Machine à calculer. Cette invention a pour objet une machine à calculer à commande par moteur. Cette machine comprend un enregistreur à roues à chiffres, un entraîneur rotatif pour la com mande de ces roues et un dispositif pour la correction lors d'un enregistrement 4e chif fre trop élevé dans l'enregistreur par action- nement soustractif, lequel dispositif est nor malement hors d'action et est- agencé pour âtre mis en action clans ales problèmes de division, un organe à commande manuelle étant prévu dans ce but, lequel, lorsqu'il est manaeuvré,
détermine le fonctionnement de la machine dans ile sens soustractif et met le dispositif correcteur de chiffre en excès à même de fonctionner.
De préférence, la machine comprend une série de touches servant à introduire des va leurs dans l'entraîneur, l'abaissement d'une touche introduisant dans l'entraîneur rota tif une valeur correspondant aux chiffres de la touche, et la rotation de l'entraîneur ayant pour effet de transférer les valeurs intro- duites au compteur ou enregistreur pour ef fectuer ,l'opération de calcul. Les valeurs in troduites dans l'entraîneur sont transmises.
lorsque cet entraîneur tourne dans l'un ou l'autre sens, aux -disques à chiffres du mé canisme compteur qui, dans le but -de ren dre possible l'action directe des valeurs choi sies sur le disque à chiffres de l'ordre de grandeur le plus grand, est avantageuse ment disposé de façon à pouvoir être déplacé parallèlement à l'axe de l'entraîneur, étant monté sur un chariot susceptible d'être dé placé, transversalement à la machine, par rapport à l'entraîneur.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple seulement, une forme d'exécution de la machine selon l'invention.
Fig. 1 est un plan d'une partie de la ma chine, une partie de l'enveiloppe étant enle vée pour faire voir la construction du méca nisme de commande; Fig. 2 est une coupe verticale de la ma chine et représente le mécanisme de coin- mande servant à régir le fonctionnement clé la machine dans l'exécution de problèmes de division; Fig. 3 est une coupe suivant 3-3 (fig. 2) et représente un fragment de ce mécanisme clé commande; Fi-. 4 est nue coupe verticale de la machine et représente le mécanisme d'entraî nement et une partie du mécanisme de com mande;
Fi-. 5 est une coupe verticale de la ma chine et représente le mécanisme de com mande et lé mécanisme servant à verrouiller les éléments sélecteurs de l'entraîneur dans leur position réglée; Fig. 6 est une coupe verticale de la ma chine et représente le mécanisme servant à régir la transmission de mouvement du mo teur à l'entraîneur; Fig. 7 est une coupe verticale de la ma chine et représenté le dispositif de commande de l'embrayage; Fi-. 8 est une coupe verticale faite à travers une partie de la machine représen tant le mécanisme correcteur qui est mis en action lorsque da machine est réglée pour exé cuter des problèmes ide division;
Fig. 9 .est nu plan d'un élément d'en traîneur unique et du mécanisme de report des dizaines s'y rapportant; Fi-. 10 est un plan du mécanisme cor recteur; Fil-. 11 est une vue .d'arrière de la ma chine, des parties de cette machine étant re présentées en coupe pour faire voir plus clai rement le mécanisme correcteur.
La machine représentée est munie de touches de manceuvre positive et négative, l'abaissement de la touche positive ayant pour effet de faire tourner l'entraîneur dans le sens de l'addition, ou sers "additif", et l'abaissement de la touche négative ayant pour effet de faire tourner l'entraîneur dans le sens de la soustraction, ou sens "soustrac- tif". La touche positive est principalement employée dans l'exécution -des problèmes d'addition et de multiplication, et la touche négative est principalement employée dans l'exécution des problèmes de soustraction.
La machine est munie d'une autre touche ou levier ,de manceuvre qui, lorsqu'il est manoeu- vré, effectue .la mise en position du méca nisme servant à produire une rotation sous tractive de l'entraîneur, effectue la mise en position du mécanisme d'arrêt de l'entraî neur, à la suite de l'enregistrement -d'un chiffre trop élevé dans l'enregistreur, et dé clenche la rotation de l'entraîneur.
La tou che ou levier .de manoeuvre de la division es-t associé à un dispositif qui n'est mis à même de fonctionner -que lorsque ladite touche ou levier est manceuvré et dont le rôle est d'in verser automatiquement le sens de rotation de l'entraîneur lorsqu'un chiffre trop élevé est enregistré sur les roues @à :chiffres et d'ar rêter l'entraîneur à la. fin du premier eyele de ce mouvement de sens inverse afin que l'enregistreur de quotient indique le chiffre de quotient exact.
La présente machine comprend un bâti convenable dans lequel sont montés les di vers dispositifs clé la machine à calculer. Un grand nombre de ces dispositifs, y compris la construction particulière de l'entraîneur, les liaisons entre les touches à chiffre et l'en traîneur, le mécanisme de multiplication automatique et -d'autres caractéristiques de la machine sont décrits en -détail dans le brevet suisse n 113767 du 9 janvier 1925, auquel on se reportera pour une description complète des caractères de cette machine.
