CA2460217A1 - Post-rotary, retro-rotary and bi-rotary prime movers (conclusion, part two) - Google Patents

Post-rotary, retro-rotary and bi-rotary prime movers (conclusion, part two) Download PDF

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Abstract

La présente invention a pour objet de préciser certaines interprétations de nos travaux antérieurs, d'en donner des variantes supplémentaires, notamment de montrer la convergence entre la notion de birotativité et celle de mouvement Boomerang dans les machines rotatives, et de plus indiquer, parmi un vaste ensemble de machines et de méthodes de support déjà élaborées par nous-mêmes, les réalisations techniquement les plus réalisables, et les façons plus précises de le faire. Ces travaux complètent donc l'ensemble de nos ouvrages antérieurs relatifs à
la double articulation mécanique des machines, de même qu'à la sémantique mécaniques par laquelle il faut les comprendre.
The present invention aims to clarify certain interpretations of our previous work, to provide additional variants, including show the convergence between the notion of birotativity and that of movement Boomerang in rotating machines, and furthermore indicate, among a vast set of machines and support methods already developed by ourselves, the most technically feasible achievements, and the more precise make. This work completes all of our previous works relating to the double mechanical articulation of machines, as well as semantics mechanics by which one must understand them.

Description

Divulgation Avant propos Dans nos travaux antérieurs, nous avons montré que plusieurs méthodes de soutient de machines post rotatives et rétro rotatives étaient possibles. A ce sujet nous avons ajouté près de dix huit méthodes de soutient aux méthodes par mono induction et par engrenage intermédiaire de Wankle. (Fig. 1 ) Cependant, nos travaux et examens comparatifs des machines rétrorotatives, en rapport avec les machines post rotatives nous ont rapidement convaincu que l'on pouvait réaliser une déconstruction systémique appréciable, même dans les machines rotatives.
Ces comparaisons ont vite confirmé l' idée que des machines idéales géométriquement, dynamiquement et mécaniquement, seraient des machines hybrides, se situant à mi chemin entre les machines post rotatives , rétrorotatives et les machines a pistons..
Les diverses mécanisations que nous avons produites permettant de soutenir les parties compressives de la poly turbine de type Wilson dont le cylindre est plus expressément birotatif nous ont aussi montré qu' il existait divers degrés de machines rotatives, selon le nombre d'inductions nécessaires à le soutient complet de leur parties compressives. Notamment nous avons montré par exemple que les polyturbines de Wilson, la Quasiturbine de St-Hilaire, nos machines à Cylindre rotor ( à pistons), moteurs Slinky , moteurs de type Semi turbine différentielle étaient toutes des machines de deuxième troisième, quatrième degrés. Dans l'ensemble ces machines étaient donc, non pas simplement rétrorotatives ou post rotatives, mais plutôt bi rotatives, ou tri-rotatives.
(Fig. 2) Nous avons de plus montré que plusieurs de nos méthodes de soutient altéraient le degré des machines des machines, les rendant partiellement bi rotatives. Ces machines de premier degré, strictement post ou rétro rotatives, devenaient donc, à
proprement parler, plutôt â proéminence post rotative, ou, à proéminences rétrorotative. L' on pense principalement aux méthodes par poly induction, par engrenages cerceau, par semi transmission, par inductions étagées, par addition de bielles de géométrie L' on a donc montré qu' il était possible d' augmenter mécaniquement le degré des machines. (Fig. 3) Les machines devenaient par là des systèmes plus riches, dotés comme d'autres systèmes, ADN, Musique, Langage, de double et de triple articulation. Cette double articulation permet notamment de rendre à tout soutient une capacité de travail antérieur et postérieur de la pale calibré, ce que ne peuvent permettre les mono inductions.
Nous avons aussi montré que l'on pouvait aussi modifier la nature simplement post rotative ou rétrorotative des machines en un nature birotative, par des réingénieries soit géométriques, soit dynamiques. Principalement nous avons montré que la réalisation de machines , par cylindre rotor planétaire pale fixe , ou encore par pale ou cylindre en mouvement Clokwise, par double articulation de mécanisation, procuraient à la machine aussi un degré supérieur. (Fig.4) Nous avons montré que ces méthodes étaient de plus intéressantes et importantes, puisqu'elles permettaient cette fois-ci d'augmenter le degré des machines par des mécaniques juxtaposées.
Finalement nous avons montré que l'on pouvait réaliser en composition plusieurs élévations de degré de la machine, en combinant des méthodes étagées et juxtaposées. (Fig. 5 ) Par exemple nous avons montré que l'on pouvait réaliser une machine avec pale à mouvement Clokwise, dont le cylindre était à mouvement planétaire, ce qui permettait de réaliser un étagement entre les inductions, chacune se réalisant en sens inverse par rapport à un même centre.
La présente invention a pour objet de généraliser notre conception birotative des machines , tout autant lorsque cette birotativité est réalisée de faon successive , par induction fractionnées ou alternatives, que de façon simultanée, par mécanisation semi transmittive, ou par ré- ingénierie géométroco dynamique.
Dans la pratique, la présente invention a pour objet de préciser les méthodes d'induction alternative, d 'une part et d 'autre part, de préciser que toutes les méthodes d 'augmentation de degré, qu 'elles soient mécaniques, géométriques, ou dynamiques peuvent être combinées entre elles de telle manière d âugmenter le degré des machines et ainsi de le produire sous leur aspect moteur. Cette proposition, déjà énoncée par nous-mêmes au niveau des méthodes mécaniques, est donc élargie de telle manière d'inclure les augmentations de degré par géométrisation ou par redistribution dynamiques.
L'on pourra donc réaliser des machines rotatives de second, troisième degré, ou de degré supérieur en attribuant à cette machine un, deux, ou plus de méthodes de modifications, dont les principes sont les suivantes, selon A ) qu'elles calibrent le travail orientationnel de la pale 1 ) Par inductions alternatives
Disclosure Foreword In our previous work, we have shown that several methods of supports post rotary and retro rotary machines were possible. On this subject We have added nearly eighteen methods of support to mono induction methods and by Wankle intermediate gear. (Fig. 1) However, our work and comparative examinations of retrorotative machines, in post rotary machines quickly convinced us that one could achieve appreciable systemic deconstruction, even in rotary machines.
These comparisons quickly confirmed the idea that ideal machines geometrically, dynamically and mechanically, would be machines hybrids, halfway between post-rotating machines, retro-active and piston machines ..
The various mechanizations that we have produced to support the compressive parts of the Wilson type poly turbine whose cylinder is more expressively birotative have also shown us that varied degrees of rotating machines, depending on the number of inductions necessary for the complete support of their compressive parts. In particular we have shown, for example, that Wilson's polyturbines, the Quasiturbine of Hilaire, our rotor cylinder (piston) machines, Slinky motors, engines of Semi type differential turbine were all second-hand machines third, fourth degrees. All in all these machines were, therefore, not simply retrorotative or post-rotating, but rather bi-rotating, or tri-rotating.
(Fig 2) We have also shown that many of our methods of support alter the degree of machines machines, making them partially bi rotative. These first degree machines, strictly post or retro rotary machines, became therefore, to strictly speaking, rather than post-rotating prominence, or, prominently rétrorotative. We mainly think of methods by poly induction, by Hoop gear, by semi transmission, by stepped inductions, by addition of It has therefore been shown that it is possible to increase mechanically the degree of the machines. (Fig. 3) Machines became richer systems, endowed like others systems, DNA, Music, Language, double and triple articulation. This double In particular, articulation makes it possible to job front and rear of the calibrated blade, which can not be mono inductions.
We also showed that we could also change the nature simply post rotating or retrorotative machines in a birotative nature, by means of réingénieries either geometric or dynamic. Mainly we showed that the machine production, per planetary rotor cylinder fixed blade, or by pale or cylinder in movement Clokwise, by double articulation of mechanization, provided the machine with a higher degree. (Fig.4) We have shown that these methods are more interesting and important since they allowed this time to increase the degree of the machines by of the mechanical juxtaposed.
Finally we showed that we could achieve in composition many degree elevations of the machine, by combining staged methods and juxtaposed. (Fig. 5) For example we showed that we could realize a machine with a Clokwise movement blade, whose cylinder was moving planetary, which allowed to achieve a staggering between the inductions, each realizing in the opposite direction to the same center.
The present invention aims to generalize our birotative design of the machines, just as much when this birotativity is carried out successive by induction fractional or alternative, that simultaneously, by semi transmissive mechanization, or by geoco-dynamic re-engineering.
In practice, the present invention aims to specify the methods induction alternative, on the one hand, and on the other hand, to specify that all methods of degree increase, whether mechanical, geometric, or dynamics can be combined with each other in such a way as to increase the degree of the machines and thus to produce it under their engine aspect. This proposition, already stated by ourselves in terms of mechanical methods, is so broadened in such a way to include the degree increases by geometry or dynamic redistribution.
It will therefore be possible to produce rotating machines of second, third degree, or degree by assigning this machine one, two, or more methods of modifications, the principles of which are as follows A) that they calibrate the orientational work of the blade 1) By alternative inductions

2) Par semi transmission 2) By semi transmission

3) par combinaison d'induction par étagement, par combinaison d'induction en juxtaposition antérieure postérieur, ou en juxtaposition inférieure supérieure 3) by combination of induction by staging, by induction combination in posterior posterior juxtaposition, or in lower juxtaposition higher

4) par support birotatifs de cotés ou encore selon qu' elles réalisent les fonctions orientationnelle par le cylindre A) par cylindre rotor pale fixe B) par pale ou cylindre clockwise C) ou par cylindre rotor et pale clokwise simultanément (Fig. 6 ) Toutes ces méthodes pouvant par la suite être polycamées.
Toutes ces méthodes ont en commun de réaliser la machine dans la valeur bi rotative, c'est-à-dire de telle manière de capter à la fois les aspects positionnel et orientationnel des parties compressives en réalisant un mouvement Boomreang partiel ou total de parties compressives.
Toutes ces méthodes ont été antérieurement en grande partie commentées par nous-mêmes, antérieurement aux présentes, et la présente a pour objet d'en améliorer certains aspects, d'en étoffer les démonstrations, et de généraliser leurs combinaisons, les unes aux autres, et d'indiquer les principales réalisations pratiques qui en écoulent.
Bien entendu, l'objectif final recherché est de réaliser les machines sous leur forme Motrice, c'est-à-dire avec une action positive de la surface totale de la pale permettant de réaliser un mouvement virtuel Boomregrang.

Introduction Pour mieux comprendre les difficultés de réaliser correctement les machines rotatives, sous leur forme Motrice, il faut les observer comparativement aux moteurs à pistons.
En effet, les machines motrices à pistons ont généralement de meilleurs résultats, au niveau du couple que les machines rotatives, et il y a deux raisons principales à
cela. La première de celles-ci tient à l' idée que la surface du piston est, lors de la détente, entièrement utilisée en poussée, et cela sans provoquer de contre poussées.
Le moteur à pistons conventionnel possède par conséquent une structure compressive birotative, puisque la pression agit à peu près également sur chaque coté du piston. L'action du vilebrequin est aussi assez globale puisque tout autant son action verticale que son action horizontale sont induites par la bielle.
(Fig. 7.1 a) Il est à noter que nous parlons ici de moteurs à pistons conventionnel.
Comme les machines rotative, l' on peut, selon la distribution des éléments utilisées, les réaliser sous leur forme Compresseur, ou encore, sous une forme Moteur encore plus puissante. Dans le premier cas, on les produit à cylindre rotor, ou à
bielle à
coulisse, et dans le second, en cylindre rotor à contrario, ou a mécanique birotative en étagement ou juxtaposée.
Le moteur à pistons standard n'est donc pas parfaitement birotatif. II
pourrait être augmenté en ce sens par une birotativité de la mécanique, comme par exemple la production de la machïne par superposition d'inductions, ou encore par cylindre rotor à contrario. (Fig. 7.1 b).
Mais les augmentations de puissance serait trop peu importantes relativement aux augmentations de complexité de la machine, et c' est pourquoi, dans l' ensemble, l' industrie les a consacré dans leur forme standard.
La seconde qualité du moteur à piston, qui est une qualité exagérée, est l'opposition est la force différentielle créée entre les deux actions géométrique très opposées, à
savoir l'action rectiligne et de l'action circulaire, qui sont les deux mouvement principaux du moteur à piston.
Cette double action produit un déséquilibre lors de la compression, qui, amplifiée par l'explosion, cherche l'équilibre, ce qui produit l'expansion.

La troisième qualité des moteurs à piston consiste en une déconstruction naturelle du système à peu près dans le sens de la poussée explosive.
Les machines rotatives ne sont simples que lorsque l'on entend les réaliser sous leur forme Compressive, c'est-à-dire lorsque l'on veut les réaliser comme machine servant à la compression. En ce cas en effet, il suffit de réaliser des mécaniques qui assurent le mouvement de la pale, à partir d'un tournage du vilebrequin, En ce cas, comme le montre particulièrement les deux mécaniques de Wankle, mono inductives et par engrenage intermédiaire, l'on peut diminuer le nombre de pièces à deux seulement soit la pale et le vilebrequin. Ces deux méthodes proviennent, comme nous l'avons déjà fait remarquer de deux observations différentes du mouvement de la pale. Dans la première, que l'on dit par observation extérieure, l'on conçoit la pale comme un objet tournant autour d'un point assez volumineux. Cet obj et est l' engrenage d' induction, et ce point l' engrenage de support .Bien entendu, plus le point de centre est volumineux, plus en cours de son tournage, la pièce aura , simultanément une rétrorotation. L'on complète ensuite cette rotation par des paramètres géométriques, représentées.par les droites réunissant ces centres, et la géométrie de la pale et du cylindre s'en trouve ainsi crée. Dans la pratique, l'on uni par la suite les extrémités de ces droites, ce qui forme la pale, et l'on supporte la rotation de celle-ci par un vilebrequin, ce qui complète la machine, (Fig. 7.2 ) Lorsque, au contraire l'on entend réaliser la machine rotative, comme moteur, c'est à dire lorsque l'on prévoit que la force et la poussée viendra de la pale et non du vilebrequin, les défauts de construction principaux suivants apparaissent semble-t-il irrémédiablement.
Premièrement la poussée explosive produit une force seulement sur une partie de la pale, et produit même une contre force sur la partie complémentaire. La poussée sur la pale n'est donc, par rapport à la poussée des moteurs à pistons, que partielle et limitée.
Le vilebrequin le mouvement de pale à la manière d'une onde. Dans les faits, il se passe, circulairement, comme si le vilebrequin soulevait successivement plusieurs planches reliées entre elles. (Fig. 7.2 b ) L'on voit très bien, dès lors, si l'on imite le mouvement des pales mécanisé
de la manière précédente, et cela sur une ligne droite, premièrement que le vilebrequin fait travailler la pale, en sinusoïde, et deuxièmement que la force produite par la poussée après le passage au centre, n' est pas une force directe, mais une force résultante.
Ceci nous amène à repérer le second défaut des machines rotatives, qui consiste en ce que leur mouvement des parties compressives, de forme sinusoïdal, contrairement au moteur à pistons, manque de capacité différentielle par rapport au mouvement circulaire du vilebrequin, ce qui transforme la poussée en friction.
La grande difficulté des machines rotatives, est, nous le répétons, la complexité à
réaliser ces machines de telle manière qu'elles restituent, comme le piston, l'énergie qu'elles ont emmagasinée, premièrement sur la totalité de la surface de poussée , et deuxièmement, d'une manière déconstrutive quasi autonome.
Donnons un exemple fort simple qui fera comprendre au lecteur ce que nous entendons.
En effet, mécaniser correctement une machine rotative est, en dépit des apparences, comme si l'on entendait mécaniser le mouvement de la bielle d'un moteur à
piston, sans la coulisse que réalise l'ensemble piston cylindre, de telle manière que toute la puissance soit restituée par ces mécaniques, et cela avec le moins de pièces possibles.
Donnons l'exemple suivant. Supposons que l'on prend dans la main un objet, tel une pierre et qu'on soulève celle-ci perpendiculairement. Par la suite, si on laisse tomber cette roche, elle reviendra, cette fois-ci attirée par la gravitation, à son point de départ. C'est, grosso modo, ce qui se passe dans le moteur à piston, et c'est pourquoi, nous disons qu'il est la machine en laquelle l'on retrouve de façon à
peu près égale les capacités compressives et les capacités motrices. (Fig.7.3) Supposons maintenant que l'on reprenne la même roche et qu'on lui fasse parcourir une forme sinusoïdale, et au surplus en diagonale, pour ensuite, comme précédemment la laisser tomber. La gravitation attirera la pierre vers le sol, et non pas vers son point de départ. L'on pourra, par des précédés mécaniques, par exemple une glissoire, se servir de la gravitation pour ramener la pierre à
son point de départ , mais cette mécanique primaire agira toujours dans le sens angulaire à
celui de la gravitation, ne récupérant ainsi qu' une partie de la force produite.
La même chose se produit dans les moteurs rotatifs, inexorablement, lorsque qu'on les produit avec des visions Compressives de la course de la mécanique soutenant la pale En ces cas, immanquablement l'on tente de produire des mécaniques qui iront porter les pointes des pales au bon endroit, et ces mécaniques déconstruisent la poussée de telle manière de ramener les parties à leur point de départ, en contraignant cette poussée, ce qui en soustrait en grande partie la puissance.
L 'on force la montée de la pale angulairement, ce qui accroït non capacité
Compressive, mais, celle-ci ne revient qu'angulairement, inexorablememt, ce qui diminue sa capacité Motrice.
Comment expliquer la difficulté de réaliser des mécaniques de type moteur pour les machines rotatives ?
Chevauchement des fonctions Une première façon d'expliquer les difficultés de gérer l'action de la poussée d'une pale d'une machine rotative est de comprendre que la même pale permet la coexistence de plusieurs pistons virtuels, chacun étant matérialisé par l'un des cotés de pale. Par conséquent, la fin de l'expansion de l'une des chambres correspond à
l'amorce de l'expansion de la prochaine. Mécaniquement, il faut donc gérer la partie postérieure de la pale en fin d'expansion simultanément à la partie antérieure de la prochaine portion de pale.
C'est ce chevauchement des réalisations des mouvements qui produit, dans les machines rotatives, une di~culté de réaliser des mécaniques qui seront adéquates pour ces deux circonstances. (Fig. 7.4) L' on aboutit invariablement aux incohérences suivantes.
A) Dans tous les cas de mécanisation, l'on produit toujours à la fois des contre poussées nuisibles à la machines, qui s'expliquent par le fait que les mécanisations sont conçues pour faire réaliser à la pale son mouvement à partir du vilebrequin, et non pas le contraire.
B) Dans tous les cas de mécanisation unitaire, cette même mécanique sert au surplus à la fois à assurer le début de la compression de l' un des cotés de pales, l'amorce de descente du coté suivant, et la fin de l'expansion du tiers coté, bien entendu lorsque la pale a trois cotés. Dans tous les cas, obéissant en premier lieu à la forme de la machine, l' on réalise des mécanisations latéralisantes de la machine C) Dans tous les cas l'on produit des mécaniques de compromis Forme oblige En effet .Les rotatifs ont été créés par l'expérience. Il sont l'expression limite de couplages d'engrenages externes et internes, par exemple d'un couplage d'un engrenage de trois dents dans un engrenage de quatre, ou de deux et ainsi de suite.
La tendance naturelle de mécanisation est par conséquent de réaliser des mécaniques permettant de suivre les formes qui aboutissent à des structures latéralisantes. En effet, par exemple dans les machines rotatives la pale se déplace plus latéralement et l'explosion elle est verticale.
Intuition naturelle fausse Une autre façon de dire les choses est d'énoncer qu' il y a une erreur toute naturelle de conception de ce type rotative est d'avoir intuitivement agit comme si l'on entendait faire tourner le vilebrequin comme s'il s'agissait d'une roue que l'on active avec la main. En faisant cela, l'action différentielle est produite en soi-même, et donne l' impression, et surtout l' illusion, que l' on produit facilement de l'énergie. Ce qui produit réellement de l'énergie dans les machines rotatives, comme dans toute machine à combustion interne, est l' éloignement des pièces entre elles, ou encore leur éloignement du centre.
Or il y a peu d'action différentielle entre le mouvement quasi-sinusoidal recourbé
sur lui-même des machines rotativee et le mouvement circulaire du vilebrequin.
Cette action différentielle a été bien entendue en partie conservée dans les machines rotatives de l'art antérieur, sans quoi il n'y aurait aucune motorisation.
Mais elle est limitée de façon supplémentaire et aigue par les contres poussées résultant de l' application des méthodes de Wankle, qui toute deux, la méthode par mono induction, et la méthode par engrenage intermédiaire, ont déplacé au surplus déplacé l'ancrage des machines précédentes au centre de la machine. Nous avons abondamment montré dans les premières parties de ces travaux les difficultés majeures que de telles mécaniques surajoutaient aux machines rotatives.
Double rotativité.
Comme nous l' avons montré à plusieurs reprises, le mouvement rotatif est un composé de mouvement circulaires secondaire et principal. La généralité des mono inductions ne parviennent pas à réaliser thermodynamiquement ces deux mouvement simultanément et alternativement.

Notre position Notre façon de comprendre les moteurs rotatifs, tel qu'en fait foi l'ensemble de nos travaux, est fort différente. L'ensemble de ceux-ci montre les trois points suivants a) L 'on peut construire le mouvement descendant de la pale de telle manière que toute sa surface soit positivement utilisée, et ce de façon calibrée, les mécaniques étant ajustées de telle manière que l 'explosion produise une déconstruction accéléré sur le devant de la pale et décélérée sur le derrièr , ( c 'est ce que l 'on appelle la birotativité de la machine ) b) L'on peut réaliser cette déconstruction de façon systémique dans le sens de la poussée c) L'on peut réaliser les mécaniques de telle manière de réaliser un mouvement mécanique sinuosido-rectiligne, plus compatible avec la poussée idéale d'une machine. (c'est ce que d'on appelle le mouvement Slinky, ou Boomerang de la machine) d) L'on peut réaliser la totalité verticale de la poussé descendante Au surplus l'ensemble de ces réalisations peuvent être produites dans une même machine.
Par conséquent, la machine, au point de vue de son couple seul, pourra être comparables aux machines à pistons. Si l'on ajoute à cela les qualités supplémentaire, non relatives directement au couple, comme par exemple, les économies d'énergie en accélérations et décélérations, de même que la possibilité
de valves lumières et l'augmentation de tour minutes, l'on obtiendra dès lors des machines qui passeront de moins performantes que les moteurs à pistons à
beaucoup plus performantes que celles-ci .
Ces réalisations de machines rotatives par conséquent pleinement motrices, tout autant a) du point de la totalité de la poussée positive sur la pales b) sur la complète transmission orientationnelle et positionelle des poussées c) sur la restitution des ces poussées dans le sens système circulaire.

peuvent être réalisées des quatre manières principales suivantes 1 ) en conservant les pales planétaires a) par un mouvement de pale quasi planétaire ou, soutenu par une mécanique lui assurant une dynamique Slinky ou Boomerang ( polycamé ou par structures pentures) b) par semi transmission 2) en pales fixes, rotatives, ou en mouvement clokwise c) par un mouvement de cylindre rotor planétaire et en pale fixe d) par un mouvement de pale en Clokwise et un rétro mouvement de cylindre circulaire, ou planétaire Première partie Réalisation par un mouvement de pale planétaire, soutenu par une mécanique lui assurant une dynamique Slinky ou Boomerang Conception Slinky, ou Boomerang du mouvement de la pale Dans cette partie nous récapitulerons principalement les méthodes par poly induction, par engrenages polycamés et par semi transmissions auxquelles nous ajouterons certains commentaires et réalisations. Dans cette partie, nous montrons comment calibrer les poussées sur la pale de telle manière qu'elles ne comportent plus de contre poussées.
Les conception du mouvement de pale de toutes les mécaniques de l'art antérieur sont à l'effet que la rotation accélérée d'un vilebrequin soulève successivement toutes les parties successives d' une pale et provoque à ces extrémités un mouvement ondulatoire, dont le cylindre représente a figure replie sur elle-même.
Notre conception du mouvement de la pale des machines rotatives est une conception non pas sinusoïdale ou elliptique, mais plutôt, Boomerang, Slinky.
En effet, pour imaginer un puissance en majeure partie restituées par les machines rotatives, il faut tout d'abord imaginer réaliser une certaine sémantique mécanique, et entendre le mouvement de pale à la manière d'un mouvement Slinky, ou d'un Boomerang, à mi chemin entre le mouvement sigmoïdal et le mouvement rectiligne, et par conséquent similaire à un mouvement en penture, non pas statique, mais cette fois-ci en action. Le mouvement est donc post rotatif, ou rétrorotatif, mais avec une proéminence. (Fig. 7.5) En effet il faut, pour pouvoir réaliser des mécaniques de puissance, entendre leur imprimer la réalisation de ce mouvement. Dans ce mouvement, en double articulation, la pale est, telle une chaîne d'ADN, enroulée sur elle-même, dynamiquement.
Deux exemples comprenant virtuellement ce mouvement Les engrenages polycamés Les figures ballon et Quasi rectangulaires Cylindre Ballon Deux exemples peuvent aider à montrer notre conception du mouvement idéal de la pale. Le premier, géométrique, représente la limite de notre conception Slinky, ou encore boomerang du mouvement de la pale se retrouve dans notre figure de moteur à cylindre ballon, réalisé par engrenages polycamés, ou autre mécanisation.
Lorsque réalisé par engrenage polycamés, les engrenages quasitriangulaire de pale et elliptique de support sont disposés dans le sens de la pale, pour l' un et perpendiculairement à la machine pour l'autre. L'éloignement du point de couplage vers le bas, et a donc tendance à produire un point d'inertie et par conséquent un centre de rotation de la pale en penture autour de celui-ci . En supposant une explosion advenant en cette phase, la poussée sur la pale sera en penture, par conséquent à la fois sur la surface totale et de façon calibrée.
(Fig. 7.6 al Cylindre quasi rectangulaire Toujours avec l'utilisation d'engrenages polycamés, cette fois-ci disposés en sens inverses, le point de pivot, ou de penture a tendance à être en cours de descente. La vitesse de la pale rattrape alors momentanément celle du vilebrequin et s'appuis sur cet encrage d'accélération dans le sens de l'explosion.
L'on pourrait construire un ensemble d'engrenages polycamés réalisant ces eux points de penture alternativement .Dans une première phase, la pale pivoterait , telle une penture, autour d'un axe fixe, réalise par la pointe de celle-ci lorsque la pale est au maximum de sa montée, et dans un second temps, elle pivoterait autour d'un second point, qui le centre de sont coté défensif, lorsque la pale est en mi descente, ce qui constitue une second penture.
Dans ces figurations, une partie de la rectilignité du moteur à piston est restituée, et le moteur travaille mieux dans le sens de la poussée. En effet, dans cette machine nous supposons que le triangle se déplace avec un point de centre elliptico-latéral.
En ce cas, l'on voit donc que la pointe du piston demeure immobile pendant toute la descente.( Fig.7.6 c) Dans les deux cas, la poussée sur la pale, est latéralo-verticale, et rappelle celle d'un moteur à piston penture, elle-même mise en action circulaire. Cette action Boomerang restituera une poussée plus près du le sens de l'explosion.
Dams cette version, le mouvement Boomerang est plus facilement repérable. Dans le premier cas l'on parlera d'encrage ou de penture de pointe .Dans le second, l'on parlera d' encrage ou de penture de coté.
Nous avons déjà parlé d'engrenage en double polycamation. De façon simplifiée, il s'agira d'un engrenage ayant successivement des points de rattachement inverses.
Celui-ci pourra par conséquent produire alternativement les deux encrages et penture, ce qui sera la version complète de la conception Boomerang de la pale. La forme du cylindre réalise sera elliptico-rectangulaire (Fig. 7.6 c ) Pour une compréhension plus visuelle de l'effet Boomerang en double articulation, nous pouvons réduire l'engrenage quasi-triangulaire interne d'induction de pale à
un engrenage à six creux de dentition et réduisons l' engrenage elliptique de support à un engrenage de quatre dents, formant un losange. Dès lors si l'on installe le vilebrequin et que l' on construit les engrenages avec des dents suffisamment longues pour en conserver le couplage, même avec la carrure des engrenages, l'on verra que la machine marche par à coup, imperceptibles de l' extérieur, mais profitables à l'explosion. La pale pivotera alternativement autour de chaque point d' ancrage successifs que constituent le couplages successifs des engrenages.
Cet engrenage polycamé limite permet de représenter la birotativité pour ainsi dire alternative. (Fig. 7.6. d ) A chaque pivotement, la poussée sur la pale sera en penture, et se situera donc à mi chemin entre celle des machines rotatives , plus circulaires, et les machines à
pistons, dont le mouvement des parties compressives est rectiligne.

Méthode de poly induction avec dynamiques Boomerang égalisées La méthode précédemment polycamé est une méthode par mono induction. Les arrangements par successions alternatives de fonctions des moyens de support des méthodes par poly induction augmenteront la capacité birotative Boomerang de la machine.
La méthode par poly induction standard Comme nous l'avons déjà mentionné, la méthode de guidage standard des machines post rotatives, dite par mono induction, réalise la machine sous sa forme compressive, et prive par conséquent la poussée sur la pale de sa capacité
orientationelle. Nombre de défauts moteurs majeurs apparaissent dès lors, dont les principales sont le surcommandement du travail de la pale, et les contre poussées réalisées sur celle-ci par l'explosion. (Fig. 7.7 ) Nous avons montré que cette conception de la pale comme élément planétaire d'un vilebrequin central était erronée, et que la pale devait plutôt être disposée à des moyens de commande eux-mêmes planétaires.
La méthode par poly induction, et ces développements, que nous avons généralisé
à deux pôles , pour toute machine post rotative, et avec engrenage de support interne pour toute machine rétrorotative, s'est avéré une méthode de beaucoup plus rentable. (Fig. 7.8.1 ) Premièrement, le vilebrequin maître voyage relativement à la même vitesse que la pale, et non plus à une vitesse de trois fois supérieure à celle-ci. Le surcommandement de la pale est donc annulé par une telle procédure.
Deuxièmement, le mouvement rétrorotatif de l' engrenage d' induction de pale de la méthode par mono induction est ici remplacé par un mouvement post rotation des engrenages d' induction. La vitesse des vilebrequins secondaires est donc correspondante au nombre d'arc du cylindre, soit deux, et non au nombre de cotés, trois, comme le réalise l'excentrique central, dans le cas de mono induction.
Non seulement le bras de vilebrequin est il plus long, mais aussi le cylindre a une meilleure forme. De plus, les contre poussées sur la partie arrière de la pale sont annulées, car la pale réalise alors un auto blocage dynamique déjà décrit par nous même antérieurement.

Il est important de noter que cette méthode réalise avec deux pôles uniquement une égalité géométrique de la poussée, sans contre poussée, ce qui est un avancement réel. (Fig. 7.8.2) Conception Boomerang du mouvement rëel de la pale La méthode par poly induction en double parties a aussi le mérite de monter que dans certaines parties de la machine, l'on peut produire ce que l'on peut nommer des points d'ancrage, de pivotement, réel ou virtuels ,qui réussissent à
produire un mouvement en penture , mouvement que nous avons nomme mouvement à effet Boomerang , parce que réalisé en alternance celui-ci a une dynamique similaire.
(Fig. (7.8.3 ) Notre conception de la poly induction n'est pas une simple conception de nouvelle mécanique de support de la machine. Elle appelle, elle aussi, de façon supplémentaire , puisque le point de support de coté réalise une course verticale, une version moins latérale, plus rectiligne, et moins circulaire, du mouvement de la pale que nous appelons mouvement Slinky ou Boomerang de la pale, ce qui est une autre façon d'exprimer le concept central de nos travaux, soit celui de la biroptativité.
En effet, par notre méthode par poly induction, nous avons été les premiers à
exprimer le mouvement Boomerang par en alternance de deux points d'ancrage de pale. En effet, nous avons montré que le mouvement quasi -elliptique de la pale, pouvait plutôt être entendu comme un mouvement en double pentures successives, et alternative produisant des portions de mouvement en arc rectiligno-circulaire, et pour cela réalisant une force différentielle rappelant en partie celle du piston. Dans cette version, nous avons montré que l'on pouvant relier une pale de nombre de cotés impairs, à seulement deux supports opposées, décrivant des courses opposées ce qui aura permis de réaliser l'effet penture..
L'un des supports planétaires est par conséquent relié à l'une des pointes, et le second à l' un des cotés. Le premier support produit la forme du cylindre, et le second, une forme similaire, mais dans le sens complémentaire à la première, ci perpendiculaire.
Ces deux supports ont donc des moments des moments d'accélération et de stoppage de vitesses contraires et complémentaire. La vitesse la plus rapide de se réalise simultanément au stoppage de l'autre, et cela alternativement. Par conséquent, chaque moyen de support produit un effet de penture autour de l'autre alternativement. Chaque moyen est alternativement encrage, et alternativement penture. Lorsque la pale est reliée à ces moyens, c'est ce qui produit l'effet Boomerang.
En effet, dans l'une des phases de la machine, la mécaniques est à son maximum de puissance à début de la descente, puisque les deux mécaniques sont simultanément en phase de descente, sans contre poussées négatives, telles qu' on les retrouve dans le moteurs standard. Dans toute la section du passage de cette partie supérieur de pale, la mécanique inférieure sert de point d' appui et d' ancrage. Lors de la rotation par poussée sur la seconde face, la poussée est à son maximum en cours de descente, puisque la mécanique supportant la partie centrale située du coté
défensif sert d'ancrage et de pont de pivot à la partie avant. Finalement , lors de la poussée sur la troisième face de pale, les forces sont répartie entre ces poins et il n'y a encore une fois , aucune contre poussée négative. L' on peut donc parler d' ancrage de pointe, et d' encrage de coté, et de penture de pointe, et penture de coté
L' une complétant l'autre La mouvement sinusoïdal est donc pour ainsi dire déformé, et possède des accélération s et décélérations qui augmente la puissance de la machine, qui dans ses montages standard, en possède trop peu. ( Fig.7.8.4) Pariantes de la méthode par Poly induction .
Calibrage de la méthode par poly induction sans contre poussées et égalisation des supports .
L'aspect géométrico mécanique intéressant de la méthode par poly induction est celui de constater une égalité de la répartition des poussées sur la pale, quelles que soient les positions des deux soutiens poly inductifs et cela, en ne réalisant pas de contre poussées. Comme nous l'avons aussi vu, la pale réalise, ce faisant des points d'ancrages réels, ou virtuels, ce qui lui permet de profiter de la dynamique penture.
Égalisation des machines poly inductives.
Comme on a peut le constater, les mécaniques poly inductives travaillent inégalement , du point de vue de leur répartition de poids lorsqu'elle supporte des pales de nombre de coté binaires, et du pointe de vue de leur puissance, lorsqu'elles supportent des pales de nombre pair, par des soutient opposés de pointes.
(Fig.7.8.5) L' on peut calibrer les machines des lors des façons suivantes 1 ) par ensembles de pales complémentaires 2 ) par effet moteur alternatif 3 ) par pales fractionnées Pas ensemble de pales complémentaires Dans la méthode par poly induction de base, comme nous venons de le voir, l'on peut supporter toute machine post rotative par deux supports seulement. (Fig.
8.2) Il est important de noter que ces deux soutient sont opposés non seulement l'un par rapport à l' autre, mais aussi, selon leur emplacement respectif dans la pale , l' un était dans les pointes, et l' autre dans le coté.
L'un donc décrit une course similaire à celle du cylindre et l'autre, est perpendiculaire à celle-ci. Les inductions planétaires sont donc disposées de telle manière de réaliser ces courses.
Dans la réalité strictement figurative , la course décrit par la pale est parfaitement similaire à celle qui serait décrite par mono induction, ou encore à celle que l'on décrirait avec trois soutients poly inductions, situées soit dans les pales, soit dans les cotés.
Mais une analyse plus approfondie de Ia poussée révèles des réalités mécaniques à
fait différentes selon la partie de pale en expansion.
Le couple est très différent pour chaque partie, à tel point que l'on peut parler de partie de pale Compressive, et partie Motrice.
En effet, les poussées égales sur chaque coté de pale, lors de l'expansion révèlent des couples inégaux, puisque, pour certaines parties de pales, les deux moyens de support sont à la fois offensif, alors que pour d' autre, les moyen offensif est contrecarrë par un moyen défensif, en contre poussée, en stoppage.
Par exemple, lorsque la poussée vient du vilebrequin situé dans le centre du coté, la machine est plus motrice, puisque le vilebrequin inférieur, sera momentanément lui de même en phase descendante. Aucune force de stoppage n' agira sur l' un ou l'autre des vilebrequins jusqu'à la fin de l'expansion.

L'explication tient aux positionnements plus concordants des moyens de support de pale relativement à leur course respective. Dans ce dernier cas les deux parties sont offensives tout au long de leur course.
Dans le second cas, l'un des deux moyens de support agit en décélération, et de plus en contre poussée créant du stoppage , ce qui brise totalement l'élan du moyen postérieur.
Dans sa troisième phase la machine est aussi assez défensive.
La puissance de la machine est donc alternativement Motrice et Compressive.
Nous avons aussi montré ce type de réalité pour la machine de Wilson, de même que pour nos semi turbines. Il s'agit là d'une constante de presque toute machine rotative : les parties arrières et avant d'une pale, toujours en partie oscillante, montent et descendent alternativement, ce qui rend difficile le support avant et arrière de celle-ci par des mécaniques de même type, l'un d'entre elle entrant nécessairement en phase de stoppage et de réduction de vitesse et l'autre en phase d' augmentation de vitesse.
Il y a donc, dans la version primaire de machine poly inductive, l'un des cotés de pale soutenu verticalement et les deux autres de façon oblique. C'est ce qui explique les différence de puissance de chacun des coté.
L'on peut donc déduire que cette partie de Ia pale a toujours une explosion offensive, et que les autres sont compressives. L'on pourra donc monter la machine en se servant des deux parties compressives pour emmagasiner les gaz, comme un turbo compresseur, et de la partie motrice, pour l'explosion. C'est ce qui nous appellerons une birotativité alternative.
Dans certaines figuration de pales, notamment celles de nombre pair, l'on pourra réaliser une suite équilibrée de puissance alternativement compressive et Motrice avec une seule pale L'on pourra donc utiliser les parties d'un parle comme turbo compresseur de la partie complémentaire ( Fig.8.2 b L'on pourra donc pour une seule pale, réaliser successivement un effet moteur et un effet compresseur, se servant de ce dernier comme turbo compresseur de la partie complémentaire Motrice de la même pale. L'on pourra en effet produire la machine , en poly induction standard de base , en octroyant aux parties compressives de pale simplement compressives des fonctions simplement compressives, et les parties motrices, produisant l'explosion des gaz ayant été acquis par les parties ) Par pales fractionnées L'on pourra également réaliser les effets pentures en réalisant la machine avec des pales fractionnées. De cette manière, chaque induction postérieure de pale sera indépendante de l'action antérieure de l'autre et pourra par conséquent réaliser son effet penture. (Fig. 8.2 c) . En ce cas, l'on retranchera les faces simplement compressives du triangle initial, et l' on ne conservera que la partie offensive et sa mécanique. L' on répétera l'opération à trois reprises, et l'on reliera les trois parties compressives par la segmentation. Le triangle sera donc fragmentée. C'est ce que l'on appellera par bi rotativité fragmentée.
Dans le cas des machines à pales pairs, l' on pourra limiter la fragmentation assemblant entre elles des pales comprenant elles-mêmes deux pales contraires en une seule.( Fig. 8 d ) Il est à noter que les pales fragmentées et imbriquées, comme toujours, peuvent être réalisées avec toutes les figures de machines. .
Augmentation de la puissance poly inductive Comme nous avons pu le constater, la méthode par poly induction permet une égalisation de la poussée sur la pale avec effet Boomerang , et cela sans contre poussées . L'on peut augmenter la puissance développée par la méthode par poly induction des deux façons suivantes, indépendamment ou simultanément.
Dans la première, que l'on nommera, par polyinduction intermittantes alternatives, l' on améliorera la puissance de l' effet Boomerang en réalisant des encrages réels, et en meilleure disposition d'ouverture, pour chaque coté de pale . Dans la seconde, l'on augmentera la puissance descendante de la pale, en réalisant des mécaniques semi transmittives annulant les contres poussées. C'est ce que l'on nommera les poly induction semi transmittives. L' on notera que l' on a déj à' commenté ce dernier objet antérieurement, et que la présente en donnera des variantes et simplifications.

