CH626669A5 - Knitting loom with straight rods - Google Patents

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CH626669A5
CH626669A5 CH970778A CH970778A CH626669A5 CH 626669 A5 CH626669 A5 CH 626669A5 CH 970778 A CH970778 A CH 970778A CH 970778 A CH970778 A CH 970778A CH 626669 A5 CH626669 A5 CH 626669A5
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
levers
bar
lever
knitting
shaft
Prior art date
Application number
CH970778A
Other languages
English (en)
Inventor
Leonard Bertram Whittaker
William Clayton
Eric Walter Marriott
Barry Colin Strong
Original Assignee
Cotton Ltd W
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Cotton Ltd W filed Critical Cotton Ltd W
Publication of CH626669A5 publication Critical patent/CH626669A5/fr

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    • DTEXTILES; PAPER
    • D04BRAIDING; LACE-MAKING; KNITTING; TRIMMINGS; NON-WOVEN FABRICS
    • D04BKNITTING
    • D04B11/00Straight-bar knitting machines with fixed needles
    • D04B11/02Straight-bar knitting machines with fixed needles with one set of needles

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Knitting Machines (AREA)
  • Looms (AREA)

Description

La présente invention concerne un métier à tricoter à barres rectilignes.
45 Les métiers à tricoter à barres rectilignes ont eu, depuis l'introduction des métiers du brevet Cotton vers les années 1860 (voir brevet GB N° 3123 de 1864) la même configuration générale avec seulement de petits changements. Dans les métiers à tricoter à barres rectilignes du type du brevet Cotton, â sections multiples, les plus 50 ordinaires, un mouvement composite est imparti à la barre à aiguilles par des leviers supérieurs fixés à pivotement à chaque extrémité de la barre à aiguilles pour soutenir la barre à aiguilles et lui communiquer un mouvement de monte et baisse, et par un bras support dressé pouvant pivoter conjointement avec la barre à aiguilles pour donner 55 un mouvement d'avance et de recul. Les mouvements sont produits à partir de cames sur un arbre à cames unique, capable de tourner, ces cames attaquant des leviers fixés à des arbres s'étendant longitudinalement, servant de montures aux leviers de monte et baisse ou à un levier d'avance et de recul agissant sur une bielle inférieure reliée au 60 bras support. Vus de côté, les leviers, les bras supports et les bielles ont l'aspect d'un quadrilatère, avec les arbres longitudinaux à un coin supérieur, la barre à aiguilles à l'extérieur du quadrilatère en un autre coin supérieur et les cames en dessous du quadrilatère. Considérés de l'avant, les leviers, les bras supports et les bielles sont 65 espacés en les montant en des parties différentes des arbres longitudinaux, de sorte qu'une même came puisse desservir un certain nombre de leviers. Des mécanismes d'actionnement pour des barres d'accrochage et les barres d'abattage et tout autre mécanisme ajouté au
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cours du temps étaient montés sur le métier en utilisant des arbres s'étendant longitudinalement, similaires (voir par exemple le brevet US No 3397555).
Dans un métier à tricoter à barres rectilignes, à section unique, moins communément utilisé (voir les brevets GB Nos 411517 et 867391), le mécanisme d'actionnement de la barre à aiguilles fondamental n'était pas changé. Les arbres longitudinaux étaient groupés plus étroitement et certaines parties ajoutées de mécanismes pour le tricotage des côtes étaient actionnées par des cames séparées, de chaque côté de la section unique.
Le brevet GB No 643624, accordé à Pourchot, montre un arbre commun s'étendant longitudinalement, pour les leviers et l'arbre à cames unique situé à l'intérieur de l'arrangement quadrangulaire précité, mais qui n'assure pas un pressage adéquat des becs d'aiguilles ou des crochets (pour les fermer avant l'abattage) parce que la barre à aiguilles est tirée au pressage (c'est-à-dire pour presser les becs des aiguilles contre les tiges des aiguilles) par un ressort et que la barre à aiguilles dépasse au-dessus de l'arrangement quadrangulaire en nuisant ainsi à la rigidité constructive.
Le long trajet, le long duquel une force était transmise à partir des cames à un levier, à un arbre longitudinal et, ensuite, par un levier et, éventuellement, des bielles et des bras supports à la barre à aiguilles, s'opposait au caractère direct de l'actionnement de la barre à aiguilles, nuisait à sa rigidité et à son aptitude à fonctionner à grande vitesse. Des arrangements d'actionnement semblables pour les autres mouvements ou mécanismes présentaient le même genre de difficultés. La surface de plancher occupée était en général considérable.
Pour combiner les divers éléments d'actionnement, il était nécessaire, de façon générale, de les faire de formes, de longueurs ou de dimensions différentes, de sorte que le nombre des éléments stockés pour la fabrication des métiers à barres rectilignes et pour leur entretien était élevé.
Ces facteurs (la difficulté d'incorporer des éléments supplémentaires et le coût de la fabrication) se combinaient, de sorte que les métiers n'avaient qu'une possibilité limitée de développement ultérieur, qu'il s'agisse d'un développement pour accroître la vitesse de production ou pour s'acquitter de fonctions supplémentaires ou s'en acquitter de façon plus souple.
En outre, la tête de tricotage des métiers connus n'est elle-même pas agencée pour être compacte ou pour avoir un fonctionnement rapide. Le bruit des cames glissantes, ou curseurs, et l'usure des leviers oscillants augmentent beaucoup aux grandes vitesses, et la barre d'abattage, qui est serrée entre la barre à aiguilles et la barre à platines, tend à se courber aux grandes vitesses ou demande un renforcement considérable pour résister à la flexion.
Même s'il était possible de travailler à grande vitesse, le mécanisme de commande des cames ferait sauter les galets suiveurs de cames des crêtes de celles-ci en détruisant, ainsi, la précision de la commande des divers mouvements.
Le mécanisme de tirage emploie de façon générale des tiges rigides, des boîtes à frottement et des barres de glissement qui occupent un espace considérable et ne se prêtent pas en elles-mêmes à un fonctionnement rapide. Les mécanismes à bandes sans fin, qui ont été développés en variante, conduisent à des ruptures et ils occupent de l'espace à l'arrière de la tête de tricotage.
Le problème posé par les fatigues naissant de l'actionnement de l'avance et du recul aux extrémités se présenterait aussi avec un actionnement classique de la barre d'abattage.
