Appareil téléimprimeur automatique du type start-stop. lia présente invention se rapporte à mi appareil téléimprimeur automatique du type start-stop comportant une roue des types qui est arrêtée après chaque opération d'impres sion par un mécanisme de verrou, dans l'une d'au moins deux positions de départ, ledit mécanisme de verrou étant rendu inactif au début de la réception d'une combinaison (le code qui doit placer la roue des types dans une position correspondant à ladite combinai son de code, caractérisé en ce que la.
roue des types, à la suite dit premier élément de code du signal transmis, est, retenue temporaire ment par l'un oui l'autre d'au moins deux membres d'arrêt coopérant- avec des membres de relâchement, clans finie ou l'autre d'au moins deux positions de travail correspondant approximativement. auxdites positions de dé part de la roue des types.
Le but de la. présente invention est de ré duire la vitesse à l'arrêt de la- roue des types. Coinnie le eboe dû à l'arrêt, (le ladite pièce est proportionnel ait carré de sa vitesse, sa réduction est d'une importance considérable pour l'usure (les parties mécaniques.
Dans les exemples d'exécution préférés, la roue des types est montée de manière à tour ner avec un arbre tournant portant les diffé rentes i-an;ées (le butées. Cet arbre est muni de deux butées à 1_80 pour définir les posi tions d'arrêt de l'arbre.
Vit premier élément de code de nature dé terminée, par exemple < l'espacement, sert à. libérer l'arbre pour une rotation de l80 si à. l'origine il est dans une certaine position de ; repos, tandis que s'il est, à. l'origine, dans la position de repos opposée, un. premier élément de code de nature opposée est nécessaire pour le libérer en vue d'une rotation de 180".
L'invention sera mieux comprise grâce à la description suivante de deux formes d'exé cution de l'objet de l'invention, description qui est. faite, à titre d'exemple, en relation avec le dessin annexé, dans lequel: La fig. 1 est une vue en perspective d'un récepteur télégraphique imprimeur suivant l'invention, dont, quelques organes ont été omis pour plus de clarté.
La fig. 2 est une vue analogue du méca nisme imprimeur et d'avancement. du papier du récepteur montré à la. fig. 1.
La fil-Z. > est une vue analogue de méca nismes additionnels qui peuvent être em ployés dans l'appareil selon la. fig. .1 et, enfin, la fig. -1 montre une vue en perspective ; d'un autre exemple d'exécution du récepteur télégraphique imprimeur suivant, l'invention.
Si on se rapporte d'abord à la fig. 4, l'arbre des cames 1 est disposé pour être eni- bravé, dès la réception d'un signal de démar rage, avec un arbre de commande, non mon tré, entraîné à une vitesse pratiquement cons tante. L'arbre de la roue des types 2 est entraîné au moyen d'un embrayage à, friction 3 par la roue -1, qui est. entraînée par le mo teur de commande.
L'arbre de la roue des types 2 porte des bras de butée 5 et 6, un premier bras de sélection positive 7 et un pre mier bras de sélection négative 8, une pièce 9 ayant deux bras de sélection, une pièce 10 ayant trois bras de sélection, une pièce 11 ayant les quatre bras de sélection, et une pièce 12 ayant les cinq bras de sélection. On remar quera que les seconde, troisième, quatrième et cinquième pièces de sélection portent respecti vement deux, quatre, huit et seize bras.
Un levier de détente 1.3 coopère avec les bras de sélection normaux 5 et 6, et est main tenu normalement en prise avec le bras 5 ou 6 au moyen d'une partie descendante venant en prise avec un verrou commun 14 contre l'action du ressort 15. Les détentes 16, 17, 18, 19, 20 et 21 coopèrent avec les bras d'arrêt 7, 8, 9, 10, 11 et 12, respectivement, chaque dé tente présentant une partie descendante dis posée pour coopérer avec le verrou commun 14. Chaque détente est soumise à l'action d'un ressort, qui tend à l'éloigner du trajet de son bras d'arrêt associé. La. détente 16 est munie d'un troisième bras portant. un support, dans lequel est monté un pivot 22.
Le pivot 22 porte un levier de came 23 disposé pour coopérer avec une came 24 et comportant un verrou 25. Ce dernier est disposé pour coopérer avec une extrémité d'un levier de came 26, l'autre extrémité du levier étant disposée pour coopé rer avec un appendice 27 porté par le bâti 28, monté sur le pivot 38. Le bâti 28 est sous la commande de l'électro-aimant récepteur 29. Le levier de came 26 coopère avec -une came 30 et est porté par -une broche 31 por tée par un levier 32 soumis à l'action d'un ressort 40.
