CH119492A - Dispositif d'alimentation automatique de presse à platine. - Google Patents

Dispositif d'alimentation automatique de presse à platine.

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CH119492A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41FPRINTING MACHINES OR PRESSES
    • B41F1/00Platen presses, i.e. presses in which printing is effected by at least one essentially-flat pressure-applying member co-operating with a flat type-bed
    • B41F1/26Details
    • B41F1/28Sheet-conveying, -aligning or -clamping devices

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Sheets, Magazines, And Separation Thereof (AREA)

Description


  Dispositif     d'alimentation    automatique de presse à platine.    Cette invention est relative à un dispo  sitif d'alimentation     automatique    de presse à  platine, par exemple du type de la presse  Chandler  &      Price    bien connue.  



  Dans ce dispositif, les organes qui ser  vent à amener les feuilles à la platine et  ceux servant à les en retirer sont montés de  faon à former un ensemble, qui peut être  monté lui-même d'un seul bloc sur le bâti  de la presse, leur commande     s'effectuant    par  liaison mécanique avec des organes de com  mande d'autres parties de la presse.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de ce dis  positif avec les autres parties de la presse       nécessaires    à la compréhension de cet exemple.  



  F     ig.    1 est une vue de côté du dispositif  d'alimentation automatique et d'une partie du  reste de la presse;       Fig.2    est une vue fragmentaire d'une  partie de la presse non représentée dans la       fig.    1 ;       Fig.    3 est un détail en vue de côté de  pièces d'un mécanisme de débrayage repré  senté à la     fig.    1;         Fig.    4 est un plan du mécanisme montré  à la     fig.    3 ;       Fig.    5 et 6 sont des détails de pièces re  présentées     fig.    3 ;

         Fig.    7 est une vue de côté du mécanisme  d'alimentation et de ses pièces de commande  en regardant du côté de la presse opposé au  côté représenté par la     fig.    1 ;       Fig.        â    est une vue analogue à la     fig.    7  mais montrant les pièces dans d'autres     po-          sitions;          Fig.    9 et     91,    sont des détails à plus grande  échelle des moyens de séparation et de trans  port du papier<B>;</B>       Fig.    10, 11, 12 et 13 sont des détails de  pièces et mécanismes se rapportant aux sus  dits moyens de séparation ;

         Fig.    14 est un plan du dispositif d'ali  mentation et de mécanismes se rapportant  aux susdits moyens de séparation ;       Fig.    15 est un détail de pièces de la     fig.    14;       Fig.    16 est un détail de pièces du     méc:a-          nisine    de débrayage ;           Fig.    17 et 18 sont des détails de pièces  d'un dispositif de préhension pour retirer les  feuilles de la platine<B>;</B>       Fig.    19 et 20 sont un plan et une coupe  de soupapes commandant des organes de  succion servant à enlever le papier ;

         Fig.    21 est une vue de côté d'une pince  réceptrice dans la position d'ouverture;       Fig.    22 est une vue analogue montrant  la pince fermée ;       Fig.    23 est un plan correspondant à la       fig.    22 ;       Fig.    24 est un détail des mâchoires de  la pince;       Fig.    25 est une vue perspective du sup  port de la pince.  



  Dans les diverses figures, le devant de  la presse est     marqué    1 et l'arrière 2 dans le  but de se rendre compte de la position des  diverses pièces et mécanismes. Le devant  de la presse est l'endroit où l'opérateur se  tient usuellement pendant qu'il alimente la  presse, tandis que la forme est située à  l'arrière.  



  En ce qui concerne la presse elle-même,  on n'en a représenté que le contour, étant  donné que cette presse est une machine bien  connue dans l'industrie. Le bâti de la presse  est désigné par 3, l'arbre moteur par 4. 5 est  l'arbre de pivotement ou d'oscillation de  la platine, 6 est la platine et 7 la forme.  5 et 10 désignent les bielles usuelles, 11 la  came de verrouillage de la platine. 12 (fi g. 7)  désigne la grande roue motrice de la presse.  13 est le dispositif de débrayage et 14 est  le levier de débrayage. Toutes ces pièces,  leur construction et leur fonctionnement sont  bien connus de l'homme du métier et n'exi  gent pas de description ni de représentation  complémentaires.  



  Le papier 15 à imprimer est placé dans  urne boîte à papier comprenant un fond 16  et deux côtés réglables 17, 17. La boîte à  papier est convenablement fixée sur la table  d'alimentation inclinée 18 qui     repôse    sur des  consoles latérales convenables 19 et 20 fixées  au bâti 3 de la presse. La table d'alimenta  tion est agencée pour être élevée à l'écart des    supports 19 et 20 et pour pivoter d'un côté  en vue de permettre d'alimenter la presse  manuellement ou pour d'autres buts.  



  La table d'alimentation pivote autour d'un  axe vertical par     titi    de ses angles en 21 sur  un support 22 qui pivote lui-même autour     d'titr     axe     horizontal    en 23     siir-    une partie verticale  24 de la     coirsole    latérale 19. A l'aide des  leviers 25 et 26 reliés entre eux et d'une ma  nette de     commande    27, on     petit    faire pivoter  la table vers le haut autour du pivot 23 de  façon à l'élever à l'écart des supports, après  quoi on     petit    la faire pivoter vers un côté  autour du pivot 21.  



  En se référant aux     fig.    4 et 14, on voit  que les côtés 17 de la boîte à papier sont  fixés à des colliers 29     qui    peuvent coulisser  et     Qont        ajustables    sur     titi    arbre tubulaire 30  supporté dans des paliers verticaux fixes 31  et 32 en     vite    de leur adaptation à la largeur  du papier. Les bords postérieur et antérieur  du papier sont placés contre des butées  d'angle 33, 33     (fig.    10) et contre une butée  arrière courbe 34.  



  Chaque butée d'angle comprend une con  sole     3:ï        montée    de façon     ajustable    sur     tin     taquet fixe<B>36</B> à l'aide d'une vis à violon 37.  La console 35 présente une patte inclinée 38  contre laquelle est placé l'angle de la feuille  de papier. Les pattes inclinées     empêchent    la  feuille de papier de s'échapper en coulissant  vers l'arrière     par-dessus    la butée 34, mais la  patte ne constitue pas un obstacle à la sépa  ration de la feuille supérieure de la pile parce  qu'elle occupe simplement une position in  clinée contre les bords du papier.  



  Lorsqu'on imprime sur du papier fort ou  du carton, il est désirable de prévoir des  moyens pour détacher de la feuille supérieure  la seconde feuille ou feuille suivante lorsque  la feuille supérieure est enlevée de la pile,  étant donné que certaines feuilles assez  épaisses ont tendance à adhérer.  



