FR2500991A1 - Procede et appareil pour la fab - Google Patents

Abstract

LA PRESENTE INVENTION CONCERNE UN PROCEDE ET APPAREIL POUR LA FABRICATION DE DIFFERENTS PRODUITS FOURRAGERS ENSILABLES. PROCEDE CARACTERISE EN CE QUE, LORSQUE LES PRODUITS OU PARTIES DE PRODUITS ONT ETE RAMASSES ET DIVISES PAR LA RAMASSEUSE-HACHEUSE 6, SELON LA TENEUR EN FIBRES PERMISE, OU BIEN ON LES AMENE A UN SEPARATEUR 14 POUR SEPARER UNE PARTIE DE LEURS CONSTITUANTS FIBREUX APRES QUOI LE FOURRAGE ARRIVE A UN VENTILATEUR 12 ADJOINT A LA RAMASSEUSE-HACHEUSE 6, OU BIEN ON LES AMENE DIRECTEMENT AU VENTILATEUR 12 QUI AMENE LE FOURRAGE, EVENTUELLEMENT AVEC DIVISION PLUS POUSSEE DES GRAINS, A UNE CAVITE DE CHARGEMENT TRANSPORTEE SIMULTANEMENT, LES CONSTITUANTS FIBREUX SEPARES ETANT OU BIEN RECUEILLIS SEPAREMENT OU BIEN DISTRIBUES SUR LE TERRAIN.

Description

L'invention concerne un procédé de fabrication de différents produits fourragers ensilables en partant de céréales et légumineuses au doyen d'une ramasseusehacheuse.

I1 est connu depuis des décennies de récolter les grains par moissonnage-battage. On sépare de la paille les grains destinés à l'alimentation du bétail et il faut alors les stocker temporairement, les nettoyer, les sécher et les broyer avant de les distribuer. I1 faut aussi cueillir le mais en grain avec des machines coûteuses, le dépanouiller, le battre et le sécher. L'accroissement du coût de l'énergie de chauffage rend ces procédés très peu économiques aujourd'hui.

Pour éviter ces dépenses ainsi qu'un accroissement du prix de fourrage, on a déjà prévu -voir DE - A 2 406 275 - une cueilleuse-ramasseuse-hacheusetdans laquelle des outils diviseurs disposés à la circonférence sont formé de battes rectilignes coopérant avec une contre-lame. On obtient ainsi une division des constituants fermes des plants de mais, à savoir les' grains et les épis, tandis que les spathes flexibles passent en grande partie entre les outils sans être divisées pour pouvoir alors être à nouveau séparées par tamisage pour des usages déterminés d'alimentation. Afin de maintenir la structure des spathes, on ne peut prévoir que de façon limitée des moyens de frottement pour diviser davantage les grains, sur la paroi de retenue de la ramasseuse-hacheuse. La cueilleuse-hacheuse n'était pas agencée pour séparer les spathes.A cet effet, selon le brevet DE - C - 2 640 290, on prévoyait un procédé de récolte et un procédé de tamisage séparé à poste fixe. Ensuite, après l'ensilage et avant de nourrir les animaux, on sépare les spathes avec un tamis fixe à tambour, volumineux et donc aussi très coûteux. Outre le fait qu'avant la distribution il fait intercaler une opération supplémentaire, on perd du volume de silo lorsqu'on ne peut pas tirer parti des spathes ensilées. D'autre part, dans le cas du fourrage ensilé en principe humide et collant, il faut s'attendre dans certaines circonstances à de grandes pertes de fractions de grains car celles-ci -même si elles ne sont que peu divisées- peuvent coller aux constituants fibreux séparés. Par suite, dans ce procédé, une division plus poussée des grains est assujettie à des limites.

Afin que les substances nutritives des grains puissent tout de même être décomposées intégralement lors de la digestion et ne soient pas excrétées sans être digérées, il est souhaitable de diviser le plus possible les grains.

Par conséquent, l'invention a pour but de fournir un procédé et un appareil pour la fabrication de différents produits fourragers ensilables en partant de céréales et légumineuses au moyen d'une ramasseuse-hacheuse, dans lequel on puisse séparer partiellement des grains, en une seule opération, les constituants fibreux du fourrage comme les spathes, la paille, et analogues, et on obtienne autant que possible une division plus poussée des grains.

