BE508634A - - Google Patents

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BE508634A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B61RAILWAYS
    • B61LGUIDING RAILWAY TRAFFIC; ENSURING THE SAFETY OF RAILWAY TRAFFIC
    • B61L7/00Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks
    • B61L7/06Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks using electrical transmission
    • B61L7/08Circuitry
    • B61L7/088Common line wire control using series of coded pulses

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Train Traffic Observation, Control, And Security (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  PERFECTIONNEMENTS AUX' SYSTEMES DE COMMUNICATION EN CODE. 



   La présente invention concerne les systèmes de communication en code et plus spécialement des systèmes pour la commande à distance d'aiguil- lages et de signaux de voie de chemin de fer et/ou des systèmes pour la com- munication d'indications provenant des divers points d'un réseau de chemin de fer à un bureau de commande situé à distance. 



   Dans le passé, plusieurs facteurs ont limité la vitesse des com- munications en code dans le cas où un bureau de commande doit faire fonction- ner un nombre d'aiguillages et de signaux en un point éloigné du bureau, 'par un circuit d'une seule ligne. Certains facteurs sont : la durée de propaga- tion dans la ligne, possibilité de différences entre les tensions de travail des alimentations locales à l'endroit d'émission et à l'endroit de réception, enclenchement lent des relais de minuterie chargés de beaucoup de contacts, l'emploi de caractères de code courts et longs servant de caractères distincts dans la communication pendant les différentes opérations, et lenteur des re- lais de marquage de cycle. 



   Le but général de l'invention est de procurer un système de com- munication en code rapide utilisant un petit nombre de circuits de ligne. 



  L'invention a aussi pour but de procurer un tel système pouvant tolérer des durées de propagation de ligne relativement illimitées. 



   Un système de communication en code pour la commande centralisée du trafic sur rails par la commande d'aiguillages et/ou de signaux à une station block au moyen de dispositifs de-commande actionnés manuellement à la station centrale et/ou pour la transmission d'une indication concernant l'état des aiguillages et/ou des signaux et des voies par la station block à la station centrale, comprend des moyens pour élaborer à la station émet- trice plusieurs éléments séquentiels de code en fonction de l'action à exer- cer sur les dispositifs de commande ou en fonction de l'état des aiguillages 

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 et/ou des signaux et des voies, une minuterie locale à chaque station dispo- sée de façon à actionner l'un à la suite de l'autre les relais d'une batterie de relais de minuterie, à des intervalles de temps égaux,

   de manière à établir des canaux successifs pour la commande ou la réception d'éléments de code suc- cessifs, la minuterie de chaque station étant disposée de telle façon pendant la transmission qu'elle soit mise en marche par le début de transmission de la station transmettrice et de telle façon pendant la réception qu'elle soit mise en marche à la réception d'un signal de commande de l'autre station. 



  Il y a de préférence une ligne reliant les deux stations, par laquelle s'éta- blissent les différents canaux. 



   Suivant la forme d'exécution préférée de l'invention les commandes et les indications sont envoyées à des moments différents, et on utilise le même ensemble de minuterie et de relais à chaque station pour les deux types de communication., Il n'y a donc qu'une minuterie comme un balancier de co- de et une batterie de relais de minuterie pour la transmission et la récep- tion, respectivement au bureau de commande et aux stations blocks. La commu- nication codée est réalisée en faisant démarrer le système d'un état de repos pour un cycle de travail pendant lequel des caractères de code sont transmis sous forme de "pleins" et "blancs", quoiqu'on puisse utiliser d'autres types de caractères.

   La marche ou cadence est déterminée par des minuteries appro- priées normalement à l'arrêt comme des balanciers de code prévus à chaque sta- tion, qui marchent, une fois mis en route, à une cadence déterminée pour com- mander les relais de minuterie associés. La mise en marche de la minuterie à la station transmettrice se fait en fonction d'une commande à transmettre ou d'un changement survenu dans un dispositif et qui doit être indiqué. La mise en marche de la minuterie à la station réceptrice se fait en fonction de l'ouverture initiale du circuit de ligne. 



   Dans le cas de démarrages simultanés à la station block et au bu- reau de commande, le-bureau de transmission prend le pas sur la station block de manière à éliminer le démarrage de la station block et mettre l'appareil de communication de la station block en état de recevoir un code de commande. 



  Le blocage de l'émetteur de la station block est réalisé par l'emploi d'un premier canal de communication qui est toujours un "plein" pour la transmis- sion du bureau de commande, et toujours un "blanc" quand la station block transmet. La réception de ce premier caractère, un plein, par la station block peut changer un démarrage d'émission de la station block qui a pu avoir été simultané, en un état de réception de commandes, de façon que la station block puisse accomplir tout le cycle de réception des commandes, et commencer en- suite un cycle suivant pour la transmission d'indications. 



   Le fonctionnement de la batterie de relais de minuterie à chaque station pendant un cycle est tel qu'il provoque une répétition partielle du fonctionnement des relais de minuterie pendant chaque cycle de commande et qu'il provoque et une répétition partielle et une répétition complète lors de transmission d'indications de manière à former sensiblement deux fois le nom- bre de canaux de communication pour les indications comparativement au nombre de canaux formés pour la transmission de commandes. 



   L'invention ressortira clairement de la description suivante, don- née à titre d'exemple, d'un système de communication d'un réseau de chemin de fer, avec référence aux dessins annexés dans lesquels les parties correspon- dantes portent les mêmes références et des parties semblables remplissant les mêmes fonctions portent les mêmes références précédées de chiffres indiquant l'ordre d'opération d'un relais et suivies de chiffres désignant l'endroit ou la station à laquelle l'appareil est associé. 



   Les figures 1A et 1B mises côte à côte représentent les appareils de transmission et de réception d'un système de communication codé conforme à la présente invention, pour la transmission de commandes d'aiguillages et de signaux par le bureau de commande à une seule station block. 

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   Les figures 1C et 1D mises côte à côte en-dessous des figures lA et 1B respectivement, représentent l'appareillage supplémentaire nécessaire au bureau de commande et à la station block pour la communication d'indications par la station block au bureau central. 



   La figure 2 représente, démontées, en perspective, les parties principales d'un balancier de code pouvant être utilisé comme minuterie. 



   La figure 3 est une vue en plan d'une partie du balancier montrant le degré de rotation nécessaire pour un bon fonctionnement du système, ainsi que la position normale de l'armature du balancier quand ce dernier est ali- menté au repos ou en un point milieu dans un cycle d'indication de fonctionne- ment. 



   La figure   4   est un graphique des mouvements du balancier montrant les points de la trajectoire du balancier pendant un cycle de travail, où les différents relais de minuterie sont enclenchés. 



   Les figures 5A et 5B sont des diagrammes montrant les temps rela- tifs approximatifs d'alimentation du circuit de ligne et des relais de   commu-   nication en code respectifs qu'on peut obtenir pendant un cycle type de tra- vail du système de communication pour la transmission d'un code déterminé de commande d'aiguillage par le bureau central à la station block. 



   Les figures 6A et 6B, et 7A et 7B sont des diagrammes montrant les temps relatifs approximatifs de travail des appareils de communication respectifs pendant un cycle type d'information; et 
Les figures 8A et 8B sont des diagrammes montrant les temps rela- tifs approximatifs de travail des appareils de communication du bureau cen- tral et de la station block respectivement, dans le cas de démarrages simulta- nés. 



   On a utilisé des schémas conventionnels pour décrire le système dans les dessins, ces schémas servant plus à faciliter la compréhension du fonctionnement qu'à donner tous les détails de construction nécessaires et la disposition classique de tous les éléments requis par la technique prati- quée. Les symboles (+) et (-) ont été utilisés pour marquer des liaisons aux bornes positives et négatives respectivement des batteries voulues ou autres sources de courant continu, et les symboles (B+) et (B-) ont été utilisés pour marquer les liaisons aux bornes respectives plus et moins d'une batterie'di- visée ou autre source de courant continu à prise médiane indiquée (CN). 



   Quoique la présente intention soit facilement applicable au cas de communication de commandes d'aiguillages et de signaux par un bureau de commande central à une station block éloignée commandant un réseau comprenant un nombre relativement grand d'aiguillages et de signaux, on a considéré com- me suffisant, pour simplifier la forme d'exécution de   l'inventio n   représentée, à la compréhension de l'invention, de ne considérer qu'un seul aiguillage et les signaux commandant le trafic à cet endroit, partie pouvant être considérée comme appartenant à un système de blocage d'un réseau plus étendu, d'autres aiguillages et signaux étant actionnés par des commandes respectives transmi- ses d'une même façon du bureau central que de la façon qui sera décrite en dé- tail ci-dessous pour la commande de l'aiguillage et des signaux de la figure 1B.

   Dans la figure 1B, une vôie principale 20 comprend un embranchement 21 y relié par un aiguillage 4W actionné par une machine d'aiguillage 4SM. Le trafic vers l'est est réglé par le signal 2 en passant sur l'aiguillage 4W, tandis que le passage de l'aiguillage 4W dans la direction de l'ouest est ré- glé par les deux signaux 3A et 3Bo 
Il est entendu que le système comprend une machine de commande convenable bien connue à utiliser dans le bureau central pour régler le tra- fic sur tout le réseau. Cette machine comprend un panneau de commande appro- 

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 prié (non représenté) portant un schéma des voies avec des lampes de signa- lisation voulues réparties le long du réseau pour indiquer les conditions d'occupation des différentes sections du réseau sous contrôle.

   Le panneau de commande comporte aussi des lampes de signalisation, conformément à la pratique, pour indiquer les positions des aiguillages, les conditions de blocage et les conditions des signaux réglant le trafic du réseau pour le- quel la machine de commande est prévue. 



   Le panneau de commande est pourvu aussi, soit sur le schéma soit en-dessous du schéma du réseau, des leviers ou boutons conienables pour déter- miner les points   d'entrée   et de sortie de parcours à établir ou pour détermi- ner les positions des aiguillages et des signaux à commander. Par exemple, com- me le montre la figure lA, un levier de commande d'aiguillage 4SML est prévu pour la commande de l'aiguillage 4W (voir figure 1B), et le levier de comman- de de signal 2-3SGL sert à l'actionnement des signaux commandant le trafic sur l'aiguillage 4W.

   Le levier   4SML   est à deux positions, la position de gau- che, comme indiqué à la figure lA, servant à commander la mise en position normale de l'aiguillage 4W, et la position de droite du levier   4SML   servant à commander la mise de l'aiguillage dans son autre position. Le levier de commande de signal 2-3SGL est un levier à trois positions, dont la position centrale sert à mettre les signaux correspondants au "stop", la position de gauche servant à mettre un signal "libre" pour le trafic vers l'ouest, et la position de droite servant à mettre un signal "libre" pour le trafic vers l'est.

   Il est évident que ces leviers de commande d'aiguillage et de signal peuvent être remplacés par d'autres types de commutateurs à commande manuel- le, ou par des relais, ou des boutons ou tout autre moyen qu'on peut dési- rer utiliser pour la détermination des commandes à transmettre pour actionner les aiguilles et signaux respectifs. 



   Quoiqu'on puisse utiliser différents types de minuteries pour ré- gler la cadence de déclenchement des relais, la minuterie utilisée dans la présente forme d'exécution de l'invention est représentée à la figure 2 sous la forme d'un balancier à torsion dont les caractéristiques générales sont décrites dans le brevet américain n  2.351.588 du 20 Juin 1944. Suivant ce brevet, le balancier peut être mû à vitesse constante et actionné pour un temps limité de chacun de ses cycles de travail de manière à maintenir la cadence des oscillations uniformément constante aussi longtemps que de l'é- nergie est appliquée au dispositif.

   Il est cependant considéré comme pré- férable, pour la présente invention que le mécanisme oscillateur soit nor- malement inactif mais maintenu dans une position déterminée de ses deux posi= tions extrêmes de rotation, de façon que le balancier puisse être mis en mar- che en partant d'une position de contact déterminée quand on désire mettre en marche la minuterie de l'appareil de communication codée de la station associée.

   C'est.pourquoi le balancier du brevet précité est, de préférence, modifié de façon que son bobinage soit normalement continuellement alimenté quand le système est au repos, et, au moment de la mise en marche du systè- me de communication codé, le courant est enlevé à l'électro-aimant du balan- cier associé CT,et le balancier à torsion peut donc osciller en oscilla- tions libres dont l'amplitude et la périodicité sont déterminées par les ca-   ractéristiques   de torsion d'un ressort en spirale comme le ressort 380 repré- senté à la figure 2, par exemple, combiné avec l'inertie du balancier à tor- sion 388 pour obtenir la fréquence de travail voulue. 



   Il est utile que chaque balancier CT soit pourvu de butées conve- nables S contre lesquelles l'armature 37 est maintenue quand le système est au repos, comme indiqué à la figure 3, et tel que décrit en détail dans la demande de brevet américain n  155. 720 du 13 avril 1950. On se référera à cette dernière demande si on désire une description plus complète du,balancier modifié pourvu de préférence de butées S comme représentées aux figures 2 et 3 de la présente demande.

   Pour comprendre le fonctionnement du balancier CT dans la mesure nécessaire à la présente invention, on notera que l'armature 37 (voir figure 3) est normalement maintenue dans sa position où les extrémi- tés 37a de l'armature 37 sont attirées magnétiquement contre les butées ma- 

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 gnétiques S qui sont disposées de manière à former un circuit magnétique de reluctance minimum pour le champ magnétique du balancier.,- comme l'indique la ligne en traits interrompus   379,   qui relie les pièces polaires 36. Le champ magnétique établi à travers l'armature 37 et les butées S maintient donc magnétiquement l'armature 37 contre les butées, aussi longtemps que l'enroulement 34 (voir figure 2) du balancier CT est alimenté. 



   Lorsque l'enroulement 34 est coupé, l'armature 37 du balancier est relâchée de sa position contre les butées S et le balancier 388 commence à tourner sous l'effet de la force de torsion du ressort 380 appliquée sur l'axe de rotation 381. Si le balancier restait non alimenté jusqu'à ce qu'il vienne à l'arrêt, l'armature prendrait une position suivant la ligne média- ne 104 de la figure 3. Cette ligne médiane 104 représente la position d'é- quilibre par rapport à la force de torsion appliquée par le ressort 380 à l'axe   381.   



   Comme il ne faut que quatre .oscillations libres successives du balancier CT à la fois pour faire fonctionner le système de communication codée de la forme d'exécution décrite'de la présenté invention, il n'y a pas de diminution notable des amplitudes lors des oscillations successives, mais chaque oscillation est un rien plus courte à cause des frottements, de la résistance de l'air,etc..., phénomènes communsau dispositif dé minuterie. 



  La réduction d'amplitude est représentée dans le graphique de la trajectoi- re du balancier à la figure 4. Cette réduction d'amplitude n'a pas d'effet sur la cadence de marche, parce que la minuterie se fait par les glissements des contacts mus par le balancier au moment où ce dernier passe par sa posi- tion médiane 104 (voir   figure. 3 ) .   On obtient ainsi une minuterie très préci- se basée sur le principe bien connu qu'un balancier à torsion a une période d'oscillation constante pour les diverses oscillations successives, entre cer- taines limites de tension du ressort, après que le balancier a été libéré et qu'il s'est mis à osciller librement. 



   Une came convenable 49, ou autre dispositif de commande de con- tacts, montée sur l'axe 381 met, au rythme des oscillations de chaque   balan-   cier CT, des lames de contact mobiles gauches 41 et   42   (voir figure 2) et droi- tes 46 et 44 alternativement en .et hors contact avec des lames fixes associées respectives 45 et 43, et 47 et 48. Des roulettes 50 commandent les lames mo- biles de contact en suivant le contour de la came 49.

   La came 49 est construi- te, de préférence, de façon que, si le balancier a été déconnecté assez long- temps que pour prendre sa position médiane de repos suivant la ligne médiane 104 de la figure 3,.les bords gauche et droit respectifs de la came 49 portent contre les roulettes 50 respectives, afin qu'une légère rotation de l'axe 381. dans l'un ou l'autre sens provoque la fermeture immédiate des contacts de gauche ou de droite suivant le sens de rotation.

   Avec cette disposition et grâce au contour de la came 49, les contacts de gauche représentés à la figure 2 et représentés schématiquement dans les figures lA et 1B, sont maintenus fer- més pendant la moitié de chaque période d'oscillation quand l'armature tourne dans le sens anti-horlogique à partir de la ligne médiane 104 comme indiqué à la figure 3, et les contacts de droite sont fermés pendant la partie de cha- que période d'oscillation où l'armature tourne dans le sens horlogique à par- tir de la ligne médiane   104.   Quoique l'amplitude d'oscillation dépende de la masse du balancier 388 associé au ressort spirale 380, les rayons 105 et 106 en traits interrompus (figure 3) indiquent les limites approximatives moyen- nes d'oscillation convenables. 



   Il est entendu que la longueur utile du ressort spirale 380 peut être réglée en glissant la patte de réglage 382 dans la position voulue et   l'inertie'   du balancier 388 est annulée par son frottement sur l'axe 381 par l'intermédiaire du disque de friction   389,   quand l'armature est brutalement bloquée par les butées S, comme cela a été expliqué en détail dans la de- mande de brevet précitée. 



   Quoique le dispositif de minuterie représenté et décrit en parti- 

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 culier est bien adapté à la forme d'exécution représentée de la présente invention, il est évident qu'on peut employer d'autres types de minuterie, à condition qu'ils donnent les différents intervalles de temps avec la pré- cision voulue par les exigences de la technique pratiquée. Il ressort clai- rement que la précision des minuteries donnant les temps des différentes éta- pes est un facteur déterminant de la rapidité de la communication en code, et la vitesse maximum de transmission et de réception de code ne peut être atteinte qu'avec la minuterie la plus précise pour déterminer la durée des différentes étapes. 



   La présente invention ne concerne pas spécialement les caractéris- tiques du circuit de ligne réunissant le bureau central et la station block, et toute ligne classique assurant un seul canal continu pour les communications peut convenir. Le système peut donc être utilisé avec un fil direct à circuit de ligne, comme des fils utilisés à d'autres effets dont les courants servent de courants porteurs, ou avec d'autres circuits classiques de multiplication. 



  Le circuit de ligne est normalement alimenté, et si on utilise un circuit de ligne directe à courant continu comme le montrent les figures 1A et 1B, une seule batterie de ligne LB suffit, située au bureau central ou à la station block conformément   à   la technique classique. Chaque station comprend un relais de ligne L en série dans le   circule   de ligne, et ce relais est de préférence du type polarisé à action rapide permettant une vitesse maximum de fonctionne- ment avec un courant d'excitation minimum.