  A cet     effet,    des     butées    d'angle telles que  celles représentées dans les     fig.    11 et 12 peu  vent être employées. Ces butées remplacent  les butées 33 et consistent en une console 40      montée de façon réglable sur le taquet 36.       L    n organe     détacheur    41 pivote en 42 dans  une fente 43 de la console et est maintenu  en position normale     (fig.    12) contre une gou  pille fixe 44 à l'aide d'un ressort 45.

   L'or  gane     détacheur    est placé au-dessus de la pile       46.    Quand la feuille supérieure est élevée,  l'organe     détacheur    est repoussé à l'intérieur  de la console en antagonisme à l'action du  ressort 45 pour permettre à la feuille supé  rieure de passer. Toutefois, dans l'élévation  de la feuille supérieure, cette feuille fléchit  ou se courbe légèrement mais     suffisamment     pour que sou bord reçoive un     mouvement    cou  lissant par rapport à la seconde feuille.

   Par  conséquent; le bord de cette dernière est ex  posé légèrement mais suffisamment pour per  mettre à l'organe     détacheur    de descendre     élas-          tiquement    sur ledit bord et de détacher la  seconde feuille de la feuille supérieure.  



  La feuille supérieure est séparée de la  pile et amenée à la platine par des tuyères  de succion. Deux tuyères sont employées et  il suffira d'en décrire une     (fig.    9 et     9 ).     



       Chaque    tuyère est constituée par un petit  bâti 50 qui présente un conduit 51 commu  niquant à l'une de ses extrémités avec un  tuyau flexible 52, tandis que son extrémité  inférieure est munie d'un godet de succion 53.  La tuyère pivote en 54 entre les joues infé  rieures 55 d'une chape     porte-tuyère    56 qui  est montée de façon coulissante sur un sup  port 57. Le support 57 est muni de saillies  de guidage 58, et la tige de la chape 56 se  meut entre ces saillies. Normalement, la chape  et la tuyère occupent les positions représen  tées à droite ou à l'avant de la     fig.    91.

   On  remarquera que la chape occupe sa position  la plus basse par rapport au support 57 parce  que cette chape et la tuyère descendent par  leur poids propre, secondé par la force d'un  ressort de compression 59 intercalé entre le  support et la chape. Un arrêt 60 situé à  l'extrémité supérieure de la chape limite le  mouvement d'abaissement en venant buter  contre une des saillies 58. Un ressort de con  traction 61 est disposé entre l'arrêt 60 et  une vis 62 fixée à la tuyère. Le ressort 61    tend à faire pivoter la tuyère autour de ses  pivots 54 chaque fois qu'elle est mise à même       d'effectuer    ce mouvement.  



  Dans la     fig.    9, la ;tuyère est représentée  à gauche au-dessus de la feuille de papier,  dans la position d'enlèvement et, dans la       fig.   <B>92,</B> la tuyère est représentée dans la po  sition de distribution.  



  Par des moyens qu'on décrira plus loin, les  tuyères sont amenées à descendre sur la feuille  de telle manière que la tuyère et sa chape cou  lissent vers le haut     surle    support 57, ce     qui    com  prime le ressort 59 et contracte le ressort 61.  Dans cette position, la succion est appliquée  et la tuyère enlève la feuille supérieure. Im  médiatement après, la     tuyère    est mue à l'écart  de la pile avec la feuille     supérieure    qu'elle a  séparée de cette pile.  



  Au moment où la tuyère est soulevée à  l'écart de la pile, le ressort 59 agit de façon  à faire descendre cette tuyère par rapport au  support 57, et, en même temps, le ressort 61  la fait pivoter, ce qui oblige le bord antérieur  de la feuille séparée 65 à se recourber vers  le haut en vue d'aider à séparer la feuille de la  pile. La feuille est alors transportée par la  tuyère à la platine et, lorsqu'elle occupe la  position de distribution ou de dépôt     corive-          iiable    à droite de la     fig.    9, le vide est sup  primé dans la tuyère et la feuille tombe sur  la table de transfert 66,     d'oii    elle glisse sur  la platine.  



  La table de transfert 66 est une ossature  ajourée pivotant sur un arbre 67 dans des  consoles 68 fixées à la table d'alimentation  18     (fig.    7, 8, 9 et 14). La table 66 est élevée  et abaissée en synchronisme avec les mou  vements de platine     (fig.    7 et 8) par     un    sys  tème de leviers 69 et 70. Quand l'appareil  d'alimentation doit être amené sur le côté par  pivotement, la table de transfert est élevée à  l'écart du levier 70 et peut être déposée     au-          dessus    de la table d'alimentation. Toutefois,  tout ceci a seulement pour but de faire com  prendre la façon dont la feuille est supportée  avant d'être déposée sur la platine.  



  Les moyens pour actionner les tuyères de  succion sont les suivants : Les supports 5 7      sont fixés à un arbre 72 par des vis de blo  cage 73. L'arbre 72 est carré     (fig.    14) et  muni d'extrémités cylindriques 74, 74     grâce     auxquelles cet arbre tourillonne dans des bras  pivotants 75 et 76 disposés     titi    de chaque côté  de la table d'alimentation. Les bras pivotent  sur l'arbre susmentionné 67. Les extrémités  supérieures des bras sont reliées par     titi    tube  77 et une barre 78. L'ensemble des bras pi  votants et de leurs organes de liaison forme  un chariot à tuyères oscillant qui sert à ac  tionner les tuyères comme représenté dans  les     fig.    7, 8 et 9.

   Ce chariot est actionné de  la façon suivante:  A l'extérieur du bras 75, l'arbre 72 porte       titi    bras 79 sur lequel pivote une biellette 80,  qui est à son tour reliée par un bras court  81 à l'arbre 67. Les bras 75, 79, 81 et la  biellette 80 forment pratiquement un paral  lélogramme servant à faire osciller convena  blement l'arbre 72 des tuyères en vue de  placer exactement les tuyères par rapport au  papier.

   A cet     effet,    sur l'arbre 72 est calé  de façon réglable un arrêt de tuyère 82       (fig.    9) avec un ressort 83 qui tend à faire  mouvoir ledit arrêt et l'arbre 72 dans le sens  des aiguilles d'une montre en regardant la       fig.    9, une des extrémités du ressort prenant  appui contre l'arrêt et l'autre étant fixée au  bras 75.  



  En d'autres termes, le ressort 83 tend en  tout temps à faire tourner l'arbre 72 dans  le sens du mouvement des aiguilles d'une  montre, c'est-à-dire en amenant les suceurs  vers le papier, et, par conséquent, le ressort  agit aussi de façon à faire descendre les trois  autres côtés du parallélogramme vers la  droite de     la,        fig.    7 jusqu'au moment où l'ex  trémité inférieure de la biellette 80 vient re  poser contre une butée réglable 84 fixée à la  table d'alimentation.  