Le but de l'invention est atteint par un procédé caractérisé en ce que, lorsque les produits ou parties de produits ont été ramassés et divisés par la ramasseusehacheuse, selon la teneur en fibres permise, ou bien on les amène à un séparateur pour séparer une partie de leurs constituants fibreux après quoi le fourrage arrive à un ventilateur adjoint à la ramasseuse-hacheuse, ou bien on les amène directement au ventilateur qui amène le fourrage, éventuellement avec division plus poussée des grains, à une cavité de chargement transportée simultanément, les constituants fibreux séparés étant ou bien recueillis séparément ou bien distribués sur le terrain.

Dans le procédé selon l'invention, outre des épis de mais, on peut aussi récolter des plants de mais entiers, des épis de céréales et des légum-ineuses et les diviser dans une seule chaîne de travail pendant le processus de récolte et, si nécessaire, diminuer la teneur en constituants fibreux du fourrage avant l'ensilage, selon les animaux qu'il s'agit de nourrir.

Dans le séparateur prevu, on peut effectuer la séparation des constituants fibreux du fourrage et en même temps aussi une division plus poussée des grains en poussant le produit, au moyen d'une racle et analogue, sur un tamis adapté à celle-ci et muni de trous à arêtes vives et éventuellement d'autres moyens de frottement tels que des battes. Pour mieux séparer les constituants fibreux des grains, on dispose la racle sur le tamis de façon telle qu'en même temps qu'elle coulisse, elle puisse aller et venir ou tourner, les constituants fibreux les plus légers du fourrage étant soulevés par frottement contre la paroi.

Le procédé peut être pratiqué avec une combinaison de dispositifs en eux-mêmes connus, mais aussi avec une combinaison comportant des dispositifs nouveaux.

Parmi les ramasseuses-hacheuses connues, deux exécutions en particulier conviennent et déterminent le choix des séparateurs possibles. Dans une ramasseuse-hacheuse selon le DE - A - 2 051 209, on divise les constituants fibreux du fourrage de même que les grains de sorte que l'on séparera dans un cyclone les constituants fibreux plus légers. L'avantage de la ramasseuse-hacheuse est que lorsqu'on remplace des appareils adaptables appropriés, on peut aussi ramasser sur le sol de l'ensilage mi-fané et des produits similaires de sorte que l'on pourra sans difficultés l'utiliser de façon particulièrement multiple pour la récolte de fourrage.Si l'on se contente de récolter du fourrage complémentaire, on pourra envisager une ramasseusehacheuse munie de battes au lieu de lames selon le DE - A 2 406 275, qui conserve davantage la structure des constituants fibreux du fourrage tels que les spathes1 de sorte que l'on peut les séparer avantageusement avec des appareils de tamisage et diviser ainsi davantage les grains.

Le procédé selon l'invention peut être exécuté de façon simple à l'aide d'une ramasseuse-hacheuse pouvant être reliée, par deux ouvertures d'éjection pouvant être fermées par des volets, soit à un ventilateur placé à la suite et muni d'un tube d'éjection, soit à un séparateur, la sortie de grains du séparateur débouchant dans une ouverture d'entrée du ventilateur, qui peut être fermée par des volets, tandis que la sortie de résidu du séparateur débouche à l'air libre ou dans un ventilateur auxiliaire raccordé.

Comme hacheuse, on peut naturellement envisager aussi une hacheuse à roue pleine dans laquelle le ventilateur est disposé sur l'arbre de la roue pleine et éventuellement prévu dans une enveloppe communie, avec séparation par un disque de roue.

Dans la disposition selon l'invention, on peut effectuer une division particulièrement fine des grains totalement ou partiellement débarrassés des constituants fibreux si, aux pales du ventilateur sont adjointes, sur le fond de retenue du ventilateur, des moyens de frottement sous forme de battes et analogues, et si ceux-ci peuvent être remplacés par des parties lisses de paroi de retenue ou être recouverts par un fond annulaire auxiliaire de retenue.

Avantageusement, comme séparateur, on utilise au moins une vis à auge en tamis dont la paroi de l'auge est conçue sous forme de tamis à trous à arêtes vives et en dessous de laquelle se trouve un dispositif transportant le produit à broyer, par exemple une vis transporteuse à auge, à la dernière cellule de laquelle le ventilateur est raccordé directement ou par l'intermédiaire d'un tuyau de descente.