Un jeu de pièces analogues est prévu en relation avec chacune des autres détentes 17, 18, 19, 20 et 21. Par exemple, le levier de came 42 est porté par la broche pivot montée sur le troisième bras de la détente 17 et le verrou 41 du levier de came 42 coopère avec une extrémité du levier de came 39. Le levier de came 39 est monté sur ime broche portée par -tin levier 44 Soumis à l'action d'un ressort. Les leviers de came 42 et 39 coopèrent respective ment avec les cames 45 et 49.
Le levier de came 39 diffère toutefois du levier de came 26 en ce que le premier coopère avec le bâti 28 et non avec l'appen dice 27. Les leviers de cames associés aux autres détentes et correspondant aux leviers de cames 28 et 39 coopèrent avec le bâti 28 d'une manière analogue au levier de came 39.
Le levier de came 23 est. muni d'un prolon gement 23a, et d'autres leviers de cames ana logues tels que 42 sont munis de prolonge ments analogues, tous disposés pour être sou mis à l'action d'un levier de remise en place commun 33, actionné par une came de remise en place 34. Le levier 33 est muni d'une bro che 35, qui coopère avec un prolongement du verrou commun 14 qui est pivoté sur la tige 50, grâce à quoi le verrou peut être actionné lorsque le levier de came 23 et d'autres le viers de cames analogues sont remis en place. Une came spéciale 36 est. prévue pour action ner le bras d'arrêt normal 13.
Une came à cinq bossages 37 est prévue pour amener l'ar mature de l'électro-aimant portée par le bâti 28 contre les pôles de l'électro-aimant pen dant la réception. de la partie moyenne de chaque unité de code.
Le fonctionnement du dispositif est le sui vant : à la réception d'un signal de démar rage, l'arbre 1 est embrayé avec l'arbre en rotation constante entraîné par le moteur de commande par tous moyens bien connus (non montrés), l'arbre de la roue des types étant tenue par le levier 1.3 dans la position mon trée, ou dans une position à 180 de celle montrée, la détente 13 étant maintenue en prise avec l'iin ou l'autre des bras 5 ou 6 contre l'action du ressort 15, au moyen du verrou commun 14. Pendant la réception de la première -unité du code, le premier bossage de la came 37 abaissera le bâti 28 qui porte l'armature de l'électro-aimant, de manière à amener l'armature en contact avec l'électro aimant 29.
Si, à .ce moment, un courant cir cule dans l'enroulement de l'électro-aimant, le bâti 28 sera maintenu dans une position abais sée; s'il ne circule pas de courant dans l'en- roulement., le bâti 28 sera relâché de manière à revenir dans la position montrée. Aussitôt après l'action du premier bossage de la came 37, lorsque le bâti 28a pris une position sé- lectée, les cames 30 et 49 agiront au même moment pour presser vers l'avant les leviers de came 26 et 39.
Le bâti 28 étant dans la position montrée, c'est-à-dire loin de l'électro-aimant 29, l'extrémité inférieure du levier 26 n'est. pas dans le chemin de l'appendice 27, de sorte qu'elle ne sera pas retenue par lui. En consé quence, lorsque la came 30 presse le bossage contre le levier 26, l'extrémité inférieure du levier 26 se déplacera vers la gauche, le res sort 40 est légèrement. tendu, et Fextrémité supérieure du levier 26 reste fermement en prise avec le verrou 25 du levier de came 23. Pendant que le bossage de la came 30 actionne le levier 26, le bossage de la, came 49 actionne le levier de came 39, dont l'extré mité inférieure est. en prise avec la pièce com mune 28, en supposant que cette pièce soit. dans sa position supérieure.
En conséquence, l'extrémité inférieure du levier 39 sera main tenue et l'extrémité supérieure se déplacera vers l'extérieur, de manière à se dégager du verrou 41 porté par le levier de came 42, de sorte que ce levier sera déplacé vers le haut par le ressort 43, empêchant ainsi l'extrémité supérieure du levier de carne 39 de revenir à sa position normale. On remarquera que le ressort 43 sollicite le levier 42 dans le sens des aiguilles d'une montre, produisant ainsi une pression simultanément star l'extrémité supé rieure du levier 39.
On verra ainsi qu'avec le verrou 28 dans sa. position supérieure, le levier de came 23 est maintenu en prise avec la came 24 par le verrou 25 et l'extrémité supé rieure du levier de came 26, tandis que le levier de came 42 est, relacbé, de manière à être éloigné de la came 4 5 sous l'action du ressort 43. Il. est clair, toutefois, que, si la.
pièce commune 28 était- dans sa position abais sée contre l'électro-aimant. 29, l'extrémité in férieure du levier 39 serait laissée libre et l'extrémité inférieure du levier 26 serait main tenue par l'appendice<B>27.</B> En conséquence, le levier 42 serait maintenu et le levier 23 serait. libre.