Dans les métiers à tricoter à barres rectilignes connus, les barres d'abattage sont montées et actionnées par des arrangements d'entraînement pour impartir à la barre d'abattage un mouvement de soulèvement, ou mouvement de monte et baisse, et un mouvement d'avancement, ou mouvement d'avance et de recul. Pour ces deux mouvements de la barre d'abattage, on a prévu: une came, un galet suiveur de came sur un bras de levier fixé à un arbre moteur, des bras de levier sur l'arbre moteur, à chaque tête de tricotage, faisant fonctionner un bras de liaison entre le bras de levier et la barre d'abattage. Pour l'avancement en particulier, des bras de levier sont fixés à l'arbre du mouvement d'avancement, à chaque extrémité de la tête de tricotage, et deux bras de liaison s'étendent à partir des extrémités des bras de levier, à l'avant d'une barre à aiguilles, au-delà des extrémités de la barre à aiguilles, vers les extrémités de la barre d'abattage. L'arbre pour le mouvement d'avancement de la barre d'abattage se trouve bien en dessous et en avant d'une tête de tricotage formée par l'arrangement compact d'une barre à aiguilles, d'une barre d'abattage, d'un rail de tête et d'une barre à platines. Un exemple d'un tel arrangement est donné dans le brevet US No 3397555.
La barre d'abattage est confinée entre une barre à aiguilles, d'un côté, et un rail de tête, de l'autre côté. Cela limite l'épaisseur de la barre d'abattage et l'amplitude de son mouvement d'allée et de venue. Le mouvement alternatif d'avance et de recul à grande vitesse provoque la déformation par flexion de la barre d'abattage, mais la mesure dans laquelle on peut lutter contre la déformation par le renforcement mécanique de la barre d'abattage est limitée par l'espace disponible. L'augmentation corrélative de l'inertie de la barre d'abattage gênerait dans tous les cas le fonctionnement à grande vitesse.
Le but de l'invention est de procurer une configuration nouvelle de métier à barres rectilignes, qui évite ou atténue les limitations propres au métier du type Cotton et qui soit susceptible de développement. Le métier selon la présente invention est caractérisé par le contenu de la revendication 1.
Ces arrangements, lorsqu'ils sont adoptés pour les mouvements de la barre à aiguilles et de la barre d'abattage, diffèrent de façon marquée des arrangements classiques d'actionnement de la barre à aiguilles et de la barre d'abattage.
De préférence, un mécanisme pour faire avancer séquentiellement les platines s'étend longitudinalement à travers les configurations rectangulaires respectives et le long de l'arrière de la tête de tricotage, un rail de tête pour monter la barre à platines étant situé entre la zone de formation du tissu et la zone des pivots. Ainsi, on obtient un arrangement très compact. Vues de côté du métier, la configuration quadrangulaire et la tête de tricotage (y compris la barre à aiguilles mais en excluant tout dispositif éventuel de tricotage de côtes) se recouvrent partiellement. Seule la barre d'accrochage des métiers classiques est arrangée d'une manière qui ressemble en tous points à l'arrangement adopté généralement ici pour les équpements de tricotage. Comme beaucoup de leviers et de bielles fonctionneront au-dessus du rail de tête, on a trouvé avantageux d'arranger et de construire le mécanisme d'actionnement respectif, de façon à permettre leur groupement étroit aux extrémités de la tête de tricotage, comme on l'exposera avec plus de détails dans la suite.
Dans l'arrangement compact, la barre à aiguilles peut être actionnée directement de sorte que la barre à aiguilles soit tirée au pressage par une bielle d'avance et de recul s'étendant à partir de la barre à aiguilles vers un point situé derrière la tête de tricotage. La bielle, qui s'étend de façon générale horizontalement, ne soutient pas le poids de la barre à aiguilles, tandis que le bras de levier de monte et baisse, généralement horizontal, des arrangements de l'art antérieur était le support de barre à aiguilles principal. Pour conserver la commande positive des aiguilles, lorsqu'elles sont tirées au pressage, des plaques de guidage peuvent empêcher la barre à aiguilles d'avoir un jeu en bout longitudinal. De préférence, la barre à aiguilles est soutenue par un bras de monte et baisse à chaque extrémité de la barre à aiguilles, et les bras de monte et baisse sont reliés à pivotement chacun à des bielles de traction de mouvement d'avance et de recul. Ainsi, le mouvement de la bielle d'avance et de recul est imparti simultanément à chaque extrémité de la barre à aiguilles, en permettant l'application de forces plus grandes à la barre à aiguilles pour le pressage.
L'emploi et l'arrangement de la bielle de traction du mouvement d'avance et de recul aide à obtenir un fonctionnement à grande vitesse parce qu'elle est légère, tout en permettant une transmission directe de forces considérables sans déformation importante. Le mouvement d'allée et de venue de la barre à aiguilles peut être obtenu
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tout en donnant un mouvement alternatif à un arrangement d'actionnement relativement léger. En utilisant un actionnement direct de la barre à aiguille, les leviers d'avance et de recul sont mis en œuvre de préférence avec un effet mécanique (ou rapport de la distance au pivot d'un levier à suiveur de came à la distance au pivot d'un levier d'équipage de bielle) d'environ 1.
De manière classique, la barre à aiguilles est fixée aux bras de monte et baisse, entre leur liaison à pivotement aux bielles d'avance et de recul et leurs liaisons à pivotement avec les leviers d'actionnement de monte et baisse, de sorte que les becs des aiguilles soient en ligne avec les bielles d'avance et de recul. La barre à aiguilles n'est ainsi pas en porte à faux et elle est soutenue principalement de dessous. Les leviers d'actionnement ont des pivots fixes en un coin du quadrilatère opposé à celui où sont situées les pointes des aiguilles. Cet arrangement des divers éléments améliore l'accès à la tête de tricotage de dessus et de l'avant. Les mouvements des barres d'abattage et d'accrochage peuvent être arrangés de manière analogue au mouvement de la barre à aiguilles, donnant un arrangement d'actionnement très compact avec de courts trajets de transmission des forces, convenant pour un fonctionnement à grande vitesse et utilisant en même temps des leviers normalisés. Il reste de l'espace disponible, d'abord en dessous de la région en forme de L pour les éléments d'entraînement tels que les cames, mais, chose importante, il en reste aussi derrière la tête de tricotage.