Retranchement temporaire des fonctions de l 'engrenage Compressif ( en penture antérieure Au niveau de la mécanique, une même induction passe, comme nous l'avons montré dans les semi turbines différentielles, dans sa phase défensive puis dans une phase offensive. Ceci a été géré positivement dans celles-ci, en se servant de cette induction comme induction défensive anti-recul de l'une des deux pales. Dans les machines rotatives, cette phase de l' induction sert d' ancrage à l' effet penture.
L'on s'en servira en effet comme point d'encrage, comme point de penture à
l'effet boomerang. Par ailleurs, comme nous l'avons mentionnée antérieurement, il ne peut y avoir réalisation d'un effet de penture avec trois soutient simultanément. Il y a deux raisons à cela .
La première est la suivante : l'on ne peut évidemment créer un effet penture avec deux pentures sur un même objet. La seconde consiste à remarquer que les deux inductions extérieures d'une induction, au surplus de créer un dédoublement de penture, créent cette seconde penture en une poussée vers l'extérieur, donc contraire au système de rotation de la pale.(Fig.8.3 ) Par ailleurs, si l'on retranche soit l'engrenage postérieur extérieur, ou soit l'engrenages inférieur, l'on observe la poussée recherchée. Par ailleurs, lorsque l'on y regarde plus attentivement, l'on s'aperçoit que lors des positionnements de l'une des précédentes hypothèses produit encore plus de puissance que lors d'un positionnement avec moyens de support opposés.
Une observation similaires peut être faite à partir de soutient dans les cotés, Si l'on retranche l'engrenage antérieur, l'on produit un effet de poussée en penture vers l' extérieur de la rotation désirée. Par contre, si l' on retranche l' un ou l' autre des engrenages extérieur, les effets de penture vers l' intérieur apparaîtront et produiront une grande poussée. (Fig. 8.3 b ) De la même manière que précédemment, l'une des deux inductions offre plus de puissance que les positions en parfaite ligne opposée de la méthodes par poly induction de base.
Élison temporaire des fonctions de couplage.
Dans les dernières explications, nous avons totalement retranché cet engrenage.
Mais ce retranchement ne peut être réalisé définitivement , puisque les moyens de support d'une machine poly inductives occupent successivement des positions es t fonctions différentes en cours de rotation de la machine. Or par ailleurs, lors de la réhabilitation de ses fonction, une autre induction devra être neutraliser, de telle manière d' éviter de perdre l' effet penture, ce qui advient lors d' une réalisation créant des contre poussées La méthode par élision doit donc être alternative, de telle maniére de neutraliser le couplage des partes durant dans cette partie de son tournage en lesquels ils sont en contre poussée, et en lesquels ils empêchent la réalisation de la l 'effet penture.
L 'effet penture avec plus de deux soutients L'on pourra donc réaliser la méthode par poly induction à double pôles avec plusieurs moyens d'induction et conserver l'effet penture Boomerang, dans la mesure où la neutralisation des moyens en contre poussé est réalise de manière à
permettre les induction de se réaliser de façon alternative Pour réaliser l'effet Boomerang pour chacune des faces d'une pale, il faudra tout d'abord monter la pale sur un ensemble poly inductif dont le nombre de moyens de support sera égal ou supérieur au nombre de coté de pale permettant cette alternance , à savoir trois.
L'on pourra choisir des emplacement différents, soit les pointes, les cotés, les emplacement médiants, qui bien que parcourant des courses de support différentes, réalisent la même forme résultante de cylindre.
Comme nous l'avons déjà mentionné, l'effet de penture n'est possible qu'avec une poly induction à deux moyens de support. Par conséquent les soutient en trois partie ne pourront être des soutient en poly induction standard. Pour réaliser deux soutiens effectàfs avec trois soutient matériel, nous utiliserons ce que l ôn pourrait appeler une poly induction alternative et successive. Cet effet de penture allonge la portée du vilebrequin qui se fait d'une induction à l,autre. Lorsque réalise à
plus de deux support effectif, la sommes des vilebrequin n'est pas opérante.
En effet pour réaliser ces deux conditions simultanément, il faut par conséquent retrancher alternativement l'un des moyens de support. Il faut aussi faire jouer alternativement le rôle de moyen de penture et moyen de poussée aux moyens de support.
Cette procédure, d'apparence compliquée, peut, par chance, ëtre réalisée de faon fort simple, tout simplement en retranchant, dans certains endroits précis, non pas le moyen de support en tant que tel, mais simplement une partie de celui-ci .
Le précédé consistera simplement à retrancher le couplage des parties, par exemple des engrenages, par exemple de support, leur capacité de couplage, à savoir leurs dents.

L'annulation des capacités de couplage de l'un des moyens de support équivaudra à un retranchement temporaire de l'induction. Lors de la réalisation de la machine avec une pale soutenue par les pointes, le retranchement temporaire des fonctions inductives retranche de l' un des moyens de support extérieur offensif , soit supérieur ou soit l'engrenages inférieur, permet de réaliser la poussée recherchée.
Une observation similaires peut être faite à partir de soutient dans les cotés, Si l'on retranche le moyen supérieur, la pale est soutenue de façon parallèle à la poussée, et produit un effet de poussée en penture vers l' extérieur de la rotation désirée.Par contre, si l'on retranche l'un ou l'autre des engrenages extérieur, les effets de penture vers l' intérieur apparaîtront et produiront une grande poussée. (Fig.
8.3 b ) La même chose se produit dan les soutient en position médiane. L'on ne peut soustraire le moyen d'encrage, la penture, mais la soustraction de l'un des engrenages complémentaire produit une poussée puissante.
Ici , le découplage des parties est réalisé en soustrayant des dents à
l'engrenage de supporx Par ailleurs, il est évident que ls fonctions des moyens ne peuvent être soustraites que temporairement , et en conséquence seulement une partie des dents des engrenages est retranché. Les engrenages d'induction se voient donc dan cette méthode plus sophistiquée attribué non seulement des fonction différentes, mais aussi des fonction versatiles, puisque selon leur position ils deviendront tour ; à tour et alternativement , engrenage offensif, engrenage libre et engrenage d'armement , de penture.
Conservation des rapports de tournage La façon la plus simple sera de retrancher le couplage dans un cadran donné
est, comme nous venons de la voir, de retrancher les dents de l'un des engrenages, par exemple de l'engrenage de supporx C'est ce que nous avons précédemment fait pour les supports successifs de polyturbines. L'engrenage d'induction n'aura, pendant ce passage, par conséquent aucune fonction inductive, et la pale sera motivée strictement par ses inductions du coté complémentaire, à ce retrait, ce qui en assurera la rotativité Boomerang L'engrenage de support dont les fonctions de couplage seront soustraites momentanément conservera sa rotation, mais elle ne lui viendra pas, durant cette période, de son couplage à l'engrenage de support, mais du couplage de sont excentrique ou maneton à la pale, qui elle-même est totalement contrôlée pare les inductions complémentaire. ( Fig.8 4) La conservation des bons rapports géométrique sera donc réalisée.
Après une partie de la rotation, chacune des fonctions des engrenages seront transférées aux engrenages complémentaires. L'engrenage offensif, ou moyen de support offensif, pourra par exemple devenir libre, l'engrenage et moyen de support libre en ancrage. Finalement, l' engrenage et son moyen d' encrage d' ancrage deviendront encrage et moyen de support offensif. Plusieurs variantes sont possibles selon le choix de l'engrenage momentanément découplé.
Le travail offensif de la pale, sur toute sa surface et dans le sens de la poussé des fera donc. La soustraction momentanée de l'encrage en poussée extérieure produira un déséquilibre offensif dans la machine, comme la partie basse de la bielle d'un moteur à piston qui choisit un seul coté de direction. (Fig. 8.5) L'on notera que les retranchements de couplage seront à des endroits différent selon qu'il s'agit d'un support par les pointes ou par les cotés.
Autres méthodes de retranchement temporaire du couplage Par ailleurs, les dentes de l'engrenage de support peuvent ne par être retranchées totalement. L'on peut en effet simplement en retrancher suffisamment de matériel de celui-ci pour annuler la rigueur du couplage de ceux-ci. En faisant cela, l'on conservera Ie couplage de ces deux engrenages, mais en même temps on Ie rendra suffisamment libre pour qu' il soit totalement inactif, au point de vue de la poussée, qui ne sera alors assuré que par les deux pôles d'induction complémentaire. La machine sera donc, durant cette période, soutenue de façon non Compressive, mais plutôt Motrice, puisque les pôles de soutient seront ceux du coté
complémentaire, comportant un encrage et un pole complémentaire Lors de sa rentrée en phase offensive, les dents de l'engrenage de support seront à
nouveau normalisées, et ce seront les dents de la partie opposée qui produiront le nouvel effet d'élision momentané des fonctions compressives de l'engrenage antérieur recherchées.
De même, l' on pourra plutôt retrancher des dents sur l' engrenage d' induction.
D'une autre manière, l'on pourra garder les engrenages couplés, et ayant muni pale et soutien d'une coulisse, neutraliser l'effet de couplage par celle-ci.
Plusieurs méthodes peuvent être réalise. L'important est de considérer que l'application d'un méthode neutralise les effets néfastes de l'un des engrenages offensif et permet l'effet de penture.
Toutes les figures de machines de tout nombre de coté , et tout autant post rotative que rétrorotative pourront voir leur poly induction recevoir le même traitement.
Dans les figures à pale en quatre cotés, lorsque les pales sont raccordées par les centres, les figures travaillent alternativement à partir des encrages de points et des encrages de coté.
L'on notera que les engrenages seront donc successivement couplés et non couplés à l' engrenage de support de telle manière qu' il y en ait toujours minimalement deux moyens de support effectifs, ce qui assure le plein maintient positionnel et orientationnel de la pale. Par conséquent, pendant le laps de temps qu'un engrenage d'induction n'est plus couplé à son engrenage de support, ce sont les deux engrenages de d' induction complémentaire, combinée à la pale qui assurent sont tournage, pour ainsi dire dans le vide. C'est pourquoi, lors du retour de dents, le positionnement de l'engrenage d'induction continu d'être parfaitement exact, et permet à l' engrenage d' induction suivant d' être momentanément mis hors de couplage. Le mouvement total de la machine est par conséquent assuré
continuellement, par le relais des engrenages, de telle manière que les contre forces soient évacuées, et que les force s'exécutent avec plus de puissance.
Cette alternance des moyens de commande des pales est une autre manière efficace de que les machines rotatives ne peuvent pas être montées de façon mono inductive sans créer de contre forces nuisibles, lesquelles contre forces peuvent être évacuées par un traitement bi rotative, ici alternatif des machines.
Par la suite, la méthode par élision pourra être appliquée aux supports par les pointes, en soustrayant momentanément l' action néfaste des moyens de support arrière postérieur.
Cette méthode par élision pourra aussi être applique à toute figure de machines rétrorotative et post rotative. Dans cette méthode, comme dans la méthode par soutient exclusif de cotés, une contre poussée est réalisée dans les cadran antérieurs au moments maximaux de la pale. L'on procédera par élision partielle des mécaniques créant des contre poussée en retranchant des dents, soit aux engrenages de support, soit aux engrenages d'induction .En effet, il s'agit de retrancher les effets mécaniques de l' un des points de support à la fois, pour ne conserver que les points de support les plus puissants, qui sont en général les points d'encrages de pointe et son opposé, et le point d'encrage de coté et son opposé.
Cette alternance des moyens de commande des pales est une autre manière efficace de que les machines rotatives ne peuvent pas être montées de façon mono inductive sans créer de contre forces nuisibles, lesquelles contre forces peuvent être évacuées par un traitement bi rotative, ici alternatif des machines.
Par la suite, la méthode par élision pourra être appliquée aux supports par les pointes, en soustrayant momentanément l'action néfaste des moyens de support en penture extérieure.
Cette méthode par élision pourra aussi être applique à toute figure de machines rétrorotative et post rotative. Dans cette méthode, comme dans la méthode par soutient exclusif de cotés, une contre poussée est réalisée dans les cadran antérieurs au moments maximaux de la pale. L'on procédera par élision partielle des mécaniques créant des contre poussée en retranchant des dents, soit aux engrenages de support, soit aux engrenages d' induction .En effet, il s' agit de retrancher les effets mécaniques de l'un des points de support à la fois, pour ne conserver que les points de support les plus puissants, qui sont en général les points d'encrages de pointe et son opposé, et le point d'encrage de coté et son opposé.
L'on doit noter que le retrait total des dents n'est pas obligatoire. C'et leur retrait fonctionnel qui est important Les dents peuvent donc simplement être amenuisées.
D'une autre manière l'on pourra simplement réaliser l'un des engrenages de façon aplanie, ce qui retranchera momentanément le travail des dents. Toutes ces façons sont bonnes, et ces dernière permettent plus facilement un remontage e la machine.
Contrôle de 1 'engrenage libre Les engrenages seront donc successivement couplés et non couplés à l'engrenage de support de telle manière qu'il y en ait toujours minimalement deux d'entre eux qui le soient, ce qui assure le plein maintient positionnel et orientationnel de la pale. Par conséquent, pendant le laps de temps qu' un engrenage d' induction n' est plus couplé à son engrenage de support, ce sont les deux engrenages de d' induction complémentaire, combinée à la pale qui assurent sont tournage, pour ainsi dire dans le vide. C'est pourquoi, lors du retour de dents, le positionnement de l'engrenage d' induction continu d' être parfaitement exact, et permet à l' engrenage d' induction suivant d'être momentanément mis hors de couplage. Le mouvement total de la machine est par conséquent assuré continuellement, par le relais des engrenages, de telle manière que les contre forces soient évacuées, et que les force s' exécutent avec plus de puissance.
Moteurs orbitaux rotatifs Finalement , les divers emplacements de positons possibles de lieu de support différents non apprennent que lors des montages à plusieurs pale, un peu à la manières des moteurs orbitaux à pistons, plusieurs pales peuvent être placées su un même ensemble mécanique et sur de même vilebrequin secondaires. Pour chaque pale l'on aura alors des emplacements de points de supports différents, et des angles de cylindres différents. (Fig.8.5.2 ) Il faut aussi ajouter que les élisions sont possibles pour toute mécaniques comportant trois supports et plus dans les machines ne pouvant travailler, comme nous l'avons montré en poly induction, qu'avec strictement deux supports.. Par exemple, l'on devra augmenter le nombre natures de soutient de pale simplement binaire, de telle manière de pouvoir produire l'élision des moyens de support en contre poussée. Quant aux figures de pales à quatre cotés, l'on aura quatre pôles dont deux seront à la fois élisés.
Pour les figures à plus de cotés, par exemple six, trois pôles seront suffisants.
Certaines figures, par exemple de pale à cinq cotés sont plus ambivalentes En résumé, la méthode par poly induction de base, à double support, appliquée à
des figures pales de trois cotés et plus produit façon naturelle les élisions des parties négatives, soit postérieure, soit antérieur. C'est ce qui explique sa puissance.
Elle le fait cependant différemment pour chaque cotë de pale. Dans les structures par élision dynamiques, elle le fait de même façon pour chaque coté de pale..
A la limite, I'on doit noter que l'on peut produire la machine avec six soutients, dont quatre seront toujours alternativement en élision. De cette manière, l'on réalisera pour chaque coté de pale, les deux types d'ancrages de point et de coté. La machine agira donc en double penture successive. C'est bien entendu cette version qui respecte le plus parfaitement la forme boomerang imagée précédemment dans les réalisation par engrenages polycamés limites.
De quel engrenage est il préférable de produire l 'élision temporaire Comme nous l'avons vu, l'on ne peut retrancher le travail de l'engrenage antérieur, qui sert d'encrage, de penture. L'on peut retrancher l'une des autres. Une meilleure compréhension du couple de ceux-ci permettra d'établir ce choix.
Pour bien comprendre cela, il faut saisir qu'en matière de poly induction le couple total d'un moyen de support est tout simplement la somme du couple de ses vilebrequins maître et vilebrequin secondaire Il faut ensuite comprendre que le couple sur la pale est équivalent au couple résultant des couples de chaque moyen de support ainsi calculé.
En isolant une pointe de pale triangulaire, et en observant le couple de l'un des moyens de support y étant disposé, l'on observera que lorsque la pale est en phase d'explosion , les deux vilebrequins sont à la fois perpendiculaires à la pale.
C'est le temps mort du système. Lors de l'amorce de la descente, le vilebrequin secondaire amorce son angulation de façon accéléré. Le couple encore faible du vilebrequin maître est augmenté par le couple du vilebrequin secondaire. Si l' on regarde ensuite le système lors de la mi-descente, les deux vilebrequins sont dans un angulation assez forte. Le couple de plus puissant se situe environ aux au deux tiers. La fin de la poussée peu après D'une autre manière, si l'on observe simultanément le couple sur la partie antérieur de la pale, l'on constatera le chevauchement. En effet, vers le bas de la descente, l'on s'aperçoit que cette partie de pale constitue à la fois la partie arrière de la prochaine pale. Si nous suivons le développement de l'amorce de la descente pour cette partie, mous constatons que celle ci est très négative. Le couple du vilebrequin supérieur faible, n' arrive pas à lutter contre la poussée vers l' extérieur du système.
Ce couple et contre couple, sur la partie antérieur de la pale durera le deux tiers de la descente, ce qui annulera une grande parie du couple avant.
En fait, si l'on calcule le couple de cette machine, l'on en arrive à peu près à celui des vilebrequins secondaires, pris isolément. La capacité de la machine est comparable à celle d'un moteur ne tournant que sur ceux-ci . C'est pourquoi nos disons que la machine est montée dans sa version compressive, et a peu de rendement comme moteur. L'on se retrouve dans une situation similaire à celle des moteurs en mono induction, en laquelle chaque face est comparable à un mirai piston.
En disposant les vilebrequin dans le sens des cotés, comme nous l' avons fait en partie dans les moteurs à poly induction, l' on peut observer beaucoup moins de contre forces et plus de puissance. Cela s'explique par principalement trois choses.
Au haut de la montée, l'on est bien entendu au point mort. En amorce de descente, l'angulation débute, mais cette fois-ci , sans contre force mécanique sur le vilebrequin arrière . En mi descente, les deux vilebrequins comme précédemment additionnent leur forces, mais cette fois-ci , l'ancrage antérieur est en position parfaitement contraire, et est par conséquent presque immobile. Toute Ia force est par conséquent projetée vers l'avant. Le moteur produit une action motrice de beaucoup supérieure. L' on notera que la cours des vilebrequin est verticale, par conséquent plus perpendiculaire à la poussée.
La méthode par soutient dans les coins est un bel exemple de construction de mécanique répondant d'abord de la volonté de suivre la forme, latérale, et de faire tourner circulairement. La mécanique de soutient par les centres, entend plus récupérer l'effet descendant de la pale, rappelant celle du piston. Le moteur est aussi plus puissant parce que c'est l'encrage de coté qui, produit en cours de descente, force l'addition réelle des vilebrequins. Le mouvement est des lors large et reçoit entièrement la pale comme si elle était un gros piston.
La machine pourra être soutenue par ces six moyens simultanément, dont quatre en élision, de telle manière de réaliser dans la même machine , encrage de pointe et encrage de cotés.
Dans la pratique, si l'on entend supporter les trois cotés de pale de cette manière, l'on se retrouve avec trois supports, deux supports à la fois servant à
supporter le coté de pale complémentaire. Pour s'assurer que ce ne seront que ceux-ci qui travailleront l'on produira une élision des engrenage du support complémentaire, ou encore de la partie d' engrenage de support complémentaire.
L'exemple le plus simple consiste donc à retrancher les dents de l'engrenage de support dans ses parties supérieure et inférieure. Par conséquent, les deux seuls engrenages complémentaires travailleront en cours de descente, et ce jusqu'à
ce que l' engrenage postérieur devienne lui-même au bas, en position maximale. Des les nouveaux engrenages complémentaire reviendront actif, et cet engrenage ne sera plus couplé à l'engrenage de support. (Fig. 8.6) Double penture et structure par mécaniques successives polycamées Comme nous l'avons vu jusqu'ici, l'on peut polycamer les mono inductions de telle manière de réaliser deux point d' encrages différente, l' un de coté, l' autre de pointe.
L'on pourra réaliser des combinaisons d'engrenages extérieurs intérieurs permettant de réaliser simultanément ces points. A la limite, et de façon imagée, l'engrenage de pale d'une machine standard aura six dentes, et son engrenage de support quatre.
Les engrenages seront inversés dans le moteur triangulaire. La forme des engrenages sera, lorsque réalisées avec plusieurs dents pour ainsi dire interne externe, ce qui indique une fois de plus la nature birotative de la machine.
(Fig.
8.7 a 1 Pour réaliser les doubles pentures, il faudra utiliser à la fois les inductions de pointes et de support et faire travailler successivement les induction deux par deux.
(Fig.8.7 b ) Généralisation de la poly induction à double inductions successives Bien entendu ici, la figure la plus connue de machine rotative est utilisée, de même que le type de support le plus usuel. L'on doit noter que cette méthode d'induction s' applique à toutes les figures, autant rétro rotatives que post rotatives.
De même il s'applique avec d'autres types de poly induction, par exemple par engrenage pignon, par double engrenage cerceau, lorsque réalisée de façon semi transmittive.
L'on notera , au surplus que les mécaniques par élisions s'appliquent aussi aux cylindres rotor et aux pales Clokwise L' on doit noter que le retrait total des dents n' est pas obligatoire. C' et leur retrait fonctionnel qui est important Les dents peuvent donc simplement être amenuisées.
D' une autre manière l' on pourra simplement réaliser l' un des engrenages de façon aplanie, ce qui retranchera momentanément le travail des dents. Toutes ces façons sont bonnes, et ces dernière permettent plus facilement un remontage e la machine.
Moteurs orbitalo-rotatifs Finalement , les divers emplacements de positons possibles de lieu de support différents non apprennent que lors des montages à plusieurs pale, un peu à la manières des moteurs orbitaux à pistons, plusieurs pales peuvent être placées sur un même ensemble mécanique et sur de même vilebrequin secondaires. Pour chaque pale l'on aura alors des emplacements de points de supports différents, et des angles de cylindres différents. (Fig. 8.8 ) Considérations générales Il faut aussi ajouter que les élisions sont possibles pour toute mécaniques comportant trois supports et plus dans les machines ne pouvant travailler, comme nous l' avons montré en poly induction, qu' avec strictement deux supports.
Les applications des présentes doivent être adaptées aux différentes figures de machines rotatives. Par exemple, l'on devra augmenter le nombre natures de soutient de pale simplement binaire, de telle manière de pouvoir produire l'élision des moyens de support en contre poussée.
Quant aux figures de pales à quatre cotés, l'on aura quatre pôles dont deux seront à
la fois élisés.
Pour les figures à plus de cotés, par exemple six, trois pôles seront suffisants.
Certaines figures, par exemple de pale à cinq cotés sont plus ambivalentes En résumé, la méthode par poly induction de base, à double support, appliquée à
des figures pales de trois cotés et plus produit façon naturelle les élisions des parties négatives, soit postérieure, soit antérieur. C'est ce qui explique sa puissance.
Elle le fait cependant différemment pour chaque coté de pale. Dans les structures par élision dynamiques, elle le fait de même façon pour chaque coté de pale..
A la limite, l'on doit noter que l'on peut produire la machine avec six soutients, dont quatre seront toujours alternativement en élision. De cette manière, l'on réalisera pour chaque coté de pale, les deux types d'ancrages de point et de coté. La machine agira donc en double penture successive. C'est bien entendu cette version qui respecte le plus parfaitement la forme boomerang imagée précédemment dans les réalisation par engrenages polycamés limites.
En effet, lorsque réalisée par poly induction à trois supports à commande alternative, ce sera le support avant qui servira d' ancrage, et par conséquent la machine sera très puissante, puisque son l'aspect birotatif de son cylindre ballon assurera une explosion non seulement tardive, mais aussi verticale et en penture. La même chose se vérifie pour les machines rétrorotqtives, qui pourront dès lors recevoir de mécaniques post rotatives.
Polycamation des structures élisées Nous avons déjà montré dans nos travaux antérieur qu'une pièces pouvait être tenue par le centre d'engrenages polycamé puisque ces centres respectent entre eux les principes d' équidistance. Dès lors, l' es machine à induiction alternatives peuvent être déalisées en polycamation ( Fig.8.9) Birotativité géométrique et Semi- transmission Dans nos travaux antérieurs nous avons montré que l'addition d'une partie géométrique permettait de changer le niveau ou la nature d'une induction.
L'exemple le plus probant est celui de la semi turbine de Wilson, que nous avons mécanisés par une poly induction rétrorotatives avec addition de bielles de géométries , pour ensuite montrer que l,on pouvait réaliser une forme similaire par une mécanique post rotative, cette fois-ci cependant en ajoutant une soustraction géométrique, aussi par une bielle.
L'usage de bielle de géométrie permet donc aussi de faire passer la machine de machine Compressive à machine Motrice. L'on sait par exemple que, pour une même mécanique, si l'on grossi la pale, la forme du cylindre sera plus douce.
Inversement, pour une grossissement de mécanique la forme du cylindre pourra être plus aigue.
De même en poly induction, si l' on augmente la longueur de l' induction supérieure, en ajoutant une bielle de géométrie, l'on pourra diminuer la grosseur du vilebrequin maître sans changer la forme du cylindre .
L'on peut donc imaginer une poly induction de base dont le vilebrequin maître seraient, chaque coté de grosseur différente, et qui sera complété par un moyen d' induction aussi de grosseur différente. Par exemple, si la portés du vilebrequin de l' induction de coté est plus petite, l' on allongera la longueur de la portée du vilebrequin secondaire, en dehors de la circonférence de son engrenage d' induction. Dans le cas présent, l' effet de penture boomerang sera maintenu et améliorë. (Fig. 9.1 ) Une autre utilisation des additions géométriques par bielles de géométrie est dans la réalisation par support de pointes. Comme précédemment l'on réalisera les vilebrequins de centre de telle manière qu' ils soient plus petite et l' on compensera cela par l' ajout de bielle de géométrie au moyens d' induction. D,es lors , puisque la bielle de géométrie sera dune longueur supérieure au rayon de l'engrenage d'induction , le blocage de ce moyen , lorsque la pale est reliée à
l,intérieur de l'engrenage sera retranché, et même la partie arrière de la pale sera active.
En faisant cela, en effet, l'on ajoute un bras de levier quasi transmittif qui produit plus de force montante que descendante, et qui par conséquent fait remonter le vilebrequin maître contre sa propre poussée. La puissance relative à cette poussée sera réduite, mais ne sera pas une contre poussée.(Fig.9. l b ) Comme on a ou le constater, la combinaison de la positon des vilebrequins maître et secondaire se combine pour réaliser le couple.
Comme on l'a vu aussi, puisque le vilebrequin maître travail plus lentement, il est plus long à sortir de son point mort. D'autre part, comme on l'a aussi fait remarquer, les angulations négatives, à la fois pour les vilebrequins maître et secondaire créent des contre forces.
Dans les deux cas les déplacements des vilebrequins maître peuvent donc soit contrer les effets négatifs, soit améliorer les effets positifs.
En effet, dans nos descriptions antérieures, nous avons montré que l'on pouvait aller plus loin, en dynamisant l' engrenage de support de ce type de méthode de soutient. Cela a permis, non seulement d'annuler, comme dans le cas de la méthode précédente, la contre poussée sur la partie arrière de la pale, mais plus de transformer cette poussée en poussée réelle sur le vilebrequin. L'on a pu réaliser cette méthode en contrôlant la dynamique de l'engrenage de support par diverses semi transmission par, par engrenages juxtaposés, par engrenages pignons, par engrenages interne. (Fig.9.2) En résumé
Addition de bielle de géométrie Un intérêt important de la poly induction est de pouvoir procurer aux concepteur de machines une deuxième axe permettant de proportionner adéquatement la machine.
Dans un premier temps, comme nous havons déjà fait remarquer, le grossisement de la pale pour une même mécanique adoucit la forme. Par ailleurs l'allongement du vilebrequin d'induction la rend plus gigue. Partant de ces constats, l'on peut ajouter à l'induction une bielle de géométrie et réduire la grosseur du vilebrequin maitre sans changer la courbure de la machine. Cette procédure transforme la machine en une machine de second degré, semi transmissitive. En effet, la force réalisée sur le moyen de support sera dès lors supérieur e à la contre force offerte.
La pale sera donc descendante , même de son coté défensif. L'addition de bielle de géométrie à des mécaniques déjà semi transmissives, réduiront encore davantages les contre poussées. ( Fig.9.3 ) Génëralisation des augmentations de degré par semi transmission Comme nous l' avons vu antérieurement , la birotativité peut être réalisé par poly induction . Nous avons aussi montré qu'elle pouvait être réalise par semi-transmission. Les deux cas de figure mis en évidence ont été les semi transmission de mono induction, et les semi transmission de poly induction .( fig. 9.2 ) Dans le premier cas l'on a voulu récupérer la puissance produite par l'explosion sur la partie arrière de la pale, la faisant ainsi travailler sur toute sa longueur, réalisant par la sa birotativité
Dans le second cas, l'on a voulu non pas réaliser alternativement une induction post rotative Motrice et Compressive, mais plutôt, pour chaque induction , réaliser une structure bi-rotative, incluant à la fois une structure post rotative, et une structure rétrorotative.
Ces notions antérieurement été définies par nous même, la présente à
simplement pour objet d'en préciser l'interprétation, et d'en donner les variances.
Interprétation des méthodes par semi transmission Il est important pour une meilleure compréhension de nos travaux de comprendre les semi transmission accélératives ou inversives comme des inductions pouvant être retournées sur elles-mêmes. Cette interprétation permettra de rationaliser plus facilement les montages faisant intervenir plusieurs parties dynamiques différentes, notamment les divers montages à mouvement Clokwise de pale.
Donnons quelques exemples. L' on peut, comme nous l' avons montré
antérieurement par la méthode par engrenages pignons, motiver un pale soit directement, ou soit par le recours à son engrenage de support interne, ou soit encore par le recours à ses vilebrequins subsidiaires.
(fig.lOABC) L'on peut également faire en sorte que les deux éléments à motiver aient un même centre. En ce cas l'induction est virée sur elle-même. Il est donc important de considérer cette méthode de mécanisation indifféremment comme une semi transmission ou induction virée sur elle-même. Cette interprétation découle directement de nos propos selon lesquels les inductions peuvent être combinées entre elles non seulement en hauteur, mais aussi de façon juxtaposée.
Cette mise en évidence d' une meilleure interprétation permet de mieux comprendre les combinaisons intervenues lors de la réalisation des machines à poly induction de second degré, puisque la semi transmission, indépendamment du nombre de pièces confondues avec l' induction principale, doit être considérée comme une induction supplémentaire augmentant le degré de la machine et lui donnant une nature en double articulation.
En effet, l'on peut par exemple assimiler la semi-transmission par engrenages juxtaposés, à une induction par engrenage intermédiaire, ou par engrenage talon, virée sur elle-même (Fig. 10 b) L'on peut aussi considérer comme une semi transmission la méthode par engrenage pignon comme un méthode par engrenage pignon virée sur elle-même.
(Fig.lOc) Ces interprétations permettent de mieux saisir les combinaisons d'induction rétrorotatives aux inductions post rotatives, ce qui rend définitivement les machines d'un degré supérieur.
Dans le premier cas en effet, l'engrenage de support dynamique est l'équivalent de l'engrenage d'induction d'une mono induction rétrorotative.Au lieu de soutenir la pale, comme il le ferait dans une machine rétro rotative, il sert ici d'engrenage de support de l' induction de poly induction. (Fig. 11 a) Dans le second cas, la même chose se produit. L' induction par engrenage pignon, pourrait, si elle commande directement la pale, munie d'un engrenage externe, réaliser une machine rétrorotative, et si elle commande un engrenage de pale interne une machine post rotative.
Ici, comme précédemment, l'engrenage d'induction est à la fois engrenage de support dynamique de la poly induction. (Fig. 11 b ) Dernièrement , si les engrenages sont juxtaposés, similairement à la méthode par engrenage talon, encore une fois, l'engrenage d'induction de la première induction sert d'engrenage de support dynamique de la seconde (Fig. 11 c) Types de semi tranmissions Les trois principaux types de transmission sont les serai transmission accélératives-décélératives , les serai transmission inversives, les serai transmission combinées accélératives décélératives, et inversives à la fois. ) Chacune d'entre elles peut-être réalisée par combinaison d'engrenages externes, externes internes, pignons. Comme nous l'avons déjà mentionné, puisque les serai transmissions sont des inductions virées sur leur centre, il y a par conséquent autant de serai transmissions possibles que d' inductions. Nous ne présentons ici que les principales, dont l'ensemble a déjà été exposé par nous-même Les serai transmissions accéléro décélératives, comportent généralement un engrenage de support et un engrenage d'induction de même centre et tous deux externes ou internes, reliées entre eux par un double d'engrenages d'accélération, aussi de même type. (Fig.12. a) Si l' on a un engrenage de support et d' induction de type différent, les engrenages d'accélération seront aussi différents.( fig.l2. b ) Ainsi , le couple engrenage d' induction et engrenage de support , dont l,un est interne et l'autre externe sera couplé par un duo d'engrenages aussi de type différents .
Les serai transmission accélérative-décélératives peuvent aussi être réalisées par engrenages pignons , en utilisant des engrenages pignons de support et d' induction, couplées entre eux par un engrenage pignon monté sur un axe lui-même en rotation circulaire.. ( Fig.l2 c) Les serai transmission strictement inversives, sont plus facilement réalisables avec ensemble d'engrenages pignons de même grosseur. (Fig. 13) Une première manière de réaliser les serai transmissions accélératives et simultanément inversives, sera de monter l'ensemble avec des engrenages d' induction et de support seront à la fois de grosseur et de type différent, ce qui entraînera l'inversion et l'accélération-décélération..
Par exemple l'on couplera un engrenage interne et un engrenage externe de différente grosseur par le recours à un engrenage de lien. L'on pourra aussi réaliser ces doubles fonctions avec l' aide d' engrenages pignons de différentes grosseurs, couplée par des engrenages aussi de différentes grosseurs.

L'on pourra donc avoir des mécanisations de support de pales, par exemple, de type poly inductif à engrenage central dynamique, différents selon leur type de serai transmission . (Fig. 14) Démonstration par la méthode par poly induction par engrenage pignons Comme nous l'avons déjà montré, l'on peut aussi réaliser les méthodes par engrenages pignons. Par exemple, la méthode par engrenage central post actif, pourra être aussi non pas réalisée par double d'engrenage externes, mais par engrenage pignons.
De même, l'on peut sauver de l'espace, lors de la réalisation de la méthode par poly induction, par engrenage pignon. (Fig. 15 ) mais cette réalisation est similaire, non pas à la méthode par poly induction standard, mais plutôt à la méthode par poly induction serai transmittive.
L'on pourrait augmenter de façon supplémentaire la puissance et le degré de la machine en munissant l' engrenage d' induction de telle manière qu' il devïenne lui-même l'engrenage de support dynamique d'une machine dont la pale sera cette fois-ci munie d'un engrenage interne.
Résumé
En résumé l'on peut armer que la poly induction à trois pôles dynamique, soit par alternance ou par serai transmission permet, par deux de ces pôles de récupérer l 'effet sortant de la pale, et par le prochain ensemble de deux , récupérer l 'effet rentrant.
Cette façon successive, ou bimécanique de traiter la machine non seulement empéche la création de contre poussées, mais au surplus permet de gérer les poussées, comme on le verra plus loin, par des design de pale, changeant dynamiquement la poussée de l 'explosion, rendant cette poussée rotativo rectiligne, et non pas simplement rectiligne, comme c ést le cas dans les machine mono rotatives.

