, le relais PR fait également tomber le relais CY lequel fait tomber le relais CC. Les relais L, PY, MN, IL, GX et P restent actionnés.
Lors de la réception de la traduction en code à fré- quence audible du numéro de contact suivant, qu'on supposera être le contact 6, les relais CL et CH sont d'abord actionnés et en- suite verrouillés en série avec le relais CB, tandis que le re- lais WR est de nouveau excité. Le relais CB provoque la manoeuvre des relais CY et CC, et le relais IG entre alors en action pour amorcer l'émission du numéro 'du contact sous la forme d'une im- pulsion à courant continu. Dans ce cas, par suite du fonctionne- ment du relais CH, aucun circuit ne se complète par l'intermé- diaire des contacts 2 à 6 de l'interrupteur SS, aussi le potentiel de terre de repérage n'est--).! pas transmis au banc SS2 avant que l'interrupteur atteigne la position 7 dans laquelle le relais SZ entre en action et se maintient en série avec le relais PR qui, à ce moment, entre également en action.
Tout comme précédem- ment, le relais PR, en entrant en action, provoque la chute des relais CB, CH, CL, WR et IG, il branche le relais DT en travers des conducteurs de sortie et applique 1'impulsion a fréquence Y vers l'avant. Le relais SZ fait avancer l'interrupteur SS auto- matiquement jusque dans la position 12 a partir de laque), le il entre en action par une manoeuvre d'interaction avec le relais SR jusque dans la position 22 pour régler la durée de l'impulsion a fréquence Y envoyée vers l'avant.
La seconde série d'impulsions sera répétée par le répé- teur A-A REP (figure 1) automatique-automatique et actionne alors le sélecteur d'entrée IS2 du central C, qui occupe alors un jeu
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de relais de sortie ORS2, comme le montrent les figures 2 à 5.
Par suite de la transmission de la fréquence Y vers l'avant, à la suite du train d'impulsions à courant continu pour le con-. tact 6, le jeu de relais ORS2 inverse momentanément la batterie vers l'arrière par l'intermédiaire de la ligne allant au répé- teur A-A REP automatique-automatique du central B où cette ma- noeuvre est répétée en retour en direction du jeu de relais d'entrée et provoque la manoeuvre du:relais DT.
En entrent en action, le relais DT se verrouille par l'intermédiaire de ses propres contacts DT1, tandis que sur les contacts DT2 il court- circuite le relais PR, que sur les contacts DT3 il court-cir- cuite le relais SR et réalise un circuit de rappel rapide pour l'interrupteur SS, que sur les contacts DT4 (figure 7) il ac- tionne localement le relais IL et que sur les contacts DT5 il provoque la manoeuvré du relais IR. En tombant, le relais PR provoque la chute des relais CR et CC à tour de rôle, tandis que le relais SZ tombe également lorsdu rappel de l'interrupteur SS.
En entrant en action; le relais IR met hors service, sur les contacts IR1, le circuit de perte, tandis que sur les con- tacts IR2 il met hors service le circuit qui entre en action sous l'effet du signal de code et comprenant les relais CL, CH et UB, de manière a éviter que les signaux ultérieurs de code a fréquence audible exercent un effet sur le jeu de relais d'en- trée, et que sur les contacts IR3 il fait tomber le relais L.
Les relais PY, NN, IL, Gx, P, DT et IR restent action- nés, et ultérieurement, quand on reçoit le troisième signal de code u fréquence audible et n'importe quels autres signaux ultérieurs, quoique les relais WR à ZR entrent en action les re- lais CL, CH et UB n'entrent pas en action, et le circuit de perte n'est pas mis en service dans le circuit de la ligne, de sorte que les signaux à fréquence audible sont transmis direc- rement par l'intermédiaire de la bobine de répéteur RPC2 vers le côté de sortie du circuit, d'où ils se propagent par l'inter- médiaire du sélecteur IS1 du central B et du répéteur automati-
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que-automatique A-A REP de ce même central et par l'intermédiai- re du sélecteur IS2 d'entrée du central C, pour aboutir au jeu de relais de sortie ORS2.
