BE477778A - - Google Patents

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BE477778A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B61RAILWAYS
    • B61LGUIDING RAILWAY TRAFFIC; ENSURING THE SAFETY OF RAILWAY TRAFFIC
    • B61L7/00Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks
    • B61L7/06Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks using electrical transmission
    • B61L7/08Circuitry
    • B61L7/088Common line wire control using series of coded pulses

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Interface Circuits In Exchanges (AREA)

Description


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  Système de commande à distance. 



   La présente invention est relative aux systèmes de commande à distance et, plus particulièrement,aux systèmes cen- tralisés de commande du trafic pour chemins de fer, comportant un bureau et un certain nombre de stations reliés par des li- gnes sur lesquelles des signaux de code à impulsions sont transmis pour provoquer le fonctionnement des dispositifs com- mandant le trafic situés le long de la vole et pour indiquer l'état de ces dispositifs dans le bureau. 



   Le système selon l'invention est du type à code à temps, utilisant des codes d'éléments longs et courts qui sont transmis, un à la fois, dans un circuit à ligne unique et il est basé sur le système décrit dans le brevet des   Etats-Unis     n .2.229.249   du 21 Janvier 1941. Le système selon la présente invention comporte certains perfectionnements par rapport à celui décrit dans ce brevet et relatifs à l'utilisation d'un 

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 circuit à ligne de batterie centrale du type à pont décrit dans le brevet des Etats-Unis n .2.303.875 du 1er. Décembre   1942,   afin de permettre l'utilisation simultanée des mêmes lignes par le système centralisé de commande du trafic et pour d'autres communications. 



   Les constituants du système selon l'invention sont de préférence assemblés sous forme d'unités de code et d'emmaga- sinage contenant chacune un groupe de relais. Le système utili- se   tme   unité de code de station à   chaque   endroit sur place pour transmettre des codes d'indication et pour recevoir de façon sélective des codes de commande, avec une unité d'emmagasinage de station pour chaque groupe d'unités des dispositifs comman- dant le trafic, pour associer des dispositifs avec l'unité de code de station.

   L'installation du bureau comporte de préférence un tableau de commande individuel pour chaque groupe d'unités des dispositifs   commandant,le   trafic et une unité de code de bureau qui est reliée par le circuit aux unités de code de sta- tion pour établir la communication de façon sélective entre chaque tableau et l'unité d'emmagasinage de station correspondante. 



   Selon   l'invention,   une unité d'emmagasinage de sta- tion nécessite moins de relais que précédemment, par suite de Inexistence d'une paire de relais d'emmagasinage qui fonc- tionnent alternativement et successivement pour enregistrer la nature d'une série d'éléments de code, à la place d'une série de relais d'enregistrement, un pour chaque élément comme on le faisait précédemment. une autre caractéristique de l'invention est constituée par les dispositions perfectionnées d'association d'unités d'emmagasinage de stations supplémentaires avec la même unité de code, en réduisant le nombre de relais nécessaire lorsque le nombre des dispositifs commandés en un endroit est plus grand que celui. qui est Commandé et indiqué par un seul code 

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 composite.

   Un nombre limité d'unités d'emmagasinage peut être relié directement à l'unité de code de la station, comme pré- cédemment, et en outre, des groupes auxiliaires des relais de sélection,appelés unités en   "pyramide"   peuvent être interposés pour assurer la communication des unités d'emmagasinage supplé- mentaire, une seule unité de code de station étant nécessaire en un endroit, même bien que le nombre de dispositifs commandés soit suffisant pour absorber la capacité totale du système. 



   Suivant une autre caractéristique de l'invention, il est prévu un relais de mise en route du type normalement excité à chaque unité d'emmagasinage de station remplaçant deux relais, ainsi qu'il le fallait précédemment, et il est également plus efficace en fonctionnement. 



   L'invention, disposée de façon à indiquer le déplace- ment des trains, comporte un dispositif perfectionné "d'em- magasinage OS de voie" pour assurer la transmission d'une indication du déplacement   d'un   train dans une section de voie particulière, même si le circuit n'est pas disponible lorsque le mouvement du train a lieu. 



   Le système selon l'invention comporte également de nombreux perfectionnements de circuit grâce à quoi le synchro- nisme des relais qui mesurent les longueurs des éléments de code est commandé de façon plus exacte, ainsi qu'on le verra plus loin, en augmentant ainsi la marge de sécurité du système et en le faisant fonctionner convenablement dans une gamme étendue de modifications de la tension de la batterie locale. 



   L'invention porte encore sur des dispositions perfec- tionnées permettant de fonctionner effectivement et simultané- ment sur un circuit qui sert au fonctionnement de sélecteurs d'appel téléphonique, sans interférence. 



  L'invention comporte, dans le bureau, des dispositifs - 

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 empêchant la réception   d'un   code contenant une erreur manifeste comme cela peut se produire du fait d'une faute, lorsque deux stations essayent de transmettre en même temps différents appels de code. 



   D'autres avantages et particularités de l'invention ressortiront de la description qui va suivre,   d'un   type d'appa- reil selon l'invention et de plusieurs variantes de celui-ci en se référant aux dessins annexés dans lesquels: 
Les figures 1A, 1B et 1C, prises simultanément, repré- sentent sous forme condensée   l'installation   de bureaux utili- sés dans un type de système centralisé de commande du trafic selon l'invention. L'appareil. des figures 1A, et 1B comporte; l'unité de code de bureau, servant à engendrer et à envoyer les signaux de code (que l'on appellera ci-dessous pour simplifier, des "codes") de commande au circuit de ligne et pour recevoir des codes d'indication.

   La figure 10 représente un tableau in-   dividuel   contenant les leviers et les lampes servant à comman- der et indiquer un groupe d'unités typiques de dispositifs commandant le trafic sur   place,   avec les relais sélectifs servant à associer le tableau avec l'unité de code du bureau. 



     Il   est entendu que chaque tableau est relié de façon analogue mais à l'aide d'une disposition différente de relais sélecteurs. 



   Les figures 2A et 2B et 2C, prises ensemble, repré- sentent l'appareil correspondant à un endroit sur place typi- que, disposé de la façon voulue lorsqu'il n'y a qu'un groupe d'unités de dispositifs commandés à cet endroit. L'appareil des figures 2A et 2B, avec la partie de gauche de la figure 2C comporte l'unité de code de station, tandis que la partie de droite de la figure 2C représente les relais   d'une   unité d'emma- gasinage de station convenant pour la commande   d'un   groupe ty- pique de dispositifs commandant le trafic.

   La figure 2C comporte - également un schéma de voie représentant un groupe de ce genre, 

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 qui, comme représenté, comporte un changement de voie actionné mécaniquement et un groupe de signaux tels que ceux qui sont couramment associés avec une extrémité d'une voie de croisement sur une ligne à voie unique. Il est entendu que la partie d'uni- té de code représentée sur la figure 2C est disposée de façon à assurer des connexions pour une à cinq unités d'emmagasinage de station, telles que celle représentée. 



   La figure 3 représente les circuits des unités en pyra- mides dont il a été question ci-dessus et remplace la partie de gauche de la figure 2C dans les plans'des circuits lorsqu'il est nécessaire d'avoir des connexions pour des unités d'emmaga- sinage supplémentaires. 



   La figure 4 représente une variante   d'une   partie d'une unité de code de bureau qui remplace la partie supérieure de la figure lA dans les plans de circuit, lorsque le système doit utiliser un circuit par lequel des sélecteurs téléphoniques sont commandés, cette vue représentant également une roue de code typique et un appareil servant à transmettre des appels de code de sélecteurs. 



   La figure 5 représente une autre variante d'une partie de l'unité de code de bureau de la figure lA, comportant un circuit servant à commander un relais de transmission secondai- re TS que l'on peut utiliser lorsque le bureau de commande est situé en un point intermédiaire de la ligne ou pour satisfaire à d'autres conditions de ligne spéciales. 



   Sur la figure 1A, on voit deux fils de ligne Y et Z qui vont du bureau aux différentes stations et constituent un circuit pour le système centralisé de commande du trafic, pouvant être également utilisé pour des communications télé- phoniques et télégraphiques comme on l'a dit au sujet des fils de ligne analogues du brevet 2.303.875   ci+dessus.   Comme cela est représenté, ce circuit est normalement excité,

  par du 

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 courant provenant de la batterie 80 du bureau dont la borne po- sitive est normalement reliée au fil   Y   et la borne négative au fil Z par les contacts de repos b et d   d'un   relais inverseur de pôle PC et d'un relais transmetteur du bureau OE et par les enroulements d'un filtre passe-bas approprié LPF et des codes de commande sont transmis en ouvrant et en fermant le circuit par manoeuvres périodiques du relais   OT.   Le circuit comporte égale- ment des contacts de repos et d d'un relais d'exclusion X, prévu suivant une caractéristique de l'invention, et, en outre,

   le primaire   d'un     transfornateur à   impulsions RT au moyen duquel le relais de ligne de bureau OR est commandé lorsque des codes d'indication sont reçus et le contact normalement fermé d'un bouton DB au moyen duquel on peut ouvrir la ligne à la main.

   Le relais OR est du type polaire à retenue, comme indiqué dans le dernier brevet cité, et fonctionne du fait d'impulsions de pola- rité alternativement opposées, fournies par le transformateur RT lorsque le courant de ligne varie du fait du fonctionnement   d'un   relais émetteur de station T, tel que   représente   sur   la   figure   2A.   Des codes d'indication sont transmis par le relais de commande T de façon à relier périodiquement les fils de ligne l'un à l'autre par une impédance de valeur relativement faible par comparaison avec l'impédance normale du circuit. 



     A   chaque station locale, comme représenté sur la fi- gure 2A, un relais de ligne R à résistance élevée est monté entre les fils   Y   et Z en série avec une résistance W1, la liai- son comportant normalement des contacts de repos b et d d'un relais principal M et les enroulements   d'un   filtre passe-bas LPF analogue à celui du bureau. Les relais de ligne de station R sont du type polaire polarisé et ils sont normalement excités en parallèle, chaque relais fermant ses contacts de gauche et b, comme représenté, lorsque sa borne de gauche est positive 

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 et fermant ses contacts de droite a et b lorsqu'il est excité en sens inverse, avec sa borne de droite positive ou lorsqu'il est désexcité.

   La liaison de   l'appareil   de station avec les fils Y et Z de la ligne est commandée par un relais de fautes RPP, d'une façon qui sera indiquée ci-dessous, mais comme ce relais n'entre pas en jeu dans le fonctionnement normal du système, on peut admettre pour l'instant qu'il reste dans sa position exci- tée normale, représentée. 



   Chaque relais de ligne de station R commande un groupe de relais de synchronisation à libération lente L1, L2, LP, LB et LPB. Ces relais de synchronisation sont normalement désexci- tés et sont commandés par le relais R pour commander la trans- mission et la réception des codes suivant les conditions de la ligne de la même façon que les relais désignés de façon analo- gue dans le premier des brevets précités. Leur durée de libéra- tion est commandée de même par des redresseurs électroniques, comme représenté, les redresseurs servant également à empêcher la formation d'étincelles par contact et à réduire au minimum l'usure des contacts, comme expliqué dans le brevet en question. 



   Le système selon l'invention est disposé de façon à utiliser des codes comportant chacun 16 stades et, dans   chaque   code de commande émis par le relais transmetteur de bureau OT, le circuit est ouvert pendant chaque stade impair et fermé à chaque stade pair. Plus particulièrement, l'unité de code de bureau est placée dans l'état voulu pour transmettre un code de commande en excitant le relais principal OM de la figure lA qui complète des circuits servant à effectuer le fonctionnement périodique du relais transmetteur associé OT, de manière à ouvrir et fermer le circuit pour actionner les relais de ligne R en concordance dans toutes les stations, les périodes   d'ouver..   ture et de fermeture constituant les éléments du code.      

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   Lorsque l'on ouvre le circuit de ligne pour commencer le premier élément d'un code, chaque relais de ligne R est libéré et son contact de droite b ferme un circuit partant de la borne positive ou d'alimentation B   diurne   source locale appropriée de courant, en passant par un contact de repos d du relais   16,   le contact de repos a. du relais L2, le contact de   repos g   du re- lais LBP, par le relais L1, pour aller à la borne négative ou de retour commun C de la source.

   Le relais Ll attire alors son armature et son contact de travail a fermé un circuit partant de la borne B sur le contact de droite b du relais   R,'passant   par le relais L2 pour aller à la borne C1, de sorte que le relais L2 attire son armature en fermant un circuit sur son propre contact de travail a et fermant également un circuit partant de la borne B et passant par les contacts de travail c des relais Ll et L2 pour fermer le relais   LP,   lequel,àson tour, ferme un circuit passant par son contact de travail a pour fermer les relais LB et LBP. Le relais LBP est excité en tandem avec le relais LB lorsque ce dernier ferme son contact de travail a de sorte que ces relais sont libérés successivement lorsque le relais LP a été libéré.

   Lorsque le relais L2 attire son arma- ture lors du premier stade d'un code, ses contacts a et g dé- placent les connexions du relais Ll du contact de droite au con- tact de gauche du relais R et ensuite le contact b du relais LBP est attiré pour maintenir cette dernière connexion jusqu'à ce que le code soit transmis. Il en résulte que les relais Ll et L2 sont excités alternativement, le relais Ll sur le con- tact de gauche b du relais R et le relais L2 sur le contact de   droite b   du relais R, sous l'action du fonctionnement périodi- que du relais R. Les relais Ll et L2 restent fermés pendant la durée des éléments de code courts, le relais Ll lâchant son armature lors de chaque élément long impair et le relais L2 lorsde chaque élément de code pair.

   En conséquence, ces relais 

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 servent à indiquer un caractère de code dans un code reçu et, avec le relais LP, ils servent à commander les longueurs des      longs stades d'un code, engendrés par le relais émetteur asso- cié T. Le relais LB et son relais répéteur LBP sont des relais formant pont qui restent fermés pour la durée d'un code et ser- vent à préparer différents circuits locaux, lorsque le fonction- nement en code d'un relais   R   commence, et à ouvrir ces circuits lorsqu'il cesse. 



   Le relais de ligne de bureau OR, figure lA, commande un groupe analogue de relais de synchronisation OL1, OL2, OLP, OLB et OLBP qui fonctionnent de la même façon. Toutefois, le relais OR est normalement désexcité et il maintient ses con- tacts dans l'une ou l'autre des positions où ils ont été amenés par une impulsion momentanée et, par suite, il peut être inversé accidentellement. Si cela se produit, le relais OR est ramené automatiquement en position normale par action des relais de synchronisation de la façon qui sera indiquée plus loin et on peut supposer, par suite, que le relais OR quoique désexcité occupe sa position normale, correspondant à celle   de'!   relais de ligne de station normalement excité, lorsque le système est dans sa position normale de repos. 



   Lorsque des codes d'indication sont reçus, le relais OR est actionné par des impulsions de polarité alternativement contraires, fournies par le transformateur RT. Pendant la transmission des codes de commande, le relais principal OM, figure lA est maintenu excité et son contact c court-circuite le transformateur RT et le débranche du relais OR et ce der- nier est alors actionné localement par le relais transmetteur OT. Lorsque le relais OM attire son armature, le relais OR est excité en direction normale, comme cela est représenté, dans le circuit partant de la borne médiane 0 de la batterie locale, par son enroulement inférieur, le contact de   repos @   du re- 

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 lais OT et le contact de travail g du relais   OM   pour aller à la borne négative C.

   Le relais OT est excité par le contact d du relais OM et il est alors commandé par les fils 68, 61 et 62 d'une façon que l'on indiquera ci-dessous pour engendrer le code. 



  Chaque fois que le relais   OT   attire son armature, il ouvre le circuit sur ses contacts b et d pour libérer les relais de ligne R aux stations et pour relier le fil   Y   au fil Z par une résistance   W5   pour décharger le courant de charge de la ligne, comme cela est à souhaiter lorsque la ligne est dans un câble. 



  En même temps, le relais OT actionne le relais OR pour inverser le circuit partant de la borne positive B sur le contact de tra- vail e du relais OT, pour aller par le relais OR à la borne 0. 



  Chaque fois que le relais OT est libérée il ferme le circuit de ligne pour fermer les relais de ligne R et, en même temps,il actionne le relais OR pour l'amener en position normale, en fer- mant, sur son contact de repos e, le circuit allant de la borne 0, par le relais   OR, à   la borne C. Le relais OR fonctionne ainsi en concordance avec les relais R pendant la transmission des codes de commande. 



   Chaque relais de ligne commande une chaîne de rela.is compteurs généralement analogues à ceux du premier brevet précité. Ainsi, le relais OR, au moyen de son contact a, com- mande les relais compteurs 01 à 08 et 016 de la figure 1B et chaque relais R commande une chaîne analogue telle que les relais 1 à 8 et 16 de la figure 2B. En se reportant aux figu- res 2A et 2B, on voit qu'un circuit se ferme momentanément sous l'action de la première d'une série d'opérations du relais R, circuit allant de la borne B du contact ,de droite a du relais R, par le contact de repos b du relais LBP, le contact de travail g du relais Ll, le fil 181, le relais 1, à la borne C.

   En con- séquence, le relais 1 attire son armature lors du premier stade 

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 d'un code, lors de l'excitation du relais   Ll,   et lorsque le relais LBP attire son armature, il ouvre le circuit que l'on vient d'indiquer et ferme un, circuit de retenue pour le relais 1, passant par le contact de travail b du relais LBP, le fil 119, le contact de repos µ du relais 2, le contact de travail a et l'enroulement du relais 1, pour aller à la borne C.