Aussitôt après que. les cames 30 et 49 ont fonctionné, les cames 24 et. 45 actionnent les leviers 23 et 42 si ces dernières sont en prise avec lesdites cames. Le levier 23, qui est tenu par le verrou 25 et l'extrémité supérieure du levier 26, tournera en sens inverse des aiguilles d'une montre autour du verrou 25, obligeant ainsi le levier 16 à tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, amenant ainsi un bras du levier 16 dans le trajet du bras 7 sur l'arbre de la roue des types et le prolonge ment dirigé vers le bas dudit levier 16 à abaisser le verrou commun 14, libérant ainsi le levier 7.3, qui se dégagera des bras 5 ou 6 sous l'action du ressort 15. Le verrou commun 14 s'élèvera immédiatement après en vue de maintenir le levier 16 dans sa position action née.
Le verrou commun 14 comporte une arête en couteau qui coopère avec la partie se pro longeant vers le bas de chaque levier de dé tente: cette arête en couteau du verrou se présente par rapport à l'arête des détentes avec un angle tel que la. détente 16, en tour nant dans le sens des aiguilles d'une montre, abaisse le verrou d'une quantité suffisante pour libérer la détente 13, et d'une manière analogue toute détente suivante abaissera le verrou d'une quantité suffisante pour libérer toute détente actionnée antérieurement.
Avec la roue des types maintenue dans la position normale, l'actionneznent de la détente 16 ne permet à la roue des types de tourner que d'une très petite quantité, qui correspond au jeu prévu entre la détente 16 et le bras d'ar rêt 7.
La came 45 n'a pas d'action sur le levier de came 42, parce que ce levier a été retiré du trajet du bossage de la came 45 sous l'action du ressort 43. Par suite, on verra que, si la. première impulsion du code correspond à une absence de courant dans l'électro-aimant 29, le bâti commun sera. dans sa position supé rieure au moment où les cames 30 et 49 fonc tionnent et la détente 17 restera. dans la. posi tion montrée dans laquelle elle est sans effet pour arrêter la roue des types. La roue des types sera toujours arrêtée au moyen du bras 7 et de la détente 1.6.
Si la roue des types avait été arrêtée dans une position à 180 de celle montrée sur le dessin, la détente 13 coopérant avec le bras d'arrêt 6, l'arbre 2 dans les conditions exposées ci-dessus se serait déplacé d'un demi-tour pour venir dans sa première position de sélection.
D'une manière analogue, si la première im pulsion de sélection correspond à du courant dans l'enroulement de l'électro-aimant, c'est- à-dire à une impulsion de marquage, la dé tente 17 est actionnée au lieu de la détente 16 et l'arbre de la roue des types fait un demi- tour ou bien ne bouge pratiquement pas, sui vant qu'il était maintenu par la détente 13 en prise avec le bras 5 ou avec le bras 6.
Les leviers de came 46 et 47, avec les cames correspondantes, sont prévus pour la. seconde unité du code, et des leviers analogues pour les troisième, quatrième et cinquième unité du code. Dans chaque cas, un couple seulement. clé leviers est prévu, contrairement aux deux couples de leviers prévus pour la première unité du code. L'arbre 1 porte également les cames néces saires pour exécuter les fonctions d'impres sion et d'avancement du papier, pour lesquels le mécanisme n'est pas montré. Ce mécanisme peut être le même que celui décrit plus loin en relation avec les fig. 1 à 3.
Après l'exécu tion de ces fonctions, la came 34 agit sur le levier de rétablissement 33, qui ramène tous les leviers de came 23, 42, etc. dans des po sitions où les leviers de came 26, 39, etc. re viennent en prise avec les verrous 25, 41, etc. En même temps, la broche 35 actionne le ver rou commun 14, tandis que la came 36 ac tionne la détente 13, et toutes les détentes 13, 16, 17, 18, 19, 20 et 21. sont ramenées aux positions montrées au dessin. L'arbre 2 est ainsi rendu libre de tourner et tourne jusqu'à ce que la détente 13 vienne en prise avec le bras d'arrêt 5 ou le bras d'arrêt 6, suivant celui des deux qu'il rencontre en premier lieu.
Comme ces bras d'arrêt sont à 180 l'un de l'autre, la roue des types peut être arrêtée dans l'une ou l'autre de deux positions à 180 .
L'action d'une came (30 par exemple) sur un levier correspondant (26) suivie de l'action d'une came adjacente (24) sur un autre levier (23) correspondant est équivalente à 2" de mouvement donnés à une pièce de sélection (7). L'actionnement sélectif des leviers de came correspondant au levier 23 a, par suite, lieu a11 milieu des périodes de l'élément. de signal correspondant, alors que le mouvement correspondant de la détente coopérant avec les rangées de butées peut soit avoir lieu im médiatement après, ou bien les détentes peu vent être amenées en position de fonctionne ment avec les différentes rangées de butées au moyen de cames décalées ang@ilairement;
ce décalage correspond au degré de mouve ment permis à la roue des types par les ran gées de butées respectives.
