BE414682A - - Google Patents

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BE414682A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B61RAILWAYS
    • B61LGUIDING RAILWAY TRAFFIC; ENSURING THE SAFETY OF RAILWAY TRAFFIC
    • B61L7/00Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks
    • B61L7/06Remote control of local operating means for points, signals, or track-mounted scotch-blocks using electrical transmission
    • B61L7/08Circuitry
    • B61L7/088Common line wire control using series of coded pulses

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Selective Calling Equipment (AREA)

Description


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  BREVET D'INVENTION. 



  " Perfectionnements apportés aux installations de télécommanda pour les aiguillages et signaux des chemins de fer ou analogues 
L'invention est relative aux installations de télé- commande pour les aiguillages et signaux des chemins de fer ou analogues, par lesquels plus spécialement les aiguillages et les signaux de plusieurs stations échelonnées sur une voie de chemin de fer peuvent être sélectionnés et manoeuvrés depuis une autre station par une émission d'impulsions de courant se- lon un système Code et par l'intermédiaire d'une ligne établie le long de la voie, de manière qu'on puisse sélectionner non seulement la station voulue mais également un aiguillage ou un   sigaal   déterminé ou un groupe d'aiguillages et signaux cor- respondant à un trajet choisi pour le train, cette sélection ayant lieu par des organes de manoeuvre sélectifs,

   par exemple des sélecteurs du genre de ceux utilisés dans la technique des auto-connexions. Les connecteurs sélectifs sont établis aux différentes stations et peuvent être commandés par les im- pulsions de courant transmises par la ligne susdite. Des ins- 

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 tallations de télécommande de ce genre sont avantageusement munies de dispositifs spéciaux qui permettent d'obtenir la con- firmation automatique au poste de commande central des manoeu- vres effectuées le long du trajet du train et qui ont été exé- cutées par ordre dudit poste central afin qu'on puisse obtenir, d'une part, le contrôle nécessaire des opérations exécutées et, d'autre part, unecindication pour laquelle on peut surveiller l'état des appareils aux différentes stations.

   Pour les ins- tallations connues de télécommande on était obligé, à cet ef- fet, d'utiliser des moyens signalisateurs spéciauxnet qui sont généralement prévus pour les installations de chemins de fer avec commande à distance, pour indiquer, au poste de commande central, les mouvements des trains et les manoeuvres exécutées sur le trajet de ceux-ci et qui peuvent résider dans l'action- nement d'un signal ou la manoeuvre à la main d'un aiguillage. 



  Une telle installation indicatrice doit par conséquent être agencée de manière qu'elle indique aussi bien les modifications provenant d'un ordre émis par le poste central que celles qui peuvent résulter de dispositions qui ont été prises en des en- droits autres que ledit poste central. Afin qu'il soit possi- ble d'identifier les aiguillages, signaux, etc. qui ont été ma-   noeuvrés,   une telle installation indicatrice doit être sélec- tive c'est-à-dire elle doit permettre une émission d'impulsions de courant vers le poste de commande central d'après un certain code.

   Une propriété caractéristique des installations indica- trices connues de ce genre réside dans le fait qu'elles forment une installation de transmission   absolument   séparée du dispo- sitif commandeur et pour'laquelle la transmission des impul- sions de courant vers le poste de commande central peut bien être effectuée par la même ligne que celle du dispositif com- mandeur mais seulement après qu'un ordre ou une commande don- née a été exécuté et après que la liaison conductrice établie pour la transmission de l'ordre a été interrompue. 

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   Afin que les modifications, résultant de la trans- mission d'un ordre, puissent être confirmée il est nécessaire qu'on établisse d'abord une nouvelle connexion et qu'on déclen- che ensuite une opération sélective de connexions pour identi- fier non seulement la station où s'est produite la manoeuvre mais également l'aiguillage, le signal, etc. qui a été manoeu- vré et pour signaler d'une manière appropriée ces indications au poste de commande central. Ces installations indicatrices deviennent par conséquent très compliquées et l'établissement des connexions demande beaucoup de temps ce qui accapare lon- guement la ligne de transmission. 



   Les inconvénients susindiqués sont écartés selon la présente invention pour la raison que la confirmation automa- tique d'un ordre donné, émanant du poste de commande central, a lieu par la liaison conductrice, utilisée pour la transmis- sion de l'ordre, pendant que cette liaison existe encore. Il n'est par conséquent plus nécessaire d'établir une nouvelle liaison pour permettre le confirmation de l'exécution de la manoeuvre et, en outre, on,décharge et on simplifie en consé- quence l'installation indicatrice nécessaire au signalement d'autres manoeuvres'ou modifications. On obtient en plus cet avantage important que la manoeuvre d'un aiguillage, d'un si- gnal ou d'une voie de chemin de fer peut être empêchée quand un aiguillage, un signal ou un trajet défectueux a été choisi, par erreur, dans l'installation de transmission.

   On peut notamment et avec avantage rendre sélective la confirmation automatique de l'ordre, dans une installation établie selon l'invention, de manière que l'exécution de l'ordre soit empêchée quand la confirmation automatique ne serait pas en concordance avec l'ordre reçu. La confirmation automatique ne doit également pas se faire nécessairement après la fin de la manoeuvre de l'ai- guille, du signal ou de la voie car en pratique il peut être suffisant que cette indication signale que l'aiguille, le si- 

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 gnal ou le trajet exact a été choisi et est prêt à fonctionner. 



  Les dispositifs de sécurité, qui sont déjà prévus au préalable aux différentes stations, pour assurer l'exécution correcte de la manoeuvre, donnent en général de par eux-mêmes une certitude suffisante que l'ordre donné sera exécuté correctement à la station du moment que l'organe de commande local pour l'aiguil- lage, le signal ou le trajet a été exactement choisi et action- né. On obtient ainsi en même temps l'avantage que l'intervalle entre la transmission d'un ordre et la confirmation automatique est notablement réduit ce qui permet d'obtenir une surveillance meilleure et plus rapide pendant qu'on procède à la commande. 



   La transmission d'un ordre depuis le poste de com- mande central et l'envoi de la confirmation automatique audit porte central ont lieu, avantageusement et selon l'invention, par étapes ou par gradins de manière que la confirmation, par laquelle on contr8le si la station exacte a été choisie, suive aussitôt le choix de la station voulue et avant qu'on envoie l'ordre sélectionné à l'organe de commande local pour la ma- noeuvre d'un aiguillage, d'un signal ou d'un trajet, la dispo- sition étant avantageusement telle que l'opération pour sélec- tionner l'organe de commande local voulu ne puisse être dé- clenchée au cas où la confirmation indiquerait qu'une station inexacte a été sélectionnée.

   D'une manière analogue on peut empêcher l'actionnement d'un organe de commande local inexact, pour une station déjà choisie, en faisant dépendre les organes de   commande   locaux de la confirmation par laquelle an contrôle si un organe de commande local correct a été choisi de sorte que l'organe de commande voulu ne peut être actionné que dans le cas où cette conformation indique qu'il en est bien ainsi. 



   Pour signaler les positions momentanées des aiguil- leges, signaux, trajets, etc. au poste de commande central, on utilise de préférence un dispositif indicateur sous forme d'u- ne table à lampes et qui coopère de manière telle avec les ins- 

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 tallations de connexions susindiquées qu'une lampe s'allume seulement après que la   station   d'un organe de commande local est terminée et sous condition que cet organe soit correct, la lampe restant ensuite allumée jusqu'à la transmission d'un nouvel ordre par lequel il se produit une modification dans la position dudit aiguillage, signal ou trajet. 