  Si l'on se réfère de nouveau à la     fig.    9,  on voit que l'arrêt de tuyère 82 est amené  au contact d'une butée 85 portée de façon  réglable par la susdite bielle 78 à l'aide d'une  vis de blocage 86.  



  En comparant les     fig.    7, 8 et 9 et en se  référant à la description qui précède, on voit    que le chariot à tuyères est mû d'une posi  tion     d'enlèvement,    située au-dessus du papier,  à une position de distribution, située au-dessus  de la table de transfert et de la platine ; que  la position des tuyères dans la position     d"en-          lèverrrent    est     déterminée    par la position de  l'arrêt de tuyère 82 contre la butée 85.  



  En d'autres termes, la course ou mouve  ment du chariot à tuyères étant fixé, ainsi  qu'il sera décrit plus loin, les positions des  tuyères, indépendantes de cette course, peu  vent néanmoins être déterminées et ajustées  exactement par la butée 85 et l'arrêt 84 parce  que, dans la position d'enlèvement, les tuyères  sont mues vers la gauche par le ressort 83  jusqu'au moment     oir    elles sont arrêtées par  85 ; et, dans la position de distribution de  la     fig.    7, les tuyères ont été mues vers la  droite grâce à l'action de la butée 84 sur la  biellette 80. Pour mieux faire comprendre ces  éléments de l'invention, les bras 79 et 81 et  la biellette 80 sont représentés en pointillé  dans leurs positions extrêmes sur la     fig.    9.  



  Le chariot à tuyères est actionné de la  façon suivante : Sur le bras 75 du chariot  pivote en 88     (fig.    7, 8 et 14)     unie    biellette 89  qui pivote d'autre part sur un bras 90 fixé  à un arbre ou axe court 91 monté dans     tin     palier fixe 92. Sur l'extrémité externe de  l'arbre 91 est fixé un autre bras court 93  muni d'une goupille 94. Sur la console laté  rale susmentionnée 19 est fixé de toute ma  nière convenable un élément oui palier s'éten  dant vers le haut 95 sur lequel pivote en 96  un levier coudé 97.

   Ce levier est relié par       une    biellette 98 à     titi    aie 99 qui relie l'ex  trémité inférieure de la bielle 10 de la forme  à la grande roue dentée 12 de la presse.     Sur     le bras court 100 du levier coudé 97 pivote  un bras crochu 101 qui porte     titi    verrou élas  tique pivotant 102 verrouillant     normalement     le bras crochu<B>101</B> au bras 100. Il s'ensuit  que lorsque l'axe 99 tourne avec la roue dentée  12, les susdits leviers, biellettes et bras sont  actionnés comme     représenté    dans les     fig.    7  et 8 pour faire osciller le chariot à tuyères  et l'actionner.

   On remarquera que les liai  sons de commande entre la roue dentée 12,      c'est-à-dire l'organe mobile de la presse, et  le chariot à tuyères sont supprimées quand  le verrou élastique 102 est dégagé, ceci ayant  pour but de permettre aux éléments portés       par    la table d'alimentation de se mouvoir avec  elle lorsque cette table est élevée et amenée  sur un côté, tandis que le bras crochu est  simplement     redéposé    sur l'élément 100 du  levier coudé 97 qui,     lorsque    l'appareil d'ali  mentation a été placé latéralement par pivo  tement, fonctionne à vide sur le pivot 96.  



  L'aspiration est appliquée aux tuyères par  le dispositif suivant. Sur le susdit palier 95  pivote en 105 une pompe à air aspirante 106  dont la tige de piston 107 est reliée au sus  dit axe 99 de la bielle. Un tuyau à air  flexible 108 partant de la pompe se rend à  une boîte de distribution 109. Un tuyau 110  va de cette boîte au tube 77 porté par le  chariot à tuyères et auquel les tubes flexi  bles 52 des tuyères sont reliés de la façon  précédemment décrite. Comme le tube 77  pivote avec le chariot à tuyères, une liaison  flexible telle que 111     (fig.    14) est intercalée  sur le tuyau 110.

   Un autre     tuyau    112, éga  lement représenté sur la     fig.    14, va de la boîte  de distribution 109 à une tuyère de soufflage  113 fixée aux bords arrière des feuilles et  délivrant un jeu d'air pour mieux les séparer.  



  Dans les     fig.    19 et 20, on voit que la  boîte de distribution 109 comporte trois sou  papes disposées de la façon suivante. En com  mençant par le susdit     tuyau    108 partant de  la pompe un conduit aboutit à une chambre  à soupape 114 renfermant une bille formant  soupape 115 commandant un second conduit  116 qui aboutit à une chambre à soupape 117  commandée par une soupape 118. Cette sou  pape est fixée à un levier coudé 119 pivo  tant en 120 et actionné par une biellette 121  pivotant en 122 sur la biellette susmention  née 89 qui actionne le chariot à tuyères. Le  pivot 122 est réglable, par exemple à l'aide  de moyens 123     (fig.    7).  



  Un ressort 124 maintient la soupape 118  normalement appliquée sur son siège. Au  dessus de la soupape 115 se trouve un troi-         sième    conduit 125 partant de la chambre 114  et aboutissant à une troisième chambre à sou  pape 126 au-dessous d'une bille formant sou  pape 127 disposée dans cette chambre. Le  troisième tuyau 112 partant de la boîte de  distribution communique avec la chambre 126  au-dessus de la soupape 127.  



  Le fonctionnement est le suivant : La  course     d'aspiration    de la pompe est réglée  pour créer un vide dans les tuyères de suc  cion quand ces dernières sont en position pour  enlever une feuille de papier, l'air étant as  piré vers la pompe et se rendant à celle-ci  par les tuyaux flexibles 52, le tube 77, le  tuyau 110, le conduit 116 de la boîte de dis  tribution, la chambre à soupape 114 (la bille  115 étant élevée par l'aspiration) et le tuyau  flexible 108. En même temps, l'aspiration  agit par le conduit 125 de façon à appliquer  la bille 127 sur son siège pour empêcher l'as  piration d'agir à la tuyère de soufflage 113.

    Pendant la course d'aspiration, la biellette 121  coulisse à vide sur le levier coudé     porte-sou-          pape    119, et la soupape 118 reste fermée       (fig.    8).  



       Quand    les tuyères ont enlevé une feuille  et l'ont amenée à la position de distribution       (fig.    7), le vide régnant dans le système est  supprimé par l'ouverture de la soupape 118  par la biellette 121. Ceci a lieu au commen  cement de. la course de     compression    pendant  laquelle l'air refoulé par la pompe est envoyé  par le tuyau flexible 108 à la chambre à  soupape 114, ce qui applique la bille 115  sur son siège, et passe aussi par le conduit 125  sur la bille 127 qu'il élève, pour se rendre  ensuite par le tuyau 112 à la tuyère de souf  flage 113.  