Généralisation de la méthode par Augmentation de degrés par jumelage de méthodes Nous avons déjà montré qu'une autre façon de réaliser les machines de façon birotative était d' utiliser en complémentarité opposé sur une même pale, deux méthodes de support, par exemple par engrenage intermédiaire antérieur et postérieur (Fig.l6 ) Cette birotativité peut être obtenue en jumelant plusieurs méthodes, antérieurement et postérieurement à la pale, mais aussi inférieurement, et postérieurement. Par exemple, l'on pourra jumeler un soutien par engrenage intermédiaire à une soutient par engrenage cerceau. , ou tout autre duo de toute méthode de support complémentaire.
Méthodes égalisant les poussées antérieures et postérieures sur la pale, en pale non oscillatoire Modification par cylindre rotor ( Double articulation par soustraction géométrique ) Nous avons déjà montré relativement aux poly turbines que la forme du cylindre obtenue est birotative, puisqu'il fait participer deux inductions étagées rétrorotatives et post rotatives simultanément. D'un point de vue géométrique, l'on assiste à la transformation d'une droite, forme égales sur ses deux cotés, en cercle.
(Fig. 17) Une autre façon de réaliser la courbure désirée est d'augmenter géométriquement une structure rétrorotative suffisamment pour qu'elle dépasse le mouvement post rotatif du vilebrequin central, par ce que l'on a appelé une bielle de géométrie. Une autre façon est au contraire en soustrayant un certain quantum de vitesse à une mécanique post rotative. De la même manière , si l'on réalise des machine post rotatives ou rétro rotatives dont la pale est plus petite que l' induction, la forme aura une soustraction géométrique et par conséquent un certain quantum de rétrorotativité. C'est ce qui se passe lors de la réalisation de la machine par cylindre rotor. L'on peut comme nous l'avons déjà mentionné augmenter le degré
de la machine en réalisant celle-ci avec pale fixe et avec cylindre rotor planétaire (Fig.lB) Cette procédure augment la capacité de la machine de plusieurs façon.
Principalement, elle permet de réaliser la machine avec une partie compressive décentrée par rapport à son centre de tournage et par rapport à son armement en cours de descente. De fait l' armement de ces dispositions de machines se trouve , par exemple dans la méthode de mono induction à l,extérieur des parties compressives, ce qui corrige totalement son inclusion à l'intérieur dans les montages de Wankle. Cet armement peut dès lors remplir des fonction d'appuie levier penture de la partie compressive. Comme cet armement est à l'extérieur, l'on ne retrouve plus de contre poussées sur la pale, et la totalité de celle-ci, comme la surface d'un piston conventionnel, peut agir offensivement Ensuite, elle permet de bénéficier d'un effet latéral sur la partie compressive. Finalement elle permet de réaliser des rapports de tournage des engrenages non plus en fonction du nombre de coté de pale, mais plutôt en rapport avec celui du cylindre rotor. Celui rééquilibre les ratios de longueur de vilebrequin et de chambre d'explosion et de compression de meilleure manière. La conduite planétaire du cylindre rotor peut être réalisée avec toutes le inductions de premier degré. Cependant, si cette méthode de conduite de la pale est avec poly induction, ou encore par semi transmission ou par engrenage polycamés, la machine sera d'un degré moteur supérieur, et toute la surface de poussée sur la partie compressive sera motrice.
Modification par mouvement clokwise (double articulation réalisées par redistribution géométrico dynamique à partir de l'observation absolue ) Comme précédemment, le mouvement Clokwise de la pale peut être réalisé par toutes les méthodes déjà répertoriées par nous-même, sauf celle par mono induction. Dans tous les cas, il s'agit de réaliser l'engrenage de support de grosseur égale à l' engrenage d' induction. L' on peut par la suite commander la rétrorotation de la pale par semi- transmission ou induction virée sur elle-même. L'on verra plus loin que l'on peut aussi dynamiser l'engrenage de support et y raccorder le cylindre. Pour le moment spécifions simplement l' interprétation correcte des rapports de la méthode par poly induction et de la méthode par pale clokwise.
Dans cet arrangement, la méthode par poly induction est redistribuée de telle manière que l'armement ne soit plus l'engrenage de support, mais plutôt les axes de support des vilebrequins subsidiaires. (Fig. 19) Cet arrangement a aussi la capacité
de réaliser simultanément les fonctions de semi transmission virée sur elle-même.
Deux inductions, l'une allant vers la pale, et l'autre vers le cylindre traversent la même mécanique dans les deux sens. Cela permet de réaliser une énorme économie de pièces. L'on verra en effet que l'orque les deux inductions de pale et de cylindre sont indépendantes, ou moins confondues, le nombre des pièces est augmenté.
Mais, comme précédemment les acquis d'augmentation d'efficacité de la poly induction sont ici conservée, et additionnées à celle de cylindre rotor.

Comme nous l'avons déjà mentionné, le mouvement de la pale en Clokwise peut aussi être assuré par le soutient de celle-ci par un seul vilebrequin précédemment disposé de façon excentrique et cette fois-ci disposé de façon centrale, et au quel sera associé l' une ou l' autre des méthodes de support orientationel de pale.
, de telle manière que la rétrorotation de celle-ci soit réalisée à raison de un sur un du tournage dudit vilebrequin.
Il est important de spécifier ici que le vilebrequin ici centralement disposé
est similaire aux vilebrequins disposés en périphérie, mais est différent du vilebrequin des machines poly inductives, de même que du vilebrequin des machines conventionnelles. La longueur de celui-ci assure Dans ce cas précis, attendu la rotation à contrario de la machine, un tournage du vilebrequin produit trois explosions, alors que dans les deux autres cas, il n'en produit que deux.
Quant aux ratios comparatifs aux tournages de pale, l'on a trois tour de vilebrequin pour un pur de pale dans le moteur conventionel, deux tours de vilebrequin subsidiaires, et un de vilebrequin maître, dans les moteurs poly inductif, alors que dans le moteur à pale en Clokwise, l'on a aucun tournage orientationel de pale, et un tour de vilebrequin pour un demi rétrotour de cylindre. L' on voit donc que les ratios des trois types de machines sont des plus différents. De plus, dans le moteur conventionel, la puissance orientationelle de la machine est inexistante, dans le cas des moteurs à poly induction, réalisées par la pale, et dans le moteur à
cylindre clokwise, réalisées par la rétrorotation du cylindre. L'originalité de la double articulation par pale Clokwise est d'octroyer la puissance positionelle à la pale, et la puissance orientationelle au cylindre Exemples de combinaisons multiples à partir de la méthode par cylindre rotor Comme pour la méthode par poly induction, la méthode par cylindre rotor peut aussi être combinée à plusieurs reprises d'autres méthodes d'élévations, comme les poly inductions, les serai transmissions, de telle manière de réaliser la machine de façon encore plus Motrice, de troisième , ou même de quatrième degré.
Comme on l'a mentionné antérieurement, l'on peut réaliser cette méthode, avec toutes les méthodes de support, réalisant un effort par traction sur le vilebrequin.
Comme précédemment, les ratios de tournage seront améliorés par poly induction, si la mécanique est ici post rotative.

L' on pourra aussi réaliser le support du cylindre rotor avec une augmentation de degré réalisé avec l'aide d'une semi transmission, ce qui nous semble référable si la mécanique est rétrorotative Comme dans le cas des mono inductions standard, cette réalisation par semi transmission augmentera la surface de travail de la partie compressive Comme celle-ci est déjà augmentée par cylindre rotor, elle sera dès lors totale, La machine sera pleinement motrice. La machine sera dès lors de troisième degré. (Fig.20) Comme en induction standard, la réalisation de la machine à partir d'engrenages polycamée augmentera une seconde fois le degré de celle-ci.
L'on pourrait cependant choisir une troisième méthode d'augmentation de degré
différente. L'on pourrait par exemple réaliser la machine, non seulement par soustraction géométrique, c'est à dire par cylindre rotor planétaire, avec, guidage poly inductif, mais aussi augmenter ce guidage polyinductif cette fois-ci par dynamisation de l'engrenage de support , par semi transmission, aussi appelée , comme nous l' avons mentionné, induction virée sur elle-même.
La machine aurait alors trois degré de correctivité, et sera donc de quatrième degré.
Toute la surface de la partie compressive serait alors hautement offensive.
Bien entendu, l'on pourrait à nouveau polycamer le nouvel ensemble.
Exemples de combinaisons à partir de Méthode par pale ou cylindre clokwise Comme nous l'avons dit précédemment, dans la production de la machine sous sa forme par pale en clokwise, la gouverne de la pale et du cylindre par poly induction décomposée et dédoublée fonctionnellement, assure une grande puissance à la machine. Comme nous l'avons déjà mentionné, la pale peut être contrôlée par un vilebrequin de même dimension et vitesse que le vilebrequin subsidiaire, mais ajouté d'une induction orientationelle de pale. En ce cas, le contrôle des mouvements inversés du cylindre est réalisé par semi transmission inversive, ou par une autre induction réalisée de façon inversive.
La machine possède donc toujours, de façon combinée, ou simplement juxtaposée deux inductions. Elle est donc toujours bi rotative.

L' on peut économiser des pièces en réalisant de façon symbiotique, confondue et imbriquée les deux inductions. Par exemple, l'on peut En effet l'on peut imaginer que la semi-tranmission inversive contrôlant la rétrorotation de la pale, soit la même qui contrôle la rétrorotation de l'engrenage de support de celle-ci. Les deux éléments sont contrôlés en partie par la même induction. L' on bénéfice donc d' une induction de pale semi transmittive, et d' un mouvement de pale Clokwise, ce qui assure à la machine un degré supérieur et une puissance motrice accrue.
(Fig. 21) Comme précédemment, ces ensembles pourraient être réalisées avec l'aide d'engrenages polycamés, ce qui les augmenterait encore d'un degré
supplémentaire. L'on pourrait aussi les augmenter, comme on l'a déjà montré, par étagement d'induction, distribuées à partie d'un même centre. Ceci amènerait une double planétarisation avec vilebrequins à contrario, tel que déjà montré par nous-mêmes antérieurement permettant par exemple de réaliser des compressions suffisantes dans les machines rétrorotatives.
Type de mise en composition des méthodes correctives et d'augmentation de degré.
Comme nous l'avons précédemment montré, l'on peut associer les méthodes de guidage et d'augmentation de degrés de diverses manières. Dans plusieurs cas, cette procédure requiert la combinaison de deux inductions. L'on peut entendre ces diverses manières comme étant les combinaisons par étagement superposés, par juxtaposition indépendante, par juxtaposition confondue, par étagement en sens inverses.
Inductions par étagement superposés L' on a montré que toute méthode de support peut être combinée à une autre méthode de support de façon étagée, de telle manière de réaliser la machine de façon birotative, c'est-à-dire, dans une systémique à double articulations.
(Fig.22) Inductions par juxtaposition montante descendante Dans les méthodes de dynamisation par pale ou cylindre Clokwise, les deux inductions de cylindre et de pale doivent avoir un même centre.

L' on peut donc réaliser des méthode d' induction complète et différente différentes, l'une montante et l'autre descendante de chaque coté de la pale. (Fig. 23 ) Inductions en étagement à partir d'un même centre.
övidemment, les inductions superposées produisent, en même temps qu'une grande quantité d' énergie, une quantité de mouvement.
En réalisant l' étagement à partir d' un même centre, l' on réalise la même différentialité des éléments, mais avec peut d'accélération décélération de ceux-ci.
(Fig. 24) Induction par induction semi transmittive et standard confondues.
Comme nous l'avons déjà mentionné, l'économie des pièces dans une machine motrice est des plus importante. Il est donc important de réaliser les machines de telle manière que les pièces puissent avoir une double fonction Dans les combinaisons par pièces confondues, l'on utilisera dans des fonctions dédoublées soit l' engrenage de support, soit le vilebrequin lui-même , l' engrenage de couplage, intermédiaire ou cerceau, soit l' engrenage d' induction .
Le méthode par semi transmission/mono induction est un bel exemple de fonction confondues de l' engrenage de support, servant à la fois d' engrenage d' induction rétrorotatif de pale. ( Fig. 25 a ) De même , l'on pourra réaliser la machine par induction engrenage cerceau, le vilebrequin lui-même , muni d'un engrenage pignon, participe donc à 1a fois à
la mis en rétrorotation de la pale , fixée à l'engrenage pignon complémentaire.) Comme précédemment, chaque nouvelle induction pourra être confondue avec un autre type de servi transmission , ou d' induction virée sur elle-même.
D'autre part, dans la méthode par engrenage intermédiaire, l'on se sert cette fois-ci de l'engrenage intermédiaire lui-même pour commander à la fois la rétrorotation de la pale et celle du cylindre L'on a ici confondu induction et servi transmission Finalement, dans la méthode par combinaison par l'engrenage d'induction, un même engrenage d' induction reçoit l' induction maîtresse, et la transmet au cylindre. Il y a donc induction montante et induction descendante du même coté
de la machine. Il est à noter que les inductions montante et descendante, surtout lorsque elles sont produites du même coté de la machine, peuvent aussi être interprétées comme des semi transmission ou inductions virées sur elles-mêmes.
Principaux montages ( à titre indicatif Comme nous l'avons déjà mentionné, nous pouvons répertorier près d'une vingtaine d'induction, dont plusieurs parmi celles-ci produisent une élévation de degré de la machine. Comme ces méthodes peuvent être mises en combinaisons les unes aux autres, et ce, à plus d'une reprise pour une même machine, l'on peut réaliser un nombre impressionnant de machines. Une vingtaine de premier degré, prés de quatre cent de second degré étagé, quatre cents autres juxtaposées et ainsi de suite. Toutes ces machines peuvent à nouveau être réaliser avec une tierce correction, parmi près d'une douzaine. Plusieurs milliers de permutations possibles sont par conséquent possibles. Une répertoriation totale est donc impossible dans la pratique . Toutes ces mécanisations répondent cependant toutes des mêmes critères de birotativité et de double articulation.
Il est donc important de repérer celles dont les applications sont les plus prometteuses, et de suggérer à leur propos quelques précisions. Ces applications les plus prometteuses viseront principalement à dégager les pièces de manière à
favoriser les meilleures entrées et sorties es gaz possibles, à réduire le nombre de piéce au maximum, en utilisant des piéces identiques pour deux inductions, et finalement, à assurer des pièces en bon équilibre de rotation et cela, avec le moins de surface de friction possible.
Montages par poly induction avec pale planétaire Il est évident que nous pensons que les méthodes les plus pertinentes de montage de machine dont la pale sera planétaire seront celles qui introduisent une augmentation de degré de celles-ci.
Notamment, les méthodes par engrenage cerceau, qui introduit une augmentation par géométrie, par poly induction, poly induction par engrenage de support semi transmittif standard ou à pignon, par engrenage central dynamique, standard ou à
pignon Relativement à la méthode par poly induction , ( Fig.24) précisons tout d'abord, en a que les points de rattachement de la méthode de poly induction peuvent être au nombre de trois et disposés dans les cotés, ou entre les cotés et les pointes.
Notons aussi que plusieurs versions semi transmittives de la méthode par poly induction peuvent être produites, dont les principales sont standard, ou à
pignon, ou par mono induction rétrorotative, simple ou multiple Montages prévilégiés par pale ou cylindre clokwise Dans ce type de machine nous privilégions principalement, mais non limitativement, les méthodes par polyinduction décomposée et par semi transmission/mono induction Par poly induction décomposée Dans cette première méthode, nous suggérons que les excentriques soient munis d'extrusions cylindriques, et que ce soit la pale ou le support de pale qui soit muni d'axe. Ceci permettra un appui plus égal. ( 26 a) Dans le premier montage, nous proposons préférablement trois supports, dans les pointes des pales. Nous supposons aussi une pale creuse, permettant d'y introduire le système de support. Ainsi, la pale sera bien centré, et le cylindre pourra être refermé de chaque coté. cette méthode peut aussi être appliquée en pale planétaire .
Dans le second montage, la pale est montée sur une pièce de support elle-même muni d'axes supportés par les excentriques. ( Fig. 27 b ) Cette pièce pourra au surplus être appuyées, de l' autre coté sur un excentrique flottant. La pale sera ensuite fixée rigidement à cette pièce, de telle manière de pouvoir être entourée par le cylindre.
Montage par semi transmission mono induction Dans ce montage, il faudra réaliser le calibrage de l'engrenage de support dynamique et de l' engrenage d' induction de telle manière que la vitesse de rétrorotation de l'engrenage de support soit identique à celle du cylindre, qui pourra alors lui être fixé rigidement ( Fig. 28) Dans le cas de moteurs de figuration classique le plus connu, à pale triangulaire, l'engrenage de support demeurera de la même grosseur, mais sera rétroactivé à
raison de un demi tour par tour de vilebrequin.
Ceci assurera à la fois le mouvement Clokwise de la pale et la vitesse de rétrorotation adéquate du cylindre. L' augmentation de rétrorotation de la pale conférera à la machine une plus grange nature rétrorotative.
L'on notera que toutes Ies semi transmission réversives, décélératives pourront être utilisées pour commander l'engrenage de support et la rétrorotation de la pale.
Montages privilégiés pour machines à cylindre rotor Comme ces machines bénéficies d'une parties cylindrique réalisée à partir de soustraction géométrique, l'ancrage, même en mono induction, se retrouve par conséquent placé à l'extérieur de parties compressives. Par conséquent, la méthode par mono induction, qui produit des contre poussées dans les montages standard, ne produit pas ou peu ici. Elle peut donc être favorablement utilisée, attendu ses qualités de facilité de réalisation comme méthode de support positive.
Comme précédemment, nous privilégions, aussi pour ces machines, les montages par tout type d' induction qui à la fois a une qualité augmentative de degré
de la machine, qui est au surplus déjà augmenté par sa nature géométrico-dynamique.
Nous privilégions par conséquent, Ies méthodes par poly induction, poly induction par engrenages de support dynamiques, simple, ou multiple, standard, ou à
poignons, avec effet de penture, dont des poly induction alternantes . De même nous privilégions les méthodes par engrenage cerceau, par engrenage central dynamique, par semi transmission, ces méthodes pouvant être réalisés isolément ou en combinaison, de façon standard, ou avec le recours à des engrenages polycamés.
Autres exemples de méthodes pour machines à pale en Clokwise Par opposition aux machines à pale planétaire, ou à cylindre planétaire, les machines à pales ou cylindre Clokwise nécessitent toujours plus d'une induction , même si l'aspect très confondu de la poly induction décomposée pourrait faire penser qu' il s' agit d' une machine simple.

Il est à noter que l' on pourra réaliser ces dynamiques sans aucune induction orientationelle, similairement à ce que l'on produisait dans les premiers rotatif. Ces procédures pourront être utilisées dans les petites machines sans fortes pressions.
Parmi les grand nombre de possibilités de mécanisation, nous donnons les exemples les plus synthétiques suivants à titre exemplaire Les prochains propos auront simplement pour objet de montrer certains montages exemplaires. Comme nous l'avons mentionnée précédemment, il est presque impossible de présenter et même de nommer toutes les permutations possibles.
Toute cependant répondent des mêmes idées de base, que nous avons précédemment démontrées, dans l'ensemble de nos travaux.
Par inductions inter reliées par le vilebrequin Dans un premier exemple , nous retrouvons une semi transmission par engrenage pignon , dont l' un des engrenages est relié de façon rigide au vilebrequin lui-même, ce qui assure une coordination entre l' induction de pale, et l' induction de cylindre .
L' induction du cylindre est dès lors réalisée par une induction virée sur elle-même, ou semi transmission, ici à pignon. L'induction de pale est ici réalisée par méthode d'engrenage cerceau. L'on notera que la semi transmission est à la fois inversive et réductive de vitesse. (Fig.29 a) Dans l' exemple suivant, les deux induction sont elle aussi reliées par le vilebrequin.
En effet, la semi transmission, encore ici à engrenage pignons. Ici, cependant, la méthode de soutient de la pale est par poly induction, et au surplus avec le recours à un engrenage de couplage de type interne. Cet engrenage de couplage réalise donc au surplus une réduction de vitesse. Par conséquent, la semi transmission ne sera qu'inversive. (Fig. 29 b ) Par poly induction étagée Dans ce troisième exemple, la semi transmission imite le type de semi transmission par engrenage interne externe. Par ailleurs, l' induction de pale imite l' induction par poly induction étagée. Les deux inductions sont totalement confondues. Les engrenages de couplage activent les engrenages de la pale dans un sens inverse au leur, et sont dédoublées de telle manière d'activer aussi l'engrenage de cylindre dans le même sens que leur propre rotation. Par conséquent le mouvement à
contrario, en plus du cylindre par rapport au mouvement Clokwise de la pale est assuré. (Fig. 30) Par poly induction étagée par pignon Dans ce nouvel exemple, les pièces sont encore une fois fort condensées et les inductions fort confondues entre elles. Le dédoublement de la partie transmittive par engrenages pignons, fait à la fois office de support poly inductif, d'engrenages à la fois dédoublés donc, et plus petits.
La pale, supportée par ces derniers, est donc en mouvement Clokwise alors que l'engrenage extérieur produit la rétrorotation du cylindre. (Fig.31) Par induction de chaque coté de pale, montante et descendante Dans l'exemple suivant les deux induction sont distinctes et reliées entre par la pale elle-même. La pale est de l'un de ses cotés, activée par la méthode d'engrenage cerceau. Du coté inverse, l'on peut constater une induction descendante, de type mono inductive. Par l' engrenage de support qui lui est rigidement fixé, la pale, en mouvement Clokwise, entraîne l'engrenage d'induction central de cylindre en sens inverse et à une vitesse réduite, ce qui est le mouvement que l'on attend de ce dernier. (Fig.32) Par induction inter reliées par l 'engrenage de couplage ( intermédiaire) Dans l'exemple suivant, les deux inductions sont inter reliées entre elles par l'engrenage de couplage, intermédiaire. Comme on peut le constater, la machine réalise une induction montante de type par engrenage intermédiaire, qui assure le mouvement en C lokwise de la pale.
Par ailleurs ce même engrenage intermédiaire participe d'une induction sur elle-même, ou semi transmission, celle-ci activant la pale à contrario. (Fig. 33 a) Par induction inter reliées par l 'engrenage de couplage ( cerceau) La figure suivante montre une induction montante descendante, cette fois-ci réalisée à partir d' une méthode par engrenage cerceau. Une première induction par engrenage cerceau permet de réaliser le mouvement en Clokwise de la pale.. Cet engrenage cerceau est par la suite dédoublé et réalise une induction descendante, dont il est cette fois-ci, l'engrenage de support. Il actionne rétrorotativement l'engrenage de cylindre. (Fig. 33 b) Dédoublemmént des engrenages Dans la figure 34.1, nous reprenons la méthode par semi transmission à une induction de type mono inductive de telle manière d' activer à la fois le cylindre et l'engrenage de support de la pale. La présente figure à pour objet de montrer que, dans la pratique, le dédoublement des engrenages assure , comme dans les différentiels , une plus grande résistance à l'usure de la machine. Par ailleurs, l'on notera, au surplus, que l'on a disposé l'engrenage de support dynamique du même coté que la semi transmission, ce qui permet de supporter la pale par vilebrelquin et non par excentrique. Dans la partie b de la figure, nous supposons que pour les fins du montage, le piston sera réalisé en deux parties. Ici, il est extrudé
de telle manière de laisser passer le vilebrequin et ensuite complété par une pièce à
cet effet. D'une autre manière, le vilebrequin pourra être construit en deux parties.
(Fig. 35.1 ) Design de pale La poussée suit en général la ligne entre les deux segmenta dune pale, lorsque celle-ci est reliée de façon centrale, qu'elle qu'en soit la forme (Fig..35.2) Quelque soit sa forme en effet, la poussée s'équilibrera et restituera une force vers le centre.
Cependant , si le point de rattachement m,est pas central , la poussées produira une force vers le centre ou vers l'extérieur selon le cas, En ce cas la poussée , qu'elle que soit la courbure , sera tangentielle et produira une force latérale orientationelle.
C'est ce qui se produit sur le cylindre des machines à cylindre rotor et à
pale en Clokwise. L'on peut cependant améliorer la forme du piston de telle manière de favoriser la thermodynamique.
Dans l'ensemble des machines de l'art antérieur le contrôle orientatinel de la poussée sur la pale n'est par réalisé positivement, c'est-à-dire déconstructivement.
Par conséquent, la poussée sur la pale est toujours perpendiculaire aux deux points de segmentation, quelle que soit la forme supérieure de la pale.
Cependant, mous avons prouvé aux présentes que le design de la pale pouvait être réaliser de telle manière de produire une énergie supérieure.

Ceci est vrai pour les trois cas probants a) lorsque le cylindre est rétrorotatif, puisque dès lors, une partie des forces lui étant imprimées ne sont pas tangentielle, mais décentrés, et ne sont pas strictement par rapport à ce centre, mais par rapport à la pale b) lorsque le cylindre est planétaire c) lorsque le contrôle de la pale est décentré par rapport à sa tangente.
d) lorsque le cylindre est déformé de façon polycamée Dans les quatre cas l' on peut designer le cylindre pour récupérer l' action entre le cylindre et la pale, de façon à circulariser la poussée dans le sens de la rotation.
(Fig. 36) Règle générale l'on peut procéder au design positif du cylindre parce que l'on a stoppé ou motivé positivement la contre poussée sur arrière sur la pale ce, qui ne peut être fait dans les machines conventionnelles la pale, par exemple par l'effet penture, peut tolérer plus d'angulation négative sur la partie arrière, et par conséquent bénéficier d'une meilleure angulation positive à l'avant, recevant la force circulaire.
De plus, cette capacité à géré le design des pale, horizontalisant l'extension, corrige l'un des trois défauts majeurs de la machine, qui consiste en comme nous l'avons déjà mentionné, en une extension trop vertical, donc en une extension réelle courte, par rapport à l' extension totale, c' est-à-dire, mécanique et géométrique additionnées..
Règle générale, l' on aura un effet tractif de la pale si le vilebrequin supérieur de penture est conservé
Dabs les pages qui vont suivre nous comparons les trois principaux modes de birotativité , soit les machines par poly induction semi transmittives, les machines à cylindre rotor planétaires , et les machines à pale en Clok wise, aux moteurs à
pistons et aux moteurs rotatifs conventionnels , principalement montés en pale de trois coté et à commande par mono induction.
Comparatif machine à poly induction semi transmittive La birotativité de cette machine est assurée par sa bi induction.

La comparaison en cours de descente, de la machine à poly induction semi transmittives au moteur à piston et au moteur rotatif conventionnel, révèle que les points intéressantes suivantes:
A ) La vitesse de rotation des excentriques ou vilebrequin n'est pas décommandée pour les moteurs à pistons et pour les moteurs à poly induction semi transmittive, mais l'est à raison de trois tour pour un pour le moteur rotatif standard.
B ) Le nombre de rotation par tour des vilebrequin secondaire est équivalent au nombre d' arc de cylindre dans le monteur à poly induction semi transmittif, et égal au nombre de coté de pale dans le moteur standard, Le bombage du cylindre est donc amélioré , et l'allongement du couple augmenté dans le moteur à poly induction semi transmittifs.
c) la poussée arrière sur la pale est calibrée par la semi transmission, de telle manière de produire une descente et non un anti-mouvement, comme dans le moteur rotatif conventionnel. De plus, ce calibrage laisse la poussée avant agir en accélération, comme le requiert le design du cylindre. Le déséquilibre de la poussée est donc calibré à la courbure du cylindre, comme l'équilibre de la poussée du piston est relatif à sa course rectiligne.
Le couple du moteur se compare donc mécaniquement avantageusement à celui des moteurs à pistons. Si l'on ajoute à cela, une plus faible accélération et décélération des éléments, de même qu'une capacité à réaliser la machine avec des soupapes par lumières, la machine sera d' autant supérieur aux moteurs à pistons et aux moteurs rotatifs de l'art antérieur. (Fig. 37) Comparatif machine à cylindre rotor L'on peut aussi avantageusement établir un comparatif entre les machines à
cylindre rotor, et les machines rotatives conventionelles, et les moteurs à
pistons.
Les principales machines comparées seront les machines à cylindre rotor post rotatives et rétrotrorotatives, à poly induction et à semi transmission La machine à cylindre rotor à pale triangulaire fixe, et cylindre rotor en double arc comme toutes les machines à cylindre rotor sa birotativité
réalisée par le fait que sa figuration est contraire à sa mécanique. Ici la figuration post rotative reçoit une mécanique rétrorotative, exactement la même que celle d'un moteur triangulaire.
Ceci nous assure un déplacement de la partie compressive, du cylindre rotor, non pas a raison de un tour pour trois tour du vilebrequin comme ans le cas des machines conventionnelle, mais à raison de un tour pour deux , et cela à
contrario , ce qui est énormément plus efficace, et ce qui est au surplus supérieur à ce qui est réalisé par le moteur à piston , à savoir de un tour.
Il faut par la suite ajouter ceci que puisque la pale est fixe, et le cylindre, l'action produite, au contraire de créer une contre réaction sur la pale, comme dans le cas des machines rotatives conventionnelles, tasse la pale sur le coté et ainsi, retranche des surfaces exposées à la poussée les surface qui seraient normalement en contre poussées.
Finalement, il faut ajouter que l'angle de poussée se produit toujours diamétralement aux deux points de jointage des pièces rotatives. L'angle de couple en mi descente des machines rotatives standard reste encore faible, et ne se produit, parfaitement à quatre-vingt dix degrés, que tardivement.
Dans les machines à cylindre rotor, l'angler de couple , toujours égal à la pale, arrive a son maximum à mi descente, ce qui ne se retrouve qu'un parie dans le moteur à piston, puisque l' angle bielle piston, retranche une partie du couple.
Finalement, la course rétrorotative produite par les mécaniques rétrorotative, ne parvenant pas habituellement à réaliser des cylindres adéquats aux niveaux de la compression, est arrondi par une soustraction géométrique, puisque les parties compressives sont intérieures aux points que produiraient une poly induction, ce qui rend la forme des cylindres birotative (Fig. 38).
De plus comme on peut le constater, la réalisation de la machine avec le recours à
un mono induction semi transmittive, permet à la pale de réaliser une action calibrée entre sa traction sur l'engrenage de support dynamique et sur le vilebrequin. L'angle maximal de couple se forme dès les premiers instants, ce qui est supérieur au moteur à piston.
La machine st donc, comme précédemment comparable, au niveau strictement mécanique au moteur à piston et lui est même supérieure.
Si l'on ajoute à cela, comme précédemment la faible accélération décélération des pièces et la capacité de réaliser la machine avec des soupapes lumières, l'on a dès lors une machine hautement supérieure, non seulement aux machine rotatives conventionelles, mais aussi aux moteurs à
pistons.
Une autre machine à cylindre rotor à partir de laquelle l'on pourra réaliser une comparaison sera la machine à cylindre triangulaire, et pale de deux cotés, rappelant le moteur rétrorotatif triangulaire, cependant, comme la pale est fixe, et le cylindre est en planétaire, la mécanique utilisée sera au contraire post rotative.
Flous avons choisi ici une mécanique poly inductive standard.
Comme dans le cas précédent, il fait faire remarquer que les rotation des vilebrequins secondaire seront égaux au nombre de coré de pale, et no au nombre de coté de cylindre, comme c'est le cas dans les moteurs triangulaires conventionnels, ceci assurera une plus grande amplitude du mouvement et , ajouter au fait que le cylindre est réalisé en soustraction géométrique, donc à l' intérieur, les chambres d,expansion et de compression respecteront les normes minimales, ce qui est impossible, avec un vilebrequin de dimension acceptable, dans le moteur triangulaire standard.
Comme précédemment, si l'on compare, par la suite, le moteur au moteur à
piston conventionnel, l'on verra, comme dans le premier cas qu la poussée est toujours en direction perpendiculaire à la pale, et par conséquent l'angle de poussé
maximal est atteint, de façon non seulement supérieur aux moteurs rotatifs conventionnel mais aussi au moteurs à piston en mi descente.
Tenant compte, encore une fois, du peu d'accélération-décélération des pièces, ainsi que de la possibilité de réaliser la machine avec des valves lumières, I,on peut dire que ce moteur sera supérieur aux moteurs à pistons.
Comparatif des machines à pale ou cylindre en clokwise Comme précédemment l' intérêt de ces machine est d' en avoir réalisé la bi rotativité
. Celle-ci est ici réalisée en accélérant le mouvement orientationel rétrorotationel de la pale, de telle manière que celui-ci soit égal à celui du vilebrequin.
Rétrorotationalité et post rotationalité sont donc égales.
Pour compenser cela, l'on a activé rétrorotationellement le cylindre Ces redistribution des mouvements on eu les conséquences suivantes importantes.

Le ration de tournage positionnel de la pale , qu'il soit fait par vilebrequin extérieurs poly inductifs, ou vilebrequin central , par les diverses méthodes , est équivalent au nombre d'arcs du cylindre . La rotation initialement de trois tours du vilebrequin central, est distribuée à raison de un tour en rétrorotation de cylindre et deux tours de vilebrequins. Ceci allonge la portée des vilebrequins, et produit, une forme de cylindre similaire à la méthode par poly induction, ce qui augmente la poussée sur la pale, La surface de poussée sur la pale est réalisée de façon égale sur toute sa longueur, ce qui la rend similaire à celle du moteur à piston, et de beaucoup supérieur à celle d'un moteur rotatif conventionnel, qui ne travaille que sur trente pourcent de sa surface.
La poussée sur le cylindre est, dans l'angle les surfaces de pale, mais déphasées latéralement en cours de descente, ce qui produit une poussée latérale et en profondeur de celle-ci.
La distanciation entre pale et cylindre, qui ne produit qu'une poussée de quarante pourcent, strictement sur la pale dans le moteur rotatifs conventionnel, produit ci une poussée de cent pour cent, répartie entre la poussée vers l 'intérieur sur la pale, et la poussée, ce qui se compare au moteur à piston L' angle de poussée est en mi descente total, ce qui est supérieur au moteur à
piston, lequel est réduit par l'angle bielle piston non droit. .
Tenant compte au surplus de la totale non accélération et décélération des pièces, ce qui assure au surplus une capacité de vitesse de rotation supérieure, de même que de la possibilité de réaliser les machines avec des valves lumières, il est évident que ce type de machine, que nous avons nommées rotativo-circulaire sont supérieures non seulement aux machines rotatives coventionelle, mais aussi aux machines à pistons.
L' engrenage nuisible à la penture est l' engrenage non en parallèle dans le cas des mécaniques par pointes, c'est l'engrenage de pointe inférieur Et dans le cas des mécaniques de coté, c'est le moyen supérieur de telle manière de produire l'effet penture.

Par course tangentielle L' on sait que la course de points situées dans les pointes de pale et celle situées de points situés dans les cotés réalisent des formes similaires mais en direction complémentairement opposée. L'on peut noter que la course de points situés entre ces positions produite une course à cheval entre ces deux premières. L' on pourra donc réaliser une certaine birotativité bien imparfaite de cette manière Diverses façons de réaliser la méthode par poly induction Quant aux méthodes par poly induction il faut ajouter ceci que l'engrenage de semi transmission, peut être unique, mais aussi multiple. De plus les points de support de la pale peuvent être situés que dans les pointes, dans les pointes et coptés, que dans les cotés. De même ils peuvent être situées entre ces points de telle manière de réaliser une courbure à cheval entre les courbures de cylindre latérales et verticales que produisent ces premiers lieux de soutient.
Exemple par la méthode de engrenage central post actif et semi transmission à
pignon La liaison des inductions peut aussi être réalisée à partir de la liaison des inductions par l'engrenage de support. Dans cette complicité de méthodes en effet, l' on supporte la pale par une méthode par engrenage central pots actif, et la post action de cet engrenage est obtenue par semi transmission par engrenage pignon. Il est a noter que l'engrenage d'armement est ici celui dont le centre équivaut au centre du vilebrequin , ce qui entraîne la post rotation de l'engrenage pignon planétaire. Sur le coté. inverse, cet engrenage pignon planétaire en doublé
assure la rétrorotation de l' engrenage de cylindre, et par conséquent du cylindre Descrïptions comparatives additionnelles Dans les pages qui vont suivre nous comparons les trois principaux modes de birotativité , soit les machines par poly induction semi transmittives, les machines à cylindre rotor planétaires , et les machines à pale en Clokwise , aux moteurs à

pistons et aux moteurs rotatifs conventionnels , principalement montés en pale de trois coté et à commande par mono induction.
Comparatif machine à poly inductïon semi transmittive La birotativité de cette machine est assurée par sa bi induction.
La comparaison en cours de descente, de la machine à poly induction semi transmittives au moteur à piston et au moteur rotatif conventionnel, l'on note les points suivants Les avantages des machines à poly-induction semi transmittives sont les suivants 1 ) Un ratio de tournage de pale et de vilebrequin maître de un sur un 2) Un effort calibré du la pale, permettant d'équilibrer les poussées arrière et avant en assurant une rétrorotation équivalente au besoin imposé par les courbures 3) Un angle de couple, en cours de descente, appréciable sur les sur les vilebrequin secondaires 4) De faibles accélérations et décélérations
4) by birotative side supports or according to whether they carry out the orientational functions by the cylinder A) per fixed blade rotor cylinder B) by clockwise blade or cylinder C) or per rotor cylinder and blade clokwise simultaneously (Fig. 6) All these methods can subsequently be polycammed.
All these methods have in common to realize the machine in the value bi rotating, that is to say, in such a way as to capture both positional and Orientation of the compressive parts by performing a Boomreang movement partial or total of compressive parts.
All these methods have been previously largely commented by ourselves, prior to the present, and the purpose of this is to to improve certain aspects, to flesh out the demonstrations, and to generalize their combinations, to each other, and to indicate the main achievements practices that flow.
Of course, the ultimate goal is to realize the machines under their shape Motor, that is to say with a positive action of the total surface of the blade allowing to realize a virtual Boomregrang movement.

Introduction To better understand the difficulties of correctly producing the machines in their Motor form, they must be observed in comparison with the piston engines.
In fact, piston engines generally have better results, at the torque level than rotary machines, and there are two reasons main to that. The first of these is the idea that the surface of the piston is, when relaxation, fully used in thrust, and that without causing cons breakouts.
The conventional piston engine therefore has a structure compressive birotative, since the pressure acts approximately equally on each next to the piston. The action of the crankshaft is also quite global since everything as much its vertical action as its horizontal action are induced by the connecting rod.
(Fig. 7.1 a) It should be noted that we are talking here about conventional piston engines.
As rotary machines, one can, according to the distribution of the elements used, realize in their form Compressor, or again, in a form Engine still more powerful. In the first case, they are produced with a rotor cylinder, or connecting rod slide, and in the second, in a rotor cylinder contrario, or mechanical swivel rotary in staging or juxtaposed.
The standard piston engine is therefore not perfectly birative. II
could be increased in this sense by a birotativity of mechanics, such as the production of the machine by superposition of inductions, or by cylinder contrario rotor. (Fig. 7.1 b).
But the power increases would be too small relatively to the increased complexity of the machine, and that's why in the together, the industry has dedicated them in their standard form.
The second quality of the piston engine, which is an exaggerated quality, is opposition is the differential force created between the two very geometric actions opposite, know the rectilinear action and the circular action, which are both movement main piston engine.
This double action produces an imbalance during compression, which amplified by the explosion, seeks balance, which produces expansion.