   L'invention n'est nullement limitée aux installations de chemins de fer mais peut également être appliquée pour des installations analogues pour obtenir une télécommande d'organes de commande locaux qui se trouvent dans des zones différentes en des endroits éloignés. Par exemple on peut appliquer la commande à deslandes selon l'invention pour des installations motrices, pour des dispositifs de sécurité aux passages'à ni- veau ou analogues. 



   Les dessins ci-annexés montrent, à titre d'exemple, quelques modes de réalisation de l'invention. 



   La fig. 1 montre le principe de l'invention. 



   Les fig. 2 à 4 servent à expliquer un mode de réa- lisation pratique de l'invention. 



   La fig. 2 montre un tableau de commande ou de manoeu- vre établi au poste de commande central et subdivisé en plu- sieurs zones ou panneaux. 



   La fig. 3 montre un schéma des circuits adjoints aux organes établis au poste de commande central, seuls les organes faisant partie d'une zone ou d'un panneau de commande du ta- bleau selon la fig. 2 étant indiqués. 



   La fig. 4 montre un schéma des circuits adjoints aux différents organes commandés à distance et appartenant à un poste éloigné qui est surveillé par les organes du tableau mon- trén sur la fig. 3. 



   On décrira tout d'abord et brièvement le principe de l'invention en se servant du schéma selon la fig. 1. On a désigné par CMC le poste central et par S1, S2, S3 un certain 

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 nombre de postes locaux, avec leurs appareils correspondants. 



  Les postes éloignés ou loacux peuvent être constitués, par exemple, par des stations de chemins de fer ou par des parties d'une ou de plusieurs stations, chaque partie comprenant un groupe d'aiguillages et de signaux coopérant entre eux avec leurs dispositifs de commande correspondants. Le poste central est relié par une ligne L aux postes locaux à commander. La commande a lieu par l'intermédiaire d'organes de manoeuvre, telsque des manettes, commutateurs ou analogues, établis au poste central et montés sur un tableau de commande, ces organes étant manoeuvrables à la main. Le tableau comporte un certain nombre de panneaux de commande MP1, MP2, MP3, dont chacun com- porte les organes de commande correspondant à. un poste local déterminé Sl, S2 ou S3. Les organes de commande locaux ont été désignés par MO1,- M05 sur la fig. 1.

   Ils peuvent être   consti-   tués, par exemple, par des leviers actionnés électromagnétique- ment ou simplement par des relais qui surveillent les circuits nécessaires à la manoeuvre des aiguillages, signaux, etc. fai- sant partie de la voie correspondante. En excitant les relais d'une telle voie on déclenche les manoeuvres nécessaires pour permettre le passage sur cette voie. 



   Chaque commande,qui a en vue de permettre la circu- lation sur la voie voulue dans une station déterminée, com- prend une série d'opérations sélectives par lesquelles on choi- sit d'une part la station voulue et d'autre part la voie dési- rée. Ces opérations comportent également, selon l'invention, l'établissement de connexions par lesquelles on confirme au poste central que la station ou la voie exacteaété choisie. A cet effet on prévoit au poste central et aux différents postes locaux un certain nombre d'émetteurs et de récepteurs d'impul- sions de courant, désignés au poste central par GS, OS ou KV1, KV2 et aux postes locaux par GV, OV ou KS1, KS2 et qui peuvent être raccordés   successivement   par des   fils 4 ou   b,à la ligne 

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 de transmission L.

   A l'aide des émetteurs d'impulsions GS et et OS du poste central on transmet des séries d'impulsions de courant par lesquels on choisit le poste local voulu ou la voie désirée. Les émetteurs d'impulsions peuvent, à cet effet, être reliés par les fils c à un quelconque des panneaux de commande MP1, MP2, MP3. 



   Le fonctionnement est le suivant. A supposer qu'on veuille préparer la voie qui est surveillée par le relais de voie MOS de la station S2. Après la manoeuvre de l'organe de commande correspondant du panneau MP2 on agit sur le bouton dé- clencheur ou analogue, ce qui relie l'émetteur d'impulsions GS au panneau MP2. De cette manière la station voulue est repérée dans.l'émetteur d'impulsions et celui-ci se   @@it   en marche en transmettant par la ligne L un nombre d'impulsions, correspon- dant au numéro de le station voulue S2. Ces impulsions sont reçues par tous les récepteurs d'impulsions GV généralement raccordés à la ligne L et ceux-ci se trouvent donc tous dans la même situation.

   Le récepteur GV, appartenant à la station vou- lue   82/ provoque   alors une connexion pour laquelle le choix sui- vant de la voie ne peut se faire que pour cette station. Avant le début de la sélection de la voie désirée, un émetteur d'im- pulsions KSl de contrôle entre en action à la station S2 pour renvoyer une confirmation que la station exacte a été choisie. 



  L'émetteur d'impulsions KSI renvoie donc au poste central le 
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 &e ôm re nil ulszon . Ces impulsi.ons de courant sont re- gués au poste central par le récepteur d'impulsions KV1. Quand la station exacte a été choisie, l'émetteur GS et le récepteur KVl occupent des positions correspondantes ce qui ferme un circuit par un   fil ± ,   déclenchant la mise en marche de l'é- metteur d'impulsions OS pour les commandes. Celui-ci envoie un nombre d'impulsions de courant, correspondant à la voie dési- rée et qui sont reçues à la station S2 par un récepteur d'im- pulsions OV, et qui est ainsi actionné et qui choisit le relais 

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 KOS de la voie correspondante.

   En même temps l'émetteur d'im- pulsions KS2 pour le contrôle est mis en marche et celui-ci renvoie au poste central un nombre d'impulsions correspondant à celui adopté pour la voie choisie par le récepteur d'impul- sions OV. Ces impulsions sont reçues au poste central par le récepteur KV2 lequel, lorsqu'une voie correcte a été choisie, vient ocuuper une position correspondante à celle de l'émetteur OS et provoque l'allumage d'une lampe au panneau de commande MP2, laquelle indique donc que la station et la voie exactes ont été choisies. 



   Au cas   où.,   par suite d'une erreur, l'installation de transmission montrerait qu'une station inexacte a été choi- sie, le circuit déclencheur par le fil d ne parviendrait pas à s'établir et les connexions seraient interrompues ce qui empê- cherait le choix inutile d'une voie dans une station inexacte. 



  Le personnel du poste central est averti par le fait que la lampe reste éteinte ou de toute autre manière, qu'une erreur a été commise, de sorte qu'il peut interrompre les connexions, déceler l'erreur et recommenvcer, au besoin, la transmission de l'ordre. On peut, d'une manière analogue+ et en faisant in- tervenir un circuit e f pour l'envoi d'une impulsion unique d'exécution, empêcher qu'une voie inexactement choisie soit mi- se en jeu. Le circuit e f n'est en effet fermé que du moment que l'émetteur d'impulsions OS et le récepteur d'impulsions   KV2   du poste central occupent des positions correspondantes après la fin du choix de la voie et-le renvoiedes impulsions pour le contrôle ou la confirmation.

   Le relais de voie MO5 qui a été choisi est donc seulement actionné après que 1'impul- sion unique d'exécution a-été envoyée par le circuit e f. 



   Pour l'exemple décrit la lampe indicatrice   s'allume   déjà quand le relais de voie désiré a été choisi ou actionné. 



