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" Disposition pour installations téléphoniques automatiques"
L'invention concerne des installations téléphoniques automatiques comportant plusieurs centraux dont les numéros d'abonnés rentrent dans une série oonmune de numéros dans laquelle des chiffres différents pour les centaines, les milles, eto... sont donnés aux différents centraux suivant la grandeur de l'installation. Dans les installations de ce genre les différents centraux sont généralement reliés en- ,tre eux par des lignes de communication de façorque chaque oentral puisse établir des communications avec chacun des au- tres centraux par l'intermédiaire d'un nombre correspondant de groupes de lignes de communication reliantpar conséquent les différents oentraux directement entre eux.
Toutefois, pour des raisons d'ordre économique, cette disposition des lignes de oonnexion n'est pas pratique, en particulier dans les installations téléphoniques rurales ù les différents oentraux sont trés distants les uns des autres, ce qui fait que le prix des lignes de communication peut devenir oonsi- dérable. C'est pourquoi on s'efforce de réduire autant que possible le nombre des lignes de communication en assurant
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le service entre des centraux déterminés en passapt par d'autres centrauxéintermédiaires. Cette disposition exige d'autre part certaines modifications au fonctionnement auto- matique des opérations de couplage, parce que la sélection des différents centraux ne peut plus avoir lieudans l'or- dre numérique naturel.
L'invention a pour but de créer un système pour le service entre différents centraux d'une instal- lation du type décrit et elle concerne en particulier des systèmes téléphoniques dans lesquels les communications de conversation entre différents centraux sont établies sous le contrôle d'appareils qu'on appellera des enregistreurs.
L'invention estoaraotérisée essentiellement par le fait que l'enregistreur surveillant les opérations de oouplage est aotionné, en cas d'appel d'un autre central passant par un ou plusieurs centraux intermédiaires, de façon à répé ' ter les impulsions de commande servant à sélecter les dif- férents oentraux, tandis que la communication entre un cen- tral et l'autre est transmise successivement par l'intermé- diaire de séleoteurs de direction montés aux centraux in- termédiaires et mis en position sous le oontrôle de l'enre- gistreur du oentral appelant.
Les sélecteurs de direction sont montés de façon à pou- voir passer la communication sélectivement en partie à un ou plusieurs autres oentraux et en partie au commutateur télé- phonique automatique de leur propre central, l'enregistreur étant actionné dans le premier cas de façon à répéter les impulsions de contrôle oorrespondant au numéro du central désiré , et dans le dernier cas de façon à surveiller la mise en position des séleoteurs dans le commutateur téléphonique automatique en concordance aveo le numéro de l'abonné dé- siré.
Dans les dessins annexés :
Fig. 1 est un schéma de prinoipe représentant les par- ties les plus essentielles d'une installation téléphonique
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conforme à l'invention et comportant les trois centraux au- tomatiques A, B, C et un oentral manuel D,
Fig. 2 représente deux réoepteurs d'impulsion TR1 et TR2 de l'enregistreur de transit TM faisant partie du cen- tral A et assurant le serviee de transit,
Fig. 3 représente deux réoepteurs d'impulsions RE1 et RE2 des enregistreurs de repérage M faisant partie du cen- tral A,
Figs. 4 et 5 représentent des réoepteurs d'impulsions analogues TR1 et TR2, RE1 et RE2 de l'enregistreur de transit TM faisant partie du oentral B ou de l'enregistreur de repérage M' faisant partie du même central,
Figs.
6 et 7 représentent des récepteurs d'impulsions analogues au oentral C, ce central C étant supposé aussi comporter un groupe detransit, ce qui toutefois n'est pas nécessaire dans l'installation représentée en Fig. 1 (Ce groupe est supprimé en Fig. 1 , mais au besoin il peut aussi être monté dans le central C comme dans les autres oentraux),
Fig. 8 à 13 sont des sohémas de circuits individuels représentant l'établissement de communications téléphoni- ques à l'intérieur d'un central aussi bien qu'entre un cen- tral et un autre :
Fig. 8 montre le groupe de transit du oentral A avec ses chercheurs TS, TV, l'enregistreur TM et les chercheurs IFV, IFS et UFS, UFV qui assurent le service venant d'un autre oentral ou partant vers un autre central,
Fig. 9 montre les chercheurs AS, SV, SS et LV faisant partie du commutateur téléphonique automatique looal du oentral A, ainsi que leur jeu de relais de repérage MRS,
Fig. 10 montre un enregistreur de repérage M etson dispositif IM de répétition des impulsions,
Figs. 11, 12 , 13 montrent des dispositions correspon- dantes, au central B.
Fig. 1 montre en principe la nature des appareils de
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couplage automatiques des centraux à branchement automatique, ainsi que la façon dont ces appareils doivent coopérer entre eux. Une communication locale est donc établie entre deux postes d'abonné P1 et P2 par l'intermédiaire de deux paires de sélecteurs AS, SV et SS, LV avec leurs ooidons SL1, SL2 et une ligne de communication FL. Dans l'exemple représenté on a suppose que tous les sélecteurs sont des sélecteurs non nu- mériques.
Le sélecteur AS sert donc desélecteur d'appel, tan- disque le sélecteur SV cherche une ligne de communication libre FL, après quoi l'établissement de la communication est terminé par le fait que le sélecteur SS se branche sur la même ligne de communication, tandis que LV se branohe eur la ligne de l'abonné désiré. Dans le système décrit oi-desseus les communications sont établies sous le contrôle d'enregistreurs de repérage M, l'enregistreur de repérage mis en position de façon connue par des impulsions de l'abonné appelant F. reprenant d'abord de façon déterminée la ligne de l'abonné désiré, après quoi la ligne d'abonné ainsi repérée est cher- cherchée par le sélecteur LV.
Pour l'établissement de communication entre des abonnés appartenant à des centraux différents, chaque central à bran- ohement automatique comporte deux groupes de sélecteurs UFS, UFV, et IFV, IFS constitués par des chercheurs et dont le premier sert pour le service partant du central et l'autre pour le service arrivant au central. Les sélecteurs de ces deux groupes sontégalement reliés deux à deux entre eux par des cordons SL4et SL3 et les sélecteurs UFS et IFS servent à chercherune ligne de communication FL dans le commutateur téléphonique local, etles séleoteurs UFV et IFV servent à établit une communication aveo une ligne de communication BL qui relie les centraux oorrespondants.
Dans l'exemple repré- senté les lignes de communication sont montées en multiple sur les sélecteurs UFV aussi bien que sur les sélecteurs IFV lors- qu'elles servent à assurer le service dans les deux sens.
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Fig. 1 montre à titre d'exemple la façon dont les oom- munioations sont établies entre fois centraux téléphoniques automatiques A, B, C et un bureau central manuel D par l'intermédiaire de lignes de communication AL, RL CL et DL.
Le trafio peut avoir lieu dans les deux sens sur les lignes BL et CL, tandis que les lignes AL et DL n'assurent le tra- fic que dans un sens. Dans l'exemple représenté la capacité de l'installation est de mille abonnés portant les numéros 1000-1999, le central A étant réservé aux numéros 1100-1299, le central B aux numéros 1300-1499, le eentral C aux numéros 1500-1599 et le central D aux numéros 1000-1099. Les diffé- rents oentraux diffèrent dono les uns des autres par les deux premiers chiffres des numéros des abonnés. 11 est évi- dent que la capacité de l'installation peut être augnentée jusqu'à 10000 abonnés sans qu'il en résulte auuune modifica- tion de principe du système; l'invention est indépendante de la grandeur de l'installation.
En ce qui oonoerne la disposition des lignes de commu- nioation les différents oentraux sont montés un série, les communications entre les oentraux A et C par exemple devant être établies par le oentral inteimédiaire B, tandis qu'une communication entre C et D doit être établie par l'interrné- diaire de B et de A. Suivant l'invention, il s'agit de per- mettre l'établissement de ces communications par un ou plu- sieurs centraux intermédiaires, sans qu'il soit nécessaire d'avoir reoours aux appareils montés dans ces oentraux inter médiaires pour le service local.
A cet effet tous les oen- traux servant au trafic de transit cornportent un groupe sélecteur particulier qui sera appelé plus loin groupe de transit, et au moyen duquel les communications de transit peuvent être établies directement de façon que la ligne de communication d'arrivée soit reliée directement par ce grou- pe à une ligne de communication de départ allant à un autre central. Ce groupe de transit est semblable dans tous les centraux et il contient au central A un certain nombre de sé- -5-
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lecteurs servant de chercheurs, désignés par TS. TV et reliés entre eux deux à deux par des cordons SL5.
