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BREVET D'INTENTION " Disposition pour installations téléphoniques automatiques".
L'invention concerne des installations téléphoniques au- tomatiques comportant plusieurs centraux téléphoniques dont les numéros font la partie de la même série numérique et dans lesquelles les communications entre des centraux ou bureaux dis- tants sont établies par répétition des impulsions numériques correspondant au numéro du bureau désiré avec transmission suc- cessive de la communication à travers un ou plusieurs bureaux intermédiaires.
L'invention concerne un mode de montage simpli- fié de ce genre pouvant être utilisé particulièrement avec avantage lorsqu'il s'agit de grands réseaux téléphoniques ru- raux et lorsque les communications entre des bureaux locaux distants sont établies par des bureaux de croisement ou de transit servant 1'intermédiaires, comme cela est décrit par exemple dans le brevet français n 756.430 du 2 Juin 1933.
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L'invention est caraeté/4;sée .- essentiellement en ce que l'on donne aux bureaux de transit des numéros particuliers et en ce que la communication de conversation est établi, d'abord à partir d'un bureau de transit vers un autre par émission répé- tée d'une série d'impulsions correspondant au numéro du bureau de transit désiré, puisqu'elle est terminée par l'émission des séries d'impulsions correspondant au numéro du bureau local et au numéro de l'abonné. En répétant le numéro du bureau de tran- sit au lieu du numéro du bureau local, comme cela est généra- lement le cas, en obtient une simplification considérable des opérations de couplage et une réduction du temps nécessaire à l'établissement de la communication.
Ces avantages sont basés sur le fait que les numéros des bureaux locaux, lorsqu'il s'a- git de grands réseaux du type en question ont généralement deux ou plus de deux chiffres, tandis que les bureaux de transit, dont le nombre est plus petit, peuvent recevoir des numéros ayant un plus petit nombre de chiffres et en général des numé- ros à un chiffre. Conformément à l'invention, la communication peut donc être transmise par les bureaux de transit intermé- diaires par répétition d'une seule série d'impulsions indivi- duelles, tandis que, dans le système connu jusqu'ici, deux ou plus de deux séries d'impulsions doivent être répétées pour l'établissement de la partie correspondante de la communication.
Dans les installations téléphoniques automatiques sans accumulateurs ou enregistreurs, il faut naturellement que les numéros des bureaux de transit figurent dans les annuaires té- léphoniques des abonnés. L'abonné appelant/émet d'abord la série d'impulsions correspondant au numéro du bureau de transit, série qui est répétée de façon connue jusqu'à ce que la communication ait été transmise au bureau de transit désiré, où l'abonné re- çoit un signal de ronfleur indiquant que les impulsions corres- pondant aux autres chiffres du numéro de l'annuaire des télé- phones peuvent être émises.
Dans les systèmes à accumulateurs, les numéros des bureaux
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de transit n'ont pas besoin de figurer dans les numéros de l'annuaire, qui n'a besoin de contenir que le numéro du xxx bureau local avec le numéro suivant de l'abonné. En accumulant le numéro du bureau local, l'accumulateur détermine directe- ment le numéro du bureau de transit correspondant.
Dès que le numéro du bureau local a été accumulé, l'accumulateur émet la série d'impulsions correspondant au numéro du bureau de transit, série qui est répétée automatiquement jusqu'à ce que la com- muni cation ait été transmise au bureau de transit correspon- dant, après quoi un signal de retour, envoyé sur la communica- tion, agit sur l'accumulateur de façon que ce dernier inter- rompe l'émission de la série d'impulsions mentionnée et émette la série d'impulsions correspondant au numéro du bureau local, après quoi l'établissement de la communication est terminée de façon connue.
On décrira l'invention en détail en se référant aux des- sins annexés :
Fig.l est un schéma d'un réseau téléphonique dans lequel l'invention est appliquée, Fig.2 et 6 sont des schémas représentant des dispositions d'organes de couplage et de circuits dans les bureaux locaux,
Fig.3 et 5 sont des vues de dispositions à l'intérieur des bureaux de transit lorsque les lignes de communication sont branchées sur ces bureaux, et Fig.4 est une vue d'un accumulateur d'un bureau de transit.
En Fig.l, A 11, A 12, A 13, etc... sont des bureaux locaux automatiques et T 1, T 2, T 3, etc.... sont des bureaux de tran- sit. Ces derniers sont des points de croisement pour les lignes de communication partant d'un certain nombre de bureaux locaux ou de bureaux de transit. Le bureau de transit T 1 est par exem- ple le point de croisement pour les lignes de communication F 11, f 12, F 13, venant des bureaux locaux a 11, A 12, A 13 et, d'une façon analogue, les autres bureaux de transit 2, T 4 - T 8 sont chacun le point de croisement pour un groupe de bureaux
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locaxu, comme le montre Fig.l. Le bureau de transit T 3, par contre, est un point de croisement pour des lignes de communica- tion partant d'un certain nombre de bureaux de transit T @,T 4, T 5,T 6.
Les bureaux de transit sont reliés entre eux par des lignes de communication F 1, F 2, F 3, etc... Dans les systèmes téléphoniques que l'on rencontre généralement, le bureau de transit T 1 est reporté par exemple vers l'un des bureaux lo- eaux correspondants, par exemple le bureau A 11, et il est com- biné arec le commutateur téléphonique local qui s'y trouve, tandis que le bureau de transit T 2 est reporté part exemple vers le commutateur téléphonique local A 21, etc.... Dans le réseau téléphonique représenté dans le dessin, le trafic de transit est entièrement séparé du trafic local.
L'équipement n nécessaire, au bureau, pour le premier trafic mentioné est plus central par rapport aux bureaux locaux correspondants et il est reporté vers des localités pouvant être choisies tout à fait indépendamment des situations des postes d'abonnés, les bureaux de transit n'ayant pas de ligne d'abonné reliée direc- tement à ces postes. Les divers bureaux de transit, qui peuvent généralement se trouver à des distances considérables les uns des autres, peuvent ainsi être mis en rapport entre eux, dans ces positions, de façon que les lignes de communication entre eux soient aussi courtes que possible. On supposera que l'un des bureaux locaux est un central téléphonique relativement grand 0, comportant un central interurbain particulier Ic ca- pable d'assurer le service interurbain arrivant de, ou dirigé vers, tous les bureaux représentés.
On supposera que toutes les lignes de communication sont des lignes téléphoniques or- dinaires à deux fils.
L'établissement des communications de conversation entre les abonnés reliés à des bureaux différents a lieu, dans l'ins- tallation représentée à titre d'exemple dans le dessin, à liai- de d'accumulateurs montés dans les bureaux de transit T 1, T 2, T 4, etc... auxquels les bureaux locaux sont reliés. Les bureaux
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de transit sont des bureaux entièrement automatiques, compor- tant des sélecteurs de groupes, mais n'ayant pas de sélecteurs de lignes. Dans l'exemple représenté, on a supposé que les bureaux locaux portant des numéros contenus dans la même série de numéros et accumulés de façon connue dans les accumula libers avec les numéros des abonnés demandés.
Les numéros des abonnés série n'ont pas besoin d'être oontenus dans une seule et même/de nu- méros valable pour l'ensemble du réseau ; au contraire, les xxxx numéros des abonnés des différents bureaux locaux peuvent for- mer des séries de numéros indépendantes les unes des autres, les bureaux locaux pouvant ainsi avoir chacun une capacité aus- si grande que l'on veut et indépendante de celle des autres, ou être augmentée successivement de façon quelconque. Un bureau local, par exemple A 11, porte donc le numéro 11, tandis que le numéro A 45, porte le numéro 45. Lorsqu'il s'agit d'appeler l'abonné numéro 80, relié au bureau A 45, on pose d'abord le numéro 45 - 80 sur les disques digitaux.