  La confirmation automatique n'indique donc, dans ce cas, que le fait que la voie exacte a été choisie mais elle ne donne 

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 aucune indication en ce qui concerne l'exécution de l'ordre donné. Une telle indication est toutefois,   comme   indiqué plus haut, inutile dans la plupart des cas mais peut être réalisée dans l'installation si on le désire. Par exemple on peut munir les relais de voie de contacts par lesquels un circuit est fermé quand le passage sur la voie a été établi. L'impulsion unique de contrôle ainsi obtenue peut être transmise directe- mznt, par la connexion déjà existante, au poste central et servir à l'allumage d'une lampe indicatrice qui montre donc que l'ordre a été exécuté. 



   Les émetteurs et récepteurs d'impulsions peuvent être constitués de toute manière appropriée. De préférence on utili- se des sélecteurs à commande électromagnétique   enlevés   en té- léphonie automatique. Ces dispositifs sont utilisés pour le mode de réalisation de l'invention décrit ci-après. Ils peuvent toutefois être remplacés, au besoin, par des groupes de relais fonctionnant d'une manière analogue aux sélecteurs mécaniques. 



   Pour le mode de réalisation pratique, indiqué sur les fig. 2 à 4, d'une installation de télécommande selon l'inven- tion, les différents organes de manoeuvre, qui se trouvent au poste central et qui sont commandés à la main, sont établis sur un tableau de commande commun MB (fig. 2) subdivisé en un nombre de zones ou panneaux MP1, MP2,   etc..,   correspondant au nombre de postes locaux ou éloignés. Sur le schéma selon la fig. 3 on n'a indiqué qu'un seul panneau qui est celui corres- pondant au poste local schématisé sur la fig. 4 et qui, compté à partir du poste central, est par exemple le troisième. 



   Comme visible sur les fig. 2 et 3 on monte sur cha- que panneau une manette MR avec 11 positions caractéristiques Kl à   Kll   différentes et qui correspondent respectivement à onze organes de commande MO1-MO11 du poste local correspondant à ce panneau (fig. 4). On a admis que chaque organe de connnande lo- cal, en étant actionné, permet le passage sur une voie détermi- 

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 née. Pour chaque position caractéristique de la manette MR on a prévu une lampe de commande M1-M11 qui est montée de manière qu'elle s'allume après que la deuxième série d'impulsions de contrôle a montre que l'organe de commande local exact a été choisi. En outre on prévoie sur chaque table un bouton   déclen-   cheur SK qui surveille un relais de ligne LR ordinairement ex- cité.

   Le tableau de commande MB est, avantageusement, combiné avec un tableau indicateur IB sur lequel est indiqué le schéma des voies avec lampes ou autres moyens de signalisation (fig. 



  2). Le schéma des voies visible sur le tableau indicateur ainsi que les lampes de signalisation et les organes coopérant avec celles-ci n'a pas été montré sur les fig. 3 et 4 pour la raison que cette disposition, comme telle, ne fait pas partie de la présente invention. 



   Avec les appareils du tableau de commande   MB   coopère un émetteur Code pour la commande et dont le schéma de montage est indiqué à droite de la ligne verticale en traits   interrom-   pus de la figo 3. Cet émetteur Code est relié, d'autreopart, pa une ligne commune L à deux fils à un certain nombre de récep- teurs Code dont chacun correspond à un des postes locaux. Ce    ant récepteur Code du poste local, correspond/au panneau indiqué   sur la fig. 3, c'est-à-dire le récepteur Code   du.3   poste lo- cale compté à partir du poste central, est montré schématique- ment sur la fig. 4. 



   Les organes les plus importants de l'émetteur Code de commande sont constitués par un émetteur d'impulsions GS de groupe, par le premier sélecteur de contrôle KV1, l'émetteur d'impulsions de commande OS et le deuxième sélecteur de contr8- le KV2 (voir fig. 1). L'émetteur d'impulsions de groupe GS et l'émetteur d'impulsions de commande OS sont constitués au point de vue constructif, d'une manière analogue au sélecteur de con- tr8le KV comme des sélecteurs électromagnétiques et qui par de- sexcitation de l'électro de commande passent à une autre posi- 

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 tion active. Ils surveillent, à l'aide de leurs bras contac- teurs mobiles, émission des impulsions de courant.

   Le champ contacteur dans l'émetteur de groupe GS est, à cet effet, re- lié de manière telle au relais de ligne   IR   qu'en abaissant un bouton déclencheur déterminé SK, contrôlant un relais de ligne, on obtienne une position de contact dans l'émetteur   d'impulsions   de courant qui correspond au groupe désiré des organes de com- mande locaux. Le champ contacteur de l'émetteur d'impulsions de commande OS est relié de manière telle à des manettes MR cor- respondantes qu'en manoeuvrant une manette on obtienne le re- pérage correspondant d'une position de contact dans l'émetteur. 



  L'envoi d'impulsions de courant est exécuté par un interrupteur périodique Dr et par l'intermédiaire de relais contrôlés par les émetteurs GS et OS correspondants. 



   Chaque récepteur Cède de commande comporte un sélee- teur de groupe GV, un premier émetteur d'impulsions de contrôle KS1, un sélecteur de commande OV et un deuxième émetteur d'im- pulsions de contrôle KS2 (voir fig. 1). Ces appareils corres- pondent) au point de vue constructif, en principe aux sélec- teurs et aux émetteurs d'impulsions du poste central. Les sé- lecteurs de groupe GV sont toutefois agencés de manière telle qu'ils passent à une autre position caractéristique quand les électros de commande correspondants attirent leur armature. 



   Au poste central on a prévu deux sources de courant Bl et B2 ayant des tensions différentes respectivement de 12D et de 24 volts. La source Bl de tension plus élevée est utili- sée pour l'émission d'une première série d'impulsions de cou- rant, qui sont toutes reçues par les différents sélecteurs de groupe GV ,par   la;ligne.   Les électros de commande de ces sélec- teurs sont branchés en parallèle sur la ligne et en série avec chaque enroulement d'électro on a monté un redresseur de cou- rant par exemple un redresseur à contact KLR. Les enroulements de ces électros ont une résistance relativement élevée afin que l'intensité totale du courant dans la ligne ne devienne pas 

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 trop grande.

   La source B2 de tension moindre et qui présente une polarité inverse, par rapport à la source Bl. de tension plus élevée, est utilisée pour l'émission de la deuxième série d'impulsions de courant et qui n'est reçue que par le récep- teur Code de commande qui appartient au poste local sélection- néo Pour chaque récepteur Code de commande on a prévu une source de courant locale B3 de tension moindre et qui possède une polarité inverse par rapport à la source Bl dudit récep- teur Code et cette source locale B3 est utilisée pour le ren- voi des impulsions de contr8le. 



   L'installation de télécommande comporte en outre un grand nombre de relais, d'interrupteurs périodiques et d'autres appareils dont le montage est indiqué sur les fig. 3 et 4. 



   L'installation de télécommande selon les fig. 2 à 4 fonctionne comme sukt. 



   A supposer que l'organe de commande M04, correspondant au troisième poste local montré sur la fig. 3, soit actionné pour établir le passage par une voie déterminée. Dans ce cas on amène la   man@te     MR  du panneau de commande correspondant,à la position K4 relative audit organe   M04   et on repousse le bouton déclencheur SK correspondant* En abaissant ce bouton, le cir- cuit 11 du relais de ligne LR, ordinairement excité, est in- terrompu de sorte que le relais LR cesse d'être excité et for- me un circuit   12   pour les impulsions de courant et dans lequel est établi un interrupteur périodique Dr2. Ce circuit bifurque, d'une part, par l'électro de commande de l'émetteur de groupe GS et, d'autre part, par un relais retardateur Rl.