Le jeu de relais ORS2 sera entré en action sous l'effet de la fréquence Y transmise vers l'avant, comme cela a déja été décrit a propos des figures 2 a 5, de telle sort: qu'il offre un circuit direct, et par conséquent le troisième ainsi que n'importe lequel des signaux suivants a fréquence audible de code sont transmis directement a partir du jeu de relais de sor- tie ORS1 du central A au jeu de relais d'entrée IRS2 du central D.
ue jeu de relais peut être consiaéré comme identique a celui des figures 7 et 8, et lorsqu'il a transformé le renseignement reçu en un code à fréquence auuible en des impuisions à courant continu pour actionner le sélecteur en vue d'avoir accès à l'abonné demandé dans ce central, il envoie vers l'avant de la même manière que le jeu de relaisIRS1 une longue impulsion à la fréquence Y qui n'exerce auuun effet, de sorte que le relais DT de ce jeu n'entre pas en action. Les relaie L, rY, NN, IL, GX et P restent par conséquent actionnés dans le jeu de relais IRS2, tandis que chez l'abonné désiré la sonnerie retentit.
Lorsque le correspondant désiré répond, le relais I du jeu IRS2 de relais du central D entre en action par l'intermé- diaire du conducteur positif, et le relais IL tombe. En entrant en action, le relais I provoque la manoeuvre du relais IR qui débranche le relais L, et lors de la chute de ce relais le relais MA entre en action. Le relais MA prépare un circuit pour le branchement de la fréquence Y sur le transformateur de ligne VFT2 (figure 7), il branche le secondaire de ce transformateur sur la ligne de jonction entrante, il branche le relais CY sur le banc SS1 (figure 8) et, sur les contacts MA7, complète un circuit d'avancement automatique pour l'interrupteur SS.
Au cours des sept premiers pas de cet interrupteur, le relais CY est actionné à partir de la terre par l'intermédiaire du balai et du banc SS1, par conséquent la fréquence Y est transmise
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en retour par l'intermédiaire de la communication établie, tandis qu'au. cours des dix-huit pas restants, le relais CY n'est pas actionné, par conséquent avec le réglage normal per- mettant a l'interrupteur de faire cinquante pas à la seconde, cela représente l'affectation, au signal a fréquence Y, d'une durée de 140 millisecondes et d'intervalles de séparation de 360 millisecondes. Tant que le relais MA reste actionné, l'in- terrupteur continue d'avancer automatiquement.
Dans le jeu de relais de sortie ORS2 du central C, où les relais A, B, BR, CO, BS et AC sont maintenus actionnés à cet instant, et où l'interrupteur TS est dans la position 20, le récepteur a fréquence audible entre en action sous l'effet de la fréquence Y, mais par suite de ce que le relais AC de ce jeu de relais est actionné, l'excitation du relais de la fré- quence Y ne produit aucun effet, et le signal se transmet directement.
Il traverse aussi directement le répéteur automatique- automatique et le jeu de relais d'entrée IRS1 du central B, où les relais PY, NN, IL, GX, P, DT et IR sont maintenus actionnés en fonction du jeu de relais 'de sortie DRS1 du central A. Dans ce jeu de relais, le relais AC n'est pas actionné, les relais M, MM, CO, BS, FC et LR étant actionnés, et l'interrupteur TS étant dans la position 6, tandis que l'interrupteur DD occupe sa position moyenne, de sorte que' la première impulsion a la fréquence Y excite les relais MS et MT après la chute de BS.
Au cours de la période suivante de coupure, le relais MS tombe de sorte que lors de la réception de l'impulsion suivante, le relais SA est actionné et qu'à la fin de cette impulsion le relais SB entre en action en série avec le relais SA,
Le fonctionnement du relais SA donne à l'opératrice le contrôle habituel de réponse, et le relais SB excite le relais AA et rappelle l'interrupteur distributeur DD dans sa position de repos. Au cours de cette période de temps, une impulsion à la fréquence X, d'une durée de 440 millisecondes., est envoyée
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vers l'avant et se propage directement le long de la communica- tion jusqu'au jeu de relais d'entrée du central D où elle ac- tionne le relais R.