La machine à calculer comprend un entraîneur rota=tif réversible 2? composé d'une série d'unités dans lesquelles les valeurs sont in troduites par l'abaissement -de touches. Cha que unité est aussi munie de goupilles de report des dizaines servant à transférer des valeurs aux roues à chiffres du mécanisme compteur de l'ordre immédiatement supé rieur. Chaque unité .est munie de deux gou pilles de report des dizaines, et les deux séries -de goupilles de J'entraîneur sont dis posées suivant des hélices :divergentes.
Une série -de goupilles effectuent le report des di- naines pendant une rotation vers l'avant ou additive de l'entraîneur, et l'autre effectue le report des dizaines pendant une rotation de sens inverse ou soustractive de l'entraî neur. Les valeurs introduites dans l'entraî neur par l'abaissement -de tôuches sont trans férées lorsque l'entraîneur tourne :dans un sens ou dans l'autre, aux Toues à chiffres 3 du mécanisme compteur, appelé enregistreur de produit, par l'entremise .des roues inter- tnécliaires 4.
L'ensemble de l'enregistreur de produit et .des pignons intermédiaires et leviers de transfert s'y rapportant est monté sur un chariot 5 qui :est mobile transversale ment et qui est guidé par :des glissières :con venables du bati, ce chariot pouvant être dé placé pour assurer la coopération entre toute roue à chiffres désirée et toute unité .dési rée de l'entraîneur, entre les limites du mou- v ement du chariot.
A chacune des roues 3 et associé un levier de transfert 6 qui est actionné lors -du mouvement de la roue à chiffres soit à partir de la position zéro vers l'arrière, soit à partir de la position 9 en sens inverse, ce mouvement étant appelé ,;report -de transition". Ce mouvement du le vier de transfert 6 est assuré par un organe denté associé 7 fixé à la roue à chiffres.
L'entraîneur reçoit sa commande d'un moteur 8 par d'intermédiaire d'un embrayage permettant .d'accoupler le moteur avec l'en traîneur .ou de l'en désaccoupler et d'un mé canisme inverseur permettant d'inverser le sens -de -rotation de l'entraîneur.
L'em brayage, représenté dans .la fig. 6, comprend un arbre de commande 9 convenablement relié à Varbre :du moteur 8 par un engre nage réducteur de vitesse, comme représenté dans la fig. 1, cet arbre 9 étant muni d'une roue à rochet 1-2 qui tourne continuellement avec le moteur.
Comme représenté dans le brevet suisse n 138351 du 6 février 1929, le moteur est muni d'un interrupteur -qui n'est fermé que pendant le temps que la machine fonctionne pour exécuter un problème de cal cul. L'arbre -de commande 9 supporte un car ter d'embrayage 13 enveloppant da roue à rochet 12 et à l'intérieur :duquel pivote un cliquet 14 .qui est agencé pour être amené en prise avec la roue à rochet 12 ou en être dé gagé dans le but d'accoupler le pignon avec le carter ou de l'en désaccoupler. Le cliquet. 14 est sollicité vers- le pignon 12 par un ressort 15.
Le carter 13 présente à sa péri phérie une ouverture 16 à travers laquelle une saillie ou pied 17 prévu à l'extrémité -du cli- quet 14 passe lorsque le cliquet est en prise avec le pignon. Le dégagement du cliquet d'avec ile pignon s'effectue par un mouve ment du pied 17 vers l'intérieur, lequel mou vement est effectué à l'aide d'un levier de commande d'embrayage 18, qui est lui-même muni, à l'une de ses extrémités, d'un pied 19 destiné à entrer -en contact avec le pied 17.
A cet effet, lorsque le levier 18 est dé verrouillé,<B>il</B> est amené au .contact de la pé riphérie du carter 13 par un -ressort 21 et, lorsque le carter tourne, le pied 19 entre en contact avec le pied 17 et pénètre dans l'ou- verture 16, débrayant ainsi l'embrayage et verrouillant le carter.
Le carter .d'embrayage occupe une position telle, par rapport à d'en traîneur, que lorsque ledit carter est ver rouillé, l'entraîneur est lui-même verrouillé dans la position -de cycle complet.
Au :carter d'embrayage 13 est fixé un pe tit arbre creux en porte-à-faux 23 faisant partie de l'engrenage inverseur. Sur cet ar bre sont montées folles deux roues dentées 24 et 25 dont. chacune peut être accouplée directement avec ledit arbre pour tourner avec lui. Chacune de ces roues présente à sa périphérie interne un rebord discontinu ou .échancré 26, les deux rebords étant en contact. L'arbre :creux 23 (fig. 11) présente une ouverture le traversant diamétralement et .dans cette ouverture est disposé un gou jon transversal 27 .qui repose dans l'échan crure -de l'un ou l'autre des rebords 26.
Le diamètre .du goujon 27 est plus petit que la largeur -du rebord, afin qu'il puisse se pla cer entièrement à. l'intérieur de chaque re bord. Ce goujon est mobile transversalement suivant l'axe de l'arbre 23, de façon qu'il puisse entrer en prise avec l'une ou l'autre des roues dentées 24 ou 25.A cet effet, il est fixé à une tige 28 qui fait saillie hors de l'extrémité de l'arbre creux 23 et dont d'au tre extrémité est convenablement supportée dans le bâti de la machine.