Conformément à l'in- vention, les bureaux de transit portent aussi des numéro par- ticuliers, qui, toutefois, ne sont pas contenus dans les numé- ros émis par l'abonné au moment de l'appel. Dès qu'un accumula- teur d'un bureau de transit a reçu le numéro du bureau local appelé, il détermine par conversion le numéro du bureau de tran- sit correspondant. Dans l'établissement de communications entre des abonnés de bureaux différents, la communication est établie en partie sous l'action d'un accumulateur qui reçoit le numéro du bureau local demandé ainsi que le numéro de l'abonné, cette opération ayant lieu d'abord successivement à partir d'un bu- reau de transit vers un autre, par émission répétée de la série d'impulsions correspondant au numéro du bureau de transit deman- dé.
La communication est ensuite transmise au bureau local de- mandé, en concordance avec le numéro de bureau accumulé, après quoi elle est terminée au bureau local en concordance avec le numéro d'abonné accumulé.
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Dans l'exemple représenté dans les dessins, les bureaux locaux automatiques comportent des accumulateurs assurant ex- clusivement le trafic local et le trafic venant d'un bureau de transit. On supposera que la disposition est telle que le trafic local puisse 'être assuré entièrement à l'intérieur du bureau local sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à des appareils du bureau de transit on à une ligne de connexion al- lant à ce bureau. Lorsqu'il s'agit d'appeler un abonné relié au même bureau, le numéro du bureau peut être entièrement sup- primé ou écarté de façon convenable, de façon que la mise en position dessélecteurs puisse avoir lieu exclusivement en con- cordance avec le numéro de l'abonné demandé.
Pour appeler un abonné d'un autre bureau, on actionne un dispositif du bureau central au moyen d'impulsions correspondant à un certain chif- fre directeur, par exemple le chiffre 0, l'abonné étant ainsi relié à une ligne de connexion de départ et à un accumulateur du bureau de transit correspondant. L'abonné met ensuite l'ac- cumulateur du bureau de transit en position en concordance avec le numéro du bureau ou de l'abonné demandé, ces deux numéros étant indiqués dans l'annuaire des téléphones, après quoi la communication est complètement établie de la façon indiquée plus haut sous l'action de l'accumulateur.
Toutefois, l'inven- tion n'exclut pas l'application de systèmes dans lesquels on a aussi recours accidentellement, pour des opérations locales, à des registres du bureau de transit; dans ce cas, il faut aussi utiliser pour ces opérations le numéro du bureau, ainsi que le numéro de l'abonné.
On décrira, maintenant le fonctionnement des organes de cou- plage représentés en Fig. 2 à 6, en même temps que les opéra- tions de couplage dans l'établissement d'une communication de conversation entre un abonné du bureau A 11 ( Fig.l), et un abonné du bureau A 54. Les bureaux de transit T 1, T 2, et 7T 6 interviennent dans l'établissement de cette communication de
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conversation. Les couplages nécessaires au bureau A 11 pour une communication de départ sont indiqués en Fig. 2 et le bureau de transit T 1, à l'accumulateur duquel on a recours, est re- présenté en Fig. 3 et 4. Les bureaux de transit 1 T 2 et T 6, par l'intermédiaire desquels la communication est transmise sans l'aide des accumulateurs de ces bureaux, interviennent dans la communication de la façon indiquée en Fig. 5.
Les cou- plages effectués au bureau A 54 pour une communication qui ar- rive, sont indiqués en Fig.6. On n'a représenté dans les des- sins que les circuits ayant une importance pour l'explication de l'invention. Lorsqu'un abonné P 1 du bureau A 11 (Fig.2) décroche son appareil; ce dernier est mis en circuit de façon connue, par l'intermédiaire de deux chercheurs S 1, S 2 et re- lié à une ligne de communication FL 1 et à un accumulateur RE 11 au bureau A 11. Si l'abonné P 1 désire établir une communica- tion avec un autre abonné à l'intérieur du bureau A 11, par exemple avec le numéro 14, il ne pose que ce numéro sur son disque digital, après quoi la communication est complètement établie de la façon ordinaire avec la ligne de l'abonné numéro 11.
Pour établir une communication avec un abonné d'un autre bureau, il faut que l'abonné P 1 prenne un certain chiffre di- recteur, par exemple le chiffre 0. Lorsque l'accumulateur EE 11, reçoit une série d'impulsions correspondant à ce chiffre, il provoque de façon connue la transmission de la communication à une ligne de communication F 11 partant du bureau A 11, au lieu de la transmettre à une ligne d'abonné, cette transmission étant effectuée par la fermeture d'un circuit 2 sur un contact 1 et sur un relais R 11 d'une ligne de communication de départ libre F 11. Ce circuit 2 passe par un contact de repos 3 d'un relais non représenté, qui maintient son armature attirée lors- que la ligne de communication F 11 est occupée par une communi- cation de conversation établie vers le bureau local A 11.
En effet, la ligne de communication F 11 est destinée à servir pour le trafic venant du bureau A 11 aussi bien que pour le
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trafic allant à ce bureau, Lorsque le relais R 11 attirer son armature, il ferme sur son contact 4 un circuit à impulsions passant par l'aimant d'entraînement FSM 1 d'un chercheur FS 1 relié à la ligne de communication, ce chercheur étant ainsi mis en mouvement. Lorsque ce chercheur rencontre la ligne de commu- nication appelante FL 1, il ferme un circuit de test 5 passant par un relais de test R 12, par l'intermédiaire d'un contact
6 du relais R 11. Le relais R 12 attire immédiatement son arma- ture et arrête le chercheur FS 1 en coupant, sur son contact 7, le circuit d'entraînement de l'aimant FSM 1.
En outre, le re- lais R 12 ferme sur ses contacts 8, 9 un circuit de ligne 10 passant par l'appareil appelant et par un relais R 13, et il coupe le circuit 2 du relais R 11 par son contact 11. Lorsque le relais R 13 est maintenant excité, il ferme sur son contact 12 un circuit passant par un relais R 14 à désexcitation retar- dée, qui attire immédiatement son armature. Lorsque le relais R 11 abandonne son armature immédiatement après et coupe son contact 6, le relais de test R 12 reste excité dans un circuit passant par un contact 13 du relais R 14.
En outre, le relais de test R 12 a fermé auparavant sur son contact 14 un circuit passant par un relais R 15 qui transpose alors la ligne de com- munication F 11 pour le trafic de départ. en effet, la ligne de communication F 11 est reliée normalement, par les contacts de repos 15, 16 du relais R 15, xx xx xxxxx à une partie de ligne destinée au trafic arrivant du bureau de transit T 1. Lorsque le relais R 15 est excité, il coupe les contacts 15, 16 et re- lie la ligne F 11 par des contacts 17, 18, à la partie de ligne servant au trafic de départ. Un sppasl est alors produit au bu- reau de transit T 1.
En effet, un circuit 20 est fermé sur les contacts 17, 18 par un contact 19 du relais R 13, ce circuit passant par un relais R 16 et par les deux branches de la ligne de communication F 11, par un relais d'alimentation en courant R 20 d'une ligne de communication L 1 et aboutissant au bureau
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T 1 (Fig.3). Le circuit 20 passe par une résistance M 1 calcu- lée de façon que le relais R 16 ne soit pas actionné par le cou- rant, tandis que le relais R 20 attirer son armature. Les deux circuits d'alimentation 10 et 20 sont séparés l'un de l'autre par des condensateurs 01, 0 2 sur la ligne de communication F 11 arrivant au bureau A 11.
Le circuit 20 passe par deux con- tacts de repos 21,22 d'un relais R 19 qui maintient son arma- ture attirée, lorsque la ligne de communication F 11 est utili- sée pour le trafic allant du bureau de transit T 1 vers le bu- reau local A 11. Le relais R 20 ferme sur son contact 23 un circuit passant par un relais R 21 qui, de son côté, ferme sur son contact 24 un circuit passant par un relais à retardement R 22 et par la position de départ du sélecteur de groupe RV 1 du bureau de transit. Lorsque le relais R 22 attire son armatu- re, il est bloqué automatiquement par son contact 25. Il reste donc excité, même lorsque le séleoteur RV 1 quitte sa position départ. Le relais R 22 provoque la mise en marche de chercheurs RS faisant partie d'accumulateurs libres au bureau de transit.