Le relais GX tombe par conséquent en raison de la longueur de la durée de la coupure de son circuit par les contacts XR4, tandis que le fonctionnement du relais GY réalise un circuit de verrouillage pour le relais PY. Le relais PY tombe a la fin de l'impulsion X, et fait tomber a son tour le relais MA qui, ensuite, termine la transmission de l'impulsion Y inter- rompue. Le relais GX, qui entre en action a la fin de l'impul- sion X, sert cette fois uniquement a la protection contre les fausses manoeuvres par les fréquences X parasites dans la ligne.
La communication est alors complètement établie, et la conversation peut avoir lieu, et il est bon, dans cette phase du fonctionnement, de passer en revue l'état des circuits obtenu dans les différents jeux de relais qui sont les suivants :
Dans le jeu de relais IRS2, les relais NN, GX, P, I et IR sont ac ti onnés.
Dans le jeu de'relais ORS2, les relais A, B, BR, GO, BS et Au sont actionnés et l'interrupteur TS st dans la position 20.
Dans le jeu de relais IRS1, les relais rY, NN, GX, P, IL, DT et IR sont actionnés.
Dans le jeu de relais ORS1, les relais M, MM, CO, BS, FC, LR, SA et SB sont actionnés, et l'interrupteur TS est dans la position 6.
On peut faire ressortir que si l'abonné demandé répon- dait immédiatement, sa sonnerie commencerait a retentir, et, on peut imaginer que le renversement de la polarité de la bat- terie a partir du sélecteur final du central D peut être reçu par le jeu de relais d'entrée IRS2 du central D avant la fin de la fréquence Y qui est transmise vers l'avant a la fin de chaque train d'impulsions sortant. Dans ce cas, le relais DT serait actionné alors qu'il est encore branché par les relais PR et SZ.
Ainsi que cela a été exposé ci-dessus, en entrant
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en action le relais DT court-circuite et fait tomber le relais PR, il réalise un circuit de rappel rapide pour l'interrupteur SS, il maintient le relais IL indépendamment de la ligne de sor- tie, et provoque la manoeuvre du relais IR.
En tombant, le re- lais PR fait tomber les relais CY et CC à tour de rôle, tandis qu'en entrant en action le relais IR établit la continuité de la communication et fait tomber le relais L. Toutefois, lors de la chute du relais SZ et lorsque l'interrupteur SS atteint sa position de repos, le refais I est actionné, étant donné que le renversement de la batterie persiste et qu'en entrant en action le relais I ouvre le circuit de verrouillage du relais DT, à la suite de quoi le relais IL tombe et complète le circuit pour le relais mA pour amorcer le retour du signal de réponse, formé par une fréquence Y interrompue, de l'abonné vers l'extrémité par laquelle a commencé l'établissement de la communication.
Quand le correspondant désiré raccroche, les connexions de la batterie avec la ligne redeviennent normales dans le sélec- teur final du central D, et dans le jeu de relais IRS2 le relais IL est actionné à nouveau, tandis que le relais I tombe. En tom- bant, le relais 1 fait tomber, sur les contacts Il, le relais IR et complète de nouveau un circuit d'excitation pour le relais MA qui est tombé sous l'effet du signal, d'accusé de réception pro- venant de l'extrémité d'émission, et en entrant en action ce relais provoque la transmission de la fréquence Y interrompue de la manière ci-dessus décrite, ce signal constituant maintenant un signal de coupure de l'abonné demandé.