Les mécanismes d'actionnement pour les différents mouvements peuvent être doublés à chaque extrémité, et le nombre des arbres capables de pivoter, qui s'étendent longitudinalement à l'extérieur de la tête de tricotage, peut être réduit, ou bien l'emploi de ces arbres peut être complètement évité. Les bielles et les bras supports ayant également leurs mécanismes d'actionnement propres, tels que des leviers et des cames, peuvent être prévus en un point intermédiaire du rail de tête, comme par exemple un bras de barre à aiguilles, de monte et baisse, ou un bras de barre d'accrochage, d'avance et de recul. Certaines bielles et bras, cependant, se trouvent sur un prolongement du trajet d'amenée du fil ou des trajets d'attraction du tissu, et la situation de ces éléments doit être limitée aux côtés de la barre à aiguilles. Ainsi, les bielles de la barre à aiguilles, pour le mouvement d'avance et de recul, ne sont prévues qu'à chaque extrémité de la barre à aiguilles et, de même, les bras de monte et baisse de la barre d'accrochage se trouvent seulement à chaque extrémité de celle-ci. Par un agencement et une conception convenable des bielles, des bras et des leviers, on peut maintenir petite la grandeur de l'espace occupé par les bielles qui définissent les extrémités de la région utile du tricotage. La barre à aiguilles peut être munie d'une bride de renforcement pour augmenter sa résistance à la déformation lorsqu'elle est tirée au pressage à ses extrémités seulement. La bride de renforcement se trouve de préférence à l'arrière de la barre à aiguilles (c'est-à-dire du côté des aiguilles opposé à celui des becs des aiguilles), à un niveau adjacent à l'attache des aiguilles. Cela favorise considérablement, de manière surprenante, la stabilité de la barre à aiguille, de sorte qu'il est possible de travailler à de grandes vitesses de tricotage (d'autres mécanismes le permettant) ou d'utiliser des barres à aiguilles plus longues.
Avantageusement, la bride est propre à augmenter la rigidité, particulièrement à l'encontre de la déformation, dans un plan parallèle aux bielles d'avance et de recul. Cette adaptation peut être améliorée encore, au besoin, en utilisant de la matière de grande résistance à la traction, telle que des fibres de carbone, dans la bride de renforcement. La fibre de carbone peut se présenter sous la forme d'une bande enrobée dans une rainure ou un évidement de la surface du dessus et/ou de la surface du dessous de la bride. En utilisant une telle barre à aiguilles, on peut obtenir une grande rigidité et une faible masse, de manière à faciliter un mouvement alternatif, à grande vitesse, de la barre à aiguilles et un mouvement précis et sans déformation des aiguilles sur toute la longueur de la barre à aiguilles.
De préférence, le premier levier est monté sur le premier pivot à une extrémité, il comporte un nez pour coopérer avec le second levier à l'autre extrémité, et il l'orme un bord arrière renflé pour coopérer avec la came glissante, en substance à mi-distance entre le nez et le premier pivot. Il convient alors que le second levier soit monté sur le second pivot à une extrémité du second levier, sensiblement au niveau du bord arrière renflé du premier levier, qu'il ait un nez pour s l'attaque de la platine à l'autre extrémité et qu'il forme un bord arrière renflé pour coopérer avec le nez du premier levier, sensiblement à mi-distance entre le nez du second levier et le second pivot. Ainsi, l'avance de la platine, assurée par le nez du second levier, est égale à 3 à 5 fois — et de préférence à 4 fois — l'avance du bord io arrière renflé du premier levier lorsqu'il est attaqué par la came glissante. Comme le nombre des platines dans le procesus où elles sont avancées à un instant quelconque ne doit pas être changé aux grandes vitesses, l'amplitude de levée de la came glissante peut être réduite de moitié en comparaison de cames glissantes classiques 15 attaquant un seul levier avec un effet mécanique ou rapport de 2. On a trouvé que pour un effet mécanique d'environ 3, on peut obtenir un fonctionnement doux, tout en fournissant une quantité stable de fil, c'est-à-dire que le degré de tirage de fil (qui commande la longueur du point) n'est pas affecté par la vitesse du mouvement transversal de 20 la came glissante, qui peut être faible lorsqu'on travaille à la main et élevée lorsque le fonctionnement dépend d'un moteur. Pour des effets mécaniques de valeur 4, le fonctionnement est doux avec le moteur aux grandes vitesses, mais la quantité de fil fournie peut ne pas toujours être la même.
25 On peut arranger le premier et le second levier de manière compacte, en les mettant derrière et en dessous d'une barre à platines et au-dessus d'un rail de tête, en donnant les mêmes dimensions aux premiers et seconds leviers, en les arrangeant de façon qu'ils soient sensiblement parallèles et dressés. Avantageusement, le second pivot 30 est sensiblement au même niveau que la barre de glissement et le premier pivot est en dessous de ce niveau. Ainsi, les deux pivots sont situés près l'un de l'autre et du rail de tête. Les leviers peuvent être dessinés de façon optimale et montés de façon optimale pour leurs fonctions respectives, les premiers leviers étant arrangés pour absor-35 ber la force latérale exercée par la came glissante sans risquer un défaut d'alignement entre les seconds leviers et les platines associées. Les premiers et seconds leviers peuvent ainsi avoir chacun une section transversale réduite comparativement aux leviers classiques. De préférence, les leviers sont montés entre des joues de leviers 40 disposées de façon à ne laisser dégagées que les pointes des seconds leviers et une partie de bord arrière des premiers leviers. Ainsi, les premiers leviers coopèrent avec les seconds leviers en un point situé entre les joues des leviers, de sorte que se trouve réduit le risque d'un défaut d'alignement et d'un mauvais fonctionnement de ceux-ci. 45 Les vitesses de tricotage peuvent être limitées aussi parce que les suiveurs de cames peuvent sauter de leurs cames. De préférence, par conséquent, l'arrangement de l'actionnement et de l'entraînement du métier à tricoter est modifié pour utiliser des cames pour engendrer le mouvement des bielles et des bras supports, dans les deux sens de leur so mouvement alternatif. Les leviers d'actionnement sont avantageusement des leviers en renvoi de sonnette, actionnés par des cames du type desmodromique. On utilise de préférence une paire d'arbres à cames pour donner l'espace nécessaire pour le double jeu de cames pour chaque mouvement. Il convient qu'un arbre à cames soit situé 55 derrière les leviers d'actionnement pour les bielles d'avance et de recul, de façon à agir très directement sur ces bielles. Par une conception convenable, les paquets cames et les leviers peuvent n'occuper qu'une petite partie du métier, tout en assurant un actionnement efficace à grande vitesse des différents leviers et bras 60 supports. L'emplacement d'un arbre à cames derrière la configuration quadrangulaire des leviers et des bielles n'est possible qu'en raison de l'arrangement ordonné des dispositifs d'actionnement du métier suivant l'invention et procure un trajet de transmission des forces plus direct que ce n'est le cas dans le brevet GB N" 643324 au os nom de Pourchot.
Dans une autre forme de réalisation, le métier à tricoter comporte une section de tricotage avec une paire de tètes de tricotage arrangées dos à dos et entraînées par un arbre d'entraînement unique s'éten-
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dant longitudinalement entre les têtes de tricotage. De cette façon, les mécanismes d'entraînement et d'actionnement sont communs à une paire de têtes de tricotage, l'étendue de plancher occupée pour chaque tête de tricotage productrice est réduite et les vibrations peuvent être réduites par le fait que les mouvements des barres à aiguilles se produisent simultanément en sens opposés. On peut avoir une grande production de tissu pour une même étendue de surface occupée et pour un même capital investi, en dépit du fait qu'une seule section est prévue dans chaque métier à tricoter.