L'échancrure des rebords 26 est un peu plus large que le dia mètre du goujon 2 7 pour permettre à ce gou jon d'être déplacé, dans le but d'inverser le sens de rotation -de l'entraîneur, sans arrêter le moteur. Avec ila -roue dentée 24 engrène une roue dentée folle 31 qui engrène à son tour avec une roue dentée 32 directement en prise avec la roue 25. Par conséquent, la roue 32 tourne dans un sens lorsque la roue 24 est accouplée avec l'arbre creux 23, et en sens inverse lorsque la roue 25 est accouplée avec cet arbre.
A l'arbre de la roue 32 est fixée une roue dentée 33 -placée de l'autre côté d'une cloison 34, cette roue étant elle- même reliée par une' roue intermédiaire 35 à une roue 36 portée par d'arbre ide :l'entra.î- neur. Par conséquent, le déplacement du gou jon 27 inverse le sens de rotation de l'en- traîneur.
Un dispositif permet d'effectuer soit manuellement, soit automatiquement, le dé placement du goujon 27 pour inverser le sens de rotation de l'entraîneur. A la tige coulissante 28 est: fixé un collier 38 qui est renfermé à l'intérieur -d'un boîtier 39 ren- fermant, d'autre part, un ressort .de compres sion 41 qui est intercalé entre l'extrémité -du boîtier et le collet 38 (fig. 11) et main tient le ba"itier fermement appliqué contre 1e collet, de sorte que le mouvement. du collet.
vers la droite fait mouvoir la tige 28, mais cette tige peut se mouvoir vers la droite sans faire mouvoir le boîtier à ressort. Dans la fig. 11, le goujon 27 est représenté en prise avec la roue 24, ce qui produit la commande inverse ou soustractive -de l'entraîneur. Le mouvement du goujon 27 vers la droite et Paccouplement qui en résulte de ce goujon avec la roue 25 produisent la rotation de l'entraîneur vers l'avant.
Dans une rainure circulaire du boîtier à ressort 39 est enga gée une fourchette 42 -qui est assujettie par son autre extrémité à une tige coulissante 43 (fig. 1), convenablement supportée dans le bâti de la machine et s'étendant à l'in térieur d'un arbre creux portant une roue de transmission 44. Par le mouvement -de cette tige de translation 43, qui est commande manuellement, le goujon 2 7 peut être dé placé pour produire une commande de l'en traîneur vers l'avant ou vers l'arrière.
Le sens de rotation de l'entraîneur peut être in versé manuellement par la commande de la fourchette 42 et s'inverse automatiquement par le mouvement de la tige 28. Ces deux fa çons d'effectuer le changement -de sens de la rotation -de l'entraîneur seront expliquées ci- après plus en détail.
La .commande manuelle de l'engrenage inverseur est effectuée par l'abaissement et l'abandon d'une touche de manoeuvre néga tive 51 qui .est préférablement montée sur le clavier de -la machine. Dans la machine est monté de façon pivotante un levier coudé 52 (fi-.
6) qui est sollicité par un ressort 53 vers une position normale. Lorsqu'il occupe cette position, le mécanisme inverseur occupe une position propre à permettre la rotation vers l'avant ou additive de -l'entraîneur. Un des bras du levier coudé 52 -est situé au- dessous d'une goupille 54 fixée à la tige de la touche négative 51, de sorte que lorsqu'on abaisse cette touche, le levier 52 se meut en antagonisme à l'action du ressort 53.
Le le vier 52 -est relié par une biellette 55 à un levier 56 muni d'une came .en forme .de sec teur 57 (fi-. 4) qui est engagée dans une fente 58 (fig. 1) de l'extrémité saillante de la tige 43. L'abaissement de la touche 51 a par conséquent pour effet de déplacer la tige 28 pour provoquer la rotation inverse de l'en traîneur. Le fonctionnement qui vient d'être décrit a lieu lorsque la machine est employée dans les problèmes -de soustraction. Un dispositif permet de régler la machine pour l'exécution de problèmes de division.
Ce dispositif est associé à la biellette 55,-de_-façon- que lors que le dispositif servant à régler la ma chine en vue -de la division -est actionné, la biellette 55 soit déplacée et fasse coulisser la tige 43 pour provoquer la rotation inverse de l'entraîneur. Un décrira plus loin le mé canisme prévu à cet .effet.
La machine est. en outre munie d'une touche de manceuvre positive 61 dont l'abais sement provoque la rotation additive de l'en traîneur. La liaison entre :le moteur et l'en traîneur est régie par l'embrayage, dont l'ac tion est régie par le levier 18, ce .dernier étant normalement maintenu dans la position de débrayage par le ressort 21. Un dispositif Est prévu grâce auquel l'abaissement de l'une ou l'autre des touches 51, 61 fait osciller le levier 18, @de façon à le dégager du carter d'embrayage 13 pour permettre l'embrayage.