En effet, le relais ferme sur le contact 22 uncircuit 27 pas- sant par le relais à retardement R 23 (Fig.4) et par la position de départ du commutateur suiveur SO 1 des accumulateurs. Lors- qu'un relais R 23 attire son armature, il ferme sur son contact 28 un circuit à impulsions passant par l'aimant d'entraînement RSM 1 d'un tel chercheur RN 1. Lorsque le chercheur RS 1 ren- contre d'abord la ligne de communication L 1, il ferme, par deux contacts de travail 30, 31, des relais R 22 et R 23, un circuit de test 29 passant par deux relais R 24 (Fig.4) et R 25 (Fig.3).
Le relais R 24 arrête le chercheur RS 1 en coupant sur son con- tact 32 le circuit d'entraînement de l'aimant RSM 1. Lorsque le relais R 25 attire son armature, il coupe par son contact 33,34 le circuit 20 du relais R 20, qui abandonne maintenant son armature. Lorsque le relais R 21 abandonne par conséquent aussi son armature, il coupe le circuit passant par le contact 24 et par le relais R 22. Toutefois, ce relais reste excité
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Par un circuit passant par un contact de travail 35 du relais R 25. Par contre, le circuit 20 passant par la ligne de commu- nication F 11, restera fermé par le contact 36, 37 du relais R 24 et par un relais d'alimentation en eourant R 26 de l'ac- cumulateur du bureau de transit.
Lorsque le relais R 26 attire son armature, il ferme, sur son contact 38, un circuit passant par un relais à retardement R 27 qui ferme en partie sur son contact un circuit à impulsions 40 passant par l'aimant d'en- traïnementSON 1 du commutateur suiveur SO 1 de l'accumulateur et en partie sur son contact 41 un circuit de ronfleur 42 pas- sant par une partie d'enroulement du relais R 26. Lorsque le commutateur suiveur SO 1 avance maintenant d'un pas et passe à sa deuxième position, le circuit à impulsions 40 est coupé, ce qqui que le commutateur suiveur SO 1 reste provisoirement dans cette position. Par suite de la fermeture du circuit 42 du ronfleur/, un signal est envoyé par le bureau à l'abonné appelant P 1 qui pose ensuite sur son disque le numéro qu'il désire obtenir.
Si l'abonné désire, par exemple, se mettre en communication avec un abonné du bureau A 54, il pose le numéro 54 du bureau, puis le numéro de l'appareil faisant partie du bureau A 54, par exemple le numéro 21. Lorsque l'abonné P 1 provoque, pendant l'émission xxx d'impulsions, des interrup- tions dans le circuit 10 du relais R 13, ce relais marque les impulsions par des interruptions du contact 19. En même temps, le relais R 13 coupe bien, à plusieurs reprises, par son con- tact 12, le circuit du relais R 14, mais ce relais maintiendra son armature attirée par suite de son action à retardement.
Pendant l'émission des impulsions, le relais R 13 émet, par son contact 43, des impulsions passant par un relais R 17 qui, par suite de son action à retardement, maintient son armature attirée pendant une série d'impulsions. Pendant l'émission d'impulsions sur la ligne de communication F 11, le relais
R 17 provoque sur son contact 44 un shuntage du relais R 16, ce qui fait que le circuit à impulsions passant par la ligne
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F 11, est débarrassé de toute charge inutile.
Pour chaque interruption sur le contact 19 dans le circuit du relais R 26, ce relais abandonne son armature et marque une impulsion par la fermeture d'un contact 45. En même temps, le circuit du re- lais R 27 est bien coupé, mais ce relais maintient son armatu- re attirée pendant les interruptions, à cause de l'action à retardement. La série d'impulsions correspondant au premier chiffre, série qui est par exemple de cinq impulsions, est émise en passant par le contact 45 dans un circuit passant par la deuxième position du commutateur suiveur SO 1 et par l'ai- mant d'entraînement MVM d'un sélecteur marqueur MV 1 de l'ac- cumulateur, les bras de contact du sélecteur étantamenés à la sixième position.
En ce qui concerne les commutateurs suiveurs SO et les sélecteurs MV, KV et RV représentés dans les dessins, on a supposé que la position de départ ou première position se trouve à l'extrémité de gauche des barres de contact et ran- gées de contacts représentées horizontalement. Dans une position par exemple, la première, un bras de contact d'un sélecteur ou commutateur suiveur, par exemple le bras de contact supérieur du commutateur suiveur SO 1 relie le premier contact de la rangée supérieure de contacts à la barre supérieure de contact.
Les commutateurs suiveurs SO et les sélecteurs MV, KV et RV sont construits de façon que leurs bras de contact avancent d' un pas chaque fois que l'aimant d'entraînement correspondant abandonne son armature. Pendant la première série d'impulsions, des impulsions sont envoyées par le contact 45 à un relais à retardement R 28. Le relais R 28 maintient son armature atti- rée jusqu'à la fin de la série d'impulsions, puis il coupe sur son contact 46 un circuit 47 passant par l'aimant d'entraine- ment SOM 1. Ceci a pour effet de faire passer le commutateur suiveur SOL de sa deuxième position à sa troisième position.
La érie suivante d'impulsions actionnera, en passant par la troisième position du commutateur suiveur SO 1 et par la si-
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xième position du sélecteur MV 1, l'aimant d'entraînement
MVM 2 du sélecteur marqueur MV 2, aimant qui est relié à cette position de contact. Les séries suivantes d'impulsions action- neDont chacune un sélecteur marqueur par l'intermédiaire du commutateur suiveur SO 1. Dans ce cas toutefois, les sélecteurs
MV 3 et MV 4 sont seuls actionnés, parce que le numéro demandé ne comprend que quatre chiffres en tout.
Dès que l'abonné P 1 a posé les deux premiers chiffres, c'est-à-dire le numére xxx du bureau local demandé, l'accumulateur détermine si la commu- nication de conversation doit être transmise à un bureau local appartenant au bureau de transit T 1 ou à un bureau local appar- tenant à un autre bureau de transit.
Dans ce cas, lorsque l'abonné P 1 a posé le numéro 54 sur son disque, il faut d'abord transmettre la communication au bu- reau de transit T 6. Cette opération est provoquée par l'émis- sion d'une série d'impulsions correspondant au numéro du bureau de transit T 6. Le numéro du bureau de transit T 6 est déter- miné de la façon suivante, par conversion du numéro du bureau 54 dans l'accumulateur. 'Le sélecteur MV 1 a été amené à sa si- xième position par cinq impulsions de courant, Un certain sé- lecteur MV 2 amené à sa cinquième position par quatre impulsions, se trouve branché par l'intermédiaire de ces positions de con- tact du bras supérieur de contact du sélecteur MV 1. A l'inté- rieur de chaque accumulateur il y a plusieurs sélecteurs MV 2.
La mise en position de MV 1 par le premier chiffre décide celui de ces sélecteurs auxquel il faut avoir recours. Les sélecteurs MV 1 et MV 2 indiquent le numéro du bureau de transit auquel appartient le bureau numéro 54, cette indication étant donnée par le repérage, dans un sélecteur de commande KV 3, d'une position correspondant au numéro de ce bureau de transit.
En effet, l'avant-dernier bras de contact du sélecteur MV 1, à partir du bas, est relié, dans sa sixième position, par l'in- termédiaire du bras de contact supérieur du sélecteur MV 2,
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dans la cinquième position de ce sélecteur, et par l'intermé- diaire d'une planchette de distribution RK, à un contact dans la septième position du sélecteur de commande KV 3. Si le nu- méro du bureau local avait été 64, le même sélecteur marqueur MV 2 aurait été utilisé. En effet, chaque sélecteur marqueur MV 2 est utilisé pour vingt bureaux locaux.
Dans ce cas, toute- fois, c'est la septième position du sélecteur MV 1 qui aurait été marquée par l'intermédiaire du deuxième bras de contact du sélecteur MV 2, à partir du haut, dans la cinquième position de ce sélecteur, et par l'intermédiaire de la planchette de distribution RK du sélecteur KV 3. Pour l'émission du numéro du bureau de transit les opérations de couplage sont les suives tes.