   Un relais convenable de ce type a été décrit, par exemple, dans la demande de brevet américain n  122.475 du 20 Octobre   1949.,   
Les deux stations ont chacune un groupe de relais CH, LC, LCS, CS et CSP concernant spécialement la mise en route d'un cycle de travail ou certaines commandes spéciales pendant le cycle. Un relais CH et LC est pré- vu pour chaque dispositif, un aiguillage par exemple, ou pour chaque paire de signaux de voie opposés devant être commandés séparément par le bureau central. Ces relais sont utilisés, au bureau central, pour l'emmagasinage de commandes prévues à transmettre et pour ne permettre que la transmission d'une commande à la fois.

   Le relais LCS sert, dans le même but, à éviter l'interruption d'un cycle de travail par l'exécution, sur panneau, de com- mandes à transmettre, pendant que le système de communication est occupé à transmettre des commandes déterminées antérieurement. Un groupe semblable de relais est prévu à la station block pour régler la transmission d'indica- tions par la station block au bureau central. Le relais CS1 de la station block est spécialement prévu pour aider à mettre l'appareil récepteur en mar- che et pour la commande d'un relais répéteur associé CSP1 de manière à assu- rer l'exécution correcte des commandes reçues à la station block, durant un cycle de commande.

   Des relais correspondants CS et CSP jouent les mêmes rô- les au bureau central, à la réception d'informations, de manière à former un canal de communication distinct, sous certaines conditions, à la fin d'une opération de minuterie. 



   Un relais C, prévu au bureau central et à la station block, sert de relais de transmission de code, l'enclenchement de ce relais envoyant des impulsions sur la ligne en concordance avec chaque code particulier transmis. 



   Une batterie de relais de minuterie V est prévue à chaque sta- tion pour compter tous les signes de code transmis durant un cycle de tra- vail du système de communication. Dans la forme d'exécution de l'invention considérée, il ne faut que quatre relais V pour établir' sept canaux de commu- nication. 



   Des relais M de déchiffrement sont prévus à la station block (voir   figure lE) . -pour la réception des commandes ; relais sont prévus pour em-   magasiner les différents "pleins" reçus lors de la réception d'un code de com- mande jusqu'à ce que tout le code a été reçu et que l'on peut passer à l'exé- cution de la commande. 

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   Des relais semblables OM et EM sont prévus au bureau central et sont excités quand des "pleins" sont reçus, le relais OM étant prévu pour les signes impairs "pleins" et le relais EM pour les signes pairs "pleins" des codes d'information. 



   Des relais CP et CPP sont prévus au bureau central, et un relais CP est prévu à la station block; ils servent spécialement à commander la répétition d'une opération complète de la batterie de relais de minuterie, aux stations respectives, pour des cycles d'information, de manière à pouvoir disposer d'un nombre suffisant de canaux de communication d'information pour que toutes les indications relatives à un nombre particulier de dispositifs pouvant être commandés en un cycle de commande, puissent être communiquées. 



   Des relais d'applications diverses   WZ,   LGZ, RGZ et B sont prévus pour régler la commande des dispositifs à la station block en conformité avec les codes de commande transmis par le bureau central. Parmi ces relais, le relais WZ est un relais de blocage magnétique utilisé pour la commande d'un aiguillage automatique, tandis que les relais LGZ et RGZ sont représentés com- me des relais neutres avec des enroulements de blocage qui peuvent être exci- tés conformément à la pratique habituelle des commandes de signaux de blocage. 



  Le relais D sert à produire un signal d'arrêt en fonction de la réception d'un code d'arrêt pouvant être communiqué par le bureau central. 



   On a représenté, en schéma bloc, à la station block, des relais de répétition de signal convenables RM et LM et un relais de voie TR ; les circuits particuliers de ces relais étant bien connus, ils n'ont pas été re- présentés. 



   La réception d'informations au bureau central provoque la   comman-   de de relais de blocage magnétiques convenables, comme les relais RMK, LMK et TK représentés à la figure 1C et commandés en réponse à des codes d'infor- mation déterminés pouvant être   communiqués   par la station block. 



   Des lampes indicatrices REM, LME et TE qui peuvent être prévues dans le canal de commande de la machine de commande (non représenté) sont in- diquées comme commandées par les relais magnétiques d'indication de blocage RMK, LMK et TK. 



   Après la description générale du système, il sera donné maintenant une description détaillée des circuits de commande des relais respectifs et une description du mode de fonctionnement du système dans des conditions de travail typiques. 



   Fonctionnement. 



     Avant   de considérer en détail les circuits et le mode de fonction- nement du système dans des conditions de travail typiques, il est considéré comme utile d'étudier le mode de fonctionnement général sans se référer en particulier aux circuits intervenant dans ce fonctionnement. 



   Si on désire transmettre une commande du bureau central à la sta- tion block pour déterminer un parcours, l'opérateur de la machine de commande actionne d'abord tous les leviers de commande d'aiguillage nécessaires pour que les aiguillages soient en position voulue pour établir le parcours, et il actionne ensuite le levier de commande de signal SGL (voir figure lA) pour le signal qui permet   l'admission' du   train sur le parcours. A la suite de l'actionnement de ces différents leviers,. un relais associé CH déclenche et le déclenchement de ce relais provoque l'enclenchement du relais associé LC et le relais du système LCS.

   L'enclenchement du relais LCS coupe le courant du balancier CT qui se met en marche pour actionner les relais de minuterie et commander sélectivement l'excitation du relais de transmission de code C pour la transmission d'un code de commande correspondant à la première des com- mandes à transmettre. 

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   Comme le montre le graphique de la figure 4, quand le balancier CT passe la première fois par sa position médiane, l'ouverture des contacts du balancier CT désexcite le relais IV, et de façon semblable pour chacune des oscillations du balancier dans la même direction, en passant par sa posi- tion médiane, il provoque le déclenchement d'un relais de minuterie V im- pair. De même, quand le balancier repasse par le centre dans la direction op- posée pour achever sa première oscillation complète, la deuxième opération ou étape s'accomplit par le déclenchement du relais 2V, et chaque fois qu'il passe ensuite par le centre dans cette même direction, le balancier provoque le déclenchement d'un relais de minuterie V pair et établit chaque fois une nouvelle étape paire. 



   Comme le montre la   figure -/,,   lors de la deuxième oscillation du balancier 388, en quittant sa position initiale, le relais de minuterie IV réenclenche en réponse au déclenchement du relais 3V, de sorte que ce relais puisse être utilisé une seconde fois pour déterminer le début d'une nouvel- le étape. De même, le déclenchement du relais 4V provoque l'enclenchement du relais 2V qui peut être utilisé à nouveau pour une autre étape; et le dé- clenchement du relais IV pendant la troisième oscillation du balancier pro- voque L'enclenchement du relais 3V, de façon que ce dernier puisse aussi être utilisé une seconde fois pour former un canal de communication supplémentaire. 



   Les relais de minuterie sont donc désexcités successivement dans l'ordre numérique de manière à établir les différentes étapes, les relais 1V, 2V et 3V étant utilisés une seconde fois pour former un ensemble complet de sept étapes correspondant aux sept étapes distinctes de fonctionnement con- sécutives des relais de minuterie.

   
 EMI8.1 
 
<tb> n  <SEP> de <SEP> l'étape <SEP> Positions <SEP> relais <SEP> de <SEP> minuterie <SEP> 
<tb> 
<tb> 1 <SEP> 1V <SEP> déclénché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> enclenché
<tb> 
<tb> 2 <SEP> 2V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> enclenché
<tb> 
<tb> 3 <SEP> 3V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> enclenché
<tb> 
<tb> 4 <SEP> 4V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> IV <SEP> enclenché
<tb> 
<tb> 5 <SEP> 1V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> déclenché
<tb> 
<tb> 6 <SEP> 2V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> déclenché
<tb> 
<tb> 7 <SEP> 3V <SEP> déclenché <SEP> - <SEP> 4V <SEP> déclenché
<tb> 
 
On peut donc dire que les différentes étapes correspondent à un signe de code différent, puisqu'elles sont le résultat de combinaisons dif- férentes correspondantes de contacts de repos et de travail des relais de mi- nuterie,

   ces combinaisons étant choisies de telle façon pour la transmission de signes de code dans le circuit de commande du relais de transmission de co- de C, que l'on obtienne sept canaux de communication distincts pour la trans- mission du code. La mise sous courant de ces sept canaux respectifs est fonc- tion de l'application de courant par les contacts de travail d'un relais LC quelconque qui est enclenché en concordance avec la détermination de la com- mande particulière d'aiguillage ou de signal à transmettre. L'alimentation d'un quelconque de ces canaux pendant un cycle de commande définit le signe de code correspondant comme un "plein", tandis que l'absence d'énergie dans un quelconque des canaux respectifs assure la transmission d'un "blanc" comme signe de code.

   Dans le cas d'un blocage de station, le premier signe trans- mis par le bureau central est toujours un 'plein", et ce canal n'est donc pas utilisé pour la communication du code. La fagon dont le "plein" bloque, dans ces conditions, un démarrage simultané de la station block, sera étudiée plus en détail ultérieurement. 

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   A l'endroit du block, le relais de ligne L (voir figure 1B) est normalement excité, et le déclenchement de ce relais en fonction du début-de transmission d'un cycle de commande au bureau central provoque la mise en mar- che du balancier de code CT1, et donc la mise en marche de la minuterie à la station block qui se fait de façon comparable à celle du bureau central. 



  Donc le balancier de la station block n'est pas nécessairement mis en marche au même que le balancier du bureau central, la durée de propagation de ligne venant en compte, mais les deux balanciers oscillent à la même fréquence dans le bureau central et dans la station block, parce que leurs caractéristiques de fonctionnement sont parfaitement assorties, de sorte que lorsqu'ils peuvent osciller librement par coupure de l'énergie, la fréquence d'oscillation soit exactement la même aux stations émettrice et réceptrice. 



   A la station block,, un relais de déchiffrement M s'enclenche pour chaque "plein" reçu durant l'étape déterminée du cycle à laquelle ce relais M est associé, l'enclenchement de ce relais se faisant en réponse au déclen- chement du relais de minuterie correspondant, à condition que le relais de ligne L soit enclenché à ce moment. On remarquera, en se référant à la figu-   re-   1B, qu'il n'y a pas de relais 1M parce que le premier signe transmis est toujours le "plein" de blocage, comme cela a été expliqué, et le blocage est assuré par le relais   CSPl,de   sorte qu'il ne faut pas de relais M pour recevoir le premier signe. Chaque relais M, une fois enclenché, est maintenu excité par un circuit de blocage approprié jusqu'à la fin du cycle, après l'exécution du code reçu. 



   Quoique d'autres types de sélection de circuits d'exécution puis- sent être employés conformément à la 'technique habituelle, la forme d'exécu- tion de la présente invention représentée à la figure 1B prévoit un circuit d'exécution assurant une vérification de parité du code, de manière à élimi- ner, dans une large mesure, la possibilité de recevoir un code tronqué pouvant actionner l'un ou l'autre relais de commande d'aiguillage ou de signal erroné. 



  Ce système de vérification de parité exige la communication de codes ayant toujours un nombre pair de "pleins" (le "plein" de la première étape exclu), et le système de sélection de codes à transmettre par le.bureau central est étudié de façon que tout code transmis comprenne un nombre pair de "pleins" (le "plein" de la première étape non compris). Si donc un "plein" se perdait dans la transmission d'un code et n'était pas reçu par la station block, la réception d'un nombre impair de "pleins" empêcherait l'exécution du code, et aucun relais de commande d'aiguillage ou de signal ne serait actionné, le code tronqué étant'découvert par la vérification de parité qui empêcherait l'exécution d'un code erroné.

   De même, si un "plein" supplémentaire était reçu, produit par de l'énergie présente dans le circuit de ligne provenant d'une source étrangère pendant une étape normalement prévue pour un "blanc", cette réception d'un "plein" supplémentaire empêcherait l'exécution du co- de à la fin du cycle, de façon qu'aucun relais de commande d'aiguillage ou de signal ne puisse être actionné. On constate donc qu'avec cet arrange- ment, toute déformation du code capté à la station réceptrice doit provenir de l'addition ou de la soustraction d'un nombre pair de "pleins" pour qu'il puisse être regu, sans détection du défaut, et utilisé comme un code non dé- formé pour la commande erronée d'un relais d'application de la commande à un aiguillage ou un signal dans la station block.

   Il faut remarquer que les co- des employés pourraient avoir aussi bien un nombre impair de "pleins" si le circuit de vérification de parité était modifié en conséquence. 



   Le mode de fonctionnement pour la communication d'informations est, en général, semblable à celui qui a été décrit pour la transmission de commandes, sauf que le démarrage des divers cycles d'information est auto- matique par le déclenchement du relais CH1, par opposition au démarrage dans le bureau central qui se fait par le déclenchement du relais CH à la suite de la commande manuelle d'un levier de commande d'aiguillage ou de signal. Les informations à communiquer sont divisées en groupes dont l'im- portance peut être déterminée en fonction de la capacité du système de trans- mission pendant un seul cycle d'information, chaque groupe ayant son relais 

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 de démarrage CH1 et son relais de définition de code LC1.

   Le nombre de ca- naux disponibles pour les communications pendant un cycle d'information est 
14, parce que, dans un cycle d'information, la batterie de relais de minu- terie se répète, sauf que le premier signe transmis est toujours un "blanc" faisant partie du système de blocage qui sera décrit en détail ci-dessous au moyen duquel la préférence est toujours donnée à un démarrage du bureau central quand la station block et le bureau central démarrent simultanément, 
Quoique les circuits de la figure 1D montrent que le premier signe transmis est toujours un "plein" et non un   "blanc",   parce que de l'énergie est en- voyée dans le fil du premier canal pour provoquer l'enclenchement du relais émetteur Cl de la station block qui ferme le circuit de ligne en vue de la transmission du premier signe, le circuit de ligne est maintenu ouvert,

   à ce moment, dans le bureau central, en conditions normales, s'il s'agit d'un cy- cle d'information, de sorte que ce premier signe est regu au bureau central sous la forme d'un   "blanc"o   Ceci est fait pour que, si les deux stations démarrent simultanément, le "plein" envoyé par le bureau central puisse être regu par la station block comme un "plein", le circuit de ligne étant fermé à la station block. 



   La réception d'un cycle d'information au bureau central provoque ) l'excitation sélective des relais OM et EM en fonction respectivement de la réception des "pleins" numérotés impairs et pairs. On remarquera que cette paire de relais de réception de "pleins" peut servir à la réception sur tous les canaux, alors que des relais de "pleins" M " séparés, un pour chaque ca- nal, doivent être utilisés pour la réception de commandes, à la station block. 



   Il en est ainsi parce qu'il ne faut pas de circuits de déchiffrement pour l'exé- cution, à la réception d'informationso Les relais de réception d'informations de blocage magnétique respectifs du bureau central sont donc actionnés au fur et à mesure de la réception des signes de code correspondants de commande. 



   Après la description du fonctionnement général du système de com- munication de commandes et d'informations, on s'arrêtera maintenant aux dif- férents circuits particuliers intervenant dans le fonctionnement général dé- crit ci-dessus. 



   Démarrage d'un cycle de commande, 
Quoiqu'il soit évident qu'avec un système du type considéré, on puisse utiliser différents systèmes de démarrage d'un cycle de commande bien connus, le système utilisé dans la forme d'exécution de la présente invention représentée à la figure 1A est étudié de façon à ne nécessiter aucun bouton de démarrage, les relais CH étant commandés de telle façon par des circuits polarisés qu'ils enclenchent chaque fois que le levier de commande d'aiguil- lage ou de signal associé est amené dans une nouvelle position.

   Pour obtenir ce mode de fonctionnement, les leviers de commande d'aiguillage et de signal respectifs peurent être considérés, au point de vue électrique,comme des le- viers de changement de polarité, puisque, chaque fois que le levier est ame- né dans une nouvelle position, le circuit du relais de changement associé CH change de polarité par son contact de blocage de manière à ce que ce relais déclenche pour le démarrage d'un cycle de commande, le relais se réenclenchant par l'énergie de la nouvelle polarité suite à l'enclenchement du relais asso- cié LC quand le cycle est réellement mis en marche.

   Le relais 4CH, associé avec le levier de commande d'aiguillage 4SML, est normalement excité par un circuit de blocage partant de   (+),   par le contact de travail 60 du relais   4CH,   le contact 61 du levier 4SML amené vers la gauche, et l'enroulement supérieur du relais   4CH,   pour aboutir à (-).

   De même le relais 2-3CH, associé au le- vier de commande de signal   2-3GSL,   est normalement excité par un circuit al- lant de (+), par le contact de travail 62 du relais 2-3CH, le contact 63 du levier 2-3SGL se trouvant dans sa position milieu et l'enroulement supérieur du relais 2-3CH, pour aboutir à (-)o 
Si le levier 4SSML est amené de sa position normale dans sa position opposée (position de droite), par exemple, le circuit du relais 4CH décrit ci-des- sus change de polarité par le déplacement du contact 61 du levier 4SML, et 

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 le relais 4CH déclenche par l'excitation de son enroulement inférieur sous polarité opposée. 



   Le déclenchement du relais   4CH,   le système étant supposé au re- pos à ce moment, ferme un circuit d'excitation pour le relais 4LC allant de (+), par le contact de repos 66 du relais LCS,le contact de travail 67 du re- lais C, le contact de repos 68 du relais 4CH et l'enroulement inférieur du relais   4L6,   pour aboutir à (-).

   L'enclenchement de ce relais ferme un cir- cuit de blocage pour son enroulement supérieur, comprenant l'enroulement du relais LCS, et allant de (+), par le contact de repos 69 du relais CPP, le contact de repos 70 du relais CP, le contact de repos 71 du relais CSP, le contact de travail 72 du relais CS, le contact de travail 73 du relais L, l'enroulement du relais LCS, le contact de travail74 du relais 4LC et l'en- roulement supérieur du relais   4LC,  au (-), L'enclenchement du relais LCS démarre la minuterie pour le cycle par la coupure du courant au balancier CT à cause de l'ouverture du contact de repos 75 du relais LCS par lequel le ba- lancier CT a été normalement alimenté d'une façon continue.

   Le circuit d'a- limentation normale et ininterrompue du balancier GT va de (+) par le contact de travail 76 du relais CS, le compact de travail 77 du relais L, le contact de repos 75 du relais LCS et l'enroulement du balancier CT, au (-). 