   La première impulsion de courant dans le circuit 12 provoque l'attraction de l'armature de l'électro de commande sans qu'un mouvement se produise pour les bras contacteurs de l'émetteur d'impulsions et le relais R1 attire à nouveau son armature. Par l'excitation du relais R1 il se produit un auto-verrouillage de celui-ci par son contact 13 et, par un autre contact, le relais ferme un 

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 circuit 14 passant par un relais   commutateur R2   qui attire son armature par laquelle la ligne L est reliée à l'émetteur Code de commande et est alimentée avec la tension de la source Bl (120 volts).

   Quand l'émetteur d'impulsions GS, lors de la pre- mière interruption de courant dans le circuit 12,quitte sa po- sition initiale, le circuit est interrompu dans l'émetteur mais à la place de ce circuit on ferme un circuit 15 contenant le même interrupteur périodique Dr2 et qui passe par un contact actif du relais Rl, maintenant excité, et qui bifurque de toute façon par ledit relais et par l'électro de commande de l'émet- teur d'impulsions GS. Celui-ci continue donc son mouvement et le relais Rl reste attiré. Pour la deuxième pesition de l'émet- teur d'impulsions GS on obtient la fermeture d'un circuit 16 d'un relais R3 qui subit un auto-verrouillage par son contact 17. Le relais R3 ferme un circuit 18 qui passe par un interrup- teur périodique Dr3 et un relais R4.

   L'interrupteur périodique Dr3 envoie des impulsions de courant en mesure ocelles de l'interrupteur périodique Dr2 et le relais R4 est donc actionné en concordance avec l'électro de commande de l'émetteur de groupe GS et provoque-par conséquent des interruptions pério- diques à s es contacts 19 et 20 dans le circuit de ligne ce qui envoie une série d'impulsions dans la ligne. Le relais R3 a pour but d'empêcher l'envoi de demi-impulsions par la ligne. 



  Par l'excitation de R4 on forme 'en outre un circuit 21 pour un relais à retardement R5 qui attire ainsi son armature. Quand R4 lâche ensuite son armature, on obtient la fermeture d'un cir- cuit 22 par un relais à retardement R6 qui, de son coté, ferme un circuit 23 pour un relais à retardement R7. Par suite de leur retardement les relais R5, R6 et R7 retiennent leur arma- ture pendant l'envoi de toute la série d'impulsions. 



   Quand l'émetteur d'impulsions GS occupe sa position repérée par le relais desexcité LR, on obtient la fermeture drun circuit 24 pour un relais d'arrêt R8.   Ce.-lui-ci   attire son armature et se branche par Son contact 25 à un circuit de 

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 retenue et ferme son contact ce qui libère les circuits 14 et 23 de leur dépendance du   relais Rl.   En même temps le relais d'ar- rêt R8 interrompt d'une part le circuit d'impulsions 15 qui ferme un circuit de commande pour l'émetteur d'impulsions GS et un circuit d'alimentation par le relais à retardement Rl et, d'autre part, le circuit 18 pour le relais d'impulsions R4. 



  L'émetteur d'impulsions GS est mis à   l'arrêt   et le relais R4 lâche son armature de manière que l'émission d'impulsions ces- se. Après un certain temps le relais à retardement R1 lâche son armature, ce qui interrompt le circuit 16 du relais R3 dont l'excitation cesse. Par la desexcitation du relais R4 le cir- cuit 21 du relais à retardement R5 est interrompu et celui-ci lâche son armature après un certain   ternes pour   interrompre le circuit   2   du relais à retardement R6. Celui-ci lâche son ar- mature après un certain temps ce qui interrompt le circuit 23 du relais à retardement R7.

   Celui-ci retient encore son armatu- re pendant peu de temps et il en résulte que lorsque le relais R6 a lâché son armature on obtient pour un moment la fermeture d'un circuit 27 passant par un relais de comnande R9 qui attire son armature et qui se verrouille par son contact 28 à l'aide d'un circuit 30 passant par un relais commutateur RIO. Ce re- lais attire son armature, il se verrouille par son contact 31, interrompt aux contacts 32 et 33 l'alimentation par la source Bl (120 volts) et y substitue une alimentation par la source B2 (24 volts).

   Cette dernière source, dont la polarité est in- versée par rapport à la source Bl et qui est utilisée pour l'en- voi d'une deuxième série d'impulsions de courant n'est toute- fois pas branchée directement à la ligne car celle-ci a été débranchée de la source par les contacts 34 et 35   quand le   re- lais R9 a attiré son armature et a été reliée à un relais ré- cepteur d'impulsions Rll. 



   Après l'envoi de la première série d'impulsions, l'é- metteur de groupe GS occupe la position 5 et les relais R2, R8, 

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 R9 et R10 ont leur armature attirée pendant que les autres re- lais sont   desexcités.   L'émetteur de groupe GS a été avancé de trois pas depuis sa position 2 et le relais d'impulsions R4 a entre temps interompu et refermé trois fois le circuit de ligne, L'émetteur Code pour la commande est maintenant prêt à rece- voir la première série d'impulsions de contrôle à l'aide du re- lais récepteur d'impulsions Rll. 



   Quand le relais R2 a été excité par l'enfoncement du bouton déclencheur SK, le circuit de ligne 40 a été fermé, ce circuit partant de la source Bl (120 volts) et passant par la ligne et les électros de commande V2D des différents sélecteurs de groupe GV. Par la fermeture du circuit de ligne 40 les dif- férents électros V2D ont attiré leur armature pendant que les crochets entraîneurs des mécanismes d'avancement intermittent correspondants déplacent les sélecteurs d'un pas. En même temps on obtient pour chaque sélecteur la fermeture d'un circuit local 41 pour un relais à retardement V2H dont l'armature est reliée de manière telle au crochet   d'arrêt   42 du mécanisme d'avancemert intermittent que ledit crochet vienne en prise avec la roue d'arrêt quand l'armature est attitée par la fermeture du cir- cuit 41.

   Quand le circuit de ligne 40 est interrompu pour la raison que le relais d'impulsions R4 de l'émetteur Code pour la commande attire son armature pour la première fois, les diffé- rents électros de commande V2D sont desexcités. En même temps le circuit 41 du relais V2H est interrompu mais il retient en- core son armature par l'action du retardement. Un circuit 43 est par conséquent fermé par le relais à retardement R15 qui attire son armature et ferme ainsi un circuit 44 passant par un relais à retardement R16. Ces relais assurent la commutation du circuit 41 de-manière que celui-ci soit fermé par les con- tacts 45   et '46   reliés électriquement aux relais.

   Les relais V2H, R15 et R16 retiennent, pendant l'envoinde toute la série d'impulsions, leur armature par leur action de retardement et pour chaque fermeture du circuit 40 les différentes   sélectùns   

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 de groupe GV avancent deuil pas. 



   Après la fin de l'envoi des impulsions les différents sélecteurs de groupe GV ont avancé de quatre pas et viennent par conséquent occuper la même position.-Seulement pour le sé- lecteur de groupe qui correspond à la station locale désirée, on obtient pour cette position la fermeture d'un contact 47 qui prépare un circuit 48 pour un relais de raccordement R17 à ac- tion retardée. Quand le circuit 43 du relais R15 est interrompu pendant un court moment après la fin de l'envoi de la série d'impulsions, à l'endroit du contact actif du relais V2H,on ob- tient la   fermature   du circuit 48 de sorte que le premier relais est desexcité.