Lorsque le commutateur suiveur SO 1 est amené à sa troi- sième position après la deuxième série d'impulsions, un cir- cuit à impulsions 48 est fermé par l'aimant d'entraînement KVM 3 d'un sélecteur de commande KV 3. Le circuit 48 passe par un contact tel du sélecteur KV 3, contact qui n'est fermé que dans la position de départ du sélecteur, que le circuit 48 soit interrompu lorsque le sélecteur KV 3 a avancé d'un pas. Dans cette position un contact 50 est fermé sur le sélecteur, ce contact n'étant coupé que dans la position de départ. Il s'éta- blit, par l'intermédiaire de ce contact 50, un circuit à impul- sions 51 passant par l'aimant d'entraînement KVM 3 et par un relais R 29 qui ferme, à chaque impulsion, sur son contact 52, un circuit 53 passant par l'aimant d'entraînement RVM 1 du sé- lecteur de direction RV 1 du bureau de transit.
En conséquence, les sélecteurs RV 1 et KV 3 sont actionnés simultanément pas à pas. Lorsque le sélecteur KV 3 atteint, pendant son mouvement , une position correspondant au bureau de transit T 6 sur lequel la communication doit être branchée, un circuit 54 est fermé par l'intermédiaire 4 cette position (position sept du sélec- teur), ce circuit passant par les positions établies sur les sélecteurs MV l et MV 2 et par deux relais R 30 et R 32. En
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effet, comme on l'a déjà dit, les positions de contact données aux sélecteurs VM 1 et MV 2 lorsque le numéro 54 leur a été transmis, sont reliées par la planchette de distribution BK à la septième position du sélecteur KV 3.
Lorsque le relais R 30 attire son armature, il coupe le circuit à impulsions 51 sur son contact 56, ce qui a pour effet d'arrêter les sélec- teurs KV 3 et RV 1, En conséquence, le sélecteur RV 1 est ame- né pas à pas à une position correspondant au numéro du bureau de transit voulu.
Lorsque le relais R 30 est excité, ce relais se maintient automatiquement excité par son contact 57 dans un circuit pas- sant par la résistance M 3 et par un contact 58 du relais R 27 et il ferme par son contact 59 un circuit passant par un relais à retardement R 31 qui ferme, sur son contact 60, un circuit à impulsions 61 passant par l'aimant d'entraïnement KVM 3. Le circuit 61 passe par un contact de travail 62 du relais R 30 et par le contact 50 du sélecteur KV 3, qui est par conséquent amené à sa position de départ dans laquelle le contact 50 est interrompu. Dans la postion de départ du sélecteur KV 3. le relais R 30 est shunté et il abandonne son armature.
Comme le relais R 30 maintient son armature attirée, un circuit 62 passant par l'aimant d'entraînement KVM 1 du sélec- teur KV 1 est maintenu fermé sur un contact 63. Lorsque le re- lais R 30 laisse retomber son armature, le sélecteur KV 1 est amené à sa deuxième position, ce qui empêche toute nouvelle émission d'impulsions vers l'aimant d'entraînement RVM 1 du sélecteur RV 1. Pendant l'émission d'impulsions dans le circuit
53 vers l'aimant d'entraînement RVM 1, le relais à retardement
R 33 maintient son armature attirée. Lorsque l'émission de la série d'impulsions est terminée, ce relais ferme sur son con- tact 64 un circuit passant par la position de départ du sélec- teur RV 1 et par un relais GR 1 commun à un groupe de lignes de connexions coordonné à cette position.
Le relais GR 1, qui
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est désexcité à retardement, ferme de son côté des circuits passant par des relais individuels R 34 de mise en action de sélecteurs FV. Un tel relais de mise en action, par exemple R 34, appartient à une ligne de connexion libre F 1 et il est exoité dans un circuit 66 par l'intermédiaire d'un contact 67 du relais GR 1. Le circuit 66 passe par un contact de repos, non représenté, d'un relais appartenant à la partie d'arrivée de la ligne de connexion FL, contact qui correspond au contact 68 du relais R 22. Ce relais reste désexcité, lorsque la ligne de connexion est libre. Le relais R 34 ferme sur son contact 69 un circuit à impulsions passant par l'aimant d'entraînement FVM 1 d'un sélecteur FV 1 de la ligne de connexion FL.
Lorsque ce sélecteur rencontre la ligne de connexion L 1 qui contient les condensateurs C 3, C 4, limitant les circuits passant par les lignes de oonnexion F 11 et F 1, un circuit de test 70 pas- sant par le relais de test R 35 et le relais à retardement R 36 e se trouve fermé. Le relais R 35 attire immédiatment son arma- ture et coupe sur son contact 73 le circuit d'entraînement pas- sant par l'aimant FVM 1, ce qui a pour effet d'arrêter le sé- lecteur FV 1. En outre, le relais R 35 se maintient excité par son contact 75 et ferme sur son contact 76 un circuit passant par un relais R 37. En attirant son armature, le relais R 36 coupe sur son contact 77 le circuit du relais GR 1 qui laisse immédiatement retomber son armature et coupe les circuits des relais de mise en action.
Le relais R 37, qui correspond au premier relais mentionné R 19, transpose la ligne de connexion F 1 sur ses contacts 78, 79 pour le xxxxx trafic de départ, ce qui établit un circuit d'appel 81 passant par la ligne de con- nexion et par un relais R 61 Fig. 5, pour aboutir au bureau T 2.
Ce circuit d'appel contient en outre un relais R 38 au bureau T 1 et une résistance M 2 au bureau T 2. La résistance M 2 est calculée de façon que le relais R 61 soit seul actionné. Lorsque
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le relais R 61 est excité, ce relais ferme sur son contact 82 un circuit 83 passant par un relais R 62, qui ferme de son côté, sur son contact 84, un circuit passant par un relais R 63 désex- cité à retardement. Ce relais provoque un changement de position du sélecteur de direction RV 2 au bureau T 2, en fermant un air- cuit à impulsions, 87, sur le contact 86, ce circuit passant par l'aimant d'entraînement RVM 2 du sélecteur RV 2. Le sélec- teur est amené à sa deuxième position dans laquelle le circuit 87 est coupé sur le balai de contact du sélecteur.
Dans la deuxième position, par contre, un circuit à impulsions 88 pas- sant par l'aimant d'entraînement RVM 2 et par un enroulement d'un relais R 64 se trouve fermé, ce qui a pour effet d'amener le sélecteur de direction à sa troisième position dans laquelle le circuit 88 est coupé. Lorsque l'impulsions qui a provoqué ce dernier mouvement a traversé le relais R 64, ce relais a court-circuité la résistance M 2 pendant quelques instants sur son contact 89. Pendant ce court-circuit le relais R 38 attire son armature et ferme sur son contact 90 un circuit passant par un relais à retardement R 39. En conséquence, ce dernier relais maintiendra son armature attirée pendant un petit laps de temps pendant lequel il ferme sur son contact 91 un circuit 92 passant par un relais R 40, Fig.4.
Lorsque le relais R 40 attire son armature pendant un petit instant, il ferme sur son contact @@@ 93 un circuit passant par un relais R 41/ à retardement. Ce re- lais attire immédiatement son armature et arrête, en coupant un contact 94, le fonctionnement de deux relais de surveillance R 42, R 43. Ces relais sont destinés à provoquer un signal d'oc- cupation lorsque toutes les lignes de connexion F 1 sont occu- pées, on lorsque, pour une autre raison, la communication ne peut pas être complètement établie avec le bureau T 2.
Ce signal d'occupation est envoyé lorsque le temps nécessaire pour rétablissement de la communication jusqu'au bureau T 2 sous l'action de l'accumulateur dépasse une certaine valeur.
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En effet, le relais R 42 qui est désexcité à retardement attire son armature lorsque le relais R 30 ferme le contact 96 dès qu'il est excité et ferme sur son contact 97 un circuit passant par le relais R 43 également désexcité à retardement. Le relais R 43 attire immédiatement son armature et coupe sur son contact 98 le circuit fermé par le contact 96 et passant par le relais R 42, En même temps, le relais R 43 est maintenu excité par son contact 99 sous la dépendance du contact de repos 94 du relais R 41 et il $ imprime des oscillations à un ressort pen- le dulaire P. Tant que le pendule P oscille,/relais R 42 reçoit des impulsions par l'intermédiaire d'un contact 100. Ces impulsions ont pour conséquence que le relais R 42 maintient son armature attirée.