   Les relais 4LC et LCS sont maintenus excités durant tout le cycle par le circuit de blocage décrit et par d'autres circuits de blocage à dé- crire ci-dessous, et, en enclenchant, le relais 4LC ferme le contact de tra- vail 78 de façon à établir un circuit d'excitation pour le relais 4CH,allant de (+), par le contact de travail 79 du relais LCS, le contact de travail 78 du relais 4LC, le contact 61 du levier 4SML dans sa position droite et l'en- roulement inférieur du relais 4CH, au   (-).   



   Ayant considéré en détail le mode de fonctionnement lors de la mi- se en route d'un cycle de travail suite à la mise du levier 4SML dans sa po- sition de droite afin d'amener l'aiguillage 4W dans sa position inversée, il ressort clairement,de la description ci-dessus, qu'un fonctionnement analogue se réalise quand on inverse la position du levier 4SML pour ramener   l'aiguil- .   lage 4W dans sa position normale, le déplacement du levier 4SML dans l'une ou l'autre direction amenant un changement de polarité du relais 4CH qui déclen- che en conséquence de manière à démarrer le cycle de commande. 



   Le démarrage d'un cycle de commande pour la transmission d'une commande de signal se fait de façon semblable. En effet, en amenant le levier de commande de signal à trois positions dans une nouvelle position quelconque, on change la polarité du relais de changement associé 2-3CH qui déclenche de manière à provoquer l'enclenchement des relais 2-3LC et LCS. Par exemple, en amenant le levier 2-3SGL dans sa position de droite pour lever le signal 2 de voie libre pour le trafic vers l'est, on change la polarité du relais   2-3CH   qui a été décrit comme ayant son enroulement supérieur normalement ex- cité à travers le contact 63 du levier 2-3SGL dans sa position milieu. 



   Le déplacement du levier 2-3SGL dans n'importe quelle direction à partir de sa position milieu ouvre le circuit de l'enroulement supérieur du relais 2-3CH au contact 63 et établit un circuit d'excitation pour l'en- roulement inférieur avec une polarité opposée. Si, par exemple, le levier 2-3SGL est amené vers la droite en vue de l'établissement d'un signal de voie libre pour le trafic vers l'est, l'enroulement inférieur du relais   2-3CH   est momentanément excité par un circuit allant de (+), par le contact de tra- vail 62 du relais   2-3CH   le contact 63 du levier 2-3SGL dans sa position de droite, et l'enroulement inférieur du relais 2-3CH, au (-).

   Cette excitation est d'une polarité qui s'oppose au flux établi auparavant par l'excitation de l'enroulement supérieur, et le relais 2-3CH déclenche donc et le circuit qui vient d'être décrit s'ouvre au contact de travail 62. 



   Lorsque le relais 2-3CH déclenche, si le système est au repos, le relais 2-3LC est enclenché   par-l'établissement   d'un circuit allant de (+), 

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 par le contact de repos 66 du relais LCS, le contact de travail 67 du relais C, le contact de travail 68 du relais   4CH,   le contact de repos 80 du relais 2-3CH, et l'enroulement inférieur du relais 2-3LC, au (-). Une fois enclen- ché, le relais 2-3LC provoque l'enclenchement du relais LCS par l'établisse- ment d'un circuit allant de (+), par le contact de repos 69 du relais CPP, le contact de repos 70 du relais CP, le contact de repos 71 du relais CSP, le contact de travail 72 du relais CS, le contact de travail 73 du relais L, l'enroulement du relais LCS, le contact de travail 81 du relais 2-3LC et l'en- roulement supérieur du relais 2-3LC, au (-).

   En enclenchant, pour démarrer la transmission d'un code de commande d'aiguillage ou de signal, le relais LCS est maintenu enclenché pendant tout le cycle, avec le relais associé LC, à cause de l'énergie de blocage appliquée par le contact dé blocage 82 du re- lais LCS et par les contacts de travail 83,   84,   85 et 86 des relais 4V, 3V, 2V et 1V enclenchés respectivement en parallèle. 



     ADrès   l'enclenchement du relais LCS en réponse au démarrage d'un cycle de commande à la suite de l'enclenchement du relais 2-3LC, le relais 2-3CH est réenclenché par l'établissement d'un circuitallant de   (+),   par le contact de travail 79 du relais LCS, le contact de travail 87 du relais 2-3LC, le contact 63 du levier 2-3SGL dans sa position de droite et l'enroulement inférieur du relais 2-3CH, au (-). 



   Le circuit de ligne comprenant les fils 88 et 89 réunissant le bureau central à la station block est normalement alimenté par un circuit al- lant de la borne positive de la batterie de ligne LB, par le contact de tra- vail 90 du relais C, le contact de travail 91 du relais CS, l'enroulement du relais L, le fil 89, l'enroulement du relais Ll, le contact de travail 92 du relais Cl et le fil 88, à la borne négative de la batterie de ligne LB. 



   L'enclenchement du relais LCS ouvre le circuit au contact de re- pos 65 qui servait à maintenir le relais C normalement excité. Ce circuit va du (+), par le contact de travail 92 du relais C, l'enroulement supérieur du relais C,et le contact de repos 65 du relais LCS, au (-). Le déclenche- ment du relais C ouvre donc le circuit de ligne au contact de travail 90 et provoque le déclenchement des relais de ligne L et Ll respectivement au bu- reau central et à la station block. Le déclenchement du relais L ouvre le circuit de blocage qui maintenait le relais CS normalement alimenté, au con- tact de travail 94. Ce circuit de blocage va du (+), par le contact de tra- vail   94   du relais L, le contact de travail 95 du relais CS, et l'enroulement inférieur du relais CS, au (-).

   Le déclenchement du relais CS ouvre le con- tact de travail 91 dans le circuit de ligne, par lequel le circuit de ligne est normalement alimenté. En déclenchant, le relais CS ferme un circuit évi- dent pour l'enclenchement du relais CSP par le contact de repos 96, de   maniè-   re que le relais CSP enclenche et reste enclenché jusqu'à ce que le relais CS est de nouveau excité. 



   De même, à la station block, le déclenchement du relais de ligne Ll, au début du cycle, provoque aussi le déclenchement du relais de démarra- ge de cycle CSI normalement alimenté, par l'ouverture du contact de travail 97. Ce relais CS1 est normalement maintenu enclenché par un circuit de blo- cage comparable à celui décrit pour le relais CS du bureau central. 



   Minuterie. 



   Les circuits des batteries de relais de minuterie respectivement au bureau central et aux stations blocks sont semblables et il suffira donc d'étudier en détail la minuterie du bureau central pour comprendre la dispo- sition des circuits et le fonctionnement de la minuterie de la station block. 



  Dans l'étude de la minuterie du bureau central, on admet qu'un cycle est mis en route pour la transmission d'un code de commande pour renverser l'aiguil- lage 4. Le balancier CT du bureau central est mis en route comme cela a été expliqué, et quand il passe une première fois par sa position médiane, il ou- vre les doigts de contact   la.1   et   45,   ce qui provoque le déclenchement, du pre- mier relais de minuterie 1V 

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Le relais 1V a été maintenu enclenché, quand le système est au repos, par un circuit de blocage allant du (+), par les doigts de contact 41 et 45 du balancier CT, le contact de travail 98 du relais 1V et l'enrou- lement supérieur du relais 1V, au (-).

   Le relais 2V est maintenu enclenché à ce moment par un circuit de blocage allant du (+), par le contact de tra- vail 99 du relais 3V, le contact de travail 100 du relais 1V, le contact de travail 101 du relais 2V et l'enroulement supérieur du relais 2V, au (-). Le relais 3V est maintenu enclenché à ce moment par un circuit de blocage al- lant du (+), par le contact de travail 102 du-relais 2V, le contact de tra- vail 103 du relais 3V et, l'enroulement supérieur du relais 3V, au (-). Le relais 4V est maintenu enclenché à ce moment par un circuit de blocage al- lant du (+), par le contact de travail 99 du relais 3V, le contact de travail 114 durelais 4V et l'enroulement supérieur du relais 4V, au (-). 



   De tous les circuits de blocage des relais 2V, 3V et 4V, qui ont été décrits, seul le circuit de blocage du relais 2V s'ouvre par le déclen- chement du relais 1V, à l'endroit du contact de travail 100. La fermeture des doigts de contact 44 et 48 du balancier CT quand celui-ci passe pour la première fois par sa position médiane, a provoqué l'établissement d'un circuit de blocage qui applique directement du courant au contact de blocage 101 de manière,à maintenir le relais 2V excité jusqu'au moment où les contacts 44 et 48 s'ouvrent lors duretour du balancier, à sa première oscillation, au mo- ment où il passe par le centre.

   Donc, l'ouverture du circuit de blocage normalement alimenté du relais 2V, et la fermeture du circuit de blocage éta- bli par les contacts   44   et 48 du balancier, met le relais 2V dans la situa- tion de déclencher au moment du passage du balancier par sa position médiane, au cours de la deuxième moitié de la première oscillation. 



   Par le déclenchement du relais 2V, le circuit de blocage décrit alimentant le relais 3V s'ouvre au contact de travail 102 du relais 2V, mais le relais 3V reste enclenché à ce moment par un autre circuit de blocage pas- sant par les doigts de contact 41 et 45 du balancier CT, le contact de re- pos 98 du relais 1V et le contact de travail 103 du relais 3V. Ce dernier ne déclenchera donc qu'au moment où le balancier passe par sa position médiane durant la première moitié de la seconde oscillation, comme le montre la figu- re 4, le relais 3V déclenchant à l'ouverture des doigts de contact 41 et 45 du balancier CT, pour la deuxième fois depuis le début du cycle. 



   Le relais 3V, en déclenchant, établit un circuit de réenclenche- ment du relais 1V pour replacer celui-ci en condition, comme cela a été dé- crit, de former une nouvelle étapeo Le circuit d'excitation du relais 1V, dans ces conditions, va du (+), par le contact de travail 115 du relais 4V, le contact de repos 116 du relais 3V et l'enroulement inférieur du relais 1V, au (-). 



   Le circuit de blocage normalement alimenté, décrit pour le relais /+V, s'ouvre au contact   de.   travail 99 suite au déclenchement du relais 3V, de sorte que le relais 4V reste excité de la même manière que celle décrite con- cernant.le relais 2V, par un circuit passant par les doigts de contact 44 et 48. Le relais 4V est donc le relais suivant à déclencher, et il déclenche effectivement au moment où le balancier passe par sa position médiane à son retour, au cours de la deuxième moitié de la seconde oscillation du cycle de minuterie. L'ouverture des doigts de contact 44 et 48 provoque le déclenche- ment du relais de minuterie 4V à ce moment. Une fois déclenché, le relais 4V ferme un circuit de réenclenchement du relais 2V pour replacer celui-ci en condition de former une nouvelle étape.

   Le relais 2V est enclenché, dans ces conditions, par un circuit allant de (+), par le contact de repos 115 du relais 4V, le contact de travail   107   du'relais 1V et l'enroulement infé- rieur du relais 2V, au   (-) .   



   Le déclenchement du relais 4V ouvre le circuit de blocage décrit du relais 1V au contact de travail 115, et le relais 1V reste excité par un circuit déjà décrit passant par les doigts de contact 41 et 45 du balancier, 

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 fermés à ce moment. Le relais 1V est donc prêt à déclencher au moment où le balancier CT passe par sa position médiane durant la première moitié de sa troisième oscillation. 



   Comme le montre le graphique de la figure   4,   le relais 1V, en dé- clenchant pour la deuxième fois, provoque le réenclenchement du relais 3V qui peut être utilisé à nouveau pour former une autre étape. Le circuit de réen- clenchement du relais 3V, dans ces conditions, va du (+), par le contact de repos 115 du relais   4V,   le contact de repos 107 du relais 1V, le contact de travail 108 du relais 2V et l'enroulement inférieur du relais 3V, au (-). 



   Pendant le retour du balancier lors de sa troisième oscillation, le relais 2V déclenche par l'ouverture de son circuit de blocage à l'endroit des doigts de contact   44   et 48 de l'oscillateur CT, le circuit d'enclenchement du relais 2V ayant été ouvert, au contact de travail 107 par le déclenche- ment du relais 1V, 
En déclenchant, pour la deuxième fois en un cycle de travail de la batterie de relais, le relais 2V ouvre le circuit de réenclenchement, qui vient d'être décrit, du relais 3V au contact de travail 108, et le relais 3V n'est plus enclenché que par son circuit de blocage de son enroulement supé- rieur qui passe par les doigts de contact 41 et 45 qui restent fermés jusqu'à ce que le balancier passe par sa position médiane, pendant la première moitié de sa quatrième oscillation.

   L'ouverture, à ce moment, des doigts de contact   41   et   45,   provoque le déclenchement du relais 3V, ce qui constitue la derniè- re étape dans le fonctionnement de la batterie de relais de minuterie du bu- reau central, pour un cycle de commande. 



   Ayant ainsi décrit le fonctionnement de la batterie de relais du bureau central, il est clair qu'un mode de fonctionnement et un ensemble de circuits semblables sont prévus à la station block, pour faire travailler les relais de minuterie 1V1, 2V1, 3Vl et 4Vl en concordance avec le balancier CT1 qui est mis en marche par l'ouverture de son circuit normalement alimenté, au contact de travail 109 du relais de ligne Ll, le circuit d'alimentation normale du relais CT1 étant comparable au circuit qui a été décrit pour l'alimentation normale du relais CT du bureau central. 



   Transmission d'un message. 



   Il a été dit que la transmission de commandes se fait par la trans- mission de "pleins" et de "blancs" par le bureau central vers la station block de manière à constituer des codes de commande, un cycle de travail du système de communication étant utilisé pour chaque dispositif à commander. 



   La sélection des signes de code utilisés pour la transmission est déterminée par un quelconque des relais LC (voir figure lA) qui s'enclenche au bureau de commande. Il en est ainsi parce que chacun des signes transmis, excepté le premier signe qui est toujours un "plein", est déterminé par un circuit passant par un contact de travail d'un relais LC, un seul relais LC s'enclenchant à la fois, les relais LC étant montés dans un circuit en chaî- ne, comme cela a été expliqué. Par exemple, le relais   4LC,   quand il est en- clenché, est représenté comme ayant des contacts qui déterminent quels signes successifs seront transmis dans un cycle de commande des "pleins" ou des "blancs" suivant un code déterminé.

   Si on applique de l'énergie par ces contacts, le signe correspondant est un "plein", et si aucune énergie n'est appliquée, le signe correspondant est un "blanc". Le premier groupe de signes de code trans- mis concerne plus particulièrement l'identification du dispositif à commander, et le dernier groupe de signes servant à définir la position que doit prendre le dispositif qui a été désigné par le premier groupe de signes.

   Quand le relais   4LC   est enclenché, il choisit un premier groupe de signes comprenant, par exemple, un premier groupe de trois "pleins" et un "blanc" pour désigner, comme dispositif à commander, l'aiguillage 4W, et un second groupe de deux signes qui détermine la position dans laquelle l'aiguillage 4W doit être pla- 

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 cé, position dépendant de ce que le levier 4SML se trouve dans sa position nor- male ou dans sa position renversée. Donc le code pour la transmission d'une commande d'inversion de l'aiguillage 4W comprend les signes   "plein-plein.-plein-   blanc-blanc-plein". Ceci s'ajoute au premier signe qui est toujours un "plein" comme cela a été expliqué.

   Si le code de commande à transmettre correspond à la mise de l'aiguillage 4W dans sa position normale, le code à transmettre choisi par le relais   4LC,   le levier 4SML se trouvant à gauche, est : "plein- plein-plein-blanc-plein-blanc". 



   A cet effet, il a été prévu que,. pendant la transmission d'un cy- cle de commande, le relais 4LC étant enclenché, la fermeture des contacts de travail   124,   125 et 126 provoque l'application directe d'énergie aux fils de canaux respectifs 132, 133 et   134.   Le cinquième signe étant un "blanc", aucune énergie n'est appliquée au fil de cinquième canal 135 à travers un contact du relais 4LC, et de l'énergie est appliquée au fil du sixième ou du septième canal 136 ou 137 suivant que la position que l'aiguillage doit prendre est la position normale ou renversée. Cette énergie est appliquée par l'intermédiaire de contacts de travail 138 ou 139 du relais   4LC,   suivant que le contact 140 du levier 4SML se trouve à gauche ou à droite. 



   Le circuit d'application d'énergie aux différents fils de canaux 132,133, 134 et 136 ou 137, montre clairement que cette énergie est appli- quée simultanément a tous les fils correspondant aux canaux dans lesquels des "pleins" doivent être transmis, à la suite de l'enclenchement du relais 4LC au début d'un cycle de travail, Au début du cycle, ces fils de canaux sont cependant isolés électriquement des enroulements du relais de transmission de code C, et il ressortira clairement, au fur et à mesure de l'exposé, que l'énergie de ces différents fils est appliquée, pendant les étapes successi- ves du fonctionnement de la batterie de relais de minuterie, sélectivement à l'enroulement inférieur du relais C de manière à pulser le relais C en fonction des "pleins", et des "blancs" successifs du code choisi pour la transmission. 



   Une fois le cycle de commande mis en route comme décrit ci-des- sus, la fermeture des doigts de contact 46 et   47   du balancier CT au moment où celui-ci passe pour la première fois par sa position médiane, provoque la fermeture d'un circuit d'enclenchement du relais C, en vue de la trans- mission du premier signe qui est toujours un "plein" dans le cas d'une trans- mission par le bureau central. Le circuit d'excitation du relais C, dans ces conditions, va du   (+),   par le contact de travail   141   du relais   4V,   le contact de travail 142 du relais 2V, le contact de travail 143 du relais 
LCS, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C, et le contact de travail 65 du relais LCS, au (-).

   A la suite de l'enclenchement du relais C par l'excitation de ce circuit, la fermeture du contact de travail 90 applique de l'énergie au circuit de ligne composé des fils 88 et 89 qui vont jusqu'à la station block pour transmettre un "plein" pendant la première étape du cycle du système de communication. Le circuit de ligne, fermé à ce moment, va de la borne positive de la batterie LB par le contact de travail 90 du relais C, le contact de travail 144 du relais 
LCS, l'enroulement du relais L, le fil 89, l'enroulement du relais Ll, le contact de travail 92 du relais Cl, et le fil 88 à la borne négative de la batterie de ligne LB. 



   Le déclenchement du relais 1V de première étape établit un cir- cuit pour la transmission d'un "plein" pendant la deuxième étape de façon que, lorsque le balancier 388 repasse par sa position médiane pendant la deuxième moitié de sa première oscillation, la fermeture des doigts de contact 42 et   43   puisse établir un circuit pour le relais C par lequel ce dernier   comnan-   de la transmission d'un "plein" pendant la seconde étape du cycle du système de communication codée.