D'autres aménagements de l'appareil sont indignes ci-après dans la description détaillée de l'invention, à propos des dessins, qui représentent un exemple d'exécution, et dans lesquels la figure 1 montre en élévation latérale une ramasseusehacheuse automotrice à tambour à laquelle est adjoint un appareil selon l'invention ; la figure 2 représente un détail de l'appareil selon la figure 1 la figure 3 est une vue par l'arrière d'un détail, et la figure 4 montre l'appareil selon la figure 1, vu par le côté droit du véhicule.

Les dessins montrent un châssis de véhicule 1 avec roues motrices 2 et roues directrices 3 ainsi qu'un carter de moteur de propulsion 4. On a désigné par 5 la cabine du véhicule. Dans l'espace situé en dessous de la cabine 5 et au-dessus de l'axe des roues directrices 3, une hacheuse à tambour 6 est montée sur des flasques 7 de manière à pouvoir pivoter autour de l'axe 8 de l'arbre du tambour porte-lames 10. Une cueilleuse 9 faisant suite à la hacheuse à tambour 6 est exécutée avec plusieurs rangs. Entre le carter de moteur 5 et le tambour porte-lames 10 de la hacheuse à tambour 6 est prévu un ventilateur 12, dont l'arbre 11 est aligné perpendiculairement à l'axe 8 de l'arbre de la hacheuse 6 et dont le tube d'éjection s'étend jusqu'à l'extrémité postérieure de l'ensemble de véhicule.

Selon l'invention, aussi bien à la hacheuse à tambour 6 qu'au ventilateur 12 est raccordé un séparateur 14 pouvant se poser sur le capot de moteur 4. I1 est essentiellement formé d'une vis 15 entourée en sa moitié inférieure par un tamis en auge 16. Sous ce dernier est disposée, dans une enveloppe commune, une vis transporteuse à auge 18.

Comme l'indiquent les flèches a et b, la vis à tamis en auge 15/16 transporte vers une sortie postérieure d'auge 19 de l'enveloppe 17, tandis que la vis transporteuse à auge 18 transporte vers le ventilateur 12 par un tuyau de descente 20, flèche b. On a désigné par 21 un volet prévu à l'embouchure du tuyau de descente 20 dans le ventilateur 12.

La ramasseuse-hacheuse 6 présente deux ouvertures d'éjection 22 et 23. Celles-ci peuvent être fermées alternativement par des volets 24 et 25a conçus comme partie de paroi de retenue. A l'ouverture d'éjection 22 est raccordée une tubulure d'entrée 25 du ventilateur 12, dans laquelle peut coulisser le volet 25a. A l'ouverture d'éjection 23 est raccordé un tuyau montant 26, qui débouche dans la cellule d'entrée 27 de la vis transporteuse à auge en tamis 15/16. On a désigné par 28 un ventilateur auxiliaire raccordé à la sortie 19 de la vis transporteuse à auge en tamis 15/16.

Au lieu d'une cueilleuse 9, on peut disposer sur la hacheuse à tambour 6 tout autre appareil adaptable, sur le dispositif d'introduction 40 duquel peut être disposé par exemple un bec cueilleur de mals ou un dispositif ramasseur de récolte reposant sur le sol.

Selon l'invention, le ventilateur 2 est muni à peu près sur toute la circonférence de son fond de retenue 41, de battes 31 dont les outils complémentaires dégagent les pales 32, figures 3 et 4. Les battes 31 peuvent être recouvertes par un fond auxiliaire de retenue 41a, figure 3. Elles peuvent aussi être rempPaçables par des surfaces de paroi lisses. Le ventilateur 12 est disposé de manière à pouvoir coulisser un peu vers le côté opposé au tube d'éjection 13.

De cette manière, toutes les battes 31 sont alimentées en produit par l'ouverture d'entrée élargie, qui peut être recouverte latéralement. Le séparateur 14 s'arrête -comme on peut le voir sur la figure 4- par des goujons 30 prévus sur son châssis 36, dans des creux 33 de la plaque supérieure 34 du carter de moteur où il peut être fixé par des fiches transversales 35.