Ces cordons com- portent des sélecteurs de direction TM servant à recevoir des impulsions émises par la répétitaion des impulsions de l'enre- gistreur de repérage M au oentral de l'abonné appelant. Ces sélecteurs surveillent la marche des oonnexions de façon que la communication soit transmise à un autre contral ou au com- mutateur téléphonique automatique looal correspondant, sui- vant que l'abonné désiré appartient à un autre oentral ou au central où se trouve le groupe de transit. Dans le premier cas la ligne de communication qui arrive, par exemple BL, est reliée par les sélecteurs TS' et TV' du groupe de transit à l'une des lignes de communication partant dans la direction désirée, par exemple CL, sans qu'on ait reoours pour oela à une partie quelconque du oonmutateur téléphonique automatique looal du oentral B.
Dans le deuxième cas la ligne de mmunica- tion BL qui arrive est reliée à une ligne de communication FL' par l'intermédiaire du groupe de sélecteurs d'entrée IFV', IFS du central B, après quoi le groupe de transit est libéré et la communication terminée au moyen des appareils/du commuta- teur téléphonique automatique looal oomne pour un appel looal.
Une communication locale au oentral A est établie de la façon suivante. Lorsqu'un abonné Pl appelle sa ligne est re- liée à un cordon SL1 par l'intennédiaire d'un chercheur d'appe AS et la communication est transmise par l'intermédiaire du chercheur correspondant SV à une ligne de communication FL dont l'enregistreur de repère M est libre. L'abonné émet alors toutes les impulsions correspondante au numéro de l'abonné dé siré, impulsions qui sont reçuespar l'enregistreur de repéra- GE M. Cet enregistreur marque alors la ligne d'abonné désirée et met simultanément en marche un sélecteur LV relié à un cordon libre SL2. Ce sélecteur établit la communication avec la ligne d'abonné demandée.
La communication est établie com- plètement par le fait que le chercheur SS relie le cordon sl2 a l2 2
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à la ligne de communication correspondante FL. L'enregistreur de repérage M est maintenant libre et il peut être utilisé pour l'établissement d'une autre communication.
Pour établir une communication entre un abonné appelant P1 du oentral A et un abonné P2 du oentral B, l'abonné appe- lant n'a besoin que d'actionner comme précédemment d'abord son émetteur d'impulsions en concordance avec le numéro de l'abonné demandé; les impulsions ainsi émises sont reçues oomne précédemment par l'enregistreur de repérage M. Toute- fois, comme les impulsions indiquent dans ce cas que l'appel est destiné à un autre central, le sélecteur UFS du groupe de séleoteurs de départ, puis le sélecteur oorrespondant UFV sont d'abord aotionnés, ce qui fait que la communciation est transmise au oentral B par un cordon SL4 et une ligne de com- munication BL.
Cette ligne BL est reliée direotement par un chercheur d'appel TS' du groupe de transit du central B à un cordon SL5' et au dispositif d'enregistrement correspondant TM' . Ce dernier renvoie maintenant par l'intermédiaire de la ligne de communication BL deux imupulsions au répétiteur d'im- pulsions IM du oentral A, qui est ains i mis en action et qui émet de nouveau les impulsions correspondant aux deux premiers chiffres du Numéro de l'abonné, impulsionslqui sont reçues et enregistrées par TM' .
Comme l'appel est destiné dans ce cas à un abonné du central B, le dispositif enregistreur TM' pro- voque une commutation de la communication de conversation qui est transmise par l'intermédiaire d'une paire de sélec- teurs IFV', IFS, du groupe de sélecteurs d'arrivée à une li- gne de oommunioation libre FL' du central'B,aprésquoi les par ties du groupe de transit utilisées jusqu'alors sont libérées et prêtes à reoevoir d'autres appels.
Au moment oùla communi- oation est obtenue aveo un enregistreur de repérage M au oentral B, cet enregistreur émet une impulsion unique lui est reçue par le répétiteur IM du oentral A et qui a pour effet que ce répétiteur émet maintenant les impulsions correspondant
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aux trois derniers chiffres du numéro de l'abonné, impulsions qui sont reçues comme d'habitude dans l'enregistreur de repé- rage M' du oentral B. Ensuite l'enregistreur de repérage M et le répétiteur d'impulsions oorrespondant IM du oentral A sont libérés et la communication est établie complètement par l'intermédiaire d'une paire de sélecteurs SS' et LV' au central B comme pour un appel d'un abonné de ce central.
Si l'abonné appelant P1 du central A désire obtenir une communication avec un abonné P2'' du central C, la communica- tion est d'abord transmise au central B de la façon décrite la ligne de communication BL étant reliée comme précédemment par l'intermédiaire d'un chercheur d'appel TS' à un cordon SL5' et au sélecteur de direction correspondent TM' . Ce dernier renvoie deux impulsions comme précédemment au répéti- teur d'impulsions IM, qui répète les impulsions correspondant aux deux premiers chiffres du nurnéro de l'abonné.
Lorsque TM' a reçu ces iirpulsions au oentral B, le chercheur corres- pondant TV' est iris en position ce qui fait que la communica- tion est transmise au central C par l'intermédiaire de ce chercheur et d'une ligne de communication CL. La ligne de communication CL est reliée directement par l'intermédiaire d'une paire de sélecteurs IFV", IFS" du groupe de sélecteurs de départ du central C à une ligne de oommunioation libre FL" et, par l'intermédiaire de oelle-ci, à un enregistreur de repérage M' qui envoie maintenant une impulsion au répiti- teur IM du central A, ce qui a pour effet de provoquer une émission en retour des impulsions correspondant aux trois derniers chiffres du numéro de l'abonné, impulsions qui sont ainsi reçues par l'enregistreur de repérage M" du oentral C.
L'enregistreur de repérage M et son répétiteur IM sont en suite libérés au central A et la communication est établie complètement par l'intermédiaire d'une paire de sélecteurs SS". LV" du oentral C comme pour un appel local.
Dans l'exemple représenté, le central C n'est pasdestiné
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à transmettre un trafic de transi± et il ne possède par con- Q .
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séquent aucun " groupe de transit ".
Si un abonné P1"du eentral C désire une communication aveo un abonné au central manuel D, la communication estéta- bliee la façon suivante par l'intermédiaire des groupes de transit des centraux B et A. L'abonné reçoit directement la communication avec la .ligne de communication FL" et avec un enregistreur de repérage correspondant M" après quoi il émet les impulsions oorrespondantau numéro de l'abonné,impul- sions qui sont reçues par l'enregistreur M" La communication est ensuite transmise au central B par l'intermédiaire d'une paire de séleoteurs UFS" , UFV" et d'une ligne de communica- tion CL qui est reliée directement à un sélecteur de direc- tion TM' du groupe de transit du oentralB au moyen d'un oher- oheur d'appel TS'.
Le sélecteur de direction TM' envoie deux impulsions au répétiteur TM'' du oentral C qui répète les impulsions oorrespondant aux deux premiers chiffres du numéro de l'abonné. En conséquence, la communciationest transmise au oentral A par l'intermédiaire du chercheur TV' du oentral B et d'une ligne de connexion BL qui est/reliée directement par l'intermédiaire d'un chercheur d'appel TS à un sélecteur de direction TM du groupe de transit du oen- tral A.
TM envoie deux impulsions au répétiteur IM" du central C qui répète encore une fois les impulsions correspondantaux deux premiers chiffres du numéro du poste, impulsions qui sont reçues maintenant par TM, la communication étant trans- mise au oentral D, par l'intermédiaire d'une ligne de communi- oation AL et du chercheur TV. Le central manuel D envoie maintenant une impulsion unique au répttiteur TM" du oentral C, après quoi les impulsions correspondant aux trois derniers ohiffres du numéro de l'abonné sont renvoyées à D où elles sont reçues par un indicateur de numéro. La communication est alors établie complètement à la main au moyen du jaok IJ.
Il peut arriver parfois que le oentral manuel se puisse être
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appelé qu'au moyen des deux premiers chiffres, o'est-à-dire du numéro 10 , l'impulsion émise par D le provoquant alors que la mise hors oirouit de l'enregistreur de repérage M" du oen- tral C, après quoi l'abonné indique à la téléphoniste du central'D le numéro de l'abonné qu'il désire.
Le central manuel peut se brancher sur un abonné queloon- que des centraux automatiques par l'intermédiaire d'une ligne de communication DL qui se termine au central A sur un chercheur IV par lequel la communication peut être obtenue aveo une ligne de communication FL. Au moyen d'un émetteur d'impulsions relié au jaok UJ la téléphoniste peut alors établir une communication queloonque comme un abonné du Cen- tral A.