Si le relais R 42 laisse retomber son armature avant que le relais R 43 ne laisse retomber la sienne par suite de la coupure mentionnée plus haut, du contact 94, un circuit 104 passant par le relais R 33 est fermé par l'intermédiaire des contacts 102,103 des relais R 42 et R 43, le relais R 33 fer- mant alors sur son contact 105 un circuit 106 passant par un re- lais R 44. Lorsque ce relais attire son armature, il ferme sur son contact 107 un circuit alternatif pour la source de courant SU, ce circuit passant par une partie de l'enroulement du re- lais R 20, ce qui a pour effet d'envoyer un signal d'occupation à l'abonné P 1. D'autre part, lorsque le contact 94 est coupé avant l'expiration du temps déterminé pour l'opération de cou- plage, cette opération a lieu de la façon suivante.
Lorsque le relais R 40 attire son armature, il ferme sur son contact 93, comme on l'a vu plus haut, un circuit passant par le relais R 41, Ce relais, qui agit à retardement, maintient son armature attirée pendant un peu de temps après que le relais R 40 a lais- sé retomber la sienne. Il s'établit par les deux contacts 110, 111, un circuit passant par un relais R 51. Ce relais se main- tient directement excité par son contaat 113 et par la position de départ du sélecteur RV 3 dans un circuit 112.
Lorsque le
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relais R 41 a aussi laisse retomber son armature, il s'é- tablit un circuit à impulsions 114 par l'intermédiaire des contacts 115, 116, ce circuit passant par le contact 49 du sélecteur KV 3 et par l'aimant d'entraînement KVM 3, ce qui a pour effet de faire passer le sélecteur KV 3 à sa deuxiè- .,-ne position. Dans oette position le circuit à impulsions 51 est refermé sur le contact 50, ce qui fait que le sélec- teur se trouve ramené à la position marquée par les sélec- teurs MVL et MV 2 par l'intermédiaire de la planchette de distribution RK, position qui correspond au numéro de bureau de transit T 6. Le nombre d'impulsions nécessaire à oet effet est marqué par le relais R 29 sur son contact 117.
Un nombre d'impulsions égal à celui des impulsions envoyées auparavant à l'aimant d'entraînement RMV 1 est envoyé main- tenant au relais R 50, par l'intermédiaire du contact 117 et d'un contact de repos 118 du relais R 39, Fig. 3, dans un circuit qui coïncide sensiblement avec le circuit 92.
Le relais R 50 est monté en série avec un redresseur de demi-ondes KL 1, qui ne laisse passer le courant que dans le sens dans lequel ce courant arrive au relais R 50 par le contact 117. Pendant l'émission de cette série d'impul- sions vers le relais R 50, les relais R 30, R 31, R 32, R 42 et R 43 sont aotionnés de la même façon que pendant 1' émis- sion de la série d'impulsions vers l'aimant RVM 1. Après l'émission le sélecteur KV 3 retourne à sa position de dé- part comme précédemment. Au moment de la réoeption de oha- que impulsion le relais R 50 ooupe sur son contact 119 le circuit 81 fermé sur la ligne de connexion FL. Ceci a pour effet d'actionner les relais R 61 et R 62 au bureau T 2, Fig. 5, en concordance aveo les impulsions.
Le relais R 62 répète les impulsions sur son contact 121 et les envoie par un circuit 122 à l'aimant d'entraînement RVM 2, ce qui fait\que le sélecteur RV 2 avance à partir de sa troisième
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position en concordance avec la série d'impulsions pendant laquelle un relais à retardement R 73 maintient son armatu- re attirée. Ce relais, qui correspond au relais R 33 du bu- reau de transit T 1, ferme sur un contact 123, lorsque l'émission de la série d'impulsions est terminée, un air- cuit passant par la position donnée au sélecteur RV 2 et par un relais GR 2 commun à un groupe de lignes de oonnexion ooordonné avec cette position. De même que pour le relais GR 1 du bureau T 1, ce relais fait partie d'un groupe de lignes de connexion aboutissant à un autre bureau de tran- sit, dans ce cas le bureau T 6.
Le relais GR 2 actionne maintenant les relais R 34- R 77 qui correspondent aux relais R 34 - R 37 du bureau T 1 et qui font partie d'une ligne de connexion F 2, ce qui fait que le sélecteur FV 2 est actionné pour chercher au bureau T 2 la ligne de connexion appelante L 2. L'àppel- est transmis au bureau T 6 par les oontaots 28,29 du relais R 77, de la même façon que précé- demment pour le bureau T 61 relativement aux appels vers le bureau T 2. Le bureau T 6 qui est identique au bureau T 2 n'est pas représenté dans les dessins. Pendant l'appel les dispositifs de couplage du bureau T 6 sont actionnés de façon oorrespondante à ceux du bureau T 2 pendant l'ap- pel du bureau T 1.
Lorsque le sélecteur de direction du bureau T 6 est amené à la position voulue pour la réception -de la série d'impulsions indiquant le numéro du bureau de trasit, un relais R 78 du bureau T 2 attire son armature pendant un instant, comme oétait le cas pour le relais R 38 du bureau T 1. Le relais R 78 ferme alors sur son contact 130 un circuit 131 passant par un enroulement, monté en série aveo un redresseur KL 2, du relais R 64 qui shunte alors sur son contact 89 la résistance M 2. Ceci a pour effet de provoquer, de la même façon que précédemment une émission d'impulsions vers le relais R 61 pendant le rnouve-
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ment du sélecteur HV 3.
Lorsque le relais R 62 marque ces impulsions, d'autres impulsions sont envoyées par le contact
132 au relais R 80 monté en série avec un redresseur etcor respondant au relais R 50 du bureau T 1. Sur le contact
133 le relais R 80 répète les impulsionsreques et il les en- vide au sélecteur de direction du bureau T 6, qui se trouve amené à la même position -que le séleoteur RV 2. Comme l'appel concerne un\bureau local relié au bureau de transit
T 6, le sélecteur de direction du bureau T 6 marquera dans cette position que l'appel est destiné à un bureau local.
En effet, la position à laquelle le sélecteur de direction a été amené correspond au bureau de transit T 6, comme on l'a supposé précédemment. un
On décrira maintenant, en se référant à Fig. 5, la façon dont une ligne de oonnexion allant au bureau looal demandé est cherchée. Si l'appel avait été destiné à un bureau local appartenant au bureau T 2 représenté en Fig. 5, le sélecteur de direction RV 2 aurait été amené à une posi- tion , la sixième, dans laquelle du courant est envoyé à un relais R 81 dans un circuit 134.
Lorsque le relais R 81 attire son armature, il se maintient excité par son contact 136 et provoque une transposition telle de l'ensemble des circuits pour le sélecteur RV 2, que celui-ci peut continuer à aviser. En effet, un circuit correspondant au circuit à impulsions 87 etpassant par 11 alliant d'entraînement RVM 2 est fermé sur le con tact 135 du relais R 81, par la sixiéme position du sélecteur RV 2. Le sélecteur RV 2 se trouve aànsi amené de sa sixième position à la septième position, dans lacuelle un circuit correspondant au circuit à impulsions
2 88 et passant par 1 aimant d'entraïnement RVM/e par le re- lais R 64 se trouve fermé.
Les impulsions émises sur les cir- cuits 87 et 88 ont une durée plus longue que celle des im- pulsions normales de couplage. sousl'action de oeh impul-
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sions le séleoteur RV 2 est avancé de deux pas et amené à sa neuvième position, le relais R 64 étant aussi actionné deux fois pour envoyer un signal du bureau à 1'accumula- teur du bureau de transit T 1. Dans les opérations de oouplage décrites précédemment, cesignal du bureau était constitué par une seule impulsion et il indiquait que la série d'impulsions correspondant au bureau de transit devait être répétée. Le signal envoyé maintenant par le bureau in- dique qu'il faut émettre la série suivante d'impulsions, c'est-à0dire une série d'irnpulsions correspondant au numéro du bureau local.