Sur les dessins donnés à titre d'exemple:
la fig. 1 est une vue de face (la vue arrière est la même) montrant schématiquement un métier à tricoter à barres rectilignes suivant l'invention;
la fig. 2 est une vue schématique d'au-dessus d'une partie du métier de la fig. 1, montrant les éléments de monture principaux; la fig. 3 est une vue en bout de la carcasse de la machine de la fig-i;
la fig. 4 est une vue en plan partiel d'un détail de l'arrangement d'entraînement monté sur la carcasse de la fig. 3;
la fig. 5 est une vue en perspective de parties du métier à tricoter pour actionner des barres à aiguilles;
la fig. 6 est une vue de face détaillée de la partie de la fig. 1 qui contient une extrémité d'une barre à aiguilles, l'autre extrémité de cette barre (qui est d'ailleurs identique) étant disposée symétriquement;
la fig. 7 est une vue en coupe transversale, schématique dans le dessus, de la machine de la fig. 1, tandis que la fig. 8 montre une partie de la fig. 7;
la fig. 9 montre une partie de la fig. 8, mais dans une étape différente du fonctionnement;
la fig. 10 montre une came glissante pour faire avancer les leviers montrés aux fig. 8 et 9;
la fig. 11 est une vue latérale du métier;
la fig. 12 est une vue de face montrant des parties adjacentes; la fig. 13 est une vue latérale d'un paquet de cames partiellement assemblées du métier de la fig. 1 ;
la fig. 14 est une vue de face, et la fig. 15 est une vue en perspective, sous forme schématique, d'une partie du métier à tricoter.
En se référant plus particulièrement aux fig. 1 à 3, on voit qu'une carcasse d'un métier à tricoter à barres rectilignes comporte des pieds d'extrémité transversaux 10 et des pieds intermédiaires 12, ces pieds étant tous reliés les uns aux autres par une paire de rails de tête 14 s'étendant longitudinalement et par une paire de rails inférieurs 16. Un rail central peut être ajouté entre les rails inférieurs 16. Des tiges 20 s'étendent entre les pieds d'extrémité 10 auxquels elles sont fixées par des écrous. Des manchons 94 sont montés sur les tiges entre les pieds et des leviers 86 peuvent pivoter librement entre des paires de colliers fixés aux manchons 94. La paire de rails de tête soutient chaque fois une tête de tricotage. Les éléments des différentes têtes de tricotage sont les mêmes et exécutent les mêmes opérations au même moment.
En se référant plus particulièrement aux fig. 3 et 7, on voit qu'un moteur est fixé à l'intérieur de l'un des pieds d'extrémité 10 et entraîne une roue dentée d'entrée 40. Une roue planétaire 42, montée sur un arbre 44 tournant à pleine vitesse, arbre porté par des roulements 68 des pieds 10 et 12, engrène avec la roue dentée d'entrée 40. La roue planétaire 42 engrène à son tour avec:
a) une roue satellite planétaire du dessus 46 et un arbre à cames de dessus 48 reçu dans des roulements 68 des pieds 10 et 12;
b) une roue dentée satellite du bas 50 sur un arbre à cames du bas 52 porté par des roulements 68 des pieds, et c) une roue dentée folle 54 sur un arbre en porte à faux 56 qui engrène avec une autre roue dentée satellite du bas 50 Cette autre roue dentée planétaire est montée de la même manière que la roue planétaire précédente 50, mais tourne en sens opposé
Les arbres à cames 48 et 52 peuvent être décalés longitudinalement en même temps pour faire passer la commande des différents mouvements de tricotage d'un ensemble de cames à un autre ensemble de cames. L'arbre 44 tournant à pleine vitesse est relié,
pour entraînement (fig. 4), par un embrayage 62 et des roues dentées de réduction 58a et 58b à un arbre à demi-vitesse 66. Une roue dentée 68a, entraînée par l'arbre 66, engrène avec une roue dentée 68b sur l'arbre à cames de tirage 70, lequel arbre est monté suivant le même axe que l'arbre 44, donnant ainsi une demi-vitesse à la came de tirage 72. Une courroie de cuir 64 est amenée en contact avec un bossage sur la roue dentée 68b par un mécanisme (non représenté) pour jouer le rôle de frein sur la came de tirage, avant le dégagement de l'embrayage. L'arbre à demi-vitesse 66 sert à faire fonctionner le mécanisme de tirage.
Le dispositif d'entraînement décrit jusqu'à présent sert à faire fonctionner le mécanisme de tricotage et de tirage pour les têtes de tricotage sur chacun des rails de tête 14. L'arbre à pleine vitesse 44 sert à faire tourner les arbres à cames 48 et 52 à la même vitesse que l'arbre 44. Les cames sur les arbres 48 et 52 sont utilisées, de façon générale, pour faire fonctionner des leviers qui commandent les différentes barres mobiles, montées transversalement, des têtes de tricotage. L'arbre 44 sert également à faire tourner une autre came par l'intermédiaire de l'arbre à demi-vitesse 66 qui fait fonctionner le mécanisme de tirage.
Les cames pour faire fonctionner les différentes barres mobiles transversalement sont disposées en paquets sur les arbres à cames 48 et 52. L'arbre à cames 48 porte deux ensembles de paquets, un pour chaque tête de tricotage. Chaque paquet est situé sur un moyeu ou manchon comprenant (voir fig. 3 et 4) deux moitiés de moyeu 70, fixées ensemble à une extrémité par des boulons 72, passant par des saillies sur une bordure de localisation 74. Chaque demi-moyeu 70 comporte trois nervures 76 s'avançant radialement pour soutenir des demi-cames 78, fixées ensemble en un paquet et fixées par des boulons 80 à une autre saillie depuis la bordure de localisation 74. Les moitiés de cames 78 comportent des parties centrales découpées 82 pour en réduire la masse. Les moitiés de cames 78 sont ainsi étroitement adjacentes. L'ensemble de paquets de cames peut être aisément démonté sans gêner les paquets de cames adjacents.
Chaque paquet de cames est associé à un levier particulier. Les leviers actionnés par les paquets de cames sur les arbres 48 et 52 sont arrangés en lignes sur les arbres des leviers 20. Chaque levier (voir fig. 11 et 12) comporte un moyen 84 et une paire de bras de leviers 86a et 86b. Le moyeu 84 est constitué par une demi-section de fixation 88 et un bras de levier portant la demi-section 90. Des boulons 92 maintiennent les sections 88 et 90 ensemble. Le moyeu 84 est monté sur un manchon de roulement 94, qui entoure l'arbre 20, et il est empêché d'avoir un mouvement longitudinal par des anneaux de localisation 96 et des manchons d'espacement 98. Le moyeu 84 peut porter contre un disque 97 écartant deux leviers adjacents. Les bras 86a et 86b ont une partie de bras épaissie 100 avec une ouverture 102 (non représentée).