  On voit ainsi que le fonctionnement con  sistant à séparer la feuille supérieure de la  pile est entièrement automatique et que la  boîte à soupape règle les courants d'air à la  fois dans la     course    d'aspiration et dans la  course de compression ou de soufflage de la  pompe. On voit de même que la rupture du  vide dans les tuyères de succion est effectuée  automatiquement et peut être ajustée et ré-      filée exactement pour se produire en un point  quelconque pendant que les tuyères viennent  occuper la position de distribution.  



  Des moyens sont     prévus    pour rendre la  presse inactive quand, pour une raison quel  conque, les tuyères de succion ne sont pas  parvenues à enlever une feuille. Si l'on se  réfère aux     fig.    1 et 2, on voit que la forme  7 est reliée de la manière usuelle à un arbre  excentrique<B>130</B> par des moyens non repré  sentés. 131 est un bras fixé à l'arbre et relié  par une bielle 132 à un autre bras 133     fixé     à un arbre 134. Ce dernier porte un bras  fendu 135. 136 désigne une goupille se mouvant  dans la fente du bras 135. La goupille 136 est  fixée à un bras de verrouillage 137 monté sur  un second arbre 138.

   A l'extérieur du bâti,  l'arbre 138 porte un bras 139 relié par une  bielle 140 au levier de débrayage 14 pivo  tant en     141a.    Ce qui précède est la descrip  tion du mécanisme de débrayage de la presse  Chandler  &      Price    bien connue.  



       Quand    le levier 14 est mû vers la gauche  de la     fig.    1 par l'opérateur pour débrayer la  presse, l'arbre 138 tourne en sens inverse des  aiguilles d'une montre. L'arbre 134 tourne dans  le sens des aiguilles d'une montre. La biellette  132 s'élève et fait pivoter le bras 131 pour  faire tourner l'arbre excentrique 130 de façon     à,     empêcher la forme de venir en contact avec  le plateau quand la presse est mise hors  d'action.  



  Il est prévu des moyens automatiques  pour actionner le levier 14 en vue de rendre  la presse inactive, ces moyens étant repré  sentés dans les     fig.    1 à 6 inclus et les     fig.    14  à 16. On se référera d'abord aux     fig.    1 et 16.  Le levier 14 est muni de deux goupilles à  tête 140' et 141 qui supportent un verrou 142  constitué par un morceau de métal plat et  mince ayant une manette 143 à son extrémité  supérieure et une came 144 à son extrémité  inférieure. Le verrou 142 est maintenu dans  la position inactive normale qu'il occupe     fig.    1  par la goupille 140 passant à travers une  fente en L 145.

   A son extrémité inférieure,  le verrou 142 présente une fente rectiligne  146 à travers laquelle passe la goupille in-         férieure    141. Le verrou 142 est plié comme  on le voit en 147     (fig.    16) pour constituer  entre lui-même et le levier 14 une poche 148  dans laquelle coulisse un levier 149 pivotant  en -130 sur la forme, à l'extérieur de celle-ci.  Le levier 149 est     muni    d'un crochet 150.  



       Normalement,    le levier 149 se meut avec  la forme, coulisse à vide alternativement dans  un sens et en sens inverse dans la poche 148  et est empêché d'entrer en prise avec la gou  pille inférieure 141 parce que ce levier glisse  sur la came     14.1.    Des moyens, qu'on     décrira     plus loin, sont prévus pour pousser le verrou  142 de façon à le dégager de la goupille su  périeure 140', ce verrou coulissant alors vers  le bas jusqu'au moment of les bords supé  rieurs des deux fentes 145, 146 viennent re  poser sur les goupilles 140' et 141.

   Dans ces  conditions, la goupille 141 est exposée, et  lors de la course de la forme vers l'arrière  (vers la gauche     dans    la     fig.    1), le crochet 150  du levier 149 s'accroche sur la goupille in  férieure 141 et tire le levier 14 vers la gauche  jusqu'à la position de débrayage, exactement  comme si ce levier avait été mû à la main.  Le dispositif de' débrayage automatique agit  de façon à libérer le verrou 142 de l'action  de la goupille     1.10'    pour permettre au levier  149 d'entrer en prise avec le levier 14 et d'ac  tionner ce levier quand les tuyères de succion  ne parviennent pas à enlever une .feuille.  



  On se     référera    aux     fig.    3 à 6. Le susdit  tube 30 situé au-dessus de la boîte à papier  dans les consoles fixes 31, 32 renferme un  second tube ou arbre creux 152 dont l'ex  trémité adjacente à la console 32 porte une  poignée 153. Au-dessous de l'arbre 152, la  poignée 153 présente un crochet 154. A la  console 32 est fixé un palier fixe 155 dans  lequel     tourillonne    en 156 l'axe d'un levier  coudé dont les branches ou bras sont situés  dans deux plans différents. L'un d'eux 157       s'étend    sous la poignée     1)3    et présente une  entaille d'arrêt 158.

   L'autre bras, disposé à  l'extérieur de la table d'alimentation     (fig.    14),  s'étend vers le bas et porte une goupille 160.  Le levier coudé     1:ï7,    159 est maintenu dans  sa position inactive normale     (fig.    1) par un      ressort 161 qui     maintient    le bras 157 relevé  contre une goupille 162 du susdit palier 155,  ce ressort maintenant par conséquent aussi  la goupille 160 du bras 159 contre ou en  contact avec la poignée 143 du verrou 142       (fig.    1).  



  Le bras 159 du levier coudé est relié par  une bielle 163 à     uni    bras 164 s'étendant vers  le haut. ce bras étant muni d'un crochet 165.  Le bras     16.1    pivote sur l'arbre 67. Sur le  bras 76 du chariot à tuyères pivote sur la  barre 78 un cylindre 166 qui est un très petit  cylindre muni d'un piston, non représenté,  auquel est fixée une tige 167. La tige 167  pivote en<B>168</B> sur un levier d'accrochage 169  pivotant en 170 sur le bras 76. Le levier 170  et la tige de piston 167 sont maintenus nor  malement abaissés sur une goupille d'arrêt  171 grâce à     uni    ressort 172 prenant appui  contre nue goupille 173 du levier 169. Le  levier 169 est muni d'un crochet 174 agencé  pour entrer en prise avec le susdit crochet  165.

   A l'arbre 67 est fixée prés du bras 164       mie    came 175 située sur le trajet de la gou  pille 173 se mouvant avec le bras 76 du     eba-          riot    à     tuyères.     