Comme indiqué sur la figure 4, le châssis 36 du séparateur 14 est muni de pieds 37, qui peuvent être allongés et raccourcis par des tendeurs 38. Ainsi, lorsqu'on actionne les manchons de liaison 39a et 39b insérés dans le tuyau montant 26 et le tuyau descendant 20, on peut démonter le séparateur 14. En lé retirant, on diminue le poids mort de la ramasseuse-hacheuse.

Avec ce mode d'exécution de l'invention, le procédé selon l'invention peut être mis en oeuvre comme suit : La ramasseuse-hacheuse, exécutée sous forme automotrice selon l'exemple d'exécution et munie d'une cueilleuse 9, saisit par la cueilleuse 9 les plants de mals, qui sont en rangs dans la direction de la flèche c, et dont les épis avec spathes sont séparés du reste de la plante (récoltés) par les rouleaux cueilleurs non représentés. Les épis avec spathes sont alors amenées par le dispositif d'introduction 29 à la hacheuse 6 où ils sont divisés, autant que possible avec conservation de la structure de feuilles des spathes.

Pour y parvenir, les lames non représentées du dispositif decoupe de la hacheuse 6 peuvent être approchées, ou conçues pour pouvoir être approchées, de telle sorte qu'elles jouent le rôle de poinçons et que les contre-lames non représentées jouent le rôle de matrices, plus ou moins comme une poin çonneuse. Selon la teneur en fibres désirée et le degré de division, on opère les réglages ou agencements suivants 1) On ouvre- le volet 21 du tuyau de descente 20. En actionnant le volet 24 du tambour porte-lames 10, on libère l'ouverture de sortie 23 et on ferme l'ouverture de sortie 22. La hacheuse 12 est reliée, par le tuyau montant 26, à la cellule d'entrée 27 du séparateur 14.Là, les spathes sont continuellement amenées vers le haut par l'action de frottement de la paroi de la vis 15 et par les entraîneurs 42 dont elle est munie, pendant l'acheminement dans le sens des flèches a et le grain arrive, par les trous 16a du tamis en auge 16, dans la vis transporteuse 18 qui l'amène au ventilateur 12 dans le sens des flèches b par le tuyau de descente 20.

Dans le cas présent, le fond auxiliaire de retenue 41a est éloigné des battes 31, de sorte que le grain totalement ou partiellement débarrassé des spathes peut être divisé sans obstacle et est finalement transporté, par l'action de projection des pales 32, en passant par le tube d'éjection 13, dans la cavité de chargement d'un véhicule de chargement transporté en même temps. Les constituants fibreux séparés des spathes arrivent par la sortie 19 de la vis 15 en chute libre sur le terrain ou bien sont amenés, par le ventilateur auxiliaire 28, à la cavité de chargement d'un autre véhicule.

Si l'on prend un tamis en auge 16 dont les trous on des arêtes vives, les grains sont divisés davantage sur ceux-ci lors de leur passage.

De cette manière, on peut facilement régler la teneur en fibres brutes que doit avoir la récolte en vue de l'ensilage.

2) On remplace la cueilleuse 9 par un bec cueilleur de maïs, non représenté. On ferme le volet 21 de l'extrémité inférieure du tuyau de descente 20 et aussi l'ouverture de sortie 23 de la hacheuse, avec le volet 24. La hacheuse transporte la récolte dans le ventilateur 12, par l'ouverture de sortie 22 et la tubulure d'entrée 25. Ainsi, si les battes 31 sont enlevées ou mises hors d'action, le produit est amené dans le tube d'éjection 13 d'où il arrive, avec le degré de division déterminé par la hacheuse et la teneur totale en fibres des spathes et des épis, dans la cavité de transport d'un véhicule de chargement tiré ou roulant parallèlement.

3) Si l'on tire parti des battes 31, pour un même réglage, les grains et aussi une partie des constituants fibreux du fourrage sont divisés davantage entre les pales 32 et les battes 31.