   Si donc un "plein" doit être transmis pendant la se- conde étape, de l'énergie est appliquée par le fil de canal 132 à travers le contact de travail 144a du relais   4V,   le contact de travail 145 du relais 3V, le contact de repos   146   du relais 1V, le contact de travail 147 du relais LCS, 

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 les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C et le contact de travail 65 du relais LCS vers le (-).

   Si un "blanc" doit être transmis pendant la seconde étape, aucune énergie n'est appliquée au fil de canal 132 et le relais C doit donc être désexcité pendant la durée de transmission prévue de la deuxième étape du cycle du système de communica- tion, de manière   à   avoir comme signe un "blanc" correspondant à l'ouverture du circuit de ligne à l'endroit du contact de travail 90 du relais C. 



   De même, de l'énergie est appliquée par les fils de canaux impairs à travers les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT pour enclencher le relais de transmission de code G à chacune des étapes impaires successives, et l'excitation de l'enroulement inférieur du relais C est réalisée de fagon semblable pour les étapes paires par un circuit contenant les doigts de con- tact 42 et 43 du balancier CT. 



   Il faut remarquer que pendant la durée de transmission d'un signe dans la seconde étape, le circuit de commande du relais C prévu pour la transmission pendant la première étape, est ouvert par l'ouverture des doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, et avant la refermeture de ces doigts de contact, le relais 2V déclenche et ouvre aussi le circuit de commande du relais C prévu pour la transmission dans la première étape, à l'endroit du contact de travail 142.

   Par conséquent on établit d'une même manière, un nou- veau circuit de commande pour chaque signe successif à transmettre, à l'aide de contacts de relais de minuterie V,et le circuit de commande de l'étape précédente du cycle est rouvert, de fagon que le relais C ne puisse être en- clenché pour transmettre un "plein" que par de l'énergie provenant du fil de canal qui correspond à l'étape du cycle où se trouve à ce moment le système de communication.

   Le relais C peut être enclenché pour la transmission d'un "plein", durant la troisième étape du cycle d'un code, par l'application d'é- nergie venant du fil de canal 133, par le contact de travail 148 du relais 4V, le contact de repos 142 du relais 2V, le contact de travail 143 du relais LCS, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C et le contact de travail 65 du relais LCS, au (-). 



   La transmission d'un "plein" durant la quatrième étape d'un cycle peut se faire par l'application d'énergie du fil de canal 134, par le contact de repos 149 du relais 3V, le contact de travail 150 du relais 1V, le contact de travail 147 du relais LCS, les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C et le contact de travail 65 du relais LCS. 



   Un "plein" peut être transmis pendant la cinquième étape suite à l'excitation du relais C par le fil de canal 135 au moyen d'un circuit al- lant du fil 135, par le contact de repos 151 du relais 4W, le contact de tra- vail 152 du relais 2V, le contact de travail 143 du relais LCS, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C, et le contact de travail 65 du relais LCS. 



   Un "plein" peut être transmis pendant la sixième étape suite à l'application d'énergie au fil de canal 136, énergie passant de là par le con- tact de repos 153 du relais 4V, le contact de travail 154 du relais 3V, le contact de repos 150 du relais 1V, le contact de travail 147 du relais LCS, les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C et le contact de travail 65 du relais LCS. 



   Le relais C peut être enclenché pour la transmission d'un "plein", pendant la septième étape par application d'énergie, venant du fil de canal 137, à travers le contact de repos 155 du relais 4V, le contact de repos 152 du relais 2V, le contact de travail 143 du relais LCS, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C et le contact de travail 65 du relais LCS, pour aboutir au (-). 



   Il ressort de la description du fonctionnement du relais C pour la transmission de "pleins", que la durée de chaque "plein" correspond au 

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 temps de fermeture des paires respectives de doigts de contact du balancier CT. C'est-à-dire que la fermeture de la paire de contacts   46-47   ou   42-43   du balancier CT établit l'excitation du relais de transmission de code C pour amorcer la transmission d'un   "plein",   et la réouverture de ces doigts de con- tact termine la transmission du "plein" par le déclenchement du relais C. 



   On a remarqué qu'il n'y a pas de perte de temps appréciable pen- dant le passage d'une étape à la suivante dont la durée est déterminée par les paires respectives de doigts de contact du balancier CT, et les diagram- mes de temps des figures 5A et 5B montrent que les doigts de contact du balan- cier CT sont réglésde telle façon qu'une paire de doigts de contact se fer- me sensiblement au moment où l'autre paire s'ouvre, le balancier 388 passant par sa position médiane à ce momento On peut donc dire qu'en pratique, il n'y a pas d'intervalle de temps sensible entre les signes de code successifs transmis sur le circuit de ligne, et quand des "pleins" successifs sont trans- mis, le balancier 388, en passant par sa position médiane, saute pratiquement instantanément d'un circuit d'excitation du relais C au suivant,

   de façon que le relais de transmission de code C n'ait jamais une chance de déclencher de manière à ouvrir son contact de travail 90 dans le circuit de ligne, aussi longtemps que des "pleins" successifs sont transmis pendant la transmission d'un code. 



   Réception des commandes. 



   Comme le montre la figure 1B, le relais de ligne Ll indique si les signes différents transmis au cours des étapes successives d'un cycle de commande, sont des "pleins" ou des "blancs". Un relais de "plein" M s'en- clenche pour chaque étape (sauf la première) en réponse au déclenchement du relais de minuterie correspondant, à condition que le relais de ligne Ll soit enclenché à ce moment pour confirmer que c'est "un plein" qui est envoyé sur la ligne. 



   A cet effet, le déclenchement du relais de minuterie de la secon- de étape 2Vl provoque l'enclenchement du relais 2M, si la ligne est alimentée à ce moment. Le circuit d'excitation du relais   2M   va du (+), par le contact' de travail 156 du relais Ll, le contact de repos 157 du relais LCS1, les doigts de contact   42   et 43 du balancier CT1, le contact de repos 158 du relais LCS1, le contact de repos 159 du relais 1V1, le contact de repos 160 du relais 2Vl, le contact de travail 161 du relais   4Vl,   et l'enroulement inférieur du relais   2M,   au (-).

   Une fois enclenché, le relais   2M   le reste jusqu'à la fin de la période d'exécution à la fin du cycle, grâce à un circuit de blocage comprenant le contact de travail 162 du relais CSP1 et le contact de travail 163 du relais 2M. Le relais CSP1 a été enclenché en réponse au déclenchement du relais 1V1, lors de lp première étape, par l'établissement d'un circuit allant du (+), par le contact de travail 156 du relais Ll, le contact de repos 157 du relais LCS, les doigts de contact   46   et 47 du balancier CT1, le contact de repos 164 du relais LCS1, le contact de repos 165 du relais 1V1, le contact de travail 166 du relais   2Vl,   le contact de travail 167 du relais   4Vl,   le contact de re- pos 168 du relais LCS1 et l'enroulement inférieur du relais CSP1, au (-).

   Il faut remarquer que le relais CSP1 ne peut être enclenché par le circuit d'en- clenchement   décritàl'instant,   que si le contact de travail 156 du relais Ll est fermé. Cette exigence dans la réception d'un cycle de commande sera étudiée plus en détail ultérieurement en se référant au verrouillage néces- saire dans le cas de démarrages simultanés des appareils de transmission du bureau central et de la station block. 



   Une fois enclenché, le relais CSP1 le reste pendant le restant du cycle de.commande grâce à l'établissement de l'un ou l'autre de ses cir- cuits de blocage qui seront décrits ici. Le relais de minuterie 1V1 étant déclenché, l'enroulement inférieur du relais CSP1 est alimenté par un cir- cuit allant du (+.), par le contact de repos 169 du relais 1V1, le contact de travail 170 du relais CSP1, le contact de repos 171 du relais LCS1, et l'enroulement inférieur du relais CSP1, au (-). Le relais 3Vl étant déclen- 

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 ché, de l'énergie de blocage est appliquée à l'enroulement inférieur du relais CSP1 par un circuit allant du (+), par le contact de repos 172 du relais 3V1, 
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 le contact de travail 170 du relais CSPl, le contact de repos 171 du relais LCS1 et l'enroulement inférieur du relais CSP1. au (-).

   Ce dernier circuit de blocage est utilisé pour maintenir le relais CSP1 enclenché un petit moment après l'enclenchement des relais de minuterie à la fin du cycle, de manière à prolonger la période d'exécution comme indiqué au diagramme de temps de la figure 5B. 



   Au déclenchement du relais 3V1 qui marque le début de la troisième étape de la réception d'un code à la station block, le relais 3M enclenche si un "plein" est reçu à ce moment. Le circuit d'excitation du relais 3M va du (+), par le contact de travail 135 du relais Ll, le contact de repos 157 
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 du relais LSC1, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT1, le contact de repos   164   du relais LCS1, le   ontact   de repos 175 du relais 2Vl, le contact de repos 176 du relais 3Vl, le contact de travail 177 du relais 4Vl et l'enroulement inférieur du relais 3M, au (-). Le relais 3M est maintenu enclenché par un circuit de blocage comprenant les contacts de travail 178 et 179 des relais CSP1 et 3M respectivement. 



   Au déclenchement du relais 41 qui marque le début de la quatrième étape de la réception d'un code à la station block, le relais 4M enclenche, si un "plein" est reçu à ce moment. Le circuit d'excitation du relais 4M va du (+), par le contact de travail 156 du relais   Ll,   le contact de repos 157 
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 du relais LCS1. les doigts de compact 42 et 43 du balancier CT1, le contact de repos 158 du relais LOS1, le contact de travail 159 du relais 1V1, le con- tact de repos 180 du relais 4Vl et l'enroulement inférieur du relais 41'1, au (-). Le relais 4M est maintenu enclenché par un relais de blocage comprenant les contacts 162 et 181 des relais CSP1 et   4M   respectivement. 



   Si le circuit de ligne est sous courant au moment de la cinquième étape, le relais 5M enclenche. Le circuit d'excitation du relais 5M va du (+), par le contact de travail 156 du relais L1, le contact de repos 157 du relais LCS1, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CTl,le contact de re- 
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 pos 164 du relais' LCS1, le contact de repos 165 du relais 1V1, le contact de travail 166 du relais 2Vl, le contact de repos 167 du relais 4Vl et l'enrou- lement inférieur du relais   5Mau   (-). Le relais 5M, une fois enclenché, reste 
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 excité jusqu>à la fin de la période d'exécution par les contacts de travail 178 et 182 des relais CSP1 et 5M respectivement. 



   Le relais 6M peut enclencher lors de la sixième étape, si la ligne est sous courant, par l'établissement d'un circuit allant du (+), par le contact de travail 156 du relais Ll, le contact de repos 157 du relais LCS1, les doigts de contact 42 et   43   du balancier CT1, le contact de repos 158 du relais   LCS1,   le contact de repos 159 du relais 1V1, le contact de 
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 repos 160 du relais 2V1, le contact de repos 161 du relais 4vil, le contact de travail 183 du relais 3Vl et l'enroulement inférieur du relais 6M, au (-). 



  Une fois enclenché, le relais 6M le reste par un circuit de blocage passant par.les contacts de travail 162 et 184 des relais CSPI et 6M respectivement. 



   Si un "plein" est reçu à la septième étape, le relais 7M enclenche à la suite du déclenchement du relais 3V1 pour la deuxième fois, servant à établir la septième étape. Le circuit d'excitation du relais 7M va du (+), par le contact de travail 156 du relais L1, le contact de repos 157 du re- 
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 lais LCSl, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CTl, le contact de repos 164 du relais LCS1, le contact de repos 175 du relais 2Vl, le contact de repos 176 du relais 3V1, le contact de repos 177 du relais 4V1, et l'en- 
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 roulement inférieur du relais 7M, au (-). Enclenché, le relais 714 le reste par les contacts de travail 178 et 185 des relais CSP1 et 7M respectivement. 



   Si on considère l'exécution d'un code déterminé, on supposera que le code   "plein"plein-plein-blanc-blanc-plein"   a été transmis, en plus de la transmission d'un plein durant la première étape, pour renverser l'aiguillage 

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 4W. La   réception d.e   ce code provoque, comme cela a été expliqué, l'enclenche- ment des relais de déchiffrement 2M, 3M, 4M et 7M. Le début de la période d'exécution est déterminé par le passage du balancier par sa position médiane pour la dernière fois dans le cycle de travail.

   Le relais CS1 s'enclenche, à ce moment; par l'établissement d'un circuit allant du (+), par les doigts de contact   41   et 45 du balancier CT1, le contact de repos 186 du relais 1V1, le contact de repos 187 du relais 3Vl, le contact de repos 188 du relais 2Vl, et l'enroulement supérieur du relais CS1, au (-).

   Une fois enclenché, le re- lais CS1 est maintenu excité pour toute la durée de la période d'exécution par un circuit de blocage comprenant le contact de travail 189 du relais CSP1 et le contact de travail 190 du relais CSlo 
Quand les deux relais CS1 et CSP1 enclenchent, un circuit d'exé- cution se ferme, et si le code précité a été reçu, le relais de commande 4WZ de l'aiguillage est excité suivant une polarité telle que les contacts 191 et 192 se mettent en position déclenchée de manière à appliquer la polarité voulue à la machine d'aiguillage 4SM pour qu'elle amène l'aiguillage 4WZ dans sa position renversée., Le circuit d'excitation du relais 4WZ va du (+), par le contact de repos 193 du relais LCS1, le contact de travail 194 du relais CS1, le contact de travail 195 du relais CSP1, le contact de repos 196 du re- lais CP1,

   le contact de travail 197 du relais 2M, le contact de travail 198 du relais 3M, le contact de travail 199 du relais 4M, le contact de repos 200 du relais   5M,   le contact de repos 201 du relais 6M, le contact de travail 202 du relais 7M, le fil 210, les contacts de travail 203, 204 et 205 des relais respectifs 2M, 3M et 4M, les contacts de repos 206 et 207 des relais 5M et 6M respectivement, le contact de travail 208 du relais 7M, le contact de tra- vail 209 du relais 4W2 et l'enroulement supérieur du relais 4W2, au (-). 



   Il faut noter que le code reçu considéré a un nombre pair de "pleins" (non compris le "plein" transmis pendant la première étape), et conformément au système de vérification de parité, le code reçu satisfait aux exigences de la vérification, en contenant un nombre pair de "pleins". Si, pour un motif quelconque, un des "pleins" n'avait pas été reçu, le circuit d'exécution du relais 4WZ décrit ci-dessus n'aurait pas pu se fermer. Si, par exemple, le relais 7M n'enclenche pas par absence du dernier "plein", l'ouverture du con- tact de travail 202 du relais 7M empêche l'application d'énergie à n'importe quel relais.d'exécution. On constatera qu'on obtiendra le même résultat, si n'importe quel autre "plein" n'était pas reçu à la station block.

   Si le relais 4M, par exemple, n'a pas enclènché, le circuit d'exécution s'ouvre au contact de repos 202 du relais 7M pour empêcher l'excitation du relais 4WZ, ou de tout autre relais d'exécution. Il est supposé que la disposition des circuits est assez claire pour qu'on se rende compte qu'un code comprenant un nombre impair quelconque de "pleins" (non compris le "plein" de la première étape) ne peut être exécutéo On remarquera que   le $1   de sortie 210 de la partie de vérification de parité des circuits d'exécution, alimente tous les relais de commande qui peuvent être enclenchés parla réception des codes de commande respectifs, et cette condition qui a été décrite à propos de la commande du relais de commande d'aiguillage 4WZ intervient également pour la commande d'au- tres relais de commande d'exécution,

   c'est-à-dire qu'un nombre pair de "pleins" doit être présent dans le code pour que ce dernier puisse agir sur un relais d'application. La vérification de parité peut donc être appliquée dans un grand nombre de cas pour empêcher l'exécution d'un code tronqué et, de ce fait, éviter une commande erronée d'un aiguillage ou d'un signal. 



   Si le code reçu à la station block sert à actionner un signal, l'excitation du relais d'exécution du signal associé GZ se fait suivant un mo- de de fonctionnement généralement semblable. Par exemple, si le code reçu est prévu pour actionner un signal de voie libre vers l'est 2 (trafic vers la droi- te), le relais 2RGZ s'enclenche   pendant,   la période d'exécution après la récep- tion d'un code comportant les signes "blanc-plein-blanc- blanc-plein-blanc" (à ajouter au "plein" transmis pendant la première étape). Ce code est trans- mis par le bureau central quand le relais 2-3LC s'enclenche et que le levier 2-3SGL se trouve dans sa position de droite (voir figure lA). A la réception 

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 de ce code à la station block, les relais 3M et 6M s'enclenchent et le relais RGZ s'enclenche .pendant la période d'exécution.

   Le circuit d'excitation RGZ (voir figure 1B) va du (+), par le contact de repos 193 du relais LCS1, le contact de travail 194 du relais CS1, le contact de travail 195 du relais CSP1, le contact de repos 196 du relais CP1, le contact de repos 197 du re- lais 2M, le contact de travail 211 du relais 3M, le contact de repos 212 du relais 4M, le contact de repos 200 du relais 5M, le contact de travail 201 du relais 6M, le contact de repos 202 du relais 7M, le fil 210, le contact de repos du relais 2M, le contact de travail 213 du relais 3M, le   contact   de repos 214 du relais 4M, le contact de repos 215 du relais 5M, le contact de travail 216 du relais 6M, le contact de repos 217 du relais 7M et l'enroule- ment supérieur du relais RGZ, au (-).

   Une fois enclenché, le relais RGZ est maintenu enclenché par un circuit de blocage (non représenté) pour son enrou- lement inférieur prévu de la manière habituelle pour la commande des signaux de blocage de façon que le relais RGZ puisse déclencher quand un train accep- te son signal, ou quand le relais de commande d'arrêt B est enclenché par une commande de signal d'arrêt transmise par le bureau central. Enclenché le re- lais RGZ applique de l'énergie par son contact de travail 218 pour libérer le bras supérieur ou inférieur du signal 2, suivant le bras choisi par l'ai- guillage 4W, conformément à la pratique.

   Ce système habituel de commande de signal est supposé prévu dans la partie de la commande de signal indiquée par les lignes en traits interrompus allants jusqu'aux signaux, et il faut noter qu'il est prévu en outre une commande convenable d'aiguillage et une commande fonction de l'état précédent du signal, conformément à la   pratique.   



   Il est supposé qu'il ressort clairement de la description, qu'un mode de fonctionnement analogue intervient pour libérer le signal 3A ou le signal 3B en vue du trafic vers l'ouest (vers la gauche), et que le relais 2-3B peut être excité d'une façon semblable par un autre code à transmettre par un levier de commande de signal du bureau de commande placé dans sa position centrale pour mettre un signal à l'arrêt. 