Il est clair que les détentes 16, 17, 18, 19, 20 et 21 peuvent être actionnées sous le con trôle de barres de combinaison actionnées par ; un clavier, les détentes 16 et 17 étant action nées par la même barre de combinaison et l'une ou l'autre d'entre elles étant actionnée, suivant. que ladite barre de combinaison est amenée ou non dans une position donnée.
Se rapportant maintenant aux fig. 1 à 3, un arbre horizontal (non montré) est entraîné d'une manière continue par un moteur élec trique et cet arbre est muni de roues engre nant avec les roues 4 et 57. La roue 4 entraîne un arbre de roue des types 2 par l'intermé diaire d'un embrayage à friction 3 de tout type bien connu. L'arbre 2 est, toutefois, nor malement maintenu stationnaire par un des bras d'arrêt qu'il porte et qui coopèrent avec une détente correspondante d'une manière analogue à celle décrite phis haut.
La roue 57 est fixée à un arbre 127 sur lequel est égale ment fixé une bague à rochet 128 d'un em- larayage denté de type bien connu. Le man chon à. rochet 129 de cet embrayage est monté à coulissement sur l'arbre 127 et couplé au manchon 1 monté de façon à pouvoir être tourné sur l'arbre 127. Le manchon 1 porte les cames pour la commande de la série d'opéra- < . tions de l'appareil.
Pour plus de clarté dans la représentation de certaines des parties, la bague à rochet 128 et le manchon 129 de l'em brayage denté sont. montrés en prise et le manchon 1 est montré comme a ;-arit tourné d'une certaine quantité depuis sa position de repos normale. Le manchon à rochet l_29 est, sur une faible amplitude, libre de se mouvoir le long du manchon let dans la position (le repos, il est sollicité vers la ba;ue à rochet 128 par un ressort 130, mais il est normale ment maintenu hors de prise au moyen d'une détente 1-13, d'une manière bien connue.
L'électro 29 est normalement. excité et maintient son armature 28 dans la position attirée. 1)ès la réception de l'élément de départ d'un signal, l'électro 29 est désexcité et l'ar mature 28 s'éloigne des pièces polaires sous l'action d'un ressort 141. Un appendice 138 fixé à l'armature coopère avec un bras 137 et l'éloigne d'une butée fixe 136. Le bras 137 est normalement maintenu contre la butée 136 par un ressort 1.35 et dans une position telle qu'un épaulement du bras 137 en empêche le mouvement- longitudinal. Lorsque l'appen dice 138 de l'armature 28 déplace le bras 137, l'épaulement est dégagé de la butée 136.
Le bras<B>137</B> est fixé à, une extrémité à un levier coudé 161 fixé sur une tige 144 tournant dans le bâti de la machine (non montré). Lorsque l'épaulement du bras 1_37 est dégagé de la. butée 136, un ressort 162 fait tourner le levier coudé 161 et la tige 144 dans le sens des aiguilles d'une montre et le bras 137 se dé place suivant sa longueur.
La détente 1=13 mentionnée ci-dessus est fixée à la tige 1_44 et, lors d'une rotation dans le sens des aiguilles d'une montre de cette tige, elle est dégagée du manchon à rochet 1_29 qui, aussitôt, solli cité par le ressort 1.30, vient en prise avec la bague à rochet 128. lie manchon 1 tourne alors avec l'arbre 127. Dans la réalisation montrée, la roue des types, à la fin d'un cycle de sélection et, d'im pression, reste dans la position sélectée, mais elle est ramenée dans une des positions de départ pendant la. période relative à l'élément de départ du cycle suivant.
Au commencement d'un cycle d'opérations, une came 31 agit sur un levier de came 59 en vue de maintenir un prolongement 58 dudit levier engagé avec un levier 51. Le levier<B>51</B> est pivoté sur le pivot 164 sur lequel est pi voté également la détente 13, qui est reliée audit levier 51 par le ressort 165. Par suite, le ressort 165 est sous tension et, la détente 13 est, déplacée dans le trajet des bras d'arrêt 5 et 6.
Le verrou 1.4 fait partie d'une tringle pivotée sur une tige (non montrée) et un côté de la tringle est prolongé de manière à former un levier coudé 52. Aussitôt après que le man- ehon 1 commence à se déplacer, une came 34 montée sur le manchon 1 agit sur le. levier coudé 52 pour dégager le verrou 14 de l'une quelconque des détentes 16,<B>17,</B> 18, 19, 20 ou ''1.. L'arbre 2 commence alors à. tourner. La came 34 libère ensuite le verrou 14 qui revient en arrière pour maintenir la détente 13 en prise, soit avec le bras d'arrêt 5, comme mon tré, soit avec le bras d'arrêt 6.