   Quand le relais R17 est desexcité par la ferme- ture du circuit   48,   on obtient la fermeture d'un circuit 49 passant par la bobine de retenue V2L du relais V2H, de sorte que le crochet d'arrêt 42, appartenant au sélecteur de groupe de la station locale voulue, reste en prise avec la roue d'ar- rêt, même après que l'envoi de la série d'impulsions a cessé. 



  Pour les sélecteurs de groupe GV, qui n'appartiennent pas à la station locale désirée, il ne se produit pas la fermeture d'un circuit pour le relais de raccordement R17 de sorte que pour ces sélecteurs les bobines de retenue V2L ne sont pas excitées. 



  Par ces sélecteurs les crochets d'arrêt 42 sont écartés des roues d'arrêt à la fin de l'envoi de la série   d'impulsions,   de sorte que les sélecteurs peuvent retourner à leur position ini- tiale sous l'action d'un ressort de rappel. 



   En excitant le relais de raccordement Rl? on ferme également un circuit 50 pour un relais commutateur R18 qui at- tire son armature et déconnecte à   l'aide   de ses contacts 61 et 52 la partie de la ligne qui se trouve   a@   delà de la station locale sélectionnée et connecte la source B3 de 24 volts à la partie de la ligne aboutissant à l'émetteur Code pour la comman de ce qui ferme un circuit de ligne 53 par le relais récepteur Rll des impulsions de contrôle dans l'émetteur Code. Cette source B3 a une polarité inverse par rapport   à.   celle de la 

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 source Bl (120 volts) dudit émetteur Code et qui a été utilisée pour l'envoi de la première série d'impulsions et qui vient   d'être   terminé.

   On empêche ainsi l'actionnement des sélecteurs de groupe GV intermédiaires et branchés sur la ligne en série avec des redresseurs de courant. 



   En excitant le relais R18 on ferme également un cir- cuit d'impulsions 54 pour un interrupteur périodique Dr5. Ce circuit bifurque, d'une part, vers   @@ectro   de commande de l'é- metteur KSI des impulsions de contrôle et, d'autre part, vers un relais à retardement R19.   L'émetteur   KSI est mis en marche, le relais R19 attire son armature et se verrouille par son con- tact 55. Quand l'émet beur KSI quitte sa position initiale, le circuit 54 est interrompu par un contact dans l'émetteur mais à la place de celui-ci un autre circuit d'impulsion 56 est fer- mé pour l'électro de commande et le relais à retardement R19. 



   Quand l'émetteur KSI atteint sa position-2, on obtient la fer- meture d'un circuit 57 pour un relais R20 qui attire son arma- ture et se verrouille par un circuit 58. Par l'excitation du relais R20 on obtient la fermeture d'un circuit 59 d'impulsions pour un relais R21. Le circuit 59 comprend un interrupteur pé- riodique Dr6 qui fonctionne en concordance avec l'interrupteur périodique Dr5. Le relais R21 émettra donc des impulsions à l'aide de ses contacts 60 et 61 par la ligne en concordance avec la position de l'émetteur de contrôle KSl.

   Dès que cet emetteur est venu occuper une position telle que le nombre d'impulsions envoyées par la ligne corresponde à la station locale désirée, donc dans ce cas trois impulsions, on obtient la fermeture, par un bras contacteur de l'émetteur, d'un cir- cuit 62 pour un relais commutateur R22 qui attire son armature et de cette manière se verrouille, d'une part, par son contact 
63 et interrompt, d'autre part, le circuitnde commande 56 de l'émetteur de contrôle KSI, le circuit du relais R19 ainsi que le circuit d'impulsions 59 du relais R21. L'émetteur KSI s'ar- 

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 rête et l'envoi d'impulsions par la ligne est interrompu. En outre le relais R22 interrompt le circuit 50 pour le relais commutateur à retardement R18 qui lâche son armature après un certain temps.

   Le relais R22 déconnecte par ses contacts 64 et 65 la partie de ligne qui se trouve au delà de lastation loca- le et relie un relais récepteur d'impulsions R23 à la partie de la ligne qui aboutit à la station centrale. Quand le relais commutateur R18 lâche son armature, il sépare par ses contacts 51 et 52 la source locale B3 d'avec la ligne et interrompt, par d'autres contacts, le circuit 58 du relais R20, qui lâche aus- sitôt son armature. Après que l'envoi de la première série d'impulsions de contrôle est terminé, les relais V2H, V2L, R17, R22 de la station locale choisie retiennent donc leur armature alors que les autres relais sont desexcités. Le sélecteur de groupe   GV   occupe sa position de contact et l'émetteur de con- de trôle KSI occupe sa position 5.

   Le récepteur Code/commande est alors prêt à recevoir la deuxième série d'impulsions provenant de   l'émeteur   Code. 



   La première série d'impulsions de contrôle, ainsi en- voyée, est reçue par le circuit de ligne 53 et par le relais ré- cepteur d'impulsions R11 de l'émetteur Code. Quand le circuit 53, par l'excitation du relais commutateur R18 du récepteur Co- de choisi et de la première excitation en résultant pour le re- lais   Rll,   est fermé la première fois on obtient la fermeture d'un circuit 69 par un relais à retardement R25 qui attire son armature et se verrouille par son contact 70. Quand le relais R11 lâche son armature par suite de la première interruption du circuitnde ligne, un- circuit 71 est fermé qui bifurque, d'ue part, vers un relais à retardement R26 et, d'autre part, vers l'électro de commande du sélecteur de contrôle KV1, Le relais R26 attire son armature ce qui ferme le circuit 71 par le con- tact 72.

   L'électro du sélecteur de contrôle attire son armature mais sans faire avancer le sélecteur. Quand le relais Rll est excité à nouveau, le circuit 71 est interrompu de sorte que le 

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 sélecteur KV1 vient occuper sa position 2. Pendant la réception de la première série d'impulsions de contrôle les circuits 69 et 71 des relais R25 et R26 sont alternativement interrompus et fermés. Lesdits relais retiennent toutefois leur armature jus- qu'à la fin de l'envoi de la série   d'impulsions)   à cause de leur action retardée.

   L'électro de commande pour KV1 est donc alternativement excité et desexcité par la branche correspon- dante du circuit 71 et cela.autant de fois qu'il se produit des interruptions dans le circuit de ligne provoquées par le relais d'impulsions R21 de la station locale choisie et sous le con-   trôle   de l'émetteur KV1. A la fin de l'émission des impulsions de contrôle le relais récepteur d'impulsions Rll retient encore son armature jusqu'à ce que le relais à retardement R18 de la station locale choisie ait eu le temps de lâcher son armature. 



  Avant que ceci a lieu, le relais à retardement R26 libère son armature ce qui ferme un circuit 73 d'un relais R27 qui se ver- rouille par un contact 74 du moment que le sélecteur de contrô- le KV1 et l'émetteur d'impulsions de groupe GS occupent des pp- sitions correspondantes. Le relais   R27   interrompt en outre le circuit 29 pour le relais R9 et celui-ci lâche son armature, sépare le relais récepteur Rll de la   &igne   et connecte à sa place la source B2 (24 volts). L'émetteur Code est alors prêt à envoyer les deux séries d'impulsions de commande. 