Dans la machin c est monté de façon pivo tante un levier coudé 62 (fig. 7) qui est situé au-dessous d'un galet 64 porté parla tige de la touche négative 51, ce levier étant muni d'un bras sensiblement vertical 65 situé il, l'arrière -d'un galet 66 porté parle cadre de support 67 de la touche positive 61. Le ca dre 67 est monté sur des leviers 68, de telle manière que l'abaissement de -la touche posi tive 61 pousse le galet 66 vers l'arrière contre le bras vertical 65 du levier coudé 62, ce qui fait osciller ce levier.
Dans la fig. 7, ce le vier est représenté dans la position à laquelle ii a été amené par l'abaissement de l'une quelconque des touches 51 ou 61, bien que ces touches soient toutes deux représentées dans leur position élevée dans cette figure. Sur le bras 65 -du levier 62 pivote une barre 71 reliée, .dans la présente construction, au levier de commande :d'embrayage 18, cette barre présentant à son extrémité arrière une entaille 72 recevant une goupille 73 prévue à l'exrtrémité avant du levier de commande d'embrayage 18.
Par conséquent, le mouve ment de la barre 71 vers il'arrière fait os ciller le :levier 18 autour -de son axe de pivo tement pour dégager ce levier -du carter d'embrayage. Lorsque -l'embrayage est ainsi embrayé par l'abaissement de d'une quelcon que des touches 51, 61, Vabandon de la tou che abaissée a pour effet que le 'levier d'em brayage 18 revient en contact avec le carter d'embrayage. Un autre dispositif est prévu pour ,régir :le mouvement du levier d'em brayage 18 lorsque ils. machine est employée pour résoudre les problèmes de division. comme il sera décrit plus loin.
La machine à calculer est aussi munie d'un enregistreur ou mécanisme compteur servant à indiquer directement le multiplica teur ou quotient correct, ce mécanisme étant usuellement appelé "enregistreur <B><I>de</I></B> multiplicateur ou de quotient". Cet enregis treur comprend une série de moues à chiffres 75 (fig. 4) munies chacune d'un engrenage intermédiaire 76 et d'un levier de transfert 77.
Un dispositif est prévu pour produire à chaque rotation de l'entraîneur dans l'un quelconque des deux sens un mouvement uni que d'une roue à chiffres choisie, et un dis positif de report des dizaines est prévu pour que l'enregistreur indique constamment le chiffre correct. Les, roues à chiffres 75 sont actionnées en synchronisme avec la rotation de l'entraîneur pas un doigt d'entraînement ou roue à dent unique 7 8 dont le moyeu est monté à rainure et languette sur un arbre 79 tournant en synchronisme avec l'entraî neur.
Le dispositif de report des dizaines de la. construction particulière représentée com prend un tambour 81 portant deux séries de goupilles .de report des dizaines 82, 83 qui sont disposées suivant des hélices diver gentes, .de façon qu'elles soient actionnées :n sens inverse lorsque le tambour tourne en sens inverse. Le tambour est fixé à un ar bre 84 supporté par le bâti de la machine, - t les goupilles de report des dizaines 82, 83 coopèrent ave=c les leviers de transfert 7 7 pour transférer des valeurs aux roues à chiffres<B>de</B> l'ordre immédiatement supérieur.
Un disposi tif permet d'inverser le sens -de rotation du doigt ,d'entraînement ou entraîneur auxi- aiaire 78 et du tambour 81, par rapport à la rotation de l'entraîneur. Le tambour 81 est muni d'un engrenage inverseur tel que celui décrit dans le brevet. suisse n <B>113767</B> pré cité et comprend une tige coulissante 85 qui présente à. son extrémité une fente dans la quelle est engagée l'extrémité coudée ou dé- portée 86 d'un levier 87 qui fait saillie à tra vers une ouverture de d'enveloppe de la ma chine, de sorte qu'on peut inverser le sens de rotation du tambour en manoeuvrant le le vier 87.
Dans l'exécution des problèmes de division, il est essentiel que de tambour de report des dizaines 81 tourne dans le sens voulu pour indiquer les valeurs croissantes sur l'enregistreur 75, tandis que l'entraîneur principal, composé des unités .d'entraîneur 2, doit. tourner dans le sens inverse, ou sous tractif. Un dispositif est par conséquent prévu pour permettre au tambour de report des dizaines et au doigt entraîneur 78 de tourner soit dans le même sens que l'entraî neur 2, soit en sens inverse, seilon la posi tion -du levier 87. Le doigt entraîneur 78 peut être déplacé le long de l'arbre 79 pour coopérer avec la. roue à chiffres 75 de d'ordre numérique désiré.
Le mécanisme prévu pour déplacer latéralement le doigt 78 en syn chronisme avec le mouvement du chariot 5, mais en sens inverse de ce mouvement, est re présenté en -détail dans des brevets précités.
La machine est munie -d'un dispositif qui, lorsqu'il est actionné, commence le fonc tionnement de la machine pour l'exécution des problèmes de division. Avant de manceu- vrer ce dispositif, on place le levier 87 à la position de "division". La manoeuvre de ce dispositif a pour effet d'actionner l'engre nage inverseur pour produire une rotation soustractive de l'entraîneur. 2, .d'embrayer l'embrayage 12--11 et de mettre le méca nisme correcteur à même de fonctionner. Sur le côté de la. machine est disposé un levier 91 muni d'une touche 92 qui, lorsqu'elle est ti rée vers l'avant, commence l'opération de division.