Une came 37, montée sur le manchon 1, agit sur un prolon gement de l'armature 28 quand l'élément de départ commence à déplacer l'armature 28 vers les pôles de l.'électro 29. Un peu avant le point médian du premier élément de code du signal, un creux de la, came 37 permet à l'armature 28 de s'éloigner des pôles de l'élee- tro 29 grâce à son ressort. 141. Si, toutefois, l'électro se trouve maintenant. excité, il main tient son armature dans la position attirée.
Ce mouvement de l'armature 28 se produit pour chaque élément de cade de signal, l'armature étant maintenue attirée par l'électro ou libre de s'en éloigner suivant que l'élément de signal en cours est un élément de marquage ou d'espacement. .
Le mécanisme traducteur dans la réalisa tion décrite comporte un certain nombre de pièces en forme d'épée, une pour chaque élé ment de code. Sur la fi-. 1, deux de ces pièces seulement, 61.a,, 61b, sont montrées et ces pièces sont, por tées par des leviers de came 62a., 62b soumis a, un. ïholivement <B>dé</B> va-et-vient sous l'action des cames 63a, 63U.
Un prolongement 66 de l'armature<B>28</B> est relié à cette dernière par un ressort 140, et ainsi se déplace avec elle. Le prolongement 66 porte une pièce 65 comportant deux bras 64. -Dès que la position de l'armature a été déter minée, une came 158, montée sur le manchon 1, déplace son levier de came 159, pour enga ger la pièce en forme d'épée, portée par le levier. de came, avec la pièce 65.
La pièce 65 présente une arête en lame de couteau, et une partie en lame de couteau 160 du levier 159 s'engage d'un côté ou de l'autre de l'arête en couteau de la pièce 65 pour maintenir le pro longement 66 et la pièce 65 dans la position qu'elles ont prise.
Chacune des cames 63a, 63b comporte deux parties. La partie inférieure déplace la pièce en épée .correspondante 61a, 61b, pour l'engager avec les bras<B>6-1.</B> Si,<B>à</B> ce moment, l'armature est maintenue attirée, l'appendice de gauche de la pièce en épé vient en prise avec le bras correspondant 64 et la pièce en épée tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Si l'armature, à ce moment, est éloignée des pièces polaires, l'ap pendice de droite de la pièce en épée vient en prise avec le bras correspondant 64 et la pièce en épée tourne dans le sens des aiguilles d'une montre.
Après qll'lllle pièce en épée a été ainsi placée, elle est éloignée par la came supérieure 63a ou 63b, etc. des bras 64, après quoi la came<B>158</B> permet au levier 159 de s'éloigner de la pièce 65 sous l'action de ressort, lais sant ainsi cette pièce et le prolongement 66 pour qu'ils puissent se placer en correspon dance avec l'élément de code suivant. Après un certain délai, la came inférieure déplace la pièce en épée vers la détente correspon dante.
La pièce en épée 61a. correspondant au premier élément du code coopère avec deux détentes 16 et 17 coopérant elles-mêmes avec les bras de butée 7 et 8 de l'arbre (le la. roue des types. Si la pièce en épée 61a est mise en position de marquage , elle actionne la dé tente 16 et si elle est mise en position d'espa cement, elle actionne la détente 1-7. Quelle que soit celle des détentes 16, 17 sur laquelle la pièce en épée 61a a agi, le verrou 14 est, dé placé dans le sens des aiguilles d'une montre et libère ainsi la détente 13.
Le verrou 14, immédiatement après, est ramené pour main tenir la détente soit 16, soit. 17, qui a été ame née en nouvelle position, et toutes les autres détentes hors du trajet des bras d'arrêt cor respondants. Lorsque la détente 13 est libérée, la roue des types commence à tourner et, sui vant la relation entre la position- de l'arbre de roue des types et la nature du premier élé ment de code, elle est libre de se mouvoir soit d'une très petite fraction de tour, soit de 180".
Ainsi, supposons que la roue des types a été arrêtée dans la position montrée par l'en gagement de la détente 13 avec le bras d'arrêt 5. Si maintenant la pièce en épée 61a. a été mise en place par un élément de marquage et est venue en prise avec la détente 16, l'arbre de roue des types est presque immédiatement arrêté par l'engagement de la détente 16 avec le bras d'arrêt 7. Il est nécessaire de per mettre un léger décalage entre les positions des bras d'arrêt 5 et 7 pour avoir la certitude que la détente 16 aura le temps d'entrer dans le chemin du bras d'arrêt 7.