Les suiveurs de cames peuvent être amenés à suivre le pourtour des cames d'une manière précise, en réglant la position des plaques de monture 104 par rapport aux bras 86, en utilisant les boulons 110.
A des fins de normalisation, les leviers peuvent être produits en versions de droite et de gauche qui sont dimensionnellement les mêmes. Des parties 102 peuvent être fraisées du côté gauche ou du côté droit des bras 86a et 86b et munies de plaques de monture 104 avec une broche 106 qui porte les suiveurs de cames, comme il est convenable, en donnant un total de quatre configurations de leviers différentes.
La broche 106 est découpée en dessous de la plaque 104 pour donner à la plaque 104 un bord inférieur droit.
Le suiveur de cames qui peut comprendre des billes, dans un roulement à billes, a une section transversale mince et il peut suivre une surface de came, bien que les surfaces de cames, de part et d'autre, soient surélevées.
Des bielles ou bras de liaison 118 peuvent être fixés à pivotement à l'extrémité des bras 86a par des connexions à pivotement avec des roulements.
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Une particularité importante du métier est que les éléments ainsi normalisés, c'est-à-dire les paquets de cames, les leviers, les bras de liaison et les bielles, peuvent être utilisés pour la plupart des mouvements des barres mobiles transversalement de la tête de tricotage et, éventuellement aussi, pour d'autres opérations commandées par cames, telles une vis mère. Dans ce qui suit, les barres individuelles seront décrites en ne se référant que brièvement à l'arrangement de cames et de bielles de leviers, qui est généralement tel que décrit ici.
En se référant plus particulièrement aux fig. 5 à 8, on voit que chaque tête de tricotage comprend une barre à aiguilles 130 comprenant un lit d'aiguilles 132 coopérant avec des pinces 132a à l'avant pour fixer les ensembles d'aiguilles à becs. Une bride 134 est formée d'une pièce avec le lit 132 en aluminium, à l'arrière du lit 132 et au niveau des parties d'aiguilles serrées. Des bandes de renforcement en fibres de carbone 140 sont liées à l'aluminium dans des rainures étroites formées dans la bride 134.
La barre est fixée à chaque extrémité à des consoles dé monture 142, situées en dessous de la bride 134, en utiljsant des boulons 138. Les consoles 142 sont soudées en un point intermédiaire à des bras de liaison rigides 145 montants et descendants. Les plaques de guidage 148, fixées au rail de tête 14, empêchent des mouvements de glissement des bras de liaison 145 de la barre à aiguilles, en ne permettant que des mouvements d'avance et de recul et de monte et baisse.
Les bras de liaison de monte et baisse 145 sont reliés à pivotement au-dessus à des bielles d'avance et de recul 146, en une position située au-dessus de la barre à aiguilles 130 et en ligne avec la série des becs d'aiguilles. Les bielles 146 passent au-dessus du sommet du rail de tête 14 et sont actionnées chacune simultanément par un bras de levier dressé 86a, derrière la tête de tricotage du même levier, pour tirer la barre à aiguilles 130 au pressage, en la déplaçant vers le rail de tête 14 sous l'influence des arrangements de paquets de cames à chaque extrémité de la barre à aiguilles 130. Les bras de monte et baisse 145 sont reliés à pivotement en bas aux bras de leviers de monte et baisse 86a qui se trouvent à un niveau inférieur à la tête de tricotage et qui passent sous le rail de tête 14, sensiblement parallèlement aux bielles 146. La barre à aiguilles 130 est portée entre ses extrémités par un bras de monte et baisse intermédiaire 152 (fig. 1). Les différents bras de leviers sont tous montés sur l'arbre à leviers 20.
En se référant plus particulièrement aux fig. 5 à 8, on peut voir comment l'effet général se présente pour que chaque extrémité de chaque barre à aiguilles soit montée sur un arrangement rectangulaire de leviers, de bras de liaison et de bielles, avec les séries des becs d'aiguilles adjacentes à un coin extérieur et supérieur et avec les arbres de leviers 20 dans le coin intérieur et inférieur. Aussi bien les lignes de becs d'aiguilles, les rails de tête 14 et les barres à platines associées se trouvent sur une ligne diagonale entre les deux coins prémentionnés. L'arrangement général rectangulaire des bielles et des leviers, de la barre à aiguilles de la tête de tricotage qui occupe une partie de l'aire en section transversale à l'intérieur de l'arrangement des leviers et des bielles, est très compact, et l'arbre à cames de dessus 48 peut être logé entre deux arrangements de bielles et de leviers disposés symétriquement, pour la transmission directe du mouvement du suiveur de cames à la barre à aiguilles. Les barres à aiguilles avant et arrière 130 sont décalées longitudinalement, de sorte que chacune soit actionnée directement par les paquets de cames disposés côte à côte sur l'arbre à cames de dessus 48. De l'espace subsiste en dessous de chacune des têtes de tricotage pour les autres arbres à cames du bas 52, les paquets de cames et tous autres mécanismes. La barre à aiguilles est ainsi actionnée de façon à faire en sorte que la plongée des aiguilles suive le trajet montré en traits mixtes à la fig. 8.
En se référant aux fig. 6 et 8, on voit que chaque tête de tricotage comprend une barre d'accrochage 154 (dite aussi catch-barre), ayant un élément 156 pour venir en coopération avec une butée de platines et ayant une bande de renforcement 158 en fibres de carbone. La barre d'accrochage 154 est soutenue par les bras de liaison d'avance et de recul 160 aux extrémités et en des positions intermédiaires. Les bras 160 ne peuvent pas pivoter par rapport à la barre d'accrochage 154. La barre d'accrochage 154 est encore soutenue à ses extrémités, seulement par les bras de liaison de monte et baisse 162 qui passent à travers des fentes 164 du rail de tête 14 arrangé à l'extérieur des bras de monte et baisse des barres à aiguilles 145. L'élément 156 est découpé en 166 pour permettre à la barre d'accrochage 154 de s'adapter étroitement au-dessus des bras d'avance et de recul 146 de la barre à aiguilles. Les divers bras de liaison sont fixés aux extrémités des bras de leviers, comme décrit précédemment. A la fig. 6, le bras d'avance et de recul 160 est fixé à un bras de levier d'avance et de recul 161, et le bras de liaison de monte et baisse est fixé à un bras de levier de monte et baisse 163. La barre d'accrochage 154 fonctionne de la manière habituelle pour un métier équipé de platines.