On décrira d'abord le mécanisme servant à faire coulisser la tige 28 pour produire la rotation soustractive de ,l'entraîneur. Sur l'extrémité inférieure du levier 91 pivote une barra 94 qui est normalement maintenue dans sa position antérieure par un ressort 95. A son extrémité arrière, la barre 94 est mu nie -d'une goupille -latérale 96 située (fi-. 1) à l'avant d'une partie verticale 97 de la biellette 55.
Par conséquent, lorsqu'on fait mouvoir la touche 92 vers l'avant, la goupille 96 se meut vers l'arrière, fait mouvoir la biellette 55 vers l'arrière et fait mouvoir ainsi la came 5 7 pour faire coulisser la tige 113, et, par conséquent, la tige 28.
Le mouvement de la touche 92 vers l'a vant fait aussi osciller le levier de commant le d'embrayage 18 pour déverrouiller le carter d'embrayage 18 et effectuer l'embrayage. Dans la présente construction, ce mécanisme est associé au mécanisme de mise en marche qui est actionné par l'abaissement clé l'une des touches de multiplicateur automatiques 98.A ces touches 98 est associée une barre 99 (fig. 5) qui est montée sur des biellettes 102, 108 et qui est disposée au-dessous de goupilles 1(1-1, une de ces goupilles faisant saillie latéralement sur la.
tige de chacune des touches 98, le montage de la barre 99 étant tel que lorsqu'on abaisse une des touches 98, cette barre se meut vers le bas et vers l'ar rière. Sur la barre 99 est. monté un galet 106 qui est situé immédiatement à l'avant d'un levier 107 fixé à un arbre 108, la dispo sition étant telle que le mouvement rétro grade de la barre 99 fait tourner l'arbre 108 en sens inverse des aiguilles d'une montre.
Le levier coudé 62 (fig. 7) est aussi fixé à l'arbre 108, de sorte que le mouvement de ,l'arbre 108 en sens inverse des aiguilles d'une montre a pour effet de faire osciller le levier 62 vers l'arrière et, par l'entremise de la barre 71, de faire osciller le :levier de com mande d'embrayage 18 en sens inverse des aiguilles d'une montre, de déverrouiller ainsi le carter d'embrayage et de permettre l'em brayage.
Dans la. présente construction, la barre 99 porte à son extrémité arrière une lèvre transversale 112 qui est située direc tement derrière la goupille 96 et sensible ment à angle droit par rapport au chemin décrit par cette goupille. Par conséquent, lorsque la barre 94 est déplacée vers l'arrière, la goupille 96, agissant sur -la lèvre 112, l'ait mouvoir la barre 99 vers l'arrière, ce qui 1. pour effet de faire tourner l'arbre 108 en sens inverse des aiguilles :d'une montre et, par conséquent, de faire mouvoir le levier de commande d'embrayage 18 pour produire l'embrayage.
Le mouvement -de la barre 99 vers l'ar rière effectue aussi -le verrouillage de !l'élé ment réglable de l'entraîneur dans sa posi tion réglée. Chaque unité d'entraîneur com prend une unité de sélecteur qui peut être amenée à une position réglée, usuellement par l'abaissement d'une touche du clavier.
Cha que unité de sélecteur est munie d'un secteur entaillé 113 avec lequel un dispositif de verrouillage entre en prise lorsqu'on com mence à actionner la machine. Ce dispositif de verrouillage comprend un cliquet 114 pi votant en<B>115.</B> Il existe un cliquet 114 pour chaque unité d'entraîneur et tous 'les cliquets sont fixés .à .l'arbre 115. A cet arbre est aussi fixé un levier 116 -qui -est relié par une bièl- lette 117 à un levier courbe 118 pivotant en 119.
La biellette 102 porte un galet 121 qui est en contact avec la face supérieure du le vier 118. Lorsque la barre 99 reçoit un mou vement vers l'arrière, le galet 121 se meut vers l'arrière, fait osciller le levier 118 vers l'arrière -et amène par suite ,les cliquets de verrouillage 11.4 en prise avec les secteurs en taillés 113, ce qui verrouille l'élément sélac- teur dans sa position réglée.
Un dispositif est prévu pour verrouiller le levier 91 dans sa position avant et pour-le maintenir .dans cette position jusqu'au mo ment où il est déverrouillé, soit par une opé ration manuelle, dans le cas où une erreur aurait été introduite accidentellement -dans la. machine, soit automatiquement par le fonctionnement du mécanisme correcteur. La barre 94 (fig. 2), présente une entaille 123 qui, lorsqu'on tire le levier 91 vers l'avant, entre en prise avec un cliquet 124 soumis à la pression d'un ressort et pivotant en 125.