Si, d'autre part, la pièce en épée 61a. est mise en place par un élément d' espacement et vient en prise avec la détente 17, la roue des types peut tourner de 180 jusqu'à ce que la détente 1.7 vienne en prise avec le bras d'arrêt 8.
Supposons, d'autre part, que la position initiale de l'arbre de roue des types ait été à 180 de celle montrée, c'est-à-dire que la dé tente 13 soit en prise avec le bras d'arrêt 6. Si, alors, la détente 1.6 est actionnée par un élément de marquage , l'arbre de la roue des types tournerait de 180 jusqu'à ce que la détente 16 s'engage avec le bras d'arrêt 7. Si la détente 17 avait été actionnée par un élé ment d' espacement ,, la roue des types ne tournerait que d'une très petite quantité et serait arrêtée par l'engagement de la détente 17 avec le bras d'arrêt 8.
La pièce en épée 61b correspondant au deuxième élément du code est déplacée d'une manière analogue à, la pièce en épée 61a. La , piécê en épée 61b ne coopère toutefois qu'avec une seule détente 18 avec laquelle elle vient en prise seulement si elle a été mise en place par un élément d' espacenielit du code. #si le deuxième élément du code est < le iuar- quage , la pièce en épée 61b est placée dans une position où elle lie vient pas en prise avec la détente 18 et., dans ce cas, l'arbre de roue des types n'est pas libéré.
Les pièces en épée (lion montrées) corres pondant aux troisième, quatrième et cinquième éléments de code coopèrent avec les détentes 19, 20 et 21. de la même manière que la pièce en épée 61b avec la. détente lb. La détente lb coopère avec deux bras d'arrêt 9, la. détente 1.9 avec quatre bras d'arrêt 10, la. détente 20 avec huit bras d'arrêt. 1.1 et la détente 21 avec seize bras d'arrêt 12.
La raison pour la liaison élastique entre la détente 13 et le levier 51 apparaîtra bien maintenant.. Si les deuxième, troisième, qua trième et cinquième éléments d'une combinai son de code sont tous de niarqttage , l'arbre 2 sera, à la fin de la. réception d'une telle combinaison, dans une position dans laquelle il est tenu par l'une ou l'autre des détentes 16 ou 17 coopérant avec un bras d'arrêt. cor respondant 7 ou 8.
Le bras d'arrêt 5 ou le bras d'arrêt 6 seront alors dans le chemin de i la détente 13 et elle ne peut, par suite, être poussée en position de fonctionnement; lorsque le verrou 14 est déplacé pour libérer la détente 16 ou la. détente 17, l'arbre 2 se déplace et la détente 13 saute en place, juste derrière le bras d'arrêt contre lequel elle a été amenée par le ressort 7.65 et se trouve ainsi sur le chemin du bras d'arrêt distant de 180 .
Le verrou 14 coopère avec les détentes 13, 16, 17, 18, 19, 20 et 21 de la manière décrite o en référence à L'exemple antérieur. La détente 13 peut, par suite, être déplacée au-delà du verrou au commencement d'un cycle d'opéra tions sans que le verrôu se déplace assez pour libérer aucune autre détente en place, mais s toute détente actionnée ultérieurement libé rera toute détente précédemment actionnée. Les intervalles de temps entre les instants auxquels les.pièces en épée agissent sur leurs détentes correspondantes doivent être plus petits à mesure que l'amplitude du mouve ment que l'arbre 2 doit. exécuter décroît.
Pendant la rotation du manchon de came 1, la came 133 agissant sur le levier de cane 1.31 fait tourner graduelleiiient la tige 144 pour amener la détente 143 dans une position. où elle revient en prise avec aile surface de came sur le manchon (le rochet 129, afin qu'elle dégage ce manchon à rochet du man- clion à rochet 128 contre l'action du ressort 130.
A mesure que la tige 1a14 tourne, Je., levier coudé 161. tourne avec elle et dégage le bras 1_37 de l'appendice<B>138,</B> jusqu'à ce que l'épaulement du bras<B>137</B> soit en position pour s'engager avec la. butée fixe 136. Vers la fin d'une rotation de cycle, la carne 133 laisse le levier 131, la tige 144 et la. détente 143 libres, puisqu'ils sont maintenant maintelüis par l'engagement, de l'épaulement du bras<B>137</B> avec la butée fixe 136. Le manchon de came 1 vient au repos pendant la période de l'élément d'arrêt, le manchon à. rochet. 1.''9 ayant été dégagé du rochet 128.
On voit, par la fig. 1, que les caractères de la roue des types sont disposés en deux rail gées, les lettres dans une et les chiffres et signes de ponctuation dans l'autre. La. rangée voulue des caractères à présenter au ruban de papier est déterminée par les signaux de dé calage, soit le signal mise sur lettres ou celui de mise sur chiffres . La réception de l'un ou l'autre des signaux de décalage fait placer l'arbre de la roue des types 2 dans une position caractéristique, comme dans le cas de tout autre signal. La. roue des types 7.17 est. fixée à. un manchon 60, claveté à.