  Autour du tube ou arbre 152 est enroulé       (fig.    4) un ressort 176 qui agit sur la poignée  <B>153</B>     (fig.5)    et tend à faire tourner cette  poignée et l'arbre dans le sens des aiguilles  d'une montre en regardant les     fig.    3 et 5, ce  qui maintient le crochet 154 en prise avec  l'extrémité à entaille d'arrêt 158 du bras 157  du levier coudé 157, 159. Une goupille 177       (fig.    5) limite le     mouvement    de la poignée 153.  



  En se référant maintenant aux     fig.    7, 14  et 15, on voit que l'extrémité opposée de  l'arbre creux 152 porte     un    bras 130 qui est  muni d'une goupille 181 agencée pour entrer  en prise avec le levier coudé porte soupape 119.  



  lie     fonctionnement    du dispositif de dé  brayage automatique est le suivant : En se  référant à la     fig.    3, on voit que pendant le  fonctionnement normal, lorsque le chariot à  tuyères pivote de la pile de feuilles de papier  à la platine, le crochet 174 du levier à cro  chet 169 devrait entrer en prise avec le cro-         chet    165 du bras 164, faire mouvoir ce bras  vers la gauche et, par l'entremise de la bielle  163, actionner le levier coudé 157, 159 pour  actionner le verrou 142 et rendre la presse  inactive.  



  Toutefois, ceci n'a pas lieu parce que,  lorsque la succion est appliquée aux tuyères,  elle est aussi appliquée au cylindre 166 par  un     tuyau    flexible 183 reliant ce cylindre à  la tige creuse 77     (fig.    3) d'où il résulte que  le pistou et sa tige 167 sont tirés vers le  haut et que le crochet 174 est mû vers le  haut à l'écart du crochet 165, de sorte que  ce dernier et . le bras 164 ne se meuvent  pas, la presse n'étant donc pas rendue inac  tive.    Par contre, lorsque les tuyères de succion  ne sont pas parvenues à enlever une feuille,  aucun vide, bien entendu, n'est créé dans la  tuyauterie     comprisè    entre la pompe 106 et  les tuyères ni dans le cylindre 166.

   Par con  séquent, la tige de piston 167 ne s'élève pas,  le levier à crochet 169 ne s'élève pas, et  lorsque le chariot à tuyères pivote vers la  platine (vers la gauche de la     fig.    3), le cro  chet 174 entre en prise avec le crochet 165  et fait mouvoir ce dernier vers la gauche  avec le bras 164. Par conséquent, la biellette  163 actionne le levier coudé 157, 159, la  goupille 160 pousse le verrou 142 et le dé  gage de ses goupilles, et le levier à crochet  149 entre en prise avec la goupille inférieure  141 et rend la presse inactive.  



  Toutefois, en même temps que le bras 159  du levier coudé est mû vers l'arrière comme  décrit précédemment, le bras 157 descend  comme représenté     fig.    5     jusqu'au    moment     oir     l'extrémité à entaille d'arrêt 158 vient re  poser sur la goupille 162. Il s'ensuit que le  ressort- 176 est libre de faire mouvoir la  poignée 153 vers l'intérieur et de l'amener  au-dessus du bras 157 comme représenté. En  d'autres termes, quand le débrayage automa  tique a lieu, la poignée 153 et l'arbre creux  152 oscillent ou sont mus automatiquement  de telle sorte que, à l'autre extrémité de  l'arbre, la. goupille 181 peut actionner le bras      porte-soupape 119 pour ouvrir la soupape 118  de façon permanente.

   Pendant que le chariot  à tuyères continue son mouvement vers l'ar  rière, la goupille 173 monte sur la came fixe  175 pour élever le crochet 171 et le dégager  de l'autre crochet 165     (fig.    6).  



  En résumé, quand les tuyères ne     parvieii-          rient    pas à enlever une feuille, le levier 169  reste dans sa position inférieure, les deux  crochets 174 et 165 entrent en prise momen  tanément; assez longtemps pou.- actionner le  levier coudé 157, 159. Ce levier provoque  alors le fonctionnement du dispositif de dé  brayage et provoque aussi la rupture perma  nente du vide en ouvrant la soupape<B>118</B>  aussi longtemps qu'on permet à la machine  de rester inactive.

      Si l'on permet à la machine de rester  inactive, la presse continuera évidemment à  fonctionner, mais les tuyères n'enlèveront pas  de feuilles, et comme le chariot à tuyères  oscille alternativement dans un sens et cri  sens inverse, les deux crochets 174 et 165  entreront chaque fois en prise momentanément,  mais il n'en résultera rien. Après avoir re  médié à la perturbation, on fait mouvoir la  manette 153 vers l'arrière, c'est-à-dire qu'on  ramène le crochet 154 de cette manette à la  position de la     fig.    3, et le levier coudé 157,  159 vient aussitôt occuper sa position nor  male     (fig.    3) sous l'action du ressort 161, les  pièces occupant alors de nouveau leurs po  sitions de travail normales.

   L'opérateur peut  alors ramener le levier 14 à sa position nor  male pendant que, en même temps, il sou  lève à la main le verrou 142 de façon à le  replacer sur les goupilles 140 et 141.  



  Relativement au mécanisme de débrayage,  or) remarquera que pendant que la presse est  rendue inactive, le levier à crochet 149 con  tinue à coulisser alternativement dans un sens  et en sens inverse sur la came 144, mais     ire     détermine aucun autre     mouvement    du levier  14 puisqu'il a déjà amené ce dernier à la po  sition de débrayage. En outre, bien entendu,  on remarquera que lorsqu'on     manoeuvre    la  manette 153 pour ramener le dispositif de    débrayage à sa position     normale,    la goupille  181 s'écarte du levier à soupape<B>119</B> et la  soupape 118 se ferme sous l'action de son  ressort.

   Le mécanisme de débrayage est alors  prêt à fonctionner dans le cas où, pour une  raison quelconque, les tuyères ne produiraient  pas l'enlèvement d'une feuille.  



  Dans le transport de la feuille de la table  d'alimentation à la table de transfert     (fig.    9)  le corps de la feuille est supporté et empêché  de tomber par une lèvre de support 185 qui  est commodément     fixée    au susdit arbre 67.  La feuille est alors déposée sur la platine et  imprimée. Après l'impression, la feuille est  saisie par la pince réceptrice qui est cons  truite et travaille de la façon suivante  On se référera d'abord à la     fig.    17. Sous  la table 18 sont convenablement supportées  deux tiges 190, 190. Le chariot à pince 191  coulisse sur ces tiges, qui ont par conséquent  pour rôle de supporter le mécanisme à pince.  Le chariot à pince 191 coulisse sur les tiges  190 à l'aide d'un support de guidage conve  nable 192.

   Ce dernier porte un verrou 193  agencé pour     entrer    en prise avec un palier  coulissant 194 qui se meut sur une tige 195  fixée au bâti 19. Le palier coulissant présente  une creusure 196 et des rampes ou cames 197,  197. Ce palier comporte aussi une glissière  inférieure 198     (fig.    18).  