Le cliquet 124 est muni d'un nez 126 qui est disposé au-dessus d'une des extrémités d'un levier coudé 127 pivotant autour d'une vis 128. Le ;levier 127 porte à son autre ex trémité un sabot 129 qui est situé directement derrière une goupille <B>131</B> fixée à un coulis- seau 182 (fig. 4) faisant partie du méca nisme multiplicateur automatique.
L'abais sement -de la touche zéro (ou touche d'effa cement) 13,3 -de la rangée de touches de mul tiplicateur automatiques fait mouvoir le cou- lisseau 182 vers l'arrière, faisant ainsi os ciller le :levier 127 dans le sens des aiguilles d'une montre, pour soulever le cliquet 124 et le dégager de la barre 94 en permettant ainsi au levier 91 d'être projeté vers l'avant sous l'action de son ressort, ce qui arrête la ma chine.
Ce .dispositif d'arrêt manuel est em ployé pour arrêter -la machine .lorsqu'on observe qu'une erreur a été introduite dans la machine comme résultat .d'une erreur de l'opérateur. Le dispositif déterminant le dé verrouillage automatique du levier 91 et l'ar- rét de -la machine par le fonctionnement du mécanisme correcteur sera décrit plus loin.
Lorsque des machines de ce genre sont 'employées pour l'exécution de problèmes (le division, les roues à chiffres de l'enregistreur de produit situées à gauche -des roues action nées par d'entraîneur changent de signe cha que fois qu'on essaie d'enlever du dividende le diviseur un nombre entier de fois plus grand que cela est possible. En pareil cas, l'enregistrement des roues à chiffres change d'une valeur positive à une valeur négative, ou d'une valeur négative à une valeur posi tive, et ce changement ou enregistrement -d'un chiffre trop élevé avait été utilisé jus qu'à ce jour pour mettre en action un méca nisme servant. à arrêter la machine.
La di vision est effectuée par une rotation sous tractive .de l'entraîneur, et lorsqu'il existait un état .d'enregistrement. -de chiffre trop élevé et que la machine avait été arrêtée, on abaissait ;la touche de manoeuvre positive pour faire tourner l'entraîneur dans le sens de :l'addition pendant un tour dans le but de corriger l'enregistrement du chiffre en excès. Cette correction de l'enregistrement d'un :chiffre trop élevé par la commande de la touche de manceuvre introduisait le nom bre convenable dans l'enregistreur de pro duit et .donnait :
l'indication convenable dans l'enregistreur de quotient. Dans @la présente construction, -l'enregistrement d'un chiffre trop élevé est utilisé pour effectuer le chan gement de sens automatique de la rotation de l'entraîneur sans arrêt de la machine, de sorte que ae dernier reçoit une rotation vers l'avant, ou additive, et est alors arrêté à. -la fin du premier cycle -de la rotation vers l'avant.
Ce dispositif est toutefois mis hors d'action lorsque la machine est réglée pour l'exécution de problèmes d'addition, de multiplication et de soustraction et n'est mis -en action que lorsque la, machine -est rI:- glée pour l'exécution de problèmes de @divï- sion. Par conséquent, ce dispositif de chan gement de marche et d'arrêt automatiques ne fonctionne pas dans le cas de l'enregistrement -d'un chiffre trop élevé pendant la multiplica tion, et il en résulterait, si cet enregistre ment n'était pas observé, l'introduction d'er reurs :dans le calcul.
Le fait de tirer le levier de commande 91 vers l'avant a aussi .comme résultat de permettre au dispositif automa- tique d'inverser le sens de rotation de l'en traîneur en -cas d'enregistrement d'un chiffre trop élevé et d'arrêter l'entraîneur à la fin de son premier cycle de rotation vers l'avant.
Par conséquent, .dans l'exécution -de problèmes de division, l'opérateur tire simplement le levier 91 vers l'avant et ce levier reste dans sa po sition avant, la machine restant en action jusqu'au moment où un chiffre trop élevé a été enregistré puis corrigé par une rotation de l'entraîneur vers Vavant. Le levier 91 -est alors -libéré et 4e mécanisme arrêté.
L'enregistrement d'un chiffre trop élevé est usuellement indiqué par un changement de signe des roues à chiffres de l'ordre sui- vaut à l'ordre :le plus élevé entre les limites de l'entraîneur. Ce changement de signe, dans une opération de division, est de zéro à neuf. Lorsqu'il se produit, l'élément denté 7 (fig. 8) fait reculer le levier de transfert 6.
Sur un axe 135 (fig. - 8 et 10) pivote un levier 136 muni d'un bras 137 disposé trans versalement .derrière et au contact de -la face arrière du levier de transfert 6 situé à gau che -de la série qui intervient. Le bras 137 est maintenu en- prise avec ale Ilevier de trans- fert 6 par un ressort 138, de sorte que lors que ce levier oscille vers l'arrière au mo ment de l'enregistrement d'un chiffre trop élevé ou d'un report de transition, le levier 136 oscille autour de son pivot.
Au leviar 136 est. fixé un bras 139 qui est déplaçable latéralement et qui présente de préférnce une fente 141 recevant un organe d6plaçable latéralement. Cet organe -est amené à la po sition voulue pour mettre le mécanisme cor recteur à même .de fonctionner par un mou vement du levier 91 vers l'avant.