Ce signal est reçu par le jeu de relais de sortie ORS1 dans le central A et provoque la manoeuvre des relais MS et MT comme précédemment, mais comme, à cet instant, les relais SA et SB de ce jeu sont déjà actionnés, le relais SY est maintenant excité et fait tomber le relais SA pour donner à l'opératrice le signai de contrôle de la coupure. Le relais SY est suffisam- ment lent pour rester actionné au cours de toute la période de coupure, tandis que le relais SZ de la figure 3, qui est ac-
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tionné par le relais SY, fournit la garantie qu'un contrôle correct est donné si l'abonné retire de nouveau son écouteur avant que la communication ait été coupée.
En pareil cas, la cessation des impulsions Y provoque la chute du relais SY et l'entrée en actions nouveau du relais SA au cours de la période de chute lente du relais SZ, en vue de bloquer ce relais en sé- rie avec le relais SB pour rétablir les conditions de conversa- tion.
.En recevant l'indication de la coupure par la lampe de contrôle de l'appel, l'opératrice retire la fiche du jack, a la suite de quoi les relais M et MM tombent, ce dernier relais faisant tomber le relaisLR. Lors de la chute du relaisMM, l'interrupteur TS est avancé de la position 6 a la position 7, à la suite de quoi les relais SR et BR entrent en action en série. En entrant en action, le relais SR fait entrer en action à nouveau-le relais CS et ces relais provoquent ensemble la propagation vers l'avant d'un signal a la fréquence x par l'in- termédiaire de la communication, et pendant ce temps les relais SY et SZ tombent.
Comme le relais SB est actionné l'interrupteur TS continue d'avancer automatiquement de la position 7 à la po- sition 15, par l'intermédiaire du banc TS3, puis il avance pas à pas au moyen de la tension interrompue de terre jusque dans la position 19 sur le banc TS5. Le relais FXY est ensuite ac- tionné par l'intermédiaire du banc TS4 et sert. à débrancher la fréquence 7, après une durée d'application de deux secondes, et a appliquer la fréquence Y sur la ligne. En avançant jusque dans la position 19, l'interrupteur fait tomber les relais SR et BR, et lors de leur chute l'interrupteur est avancé jusque dans la position 20 sur le banc TS3, à la suite de quoi le relais FXY tombe pour terminer la fréquence Y, et il fait également tomber le relais CS.
A partir de la position 20, l'interrupteur TS avance automatiquement jusque dans la position 23 par l'inter- médiaire du banc TS3, puis il avance pas à pas lentement sous l' action de la terre interrompue par-dessus le banc TS5 qu'il
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balaye entièrement pour gagner sa position de repos dans laquelle les relais CO, SB et FC qui ont été maintenus par l'intermédiaire du banc TS1, tombent.
Dans le jeu de relaisd'entrée IRS2 du central D, l'im- pulsion X de deux secondes actionne les relais XR et GY et pro- voque la chute du relais GX. Ceci provoque la manoeuvre du re- lais CC et la chute du relais mA ainsi que du relais CY si, a cet instant, il est actionné, de manière a terminer la fréquence
Interrompue Y constituant le signal de coupure qui est transmis en retour à partir de cette extrémité. A la fin du signal à cette fréquence, les relais XR et GY tombent, et le relais CC commence à tomber lentement, par conséquent, au commencement du signal à fréquence Y, les relais YR et CR sont actionnés en- suite l'un à la suite de l'autre.
Le relais CR se verrouille par l'intermédiaire des contacts P2 mis à la terre, et il trans- fert le circuit de maintien pour le relais NN sur l'impulsion
Y et branche également la terre sur le conducteur P qui cons'- tinue vers l'avant vers le jeu d'interrupteurs automatiques du central D. Quand l'impulsion Y est terminée, les relais YR et NN tombent et font tomber les relais P et IL qui ouvrent le circuit de maintien du relais CR. Le circuit de maintien qui va vers,l'avant s'ouvre et le potentiel de la terre est retiré , du conducteur;, r lors de la chute des relais NN et CR, en amor- çant de cette façon la chute du train d'interrupteurs, a la suite de quoi le jeu de relais est prêt pour d'autres appels.