Comme précédemment, le signal du bureau est reçu par le relais R 40 et ce relais attire son armatu- re deux fois en agissant la première fois sur le relais R 41 de façon que ce dernier attire son armature. Lorsque le relais R 40 laisse retomber son armature dans l'inter- valle entre les deux impulsions, le relais R 51 attire aussi son armature. Lorsque le relais R 40 attire ensuite son armature pour la deuxième fois, il ferme par un contact 141 du relais R 51 un circuit 140 passant par l'aimant d'entraînement KVM 2 du sélecteur KV 2 qui avance ainsi d'un pas et passe de sa position de départ à sa deuxième position.
Dans cette position du sélecteur de commande KV 2 les bras de contact des sélecteurs MV 1 et MV 2 ont été mis en circuit par l'intermédiaire du bras de contact de ce sélecteur de commande et par l'intennédiaire de leurs positions de réglage, d'une façon analague à celle qui a été déorite précédemment relativement au réperage du numéro du bureau de transit, une position indiquant le numéro d'ordre du bureau local demandé à l'intérieur de la portée du bureau de transit appelé a été marquée sur le séleoteur de commande K V 3. Ce numéro d'ordre, par exem- ple le numéro 4 ,est envoyé de la façon suivante.
Lorsque le relais R 41 laisse retomber son armature après la deu-
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xième impulsion, il ferme le circuit à impulsions 114 qui passe par l'aimant KVM 3, le sélecteur de commende passant à sa deuxième position. Dans cette position le oirouit à im- pulsions 51 est fermé, ce qui fait que le sélecteur de com- mande KV 3 est amené à la position dans laquelle le numéro du bureau local est marqué, o'est-à-dire à la position 6.
Dans cette position un circuit 143 passant par les relais R 30 et R32 est fermé ocmme pour le circuit 54, le circuit à impulsions 51 passant par le relais R 30 étant coupzzésur le contact 56. Dans l'intervalle le relais R 29 a envoyé au sélecteur de direction RV 2, de la même façon que préoé- de.:.ment, une série de quatre impulsions correspondant au nuit- ro du bureau local. Le sélecteur RV 2 passe ainsi de la posi- tion de réglage dans laquelle le relais R 81 a été mis en circuit à une nouvelle position dans laquelle une ligne de oonnexion libre, allant au bureau local demandé, est cherchée au moyen d'un relais de groupe GR de la même façon que celle qui a été décrite préacédemment. L'appel a lieu sur cette li- gne comme d'habitude à partir du bureau de transit.
De la même façon que celle qui vient d'être décrite le sélecteur de direction correspondant du bureau de transit T 6 a cherché la ligne de connexion F 54 aboutissant au bu- reau A 54, aux dispositifs de couplage représentés en Fig. 6.
Un circuit d'appel 150 est alors fe rmé par un relais R 82 Mente en série avec une résistance M 4, par l'intermédiaire de contacts 151, 152 d'un relais R 83 correspondant au re- lais R 15 du bureau A 11. La résistance M 4 est calculée comme les résistances M 1 et M 2 , de façon que le relais R 82 soit excité, ce qui n'est pas le cas, par contre, aveo un relais monté dans le circuit 151 au bureau T 6 et aorres- pondant au relais R 78 du bureau T 2. Le relais R 82 ferme sur son contact 153, au bureau A 54, un circuit 154 passant par un contact 155 fermé dans la position de départ du sélec-
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teur de direction RV 4 ce circuit passant par un relais R 84.
Le relais R 84 ferme sur son contact 156 un circuit passant par un relais à retardement R 85 qui ferme sur son contact 157 un circuit, de maintien pour le relais R 84. En outre, le relais R 85 ferme sur son contact 158'un circuit passant par un relais R 86 qui, à son tour, ferme sur son contact 159 un circuit à impulsions passant par l'aimant d'entraînement ASM d'un chercheur d'appel libre AS au bu- reau A 54. Lorsque le chercheur AS rencontre la partie d'ar- rivée de la ligne de connexion F 54, un circuit de test 161 est fermé sur deux relais R 85 et R 88 par des contacts 162,163 des relais R 85 et R 86. En coupant son contact 164 le relais R 87 arrête le chercheur d'appel .
Le relais R 88 ferme sur son contact 165 d'une part un circuit à im- pulsions passant par la première position du sélecteur RV 4, et d'autre part, un circuit à implosions 166 passant par les quatre positions suivantes du sélecteur et par l'aimant d'entraînement RVM 4. Le sélecteur de direction est d'abord amené à sa deuxième position, puis il avance de quatre pas pour passer de sa deuxième à sa sixième position, dans laquelle le circuit 166 est interrompu. Un relais R 89 monté dans le circuit 166 marquera alors quatre impulsions en shuntant quatre fois la résistance M 4 sur son contact 167, le relais monté dans le circuit 150 au bureau T 6 attirant quatre fois son armature. Ce dernier relais répète ces impulsions et les transmet au relais R 78 de la même façon que ce dernier relais les transmet au relais R 38 par le circuit 131, le relais R 64 et lecircuit 81.
Le relais R 38 répète ensuite les impulsions et les transmet par le relais R 39 et par le circuit 92 au relais R 40. de l'accumulateur du bureau de transit T 1. Cette série d'im- pulsions de retour venant du bureau A 54 indique le nombre de chiffres que doit contenir la série de numéros destinée au
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bureau 54. Comme les accumulateurs des bureaux de transit sont construits de façon à pouvoir émettre le nombre maximum de chiffres que l'on rencontre dans l'installation, il faut marquer dans l'accumulateur combien il y aura lieu d'envoyer da chiffres au moment de l'établissement d'une certaine communication de conversation.
Comme l'installation décrite est disposée de façon que les bureaux locaux, qui sont construits parr un nombre variable d'abonnés, puissent être agrandis sans qu'il soit nécessaire d'apporter une mo- difioation quelconque à l'intérieur de l'installation dans des bureaux autres que le bureau local dont il s'agit, il est avantageux que le repérage en question soit provoqué par le bureau local appelé. Ce repérage du bureau local appelé indique également à l'accumulateur du bureau de transit T 1 s'il a reçu la totalité du numéro de l'abonné appelant.
En effet, pour une raisonquelconque, un abonné peut hésiter à poser par exemple le dernier ohiffre.C'est pourquoi il faut que l'accumulateur soit disposé de façon à ne pas être ins hors circuit avant que l'abonné n'ait posé la totalité du numéro. Les quatre impulsions du bureau A 54 impulsions marquées par le relais R 40,provoquent l'opération de couplage suivante. La première impulsion actionne l'aimant d'entraînement KVM 2 par le contact 93 et par la deuxième position du sélecteur KV 2, ce qui a pour effet de faire passer le sélecteur KV 2 à sa troisiè- me position. Les impulsions suivantes sont envoyées à l'ai- mant d'entraînement KVM 1 par cette position de contact et sur un circuit 171, ce qui fait passer le sélecteur KV 1 de sa deuxième à sa cinquexx position.
L'une des quatre impulsions émises par le bureau local A 54 sert donc à transposer les circuits en faisant avancer d'un pas le sé- lecteur de commande KV 2, tandis que les trois autres im- pulsions servent à indiquer combien de chiffres le numéro
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de l'abonné doit oontenir. L'accumulateur représenté en Fig. 4, est construit pour deux chiffres du bureau, chiffres qui doivent être envoyés aux sélecteurs MV 1 et MV 2 et au maximum pour cinq chiffres dans le numéro de l'abonné.
Ces cinq chiffres aotionnent successivement les sélecteurs MV 2 - MV 7. Pour la communication de oonversation décrite on a supposé que le bureau A 54 a une grandeurtelle que le numéro de l'abonné n'ait que deux chiffres. Les trois im- pulsions reçues par le sélecteur de commande KV 1 font passer ce sélecteur à une position telle qu'un nombre cor- respondant de sélecteurs MV 5, MV 6, MV 7, c'est-à-dire les trois derniers, n'interviennent pas dans l'émission du nu- méro de l'abonné; enconséquence ce numéro sera constitué par les deux chiffres enregistrés par les sélecteurs Mv 3 et MV 4. Toutefois, avant l'émission du numéro de l'abonné, l'accumulateur émet une série d'impulsions indiquant la na- ture de l'appel.