  Dans la glissière 198 se meut un galet  200 prévu à l'extrémité d'un bras 201. Ce  bras est fixé à un arbre oscillant 202     (fig.    1)  qui est actionné par un bras court 203 et par  une biellette 204 reliée en 205 à une came  à fente 206, celle-ci étant actionnée par une  goupille 207 qui relie la bielle 9 à la came  de verrouillage 11 de la platine. La came  206 pivote convenablement sur le bâti 20 eu  208, le tout comme représenté     fig.    1.  



  11 s'ensuit que, quelle que soit la position  du chariot à pince par rapport au palier 194  quand ce dernier commence à se mouvoir, le  chariot     viendra    se placer sous le support de  guidage 192. Le verrou porta par ce support  sera doucement élevé par une des rampes 197  et tombera dans la     creusure    196, ce qui ré-           tablira    l'accouplement entre le chariot à pince  et son organe de commande, c'est-à-dire le  palier 194.  



  Cette disposition prévue pour accoupler  de façon détachable le chariot à pince au  palier de commande est nécessaire, car il y  a lieu de rappeler que, à certains moments,  on enlève le chariot à pince du bâti quand  l'appareil d'alimentation est élevé     préparatoi-          rement    à son pivotement sur le côté de la  façon décrite. Pendant le fonctionnement de  la presse, et pendant que l'appareil d'alimen  tation est à l'écart, le palier 194     effectue    un  mouvement de va-et-vient sur sa tige 195  grâce au dispositif décrit, et il peut ou non  être placé exactement au-dessous du support  192 quand la table d'alimentation est de nou  veau amenée en position.

   Toutefois, le dispo  sitif qui vient d'être décrit assure le rétablis  sement     automatique    de l'accouplement exact  du chariot à pince avec son organe de com  mande.  



  Quand la table d'alimentation est amenée  sur le côté, le chariot à pince est tiré vers  l'avant sous la table de façon à amener le       mécanisme    à pince à l'écart en vue d'éviter  sa détérioration. Ceci est effectué par un ta  quet d'entraînement 210 qui coulisse sur une  tige 211 montée sur la table d'alimentation.  Le taquet est relié par un câble 212 au le  vier 2:5     (fig.    7). Quand on fait pivoter le le  vier vers le bas pour élever la table, le ta  quet est tiré en arrière et entre en prise avec  le support 192, ce qui a pour effet d'amener  ce support et le mécanisme à pince au bord  avant de la table d'alimentation.  



  La courbure de la came 206 est disposée  pour donner un mouvement assez doux au  chariot à pince clans son mouvement vers la  platine, mais un mouvement d'enlèvement ra  pide immédiatement après que la pince a  saisi le papier. A la fin du mouvement vers  l'arrière, il y a     un    ralentissement perceptible,  de sorte que lorsque la pince s'ouvre, le pa  pier est facilement éjecté hors de ladite pince.  Le dispositif d'éjection sera expliqué relative  ment au dispositif à pince.    On décrira maintenant le dispositif à pince  en se référant aux     fig.    21 à 25.

   Sur le cha  riot à pince<B>191</B> est fixée .de façon réglable  à l'aide d'une vis à violon 215 une console       porte-pince.    Cette console     (fig.    25) comprend  un élément de base 216 muni de doigts de  guidage 217 et 218 par lesquels la console  est guidée sur le chariot. Cette console est  en outre munie à l'arrière et d'un côté d'un  guide 219 dans lequel se meut un coulisseau  220 comportant une tête réglable 221 cons  tituée par une vis. En réglant la vis, on peut  allonger ou raccourcir le coulisseau.

   Le     cou-          lisseau    pivote en 223 sur un levier coudé 224  qui pivote à son tour en 225 sur un bras  s'étendant vers l'extérieur à partir du guide  <B>2</B>     19.        Le        levier        coudé        224        porte    à     l'une        de     ses extrémités un doigt 226 s'étendant vers  le haut et servant à verrouiller la pince.

   Un  ressort 227 assujetti au levier coudé et à la  console porte-pince tend à tirer le levier  coudé vers la position de verrouillage de la  pince quand celle-ci est ouverte comme le  montre la     fig.    21, et ce ressort tend aussi à  faire mouvoir le coulisseau 220 vers l'exté  rieur à partir du guide 219 et à l'amener à  l'arrière du chariot à pince ou à gauche des       fig.        21.-25.    Le     coulisseau    et le pivot 223 du  levier coudé sont limités dans leur mouve  ment par des butées 228 formées en décou  pant le guide en ce point.  



  La pince elle-même comporte une mâ  choire supérieure, une     mâchoire    inférieure et  un organe éjecteur de feuille et ouvre-pince.  La mâchoire inférieure 230 est une longue  pièce plate se terminant vers l'arrière par un  couteau 231. D'un bout à l'autre de sa lon  gueur, la mâchoire 230 est fendue comme on  le voit en 232. Elle porte aussi deux gou  pilles de guidage 233 s'étendant vers le haut.  A son extrémité avant (à droite sur les des  sins), la mâchoire inférieure porte un palier  234 dans lequel tourillonne l'axe 235 d'un  levier coudé 236.

   Ce levier porte un rouleau  ouvreur 237 et est relié en 238 à un organe  ouvre-pince et éjecteur de feuille 239 cons  titué par un coulisseau vertical mince qui se  ment dans la fente 232 de la mâchoire infé-           rieure.    Le coulisseau 239 est plié en 240'  pour épouser la forme de la mâchoire infé  rieure et, en un point situé entre ses extré  mités, ce coulisseau porte une came     ouvre-          pince    240. .  



  Une mâchoire de pince     supérieure    241 est  supportée de façon pivotante par le palier 234  en 242. La mâchoire supérieure est située  au-dessus de la mâchoire inférieure et, comme  celle-ci, se termine par un bord effilé 243. La  mâchoire supérieure est aussi fendue d'un  bout à l'autre de sa longueur, comme on le  voit en 244 et présente une ouverture ou  fente ouverte 245. D'un côté, la mâchoire  supérieure est découpée     obliquement    sur sa  face inférieure, comme on le voit en 246.  Cette mâchoire présente en outre deux trous  à travers lesquels font saillie les goupilles  233. 247 est un ressort porté par une gou  pille 248 fixée à la mâchoire inférieure. 249  est un ressort qui tend à faire mouvoir le  galet 237 vers le haut.  