   Lorsque le relais R est ramené à la normale pour commencer la deuxième opé- ration d'un code, la borne B est débranchée d'avec le relais 1 qui reste fermé par suite du parcours de décharge constitué par le redresseur relié au fil 119 et un circuit est fermé partant du contact de gauche A du relais R, passant par le contact de travail d du relais LBP, le fil 120, le contact de repos a du relais 8, le contact de travail µ du relais 1, le relais 2, pour aller à la borne C. En conséquence, le relais 2 attire son arma- ture et ferme son circuit de retenue allant à la borne B du fil 120 par son contact de travail ± et le contact de repos µ du relais 3.

   Le fonctionnement du contact b du relais 2 débranche le relais 1 d'avec le redresseur, mais ferme un deuxième parcours de décharge pour le relais 1, comportant l'enroulement du relais 3 de sorte que le relais 1 s'ouvre peu après que le relais 2 a attiré son armature, mais sans faire d'étincelles sur son con-' tact a dont la chute relie le relais 3 au fil 119 pour le mettre dans un état tel que ce relais fonctionne pour le troisième stade du code, les relais 4 à 8 sont commandés de la même façon, un à la fois, par du courant amené alternativement par les fils 119 et 120, du fait du quatrième au huitième stades du code.

   Si les différentes manoeuvres associées à ces stades, comme cela sera décrit plus loin, sont convenablement effectuées, un relais de répétition de   chaîne   OR se ferme lors du huitième stade pour préparer un circuit de fermeture du relais 1 par le contact de   travail 12   du relais 8, de sorte que le relais 1 fonctionne lors 

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 de l'opération suivante afin que, après le relais 8, les relais 1 à 7 soient actionnés dans un deuxième cycle pour le neuvième au quinzième stades du code, le relais 16 fonctionnant à la place du relais 8 lors du sixième stade pendant lequel l'appa- reil est ramené à la normale, en condition de repos. 



   Par comparaison de ces circuits avec ceux du premier brevet cité, on voit que l'on a un parcours de décharge pour   chacun   des relais 1   à   8, comportant chacun l'enroulement d'un autre relais, ces parcours étant effectifs pour chaque stade intermédiaire du code, tandis que dans le brevet antérieur, ils sont effectifs pour certains stades et non pour d'autres. Il en résulte que les circuits, tels que représentés ici, assurent un fonctionnement plus uniforme et plus efficace des relais compteurs lors de la réception d'un code et, étant donné que ces relais commandent le relais transmetteur T, les impulsions transmises sont rendues plus   uniformes.   



   Si   l'on   se reporte maintenant aux figures   1A   et 1B, on voit que les circuits de chaîne compteurs du bureau sont analo- gues à ceux ci-dessus décrits, le relais 01 attirant son arma- ture dans le premier stade par le fil   81,   les relais restants étant actionnés, un à la fois, par du courant fourni alternati- vement par les fils 19 et 20 du fait du fonctionnement périodi- que du relais   OR.   



   Dans le système du premier brevet précité, les relais de synchronisation Ll et L2 et les relais compteurs sont excités en parallèle par les mêmes contacts du relais de ligne, auquel cas les périodes de libération des relais de synchronisa- tion dépendent dans urne certaine mesure du fait qu'un relais compteur est branché en parallèle avec lui pour constituer un   parcours   de décharge pour une partie de son énergie emmaga- sinée. Ceci est une condition variable dans le fonctionnement 

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 normal du système, comme on l'a dit ci-dessus, et la présence de contacts séparés ± et b pour les relais de ligne R et OR rend le fonctionnement des relais de synchronisation plus uni- forme et plus exact. 



   On va maintenant décrire la transmission d'un code de commande, stade par stade, par l'appareil de bureau des figures lA, 1B et 1C. 



   Pour commencer un code de commande, l'opérateur appuie momentanément sur un bouton de mise en route STB, identifiant le tableau de commande associé à l'unité d'emmagasinage de sta- tion à laquelle le code doit être transmis, pour y fermer un relais de mise en route tel que le relais 234ST, relais qui est maintenu excité sur un circuit de retenue allant à la borne B du contact de   repos 1,   d'un relais sélecteur de tableaux associé, tel que le relais   234@,   jusqu'à ce que la sélection désirée ait été effectuée. Le fil 47, sur la figure 1C, est normalement relié par les contacts de repos de différents relais sélecteurs E, F, G, à des circuits branchés allant au   contact b   du relais de mise en route ST de chaque tableau.

   En conséquence, la fer- meture du contact de travail b du relais 234ST étend la conne- xion de la borne B, par un branchement particulier qui, comme représenté, comporte le contact de repos j, du relais 234S et les contacts de repos g des relais 23G, 2F et E, au fil 47 et, si le système est dans son état normal de repos tel que les celais OL1 et OL2 soient ouverts, il se ferme un circuit partant de la borne B sur le fil 47, passant par les contacts de repos b des relais OL1 et OL2, le relais OM, pour aller au fil 17 et en- suite à la borne C sur le contact normalement fermé du bouton d'effacement CB.

   En conséquence, le relais OM se ferme sous l'action du fonctionnement, d'un relais de mise en route quel- conque tel que   234ST   et ferme un circuit pulsatoire pour le relais* 

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 émetteur   OT   du bureau partant de la borne B sur le contact de repos du relais 016, passant par les contacts de repos g des relais   07,   05, 03 et O1, le fil 68, le contact d du relais OM, le relais   OT   et les résistances W2 et W3 pour aller à la borne C. 



  En conséquence, le relais   OT   attire son armature pour commencer le premier stade du code, ces contacts de   travail b   et d ouvrant le circuit pour libérer les relais de ligne de la station et son contact de travail e fermant un circuit déjà indiquépour amener le relais OR dans sa position inverse, ce qui fait que le relais OR actionne les relais de synchronisation   OL   et le premier relais compteur 01 comme déjà décrit.

   Lorsque le relais OLB at- tire son armature, son contact 2 ferme un circuit de retenue pour le relais   OM,   partant de la borne B sur le contact de re- pos e du relais 016, passant par le fil 18, les contacts c des relais OLB et OLBP, en parallèle, le contact a et l'enroulement du relais   OM,   puis le fil   17,   pour aller à la borne C. 



   Le premier stade de chaque code de commande est un stade long par opposition à un code d'indication dans lequel le premier stade est relativement court. 



   Lorsque le relais 01 attire son armature lors du pre- mier stade, son contact de   repos g   ouvre le circuit pulsatoire pour le relais OT, mais ce relais est maintenu excité pour engendrer m stade long sur un circuit de ramification, par- tant de la borne B sur le contact de travail 9 du relais   01,   passant par le contact de repos   d   du relais SP, le contact µ du relais OL1 et le contact b du relais   OLP   en parallèle, le contact de repos , du relais SP, le fil 68, le contact d du relais OL, l'enroulement et le contact de travail c du relais OT, la résistance W3, pour aller à la borne   C   les relais OL1 et OLP s'ouvrent alors successivement, l'ouverture du contact b du relais OLP coupant la borne B d'avec le fil   68,

    ce qui fait que le relais OT   s'ouvre,   pour exciter les relais de ligne R et 

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 amener les relais OR vers la gauche pour commencer le deuxième stade, le relais OR faisant que le relais 02 se ferme et que le relais 01 s'ouvre. 



   La fermeture du contact de   repos &   du relais 01 ferme le circuit pulsatoire pour le relais OT par le fil 68, ce cir- cuit fonctionnant de façon répétée pour engendrer les stades courts du code. Le temps de fermeture du relais OT dépend de la constante de temps du circuit comportant les résistances W2 et W3. Lorsque le relais OT se ferme, son contact de travail ± court-circuite la résistance W2 de sorte que l'excitation du relais OT monte plus rapidement à une valeur plus élevée que cela ne serait autrement le cas et, en conséquence, donne une période de libération plus constante dans des conditions de ten- sion variable.

   On remarquera que sa période de libération est déterminée par la constante de temps du circuit comportant son enroulement et la résistance W3 seulement et il en résulte que ses périodes de fermeture et d'ouverture peuvent être réglées indépendamment. 



   Les fils 61 et 62 constituent des connexions, qui seront décrites ci-dessous en détail, servant à maintenir le relais OT fermé ou ouvert pour engendrer les stades longs du code. La liaison allant de la borne B au fil 61 est commandée par des relais OL1 et OLP de manière à maintenir fermé le relais OT après que son circuit pulsatoire s'est ouvert, pour engendrer un stade long impair tandis qu'une connexion analogue commandée par les relais OL2 et OLP, allant de la borne B par le fil 62, le contact f du relais OM et le contact de repos c du relais OT, à la borne de gauche du relais OT, est efficace pour court-circuiter son enroulement et, de ce fait, maintenir le relais OT ouvert après que son circuit pulsatoire s'est ouvert pour engendrer un stade long, pair. 

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   Les deuxième et huitième stades de chaque code peuvent être disposés suivant l'une quelconque de 35 combinaisons   diffé-   rentes de trois stades longs et quatre courts,de manière à former des appels de code de station qui sont identifies par des nombres à trois chiffres dans lesquels les chiffres   repré-   sentent les stades longs de l'appel de code. Ainsi le nombre 
234 assigné au tableau individuel de la figure 1C et   l'unité     d'emmagasinage   de station correspondante de la figure 2C est un nombre dans lequel le   deuxième,   le troisième et le quatrième stade du code sont longs et le cinquième au huitième sont courts. 



   Les appels de code sont engendrés par des connexions de ferme- ture partant de la borne des contacts b des relais de mise en route de bureau ST, pour aller aux fils 61 et 62, ceci étant disposé de telle sorte que lorsqu'un certain nombre de relais de mise en route sont excités, leurs codes respectifs sont transmis un à la fois, dans un ordre donné de supériorité de code, un élément long prenant la priorité sur un élément court de   chaque   stade. Ceci veut dire que 234 est l'appel de code le plus élevé, 235 le suivant, etc.. 678 étant le plus bas.

   La sélection du tableau de bureau contenant un relais excité ST est effectuée par l'excitation d'un relais d'entrée E (figure 
1C) sous l'action du premier élément du code, après quoi vient l'excitation de trois relais successivement par les trois éléments longs de l'appel du code, comportant un premier relais sélecteur F, un relais sélecteur de groupe G et un relais sé- lecteur de station S, ces relais étant identifiés plus particu- lièrement par des préfixes désignant les éléments de code au moyen desquels leur fonctionnement   est.effectua.   Par exemple, le relais 2F fonctionne sous   l'action   du deuxième élément, le relais 23G sous l'action du troisième, pourvu que le relais   2F   ait   fonctionné,

     et le relais 234S sous l'action du quatrième pourvu que le relais 23G ait fonctionné. Lorsqu'on l'utilise à 

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 sa capacité, le système utilise cinq relais F, quinze relais G, et 35 relais   S   disposés de façon générale comme cela est repré- senté sur les figures 2, 3 et 4 du premier des brevets précités et, étant donné que la relation de ces relais les uns avec les autres et que les liaisons servant à associer les différents tableaux avec l'unité de code se trouvent dans ce brevet anté- rieur, on a représenté ici les circuits sous forme condensée en ne donnant les circuits en détail que pour un tableau et que pour un relais sélecteur de chaque genre. 



   Le relais E attire son armature au premier stade de chaque code, par un circuit partant de la borne B sur le contact a du relais OLBP (figure   lA)   passant par le fil 60, le contact de repos a du relais SP, le contact de travail d du relais 01, le fil 21, le relais E, pour arriver à la borne C et le relais E ferme alors un circuit de retenue sur son contact de travail   a,   passant par le contact de repos m du relais 2F et les con- tacts de repos des relais 3F à 6F s'il y en a, le fil 29, la résistance   W4,   le contact de repos a du relais SP, et le fil 60 pour aller à la borne B du contact a du relais OLBP. 



   Il est bien entendu que chacun des circuits de branche- ment partant de la borne B sur le contact µ   d'un   relais de mise en route ST, pour aller au fil 47, identifie l'appel de code correspondant, comme indiqué par les références 234   à   238, les contacts   voisins g @ k du   relais 23G. Lorsque le relais E attire son armature, ces branchements sont tous coupés d'avec le fil 47, ils sont divisés en groupes par les contacts à k du relais E et ils sont reliés aux fils 32 à 36 pour préparer des circuits servant à engendrer le premier chiffre de l'appel de code. 



   Lorsque le relais 02 attire son armature dans le se- cond stade, la liaison de la borne B avec le fil 32 se prolonge par le contact c du relais 02, le contact de repos ± du relais 

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 OCR, pour aller au fil 62 et de là   à   la borne de gauche du re- lais   OT   en   court-circuitant   ainsi son relais d'enroulement et de retenue   OT   libéré pour engendrer un deuxième stade long.

   Les relais OL2 et OLP   s'ouvrent,   complétant un circuit partant de la borne B sur le fil 60, passant par le contact de repos a du re- lais OCR, le fil 58, les contacts de repos d des relais OL2 et OLP, le fil 64, les contacts de repos à des relais OCR, et OCD, le contact de travail d du relais 02, le fil   22,   le contact de   travail b   du relais E, le relais 2F, pour aller à la borne C. Le relais   2F   attire son armature, son contact a fermant son circuit de retenue qui passepar les contacts de repos a du relais 23G et d'autres relais G du même groupe, par exemple les relais 24G à   27G,   s'ily en a, et par le fi 29 pour aller à la borne B par le fil 60. 



   Lorsque le relais 2F attire son armature, les circuits de branchements,partant du fil 32 pour aller à la borne B par les contacts des relais de mise en route dont 2 est le premier chiffre de leurs appels de codes, sont débranchés d'avec le fil 32 et sont divisés en groupes par des contacts g à k du relais 2F et ils sont reliés aux fils 33 à 37 pour préparer des cir- cuits servant à engendrer le second chiffre de l'appel de code. 



  L'interruption de la liaison allant au fil 62 par l'ouverture du contact de repos & du relais 2F permet au relais OT d'atti- rer son armature pour commencer le troisième stade. 



   Le relais E est libère, par ouverture du contact de repos   m.   du relais 2F et l'ouverture des contacts de travail h à k du relais 9 débranche les circuits de branchement pour engendrer des appels de codes dans lesquels le premier chiffre est 3, 4, 5 ou 6. 



   Chacun des relais   E,   F et G et certains autres relais qui seront décrits plus loin comportent un circuit de décharge 

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 dans lequel se trouve une résistance au lieu du redresseur habituel. Ces résistances ont une valeur relativement grande par comparaison avec la résistance de l'enroulement du relais et donnent un léger retard conformément aux nécessités du circuit. 



  Elles servent également à empêcher la formation d'étincelles de contact. 



   Lorsque le relais 03 attire son armature, la liaison partant de la borne B par le fil 33 se prolonge par le contact c du relais 03 et le contact de repos du relais OCR pour aller au fil 61 en vue de fermer le circuit de retenue du relais OT pour engendrer le troisième stade long de l'appel de code 234. 



  Les relais OL1 et OLP s'ouvrent en fermant un circuit partant de la borne B sur le fil 60, passant par le contact de repos a du relais OCR, le fil 58, le contact de repos h des relais OLP et OL1 pour aller au fil 63, les contacts de repos b, des relais OCR et OCD, le contact de travail d du relais 03, le fil 23, le contact de travail b du relais 2F, le relais 23G pour aller à la borne C. Le relais 23G attire son armature, son contact 1 fer- mant un circuit de retenue qui passe par les contacts de repos a des relais G associés en série, et parle fil 29, pour aller à la bor- ne B sur le fil 60. 



   Lorsque le relais 23G attire son armature, les circuits de branchement allant du fil 33 à la borne B par les contacts des relais de mise en route comportant 23 comme deux,premiers chiffres de leurs appels de codes, sont débranchés d'avec le fil 33 et divisés en branchements par 'les   contacts &   à k du relais 2G et ils sont reliés aux fils 34   à   38 pour préparer des circuits servant   à   engendrer le troisième chiffre des appels 234 à 238 respectivement. L'interruption de la liaison avec le fil 63 par ouverture du contact de   repos &   du relais 23G permet au relais OT de s'ouvrir pour commencer le quatrième stade. 

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   Le relais 2F est libéré par ouverture du contact de repos du relais 23G et l'ouverture des contacts de travail h à k du relais 2F débranche les circuits de branchement que comman- dent ces contacts, en limitant ainsi la commande du troisième chiffre à ces relais de mise en route du groupe 234 à 238. 



   Lorsque le relais 04 attire son armature, la liaison partant de la borne B par le fil 34 se prolonge par le contact ± du relais 04 et le contact de   repos!   du relais OCR et le fil 62 pour maintenir le relais OT ouvert pour engendrer la quatrième longue étape de   l'appel   de code 234. Les relais OL2 et OLP   s'ouvrent;,   fermant un circuit partant de la borne B sur le fil 60 et passant par le contact de repos a du relais OCR, le fil 58, les contacts de repos d des relais OLP et OL2, le fil 64, les contacts d des relais OCR et OCD, le contact de travail d du relais 04, le fil 24, le   contact b   du relais 23G, le relais 234S pour aller à la borne C.