En passant a travers le jeu intermédiaire IRS1 de relais d'entrée du central B, l'impulsion dechute ou de coupure com- posée de la fréquence X de deux secondes et de la fréquence Y de 300 millisecondes actionne l'équipement correspondant pour provoquer la chute de ce jeu de relais de la manière suivante.
Au cours de la conversation, les relais PY, NN, IL, GX, P,
DT et IR restent actionnés, comme cela a été décrit précédem- ment, et lors de la réception de l'impulsion X les relais GY et CC entrent en action, tandis que le relais GX tombe. Quand
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l'impulsion X est terminée, lesrelais XR et PY tombent, et les relais GY et UC commencent a tomber lentement a leur tour.
Quand on reçoit le signal Y envoyé vers l'avant, les relais YR et UR sont actionnés, ce dernier relaistransférant le cir- cuit de maintien pour le relais NN sur l'impulsion Y et mainte- nant la terre sur le conducteur r qui s'étend vers l'avant jus- qu'au train de sélecteurs du central B. Quand l'impulsion Y se termine, les relais YR et NN tombent, ce dernier relais faisant tomber les relas P, IL et IR, a la suite de quoi le relais GR revient dans sa position précédente et fait tomber le relais DT et supprime le potentiel de terre du conducteur P qui s'é- tend juqu'au répéteur automatique-automatique, la boucle allant a ce répéteur ayant été ouverte lors de la chute du relais NN.
1' Cette interruption se répète par/action du répéteur automatique- automatique sur le jeu de relais de sortie ORS2 dans le central C, où les relais A, B, BR, CO, BS et AC sont maintenus actionnés et où l'interrupteur TS est dans la position 20. Le relais A tombe alors et fait tomber à leur tour les relais B et BR. Le, relais AC tombe alors également, et l'interrupteur TS avance pas a pas jusque dans sa position normale par l'intermédiaire des bancs TS3 et TS5, aucun signal n'étant transmis a la ligne pendant ce temps.
Lorsque l'interrupteur TS atteint sa position normale, les relais GO et BS tombent, et le potentiel ae la terre est retiré du conducteur r entrant qui va a ce jeu de re- lais par l'intermédiaire du banc et du balai TS4, à la suite de quoi le train précédent de sélecteurs du central C tombe et que l'ensemble de la communication est alors entièrement coupé.
Dans un jeu de relais d'entrée, et lorsque l'on occupe une ligne de jonction court-circuitée, au moyen d'un sélecteur d'entrée, auquel cas lesrelaisSC et IG entrent en action pour éviter que le court-circuit masque le récepteur à fréquence au- dible, les manoeuvres des circuits sont celles qui ont été dé- crites dans la demande de brevet déposée par la Demanderesse le 17 ao ût 1946 sous le N 362.791.
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Les manoeuvres qui se produisent lorsque l'opératrice qui amorce les manoeuvres raccroche ou coupe lors de l'établissement d'une communication et lorsqu'on établit des appels qui ne doivent pas faire l'objet d'un comptage, comme des appels vers des po- sitions servant a des demandes de renseignements, ont également ' déjà été décrites dans la demande de brevet précitée.
Ci-après va être considéré le cas dans lequel la commu- nication comprend un ou plusieurs dispositifs de liaison à cou- rant continu comprenant des régénérateurs, par exemple le cas où, dans la figure 1, le répéteur automatique-automatique A-A
REP comprend un régénérateur, de telle sorte qu'il n'est pas pos- sible de transmettre une impulsion d'un bout à l'autre, auquel cas il est important que la signalisation de contrôle de la part du correspondant demandé ait lieu en cascade, Si on suppose qu'a- vec un régénérateur dans le répéteur A-A REP une communication a été établie comme le montre la figure 1, cela signifie que les conditions pour la continuité d'une communication n'ont pas étéréalisées dans les jeux de relais IRSI et ORS2,
de sorte que dans les deux jeux de relais ORS1 et ORS2 le relais Au est dans sa position normale et que l'interrupteur TS est dans la position
6, et que dans les deux jeux de relais IRS1 et IRS le relais
DT est dans sa position normale.