   Quand le relais R9 a lâché son armature, il a égale- ment fermé un circuit 85 comprenant un interrupteur périodique Dr2 et qui bifurque, d'une part, vers l'électro de commande de l'émetteur d'ordres OS et, d'autre part, vers un relais à re- tardement R30, monté en série avec un contact de la position 1. de l'émetteur d'impulsions. L'émetteur OS est mis en mouvement, le relais R30 attire son armature et se verrouille par son con- tact 86.

   Quand l'émetteur OS est arrivé à sa position 2 lors de la première interruption du circuit 85 auquel il a été   relié, 1   dit circuit est interrompu par un contact de 1'émetteur/ Mais à la place de circuit on obtient la fermeture d'un autre circuit 

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 87, fonctionnant en concordan/ce avec la premier et qui com- prend également un interrupteur périodique Dr2 en bifurquant vers l'électro de commande de l'émetteur OS et vers le relais à retardement R30. Pour cette position se produit également la fermeture d'un circuit 88 pour le relais R3 qui attire son ar- mature et se verrouille par son contact 17. Le relais ferme   éga-   lement un circuit 89 pour le relais R4 et qui comprend un in- terrupteur périodique Dr3.

   Celui-ci fonctionne en concordance avec l'interrupteur périodique Dr2 branché sur le circuit de commande de l'émetteur OS. Le relais R4 envoie alors, comme au- paravant, des impulsions par ses contacts 19 et 80 dans la li- gne mais cette fois en concordance avec la position occupée par l'émetteur OS et non par l'émetteur GS. Quand l'émetteur OS at- teint la position indiquée par la manette MR -- dans le cas in- diqué sur le dessin il s'agit de la position 6   --,   un circuit 90 est fermé par un relais d'arrêt R31 qui attire son armature et se verrouille par ses contacts 91 et 92. Le relais d'arrêt R31 interrompt, en outre, le circuit 87 de l'émetteur OS, le circuit du relais R30 ainsi que le circuit 89 du relais d'im- pulsions R4. L'émetteur OS s'arrête et l'envoi des impulsions par la ligne cesse.

   De la même manière qu'à la fin de la pre- mière série d'impulsions on obtient l'excitation du   relais R9   par un circuit 93 et ce relais attire, peu après, son armature ce qui relie le relais récepteur d'impulsions R11 à la ligne pour qu'il soit prêt à recevoir la deuxième série d'impulsions de contrôle. 



   Après l'envoi de la deuxième série d'impulsions de commande, l'émetteur d'impulsions de groupe GS occupe sa posi- tion 5, le sélecteur de contrôle KV sa position 4, l'émetteur d'ordres OS sa position 6, les relais R2,   R8, R9,   RIO et R31 retiennent leur armature et les autres relais sont desexcités. 



   La deuxième série d'impulsions de commande, assurée par quatre interruptions dans le circuit de ligne, a été reçue dans la troisième station locale choisie par le relais récep- 

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 teur R23. Quand la source B2 (24 volts) a été reliée de ce fait dans l'émetteur Code à la ligne et quand le relais R9 a lâché son armature après la fin de l'envoi de la première série   d'ini-   pulsions de   contrôle)   on a obtenu la fermeture d'un circuit 74 pour le relais R23. Celui-ci a attiré son armature et a fermé un circuit 100 pour un relais à retardement R35.

   Quand le re- lais R23 lâche son armature à la réception de la première im- pulsion (interruption du courant), il ferme par son contact un circuit 101 qui passe par un contact fermé quand le sélecteur OV occupe sa position 1, ce circuit bifurquant,d'une part, vers l'électro de commande du sélecteur et, d'autre part, vers un relais à retardement R36. L'electro de commande du sélecteur OV attire son armature mais sans faire avancer les bras de contact du sélecteur. Le   relais R35   attire également son armature mais relie ainsi, par son contact 102, un contact sélecteur établi dans le circuit 101 et ferme, par son contact 103, un circuit 104 par un relais à retardement R3? qui, par la fermeture de son contact 105, prépare un circuit pour le relais commutateur R38.

   Celui-ci doit effectuer une commutation pour l'envoi de la deuxième série d'impulsions de contrôle. Par son contact 106 et par le contact 107 au relais R35 on obtient que le relais R37 est branché à la borne positive ce qui le libère de la dé- pendance du relais R36. 



   Quand la ligne est à nouveau traversée par le courant après la première interruption du circuit, le relais récepteur R23 attire à nouveau son armature ce qui interrompt le circuit de   commande   du sélecteur d'ordres OV et celui-ci avance d'un pas. De même le courant est interrompu dans le relais R36 mais celui-ci retient encore,par son action retardée, son armature. 



  En même temps le relais à retardement R35 reçoit une nouvelle impulsion. Le sélecteur d'ordres OV avance alors pas à pas en concordance avec les impulsions de courant. Pour le cas consi- déré on émet quatre impulsions (interruptions de courant) et le sélecteur est par conséquent arrêté à sa position 5. Comme 

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 ligne est sous tension après la dernière interruption pendant une durée plus longue que la période de libération du relais   R36,   celui-ci   làche   son armature après l'envoi de cette série d'impulsions et interrompt son contact 102 avant que la ligne cesse en permanence d'être sous tension par suite de la conne- xion du relais récepteur R11 de l'émetteur de commande à la ligne.

   Quand ceci se présente et que le relais R23 lâche ainsi son armature, le sélecteur d'ordres OV devient inactif et res- te à sa position 5. Après peu de temps le relaie à retardement R37 lâche également son armature ce qui interrompt le circuit du relais R3? au contact 107 et en même temps un. circuit 108 pour le relais commutateur R38 est branché sur ce même contact. 



  Le relais R38 attire son armature et se verrouille,en dépendan - ce du relais R22, par un circuit 109. Simultanément on ferme un circuit 110 qui passe par le relais commutateur R18 etpar un contact du relais R17. Le relais R18 est ainsi excité et re- lie par ses contacts 51 et 52 la source, appartenant à la sta- tion locale choisie, à la ligne. Le récepteur Code commence alors à envoyer la deuxième série d'impulsions de contrôle. 



   Quand lenrelais commutateur R18 a attiré son armature, le circuit 115 comprenant l'interrupteur périodique Dr5 a éga- lement été fermé, ce circuit bifurquant, d'une part, vers l'é- lectro de commande de l'émetteur de contrôle KS2 et, d'autre part, vers un relais à retardement R40 et un contact fermé pour la position 1 de l'émetteur de contrôle KS2. La première impul- sion de courant dans le circuit 115 oblige l'électro de l'é- metteur KS2 et le relais R40 à attirer leur armature. L'émet- teur reste toutefois à sa position 1 alors que le relais R40 se verrouille par un courant fourni par une dérivation 117 à son contact 116.

   Pour la première interruption dans le circuit 115 l'émetteur KS2 est amené à sa position 2 ce qui interrompt ledit circuit et substitue à   ceui-ci   un autre afin que le cir- cuit 118. fonctionnant en dépendance, soit fermé en passant par l'électro de commande et le relais R40. Quand l'émetteur de 

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 contrôle KS2 occupe sa position 2, un circuit 119 pour le re- lais R20 est fermé, ce relais se verrouille par un de ses con- tacts à l'aide du circuit 120 alors que son autre contact ferme un circuit 121 pour le relais d'impulsions R21. L'électro de commande de l'émetteur de contrôle KS2 et le relais R21 fonc- tionnent alors en dépendance et des impulsions de courant sont envoyées dans la ligne en concordance avec le mouvement de l'é- metteur   KS2.   