En se référant aux fig. 6 à 8, on voit que chaque tête de tricotage comporte' un ensemble de barres d'abattage comprenant une barre d'abattage 170 servant de monture aux pièces d'abattage 172, avec un arbre transmetteur de couple 174 s'étendant longitudinalement à l'arrière de la barre d'abattage et relié à celle-ci, en plusieurs positions espacées, par de courtes bielles 175. Les bielles 175 sont du genre utilisé comme maillons de chaîne et pivotent sur des consoles sur la barre 170 et sur des consoles 176 sur l'arbre 174. La barre d'abattage 170 est soutenue du dessous, entre ses extrémités, par des bras de liaison de monte et baisse 188 montés à pivotement sur des bras de leviers de monte et baisse 189 en dessous de la tête de tricotage et attachés directement à la barre d'abattage 170.
L'arbre 174 passe à travers des roulements formés dans des supports 178 boulonnés au rail de tête 14 à leur extrémité inférieure et à une barre du bas de platines 180 à leur extrémité supérieure. L'arbre 174 est ainsi situé au-dessus du rail de tête 14, et les roulements empêchent la déformation de l'arbre 174. Aux deux extrémités, l'arbre 174 est relié aux leviers 182 montés de manière à pouvoir pivoter sur des bielles d'avance et de recul 184 actionnées par des bras de leviers 186 d'avance et de recul, dressés. Les leviers 182, les bielles 184 et les bras de leviers 186 sont situés à l'extérieur des leviers de commande et des bielles pour les barres à aiguilles et d'accrochage.
La barre d'abattage 170 est plate et elle n'a pas tendance à se déformer en conséquence d'un mouvement de monte et baisse. Les bielles comtes 175, qui sont empêchées d'avoir un mouvement longitudinal par rapport à la barre d'abattage dans les roulements 176, relient fermement l'arbre 174 à la barre d'abattage 170. Lorsque l'arbre transmetteur de couple 174 est maintenu dans des roulements des supports 178, il maintient ainsi la barre d'abattage à l'abri des déformations résultant du mouvement d'avance et de recul. L'ensemble à barres d'abattage permet aussi que le mouvement d'avance et de recul soit créé en utilisant les paquets de cames normalisés, les leviers et les bielles comme décrit. Le mouvement résultant est représenté par le tracé en pointillés à la fig. 8.
Le métier représenté sur les figures est un métier qui a des platines actionnées par des leviers avancés progressivement seulement, sans platines diviseuses avancées simultanément. Ainsi, un ensemble d'éléments, comprenant une platine, des leviers, des ressorts à levier, est aligné avec chaque pièce d'abattage 172 pour faire avancer la platine associée entre deux aiguilles adjacentes de la barre à aiguilles 130.
En se référant à la fig. 9, on voit un ensemble 202 de barres à leviers, qui comporte des leviers primaires 204 montés sur un fil-pivot 206 s'étendant longitudinalement. Les leviers 204 ont un bord arrière qui forme un renflement en 208, avec lequel coopère une came glissante 210. L'ensemble 202 comporte encore des leviers secondaires 212 montés sur un autre fil-pivot 214 s'étendant longitudinalement. Les leviers 212 ont un bord arrière avec une partie courbe en 216. Chaque paire de leviers primaires et secondaires associés 204 et 212 coopère pour actionner une platine 218 montée à coulissement dans la barre à platines 180.
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Les leviers primaires 204 ont des parties de pivotement 222 avec une ouverture centrale, pour maintenir le fil-pivot 206, à une-extrémité et des nez 224 à l'autre extrémité, qui portent contre les parties courbes 216 des bords arrière des leviers 212 à l'autre extrémité. Les leviers secondaires 212 ont des parties de pivotement 226 à une extrémité et des nez 228 pour coopérer avec les platines 218 à l'autre extrémité. Les nez 224 coopèrent avec les parties courbes 216 qui se trouvent à mi-distance entre les extrémités des leviers 212.
Dans ce cas, un effet mécanique ou rapport de bras de leviers de 3 est obtenu, tel que le soulèvement assuré par la came glissante 210 représente un tiers de l'avance des platines 218. L'effet mécanique ou rapport des bras de leviers peut être modifié, si nécessaire, en élevant ou en abaissant la barre de glissement 234 par rapport aux leviers primaires 204. La fig. 9 montre les platines dans leur position avancée.
L'effet mécanique, ou rapport des bras de leviers, élevé, peut être obtenu avec un ensemble de leviers de dimensions semblables aux dimensions classiques utilisant seulement un levier pour actionner chaque platine et ayant un effet mécanique de bras de levier d'environ 2. L'espacement vertical des fils-pivots 206 et 215 n'est que petit, ainsi que l'est l'espacement horizontal entre les fils-pivots 206 et 214.
Les leviers primaires 204 ont des bords chanfreinés en des positions espacées angulairement le long des bords supérieurs, pour coopérer avec des ressorts de leviers 230 dans la position avant (voir fig. 8) ou dans la position de retrait (voir fig. 9). Aucun décalage des ressorts de leviers 230 dans le sens horizontal n'est requis.
L'ensemble des barres à leviers 202 peut être logé commodément à l'arrière de la barre à platines 180, au-dessus du rail de tête 14 et en face d'une barre de ressorts à leviers 232 et la barre de glissement 234.
Les leviers 204 et 212 peuvent être retenus dans l'ensemble de barres à leviers 202, en alignement convenable avec les platines 218, par un boîtier comprenant une base de barre à leviers 240, attaché au rail de tête 14, des piliers de barre à leviers (non représentés) étant prévus à chaque extrémité de la base de barre à leviers 240. Les piliers des leviers servent de monture aux extrémités des fils-pivots 206 et 214, aux barres d'alignement 241 et aux barres coupées 250 qui servent à localiser une joue de levier 248 dans chaque paire de leviers 204 et 212. Les joues de leviers 248 sont maintenues sur la base 240 par une plaque de serrage 252 et un évidement 254, pour permettre à la came glissante 210 de passer le long de l'arrière des leviers 204.
Le profil de la came glissante (prévu pour un effet mécanique des bras de leviers de 3) est montré à la fig. 10. En utilisant un effet mécanique ou rapport élevé, la pente a à l'extrémité avant de la came glissante 210, qui est la partie la plus raide du profil, peut être faite petite. La came glissante coopère avec les leviers 204 environ à mi-distance entre le pivot 214 et le nez 224.
La came glissante 210 est animée d'un mouvement transversal en même temps que les porteurs de fil 215 (voir fig. 1) pour poser le fil entre les aiguilles, en coopération avec les platines, de manière classique. Cependant, pour assurer la compacité, les porteurs, ou chariots, et la came glissante peuvent être entraînés par des courroies arrangées dans un plan sensiblement vertical et se trouvant parallèle à la barre à glissement. Il est commode que ces courroies puissent être entraînées par un levier de tirage monté pour avoir un mouvement alternatif à l'aide d'une came à l'extrémité de l'arbre 66 (voir fig. 4). Le levier de tirage peut être arrangé étroitement le long des pieds d'extrémité 10 et dans les limites de ceux-ci.