D'après ce qui vient d'être dit, la transmission de la communication dans une direction ou dans l'autre estsurveil- lée par l'enregistreur de repérage et les sélecteurs de direo- tion en concordance avec les deux premiers chiffres du numéro de l'abonna. Figs. 2 à 7 montrent comment les récepteurs d'impulsions desenregistreurs de repérage et des sélecteurs de direction sont construits et disposés à cet effet . Les récepteurs d'impulsions du sélecteur de direction sont oonsti- tuée par deux sélecteurs TR1, TR2 (Fig. 2), aotionnés par deux électro-aimants TRM1, TRM2 de façon que les bras de contact avancent d'un pas chaque fois que l'armature de l'aimant d'entraînement retombe.
Les bras de contact non représentés relient de façon oonnue dans chaque position de contact,des contacts qui se font face dans la rangée correspondante de contacts. Chaque récepteur d'impulsions comporte plusieurs bras de contact et un nombre oorrespondant de rangées de oon- tacts constituées chacune par une barre de contact continue et plusieurs contacts individuels oorrespondant aux diffé- rentes positions de contact. La première rangée de contacts dehaque récepteur d'impulsions sert à déterminer la direo- tion dans laquelle la communication doit être transmise.
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cet effet ces rangées surveillent d'une part le circuit d'un relais Bl qui entre en aotion lorsque l'appel concerne un abonné du oentral dont fait partie le groupe de transit correspondant et d'autre part deux circuits de repérage H, V pour le chercheur TV du groupe de transit, l'un ou l'au- tre de ces circuits entrant en aotion lorsque l'appel con- cerne un abonné d'un autre central. Une communication conti- nue peut être transmise dans deux directions différentes, dans l'exemple représenté, par le chercheur TV, soit à droite, soit à gauche en Fig. 1, par exemple du oentral B au oentral C lorsque l'appel vient de A, ou au central A lorsque l'appel vient de C.
Une communication de transit peut également être transmise en A et D lorsque l'appel vient de B , ou encore à B lorsque l'appel vient d'un au- tre central non représenté en Fig. 1. P9ur surveiller le mouvement du chercheur TV, de façon que ce dernier ne cher- ohe une ligne de communication libre que dans le groupe de lignes partant dans la direction désirée, des oircuits de test oorrespondants HV passent par deux groupes corres- pondants de contacts DG et BG dans le chercheur TV. En con- oordanoe aveo la répartition, indiquée ci-dessus et en Fig.
1, des numéros sur les lignes d'abonnés faisant partie des différents centraux, le groupe de contacts BG, (Fig. 2) qui correspond aux lignes de communication BL allant aux postes B est relié aux troisième, quatrième etcinquième contacts du récepteur d'impulsions TR , contacts qui correspondent aux ôhiffres des centaines 3,4, 5 de la rangée des numéros, tandisque le groupe de contacts DG, qui correspond aux li- ghes de communication allant au central D est relié au dixième contact du récepteur d'impulsions TR2. contact qui correspond au chiffre des centaines zéro de la rangée de numéros.
Le relais Bl, qui ne doit être actionné que pour un appel d'un abonné du central A, est relié en concordance avec ce qui précède au premier et au deuxième contact du
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récepteur d'impulsions TR2, oontaots qui correspondent au chif- fre des centaines 1 et 2 de la rangée de contacts.
En conco rdance avec ce qui précède le goupe de contacts CG du chercheur TV' (Fig. 4) correspondant au chiffre 5 des centaines est relié au cinqui oontact de TR@. tandis que le groupe de oontaots AG correspondant aux chiffres des centaines 1, 2 et 0 est relié aux premier, deuxième et dixiè- me contact de TR2' . Le relais BI', qui doit être actionné pour appeler un abonné à l'intérieur du oentral B, est relié, conformémenté ce qui précède, au troisième et au quatrième contact de TR2.
Lorsque le central C comporte un groupe de transit, les récepteurs d'impulsions correspondants TR1" et TR211 peuvent être disposés suivant le système indiqué plus haut, comme le montre Fig. 6.
Figs. 3, 5 et 7 représentent les récepteurs d'impulsions correspondant aux enregistreurs de repérage des différents centraux et enregistrant le premier et le deuxième chiffre des numéros d'abonnés. Ces récepteurs d'impulsions ont pour but de déterminer la direction dans laquelle la communication d'une ligne de communication, FL, FL' ou FL" doit être trans- mise; sous ce rapport il y a également trois possibilités différentes aux centraux A et B, la communication avec un abonné du même oentral par l'interméjaire de sélecteurs SS, LV ou SS' LV' ou avec un abonné de l'un ou de l'autre de deux autres centraux par l'intennédiaire de sélecteurs UFS, UFV ou UFS' , UFV' .
Dans le premier cas un relais Rl entre en aotion et son circuit passe, de façon oorrespondant à la répartition ohoisie pour les numéros en Fig. 3, par un contact de la pre- mière position de contact du récepteur d'impulsions RE2.Dans les deux autres cas, il faut que le chercheur UFV ou UFV' puisse chercher une libne de communication libre dans deux groupes de lignes de communicationpartant dans des directions
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différentes. Il faut dono que le chercheur UFV du central A puisse établir sélectivement une communication avec une ligne de communication BL ou une ligne de communication AL, et que le chercheur UFV' du oentral B puisse établir une commui oa- tion aveo une-ligne de communication CL ou une line de communication BL.
A cet effet, les circuits de test de ces chercheurs sont surveillés au moyen de relais correspondants UFR1 UFR2 ou UFR1, UFR2dont les circuits sont surveilles de leur côté par les récepteurs d'impulsions RE2. RE2'. Ainsi que cela résulte de Fig. 3, le relais UFR1 est relié, en con- oordanoe avec la répartition choisie pour les numéros aux troisième, quatrième et cinquième oontaots du récepteur d'im- pulsions, ce qui correspond aux chiffres des CENTAINES 3, 4 et 5 des numéros d'abonnés, tandis que le relais UFR2 est re- lié au dixième contact, ce qui correspond au chiffre des oen- taines 0.
De façon correspondante,le relais RI' (Fig. 5) est relié à des contacts de la troisième et de la quatrième posi- tion du récepteur d'impulsions RE2 tandis que le relais UFR1, est relié à un contact de la cinquième rangée de con- taots et le relais UFR2 à des oontaats des première, deuxième et dixième rangées de oontaots.
A partir du central'C on ne peut établir des communica- tions que dans une direction, par l'inte médiaire des lignes de communication CL vers les centraux B, A et D. En oonséquen- oe ce oentral ne comporte, en plus du relais RI", qui est ac- tionné pour un appel d'un abonné du oentral C, qu'un relais UFR2" qui est aotionné pour un appel d'un autre central. Il résulte directement de Fig. 2 ooinnent les circuits de ces re- lais doivent être surveillés par les récepteurs d'impulsions pour la répartition ohoisie pour les numéros dans le cas pré- s ent.
On supposera que les sélecteurs AS, SV, SS, LV, IV, IFV, IFS, UFS, UFV, TS, TV et les sélecteurs correspondants des au- tres centraux sont des sélecteurs rotatifs dont les bras de
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contact tournent toujours dans le même sens et qu'ils ne oom- portent pas de position normale déterminée, mais qu'ils res- tent au contraire dans la position qu'ils oooupent lorsque la communication est coupée et qu'ils sont r snis en marche à partir de cette dernière position chaque fois qu'ils entrent de nouveau en action. Les sélecteurs peuvent être du même type que les récepteurs d'impulsions déorits plus haut et faisant partie des enregistreurs de repérage et des groupes de transit.
Chaque enregistreur de repérage contient quatre réoep- teurs d'impulsions qui, au central A, sont désignés par RE1, RE2 RE , RE4, et un commutateur suiveur SO1 par lequel les différentes séries d'impulsions sont réparties sur les divers réoepteurs d'impulsions. Le récepteur d'impulsions TR1, TR2 du groupe de transit est surveillé de façon analogue par un commutateur suiveur SO3 A chaque enregistreur de repérage M est adjoint un répétitue d'impulsions IM constitué par un répétiteur RE5, un commutateur suiveur SO2 et les relais oor- respondants (Fig . 9). Tous les commutateurs suiveurs SO1, SO2, S03 ainsi que le répétiteur d'impulsions RE5 sont en géré - ral du même type que les réoepteurs d'impulsions décrits oi- dessus.