En conséquence, quand l'abonné demandé répond, le signal
Y interrompu transmis en retour par le'jeu de relais IRS2 vers
ORS2 actionne les relais MS, MT, SA et SB et, en entrant en ac- tion, le relais MT provoque la manoeuvre du relais CS pour l'ou- verture du circuit de signalisation et pour éviter de cette fa- çon qu'une impulsion suffisamment longue du signal à la fréquence Y soit transmise en retour plus loin que le central B, En entrant en action, le relais SB amorce la transmission vers l'avant du signal d'accusé de réception constitué par la fréquence X, l'in- terrupteur DD revenant à sa position de repos en partant de la position qu'il occupait à ce moment, tandis qu'en entrant en
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action,
le relais SA inverse la tension do la batterie en direc- tion de l'arrière par l'intermédiaire du dispositif de liaison courant cantinu, ce qui provoque, après la répétition par A-A REP, la manoeuvre du relais 1 et -La chute du relais @@ dans le jeu de relaisIRSI du central B.
Dans ce jau de relais IRS1, le relais 1 provoque, en entrant en action, la manoeuvre du relais IR qui débranche le relais L et, lors de la chute de ce relais, le relais MA entre en action pour transmettre en retour vers le central A la fré- quence Y interrompue. Dans le jeu de relais IRSI les signaux constitués par la fréquence Y interrompue ne peuvent se propa- ger vers l'avant, par suite de la -manoeuvre du relais MA, tandis que dans le jeu de relais de sortie initial ORS1 ils ne peuvent se propager davantage vers l'arrière, par suite de la manoeuvre du relais CS. En conséquence le jeu de relais de sortie ORS1 transmet vers l'avant le signal d'accusé de réception constitué par la fréquence X, pour terminer l'émission de la fréquence Y interrompue par le jeu de relais IRS1.
Les relais actionnés dans les conditions de conversation désormais réalisées peuvent être énumérés d'une manière abrégée de la façon suivante.
Dans le jeu de relaisIRS2, ce sont le relais NN, GX, P, I et'IR qui sont actionnés.
Dans le jeu de relais ORS2, ce sont les relais A, B, BR, CO, BS, FC, SA et SB. L'interrupteur TS est dans la position 6.
Dans le jeu de relais IRS1, ce sont les relais NN, GX, P, I et IR qui sont actionnés.
Dans le jeu de relais ORS1, ce sont les relais M, MM, CO, BS, FC, IR, SA et SB qui sont actionnés. L'interrupteur TS est dans la position 6.
Des considérations semblables s'appliquent lorsque l'abonné demandé raccroche, auquel cas le relais I, en tombant, dans le jeu de relais IRS2, complète à nouveau un circuit d'exci-
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tation pour le relais MA, et ce relais provoque la transmission vers l'arrière, en direction du jeu de relais ORS2 , de la fré- quence Y interrompue.
Dans le jeu de relais ORS2, les relais mS et mT entrent en action, mais comme à cet instant, les relais SA et SB de ce jeu de relais sont déjà actionnés, le relais SY est maintenant excité et fait tomber le relais SA pour rétablir le potentiel inversé appliqué sur le jeu de relais d'entrée IRS1 quand l'a- bonné demandé répond. Le relais SY reste maintenu sur la fré- quence Y interrompue, par le jeu de relais IRS2.
Au jeu de relais IRS1 s'appliquent des considérations semblables à celles qui ont été faites au sujet du jeu de re- lais IRS2 et une. fréquence interrompue Y est émise en direction du jeu de relais ORS1, où les relais MS, MT et SY sont actionnés et où le relais SY est manoeuvré et reste actionné par le signal constitué par la fréquence Y interrompue provenant du jeu de: relaisIRS1.
