<EMI ID=1.1>
<EMI ID=2.1> <EMI ID=3.1> <EMI ID=4.1>
tée à un levier 39 appuyé contre une came 43 fixée au manohon 44 par l'action d'un ressort 37.
Au commencement du cycle du manchon 44, la came 43 fait
<EMI ID=5.1>
du levier d'accouplement 19 fait tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre un levier 12 sur lequel le levier 19 est pivoté, de sorte que une barre à caractère% 7 correspondant@ est tournée dans le sens des aiguilles d'une montre vers le rouleau 6. Après cela, la came 43 par l'entremise du levier 39 retourne à repos la barre 33, tandis que le levier 12 et la
barre à caractères 7 sont retournés à repos par leur propre ressort.
Pendant le oyole du manchon 44, une deuxième came 71
fixée audit manchon fait tourner un levier 72 dans le sine contraire des aiguilles d'une montre, de aorte que un levier
<EMI ID=6.1>
Une troisième came 94 fixée au manohon 44 fait tourner dans le sens des aiguillea d'une montre le levier 58, qui est temporairement bloqua dans sa position tournée par une dent 96 de l'étrier
97. Le levier 56 est dégagé de la dent 96 pour s'appuyer sur
<EMI ID=7.1> Si accidentellement deux ou plue touches 31 sont enfon-
<EMI ID=8.1>
64,69 ne peut pas être engagé de nouveau à l'enfoncement d'une* touche d'écriture, puisque les touches tournent seulement
<EMI ID=9.1>
machine qui n'est pas représentée dans le dessin et qui peut retourner à repos l'étrier 97 et désaccoupler le levier 19 accouplé à la barre 33, comme il a été décrit en détail dans la citée demande da brevet.
Le rouleau 6 est porté par l'usuel chariot comprenant une paire de barres transversaux 130 coulissant sur un rail fixe 131. Fixé à la barre postérieure 130 il y a un organe d'espacement denté en forme d'une crémaillère 132 (Fig.2) qui est dentée selon trois pas élémentaires d'espacement
<EMI ID=10.1>
pour l'usuel ressort du chariot.
La crémaillère 132 est normalement engagée par des moyens à dent mobile formés d'un jeu de trois dents mobiles
133,134 et 135, chacune pivotée sur un pivot correspondant
136 fixé sur un premier support ou ooulisseau 137 et poussé dans le sens contraire des aiguilles d'une montre par un correspondant ressort 138. Les trois dents mobiles 133,134 et 135 sont réciproquement éloignées d'un nombre entier de pas élémentaires, de sorte que la crémaillère 132 avec une
<EMI ID=11.1> <EMI ID=12.1>
lacée par un crochet 143 pivoté sur un pivot 144 et poussé dans le sens contraire des aiguilles d'une montre par un ressort 145. puisque le ressort du chariot poussant la crémaillère 132 vers
<EMI ID=13.1>
La dispositif d'espacement comprend des moyens à dent
de blocage formas d'un jeu de trois dents de blocage 164,165 et 166, réciproquement éloignées d'un pas élémentaire et pivotéea sur un pivot commun 160 fixé 4 un second support ou coulisseau 161 monté coulissant sur l'ergot 140 et sur un second ergot fixe 162. Chacune des trois dents de blocage 164,
<EMI ID=14.1>
l'emporte sur lep trois ressorts 167 (Pig.2) et par conséquent les dents de blocage 164.165 et 166 sont normalement tenues
<EMI ID=15.1>
157 s'appuya par l'action du ressort 156.
<EMI ID=16.1>
une portion 170 du châssis de la machine. L'arbre 169 proche du secteur 171 est tournant sur le coulisseau 161 (Fig.2) avec
un jeu lui permettant d'être mu transversalement avec le coulisseau
161.
Un bras 173 fixé à l'extrémité inférieure de l'arbre 169
(Fig.1) est pivoté sur un coulisseau longitudinal 174 qui s'appuya contre un ergot fixe 175 (Fig.2) par l'action d'un ressort 176.