Les circuits par lesquels les lignes d'abonnés dési- rées sont notées sont surveillés à partir des enregistreurs de repérage, de façon oonnue, au moyen d'un jeu de relais de repérage MRS (Fig.9) qui contient un certain nombre de relais de oentaines LH et un certain nombre de relais de dizaines LT
Pour expliquer le fonctionnement à l'aide de Fig. 9 à 13 on supposera, d'abord qu'un abonné relié au central A désire obtenir une communication avec un autre abonné (Fig. 9) relié au même central. Lorsque l'abonné appelant décroche son appa- reil, il ferme un circuit 1 passant par sa ligne l1, par l'en- roulementLL1, du relais de ligne correspondant LR1 et nn relais de démarrage LG commun à un groupe'd'abonnés.
Le relais de li- gne LRest un relais combiné d'appel et de coupure et en ce -14-
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qui oonoerne sa oonstruction o'est ce qu'on appelle un relais étagéou à deux pasdont l'armature peut êtremise en posi- tion par des courants d'intensités différentes dans deux positions différentes dans lesquelles elles agissent sur deux groupes de contacts différents. Par le courant du. cir- ouit 1 le relais de ligne attire son armature jusqu'à la pre- mière position, ce qui a pour effet de préparer un circuit de test pour les chercheurs d'appel AS. Simultanément le relais LG attire son armature et le relais IA ferme un cir- ouit de démarrage 2 sur tous les chercheurs d'appel libres AS du groupe d'abonnés correspondant.
De son coté le relais IA ferme un circuit à impulsions 3 pour l'aimant d'entraî- nement correspondant ASM. Le chercheur d'appel qui rencontre le premier la ligne de l'abonné appelant se trouve arrêté par le fait qu'un circuit de test 4 est fermé sur un relais de test IT. qui attire son armature et coupe le circuit d'en- traînement 3. Simultanément ce relais court-circuite une partie de son enroulement, ce qui indique que la ligne de l'abonné correspondant estoooupée et ne peut plus l'être par les autres chercheurs d'appel. Le relais IT1 ferme éga- lement un circuit à impulsions 5 par l'aimant d'entraînement SVM pour le chercheur SV du mène cordon, chercheur qui est ainsi mis en marche pour chercher une ligne de communication libre FL.
Le circuit de test du chercheur d'appel contient aussi un enroulement LL2 du relais de lizne LR1 qui, lorsque le circuit de test 4 est fermé attire son armature jusqu'à la deuxième position, lecircuit passant par;l'enroulement LL1 et le relais de démarrage LG étant coupé. Le relais de ligne maintient toutefois son armature attirée. Le circuit de ligne est fermé maintenant par le circuit 6 qui contient le relais IA. Lorsque le chercheur SV rencontre une ligne de communication FL comportant un enregistreur de repérage libre M, ur. circuit de test 7 est fermé par l'intermédiaire du récepteur d'impulsions RE1 de l'enregistreur dans la pre-
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mière position.
Le relais de test IT2 attir7son armature et la ligne de communication FL est occupée par le fait que le re- lais de test IT2 oourt-oirouite une partie de son enroulement.
Le circuit)? contient un relais ST qui attire maintenant son
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armature et relie l'enregistreur à la ligne de oanmunioation.
Le relais I'I'2 met le relais IA hors circuit, le oirouitide li- gne e étant maint sant fermé par un relais à ir.upulsion:?,. ce l'enregistreur et par i'intennédiaiTe de contacts 8 et 9 du relais ST. Le relais RA attire maintenant son armature et met en ci rouit un rel3.iSr retardement RHl qui ferme de son oo- té un oirouit0 pour un relais RH2 et un oircuiude ronfleur 11 partant d'une source de courant SU1 et passant par le oom- mutateur suiveur SO1 dans sa première position. Le courant du ronfleur traverse un enroulement SUL du refais RA et in-
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duit par oonsôquentun courant alternatif dans le eireuitde ligne, ce qui a pour effet d'avertir l'abonné que la ligne est maintenant reliée à un enregistreur et que l'émission des
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impulsions peut oonmenoer.
Il se produit stmultanément une commutation du circuit de test 7 qui est relié maintenant au relaisRH1 par un contact 12.
La première interruption du circuit de ligne produite. par l'émission des impulsions coupe l'excitation du relais à impulsions RA, un circuit 13 étant fermé par un relais à retardement RV. En outre un circuit 14 est fermé pour l'ai-
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mant de manoeuvre REMi du récepteur d' impulSion4REl et oet aimant attire son armature sans toutefois faire avancer les bras de contact. Un circuit 15 est en outre fermé pour l'ai- mant de manoeuvre SOM1 du commutateur suiveur SOl, aimant qui attire également son armature sans faire avancer les bras de contacts. Dès que le relais à impulsions RA attire de nouveau son armature après la première interruption dans le circuit, de ligne, le circuit 14 de l'aimant de manoeuvre REM1 est oou- pé, tandis que le relais RV maintient son armature attirée.
Les
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bras de contact du péoepteur d'impulsions RE1 avancent alors d'un pas. Les interruptions subséquentes du courant dans le circuit de ligne font avancer d'un pas, d'une façon analogue, les bras de contact du récepteur d'impulsions RE qui vient occuper une position correspondant au nombre des impulsions émises. Lorsque la premiers série d'impulsions est terminée le relais RV oesse d'être excite, le circuit 15 est coupé et le commutateur suiveur So1 est amené à la deuxième posi- tion. Dans cette position l'aimant de manoeuvre REM2 du récep teur d'impulsions RE2 est inséré dans le circuit 14. La sé- rie suivante d'impulsions est donc reçue et enregistrée par RE2 .
Les récepteurs d'impulsions RE3 et RE4 enregistrent de façon analogue les troisième et quatrième Séries.d'impul- sions. On supposera que les récepteurs d'impulsions de l'en- registreur ont été réglés de facon à corrospondre à un numéro d'abonné demandé 1101. Les récepteurs d'impulsione RE1 RE3. et RE4 se trouvent alorsdans leurs premières positions nurnéri ques de réglage à partir de la position normale (tout-à-fait à gauche dans le dessin), tandis que RE2 se trouve dans sa position.
Immédiatement après l'émission des deux premières séries d'impulsions un circuit 16 est fermé par l'intermédiaire des réoepteurs d'impulsions RE1 et RE2 par un relais RI qui déter¯ mine que l'appel concerne un abonné du même central. Le re- lais RI attire son armature et prépare un circuit 17 qui est fermé par l'intermédiaire d'un contact du commutateur suiveur SO1 dans sa cinquième position, que le commutateur suiveur SO1 atteint lorsque toutes les quatre séries d'impulsions ont été émises. Le circuit 17 contient un relais RG1 qui attire main- tenant son armature et se maintient excité sur son contact 18.
En outre le relais RG1 ferme un circuit 19 par le relais des oentaines LH1 qui ferme de son côté un circuit 20 par le re- lais des dizaines LTO, ce dernier fermant maintenant un cir-
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cuit de repérage et de test 21 sur une résistance W2 . Ce cir- cuit, qui sert à faire le test de la ligne de l'abonné de- et mandé à répérer cette ligne, n'est fermé qu'à condition que l'abonné demandé soit libre. Le circuit 21 contientun relais RL qui attire maintenant son armature. Dans l'intervalle l'aimantde inanoeuvre SOM1 du commutateur suiveur SO1 a été inséré dans un circuit à impulsions 22, ce qui fait que le commutateur suiveur SO1 avance pas à pas. Si l'abonné est li- bre, ce mouvement est interrompu dès que le relais RL est excité, SOs'arrêtant dans une position intermédiaire.
Le relais SL ferme également un circuit 23 sur un relais à re- tardement US faisant partie d'une paire de sélecteurs libres SS, LV,oe relais attirant maintenant son armature et fermant de son côté un circuit à impulsions 24 pour l'aimant LVM d'entrainement du sélecteur de ligne LV. Si LV renoontre la ligne d'abonné repérée par le circuit 21, un oirouie test 25 est fermé et RL reçoit du courant par ce circuit parallèlement au courant du circuit 21 par la résistance W2. Le relais de test ut1 oontenu dans le circuit attire son armature, ce quia pour effet d'arrêter le séleoteurùde ligne. Simultanément un circuit à impulsions 26 est fermé pour l'aimant SSM d'entraînement du chercheur SS relié au même cordon, oe qui fait que ce chercheur se met en marche.
Lorsqu'il rencontre la ligne de communication FL repérée dans l'enregistreur par le relais RG1, un circuit de test 27 est fenne par les relais SDR et UT2 . Le relais TT2 attire son armature et arrête le chercheur : Le cirouitde mise en marche 23 ect coupé en même temps.