   Le relais 234S attire son armature et la fermeture de son contact de travail a prolonge la liaison venant de la borne B sur sa borne de gauche, allant au fil 30 et de là, par le relais SP, à la borne C de sorte que le relais SP attire son armature, en fermant son circuit de retenue par- tant de la borne B et passant par le fil 60, son contact avant a et l'enroulement pour aller à la borne C et fermant également un circuit de retenue pour le relais 2345 partant de la borne B sur le contact de travail a du relais SP, passant par le fil 30 et le contact avant a et l'enroulement du relais 234S pour aller à la borne C. 



   L'interruption de la liaison avec le fil 62 par ouver- ture du contact de repos j du relais 234S permet au relais OT d'attirer son armature pour commencer le quatrième stade. 



     On   voit en conséquence qu'alors qu'à la fin du premier long stade, le relais OT est actionné par ouverture d'un contact du relais LP, dans le cas de longs stades de l'appel de code de 

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 station, le relais OT est actionné par ouverture des contacts de repos des relais sélecteurs 2F, 23G et 234S respectivement, chacun de ces relais attirant son armature du fait de l'ouvertu- re d'un contact de repos du relais LP. Il en résulte que les sta- des longs de l'appel de code de station ont tous la même longueur . mais ils sont légèrement plus longs que les autres stades longs du code qui se terminent de la même façon que le premier stade long. 



   Lorsque le relais SP attire son armature, l'ouverture de son contact de   repos &   débranche la borne B d'avec le fil 29 en ouvrant ainsi le relais 23G. L'ouverture des contacts de travail b à f du relais 23G ouvrer les circuits de fermeture du relais 234S et d'autres relais analogues 235S à 238S, non représentés, du même groupe, tandis que l'ouverture des con- tacts de travail h à k du relais   230-empêche'la   formation d'élé- ments de code longs sur les cinquième à huitième stades et les contacts o des relais compteurs 05 à 08, allant aux fils 35 à 38, sont successivement fermés. 



   En conséquence, les cinquième à huitième stades sont courts et, lorsque le relais 08 attire son armature, il s'éta- blit un circuit partant de la borne B, passant par le fil 60, le contact h du relais 08, le contact B du relais SP, le re- lais OCR, pour aller à la borne C.   En   conséquence, le relais OCR se ferme sur le huitième stade en fermant un circuit de retenue sur son contact de travail a.

   L'ouverture du contact de repos a du relais OCR débranche la borne B d'avec le fil 58 et, par suite, d'avec les fils 63 et 64, et la fermeture du contact de   travail g   du relais OCR prépare un circuit partant du fil 19 passant par,le contact de repos B du relais RCR, le contact de repos ± du relais 07 et le contact de travail b du relais 08 pour aller, par le relais 01 à la borne C, ce qui permet au relais 01   d'être   actionné à la suite, dans l'ordre, après le relais 08. 

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   Les stades 9 à 15 du code ont été maintenant rendus utilisables pour la commande de sept dispositifs mobiles aux stations choisies, conformément aux positions des leviers de commande ou des boutons poussoirs du tableau correspondant, tel que celui représenté sur la figure 1C. Lorsque le relais 234S attire son armature, la borne B est reliée, par ses contacts d à h aux contacts des leviers et, de là, aux fils 39 à 45 allant auc   ontacts   des relais O1 à 07.

   Le relais OCR ayant attiré son armature, les contacts f des relais compteurs impairs assurent des connexions passant par le contact de travail d du relais SP, les contacts de travail e et des relais OL1 et OLP en   parallè-   le le contact de travail e du   celais;   OCR pour aller au fil 61 et, de là,au circuit de retenue du relais OT grâce à quoi le re- lais OT peut être maintenu excité jusque ce que les relais OL1 et OLP   s'ouvrent,   en produisant ainsi les éléments longs impairs de code.

   Les contacts f des relais compteurs pairs établissent les connexions passant par les contacts de travail c des relais OL2 et OLP en parallèle et le contact de travail ± du relais OCR pour aller au fil 62 et, de là, à la borne de gauche du relais   OT   ce qui fait que celui-ci peut être maintenu ouvert   jusque   ce. que les relais OL2 et   OLP     s'ouvrent   en engendrant ainsi les      éléments de code longs et pairs, ces circuits n'étantévidemment disponibles que pendant le deuxième cycle de fonctionnement des relais compteurs. Etant   donné,..la   similitude de ces circuits de commande avec ceux du premier brevet précité, on n'a pas con- sidéré qu'il était nécessaire d'en faire ici une   description   détaillée. 



   Lorsque le relais sélecteur 234S attire son armature comme décrit ci-dessus, son contact 1 fait passer la liaison directe de la borne B au circuit de retenue du relais de mise en route 234ST, à un autre comportant le fil 46 et allant à la borne B sur le contact de repos f du relais 08 et il en résulte 

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 que le relais de mise en route actionne, tel que 234ST, est libéré, pour le huitième stade du code correspondant. Ceci présente l'a- vantage de permettre que le relais de mise en route d'un tableau quelconque soit réexcité par fonctionnement momentané du bouton de mise en route associé STP pour emmagasiner un deuxième code pour la transmission, même si le bouton est actionné avant que le premier code soit terminé. 



   Pendant la réception d'un code d'indication, le relais 08 et le relais S du tableau sélectionné sont également excités, comme dans le cas du code de commande décrit, mais alors le relais récepteur OM n'est pas excité et son contact de repos g assure une liaison allant de la borne B au fil 46 pour empêcher l'ouverture du relais de mise en route, par exemple le relais 234ST, sous l'action du fonctionnement du relais 08. 



   Lorsque le relais 016 attire son armature lors du seizième stade, qui, du fait de l'ouverture du relais OT, est un stade de fermeture de ligne, la borne B est coupée d'avec les fils 68 et 18 sur le contact de repos e du relais O16, un peu avant que le relais 07 s'ouvre pour fermer son contact de repos G. En conséquence, le relais OT reste ouvert, le relais OR reste normal et le relais OM s'ouvre et alors les relais de syn- chronisation OL2, OLP, OLB, OLBP et OL1 s'ouvrent dans cet ordre. 



  Le relais 016 qui est maintenu excité sur un circuit de retenue comportant le fil 48 et le contact b du relais OLB est désexcité lors de l'ouverture du relais OLB   et'il   s'ouvre. Le relais OLBP coupe la borne B d'avec le fil 60 en ouvrant ainsi les relais CR et SP et le relais sélecteur actionné tel que 234S, après quoi l'appareil est dans la position voulue pour recevoir un nouveau code. Si un autre relais de mise en route de bureau a été fermé pour emmagasiner un code de commande, ce code est mis en route lors de l'ouverture du relais OL1, ce relais étant le dernier à être libéré.

   Le seizième stade correspond ainsi au retour du cir- 

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 cuit à son état normalement fermé et, dans le cas de la trans- mission de codes successifs,, il représente un stade de fermeture de ligne qui est matériellement plus long que n'importe quel autre stade se produisant dans le code. 



   Si l'on considère maintenant le fonctionnement de l'ap- pareil de station des figures   2A,   2B et 2C lorsqu'il reçoit un code de commande tel qu'on vient de le décrire,on voit que le relais de ligne R de chaque station et les relais de synchroni- sation   Ll,   L2, LP,   LB   et LBP fonctionnent en concordance avec les relais correspondants du bureau. Les relais compteurs de chaque station fonctionnent dans les huit premiers stades en concordance avec les relais compteurs du bureau, tandis qu'il n'y a que ceux de la station choisie pour laquelle le relais sélecteur S est fermé qui fonctionnent dans leur deuxième cycle. 



  Lors du premier stade du code de commande, un relais de commande de sortie CD est actionné sélectivement du fait de l'ouverture du relais   Ll,   par suite de la nature longue de ce stade, par un circuit partant de la borne B du contact de travail   a   du relais LBP, passant par le fil 160, le contact de repos d du relais Ll, le fil 163, le contact de repos b du relais   CR,   le contact c du relais 1, l'enroulement supérieur du relais CD, pour aller à la borne C. Le relais CD attire son armature et ferme un circuit de retenue partant de la borne B sur le fil 160, passant par son contact a et l'enroulement inférieur,, pour aller à la borne C. 



   Comme on le voit sur la figure   2C,   l'unité de code de station contient un jeu de trois relais sélecteurs   FA,   GA et S que l'on peut brancher de façon réglable pour fonctionner sur   l'un   quelconque des trente-cinq appels de code, les liaisons telles que représentées étant disposées de façon que le relais S fonctionne pour l'appel de code 234. Les circuits de ces re- lais sont, de façon générale, analogues à ceux des relais sélec- 

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 teurs de bureau déjà décrits. Ceux qui fonctionnent pour les stades pairs partent du fil 160 auquel la borne B est reliée, ils passent par le contact de'travail a, du relais LBP (fig.2A), le contact de repos d des relais 2,4, 6 et 8 pour aller aux fils 122,124, 126 et 128.

   Comme représenté, une liaison avec le fil 122 donne un circuit servant à exciter le relais FA lors du second stade, le relais FA comportant un circuit de retenue allant au fil 160 par son propre contact de travail a et un con- tact de repos m du relais GA. Ceux qui sont efficaces pour les stades impairs, partent du fil 160 par le contact de repos d du relais Ll, le fil 163, le contact de repos b du relais CR, le contact de travail b du relais CD, les contacts de travail d des relais 3, 5 et 7 pour aller aux fils 123, 125 et 127. Comme représenté, une liaison avec le fil 123 donne un circuit passant par le   contact 12   du relais FA pour exciter le relais GA dont le circuit de retenue va au fil 160 par son propre contact de tra- vail et le contact de repos a du relais S.

   De même, une liaison allant au fil 124 donne un circuit passant par le contact b du relais GA pour exciter le relais 8 dont le circuit de retenue est relié directement au fil 160 par son propre contact de travail a. 



   Il y a lieu de noter que les différents relais sélec- teurs F, G et S sont actionnés directement à la suite de l'ou- verture du relais Ll ou L2 lorsque l'appareil est dans l'état de réception, comme décrit, et en conséquence, ces relais sont actionnés avant l'achèvement des stades longs, en donnant ainsi une marge permettant des différences dans la synchronisation. 



   On comprend que les relais FA des différentes stations peuvent être reliés à l'un quelconque des fils 122 à 126 et les relais GA à l'un quelconque des fils 123   à     127,   en-dessous de celui auquel le relais associé FA est relié. Il en résulte que, lorsque l'appel de code est 234, les relais FA, reliés au fil 122, 

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 fonctionnent pour le deuxième stade long, les relais FA et GA reliés au fil 125 fonctionnent sur le troisième stade long et les relais FA et GA reliés au fil 124 fonctionnent sur le quatriè- me stade long, avec le relais S de l'unité d'emmagasinage de station choisie, mais que la sélection n'est terminée pour fermer un relais S qu'en un endroit seulement.

   Aux autres endroits, les fonctionnements des relais compteurs se terminent avec le huitième stade et il   n'y a   que le relais de ligne R et les relais de syn- chronisation qui continuent à fonctionner pendant tout le restant du code. 



   A la station choisie, le relais S prépare un circuit de fermeture pour le relais CR, circuit qui est fermé lors du hui-   tième   stade en partant de la borne B sur le contact d du relais S (figure 2C), en passant par le fil 146, le contact f du relais S, le relais CR, pour aller à la borne C et le relais CR attire son armature, son contact de travail a ferment son circuit de re- tenue sur le fil   160.   Le contact de   travail  du relais CR ferme une liaison allant du fil 119 au contact b du relais 8 pour effectuer le fonctionnement du relais 1 dans   l'ordre,   après le relais 8. 



   Les neuvième à quinzième stades du code de commande sont utilisés pour la commande d'une série de relais de commande du type polaire à retenue, suivant les positions des leviers corres- pondants du bureau. 



   La figure 10 représente une disposition typique de ces relais comportant un relais de commande d'interrupteurs WS et des relais de commande de signaux LES, RHS et COS qui peuvent être utilisés pour commander un changement de voie et un groupe associé de signaux de la façon indiquée au sujet des figures 8 et 9 du premier brevet précité. Toutefois, dans le système actuel, le code de commande comporte deux stades supplémentaires assurant la commande de deux relais de retenue supplémentaires, par exemple les' relais FS et MCS représentés. 

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   Ces relais de retenue polaires sont actionnés pour venir à la normale ou inversement par des impulsions amenées par les fils 149 à 155 inclusivement' et ils sont placés sous la commande de l'unité de code de station, par fonctionnement du relais de sortie D. Le relais D à la station sélectionnée attire son ar- mature lors du neuvième stade d'un code de commande, par un cir- cuit partant de la borne B sur le contact C du relais CR, (fi- gure 2B), passant par le contact de repos g du relais 8, le con- tact de travail c du relais CD, le fil 115, le contact de tra- vail g du relais S, le relais D, pour aller à la borne C et il reste excité jusqu'à la fin du code. 



   Les circuits convenant pour faire fonctionner les re- lais de commande de retenue polaire, selon la nature longue ou courte des neuvième à quinzième stades du code, sont obtenus par fonctionnement de deux relais pilotes Pl et P2 (figure 2A) dont les circuits sont préparés par la fermeture des contacts de travail des relais CR et CD. Lorsque le relais Ll s'ouvre lors d'un stade impair du second cycle, il   ae   ferme un circuit partant de la borne B sur le contact a du relais LBP, passant par le fil 160,le contact de repos 1 du relais Ll, le fil 163, le contact de travail b du relais CR, le contact de travail H du relais CD, le fil 109, l'enroulement supérieur du relais Pl pour aller à la borne C.

   Si le relais Pl attire son armature, il est mainte- nu excité, pendant la durée du stade pair suivant, par un circuit de retenue partant de la borne B sur le contact de gauche a du relais R, passant par le contact de travail d du relais LBP, le contact de travail a et l'enroulement inférieur du relais Pl pour aller à la borne C, le relais Pl s'ouvrant lorsque le con- tact de gauche a du relais R est ouvert, au commencement du sta- de impair suivant. De même, lorsque le relais L2 s'ouvre lors d'un stade pair quelconque suivant le neuvième, le relais P2 est excité par le circuit partant de la borne B sur le fil 160, 

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 passant par le contact de repos d du relais L2, le fil 164, le contact de travail d du relais CR, le contact .1 du relais CD, le fil 100 et l'enroulement supérieur du relais P2, pour aller à la borne C.

   Si le relais P2 attire son armature, il est main- tenu excité pendant la durée du stade impair suivant par un circuit de retenue partant de la borne B sur le contact de droite à du relais R, passant par les contacts de repos e du relais   16,   le contact   avant b   du relais LBP et le contact avant et l'enroulement inférieur du relais P2, pour aller à la borne 
C, le relais P2 s'ouvrant lorsque le contact de droite a du relais R s'ouvre, au commencement du stade impair suivant. 



   Les circuits que donnent les contacts des relais Pl et P2 pour la commande des relais de retenue polaires sont d'un grand nombre de types dont un est représenté par les circuits du relais W8, lequel est commandé suivant la position du levier de commutation   SW   de la figure 1C. Lorsque le levier SW est normal, le neuvième stade du code de commande est long et le onzième est court et, lorsque le levier   SW est   inversé, le neuvième stade est court et le onzième est long.

   Si le levier SW est normal, le relais 1P attire son armature lors du neuvième stade et lorsque le relais R est actionné vers la gauche pour commencer le   dixième   stade, son contact 1 relie la borne B au circuit de retenue du relais P1, pour le maintenir fermé, et au contact % du relais P1, pour fermer momentanément un circuit com- portant le fil 111, le contact du relais 1, le fil 149, le   contact a   du relais B, l'enroulement supérieur du relais WS, le contact de travail du relais   LR   et la borne C, en actionnant ainsi les contacts du relais WS pour les amener dans leur posi- tion de gauche, comme représenté. Le relais WS est ainsi excité en direction normale en même temps que le relais 2 par une im- pulsion qui se termine lors de l'ouverture du relais 1.

   Au   .-commencement   du douzième stade, le fil 111 est relié momentané- 

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 ment par le contact µ du relais 3, le fil 151, le contact c du relais D et l'enroulement inférieur du relais WS à la borne C, mais ceci est sans effet étant donné que le relais Pl est ou- vert à ce moment et que la liaison de la borne B avec le fil 111 est ouverte. De même, si le levier SW est inversé, le relais Pl reste ouvert et le relais WS n'est pas actionné au neuvième stade mais reçoit une impulsion dans son enroulement inférieur pour l'actionner et s'inverser au onzième stade. 



   On a représenté un autre type de circuit de commande, celui du relais FS qui est commandé par la touche du bureau FB de.façon à être amené en position normale ou inverse suivant la nature longue ou courte d'un stade de code simple. Lorsque le dixième stade est court, le relais P2 est en position ouverte lorsque le relais R est amené vers la droite pour commencer le onzième stade et il se ferme alors momentanément un circuit al- lant de la borne B sur le contact de droite du relais R, par le contact du   repos µ   du relais P2, le fil 156, le relais FS, le contact b du relais D, le fil 150, le contact t du relais P2, de sorte que le relais FS est amené vers la gauche.

   Lorsque le dixième stade est long, le relais P2 attire son armature pendant la durée du onzième stade et ses contacts b et g inversent le sens de circulation du courant dans le relais FS et il est amené vers la droite.   Le*   circuits des relais MSC et COS sont de même commandés par le relais P2 et les relais LES et RES par le relais P1, chacun par une impulsion momentanée au commencement du stade suivant son stade assigné, c'est-à-dire suivant le stade dont la nature commande le fonctionnement du relais de retenue polaire. 



  Les relais LES et RHS sont également munis d'un circuit de ré- tablissement local qui fonctionne de façon bien connue pour exciter ces relais en direction normale du fait de l'ouverture du relais de voie   TR.   