   Fin d'un cvcle de commande. 



   La fin du cycle de commande est déterminée par le passage du ba- lancier CT (voir figure lA) par sa position médiane, pour la dernière fois dans le cycle. En passant la dernière fois par cette position, le balancier CT se dirige vers sa position de blocage. L'enroulement du balancier CT est dé- jà alimenté à ce moment pour que le balancier s'arrête,par un circuit qui se ferme à cause du relais 3V qui déclenche pour la deuxième fois, durant la der- nière étape. Le déclenchement du relais 3V ferme un circuit d'alimentation de l'enroulement du balancier CT, allant du   (+),   par le contact de repos 115 du relais 4V, le contact de repos 107 du relais 1V, le contact de repos 108 du relais 2V, le contact de repos 219 du relais 3V et l'enroulement du balan- cier CT, au (-). 



   Quand le balancier CT passe, pour la dernière fois dans le cycle par sa position médiane, il ouvre le circuit de blocage qui maintenait le re- lais LCS enclenché (et le relais LC qui a été enclenché) et ramène ces re- lais à leurs positions normales déclenchées. Si on suppose, par exemple, que le relais 4LC a été enclenché pendant le cycle pour la transmission d'une com- mande pour l'aiguillage 4W, comme cela a été expliqué, après que tous les re- lais de minuterie ont déclenché, les relais LCS et 4LC   son   restés enclen- chés par un circuit de blocage allant du (+), par les doigts de contact 44 et 48 du balancier CT, le contact de repos 101 du relais 2V, le contact de repos 114 du relais 4V, le contact de travail 82 du relais LCS, l'enroule- ment du relais LCS,

   le contact de travail 74 du relais   4LC   et l'enroulement supérieur du relais 4LC, au   (-).   Par conséquent les doigts de contact 44 et 48 dans le circuit de blocage, en s'ouvrant, provoquent le déclenchement des relais LCS et 4LC. 



   Par la même opération, le balancier CT déclenche le relais de transmission de code C, si ce relais a été enclenché parce que le dernier 

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 signe à transmettre était un   "plein"o   Le circuit de l'enroulement inférieur du relais C s'ouvre, par l'ouverture des doigts de   contect   46 et   47   du balan- cier   CT.   



   Lorsque le balancier CT passe pour la dernière fois par sa posi- tion médiane, ses doigts de contact   41   et 45, en se fermant, établissent un circuit d'excitation pour le relais CS, allant du (+), par les doigts de con- tact 41 et 45 du balancier CT, le contact de repos 98 du relais 1V, le contact de repos 103 du relais 3V, le contact de repos 220 du relais 2V et l'enroule- ment supérieur du relais CS, au (-)o En enclenchant, ce relais ferme le con- tact de travail 91 du circuit de ligne, mais ce dernier circuit est encore ouvert parce que le relais C, en déclenchant, a ouvert son contact de travail 90.

   Quoique le relais CS, en enclenchant, ouvre son contact de repos 96 qui maintenait le relais CSP enclenché, le contact de repos 221 du relais 4V res- te fermé à ce moment, et le relais L est aussi déclenché par l'ouverture du circuit de ligne au contact de travail 90 du relais C, de sorte que de l'éner- gie est encore appliquée au relais CSP par le contact de repos 222 du relais L. 



   L'enclenchement du relais C, avec le relais CSP déjà enclenché, produit de l'énergie d'excitation pour les enroulements inférieurs des dif- férents relais de minuterie, l'enroulement inférieur du relais 1V, par exem- ple, étant alimenté à travers le contact de travail 223 du relais CS en sé- rie avec le contact de travail 224 du relais CSP. Les relpis 2V, 3V et 4V sont enclenchés par l'établissement de circuits de blocage semblables. 



   Quand les relais de minuterie sont tous enclenchés, avec le relais LCS déclenché, un circuit d'enclenchement s'établit pour le relais C, allant du (+), par le contact de travail 225 du relais   4V,  le contact de travail 226 du relais 3V, le contact de travail 227 du relais 2V, le contact de travail 228 du relais 1V,l'enroulement supérieur du relais C et le contact de repos 65 du relais LCS, au (-). En s'enclenchant, le relais précité établit un cir- cuit de blocage normalement alimenté en recevant de l'énergie au contact de travail 92 du relais C, comme cela a été expliqué. Le. bureau central a, de cette manière, rétabli le courant dans le circuit de ligne, et le relais de ligne L est enclenché. 



   Le relais CSP déclenche,parce que son circuit s'ouvre au contact de repos du relais 4V qui est enclenché et au contact de repos 222 du relais L enclenché. Ce dernier relais déclenche lentement parce que le contact de travail 229 de l'enroulement du relais le shunte; le motif de cette lenteur de déclenchement sera exposé ultérieurement dans la description de l'invention Le système est donc entièrement rétabli dans ses conditions normales au bureau de commande, à la fin d'un cycle de commande type. 



   En ce qui concerne la fin du même cycle à la station block, le balancier CT1 (voir figure 1B) de la station block a son enroulement excité par le déclenchement du relais 3Vl à la dernière étape.' Le circuit d'alimen- tation du balancier CT1 va du (+), par le contact de repos 230 du relais 4V1, le contact de repos 231 du relais 1V1, le contact de repos 232 du relais 2Vl, le contact de repos 233 du relais 3Vl et l'enroulement du balancier CT1, au (-). 



   Les relais de minuterie de la station block s'enclenchent au dé- but de la période d'exécution, quand le relais CS1 enclenche au moment où le balancier passe pour la dernière fois par sa position médiane, comme cela a été expliqué. Par conséquent, les relais CS1 et CSP1 étant enclenchés, des circuits se ferment pour les divers enroulements inférieurs des relais 1V1, 2Vl, 3Vl et 4Vl, comparables au circuit de l'enroulement inférieur du relais 1V1 allant du (+), par le contact de travail 234 du relais CS1, le contact de travail 235 du relais CSPl, et l'enroulement inférieur du relais 1V1, au (-). Une fois enclenchés, les relais de minuterie provoquent le déclenchement du relais CSP1 par l'ouverture des circuits de blocage respectifs fermés aux 

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 contacts de repos 169m, 172a et 172 des relais respectifs 1V1, 2V1, et 3Vl. 



  Donc le relais CSP1 déclenche après un intervalle de temps dépendant du shun- tage de son enroulement supérieur par le contact 237. Le relais CS1 est main- tenu enclenché cependant, après l'ouverture du contact de travail 189 du re- lais CSP1, par son circuit de blocage normalement alimenté à travers le contact de travail 97 du relais de ligne Ll qui est enclenché à ce moment, comme le montrent les diagrammes de temps des figures 5A et 5B. 



   Après que le relais CSP1 a eu le temps de déclencher, l'ouverture de ses contacts de travail 178 et 162 supprime l'énergie de blocage appliquée aux relais de déchiffrement de "pleins" pairs et impairs M de manière à dé- clencher tous ces relais et à rétablir entièrement l'appareil de communication de code de la station block dans sa situation normale. 



   Tran smission d'informations. 



   Le système de l'invention étant un système simplex, on utilise les mêmes minuteries et balanciers pour la communication d'informations que pour la communication de commandes. Il est jugé inutile de considérer en détail le mode de fonctionnement de la minuterie, et l'étude du fonctionne- ment pendant un cycle d'information se fera en se référant spécialement aux circuits et aux fonctions qui sont différents des circuits et des fonctions qui ont déjà été décrits. 



   Dans la forme d'exécution de l'invention représentée aux figures lA et 1D, on suppose qu'il y a à transmettre par la seule station block au bureau central plus d'informations que la quantité pouvant être transmise pendant n'importe quel cycle de travail d'information du système de communi- cation. On suppose donc que les informations sont divisées en plusieurs grou- pes, chaque groupe contenant un nombre d'informations distinctes pouvant être communiquées pendant un seul cycle de travail d'information.

   Chaque groupe d'informations comprend un relais LC1 associé (voir figure 1D) et un relais de changement CH1 qui démarre un cycle de travail du système de communication, quand des informations doivent être transmises, pratiquement de la même ma- nière que celle qui a été décrite en ce qui concerne les relais correspon- dants du bureau central servant à démarrer les différents cycles de travail pour la transmission des commandes qui ont été déterminées sur le panneau. 



  Les relais LC1 de la station block sont connectés dans un circuit en chaîne comparable à celui représenté à la figure 1A pour le relais LC de transmis- sion des commandes, et le relais LCS1 de la figure 1D est comparable au re- lais LCS (voir figure lA) du bureau central, relatif à la transmission de com- mandes. Avec ce circuit en chaîne., un seul relais LC1 s'enclenche à la fois, et une fois enclenché, un seul relais LC1 est maintenu excité dans le cycle de travail pour la communication d'informations, et les signes de code trans- mis pendant le cycle d'information sont sélectionnés par les contacts de tra- vail du relais LCI déterminé enclenché à ce moment, de l'énergie étant appli- quée ou non par ces contacts de travail respectifs suivant le dispositif par- ticulier dont on doit recevoir des informations. 



   Comme il y a généralement un plus grand nombre d'informations   à   communiquer que de commandes à envoyer, le système est organisé de façon que, lorsqu'il s'agit de communication d'indications, les opérations de minute- rie sont entièrement répétées de manière que, durant chaque cycle de commu- nication   d'informations,     14   canaux de communication sont formés au lieu des sept canaux utilisés durant un cycle de commande.

   A la station block, le re- lais CP s'enclenche à la fin de la transmission de la première moitié du cycle d'information, et ce relais, une fois enclenché, démarre la seconde moitié du cycle d'informations et provoque, en outre, l'enclenchement de son relais répéteur CPP pour choisir un second groupe de fils de canaux à connec- ter par des circuits choisi de relais de minuterie au relais de transmission de code Cl. 



   Le premier canal de communication du cycle d'informations est uti- 

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 lisé pour le verrouillage comme cela sera expliqué ci-après, et quoique le' relais Cl s oit toujours enclenché de façon à transmettre pendant la pério- de correspondant au premier canal, le circuit de ligne reste ouvert, pendant cette période, au bureau central. Le signe ou groupe de signes suivant trans- mis pendant un cycle d'information, désigne le code d'enregistrement de la station devant donner l'information servant à identifier, au bureau central, la station particulière dont il faut recevoir l'information, c'est-à-dire la station dont les informations doivent être transmises pendant le cycle de com- munication d'informations considéré.

   Pour faciliter la compréhension du fonc- tionnement du système de la présente invention, un seul signe est utilisé pour l'enregistrement de la station afin de déterminer laquelle de deux sta- tions d'information ayant respectivement les relais 1LC1 et 2LC1, transmet les informations. Les signes suivants sont respectivement des "pleins" ou des "blancs" correspondants aux diverses étapes du cycle d'information et fonction de la condition des dispositifs dont les positions doivent être com- muniquéeso 
Plus en détail, dans l'étude de la transmission d'un cycle d'in- formation qui est mis en route quand le système est au repos, on supposera que le relais 1CH1 est déclenché par l'ouverture de son circuit de blocage suite au déplacement de l'un quelconque de trois contacts 240, 241 et 242 des relais respectifs RM, LM ou TR.

   Le déclenchement du relais 1CH1 ferme un circuit d'enclenchement pour   l'enroulement   inférieur du relais 1LC1, par le contact de repos   243   du relais LCS1, le contact de repos   244   du relais CSP et le contact de repos 245 du relais   lCHlo   Enclenché, le relais 1LC1 res- TE enclenché par un circuit de blocage pour son enroulement supérieur, qui confient l'enroulement du relais LSC1. Ce circuit va du (+), par-le contact de repos 246 du relais CP1, le contact de repos 247 du relais CPS1, le contact de travail   248   du relais CS1,le contact de travail 249 du relais Ll, l'enrou- lement du relais LCS1, le contact de travail 250 du relais 1LC1, et l'enroule- ment supérieur du relais 1LC1, au (-). 



   L'enclenchement du relais LCS1 provoque la coupure du courant dans   l'enroulement   du balancier CT1 par l'ouverture de son circuit au contact de repos 251 (voir figure 1B) et la mise en route du balancier démarre le fonc- tionnement de la minuterie par des circuits qui ont déjà été décrits. 



   L'enclenchement du relais LCS1 à la station block, provoque aussi le déclenchement du relais de transmission de code C1 (voir figure 1D) par l'ouverture d'un circuit de blocage évident au contact de repos 252 par le- quel l'enroulement inférieur du relais Cl est normalement alimenté. Le déclen- chement du relais Cl provoque le déclenchement du relais de ligne L au bureau central, par l'ouverture du circuit de ligne au contact de travail 92. Une fois déclenché, le relais L du bureau central provoque le fonctionnement du balan- cier CT, ce qui démarre la minuterie par l'ouverture du contact de travail 77 dans le circuit normalement alimenté de l'enroulement du balancier CT. 



   Le déclenchement du relais de ligne Ll à la station block provo- qué par   l'ouverture   du circuit de ligne, fait déclencher le relais CS1 par l'ou- verture de son circuit de blocage au contact de travail 97. De même, au bureau central,le déclenchement du relais L provoque le déclenchement du relais CS par l'ouverture de son circuit de blocage au contact de travail 94, et le dé- clenchement du relais CS du bureau central ferme un circuit d'enclenchement pour.le relais CP. Le circuit pour le relais CP va du (+), par le contact de repos 253 du relais LCS, le contact de repos 254 du relais CS, le contact de travail 255 du relais 4V, l'enroulement inférieur du relais CP et le con- tact de repos 256 du relais CPP, au (-).

   Le déclenchement du relais L du bu- reau central a aussi provoqué l'enclenchement du relais CSP (voir figure 1A) par l'excitation d'un circuit évident fermé au contact de repos 222. Le cy- cle d'indication est ainsi mis en route, et quoique le relais Cl (voir figure 1C) soit enclenché à la station block en réponse au déclenchement du premier relais de minuterie 1V1, les relais de ligne Ll et L, à la station block et au bureau central respectivement, restent déclenchés parce que le circuit de 

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 ligne est maintenu ouvert au bureau central à cause du relais CS (voir figure lA) qui est déclenché et ouvre le contact normalement fermé 91 dans le circuit de ligne, Le circuit d'excitation du relais Cl est établi suite au premier passage du balancier par sa position médiane, et va du (+) par le contact de repos 257 (voir figure 1D)

   du relais COP1, le contact de travail 258 du re- lais 4V1, le contact de travail 259 du relais 2Vl, le fil 260, le contact de travail 164 du relais LCS1; les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT1, le contact de travail 15% du relais LCS1, le fil 261 et-l'enroulement supérieur du relais Cl, au (-). Quand le balancier ouvre ensuite les doigts de contact 46 et 47, le circuit d'excitation du relais Cl décrit s'ouvre, mais si le si- gne suivant est annoncé comme étant un "plein", un nouveau circuit s'établit immédiatement par les doigts de contact   42   et   43,   pour maintenir le relais Cl enclenché.

   L'ouverture des doigts de contact 46 et 47 du balancier provoque le déclenchement du second relais de minuterie 2Vl, et, en déclenchant, ce relais ouvre le circuit d'excitation du relais Cl décrit au contact de travail 259 de sorte que, grâce à la combinaison du contact de travail 258 du relais 4V, il est établi que le circuit d'excitation initiale du relais Cl décrit ne peut se refermer pendant la première moitié du cycle d'information. 



   Il a été dit que l'ordre de transmission des signes est tel que le signe ou les signes suivants servent à l'identification de la station. 



  Dans la présente forme d'exécution de l'invention, le signe suivant transmis est un "plein" ou un "blanc", suivant qu'il s'agit de la station associée au relais 1LC1 (voir figure 1D) ou celle associée au relais 2LC1, comme station transmettant les informations. Plus spécialement, si de l'énergie est appli- quée par la fiche de code 275 à travers le contact de travail 278 du relais 1LC1 au fil de canal 262, il est établi qu'un "plein" doit être transmis du- rant la deuxième étape du cycle d'information.

   Dans ces conditions, le re- lais Cl est excité pendant la deuxième moitié de la première oscillation du balancier par l'intermédiaire d'un circuit allant du (+), par la fiche de co- de 275, le contact de travail 276 du relais 1LC1, le fil 262, le contact de repos 277 du relais CP1, le contact de travail 278 du relais   4Vl,   le contact de travail 279 du relais 3Vl, le contact de repos 280 du relais 1V1, le fil 281, le contact de travail 158 du relais LCS1, les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT1, le contact de travail 157 du relais LCS1, le fil 261 et l'enroulement supérieur du relais Cl, au (-). 



   Le relais Cl enclenché par le circuit décrit à l'instant reste enclenché jusqu' à l'ouverture des doigts de contact 42 et   43   pour la deuxiè- me fois durant le cycle d'information, et rédéclenche à ce moment, à moins que le signe suivant annoncé soit un "plein". A.ce moment le relais 3Vl dé- clenche et, ce faisant,ouvre le circuit d'excitation du relais Cl décrit, au contact de travail 279 pour empêcher que ce circuit de canal ne puisse se refermer durant la première moitié du cycle d'information. 



   Si le relais de voie TR (voir figure 1D) est enclenché, de maniè- re à fermer son contact de travail 282, pendant un cycle d'information quand le relais 1LC1 est enclenché, de l'énergie est appliquée, par le contact de travail 283 du relais 1LC1, au fil de canal 263, pour enclencher le relais Cl qui transmet un "plein" durant la troisième étape, Le circuit d'excitation du relais   Cl,   dans ces conditions, va du (+), par le contact de travail 282 du relais TR, le contact de travail 283 du relais 1LC1, le fil 263, le contact de repos   284   du relais CP1, le contact de travail 285 du relais 4Vl, le con- tact de repos 286 du relais 2Vl, le fil 260, le contact de travail 164 du relais LCS1, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT1, le contact de travail 157 du relais LCS1, le fil 261 et l'enroulement supérieur du relais Cl,au (-).

   Le circuit d'excitation du relais Cl décrit à l'instant s'ouvre, quand le balancier passe, pour la seconde fois dans le cycle d'information, par sa position médiane et ouvre les doigts de contact 46 et   47.   L'ouverture du contact de travail 285 (voir figure 1D) du relais 4Vl à ce moment, empêche la   rêexcitation   du circuit décrit à l'instant pour l'enclenchement du relais   Cl,   pendant la première moitié du cycle d'information. 

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   De la même façon, quand la transmission avance, le quatrième si- gne envoyé est un "plein" ou un "blanc" suivant l'état du relais d'information LM qui alimente éventuellement le fil de canal   264.   