Lorsque le relais US laisse retomber son armature au bout d'un moment, le circuit de mise en marche est commuté de façon qu'un appel suivant agisse sur la paire suivante de sélecteurs SS,IV et sur son cordon. En effet par suite de l'excitation du relais de test UT2 ,le relais de mise en marche US est mis hors circuit et en revanche le cirouitde
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mise en marohe 23 est prolongé jusqu'au relais de démarrage du cordon suivant et jusque sa paire de sélecteurs U2, U3 .
Pour empêcher le chercheur relié à ce cordon d'être mis en mouvement par le même appel, le relais US est à fonotionne- munt lent, oe qui fait que le circuit 23 reste interroi;pu sur ce relaisusqu'à ce que le circuit de mise en marche 23 ait été interrompu définitivement dans l'enregistreur (par
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la séparatiorjantre l'enregistreur et la ligne de ooirgmnioa- tion) . Si tous les oordons sont occupés, le circuit 23 est fermé au contraire par un relais RU et 11 abcmn1' ,"()'oi un signal de ronfleur produit par la source de courant SU2 .
En outre un circuit 28 est ferma par l'inteùn41.iair= du troisième conducteur et du relais de ligne LR2 de l'abon- né appelé, relais qui attire son armature directement jusqu'à la deuxième position. Enfin la communication est définitive-
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ment établie par l'intellllédiaire des contacts 29., 30 sur le relais UT2 .
Au moment de la fenneture du circuit de test 27, le relais SBR a aussi attiré son armature et fermé un circuit 31 par 1intermédiaire d'un relais à retardement SHA qui de son oôté ferme un,circuit de maintien pour le relais BRR par
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1internédiaire du contact 32. Il se produit simultanément tà. une OOmnl.l..i,j"f1 du circuit de ligne 7, ce qui faille oelui-oi passe maintenant par une résistance W3 . Le cou- rant est interrompu par le relais de branchement ST, ce qui fait que l'enregistreur est mis hors circuit. Le circuit du microphone de l'abonné appelant est maintenant fermé par
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l'internédiaire des contacts 33, 34 et des enroulements d'un relais SA. Le relais SHA reste maintenant traversé par le oourant par l'intermédiaire d'un contact 35 du relais SA.
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Lorsque le relais de branchement ST a laisse retomber son armature, les relais RA, E,Hl et RI ont cessé successi- vement d'être excités. Le relais RH feüüe des circuits de rappel 36,37, 38, 39 et 40 pour les récepteurs d'impul-
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sions RE1, RE , RE3 et RE4, qui sont ramenés à leur posi- tion normale.
Les impulsions de rappel actionnent un relais à retardement RE qui coupe un contact 41 dans le circuit de test 7, ce qui fait qu'un nouveau branchement par l'intermé- diaire d'une line de communication FL rattaohée à l'enregis- treur ne peut pas avoir lieu avant que l'enregistreur n'aib 0té ramené à sa position normale. On conçoit que les autres relais de l'enregistreur, ainsi que les relais du groupe de relais de repérage MRS cessent maintenant d'être excités.
Le circuit 23 est coupé en RG1 dansl'enregistreur avant que le relais à retarde -ent US n'ait eu le temps de laisser retomber son armature, ce qui empêche les sélecteurs LV et SS d'un autre cordonde transmission d'être actionnés.
L'abonné ap demandé est appelé de la façon suivante. Le relais BBR ferme un circuit 42 passant par un appareil d'ap- pel PW par lequel un courant alternatifpériodique est en- voyé dans le circuit 43 et dans la ligne L2 de l'abonné ap- pelé. Le circuit 43 contient un enroulement AL d'un relais à retardement STR qui toutefois n'est pas actionné par le courant d'appel. Si l'abonné appelé répond, le circuit de ligna est fermé par l'appareilde l'abonné de façon que le relais STR attire son armature, l'appareil d'appel PW étant mis hors circuit etle relais STR se mettant d'abord par son enroulement RL dans un cirouitde maintien 44. En même temps un relais SB est mis dans le circuit de ligne de l'a- bonn appelé xel de relais STR recevant du courant de maintien par le contact 45.
La communication de conversa- ìon est ainsi établie.
Lorsque l'abonné appelant raccroche d'abord son appa- rei à la fin de la conversation, le relais SA cesse d'êter excité, il coupe le circuit du relais SHA en 35 et met par contre le relais SHB en circuit par l'intermédiaire du oon- taot 46. Lescircuits 7 et 4 sont ooupés et le relais de ligne LR1 cesse d'être excité. La ligne l1 de l'abonné est
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ainsi séparée de la communication et l'abonné peut appelei- de nouveau. L'abonné appelé reste relié à la line de commu- nication FL jusqu'à ce qu'il ait raccroché son apparcil. Le relais SB laisse retomber son armature et ooupe ainsi l'ex- citation des relais SHB, STR, SBR, UT2, UT1 et LR2 .
Si, au oontraire, c'est l'abonné appelé qui raccroche d'abord son appareil, SB cesse d'êtec excite, mais STR et SBR con- tinuent à recevoir du oourant de maintien par le contact 32 de SHA. Dans ce cas la communication reste donc mainte- nue dusqu'à ce que l'abonné appelant ait aussi raccroché son appareil.
Si l'abonné appelé est coupé, le circuit 21 ne peut pas /être fermé, ainsi qu'on l'a vu plus haut, et le relais RL reste par conséquent au repos. Le commutateur suiveur SO1 continue donc son mouvement jusqu'à sa dernière position dans laquelle le relais RU reçoit du courant par un circuit 47. Ce relais attire alors son armature, se maintient exci- té par 48 et 49 et fermeun circuit de ronfleu50 alimenté par une source de courant SU2 par l'enroulement SUL du re- lais RA. Le relais RU coupe le circuit 17 du relais RG! qui cesse ainsi d'être excité et qui de son côté coupe les circuits des relais de repérage du groupe MRS de relais de repérage.
Le ronfleur annonce à l'abonné appelant que l'a- bonné appelé est occupé. Lorsquil raccroche son appareil le relais RA cesse d'être excité, la communication est coupée et l'enregistreur est ramené à sa position normale.
On supposera maintenant qu'un abonné du central A désire obtenir une communication avec un abonné relié au central B, par exemple aveo le numéro 1351. L'abonné appelantevvoie des impulsions de oourant correspondant à ce numéro. La liaison aveo l'enregistreur a encore lieu de la façon décrite plus haut, ainsi que la mise en position de l'enregistreur par les deux premières séries d'impulsions, c'est-à-dire que les récepteurs d'impulsions RE1. et RE2 sont amonés l'un à
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la première et l'autre à la troisième position: Dans ce cas le relais RI n'est dono pas actionne. Ceci a pour conséquen- ce que l'appel est transmis au central B, ainsi qu'on le verra plus loin.
Apres l'émission de la deuxième série d'impulsions le commutateur suiveur SO1 passe à la troisième position dans la- quelle un circuit 51 surveille par le relais RI est fermé par le relais RG qui attire son armature et se met dans un cirnuit de maintien par son contact 52. En même temps la li- gne de communication FL est repérée comme étant la ligne appelante dans les chercheurs d'appel UFS (Fig. 8), du groupe de sélecteurs de départ, RG2 reliant par son contact 53 le pôle négatif de la batterie au contact de test de la ligne de communication dans le chercheur d'appel UFS.
En ou- tre le relais RE2 marque la direction de l'appel de départ en fermant un circuit 54 par run relais UFR1 (Fig. 8), ce qui a pour effet que le chercheur UFV ne cherche une communica- tion qu'avec les lignes de communication BL allant au central B. La troisième et la quatrième série d'impulsions qui sui- vent amènent les récepteurs d'impulsions RE3 et RE4 l'un à la cinquième et l'autre à la première position de la façon dé- crite ci-dessus.
Lorsque le relais UFR1 (Fig. 8) attire son annature,un circuit de mise en marche 55 est FURMé pour tous les cher- chaurs dhappel libres UFS. Ce circuit contient un relais UFA qui attire son armature et ferme un circuit 56 pour un relais à retardement UFH qui de son côté ferme un circuit à impulsions 57 pour l'aimant d'entraînement USM du chercheur d'appel. Le premier chercheur d'appel qui rencontre la ligne de communication marquée FL fenne un circuit de test 58 et un relais de test UFTI monté dans ce circuit attire son armature et arrête le sélecteur. Le circuit de test contient encore un relais SFR, (Fig. 9) que attire également son armature, ce qui.