  Comme représenté sur les dessins, les mâ  choires supérieure et inférieure occupent les  espaces compris entre les doigts 217 et<B>218.</B>  Le coulisseau éjecteur et ouvreur 239 est  placé entre les deux mâchoires, sa came 240  faisant saillie vers le haut à travers l'ouver  ture 245. Cet organe est maintenu dans la  position reculée qu'il occupe dans la     fig.    21  par le ressort 249 qui tend à faire pivoter  le levier coudé 236 vers le haut. Dans la       fig.    21, le ressort 247 tend â refermer la mâ  choire supérieure sur la mâchoire inférieure,  mais cette fermeture est empêchée par le  doigt de verrouillage 226 qui prend sous la  creusure inférieure 246 de la mâchoire supé  rieure.

   On remarquera ici que le doigt de ver  rouillage maintient la mâchoire supérieure  verrouillée dans la position d'ouverture indé  pendamment de la position de la pince sur  la console porte-pince parce que la face in  férieure de l'évidement 246 est parallèle à la  mâchoire" inférieure, et il s'ensuit que l'ou  verture des mâchoires est invariable.    Pendant le fonctionnement de la presse,  la pince est mue dans la position d'ouverture    vers la platine, et la mâchoire inférieure  passe sous la feuille imprimée portée par cette  platine. Quand la pince atteint la platine, la  tête 221 du coulisseau 220 vient heurter la  platine avec un choc brusque. Ceci repousse  le coulisseau en arrière et projette le levier  coudé 224 vers l'extérieur, comme on le voit  dans la     fig.    23.

   Il s'ensuit que l'action du  ressort 247 ne rencontre plus de résistance et       ferme    promptement la pince pour saisir la  feuille imprimée. Les positions qu'occupent  les pièces lorsque la pince est fermée sont  représentées dans les     fig.    22 et 23. La pince  se meut ensuite vers la droite ou vers l'avant  avec la feuille imprimée jusqu'au moment où  le galet 237 entre en contact avec une came  ouvre-pince 250 en passant sous cette came       (fig.    17). Ceci abaisse le galet 237 et, par  l'entremise du levier coudé 236, l'ouvre-pince  239 est poussé vers la gauche, ce qui a pour       effet    que la came 240 élève la mâchoire su  périeure.

   Le doigt de verrouillage 226 s'en  gage alors     élastiquement    sur la face 246 de  l'évidement et maintient la pince ouverte.  Toutefois, quand le     coulisseau    ouvreur 239  se meut vers la gauche, il pousse en même  temps nécessairement la feuille hors de la  pince, de sorte que cette feuille est convena  blement délivrée sous la table d'alimentation.       L'éjecteur    est avantageux parce que le mou  vement d'enlèvement rapide du papier à l'é  cart de la platine communique nécessairement  au papier une impulsion vers l'avant qui tend  à maintenir le papier fermement dans la  pince. L'éjecteur dégage positivement le pa  pier des mâchoires de la pince.

   La pince, étant  maintenant ouverte et maintenue ouverte par  le doigt verrouilleur 226, se meut vers l'ar  rière où elle est prête à saisir la feuille im  primée suivante.  



  En ce qui concerne la commande de la  pince, on remarquera ce qui suit. La came  206     (fig.    1) est établie de telle sorte qu'elle  communique un mouvement initial rapide à  la pince lors de la course     d'enlèvement    de  cette dernière avec un léger arrêt à l'extré  mité de la course, afin que le coulisseau     éjec-          teur    puisse avoir le temps d'éjecter le papier      hors de la pince. On remarquera en outre que  l'opération entière est automatique. La pince  se ferme en entrant en contact avec la pla  tine comme dans les     fig.    22 et 23, et s'ouvre  par suite du fonctionnement (abaissement) du  galet 237 comme dans la     fig.    24.

   La pince  est maintenue positivement dans la position  d'ouverture par le doigt de verrouillage 226  et dans la position de fermeture par le res  sort 247. Le moment de l'ouverture se règle  en ajustant la came 250 grâce à un     asserrr-          blage    à vis et fente. Le moment de ferme  ture se règle en ajustant la vis 221 du     cou-          lisseau.     



  En ce qui concerne la ou les pinces (on  peut en employer une ou plusieurs) et le mé  canisme de débrayage, des moyens sont prévus  pour rendre la presse inactive dans le cas où  la pince ne réussirait pas à saisir une feuille.  A cet     effet,    dans les fentes de la mâchoire  clé pince supérieure pivotent en 252 deux  cliquets 253, 253. Chaque cliquet comprend  une tête 254 chargée d'un poids et une queue  255. Quand la pince est ouverte     (fig.    21), les  cliquets 253 sont inclinés vers l'extrémité de  la pince, comme représenté, par suite de la  pesanteur et reposent sur une goupille 256.  Quand la pince se ferme sur une feuille       (fig.    22), les     cliquets    sont projetés vers le haut  et deviennent inactifs.

   En d'autres termes,  quand la pince saisit une feuille, les queues  255 sont abaissées. Si la pince ne saisit pas  une feuille, ces queues s'élèvent automatique  ment comme dans la     fig.    21 au moment où  la pince quitte la platine     (fig.    3). Ce léger       mouvement    d'oscillation des     cliquets    est uti  lisé pour actionner le mécanisme de débrayage  chaque fois que cela est nécessaire.  



  Entre la pile de feuille et la platine est  suspendu un organe déclencheur 260 qui est  constitué par un morceau de métal mince  s'étendant en travers de l'appareil d'alimen  tation     (fig.    1, 3, 4, 9 et 14). Cet organe est  fixé à un arbre 261. A l'une de ses extré  mités, sur le côté de débrayage de la presse,  l'arbre 261 porte un bras 262 s'étendant vers  le haut, lequel bras est relié par une     biel=       lette 263 à un bras crochu 264 pivotant sur  le palier susmentionné 155     (fig.    3 et 5). Le  bras 264 est normalement accroché sur une  goupille 265 fixée à un doigt 266 porté par  un arbre 267 qui est situé à l'intérieur de  l'arbre creux 152 dans le tube 30. L'arbre  267 porte aussi une poignée 268.

   Sur l'autre  extrémité de l'arbre est fixé un bras 269 muni  d'une goupille 270     (fig.    7). La goupille 265  est maintenue sous le bras crochu 264 par  un ressort 271     (fig.3).     



  Le fonctionnement est le suivant: Si la  pince saisit une feuille comme dans la     fig.    9,  les queues 255 des cliqueta 253 restent abais  sées et, dans la course de retrait de la feuille,  passent sous l'organe déclencheur 260 sans  le toucher. Si la pince ne réussit pas à saisir  une feuille comme dans la     fig.    3, les queues  255 s'élèvent et, lors de ladite course vien  nent frapper l'organe déclencheur 260. Par  conséquent, l'arbre 261 oscille légèrement et,  par l'entremise de la biellette 263, le bras  crochu 264 est amené à l'écart de la goupille  265, ce qui fait tourner légèrement l'arbre  267 par le ressort 271.