   Si de l'énergie est appliquée à ce fil de canal, le relais C1 peut être réenclenché, pour transmettre un "plein" comme quatrième signe, par un circuit passant par le contact de repos 287 du relais CP1, le contact de re- pos 288 du relais 3Vl, le contact de travail 289 du relais 1V1, le fil 281, le contact de travail 158 du relais LCS1, les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT1, le contact de travail 157 du relais LCS1, et le fil 261. La combinaison du contact de travail 289 du relais lVl et du contact de repos 288 du relais 3Vl assure que le canal considéré reste ouvert, sauf pour la condi- tion particulière d'excitation précitée. 



   Si de l'énergie est appliquée au fil de canal 265 pour la trans- mission d'un "plein" comme cinquième signe durant un cycle d'information, le relais Cl est enclenché pour la transmission de ce cinquième signe, par un cir- cuit passant le contact de repos 290 du relais CP1, le contact de repos 291 du relais 4Vl, le contact de travail 292 du relais 2V1, le fil 260,le contact de travail   164'du'relais     LCSlles   doigts de contact 46 et 47,le contact de travail 157 du relais LCS1 et le dil 261. Les contacts  291   et 292 des relais 4Vl et 2V1 assurent que le canal de communication considéré ne se ferme, pour enclencher le relais Cl, que pendant la présente période. 



   Pour la transmission du sixième signe, le relais Cl peut être en- clenché pour la transmission d'un "plein", si de l'énergie est appliquée au fil 266, par le contact de repos 293 du relais CP1, le contact de repos 294 du relais 4Vl, le contact de travail 295 du relais 3Vl, le contact de repos 296 durelais 1V1, le fil   281,   le contact de travail 158 du relais LCS1, les doigts-de contact 42 et 43 du balancier CT, le contact de travail 157 du re- lais LCS1, et le fil 261. Les contacts de minuterie 294, 295 et 296 dans ce circuit assurent la fermeture du circuit uniquement pour la transmission du sixième signe du code. 



   Si le septième signe à transmettre est un "plein", de l'énergie est appliquée au fil de canal 267, par un circuit d'excitation du relais Cl passant par le contact de repos 297 du relais CP1, le contact de repos 298 du relais 4V1, le contact de repos 299 du relais 2Vl, le fil 260, le contact de travail 164 du relais LCS1, les doigts de contact 46 et 47 du balancier de l'oscillateur CTL, le contact de travail 157 du relais LCS1 et le fil 261. 



   En outre, pendant la septième étape, le balancier CT1 (voir figure 1B) est alimenté, à la suite du déclenchement du relais de minuterie 3Vl, par un circuit allant du (+), par le contact de repos 230 du relais 4V1, le con- tact de repos 231 du relais 11, le contact de repos 232 du relais 2V1, le con- tact de repos 233 du relais 3Vl et l'enroulement du balancier CT1, au   (-).   



  Le balancier   CTl,est   ainsi momentanément collé contre ses butées,- à   mir-chemin   dans le cycle, comme le montre le diagramme de temps d'un cycle d'information de la figure 6A. 



   Quand le balancier passe par sa position médiane, pour la derniè- re fois pendant la première moitié du cycle d'information, le relais CS1 (voir -figure 1B) est enclenché pour un court instant par l'établissement d'un cir- cuit allant du (+), par les doigts de contact 41 et 45 du balancier CT1, le contact de repos 186 du relais 11, le contact de repos 187 du relais 3Vl, le contact de repos 188 du relais 2Vl et l'enroulement supérieur du relais CS1, au (-). Une fois enclenché, ce relais le reste par son circuit de blo- cage passant par le contact de travail 189 du relais CSP1, pendant le temps que les relais de minuterie sont enclenchés et que le circuit de ligne est fermé. 



   Par l'enclenchement du relais CS1, tous les relais de minuterie enclenchent simultanément par l'établissement de circuits déjà étudiés, et 

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 l'enclenchement des relais de minuterie provoque l'enclenchement du relais Cl qui ferme le circuit de ligne. Comme indiqué à la figure 1D, le circuit d'excitation du relais Cl, à ce moment, va du (+), par le contact de travail 310 du relais 3Vl, le contact'de travail 311 du relais 1V1, le contact de travail 312 du relais CSP1, le contact de travail 352 du relais LCS1, et l'enroulement inférieur du relais Cl, au (-). En s'enclenchant, le relais Cl ferme le circuit de ligne au contact de travail 92.

   Le relais de ligne Ll de la station block enclenche donc en réponse à l'enclenchement du relais Cl,parceque le circuit de ligne est formé à ce moment, au bureau central, comme cela ressortira lors de l'étude détaillée du mode de fonctionnement de la réception des informations au bureau central. 



   Le relais CP1 (voir figure 1D  est enclenché à la station block, à mi-chemin du cycle d'information, à la suite de l'enclenchement du relais Cl par l'établissement d'un circuit allant du (+), par le contact de travail 313 du relais LCS1, le contact de travail 314 du relais   Cl,   le contact de tra- vail 315 du relais CS1, le contact de travail 316 du relais CSP1, et l'enrou- lement du relais CP1,au (-). Enclenché, ce relais est maintenu excité par un circuit de blocage passant par le contact de travail 317 du relais LCS1, et le contact de travail 318 du relais CP1, jusqu'à la fin du cycle. 



   Le relais CSP1 déclenche à la suite de l'enclenchement du relais CP1, à cause de l'ouverture d'un circuit de blocage, qui maintient le relais CSP1 enclenché à ce moment. Ce circuit de blocage a été établi par l'enclen- chement du relais CS1 et va du (+), par le contact de repos 319 du relais CP1, le contact de travail 320 du relais CSP1, le contact de travail 321 du relais CS1, le contact de travail 171 du relais LCS1, et l'enroulement inférieur du relais CSP1, au (-). L'enroulement supérieur du relais CSP1 étant shunté par le contact de travail 237, le déclenchement de ce relais est lent, comme le montre le diagramme de temps de la figure 6A. 



   Le déclenchement du relais CPS1 inaugure effectivement la trans - mission par la station block dans la seconde moitié du cycle d'information, par la coupure du courant du balancier CT1. Ceci se produit par l'ouverture d'un circuit qui a alimenté le balancier par l'enclenchement du relais CS1. 



  Ce circuit va du (+), par le contact de travail 322 du relais CS1, le contact de travail 323 du relais CSP1, et l'enroulement du balancier CT1, au (-). 



  Le relais Cl déclenche aussi, par le déclenchement du relais CSP1, par l'ou- verture de son circuit au contact de travail 312 (voir figure 1D). 



   Le déclenchement du relais Cl ouvre la ligne par l'ouverture de son contact de travail 92 (voir figure 1B) et provoque donc le déclenchement du relais de ligne Ll de la station block et du relais de ligne L du bureau central. Le déclenchement du relais de ligne Ll provoque le déclenchement CS1, à la station block, à cause de l'ouverture de son circuit de blocage au contact de travail 97 du-relais Ll, le contact.de travail 189 du relais CSP1 s'étant ouvert lors du   déclarhement   précédent du relais CSP1. 



   Le début de la transmission dans la seconde moitié du cycle d'in- formatiQn est ainsi atteint, la première étape étant déterminée par le déclen- chement du relais 1V1 quand le balancier passe pour la première fois par sa position médiane, et les "pleins" et "blancs" choisis pour la seconde moitié du cycle d'information sont transmis suivant un procédé analogue à celui de la transmission pendant la première moitié du cycle d'information. Il faut remarquer que toutes les sept étapes de la seconde moitié du cycle d'infor- mations peuvent être utilisées pour la transmission d'informations différen- tes, puisqu'il ne faut pas réserver, cette fois, le premier signe pour le verrouillage entre la situation block et le bureau central.

   Ceci est exact, puisque le relais LCS (voir figure lA) du bureau central n'a pas de chance de s'enclencher   à' mi-chemin   du cycle puisque le relais CP ou le relais CPP est enclenché et ouvre son contact de repos 70 ou 69, respectivement. 

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   Réceptiondes informations. 



   Quand un cycle d'information démarre par l'ouverture du circuit de ligne à la station block, le relais de ligne L (voir figure 7A) du bureau central déclenche, ce qui coupe le courant du balancier CT, et la minuterie est donc mise en route par l'ouverture du contact de travail 77. En déclen- chant, le relais de ligne déclenche en outre le relais CS, par l'ouverture de son circuit de blocage normalement alimenté, au contact de travail   94,   de sorte que le relais CS déclenche.   ,En   déclenchant, le relais de ligne L pro- voque aussi l'enclenchement du relais CSP, par un circuit évident fermé au contact de travail 222. 



   Le relais CP (voir figure 1C) enclenche, au bureau central, à la suite du déclenchement du relais CS, et ce relais, une fois enclenché, le reste pendant la première partie du cycle d'information et sélectionne les canaux de réception d'information connectés par ses contacts de travail pour qu'ils soient ceux utilisés dans la première partie du cycle d'informa- tion, tandis que les canaux de réception d'information connectés par les con- tacts de repos du relais CP servent durant la seconde moitié du cycle d'in- formation. Le circuit d'excitation du relais CP, à ce moment, va du (+), par le contact de repos 253 du relais LCS, le contact de repos 254 du relais CS, le contact de travail 255 du relais 4Vl, l'enroulement inférieur du relais CP et le contact de repos 256 du relais CPP, au (-).

   Ce relais, en s'enclen- chant, reste excité durant la première moitié du cycle d'information par un circuit de blocage allant du (+), par le contact de travail 324 du relais CSP, le contact de travail 325 du relais CP, et l'enroulement supérieur du relais CP, au (-). 



   L'enclenchement du relais CP complète l'établissement, au bureau, de l'état de réception des informations, sauf que le circuit de ligne est maintenu ouvert à ce moment, parce qu'il a été ouvert par le déclenchement du relais CS (voir figure   lA)   et par l'ouverture du contact de travail 91. 



  L'ouverture du circuit de ligne pendant la première étape d'un cycle d'infor- mation sera étudié plus en détail ultérieurement dans le cas du verrouillage entre bureau central et station block lors de démarrage simultanés, on étu- diera donc la réception des indications dans les conditions supposées,c'est- à-dire en l'absence de commandes à transmettre le circuit de ligne restant ouvert au.bureau central jusqu'au déclenchement du relais 2V qui démarre la deuxième étape du cycle. Le déclenchement du relais 2V au début de la deuxième étape ferme donc le circuit de ligne au contact de repos 326 et met le relais de ligne L du bureau central en état de recevoir les "pleins" et les "blancs" des codes d'information transmis par la station bloc.

   Le con- tact de repos 237 du relais 4V, en parallèle avec le contact de repos 326 du relais 2Vsert à couvrir l'intervalle pendant   lequel   le relais 2V est enclen- ché de manière à ce qu'il puisse servir une seconde fois à former une étape. 



   Il a été expliqué que, suivant l'habitude, il est transmis d'abord le code d'identification de la station transmettant les informations, et que les signes suivants sont utilisés pour déterminer les positions des différents dispositifs dont il faut avoir les renseignements. Pour simplifier la présen- te invention, on n'a considéré que deux stations pouvant transmettre des in- formations, et un seul signe suffit donc pour identifier la station, et un "plein" ou un "blanc" est appliqué à la ligne pendant la seconde étape, sui- vant que les informations sont transmises par la station d'information n  1 - ou n  2. Si le bureau central reçoit donc un "plein" pendant la deuxième éta- pe, le relais 1ST s'enclenche; s'il s'agit d'un "blanc", c'est le relais 2ST qui enclenche. 



   Si on admet qu'un "plein" est reçu pendant la seconde étape, le relais de ligne L (voir figure lA) s'enclenche à ce moment au bureau cen- tral, et le relais EM (voir figure 1C) s'enclenche parce qu'il répond à cha- que étape paire, si la ligne est alimentée. Le circuit d'excitation du re- lais EM va du (+), par le contact de repos 327 du relais LCS (voir figure 

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 lA), les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, le contact de repos 147 du relais LCS, le fil 328, le contact de travail 329 du relais L, le contact de travail 330 du relais 3V, le contact de repos 331 du relais 2V, et l'enrou- lement inférieur du relais EM. au (-). 



   Enclenché durant la deuxième étapele relais EM reste enclenché pendant la-troisième étape, pendant laquelle le relais 1ST enclenchée Le cir- cuit de blocage qui maintient le relais EM enclenché durant cette troisième étape, va du (+), par le contact dé repos 327 du relais LCS (voir figure lA), les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, le contact de repos 143 du re- lais LCS, le fil 332, le contact de travail 333 du relais EM, et l'enroulement inférieur du relais EM, au (-). A ce moment, le relais 1ST est enclenché, par un circuit allant du (B+), par le contact de travail 334 du relais EM, le contact de repos 335 du relais LCS, le contact de travail 336 du relais 4V, le contact de repos 337 du relais 3V, le contact de travail 338 du relais CP, le contact de travail 339 du relais EM, et l'enroulement inférieur du re- lais 1ST, au   (ON).   



   Si le signe à transmettre pendant la deuxième étape, avait été un "blanc" de manière à choisir le relais 2ST au lieu du relais 1ST, le re- lais EM n'aurait pas enclenché pendant la deuxième étape, comme décrit, par- ce que son circuit de blocage aurait été ouvert au contact de travail 3290 Au moment de l'exécution du signe reçu pendant la deuxième étape (exécution qui se fait durant la troisième étape);

   le relais 2ST aurait été enclenché par un circuit établi entre (B-), le contact de repos 334 du relais EM, le contact de repos 335 du relais LCS, le contact de travail 336 du relais 4V, le contact de repos. 337 du relais 3V, le contact de travail 338 du relais CP, le contact de repos 339 du relais EM, l'enroulement inférieur du relais 2ST et (CN) 
On obtient ainsi que, si un "plein" est reçu pendant la seconde étape, le relais 1ST enclenche et la fermeture de ses contacts de travail, com- me les contacts 340,341 et 342, provoque la sélection d'un groupe déterminé de relais d'information à blocage magnétique qui doivent être commandés dans le courant du cycle, tandis que, si le relais 2ST a été enclenché, la ferme- ture de ses contacts de travail, comme les contacts 343, 344 et 345,

   provoque la sélection d'un autre groupe de relais à blocage magnétique (non représenté) qui sont commandés pendant la réception des informations. 



   Si la pratique exige plus de deux stations d'informations, des étapes supplémentaires peuvent être utilisées pour   l'Identification   de stations conformément à latechnique classique, ou bien le code d'enregistrement des stations à identifier peut être déchiffré à l'aide de relais de station ST, comme prévu dans la demande de brevet américain n    240.088   du 3 Août 1951. 



   Pour continuer l'étude de la réception des informations dans le système de la figure 1, on peut passer à l'étude de la réception d'un "plein" pendant la troisième étape, "plein" qui provoque l'enclenchement du relais des "pleins" impairs OM. Le relais OM peut être alimenté à ce moment, si le relais de lgne L est enclenché, par un circuit allant du (+), par le contact de repos 327 du relais LCS, les doigts de contact   46   et   47   du balancier CT, le contact de repos 143 du relais LCS, le fil 332, le contact de travail 346 du relais L, le contact de repos 347 du relais 2V, le contact de travail 348 du relais 4V, le contact de repos 349 du relais 3V et l'enroulement inférieur du relais OM, au (-). 



   Une fois enclenché, ce relais règle la commande des relais d'in- formation de manière qu'un relais soit excité positivement dans l'étape suivan- te, à la suite de la fermeture du contact de travail 350. Le relais OM est maintenu enclenché durant la quatrième étape par un circuit de blocage allant du (+), par le contact de repos 327 du relais LCS (voir figure lA), les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, le contact de repos 147 du relais LCS, le fil   328,   le contact de travail 351 du relais CSP, le contact de travail 

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 352 du relais OM, et l'enroulement inférieur du relais OM, au (-).Il faut remarquer que la présence du contact de travail 351 du relais CSP dans ce circuit fournit un moyen d'ouvrir le circuit de blocage à la fin du cycle de minuterie,

   quand les doigts de contact   42   et   43   du balancier se ferment une dernière fois. 



   Au début de la quatrième étape, le circuit de blocage du relais EM s'ouvre par l'ouverture des doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, et le relais EM déclenche donc, à moins que le relais de ligne L ne réenclen- che, parce qu'un "plein" est envoyé pendant la quatrième étape. Le circuit d'excitation du relais EM, à ce moment, va du (+), par le contact de repos 327 du relais LCS (voir figure lA), les doigts de contact 42 et 43 du balancier CT, le contact de repos 147 du relais LCS, le fil   328,   le contact de travail   329   du relais L, le contact de repos 330 du relais 3V, le contact de travail 353 du relais 1V, le contact de repos 354 du relais 4V, et l'enroulement in- férieur du relais EM, au   (-).   Si la ligne de relais L est déclenchée à ce moment et ouvre le contact de travail 329,

   le relais EM déclenche pendant la quatrième étape. 



   Si on admet que le relais de station 1ST a été enclenché, et qu'un "plein" a été reçu pendant la troisième étape de manière à enclencher le relais OM, comme cela a été décrit, durant la quatrième étape le relais d'information TK enclenche avec une polarité positive par un circuit allant de (B+), par le contact de travail 350 du relais OM, le contact de repos 355 du relais LCS, le contact de repos 356 du relais   4V,   le contact de travail 357 du relais 1V, le contact de travail 358 du relais CP, le contact de travail 340 du relais 1ST et l'enroulement du relais TK, à (ON).

   Suivant la disposition des circuits représentée, l'excitation est appliquée avec cette polarité quand il faut in- diquer que la section de voie correspondante contrôlée par le block-système est inoccupée,-et c'est avec cette polarité d'excitation que le relais TK s'en- clenche. Comme on suppose que ce relais est normalement enclenché, le fait de l'alimenter pendant la quatrième étape ne change rien à la position de ses contacts. Si, au contraire, le troisième signe reçu avait été un "blanc", le relais OM ne se serait pas enclenché, son circuit étant ouvert au contact de travail 346 du relais L, et le circuit du relais TK aurait reçu de l'éner- gie de polarité négative par le contact de repos 350 du relais OM, de maniè- re à faire déclencher le relais TK et à indiquer que la section de voie cor- respondante est occupée.

   La lampe de signalisation de voie TE s'allumerait dans ces conditions, par le contact de repos 359 du relais TK. 



   Il est évident, après la description du fonctionnement d'un re- lais à blocage magnétique du bureau central suite à la réception d'un "plein" ou d'un "blanc" de commande par le canal de communication correspondant, que la commande d'autres relais d'information à blocage magnétique par des signes de code transmis durant les étapes impaires du cycle d'information, fonction- ne de façon semblable. 