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toutefois ne produit pour le moment aucun effet.
Le relais
UFT ferme également le circuit d'entraînement 59 de l'ai- mant UVM d'entraînement du chercheur UFV et prépare simulta- nément pour cet aimant un circuitde test 60 qui est fermé dès que UFV rencontre une ligne de communication libre EL par- tant dans la direction djterminée par UFR1. Lorsque le re- lais de test correspondant UFT2 attire par conséquent son armature, le circuit de mise en marche 55 est coupé et en revanche le cirouit61 passant par le relais UFA et par un relais MT (Fig. 10) est coupé dans le répétiteur 1M, Le xxxxxx relais MP attire son armature et se verrouille par le cir- ouit 62.
Il coupe simultanément le circuit 51 du relais
RG2 , qui cesse d'être excité et coupe le circuit 54 du re- lais UFR1 ( Fig. 8) le circuit 60 étant également coupé. Le relais UFT2 (Fig. 8) continue méanmoins à recevoir du courant par son contact 63. Lorsque RG2 (Fig. 9) laisse retomber son armature, le circuit 58 est coupé pur le contact 53, mais le circuit de test reste néanmoins ferme par l'intermédiaire d'un contact 64 du relais SFR. Le circuit de test 60 (Fig.8) contient un relais de coupure FBR qui a attiré son armature et mis ainsi hors circuit le relais de ligne FLR de la li- gne de communication BL. La communication est ainsi établie complètement jusqu'au central B.
Lorsque le relais de test UFTa attiré son armature,un circuit de ligne 65 a été fermé par la ligne de communica- tion BL. Le circuit de li-rne 65 contient aussi un relaisde ligne FLR', (Fig. 11) faisant partie du groupe de transit du central B, ce relais attirant maintenant son armatureet masquant ainsi la ligne de communciation BL comme é'ant la ligne appelante. Le relais FLR' ferme donc un circuit de mise en marche 66 pour tous les chercheurs d'appel libres TS' et prépare an même temps un circuit de test en fermant son contact 67.
Le circuit 66 contient un relais de mise en mar- che TA' qui attire maintenant son armature et met en circuit
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de son cote, par son contact 68, un relaisa retardement TH qui ferme un circuit à impulsions 69 pour l'aimant TSM' d'en- traînement du chercheur d'appel. Le chercheur d'appel TS' qui rencontre le premier la ligne de communication BL ferme un circuit de tact 70 contenant un relais de test TT! qui attire son armature et arrête le chercheur d'appel. Ce eir- cuit de test contient un relais FBR' qui attire son ammatu- re et met hors circuit le relais de ligne FLR' . Par contre le relais TA' est introduit dans le circuit de ligne par un circuit 71.
Lorsque le relais de test TT1a attiré son armature, un circuit à impulsions 72 a été fermé par l'ai- mant SOM3 d'entraïnement du commutateur suiveur SO3 Le commetateur suiveur a étéainsi amené à la deuxième position dans laquelle l'aimant d'entraînement reçoit de nouveau du courant par l'intemédiaire d'un circuit à impulsions 73, ce qui fait que le commutateur suiveur est amené à la oinquiè- me position dans laquelle il reste provisoiranent arrêté.
Au passage dans la deuxième et la quatrième position deux impul- sions ont 0té xxxx émises successivement et en série par un circuit 74 et par un relais à impulsions de retour BSR' qui inverse le sens du courant dans le circuit de ligne 65, 71, ce qui a pour effet d'exciter au central A (Fig. 8) , un relais polarisé UFP monté dans ce circuit, de façon que oe relais attire son armature deux fois. Il en résulte que deux impul- sions sont érises dans un circuit 75 qui va jusqu'au répéti- tour d'impulsions IM, (Fig. 10); ce circuit, qui passe par le commutateur suiveur SO2 (Fig. 10) dans la première position, comporte un branchement passant par un relais à retardement MK et par l'aimant de manoeuvre SOM2 du commutateur autour.
Ces impulsions font avancer le commutateur suiveur S02 de deux pas jusqu'à la troisième position. Lorsque le relaisMK laisse retomber son armature âpres l'émission de la deuxième impul- sion, un circuit 76 est fermé sur un relais MS qui attire son armature et ferme un circuit 77 passant par limant REM5
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d'entraînement du répétiteur d'impulsions RE5.Toutefois l'aimant d'entraînement REMS reste sans action dans ce circuit, tandis qu'un relais MR1 monté dans le même circuit attise son armature et met en circuit par son contact 58 un relais
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kIR2 qui oourt-cirouite le relais 1ffil en attirantson armature.
En conséquence l'aimant de manoeuvre 2'11L àttir#,z<,1=t eiànt son armature, sans faire avancer toutefois les bras de contact, du répétiteur d'impulsions. Ce n'est que lorsque le relais
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iliR2 cesse d'être axoité, parce q'3 le relais PdRl laisse re- tomber son armature, que l'aimant d'entraiiiement REMS cesse d'être excité et fait passer le répétiteur d'impulsions RE5
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à sa première position numérique de r, laJe . En même temps le circuit 61 surveillé par le relais Mu 2 est coupé une fois.
Cette interruption du courcanL estrrp t a par le relaie UFA (Fig. 8) et transmise au relais TA" (Fig. Il), du groupe de transit du central. En conséquence, 10 c'sque le relais a TA' laisse retomber son armature, une impulsion est envoyée dans
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le circuit 79 et le commutateur .suiveur S05' dans la cin iuième position par l'aimant TR' 1 d' entrainei:rent t - récepteur d'impulsions TR1' qui avance d'un pas.
En raison de l'action réciproque entre les relais MR1 et
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kIR2 du répétiteur d'impulsions (Fig. 10) le répétiteur d'irl- pulsions RE5 avanceras à pas, ainsi qu'on peut le voir direo- i tement) à chaque pas une impulsion est envoyée au groupe de transit de la façon décrite, ce qui fait quele récepteur d'im- pulsions TR! du groupe de transit est msi en position à la oadenoe du répétiteur d'impulsions RE6, jusqu'à ce que le ré- pétiteur RES atteigne la position de contact correspondant à la position de réglage du récepteur d'impulsions RE5. Dans le cas supposé, RE1 a été amené à la première position; en conséquence, le répétiteur d'impulsions RE5 n'a été amené aussi qu'à sa première position.
Le récepteur d'impulsions TR1 du groupe de transit se trouve donc aussi maintenant dars
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sa première position numérique. Dans ces positions de RE! et RE5 un circuit 80 passant par un relais MT est fermé; ce re- lais attire son armature et coupe lecircuit 77, ce qui a pour effet d'arrêter RE5 et de faire cesser l'émission des impulsions. En même temps, un circuit 81 passant par l'aimant SOM2 d'entraînement du commutateur suiveur SO2 est fermé; l'aimant attire son armature sans faire avancer toutefois le commutateur suiveur. En outre un relais à Retardement MV est msi en circuit par l'intermédiaire du contact 82 et coupe le circuit 80 et par conséquent aussi le circuit 81.
En conséquence le commutateur suiveur avance maintenant jusqu' à la quatrième position dans lequelle le relais MS est traversé par du courant comme précédemment. Le relais MV, qui se main- tient excité par un contact de RE5 met maintenant en ci rouit l'aimant d'entraînement REMS dans un circuit à impulsions 83, ce qui a pour effet de ramener RE5 à sa position no nnale.
Dans la position normale du répétiteur d'impulsions le oir- cuit de maintien du relais MV est coupé ; cerelais laisse retomber son armature et referme le circuit 77 par REM5 et MR1.
A ce moment les opérations de couplage décrites se ré- pètent, c'est-é-dire que le répétiteur d'impulsions RE5 avance de nouveau pas à pas sous l'action réciproque des re- lais MR1 et MR2. des impulsions éTANT envoyées simultarment au groupe de transit (Fig. 11).
Après l'émission de la pre- miére série d'impulsions pendant laquelle le relais à retar- dement TR' (Fig. Il) a attiré son armature et maintenu par conséquent fermé un circuit 85 par l'aimant de manoeuvre du commutateur suiveur S03' le relais TK a laissé retomber son armature, ce qui fait que le commutateur suiveur SO3' est venu occuper la sixième position dans laquelle le récep- teur d'impulstions TR2est en circuit et prêt à recevoir les impulsions de ladeuxiéme xxxxx série. La deuxième série d'im- pulsions mettra donc maintenant le récepteur d'impulsions
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TR2'en position.