The third quality of piston engines is a deconstruction natural of the system roughly in the direction of the explosive thrust.
Rotary machines are simple only when we hear them perform under their Compressive form, that is to say, when we want to realize them as machine used for compression. In this case indeed, it suffices to realize of the mechanical devices which ensure the movement of the blade, from a filming of the crankshaft, In this case, as shown particularly by the two Wankle mechanics, mono inductive and by intermediate gear, one can decrease the number of parts only two are the blade and the crankshaft. These two methods come, as we have already pointed out from two observations different from the movement of the blade. In the first, what is said by observation exterior, we conceive the blade as an object rotating around a point enough bulky. This obj and is the induction gear, and that point the gear of support. Of course, the larger the center point is, the more current of his turning, the piece will have, simultaneously a retrorotation. We complete then this rotation by geometric parameters, represented by the lines bringing together these centers, and the geometry of the blade and cylinder is found so created. In practice, the ends of these lines are united later, what shape the blade, and it supports the rotation thereof by a crankshaft, this who complete the machine, (Fig. 7.2) When, on the contrary, it is intended to realize the rotary machine, as an engine, it is to say when it is expected that the force and thrust will come from the blade and not of crankshaft, the following major construction defects appear apparently it irretrievably.
Firstly the explosive thrust produces a force only on a part of the blade, and even produces a counterforce on the complementary part. The thrust on the blade is therefore, compared to the thrust of the piston engines, only partial and limited.
The crankshaft the blade movement in the manner of a wave. In the facts, he is passes, circularly, as if the crankshaft raised successively many boards connected together. (Fig. 7.2 b) We see very well, therefore, if we mimic the movement of mechanized blades of the previous way, and this on a straight line, firstly that the crank shaft makes the blade work, in sinusoid, and secondly that the force produced over there thrust after passing through the center, is not a direct force, but a strength resultant.
This leads us to identify the second defect of rotating machines, which consists of what their movement of the compressive parts, sinusoidal form, unlike piston engine, lack of differential capacity by report to the circular movement of the crankshaft, which transforms the thrust into friction.
The great difficulty of rotating machines is, we repeat, the complexity to realize these machines in such a way that they restore, like the piston, the energy they have stored, first on the entire surface of push, and secondly, in a deconstructively quasi-autonomous way.
Let's give a very simple example that will make the reader understand what we hear.
Indeed, properly mechanizing a rotating machine is, despite the appearances as if one meant to mechanize the movement of the connecting rod of a motor to piston, without the slide that realizes the cylinder piston assembly, so that all the power is restored by these mechanics, and that with the least amount of rooms possible.
Let's give the following example. Suppose you take an object in your hand, such a stone and raise it perpendicularly. Then, if we leash fall this rock, it will return, this time attracted by gravitation, to his starting point. This is, roughly, what happens in the piston engine, and that is why we say that it is the machine in which we find way to roughly equal compressive abilities and motor abilities. (Fig.7.3) Suppose now that we take the same rock and make it Browse a sinusoidal shape, and diagonally surplus, then, as previously let her down. Gravitation will draw the stone to the ground, and no not to his point of departure. We can, by mechanical precedents, by example a slide, use gravitation to bring the stone back to his point of departure, but this primary mechanics will always act in the direction angular to that of gravitation, thus recovering only part of the force produced.
The same thing happens in rotary engines, inexorably, when that we produces them with Compressive visions of the race of mechanics supporting the blade In these cases, inevitably we try to produce mechanics that will bring the tips of the blades to the right place, and these mechanical deconstruct thrust in such a way as to bring the parties back to their point of departure, constraining this thrust, which largely subtracts the power.
It forces the rise of the blade angularly, which increases non capacity Compressive, but, it comes back only angularly, inexorably, this who decreases its motor capacity.
How to explain the difficulty of making engine type mechanics for rotary machines?
Overlapping functions A first way to explain the difficulties of managing the action of the thrust a blade of a rotary machine is to understand that the same blade allows the coexistence of several virtual pistons, each being materialized by one sides of pale. Therefore, the end of the expansion of one of the chambers correspond to the beginning of the expansion of the next. Mechanically, you have to manage the posterior part of the blade at the end of expansion simultaneously with the part previous of the next portion of the blade.
It is this overlapping of the achievements of the movements that produces, in the rotary machines, a difficulty to realize the mechanics that will be adequate for these two circumstances. (Fig 7.4) It invariably leads to the following inconsistencies.
A) In all cases of mechanization, one always produces at the same time counter-flare that is harmful to the machinery, which is explained by the fact that mechanizations are designed to make the blade realize its movement from the crankshaft, not the opposite.
B) In all cases of unit mechanization, this same mechanism serves in addition to both to ensure the beginning of the compression of one blade sides, the descent start on the next side, and the end the expansion of the third side, of course when the blade has three sides. In any case, obeying in the first place the form of the machine, lateralising mechanizations of the machine C) In all cases compromise mechanics are produced Form requires Indeed .The rotary ones were created by the experiment. They are the expression limit of external and internal gear couplings, for example a coupling of a gear three teeth in a gear of four, or two and so of after.
The natural tendency of mechanization is therefore to achieve mechanics to follow the shapes that lead to structures latéralisantes. Indeed, for example in rotary machines the blade is moves more laterally and the explosion is vertical.
False natural intuition Another way of saying things is to state that there is an error natural of design of this rotary type is to have intuitively act as if one wanted to turn the crankshaft as if it were a wheel that one active with the hand. By doing this, the differential action is produced in so-same, and gives the impression, and especially the illusion, that one produces easily from Energy. Which actually produces energy in rotary machines, as in any internal combustion machine, is the removal of parts enter they, or their distance from the center.
But there is little differential action between the quasi-sinusoidal movement curved on itself rotary machines and circular motion of a crankshaft.
This differential action has, of course, been partly preserved in the rotary machines of the prior art, without which there would be no motorization.
But it is limited further and acute by the cons outbreaks resulting from the application of Wankle 's methods, both of which by mono induction, and the intermediate gear method, have moved to surplus moved the anchor of the previous machines to the center of the machine. We have abundantly shown in the early stages of this work the difficulties majors that such mechanics superadded to the rotary machines.
Double rotativity.
As we have shown several times, the rotary motion is a composed of secondary and main circular motion. The generality of mono inductions fail to achieve thermodynamically these two movement simultaneously and alternately.

Our position Our way of understanding rotary engines, as evidenced by of our works, is very different. All of these show the three points following a) One can build the downward movement of the blade of such so that its entire surface is positively used, and that of calibrated way, the mechanics being adjusted in such a way that the explosion produces an accelerated deconstruction on the front of the pale and decelerated on the back, (this is what we call birotativity of the machine) (b) This deconstruction can be carried out systemically in the sense of thrust c) The mechanics can be realized in such a way as to achieve a sinuosido-rectilinear mechanical movement, more compatible with the ideal thrust of a machine. (this is what we call the Slinky movement, or Boomerang machine) d) The vertical totality of the downward thrust can be realized In addition, all these achievements can be produced in a single machine.
Therefore, the machine, from the point of view of its couple alone, can be comparable to piston machines. If we add to that the qualities additional, not directly related to the couple, such as, for example, energy savings in acceleration and deceleration, as well as possibility of valves lights and the increase of turn minutes, we will obtain from of the machines that will go from less efficient than piston engines to much more powerful than these.
These achievements of rotary machines therefore fully motor, all as much a) from the point of the full positive thrust on the blades b) on the complete orientation transmission and positional thrusts c) on the restitution of these outbreaks in the system direction circular.

can be achieved in four main ways 1) keeping the planetary blades a) by almost planetary blade movement or, supported by a mechanical assuring him a dynamic Slinky or Boomerang (polycamé or by hinges structures) b) by semi transmission 2) in fixed blades, rotating, or in motion clokwise c) by a planetary rotor cylinder movement and fixed blade d) by a Clokwise blade movement and a retro cylinder movement circular, or planetary First part Realization by a movement of planetary blade, supported by a mechanical him ensuring a dynamic Slinky or Boomerang Slinky design, or Boomerang of the movement of the blade In this part we will summarize mainly the methods by poly induction, by polycammed gears and by semi transmissions to which we add some comments and achievements. In this part we show how to calibrate the thrusts on the blade in such a way that they do not behave no more against pushes.
The design of the blade movement of all the mechanics of art prior are the effect that the accelerated rotation of a crankshaft raises successively all the successive parts of a blade and causes at these ends a wave movement, whose cylinder represents a figure folded over even.
Our design of the blade movement of rotating machines is a not sinusoidal or elliptical design, but rather, Boomerang, Slinky.
In effect, to imagine a power largely restored by the machinery rotating, one must first imagine to realize a certain semantics mechanical, and hear the blade movement in the manner of a Slinky movement, or a Boomerang, halfway between sigmoidal movement and movement rectilinear, and therefore similar to a hinge movement, not static, but this time in action. The movement is therefore post rotary, or rétrorotatif, but with prominence. (Fig. 7.5) Indeed it is necessary, to be able to realize mechanical power, to hear their print the realization of this movement. In this movement, duplicate articulation, the blade is, like a chain of DNA, wound on itself, dynamically.
Two examples virtually comprising this movement Polycammed gears The Balloon and Quasi Rectangular Figures Ball Cylinder Two examples can help show our conception of the ideal movement of the blade. The first, geometric, represents the limit of our design Slinky, or still boomerang of the movement of the blade is found in our figure of cylinder cylinder engine, made by polycammed gears, or other mechanization.
When realized by polycammed gearing, the quasitriangular gears of blade and elliptical support are arranged in the direction of the blade, for the one and perpendicular to the machine for the other. The distance from the point of coupling downwards, and therefore tends to produce a point of inertia and by therefore a center of rotation of the blade in hinge around it. In assuming an explosion in this phase, the thrust on the blade will be in hinge, therefore both on the total surface and in a calibrated manner.
(Fig. 7.6 al Almost rectangular cylinder Still with the use of polycammed gears, this time arranged in meaning inverses, the pivot point, or hinge tends to be in the process of descent. The speed of the blade then catches momentarily that of the crankshaft and build on this inking of acceleration in the direction of the explosion.
We could build a set of polycammed gears realizing these alternatively hinge points. In a first phase, the blade would pivot , like a hinge, around a fixed axis, realizes by the tip of this one when the pale is at its maximum rise, and in a second time, it would rotate around of a second point, which the center of are defensive side, when the blade is in mid descent, which is a second hinge.
In these figurations, part of the rectilinearity of the piston engine is returned, and the engine works better in the direction of thrust. Indeed, in this machine we assume that the triangle moves with an elliptically lateral.
In this case, we see that the tip of the piston remains motionless for all the descent (Fig.7.6 c) In both cases, the thrust on the blade, is lateral-vertical, and recalls that a hinge piston engine, itself in circular action. This action Boomerang will restore a push closer to the direction of the explosion.
In this version, the Boomerang movement is more easily identifiable. In the first case we speak of inking or tip hinge. In the second, one will talk about inking or side hinge.
We have already talked about gearing in double polycamation. In a simplified way, he will be a gear having successively points of attachment inverses.
This one can consequently produce alternately the two inking and hinge, which will be the full version of the Boomerang design of the blade. The shape of the cylinder realizes will be elliptico-rectangular (Fig. 7.6 c) For a more visual understanding of the double Boomerang effect joint, we can reduce the quasi-triangular internal induction gearing of pale to a gear with six dips and reduce the elliptical gearing of support to a gear of four teeth, forming a rhombus. Therefore if we install the crankshaft and that one builds the gears with enough teeth long to keep the coupling, even with the middle of the gears, one will see that the machine works suddenly, imperceptible from the outside, but profitable to the explosion. The blade will rotate alternately around each point successive anchoring that constitute the successive couplings of the gears.
This limit polycamé gear allows to represent the birotativity so say alternative. (Fig. 7.6 d) With each pivoting, the thrust on the blade will be in hinge, and will be so mid way between rotating, more circular machines and machines at pistons, whose movement of the compressive parts is rectilinear.

Poly induction method with equalized Boomerang dynamics The previously polycammed method is a mono induction method. The alternative successions arrangements of functions of the support means of the methods by poly induction will increase the birotative ability Boomerang of the machine.
The standard poly induction method As already mentioned, the standard guidance method of post rotary machines, called by mono induction, realizes the machine under its form compressive, and therefore deprives the thrust on the blade of its capacity orientational. Many major motor defects appear then, of which the The main ones are the over-control of the work of the blade, and the cons outbreaks carried out on it by the explosion. (Fig. 7.7) We have shown that this design of the blade as the planetary element of a central crankshaft was erroneous, and that the blade should rather be disposed of them-same planetary.
The method by poly induction, and these developments, that we have widespread with two poles, for any post rotary machine, and with support gear internally for any retrorotative machine, proved to be a method of many more profitable. (Fig. 7.8.1) First, the master crankshaft travels relatively at the same speed as the pale, and no longer at a speed three times greater than this. The Over-control of the blade is thus canceled by such a procedure.
Second, the retrorotational movement of the blade induction gear of the mono induction method is here replaced by a post rotation movement of induction gears. The speed of the secondary crankshafts is therefore corresponding to the number of arc of the cylinder, two, and not the number of sides, three, as realized by the central eccentric, in the case of mono induction.
No only the crankshaft is it longer, but also the cylinder has a better shape. In addition, counter-pushes on the back of the blade are canceled, because the blade then realizes a dynamic self-locking already described by we even previously.

It is important to note that this method achieves with only two poles a geometric equality of the thrust, without counter-thrust, which is a advancement real. (Fig. 7.8.2) Boomerang design of the real movement of the blade The double-ended poly induction method also has the merit of than in some parts of the machine, we can produce what we can appoint anchor points, pivot points, real or virtual, which succeed in produce a hinge movement, which we call motion effect Boomerang, because done alternately this one has a dynamic similar.
(Fig. 7.8.3) Our design of poly induction is not a simple design of news mechanical support of the machine. She calls, too, so extra, since the side support point runs a race vertical, a less lateral, more rectilinear, and less circular version of the movement of the pale we call Slinky or Boomerang movement of the blade, which is a another way of expressing the central concept of our work, that of the biroptativité.
Indeed, by our method by poly induction, we were the first to express the Boomerang movement by alternating two anchor points of pale. Indeed, we have shown that the quasi-elliptical movement of the blade, could rather be heard as a movement in double successive hinges, and alternative producing portions of rectilinear arc motion circular, and for that realizing a differential force reminding in part that of the piston. In this version we have shown that we can connect a number of odd-numbered, only two opposite supports, describing races opposite which allowed to achieve the hinge effect ..
One of the planetary supports is therefore connected to one of the points, and the second to one of the sides. The first support produces the cylinder shape, and the second, a similar form, but in the sense complementary to the first, this perpendicular.
These two supports therefore have moments of moments of acceleration and stoppage of contrary and complementary speeds. The fastest speed to simultaneously performs the stoppage of the other, and that alternately. By therefore, each support means produces a hinge effect around the other alternately. Each means is alternately inking, and alternatively hinge. When the blade is connected to these means, it is what produces the effect Boomerang.
Indeed, in one of the phases of the machine, the mechanical is at its maximum of power at the beginning of the descent, since the two mechanics are simultaneously in the descent phase, without negative pushes, as they are finds in the standard motors. Throughout the passage section of this part superior of blade, the lower mechanism serves as a point of support and anchorage. During the rotation by pushing on the second face, the thrust is at its maximum in during descent, since the mechanics supporting the central part located on the side defensive serves as an anchor and pivot bridge to the front part. Finally, during the thrust on the third blade face, the forces are distributed between these points and he does not have again, no negative counterpoise. So we can talk about anchorage top and side inking, and tip hinge, and hinge on the side One complementing the other The sinusoidal movement is so to speak distorted, and has acceleration s and decelerations that increases the power of the machine, which in its standard mounts, has too little. (Fig.7.8.4) Betting method by Poly induction.
Calibration of the method by poly induction without against pushes and equalizing the media.
The interesting mechanical geometrical aspect of the poly induction method is the one to note an equality of the distribution of the thrusts on the blade, some are the positions of the two inductive poly supports and this, by realizing no against outbreaks. As we have also seen, the blade realizes, doing points real or virtual anchors, which allows him to take advantage of the dynamic hinge.
Equalization of inductive poly machines.
As we can see, the inductive poly mechanics work unequally, from the point of view of their weight distribution when supports blades of number of binary sides, and from the point of view of their power, when support blades of even number, by opposite supports of points.
(Fig.7.8.5) The machines can be calibrated in the following ways 1) by sets of complementary blades 2) by alternating motor effect 3) by split blades No set of complementary blades In the basic poly induction method, as we have just seen, one can support any post rotary machine with only two supports. (Fig.
8.2) It is important to note that these two supports are not only opposed one by compared to each other, but also, depending on their respective location in the blade , Mon was in the tips, and the other in the side.
One therefore describes a race similar to that of the cylinder and the other is perpendicular to it. Planetary inductions are therefore disposed of such way of doing these races.
In strictly figurative reality, the race described by the blade is perfectly similar to that which would be described by mono induction, or to that which one would describe with three supportive poly inductions, located either in the blades, either in the sides.
But a deeper analysis of the thrust reveals realities mechanical does different according to the expanding blade part.
The couple is very different for each part, so much so that one can talk about Compressive blade part, and Motor part.
Indeed, the equal thrusts on each side of the blade, during the expansion reveal unequal pairs, since, for certain parts of blades, the two means of support are both offensive, while for others, offensive means is countered by defensive means, counter-push, stoppage.
For example, when the thrust comes from the crankshaft located in the center of the side, the machine is more driving, since the lower crankshaft, will momentarily him likewise in the down phase. No stopping force will act on one or the other of the crankshafts until the end of the expansion.

The explanation lies in the more concordant positioning of the support means of pale relative to their respective runs. In the latter case both parties are offensive throughout their race.
In the second case, one of the two support means acts in deceleration, and of more against pushing creating stoppage, which completely breaks the momentum of the way posterior.
In its third phase the machine is also quite defensive.
The power of the machine is therefore alternately Motor and Compressive.
We have also shown this type of reality for Wilson's machine, as well as only for our semi-turbines. This is a constant of almost all machine rotary: the rear and front parts of a blade, always partly oscillating, move up and down alternately, making front support difficult and rear of it by the same type of mechanics, one of them entering necessarily in stoppage and speed reduction phase and the other in phase speed increase.
There is therefore, in the primary version of a poly inductive machine, one of the listed pale vertically supported and the other two obliquely. That is what explains the difference in power of each side.
We can therefore deduce that this part of the blade always has an explosion offensive, and that the others are compressive. So we can mount the machine using the two compressive parts to store the gases, as a turbo compressor, and the driving part, for the explosion. That is what we will call an alternative birotativity.
In certain figuration of blades, especially those of even numbers, one will achieve a balanced sequence of alternately compressive power and driving with only one blade so we can use parts of a speech like turbo compressor of the complementary part (Fig.8.2 b It will therefore be possible for a single blade, successively achieve a motor effect and a compressor effect, himself serving as the latter as turbo compressor of the complementary part Motor of the same blade. It will be possible to produce the machine, in poly standard induction base, giving to the compressive parts of the blade simply compressive simply compressive functions, and the parts motor, producing the gas explosion that has been acquired by the parties) By split blades We can also achieve hinge effects by making the machine with some fractional blades. In this way, each subsequent blade induction will be independent of the previous action of the other and may therefore realize his hinge effect. (Fig 8.2 c) . In this case, we will subtract the simply compressive faces of the triangle initial, and we will keep only the offensive part and its mechanics. We will repeat the operation three times, and we will link the three compressive parts over there segmentation. The triangle will be fragmented. This is what we will call by bi fragmented rotativity.
In the case of even blade machines, fragmentation can be limited assembling between them blades comprising themselves two opposite blades in only one (Fig. 8 d) It should be noted that fragmented and nested blades as always, can be realized with all the machine figures. .
Increased poly inductive power As we have seen, the poly induction method allows equalization of the thrust on the blade with Boomerang effect, and that without against thrusts. We can increase the power developed by the method by poly induction in the following two ways, independently or simultaneously.
In the first, which we will call, by intermittent polyinduction alternatives the power of the Boomerang effect will be improved by making inking real, and in better opening arrangement, for each side of the blade. In the second, we will increase the descending power of the blade, realizing mechanical semi transmittive canceling the counters pushed. This is what we will call the poly induction semi transmittive. It should be noted that we have already commented on this latest object previously, and that the present will provide variants and simplifications.

Temporary retraction of the functions of the Compressive gear (in hinge previous At the level of mechanics, the same induction passes, as we have shown in the differential semi turbines, in its defensive phase then in offensive phase. This has been managed positively in these, using this induction as defensive induction anti-recoil of one of the two blades. In the rotating machines, this phase of induction serves as anchoring to the effect hinge.
In fact, it will be used as inking point, as a point of hinge to the effect boomerang. Moreover, as we mentioned earlier, it does not may be achieving a hinge effect with three supports simultaneously. There is There are two reasons for this.
The first is the following: we can obviously create a hinge effect with two hinges on the same object. The second is to notice that both inductions of an induction, in addition to creating a duplication of hinge, create this second hinge in an outward thrust, so contrary to the blade rotation system (Fig.8.3) Moreover, if we subtract either the outer posterior gear, or the lower gears, we observe the desired thrust. Otherwise, when one look at it more closely, one realizes that during the positioning of Moon previous assumptions produces even more power than during a positioning with opposite support means.
A similar observation can be made from supports in the quoted, If one cuts off the front gear, produces a hinge thrust effect towards the outside of the desired rotation. On the other hand, if we subtract one or the other outside gears, inward hinge effects will appear and produce a big push. (Fig. 8.3 b) In the same way as before, one both inductions offers more power than perfect positions line opposite of basic poly induction methods.
Elijah temporary coupling functions.
In the last explanations, we totally cut off this gear.
But this retrenchment can not be definitively realized, since the means of support of an inductive poly machine successively occupy positions t different functions during rotation of the machine. However, when rehabilitation of its function, another induction will have to be neutralized, from such to avoid losing the hinge effect, which happens during a production creating counter-attacks The elision method must therefore be alternative, of how to neutralize the coupling of the partes during this part of his filming in which they are counter-pushing, and in which they prevent the realization of the hinge effect.
The hinge effect with more than two supports We can therefore realize the method by poly induction double poles with several means of induction and retain the Boomerang hinge effect, in the extent that the neutralization of the means against pushed is carried out so at to allow the induction to be realized in an alternative way To realize the effect Boomerang for each of the faces of a blade, it will first be necessary to mount the blade on an inductive poly set whose number of support means will be equal or greater than the number of blade sides allowing this alternation, namely three.
We will be able to choose different places, the points, the sides, the mediating location, which while browsing support races different, achieve the same resultant cylinder shape.
As we have already mentioned, the effect of hinge is only possible with a poly induction with two support means. Therefore supports them in three part will not be supports in standard poly induction. To realize two Supports effect with three supports material, we will use what the could call an alternative and successive poly induction. This hinge effect lengthen Crankshaft reach that is from one induction to the other. When realizes more of two effective support, the sums of the crankshaft is not operative.
Indeed, to achieve both conditions simultaneously, it is necessary to consequent alternatively subtract one of the support means. We must also do to play alternatively the role of means of hinge and means of thrust to the means of support.
This apparently complicated procedure can, by chance, be carried out fawn very simple, simply by removing, in certain specific places, not the support means as such, but simply a part of it.
The preceded by simply removing the coupling of the parts, by example gears, for example of support, their coupling capacity, namely their teeth.

Canceling the coupling capabilities of one of the support means be equivalent to a temporary retrenchment of induction. When carrying out the machine with a blade supported by the spikes, the temporary entrenchment of functions inductive forces from one of the external offensive support superior or the lower gears, allows for the thrust sought.
A similar observation can be made from supports in the quoted, If one subtract the upper middle, the blade is supported parallel to the thrust, and produces a hinge thrust effect outward of the rotation désirée.Par cons, if we cut off one or the other of the external gears, the effects of hinges inward will appear and produce a great push. (Fig.
8.3 b) The same thing happens in the middle supports. We can not subtract the inking means, the hinge, but the subtraction of one of the Complementary gearing produces a powerful thrust.
Here, the decoupling of the parts is done by subtracting teeth from gear Moreover, it is obvious that the functions of the means can not to be subtracted only temporarily, and consequently only a part of the teeth of the gears is cut off. The induction gears are thus seen in this more sophisticated method awarded not only functions different, but also versatile functions, since according to their position they will become turn; turn and alternatively, offensive gear, gear free and arming gear, hinge.
Keeping filming reports The easiest way is to remove the coupling in a given dial is, as we have just seen, to cut off the teeth of one of the gears, for example the gear of supporx This is what we previously made for the successive supports of polyturbines. Induction gear during this passage, therefore, will have no inductive function, and the blade will be strictly motivated by its inductions on the complementary side, at this withdrawal, which will ensure Boomerang rotativity The support gear whose coupling functions will be subtracted momentarily will retain its rotation, but it will not come to it, during this period, its coupling to the support gear, but the coupling of are eccentric or pinch to the blade, which itself is totally controlled by the complementary inductions. (Fig.8 4) The conservation of the good geometric relations will be realized.
After part of the rotation, each of the functions of the gears will be transferred to the complementary gears. The offensive gear, or means of offensive support, may for example become free, the gear and means of support free anchoring. Finally, the gear and its means of anchoring inking will become inking and means of offensive support. Several variants are possible depending on the choice of gear momentarily decoupled.
The offensive work of the blade, all over its surface and in the direction of the pushed will do so. Momentary subtraction of inking in external push will produce an offensive imbalance in the machine, as the lower part of the connecting rod of a piston engine which chooses a single side of direction. (Fig 8.5) It should be noted that the coupling cuts will be in different places depending on whether it is a support by the tips or the sides.
Other methods of temporarily removing the coupling Moreover, the teeth of the support gear can not be entrenched totally. In fact, one can simply subtract enough from equipment of this one to cancel the rigor of the coupling of these. By doing this, one will retain the coupling of these two gears, but at the same time we will make it sufficiently free to be completely inactive, from the point of view of the thrust, which will then be ensured only by the two complementary induction poles. The machine will be, during this period, supported in a non-compressive way, But rather Motor, since the poles of support will be those of the side complementary, having an inking and a complementary pole When returning to the offensive phase, the teeth of the support gear will be at new standardized, and it will be the teeth of the opposite party that will produce the new momentary elision effect of the compressive functions of the gear previous search.
In the same way, one will be able rather to cut teeth on the gear of induction.
In another way, it will be possible to keep the gears coupled, and having provided blade and support a slide, neutralize the coupling effect by it.
Many methods can be achieved. The important thing is to consider that the application a method counteracts the detrimental effects of one of the offensive gears and allows the effect of hinge.
All machine figures of any number of sides, and just as much post rotary that retrorotative will see their poly induction receive the same treatment.
In four-sided blade shapes, when the blades are connected by the centers, the figures work alternately from the inking of points and incrages of side.
It will be noted that the gears will thus be successively coupled and not coupled to the support gear so that there is always minimally two effective support means, which ensures the full positional maintains and Orientation of the blade. Therefore, during the period of time induction gear is no longer coupled to its support gear, these are the two complementary induction gears, combined with the blade which ensure are shooting, so to speak in the void. That's why, when returning from teeth the positioning of the induction gear continues to be perfectly exact, and allows the next induction gear to be momentarily out of motion.
coupling. The total movement of the machine is therefore ensured continually, by relaying the gears, in such a way that the counter strengths be evacuated, and that the forces execute with more power.
This alternation of the control means of the blades is another way effective Rotating machines can not be mounted mono inductive without creating harmful counter-forces, which counter-forces may be evacuated by a bi-rotating treatment, here alternative machines.
Subsequently, the method by elision can be applied to media by the points, temporarily subtracting the harmful action of the means of support posterior back.
This method of elision can also be applied to any figure of machinery retrorotative and post rotary. In this method, as in the method exclusive side supports, a counter thrust is carried out in the dials previous at the maximum moments of the blade. We will proceed by partial elision of mechanics creating counter-thrust by cutting off teeth, either gears support, either to the induction gears. Indeed, it is necessary to the mechanical effects of one of the support points at a time, to conserve that most powerful support points, which are usually points of inking point and its opposite, and the point of inking of side and its opposite.
This alternation of the control means of the blades is another way effective Rotating machines can not be mounted mono inductive without creating harmful counter-forces, which counter-forces may be evacuated by a bi-rotating treatment, here alternative machines.
Subsequently, the method by elision can be applied to media by the points, temporarily subtracting the harmful action of the means of support in external hinge.
This method of elision can also be applied to any figure of machinery retrorotative and post rotary. In this method, as in the method exclusive side supports, a counter thrust is carried out in the dials previous at the maximum moments of the blade. We will proceed by partial elision of mechanics creating counter-thrust by cutting off teeth, either gears support or induction gears. Indeed, it is a question of take away mechanical effects of one of the support points at a time, to keep that most powerful support points, which are usually points of inking point and its opposite, and the point of inking of side and its opposite.
It should be noted that total removal of teeth is not mandatory. This their withdrawal functional that is important so teeth can just be dwindled.
In another way one can simply realize one of the gears of way flattened, which will temporarily cut off the work of the teeth. All of these manners are good, and the latter make it easier to reassemble the machine.
Control of 1 free gear The gears will be successively coupled and not coupled to the gearing in such a way that there are always at least two of them them which are, which ensures full positional and orientational of the blade. Therefore, during the time frame that an induction gear is not more coupled to its support gear, these are the two gears of induction complementary, combined with the blade that ensure are shooting, so to speak in the void. That's why, when returning teeth, the positioning of gear continuous induction to be perfectly exact, and allows the gearing to induction next to be momentarily put out of coupling. The total movement of the machine is therefore continuously ensured by the relay of gears, of in such a way that the counter forces are evacuated, and that the forces run with more power.
Rotary orbital motors Finally, the various possible positron locations of support different do not learn that when assembling several blades, a little to the of the orbital piston engines, several blades can be placed on a same mechanical assembly and on the same crankshaft secondary. For each then we will have different points of support locations, and different cylinder angles. (Fig.8.5.2) It must also be added that the elisions are possible for any mechanical with three or more supports in machines that can not work, as we have shown it in poly induction, only with strictly two supports.
example, one will have to increase the number natures of supports of pale simply binary, so as to be able to produce the elision of the support means in against thrust. As for the four-sided blade figures, there will be four poles two of which will be both elect.
For figures with more sides, for example six, three poles will be enough.
Some figures, for example five-sided blades are more ambivalent In summary, the basic dual-base poly induction method applied at pale figures of three sides and more produces natural way the elisions of the negative parts, either posterior or anterior. This explains his power.
However, it does so differently for each side of the blade. In the structures by dynamic elision, it does the same for each side of the blade.
At the limit, it should be noted that one can produce the machine with six soutients, four of which will always be alternately in elision. In this way, one realize for each side of the blade, the two types of anchors of point and side. The machine will therefore act in double consecutive hinge. This is of course this version which most perfectly respects the boomerang form pictured previously in the realization by limit polycammed gears.
Which gear is best to produce the temporary elision As we have seen, the work of the gear can not be subtracted former, which serves as inking, hinge. We can remove one of the other. A
better understanding of the couple of these will establish this choice.
To fully understand this, it must be understood that in matters of poly induction the couple total of a medium is simply the sum of the couple's crankshafts master and secondary crankshaft We must then understand that the torque on the blade is equivalent to the torque resulting from the pairs of each support means thus calculated.
By isolating a tip of triangular blade, and observing the torque of one of the means of support being arranged, it will be observed that when the blade is in phase the two crankshafts are at the same time perpendicular to the blade.
It's the system timeout. At the start of the descent, the crankshaft secondary initiates angulation in an accelerated manner. The still weak couple of crank shaft master is increased by the torque of the secondary crankshaft. If we look then the system during the mid-descent, the two crankshafts are in a angulation strong enough. The most powerful pair is about two-thirds. The end of the push shortly after In another way, if one simultaneously observes the couple on the part prior from the blade, we will see the overlap. Indeed, down the descent, we realize that this part of blade constitutes both the rear part of the next pale. If we follow the development of the beginning of the descent for this part, soft note that this one is very negative. The couple crank shaft weaker upper, does not manage to fight against the push to the outside of the system.
This torque and against torque, on the front part of the blade will last two third of the descent, which will cancel a great bet of the couple before.
In fact, if we calculate the torque of this machine, we come pretty much to the one secondary crankshafts, taken in isolation. The capacity of the machine is comparable to that of an engine running only on them. That is why our say that the machine is mounted in its compressive version, and has little yield as engine. We find ourselves in a situation similar to that of the motors in mono induction, in which each face is comparable to a mirai piston.
By arranging the crankshaft in the direction of the sides, as we did in part in the poly induction motors, we can observe much less of against forces and more power. This is mainly due to three things.
At the top of the climb, it is of course in neutral. In primer descent, the angulation begins, but this time, without mechanical force against the rear crankshaft. In the middle of the descent, the two crankshafts as before add up their strengths, but this time, the previous anchorage is in position perfectly opposite, and is therefore almost motionless. All the strength is therefore projected forward. The engine produces a driving action of much higher. It will be noted that the course of the crankshaft is vertical, by therefore more perpendicular to the thrust.
The wedge-back method is a good example of construction of mechanical first responding to the will to follow the shape, lateral, and of make turn around. The mechanics of support by the centers, hear more recover the downward effect of the blade, recalling that of the piston. Engine is also more powerful because it is the inking of side which, produced in the course of descent, force the actual addition of crankshafts. The movement is large and fully receives the blade as if it were a big piston.
The machine can be supported by these six means simultaneously, four of which in elision, so to realize in the same machine, advanced inking and inking of sides.
In practice, if one intends to support the three blade sides of this way, one finds oneself with three supports, two supports at the same time serving support the side of complementary blade. To make sure that it will only be these who will work it will produce an elision of gear support complementary, or the complementary support gear part.
The simplest example is therefore to cut the teeth of the gear of support in its upper and lower parts. Therefore, both only Complementary gears will work during descent, up to what the posterior gear becomes itself at the bottom, in the maximum position. of the the new complementary gears will come back active, and this gear will only be more coupled to the support gear. (Fig 8.6) Double hinge and structure by successive polycammed mechanics As we have seen so far, we can polycam the mono inductions of such how to make two different inking points, one side, the other peak.
Indoor gear combinations can be made allowing to realize simultaneously these points. At the limit, and so pictorially the blade gear of a standard machine will have six teeth, and its gear of support four.
The gears will be reversed in the triangular motor. The shape of gears will be, when performed with several teeth so to speak internal This indicates once more the birotative nature of the machine.
(Fig.
8.7 to 1 To achieve the double hinges, it will be necessary to use both the inductions of tips and support and make successively work the induction two by two.
(Fig.8.7 b) Generalization of the poly induction with double successive inductions Of course here, the best known figure of rotary machine is used, likewise than the most common type of media. It should be noted that this method induction applies to all the figures, both retro rotating and post rotating.
Likewise applies with other types of poly induction, for example by gearing pinion, by double hoop gear, when performed semi-operatively transmissive.
It should be noted, moreover, that the mechanics by elisions also apply to the Clokwise rotor and blade cylinders It should be noted that total removal of teeth is not mandatory. C 'and their withdrawal functional that is important so teeth can just be dwindled.
In another way one can simply make one of the gears of way flattened, which will temporarily cut off the work of the teeth. All of these manners are good, and the latter make it easier to reassemble the machine.
Orbital-Rotary Motors Finally, the various possible positron locations of support different do not learn that when assembling several blades, a little to the of the orbital piston engines, several blades can be placed sure the same mechanical assembly and on the same secondary crankshaft. For each blade will then have different points of support locations, and different cylinder angles. (Fig. 8.8) General considerations It must also be added that the elisions are possible for any mechanical with three or more supports in machines that can not work, as we have shown it in poly induction, only with strictly two supports.
The applications herein should be adapted to the different figures of rotary machines. For example, we will have to increase the natures number of simply binary blade supports, in such a way to be able to produce elision back-up support means.
As for the four-sided blade figures, there will be four poles, two of which will be at both elect.
For figures with more sides, for example six, three poles will be enough.
Some figures, for example five-sided blades are more ambivalent In summary, the basic dual-base poly induction method applied at pale figures of three sides and more produces natural way the elisions of the negative parts, either posterior or anterior. This explains his power.
However, it does so differently for each side of the blade. In the structures by dynamic elision, it does the same for each side of the blade.
At the limit, it should be noted that one can produce the machine with six soutients, four of which will always be alternately in elision. In this way, one realize for each side of the blade, the two types of anchors of point and side. The machine will therefore act in double consecutive hinge. This is of course this version which most perfectly respects the boomerang form pictured previously in the realization by limit polycammed gears.
Indeed, when performed by poly induction to three control media alternative, it will be the front support that will serve as anchor, and by therefore the machine will be very powerful, since its the birotative aspect of its cylinder ball will ensure not only a late but also a vertical and hinge. The same thing holds true for retrorotqtive machines, which can therefore be receive post rotary mechanics.
Polycamation of the élisée structures We have already shown in our previous work that a piece could be held by the center of gears polycamé since these centers respect between them the principles of equidistance. Therefore, the machine with induiction alternatives can be decoded in polycamation (Fig.8.9) Geometric Birotativity and Semi-transmission In our previous work we have shown that the addition of a part geometric allowed to change the level or the nature of an induction.
The most convincing example is that of Wilson's semi-turbine, which we have mechanized by a poly induction retrorotative with addition of connecting rods geometries, to then show that one could realize a form similar by a post-rotating mechanics, this time though adding a substraction geometric, also by a connecting rod.
The use of geometry rod thus also makes it possible to pass the machine Compressive machine to motor machine. For example, it is known that for a same mechanics, if you enlarge the blade, the cylinder shape will be softer.
Conversely, for a magnification of mechanics the cylinder shape can to be more acute.
Similarly in poly induction, if we increase the length of the induction top, adding a geometry link, we can reduce the size of the crank shaft master without changing the shape of the cylinder.
So we can imagine a basic poly induction including the master crankshaft would be, each side of different size, and which will be completed by a way induction also of different size. For example, if the litters of crankshaft of the induction of side is smaller, one will lengthen the length of the range of secondary crankshaft, outside the circumference of his gear of induction. In this case, the boomerang hinge effect will be maintained and improved. (Fig. 9.1) Another use of geometric additions by geometry rods is in the realization by support of spikes. As before we will realize the center crankshafts so that they are smaller and one compensate this by adding a geometry link to the induction means. Since then , since the geometry rod will be longer than the radius of the gear of induction, the blocking of this means, when the blade is connected to inside the gear will be cut off, and even the rear part of the blade will be active.
In doing this, in effect, one adds a quasi-transmittive lever that product more of rising force than descending, and which therefore brings up the crankshaft master against his own thrust. The relative power of this thrust will be reduced, but will not be a counter-push. (Fig.9 lb) As we have seen, the combination of the position of the crankshafts master and secondary combines to achieve the couple.
As we have seen too, since the master crankshaft works more slowly, he is longer to come out of his dead point. On the other hand, as we also did notice, negative angulations, both for master crankshafts and secondary create counter-forces.
In both cases, the movements of the master crankshafts can either counter the negative effects, or improve the positive effects.
Indeed, in our previous descriptions, we have shown that one could to go further, by boosting the support gear of this type of method of supports. This allowed, not only to cancel, as in the case of the method preceding, the counter-thrust on the rear part of the blade, but more than transform this thrust into real thrust on the crankshaft. We could achieve this method by controlling the dynamics of the support gear by various semi transmission by, by juxtaposed gears, by gear gears, by internal gears. (Fig.9.2) In summary Addition of geometry rod An important interest of poly induction is to be able to provide designer of machines a second axis to adequately proportion the machine.
At first, as we have already pointed out, the increase in of the blade for the same mechanics softens the shape. otherwise lengthening Induction crankshaft makes it more jittery. Based on these findings, one can add to the induction a connecting rod of geometry and reduce the size of the crank shaft master without changing the curvature of the machine. This procedure transforms the machine in a machine of second degree, semi transmissive. Indeed, the strength carried out on the support medium will therefore be greater than the counter force offered.
The blade will be descending, even on its defensive side. The addition of connecting rod geometry to already semi-transmissive mechanics, will further reduce davantages against pushes. (Fig.9.3) Generalization of degree increases by semi transmission As we have seen before, birotativity can be realized by poly induction. We have also shown that it can be achieved by semi-transmission. The two cases highlighted were semi transmission mono induction, and semi poly induction transmission (Fig. 9.2) In the first case we wanted to recover the power produced by the explosion on the rear part of the blade, making it work all along its length, realizing by its birotativity In the second case, we did not want to perform post induction Rotary Motor and Compressive, but rather, for each induction, realize a bi-rotating structure, including both a post-rotating structure, and a structure rétrorotative.
These notions previously been defined by ourselves, the present to simply for the purpose of clarifying its interpretation, and to give the variances.
Interpretation of semi-transmission methods It is important for a better understanding of our work to understand semi accelerative or inverse transmission as inductions to be turned back on themselves. This interpretation will allow rationalize more easily assemblies involving several dynamic parts different, in particular the various arrangements with Clokwise movement of blade.
Let's give some examples. We can, as we have shown previously by the gears gear method, to motivate a blade to be directly, or by the use of its internal support gear, or is again by resorting to its subsidiary crankshafts.
(Fig.lOABC) We can also make sure that the two elements to be motivated have a even center. In this case the induction is turned on itself. It is therefore important of consider this method of mechanization indifferently as a semi transmission or induction turned on itself. This interpretation follows directly from our comments that inductions can be combined between them not only in height, but also in a juxtaposed way.
This highlighting of a better interpretation allows for better understand the combinations involved in the production of the poly machines induction second degree, since the semi transmission, regardless of the number of parts together with the main induction, shall be considered as a additional induction increasing the degree of the machine and giving it a nature in double articulation.
Indeed, one can for example assimilate the semi-gear transmission juxtaposed, to an induction by intermediate gear, or by gearing heel, turned on itself (Fig. 10b) One can also consider as a semi transmission the method by gear gear as a gear gear gear method on itself.
(Fig.lOc) These interpretations make it possible to better understand induction combinations retrorotative to post rotary inductions, which definitely makes the machinery of a higher degree.
In the first case indeed, the dynamic support gear is the equivalent of the induction gear of a mono induction retrorotative.Instead of supporting the pale, as it would in a retro rotary machine, it serves here gear support of induction of poly induction. (Fig. 11 a) In the second case, the same thing happens. Gear induction pinion, could, if it directly controls the blade, equipped with an external gear, to realize a retrorotative machine, and if it controls a gear of blade internal a post rotary machine.
Here, as before, the induction gear is both a gear of dynamic support of poly induction. (Fig. 11b) Lately, if the gears are juxtaposed, similar to the method by gear heel, again, the induction gear of the first induction serves as a dynamic support gear for the second (Fig. 11c) Types of semi-transmissions The three main types of transmission are the transmission accélératives-decelerative, reverse transmission, transmission combined accelerative decelerative, and inversive at a time. ) Each of them can be achieved by combination of gears external, internal external, pinions. As we have already mentioned, since will transmissions are inductions transferred to their center, there are therefore as much there will be possible transmissions rather than inductions. We only present here the the main ones, all of which have already been exposed by ourselves The accelerated decelerative transmissions generally include a support gear and an induction gear of the same center and both external or internal, connected to each other by a double gears acceleration, also of the same type. (Fig.12 a) If one has a support gear and induction of different type, the acceleration gears will also be different.
fig.l2. b) Thus, the couple induction gear and support gear, of which 1, a is internal and the other external will be coupled by a pair of gears also type different .
The accelerative-decelerative transmission can also be realized by gear gears, using gears gears support and induction, coupled together by a pinion gear mounted on an axis itself in rotation circular .. (Fig.l2 c) The strictly opposite transmission, are more easily achievable with set of gear gears of the same size. (Fig. 13) A first way to achieve the accelerative transmissions and simultaneously inversive, will mount the set with gears induction and support will be of both size and type, what will cause inversion and acceleration-deceleration.
For example, we will couple an internal gear and an external gear of different size by the use of a link gear. We can also achieve these double functions with the help of gear gears of different sizes, coupled by gears also of different sizes.