   On a vu comment le relais de "pleins" pairs EM s'enclenche pen- dant la quatrième étape, si le signe reçu durant cette étape est un "plein", et comment le relais EM enclenché reste excité par un circuit de blocage du- rant la cinquième étape, pendant laquelle le relais d'information, commandé pendant la quatrième étape, est excité avec polarité positive. Ce relais (voir figure 1C) est le relais à blocage magnétique LMK qui indique l'état des signaux du block qui commandent le trafic vers l'ouest (vers la gauche). 



  Si un "plein" est donc reçu pendant la quatrième étape, le relais LMK est excité, avec polarité positive, ce qui enclenche le relais s'il ne l'est dé- jà. Le circuit d'excitation avec polarité positive du relais LMK va du   (B+),   par le contact de travail 334 du relais EM, le contact de repos 335 du re- lais LCS, le contact de repos 336 du relais   4V,   le contact de repos 360 du relais 1V, le contact de travail 361 du relais 2V, le contact de travail 363 du relais CP, le contact de travail 341 du relais 1ST, et l'enroulement du relais LMK, à (ON).

   Si ce relais à blocage magnétique était commandé par un "blanc", le circuit décrit à l'instant serait excité avec polarité néga- 

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 tive au contact de repos 334 du relais EM de manière à exciter le relais LMK avec une polarité telle qu'il mette ses contacts en position déclenchée et applique ainsi du courant par son contact de repos 364 à la lampe de sigra- lisation LME qui indiquera que le signal ouest est libéré. 



   Le fonctionnement du relais de "pleins" pairs OM est comparable à celui,, déjà décrit, du relais EM, en ce qui concerne des "pleins" succes- sifs. Le relais reste enclenché aussi longtemps que des "pleins" sont reçus, mais il déclenche dans toute étape paire ou un "blanc" est reçu. 



   Il est clair que la description du système de réception d'infor- mations pour quelques étapes déterminées d'un cycle d'information s'applique de la même façon à la réception d'informations durant les étapes suivantes du cycle d'information. 



  * Conformément au principe général que le relais d'information, dans le bureau, est actionné au cours de l'étape succédant à l'étape dans laquelle le signe de code d'information est reçu, le signe.reçu durant la septième éta- pe est utilisé pour actionner un relais d'information pendant un temps compara- ble à celui d'une période d'exécution et constitué par l'intervalle de temps durant lequel les relais CS et CSP sont simultanément enclenchés. Si, par exem- ple, le signe transmis pendant la septième étape est un "plein", le relais OM s'enclenche durant la septième étape et à la suite de l'enclenchement du relais CS en réponse au passage du balancier par sa position médiane, pour la dernière fois dans la première moitié du cycle, une période de commande dé- bute, pendant laquelle de l'énergie est appliquée au fil de canal 367 pour la septième étape.

   Comme le montre la figure 1A, le relais CS enclenche à ce moment par l'établissement d'un circuit allant du (+), par les doigts de contact   41   et 45 du balancier CT, le contact de repos 98 du relais 1V, le contact de repos 103 du relais 3V, le contact de repos 220 du relais 2V, et l'enroulement supérieur du relais CS', au (-). Le relais CSP étant enclen- ché à ce moment, le relais CS est maintenu enclenché par un circuit évident de blocage fermé' au. contact de travail 364 du relais CSP. 



   Comme le montre la figure 1C, l'enclenchement du relais CS fer- me un circuit allant au fil de canal 367 pour la septième étape, par le- quel un relais d'information à blocage magnétique (non représenté) peut être alimenté. Si le relais OM est enclenché à ce moment, l'énergie est appliquée au fil 367 par le contact de travail 350 du relais ON, le contact de travail 416 du relais CPP, le contact de travail 417 du relais CS, le contact de tra- vail   418   durelais CSP et le contact de travail 368 du relais CP. Si la sep- tième étape a consisté en un "blanc" au lieu   d'un'"plein",   l'énergie est ap- pliquée au fil 367 de la même manière, sauf qu'elle est appliquée à travers le contact de repos 350 du relais   OM,   et qu'elle est de polarité inverse. 



   En enclenchant au milieu du cycle d'information, le relais CS pro- voque l'enclenchement simultané de tous les relais de minuterie de façon com- parable à ce qui se passe à la fin d'un cycle de commande. 



   Le circuit de ligne étant momentanément fermé, au milieu du cycle d'information, par la station block transmettrice, le relais de ligne L du bureau central s'enclenche pour un temps indiqué dans le diagramme de temps de la figure 7A, et, en enclenchant, il provoque le déclenchement du relais CSP par la coupure au contact de repos 222, le'contact de repos 96 du relais CS étant ouvert à ce moment, et les relais de minuterie étant enclenchés de façon à ouvrir le contact de repos 221 du relais 4V. 



   Le déclenchement du relais CSP ne dure qu'un instant, comme le montre la figure 7A, mais provoque le déclenchement du relais CP (voir figu- re 1C). Le circuit de .blocage du relais CP est ouvert au contact de travail 324 par le déclenchement du relais CSP, et le circuit d'excitation du relais CP est ouvert, à ce moment, au contact de repos 254 du relais CS. On remar- quera cependant qu'avant le déclenchement du relais CP, le relais CPP a été 

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 enclenché par la fermeture de son circuit d'excitation par le contact de tra- vail 369 du relais CS et le contact de travail 370 du relais CP. Le relais CPP enclenche donc pour sélectionner un second groupe de sept fils de canaux de réception d'informations à relier aux canaux correspondant aux sept étapes de la seconde moitié du cycle d'information.

   Quand le système attaque la se- conde moitié du cycle d'informations, le relais CS du bureau central déclen- che par l'ouverture du circuit de ligne à la station block, et, en déclenchant, le relais CS ferme un circuit de blocage pour l'enroulement inférieur du relais CPP, par le contact de repos 369 et le contact de travail 370a de manière à maintenir le relais CPP enclenché pour toute la seconde moitié du cycle d'in- formation. Le déclenchement du relais de ligne L, à ce moment, provoque le réenclenchement du relais CSP (voir figure 1A) par la fermeture du contact de repos 222, conformément au fonctionnement normal du système de communication au début d'un cycle de travail.

   Le balancier CT du bureau central ayant été mis en marche par le déclenchement du relais de ligne L, la minuterie est mi- se en route pour la seconde moitié du cycle d'information et la réception des informations communiquées durant les différentes étapes de la seconde moitié du cycle d'informations, se fait de le même façon qu'au cours de la première moitié du cycle d'informationso 
Fin du eycle d'information. 



   Quand le balancier CT1 de la station block passe par sa position médiane pour la dernière fois durant la seconde moitié du cycle d'information, les relais LC1 et LCS1 sont déclenchés, et de l'énergie est appliquée au relais CS1 pour que celui-ci s'enclenche et ramène les relais de minuterie dans leur position enclenchée. Les relais LCS1 et LC1 déclenchent par l'ou- verture de leurs circuits de blocage provoquée par l'ouverture des doigts de contact 44 et 48 du balancier CT1 (voir figure lE).

   Ce circuit de blocage mis sous tension en dernier lieu pour maintenir ces relais enclenchés va du (+), par les doigts de contact 44 et 48 du balancier CT1, le contact de re- pos 371 du relais 2Vl, le contact de repos 372 du relais 4Vl, le fil 373, le contact de travail 374 du relais LCS1, l'enroulement du relais LCS1, le contact de travail 250 du relais 1LC1, et l'enroulement supérieur du relais 1LC1, au (-). D'autres circuits de blocage prévus pour maintenir ce relais et un relais LC1 enclenchés et alimentés à différents moments durant un cy- cle d'information, sont'ouverts à ce moment-ci, Un de ces circuits de blocage contient, en série, les contacts de repos 401 et 402 des relais CSP1 et Ll, respectivement.

   Un autre circuit de blocage pour le relais LCS1 ouvert à ce moment, est le circuit contenant le contact de repos 403 du relais CS1, et le contact de travail 404 du relais CP1. Ce circuit est ouvert parce que le relais CS1 est enclenché à ce moment. Le relais CP1 étant enclenché à ce mo- ment, un autre circuit de blocage est ouvert à ce moment, auquel de l'énergie peut être appliquée par le contact de travail 405 du relais CS1 ou le contact de repos 406 du relais 2Vl ou le contact de repos 407 du relais 4V1, à tra- vers le contact de repos 404 du relais CP1. 



   Le relais CS1 (voir figure 1B) s'enclenche à la fermeture des doigts de contact 41 et 45 du balancier CT1, pour la dernière fois dans le cycle, par l'établissement d'un circuit allant du (+), par les doigts de contact 41 et 45 du balancier CT1, le contact de repos 186 du relais 1V1, le contact de repos 187 du relais 3Vl, le contact de repos 188 du relais 2Vl, et l'enroulement supérieur du relais CS1, au (-). 



   Le circuit par lequel le relais Cl a pu être enclenché pour la deuxième moitié du cycle d'information, à condition que le dernier signe fût un "plein", s'ouvre par l'ouverture de ces mêmes doigts de contact 46 et 47 du balancier, CT1 et provoque le déclenchement des relais LCS1 et LC1. En déclenchant, le relais Cl ouvre donc le circuit de ligne au contact de tra- vail 92 pour finir le dernier "plein" du cycle d'information, et les relais de ligne sont déclenchés à la station block et au bureau central. 

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   A la suite de l'enclenchement du relais CS1, des circuits d'exci- tation comparables à des circuits déjà décrits, se ferment sur les relais de minuterie respectifs 1V1, 2Vl, 3Vl et 4V1, et quand ces relais sont enclenchés, le relais Cl enclenche et ferme le circuit de ligne au contact de travail 92 (voir figure lE). Le relais Cl (voir figure 1D) enclenche à ce moment par le contact de travail 408 du relais 2Vl, et reste enclenché par son contact de blocage   409.   



   A l'enclenchement du relais de ligne Ll à la fin du cycle d'in- formation, le relais CSP1 déclenche par l'ouverture de son circuit de blocage comprenant le contact de repos 174 du relais Ll. Le déclenchement du relais CSP1 complète la mise à l'état normal de repos de l'appareil de communication codée à la station block à la fin d'un cycle de travail d'informations. 



   En ce qui concerne la fin d'un cycle d'information au bureau cen- tral, en passant pour la dernière fois par sa position médiane, le balancier CT provoque l'établissement d'un circuit qui enclenche le relais CS et qui est comparable à celui décrit pour l'excitation du relais CS1 à la station block dans des circonstances semblables', et l'enclenchement du relais CS pro- voque l'enclenchement des relais de minuterie 1V, 2V, 3V et 4V d'une manière qui a été décrite ci-dessus. 



   Le circuit de ligne est mis sous courant en se fermant à la sta-   tion block ; commedécrit, et, comme le relais CS est enclenché à ce moment   de manière à fermer le contact de travail 91; le relais de ligne L du bureau central s'enclenche sensiblement au même moment que le relais Ll de la station block. 



   En enclenchant, le relais L du bureau central déclenche le relais CSP parce que les relais CS et 4V ont été enclenchés plus tôt et ont ouvert les contacts repos 96 et 221 respectifs dans le circuit du relais CSP. Celui- ci déclenche donc par l'ouverture du contact de repos 222 du relais L à la fin du cycle d'information, et le déclenchement de ce relais termine le cycle de travail d'information considéré. 



   Cycles successifs. 



   Dans les systèmes de ce genre dans lesquels on utilise le même appareillage de communication pour la communication codée et de commandes et d'informations, il faut prévoir   un.verrouillage   entre les deux émetteurs de façon qu'il soit exactement défini qu'un émetteur ait le pas sur l'autre pendant tout le reste du cycle de travail dû système de communication codée. 



  Comme la transmission d'informations est automatique en fonction du change- ment dans la condition d'un dispositif qui doit être communiquée, il se peut que plusieurs cycles d'informations doivent démarrer en une fois, et si on donnait la préférence à l'émetteur d'informations plutôt qu'à l'émetteur de commandes, il pourrait y avoir un retard sérieux à latransmission d'une com- mande 'qui a été exécutée à la main sur le panneau.

   C'est pourquoi on a pré- vu que, dans le cas où des démarrages ont été enregistrés, à la fois au bu- reau central et à la station block, pendant que le système est en fonction- nement, l'émetteur du bureau central ait le pas sur l'émetteur de la station block, de façon que la commande enregistrée puisse être transmise immédia- tement ou, si le système est en fonctionnement, dans le cycle de travail sui- vant du système de communication. 



   Le problème de donner au bureau central le pas sur la station block dans les conditions ci-dessus, est différent du cas de démarrages si- multanés, parce que dans le cas où des futurs démarrages sont enregistrés pendant que le système travaille, l'appareillage du bureau central est or- ganisé de telle façon, comparativement à l'équipement de la station block, qué le relais LCS soit libre d'enclencher au bureau central pour démarrer un cycle de commande, assez vite après la fin d'un cycle de travail qui était en cours, pour empêcher un démarrage de transmission d'informations à la 

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 station block.

   En d'autres mots, si le bureau central et la station block ont tous deux enregistré des démarrages respectivement de commande et d'in- formation pendant qu'un cycle de travail du système de communication est en cours, le bureau central est capable de démarrer le cycle suivant en enclen- chant son relais LCS, et l'enclenchement de ce relais LCS du bureau central empêche l'enclenchement du relais LCS1 de la station block par l'ouverture du circuit de ligne avant que le relais LCS1 de la station block n'ait eu le temps d'enclencher. La station block ne peut donc démarrer un second cycle d'information avant que tous les cycles de commande correspondant à tous les démarrages de commandes enregistrés au bureau central ne soient terminés. 



   Cette condition ressort clairement des diagrammes de temps des figures 6B et 7B. Dans ces diagrammes, des démarrages du bureau cen- tral et de la station block sont représentés enregistrés pendant qu'un cy- cle d'information est en cours. Le relais LCS du bureau central peut en- clencher à la suite du déclenchement du relais CSP de manière à fermer le con- tact de repos 71 (voir figure lA), et l'enclenchement du relais LCS provoque le déclenchement du relais C par l'ouverture de son circuit de blocage au con- tact de repos 65, ce qui, à son tour, provoque l'ouverture de la ligne au con- tact de travail 90 et entraîne le déclenchement des relais de ligne C et C1, respectivement au bureau central et à la station block. 



   Le relais de ligne Ll étant déclenché à la station block, le cir- cuit d'enclenchement du relais LCS1 (voir figure 1D) est ouvert au contact de travail   249.   Le relais LCS1 n'aurait pu s'enclencher plus tôt, par ce qu'un autre relais LCS (en supposant qu'un cycle d'information a eu lieu) ne pourrait être enclenché avant le déclenchement du relais CSP1, de manière à fermer son contact de repos   244.   Après fermeture de ce contact, le temps d'enclenchement combiné d'un relais LC1 et du relais LCS1 est tel qu'il y ait du temps pour cou- per la ligne et déclencher le relais Ll, comme il a été dit, avant que le re- lais LCS1 ait eu une chance d'enclencher"de façon à démarrer un cycle d'infor- mation.

   Quoique le relais LCS1 soit du type classique à action rapide, il en- clenche en fait lentement parce qu'il est excité en série avec l'enroulement de blocage d'un relais LC1. Dans les conditions décrites ci-dessus on dispo- se donc d'une marge suffisante pour que le relais LCS1 soit empêché d'enclen- cher à ce moment. Le relais CS1 déclenche immédiatement à la suite du dé- clenchement du relais de ligne Ll, par l'ouverture de son circuit de blocage au contact de travail 97 (voir figure 1B) et, le relais CS1 étant déclenché, le relais LCS1 est empêché d'être excité pendant tout le cycle, parce que son circuit d'excitation est ouvert au contact de travail 248 du relais CS1 (voir figure 1B). 



   Il est donc assuré que, dans le cas d'enregistrements de démarra- ges à la fois au bureau central et à la station block pendant que le système de communication fonctionne, le cycle suivant sera toujours un cycle de com- mande, et le relais LCS1 de la station block n'a aucune chance de s'enclencher de manière à démarrer un cycle d'information, en même temps qu'un relais LCS du bureau central qui démarre un cycle de commande. 



     Démarrages  simultanés. 



   Dans le sens admis ici, des démarrages simultanés signifient-l'en- clenchement sensiblement simultané des relais LCS du bureau central et LCS1 de la station block. Les figures 8A et 8B donnent des diagrammes de temps montrant des démarrages simultanés de ce genre et placés l'un au-dessus de l'autre pour pouvoir comparer facilement les temps de fonctionnement des re- lais des deux stations. 



   Il a été dit que, pour résoudre le problème des démarrages simul- tanés en faveur du bureau central, le premier canal de communication établi à la suite du déclenchement du premier relais de minuterie est réservé à cet effet ; et si l'office de commande transmet, c'est toujours un "plein" qui est envoyé sur la ligne durant cette première étape, comme cela a été expliqué 

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 lors de la description du mode de transmission des commandes. Si, au con- .traire, le système de communication doit être utilisé pour la transmission d'information, ce premier canal est toujours constitué par un "blanc" (en supposant qu'il n'y a pas de démarrage simultané au bureau central), parce que la ligne est maintenue ouverte, à ce moment, au bureau central, comme cela a été expliqué lors de la description du mode de réception des informa- tions.

   La ligne reste ouverte, dans ces conditions, au bureau central, jus- qu'au début dé la seconde étape, dans le cas d'un cycle d'information. On a fait remarquer que pour la transmission de commandes, au contraire, le relais C1 de la station block enclenche à la première étape, de manière à fermer le circuit de ligne comme si un "plein" était transmis par la station block. 



  C'est de cette façon que le circuit de ligne est capable, à la station block, d'être mis sous courant de manière à former un "plein" dans le cas d'un dé- marrage de commande simultané au bureau central, afin d'enclencher le relais de ligne Ll à la station block et arrêter ainsi le démarrage qui peut se pro- duire à la station block.

   En d'autres mots, l'enclenchement du relais de li- gne Ll à la station block, pendant la première étape de n'importe quel cycle de travail du système de communication, supprime tout démarrage qui aurait pu se faire à la station block et enregistre le démarrage de manière que le système se mette en route,dès qu'il est disponible, pour communiquer les in- formations ; le démarrage à la station block est supprimé pour le présent cy- cle de travail et l'appareil récepteur est mis en état de recevoir les co- des de commande transmis par le bureau central. 



   On comprendra.facilement comment le démarrage du bureau central est prioritaire, en considérant un exemple type de démarrages simultanés tout en se basant sur lescircuits de détail qui ont été décrits lors de l'é- tude des cycles de commande et   d'information,   Un exemple de priorité du démarrage du bureau central est représenté sur les diagrammes de temps des figures 8A et 8B qui montrent comment le bureau central et la station block fonctionnent dans le cas d'un démarrage simultané considéré. 