Les communications établies dans l'installation repré- sentée peuvent êtr'e les appels locaux venant d'abonnés reliés à un bureau local, ou des appels interurbains établis par
IC l'intermédiaire du bureau interurbain 10. En ce qui concer- ne la communication de conversation décrite,qui est une communication locale, une émission supplémentaire est émise.
Après la réception de la série d'impulsions émises par le bureau local et aotionnant les relais R 41 et R 51, le air- cuit 114 est refermé lorsque le relais R 41 laisse retomber son armature et ferme le contact 115, le relais R 51 mainte- nant en outre le contact 116 fermé pendant un instant. Le sélecteur de commande KV 3 est alors amené à sa deuxième position dans laquelle le circuit d'entraînement 51 est fermé, après quoi le séleoteur KV 1 avance enoore d'un pas et passe à sa troisième position . Dans cette position de contact un circuit 19{ est fermé par l'intermédiaire d'un
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contact de repos 196 d'un relais marqueur interurbain
IR et par la troisième position du sélecteur KV 2, ce oir- cuit passant par les relais R 32 et R 30.
Le relais R 30 coupe le circuit 51 et le sélecteur KV 3 est arrêté. Le relais R 29 monte dans le circuit 51 envoie une impulsion vers le relais R 82, Fig. 6, de la même façon que celle qui est décrite précédemment, ce qui fait avancerd'un pas le sélecteur RV 4. Le relais R 82 coupe en effet le circuit du relais R 84 pendant un oourt instant sur le contact 201 et de son coté le relais R 84 envoie une im- pulsion vers l'aimant d'entraïnement RVM 4 sur son contact 202 par un circuit 203. Le sélecteur RV 4 est arrêté dans sa septième position. Si la communication établie avait été une communication intermmoaine, deux impulsions auraient été émises.
Dans les bureaux de transit, par exemple T 7, Fig. l, auxquels aboutissent des lignes de connexion venant
IC de bureaux interurbains 10, les lignes de oonnexion utili- sées pour les appels interurbains qui arrivent sont reliées aux panneaux multiples du oheroheur de registre RS, de telle sorte que le relais marqueur interurbain IR attire son armature lorsque l'accumulateur est relié au bureau de transit. Dans le cas de l'accumulateur représenté en Fig,4, le relais IR aurait été actionné, dans le cas oorrespondant, au moment de la fermeture du circuit 53.
Si la ligne de oon- nexion L 1, Fig. 3, avait été destinée à reoevoir des ap- pels interurbains, l'aimant d'entraînement RVM 1 aurait été relié en effet à un point tel du panneau de contact du chercheur RS 1 que le relais IR aurait été actionné par le courant du circuit 53. Lorsque le relais IR attire son armature, il se maintient excité par son contact 197 et shunte sur son contact 198 la partied'enroulement qui, dans ce cas, se trouve dans le circuit 63. En outre, il coupe le contact 196 et ferme un contact 199.
Ceci a pour
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conséquence que le sélecteur de commande KV 3 reste d'abord, au moment de l'émission du chiffre indiquant la nature de l'appel, dans sa quatrième position dans laquelle un cir- ouit oorrespondant au circuit 195 est fermé par le contact 199 et passe par les relais R 30 et R32 . En pareil cas les deux impulsions ont traversé le relais R 29, qui émet par conséquent deux impulsions vers le séleoteur RV 4 au bu- reau A 54. Le sélecteur avance alors de deux pas, au lieu d'un seul, oomme oela a été décrit précédemment relative- ment à la communication établie, et il reste imnobile dans sa huitième position.
Dans cette position un appel interur- bain est marqué dans le registre RE 54 au bureau A 54 par un circuit204 et l'établissement de la oommunioation est provoqué de façon oonnue, au bureau A 54, sous forme de communication interurbaine. Que le sélecteur RV 4 reste maintenant imnobile dans sa septième ou dans sa huitième position après la réception de la série d'impulsions qui indique le genre d'appel, un circuit 205 est fermé et passe par un relais R 95 qui attire son armature et supprime, entre les deux branohes de la lignede la partie qui arri- ve de la ligne de oonnexion A 54, une communication préoé- demment établie par le contact de repos 206 du relais R 95 et le contact de travail 207 du relais R 88 . Ces bmnohes de la ligne sont ensuite reliées uniquement par le ocntaot 208 du relais R 84.
Lorsque les deux séries d'impulsions oorrespondant au numéro de l'abonné P 2 sont marquées par les relais R 82 et R 84, oes impulsions peuvent être répé- tées par le oontaot 208 et transmises au registre RE 54 par un circuit fermé sur le contact 208 et contenant de façon oonnue un relais réoepteur d'impulsions dans l'accumulateur RE 54.
En effet, le registre RE 54 a été relié oorane d'habitu- de, pendant le oouplage au bureau A 54 à la ligne de commu- nioation qui arrive T 54 par l'intermédiaire d'un chercheur
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85. Lorsque l'accamulateur a reçu les séries d'impulsions corraspondant au numéro de l'abonné, il établit la communica- Û-or¯ avec l'abonné appelant P 2, par exemple par l'interné- diaire de sélecteurs S 3, S 4.
Les séries d'impulsions oorrespondant au numéro de l'a- bonné sont émises de la façon suivante par l'accumulateur du bureau de transit T 1. Lorsque le relais R 30 attire son armature après l'émission des impulsions correspondant au gen- re d'appel, il provoque, de la façon déorite précédemment, le rappel du sélecteur KV 3 à la position de départ dans laquelle le relais R 30 est shunté. Lorsque le relais main- tient son armature attirée, un circuit 212 est fermé et passe par l'aimant d'entraînement KVM 2. Dès que le relais R 30 cesse d'être excité, le sélecteur KV 2 passe en oonséquenoe de sa troisième position à sa quatrième position.
Un circuit à impulsions 213, passant par l'aimant d'entraînement KVM 3 est alors fermé , ce qui a pour effet de faire passer le séleoteur KV 3 à sa deuxième position. Lorsque le sélecteur KV 3 sort de sa position de départ, le circuit à impulsions 51 est fermé et le séleoteur est amené à une position marqués par le sélecteur marqueur MV 3. Si le numéro de l'abonné est 21, le sélecteur MV 3 a marqué le ohiffre 2 pour les dizaines et le sélecteur MV 4 le chiffre 1 pour les unités.
Lorsque le séleoteur de commande KV 3 à fait deux pas à par- tir de sa deuxième position, un circuit 214 se trouve fermé et passe par la deuxième position du sélecteur MV 3, par la quatrième position du sélecteur de commande KV 3 et par les relais R 30 et R 32, ce qui arrête le sélecteur KV 3. Dans l'intervalle , deux émissions ont été émises comme d'habitude par le relais R 29 et elles ont été reçues, de la façon déorite précédemment, par l'accumulateur R 54 du bureau A 54.
Le sélecteur KV 3 est ensuite ramené comme précédemment à sa position de départ et le relais R 30 fait avancer d'un pas le sélecteur KV 2, qui passe à la cinquié e position. Dans
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cette position, le ohiffre marqué par le sélecteur MV 4 est maintenant transmis de la façon qui vient d'être décrite, te le sélecteur KV 2 passe à sa sixième position. Cette posi- tion a été marquée par le sélecteur KV 1 lorsque ce dernier a été mis en position par trois impulsions venant du bureau A 54. Un circuit 215 est maintenant fermé en passant par la position de contact du sélecteur KV 2 et par un relais de coupure R 45 (fig. 3) qui coupe l'accumulateur sur ses con- tacts 216,217, 218. Les relais R 26, R 27 , etc... cessent d'être exoités dans l'accumulateur.