So we can have blade support mechanizations, for example, of type inductive poly with dynamic central gear, different according to their type of will transmission. (Fig. 14) Demonstration by the method by poly induction by gear gears As we have already shown, we can also realize the methods by gear wheels. For example, the post-active central gear method, can also be done not by double external gear, but by gear wheels.
Similarly, we can save space, when carrying out the method by poly induction, by pinion gear. (Fig. 15) but this achievement is similar, no not to the standard poly induction method, but rather to the method by poly induction will be transmittive.
The power and the degree of machine by providing the induction gear in such a way that it become him even the dynamic support gear of a machine whose blade will be this once equipped with an internal gear.
summary In summary we can arm that the dynamic three-pole poly induction, either alternation or transmission will allow, by two of these poles recover the effect coming out of the blade, and by the next set of two, recover the incoming effect.
This successive, or bimechanical way of treating the machine not only prevents the creation of counter pushes, but in addition allows to manage the thrusts, as we will see later, by changing blade designs dynamically the thrust of the explosion, making this thrust straight, and not simply straight, as it is the case in mono machines presses.

Generalization of the method by increasing degrees by pairing methods We have already shown that another way to realize the machines so birotative was to use in opposite complement on the same blade, two methods of support, for example by anterior intermediate gear and Posterior (Fig.l6) This birotativity can be obtained by pairing many methods, before and after the blade, but also inferiorly, and posteriorly. For example, we can pair a gear support intermediate to a gear by hoop gear. , or any other duo of all complementary support method.
Methods equalizing anterior flares and posterior to the blade, non oscillatory blade Modification by rotor cylinder (Double articulation by subtraction geometric ) We have already shown relatively to poly turbines that the shape of the cylinder obtained is birotative, since it involves two stepped inductions retrorotative and post-rotating simultaneously. From a geometrical point of view, one attends the transformation of a straight line, form equal on both sides, into circle.
(Fig. 17) Another way to achieve the desired curvature is to increase geometrically a retrorotative structure sufficiently so that it exceeds the post rotary movement of the central crankshaft, by what has been called a link of geometry. Another way is on the contrary by subtracting a certain quantum of speed to a post rotary mechanics. In the same way, if we realize of the post rotary or rotary rotating machine whose blade is smaller than the induction, the shape will have a geometric subtraction and hence a certain quantum of retrorotativity. This is what happens when making the machine by rotor cylinder. One can as we have already mentioned increase the degree of the machine by producing this one with fixed blade and with rotor cylinder planetary (Fig.lB) This procedure increases the capacity of the machine in several ways.
Mainly, it allows to realize the machine with a compressive part off center in relation to its turning center and in relation to its armament in downhill course. In fact the armament of these arrangements of machines is find , for example in the method of mono induction outside the parties compressive, which totally corrects its inclusion on the inside in Wankle montages. This armament can then fulfill the function of support hinge lever of the compressive part. As this armament is outside, one no longer finds counter-attacks on the blade, and all of it, as the surface of a conventional piston, can act offensively Then she allows to have a lateral effect on the compressive part. Finally she allows make gears turning reports no longer according to the number on the blade side, but rather in relation to that of the rotor cylinder. The one rebalances the crankshaft and blast chamber length ratios and of compression better way. The planetary pipe of the rotor cylinder can to be realized with all the inductions of first degree. However, if this driving method of the blade is with poly induction, or by semi transmission or by polycamé gear, the machine will be of a degree engine higher, and the entire thrust surface on the compressive part will be driving.
Modification by clokwise movement (double articulation performed by dynamic geometric redistribution from absolute observation) As before, the Clokwise movement of the blade can be realized by all the methods already listed by ourselves, except the one by mono induction. In any case, it is a matter of realizing the support gear of size equal to the induction gear. Then you can order the retro rotation of the blade by semi- transmission or induction turned on itself. We will see more far that we can also boost the support gear and connect it to the cylinder. For now, simply specify the correct interpretation of the reports of the method by poly induction and the method by pale clokwise.
In this arrangement, the poly induction method is redistributed way that the armament is no longer the support gear, but rather the axes of support subsidiary crankshafts. (Fig. 19) This arrangement also has the ability of simultaneously perform the functions of semi transmission transferred on itself.
Two inductions, one going towards the blade, and the other towards the cylinder cross the same mechanics in both directions. This makes for a huge economy the rooms. It will be seen that the orca both inductions of blade and cylinder are independent, or less confused, the number of pieces is increased.
But, as previously, the gains in increasing the efficiency of the poly induction are here preserved, and added to that of the rotor cylinder.

As we have already mentioned, the movement of the blade in Clokwise can also be assured by the support of it by a single crankshaft previously arranged eccentrically and this time arranged centrally, and at what will be associated with one or other of the methods of orienting blade support.
, from in such a way that the retrorotation of the latter is carried out at the rate of one on one of the turning of said crankshaft.
It is important to specify here that the crankshaft here centrally arranged is similar to crankshafts on the periphery, but is different from crank shaft inductive poly machines, as well as crankshaft machines conventional. The length of it ensures In this case, expected the reverse rotation of the machine, a turning of the crankshaft produces three explosions, while in the other two cases it produces only two.
As for the comparative ratios to blade shoots, we have three rounds of crank shaft for a pure blade in the conventional engine, two crankshaft towers subsidiary, and a master crankshaft, in inductive poly motors, while in the Clokwise blade motor, there is no directional turning of pale, and a crankshaft turn for a half cylinder back turn. So we see that the ratios of the three types of machines are more different. Moreover, in the engine conventional, the machine's directional power is non-existent, in the case poly induction motors, made by the blade, and in the motor to cylinder clokwise, carried out by the reversion of the cylinder. The originality of the double articulation by pale Clokwise is to grant the positional power to the pale, and the orientation power to the cylinder Examples of multiple combinations from the rotor cylinder method As with the poly induction method, the rotor cylinder method can also be repeatedly combined with other elevation methods, such as the poly inductions, the transmissions, in such a way as to realize the machine of even more motor, third, or even fourth degree.
As mentioned previously, this method can be realized with all the support methods, making a tensile force on the crankshaft.
As before, filming ratios will be improved by poly induction, if the mechanics are post rotary here.

It will also be possible to support the rotor cylinder with an increase of degree realized with the help of a semi transmission, which we believe referable if the mechanical is retroactive As in the case of standard mono inductions, this realization by semi transmission will increase the work surface of the compressive part as it is already increased by rotor cylinder, it will be total then, The machine will be fully driving. The machine will be third degree. (Fig.20) As in standard induction, the realization of the machine from gears polycamée will increase the degree of this one a second time.
One could however choose a third method of degree increase different. One could for example realize the machine, not only by geometric subtraction, ie by planetary rotor cylinder, with, guiding inductive poly, but also increase this polyinductive guidance this time by dynamisation of the support gear, by semi transmission, also called , as we have mentioned, induction turned on itself.
The machine would then have three degrees of correctivity, and so will be fourth degree.
The entire surface of the compressive part would then be highly offensive.
Good heard, we could again polycamer the new set.
Examples of combinations from Clokwise blade or cylinder method As we said before, in the production of the machine under its shape by clokwise blade, the rudder of the blade and cylinder by poly decomposed and functionally split induction, ensures a high degree of power to the machine. As we have already mentioned, the blade can be controlled by a crankshaft of the same size and speed as the crankshaft subsidiary, but added with an orientation induction of blade. In this case, the reverse cylinder movement control is achieved by semi transmission inversive, or by another induction carried out inversively.
The machine always has, in a combined way, or simply juxtaposed two inductions. It is therefore always bi rotative.

Parts can be economically saved in a symbiotic, confused way and nested the two inductions. For example, one can Indeed one can imagine that the inverse semi-tranmission controlling the retrolatation of the blade, the same which controls the retrorotation of the gear of support of it. Both elements are controlled in part by the same induction. We therefore benefit from a semi transmissive blade induction, and of a Clokwise blade movement, which ensures the machine a superior degree and a increased motor power.
(Fig. 21) As before, these sets could be realized with the help polycated gears, which would increase them by one degree additional. We could also increase them, as we have already shown, by induction staging, distributed from the same center. This would bring a double planarization with crankshafts to the contrary, as already shown by we-even previously allowing, for example, compressions sufficient in retrorotative machines.
Type of composition of corrective methods and of degree increase.
As we have previously shown, we can associate the methods of guiding and increasing degrees in various ways. In many cases, this procedure requires the combination of two inductions. We can hear these various ways such as superimposed stacking combinations, for example independent juxtaposition, by juxtaposition, by staging inverses.
Stacked overlapping inductions It has been shown that any support method can be combined with another staged support method, in such a way to realize the machine of birotative, that is to say, in a system with double joints.
(Fig.22) Inductions by descending upward juxtaposition In Clokwise blade or cylinder dynamisation methods, both Cylinder and blade inductions must have one same center.

We can therefore realize complete and different induction methods.
different, one rising and the other descending on each side of the blade. (Fig. 23) Staging inductions from the same center.
Of course, superimposed inductions produce, at the same time as a large amount of energy, a quantity of movement.
By realizing the staging from the same center, one realizes the same differentiality of the elements but with the possibility of accelerating deceleration of them.
(Fig. 24) Induction induction by semi transmissive and standard.
As we have already mentioned, economy of parts in a machine motor is most important. It is therefore important to realize the machines of such that parts can have a dual function In the combinations by pieces combined, one will use in functions split either the support gear or the crankshaft itself, the gearing coupling, intermediate or hoop, or the induction gear.
The semi transmission / mono induction method is a good example of a function of the support gear, serving both as a gearing for induction retrorotative blade. (Fig. 25 a) Similarly, we can realize the machine by induction hoop gear, the crankshaft itself, equipped with a gear pinion, therefore participates in both the set in retrorotation of the blade, attached to the complementary pinion gear.) As before, each new induction can be confused with a another type of served transmission, or induction turned on itself.
On the other hand, in the intermediate gear method, this method is used time of the intermediate gear itself to control both the reversion of the blade and that of the cylinder We have here confused induction and served transmission Finally, in the combination method by the induction gear, a same induction gear receives the master induction, and transmits it to the cylinder. There is therefore rising induction and downward induction on the same side of the machine. It should be noted that the inductions rising and falling, especially when they are produced on the same side of the machine, can also be interpreted as semi transmission or inductions transferred on themselves.
Main montages (as an indication As we have already mentioned, we can list almost one twenty of induction, many of which produce an elevation of degree of the machine. Since these methods can be combined to each other, and more than once for the same machine, one can to realize an impressive number of machines. Twenty first degree, nearly four hundred second degree staged, four hundred other juxtaposed and so right now. All these machines can be realized again with a third correction, among nearly a dozen. Several thousand permutations possible are therefore possible. Total indexing is impossible in the convenient . All these mechanizations answer, however, all the same criteria of birotativity and double articulation.
It is therefore important to identify those whose applications are the most promising, and to suggest a few details. These applications them most promising will be aimed mainly at clearing the pieces so as to to promote the best possible inputs and outputs of gas, to reduce the number of maximum, using identical pieces for two inductions, and finally, to ensure parts in good balance of rotation and that, with the less possible friction surface.
Poly induction assemblies with planetary blade It is obvious that we believe that the most relevant methods of mounting of machines with a planetary blade will be those which introduce a increase in degree of these.
Notably, the hoop gear methods, which introduces an increase by geometry, by poly induction, poly induction by support gear semi Transmitters standard or pinion, by dynamic central gear, standard or at pinion With regard to the method by poly induction, (Fig.24) let us specify first, that the points of attachment of the poly induction method can to be three in number and arranged in the sides, or between the sides and the tips.
Note also that several semi-transmittive versions of the method by poly induction can be produced, the main ones are standard, or pinion, or by mono induction retrorotative, single or multiple Prefixed mountings by blade or cylinder clokwise In this type of machine we prefer mainly, but not the methods by polyinduction decomposed and semi transmission / mono induction By decomposed poly induction In this first method, we suggest that the eccentrics be equipped of cylindrical extrusions, and whether it is the blade or the blade support which be provided axis. This will allow more equal support. (26 a) In the first assembly, we preferably propose three supports, in the tips of the blades. We also assume a hollow blade, allowing for introduce the support system. Thus, the blade will be well centered, and the cylinder will be able to to be closed on each side. this method can also be applied in pale planetary.
In the second assembly, the blade is mounted on a support piece itself equipped with axes supported by eccentrics. (Fig. 27 b) This piece can at surplus be supported, on the other side on a floating eccentric. The blade will be then rigidly attached to that room so that it can be surrounded by the cylinder.
Semi-induction mono transmission In this assembly, it will be necessary to carry out the calibration of the support gear dynamic and induction gear so that the speed of rearrangement of the support gear is identical to that of the cylinder, who will be able to then be rigidly attached (Fig. 28) In the case of classic figuration engines the best known, to pale triangular, the support gear will remain the same size, but will be retroactivated to because of a half turn per revolution of the crankshaft.
This will ensure both the Clokwise movement of the blade and the speed of correct retrorotation of the cylinder. The increase of the backward rotation of the blade will give the machine a more retrorotative nature barn.
It should be noted that all semi-reversible, decelerative transmission will be used to control the support gear and the rearward rotation of the blade.
Preferred assemblies for rotor cylinder machines As these machines benefit from a cylindrical part made from geometric subtraction, the anchoring, even in mono induction, is consequently placed on the outside of compressive parts. Therefore, the method by mono induction, which produces counter-attacks in the assemblies standard, do product not or little here. It can therefore be favorably used, expected his qualities of ease of realization as a positive support method.
As before, we prefer, also for these machines, the fixtures by any type of induction that both has an augmentative grade of degree of the machine, which is in addition already increased by its geometrical-dynamic nature.
We prefer, therefore, methods by poly induction, poly induction by dynamic gears, single, or multiple, standard, or to peppers, with hinge effect, including alternating poly induction. Similarly we favor the hoop, central gearing methods dynamic, by semi transmission, these methods can be carried out in isolation or in combination, in a standard way, or with the use of gears polycamés.
Other examples of methods for Clokwise blade machines As opposed to planetary-blade machines, or planetary-cylinder machines, Clokwise blade or cylinder machines always require more than one induction, even if the very confused appearance of decomposed poly induction could make think it is a simple machine.

It should be noted that we can realize these dynamics without any induction orientation, similar to what was produced in the early rotary. These procedures can be used in small machines without strong pressures.
Among the large number of possibilities of mechanization, we give the following synthetic examples as an example The next comments will simply aim to show some montages copies. As we mentioned earlier, it is almost impossible to present and even to name all possible permutations.
All, however, answer the same basic ideas that we have previously demonstrated in all of our work.
By inductions interconnected by the crankshaft In a first example, we find a semi gear transmission pinion, one of whose gears is rigidly connected to the crankshaft himself, which ensures a coordination between the blade induction, and the induction of cylinder.
The induction of the cylinder is then carried out by an induced induction on herself, or semi transmission, here with pinion. The blade induction is here carried out by method hoop gear. It should be noted that the semi transmission is at the same time inversive and Reductive speed. (Fig.29 a) In the following example, both induction are also connected by the crankshaft.
Indeed, the semi transmission, again here geared gears. Right here, however, the method of support of the blade is by poly induction, and in addition with the recourse to an internal type coupling gear. This coupling gear realizes therefore, a reduction in speed. Therefore, the semi transmission born will be only invective. (Fig. 29 b) By staged poly induction In this third example, the semi transmission imitates the type of semi transmission by external internal gear. In addition, the induction of blade imitates the induction by staged induction poly. Both inductions are totally confused. The coupling gears activate the gears of the blade in a reverse direction at their, and are split in such a way to also activate the gear of cylinder in the same sense as their own rotation. Therefore the movement to contrario, in addition to the cylinder with respect to the Clokwise movement of the blade is assured. (Fig. 30) By poly gear stepped induction In this new example, the pieces are once again highly condensed and the inductions strongly confused with each other. Duplication of the game transmissive by gear gears, is both office inductive poly support, gears at once split, and smaller.
The blade, supported by these, is in movement Clokwise while the outer gear produces the cylinder's reverse rotation. (Fig.31) Induction of each side of blade, rising and falling In the following example the two induction are distinct and connected between the blade herself. The blade is on one of its sides, activated by the method gear hoop. On the opposite side, there is a downward induction of type inductive mono. By the support gear which is rigidly attached to it, the pale, in Clokwise movement, drives the cylinder central induction gear into meaning reverse and at a reduced speed, which is the movement that is expected of this latest. (Fig.32) Induction inter linked by the coupling gear (intermediate) In the following example, the two inductions are interconnected by the coupling gear, intermediate. As can be seen, the machine performs a rising induction of the intermediate gear type, which ensures the C lokwise movement of the blade.
Moreover, this same intermediate gear participates in an induction on she-same, or semi transmission, the latter activating the blade contrario. (Fig. 33 a) Induction inter connected by the coupling gear (hoop) The following figure shows a descending rising induction, this time made from a hoop gear method. A first induction by Hoop gear makes it possible to realize the Clokwise movement of the blade.
hoop gear is subsequently split and realizes an induction down, which he is this time, the support gear. It operates rétrorotativement the cylinder gear. (Fig. 33b) Dedicated gearing In figure 34.1, we use the semi-transmission method to a mono inductive type induction in such a way to activate both the cylinder and the support gear of the blade. The purpose of this figure is to show than, in practice, the splitting of the gears ensures, as in the differential, greater wear resistance of the machine. By elsewhere, one note, moreover, that the dynamic support gear of the even side than the semi transmission, which allows to support the blade by vilebrelquin and not eccentric. In part b of the figure, we assume that for the For assembly purposes, the piston will be made in two parts. Here it is extruded of such way to let through the crankshaft and then completed with a piece to this effect. In another way, the crankshaft can be built in two parts.
(Fig. 35.1) Blade design The thrust usually follows the line between the two segments of a blade, when it is connected in a central way, whatever its form (Fig..35.2) Some its shape indeed, the thrust will balance and restore a force towards the center.
However, if the point of attachment m, is not central, the thrusts will produce a force towards the center or to the outside as the case may be, in this case the thrust, what that is the curvature, will be tangential and will produce a lateral force orientational.
This is what happens on the cylinder of the rotor cylinder machines and pale in Clokwise. However, the shape of the piston can be improved in such a way that to promote thermodynamics.
In all of the machines of the prior art, the oriental control of the thrust on the blade is not positively realized, that is to say déconstructivement.
Therefore, the thrust on the blade is always perpendicular to both points segmentation, regardless of the upper shape of the blade.
However, we have now proved that the design of the blade could to be realize in such a way as to produce a higher energy.

This is true for the three leading cases (a) when the cylinder is retrorotative, since, therefore, part of the strengths printed on it are not tangential, but off-center, and are not not strictly in relation to this center, but in relation to the blade b) when the cylinder is planetary c) when the control of the blade is off-center with respect to its tangent.
d) when the cylinder is deformed polycombically In all four cases one can design the cylinder to recover the action between the cylinder and the blade, so as to circularize the thrust in the direction of the rotation.
(Fig. 36) General rule we can proceed to the positive design of the cylinder because we at stopped or positively motivated against thrust on back on the blade this, who does not can be done in conventional machines the blade, for example by the effect hinge, can tolerate more negative angulation on the back, and by therefore benefit from better positive angulation at the front, receiving the circular force.
In addition, this ability to manage the blade design, horizontalising extension, corrects one of the three major defects of the machine, which consists of we already mentioned, in an extension too vertical, so in an extension short, in relation to the total extension, that is to say, mechanical and geometrically added ..
As a general rule, there will be a tractive effect of the blade if the crankshaft superior of hinge is kept In the pages that follow, we compare the three main modes of birotativity, that is, semi-passive poly induction machines, machinery with planetary rotor cylinders, and blade machines made of Clok wise, with engines to pistons and conventional rotary engines, mainly mounted on blades of three sides and controlled by mono induction.
Comparative semi commutative poly induction machine The birotativity of this machine is ensured by its bi induction.

The comparison during descent of the semi-induction machine transmittive to the piston engine and conventional rotary engine, reveals that following interesting points:
A) The speed of rotation of the eccentric or crankshaft is not canceled for piston engines and for poly induction motors semi transmittive, but is at the rate of three turn for one for the rotary engine standard.
B) The number of revolutions per revolution of the secondary crankshaft is equivalent to the number of cylinder arc in the semi poly induction fitter transmittif, and equal to the number of blade sides in the standard motor, The bending of the cylinder is therefore improved, and the increased torque elongation in the poly motor semi transmissive induction.
(c) the rear thrust on the blade is calibrated by the semi-transmission;
such way of producing a descent and not an anti-movement, as in the conventional rotary motor. In addition, this calibration leaves the push forward act in acceleration, as required by the cylinder design. The imbalance of thrust is calibrated to the curvature of the cylinder, as the balance of the thrust of the piston is relative to its straight course.
The engine torque therefore compares mechanically advantageously with that of piston engines. If we add to that, a lower acceleration and deceleration elements, as well as an ability to realize the machine with valves By lights, the machine will be all the more superior to piston engines and rotary engines of the prior art. (Fig. 37) Comparative rotor cylinder machine One can also advantageously establish a comparison between the machines with rotor cylinder, and conventional rotary machines, and pistons.
The main machines compared will be post rotor cylinder machines rotary and retrotrorotative, poly induction and semi transmission The rotor cylinder machine with fixed triangular blade, and rotor cylinder double-arched like all rotor cylinder machines its birotativity conducted by the fact that his figuration is contrary to his mechanics. Here figuration post rotating machine receives a retrorotative mechanism, exactly the same as that of a triangular motor.
This ensures a displacement of the compressive part, the rotor cylinder, no not for a reason for a turn for three turn of the crankshaft as in the case of conventional machines, but at a rate of one turn for two, and this to contrario, which is enormously more efficient, and what is moreover superior to this who is realized by the piston engine, namely a lathe.
It must then be added that since the blade is fixed, and the cylinder, action produced, instead of creating a counter-reaction on the blade, as in the case conventional rotary machines, cup the blade on the side and so, subtracts surfaces exposed to thrust the surface that would normally be against breakouts.
Finally, it must be added that the thrust angle always occurs diametrically at the two jointing points of the rotating parts. The angle of couple in mid down the standard rotary machines is still weak, and does not produced, perfectly at ninety degrees, only belatedly.
In rotor cylinder machines, the torque angle, always equal to the blade, reaches its maximum at mid-descent, which is found only one bet in the piston engine, since the angle rod piston, subtracts part of the couple.
Finally, the retrorotative race produced by the retrorotative mechanics, born usually fail to achieve adequate cylinders at the compression, is rounded by a geometric subtraction, since the parts compressive are internal to the points that would produce a poly induction, this which makes the shape of the cylinders birotative (Fig. 38).
Moreover, as we can see, the realization of the machine with the resort to a semi transmissive mono induction, allows the blade to perform an action calibrated between its traction on the dynamic support gear and on the crankshaft. The maximum torque angle is formed from the first moments, this who is superior to the piston engine.
The machine is therefore, as previously comparable, at the level strictly mechanical piston engine and it is even superior.
If we add to that, as previously the weak acceleration deceleration of the parts and the ability to realize the machine with light valves, there is therefore a highly superior machine, no only to conventional rotary machines, but also to pistons.
Another rotor cylinder machine from which we can realize a comparison will be the triangular cylinder machine, and two-sided blade, reminiscent of the triangular retrorotative motor, however, as the blade is fixed, and the cylinder is in sun gear, the mechanics used will instead be post press.
Blurs have chosen here a standard inductive poly mechanics.
As in the previous case, he pointed out that the rotation of secondary crankshafts will be equal to the number of korea of blade, and no to number on the cylinder side, as is the case in triangular motors conventional, this will provide greater range of motion and, add the fact that the cylinder is made in geometric subtraction, so to the interior, expansion and compression chambers will meet minimum standards, who is impossible, with a crankshaft of acceptable size, in the engine standard triangular.
As before, if we compare, later, the engine to the engine to piston conventionally, it will be seen, as in the first case, that the thrust is always in direction perpendicular to the blade, and therefore the angle of pushed maximum is achieved, so not only superior to rotary motors conventional but also to piston engines in mid downhill.
Taking into account, once again, the lack of acceleration-deceleration of the parts, as well as the possibility of making the machine with light valves, I, we can say that this engine will be superior to piston engines.
Comparative of clockwise blade or cylinder machines As before the interest of these machines is to have realized the bi rotativité
. This is done here by accelerating the orientation movement rétrorotationel of the blade, so that it is equal to that of the crankshaft.
Retrorotationality and post rotationality are therefore equal.
To compensate for this, the cylinder has been activated retro-rotationally These redistribution of the movements had the following consequences important.

The positional turning ration of the blade, whether it is made by crankshaft inductive poly exteriors, or central crankshaft, by various methods , is equivalent to the number of arcs of the cylinder. The initial rotation of three tours of central crankshaft, is distributed on the basis of a revolving turn of cylinder and two towers of crankshafts. This extends the reach of the crankshafts, and product, a cylinder shape similar to the poly induction method, which increases the push on the blade, The thrust surface on the blade is made evenly over its entire length, which makes it similar to that of the piston engine, and much higher to her of a conventional rotary engine, which only works on thirty percent of her area.
The thrust on the cylinder is, in the angle the blade surfaces, but out of phase laterally during descent, resulting in lateral thrust and depth of it.
Distanciation between blade and cylinder, which produces only a push of forty percent, strictly on the blade in the conventional rotary engine, product ci a hundred percent thrust, split between the inward thrust on the blade, and the thrust, which compares to the piston engine The thrust angle is in the middle of the total descent, which is greater than the piston, which is reduced by the angle rod piston not right. .
Taking into account, in addition, the total non-acceleration and deceleration of rooms, which, moreover, ensures a higher rotational speed capacity, even that of the possibility of making machines with light valves, it is obvious that this type of machine, which we named rotativo-circular are not only to the rotary machines coventionelle, but also to piston machines.
The gearing detrimental to the hinge is the gearing not in parallel in the case of mechanical spikes, this is the lower peak gearing And in the case of side mechanics, it is the superior means of such way to produce the hinge effect.

By tangential race It is known that the race of points located in the tips of the blade and that located from points in the sides perform similar shapes but in the direction complementarily opposite. It can be noted that the race of points located enter these positions produced a horse race between these first two. One will so realize some very imperfectly birotativity in this way Various ways to realize the method by poly induction As for the methods by poly induction it is necessary to add this that the gear of semi transmission, can be unique, but also multiple. Moreover the points of support of the blade can be located only in the tips, in the tips and copts, that in the sides. Similarly they can be located between these points in such a way of to make a saddle bend between the side cylinder curvatures and vertical that produce these first places of support.
Example by the method of central gear post active and semi transmission to pinion The binding of the inductions can also be carried out from the connection of the inductions by the support gear. In this complicity of methods in effect, the blade is supported by a central gear mechanism active pots, and the post Action of this gear is obtained by semi gear transmission pinion. he It should be noted that the arming gear is here the one whose center equals at center of the crankshaft, resulting in the post rotation of the gear pinion planetary. On the side. Inversely, this gear planetary gear doubled ensures the retrorotation of the cylinder gear, and consequently of the cylinder Additional Comparative Descritions In the pages that follow, we compare the three main modes of birotativity, that is, semi-passive poly induction machines, machinery planetary rotor cylinder, and Clokwise blade machines, to engines to pistons and conventional rotary engines, mainly mounted on blades of three sides and controlled by mono induction.
Comparative machine with semi transductive poly inducton The birotativity of this machine is ensured by its bi induction.
The comparison during descent of the semi-induction machine transmittive to the piston engine and the conventional rotary engine, we note the following points The advantages of semi-transmit poly induction machines are the following 1) A ratio of turning blade and crankshaft master of one on one 2) A calibrated force of the blade, to balance the rear thrusts and before ensuring an equivalent retro-adjustment to the requirement imposed by curvatures 3) An angle of torque, going downhill, appreciable on the secondary crankshaft 4) Slow acceleration and deceleration

5) Une capacité à la réalisation de la machine avec valves lumières Les avantages des machines à cylindre rotor sont les suivants 1 ) un ratio de tournage des vilebrequins en fonction du nombre de coté de pale pour les machine rétrorotative et de cylindre pour les machines post rotatives, ce qui augment la portée des vilebrequins 2) des angles de couple améliorés par le déphasage de la pale 3) une soustraction des parties compressives qui subiraient normalement les contra poussées, donc absence ou limitation des contre poussées 4) De faibles accélérations et décélérations 5) Une capacité à la réalisation de la machine avec valves lumières Les avantages des machines à cylindre rotor sont les suivants 5) A capacity to achieve the machine with valves lights The advantages of rotor cylinder machines are as follows 1) a ratio of turning of the crankshafts according to the number of sides of blade for retrorotative and cylinder machine for machines post rotary, which increases the reach of crankshafts 2) torque angles improved by the phase shift of the blade 3) a subtraction of the compressive parts that would normally be Contra pushed, so absence or limitation of counter-attacks 4) Slow acceleration and deceleration 5) A capacity to achieve the machine with valves lights The advantages of rotor cylinder machines are as follows

6) un ration de tournage des vilebrequins en fonction du nombre de coté
de cylindre pour les machines post rotatives, ce qui augmente la portée des vilebrequins
6) a ration of turning crankshafts according to the number of sides of cylinder for post rotary machines, which increases the range crankshafts

7) des angles de couple améliorés par le déphasage de la pale $) une soustraction des parties compressives qui subiraient normalement les contre-poussées, donc absence ou limitation des contre poussées 9) Un travail sur la totalité de surface de la pale 10) Un travail sur la totalité de l'éloignement entre les parties dynamiques 11 ) Un travail à contrario des mécaniques de cylindre et de pale 12) De faibles accélérations et décélérations 13) Une capacité à la réalisation de la machine avec valves lumières Il faut aussi ajouter, en terminant, que bien qu'ici les démonstrations de toutes ces combinaisons de méthodes sont appliquées aux machines rotatives de bases, elles peuvent être appliquées à toutes machines en général, Moteurs Slinky, Semi turbines différentielle , de même qu'à toutes les figurations de machines post rotatives et rétrorotatives.
De même, l'utilisation d'engrenages polycamés pourra être utilisée dans toutes les structures. Dans le cas de machines à cylindre rotor , comme c,est la partie interne qui reçoit les gaz , la partie extérieur pourra recevoir les engrenages polycamés.
Pour terminer, il faut répéter une fois de plus que toutes ce machines peuvent être utilisées généralement mais non limitativement comme pompes, compresseurs , machines de captation, moteurs, propulseurs , broyeurs et que de plus , les matières y transigeant peuvent être de toutes sortes, gaz, liquides, solides ets.
Finalement ajoutons que, lors de leur réalisation sous ces diverses formes, l'on pourra réaliser les machines avec ou sans segmentations.
Dans ce premiers cas, il pourra s'agir de segmentation conventionnelle. L'on pourra aussi recouvrir les pales par exemple de caoutchout ou autres matériaux réalisant l'étanchéité. Dans le cas de petites machines, des cotés en pression calibrable en densité pourront remplacer la segmentation de coté. Une coupe de cylindre et pale en biseau pourra aussi permettre une pression segmentative de la pale sur le cylindre sans segmentation.

Segmentation L'on pourra, pour la segmentation de petites machines et cela surtout de type pompes réaliser les extrémités de la pale avec des matériaux plus flexible, assurant l'étanchéité. L'on pourra aussi réaliser la pale elle-même en matériau flexible, avec une incurvation, intérieure, ou extérieure, que la pression redressera de telle manière de force les pointes de pales de demeurer collées aux parois. De même les pales pourront être réalises en deux parties avec ressort, ce qui éliminera les segmentations de cotés.
Moteurs électrico planétaires Mentionnons finalement que l'on pourra aussi réaliser de moteurs électro planétaire, créant entre les pôles des différence de puissance activant la machine, différences qui ne peuvent être obtenues par de mouvement strictement ronds.
Description sommaire des figures des figures La figure 1 montre l'ensemble des méthodes de soutient des machines motrices de premier degré, post rotatives ou rétrorotatives.
La figure 2 montre quelques machines de second et de troisième degré , soit la poly turbine de Wilson en a), la Quasiturbine de st-Hilaire en b), les moteurs Slinky c) , Périphériques d) , Semi turbines différentielles e) , du présent inventeur..
La figure 3 montre que des méthodes mécaniques d'augmentation de degré des machines , permettant a la fois de réaliser des machines de second et troisième degré et à la fois d'augmenter le degré des machines de premier degré, leur donnant ainsi une valeur partiellement bi rotative, ou trirotative. L'on reconnaît en a) la mécanique par poly induction b) la mécanique par semi transmission c) la mécanique par engrenages polycamés La figure 4 montre que l'on peut aussi augmenter le degré des machines par des réingénieries géométriques ou dynamiques La figure 5 montre que l'on peut réaliser en composition des méthodes de soutient de telle manière de soutenir mécaniquement les parties compressives des machines ainsi de degré
La figure 6 montre que les différentes variantes que la présente invention entend préciser. Notamment l'on montrera, en a ) comment réaliser des poly induction dynamiques alternatives, dont les encrages et mouvements en Boomerang identiques pour chaque partie de pales . En b , l' on montrera que toute méthode d'élévation de degré même géométrico dynamique, telles que par cylindre rotor, et pale en Clokwise peuvent être combinées à toutes autre pour aussi davantage le niveau de la machine .
Troisièmement , en c ) l'on généralisera l'énoncé préalablement fait par nous que toutes les induction peuvent réaliser le mouvement Clokwise, et, associés à
une mécanique de réversion, réaliser le soutient des pièces des machines à
cylindre rotor La figure 7.1 monte les qualités des moteurs à pistons.
La figure 7.2 a montre le moteur de Mallard, et les lacunes qu' entraînent les types support proposés par l' art antérieur, et notamment par les mono induction et engrenages intermédiaires de Wankle.
La figure 7.2.3 montre en a ) en effet la méthode de pensée de laquelle procède sa construction.
La figure 7.3 exprime, en a ) la nature de la conception du mouvement de la pale que ces mécaniques induisent. Le vilebrequin le mouvement de pale à la manière d'une onde.
La figure 7.3 montre une figuration les difficultés qui expliquent les difficultés de réalisation de la machine rotative. Cette montre l' idée que la difficulté
matérielle de réalisation de mécaniques appropriées pour les pales des machines rotatives, tient au fait de la double fonction simultanée, des pointes des pales de ces machines.