Quand l'opératrice coupe, un signal constitué par la fréquence X appliquée pendant 2 secondes, et un signal consti- tué par la fréquence Y appliquée pendant 300 millisecondes sont transmis vers l'avant en direction du jeu de relais IRS1 où les reiais XR et GY entrent en action, le pemier de ces relais faisant tomber le relais GX, qui, ensuite,.-provoque la manoeu- vre du relais CC et fait tomber les relais MA et CY pour termi- ner le signal, constitué par la fréquence Y interrompue, qui est transmis à partir de ce jeu de relais.
Lors de la chute du relais MA, LE reste de l'impulsion X de deux secondes continue vers l'avant en direction du jeu de relais ORS2 où il est sans effet et se propage jusque sur le jeu de relais IRS2 dans lequel les relais XR et GY sont actionnés, tandis que le relais GX tombe, que le relais GC est actionné et que les relais MA et
CY tombent pour terminer la fréquence Y transmise en retour en direction du jeu de relais ORS2. Sous l'effet de la partie constituée par la fréquence Y, du signal de coupure de l'opéra-
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.trice, les jeux.de relais IRS1 et IRS2 reviennent ensuite dans leur position normale de la manière déja décrite, et ouvrent les circuits de maintien vers l'avant, pour faire tomber les trains de sélecteurs qui sont maintenus actionnés par ces cir- cuits.
Dans le central B, le répéteur automatique-automatique A-A REP de sortie ouvre ensuite le circuit de maintien vers l'avant du côté de la ligne de jonction a courant continu, de manière a provoquer la chute du jeu de relais ORS2 dans le cen- tral C. Ce jeu de relais provoque ensuite, en tombant, la chute du train de sélecteurs d'entrée dans le central C, et tout l'équipement est alors revenu dans sa position normale.
On voit ainsi que le signal de coupure générale émis à partir de la position de l'opératrice agit sensiblement d'une façon simultanée sur plusieurs sections, sans tenir compte de ce que des régénérateurs sont contenus dans la communication ou non, tandis que lorsque la communication contient des régé- nérateurs, le signal de réponse de l'abonné et les signaux suivants de contrôle, comme le signal de coupure de l' abonné, sont transmis suivant le système de transmission en cascade.
Quoique les dispositifs ci-aessus décrits donnent satisfaction, on se rend compte de ce que plus on peut transmettre de signaux de contrôle suivant le système de bout en bout, plus on écono- mise de temps. Dans ce but, on propose des agencements modifiés des circuits, grâce auxquels la réception du signal de réponse de l'abonné a l'extrémité d'origine amorce le passage a l'éta- blissement des conditions de transmission continue à fréquence audible, de telle sorte que les signaux de contrôle suivants comme le signal de coupure de l'abonné demandé sont transmis suivant le système de bout en bout.
Pour faire ressortir les caractéristiques de cet agen- cement, on se reportera aux figures 9 et 10 qui représentent les modifications qu'il faut apporter respectivement aux jeux de relais de sortie et d'entrée à fréquence audible.
Dans la figure 9, on voit que le récepteur à fréquence
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audible du jeu de relais de sortie est agencé de façon à entrer en action sélectivement sous l'action simultanée des fréquences X et Y, au lieu de la seule fréquence Y comme précédemment, tandis qu'on prévoit un circuit supplémentaire pour le refais AC d'établissement de la continuité de la communication, par l'intermédiaire des contacts spéciaux SA7, BS2 et AA3.
Dans la figure 10, on voit qu'il faut descontacts supplémentaires XR7'et XR8 pour réaliser un circuit de trans- mission continue indépendamment de ce que le relais MA est dans la position de manoeuvre ou dans sa position normale.
Si on se reporte .de nouveau à la figure 1, et qu'on passe en revue les manoeuvres qui se produisent lorsque l'abonné demandé répond par uné communication qui comprend un régénéra- teur, lorsqu'après avoir été transmis en cascade le signal de réponse est répété finalement sous la forme d'une fréquence Y interrompue par le jeu de relais IRS1 du central B en direction vers l'arrière et en direction du jeu de relais initial ORS1 de sortie, le jeu de relais ORS1 transmet ensuite vers l'avant le signal d'accusé de réception a la fréquence X, pour terminer l'émission de la fréquence Y interrompue, par le jeu de relais IRS1.