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   On a décrit ci-dessus deux types de circuit servant à commander des relais de retenue polaires. Dans le premier   type,   représenté par le circuit du relais WS, le relais de retenue polaire n'est excité que si le relais pilote P1 ou P2 a attiré son armature sous l'action d'un stade long et n'a pas fonc- tionné si le stade est court. Dans le deuxième type, représenté par le circuit du relais   FS,   le relais de retenue polaire est excité dans un sens, si le stade assigné est long et, en sens contraire,   s'il   est court. Il y a également un troisième type, non représentéqui peut être obtenu en reliant l'un quelconque des relais au fil 158 ou 159 allant au contact de repos a du relais P2 ou   Pl   (figure 2A), au lieu d'aller au fil 156 ou   157.   



  En supposant qu'une borne du relais FS est reliée au fil 158 au lieu de l'être au fil 156 par exemple, son autre borne étant reliée au fil 112 comme représenté, on voit que le relais FS n'est momentanément excité par le relais R que lorsque le stade assigné est court, de sorte que le relais P2 reste fermé. Il en résulte que n'importe lequel des relais de retenue polaires peut être disposé de façon à fonctionner pour un stade court mais pas quand le stade est long. 



   Lorsque l'on arrive au seizième stade du code de com- mande,les relais de ligne R restent excités fermement et les relais de synchronisation L de chaque station s'ouvrent en concordance avec les relais correspondants du bureau et il en est de même des relais 7, 16, CR et S à la station choisie, le relais Ll étant le dernier à s'ouvrir. Le relais CD s'ouvre sous   Inaction   du relais LBP, avec le relais CR, et ensuite le relais D s'ouvre en mettant l'appareil en condition pour rece- voir un nouveau code. L'ouverture du relais L1 met l'appareil en état pour amorcer la transmission d'un code d'indication, en supposant que le relais SS qui sera décrit ci-dessous ne soit pas excité. 

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   L'appareil de code de station des figures 2A, 2B, et 2C convient également pour transmettre des codes d'indication      que l'appareil du bureau peut recevoir. Chaque code d'indication comporte seize stades dont le premier est relativement court, du second au huitième ils sont disposés suivant différentes combi- naisons de trois stades longs et de quatre stades courts de manière à actionner les relais sélectifs F, G et S du bureau et de la station conformément aux différents appels de code, comme déjà indiqué, et les stades du neuvième au seizième stade peu- vent être longs ou courts de manière à indiquer l'état de sept dispositifs mobiles à la station par fonctionnement d'un groupe de relais d'indication K du tableau choisi du bureau lors du seizième stade du code. 



   On a représenté un groupe typique de dispositifs de ce genre sur la figure 2C sur laquelle on voit un groupe de relais indicateurs comportant un relais TKS d'emmagasinage de voie, un relais d'approche KR, un relais de prise de puissance POR, un relais de répétition de changement de voie normal et inverse NWP et RWP et deux relais de commande de signaux   LER   et   RER.   L'appa- reil de station est disposé de manière à commencer automatique- ment un code d'indication sous l'action   d'un   changement dans la position de l'un des relais indicateurs, chacun de ces codes étant emmagasiné pour être transmis, lorsque le circuit de li- gne devient disponible, par l'ouverture du relais de mise en route de la station ST de la figure 2C.

   Le relais ST est main- tenu normalement excité par un circuit de retenue partant de la borne B sur son contact de travail avant a, passant par le contact de repos 2 du relais S, l'enroulement du relais S, un contact de travail ou de repos c de chacun des différents relais indicateurs en série, pour aller à la borne C. On peut également amorcer à la main un code d'indication pour transmission d'un code de "rappel" spécial provenant du bureau à l'aide duquel le 

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 relais ST peut également être libéré, comme on le verra ci-dessous. 



  Actuellement, on faisait des objections à un circuit de départ normalement excité de ce genre, car il était nécessaire d'avoir un réglage spécial des contacts des relais indicateurs pour assurer la libération du relais de mise en route pendant le temps court pendant lequel le circuit est ouvert pendant le passage du contact d'une position à une autre.

   On a remédié à cette diffi- culté dans les circuits représentés en utilisant un relais sen- sible du type polaire polarisé, sur les bornes duquel est montée une inductance   70.   L'énergie emmagasinée dans la bobine 70, lorsque le relais ST est excité, donne une source de courant induit amenant le relais SP dans sa position inverse de manière   à   ouvrir son circuit de retenue sous faction d'une augmentation brusque de la résistance du circuit due au déplacement de l'un des contacts e du-relais indicateur, même si le temps où ce contact est réellement ouvert est sensiblement zéro et, en con- séquence, il n'est pas nécessaire, d'avoir un réglage spécial de ces contacts. 



   On va maintenant décrire la transmission d'un code d'indication par l'appareil 2A, 2B, et 2C, en supposant que le code soit amorcé du fait du déplacement d'un train sur la sec- tion de ligne 1T. La chute du relais de voie TR ouvre le cir- cuit de retenue normalement fermé du relais TICS allant de la borne B sur le contact de repos du relais MSP, par le con- tact de gauche d du relais SP, le contact de travail a du relais PR, le relais TKS, pour aller à la borne C. Le relais TKS s'ouvre, son contact c ouvrant à son tour le circuit de retenue du relais ST qui s'ouvre. 



   Si le circuit de ligne est disponible, le circuit de mise en route se ferme en allant de la borne B, par les con- tacts de repos b des relais ST et SS, le fil 147,le contact b du relais RP, le contact a du relais de coupure COR, les con- 

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 tacts de repos b des relais Ll et L2 et le relais M, pour aller à la borne C. Le relais M attire son armature en fermant un circuit de retenue temporaire sur son contact a, allant au fil 147 par le contact de   repos 2 du   relais LBP. Les contacts B et D du relais M inversent les connexions du relais R aux fils de ligne Y et Z, le contact de travail d du relais M fermant éga- lement un shunt de faible impédance allant de la ligne Y par les contacts de repos des relais CD et LPB, à la ligne Z.

   Les con- tacts ± et g du relais M branchent maintenant les condensateurs du filtre passe-bas LPF en travers de la ligne, de sorte que pendant la transmission, ces connexions correspondent à celles d'un bureau. Normalement, l'impédance montée dans la ligne,, que comporte l'appareil de station, est sensiblement augmentée comme cela est à souhaiter, en débranchant ces condensateurs. 



   Lorsque le circuit de ligne est shunté par le relais M, le relais de ligne associé R s'ouvre et l'augmentation de courant fournie par la batterie 80 fait que le transformateur RT (figure lA) fournit une   impulsion   actionnant le relais OR pour ,l'inverser sensiblement en concordance avec le relais R. 



   Le relais R actionne les relais de synchronisation associés et le relais 1, la fermeture du contact 9 du relais LB fermant le circuit de retenue normale du relais M, passant par le fil 118 et les contacts de repos e des relais 16 et CD, pour aller à la borne B. 



   Le relais OR actionne les relais de synchronisation O, le relais 1 et le relais E comme dans le premier stade d'un code de commande et, en outre, il se ferme un circuit partant de la borne B du contact de droite à du relais OR, passant par le contact de repos H du relais OLBP, le contact de repos b du relais OM, le contact de repos d du relais Q16, le relais PC, le fil   17   et finalement la borne C du contact a du bouton CB. En conséquence, le relais PC attire son armature et ses contacts B 

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 et D inversent la polarité du courant fourni à la   ligne,   tandis que son   contact g   ferme un circuit excitant une bobine de répé- tition PCP à fermeture   lenté   et à ouverture lente. 



   La variation brusque du courant de ligne, due au fonc- tionnement du relais PC, n'a pas d'effet sur le relais OR du fait que lorsque le relais PC attire son armature, le secondaire du transformateur RT est momentanément   court-circuits   sur le contact de travail c du relais PC et le contact de   repos c.   du relais PCP et l'enroulement inférieur du relais OR est excité en sens inverse par le circuit partant de la borne B du contact de repos b du relais PCP, passant par le contact de travail! du relais PC, les contacts de repos des relais X, OM et   OT   et le relais DR, pour aller à la borne O.

   Le relais PC est maintenu excité par un circuit de retenue comportant son contact de tra-   vail   et le contact de   travail h   du relais OLBP, jusqu'à ce que le relais 016 attire son armature lors du retour du relais OR à la normale, à la fin du code. 



   Le shunt monté sur les fils de   lignes Y   et Z, consti- tué par le relais M à la station émettrice, comme indiqué, pro- voque également un court-circuit et, en conséquence, ouvre les relais de ligne R aux stations plus éloignées du bureau. Si la station émettrice est à une grande distance du bureau, il peut se faire que la tension sur la ligne, qui varie depuis sensiblement la tension totale de la batterie 80 au bureau, jusque sensiblement 0 à l'endroit où le shunt est appliqué, reste suffisante pour maintenir les relais R fermés aux sta- tions voisines du bureau. Toutefois, ces relais s'ouvrent par inversion de la polarité de la ligne sous   Inaction   du relais PC.

   Il en résulte que tous les relais'de ligne R s'ouvrent sen-      siblement en même temps lorsqu'un relais M attire son armature pour commencer un code, chaque relais R actionnant   sesrelais   de synchronisation et le premier relais de comptage 1. 

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   A chacune des stations où le relais M n'est pas actionné, le relais R reste ouvert en maintenant le relais L2 excitée mais en laissant le relais Ll s'ouvrir pour fermer le relais CD et, ensuite, les relais LP, LB, LBP, 1 et CD s'ouvrent dans cet ordre. 



   A la station émettrice, la fermeture du contact de tra- vail e du relais M ferme le circuit pulsatoire du relais T qui va de la borne B du contact de repos 2 du relais CD (figure 2B), par le contact de repois e du relais 16 et les contacts de repos G des relais 7, 5, 3 et 1, le fil 168, le contact e du relais M, le relais T, les résistances W6 et   W7   pour aller à la borne C. 



  Le relais T transmet le code par fonctionnement de son contact   b   qui est rendu effectif lorsque le relais LBP attire son armature dans le premier stade, pour ouvrir son contact de   repos'   f en parallèle avec lui. Chaque fois que le relais T attire son armature, il se ferme un shunt à faible résistance allant de la ligne Y par le contact de repos f du relais CD, le contact de travail µ du relais T et le contact de   travail 12   du relais M, à la ligne Z et, en même temps, le circuit du relais R qui va maintenant du fil positif Z par le contact de travail d du re- lais M, le contact de repos b du relais T, la résistance W1, le relais R, le contact de travail b du relais   M,   pour aller au fil Y, est ouvert par le relais T,

   ce qui ouvre le relais R plus rapidement que s'il était simplement   court-circuité   par la fermeture du contact de travail b du relais T. 



   Quoique le premier stade d'un code d'indication soit court par comparaison avec le premier stade d'un code de com- mande, il est légèrement plus long que les autres stades courts puisqu'il commence avant que le relais T attire son armature et du fait que le relais T est maintenu excité jusqu'à ce que le relais BB ait attiré son armature, ce qui se produit peu après que le relais 1 a attiré la sienne du fait d'une liaison - allant de la borne B du contact de repos e du relais LBP, par le contact de repos d du relais LB, au fil 168.      

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   Le fonctionnement de l'appareil à la station émettrice qui est nécessaire pour permettre à la transmission de se con- tinuer,dépend également des conditions au bureau. Etant donné que les liaisons du relais R avec la ligne ont été inversées par le relais M, le relais R n'attire son armature pour commencer le deuxième stade que si le relais   PC   a été fermé pour inverser la polarité du courant de ligne, ce qui indique que l'appareil du bureau est dans fêtât de réception convenable avec le relais OM ouvert. 



   Les stades d'appel de code du code d'indication sont engendrés par le relais T de la même façon que par le relais OT dans le code de commande déjà décrit. En supposant que ce soit 234, le second stade est prolongé par la fermeture d'un circuit de retenue du relais T allant de la borne B, par les contacts de repos ± des relais ST, SS et-Se le contact de repos g du relais GA, le contact de repos e du relais FA au fil 132 puis, de là, par le contact du relais 2, le contact de repos f du relais CR, le fil 162, le contact F du relais M et le contact de repos ± du relais T à la borne de gauche, ce qui   court-circuite   le relais T.

   Lors du   deuxième   stade, le relais FA attire son, armature du fait de l'ouverture des relais   L2   et LP et son con- tact fait passer la liaison de la borne B au fil 132 sur le fil 133, en ouvrant le circuit de retenue du relais T pour lui permettre d'attirer son armature pour commencer le troisième stade. Celui-ci est prolongé par le fonctionnement du circuit de retenue du relais T, allant de la borne B, par le contact de travail ± du relais FA, au fil 133, puis par le contact c du relais 3, le contact de repos du relais CR, le fil 161, les   contacts   et l'enroulement et le contact de travail ± du relais T et la résistance W7, à la borne C.

   Dans le troisième stade, le relais GA attire son armature du fait de l'ouverture des relais 

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 Ll et LP et son contact g fait passer la liaison de la borne B au fil 133 sur le fil 134 en ouvrant le circuit de retenue du relais T pour lui permettre,de s'ouvrir et de commencer le qua- trième stade, qui, comme le'second, est prolongé par le fonc- tionnement d'un circuit de retenue du relais T, le circuit du quatrième stade comportant le contact   avant g.,   du relais GA, le fil 134 et le contact   2 du   relais 4. Dans le quatrième stade, le relais sélecteur de station S attire son armature par suite de l'ouverture des relais L2 et LP, l'ouverture du contact de repos c du relais 8 permettant au relais T de s'ouvrir pour com- mencer le cinquième stade. 



   Lorsque le relais S attire son armature, il ferme le circuit du relais de répétition MSP, allant de la borne B du contact de travail & du relais M (figure 2A), par le fil 169, le contact b du relais 8, le relais MSP,   à   la borne C. En consé- quence, le relais MSP attire son armature dans le stade corres- pondant au dernier chiffre de l'appel de code, en restant.exci- té jusqu'à la fin du code. 



   Etant donné que le circuit pulsatoire pour le relais T, fonctionne de la même façon que pour le relais OT déjà décrit, il est évident que si lerelais S est excité dans le quatrième stade, les stades, du cinquième au huitième, sont courts. Le relais CR attire son armature dans le huitième stade par le circuit partant de la borne B, passant par le contact d du re- lais S, le fil 146, le contact ± du relais 8, le relais CR, pour aller à la borne C, le relais CR fermant son circuit de retenue sur le fil 160, en fermant son contact de travail a. 



   Lorsque le relais CR attire son armature, il établit un circuit de fermeture pour le relais de mise en route normale- ment excité SP partant de la borne B du contact ± du relais CR, en passant par le contact de travail e du relais 8, le contact de travail h du relais M, le fil 114, le contact de travail! du 

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 relais S, le relais ST et la bobine 70 en parallèle, puis les contacts de travail ou de   repos ±   des relais indicateurs TKS, etc..pour aller à la borne C.

   Le relais ST attire son armature et établit   un   circuit de retenue temporaire allant de la borne B sur son contact de travail a, par le contact de travail e du relais S, le fil 113, le contact de travail d du relais   LB,   au fil   114   et ensuite comme on l'a dit plus haut, par le relais ST et la bobine 70, à la borne C. 



   Lors du huitième stade, le relais CR établit des   liai-   sons partant de la borne B sur les contacts b des relais indi- cateurs NWP, TK, etc.. de la figure   2C,   en passant par les con-   tacts & à.   g des relais MSP, les fils 139 à 146, se complétant successivement sur les contacts f des relais 1 à 7 lors des hui-   tième   à quinzième stades du code, soit sur le contact e du re- lais Ll et le contact b du relais LP, en parallèle, et le con- tact de travail du relais CR pour aller au fil   161,   soit par le contact 1 du relais L2 et le contact ± du relais LP en   parallè-   le, et le contact de travail f du relais CR, pour aller au fil   162   et maintenir le relais T fermé ou   ouvert,   suivant le cas,

   jusqu'à ce que le relais LP s'ouvre ce qui rend ces stades dis- ponibles pour indiquer les positions de sept relais indicateurs au même endroit. 



   Lorsque   l'on   arrive au seizième stade, le relais R de la station émettrice attire son armature, en excitant le relais 16 qui ouvre son contact de   repos g   pour débrancher la borne B d'avec les fils 168 et 118. Le relais T reste ouvert et le relais M s'ouvre inversant les liaisons du relais R de manière qu'il ne fonctionne que pour du courant'de ligne de polarité normale. Dans le bureau, le relais OR est amené à sa position normale en excitant le relais   016,  qui, en ouvrant son contact de repos d, ouvre le relais PC en ramenant ainsi la polarité de 

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 ligne à la   normale   de sorte que le relais R reste fortement excité après que le relais M s'est ouvert.

   Le relais PC ouvre le relais PCP et le relais OR libère les relais OL2, OLP, OLB, OLBP et OL1, dans   l'ordre.   



   Le relais OR reste dans sa position normale et il n'est pas   abjecte   par le fonctionnement du relais PC, car lorsque cela se produit, le transformateur RT est court-circuité sur le con- tact de repos c du relais PC et le contact de   travail e   du relais PCP et le relais OR est maintenu excité en sens normal jusqu'à ce que le relais PCP s'ouvre dans le circuit allant de la borne 0, par l'enroulement inférieur du relais OR, les contacts de re- pos e des relais OT, OM et   X,   le contact de repos ± du relais PC et le contact de travail a du relais PCP pour aller à la borne C. 