La figure 7.4 montre en a) un piston en penture. En b) l'on voit la version rotative de la dynamique à penture, telle que nous l' avons montré antérieurement, ce piston ayant été nommé piston culbuteur .
La figure 7.5 a et b montre que ce mouvement, dit mouvement Boomerang peut encore être plus caractérisé par mono induction, en polycamant les engrenages En 7 .6 l'on montre en a et b ) , de façon caricaturée, que l'on pourrait réaliser les deux armements par un seul ensemble d'engrenage. En c ) une polycamation à la fois interne et externe, réalise le double ancrage , et confere à la machine une birotativté mécanique , par inversion successive d'engrenages extérieurs, intérieurs, mais au surplus une double penture successive et alternative En 7.7.1 montre la méthode par poly induction, qui réalise une meilleure forme de cylindre et de meilleurs rapports et angles de rotations.
L'on montrera ultérieurement que l'utilisation de tels engrenages permet un design de pale que les méthodes simplement mono inductives ne permettent pas.
La figure 7.7.2 a montre quelle conception du mouvement de la pale est à l' origine des mécaniques de mono induction de Wankle. En b ) l'on voit la conception ondulatoire du mouvement de la pale que cette mécanique recèle.. En c) l'on aperçoit la méthode par engrenage intermédiaire. Et en d ) les lacunes de conception du mouvement de la pale que cela recèle La figure 7.8.1 rappelle les différences entre la méthode par mono induction et celle par poly induction La figure 7.8.2 montre avec deux pôles seulement pourquoi la poussée demeure égale sur toute la surface de chaque coté de la pale, puisque les deux pôles divisent toujours la pale en deux parties égales, quelle que soit la figure de machine rotative réalisée. Ceci est au surplus tout autant valable lorsque les supports sont dans les milieux des cotés, ou dans les pointes.
La figure 7.8.3 montre les trois points d'ancrage réels 40 de coté, et de pointe 41 , de même que virtuel 42 virtuels de la méthode par poly induction, permettant de réaliser le mouvement en penture Boomerang.
La figure 7.8.4 montre une certaine inégalité mécanique des inductions à
double supports opposées, lorsque réalisées avec des pales de nombre impair, et des pales de nombre pair.

La figure 7.9.2 montre la complémentarité des course des soutient des machines à
poly induction. La méthode par poly induction permet donc de déduire trois courses principales, des moyens de support. En a , lorsque les moyens de support sont situés dans le pointes des pales , la course est latérale.
En b) lorsque les moyen de supports sont dans les cotés, la course est verticale.
En c ) lorsque les moyens de support sont dans des positions de rattachement à
la pale dans les aires intermédiaires, leur course est oblique à celles des deux premières.
La figure 7.9.3 montre les diverses solutions permettant de réaliser des poussées égales de chaque coté des pales, en réalisation Moteur de la machine . En a ), l'on retrouve les tri induction par encrage descendant et soutient par les milieux de cotés. En b ) l' on retrouve les tri induction par encrage de coté et soutient perpendiculaires dans les parties médiantes. En c et d, les soutients par poly induction dynamique alternative. En e , les soutiens par semi transmission. En fJ , les soutients par addition de bielle de géométrie . Toutes ces méthodes réaliseront , pour chaque partie de la pale, la machine dans sa version poly inductive Moteur.
La figure 8.1 montre les raisons pour lesquelles le modèle de soutient par les pointes est la version compressive de la machine, et ne peut réaliser d'effets moteurs intéressants. Dans cette disposition, que nous présentons en haut de montée en a ) et en cours de descente en b ) , l'on apercevoir que l'on ne retrouve que peu la notion d'armement, et qu'au surplus, celle-ci se retrouve au haut de la montée.
La figure 8.1.1 montre quel raisonnement géométrique a servi pour la construction de chaque course poly inductive . Comme on peut le constater, en a) la forme de cylindre projetée est la forme dupliquée de la course même de l'induction. En b , l'on réalise une induction verticale, et l'on réalise que des additions tangentielles , d'un coté comme de l'autre produisent la forme de l'induction, mais cette fois-ci perpendiculaire à l' induction .
En c) l'on constate que des additions géométriques cette fois-ci obliques doivent être de longueur différente pour produire la même forme qu,en a et en b ) La figure 8.1.2 montre en cous de descente, les emplacements des inductions pour chacun des modèles de support.
La figure 8.1.3 montre, pour chacune des phases de la méthode par poly induction de base, l'amorce des descentes selon les positionnements des soutients .
La figure 8.1.4 montre que les figures produites par des points situées dans les cotés, ou dans les parties médianes produisant des formes de courses plus verticales et donc plus motrices.
La figure 8.2 montre comment réaliser en totalité les explosions de façon motrice en réalisant des pales composées de pales fragmentaires.
A l'évidence, chacune de ces parties travaillerait en poly induction, mais les pales seraient, comme dans la poly turbine , des ensembles paliques difficiles à
réaliser .
La figure 8.3 montre que pour réaliser pleinement les poly induction, il faut conserver les effets de penture qu'offrent le poly induction à deux pôles.
La figure 8.4.1 montre que l'on peut en effet réaliser le mouvement Boomerang avec encrage, en retranchant momentanément les capacités de couplage de l'engrenage en penture non motrice, pour ne travailler que sur les deux autres supports offensifs. La figure 8.4.2 montre que pour chacune des machines, l'on aurait choisir deux des paires d'engrenages actifs, et un engrenage libre différent.
Nous indiquerons plus loin comment choisir les meilleures Combinaisons.
La figure 8.5. 1. l montre un tour de la machine. Elle montre que de phases en phases, les fonctions des engrenages seront donc transposées alternativement La figure 8.5.1.2 montre la même procédure que précédemment, mais cette fois-ci en prenant pour point de départ des emplacements de soutient situés dans les cotés de pales.
La figure 8.5.2 montre la possibilité de relier à des manetons identiques 114 diverses pales dont les points de support sont dans les pointes pour l'un 115 , ce qui permettra de réaliser, pour chacun un cylindre en sens opposé, comme ce que l'on retrouve dans les moteurs de type orbital.
En b ) le couple se réalise à la fois sur les deux inductions.

En c ) l'angle de couple est prononcée sur le vilebrequin supérieur, mais en traction sur le vilebrequin maître.
En f ), il n'y a plus de couple sur le maneton supérieur , mais il en demeure sur le vilebrequin maître En e), et f ) le cycle se reproduit, mais en duplication inversé , la poussée venant du bas.
La figure 8.7 montre qu l'on peut polycamer les poly inductions.
En ce cas, ce pourra être par exemple l'engrenage de support qui sera amputé
de parties de dents.
La figure 8.9 montre, à titre exemplaire, à partie dune pale à quatre cotés, que les structures par poly induction dynamique peuvent être produites pour toutes les figures, et que l'on peut avoir à divers recours de découplage momentané, dont par exemple ici le retranchement de dents sur les engrenages d'inductions La figure 9.1 a montre que l' on peut par addition géométrique, faire produire à
l' armement une poussée positive La figure 10 a b , c montre que les semi transmission sont des inductions virées sur elles même La figure 11 commente la méthode par poly induction augmentée, bi mécaniquement par semi transmission La figure 12 montre les principaux procédés de transmission accéléro décélératives La figure 13.1 montre les principaux procédés de transmission inversives La figure 13.2 montre à la fois des procédés de semi transmission inversives et accélératives confondues.
La figure 14 montre des applications de diverses semi transmission à la méthode poly inductive La figure 15 montre une poly induction semi transmittive par engrenages pignons, cette fois ci en trois dimensions, en a , et en transversale en b ) La figure 16.1 montre qu'une autre façon de réaliser les machines de façon birotative est d'utiliser en complémentarité opposée sur une même pale, deux méthodes de support, par exemple par engrenage intermédiaire antérieur et postérieur La figure 16.2 donne un exemple de la dernière procédure, en laquelle la pale est soutenue conjointement par une méthode d'engrenage cerceau 183, et d'engrenage intermédiaire 184 .
La figure 17 montre que l'on peut réaliser des formes de cylindre birotatives avec des mécaniques post rotatives, ou rétrorotatives, soustraite, ou additionnées selon le cas d'un paramètre géométrique, nomme bielle de géométrie La figure 18 montre que l'on peut comme nous l'avons déjà mentionné augmenter le degré de la machine en réalisant celle-ci avec pale fixe et avec cylindre rotor planétaire, et ce sous toutes ses formes et avec toutes mécaniques.
La figure 19 donne d'autre exemples de généralisation de soutient de cylindre rotor.
En a ) l'on montre la procédure par cylindre rotor soutenue par mono induction. En b , l' on montre une augmentation de degré par soutient par semi transmission.
En c, l'on applique la procédure par cylindre rotor est augmentée par l'utilisation d'une mécanique par poly induction par engrenage pignon soutenant la pale, et en d) cette polyinduction est semi transmittive , ce qui pousse la machine à un quatrième degré de support.
La figure 20 montre une augmentation de degré par dynamique de pale en Clokwise. Cette distribution dynamique a déjà été commentée par nous-même. Il s'agit ici de montrer que celle-ci augmente le degré de la machine, et peut par conséquent être considérée comme méthode augmentative, pouvant être combinée avec toute autre méthode.
La figure 21 montre en a ) la machine est augmentée de degré par engrenages polycamés. En b ) c' est la machine à cylindre rotor qui est réalisé par engrenages polycamés.
La figure 22 a montre un exemple de combinaison étagée d' inductions. Ici, il s' agit de deux mono inductions. Plusieurs exemples ont été donnés dans la première partie de notre travail.

La figure 23 donne un exemple de double emploi inductif.
La figure 24 monte que la pale peut être actionnée à raison de un pour un de rétro vitesse de son vilebrequin en conservant la grosseur de ses engrenages se support et d' induction originaux, et en rétroactivant l' engrenage de support par une semi transmission inversive , à raison de un demi trou de cet engrenage par tour de vilebrequin La figure 25 montre en a que l'on peut utiliser en combinaison une autre semi transmission et une autre La figure 26 montre aussi une coordination confondue de deux inductions.
Dans la figue 27, la mono induction est reliée à une semi transmission inversive.
L'on voit ici que l'on a double es engrenages de semi transmission pour garantir la sécurisation du système.
La figure 28 montre ici une induction de pale par engrenage central actif, contrôlé
par semi transmission .
La figure 29 montre deux induction par engrenage cerceau, l'une montante, contrôlant le mouvement de la pale, et l' autre. , descendante, , c' est à
dire partant de la périphérie vers le centre, qui contrôle le rétrorotation du cylindre .
La figure 30 montre un contrôle de la pale par une poly induction semi transmittive à pignon.
La figure 31 montre encore une autre combinaison. Ici la pale est activée par semi transmission fragmentée, ou encore, unitaire, chaque engrenage d'induction ayant son propre engrenage de semi transmission.
La figure 32 est un exemple d' induction mises en combinaison par le même vilebrequin.
La figure 33 montre un autre exemple de liaison des parties par le vilebrequin, Ici, en effet, le vilebrequin contrôle à la fois l' induction de semi transmission supportant la rétrorotation dy cylindre, et à sa droit l' induction de la pale par engrenage cerceau Dans la figure 34 nous montrons que les inductions peuvent toute être insérées dans la pale, ce qui permet par la suite d'étanchéifier facilement celle-ci par rapport au cylindre rétrorotatif La figure 35 montre en a 1, le moteur rotatif standard en position d'explosion et en a2 , lors de la descente. L'on y voit que puisque la pression y est parfaitement égale de chaque coté de la pale, mais ceci en contradiction de poussée et de contre poussé, tout design de pale est inutile, puisque aucune action latérale ne peut être récupérée.
En a 3 , l'on voit le moteur en fin d'expansion, et l'on note que l'expansion réelle est beaucoup plus grande que l'expansion mécanique , et que par conséquent une partie de l'expansion n'est pas utilisée.
En b de la même figure, l' on montre les quatre circonstances privilégiées qui décentrent la partie compressive de son axe .
En b I, l'on retrouve cette situation lors d'utilisation d'engrenages polycamés , de même sens ou inversés .
En b 2 . lors de parties compressives par cylindre rotor En b 3 ) lors de mouvement Clokwise de pale ou de cylindre En b 4 ) lors de soutient dits en position intermédiaire, élisés En b 5 ) lors de toute situation en double soutient La figure 36 montre que dans les situations énoncées en 35 , l'on peut procéder à
un design de pale qui aura une incidence rotative effective, qui permettra une expansion rotativo perpendiculaire , dont la moyenne équivaudra à l'expansion géométrique effective La figure 37 et suivantes montre que plusieurs soutient de poly induction dynamique alternatives sont possibles, et occasionnent nombre de positions différentes des vilebrequins maître et secondaires en cours e tournage .
La figure 38 montre l'évolution de la poussée pour une méthode de poly induction dynamique avec support dans les cotés. L'on voit que cette méthode permet un travail de pale cylindre dont l'extension réelle , diagonale , est supérieur a la seule extension mécanique perpendiculaire, des machines de l' art antérieur.
La figure 39 montre la même chose pour une méthode de support par polyindution dynamique par les pointes . Notons que les supports dynamiques peuvent être réalisée avec toute poly induction, semi transmittive ou non, et avec engrenages standard ou à pignons, et pour la machines post rotatives ou rétrorotatives.
La figure 40 montre les même considération pour le modèle de soutient par dans les parties intermédiaires .
La figure 41 montre en effet, l'on remarque que par sa géométrie de positionnement des moyens de support , ce type de modèle permet deux supports perpendiculaires à la poussées et plus près du centre que le troisième support.
La figure 42 montre que l'on pourrait imiter la polycamation des engrenages en motivant l' engrenage de support d' un mouvement alternatif, qui l' actionnerait alternativement dans le sens de rotation du vilebrequin est dans son sens inverse.
Description détaillée des figures La figure 1 montre l'ensemble des méthodes de soutient des machines motrices de premier degré, post rotatives ou rétrorotatives. L'on y retrouve notamment les soutient a) Par mono induction ( Wankle ) b) Par poly induction c) Par semi transmission d) Par engrenage cerceau e) Par engrenages internes superposés f) Par double engrenages internes juxtaposés g) Par double engrenage interne juxtaposé ( attaque antérieure ) h) Par engrenage intermédiaire ( Wankle) i) Par engrenage intermédiaire en attaque supérieure j ) Par engrenage inerne-externe k) Par engrenage central post actif 1) Par soutient centralo-périphérique m) Par engrenage intermédiaire semi transmittif n) Par structure engrenagique o) Par engrenage de liens L'on aura soin de consulter nos travaux à ce sujet, aux deux premières parties de ce travail de synthèse.

La figure 2 montre quelques machines de second et de troisième degré , soit la poly turbine de Wilson en a), la Quasiturbine de st-Hilaire en b), les moteurs Slinky c) , Périphériques d) , Semi turbines différentielles e) , du présent inventeur..
Ces figures ont toutes en commun une courbure de cylindre non sinusoïdale, telle qu' on la retrouve dans les machines rotatives de base. Par conséquent, le soutient de leurs parties compressives nécessite touj ours plus d' une induction mise en combinaison. Ces combinaisons ont pour double objet premièrement de rendre birotative la partie compressive, donc apte à travail positivement sur toute sa surface, et deuxièmement de rendre l'attaque mécanique plus rectiligne.
La figure 3 montre que des méthodes mécaniques d'augmentation de degré des machines , permetta.nt a la fois de réaliser des machines de second et troisième degré et à la fois d'augmenter le degré des machines de premier degré, leur donnant ainsi une valeur partiellement bi rotative, ou trirotative. L'on reconnaît en d) la mécanique par poly induction e) la mécanique par semi transmission f) la mécanique par engrenages polycamés L'on aura soin, là aussi de relire nos travaux à ces sujets.
Nous résumons ici en mentionnait simplement que la mécanique par poly induction, en a) permet de réaliser un induction en dynamique Boomerang. Nous commentera on plus abondamment cette méthode aux présente puisque nous lui apporteront des développements. La mécanique par semi transmission, en b ) permet de récupérer une partie de la puissance et d l'angle de couple sur la partie arrière de la pale, cette partie réalisant au contraire des contre poussées dans l'ensemble des mécaniques de l'art antérieur.
Quant à la mécanique par engrenages poly camés en c), elle réalise à la fois des courbures de cylindres plus efficaces permettant un design de pale plus adéquat et actif, et elles produisent simultanément des accélération et décélération qui rectilignisent le mouvement à teneur excessivement circulaire des parties compressives des machines rotatives.
La figure 4 montre que l' on peut aussi augmenter le degré des machines par des réingénieries géométriques ou dynamiques. Encore là, l'on aura soin de relire nos travaux antérieurs à ce sujet, puisque nous donnerons aux présentes des précisions à
leur propos. En a ) l'on retrouve la machine à cylindre rotor planétaire l pale fixe , et en b ) l'on retrouve la machine à pale en mouvement clokwise%ylindre rétrorotationnel Par ces réingénieries dynamico géométries, l'on parvient à réaliser la puissance orientationlle de la machine puisque soit en a ) l'armement, s'il est disposé
au centre , se trouve déstabilisé par rapport au cylindre , ce qui permet la motricité , ou soit en b, l' toujours s'il est disposé au centre permet d'opposer les deux parties antirotationellement l'une de l'autre, ce qui multiplie la puissance circularo-rotative et orientationelle de la machine .
La figure 5 montre que l'on peut réaliser en composition des méthodes de soutient de telle manière de soutenir mécaniquement les parties compressives des machines ainsi de degré supérieur En a ) la méthode par semi transmission 1, est combinée à
une mono induction , elle-même polycamée 2. En b ) la méthode par poly induction 3 , est combinée à une induction semi transmittive 4 , ce qui permet la dynamique de son engrenage de support 5.
En c) L'on associe une méthode de poly induction 3, à deux mono inductions 6 , ce qui dynamise d'une autre manière les engrenages de supports. 7 La figure 6 montre que les différentes variantes que la présente invention entend préciser. Notamment l'on montrera, en a ) comment réaliser des poly induction dynamiques alternatives, dont les encrages et mouvements en Boomerang identiques pour chaque partie de pales . L' on appellera ces poly induction Poly induction alternatives Boomerang En b , l'on montrera quel toute méthode d'élévation de degré même géométrico dynamique, telles que par cylindre rotor, et pale en Clokwise peuvent être combinées à toutes autre pour aussi davantage le niveau de la machine . En B
l'on retrouve donc une composition possible de cylindre rotor planétaire / pale fixe et semi transmission.
Troisièmement , en c ) l'on généralisera l'énoncé préalablement fait par nous que toutes les induction peuvent réaliser le mouvement Clokwise, et, associés à
une mécanique de réversion, réaliser le soutient des pièces des machines à
cylindre rotor . L'on donnera donc des précision sur la manière de contrôler ces éléments, et donnerons plusieurs exemples qui montreront comment combiner les mécaniques de telle manière de réaliser une économie des ces éléments. Dans la partie c de Ia présente figure, la pale est contrôlée par engrenage cerceau 7 , et la rétroversion par semi transmission mono inductive 8 . Les deux parties se couplent entre elle par le même engrenage de support 9, qui contrôle également la rétrorotation du cylindre . En d ) l'on aura donc un contrôle Clokwise de pale par mono induction semi transmittive 9 , l' engrenage de support 10 de celle ~i servant à la fois à l' action rétrorotative de la pale. En e) le contrôle de u cylindre rotor sera réalise par poly induction 11 , et en f ) par mono induction npolycamée.l2 En g ) l'on montrera que l'on peut réaliser des tri induction avec armement descendant unique et temps mort annulé En h), l'on montrera comment réaliser la birotativité par polyinduction semi transmittive .En y , l' on montrera que l' activation alternative de l' engrenage de support réalise des formes de cylindres birotatives similaires a cette des engrenages polycamés. En j) l,on montrera que les diverses réalisations bimécaniques proposées par nous même appellent une conception du mouvement décomposable en sous mouvements dont la poussée peut par conséquent être captée par des pales spécifiquement profilés à cet effet.
La figure 7.1 monte les qualités des moteurs à pïstons. L'on a tout d'abord une action égale sur la totalité de la pale, ce qui confere à la partie compressive sa capacité birotative. 13 Ensuite sa mécanique de bielle a un armement décentré
qui consiste en son appui latéral sur piston et le cylindre .La bielle a donc la capacité de transformer le mouvement vertical et la capacité birotative du piston en un mouvement unisensé et non ambivalent , soit celui du vilebrequin. I 5.
Finalement l'on doit constater la totalité du mouvement vertical, puisque la longueur de travail des parties compressives est équivalentes à celle de la partie mécanique 16.
L'on ne retrouve aucune de ces qualités dans les machines rotatives de l'art antérieur, mais, comme nous l'avons montré, et le montrerons encore, plusieurs de nos mécaniques les restitues en entier.
Comme nous l'avons déjà mentionné, toute machine peut être réalisée sous sa forme Compresseur, ou sous sa forme Moteur. Les machines rotatives de l'art antérieur sont réalisées sous leur forme Compresseur. Les moteurs pistons peuvent aussi l'être, si on leur retranche l'une ou plusieurs des qualités précédentes. En b) de la présente figure, l'on a retranché l'effet de bielle en réalisant la machine à
partir d'une bielle à coulisse.l6 La capacité latérale de la machine est alors retranchée.
Par contre en c et en d , l'on a produit des mécaniques birotatives, qui augmentent de façon supplémentaire la puissance de la machine . En c , 'on a une mécanique par étagement de vilebrequins 17, et en d) , par adjonction de vilebrequins 18 La figure 7.2 a montre le moteur de Mallard, et les lacunes qu' entraînent les types support proposés par l' art antérieur, et notamment par les mono induction et engrenages intermédiaires de Wankle.
Ces deux méthodes de support, réalisent la machine non seulement avec des supports de pale centraux, mais au surplus avec un armement orientionel central.
Le résultat est que dans les deux cas, u'une des parties de la pale est en cotre poussée et l'autre en poussés.
Similairement à ce que l'on retrouve dans le moteur à piston à bielle coulissante précédemment présenté, la fonction orientationelle de la poussée n'est aucunement récupérée. Selon les méthode es poussées sont dans les parties antérieures ou postérieures de la pale, et les contre poussées dans les parties contraires.
Ces réalisations déficientes tiennent à une vision sémantique mécanique inappropriée du mouvement de la pale.
La figure 7.2.3 montre en a ) en effet la méthode de pensée de laquelle procède sa construction. Géométriquement , l'on réalise la rotation d'un cercle 19 autour d'un autre 20 , qui produit simultanément une rétrorotation de ce premier cercle 21 Si l'on ajoute des paramètres géométrique à ce cercle 22, ceux-ci réaliseront des figures , comme par exemple une quasi ellipse.23 Par la suite , l'on réalise le soutient ce cercle par un vilebrequin 24 , et l'on complète en reliant les tangentes 25 entre elles , ceci formant la pale 25 . Tel qu'on le voit en c ) la force réalise par un e telle mécanique n'est que résultante , et est très indirecte.
La figure 7.3 exprime, en a ) la nature de la conception du mouvement de la pale que ces mécaniques induisent. Le vilebrequin le mouvement de pale à la manière d'une onde. Dans les faits, il se passe, circulairement, comme si le vilebrequin soulevait successivement plusieurs planches reliées entre elles .Le mouvement est donc ondulatoire tel que montré en b) , et, comparativement au moteur à
pistons, crée peu de force différentielle d'avec le vilebrequin , dont le mouvement est circulaire Le mouvement Boomerang, dont l' imagerie est donnée en c) , et que nous avons réalisé de plusieurs manières, introduit une certaine rectilignité dans le mouvement des machines rotatives . Cette rectilignité n'est cependant pas suffisante pour créer des effets négatifs, comme dans le moteur à pistons.

La figure 7.3 montre une figuration les difficultés qui expliquent les difficultés de réalisation de la machine rotative. Cette montre l' idée que la difficulté
matérielle de réalisation de mécaniques appropriées pour les pales des machines rotatives, tient au fait de la double fonction simultanée, des pointes des pales de ces machines. En effet, l'on voit bien à cette figure en a 1), la fin de la descente de la partie antérieure de la pale 25 , et l'amorce de la descente de la partie supérieure 26 . En 3 , 4 et 5 les deux actions sont plus compatibles, car les deux parties de pales sont en poussée.
27 . Par contre, en 6, les contradictions entre les parties se représente. Les chevauchements des parties, pour une même mécanique est donc une difficulté
technique importante.
En b , l'on en trouve une seconde explication . L'arrière et le devant de la pale passent successivement par des accélérations et décélération , qui sont en fait des additions de vitesse et des soustraction de vitesses des éléments entre eux.
Or il faut réussir à réaliser un courbure de cylindre par laquelle se réalisent simultanément les soustractions de vitesse d'une partie de la pale en b I , et les additions de vitesse de l'autre partie en b2) La figure 7.4 montre en a) un piston en penture. En b) l' on voit la version rotative de la dynamique à penture, telle que nous l' avons montré antérieurement, ce piston ayant été nommé piston culbuteur . Lorsque réalisé non rotativement tel que présenté en a ) , l'on constate que le mouvement n'est pas parfaitement rectiligne , et à donc des accélérations décélérations moins contraires , ce qui adoucit ici très légèrement le mouvement . En b ) le piston culbuteur est disposé rotativement , et son action sinusoïdale est , pour ainsi dire, est rectilignisée. Tel qu'on le voit par la courbure du cylindre, la suite des arc le composant est irrégulière. En c) l'on doit visualiser ce mouvement dans la pale, lorsqu'elle est tenue par deux moyens de support, comme par exemple dans notre méthode de poly induction à deux pôles.
La figure 7.5 a et b montre que ce mouvement, dit mouvement Boomerang peut encore être plus caractérisé par mono induction, en polycamant les engrenages.
L'on a ici deux exemples de polycamation, réalisant chacun un effet de penture similaire à celle des machines à pistons culbuteur, pentures que nous nommons aussi armement, parce qu'ils dirigent la mécanique dans un sens précise, et lui retranche son indécision, tel qu'on la retrouve au point mort. La figure présente exemples de pentures réalisées par engrenages polycamés, Ia premiére étant dans les pointes de cylindre 30 et la seconde dans les arcs 31 de celui-ci. Dans la première, la rétrorotation de la pale sera accéléré en haut de la montée, ce qui produira un glissement de celle-ci Le vilebrequin sera donc angulairement disposé
lors e l' amorce de son accélération . Cette accélération sera réalisée avec un encrage arrière, que nous nommons encrage de descente. L'on parlera d'un descente en encrage.
En de la même figure, le ses des engrenages est inversé. Par conséquent le mouvement de rétrorotation de la pale sera au haut ralenti, ce qui la lui conférera une course plus similaire à celle du vilebrequin A la descente proprement dite, le vilebrequin sera aussi angulaire. L'encrage le plus fort de la pale sera donc en haut de montée. Par contre icï l'explosion et la descente seront plus en angle avec la poussée. L'on consultera nos travaux antérieurs à ce sujet pour plus de détails.
En c de la même figure, l' on peut observer une direction intermédiaire des positïons des engrenages, ce qui permettra de réaliser une course entre les deux premières, de même qu'un encrage de descente plus hâtif. En d de la même figure, l'on a un des engrenages comportant plus de faces de polycamation, permettant de réaliser deux encrages par descente, soit les encrages de pointe et encrages de descente.
En 7 .6 l' on montre en a et b ) , de façon caricaturée, que l' on pourrait réaliser les deux armements par un seul ensemble d'engrenage 30, 31 . En c ) une polycamation à la fois interne 32 , 33 et externe, réalise le double ancrage , et confère à la machine une birotativté mécanique , par inversion successive d'engrenages extérieurs, intérieurs, mais au surplus une double penture successive et alternative. Les dynamiques d' accélération et de décélération, de même que de courbure des cylindre de ces machines ont été antérieurement montrées par nous même , la présente à simplement pour objet de mettre de façon en lumière que le mouvement Boomerang de celles-ci est assimilable à celui des machines poly inductives.
En 7.7.1 montre la méthode par poly induction, qui réalise une meilleure forme de cylindre et de meilleurs rapports et angles de rotations. L' on montrera ultérieurement que l'utilisation de tels engrenages permet un design de pale que les méthodes simplement mono inductives ne permettent pas.
Les principales différences a retenir entre ces deux mécaniques sont les suivantes.
Le rapport de vitesse de rotation du vilebrequin des machines rotative de Wankle est de trois tours pour un. En conséquence, la pale est surcommandée et les rapports de sinusoidité du cylindre sont faibles. De plus la pale subit des contre poussés sur sa partie arrière, ce qui affaibli la poussée générale. Finalement les angles de couple sont longs à se former, et arrivent à maturité au deux tiers de la descente, Dans la méthode par poly induction, la vitesse de rotation de la pale est similaire à
celle du vilebrequin maître. Le rapport des vilebrequins secondaires est de un sur deux, assurant un meilleur cylindre. La machine possède deux points antipolaires d' armement successifs, assurant la puissance du mouvement Boomerang .
La figure 7.7.2 a montre quelle conception du mouvement de la pale est à
l'origine des mécaniques de mono induction de Wankle. En b ) l' on voit la conception ondulatoire du mouvement de la pale que cette mécanique recèle.. En c) l' on aperçoit la méthode par engrenage intermédiaire. Et en d ) les lacunes de conception du mouvement de la pale que cela recèle La figure 7.8.1 rappelle les différences entre la méthode par mono induction et celle par poly induction La figure 7.8.2 montre avec deux pôles seulement pourquoi la poussée demeure égale sur toute la surface de chaque coté de la pale, puisque Ies deux pôles divisent toujours la pale en deux parties égales, quelle que soit la figure de machine rotative réalisée. Ceci est au surplus tout autant valable lorsque les supports sont dans les milieux des cotés, ou dans les pointes. En effet , tel qu'on le voit en a.) , lorsque les deux pôles sont perpendiculaires au coté de la pale, la surface de celle-ci est divisée en deux , ce qui assure une utilisation de la surface totale de celle-ci . 35 En b, lorsque les deux pôles sont en position diagonale, l'on constate que , si l'on trace un ligne dans le sens de la poussée, donc perpendiculaire à Ia surface de la pale , cette ligne les rejoignant, ces points divisent eux aussi la pale en surfaces égales et permettent une poussée égale sur toute la surface de la pale. 36 , par le même précédé, la pale capté de façon parfaitement égale les poussées de l' explos ion. 3 7 En d), l'on voit que cette solution générale s'applique à toutes les formes de pale de coté impairs, et en e) à toutes les formes de cotés pairs La figure 7.8.3 montre les trois points d'ancrage réels 40 de coté, et de pointe 41 de même que virtuel 42 virtuels de la méthode par poly induction, permettant de réaliser le mouvement en penture Boomerang.
La figure 7.8.4 montre une certaine inégalité mécanique des inductions à
double supports opposées, lorsque réalisées avec des pales de nombre impair, et des pales de nombre pair. Dans le cas des mécaniques à cotés impairs en a ) cette inégalité

est physique et les pièces doivent être calibrées . Dans le cas des mécaniques à
pales de coté pairs, l'on constate qu'elles demeurent équilibrée lorsque les pales sont soutenues par les centres de cotés, puisque après un quart de tour leur égalité
de retrouve sur l' autre coté. L' armement de coté se réalise touj ours.
En c ) cependant, lorsque les soutients se retrouvent dans les pointes de pales , la machine est alternativement motrice , et compressive La figure 7.9.1 montre le déroulement pour un tour de la méthode par poly induction. et de plus montre comment la méthode réalise alternativement la poussée en penture, ou Boomerang de la pale de la machine. En a) de la figure, les deux inductions sont perpendiculaires à la machine. 45 L'armement se produit par l' induction inférieure, 46 qui est à ce moment à sa vitesse minimale, alors que la vitesse du point supérieur de support est à sa vitesse maximale 47 . Le point supérieur à donc une tendance naturelle à tourner autour de l'autre En b e la figure commence la seconde séquence. Le point de support supérieur est descendu vers sont point de ralentissement maximal, 498 et c'est Ie point extérieur, qui en a ) était encrage, qui devient le point offensif, 49 tournant autour du point d'armement de coté 48 .
Le cycle se poursuit autour d'un point d«'armement virtuel, 50 et reprend sa révolution dans figures subséquentes.
La figure 7.9.2 montre la complémentarité des course des soutient des machines à
poly induction. La méthode par poly induction permet donc de déduire trois courses principales, des moyens de support. En a , lorsque les moyens de support sont situés dans le pointes des pales , la course est latérale.
En b) lorsque les moyen de supports sont dans les cotés, la course est verticale.
En c ) lorsque les moyens de support sont dans des positions de rattachement à
la pale dans les aires intermédiaires, leur course est oblique à celles des deux premières.
La figure 7.9.3 montre les diverses solutions permettant de réaliser des poussées égales de chaque coté des pales, en réalisation Moteur de la machine . En a ), l'on retrouve les tri induction par encrage descendant et soutient par les milieux de cotés. En b ) l' on retrouve les tri induction par encrage de coté et soutient perpendiculaires dans les parties médiantes. En c et d, les soutients par poly induction dynamique alternative. En e , les soutiens par semi transmission. En f) , les soutients par addition de bielle de géométrie . Toutes ces méthodes réaliseront , pour chaque partie de la pale, la machine dans sa version poly inductive Moteur.
La figure 8.1 montre les raisons pour lesquelles le modèle de soutient par les pointes est la version compressive de la machine, et ne peut réaliser d'effets moteurs intéressants. Dans cette disposition, que nous présentons en haut de montée en a ) et en cours de descente en b ) , l'on apercevoir que l'on ne retrouve que peu la notion d'armement, et qu'au surplus, celle-ci se retrouve au haut de la montée. En effet, à cet endroit, les deux moyens du haut 301auront tendance à
pivoter autour du moyen inférieur, alors en stoppage mécanique 300 A ce moment si la machine st actionnée par le vilebrequin, elle aura une bonne capacité
d'effort, comme machine de compression. Par ailleurs, comme on peut le constater en b, deux moyens de supports 301 se trouvent toujours en position antérieure, et une seule en position postérieure. Par conséquent, ces deux moyens ne peuvent simultanément réaliser une penture autour de laquelle le ou les moyens avant la machine tournerait. L'effet Boomreang , réalisé dans nos mécaniques de polyinduction ne peut se réaliser.. Les deux vilebrequins antérieurs sont, au surplus de créer un effet de penture contraire, en contresens de la poussée. La machine est limitée à la poussée sur le maneton secondaire avant 302 , qui actionne individuellement le vilebrequin principal Les capacités motrices de la machine sont donc inférieures à ses capacités Compressives. C'est pourquoi nous disons qu'il s'agit ici d'une version de machine de type Compresseur, non indiquée pour des réalisation de moteur.
La figure 8.1.1 montre quel raisonnement géométrique a servi pour la construction de chaque course poly inductive . Comme on peut le constater, en a) la forme de cylindre projetée est la forme dupliquée de la course même de l' induction. En b , l'on réalise une induction verticale, et l'on réalise que des additions tangentielles , d'un coté comme de l'autre produisent la forme de l'induction, mais cette fois-ci perpendiculaire à l' induction .
En c) l'on constate que des additions géométriques cette fois-ci obliques doivent être de longueur différente pour produire la même forme qu,en a et en b ) Ces trois constatations nous permettent de réaliser qu la même forme de cylindre est, comme dans les figures précédentes, réalisée par des moyens d' induction disposés en des endroits différents de la machine , et que les courses de ces moyens sont différentes .

La figure 8.1.2 montre en cous de descente, les emplacements des inductions pour chacun des modèles de support.
L'on peut constater que la méthode de soutient Compressive a, comme nous l'avons déjà mentionné , deux soutiens antérieurs au centre de la machine et au soutient postérieur, empêchant tout effet d' ancrage. Les contre poussées sont donc importantes.
La tri induction par les cotés, qui déjà constitue un avancement puisqu'elle permet de réaliser la machine, ors de la descente, avec deux mou=yens de support avant , et un moyen d'ancrage antérieur. C'est pourquoi nous disons qu'il s'agit la de la version Moteur de la machine. Io faut aussi noter, lors d'attaque que les deux vilebrequin inférieurs sont en traction. 55, De plus cette solution situationnelle permet une course verticale des inductions 56 , ce qui est de beaucoup préférable à
la course latérale de la figuration précédente . Ceci assure une meilleure couple à
la machine. De même, la solution par emplacement intermédiaires, permet un support perpendiculaire à l'explosion de deux des support 58 , se qui l'approche de la méthode par poly induction complète. De plus , la course des support en ce cas est oblique , ce qui améliore aussi la descente. En cours de descente, l'on retrouve là aussi un armement ,Puisque deux des pôles ont passé le centre de la machine.
La machine a donc un sens mécanique prépondérant vers l' avant. Comme dans la figuration précédente, l 'armement permet de mettre en rapport les engrenages entre eux, ce qui crée l 'effet Boomerang, puisque l 'on doit en ces cas considérer la portée de la machine comme étant la portée entre les engrenages de poussée et d 'ancrage.
La figure 8.1.3 montre, poux chacune des phases de la méthode par poly induction de base, l' amorce des descentes selon les positionnements des soutients . En a ) lorsque la pales est soutenue de façon centrée, le soutient supérieur descend vers le bas 60 , et le soutient inférieur réalise une amorce latérale 61. Dans la deuxième explosion, l'amorce du haut est aussi descendante 63, et l'amorce du bas latérale dans le sens du moteur 64. Dans la troisième explosion, l'amorce du haut est latérale vers le bas 65 et l'amorce de l'autre portée vers le bas 66 La figure 8.1.4 montre que les figures produites par des points situées dans les cotés, ou dans les parties médianes produisant des formes de courses plus verticales et donc plus motrices. Ces constatations sont importantes puisqu'elles permettent de construire la machine avec trois pôles de soutient, mais avec des armements totalement différents pour chacune d' elles.
L' on pourra opter pour un armement en cours de descente, tel que montré en b ) ce qui sera la version Moteur de la machine.
L'on pourra aussi opter pour un soutient médiant, qui assure une perpendicularité
de deux des soutients, à l'explosion, et qui au surplus produit un armement aussi de coté, mais plus hâtif, que celui de coté parfait. Par conséquent, cet armement non semble plus près des nécessités thermodynamiques .
La figure montre aussi que les amorces sont aussi différentes pour les figures à trois pôles. En effet, en a ) l'on voit l'amorce latéralisante 70 de la mécanique par moyen de supports dans les pôles. C'est pourquoi l'on dira que la machin est montée sous sa forme compresseur.
En b ) l'on voit que l'amorce est verticale, 71, ce qui est beaucoup plus comme à la poussée.. C' est pourquoi l' on dira que la machine est sous sa forme Moteur.
En c) l'on voit qu'une course des supports plus oblique 72 , permet une attaque aussi assez verticale.
Même si les course un et deux sont des avancements dans les réalisation Moteur de la machine, elle ne réalisent pas pleinement l'effet Booerang, puisque les travail des encrage y est entravé par son propre dédoublement. Nous verrons plus loin comme retrouver l'effet Boomerang, même à trois soutient.
La figure 8.2 montre comment réaliser en totalité les explosions de façon motrice en réalisant des pales composées de pales fragmentaires.
A l'évidence, chacune de ces parties travaillerait en poly induction, mais les pales seraient, comme dans la poly turbine , des ensembles paliques difficiles à
réaliser .
La figure 8.3 montre que pour réaliser pleinement les poly induction, il faut conserver les effets de penture qu'offrent le poly induction à deux pôles. La figure montre que les deux engrenages extérieurs, en a 1 et b 1 , forment une penture extérieure 80 qui annule la puissance de la machine. Les pentures comprenant un engrenage antérieur et l'un des deux engrenages postérieur sont par ailleurs motrices.81. Comme il, y a rotation des engrenages et que les engrenages postérieurs se retrouvent, un demi trou plus loin , comme engrenages antérieurs, il faut réaliser le travail des engrenages en alternance. C'est ce que nous nommerons la poly induction pleine, pou poly induction dynamique alternative.