Le relais R 27 ferme sur le contact 242 pour le sélecteur KV 1 un circuit de rap- pel qui passe par l'aimant d'entraînement KVM 1 de ce sélec- teur et par le contact de rappel 243. Lorsque ce sélecteur atteint sa position de départ, l'aimant d'entraînement du sélecteur KV 2 est mis en circuit et les aimants d'entraîne- ment des sélecteurs MV 7, -MV 1 et du commutateur suiveur SO 1 sont ensuite mis successivement en circuit, ce qui fait que tous oes sélecteurs sont ramages à leur position de dé- part.
Lorsque le couplage est terminé à l'intérieur du bureau A 54, il peut arriver que l'abonné demandé P 2 soit oooupé.
On supposera que le bureau A 54 est construit de façon connus de telle sorte que ceci soit indiqué, sur des dispositifs que comporte la ligne de connexion FL 4, par la fermeture d'un circuit 220 contenant un relais R 96. Ce relais ferme sur son contact 221 un circuit de rappel 222 passant par l'aimantd'entraïnement RVM 4. Ce circuit de rappel est d'a- bord fermé dans une partie de ligne passant par la septième position du sélecteur et immédiatement après par la huitième position et par les positions suivantes du sélecteur, jusqu'à ce qu'il soit coupé dans la position de départ. Le circuit 227 contient le relais R 89, qui marque les impulsions de rap- pel sur son contact 167 comme d'habitude.
Des impulsions
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sont ainsi envoyées au relais R 38 (Fig. 3) qui, à chaque impulsion, ferme un circuit passant par le relais R 39. De son côté, ce dernier relais ferme, à chaque impulsion, un circuit 224 passant par un contact de travail 225 du relais R 45 et par un relais R 46 qui émet également un certain nombre d'impulsions par son contact 226 pour un relais R 47 désexcité à retardement. Ce dernier relais prépare sur son contact 228 un circuit passant par un relais R 48 également désexcité à retardement, ce circuit étant fermé dèsque le relais R 46 laisse retomber son armature pendant un intervalle entre deux impulsions.
En outre, le relais R 47 ferme sur son contact 229 un circuit passant par un relais R 49, mais ce relais, lorsqu'il est excité, agit avec un retard tellement grand qu'il n'a pas le temps d'attirer son armature et de couper le contact 231. Le relais R 44 est maintenant excité par l'intermédiaire des contacts 226 et 231 et d'un contact de travail 230 du relais R 48. Le relais R 44 envoie un signal d'occupation à l'abonné appe- lant, de la même façon que celle qui est mentionnée plus haut, et provoque la coupura de la communication.
Si l'abonné appelé est liere, un signal d'appel est envoyé comme d'habitude à cet abonné, un signal indiquant que la ligne est lire étant envoyé à l'abonné appelant.
Lorsque l'abonne appelé répond, il s' établit de façon oon- nue un circuit 231 passant par un relais R 93 qui supprime alors sur son contact 232 la communication mentionnée plus haut, passant par le contact 208 entre les deux branches de la ligne de connexion F 54, qui établit complètement sur ces contacts 233, 234 la communication entre les deux abonnas P 1, P 2 et qui cet hors circuit le relais R 82 et la résistance M4. Le relais R 78 reçoit maintenant des dispositifs d'alimentation en courant du bureau A 54 un cou- rant assez intense pour entrer en action. Les relaisR 38, R 39 et R 46 (Fig, 3) sont également actionnés de la façon
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décrite précédemment.
Le relais R 49 reçoit maintenant une impulsion de courant tellement langue qu'il attire son armature et empêche l'émission d'un signal d'occupation en ooupant le contact 231. En outre, la résistance M 1 est shuntée par le relais R 46, le relaisR 16 (Fig. 2) étant actionné de façon à attirer son armature. Le comptage des communications a lieu de façon connue. En outre,le relais R 16 ferme sur son contact 236 un circuit de maintien supplé- mentaire passant par le relais R 14. Lorsque l'abonné appelé P 2 repose son appareil,le circuit est d'abord interrompu par le relais R 78, ce qui fait que les relais R 38, R 39, R 46, R 49 et R 16 oessent d'être excités.
Lorsque l'abonné P 1 repose ensuite son appareil, la communication est complé- tement coupée par le fait que le'relais R 16 laisse retomber son armature et coupe sur son contact 12 le reste du circuit passant par le relais de dégagement R 14. Le dégagement a été préparé lorsque le relais R 16 a cessé d'être excité et qu'il a coupé sur son contact 236 l'un des deux circuits dars le squels le relais R 14 a été excité pendant la période de conversation. Lorsque le relais R 14 laisse retomber son armature , il coupe le circuit passant par le relais R 17 et le circuit de test passant par le relais R 12, ce qui fait que tous les organes de couplage du bureau A 11 sont ramenés à leur position normale.
Au moment du dégagement au bureau A 54 le circuit 231 passant par le relais R 93 est coupé comme d'habitude, ce circuit ayant été fermé au bureau A 54 lorsque l'abonné P 2 a répondu. Lorsque le relais R 93 cesse d'être excité, le circuit passant par le relais R 84 est ooupé, xx ce relais restant excité pendant la conversation par un contact 240 du relais R 93 .
Lorsque le relais R 85 oesse par conséquent aussi d'être excité, les circuits passant par les relais R 87, R 88, R 95 R 96, etc... sont ooupés. Le séleoteur RV 4 est ramené à sa
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position de départ dans un circuit à impulsions passant par un contact de repos 241 du relais R 85 et par un oon- tact 242 du sélecteur, contact qui est coupé dans la posi- tion de départ. Au moment du dégagement au bureau T 1 les relais R 21, R 22, eto.. cessent d'être excités lorsque le relais R 20 a oessé d'être excité, comme cela est dit plus haut. Lorsque le relais R 22 laisse retomber son arma- ture, un circuit de rappel pour le sélecteur RV 1 est fermé sur le contact 245.
Lorsque le relais R 61 a cessé d'être excité au bureau T 2, les autres relais R 62, R 63, etc... ont aussi laissé relouer leur armature. Lorsque le relais R 63 laisse retomber son armature, un circuit de rappel pour le sélecteur RV 2 se trouve fermé.
Dans l'installàtion téléphonique décrite et représentée dans les dessins, chaque bureau local est relié à un bureau de transit. Confonnément à l'invention, une communication de conversation est d'abord établies.partir d'un bureau de transit vers un autre par un& émission répétée d'une série d'impulsions oorrespondant au numéro du bureau de transit demandé , après quoi la communication est transmise par émis- sion d'une série d'impulsions correspondant au numéro du bureau local demandé et complètement établie par l'émission du numéro de l'abonné. La série d'impulsions correspondant au bureau de transit T 6 est alors émise à partir de l'ao- cumulateur du bureau de transit T 1 (Fig.
4), tant qu'un si- gnal dirigé en arrière et constitué par une impulsion ac- tionne l'accumulateur. Ce n'est qu'après qu'un signal d'un autre genre, également dirigé en arrière et constitué par deux impulsions, actionne l'accumulateur, que la série d'im- pulsions correspondant au numéro du bureau local est émise.
Lorsqu'un nouveau signal de retour, constitué par plusieurs impulsions actionne ensuite l'accumulateur, le numéro de l'a- bonné est envoyé. Lorsqu'une installation est construite
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de telle sorte que oertains bureaux locaux ne soient re- liés qu'à d'autres bureaux locaux, le principe de l'inven- tion peut naturellement aussi être appliqué de façon qu'une émission répétée de la série d'impulsions correspondant au numéro du bureau local est également émise jusqu'à ce que la communication de conversation ait été transmise par des bureaux looaux intermédiaires, au bureau local de- mandé.
Lorsque le numéro du bureau local a été marqué dans le sélecteur KV 3 et lorsqu'une émission d'une série d'im- pulsions correspondant à ce numéro a été effectuée vers le bureau de transit désiré, une répétition de cette émis- sion peut avoir lieu comme pour l'émission de la série d'impulsions correspondant au bureau de transit T 6, tant qu'un signal de retour constitué par une impulsion aotionne l'accumulateur . Ce n'est que lorsque l'accumulateur re- çoit un signal de retour constitué par plusieurs impulsions que l'émission du numéro de l'abonné a lieu.
REVENDICATIONS.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.