   Le rétablissement de la polarité de ligne à la normale, par le relais PC,fait que le relais de ligne R de chacune des autres stations attire son armature. A ces stations, les relais Ll, LP, LB et LBP attirent leurs armatures et ensuite les relais L2, LP, LB, LBP et Ll s'ouvrent dans cet ordre. 



   A la station émettrice, même si le relais M s'ouvre au moment précis où la polarité de ligne est ramenée à la normale, le relais R peut être momentanément désexcité mais, étant donné que le relais 16 est fermé, ses contacts d   et 2   reliant les contacts de droite et de gauche a et b, du relais R les uns avec les autres de sorte que les circuits commandés par le re- lais R restent dans le même état que si le relais R était resté fermement excité.   En   conséquence, les relais de synchronisation de chaque station s'ouvrent dans l'ordre, sensiblement en concor- dance avec ceux du bureau et légèrement en avance par rapport à ceux des autres stations. Le relais MSP est libéré par le re- lais M, le relais 16 est libéré par le relais LB et les relais CR et S sont libérés par le relais LBP.

   Lorsque le relais M 

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 s'ouvre, son contact de repos h (figure 2B) relie le fil 113, par le contact de   repos h   du relais 1, au fil 114 de manière à maintenir fermé le circuit de fermeture temporaire du relais ST après que le relais LB s'est ouvert. Lorsque le relais S   s'ouvre,   la chute de son contact e de transfert de la continuitérétablit le circuit de retenue normal par lequel le relais ST est maints- nu excité jusque ce qu'il se produise un changement dans la po- sition de   l'un   des relais Indicateurs pour commencer un nouveau code. 



     On   voit que tous les appareils de code sont ramenés à la normale et sont placés dans l'état de réception convenable avant la libération des relais OL1 et Ll pour mettre le système en état de transmettre un nouveau code. 



   Il peut se produire un changement dans la position de l'un des relais indicateurs pendant la transmission du code d'in- dication que l'on vient de décrire. Si cela se produit avant la transmission de l'un des stades indicateurs du neuvième au quinzième, le relais ST est réexcité lors du huitième stade et il ne sera transmis qu'un code. Etant donné que le circuit de retenue du relais ST est ouvert au commencement du neuvième sta- de, le circuit de retenue temporaire au moyen duquel le relais ST est maintenu excité s'ouvre pour provoquer une nouvelle ou- verture si un changement dans la position de l'un des relais indicateurs se produit à la suite de la transmission du huitième stade. En conséquence, un nouveau code d'indication sera trans- mis pour indiquer le nouvel état. 



   Il peut également se produire, par suite   d'une   faute, que la transmission soit interrompue avant que le seizième stade soit atteint pour rétablir le circuit de retenue normal du relais ST. S'il se produit une pose prolongée dans le fonc- tionnement du relais R après que le relais ST a fermé son armature; 

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 le relais Ll ou L2 s'ouvre en ouvrant le relais LB. Il en ré- sulte que le relais LB ouvre son contact avant que le relais M s'ouvre pour ouvrir le relais SP et, par conséquent, mettre l'appareil en condition de retransmettre le code en totalité lorsque la ligne devient disponible. 



   Jusqu'ici, en liaison avec les relais de départ du type normalement excité, comme cela a été représenté par exemple par le relais S du brevet des Etats-Unis n .2.273.231 du   17   Février 1942,il a été nécessaire de prévoir un relais répétiteur SP qui est ramené à la normale à la fin d'un code complet de façon à être sûr qu'un code interrompu dans   l'un   des stades suivant ce- lui dans lequel le relais de mise en route a fermé son armature, est retransmis. Ce résultat est obtenu suivant la présente in- vention, à l'aide d'un circuit de retenue temporaire, comme in- diqué ci-dessus, en outre du circuit de retenue normal pour le relais ST de mise en route de la station. 



   On va maintenant décrire le fonctionnement de l'appa- reil du bureau des figures lA, 1B et 1C lorsqu'il reçoit un code d'indication. On comprend que le relais OR est actionné par le transformateur RT vers la droite lors de chaque stade impair et vers la gauche lors de chaque stade pair et, en conséquence, il actionne ces relais de synchronisation et de comptage dans les seize stades, en concordance avec les relais correspondants de la station émettrice. 



   Lors du premier stade, les relais OL1, 01, E, PC et PCP attirent leurs armatures comme on l'a déjà dit, de même que les relais OL2, OLP, OLB et OLBP, mais le relais OL1 ne s'ouvre pas car le premier stade est court. Des relais sélectionnés F, G et S, du bureau, attirent leurs armatures dans les stades correspon- dant aux chiffres de l'appel de code de leur station. Plus parti- culièrement, sous l'action de l'appel de code 234, les relais 2F - et 23G sont actionnés dans les stades deux et trois et les relais 

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 234S et SP dans le quatrième stade. En condition de réception, le contact de repos d du relais OLP dans les circuits de ces relais est ponté par le contact de travail! du relais PCP, de sorte que ces relais sont fermés lors de la fermeture du con- tact de repos d du relais OL1 ou OL2 dans les stades longs. 



   L'excitation du relais PCP prépare également un circuit allant de la borne B de la figure 1A, par les contacts de tra-   vail c,   des relais OL1 et OL2, le contact de travail du relais PCP, le fil 59, le contact de travail c du relais   SP,   l'enroule- ment supérieur du relais OCD, à la borne C. Etant donné que le relais SP attire son armature par le contact de repos du relais OL1 ou OL2, le circuit du relais OCD est maintenu ouvert dans le stade dans lequel les relais S ou SP fonctionnent et il se ferme dès que le relais OL1 ou OL2 a attiré son armature au commencement du stade suivant le chiffre final de l'appel de code de la station,   c'est-à-dire   dans le cinquième stade lorsque l'appel de code est 234.

   Lorsque le relais OCD attire son ar- mature, il ferme un circuit de retenue passant par son contact et l'enroulement inférieure en allant à la borne B sur le fil 60. 



   Le relais OCR attire son armature lors du huitième sta- de comme on l'a dit plus haut. Le contact de travail 1 du relais PCP maintient la liaison allant de la borne B sur le fil 60, par les contacts de repos d des relais OL1 et OL2, aux fils 63 et 64 après que le relais OCR a attiré son armature et la fermeture des contacts de travail b et d du relais OCR prépare des circuits allant des fils 63 et 64 aux contacts des re- lais O1 à 07 ce qui fait qu'une série de relais enregistreurs 9 à 15 sont rendus sensibles à la nature des stades de numéros correspondants du code. Ceci veut dire que lorsque la borne B est reliée à l'un des fils 139 à 145 (figure 2C), par un contact d'un relais indicateur, le stade correspondant du code transmis est prolongé, et, au bureau, les relais enregistreurs correspon- 

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 dants 9 à 15 attirent leurs armatures.

   Si le neuvième stade est long par exemple, le relais OL1 s'ouvre en fermant son contact de repos b pour établir un circuit allant de la borne B du con- tact a du relais OLBP par le contact ± du relais PCP, le contact de repos d du relais OL1, le fil 63, le contact de travail du relais OCR, le contact 2 du relais 01, le relais 9, à la borne C, le relais 9 attirant son armature pour fermer un circuit de retenue allant à la borne B, sur le fil 60, par son contact de travail a et fermant également son   contact 12   pour relier la borne B au fil 49. 



   Lors du seizième stade, le relais 016 attire son arma- ture en fermant un circuit partant de la   borne   B passant par les contacts de travail des relais OCR et OCD (figure 1B), le con- tact! du relais 016, le fil 56, le contact ± du relais   sélec-   teur 234S, le relais de sortie associé 234D, pour aller à la borne C. En conséquence, le relais 234D est excité pour action- ner les relais indicateurs K du groupe qu'il commande, confor- mément aux positions des relais enregistreurs 9à 15. Le relais 234D ouvre les circuits de retenue des relais K et prépare des circuits de fermeture pour chacun de ces relais, allant par les fils 49 à 55 à la borne B des contacts de travail b des relais 
9 à 15 respectivement, dont la position indique l'état des relais indicateurs du groupe commandant la transmission du code. 



   L'ouverture du contact de repos d du relais 016, lors du seizième stade, libère le relais PC qui, à son tour, libère le relais PCP. La libération du relais PC rétablit la polarité de ligne à l'état normal, le relais OR étant maintenu normal par le contact de repos f du relais PC et le contact de travail a du relais PCP jusqu'à ce que le relais PCP s'ouvre, le relais OR étant débranché d'avec le transformateur RT par ouverture du con- tact de repos ± du relais 016. Les relais de synchronisation du bureau   s'ouvxentalors 1   dans l'ordre normal, le relais OL1 étant le      

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 dernier à s'ouvrir.

   Le relais OLB libère le relais 016 cui libè- re le relais 234D en rétablissant les circuits de retenue pour les relais indicateurs K qui étalent excités par les fils 49 à   55.   Le relais OLBP libère les relais OCR, OCD, SP et 234S ainsi que les relais excités du groupe neuf   à.   quinze. 



   Dans ce qui précède, on a supposé que le code a été amorcé par la libération du relais de voie TR, le relais 10 étant excité lors du dixième stade et le relais TK lors du sei-   zième   stade pour allumer la lampe TKE et, également,si la touche TICS est fermée, pour actionner le relais BR de sonnette momenta- nément, par le contact b du relais TK, pour actionner la sonnet- te BL à un seul coup. Si ce code se répète, le relais TK reste fermé et la sonnette BL n'est pas actionnée, comme on le comprend. 



  Le contact de travail a du relais TK assure une liaison allant de la borne B pour exciter l'aimant PM du style   d'un   enregistreur graphique, comme il en est en général prévu dans des systèmes de ce   genre.   



   Pour être sûr que l'aimant PM est actionné lors de cha- que déplacement de train dans la section de ligne contrôlée, même si le circuit de ligne n'est pas disponible pour la trans- mission du code d'indication après que la section de ligne a été libérée, il est prévu un relais d'emmagasinage TKS, comme on le voit sur la figure 2C, relais qui est normalement mainte- nu excité par un circuit de retenue partant de la borne B sur son contact de travail b et passant par le contact de travail a du relais TR et le relais TKS, pour aller à la borne C.

   La li- bération du relais TR, lorsqu'un train pénètre dans la section 1T, libère par suite le relais TKS pour ouvrir son circuit de retenue et pour brancher la borne B, par son contact de repos b, avec le contact % du relais MSP, pour mettre   l'appareil   en état de transmettre une indication de ligne occupée. Le relais ST est libéré par la chute du contact c du relais TKS et il ouvre son 

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 contact d dans le circuit de fermeture du relais TKS partant de      la borne B sur le contact de repos h du relais MSP de sorte que le relais TKS reste ouvert jusqu'à ce que le code de ligne occu- pée soit transmis.

   Pendant la transmission de ce code, le con- tact de repos h du relais MSP s'ouvre avant la fermeture du con- tact d du relais SP, ce qui se produit lors du huitième stade et, quand le contact de repos h du relais MSP se referme lors du seizième stade, le relais TKS est réexcité pourvu que le relais ST soit fermé,en indiquant que le code de ligne occupée a été transmis et pourvu également que le relais TR ait attiré son ar- mature. Lorsque le relais TKS attire son armature, l'ouverture de son contact de   repos c.   libère de nouveau le relais ST pour amorcer un code indiquant l'état de voie libre et, étant donné que le relais ST est extrêmement rapide, le circuit d'excitation du relais TKS s'ouvre avant qu'il soit complètement fermé pour établir son circuit de retenue.

   Un condensateur Cl, de relative- ment grande capacité, accumule suffisamment d'énergie pour   prolon- '   ger l'excitation du relais TKS jusqu'à ce que son contact avant b se ferme pour établir son circuit de retenue, dans la condition indiquée. 



   Le relais TKS commande également un circuit servant à rétablir à la normale les relais de commande des signaux de re- tenue polaire lorsqu'un train pénètre dans une section de ligne, pour libérer le relais TR et empêcher l'ouverture automatique des signaux lorsqu'un train quitte la section de ligne, aucun relais de répétition supplémentaire n'étant nécessaire, ce circuit allant de la borne B du contact de repos b du relais TR, par le contact a du relais TKS, les enroulements inférieurs des relais LES et RHS en série, à la borne C. 



   On va maintenant décrire comment le système est ramené à la normale dans le cas d'une faute. 

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   Un code de commande peut se terminer sur un stade impair du fait d'une   faute,   le relais OT étant maintenu excité par le fil 68, par exemple. Le relais OR est alors maintenu in- versé jusqu'à ce que les relais de synchronisation OL1, OLP, OLB et OLBP   s'ouvrent,   le relais OL2 restant excita. Le relais 
OLBP ouvre le relais OM et ouvre les circuits des relais de comptage et de sélection. L'ouverture du relais   OM   avec le re- lais OR inversé permet au relais PC d'attirer son armature. Le relais   OM   libère également le relais OT et le relais PC ferme le relais PCP. 



   A chaque station, le relais R reste ouvert et les re- lais de synchronisation s'ouvrent dans le même ordre, le relais 
OL2 restant excité. Le relais LBP ouvre les circuits de relais de comptage et de sélection pour empêcher une nouvelle réception. couverture du relais   OT   ferme le circuit de ligne mais le re- lais R n'attire pas son armature car la polarité a été inversée par le relais PC. 



   Lorsque le relais PCP attire son armature, le relais OR est amené à la normale par le circuit allant de la borne 0 par son enroulement inférieur et les contacts de repos e des relais 
OT, OM et   X,   les contacts de travail f et ± des relais PC et PCP, le contact de travail ± du relais OL2 et les contacts de repos f des relais OLBP et OLB1, à la borne C. De ce fait, les relais de synchronisation du bureau sont réexcités et le relais PC est désexcité, le relais PC s'ouvrant avant que le relais OLBP se ferme. En conséquence, les relais de synchronisation du bureau s'ouvrent dans l'ordre normal du fait de la désexcitation du relais OL2 et le relais PCP   s'ouvrant   également, le relais OL1 étant le dernier à s'ouvrir. 



   Lorsque le relais PC s'ouvre, il rétablit la polarité de ligne à la normale de sorte que tous les relais de ligne R attirent leurs armatures en concordance, en réexcitant leurs 

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 relais de synchronisation et ces derniers s'ouvrent alors dans l'ordre normal à chaque   station   du fait de la désexcitation du relais L2, le relais Ll étant le dernier à s'ouvrir. 



   Si un code de commande se termine sur un stade pair avant le seizième du fait qu'un relais OT n'a pas attiré son ar- mature, le relais OR est maintenu à l'état normal et les relais de synchronisation s'ouvrent dans l'ordre normal, le relais OLBP ouvrant les circuits des relais de comptage et de sélection et également ouvrant le relais OM, le relais OL1 étant le dernier à s'ouvrir. Les relais de la ligne de station restent fermement excités et leurs relais de synchronisation s'ouvrent dans l'ordre normal, comme à la fin d'un code complet, le relais Ll étant le dernier à s'ouvrir. 



   Si une indication de code se termine sur un stade impair, comme cela serait le cas, par exemple, si le relais T restait fermé par suite d'une faute, le relais OR reste inversé jusqu'à ce que le relais OLBP s'ouvre, le relais OL2 restant avec son armature attirée. Le relais OR est ramené à la normale par fer- meture du contact de repos du relais OLBP dans le circuit in- diqué plus haut qui comporte les contacts de travail des relais PC, PCP et OL2 et les contacts de repos f des relais OLBP et OL1. 



   A la station émettrice, le relais R reste ouvert et les relais de synchronisation Ll, LP, LB et LBP s'ouvrent. Le re- lais LB ouvre le relais M lequel ouvre le relais T et supprime le shunt constitué par le relais T et inverse également les connexions du relais R, de sorte que ce dernier reste ouvert, l'appareil prenant le même état que dans les autres stations où le relais R et les relais de synchronisation restent ouverts, avec le relais R2 fermé. 



   Lorsque le relais R est revenu à la normale, les relais ' de synchronisation du bureau sont réexcités et le relais PC est 

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 désexcité et s'ouvre avant que le relais OLBP ait attiré son armature. Les relais de synchronisation du bureau s'ouvrent alors dans l'ordre normal, le relais OL1 étant le dernier à s'ouvrir. 



   Lorsque le relais PC s'ouvre, il rétablit à la normale la polarité de la ligne de sorte que tous les relais de ligne R attirent leurs armatures en concordance en réexcitant leurs re- lais de synchronisation et les relais de synchronisation de chaque station s'ouvrent alors dans l'ordre normal, le relais Ll étant le dernier à s'ouvrir. 



   Si un code d'indication se termine sur un nombre pair avant le seizième du fait qu'un relais OT n'a pas attiré son ar- mature, le relais OR reste à l'état normal jusqu'à ce que les relais de synchronisation OL2, OLP, OLB et OLBP s'ouvrent,, la fermeture du contact de repos   f   du relais OLBP fermant un cir- cuit servant à actionner le relais OR pour l'amener en sens in- verse, partant de la borne B du contact de travail d du relais PCP et allant par les contacts de repos   f   des relais OL2 et OLBP,. le contact de travail b du relais PCP, le contact de tra- vail f du relais   PC,   les contacts de repos des relais   X,   OM et   OT   et le relais OR, à la borne 0. 