<EMI ID=17.1>
Le dispositif d'espacement variable travaille oomm'll nuits
<EMI ID=18.1>
quant la bielle 180 fait tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre l'étrier 178, de sorte que le peigne 183 explore la saillie déplacée 184 et il est variablement arrêté <EMI ID=19.1>
l'emporte sur l'action du ressort 176 (Fig.2), le ooulisseau 174 est mu en arrière et fait tourner le bras 173 aveo l'arbre 169
et le secteur 171 d'un angle correspondant. Le secteur 171 prédis-
<EMI ID=20.1>
accomplis par le chariot.
La came 71 (Fig.1) par l'entremise du levier 72 tait tourner le levier 152 dans le sens des aiguilles d'une montre. L'ergot
155 du levier 152 fait tourner dans le sens des aiguilles d'une montre le levier 157, qui se dégage de la saillie 158 du levier
159 (Fig.2), de sorte que les ressorts 167 font engager les dents de blocage 164,165 et 166 avec la crémaillère 132, En outre, le levier 152 (Fig.1) fait tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre le bras 151 avec l'arbre 146. Les trois
<EMI ID=21.1>
134 et 135 de la crémaillère 132, tandis que le bras 150 fait tourner dans le sens des aiguilles d'une montre le crochet 143 qui dégage alors la saillie 142 du coulisseau 137.
Maintenant le chariot est mu vers la gauche par son
<EMI ID=22.1>
droite vers le coulisseau 161. Lorsque la saillie 172 rencontre le secteur 171, les coulisseaux 137 et 161 sont réciproquement arrêtés.
<EMI ID=23.1>
le bras 150 abandonne le crochet 143. Le ressort 156 (Fig.1) à son tour, par l'entremise des leviers 157 et 159, dégage les
<EMI ID=24.1> <EMI ID=25.1>
le crochet 143, tandis que les ressorts 167 font retourner à
repos le coulisseau 161 à la droite contre l'ergot 162.
Il ressort clairement que, à l'actionnement des moyens universels 152, les moyens 171,172 arrêtent réciproquement les moyens à dent mobile 133,134 et 135 et les moyens 4 dent de blo-- :
cage 164,165 et 166 les uns contre les autres, de façon que l'or" :
gane d'espacement 132 avance d'un espacement égal à la somme du mouvement en arrière ou à la droite des moyens à dent mobile et
du mouvement en avant ou à la gauche des moyens à dent de blocage. L'espacement de la crémaillère 132 depende en tout cas du degrés
du secteur 171 rencontré par la saillie 172 (Fig.2). Particulièrement, commençant du dégrée supérieur du secteur 171, la crémaillère
132 accomplira deux, trois, quatre ou cinq pas élémentaires.
En outre, il ressort clairement que, à cause du mouvement
du coulisseau 161 vers le coulisseau 137, d'un côté la course en arrière des dents mobiles 133,134 et 135 à l'égard de l'espacement à accomplir par la crémaillère 132 est réduite, croissant pour
<EMI ID=26.1>
que la saillie 172 a rencontré le secteur 171, ni la position du coulisseau 137 dans le instant du réengagement de la crémaillère
132 par les dents mobiles 133,134 et 135 ni l'instant du réengagement n'ont aucun effet sur l'espacement, car la position relative
<EMI ID=27.1>
Puisque l'espacement du caractère majuscule peut être différent de l'espacement du correspondant caractère minuscule, l'étrier 17d peut être transversalement déplacé d'une façon connue à l'enfoncement de l'usuelle touche de majuscule, de sorte que
<EMI ID=28.1>
de dents.
Dans le but do pouvoir varier d'un pae l'espacement du chariot à chaque frappe, une plaque 185 est fixée au couliaseau 137 et eat pourvue d'une saillie 186 distancée
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substituer la saillie 172 en déplaçant le secteur 171 et l'arbre 169 verticalement.