La figure 8.4.1 montre que l' on peut en effet réaliser le mouvement Boomerang avec encrage, en retranchant momentanément les capacités de couplage de l' engrenage en penture non motrice, pour ne travailler que sur les deux autres supports offensifs. La façon la lus simple de réaliser temporairement de découplage est de retrancher les dents de l'en des engrenage du moyen, par exemple ici de l'engrenage de support.90. Comme on peut le constater, ce retranchement annule le couplage du moyen de support qui y est relatif 91 . Les trois supports sont donc momentanément en position d'armement pour l'un 92, offensive, pour l'autre 93, et libre pour le dernier 94 La rotation d 'engrenage libre sera momentanément réalisée par son maneton qui continue d'ëtre raccordé à la pale. Par conséquent sa positon, tout autant otientationelle , ou positionnelle sera conservée lors de l'avancement de la machine dans son cycle. Par conséquent, lors du retour du couplage, les aspects géométriques seront conservés.
La figure 8.4.2 montre que pour chacune des machines, l'on aurait choisir deux des paires d'engrenages actifs, et un engrenage libre différent. Nous indiquerons plus loin comment choisir les meilleures Combinaisons.
La figure 8.5.1.1 montre un tour de la machine. Elle montre que de phases en phases, les fonctions des engrenages seront donc transposées alternativement.
L'engrenage libre deviendra par exemple en armement, l'engrenage d'armement en poussée, et l'engrenage de poussée libre. C'est pourquoi nous appelons cette poly induction poly induction dynamique, ou bi induction alternative. Ce type d' induction prend donc minimalement trois inductions travaillant en groupe de deux. Ici l'on a réalisé la méthode la plus, simple, chacune de ces induction étant une mono induction.
En effet, l'on voit ici dès le départ en a ) que l'engrenage antérieur 100 et l' engrenage postérieur bas 101 forment une penture 102, puisque l' engrenage postérieur haut est libre. I1 demeure monté sur le vilebrequin maître, et relié à la pale, mais n'est pas couplé à l'engrenage de support Par conséquent sa rotation demeure assuré, mais elle n' a pas d' incidence motrice, ou anti motrice. En b ) le transfert des fonctions des engrenages s'effectue. L'engrenage libre redevient donc fonctionnel, puisque son couplage à l'engrenage maître reprend Les trois engrenages sont donc couplés à l'engrenage maître pour un court instant. En c) le découplage de l'engrenage antérieur bas s'effectue. Celui-ci devient donc libre. 103 Cet engrenage est en fait l'engrenage postérieur de du coté bas de pale.

L'engrenage offensif devient l'engrenage supérieur gauche, et l'engrenage d'armement, l'engrenage inférieur droit. L'effet de penture 104 peut donc se produite. En d , la transition s'opère, et le couplage momentané des trois induction se réalise. 106 En e) la procédure décrite en a se répète, et en f, celle d'en b .
Les effets Boomerang moteurs sont donc réalisés à chacune des faces.
La figure 8.5.1.2 montre la même procédure que précédemment, mais cette fois-ci en prenant pour point de départ des emplacements de soutient situés dans les cotés de pales. Ici l'on a libéré l'engrenage supérieur 108, ce qui fait que la poussée se produit perpendiculairement eux engrenages et moyens moteurs, ceux-ci étant en effet parallèles à la surface de la pale 109 . L'on peut voir en b), et d) , les étapes de transition.
La figure 8.5.2 montre la possibilité de relier à des manetons identiques 114 diverses pales dont les points de support sont dans les pointes pour l'un 115 , ce qui permettra de réaliser, pour chacun un cylindre en sens opposé, comme ce que l'on retrouve dans les moteurs de type orbital.
Le nombre d' induction et l' encombrement seront donc minimaux pour une machine qui produira ici, neuf explosions par tour.
La figure 8.6 montre la suite des couples différents d'une méthode par poly induction, qui permettra de délimiter Ies points d'encrage, et les choix de mécaniques complémentaire de penture offensive à conserver.
L'on peut y remarque que la couple global d'un induction est la somme des couple des inductions qui le composent par rapport à la provenance de la poussée. Par exemple en a ) I'on suppose l'induction avant d'un poly induction par les pointes.
La poussée vient donc du haut 115 . Elle est nulle sur le maneton supérieur 116, mais l' ensemble a un couple sur le vilebrequin maître ,117 .
En b ) le couple se réalise à la fois sur les deux inductions 118 ,119 .
En c ) l' angle de couple est prononcée sur le vilebrequin supérieur, mais en traction sur le vilebrequin maître 120, 121 .
En f ), il n'y a plus de couple sur le maneton supérieur , mais iI en demeure sur le vilebrequin maître 122, 123 En e), et f ) le cycle se reproduit, mais en duplication inversé , la poussée venant du bas.
La figure 8.7 montre qu l' on peut polycamer les poly inductions.
En ce cas, ce pourra être par exemple l'engrenage de support qui sera amputé
de parties de dents.
La figure 8.9 montre, à titre exemplaire, à partie dune pale à quatre cotés, que les structures par poly induction dynamique peuvent être produites pour toutes les figures, et que l'on peut avoir à divers recours de découplage momentané, dont par exemple ici le retranchement de dents sur les engrenages d'inductions 130 .Il faut au surplus ajouter que l'on peut retrancher momentanément l'ensemble du moyen de support , de telle manière qu,il ne produise plus d' effort , non seulement sur le vilebrequin supérieur , mais aussi sur la vilebrequin inférieur. L'on aura alors recours à une induction dédoublée pour assurer la continuité de sa rotation.
La figure 9.1 a montre que l'on peut par addition géométrique, faire produire à
l'armement une poussée positive 131, en diminuant la longueur du vilebrequin maître et en augmentant celle de l' induction par addition de bielle de géométrie.
132 En a ) 2 , la courbure ne réalise qu'une armature. 133 En b 2 ) elle réaliser une poussée positive 134 , . Ces deux courbures, si l'on diminues la grosseur du vilebrequin maître, réaliseront la même figure de cylindre .En b, l' on réaliser une poly induction avec deux support de grosseur différente mais dont le résultat géométrique sera la même L'on pourra aussi réaliser chaque induction de façon semi transmittive, et telle manière de rentabiliser positivement même un moyen arrière d' induction . Ces pourquoi nous entrerons dans la prochaine section sur des définition plus élargies des semi transmissions.
La figure 10 a b , c montre que les serai transmission sont des inductions virées sur elles même . par exemple, en a ) la serai transmission par double engrenage de couplage 140 est assimilable à une induction de type par engrenage intermédiaire 141, dont l' engrenage d' induction aurait été placé de telle manière que son centre 142 soit identique à celui de l'engrenage de support 143 . En b et c l'on peut ainsi comparer d'autres types de serai transmission à des inductions.. Par exemple en b ' une serai transmission par engrenage pignons 144 est assimilable à une induction par engrenage pignon 145 virée sur elle-même. En c' la serai transmission inversive, 147 , est assimilable à une mono induction virées sur elle-même .

Ces mise en interprétations nous permettent d'affirmer que les définitions que nous donnions dans nos travaux antérieurs à l'effet que toute machine bi inductive était une machine dont les parties compressives était soutenues par une mise en composition d'induction, et que cette mise en combinaison comprend les semi transmission , puisque , la clarification antérieure permet de montrer qu'il s'agit là
aussi d' inductions.
La figure 11 commente la méthode par poly induction augmentée, bi mécaniquement par semi transmission. Dans celle-ci l'on peut apercevoir que la partie arrière de la pale produit un effet positif sur la mécanique semi transmisttive.

La figure 12 montre les principaux procédés de transmission accéléro décélératives . En a) , deux engrenage de même centre 151,152 , sont couplées l'un à l'autre par le recours à un doublé d'engrenages 153 de grosseurs différente. Les deux engrenages de base sont lors en vitesses différentes.154 .
En b ) l'on reconnaît le procédé de couplage d'un engrenage interne 156 et d'un engrenage externe 157 .
La figure 13.1 montre les principaux procédés de transmissions inversives En a ) , l' on a la semi transmission par engrenage pignon 1 S 8 , et en b par engrenages internes 159 La figure 13.2 montre à la fois des procédés de semi transmission inversives et accélératives confondues. En a ) l'engrenage interne joue le rôle d'engrenage réducteur de vitesse 160 , et l' engrenage intermédiaire d' engrenage d' inversion 161 , d'un tiers engrenage 162 En b le doublé d' engrenages pignons 163 inverse, à la fois qu' iI réduit Ia vitesse des deux engrenages 164, 165 par eux indirectement couplés. En c) les engrenage pignons 166 sont eux-mêmes couplés indirectement par des engrenages de lien La figure 14 montre des applications de diverses semi transmission à la méthode poly inductive. En a , l'on a la semi transmission par doublé d'engrenages 170 , en,b par mono induction fragmentée 171, en c) par mono induction couplée ,172, en e)par engrenages pignons 173. En e) celle-ci est confondue avec la poly induction elle-même La figure 15 montre une poly induction semi transmittive par engrenages pignons, cette fois ci en trois dimensions, en a , et en transversale en b ) La figure 16.1 montre qu' une autre façon de réaliser les machines de façon birotative est d' utiliser en complémentarité opposée sur une même pale, deux méthodes de support, par exemple par engrenage intermédiaire antérieur et postérieur 180 Cette distribution dynamique a déjà été commentée par nous-même.
Il s' agit ici de montrer que celle-ci augmente le degré de la machine, et peut par conséquent être considérée comme méthode augmentative, pouvant être combinée avec toute autre méthode La figure montre une augmentation de degré par utilisation en complémentarité de deux méthodes pour une même pale .En a , l'on a la méthode par engrenage intermédiaire antérieur, et par engrenage intermédiaire postérieure. E b ) , l'on a les méthodes par engrenage intermédiaire 181 et par engrenage cerceau 182 ..Cette procédure n'assure pas la birotativité totale Boomreang, mais elle assure un pas en avant en garantissant un poussée gale sur toute la pale. L'on complètera la méthode par exemple par des engrenages polycamés.
La figure 16.2 donne un exemple de la dernière procédure, en laquelle la pale est soutenue conjointement par une méthode d'engrenage cerceau 183, et d'engrenage intermédiaire 184 .
La figure 17 montre que l'on peut réaliser des formes de cylindre birotatives avec des mécaniques post rotatives, ou rétrorotatives, soustraite, ou additionnées selon le cas d'un paramètre géométrique, nomme bielle de géométrie. La figure montre que la birotativité de la poly turbine en a) est obtenue par double soutient contraire, alors qu'en b, elle est obtenue par addition 190 et soustraction géométrique.191 La figure montre en c) une augmentation de degré par dynamisation du cylindre, dite par cylindre rotor planétaire, qui agit à la fois comme soustraction géométrique. l91 La figure 18 montre que l'on peut comme nous l'avons déjà mentionné augmenter le degré de la machine en réalisant celle-ci avec pale fixe et avec cylindre rotor planétaire, et ce sous toutes ses formes et avec toutes mécaniques. I1 est important de réitérer que les mécaniques post rotatives s'appliqueront sur des figures rétrorotatives en position contraire des figures de base , et inversement , le mécanique rétrorotatives sur des figure post rotatives. Dans la présente figure, le cylindre rotor rétrorotatif en double arc 200 , tourne planétairement autour d'un triangle fixe 201 . En b ) l'on voit que ceci est possible si l'on inverse la position du triangle 202 , en que simultanément on l'utilise comme pale 203 . En c ) l'on voit que cette disposition permet la position décentré de la partie compressive motrice, et permet par conséquent de réaliser la machine avec sa composante orientationnelle.
La figure 19 donne d'autre exemples de généralisation de soutient de cylindre rotor.
En a ) l'on montre la procédure par cylindre rotor soutenue par mono induction. En b , l'on montre une augmentation de degré par soutient par semi transmission.
En c, l' on applique la procédure par cylindre rotor est augmentée par l' utilisation d' une mécanique par poly induction par engrenage pignon soutenant la pale, et en d) cette polyinduction est semi transmittive , ce qui pousse la machine à un quatrième degré de support.
La figure 20 montre une augmentation de degre par dynamique de pale en Clokwise. Cette distribution dynamique a déjà été commentée par nous-même. Il s'agit ici de montrer que celle-ci augménte le degré de la machine, et peut par conséquent être considérée comme méthode augmentative, pouvant être combinée avec toute autre méthode.
La figure montre en a ) la machine est augmentée de degré par engrenages polycamés. En b ) c'est la machine à cylindre rotor qui est réalisé par engrenages polycamés.
La figure 22 a montre un exemple de combinaison étagée d'inductions. Ici, il s'agit de deux mono inductions. Plusieurs exemples ont été donnés dans la première partie de notre travail. La figure 22 b montre une mise en combinaison juxtaposé, mais indépendante, chaque induction se trouvant d'un coté de la pale. La figure 22 c montre des inductions étagées, non pas de façon superposée, comme en a, mais cette fois ci en sens inverse à partir d'un même centre.Dans nos travaux antérieurs, nous avons spécifié que le mouvement Clokwise pouvait être réalisé par toutes les inductions, et de plus nous avons précisé que la rétrorotation du cylindre pouvait être assuré par tout forme de semi transmission. Comme nous l'avons déjà
mentionné, il est presque impossible de répertorier toutes les combinaisons possibles de plus de quatre cents permutation réalisables, Les prochaines figures n'auront donc pour objet que d'en préciser quelques une , et de préciser les points principaux suivants, A ) la rétrorotation du cylindre doit évidemment être coordonnée à celle de la pale, de même qu' à la rotation du vilebrequin. L' on aura donc toujours un système de rétrorotation de cylindre , et système vilebrequin Règle générale, la retrorotation avec vitesse inférieure du cylindre sera réalisés par l'une des servi transmission déjà commentée. Cette servi transmission sera par la suite reliée à l'aune des pièces du système de pale, vilebrequin, engrenages de support, engrenage intermédiaire, engrenage d' induction. Comme on le voit, bon nombre de combinaison sont possibles. Mais l'on ne peut agir sans une servi transmission, puisque le centre de rotation du cylindre est identique à celui du vilebrequin, et une induction.
Cependant, comme on le verra, l'on tentera de réaliser de façon confondue ces systèmes, de telle manière de réaliser une économie d'éléments, en faisant participer de mêmes éléments en double fonctions. Les exemples les plus frappants, sont ceux de la poly induction présentée dans notre divulgation précédente, en laquelle les inductions de pales, sont confondues presque en totalité avec l' induction inversive de cylindre, Un deuxième cas type est celui de la conduite de pale par servi-tranmission par engrenage pignon ou autre. L'on calibre des lors les rapports d'engrenage de support dynamique et d'induction de telle manière que les l' engrenage de support soit le maître support du cylindre qui y est fixé
rigidement.
Les induction les plus simplifiées peuvent dont prendre, pour trois guidages de vitesse différent, trois, quatre ou cinq engrenages.
La figure 23 donne un exemple de double emploi inductif. Ici la pale est articulée par mécanique d'engrenage intermédiaire 220 , lesquels sont calibrés à raison de un pour un , pour l'engrenage de support et d,induction, ce qui assure le mouvement Clokwise de la pale d'un part .
Par ailleurs un dédoublement de ces même engrenages permet de réaliser une servi transmission inversive 221 , dont l'engrenage sortant 222 Actionne le cylindre 223 La figure 24 monte que la pale 230 peut être actionnée à raison de un pour un de rétro vitesse de son vilebrequin en conservant la grosseur de ses engrenages se support 231 et d'induction originaux 232 , et en rétroactivant l'engrenage de support par une servi transmission inversive 233 , à raison de un demi trou de cet engrenage par tour de vilebrequin,.La vitesse de ce rétro engrenage de support étant identique dès lors à celle attendu du cylindre , l'on lui fixera celui-ci 234 ..
La figure 25 montre en a que l'on peut utiliser en combinaison une autre servi transmission et une autre induction. En effet, il l'on retrouve une servi transmission dont les deux engrenages d'inversion-accélération 240 sont montées rotativement sur une partie rigidement fixées à la machine . Dès lors, ils assurent la rétrorotation de l'engrenage du cylindre et du cylindre et la rotation du vilebrequin 243 supportant la seconde induction Cette seconde induction est de type par engrenage cerceau. La pièce rigide supportant les engrenages d'inversion supporte donc aussi l'engrenage de support 244 , auxquels sont reliées l'engrenage cerceau 245 et l' engrenage d' induction 246. l' on a donc deux induction synchronisées, soit une servi transmission 247, et une induction par engrenage cerceau 248.
En b, l' on a la même procédure générale,. Ici ,cependant , les parties ne sont pas unies par le même vilebrequin , comme dans la figure précédente, mais par l' engrenage de support dynamique 249 , qui actionne à la fois les deux inductions .
En effet, l' inductïon par mono induction qui coordonne le mouvement de la pale, est ici servi transmittive. Par ailleurs, ce même engrenage de support dynamique est couplé rigidement au cylindre, et l'actionne par conséquent aussi rétroactivement , ce qui est le mouvement espéré, par rapport à celui du vilebrequin.
La figure 26 montre aussi une coordination confondue de deux inductions.
L'induction de pale en est par poly induction servi transmittive, l'on reconnait en effet, la polyinduction en 251 , et la servi transmission 253, qui actionne rotativement le vilebrequin maître 255 et rétrorotativement son engrenage de support 254.. Le cylindre est relië au même engrenage qui commande l'engrenage de support 256, ce qui assure son mouvement rétrorotatif.
Dans la figue 27, la mono induction est reliée à une servi transmission inversive, 260 et , comme précédemment , l'engrenage de combinaison , 251 des deux induction ici en doublé, sert d'engrenage de support dynamique à l'induction de mono induction 262 et d'engrenage rétrorotatif à au cylindre 263.
L'on voit ici que l'on a double es engrenages de servi transmission pour garantir la sécurisation du système.
La figure 28 montre ici une induction de pale par engrenage central actif 270, contrôlé par servi transmission 271 . L'engrenage de lien planétaire 272 entraîne en rétrorotation l'engrenage de cylindre et le cylindre lui-même 273 La figure 29 montre deux induction par engrenage cerceau, l' une montante, contrôlant le mouvement de la pale , et l'autre. , descendante, 281, c'est à
dire partant de la périphérie vers le centre, qui contrôle le rétrorotation du cylindre 282 La figure 30 montre un contrôle de la pale par une poly induction semi transmittive à pignon 285 . Les engrenages s'induction 286 coordonne aussi le mouvement rétrorotatif de l'engrenage de cylindre et le cylindre 287 . En b de la même figure, les deux induction sont réunies par la pale elle-même, puisqu'elles sont placées de chaque cotés de celle-ci. La pale est contrôlée par une d'induction par engrenage cerceau 290 et elle contrôle elle-même la rétrorotation du cylindre par mono induction inversés et dynamique .291 La figure 31 montre encore une autre combinaison. Ici la pale est activée par semi transmission fragmentée, ou encore, unitaire, chaque engrenage d'induction ayant son propre engrenage de semi transmission.
L' on reconnaît donc l' engrenage de support de l' induction 294, les engrenages de semi transmission unitaires 295 , et les engrenages La figure 32 est un exemple d' induction mises en combinaison par le même vilebrequin. Ici le vilebrequin a une induction de semi transmission inversive qui coordonne le mouvement de la pale, et à droite, celui-ci contrôle la mono induction 297 La figure 33 montre un autre exemple de liaison des parties pax le vilebrequin, Ici, en effet, le vilebrequin contrôle à la fois l'induction de semi transmission supportant la rétrorotation dy cylindre , et à sa droit l' induction de la pale par engrenage cerceau 291.
Dans la figure 34 nous montrons que les inductions peuvent toute être insérées dans la pale, ce qui permet par la suite d'étanchéifier facilement celle-ci par rapport au cylindre rétrorotatif. En l'on contrôle le mouvement de partis par poly induction dont l'engrenage de support dynamique est à la fois relié rigidement au cylindre , ce qui est le montage le plus simple de ce type de machine.
En b, l' on contrôle la pale par serai transmission à pignon, l' engrenage extérieur de cette serai transmission contrôlant le simultanément le mouvement rétrorotatif du cylindre . Comme on le voit, dans les deux cas, la mécanique est incluses 310 dans la pale et permet d' étanchéifier parfaitement les parties.
L' on notera, au surplus, que les manetons supportant la pale peuvent au contraire que d' être fixés sur les engrenages d' induction, fixée sur la pale, et inséré
rotativement aux engrenage d' induction.311 Ceci permettra un soutient parfaitement centré de la pale sur ces parties.

L 'on notera, pour toutes ces figures, que comme pour les figures de pales standard, les poly induction peuvent ëtre au nombre de trots , et situées dans les pointes, cotés ou parties médiantes de celle-ci. De plus, l 'on pourra procéder, comme précédemment, à des poly inductions dynamiques alternatives, dont on précisera les meilleures montage, dans la parties du présent ouvrage réservée au design.
La figure 35 montre en a l, le moteur rotatif standard en position d'explosion et en a2 , lors de la descente. L'on y voit que puisque la pression y est parfaitement égale de chaque coté de la pale, mais ceci en contradiction de poussée et de contre poussé, tout design de pale est inutile, puisque aucune action latérale ne peut être récupérée.
En a 3 , l' on voit le moteur en fin d' expansion, et l' on note que l' expansion réelle est beaucoup plus grande que l'expansion mécanique , et que par conséquent une partie de l' expansion n' est pas utilisée.
En b de la même figure, l'on montre les quatre circonstances prïvilégiées qui décentrent la partie compressive de son axe .
En b l, l'on retrouve cette situation lors d'utilisation d'engrenages polycamés , de même sens ou inversés .
En b 2 . lors de parties compressives par cylindre rotor En 6 3 ) lors de mouvement Clokwise de pale ou de cylindre En b 4 ) lors de soutient dits en position intermédiaire, élisés En b 5 ) lors de toute situation en double soutient La figure 36 montre que dans les situations énoncées en 35 , l'on peut procéder à
un design de pale qui aura une incidence rotative effective, qui permettra une expansion rotativo perpendiculaire , dont la moyenne équivaudra à l'expansion géométrique effective. Même si la forme de ces la pales qui est redessinée, les conséquence effectives se feront sentir sur les parties compressives dynamique et décentrées, notamment sur elle même, lors d'utilisation d'engrenages polycamés, sur le cylindre en pale cou cylindre Clokwise et cylindre rotor, ou sur les deux , en, lorsque l'on retrouvera ces deux circonstance à la fois, ce qui assurera su moteur une grande puissance.
Divers design de pale avec des conséquences effectives sur la poussée sont donc possibles. L'important est ici de montrer et de prouver que ce est réalisé
lors des situations que nous venons de donner, mais ne peut l'être dans toute machine de l'art antérieur..
Dans les cas de réalisation par pale en Clok wise, l'on visera un amorce d'explosion en latérale, se transformant progressivement en poussée verticale.
Cette expansion latérale sera possible par l'angulation de partie.
Dans les cas de machine à engrenage polycamés, dont le cylindre est postérieurement déformé, l'on pourra au contraire dessiner r la pale offensivement.
La courbure des pales est dont donc être réalisé de telle manière de suivre successivement le mouvement rotationnel subsidiaire latéral, et le mouvement large d'armature. La totalité de ces mouvements réalise la totalité effective de l'écart entre la pale et le cylindre, qui ne se réalise qu'à un faible pourcentage, dans le mécaniques de l'art antérieur.
La figure 37 et suivantes montre que plusieurs soutient de poly induction dynamique alternatives sont possibles, et occasionnent nombre de positions différentes des vilebrequins maître et secondaires en cours e tournage. La présente figure montre, en a) les polyinductions dynamiques pour les trois types de support en phase d'explosion.
L"on pourra aussi construire le soutient d'un même pale avec plus de trois soutient . L'armement sera tout de même effectif, lorsqu'il sera unitaire et successif.
En b) l' on retrouve ces mêmes mécaniques en phase de descente.
Comme on pourra le constater, les emplacement des couplages à soustraire temporairement varient selon les modèles de soutient proposés, selon qu,ils sont de nature initiale compressive, ou motrice.
Pour une meilleure compréhension des présentes, simplifions en disant simplement qu' il est presque impossible, pour une même poly induction d' avoir toutes ses inductions en travail égal, sauf lors du sommet de compression. A peu près à
tout moment, l'on aura a) un moyen de support défensif, b) un moyen de support moyen c) un moyen de support offensif Cependant , il faut noter que selon son positionnement , le moyen de support défensif peut servir d'armement positif. C'est le cas, notamment du moyen de support arrière des modèles de soutient par les cotés ou en position intermédiaire .
En a ) 1 de la figure, l'on retrouve le modèle à soutient dans les pointes.
.En a 2 de celle-ci , le type de figure que parcourent les moyens de soutient , et leur position de départ. L,on voit bien qu le soutient antérieur postérieur sera négatif pour toute la première partie de descente.. Quant au soutient supérieur postérieur, il est positif, quoique latéral.. Quant au soutient inférieur, il est descendant, mais assez latéral l'élision de la capacité orientationnel de lu mayen antérieur semble donc préférable. .
Dans le modèle b, de nature déjà motrice, méme en polyinduction standard, se prête mieux aux développements. Tout d' abord, les deux engrenages postérieurs sont très descendants, de par la structure même de leur course. Ils peuvent donc servir d'appui de départ. Par ailleurs, le moyen antérieur entre presque aussitôt dans sa phase d'immobilité, ce qui permettra de l'utiliser comme armement.
L'élision du moyen supérieur semble donc dès le départ, ou peu après le départ préférable, puisque , qu surplus , lorsque la pale sera supporté par ses deux moyen inférieurs , ceux-ci seront parfaitement parallèle à la poussée.
En faisant ces actions successivement, l'on aura un poussée latéralisée des le départ et verticalisé par la suite, d'où la nécessité d'un design de pale dynamico-géométrique.
Dans la partie b de la figure, l'on voit les parties en cours de descente.
L'on peut voir que, en a , les deux engrenages inférieurs sont toujours actifs. En b, cependant, les deux engrenages inférieurs qui sont actif , la poussée latéralisante a cédé sa place à la poussé générale , large et armaturée.
En c) comme en b, l'on a transféré la fonctionnalité des engrenages de telle manière de profiter de l' armement et de l' effet Boomerang.
L'on voit donc que l'effet moteur est meilleur dans les deux secondes position, car la motorisation du premier modèle semble demeurer sur individuellement sur les moyens dupérieurs, et non par en armature entre eux, ce qui produit le large effet Boomerang, et la dilatation latéralo vertivale de ceux cis.
Par ailleurs , l'on voit que le double des engrenage de semi transmission permet de rétroactives l,engrenage de cylindre et le cylindre 298 .

La figure 38 montre l'évolution de la poussée pour une méthode de poly induction dynamique avec support dans les cotés. L'on voit que cette méthode permet un travail de pale cylindre dont l'extension réelle 299 , diagonale , est supérieur a la seule extension mécanique perpendiculaire, des machines de l'art antérieur.
La figure 39 montre la même chose pour une méthode de support par polyindution dynamique par les pointes. Notons que les supports dynamiques peuvent être réalisée avec toute poly induction, semi transmittive ou non, et avec engrenages standard ou à pignons, et pour la machines post rotatives ou rétrorotatives.
La figure 40 montre les même considération pour le modèle de soutient par dans les parties intermédiaires . La poussée passe de latérale à verticale 299 . De plus, ce type de méthode annule à sont point de départ le point mort de la machine.
L'on passe donc de machines de l'art antérieur à point mort très long à des machines sans points mort.
La figure 41 montre en effet, l'on remarque que par sa géométrie de positionnement des moyens de support, ce type de modèle permet deux supports perpendiculaires à la poussées 300 et plus près du centre que le troisième support 301. Par conséquent, si l'on produit l'élision temporaire de l'un des deux premiers support 302, et une parti de la poussée sur la pale sera sans contre poussée 303, ce qui entraîne la rotation, même au somment de la montée. La poussée sur la pale sera en effet plus puissante sur le tiers coté.
La figure 42 montre que l'on pourrait imiter la polycamation des engrenages en motivant l'engrenage de support d'un mouvement alternatif, qui l'actionnerait alternativement dans le sens de rotation du vilebrequin est dans son sens inverse.
7) torque angles improved by the phase shift of the blade $) a subtraction of the compressive parts that would normally be counter-pushes, so absence or limitation of counter-pushes 9) Work on the entire surface of the blade 10) A work on the totality of the distance between the dynamic parts 11) A work contrary to the mechanics of cylinder and blade 12) Slow acceleration and deceleration 13) A capacity to realize the machine with valves lights It must also be added, in conclusion, that although here the demonstrations of all of these combinations of methods are applied to basic rotary machines, they can be applied to all machines in general, Slinky motors, semi-differential turbines, as well as all the figurations of post rotary and retrorotative machines.
Similarly, the use of polycammed gears can be used in all the structures. In the case of rotor cylinder machines, like c, is the part internal which receives the gases, the outside part will be able to receive the gears polycamés.
Finally, we must repeat once more that all these machines can to be used generally but not exclusively as pumps, compressors, capturing machines, motors, thrusters, crushers and that moreover, the Contents There can be of all kinds, gas, liquids, solids and so on.
Finally, let us add that when they are realized in these various forms, one can realize machines with or without segmentations.
In this first case, it may be conventional segmentation. one may also cover the blades for example with rubber or other materials achieving sealing. In the case of small machines, pressure sides calibrated in density can replace the segmentation of side. A cup of cylinder and beveled blade may also allow a segmental pressure of the pale on the cylinder without segmentation.

Segmentation We can, for the segmentation of small machines and especially of type pumps realize the ends of the blade with more flexible materials, ensuring sealing. We can also realize the blade itself in material flexible, with an incurvation, interior, or external, that the pressure will straighten in such a way of force spikes blades to remain stuck to the walls. Similarly the blades can be made in two parts with spring, which will eliminate the segmentations of sides.
Planetary electric motors Finally, we can mention that we will also be able to make electro motors planetary, creating between the poles power differences activating the machine, differences that can not be obtained by strictly round motion.
Brief description of figures Figure 1 shows all the methods of supporting the engines.
of first degree, post rotary or retrorotative.
Figure 2 shows some second and third degree machines, namely the Wilson's poly turbine in a), the St-Hilaire quasiturbine in b), the engines Slinky c), Peripherals d), Differential Semi Turbines e), of the present inventor..
Figure 3 shows that mechanical methods of increasing the degree of machines, making it possible both to produce machines of second and third degree and at the same time to increase the degree of the machines of first degree, their thus giving a partially bi rotative or trirotative value. one recognizes in a) poly induction mechanics b) semi-transmission mechanics c) polycammed gear mechanics Figure 4 shows that the degree of machines can also be increased by geometrical or dynamic reengineering Figure 5 shows that in composition methods of supports in such a way as to mechanically support the compressive parts of machinery so of degree Figure 6 shows that the different variants that the present invention hears specify. In particular we will show, in a) how to realize poly induction alternative dynamics, including inking and movement in Boomerang identical for each part of the blades. In b, it will be shown that any method elevation of same dynamic geometrical degree, such as per rotor cylinder, and in Clokwise can be combined with all others for more level of the machine.
Third, in (c) we will generalize the statement previously made by us than all induction can realize the Clokwise motion, and, associated with a reversion mechanics, realize the support of machine parts to cylinder rotor Figure 7.1 shows the qualities of piston engines.
Figure 7.2a shows Mallard's engine, and the shortcomings of Types support provided by the prior art, and in particular by the mono induction and Wankle intermediate gears.
Figure 7.2.3 shows in a) indeed the method of thinking of which proceeds construction.
Figure 7.3 expresses, in a) the nature of the design of the movement of the blade that these mechanics induce. The crankshaft the blade movement in the way of a wave.
Figure 7.3 shows a representation of the difficulties that explain the difficulties of realization of the rotary machine. This shows the idea that the difficulty material of realization of appropriate mechanics for the blades of the rotating machines, is holding aware of the simultaneous dual function, blade tips of these machines.

Figure 7.4 shows in a) a hinge piston. In b) we see the version rotary of hinge dynamics, as we have shown previously, this piston having been named rocker piston.
Figure 7.5 a and b shows that this movement, says Boomerang movement can still be more characterized by mono induction, polycamant gears In 7 .6 we show in a and b), in a caricatured way, that we could realize the two armaments by a single gear set. In c) a polycamation at the both internal and external, performs the double anchoring, and confers to the machine a mechanical rotational, by successive inversion of external gears, interiors, but in addition a double hinge successive and alternative In 7.7.1 shows the method by poly induction, which achieves a better shape of cylinder and better ratios and angles of rotation.
It will be shown later that the use of such gears allows a design of blade that simply mono inductive methods do not allow.
Figure 7.7.2 a shows what design of the blade movement is at origin Wankle mono induction mechanics. In b) we see the design wave of the movement of the blade that this mechanics conceals .. In c) one see the intermediate gear method. And in (d) the shortcomings of design of the movement of the blade that conceals Figure 7.8.1 recalls the differences between the mono induction method and that by poly induction Figure 7.8.2 shows with only two poles why the thrust remains equal over the entire surface of each side of the blade, since the two poles divide always the blade in two equal parts, regardless of the machine figure rotary performed. This is moreover equally valid when the supports are in the midpoints on the sides, or in the tips.
Figure 7.8.3 shows the three real anchor points 40 on the side, and tip 41, virtual as virtual 42 of the method by poly induction, allowing of perform the movement in Boomerang hinge.
Figure 7.8.4 shows some mechanical inequality of inductions at double opposed supports, when made with blades of odd number, and blades even number.

Figure 7.9.2 shows the complementarity of the machine support races at poly induction. The poly induction method thus makes it possible to deduce three racing principal means of support. In a, when the support means are located in the tips of the blades, the race is lateral.
In b) when the support means are in the sides, the race is vertical.
In c) when the support means are in positions of attachment to the pale in the intermediate areas, their course is oblique to those of the two first.
Figure 7.9.3 shows the various solutions to achieve outbreaks equal on each side of the blades, in realization Engine of the machine. In a), one finds the induction sorting by descending inking and supports by the means of sides. In b) we find tri induction by side inking and supports perpendicular in the mediating parts. In c and d, the supports by poly alternative dynamic induction. In fact, supports by semi transmission. In fJ, the supports by addition of geometry rod. All these methods will realize, for each part of the blade, the machine in its inductive poly version Engine.
Figure 8.1 shows the reasons why the model of support by tips is the compressive version of the machine, and can not realize effects interesting engines. In this provision, which we present at the top of climb in a) and during descent in b), we can see that we do not finds that the concept of armament, and that, moreover, it is found at the top of the climb.
Figure 8.1.1 shows what geometric reasoning was used for the construction of each inductive poly race. As can be seen, in a) the form of Projected cylinder is the duplicated form of the same race of induction. In b, a vertical induction is made, and it is realized that additions tangential, on one side as on the other produce the form of induction, but this time this perpendicular to the induction.
In c) it is found that geometric additions this time oblique have to be of different length to produce the same shape as in a and b) Figure 8.1.2 shows in downhole the locations of the inductions for each of the support models.
Figure 8.1.3 shows, for each phase of the method by poly induction basic, the initiation of the descents according to the positioning of the supports.
Figure 8.1.4 shows that the figures produced by points in the rated, or in the middle sections producing more racing forms vertical and therefore more motor.
Figure 8.2 shows how to achieve the total explosions driving by making blades composed of fragmentary blades.
Obviously, each of these parts would work in poly induction, but the blades would be, as in the poly turbine, palic assemblies difficult to achieve .
Figure 8.3 shows that to fully realize the poly induction, it is necessary to maintain the hinge effects offered by the two-pole poly induction.
Figure 8.4.1 shows that we can indeed realize the Boomerang movement with inking, temporarily subtracting the coupling capabilities of the gear in non-driving hinge, to work only on the other two offensive media. Figure 8.4.2 shows that for each machine, one would choose two of the active gear pairs, and a free gear different.
We will indicate later how to choose the best Combinations.
Figure 8.5. 1. l shows a lathe of the machine. It shows that phases in phases, the functions of the gears will be transposed alternately Figure 8.5.1.2 shows the same procedure as before, but this time this taking as starting point support locations located in rated of blades.
Figure 8.5.2 shows the possibility of connecting to identical crank pins 114 various blades whose support points are in the tips for one 115 , this which will make it possible, for each one a cylinder in opposite sense, like this than found in orbital type engines.
In b) the couple is realized at the same time on the two inductions.

In c) the torque angle is pronounced on the upper crankshaft, but in traction on the master crankshaft.
In f), there is no more torque on the upper crank pin, but it remains on the crankshaft master In e), and f) the cycle is reproduced, but in reverse duplication, the thrust from bottom.
Figure 8.7 shows that one can polycamer the poly inductions.
In this case, it may be for example the support gear that will be amputated of parts of teeth.
Figure 8.9 shows, as an example, part of a four-sided blade, that Dynamic poly induction structures can be produced for all figures, and that one can have various temporary decoupling by example here the entrenchment of teeth on the gears of inductions Figure 9.1a shows that one can by geometric addition, make produce at arming a positive thrust Figure 10 ab, c shows that the semi transmission are inductions transferred to they themselves Figure 11 comments on the method by augmented poly induction, bi mechanically by semi transmission Figure 12 shows the main methods of accelerated transmission décélératives Figure 13.1 shows the main reverse transmission methods Figure 13.2 shows both inverse semi-transmission methods and accelerated.
Figure 14 shows applications of various semi transmission to the method inductive poly Figure 15 shows a semi transmissive poly gear induction sprockets, this time in three dimensions, in a, and in transverse in b) Figure 16.1 shows that another way to realize the machines so birotative is to use in opposite complementarity on the same blade, two methods of support, for example by anterior intermediate gear and posterior Figure 16.2 gives an example of the last procedure, in which the blade is jointly supported by a method of gear hoop 183, and gear intermediate 184.
FIG. 17 shows that birotative cylinder shapes can be made with post rotating, or retrorotative, subtracted, or summed according to case of a geometric parameter, named geometry rod Figure 18 shows that we can, as we have already mentioned, increase the degree of the machine realizing this one with fixed blade and with cylinder rotor planetary, and this in all its forms and with all mechanical.
Figure 19 gives further examples of cylinder support generalization rotor.
In a) we show the procedure by rotor cylinder supported by mono induction. In b, we show an increase of degree by supports by semi transmission.
In c, one applies the procedure by cylinder rotor is increased by the use of a mechanics by poly induction by pinion gear supporting the blade, and in d) this polyinduction is semi transmissive, which pushes the machine to a fourth degree of support.
Figure 20 shows a degree increase by blade dynamics in Clokwise. This dynamic distribution has already been commented by ourselves. he is to show that it increases the degree of the machine, and can by therefore be considered as an augmentative method, which can be combined with any other method.
Figure 21 shows in a) the machine is increased by gear degree polycamés. In b) it is the rotor cylinder machine which is made by gears polycamés.
Figure 22a shows an example of a stepped combination of inductions. Here he is of two mono inductions. Several examples were given in the first part of our work.