Si on le désire, le levier de tirage peut être du type à tirage variable de sorte que le nombre des tours rétrécis tricotés puisse être augmenté sans augmenter la vitesse de tirage, en raccourcissant le tirage et en accélérant le mouvement d'ensemble.
Dans ce cas, la barre à glissement peut être montée sur au moins deux montures à leviers et actionnée de manière analogue aux leviers décrits précédemment, de sorte que la came glissante puisse être retirée pour permettre le retrait des platines par la barre d'accrochage.
D'autres mécanismes, tels que ceux qui servent à décaler des paquets de cames pour le tricotage des côtes, pour régler le tirage, peuvent être disposés de façon classique.
En se référant maintenant plus particulièrement à la fig. 2 et à la fig. 15, on peut voir comment les divers leviers ont été arrangés d'une manière ordonnée.
Les divers organes décrits précédemment peuvent être arrangés de manière compacte. Les bras de leviers dressés 86a, auxquels sont reliés les différentes bielles ou bras de liaison 118, forment des arrangements Al à chaque extrémité derrière les deux têtes de tricotage. Les autres bras de leviers 86b, associés aux bras de leviers 86a, forment des arrangements A2 en dessous des paquets de cames sur l'arbre à cames de dessus 48, les arrangements A2 des têtes de tricotage respectives se recouvrant partiellement. Les bras de leviers 86a qui s'étendent latéralement, auxquels sont reliées les différentes bielles de monte et baisse 118, forment des arrangements A3 à chaque extrémité en dessous des têtes de tricotage. Les autres bras de leviers 86b qui y sont associés forment des arrangements A4 derrière l'arbre à cames du bas 52 en dessous de l'arbre à cames du dessus 48.
Les arrangements Al et A3 fonctionnent dans un espace étroit, s'étendant longitudinalement, entre les pieds d'extrémité 10, et les divers éléments des têtes de tricotage s'adaptent en avant des arrangements Al et A3 et au-dessus de ceux-ci.
La transmission du mouvement à partir des paquets de cames aux bielles 118 est généralement directe et les masses en mouvement alternatif sont petites. Les têtes de tricotage se trouvent à l'avant et à l'arrière du métier.
En se référant à la fig. 15, on voit la tête de tricotage montrée en Hi d'un côté et en H2 de l'autre côté. On peut voir comment Hj s'adapte partiellement dans l'espace en forme de L occupé par les divers leviers. Les têtes de tricotage peuvent être atteintes par des bielles en des points intermédiaires, mais seulement à l'arrière et au bas de la tête de tricotage, de façon à laisser une région non obstruée pour recevoir le fil provenant des chariots de transport transversal, pour la transformation de ce fil en tissu. La région occupée par la barre de glissement S s'étend à travers des ouvertures rectangulaires formées par les bielles et les leviers aux extrémités de la tête de tricotage. Les leviers pivotent dans des régions P disposées virtuellement en diagonale en face de la zone de formation du tissu, dans les têtes de tricotage Ht et H2. La zone de formation de tissu se trouve au-dessus des organes d'abattage et entre la barre à aiguilles et la barre à platines.
Le mécanisme décrit peut être modifié en ce qui concerne le mécanisme de mouvement de la barre à aiguilles, en commandant chaque levier particulier, pour son mouvement dans un sens, par une came sur un arbre à cames et, pour son mouvement dans un autre sens, par une came sur un autre arbre à cames. On préfère,
cependant, que les cames soient sur le même arbre à cames puisque cela facilite la synchronisation précise des cames. Si des vitesses faibles sont acceptables, il peut être possible de déplacer les leviers par des cames dans un sens seulement et d'utiliser un ressort de tension, ou de préférence de compression, pour le mouvement de retour. Le ressort de compression peut être situé entre deux bras de leviers adjacents dressés, servant chacun à l'une des barres à aiguilles. Dans un arrangement d'entraînement plus compliqué, des leviers à trois bras pourraient être employés à raison de deux, avec des suiveurs de cames, pour coopérer avec les cames respectives, pour un mouvement d'allée et de venue des leviers, et avec un troisième bras de levier pour faire fonctionner la bielle associée. En utilisant ces leviers, il est possible de tirer la bielle d'avance et de recul de la barre à aiguilles, par le fonctionnement d'une came en dessous de la tête de tricotage.
Le mécanisme peut être adapté aussi de telle façon que les deux barres à aiguilles puissent être actionnées à partir des mêmes cames. Cela peut être réalisé par des biellages à pivotement intermédiaires ou en faisant coopérer des secteurs dentés qui relient entre eux les leviers pour les barres à aiguilles respectives mais, dans l'un et l'autre cas, la transmission d'entraînement est moins directe et un jeu peut se présenter, ce qui empêchera le fonctionnement à grande vitesse.
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Les leviers, les bielles et les pivots des leviers occupent des zones distinctes, sont arrangés d'une manière ordonnée et ne s'entremêlent pas. On peut utiliser des mécanismes similaires pour les mouvements des différents équipements de tricotage et des barres portant ces équipements, y compris des mécanismes similaires pour les mouvements de monte et baisse et d'avance et de recul. L'emploi de leviers normalisés devient possible. Le nombre des leviers et des bielles arrangés de façon ordonnée peut être variable. D'autres mécanismes de façonnage peuvent par exemple être arrangés de manière similaire. On peut arranger de manière classique certains mécanismes parce que l'arrangement ordonné se prête à des combinaisons avec de tels mécanismes. Cependant, l'arrangement décrit est particulièrement avantageux parce qu'il permet de réaliser un grand nombre de mouvements de manière similaire et avec compatibilité mutuelle, et le recours à des arrangements classiques n'est que rarement nécessaire.
La région des pivots peut comprendre un pivot ou plusieurs pivots disposés à proximité l'un de l'autre ou espacés dans la partie diagonalement opposée de la configuration rectangulaire mais, de façon générale, les bielles reliées aux leviers et aux barres sont d'un côté de la zone en forme de L et sont sensiblement parallèles. Un actionnement direct peut être prévu en disposant dans les têtes de tricotage, ou près d'elles, les arbres qui peuvent être des arbres transmetteurs de couple.
Le réarrangement des organes d'actionnement crée les conditions d'un développement ultérieur des métiers à barres rectilignes. En se s fondant sur la simplicité et la normalisation de l'arrangement d'actionnement, il devient possible de réduire les frais de fabrication d'une section de métier à tricoter à barres rectilignes. L'arrangement d'actionnement pourrait être utilisé pour des métiers à section unique ou à sections multiples.
io On peut, cependant, utiliser l'arrangement très avantageusement pour des métiers à section unique, qui utilisent un petit nombre d'arbres, de préférence un arbre à leviers commun qui soutient les leviers en leur permettant de pivoter, et qui utilisent au moins deux et parfois plus de deux ensembles de leviers et de bielles pour impartir 15 un mouvement simultanément à plusieurs points, espacés longitudinalement, d'une barre. L'emploi d'éléments d'actionnement normalisés compense, au moins dans une certaine mesure, le nombre accru des leviers d'actionnement et des bielles. Il est donc possible de prévoir un métier à section unique à un prix comparable à celui du 20 coût moyen d'une section d'un métier à sections multiples et de procurer plus de souplesse dans la fabrication et le fonctionnement des métiers à tricoter à barres rectilignes.