   Ce     mouvement    est  suffisant pour déterminer l'ouverture de la  soupape 118 de la boîte à soupape par la  goupille 270 prévue à l'autre extrémité de  l'arbre. Bien entendu, ceci coupe le vide dans  les tuyères de succion, et cette condition ayant  été réalisée, la presse sera mise hors d'action  comme décrit précédemment relativement au  mécanisme de débrayage. Le rétablissement  des conditions normales est réalisé en rame  nant les deux manettes 268 et 153 à leur  position. normale initiale.

   La raison pour la  quelle on adopte cette façon indirecte d'ac  tionner le mécanisme de débrayage quand la  pince ne réussit pas à. délivrer la feuille ré  side dans le fait qu'il n'est pas pratique de  construire un organe de débrayage régi par  la pince qui soit suffisamment robuste pour  exercer directement une traction sur le dis  positif de débrayage en 159 de façon à pousser  le verrou 142 à l'écart du levier 14. On re  marquera aussi que le mécanisme de dé  brayage d'une presse à platine est un dispo  sitif délicat qui, néanmoins, doit être disposé      et construit pour agir instantanément     chaque     fois qu'il se produit des perturbations exi  geant le débrayage. Ces buts ont été réalisés  par le dispositif de débrayage précité.  



  La     fig.13    montre une autre forme de  tuyère de succion 290 dont la surface infé  rieure 291 est recourbée à angle droit par  rapport au bord antérieur de la feuille. Ceci  constitue un avantage particulier lorsqu'il  s'agit de séparer des feuilles de papier fort  en     produisant    une courbe vers le haut au  bord et déterminant un mouvement coulissant  de la feuille supérieure par rapport à la feuille  suivante.  



  Comme on le sait, il existe déjà dans  l'industrie de nombreux appareils d'alimenta  tion automatiques pour presses à platine, mais  ces dispositions exigent usuellement que le  bâti de la presse soit percé pour y assujettir  de nombreuses consoles, organes de liaison et  autres pièces dans le but de régler et rendre  synchrone le fonctionnement de l'appareil  d'alimentation, différentes parties se fixant in  dépendamment des autres sur ce bâti. En se  référant à la     fig.    1, on voit que les organes  pour amener les feuilles à la platine et ceux  pour les en retirer sont montés sur la table  d'alimentation et les consoles 19 et 20, la  table étant elle-même portée par ces derniè  res, de façon à constituer un ensemble qui  peut lui-même être monté d'un seul bloc sur  le bâti de la presse.

   Il suffit alors, pour as  surer     l'actionnement    des organes d'alimenta  tion et des organes de retrait des feuilles, de  mettre en place l'axe 207 dans la fente de  la came 206 et de relier les bielles 98 et 107  à l'axe 99, sur la bielle 10 de la presse. Le  débrayage automatique est assuré en assujet  tissant le bras crochu 149 à l'extrémité de  l'arbre 130. Les leviers de levage placés en  70 et 69 exigent une très faible portée sur  l'arbre oscillant de la platine. Il est donc  clair que cet appareil d'alimentation peut être  assemblé sur les consoles 19 et 20 à la façon  d'un ensemble complet en soi et être alors  relié à la presse très facilement et rapi  dement.

      Il n'existe pas, dans cet appareil d'alimen  tation, de pièces lourdes qui doivent être ac  tionnées par la presse et qui seraient suscep  tibles     d'augmenter    la charge. En outre, on  remarquera que toutes les pièces sont très  accessibles et peuvent être ajustées rapide  ment et commodément.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Dispositif d'alimentation automatique de presse à platine, caractérisé par le fait que les organes qui servent à amener les feuilles à la platine et ceux servant à les en retirer sont montés de façon à former un ensemble, qui peut être monté lui-même d'un seul bloc sur le bâti de la presse, leur commande s'ef fectuant par liaison mécanique avec des or ganes de commande d'autres parties de la presse, les organes servant à enlever les feuilles de papier de la pile et à les amener à la platine comprenant des organes montés de façon pivotante sur la table d'alimentation.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Dispositif suivant la revendication, dans lequel lesdits organes pivotants portent des tuyères de succion qui sont déplacées d'une position située au-dessus de la pile portée par la, table à une position de distribution i ituée au-dessus de la platine, et inver- sement. 2 Dispositif suivant la revendication,
    carac térisé par le fait que les organes pour amener les feuilles à la platine peuvent être ajustés en vue de leur adaption aux dimensions des feuilles à imprimer et à la position qu'elles doivent occuper sur la platine. 3 Dispositif suivant la revendication, carac térisé par le fait que le mécanisme ser vant à actionner les organes oscillants est aussi porté par la table d'alimentation.
    4 Dispositif suivant la revendication et la sous-revendication 2, caractérisé par le fait qu'il comprend deux bras oscillants fixés de façon pivotante à la table d'alimenta tion par leurs extrémités inférieures, tandis qu'ils portent à leurs extrémités supérieu- res un arbre sur lequel les tuyères d'en lèvement des feuilles oscillent entre les bras. 5 Dispositif suivant la revendication, carac térisé par un dispositif pour produire le vide servant à la succion des feuilles par les organes qui les transportent à la pla tine, ce dispositif pivotant directement sur l'ensemble d'alimentation et étant relié à l'une des bielles de la presse.
    6 Dispositif suivant la revendication et les sous-revendications 2 et 4, caractérisé par le fait que chacun des organes de succion comprend un support pivotant sur lequel un godet suceur peut coulisser et peut s'incliner automatiquement pour enlever la feuille. 7 Dispositif suivant la revendication et les sous-revendications 2 et 4, caractérisé par le fait que l'arbre sur lequel sont mon tées les tuyères de succion porte des moyens pour produire le mouvement d'os cillation desdites tuyères par rapport aux bras oscillants, lequel mouvement est li- nnité à l'aide de butées réglables.
    8 Dispositif selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisé par une soupape commandée par l'un desdits or ganes pivotants, pour arrêter la succion des tuyères au moment où la feuille doit en être libérée. 9 Dispositif suivant la revendication, carac térisé par le fait que les moyens pour re tirer les feuilles de la platine comportent une pince à papier montée sur un chariot à pince coulissant, cette pince portant ses propres moyens de fermeture et d'ouver ture. 10 Dispositif suivant la revendication et la sous-revendication 9, caractérisé par le fait que la pince est munie d'un organe éjecteur de papier.
    11 Dispositif suivant la revendication et la sous- revendication 1, comportant des moyens pour assurer une mise hors d'action auto matique de la presse lorsqu'une feuille n'a pu être enlevée par les tuyères et des moyens pour assurer une mise hors d'ac tion automatique de la presse lorsque la pince n'a pu saisir une feuille sur la platine, ces derniers moyens étant disposés pour actionner d'abord les moyens cités en premier lieu, qui provoquent alors la mise hors d'action de la presse.
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