Avec le jeu de relais ORS1 modifié de la manière repré- sentée dans la figure 9, on voit que le récepteur VFR à fré- quence audible associé peut entrer en action sous l'effet du signal d'accusé de réception constitué par la fréquence X, mais comme le relais AA est maintenu actionné au cours de la manoeu- vre de rappel de l'interrupteur DD qui fixe la durée du signal d'accusé de réception à la fréquence X, les contacts AA3 évi- tent au récepteur à fréquence audible d'exercer un effet sous l'action de la fréquence X.
Dans le jeu de relais d'entrée IRS1, où le relais IX contenue dans le récepteur VFR à fréquence audible entre en action et provoque la manoeuvre du relais XR, ce relais XR a pour effet de terminer de la manière normale l'émission de la fréquence interrompue Y vers le jeu de relais ORS1, par la /7
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chute du relais mA, mais on peut remarquer d'après la figure 10 que dans le cas présent les contacts supplémentaires XR7 et XR8 réalisent ou établissent un itinéraire de traversée immédiat pour le signal d'accusé de réception à la fréquence X provenant du jeu de relais ORS1, de telle sorte que ce signal, qui est déjà reçu par le jeu de relais d'entrée IRS1, se propage éga- lement vers l'avant par l'intermédiaire de la communication jusqu'au jeu de relais de sortie ORS2 du central 0.
Dans ce jeu de relais, le relais, 'qui se trouve dans le récepteur à fréquence audible entre en action et comme, à cet instant, l'accusé de réception à la fréquence X transmis par ce jeu de relais au jeu de relais terminal IHS2 a été complètement transmis, le relais AA est dans sa position normale, par conséquent, en en- trant en action, le relais X du récepteur à fréquence audible provoque la manoeuvre du relais AC, le relais SA étant actionné à cet instant, et le relais BS, qui sert de garde contre les fausses manoeuvres provoquées par les signaux transitoires à la fréquence X, tombe environ 100 millisecondes après l'excita- tion du relais X.
En entrant en action, le relais AC fonctionne comme cela a été décrit ci-dessus, pour mettre le récepteur VFR a fréquence audible hors d'action en ce qui concerne la fréquence Y qui est utilisée pour n'importe lequel des signaux suivants de contrôle, comme le signal de coupure de l'abonné demandé.
L'accusé de réception à la fréquence X, qui est reçu dans le jeu de relais de sortie ORS2, se propage également vers l'avant et vers le jeu de relaisd'entrée mais comme cedernier jeu de relais est déjà entré en action sous l'effet d'un signal d'accusé de réception à la fréquence X provenant du jeu de re- lais ORS2, la réception d'un second signal d'accusé de récep- tion reste sans effet.
Lorsque, ultérieurement, l'abonné demandé raccroche, le signal de coupure constitué par la fréquence Y interrompue est transmis par le jeu de relais IRS2. Comme le récepteur à fréquence audible du jeu de relais ORS2 est mis hors service, en ce qui concerne la fréquence Y, cette fréquence s'applique
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par conséquent directement en retour par la communication sur le jeu initial de relais de sortie ORS1 où il agit comme cela a été décrit ci-dessus pour donner un signal de coupure à l'opé- ratrice, Quand l'opératrice coupe, la coupure de l'équipement s'accomplit comme cela a déjà été décrit pour une communication à transmission de bout en bout.
REVENDICATIONS
1. Dispositif téléphonique ou analogie utilisant des courants à fréquence audible pour la transmission des signaux de contrôle et pour la commando du réglage sélectif d'interrupteurs automatiques, caractérisé en ce que le fonctionnement transitoire comportant la transmission directe de signaux a fréquence audi- dle se produit si un signal d'essai à fréquence audible'. qui est transmis vers l'avant à la fin de chaque train d'impulsions à courant continu, donne naissance en réponse à un signal caracté- ristique transmis vers l'arrière.