   Pour l'exemple, dans le cas du démarrage au bureau central, on suppose que le relais 4CH (voir figures lA et 8A) déclenche par le déplace-- ment du levier associé 4SML, et le relais 4LC enclenche de la façon décrite lors de l'étude de la mise en route d'un cycle de commande. En s'enclenchant, le relais 4LC provoque l'enclenchement du relais LCS pour mettre en route un cycle de travail du système de communication, pour la transmission de comman- des. 



   Il est supposé, comme le diagramme de temps de la figure 8B le montre, qu'un changement à communiquer s'est produit dans un dispositif et qu'il provoque le déclenchement du relais 2CH1 (voir figure 1D). Ceci pro- voque l'enclenchement du relais 2LC1 (enclenchement simultané à l'enclenche- ment du relais LCS du bureau central, dans le cas envisagé) par l'établisse- ment d'un circuit qui a été décrit; et le relais LCS1, en enclenchant, est capable d'amorcer la minuterie et provoquer d'autres opérations de relais d'une manière comparable à celle décrite pour la mise en route d'un cycle d'in- formation. 



   Plus spécialement, l'enclenchement simultané des relais LCS et   LCS1'met   en route les deux balanciers de code CT et CT1 des deux stations, le balancier CT (voir figure lA) du bureau central par l'ouverture du con- tact de repos 75 du relais LCS, et le balancier CT41 (voir figure 1B) de la station block par l'ouverture du contact de repos 251 du relais LCS1. L'en- clenchement des relais LCS et LCS1 provoque aussi le déclenchement des relais C et Cl à la station correspondante, de manière à ouvrir le circuit de ligne, le relais C (voir figure lA) déclenchant par l'ouverture de son circuit au contact de repos 65 du relais LCS, et le relais Cl (voir figure 1D) déclen- chant par l'ouverture de son circuit au contact de repos 252 du relais LCS1. 



  A la coupure de courant sur la ligne, les relais de ligne L et Ll déclenchent aux stations respectives et provoquent respectivement le déclenchement du re- lais CS e.t celui du relais CS1. Le relais CS (voir figure lA) déclenche par 

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 l'ouverture du contact de travail 94 du relais L, et le relais CS1 (voir fi- gure 1B) déclenche par l'ouverture de son circuit de blocage au contact de travail 97 du relais L1. 



   Le déclenchement du relais CS au bureau central ferme un circuit d'enclenchement du relais CSP (voir figure lA) au contact de travail   96, .ce   qui complète la mise en ordre de l'appareillage du bureau central, au seuil de la première étape. A la station block, le relais CSP1 n'enclenche qu'a- près mise en route de la première étapeet le déclenchement du relais CS1 complète la mise en ordre de la station block, au seuil de la première éta- pe. 



   Les balanciers CT et CT1 se mettent en route sensiblement en même temps aux deux stations, les premiers relais de minuterie 1V et lVl dé- clenchent en substance simultanément. En plus du déclenchement des relais 
IV et 1V1, à ce moment les relais C et CI enclenchent dans les stations.res- pectives, le circuit d'excitation du relais 'C (voir figure lA) passant par le contact de travail   141   du relais 4V, le contact de travail 142 du relais 
2V, le contact de travail 143 du relais LCS, les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT, l'enroulement inférieur du relais C, et le contact de tra- vail 65 du-relais LCS.

   Le circuit d'excitation du relais Ci (voir figure 1D) va du (+), par le contact de repos 257 du relais CP1, le contact de travail 
258 du relais 4Vl, le contact de travail 259 du relais 2V1, le fil 260, le contact de travail 164 du relais LCS1, les doigts de contact 46 et   47   du ba- lancier CT1, le contact de travail 157 du relais LCS1, le fil 261, et l'en- roulement supérieur du relais C1, au (-). Les relais C et Cl étant enclenchés, le circuit de ligne reçoit du courant et les relais de ligne L et Ll des deux stations s'enclenchent.

   Comme le relais LOS du bureau central reste enclen- ché par des circuits de blocage indépendants du relais de ligne L, ce relais reste excité après l'enclenchement du relais de ligne L A la station block au contraire, le relais LCS1 déclenche au moment où le relais Ll s'enclenche, par   suite,de   l'ouverture du circuit de blocage du relais LCS1 au contact de repos 402 du relais Ll (voir fige 1D). Le circuit d'enclenchement du relais 
LCS1 est ouvert à ce moment, parce que le relais CS1 a déclenché et ouvert son contact de travail 248, et le relais CSP1 s'enclenche présentement et ou- vre son contact de repos 247 dans le circuit d'enclenchement du relais LCS1. 



   Le déclenchement du relais LCS1 à la station block provoque l'en- clenchement du relais CSP1 (voir figure 1B). Ce circuit d'enclenchement va du (+), par le contact de travail 156 du relais Ll, le contact de repos 157 du relais LCS1. les doigts de contact 46 et 47 du balancier CT1, le contact de repos   165 du relais   1V1, le contact de travail 166 du relais 2V1, le contact   ' de   travail 167 du relais 4V1, le contact de repos 168 du relais LCS1 et l'en- roulement inférieur du relais CSP1, au (-). Une fois enclenché, le relais 
CSP1 est maintenu enclenché par des circuits de blocage déjà décrits, compre- nant, connectés en parallèle, les contacts de repos 169 et 172 des relais 1V1 et 3Vl respectivement. 



   A la suite de l'enclenchement du relais CSP1, le circuit d'enclen- chement du relais 2LC1 (voir figure 1D) s'ouvre au contact de repos 244 du re- lais CSP1 et le relais 2LC1 déclenche. Le relais LCS1 étant déclenché, son contact de travail 411 dans les circuits de rétablissement des relais CH1 est ouvert, et il est impossible que le relais 2CH1 enclenche (en supposant que le cycle mis en route soit un cycle d'information) avant que le système soit revenu au repos, après quoi le cycle d'information peut redémarrer et la trans- mission des informations s'achever. L'appareillage de la station block a donc été dominé par la transmission du bureau central et mis en état de recevoir les commandes et d'exécuter normalement le cycle de commande de la manière dé- jà décrite.

   Il faut remarquer que le démarrage simultané des émetteurs à la station block et au bureau central ne modifie en rien le fonctionnement de l'appareillage du bureau central, qui est identique au fonctionnement sans démarrages simultanés. 

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 EMI36.1 
 Restitution à la nor 1e a rê interru tion de courant. 



   Le mode de fonctionnement et les différentes conditions du systè- me de communication codée ont été décrits en partant d'un système au repos, ce qui-sous-entend que plusieurs relais sont maintenus enclenchés à ce mo- ment, par leurs circuits de blocage. Dans le cas d'interruption du courant, ces circuits de blocage ne sont plus excités et tous les relais déclenchent, tandis que les balanciers CT se mettent à osciller librement et s'arrêtent éventuellement dans leur position médiane.

   On a montré que les contacts des balanciers sont disposés, de préférence, de façon qu'il n'y ait qu'un très léger intervalle entre la fermeture et la coupure des contacts de droite et de gauche respectivement, et quand le balancier prend sa position de repos sans courant, aussi bien les contacts de gauche que ceux de droite sont ou- verts, mais chaque groupe est réglé de façon à être sur le point de se fer- mer. 



   Si maintenant, le courant est rétabli dans le bureau central par exemple, le balancier CT est alimenté par un circuit allant du (+), par le contact de repos 115 du relais 4V, le contact de repos 107 du relais 1V, le contact de repos 108 du relais 2V, le contact de repos 219 du relais 3V et l'enroulement du balancier CT, au (-). Quand le balancier CT est alimenté, les doigts de contact 41 et 45 se ferment, et un circuit se ferme pour enclen- cher le relais CS. Ce circuit va du (+), par les doigts de contact 41 et 45 du balancier CT, le contact de repos 98 du relais 1V, le contact de repos 103 du relais 3V, le contact de repos 220 du relais 2V, et l'enroulement supérieur du relais CS, au (-). 



   Il faut noter que le relais CSP enclenche dès le rétablissement du courant, par excitation directe à travers un quelconque des contacts de repos de divers relais qui sont déclenchés à ce moment. En enclenchant, le relais CSP le reste jusqu'à la fermeture du circuit de ligne par enclenche- ment du relais de ligne L qui ouvre le circuit du relais CSP au contact de repos 222. 



   L'enclenchement des relais CS et CSP ferme un circuit d'enclenche- ment pour chacun des relais de. minuterie V, correspondant au circuit du relais 1V comprenant les contacts de travail 223 et 224 des relais respectifs CS et CSP. 



   A la suite de l'enclenchement des relais de minuterie, le relais de transmission de code C est excité par un circuit déjà décrit comprenant les contacts de travail des relais de minuterie connectés en série, et le relais C enclenche donc, fermant son contact de travail dans le circuit de ligne. Le contact de travail 91 du relais CS dans le circuit de ligne est déjà fermé et le relais de ligne L peut   mintenant,   s'enclencher, et en en- clenchant, il provoque le déclenchement du relais GSP, qui, à son tour, ouvre les circuits d'enclenchement des relais de minuterie et ceux-ci sont mainte- nus enclenchés par leurs circuits de blocage qui comprennent   le urs   enroule- ments supérieurs à résistance plus élevée. 



   Comme les relais de changement CH du bureau central sont du type à alimentation normale,' ces relais sont déclenchés lors d'une coupure de cou- rant, et comme ce sont ces relais déclenchés qui mettent le système en route dans des cycles de travail successifs, le système accomplira   automatiquemenL   un cycle de commande pour chacune des stations de commande respectives de manière à ramener tous les relais de changement CH à leur position enclenchée normale. Ceci se fait suivant le même mode de fonctionnement que celui décrit concernant la transmission pendant un cycle de. commande type. L'appareillage du bureau central est ainsi entièrement dans sa condition qui a été considé- rée comme normale et qui est celle du système au repos avec le courant appli- qué. 



   Il est évident que la remise à l'état normalcb l'appareillage de 

 <Desc/Clms Page number 37> 

 la station block après une coupure de courant, se fait d'une façon semblable à la remise à l'état normal de l'appareillage du bureau central, qui vient d'être décrite. 



   Ayant décrit ainsi, comme forme d'exécution de l'invention, un système de communication en code pour la commande d'un aiguillage simple type, il est entendu que cette forme a été utilisée pour faciliter la com- préhension du mode de fonctionnement et non pour limiter la portée de l'in- vention, et que le système de communication en code décrit ici peut faci- lement s'appliquer en pratique à tout dispositif de voies qui existe dans la réalité; en outre, différents changements, adaptations et modifications peu- vent être apportés au système particulier décrit, suivant les exigences de la pratique, sans sortir du cadre de l'invention. 



   On notera aussi que, bien qu'il soit préférable d'utiliser un seul appareillage pour transmettre à la fois les commandes pour actionner les aiguillages et/ou les signaux, et les informations concernant les posi- tions des aiguillages et/ou des signaux des réseaux de voies, on peut si on le désire, utiliser des appareillages séparés pour la transmission des commandes et pour la transmission des informations. 



   REVENDICATIONS. 



   1. - Système de communication en code pour commande centrali- sée de trafic de chemin de fer, pour la commande d'aiguillages' et/ou de signaux à une station block par l'actionnement dans une station centrale de dispositifs de commande à la main, et/ou pour la transmission par la station block, à la station centrale d'une information concernant l'état dans lequel se trouvent les aiguillages et/ou les signaux et les voies, ca- ractérisé en ce qu'il comprend, à la station transmettrice, des moyens pour produire plusieurs éléments de code successifs suivant l'actionnement des dispositifs de commande ou suivant l'état des aiguillages et/ou des signaux et des voies, une minuterie locale à chaque station actionnant en cascade les relais d'une batterie de relais de minuterie y associés,

   à des intervalles réguliers de manière à établir des canaux successifs pour la commande ou la réception d'éléments de code successifs, la minuterie de chaque station étant telle que, pendant la transmission, elle soit mise en marche par le démarrage de la transmission de cette station et qu'en réception, chaque minuterie soit mise eh marche par la réception d'une commande de l'autre sta- tion.

Claims (1)

  1. 2. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic de chemin de fer, suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les deux stations sont réunies par un circuit de ligne sur lequel s'établis-. sent les circuits de canaux successifs.
    3. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic de chemin de fer provoquant automatiquement la transmission de plu- sieurs éléments de code par une station centrale pour la commande d'aiguil- lages et/ou de signaux situés près d'une station block en fonction de l'action- nement de dispositifs de commande à la main à la station centrale, et provo- quant aussi automatiquement la transmission de plusieurs éléments de code par la station block vers la station centrale pour indiquer l'état dans lequel se trouvent à ce moment des aiguillages et/ou des signaux et des voies en ré- ponse à des changements dans cet état,
    caractérisé en ce que des relais d'une batterie de relais de minuterie sont actionnés en cascade à des intervalles de temps égaux par un dispositif de minuterie local de manière à établir les canaux successifs pour la commande ou la réception d'éléments de code suc- cessifs, la minuterie de chaque station étant telle, qu'en cas de transmission, elle soit mise en marche par le démarrage de la transmission de cette sta- tion, et en cas de réception, que chaque minuterie'soit mise en marche par la réception d'une commande de l'autre station. <Desc/Clms Page number 38>
    4. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic de chemin de fer, suivant la revendication 3, caractérisé en ce que les différents éléments de code transmis et reçus sont composés chacun de plusieurs signes distinctifs fonctions des formes d'alimentation d'un cir- cuit de ligne reliant les stations.
    5. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 3 ou 4, caractérisé en ce que les éléments de code à transmettre d'une station à l'autre comprennent plusieurs éléments de code combinés de façon à constituer un code identifiant un groupe de dis- positifs, et l'élément de code suivant indique l'état des différents disposi- tifs du groupe désigné.
    6. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que l'appareillage de la station centrale est capable de déterminer si des commandes ou des informations doivent être transmises durant la période de transmission suivante, et cet appareillage règle conséquemment le carac- tère d'une commande transmise à la station block.
    7. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 5, caractérisé en ce que l'appareillage de la station centrale déterminant si des commandes ou des informations doi- vent être transmises pendant la période de transmission suivante varie le ca- ractère de l'élément de code transmis à la station block pendant la première étape déterminée par le fonctionnement de la batterie de relais de minute- rie.
    8. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caracté- risé en ce que les minuteries actionnant localement la batterie associée de relais de minuterie comprend un oscillateur mécanique du type balancier à tor- sion libéré d'une position de blocage en réponse au démarrage de la transmis- sion à une station de transmission ou à la réception, à la station réceptrice, d'une commande.
    9. - Système de communication en code pour commande centra- lisée de trafic suivant la revendication 7, caractérisé en ce que la minute- rie est agencée de façon à déclencher successivement, à des intervalles de temps réguliers, les relais normalement excités de la batterie de relais-de minuterie.
    10. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 8, caractérisé en ce que la minuterie du type balancier à torsion porte deux groupes de contacts, un groupe étant fer- mé quand le balancier se trouve d'un côté d'un point milieu, et l'autre grou- pe étant fermé quand le balancier se trouve de l'autre côté de ce point milieu, et les batteries de relais de minuterie normalement excités ont des circuits commandés par les dits groupes de contacts, le premier groupe de contacts com- mandant les circuits des relais de minuterie impairs et l'autre groupe de con- tacts commandant les circuits des relais de minuterie pairs, de manière que ces relais de minuterie déclenchent en cascade, un à la fois, au fur et à mesure que le balancier passe par ses différentes positions.
    11. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 9, caractérisé en ce que les relais de minuterie sont normalement excités au point de saturer leurs circuits magné- tiques respectifs de façon que tous ces relais aient des temps de déclenche- ment uniformes malgré de faibles variations de la tension de leurs sources d'alimentation respectives.
    12., -.Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant l'une quelconque des revendications 9 à 11, caractérisé en <Desc/Clms Page number 39> ce que chaque relais de minuterie appartenant à n'importe laquelle des bat- teries de relais est pourvu d'un circuit de blocage qui se ferme en fonction de l'état d'enclenchement du relais immédiatement précédent de la batterie et du circuit de blocage de relais de minuterie alternés dépendant aussi de la fermeture de contacts du dispositif de minuterie associé dans ses positions opposées,de manière à faire déclencher les relais de minuterie successifs 1.'un après l'autre quand le dispositif de minuterie passe par ses positions oppo- sées.
    13. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 12, caractérisé en ce qu'un dispositif de circuit d'enclenchement est prévu pour chaque batterie de relais de minuterie de manière à réenclencher chaque relais à son tour à lp suite du déclenchement d'un autre relais de minuterie de la batterie, ce réenclenchement commençant avec le premier relais de minuterie quand l'avant-dernier relais de minuterie déclenche.
    14. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 13, caractérisé en ce que les relais de mi- nuterie déclenchent en cascade à des intervalles de temps réguliers mesu- rés par les dispositifs de minuterie associés, le premier relais de minuterie étant réenclenché quand l'avant-dernier relais de minuterie déclenche, le'se- cond relais de minuterie réenclenchant quand le dernier relais de minuterie déclenche, le troisième relais de minuterie réenclenchant quand le premier relais de minuterie déclenche pour la seconde, fois le réenclenchement avec déclenchement continuant jusqu'à ce que tous les relais, sauf lé dernier, ont déclenché deux fois, constituant ainsi un cycle de travail avec un nombre de circuits de canaux plus grand que le nombre de relais.
    15. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic suivant la revendication 7 ou toute revendication dépendant de la revendication 7, caractérisé en ce qu'un changement dans l'état d'un appareil de trafic à une station block provoque le démarrage d'une transmission qui est supprimée par la réception d'un élément de code d'un caractère particulier reçu pendant la première étape d'un cycle et ce jusqu'à ce qu'une autre trans- mission ait démarré, pendant laquelle un élément de code d'un caractère diffé- rent est reçu au cours de la première étape du cycle de minuterie.
    16. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic de chemin de fer suivant l'une quelconque des revendications 3 à 15, caractérisé en ce qu'il comprend un moyen pour vérifier les codes trans- mis et éviter les mutilations en enregistrant la nature de chacun d'un nombre d'éléments de code déterminés successifs de manière à constituer un code com- plet et un dispositif de circuits n'est capable d'exécuter un code complet ain- si enregistré que si le nombre de ses éléments d'un caractère particulier est pair ou impair suivant que le nombre total déterminé d'éléments de code enre- gistrés est pair ou impair.
    17. - Système de communication en code pour commande centralisée de trafic de chemin de fer, en substance comme décrit ci-dessus avec référen- ce aux dessins annexés
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