L'arbre 2 de manière à tourner avec lui, mais libre de se mouvoir longitudinalement à. l'arbre. Le man chon 60 porte une plaque 152. Une fois par tour du manchon de came 1, après que la rotation de la. roue des types est terminée, la came<B>157</B> sur ce manchon frappe lui levier 7.51, pivoté en 1.54, de manière à l'abaisser et la came 156 frappe un levier 153, pivoté en 155, de manière à l'élever. Si le signe mise sur lettres a été sélecté, la plaque 7.52 est placée sous le levier 157_ et si le sine mise sur chiffres a été sélecte, la plaque 152 est placée sous le levier 153. Par suite, le man chon 60 avec la roue des types sera abaissé ou élevé.
La roue des types sera maintenue dans l'une ou l'autre de ces positions au moyen dl-Lui galet 80 (fig. 2) qui se loge dans l'une ou l'autre des deux dépressions 79 du man chon 60. Les opérations d'impression et d'avance ment du papier sont exécutées de la manière suivante: Pendant que la roue des types est mise en rotation suivant les éléments de code reçus, les cames 132 (fig. 2) font déplacer ime pièce 134, pivotée sur une tige 166, dans le sens des aiguilles d'une montre. Un goujon 88 du bras 91b de la pièce 134 fait tourner le levier coudé 85 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre sur le pivot 97.
Le le vier coudé 87, pivoté en 86 sur le long bras du levier coudé 85, se meut ainsi avec ce der nier. Le levier coudé 87 comporte une partie montante 87a qui se déplace contre un pro longement 90a d'un levier 90 qui, normale ment, repose par un prolongement montant 94 contre une butée fixe 93 et fait tourner ce levier 90 en sens inverse des aiguilles d'une montre, tendant le ressort 84. Le levier 73, fixé sur la tige pivot 97, est forcé, par le ressort 92, de suivre le levier 90. Lorsque le goujon 88 atteint l'extrémité de sa course, un bras du levier coudé 87 rencontre un verrou 89 et tourne de ce fait légèrement dans le sens des aiguilles d'une montre.
La partie montante 87a est dégagée du prolongement 90a et le levier 90 peut ainsi tourner dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort 84. Un prolongement 74 du levier 90 fait tourner le levier 73. Comme le marteau d'im pression 160 est fixé sur la tige 97, il est dé placé avec le levier 73 d'abord loin de la roue des types et ensuite vers elle. Le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre du levier 90 est arrêté par la butée 93, mais le moment d'inertie du levier 73 et du marteau d'impression 150 les entraîne jusqu'à ce que le marteau d'impression applique le ruban encreur et la bande de papier contre la roue des types, après quoi le ressort 92 les en éloigne.
Le caractère sélecte est imprimé sur deux bandes de papier, dont une seule, 1.67, est montrée sur la fig. 2, passant entre les deux parties repliées d'un ruban encreur 168. Le caractère est ainsi imprimé au recto de la bande 167 et également à l'envers au verso de la bande. Une seconde bande de papier, non montrée, passe entre la partie repliée arrière du ruban encreur 168 et la roue des types, de sorte que le caractère est aussi imprimé au verso de cette bande. Les deux bandes passent sur un rouleau 68 fixé sur l'arbre 67.
Lorsque le levier 73 est déplacé en iue d'amener le marteau d'impression contre la. roue des types, il frappe un levier 72, pivoté sur un pivot fixe (non montré) et le dégage ainsi d'un levier coudé 95. Le levier coudé 95 tourne sous L'action du ressort 96 et le cliquet <B>70</B> fait tourner la roue à rochet 69 de l'inter valle d'une dent. La roue à rochet 69 est fixée sur l'axe 67 et, ainsi, le papier est avancé de l'intervalle d'un caractère.
Lorsque le levier 85 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, pendant la pre mière partie du cycle qui suit, un court appen dice 75 de ce levier vient en prise avec une broche 71 fixée au levier coudé 95 et le ré- enclenche contre le levier 72, faisant ainsi reculer le cliquet 70 de l'intervalle d'une dent.
Le ruban encreur 168 est entraîné par un mécanisme non montré, le cliquet d'avance ment étant actionné au moyen d'un levier coudé (non montré) déplacé par le bras 91 de la pièce 134.