<EMI ID=30.1>
ment, le chariot avancerait selon l'espacement requis par le plus large dea caractères, dont les touches ont été enfoncées.
Cependant, le dispositif d'espacement est pourvu de moyens sensibles au simultané enfoncement de plue qu'une tou-
<EMI ID=31.1>
189 pouvant coopérer avec une saillie 192 (Fig.2) du ooulisseau
161, et une saillie 194 d'un second bras 193 pouvant coopérer avec une saillie 195 du coulisseau 137. Les bras 189 et 192
<EMI ID=32.1>
mise d'une bielle 188 à un bras 187 du levier 58.
Quand le levier 58 est tourné dans le sens des aiguilles d'une montre, la bielle 188 fait tourner dans le sono contraire des aiguilles d'une montre le bras 189 avec l'arbre 190 et le
<EMI ID=33.1>
posent respectivement sur la trajectoire des saillies 192 et
195. Si le levier 58 reste bloqué par la dent 96, d'un coté la saillie 191 du bras 189 arrête la saillie 192, empêchant de cette façon que le coulisseau 161 et les dents de blocage
164,165 et 166 soient mus vers la gauche, d'autre coté la saillie 194 du bras 193 arrête la saillie 195, empêchant de
<EMI ID=34.1>
134 et 135 soient mus à la droite. Le chariot avance alors seulement d'un pas élémentaire, qui correspond substantiellement à la somme du jeu entre les saillies 191 et 192 et du jeu entré
les saillies 194 et 195.
Les dents mobiles 133,13'4 et 135 peuvent accomplir une course en arrière ou à la droite quand elles engagent l'organe d'espacement 132 pour effeotuer le rappel arrière du chariot.
<EMI ID=35.1>
nant une came 207 pouvant être tournée de 360 degrés,par l'arbre 70 au moyens d'un embrayage gêné richement indiqué par le numéro 204. Un levier 202, qui tient normalement 3.'embrayage
204 dégagé, est pivoté en 203 et est appuyé par l'action d'un
<EMI ID=36.1>
Un autre ergot 198 du coulisseau 199 touche normalement un levier 196 pivoté en 197 et pourvu de l'usuelle touche de rappel arrière 205.
Une deuxième came 206 fixée à la came 207 est mobile avec cette dernière et coopère avec un levier 209 pivoté en
210 et poussé dans le sens contraire des aiguilles d'une montre
<EMI ID=37.1>
rer avec un'épaulement 212 du levier 157, tandis que une saillie
213 du levier 209 est apte a coopérer avec une ailette 214 du coulisseau 161 (Fig.2).
A l'enfoncement de la touche de rappel arrière 205
<EMI ID=38.1>
lisseau 199 en arrière. L'ergot 200 tourne alors le levier 202 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, engageant l'embrayage 204, Par conséquant les cames 206 et 207 sont tournées dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pendant un cycle de rappel arrière. Au commencement du cycle la came 207
<EMI ID=39.1>
Le bras 219 de l'étrier 216 tourne le levier 221 dans le sens des aiguilles d'une montre'(Fig.2), déplaçant alors le ooulisaeau
<EMI ID=40.1>
137 avec les dents mobiles 133,134 et 135 à la droite. Puisque les dents mobiles engagent la crémaillère 132, cette dernière est mue à la droite avec le chariot d'une course légèrement plus longue qu'un pas élémentaire.
<EMI ID=41.1>
223 et du crochet 143, reporte à repos vers la gauche le
<EMI ID=42.1>
pour commander le rappel arrière simultanément avec la commande du déblocage de la machine. L'espacement constant effectué par le chariot en conséquence de l'enfoncement simultané de plus , qu'une touche d'écriture est alors éliminé par le rappel arrière commandé par la touche à débloquer la machine. Il ressort évident que la touche 205 pourvue comme touche de rappel arrière peut être aussi pourvue comme touche à débloquer la machine.