   Quand l'émetteur KS2 atteint sa position 6 déterminée par le sélecteur d'ordres OV et quand quatre impulsions ont été envoyées par la ligne, on obtient la fermeture d'un circuit 122 pour un relais d'arrêt R 41. Ce relais interrompt, par l'attraction de son armature, d'une part, le circuit d'impul- sions 121 du relais R21 et, d'autre part, le circuit   d'impul-   sions 118 de l'électro de l'émetteur de contrôle KS2 du relais à retardement B40. L'émetteur KS2 eat arrêté et l'envoi d'im- pulsions dans la ligne cesse. En outre le relais R41 interrompt han ses contacts 123 et 124 des circuits qui pourraient subsister pour les relais de voie MO1 à MO11. Pan un autre contact le relais R41 interrompt le circuit 110 du relais commutateur R18 lequel est desexcité et relié, par ses contacts 51 et 52, le relais récepteur R23 à la ligne. 



   La deuxième série d'impulsions de contrôle est reçue dans   l'émetteur 'Code   par le relais Rll. Quand le circuit de li- gne 53 passant par le relais Rll a été fermé lors du raccorde- ment à la ligne de la source B3 du récepteur Code par le relais R18, celui-ci a attiré son armature. Comme les relais R2? et R31 ont retenu leur armature, on a obtenu ainsi la fermeture d'un circuit 140 pour un relais à retardement R45 lequel a   atti   ré son armature. Comme le relais Rll, en recevant la première impulsion (interruption du courant), a lâché son armature, un circuit 141 a été fermé qui passe par un contact fermé pour la position 1 du sélecteur de contrôle KV2, ce circuit bifurquant, d'une part, par l'électro dudit sélecteur KV2 et, d'autre part, 

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 par un relais à retardement R46.

   L'électro attire son armature sans faire avancer -le sélecteur et le relais R46 attire son ar- mature ce qui ferme le contact du circuit 141 dans le sélec- teur. Le circuit 141 est interrompu quand le relais R11 est ex- cité à nouveau. De cette manière le sélecteur   KV2   avance jus- qu'à la position 2 et il continue ensuite à avancer d'un nombre de pas correspondant à celui des impulsions émises par le.r é- cepteur Code. Pour le cas considéré on émet quatre impulsions d sorte que le sélecteur KV2 s'arrête à la position 5. A la fin de cet envoi d'impulsions, le relais R11 retient encore son ar- mature jusqu'à ce que le relais R18 du récepteur Code ait eu le temps de lâcher son armature.

   Avant cela le relais R46   lâche   son armature ce qui ferme un circuit 142 pour un relais à re- tardement R47 qui attire son armature et se verrouille par son contact 143 du moment que le sélecteur de contrôle KV2 et l'é- metteur d'ordres OS occupent des positions correspondantes. Le relais R47 prépare un circuit 144 pour un relais R48. Ce cir- cuit est fermé quand le relais R11 lâche son armature de sorte que le relais R48 est excité et se verrouille par son contact 145. Le relais R48 interrompt en outre le circuit 93 pour le relais   commutateur   R9, ce qui sépare le relais récepteur R11 de la ligne et branche la source B2 à la ligne.

   En outre le relais R48 ferme un circuit 146 par un relais à retardement R49 qui attire son   armature.   desexcitation du relais Rll, celui-ci a interrompu égale ment le circuit 140 du relais R45. Quand Ee dernier lâche par conséquent son armature, le circuit 146 est interrompu et à sa place un circuit 147 pour un relais à re- tardement R50 est fermé, ce relais attirant son armature.Quand ceci a lieu, le relais R49 maintient encore son armature atti- rée, par l'action retardée, mais il lâche aussitôt après son armature ce qui ferme un circuit 148 pour un relais R51. En ou- tre le circuit 147 du relais R50 est interrompu.

   En excitant le relais R51 on ferme un circuit 149 pour un relais R52, qui at- tire son armature et se verrouille par son propre contact 150 

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 tout en fermant par un autre contact le   @   151 qui passe par le relais indicateur des ordres A4 vers un contact 152 d'un relais de raccordement A12, lequel a déjà attiré son ar- mature, lors de l'excitation du relais   d'arrêt   R8 à la fin de l'envoi de la première série d'impulsions par suite de la ferme- ture du circuit 153.Par des excitations du relais R50 on ferme un circuit 154 pour un relais d'impulsions R4, ce qui donne lieu à une autre interruption sur la ligne. Quand le relais   B51   lâ- che ensuite son armature, ledit circuit 154 est interrompu, le relais R4 libère donc son armature et ferme à nouveau le cir- cuit de ligne.

   Cette impulsion est une impulsion d'exécution qui provoque l'actionnement de l'organe de commande local choi- si (relais de voie). 



   Comme dit ci-dessus, le relais d'ordres A4 a attiré son armature   après que.:'   le relais R47 a constaté que l'organe de commande,local correct a été sélectionné. Ceci provoque l'allumage de la lampe M4 par le circuit 155. En outre le cir- cuit 151 bifurque également au contact 157 par le relais de li- gne LR, vers le circuit 158. Le relais de ligne LR attire son armature, se verrouille et interrompt en outre le circuit 24 du relais   d'arrêt   R8. Quand celui-ci lâche son armature, il ramène les différents relais et appareils à avancement intermittent du coté émetteur à leur position initiale et cela de la manière suivante. Le circuit 14 du relais R12 est interrompu et débran- ché de la ligne. En même temps le circuit 30 du relais   RIO   et le circuit 73 du relais R27 sont interrompus.

   En outre les cir- cuits sont interrompus dans les relais R12, R31, R48 et R52. Par la desexcitation du   relais R31   le circuit 142 du relais R47 est interrompu.. De cette manière les différents relais de l'émet- teur Code sont ramenés à leur position normale. 



   Par la desexcitation du relais R8 on forme un circuit de rappel 165 qui bifurque, d'une part, vers le sélecteur de contr8le KVl et, d'autre part, vers le sélecteur de contrôle KV2. Les sélecteurs sont ainsi ramenés à leur position initiale 

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 Après cette opération une commutation se produit pour les cir- cuit dérivés correspondants respectivement par led contacts 166 et 167 pour la position normale du sélecteur de contrôle, de sorte que l'électro de commande de l'émetteur de groupe OS re- çoit un courant de rappel par le circuit 168 ou 169 ce qui ra- mène cet émetteur à sa position initiale. Le relais indicateur d'ordres A4, qui correspond à l'ordre donné, reste excité par un circuit 170 qui comprend le contact normalement fermé du re- lais de ligne. 



   Si on amène ensuite éventuellement la manette MR à une position active faisant partie du 2è groupe de positions K6 à Kll, un- circuit de retenue 171 est formé pour l'enroulement auxiliaire AL4 dudit relais A4 de sorte que celui-ci ne peut être desexcité quand le bouton déclencheur est ensuite enfoncé. 



   Quand le circuit de ligne a été fermé pour préparer l'impulsion d'exécution.dont question plus haut, le relais ré- cepteur d'impulsions R23 a attiré son armature. De cette maniè- re le circuit 100 est fermé et le relais R35 attire son armatu- re. Quand l'impulsion d'exécution (interruption du courant) ar- rive, le relais R23 lâche son armature et un circuit 142 est formé dans un relais à retardement R53 qui attire son armature. 