   A la station émettrice, le relais R reste fermé et les relais de synchronisation L2, LP et LB s'ouvrent. Le relais LB ouvre le relais M et inverse les connexions du relais R de sorte que le relais R s'ouvre en réexcitant les relais de synchroni- sation qui s'ouvrent alors dans l'ordre L1, LP, LB et LBP, l'ap- pareil reprenant le même état que dans les autres stations où le relais R et les relais de synchronisation restent ouverts avec le relais R2 fermé. 



   Au bureau., le relais OR est inversé lors de l'ouverture du relais OLBP et, étant donné que le circuit de fermeture du relais PC est fermé lorsque son circuit de retenue   s'ouvre,   le relais PC reste fermé. Les relais de synchronisation du bureau 

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 sont réexcités et s'ouvrent ensuite dans l'ordre OL1, OLP, OLB et OLBP, le relais OL2 restant fermé. Le relais OR est ramené à la normale lors de la fermeture du contact de repos! du relais OLBP sur le circuit indiqué ci-dessus qui comporte les contacts de travail des relais PC, PCP, et OL2 et les contacts de repos des relais OLBP et OL1. Lorsque le relais OR est ramené à la nor- male, les relais de synchronisation du bureau sont réexcités et le relais PC est désexcité, le relais PC s'ouvrant avant que le relais OLBP s'ouvre.

   Les relais de synchronisation du bureau s'ouvrent alors dans l'ordre normal et le relais PC rétablit à la normale la polarité de la ligne pour fermer les relais de ligne de station, les relais de synchronisation de station étant réexcités et s'ouvrait dans l'ordre normal comme dans les exemples précédents. 



   On voit que, dans chaque cas, quelles que soient leurs positions initiales, les relais de lignes OR et R sont tous ra- menés à la normale sensiblement en même temps, de sorte que cha- cun libère ses relais de synchronisation dans l'ordre normal pour placer tous les systèmes de code dans l'état de réception convenable avant que le relais OL1 ou l'un quelconque des relais Ll s'ouvre pour permettre l'amorçage du code suivant. En général le bureau a la priorité pour envoyer les codes suivants car le relais OL1 s'ouvre un peu avant que les relais Ll s'ouvrent. 



   On a déjà dit que si, par suite d'une faute, un code d'indication est interrompu après que le relais ST de remise en route de la station a été réexcité, le relais ST s'ouvre à nouveau du fait de l'ouverture du relais MB, avant que le relais M s'ouvre. Il est clair, par suite, que chaque code d'in- dication interrompu est recommencé pour être retransmis en tota- lité une fois que la ligne est de nouveau disponible. Ceci n'est vrai que d'un code de commande dans le cas où l'interrup- on se produit avant que le relais de mise en route de l'office 

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 se soit ouvert, comme cela se produit dans le huitième stade de l'appel de code de station, autrement il est nécessaire d'effec- tuer une deuxième commande avec le bouton de mise en route STB. 



   Il peut également se produire que le relais OR soit actionné par une ou plusieurs impulsions de courant étranger comme cela arrive dans le cas où une ligne temporaire croise ou s'ouvre lorsque le système est dans sa position de repos normale. Dans ce cas, la première inversion du relais OR fait fermer le relais PC, en inversant la polarité de la ligne et en libérant les relais de ligne R pour empêcher la mise en route   d'un   code   à   une station. Lorsque l'interférence est terminée, le système se rétablit à la normale de la même façon que dans le cas d'un code d'indication interrompu comme décrit plus haut. 



   On va maintenant décrire les dispositifs servant à em- pêcher une interférence en transmettant les codes d'indication, un à la fois, dans l'ordre désiré, lorsque deux ou plusieurs transmetteurs ont des codes emmagasinés pour être transmis. L'in- sertion des contacts de relais   Ll   et L2 dans le circuit de fer- meture de chacun des relais M et du circuit analogue de relais OM, empêche la mise en route   d'un   code sauf lorsque la ligne est libre comme on l'a déjà explique, mais il peut facilement arriver que le bureau et une ou plusieurs des stations émettent des co- des sensiblement en même temps.

   Si le relais OM attire son arma- ture, le code de commande a la prépondérance étant donné que le contact de   repos b   du relais   OM   ouvre le circuit du relais PC et le stade long de ligne ouverte, engendré par le relais OT, main- tient les relais de ligne R ouverts pour fermer le relais de commande d'arrivée CD à chaque station, comme dans le code de commande déjà décrit. A chaque station où le relais M a attiré son armature pour commencer un code d'indication, la borne B reste déconnectée d'avec les fils 118 et 168 et le relais M est fuvert du fait de l'ouverture du contact de repos e du relais CD. 

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   En conséquence, toutes les unités de code de station sont en état pour recevoir le code de commande du premier stade, les codes d'indication étant emmagasinés pour être transmis ensuite. 



   Dans le cas où les unités de code de deux ou plusieurs endroits commenceraient des codes d'indication en même temps et par leur action commune mettraient l'unité du code du bureau en état de réception, les shunts appliqués sur la ligne par le relais T qui est le plus près du bureau commanderaient le fonc- tionnement des relais de ligne R aux endroits plus éloignés aussi bien qu'à celui du même endroit et les relais T fonctionneraient en concordance tant que les stades correspondants des appels de code respectifs sont de même nature.

   Lorsqu'un relais T maintient un shunt appliqué sur la ligne pour engendrer un stade long im- pair, il l'emporte sur tout relais qui s'ouvre en un endroit plus éloigné pour lequel l'appel de code nécessite un stade court et lorsque le relais T de la station voisine se ferme pour appliquer un shunt sur la ligne, en terminant un stade court pair, il l'em- porte sur tout relais qui est maintenu abaissé en une station plus éloignée comme cela est nécessité par un stade long.

   Dans chaque cas, les relais R et T des endroits plus éloignés occu- pent leur position ouverte simultanément pour un des stades de l'appel de code de station pour un temps suffisant pour exciter un circuit d'ouverture partant de la borne B du contact de droite a du relais R (figure 2A), passant par le contact de repos e du relais 16, le contact de travail b du relais LBP, le fil 119, le contact de repos d du relais T, le contact de travail j du relais ' M, le fil 166, les contacts de repos i du relais CR et   g   du re- lais 1, le relais de commande d'émission CD pour aller à la borne 
C. En conséquence, le relais CD attire son armature et, par ou- verture de son contact de repos e, il débranche la borne B d'avec les fils 118 et 168 en libérant le relais associé M.

   Etant donné - que la ligne est maintenant alimentée en courant de polarité in- verse, l'ouverture du relais M rend le relais associé R de la 

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 station plus éloignée non sensible au restant du code, en faisant que les relais de synchronisation L et le relais compteur excité de cette station s'ouvrement, son code étant emmagasiné pour être transmis ensuite lorsque la ligne est de nouveau libre. 



   On voit par suite,en ce qui concerne   l'action   de la ligne,   qu'un   stade long impair l'emporte pur un court et qu'un stade court pair l'emporte sur un long. Pour cette raison, il est bon de donner aux appels de code des différents endroits l'ordre géographique de sorte que chaque appel soit supérieur à ceux plus éloignés et inférieur à, ceux des stations plus près du bureau.

   En ce qui concerne   l'action   de la ligne l'ordre de supériorité des appels de code est;, par suite, le suivant: 
 EMI52.1 
 
<tb> 357 <SEP> 368 <SEP> 578 <SEP> 458 <SEP> 235 <SEP> 257 <SEP> 268
<tb> 
<tb> 358 <SEP> 345 <SEP> 567 <SEP> 456 <SEP> 237 <SEP> 258 <SEP> 245
<tb> 
<tb> 556 <SEP> 347 <SEP> 568 <SEP> 478 <SEP> 238 <SEP> 256 <SEP> 247
<tb> 
<tb> 378 <SEP> 348 <SEP> 678 <SEP> 467 <SEP> 236 <SEP> 278 <SEP> 248
<tb> 
<tb> 367 <SEP> 546 <SEP> 457 <SEP> 468 <SEP> 234 <SEP> 267 <SEP> 246
<tb> 
 
On voit qu'un ordre différent l'emporte lorsque les codes sont transmis du même endroit, auquel cas un stade long   l'emporte   sur un stade court. Par exemple, si tous les boutons de mise en route du bureau étaient actionnés en même temps, l'appel de code 234 serait le premier et 678 le dernier à être transmis. 



   Il est parfois bon d'utiliser des appels de code dont le premier chiffre est 2 en des endroits autres que dans l'ordre normal donné par le tableau ci-dessus. Pour permettre cela, on peut utiliser la variante de la figure 5 dans laquelle un relais émetteur secondaire TS est prévu dans le bureau de commande. 



   Dans cette variante les appels,de code de station sont de préférence limités à ceux pour lesquels le premier chiffre est 2 ou 3, en vue de donner un temps suffisant pour le fonction- nement du relais TS. Ce relais fonctionne,lors de l'inversion du 

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 relais OR, pour commencer le troisième stade mais seulement si un deuxième stade court est reçu et il sert à ouvrir le circuit de ligne sur le troisième stade pour évincer toute station qui essaye de transmettre un deuxième stade court. Il en résulte que des appels de code comportant un deuxième stade long, c'est-à- dire ceux dont le premier chiffre est 2, gardent leur statut in- férieur grâce à quoi les stations les utilisant peuvent être évincées sans tenir compte de l'emplacement géographique de ces stations.

   En conséquence, on peut les utiliser en des endroits plus près du bureau ou les disperser parmi d'autres stations ou sur une ligne secondaire ou en des points situés en direction opposée par rapport au bureau, sans interférence avec l'utilisa- tion de la ligne par des stations ayant 3 comme premier chiffre des appels de code. 



   Dans toutes ces dispositions, il est bien entendu que les appels de code comportant le même premier chiffre sont assignés dans l'ordre donné dans le tableau aux stations du groupe. 



   Il est entendu que la vue de la figure 5 est analogue à la partie correspondante de la figure   lA.   sauf en ce qui con- cerne l'addition du relais TS et de son circuit d'excitation, cette disposition étant un perfectionnement par rapport   à   celle de la figure 8 du brevet n .2.303.875 précité. 



   Lorsque deux stations commencent des codes d'indication en même temps, l'une ayant 3 comme premier chiffre et l'autre 2 comme premier chiffre, la première l'emporte et le relais OR est actionné pour venir sur la droite après un temps corres- pondant à un deuxième stade court en complétant ainsi un circuit momentanément au commencement du troisième stade de code reçu en partant de la borne B du contact de droite a du relais OR, en passant par les contacts de travail g des relais PCP et 2, le contact de travail m du relais E, le relais TS, pour aller à la borne C. 

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   Le relais TS attire son armature puis s'ouvre, son cir- cuit étant ouvert lors de l'ouverture du relais   02   du même stade. Les contacts b et d du relais TS ouvrent le circuit de ligne pendant 'on temps suffisant pour ouvrir le relais de ligne 
R à la station émettant le second stade long et pour rendre effectif le circuit de blocage de cette station, comme décrit ci-dessus, pour arrêter la continuation de l'émission à partir de cette station et le contact ± du relais TS débranche le relais OR d'avec le transformateur RT pour empêcher son fonctionne- ment normal sous   l'action   de l'interruption du courant de ligne par le relais TS.

   Lorsque le relais   TS   s'ouvre, la fermeture de son contact de repos ± permet au relais 02 de recevoir une im- pulsion de courant de sens inverse provenant du transformateur RT mais comme cela ne se produit que pendant un troisième stade long, lorsque le relais RT est en position inverse, cela n'a pas d'effet. 



   Il est entendu que sous l'action du troisième stade long, un premier relais sélecteur 3F est fermé sur le fil 23 (figure 1C) en libérant le relais E dont le contact n maintient le circuit du relais TS ouvert pendant le restant du code. 



   On peut supposer que la station qui a été évincée, comme décrit ci-dessus, transmet ensuite son code dans l'ordre. 



   Le relais TS n'est pas actionné pendant la réception d'un code dans lequel le premier chiffre de l'appel de code est 2 pour la raison que le premier relais sélecteur 2F est actionné et, en conséquence, le relais E s'ouvre lors du deuxième stade long de ce code de sorte que, lorsque le relais OR s'inverse pour commencer le troisième stade, le circuit du relais TS est ouvert sur le contact m du relais E. 



   De façon à donner une plus grande sécurité contre l'é- mission de code d'indication à partir de deux stations en même temps dans le cas d'une faute, il est prévu au bureau un relais 

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 de blocage supplémentaire X, conformément à une caractéristique de l'invention. 



   Le relais X sert à interrompre l'émission dans le cas où un appel de code est reçu, contenant plus de trois chiffres. 



  Par exemple, on peut supposer qu'une station peut émettre l'appel de code 235 et une autre l'appel de code 245 en même temps. Si cela se produit, le relais sélecteur 2345 est actionné lors du quatrième stade pour sélectionner un tableau qui n'appartient à aucune des stations   et   le relais OCD (figure 1B) est actionné lors du stade suivant, le cinquième en ce cas, comme on l'a dit plus haut. Lorsque le relais OCD attire son armature, ses con- tacts b et d modifient les connexions des fils 53 et 64 des con- tacts d des relais compteurs pour aller au fil   57   et, si le cin- quième stade est long, il s'établit un circuit allant de la borne B du contact de repos d du relais OL1 par le fil 63 au fil 57 et le relais X à la borne C, le relais X attirant son armature pourfermeruncircuit deretenue sur son contact a.

   Le relais X atti- re également son armature lors du septième stade par le circuit indiqué si cela est le quatrième chiffre de l'appel de code reçu. Le relais X peut également attirer son armature dans le sixième stade par le circuit allant de la borne B, par le contact de repos b du relais   OL2,   le fil 64, le contact de repos d du relais OCR et le contact de travail d du relais OCD'au fil 57. 



  Dans le huitième stade, le relais OCR attire son armature, ou- vrant les circuits indiqués ci-dessus pour empêcher le fonction- nement du relais X pendant le deuxième cycle de fonctionnement des relais 5, 6 et   7   et il prépare un circuit servant à action- ner le relais X dans le cas où ce stade est le quatrième stade long d'un.appel de code reçu, ce circuit allant de la borne B par le fil 64 le contact de travail d du relais OCR, le contact de travail e du relais 8 et le contact de travail d du relais OCB, le fil 57 et le relais X, à la borne C. 

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   Il en résulte que, si un appel de code est reçu conte- nant plus de trois stades longs, le relais X attire son armature sur le quatrième des stades longs reçus. Lorsque le relais X attire son armature, il ouvre le circuit de ligne sur ses con- tacts b et ± pour ouvrir les relais de ligne des stations émet- trices, si ceux-ci ont attiré leurs armatures, en interrompant le code d'indication. L'ouverture de son contact de repos débranche le relais OR d'avec le transformateur RT et la ferme- ture de son contact de travail relie le relais OR à la borne C pour amener le relais OR en position inverse. 



   Le relais OR est maintenu en position inverse par le   relais X   jusqu'à ce que le relais OLBP s'ouvre, ce qui fait que le relais X s'ouvre et le relais OR revient à sa position norma- le au moyen du circuit déjà indiqué qui comporte les contacts de travail des relais PC, PCP et OL2 et les contacts de repos f des relais OLBP et OL1. Tous les relais de ligne R et tous les relais de synchronisation de station, sauf les relais L2, res- tent maintenant ouverts du fait de la polarité inverse du cou- rant de ligne, les relais M des stations émettrices ayant été ouverts par fonctionnement du relais X. Lorsque le relais OR est ramené à sa position normale, les relais de synchronisation du bureau sont réexcités et le relais PC est ouvert, les relais de synchronisation du bureau s'ouvrant alors dans l'ordre nor- mal.

   L'ouverture du relais PC rétablit à son état normal la po- larité de la ligne, de sorte que les relais de ligne R attirent leurs armatures en réexcitant leurs relais de synchronisation et les relais de synchronisation de chaque station s'ouvrent alors dans l'ordre normal. 



   Il est clair d'après ce qui procède qu'il ne se produit pas d'interférence lorsqu'un certain nombre de relais de mise en route ST au bureau et dans les stations s'ouvrent en même temps ou lorsque la ligne est en service et que les codes sont      

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 transmis un à la fois dans l'ordre, conformément à la supério- rité relative de leurs appels de code respectifs. 



   Le système selon l'invention comporte également des dis- positifs empêchant les stations dont les appels de code ont la priorité de monopoliser l'utilisation de la ligne dans des con- ditions de trafic intense ou dans le cas où le relais de mise en route de station ST n'attire pas son armature à la fin d'un code et cela comporte un relais SS de suite de stations dans chaque unité d'emmagasinage de station. Le relais SS sert à empêcher de commencer un deuxième code d'indication par une unité d'emma- gasinage d'une station qui a transmis un code tant qu'une unité d'emmagasinage d'une autre station comporte un code emmagasiné pour l'émission. Ce dispositif est un perfectionnement de ceux prévus dans le même but, dans les brevets des   Etats-Unis   n . 



  2.273.231 et   2.273.383   tous deux du   17   Février 1942. 



   On voit sur la figure 2C que le relais SS attire son armature dans le stade représentant le troisième chiffre de l'appel de code de station, par le contact de   travail h   du re- lais MSP et le relais SS est ensuite maintenu excité sur un cir- cuit de retenue comportant son propre contact de travail a et le contact de   repos la   du relais de sortie associée D, le fil 165 allant à la borne B du contact de travail f du relais Ll ou L2, circuit qui est ouvert par le relais Ll lorsque le systè- me prend sa position normale de repos à la fin d'un code.