Claims (11)

- REVSNDICATIONS-

1. Procédé de fabrication de différents produits fourragers ensilables en partant de céréales et légumineuses au moyen d'une ramasseuse-hacheuse, caractérisé en ce que, lorsque les produits ou parties de produits ont été ramassés et divisés par la ramasseuse-hacheuse, sèlon la teneur en fibres permise, ou bien on les amène à un séparateur pour séparer une partie de leurs constituants fibreux après quoi le fourrage arrive à un ventilateur adjoint à la ramasseusehacheuse, ou bien on les amène directement au ventilateur qui amène le fourrage, éventuellement avec division plus poussée des grains, à une cavité de chargement transportée simultanément, les constituants fibreux séparés étant ou bien recueillis séparément ou bien distribués sur le terrain.

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que dans le séparateur, on effectue la séparation des constituants fibreux du fourrage et en même temps aussi une division plus poussée des grains en poussant le produit, au moyen d'une racle et analogue, sur un tamis adapté à celleci et muni de trous à arêtes vives et éventuellement d'autres moyens de frottement.

3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce que la racle, en même temps qu'elle peut coulisser sur le tamis, est aussi, par exemple, mise en va-et-vient transversalement à la direction de coulissement ou bien tourne.

4. Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, caractérisé par une ramasseuse-hacheuse (6) qui peut être reliée, par deux ouvertures d'éjection (22, 23) pouvant être fermées par des volets, soit à un ventilateur (12) placé à la suite avec tube d'éjection (13), soit à un séparateur (14), par un tuyau montant (26), et en ce que la sortie de grains (20) du séparateur débouche dans une ouverture d'entrée (20a) du ventilateur (12), pouvant être fermée par des volets (21), tandis que la sortie de résidu (19) du séparateur (14) débouche à l'air libre ou dans un ventilateur auxiliaire raccordé (28).

5. Appareil selon la revendication 4, caractérisé par une ramasseuse-hacheuse à roue pleine dans laquelle le ventilateur est disposé sur l'arbre de la roue pleine et éventuel lement prévu dans une enveloppe commune séparée par un disque de roue.

6. Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'aux pales du ventilateur (12) sont adjointes, sur le fond de retenue (41) du ventilateur (12), des moyens de frottement sous forme de battes (31) et analogues, et que ceux-ci peuvent être remplacés par des parties lisses de paroi de retenue ou être recouverts par un fond annulaire auxiliaire de retenue (41a), l'ouverture d'entrée élargie se trouvant du côté de la hacheuse (12) qui est opposé au tube d'éjection et la hacheuse, avec son capot, pouvant être déplacée de ce côté.

7. Appareil selon l'une quelconque des revendications 4 et 5, caractérisé en ce que le séparateur utilisé (14) est au moins une vis à auge en tamis (15/16) dont la paroi de l'auge est conçue sous forme de tamis (16) à trous à arêtes vives (16a), et en dessous de laquelle se trouve un dispositif transportant le produit à broyer, par exemple une vis transporteuse à auge (18) à la dernière cellule de laquelle le ventilateur est raccordé directement ou par l'intermédiaire d'un tuyau de descente (20).

8. Appareil selon l'une quelconque des revendications 4 à 7, caractérisé en ce que la vis transporteuse à auge (18) et la vis à auge en tamis (15/16) transportent en sens opposé, l'extrémité de sortie de la vis transporteuse à auge (18) se trouvant au voisinage du ventilateur (12).

9. Appareil selon l'une quelconque des revendications 4 à 8, caractérisé en ce qu'il est prévu sur une ramasseuse-hacheuse automotrice (1 à 5), et le séparateur (14) peut se poser sur la ramasseuse-hacheuse automotrice, par exemple sur le carter de moteur (4) au moyen de pieds (37) pouvant être raccourcis par des tendeurs (38) ou moyens similaires.

10. Appareil selon la revendication 6, caractérisé en ce que les vis (15) de la vis à auge en tamis (15/16) sont munies d'entrarneurs (42), ou organes similaires, qui, de préférence dans l'axe de la vis, pénètrent dans les cellules de transport (15b) de la vis à auge en tamis (15/16) ou les traversent.

11. Appareil selon l'une quelconque des revendications 4 à 10, caractérisé en ce que le tube d'éjection (13), au lieu du tuyau montant (26), peut être relié à la cellule d'entrée (27) par un tuyau de dérivation avec volet de renversement, la vis transporteuse à auge (18) amenant le produit, vers llarrière, à une soute ou à un transporteur.