  Quand le relais récepteur R23 attire à nouveau son armature un circuit 173 est fermé pour un   relais .R54   qui attire son armatu- re. Ce relais R54 se verrouille alors par un circuit 175 abou- tissant à son contact 134. En excitant le   relais R54   un circuit 186 est également fermé pour l'organe de commande local choisi (relais de voie) M04 qui attire son armature. En outre le re- lais R54 interrompt le circuit de retenue 49 pour l'enroulement de retenue V2L du sélecteur de groupe CV. Par conséquent l'ac- tion du ressort d'arrêt 42 sur la roue d'arrât cesse, ce qui ramène le sélecteur GV, sous l'effet de son ressort, à sa posi- tion initiale. Le contact 47 du circuit 48 est ainsi ouvert et l'excitation du relais de raccordement cesse. Par conséquent le circuit 62 du relais R22 est interrompu.

   Par la desexcitation 

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 du relais R22 le circuit 109 du relais R38 et le circuit 122 du relais B41 sont interrompus. Par la desexcitation du der- nier relais, un circuit de retenue 117 du relais de commande local   M04   est fermé et celui-ci reste excité même lorsque le relais R54 est desexcité pour la raison que le circuit de re- taue 175 a été interrompu par le   relais R41.   



   Par la   desexcitation   du relais R22 on a formé un cir- cuit de rappel   178,   comprenant un interrupteur périodique Dr4, pour   l'électro-de@commande   de l'émetteur KS1 des impulsions de contrôle ce qui ramène cet émetteur à sa position initiale. 



   Par la desexcitation du relais R41 on a formé un circuit de rappel 179, comprenant un interrupteur   D@4,   pour 1'électro de commande de l'émetteur KS2 des impulsions dé contrôle ce qui ramène celui-ci à sa position initiale. Dès que les relais R22 et R54 cessent d'être excités, on forme un circuit de rappel 180 comprenant L1 interrupteur périodique Dr4, par lequel le sélecteur des ordres OV est ramené à sa position ini- tiale. Le relais de voie M04 choisi retieht son armature. 



   Pour empêcher qu'un relais de commande actionné,fai- sant partie du ler groupe MO1-MO5, cesse d'être excité, quand un nouvel ordre arrive pour un quelconque des relais de comman- de du 2éme groupe   M06   à MO11, on forme par là barre de contact 
181 du sélecteur d'ordres 0V, quand celui-ci occupe des posi- tions correspondant à ce dernier groupe, un circuit dérivé 183 ayant un potentiel positif par rapport au circuit de retenue. 



   D'une manière analogue on empêche que liongane de commande du 
2éme groupe retourne à sa position initiale quand on déplace un organe de commande local faisant partie du   ler   groupe. 



   Commedéjà indiqué et comme il résulte de la fig. 2 on peut conbiner l'installation indicatrice, décrite ci-dessus, pour signaler la position des différents aiguillages et signaux ou groupes d'aiguillages et signaux (voies) avec un disposi- tifindicateur montrant la répartition des trains sur les dif- 

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 férentes lignes, ces deux dispositifs comprenant alors deux tableaux distincts. Le tableau pour indiquer la répartition des trains dépend alors des relais établis le long des voies et est commandé, de la manière connue, par des impulsions de courant émises par les postes locaux correspondant et reçues par le poste de commande central.

   Le tableau signalant la Posc- tion des aiguillages et des signaux fonctionne en dépendance des organes de commande locaux pour   les.aiguillages   et les si- gnaux et est actionné à l'aide des dispositifs de contrôle qui servent à la surveillance des opérations exécutées par l'inter-   médiaire   des sélecteurs. Les deux tableaux peuvent être des- servis par des systèmes indépendants pour l'émission et la ré- ception des impulsions de courant, les émissions des impulsions se faisant, de préférence, par des lignes   séparées..   



    RÉSUMÉ   
L'invention a pour objet des perfectionnements appor- tés aux installations pour la commande à distance d'organes de   commande   locaux (leviers de manoeuvre, relais, etc.) établis par groupes en des postes différents, plus spécialement pour la télécommande des aiguillages et signaux de chemins ce fer, installations du genre de celles pour lesquelles l'organe dési- ré de commande local ou le groupe de ces organes est choisi à l'aide de sélecteurs, établis aux différents postes.à considé- rer et qui peuvent être manoeuvrée depuis un poste de commande central à l'aide d'impulsions de courant émanant d'uue ligne commune depuis un appareil de commande établi au poste central,

   le choix de l'organe ou du groupe d'organes à commander étant contrôlé ou confirmé par le renvoi au poste central d'impulsùons de courant de contrôle et qui sont reçues par un récepteur éta- bli au poste central, lesquels perfectionnements, utilisés sé- parément ou en combinaison consistent, notamment;

   à faire comporter à l'appareil de commande, établi au poste central, des lampes ou autres dispositifs indicateurs pour signaler simultanément les positions de plusieurs aiguil- 

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   iages et signaux ou groupes d'aiguillages et signaux (voies), les dispositifs indicateurs étant combinés de manière telle/ avec les dispositifs indicateurs de contrôle servant à la surveillance de la sélection) que ces derniers dispositifs soient propres à fournir un indication individuelle de la position de l'aiguillage du signal ou du groupe d'aiguillages et signaux choisi, cette indication subsistant jusqu'au moment où on effectue une nouvelle manoeuvre par laquelle le position dudit anguillage, dudit signal ou dudit groupe d'aiguillages et signaux est modi - fiée;

       dans le cas où l'appareil de commande, établi au poste de commande central, est équipé avec des dispositifs indicateurs constitués par des lampes ou analogues pour indiquer la épartion des trains sur les différentes lignes ou voies et les positions des différents aiguillages et signaux ou groupes d'aiguillages et Signaux (voies) constituer les dispositifs indicateurs par deux tableaux dont un sert à indiquer la répartition des trains en dépendance avec des relais ou analogues échelonnés le long des voies, ce tableau étant commandé, comme connu, à 1)aide d'impulsions de courant envoyées depuis le poste local considéré au poste central de commande, l'autre tableau servant à indiquer la position des aiguillages et signaux et étant commandé par l'intermédiaire des dispositifs indicateurs de contrôle dont question plus haut ;

   à effectuer alternativement les opérations de commande pour le choix du poste local ou de l'organe local à commander et celles pour la sélection, en procédant de manière. que le choix du poste local soit contrôlé par le renvoi d'impulsions de courant de contrdle avant que les opérations commencent pour obtenir la sélection de l'organe à commander;     a Ialre dépendre les opérations, pour le choix de l'organe local, du résultat des opérations pour le choix de l'organe à commander, de même que les premières opérations soient déclenchées automatiquement mais s eulement à partir du moment où le récepteur des impulsions de courant du poste de commande central est ve-   

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 nu occuper, par le choix du poste local, une position corres- pondante à celle du dispositif de commande du poste central;

        et à actionner de manière telle les sélecteurs, utilisés pour sélectionner les postes locaux, par des électro-aimants b   ranchés   en parallèle entre les deux fils.de la ligne et par l'intermédiaire d'inverseurs-ou redresseurs de courant que les- dits électro-aimants, après que la sélection du poste local a été exécutée, puissent être rendus inopérants dans le circuit des impulsions de courant. 



   Lèinvention vise plus particulièrement certains modes d'application ainsi que certains modes de réalisation desdits perfectionnements ; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les   installa-   tions du genre en question, comportant application de ces mê- mes perfectionnements, les éléments, appareils et dispositifs spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les réseaux de chemins de fer ou analogues équipés avec de semblables ins- tallations.

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