   Le relais SS est à ouverture lente et ses contacts de repos b et 2 maintiennent le circuit de mise en route ouvert ainsi que ceux qui commandent l'émission de l'appel de code des stations pen- dant un intervalle de temps supplémentaire durant lequel une autre station peut commencer un code et de ce fait maintenir fermé le relais SS. Il en résulte que,lorsque le relais SS a attiré son armature, l'unité de formation de code de station est - rendue incapable de commencer un deuxième code tant que la ligne 

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 n'a pas été libérée pendant un temps qui est plus long que l'in- tervalle normal entre des codes successifs. Chaque unité d'emma- gasinage dans laquelle un code a été emmagasiné et dont le re- lais SS n'a pas été actionné a accès à la ligne lors de l'ouver- ture d'un relais L1 à la fin d'un code.

   En conséquence, chacune de ces unités d'emmagasinage transmet un code et, pendant ce temps, son relais SS est excité. A la fin de cette série de code, il s'écoule un temps plus long pour permettre aux relais SS d'être libérés après quoi les unités des stations sont de nouveau en état de transmettre des codes, un à la fois, dans l'ordre. 



   Dans le cas où un code de commande est interposé dans une suite de codé d'indication comme décrit ci-dessus, pour actionner un dispositif particulier, si le relais SS de l'unité de la station commandant ce dispositif a attiré son armature, il s'ouvre par fonctionnement du relais d'arrivée D sous l'action du code de commande et   1-'unité   est de ce fait mise en état d'in- diquer plus rapidement l'état du dispositif actionné. 



   Il est également évident que chacun des relais SS sert également à empêcher de continuer des codes incomplets par une unité d'emmagasinage de station du fait d'une faute, si d'autres unités ont des codes emmagasinés pour l'émission, pourvu que la faute ne soit pas d'une nature telle qu'elle empêche le relais SS d'être excité comme cela. serait le cas par exemple si le code émis par une unité de code de station ayant un appel de code supérieur, ne progresse pas suffisamment pour attirer l'armature du relais de station S à cette station par suite d'une faute. 



   Pour assurer une protection contre cette éventualité et d'autres, il est prévu un relais thermique COR disposé comme re- présenté sur la figure 2A. Le relais COR est excité chaque fois qu'une indication de code est amorcée par une unité d'emmagasi- nage à partir du moment où le relais de mise en route ST s'ouvre - pour commencer le code jusqu'à ce que le code soit complètement 

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 émis. Le relais SS attire son armature sous l'action du relais MSP lors du stade de sélection de station du code et jusqu'à ce que le relais SS ait attiré son armature, le relais COR est excité par le circuit partant de la borne B passant par les con- tacts de repos b des relais ST et SS, le fil 147, le contact de travail b du relais RP, le relais COR, pour aller à la borne C. 



  Lorsque le relais MSP attire son armature, il reste excité jusqu'à la fin du code et assure une liaison de la borne B au fil 147 sur son contact de travail j pour exciter le relais COR. 



   La durée d'excitation du relais COR peut dépasser le temps nécessaire pour transmettre un code à partir de l'unité d'emmagasinage associée, même s'il n'y a pas faute, du temps nécessaire pour transmettre un code à partir d'une unité d'emma- gasinage ayant un appel de code supérieur, intervalle qui, en pratique, mais rarement dépasse une minute. D'autre part, dans le cas d'une faute qui empêche la réexcitation du relais ST, le relais COR est excité de façon sensiblement continue. On rend le relais COR sélectif à l'action d'une faute en le réglant de façon à ouvrir son contact a après qu'il a été excité, au bout d'un intervalle d'environ deux minutes, l'ouverture de son contact a désexcitant son élément de chauffage et également le circuit de fermeture du relais M.

   Le contact a du relais COR est du type à action brusque et il reste ouvert pendant environ deux minutes et après refermeture; si'la borne B reste reliée au fil 147, il 'fonctionne cycliquement avec des périodes de fermeture d'une minute et des périodes d'ouverture de deux minutes environ. 



  Il en résulte que le relais COR fonctionne de telle sorte qu'il empêche une émission défectueuse d'arrivée à la ligne pendant des périodes d'environ deux minutes pendant chaque intervalle de trois minutes tant que le défaut persiste. 



   Le système selon   l'invention   comporte également un re- lais de faute RPP au moyen duquel on peut isoler facilement de la 

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 ligne une unité de code de station, comme cela est intéressant par exemple dans le cas d'un court-circuit dans les liaisons de la ligne ou dans le cas d'un fonctionnement défectueux dû à une tension anormalement basse de la batterie locale ou pour termi- ner le fonctionnement cyclique du relais COR. Le relais RPP est à ouverture lente et il est maintenu normalement excite par un relais répéteur de retenue RP du relais de ligne R. Le relais RP fonctionne conformément au fonctionnement de code du relais R tant que le relais RPP reste fermé.

   En fonctionnement normal du système, le relais R reste ouvert en permanence pendant un maxi- mum d'environ trois secondes ce qui est le temps nécessaire pour transmettre un code d'indication à partir d'une autre station. 



  Le relais RPP est à ouverture suffisamment lente pour ponter cet intervalle de temps en reliant le condensateur électrolytique C2 à ses bornes. L'énergie emmagasinée dans le condensateur C2 assure une période d'ouverture d'environ cinq secondes de sorte que le relais RPP ne s'ouvre pas, à moins que les relais R et RP restent fermés pendant un temps anormal comme cela serait le cas s'il se produisait un court-circuit entre les contacts de tra- vail et de repos d du relais M, par exemple. 



   Le relais RPP de chaque station peut être ouvert à la main à partir du bureau en appuyant sur le bouton de déconnexion DB de la figure 1A, pendant un temps convenable par exemple quinze secondes, en libérant ainsi les relais R, RP et RPP dans l'ordre. Lorsque le relais BPP   s'ouvre,   la résistance W1, en série avec le relais R, est court-circuitée par son contact b et, en même temps, le contact a du relais RPP s'ouvre pour in- tercaler une résistance analogue   W8   dans le circuit du relais R en un point voisin des fils de ligne Y et Z.

   Il en résulte que si le système est devenu sans action du fait d'un court-circuit dans l'unité de code, le défaut de la ligne est supprimé par in- sertion   d'une   résistance relativement élevée en série avec elle, 

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 les résistances Wl et W8 ayant, en général, en pratique, une va- leur d'environ 10.000   ohms   chacune. La partie émettrice de   l'uni-        té de code est ainsi effectivement isolée du système et, en même temps, le circuit de mise en route comportant le fil 147 s'ouvre sur le contact b du relais RP pour empêcher une nouvelle exci- tation des relais COR et M.

   A chaque station où il n'y a pas de faute, le relais R attire son armature sous l'action de la li- bération du bouton de déconnexion BB puisque, en ce qui concerne ce relais R, l'effet de l'ouverture du relais RPP a simplement pour effet de remplacer la résistance Wl par une résistance équi- valente W8, dans son circuit, Toutefois, les relais RP et RPP restent ouverts après que le relais R a été excité, le circuit du relais RP étant ouvert sur le contact c du relais RPP et ce- lui du relais RPP sur le contact a du relais RP. 



   L'opérateur du bureau de commande peut maintenant re- mettre le système en fonctionnement, en laissant une ou plusieurs unités de station isolées, en transmettant des codes de commande successivement à chacune des unités de code qu'il désire in- corporer dans le système tel qu'il est rétabli. Lors du neuvième stade d'un code de commande, comme décrit ci-dessus, la fermeture du contact de   repos e   du relais 8 établit une liaison allant de la borne B au fil 115 pour fermer un circuit pour le relais de sortie D de l'unité d'emmagasinage choisie. Une connexion par- tant du fil 115 et passant par l'enroulement inférieur du relais RP constitue un circuit faisant que le relais RP attire son armature et, à son tour, il excite le relais RPP pour compléter le circuit de retenue du relais RP en ramenant ainsi l'unité de code à son fonctionnement normal.

   Il est évident qu'un code de com- mande n'est pas reçu à une station où le relais R est court- circuité, par exemple, et qu'en conséquence cette station reste isolée. 

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   Pour faciliter le rétablissement du système tel que décrit ci-dessus, il est prévu au bureau un bouton de "rappel" RCB (figure lE) au moyen duquel l'opérateur peut envoyer un code de rappel spécial à n'importe quelle station sans actionner aucun des dispositifs de la station, ce code de rappel étant terminé après l'émission de l'appel de code de station   c'est-à-   dire sur le stade 9. Le code de rappel sert également à commen- cer l'émission d'un code d'indication à partir de la station choisie et cela donne à l'opérateur le moyen d'obtenir de nou-   velles   indications sans provoquer de changement dans l'état des dispositifs de station. 



   Pour commencer un code de rappel, l'opérateur appuie sur le bouton de rappel RCB et également sur le bouton de mise en route STB du tableau de commande pour la station à laquelle le code doit être envoyé. De ce fait, le relais de mise en route correspondant tel que   234ST   attire son armature et ce relais, à son tour, ferme le relais OL comme on l'a déjà dit, ce qui établit un circuit allant de la borne B du contact de travail du relais OM par le fil   69, le   contact du bouton RCB, le relais de retenue de rappel RCR,   à   la borne C et le relais RCR attire son armature en fermant un circuit de retenue passant par son contact de travail a et le fil   82   pour aller à la borne B sur le contact de   travail g   du relais OLBP.

   On peut alors lâcher le bouton RCB et l'émission se continue dans huit stades pendant lesquels les relais sélecteurs de bureau 234S et le relais cor- respondant S de la station choisie sont excités comme dans le code de commande déjà décrit. Lorsque l'on arrive au neuvième stade, le relais 01 n'attire pas son armature, son circuit étant ouvert sur le contact de repos b du relais RCR et, en conséquence, le relais OT est maintenu excité par le fil 168 jusqu'à ce que le relais OLBP du bureau et le relais LBP de la station choisie s'ouvrent. 

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   A la station choisie, lorsque le relais S attire son armature, le circuit de retenue normal du relais ST est remplacé par le circuit de retenue temporaire allant du fil 113 à 114, par les contacts de repos h des relais M et 1 et en parallèle avec eux, le contact de travail b du relais LB. Lorsque le re- lais 1 attire son armature au neuvième stade, le circuit est ouvert du fait de l'ouverture du relais LP. Le relais D attire également son armature lors du neuvième stade, par le fil 115, l'ouverture de son contact de repos h faisant que le relais SS s'ouvre s'il était excité. En conséquence l'unité de code de station est mise en état de commencer un code d'indication dès que la ligne est de nouveau libre.

   On voit que lors du neuvième stade du code de rappel, le relais RCR est ouvert par le relais OLBP et que le système est alors dans le même état que lorsque le code de commande est interrompu sur un stade impair du fait d'une faute. Il en résulte que le système est ramené à la normale par la même suite d'opérations que celle décrite ci-dessus. 



   Dans la description qui précède du fonctionnement du système stade par stade, on a supposé qu'il n'y avait qu'une unité d'emmagasinage associée à chaque unité de code, comme in- diqué sur la figure 2C. On a l'habitude de placer une unité d'emmagasinage dans le boîtier contenant l'unité de code de station,car il en faut toujours au moins une,et de prévoir des bornes permettant de brancher,sur l'unité de code, une ou plu- sieurs unités d'emmagasinage auxiliaires comportant chacune un logement comprenant un groupe de cinq relais, S, MSP, ST, D et SS lorsque le nombre de dispositifs à commander ou à indiquer dépasse la capacité d'une unité d'emmagasinage et d'identifier des relais analogues les uns par rapport aux autres en fixant des nombres d'appel de code pour la désignation des relais d'unité d'emmagasinage.

   Par exemple, le relais S de la figure 2C répond sélectivement à l'appel de code 234 et on peut l'appeler 234S 

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 comme le relais de bureau qui correspond au même appel de code. 



  Les relais S des quatre unités d'emmagasinage auxiliaires, dé- signés par 2358 à 238S peuvent alors être reliés aux contacts c à f du relais GA comme on le voit en particulier sur la par- tie de gauche de la figure 3. En ce cas, un contact de repos de chacun. des relais   2348   à 238S est compris dans le circuit de re- tenue du relais GA de sorte que le relais GA s'ouvre sous l'ac- tion du dernier chiffre de l'un des appels de code 234 à 238 comme cela est nécessaire. 



   Chaque unité   d'emmagasinage   auxiliaire nécessite égale- ment une liaison partant du contact C de son relais S pour aller à un contact différent g à k du relais GA pour effectuer la for- mation de son propre appel de code, comme indiqué par les réfé- rences 234 à 238 voisines de ces contacts sur la figure 3. Les liaisons restantes, allant à chaque unité d'emmagasinage auxi-   liaire,  sont disposées comme celles de celle qui est représentée. 



  *Ceci veut dire que les fils restants allant à   l'unité   de code de station, sont des fils omnibus reliés aux bornes de numéros cor- respondants de chacune des unités d'emmagasinage successivement. 



   Lorsque les unités d'emmagasinage d'un groupe sont re- liées directement à l'unité de codé de station, comme décrit ci-dessus, le relais FA peut être commandé dans n'importe lequel des stades de deux à cinq et le relais GA dans n'importe lequel des stades de trois à six suivant celui auquel le relais FA a été assigné, comme cela est indiqué sur la figure 2C. Le nombre des unités d'emmagasinage qui peuvent être commandées de cette façon est limité à un seul groupe de deux à cinq en utilisant des appels de code qui ne différent qu'en ce qui concerne le troi- sième chiffre et il y a dix de ces groupes. 



   Dans un deuxième arrangement, on peut interposer une ou plusieurs unités en pyramide UB, comportant chacune deux   Bêlais   tels que FB et GB de la figure 3, entre l'unité de code 

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 et un,ou plusieurs groupes supplémentaires d'unités d'emmagasi- nage utilisant des appels de code ayant tous le même chiffre. 



  Lorsque l'on utilise cette deuxième disposition, les circuits sont disposés de façon que l'excitation du relais FK établisse une communication partant de la borne B sur son contact de tra- vail c pour exciter le relais FB de chaque unité en pyramide dans le même stade et on interpose un contact de travail de chacun des relais FB et un contact de repos de chacun des relais GB dans le circuit de retenue du relais FA, les circuits commandés par les relais FB et GB étant, à d'autres points de vue, analo- gues à ceux commandés par les relais FA et GA comme décrit ci- dessus. 



   On comprend que lorsque les relais FA et GA sont reliés pour fonctionner sur deux stades quelconques du groupe deux à sept comme décrit ci-dessus, un relais GB peut être commandé dans chaque stade successif de ce groupe. Comme représenté, le relais GB est relié par le contact b du relais FB au fil 124, pour fonctionner sur le quatrième stade et il commande le grou- pe de relais S utilisant les appels de code 245 à 248. Les re- lais GB de trois unités en pyramide supplémentaires (non repré- sentées), peuvent être reliés de façon analogue, par des contacts de leurs relais respectifs FB, aux fils 125 à 127 pour fonction- ner sur les stades 5 à 7 pour commander d'autres groupes de re- lais S utilisant les appels de code 256 à 258, 267 et 268 et 278, respectivement. 



   Dans une troisième disposition, on augmente la capacité de l'unité de code d'une façon différente en interposant une ou plusieurs unités en pyramide UC, comportant chacune un groupe de trois relais EC, FC et GC, pour permettre d'utiliser les appels de code dont les premiers chiffres sont différents.

   Lorsque l'on utilise cette troisième disposition, les circuits sont   dis- '   posés de façon que chaque relais EC soit relié au fil 121 et 

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 attire son armature lors du premier stade du code, en concordan- ce avec le relais de bureau E par un circuit analogue et il est maintenu excité par un circuit de retenue relié à la borne B par son propre contact   ael   le fil 160ce circuit comportant le con- tact de repos d du relais FA et de   chacun:   des relais FC de sorte que le relais BC s'ouvre lorsque le premier chiffre d'un appel de code est reçu.

   Les contacts de travail 6 et d du relais E comme représenté, sont interposés dans les liaisons allant aux fils 132 et 133 et le relais FC est relié par le contact   b   du      relais EC au fil 123 pour fonctionner sur le troisième stade au cas où le relais FA n'est pas actionne sur le deuxième stade et il rend le relais GC sensible au quatrième stade pour commander le groupe de relais S utilisant les appels, de code 345 à 348 comme représenté. Trois autres unités UC comportant leurs relais FC commandés par les stades quatre à six peuvent également être prévus pour utiliser les appels de code 456 à 458, 567 et 568 et 678 respectivement. 



   Chaque relais FC peut également commander une ou plu- sieurs unités en pyramide UB, comme représente par l'unité UD dont les relais FD et GD sont commandés par le relais FC par des circuits analogues à ceux au moyen desquels le relais FA comman- de les relais FB et FG comme décrit. Si le relais FC est comman- dé dans le stade 3, le relais GD peut commander un groupe de re- lais S utilisant les appels de code 356 à 358 comme représenté. 



  Cinq autres unités en pyramide disposées de la même façon perme- ttant l'utilisation des appels de code 367 et 368, 378, 467 et 468, 478 et 578 respectivement. 



   En conséquence, il est évident que l'on peut utiliser n'importe lequel ou la totalité des trente-cinq appels de code en un seul endroit en interposant une ou plusieurs unités en pyramide entre   l'unité   de code et les unités d'emmagasinage comme décrit ci-dessus. 