Pour permettre au bras 139 .d'entrer en prise avec le mécanisme de changement de marche et d'arrêt et de se dégager .de ce mé canisme, ce bras est déplacé -latéralement par une barre 142 .dont l'extrémité supérieure est disposée dans la fente 141.A son extrémité inférieure, la barre 142 est fixée à un cou- lisseau 143 mobile transversalement, et un dispositif est prévu pour faire mouvoir 0:
e coulisseau transversalement, de façon à faire pivoter -le bras 139 jusqu'à sa position de travail lors @du mouvement du levier 91 vers d'avant. La barre 94, qui pivote sur le levier 91, est munie d'une oreille ou sailllie 145 se mouvant dans une fente de @la plaque clé base. L'oreille 145 coopère avec un bord biseauté ou formant came 146 du coulisseau 143, de sorte que lorsque le levier 91 os cille, le coulisseau 143 se meut transversale ment.
Ce .coulisseau est normalement main tenu dans sa position de retrait par un res sort 147 ,relié à, la barre, 1.12 -et .dont le rôle est de maintenir normalement le bras 139 dans une position inactive et de maintenir l'oreille 145 du coulisseau 143 en prise avec la came 146, de sorte .que le mouvement du levier 91 vers l'avant fait mouvoir le cou- lisseau 143, et, par conséquent la barre 142, dans le sens voulu pour mettre le bras 139 même clé fonctionner.
On décrira maintenant le mécanisme .ser vant à corriger un chiffre trop élevé. Sur d'axe 13.5 pivote (fig. 10) un levier 151 (fig. 8) sur lequel pivote la biellette sensiblement verticale 152 reposant par son extrémité in- férieure contre le bras d'un levier coudé 153 (fig. 1). Ce levier coudé pivote sur un sup port 154, et son bras vertical 155 est four chu et embrasse un collet 156 fixé à la tige 28. Le bras horizontal, du levier coudé 153 est ainsi maintenu élevé par le ressort 41 associé à la tige 28.
Le levier 151 auquel le levier coudé est relié par une biellette 152 est donc normalement maintenu dans sa position élevée.
Un dispositif est prévu pour abaisser ra pidement le levier<B>151</B> au moment voulu du fonctionnement de -la machine, de façon à faire coulisser 4a tige 28 pour déplacer le goujon 27 et inverser ainsi le sens de rota tion de l'entraîneur. Dans l'extrémité supé rieure du levier 151 est montéë une tige 158 qui est soumise à l'action d'un ressort et -qui est normalement maintenue dans une posi tion saillante.
Cette tige est située près. d'une. came 159 (fig. 8), fixée à l'arbre de, l'en traîneur, et 'orsqu'elle a été déplacW --vers l'intérieur, elle est située sur le eb emin - de cette came ,qui -la heurte juste avant -que l'en traîneur atteigne la position -de cycle com plet.
Lorsque ce heurt a lieu, le ,levier 151 oscille en sens inverse des aiguilles d'une montre, ce qui abaisse la biellette 152 et fait ainsi mouvoir la tige 28 vers da droite (fig. 11), pour actionner l'engrenage inver seur. Pendant l'opération de la division, l'en traîneur tourne en sens contraire ou inverse des aiguilles d'une montre et la came 159 oc cupe une position telle qu'elle agit de façon à faire coulisser la tige 28, lorsque -l'entraî neur occupe sa position de cycle complet, ce qui permet au goujon 27 de se -dégager de la roue dentée 24 pour entrer en prise avec la roue dentée 25 sans arrêter le fonctionne- ment de la machine.
Sur 1e levier 151 pivote un levier 161 (fig. 11) qui oscille dans un plan perpendi culaire au plan du mouvement du levier 151. L'extrémité supérieure de ce levier 161 est engagée dans une rainure de la tige 158, et son extrémité inférieure .est munie d'un pied 162 situé au-dessous du plan de l'extrémité arrière du bras 139.
Lorsque la machine a été réglée pour des problèmes d'addition, de soustraction et de multiplication, le bras<B>139</B> a pivoté latérailement,' -de telle sorte qu'il n'est plus situé au-dessus du pied 162; mais lorsqu'on manoeuvre -le levier 91 pour per mettre à la machine d'effectuer des problè mes de division, le bras 139 vient occuper la position de fig. 11 dans )laquelle il recouvre le pied 162.
Par conséquent, lorsqu'il se pro duit un enrégistrement de chiffre en excès ou un report de transition, le levier 136 os cille, abaisse le bras 139 et fait, par consé quent; osciller le levier 161 qui projette la tige 158 et l'amène sur le chemin de la came 159. A la position de cycle complet, la came 159 heurte la tige 158, fait osciller le levier 151 et déplace le goujon 27 de l'engrenage inverseur pour changer le sens de rotation de l'entraîneur. Ceci est effectué sans débrayer l'embrayage.