Lorsqu'un signal de décalage est reçu, le galet 80 est dégagé du manchon 60 et le levier 78 tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 77. Le levier 78 vient en prise avec une cheville 82a du verrou 82 et déplace ce verrou dans le i sens des aiguilles d'une montre en vue de le dégager du verrou 89. Le verrou 89 se dé place en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de son pivot. 76, de sorte que, lorsque le levier coudé 87 se déplace en sens inverse des aiguilles d'une montre avec le levier 8:r, il ne sera pas arrêté par 1e verrou 89 et ne libérera pas le levier 90.
Le mouve ment de ce levier, sous l'action du ressort 84, est, par suite, évité et il ne se produit ni opé ration d'impression, ni avancement de ruban.
Si la roue des types est- amenée, en ré ponse à un signal d' espacement , en une position où Lui blanc se présente sur la roue des types, une cheville 149 (fi-. 1) montée sur cette dernière actionne le levier 146 et porte l'extrémité libre du levier sur le trajet d'un appendice du marteau de frappe, de sorte que ce dernier se trouve arrêté avant d'atteindre la position (l'impression, mais pas avant que le levier 7'_' ne soit frappé par le levier 73. La bande sera par suite avancée de la manière normale, niais il n'y aura. pas impression.
L'appareil peut être utilisé comme impri meur dans une machine à chiffrer et, si elle est ainsi employée pour imprimer un message chiffré, il est. nécessaire (l'introduire un inter valle après chaque groupe de cinq caractères.
Lorsque la pièce l34 est déplacée en sens inverse des aiguilles d'une montre, le bras 91(r amène un cliquet l1_5 (fig. 3) en prise avec une roue à rochet 71-1 fixée sur le même arbre 67 (tue la roue à rochet d'avancement. nor- rrrale 69.
La roue à rochet 114 est munie d'un nombre de dents qui est le sixième de celui des dents de la roue à rochet 69, présentant quatre dents pour 24 sur la roue 69. Ainsi, après chaque série de cinq pas de la roue à rochet 69, la roue à rochet 114 est. déplacée par le cliquet 115 pour faire tourner l'arbre 67 et la roue à rochet 69 de l'intervalle sup plémentaire d'une dent.
La rotation de L'arbre 67 par l'action du cliquet 1.15 sur la roue à rochet 114 a lieu au cours du cycle qui suit celui où une encoche de la roue 11a1 se présente au cliquet, et dans ce cycle mentionné, avant que l'impression n'ait eu lieu.
8i l'appareil est employé pour tout autre usage que l'impression d'un message chiffré, un levier de commande met hors d'emploi le mécanisme d'insertion. d'un intervalle après chaque groupe de cinq caractères. A cet effet, le levier de commande fait tourner un axe 112 dans le sens des aiguilles d'une montre et, au moyen des leviers 113 et 111, maintient le cliquet<B>115</B> éloigné de la roue à rochet 114.
Afin d'économiser le ruban de papier, un dispositif a été prévu pour que, lorsque l'ap pareil fait partie d'un transmetteur et récep teur et qu'un enregistrement, local des mes sages transmis n'est pas nécessaire, le méca nisme d'avancement, du papier puisse être mis hors d'action. Ce dispositif est associé au com mutateur transmission-réception, de sorte que le dispositif ne peut être actionné que si le commutateur est dans la position transmis sion . Se référant à, la fi-. 3, la came 1.25 est montée sur un axe se terminant par un bouton moleté 126 qui fait saillie hors de la plaque supérieure (non montrée) de l'appa reil.
Ce bouton a deux positions marquées pas d'avancement et avancement . Lors qu'il est tourné dans la position pas d'avan eement , la came 125 agit sur une tige 1.24 portée par un levier 123 pivoté sur une tige 166. Un levier 120 est fixé sur une tige 122 montée sur le levier 123. Le levier 120 est. maintenu normalement par le ressort 121 en prise avec le levier coudé 82, et lorsque la came 125 agit. sur la tige 1.24, le levier 120 fait. tourner le levier condé 82 dans le sens des aiguilles d'une montre contre l'action du ressort 81 et dégage ainsi l'épaulement qu'il présente du verrou 89.
Par suite, ledit verrou tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre lorsque la broche 98, montée sur le bras 911) de la pièce 134, le lui permet, et vient se placer en dehors du trajet du levier coudé 87. Par suite, le marteau d'impression n'est pas déclenché, ni le ruban avancé au cours clés opérations suivantes clé l'appareil.
Afin d'être assuré que le dispositif ci-des sus décrit est sans effet lorsque l'appareil est utilisé comme récepteur d'une station éloignée, une tige 119 est reliée à L'axe de .commande du commutateur émission-réception. Lorsque ce commutateur est amené dans la position réception , la tige<B>11.9</B> est, tournée dans le sens des aiguilles d'une montre entraînant avec elle le levier 117 contre l'action du res. sort 116.
La tige 118, fixée au levier 117, est par suite amenée contre le levier 120, le déga geant du levier 82 qui, de ce fait, revient en position normale.