Dans ce cas le nombre des impulsions envoyées à TR2'ast déterminé par la position que le récepteur d'impul- sions RE2 occupe dans l'enregistreur de repérage M (Fig. 10); le relais MT reçoit maintenant du courant par un circuit 84 oorrespondant au circuit 80 et ferme maintenant par des con- taots de RE@ et dans leur troisième position. Après l'é- mission de ces impulsions le commutateur suiveur SO2 passe à sa cinquième position, tandis que le ré .étiteur d'impulsions est ramené à sa position nonnale de la façon décrite précéden ment. Lorsque TK' (Fig. 11) laisse retomber son armature, le commutateur suiveur SO3 du groupe de transit passe* en outre à sa septième po s ition.
Les opérations de couplage peuvent se dérouler de deux façons, suivant que l'appel concerne un abonné du central B ou un abonné du central C. Dans le cas supposé l'abonné du central A a appelé l'abonné ayant le numéro 1351 et relié au oentral B. En conséquence, les récepteurs d'impulsions TR1 et TR2' du groupe de transit du oentral B ont été amenés l'un à la première et l'autre à la troisième position de con- taot. Ces deux récepteurs d'impulsions surveilleront donc maintenant les opérations de couplage de façon que la communi- cation soit établie complètement à l'intérieur du central B sensiblement de la même façon que si l'appel provenait d'un abonné du central B.
La ligne de communication BL sera donc teliée, par l'intermédiaire du groupe de sélecteurs IFV' et IFS' (Fig. 11), à une ligne de communication FL' (Fig. 12) à l'intérieur du central B et à un enregistreur de repérage M' (Fig. 13) qui est alors mis en position par une émission d'im- pulsions de l'enregistreur de repérage M de central A suivant le numéro de l'abonné demandé, après quoi la communication est établie oomplètement par l'intermédiaire d'une paire de sélecteurs SS' et LV'. Les opérations de ocuplage sont les suivantes.
Lorsque SO2 (Fig. 11) arrive à la septième position,
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un circuit 86 est femé'sur un relais à retardement BI' qui attire son armature et coupe le circuit de test 70, ce qui fait que le relais FBR' cesse d'être excité. En même temps le relais TT1. cesse égalaement d'être excité, ce qui fait que la liaison entre la ligne de communication BL et le grou- pe de transit est coupée et que ce groupe est libéré. Lors- que FBR-' laisse retomber son armature, le relais FLR' est remis dans le circuit de ligne au lieu de TA', BI' recevant du courant de maintien par le circuit 87 qui contient les relais de mise en marche IFA', de tous les chercheursd'appel libres IFV' du groupe de chercheurs qui transmet le trafic d'arrivée.
Les chercheurs d'appel IFV' sont misen mouve- ment, de la façon décrite précédemment, par la fermeture d'un circuit 88. Le premier chercheur d'appel qui renoontre la ligne decommunion BL ferme un circuit de test 89, ce qui fait que le relais de coupure FBR' entre en action de nouveau et met le relais de ligne FRL hors circuit. En même temps le chercheur d'appel est arrêté par le fait que le re- lais de test IFT1' attire son armature. Lorsque le relais de test IFT1'attire son armature, le circuit de ligne est fermé par l'intermédiaire des contacts 91,92 par le relais IFA' et une résistance W4 ' . En même temps l'aimant ISM' d'entraînement du chercheur IFS' reçoit du oourant d'impul- sions par le circuit 93, ce qui fait que le chercheur IFS' se met en marche.
Lorsque le chercheur rencontre une ligne de communication libre FL' (Fig. 12) , un circuit de test 94 est fermé; le relais de test IFT'attire son armature et arrête le chercheur. Le circuit de test 94 contient aussi le relais de branchement ST' de l'enregistreur de repérage MX M[ (Fig. 12) et ce relais attire maintenant son armature. En même temps le relais de test IFT2 (Fig. Il) transpose le air- cuit de ligne de façon qu'il soit fermé maintenant par lere- lais à impulsions RA' de l'enregistreur de repérage (Fig, 13).
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Le relais à retardement RH1' est mis en circuit par l'inter- médiaire d'un contact 95 et il ferme de son côté le 'circuit 96 du relais RH2.qui coupe les circuits de rappel des récep- teurs d'impulsions de l'enregistreur. Le relais RH1 provo- que aussi une transposition du circuit de test 94, ce qui fait que ce dernier reste maintenant fermé par l'intermédiai- re d'un contact 97.
Lorsque l'enregistreur a été branché sur la ligne de communication FL', un circuit 98 contenant les relais RSR' (Fig. 13) et BSR' (Fig. 11) se trouve fermé. Le relais BSR' inverse maintenant lesens du courant dans le circuit de ligne 65 sur les contacts 99, 100. Ceci a pour effet que le relais polarisé UFP (Fig, 8) attire son armature, ce qui fait que le circuit 75 est fermé par l'intermédiaire du commutateur suiveur SO2 dans sa cinquième position, e- circuit passant par le relais MK (Fig 10) , aussi bien que par l'aimant SOM2 d'entraînement du commutateur suiveur.
L'aimant SOM2 attire son armature sans faire avancer xxxxxxxxxxxx toutefois le commutateur suiveur. Le relais MK attire égale- ment son armature. Lorsque le relais RSR' (Fig. 13) a attiré son armature, il s'est mis dans un circuit de maintien 101.
En même temps un oirouit à impulsions 102 a été ferme pour l'aimant de manoauvre SOM1 du commutateur suiveur SO1 ce qui a eu pour effet de faire passer le commutateur suiveur à la deuxième position. Le circuit 98 a été coupé et le re- lais BSR' (Fig. 11) a cessé d'être excité. En conséquence le sens du courant est maintenant inversé de nouveau dans le circuit de ligne, le relais polarisé UFP (Fig. 8) laissant retomber son armature et coupant le circuit 75, ce qui fait que le commutateur suiveur SO2 (Fig. 10), avance jusqu'à sa sixième position. En même temps l'excitation du relais MK est coupée.
Dans la sixième position du commutateur suiveur SO2 un circuit 103 est établi, ce circuit contenant le relais -on-
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qui attire son armature et se maintient excité par 104. En outre le relais MB ternie un circuit de rappel 105 Pour)l'ai- mant SOM2 d'entraînement du commutateur suiveur qui est rame- né à sa première position dans laquelle le circuit 105 est coupé. En même temps un circuit 106 est fermé pour le relais MA, qui se maintient excité en fonction du relais RH1,
L'impulsion émise dans le circuit de ligne par le relais BSR' (Fig.
Il) au moment du branchement de l'enregistreur de repérage M' (Fig. 13) a provoqué de la façon indiquée une transposition par laquelle le répétiteur d'impulsions IM (Fig. 10) est actionné maintenant de façon à émettre, sous le contrôle de l'enregistreur de repérage M, un nombre d'im- pulsions correspondant au numéro de l'abonné, impulsions qui sont recdes par l'enregistreur de repérage M' , (Fig. 13).
L'émission des impulsions est déolanohée par le relais MA (Fig, 10) qui reçoit du courant par 107, lorsque SO2 atteint sa premièreposition. Le circuit 77 est alors fermé et le ré- pétiteur d'impulsions RE5 est mis en mouvement de la façon décrite ci-dessus. Pendant que le répétiteur d'impulsions se meut en avant, des impulsions sont émises comme précédem- ment par le relais MR2 , transmises au central B, où elles actionnent le relais à impulsions RA' de l'enregistreur de repérage, M'.
Toutefois, comme le commutateur suiveur SO2 (Fig. 10), se trouve maintenant dans sa première position et que le rirais MB est, excita, le répétiteur d'impulsions est surveillé dans ce cas par le réoepteur d'impulsions RE!, parce que le circuit du ràlais d'arrêt MT est maintenant fenné sur une partie du circuit 84 et sur une partie du circuit 107 par un contact de SO2 MV est mis en action, coupe 77 et arrête RE5.Ln même temps SOM2 reçoit une impulsion par 81, SO2 passant à 1a deuxième position. RE5 est alsoes ramené à la position normale de la façon décrite plus haut. Dans l'inter- valle MV continue à reoevoir du courant par un circuit surveil lé par RE5 et coupe lorsque RE5 atteint sa position normale.
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Dès que MV laisse en conséquence retomber son armature, le circuit 77 est retenue et le répétiteur d'impulsions RE5 est mis en action encore une fois. Cette fois sa mise en position est surveillée par RE3. Lorsque RE5 a été, arrêté sur le oon- tact repéré par RE3, SO2 passe à la troisième position, après quoi RES est remis en position, cette fois sous le contrôle de RE4.