R
14 feuilles dessins

Claims (13)

  1. 626669
    2
    REVENDICATIONS
    1. Métier à tricoter à barres rectilignes, ayant une tête de tricotage dans laquelle des équipements de tricotage sont montés sur des barres, des leviers d'actionnement soutenus à pivotement et des bielles, reliant directement ou indirectement entre elles les barres mobiles et les leviers pour impartir des mouvements d'avance et de recul ou de monte et baisse aux organes en vue de la formation d'un tricot, caractérisé en ce que les leviers d'actionnement, pour un nombre prédominant de mouvements des équipements de tricotage, s'étendent à partir d'une région de pivots agencée longitudinalement, pour se situer dans une zone longitudinale sensiblement en forme de L, et sont reliés par des bielles directement ou indirectement à une barre ou à des barres mobiles respectives pour former le tricot, dans une zone sensiblement opposée diagonalement à la région des pivots, dans des configurations quadrangulaïres formées par les leviers et les bielles respectives.
  2. 2. Métier suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'un mécanisme pour faire avancer séquentiellement des platines est arrangé de façon à s'étendre longitudinalement à travers les configurations quadrangulaïres respectives et le long de l'arrière de la tête de tricotage, un rail de tête pour monter la barre à platines étant situé entre la zone de formation du tricot et la zone des pivots.
  3. 3. Métier suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce qu'une barre à aiguilles est montée entre des bras supports dressés, reliés à pivotement, en dessous, à un levier à mouvement de monte et baisse et, au-dessus, à une extrémité d'une bielle d'avance et de recul dont l'autre extrémité est reliée à un levier dressé à mouvement d'avance et de recul.
  4. 4. Métier suivant la revendication 3, caractérisé en ce que la barre à aiguilles a une bride de renforcement s'étendant longitudinalement, à un niveau adjacent au-dessus de la barre à aiguilles, la barre étant confinée de façon à empêcher son mouvement en bout par des plaques de guidage et le levier d'actionnement dressé étant entraîné . par cames pour tirer la barre à aiguilles au pressage, à ses extrémités.
  5. 5. Métier suivant l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu'un arbre est monté de façon à pouvoir osciller dans et s'étendre longitudinalement à travers la tète de tricotage, le long de la barre d'abattage, et en ce que des moyens relient la barre d'abattage entre ses extrémités d'une part et l'arbre d'autre part, de telle façon que l'oscillation de l'arbre se présente concurremment avec un mouvement alternatif de la barre d'abattage et résistant à la déformation de la barre d'abattage entre ses extrémités.
  6. 6. Métier suivant la revendication 5, caractérisé en ce que les moyens d'interconnexion comprennent une multiplicité de bielles espacées le long de la barre d'abattage et reliées à l'arbre en au moins un point situé entre les roulements qui soutiennent l'arbre, l'arbre étant relié à pivotement, de façon excentrée, aux bielles pour leur communiquer le mouvement alternatif d'avance et de recul, tandis que la barre d'abattage est soutenue et actionnée pour avoir un mouvement de monte et baisse, par les bras supports dressés, et en ce que le mouvement d'avance et de recul est transmis indirectement des leviers d'actionnement d'avance et de recul dans la zone en forme de L, à la barre d'abattage, par l'intermédiaire de l'arbre.
  7. 7. Métier suivant l'une des revendications 5 ou 6, caractérisé en ce que les moyens d'interconnexion sont arrangés pour transmettre le mouvement d'avance et de recul entre une partie supérieure de la barre d'abattage et un bras s'étendant vers le haut à partir de l'arbre, et en ce que l'arbre est tourillonné dans des roulements formés par des blocs qui s'étendent entre un rail de tête et la barre à platines, de sorte que les moyens d'interconnexion soient situés juste en dessous de la barre à platines.
  8. 8. Métier suivant l'une des revendications 2 à 7, caractérisé en ce qu'un ensemble de barres à leviers, pour actionner les platines, comprend des paires de leviers mobiles l'un par rapport à l'autre et coopérant entre eux pour transmettre l'actionnement d'une came glissante à une multiplicité de platines, un levier d'une paire étant arrangé chaque fois pour être actionné par la came glissante et l'autre levier de chaque paire étant agencé pour actionner une platine associée.
  9. 9. Métier suivant la revendication 8, caractérisé en ce que chaque paire comporte un premier levier monté sur un premier pivot et
    5 pouvant coopérer à son bord arrière avec la came glissante, un second levier monté sur un second pivot et pouvant coopérer à son bord arrière avec le premier levier et ayant un nez pour coopérer avec la platine associée, une avance de platines assurée par les seconds leviers étant de 2,5 à 3,5 fois égale à l'avance des bords postérieurs io des premiers leviers où s'applique la came glissante.
  10. 10. Métier suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'un arbre à cames pour actionner les leviers dressés est agencé derrière les leviers d'actionnement dressés dans la zone en forme de L, et en ce qu'un autre arbre à cames pour actionner des
    15 leviers sensiblement horizontaux est agencé en dessous de la zone en forme de L.
  11. 11. Métier suivant la revendication 10, caractérisé en ce que les leviers dans la zone en forme de L sont des parties de leviers en renvoi de sonnette, coopérant avec des cames sur les arbres respectifs, pour
    20 actionner par cames les leviers d'actionnement dans des sens opposés.
  12. 12. Métier suivant l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que deux têtes de tricotage sont arrangées dos à dos, séparées par les leviers dressés dans les zones en forme de L et
    25 actionnées par une commande commune.
  13. 13. Métier suivant la revendication 12, caractérisé en ce qu'un arbre à cames est arrangé entre les leviers dressés des zones en forme de L, lesquels leviers sont entraînés par des cames sur l'arbre à cames pour actionner des équipements des deux têtes de tricotage.
    30 14. Métier suivant la revendication 13, caractérisé en ce qu'un arbre d'entraînement commun s'étend entre deux arbres à cames servant de montures à des cames situées en dessous des zones en forme de L respectives, associées aux têtes de tricotage respectives et en dessous de l'arbre à cames s'étendant entre les leviers dressés, et en
    35 ce qu'un levier de tirage est monté à pivotement d'un côté du métier pour donner un mouvement alternatif perpendiculairement à l'arbre d'entraînement commun.
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