Un dispositif est aussi prévu pour débrayer l'embrayage et arrêter l'entraîneur à la fin du premier cycle d'une rotation inverse ou additive. A l'arbre 84 du tambour de report des dizaines de l'enregistreur de multiplica teur ou de quotient est fixé un disque 165 qui, lorsque la machine a été réglée pour exé cuter des problèmes de division, tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, lorsque l'entraîneur tourne dans le sens soustractif, et en sens inverse des aiguilles d'une montre lorsque l'entraîneur tourne dans le sens ad ditif.
Sur le .disque 165 fait saillie latérale ment une goupille 166 qui. lorsque ce dis- que tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, actionne un mécanisme qui effectue l'arrêt de la machine lorsque la ma chine a été mise en action par une traction exercée vers l'avant. sur le levier 91.
Le dispositif d'arrêt de la machine com prend un coulisseau 167 pivotant autour d'un axe 168 et dont le mouvement est -régi par un ressort 169 et une goupille .de guidage 172. Ce coulisseau peut osciller ou coulisser librement par rapport à -l'axe 168 en anta gonisme à l'action -du ressort 169. A son ex trémité arrière, le coulisseau 167 est muni d'un pied biseauté 173 qui, lorsque la ma- chine a été réglée pour la, division, est situé sur le chemin de la goupille 166.
Toutefois, le coulisseau 167 est normalement maintenu dans une position telle que le pied 173 est écarté du chemin de la goupille 166, de sorte que ce coulisseau ne peut fonctionner que lorsque la. machine a. été réglée pour la division. L'extrémité inférieure du coulisseau 167 est normalement en contact avec un re bord 174 constitué à l'extrémité d'un coulis- seau <B>175</B> pivotant sur le levier 91. Lorsque le levier 91 occupe sa position arrière, le coulisseau 175 et le rebord 174 occupent leur position avant, l'extrémité inférieure du coulisseau 167 reposant sur le rebord 174.
Dans cette position, le coulisseau 167 a pi voté autour de son axe, -de telle sorte que le pied 173 est situé à l'écart du chemin de la goupille 166. Il .est par conséquent évident que le coulisseau 167 sera maintenu dans sa position de repos aussi longtemps que le le vier 91 n'aura pas été tiré vers l'avant. Lors qu'on tire ce levier vers l'avant, le coulisseau 175 vient occuper la position de fig. 2 en permettant au coulisseau 167 de se mouvoir pour ramener le pied 173 sur le chemin de la goupille 166.
Lorsque le disque 165 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, la goupille 166 heurte 'la. surface biseautée du pied 173 -et fait pivoter le coulisseau 167 au tour de son axe, ce mouvement de pivote ment ne jouant aucun rôle. Comme résultat de Pemregistnement d'un chiffre en excès, le sens -de rotation du disque 165 change et la goupille <B>166</B> vient heurter l'extrémité plate du pied 173, ce qui fait mouvoir le coulisseau vers le bas et vers l'avant, ce mouvement ayant pour effet dedéverrouiller le levier 91 et d'arrêter la machine.
Le cliquet,de verrouillage 124 qui main tient le levier 91 dans sa position avant est muni d'un bras 174 qui s'étend vers l'ar rière et qui est placé au-dessous d'un ga let 175 porté par le coulisseau 167. Lorsque ce coulisseau est déplacé vers l'avant et vers le bas par la goupille 166, le galet 175 heurte le bras 174 et fait -osciller le levier 124 pour déverrouiller la barre 94, et, par conséquent, le levier 91. Lorsque le levier 91 est déver rouillé, .les pièces se rapportant à ce levier et actionnées par lui reviennent à leur posi tion de repos.
Le mouvement de retour de la barre 99, qui est permis par le retrait de la goupille 96 fixée à la. barre 94, permet au levier 107, et, par conséquent, au levier 62, de revenir à leur position normale. Le re tour du levier 62 à sa position normale per met au levier de commande d'embrayage 18 de pivoter pour entrer en prise avec le carter d'embrayage 13 et effectuer le débrayage. On voit par conséquent que le résultat de l'en registrement d'un chiffre en excès est .d'in verser le sens de rotation de l'entraîneur sans occasionner le débrayage, et que la ro tation de l'entraîneur est arrêtée à la fin du premier cycle de la rotation correctrice.
Ce cycle unique de la rotation correctrice ou additive corrige l'erreur produite dans l'en registreur -de quotient et dans -l'enregistreur de produit par l'enregistrement d'un chiffre trop .élevé ayant déterminé le report de transition. Pendant le temps que la machine fonctionne comme résultat d'une traction du levier 91 vers l'avant, la touche de manceu- vre négative 51 est au repos et la touche de manoeuvre positive 6 est verrouillée par un le vier d'enclanchement 178. de sorte qu'elle ne peut pas être maneeuvrée.
La présente machine comprend aussi un interrupteur qui .est monté sur le circuit élec trique et qui se ferme pour exciter le moteur lorsque le levier de commande d'embrayage 18 oscille pour déverrouiller le carter d'em brayage et produire l'embrayage, comme dé crit et représenté dans le brevet suisse n 138351 précité. Ce mécanisme interrupteur n'a pas été .décrit parce que la présente in vention est applicable à la fois aux machines actionnées par un moteur tournant continuel lement et aux machines actionnées par un moteur qui n'est excité que par la manoeuvre d'une des touches de commande.