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   En se reportant à la figure 4 celle-ci représente une variante de l'unité de code du bureau permettant d'utiliser si- multanément les fils de ligne Y et Z du système de code à temps selon l'invention, avec un circuit de téléphone de dispatcher muni de sélecteurs d'appel. Comme représenté, le système sélec- teur est celui décrit dans le brevet des Etats-Unis n .1.343.256 du 15 Juin 1920 comportant un certain nombre de roues de code J, dont une seule est représentée, à l'aide desquelles le dispatcher peut transmettre des codes d'impulsion de manière   à,appéler   sé-      lectivement différentes stations de voies afin de se mettre té- léphoniquement en rapport avec elles.

   Chaque   roue:;   de code J. lorsqu'on l'a fait tourner et qu'on la lâcher fait un tour pen- dant lequel un relais connecteur JB est excité pour relier une source de courant continu, par les contacts d'un relais d'inver- seur de pôle JPC, au primaire d'un transformateur à'impulsions JT, et, lorsque la roue de code tourne, le relais JPC est excité de façon intermittente sur un circuit comportant un contact actionné par la roue de code pour fournir un code d'impulsions de polarités alternativement opposées au transformateur JT.

   Les modifications de l'unité de code de bureau représentées sur la figure A comportent l'addition d'un relais connecteur JBA, excité en parallèle avec le relais JB, un relais répéteur JBAP, un ré- péteur de retenue MP du relais principal de bureau OM et un circuit comportant un fil 67 servant à commander les relais ST de mise en route du bureau. En ce qui concerne les autres points de vue, les circuits sont analogues à ceux de la figure lA et le fonctionnement normal du système de commande par code à temps est analogue à celui déjà décrit en détail. 



   Le dispatcher est libre de libérer une roue de code à tout moment pour transmettre un code sélecteur, que la ligne soit occupée ou non par le système de code à temps. La libération de la roue de code excite les relais JB et JBA et le relais JBA ou- 

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 vre alors son contact a dans les circuits des relais OM et PC et ferme son contact 0 pour établir un circuit allant de la borne B sur le contact de repos ± du relais   MP,   par le relais JBAP, à la borne C de sorte que le relais JBAP attire son arma- ture.

   L'ouverture des contacts de   repos ]2   et d du relais JBAP dé- branche la batterie   80   des fils de ligne Y et Z et la fermeture de son contact de travail a établi le circuit du secondaire du transformateur JT pour permettre au code sélecteur d'accéder à la ligne, la roue de code J étant disposée de telle sorte que le premier fonctionnement du relais JPC émetteur de code est retar- dé d'au moins une seconde après que le relais JPC a attiré son armature. 



   Pendant la transmission du code sélecteur, le relais   OR   est débranché d'avec le transformateur RT par ouverture du con- tact de repos ± du relais JBAP et il est maintenu inversé par suite de la fermeture de la liaison allant à la borne B sur le contact de travail e du relais JBAP de sorte que les relais de synchronisation OLBP et LBP   s'ouvrent,   les relais OL2 et L2 res- tant fermés pour empêcher la formation   d'un   code par le système de   code à   temps. 



   Le code sélecteur envoyé sur la ligne par le transforma- teur JP comporte une série d'impulsions courtes de polarité al- ternativement opposées comportant deux pauses espacées. Les re- lais R de ligne de station ne fonctionnent que pour des impul- sions de ce genre alternatives   c'est-à-dire   seulement quand la ligne   Y   est positive, mais aucun des codes sélecteurs ne contient la disposition de stades longs et courts caractérisant les appels de code de station du système de code à temps et aucun des relais S n'est excité ni aucun des relais R ne   reste;   excité, suffisam- ment longtemps pour ouvrir les relais L2. 



   A la fin du code sélecteur, les relais JB et JBA s'ou- vrent, l'ouverture du relais JBA faisant que le relais PC attire   A,   

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 son armature et que le relais JBAP s'ouvre et le relais PCP attire alors son   armature   Lorsque le relais   JBAP   s'ouvre pour débran- cher le transformateur JT et rebrancher la batterie 80 sur le circuit de ligne, les relais R restent ouverts du fait de l'in- version de la polarité de ligne par le relais PC et le relais OR est maintenu inversé jusqu'à ce que le relais POP se ferme sur la liaison avec la borne B du contact de repos b du relais PCT et le contact de   travail f-   du relais PC.

   Etant donné que tous les relais de synchronisation, sauf le relais OL2, restent ouverts, l'excitation du relais PCP ramène le relais OR à la normale, par un circuit déjà indiqué, comprenant le contact de travail b du relais PCP et le contact de travail f du relais OL2, en réexcitant ainsi les relais de synchronisation, mais en libérant le relais PC avant que le relais OLBP attire son ar- mature et, ensuite, les relais de synchronisation et le re- lais PCP s'ouvrent dans l'ordre normal avec le relais OL1 qui est le dernier à s'ouvrir tandis que le relais PC, lorsqu'il est ouvert, rétablit la polarité de ligne à la normale pour fermer les relais de ligne R qui réexcitent leurs relais de   synchroni-   sation qui s'ouvrent alors dans l'ordre normal, le relais Ll étant le dernier à s'ouvrir. 



   Lorsque   l'unité'de   code de bureau de la figure 4 com- mence un code de commande, le relais MP ferme son armature sur la connexion allant à la borne B au fil 69 sur le contact de   travail &   du relais OM et si une roue de code est lâchée pen- dant la transmission du code de commande, le relais OM s'ouvre pour arrêter une continuation de l'émission par l'ouverture du contact de repos a du relais JBA mais le relais MP reste fermé jusqu'à ce que le relais OLBP s'ouvre pur un circuit de retenue allant de son propre contact de travail a et du fil 82 à la bor- ne B du contact e du relais OLBP. 

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   Il peut arriver qu'un code sélecteur commence pour fermer le relais JBA, pendant un stade long d'ouverture de ligne d'un code de commande. En ce cas, le relais OR est dans sa posi- tion inversée et le relais   JBAP   attire son armature immédiatement sur le circuit allant du contact de droite a du relais OR sur les contacts de travail c des relais   MP   et JBA. Le relais JBAP main- tient le relais OR inversé et libère les relais de ligne R, en libérant ainsi tous les relais de synchronisation sauf les re- lais OL2 et L2 comme décrit ci-dessus et le système revient alors automatiquement à la normale du fait de l'excitation des relais PC et PCB suivant couverture du relais OLBP comme décrit plus haut. 



   Si le relais JBA attire son armature pendant un stade à ligne fermée   d'un   code de commande, lorsque le relais OR est normal,   l'ouverture   du relais OM par le relais JBA empêche le relais OT d'attirer son armature pour achever le stade à ligne fermée qui est de ce fait prolongé jusqu'à ce que les relais OLBP et LBP s'ouvrent. Lorsque le relais OLBP s'ouvre, le re- lais M2 est désexcité et s'ouvre et, par fermature de son con- tact de repos c, il fait fermer le relais JBAP pour ouvrir la ligne pour terminer le stade, ouvrant les relais de ligne R et le relais inverseur OR et plaçant la ligne sous la commande du système sélecteur. Le système de code à temps prend alors le même état que dans le premier cas et il est ramené à la normale à la fin du code sélecteur de la même façon. 



     On   voit   que,dans   chaque cas, le stade pendant lequel le relais JBA attire son armature est suffisamment prolongé pour que chaque relais LBP de station et les relais qu'il commande s'ouvrent pour arrêter toute progression, sans actionner aucun des relais de commande de retenue polaires tels que WS. 



   Il peut arriver que l'interruption du code de commande se produise après que le relais de mise en route du bureau, qui 

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 a amorcé le code, soit ouvert. Si le relais de mise en route est le relais   234ST,par   exemple, il est maintenu excité sur le con- tact de repos i du relais 234S jusqu'à ce que le relais se ferme sur le quatrième stade et, ensuite, sur le fil 46 et le contact de travail i du relais 234S et le relais 234ST s'ouvre par ou- verture du contact de repos ± du relais 8 lors du huitième stade, Si le relais JBA attire alors son armature, le relais 234ST est réexcité sur le circuit allant de la borne B, par les contacts de travail b des relais MP et JBA, le fil 67, le contact de tra- vail k du relais 234S, le relais   234ST,   à la borne C du contact fermé du bouton CB.

   Il en résulte, par suite, qu'un code de com- mande interrompu est transmis en totalité après que le code sé- lecteur est terminé et le système de code à temps reprend la commande de la ligne. 



   Il peut également arriver qu'un code sélecteur commen- ce pour fermer le relais JBA lorsqu'un code d'indication est transmis. En ce cas, le relais JBAP attire son armature immédia- tement en ouvrant le circuit de ligne pour ouvrir les relais R, Ll, LP, LB, M et LBP et les relais compteurs et de sélection de la station émettrice et le relais d'excitation OR en sens inverse pour ouvrir les relais PC, OL1, OLP, PCP, OLB et OLBP et les relais compteurs et de sélection du bureau. Lorsque le relais JBA s'ouvre à la fin du code sélecteur, le relais JBAP s'ouvre et les relais PC et PCP sont réexcités et le système est ramené à la normale du fait de l'excitation du relais PCP, comme dans les autres cas. 



   On a déjà dit que le relais de mise en route de la station ST occupe sa position ouverte à la fin d'un code d'indi- cation interrompu du fait de l'ouverture du relais LB avant l'ouverture du relais M. Il en résulte qu'une indication de code interrompue est transmise en totalité une fois le code sélec- teur terminé et le système de code à temps reprend la commande   la ligne.    

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   Bien que l'on ait décrit une forme de réalisation de l'invention et plusieurs variantes, il est bien entendu que l'on peut y apporter différents changements sans sortir pour cela du cadre de l'invention.

Claims (1)

  1. R E S U M E Système de commande à distance, en particulier pour le trafic ferroviaire, caractérisé par les points suivants, en- semble ou séparément: 1 ) Il comporte un relais de ligne pouvant occuper alternativement une position normale et une position inverse pendant des intervalles de temps choisis, deux relais enregis- treurs, deux relais de synchronisation commandés par le relais de ligne et s'ouvrant si le relais de ligne reste en position normale ou inverse respectivement pendant plus qu'un intervalle de temps déterminé, des circuits de fermeture et de retenue pour un relais enregistreur, comportant des contacts normaux et inverses respectivement du relais de ligne, le circuit de ferme- ture comportant aussi un contact de repos de l'un des relais de synchronisation,
    les circuits de fermeture et de retenue de l'autre relais enregistreur comportant des contacts inverses et normaux respectivement du relais de ligne, ce circuit de fer- meture comportant aussi un contact de repos de l'autre relais de synchronisation, une série de relais du type polaire de retenue et des circuits servant à exciter ces relais polaires, un à la fois, sous l'action d'opérations successives du relais de ligne, les circuits pour des relais alternés de cette série comportant des contacts de changement de pôle de l'un des relais enregis- treurs et un contact inversé du relais. de ligne, ceux des relais intercalaires de la série comportant des contacts de changement de pôle de l'autre relais enregistreur et un contact normal du relais de ligne. <Desc/Clms Page number 73>
    2 ) Le relais de ligne occupe ses deux positions sous l'action des stades successifs d'un code à éléments de code re- lativement courts et longs,'les circuits de fermeture des relais enregistreurs ne se fermant'que lorsque le relais de ligne re- çoit un élément de code long.
    3 ) Il y a une chaîne de relais compteurs qui sont exci- tés successivement par fonctionnement du relais de ligne et une série de relais du type polaire à retenue, un pour chacun de plusieurs des relais compteurs, un circuit servant à exciter chaque relais polaire en sens normal ou inverse, chacun de ces circuits comportant un contact de travail ou de repos de celui des deux relais enregistreurs dont la position indique la nature de l'élément de code immédiatement précédent.
    4 ) Un relais d'emmagasinage est commandé par chaque re- lais enregistreur et un circuit de retenue, pour chacun de ces derniers, comporte son propre contact de travail, un circuit actionnant chaque relais d'emmagasinage suivant la position du relais enregistreur correspondant, chaque circuit comportant un contact fermé par le relais de ligne lorsque ce dernier est ac- tionné pour commander l'autre relais enregistreur.
    5 ) Deux relais à ouverture lente sont commandés l'un par un contact de travail, l'autre par un contact de repos du relais de ligne et deux relais de retenue dont l'un présente un circuit de fermeture comportant des contacts de repos du relais de ligne et de l'un des relais à ouverture lente et un circuit de retenue comportant un contact de travail du relais de ligne, l'autre relais de retenue présentant un circuit de fermeture coin- portant un contact de travail du relais de ligne et un contact de repos de l'autre relais à ouverture lente et un circuit de retenue comportant un contact de repos du relais de ligne.
    6 ) Un récepteur de code est constitué par la série de relais compteurs dont les contacts se ferment, un à la fois, pour <Desc/Clms Page number 74> compter les stades successifs d'un code et il y a plusieurs sé- ries de relais sélecteurs dont chacune comporte un relais sélec- teur final différent, un relais d'entrée, un circuit de retenue pour le relais d'entrée, commandé par un contact de travail du premier relais compteur de la série, des circuits de fermeture pour le premier relais sélecteur de chaque série, comportant chacun un contadt de travail du relais d'entrée et un contact de travail d'un autre relais compteur, un circuit de retenue pour le relais d'entrée comportant des contacts de repos de tous les premiers relais sélecteurs,
    un circuit de fermeture pour chacun des relais sélecteurs restants, ce circuit comportant un contact de travail du relais sélecteur immédiatement précédent dela même série et un contact de travail de l'un des relais compteurs, et un circuit de retenue pour chacun de ces relais sauf le der- nier de chaque série comportant un contact de repos du relais sélecteur voisin de la même série.
    7 ) Le système comporte une unité de formation de code et plusieurs groupes d'unités d'emmagasinage, un relais sélecteur final dans chaque unité d'emmagasinage, pour commander son fonc- tionnement, un premier relais sélecteur et un groupe de relais sélecteurs pour chaque groupe d'unités d'emmagasinage, une série de contacts dans cette unité de formation de code, se fermant un à la fois sous la commande des éléments successifs d'un code, des circuits ouvrant tous ces premiers relais sélecteurs lorsque l'on ferme l'un des contacts, un circuit préparé par chaque pre- mier relais sélecteur pour conditionner le relais sélecteur de groupe associé pour actionner cbacun de ces relais qui peut l'être quand un de ces contacts différents est fermé,
    un disposi- tif actionné par le fonctionnement d'un de ces relais sélecteurs de groupe pour ouvrir tous les premiers relais sélecteurs et pour conditionner les relais sélecteurs finals du groupe cor- respondant pour fonctionner chacun sous l'action de la fermeture <Desc/Clms Page number 75> d'un contact différent des contacts successifs de la série.
    8 ) Un appareil de réception de code comporte une unité de formation de code, comprenant une série de contacts, un pour chaque élément de code, avec, dispositif fermant ces contacts, un à la fois, afin que les éléments de code soient reçus succes- sivement, avec plusieurs séries de relais sélecteurs commandés par cette unité de code.
    9 ) L'unité de formation de code envoie sur le circuit de ligne deux groupes d'éléments de code, le premier consti- tuant un appel de code de station et le second identifiant la position de différents dispositifs mobiles à cette station, cette unité comportant un relais de mise en route normalement excité, un circuit de retenue normal pour ces relais, comprenant des contacts des dispositifs mobiles, s'ouvrant momentanément pour ouvrir le relais du fait d'un changement de position de l'un de ces dispositifs mobiles, un dispositif entrant en ac- tion, lorsque le relais de mise en route s'ouvre, pour commencer l'envoi d'un code à l'unité de formation de code, un dispositif réexcitant ce relais de mise en route après l'émission du pre- mier groupe d'éléments de code, un circuit de retenue temporaire se fermant lorsque le relais de mise en route se ferme,
    compre- nant les contacts des dispositifs mobiles ainsi qu'un contact qui s'ouvre si l'émission du deuxième groupe d'éléments de code est interrompu et un dispositif transférant l'excitation de ces relais de son circuit de retenue temporaire à son circuit de retenue normal lorsque l'émission du deuxième groupe d'éléments de code est terminée.
    10 ) L'unité de formation de code comporte; un émetteur, un relais de mise en route normalement excité, un circuit de retenue normal pour ce relais comportant une série de contacts dont chacun s'ouvre momentanément par moments pour ouvrir le relais, un dispositif commençant la transmission d'un code lors <Desc/Clms Page number 76> de cette ouverture, un circuit de fermeture pour ce relais, fermé momentanément lors de l'émission d'un stade intermédiaire du code, un. circuit de retenue temporaire pour maintenir ce relais fermé, comportant cette série de contacts et un supplémentaire qui ne reste fermé que lors de l'émission d'un code.
    Il ) Le relais de mise en route est du type polaire polarisé et une bobine d'inductance est en parallèle avec l'en- roulement de ce relais, donnant du courant pour ouvrir ce relais . lors de l'ouverture de son circuit de retenue.
    12 ) L'unité de formation de code est commandée par plusieurs unités d'emmagasinage comportant chacune un relais sélecteur et un relais de mise en route avec un circuit de re- tenue normal pour ce dernier relais.
    13 ) Un dispositif situé au bureau, commandé à la main permet d'interrompre l'émission d'un code sur un stade intermé- diaire suivant ceux constituant l'appareil de code.
    14 ) L'appareil comporte un relais émetteur, un cir- cuit pulsatoire excitant ce relais de façon intermittente, ce circuit contenant l'enroulement du relais et deux résistances en série avec lui servant à régler le temps de fermeture du relais, une de ces résistances étant court-circuitée après fermeture pour régler le 'temps d'ouverture.
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