Lorsque les impulsions correspondant aux troisderniers chiffres du numéro de l'abonné ont été envoyés de cette fa- çon au séleoteur de repérage du central B, le commutateur suiveur S02 (Fig. 10) passe à sa quatrième position, dans laquelle un circuit 108 est fermé par le relais SHA, (Fig. 9) qui attire son armature et qui coupe le circuit du relais de branohement ST, ce qui a pour effet de séparer l'enregis- treur M de la ligne de communication FL. Le circuit passant par le troisième oonduoteur reste alors fermé par un contact
109 du relais SHA et une résistance W3. Le relais SHA pro- voque simultanément une transposition du circuit de l'abonné appelant sur les contacts 110, 111, ce qui fait que le oir- cuit mentionné est maintenant famé par le relaisUFA (Fig.8).
Les impulsions émises par le répétiteur d'impulsions IM, (Fig. 10) par l'intermédiaire du relais MR2 ont actionné le relais à impulsions RA' de l'enregistreur de repérage M' XX du central B (Fig. 13) de la façon mentionnée plas haut, ce qui a eu pour effet de mettre l'enregistreur/en position d'une façon analogue à oelle qui a été décrite plus haut par rapport à l'enregistreur de repérage M.
Toutefois, confie le commutateu suiveur SOF'se trouve maintenant dans sa de uxié- me position, le récepteur d'impulsions REF' n'est pas ao- tionné, mais la première série d'impulsions qui correspond au deuxième chiffre du numéro de l'abonné provoquera la mise en position du réoepteur d'impulsions RE2 Cela fait, les récepteurs d'impulsions RE2. et RE4' sont mis exposition par les séries d'impulsions suivantes de la facon décrite précé- -31- cé-
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deJ1.1f.1en t.
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Après la réception de toutes les impulsions le ooinnutatmt suiveur SOl' passa à sa cinquième position dans laquelle un circuit 112 est fe0; c circuit passe par le relais 1 qui attire son armature et fait entrer lerelais de repérage MRS' en action de la fagon décrite plus haut, après quoi la
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aouznunioatioii est- établie de la môm8 façon que pour un appel d'un abonné du même central. Lorsque la oomnunioat-ion a été complètement établie, le relais SHA' entre en action de la façon décrite plus haut, ce qui a pour effet de mettre l'en- registreur XX M' hors circuit. En même temps le oirouit de li-
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gne 65 est commuté de façon à se tonner maintenant sur le r9'"' lais SA' . La communication est ensuite maintenuar les re-' lais SA' et SB' et elle est coupée de la façon décrite préoé- demment.
Lorsqu'une communication de conversation est établie en- tre un abonné du central A et un abonné du central C, cette communication est transmise au central B et la mise en posi- tion des récepteurs d'inpulsions TR1et TR2' du groupe de transit (Fig. 11) a lieu exactement comme cela est décrit
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plus haut. Toutefois TR2' est amené à la oinquimme position, tandis que TRl' est amené comme préoédemmenta, la première pro- sition. Lorsque le commutateur suiveur SO'3 passe à la septié- me position après la mise en position des deux récepteurs d'im- pulsions, un circuit à impulsions 113 est fermé sur l'aimant TVM' d'entraînement du chercheur TV'; oe chercheur se met en mouvement pour chercher une ligne de communication CL allant au central C.
Las lignes de communication CL sont marquées das le chercheur TV' par le fait que le groupe correspondant de contacts de test GG est relié au pôle positif de la batterie
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par l'intermédiaire de TR'2 Toril et SO'3. Lorsque le chercheur TV' rencontre une ligne de communication CL libre, un circuit
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de test 114 est fermé sur le relais de coupureBBR' de la. mène ligne , ce relais attirant son armature et mettant hors air-
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ouit le relais de ligne correspondant FLR'. Le relais de test TT2 qui se trouve dans le circuit attire également son armature et se met dans un circuit de maintien par l'inter- médiaire de 115.
En même temps, le circuit 113 est coupé et le chercheur est arrêté. En , outre, le relais de test TT2 ferme un circuit de ligne 116 qui contient un relais polari- sé TP' (Fig, 11) au central B et le relais/le ligne FLR" de la ligne de communication CL au central C.
Lorsque le central C ne comporte pas de groupe detran- sut, le relais de ligne FLR" actionne le groupe de séleo- teurs d'arrivée IFV", ITS", (Fig. 1); ce qui fait que la ligne de communication est reliée à uneigne de communication libre FL" et à un enregistreur de repérage M". En outre, le sensou courant est inversé dans le circuit de ligne 116 d'une façon analogue à celle qui a été décrite paur lesFigs. 11 12,13 ce qui fait que le relais polarisé TP' (Fig.
Il) atti- re son armature et fenne un ci-cuit 117 qui contient le re- lais BSR', ce relais entrant en action et envoyant une impul- sion au central A, ce qui fait que le répétiteur d'impulsions de ce central envoie à l'enregistreur de repérage M' du central C, de la façon déjà décrite, un nombre d'impulsions correspondant aux trois dernierschiffres du numéro de l'a- bonné. La communication est ensuite définitivement établie de la façon décrite plus haut?.
Si le central C comporte par contre un groupe de transit ce groupe provoque l'émission de deux impulsions verse central A de la façon décrite plus haut. Ceci a pour effet que le commutateur suiveur S02 qui se trouve dans la cin- quième position après la mise en position du sélecteur de direotion au central B, avance maintenant jusqu'à sa septiè- me position dans laquelle le relais MS est remis en circuit, ce relaissermant de son oôté le circuit 77 et mettant en marche le répétiteur d'impulsions RES.
Ce'dernier est main- tenant mis en position comme précédemment, d'abord sous le
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contrôle de RE1, puis sous le contrôle de RE. Lorsque les impulsions correspondant aux deux premiers chiffres du numéro de l'abonné ont été émises encore une fois de cette façon par l'intermédiaire du relais MR1,le commutateur suiveur SO2 passe à sa neuvième position dans laquelle il reste jusque nouvel ordre.
Les impulsions ainsi répétées ont mis les récepteurs d'im- pulsions TR"i et TR" 2 (Fig. 6) du central C en position de façon analogue à celle qui a été décrite précédemment pour Fig. 11. Lorsque l'émissiondes impulsions est.terminée le relAS Bl" est mis en action dans ce cas, ce qui fait que la ligne de communication CL est reliée à une ligne de communciatin EL" et à un enregistreur de repérage M" par l'intermédiaire du groupe de sélecteurs d'arrivée IFV" IFS". La communication est ensuite complètement établie au central A de la façon décrite, sous le contrôle de l'enregistreur de repérage.
Il résulte de cette description que les enregistreurs de repérage M, M'. M" peuvent fonotionner en partie sous for- me de sélecteurs numériques pour établir dès communications locales et en partie sous forme d'enregistreurs pour établir des communicationsavec des abonnés dans les autres centraux.
Dansle deuxième cas, ils fonctionnent de la façon décrite en coopérantavec les répétiteurs d'impulsions 1M, IM' IM' pour envoyer un nombre d'impulsions correspondant au numéro enre- gistr àaux sélecteurs numériquesou aux récepteurs d'impul- siors tels que TM ou M' des autres oentraux. Il est évident que la fonction de surveillance des enregistreurs peut aussi être provoquée au moyen d'impulsions émises par un autre xxxx central et reçues par l'enregistreur du central appelant comme dans les systèmes connus à entraînement mécanique.
L'invention n'est pas , limitée à des systèmes du type dé- crit dans lesquels les sélecteurs numériques (M, TM) ne servent qu'à sélecter des lignes et des groupes de lignes,mais non à. maintenir les communications de conversation; elle peut -34-
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aussi être appliquée aux systèmes usuels dans lesquels les sélecteurs servent également d'organes de branchement par lesquels les lignes entrant dans la communciation de conver- sation sont reliéesentre elles.
REVENDICATIONS.
1. Disposition pour des installationstéléphoniques automatiques dans lesquelles des communicationsde oonversa- tion sont établies sous le oontrôle d'enregistreurs entre des abonnés reliés à des centraux différents, disposition oaraotérisée par le fait qu'un enregistreur (tell que M, IM) est mis en aotion en passant par un ou plusieurs cen- traux intermédiaines ( tels que B) lorsqu'on appelle un autre central (tel que C) de façon à répéter les impulsions de commande servant à sélecter les différents centraux en/- transmettant graduellement la communication d'un central à, l'autre au moyen de sélecteurs de direction (tels que TM") montés aux oentraux intermédiaires et mis en po si tionfous le contrôle de l'enregistreur (M, IM) du central appelant ( A ).