Figure 23 gives an example of inductive duplication.
FIG. 24 shows that the blade can be actuated at the rate of one for one of retro speed of its crankshaft while maintaining the size of its gears support and induction, and by retroactivating the support gear with a semi reverse transmission, at the rate of half a hole of this gear per revolution of crank shaft Figure 25 shows in a that can be used in combination another semi transmission and another Figure 26 also shows a combined coordination of two inductions.
In fig 27, the mono induction is connected to a semi transmission inverting.
It can be seen here that we have double transmission gears for guarantee the securing the system.
FIG. 28 shows here an active central gear blade induction, control by semi transmission.
Figure 29 shows two hoop gear induction, the one rising, controlling the movement of the blade, and the other. , downward,, it is to say starting from the periphery to the center, which controls the retrorotation of the cylinder.
FIG. 30 shows a control of the blade by a semi-induction poly transmissive pinion.
Figure 31 shows yet another combination. Here the blade is activated by semi fragmented transmission, or else, unitary, each induction gear having its own semi transmission gear.
Figure 32 is an example of induction put in combination by the same crankshaft.
Figure 33 shows another example of party binding by the Crankshaft, Here, indeed, the crankshaft controls both the induction of semi transmission supporting the retrorotation of the cylinder, and at its right the induction of the blade by hoop gear In Figure 34 we show that inductions can all be inserted in the blade, which subsequently makes it easy to seal it compared with the retrorotative cylinder Figure 35 shows in a 1, the standard rotary engine in the explosion position and in a2, during the descent. It shows that since the pressure is there perfectly equal on each side of the blade, but this in contradiction of push and against pushed, any blade design is useless, since no lateral action may be recovered.
At 3, we see the engine at the end of expansion, and we note that the expansion real is much larger than mechanical expansion, and therefore a part of the expansion is not used.
In b of the same figure, we show the four privileged circumstances which decenter the compressive part of its axis.
In b I, we find this situation when using gears polycamés, of the same direction or inverted.
In b 2. during compressive parts per rotor cylinder In b 3) during Clokwise movement of blade or cylinder In b 4) during support said in intermediate position, elis In b 5) during any double situation supports Figure 36 shows that in the situations listed in 35, one can to proceed to a blade design that will have an effective rotary impact, which will allow a perpendicular rotativo expansion, whose mean will equate to effective geometric expansion Figure 37 and following shows that several supports of poly induction dynamic alternatives are possible, and cause many positions different from the master and secondary crankshafts being filmed.
Figure 38 shows the evolution of the thrust for a poly method induction dynamic with support in the sides. We see that this method allows a blade work whose real diagonal extension is greater than the only perpendicular mechanical extension, machines of the prior art.
Figure 39 shows the same for a polyinduction support method dynamic by the spikes. Note that dynamic media can be performed with any poly induction, semi transmittive or not, and with gears standard or with gears, and for post-rotating or retrorotative machines.
Figure 40 shows the same considerations for the model of support by in the intermediate parties.
Figure 41 shows indeed, we note that by its geometry of positioning of the support means, this type of model allows two supports perpendicular to the thrusts and closer to the center than the third support.
Figure 42 shows that one could imitate the polycamation of the gears in motivating the support gear of a reciprocating movement, which would operate alternatively in the direction of rotation of the crankshaft is in its direction reverse.
Detailed description of the figures Figure 1 shows all the methods of supporting the engines.
of first degree, post rotary or retrorotative. In particular, we find supports a) By mono induction (Wankle) b) By poly induction c) By semi transmission d) Hoop gear e) By internal gears superimposed f) By double inner gears juxtaposed g) Double juxtaposed internal gear (previous attack) h) By intermediate gear (Wankle) i) By upper gear in attack j) Internal-external gearing k) By post central gearing 1) By central-peripheral support m) By semi-transmissive intermediate gear n) By gill structure o) By gear links We will take care to consult our work on this subject, in the first two parts from this synthesis work.

Figure 2 shows some second and third degree machines, namely the Wilson's poly turbine in a), the St-Hilaire quasiturbine in b), the engines Slinky c), Peripherals d), Differential Semi Turbines e), of the present inventor..
These figures all have in common a non-sinusoidal cylinder curvature, such that it is found in basic rotary machines. Therefore, the supports of their compressive parts always requires more than one induced induction in combination. These combinations have for dual purpose first of all to render birotative the compressive part, therefore able to work positively on any her surface, and secondly to make the mechanical attack more rectilinear.
Figure 3 shows that mechanical methods of increasing the degree of machines, allow both the manufacture of second and second machines third degree and at the same time to increase the degree of the machines of first degree, their thus giving a partially bi rotative or trirotative value. one recognizes in d) poly induction mechanics e) semi transmission mechanics f) polycammed gear mechanics We will also be careful to reread our work on these subjects.
We summarize here by simply mentioning that mechanics by poly induction, in a) allows induction in Boomerang dynamics. We will comment more on this method to the present since we will bring developments. Mechanics by semi transmission, in b) allows to recover a part of the power and the angle of torque on the part rear part of the blade, this part realizing contrary cons in all the mechanics of the prior art.
As for the mechanics by poly gears in c), it achieves both of the more efficient cylinder curvatures for more blade design adequate and active, and they simultaneously produce acceleration and deceleration that rectilignize the excessively circular motion of the parts compressive rotating machines.
Figure 4 shows that the degree of machines can also be increased by of the geometric or dynamic reengineering. Again, we will take care to reread our previous work on this subject, since we will give the present clarifications to their purpose. In a) we find the planetary rotor cylinder machine l fixed blade, and in b) we find the blade machine in motion clokwise% ylindre rétrorotationnel By these reengineering dynamico geometries, we manage to realize the power orientation of the machine since either in a) the armament, if it is arranged at center, is destabilized relative to the cylinder, which allows the motor skills, or in b, the always if it is disposed in the center makes it possible to oppose the two parts antirotationally one of the other, which multiplies the circular-rotary and orientation of the machine.
Figure 5 shows that in composition methods of supports in such a way as to mechanically support the compressive parts of machinery in a) the semi-transmission method 1, is combined with a mono induction, itself polycammed 2. In b) the method by poly induction 3, is combined with a semi-transmittive induction 4, which allows the dynamic of its support gear 5.
In c) We associate a method of poly induction 3, with two mono inductions 6, this which in turn energizes the media gears. 7 Figure 6 shows that the different variants that the present invention hears specify. In particular we will show, in a) how to realize poly induction alternative dynamics, including inking and movement in Boomerang identical for each part of the blades. These will be called these poly induction Poly alternative induction Boomerang In b, it will be shown which any method of elevation of same geometric degree dynamic, such as per cylinder rotor, and blade in Clokwise can be combined with all other for also more the level of the machine. In B
one thus finds a possible composition of cylinder planetary rotor / blade fixed and semi transmission.
Third, in (c) we will generalize the statement previously made by us than all induction can realize the Clokwise motion, and, associated with a reversion mechanics, realize the support of machine parts to cylinder rotor. So we will give some precision on how to control these elements, and give several examples that will show how to combine the mechanical in such a way as to realize a saving of these elements. In part c from Ia In this figure, the blade is controlled by hoop gear 7, and the retroversion by semi inductive mono transmission 8. The two parties couple between her speak same support gear 9, which also controls the retrorotation of the cylinder . In d) we will have a control Clokwise of pale by mono induction semi transmittive 9, the support gear 10 of the ~ i serving both the action retrorotative of the blade. In e) the control of a rotor cylinder will be realized by poly induction 11, and in f) by mono-induction npolycamée.l2 In g) we will show than it is possible to perform induction sorting with single downward arming and time death annulled In h), we will show how to realize the birotativity by polyinduction semi transmittive. In y, it will be shown that the alternative activation of the gear of support produces forms of birotative cylinders similar to that of gears polycamés. In j) l, we will show that the various bimechanical realizations proposed by us call a conception of the decomposable movement under movements whose thrust can therefore be captured by blades specifically shaped for this purpose.
Figure 7.1 shows the qualities of the pststone motors. First of all, we have a equal action on the entire blade, which gives the part compressive birotative ability. 13 Then its connecting rod mechanism has an off-center armament who consists of its lateral support on piston and the cylinder. The connecting rod thus has the ability to transform the vertical movement and birotative ability of the piston into a unified and unambiguous movement, that of the crankshaft. I 5.
Finally the totality of the vertical movement must be noted, since the length of job compressive parts is equivalent to that of the mechanical part 16.
We do not found none of these qualities in the rotating machines of art previous, but, as we have shown, and will show again, many of our mechanical the restitues in full.
As we have already mentioned, any machine can be realized under its Compressor form, or in its Engine form. Rotary machines of art prior art are realized in their Compressor form. Piston engines can also be, if we subtract one or more of the qualities preceding. In B) of this figure, the rod effect has been removed by carrying out the machine The lateral capacity of the machine is then entrenched.
In contrast, in C and D, birotative mechanics have been produced, which increase additionally the power of the machine. In c, we have a mechanical by staggering crankshafts 17, and in d), by adding crankshafts 18 Figure 7.2a shows Mallard's engine, and the shortcomings of Types support provided by the prior art, and in particular by the mono induction and Wankle intermediate gears.
These two methods of support, realize the machine not only with central blade supports, but moreover with an armament orientionel central.
The result is that in both cases, one of the parts of the blade is in cutter push and the other pushed.
Similar to what is found in the piston engine with connecting rod sliding previously presented, the orientation function of the thrust is nothing recovered. Depending on which method is pushed in the previous parts or posterior of the blade, and counter-attacks in opposite parts.
These deficient achievements are due to a mechanical semantic vision inappropriate of the movement of the blade.
Figure 7.2.3 shows in a) indeed the method of thinking of which proceeds construction. Geometrically, we rotate a circle around 19 a another 20, which simultaneously produces a retrorotation of this first circle 21 Yes geometric parameters are added to this circle 22, these will realize figures, such as an almost ellipse.23 Subsequently, we realize the supports this circle by a crankshaft 24, and we complete by connecting the tangents 25 between them, this forming the blade 25. As seen in c) the strength realized by such a mechanism is only resultant, and is very indirect.
Figure 7.3 expresses, in a) the nature of the design of the movement of the blade that these mechanics induce. The crankshaft the blade movement in the way of a wave. In fact, it happens, circularly, as if the crank shaft successively raised several boards connected to each other.
is therefore undulatory as shown in b), and, compared to the motor to pistons, creates little differential force with the crankshaft, whose movement is circular The Boomerang movement, whose imagery is given in c), and which we have realized in several ways, introduces a certain rectilignity into the movement rotary machines. This rectilignity, however, is not sufficient to create negative effects, as in the piston engine.

Figure 7.3 shows a representation of the difficulties that explain the difficulties of realization of the rotary machine. This shows the idea that the difficulty material of realization of appropriate mechanics for the blades of the rotating machines, is holding aware of the simultaneous dual function, blade tips of these machines. In Indeed, we see in this figure in a 1), the end of the descent of the anterior part of the blade 25, and the beginning of the descent of the upper part 26. In 3, 4 and 5 two actions are more compatible because both parts of the blades are in thrust.
27. By cons, in 6, the contradictions between the parties is represented. The overlapping parts, for the same mechanics is therefore a difficulty important technique.
In b, we find a second explanation. The back and the front of the blade pass successively by accelerations and deceleration, which are in do some speed additions and speed subtraction of elements between them.
Gold must to achieve a cylinder curvature by which are realized simultaneously velocity subtractions of a part of the blade in b I, and the additions of speed of the other part in b2) Figure 7.4 shows in a) a hinge piston. In b) we see the version rotary of hinge dynamics, as we have shown previously, this piston having been named rocker piston. When done non-rotatively as presented in a), we can see that the movement is not perfectly rectilinear, and thus accelerations less decelerations contrary, which softens here very slightly movement. In b) the rocker piston is rotatably disposed , and its sinusoidal action is, so to speak, rectilignized. As we see by the curvature of the cylinder, the sequence of the arc constituting it is irregular. In c) one must visualize this movement in the blade, when it is held by two means of support, as for example in our method of poly induction with two poles.
Figure 7.5 a and b shows that this movement, says Boomerang movement can still be more characterized by mono induction, polycamant gears.
Here we have two examples of polycamation, each achieving a hinge effect similar to that of piston rocker machines, hinges we call also armament, because they direct the mechanics in a precise direction, and him subtracts his indecision, as it is found in neutral. The figure present examples of hinges made by polycammed gears, the first being in the cylinder tips 30 and the second in the arches 31 thereof. In the first, the retrorotation of the blade will be accelerated at the top of the climb, this who will produce a slip of it The crankshaft will be angularly willing when he begins his acceleration. This acceleration will be done with a rear inking, which we call inking descent. We will talk about a descent inking.
In the same figure, the gearing is reversed. Therefore the Panning motion of the blade will be at high idle, which will make it confer a race more similar to that of the crankshaft On a clean descent said, the crankshaft will also be angular. The strongest inking of the blade will be up climb. On the other hand, the explosion and the descent will be more at an angle with the thrust. We will consult our previous work on this topic for more details.
In c of the same figure, we can observe an intermediate direction of positïons gears, which will allow for a race between the two first, as well as an earlier landing descent. In d of the same figure we have one of the gears with more polycamation faces, allowing of to make two inking by descent, the inking of peak and incrages of descent.
In 7 .6 we show in a and b), in a caricatured way, that we could realize the two armaments by a single gear assembly 30, 31. In c) a polycamation at the same time internally 32, 33 and external, carries out the double anchoring, and gives the machine a mechanical twisting, by successive inversion external gears, inside, but in addition a double hinge successive and alternative. The dynamics of acceleration and deceleration, as well as of curvature of the cylinders of these machines were previously shown by us same, the purpose is simply to highlight that the Boomerang movement of these is comparable to that of poly machines inductive.
In 7.7.1 shows the method by poly induction, which achieves a better shape of cylinder and better ratios and angles of rotation. We will show later that the use of such gears allows a blade design that Simply inductive mono methods do not allow.
The main differences between these two mechanisms are the following.
The crankshaft speed ratio of the rotary machines of Wankle is three rounds for one. As a result, the blade is over-ordered and the Cylinder sinusoidal ratios are low. In addition, the blade undergoes against pushed on its rear part, which weakened the general thrust. Finally the torque angles are long to form, and mature to two-thirds of the descent, In the poly induction method, the speed of rotation of the blade is similar to that of the master crankshaft. The ratio of the secondary crankshafts is of a sure two, ensuring a better cylinder. The machine has two points antipolar successive armaments, ensuring the power of the Boomerang movement.
Figure 7.7.2 shows which design of the blade movement is originally Wankle mono induction mechanics. In b) we see the design wave of the movement of the blade that this mechanics conceals .. In c) one see the intermediate gear method. And in (d) the shortcomings of design of the movement of the blade that conceals Figure 7.8.1 recalls the differences between the mono induction method and that by poly induction Figure 7.8.2 shows with only two poles why the thrust remains equal over the entire surface of each side of the blade, since the two poles divide always the blade in two equal parts, regardless of the machine figure rotary performed. This is moreover equally valid when the supports are in the midpoints on the sides, or in the tips. Indeed, as seen in a), when the two poles are perpendicular to the side of the blade, the surface of it is divided in two, which ensures a use of the total surface of it. 35 In b, when the two poles are in a diagonal position, it can be seen that if we draw a line in the thrust direction, so perpendicular to the surface of the pale, this line joining them, these points also divide the blade into surfaces equal and allow equal thrust on the entire surface of the blade. 36, speak even preceded, the blade captured in a perfectly equal way the thrusts of the explosion ion. 3 7 In d), we see that this general solution applies to all forms of pale of odd, and in e) all forms of odd odds Figure 7.8.3 shows the three real anchor points 40 on the side, and tip 41 virtual as virtual 42 of the method by poly induction, allowing of perform the movement in Boomerang hinge.
Figure 7.8.4 shows some mechanical inequality of inductions at double opposed supports, when made with blades of odd number, and blades even number. In the case of odd-rated mechanics in a) this inequality is physical and the parts must be calibrated. In the case of mechanical at the odd side blades, they are still balanced when the blades are supported by the centers of sides, since after a quarter turn their equality found on the other side. Side arming is always done.
In (c) however, when the supports are found in the points of blades, the machine is alternately motor, and compressive Figure 7.9.1 shows the flow for a round of the method by poly induction. and moreover shows how the method alternately hinge thrust, or Boomerang of the blade of the machine. In a) of the figure, the two inductions are perpendicular to the machine. 45 Arming occurs by the lower induction, 46 which is at that moment at its minimum speed, then that the speed of the upper support point is at its maximum speed 47. Point superior to so a natural tendency to turn around each other In be the figure begins the second sequence. The upper support point is down to their point of maximum deceleration, 498 and that's the point outside, which in a) was inking, which becomes the offensive point, 49 turning around the point side arming 48.
The cycle continues around a virtual arming point, 50 and resumes its revolution in subsequent figures.
Figure 7.9.2 shows the complementarity of the machine support races at poly induction. The poly induction method thus makes it possible to deduce three racing principal means of support. In a, when the support means are located in the tips of the blades, the race is lateral.
In b) when the support means are in the sides, the race is vertical.
In c) when the support means are in positions of attachment to the pale in the intermediate areas, their course is oblique to those of the two first.
Figure 7.9.3 shows the various solutions to achieve outbreaks equal on each side of the blades, in realization Engine of the machine. In a), one finds the induction sorting by descending inking and supports by the means of sides. In b) we find tri induction by side inking and supports perpendicular in the mediating parts. In c and d, the supports by poly alternative dynamic induction. In fact, supports by semi transmission. In f), the supports by addition of geometry rod. All these methods will realize, for each part of the blade, the machine in its inductive poly version Engine.
Figure 8.1 shows the reasons why the model of support by tips is the compressive version of the machine, and can not realize effects interesting engines. In this provision, which we present at the top of climb in a) and during descent in b), we can see that we do not finds that the concept of armament, and that, moreover, it is found at the top of the climb. Indeed, at this point, the two top means 301 will tend to pivot around the lower means, then mechanical stoppage 300 At this moment If the machine is operated by the crankshaft, it will have a good capacity effort, as a compression machine. Moreover, as can be seen in b, two support means 301 are always in anterior position, and a only in posterior position. Therefore, these two means can not simultaneously make a hinge around which the means or before the machine would turn. The Boomreang effect, realized in our mechanics of polyinduction can not be achieved. The two anterior crankshafts are surplus to create a contrary hinge effect, in contrast to the thrust. The machine is limited to thrust on the secondary crankpin before 302, which operates individually the main crankshaft The motor skills of the machine are therefore below its capacity Compressive. That's why we say this is a version of Compressor type machine, not indicated for engine realization.
Figure 8.1.1 shows what geometric reasoning was used for the construction of each inductive poly race. As can be seen, in a) the form of Projected cylinder is the duplicated form of the same race of induction. In b, a vertical induction is made, and it is realized that additions tangential, on one side as on the other produce the form of induction, but this time this perpendicular to the induction.
In c) it is found that geometric additions this time oblique have to be of different length to produce the same shape as in a and b) These three findings allow us to realize that the same form of cylinder is, as in the previous figures, carried out by induction means arranged in different places of the machine, and that the races of these means are different .

Figure 8.1.2 shows in downhole the locations of the inductions for each of the support models.
It can be seen that the method of support Compressive has, as we already mentioned, two previous supports at the center of the machine and at posterior support, preventing any anchoring effect. Counter-attacks are therefore important.
Sorting induction by the sides, which already constitutes an advancement since it allows to make the machine, while descending, with two supportive yens before, and anterior anchoring means. That's why we say it's the the Motor version of the machine. Io also note, in attack that both lower crankshaft are in tension. 55, more this solution situational allows a vertical stroke inductions 56, which is a lot preferable to the lateral course of the preceding figuration. This ensures a better coupled to the machine. Similarly, the solution by intermediate locations, allows a support perpendicular to the explosion of two of the support 58, which is the approach of the method by complete poly induction. In addition, the race of support in this case is oblique, which also improves the descent. During descent, one finds there also an armament, Since two of the poles passed the center of the machine.
The machine therefore has a predominant mechanical sense towards the front. As in the previous figuration, the arming allows to link the gears between them, which creates the Boomerang effect, since in these cases consider the scope of the machine as being the range between the thrust gears and anchorage.
Figure 8.1.3 shows, each of the phases of the method by poly induction basic, the initiation of the descents according to the positioning of the supports. In at ) when the blades are supported centrally, the upper supports go down to the 60, and the lower support carries a lateral primer 61. In the second explosion, the top primer is also descending 63, and the bottom primer lateral in the direction of the engine 64. In the third explosion, the top primer is side down 65 and the leader of the other reach down 66 Figure 8.1.4 shows that the figures produced by points in the rated, or in the middle sections producing more racing forms vertical and therefore more motor. These findings are important since they allow to build the machine with three poles of support, but with weapons totally different for each of them.
We can opt for an arming during descent, as shown in b ) this which will be the engine version of the machine.
We can also opt for a mediant support, which ensures a perpendicularity of two of the supports, to the explosion, and which in addition produces an armament also from listed, but earlier, than the perfect side. Therefore, this weaponry no seems closer to the thermodynamic necessities.
The figure also shows that the primers are also different for the figures at three poles. Indeed, in a) we see the lateralizing primer 70 of mechanics by medium of supports in the poles. That's why we say that the thing is mounted in its compressor form.
In b) we see that the leader is vertical, 71, which is much more as at the This is why it will be said that the machine is in its Engine form.
In c) we see that a more oblique race supports 72, allows an attack as well quite vertical.
Even though race one and two are advancements in the achievements Motor of the machine, it does not fully realize the Booerang effect, since the job inking is hindered by its own duplication. We will see further like finding the Boomerang effect, even at three supports.
Figure 8.2 shows how to achieve the total explosions driving by making blades composed of fragmentary blades.
Obviously, each of these parts would work in poly induction, but the blades would be, as in the poly turbine, palic assemblies difficult to achieve .
Figure 8.3 shows that to fully realize the poly induction, it is necessary to maintain the hinge effects offered by the two-pole poly induction. The figure shows that the two outer gears, at 1 and b 1, form a hinge external 80 which cancels the power of the machine. Hinges including a front gear and one of the two posterior gears are otherwise motrices.81. As it, there is rotation of the gears and that the gears posterior are found, half a hole further, like gears previous, he the work of the gears must be done alternately. That's what we will name full poly induction, for alternative dynamic poly induction.

Figure 8.4.1 shows that one can indeed realize the Boomerang movement with inking, temporarily subtracting the coupling capabilities of the gear in non-driving hinge, to work only on the two other offensive media. The simplest way to temporarily realize decoupling is to subtract the teeth from the gearing of the medium, for example here from the support gear.90. As we can see, this retrenchment cancels the coupling of the relative support means 91. The three supports are therefore momentarily in arming position for one 92, offensive, for the other 93, and free for the last 94 The free gear rotation will be momentarily made by his crankpin which continues to be connected to the blade. By consequent his position, as much otientationelle, or positional will be preserved during of the progress of the machine in its cycle. Therefore, when returning from coupling, the geometric aspects will be preserved.
Figure 8.4.2 shows that for each machine, one would have two of the active gear pairs, and a different free gear. We will indicate more far how to choose the best Combinations.
Figure 8.5.1.1 shows a revolution of the machine. It shows that phases in phases, the functions of the gears will be transposed alternately.
The free gear will become for example in armament, the arming gear in thrust, and the free thrust gear. That's why we call this poly dynamic induction poly induction, or alternative bi induction. This guy induction therefore takes at least three inductions working in groups of two. Here we realized the most simple method, each of these induction being a mono induction.
Indeed, we see here from the beginning in a) that the previous gear 100 and the posterior low gear 101 form a hinge 102, since the gear posterior high is free. He remains mounted on the master crankshaft, and connected to the pale but not coupled to the support gear Therefore its rotation remains assured, but it does not have motor incidence, or anti motor. In B
) the transfer of the functions of the gears takes place. The free gear becomes again therefore functional, since its coupling to the master gear resumes the three Gears are therefore coupled to the master gear for a short time. In c) the decoupling of the lower front gear is effected. This one becomes free. 103 This gear is in fact the posterior gear from the bottom side of the blade.

The offensive gear becomes the upper left gear, and the gear arming, the lower right gear. The effect of hinge 104 can therefore be produced. In d, the transition takes place, and the momentary coupling of the three induction to become true. 106 In e) the procedure described in a is repeated, and in f, that of b.
The effects Boomerang engines are made on each side.
Figure 8.5.1.2 shows the same procedure as before, but this time this taking as starting point support locations located in rated of blades. Here the upper gear 108 has been released, so that the push itself produces perpendicularly their gears and motor means, these being in effect parallel to the surface of the blade 109. We can see in b), and d), Steps of transition.
Figure 8.5.2 shows the possibility of connecting to identical crank pins 114 various blades whose support points are in the tips for one 115 , this which will make it possible, for each one a cylinder in opposite sense, like this than found in orbital type engines.
The induction number and the space requirement will therefore be minimal for a machine that will produce here, nine explosions per turn.
Figure 8.6 shows the sequence of different pairs of a method by poly induction, which will make it possible to delimit the inking points, and the choices of additional mechanical hinge offensive to keep.
It can be noted that the overall torque of an induction is the sum of couple inductions that compose it in relation to the origin of the thrust. By example in a) it is assumed induction before a poly induction by tips.
The thrust comes from the top 115. It is zero on the upper crankpin 116, but the whole has a couple on the master crankshaft, 117.
In b) the couple is realized on both inductions 118, 119.
In c) the torque angle is pronounced on the upper crankshaft, but in traction on the master crankshaft 120, 121.
In f), there is no more torque on the upper crank pin, but it remains on the crankshaft master 122, 123 In e), and f) the cycle is reproduced, but in reverse duplication, the thrust from bottom.
Figure 8.7 shows that the poly inductions can be polycammed.
In this case, it may be for example the support gear that will be amputated of parts of teeth.
Figure 8.9 shows, as an example, part of a four-sided blade, that Dynamic poly induction structures can be produced for all figures, and that one can have various temporary decoupling by example here the entrenchment of teeth on the gears of inductions 130 .Il should additionally add that we can momentarily subtract the whole of the average in such a way that it does not produce any more effort, not only on the upper crankshaft, but also on the lower crankshaft. We will have so use of a split induction to ensure the continuity of its rotation.
Figure 9.1a shows that one can by geometric addition, make produce at arming a positive thrust 131, decreasing the length of the crankshaft master and increasing that of induction by addition of connecting rod geometry.
132 In a) 2, the curvature only realizes a reinforcement. 133 In b 2) she achieve a positive thrust 134,. These two curvatures, if we decrease the size of master crankshaft, will realize the same cylinder figure .In b, one achieve a poly induction with two support of different size but whose result geometric will be the same We can also realize each induction semi transmissively, and such way of profitability even a rear means of induction. These why we will enter the next section on more definition expanded semi transmissions.
Figure 10 ab, c shows that the transmission will be inductions transferred to they themselves. for example, in (a) the transmission by double gearing of coupling 140 is comparable to a gear type induction intermediate 141, whose induction gear would have been placed in such a way that its center 142 is identical to that of the support gear 143. In B and C we can so compare other types of transmission to inductions .. For example in B ' a gear transmission gear 144 is comparable to a induction by sprocket gear 145 turned on itself. In this will be the transmission inverse, 147, is comparable to a mono induction turned on itself.

These interpretations allow us to assert that the definitions that we give in our previous work to the effect that any bi inductive machine was a machine whose compressive parts were supported by a induction composition, and that this combination setting includes semi transmission, since the previous clarification shows that this is also of inductions.
Figure 11 comments on the method by augmented poly induction, bi mechanically by semi transmission. In this one we can see that the rear part of the blade produces a positive effect on semi mechanics transmisttive.

Figure 12 shows the main methods of accelerated transmission décélératives . In a), two gears of the same center 151,152, are coupled to each other by the use of a doubled gears 153 of different sizes. Both basic gears are at different speeds.
In b) there is recognized the method of coupling an internal gear 156 and a external gear 157.
Figure 13.1 shows the main methods of inverse transmissions In a), there is the semi gear transmission gear 1 S 8, and in b by internal gears 159 Figure 13.2 shows both inverse semi-transmission methods and accelerated. In a) the internal gear acts as a gear speed reducer 160, and the intermediate gear gear of inversion 161, a third gear 162 In b the reverse gear lining 163, at the same time as it reduces Ia speed two gears 164, 165 by them indirectly coupled. In c) the gearing 166 sprockets are themselves indirectly coupled by link gears Figure 14 shows applications of various semi transmission to the method inductive poly. In a, we have the semi transmission by doubled gears 170 , en, b by fragmented mono-induction 171, in c) by coupled mono-induction, 172, in e) by gear gables 173. In e) this one is confused with the poly induction itself Figure 15 shows a semi transmissive poly gear induction sprockets, this time in three dimensions, in a, and in transverse in b) Figure 16.1 shows that another way to realize the machines so birotative is to use in opposite complementarity on the same blade, two methods of support, for example by anterior intermediate gear and posterior 180 This dynamic distribution has already been commented on by us-even.
It is here to show that it increases the degree of the machine, and can by therefore be considered as an augmentative method, which can be combined with any other method The figure shows a degree increase by use in complementarity of two methods for the same blade.
we have the method by anterior intermediate gear, and by gearing intermediate later. E b), there are intermediate gear methods 181 and by hoop gear 182 ..This procedure does not ensure total birotativity Boomreang, but it ensures a step forward by guaranteeing a thrust sure the whole blade. We will complete the method for example by gears polycamés.
Figure 16.2 gives an example of the last procedure, in which the blade is jointly supported by a method of gear hoop 183, and gear intermediate 184.
FIG. 17 shows that birotative cylinder shapes can be made with post rotating, or retrorotative, subtracted, or summed according to case of a geometrical parameter, named geometry link. The figure shows than the birotativity of the poly turbine in a) is obtained by double support opposite, whereas in b, it is obtained by addition 190 and subtraction géométrique.191 The figure shows in c) a degree increase by dynamisation of the cylinder, said by planetary rotor cylinder, which acts both as subtraction geometric. l91 Figure 18 shows that we can, as we have already mentioned, increase the degree of the machine realizing this one with fixed blade and with cylinder rotor planetary, and this in all its forms and with all mechanical. I1 is important to reiterate that the post rotary mechanics will apply in figures retrorotatives in the opposite position of the basic figures, and conversely, the retrorotative mechanics on post rotary figures. In this figure, the double-arc retrorotating rotor cylinder 200, turns planetarily around a fixed triangle 201. In (b) we see that this is possible if we reverse the position of triangle 202, that at the same time it is used like blade 203. In c) one sees that this arrangement allows the off-center position of the compressive part driving, and therefore allows to realize the machine with its component orientational.
Figure 19 gives further examples of cylinder support generalization rotor.
In a) we show the procedure by rotor cylinder supported by mono induction. In b, one shows an increase of degree by supports by semi transmission.
In c, we apply the procedure by rotor cylinder is increased by the use of a mechanics by poly induction by pinion gear supporting the blade, and in d) this polyinduction is semi transmissive, which pushes the machine to a fourth degree of support.
FIG. 20 shows a degree increase by blade dynamics in Clokwise. This dynamic distribution has already been commented by ourselves. he is to show that this increases the degree of the machine, and can by therefore be considered as an augmentative method, which can be combined with any other method.
The figure shows in a) the machine is increased by gear degree polycamés. In b) it is the rotor cylinder machine which is made by gears polycamés.
Figure 22a shows an example of a stepped combination of inductions. Here he is of two mono inductions. Several examples were given in the first part of our work. Figure 22b shows a combination setting juxtaposed, but independent, each induction being on one side of the blade. The figure 22 c shows stepped inductions, not superimposed, as in, but this time in the opposite direction from the same center.In our work earlier, we specified that the Clokwise movement could be achieved by all the inductions, and furthermore we have specified that the cylinder reversion could be assured by any form of semi transmission. As we already have mentioned, it is almost impossible to list all the combinations possible more than four hundred permutations achievable, The next figures will only have the purpose of specifying a few, and to specify the points following principal A) the cylinder's retrorotation must of course be coordinated with that of the blade, as well as the rotation of the crankshaft. So we will always have a system of cylinder rearrangement, and crankshaft system Generally, the retro rotation with lower speed of the cylinder will be made by one of the served transmission already commented. This served transmission will then be linked to the yardstick of rooms blade system, crankshaft, support gear, gear intermediate, induction gear. As we can see, many combinations are possible. But we can not act without a useful transmission, since the center of rotation of the cylinder is identical to that of the crankshaft, and induction.
However, as we will see, we will try to achieve in a confused way these systems, in such a way as to achieve an economy of elements, by participate in the same elements in dual functions. The most examples striking, are those of the poly induction presented in our previous disclosure, in which the inductions of blades, are confused almost entirely with inverse induction of cylinder, A second typical case is that of the conduct of blade by service-transmission by gear pinion or other. We calibrate when gear ratios of dynamic support and induction in such a way that the the support gear is the master support of the cylinder attached to it rigidly.
The most simplified induction can take, for three guides of different speed, three, four or five gears.
Figure 23 gives an example of inductive duplication. Here the blade is articulated by intermediate gear mechanism 220, which are properly calibrated of one for one, for the support and induction gear, which ensures the Clokwise movement of the blade on the one hand.
Moreover a duplication of these same gears makes it possible to realize a served Inverter transmission 221, outgoing gear 222 Operate cylinder 223 FIG. 24 shows that the blade 230 can be actuated at a rate of one to one of retro crankshaft speed retaining the size of its gears himself 231 support and original induction 232, and by retroactivating the gear of support by a servo reverse transmission 233, at a rate of half a hole this gear per crankshaft turn, .The speed of this retro support gear being identical to that expected from the cylinder, it will be fixed to it 234 ..
Figure 25 shows in a that can be used in combination another served transmission and another induction. Indeed, we find one served transmission whose two inversion-acceleration gears 240 are mounted rotatably on a part rigidly fixed to the machine. Therefore, they ensure retro rotation the gearing of the cylinder and the cylinder and the rotation of the crankshaft 243 supporting the second induction This second induction is of type by gearing hoop. The rigid part supporting the reversing gears thus supports as well the support gear 244 to which the hoop gear 245 is connected and the induction gear 246. so we have two induction synchronized, either a served 247 transmission, and hoop gear induction 248.
In b, we have the same general procedure. Here, however, the parties do not are not united by the same crankshaft, as in the previous figure, but by the dynamic support gear 249, which operates both inductions.
In fact, inductance by mono induction which coordinates the movement of the blade, here is served transmittive. Moreover, this same support gear dynamic is rigidly coupled to the cylinder, and consequently actuates it retroactively, which is the expected movement, compared to that of the crankshaft.
Figure 26 also shows a combined coordination of two inductions.
The blade induction is by poly induction served transmittive, one recognizes in effect, the polyinduction in 251, and the servo transmission 253, which actuates rotatively the master crankshaft 255 and retrorotatively its gear 254 .. The cylinder is connected to the same gear that controls the gear 256 support, which ensures its retrorotative movement.
In fig 27, the mono induction is connected to a servo transmission inverting, 260 and, as before, the combination gear 251 of the two induction here doubled, serves as a dynamic support gear for induction of mono induction 262 and retrorotative gear with cylinder 263.
We see here that we have dual transmission gears for guarantee the securing the system.
FIG. 28 shows an active central gear blade induction 270, controlled by served transmission 271. The planetary link gear 272 leads in rearranging the cylinder gear and the cylinder itself 273 Figure 29 shows two hoop gear induction, the one rising, controlling the movement of the blade, and the other. down, 281, it's up to say from the periphery to the center, which controls the retrorotation of the cylinder 282 FIG. 30 shows a control of the blade by a semi-induction poly transmissive pinion 285. Gearing Induction 286 also coordinates the movement retrorotative of the cylinder gear and cylinder 287. In b of the same figure both induction are united by the blade itself, since they are placed each side of it. The blade is controlled by an induction by gearing hoop 290 and she controls itself the reversion of the cylinder by mono reverse induction and dynamics .291 Figure 31 shows yet another combination. Here the blade is activated by semi fragmented transmission, or else, unitary, each induction gear having its own semi transmission gear.
The support gear of the induction 294 is therefore recognized.
gears of semi unitary transmission 295, and the gears Figure 32 is an example of induction put in combination by the same crankshaft. Here the crankshaft has an induction of semi inverse transmission which coordinates the movement of the blade, and on the right, it controls the mono induction 297 Figure 33 shows another example of binding of the parts pax the Crankshaft, Here, indeed, the crankshaft controls both the induction of semi transmission supporting the retrorotation of the cylinder, and at its right the induction of the pale by Hoop gear 291.
In Figure 34 we show that inductions can all be inserted in the blade, which subsequently makes it easy to seal it compared to the retrorotating cylinder. In it we control the movement of parties by poly induction whose dynamic support gear is both rigidly connected to the cylinder, which is the simplest fitting of this type of machine.
In b, the blade is controlled by geared transmission, gearing outside of this will be transmission controlling simultaneously the retrorotative movement of cylinder. As can be seen, in both cases, the mechanics are included 310 in the blade and allows to perfectly seal the parts.
It should be noted, moreover, that the crank pins supporting the blade can opposite that of being fixed on the induction gears, fixed on the blade, and inserted rotational to the induction gear.311 This will allow a support perfectly centered of the blade on these parts.

It will be noted, for all these figures, that as for the figures of blades standard, the poly induction can be at the number of trots, and located in the spikes, listed or mediating parts of it. In addition, we can proceed, as previously, to alternative dynamic poly inductions, which will be specified the best editing, in the parts of this book dedicated to design.
FIG. 35 shows in al, the standard rotary engine in the explosion position and in a2, during the descent. It shows that since the pressure is there perfectly equal on each side of the blade, but this in contradiction of push and against pushed, any blade design is useless, since no lateral action may be recovered.
At 3, we see the engine at the end of expansion, and we note that the real expansion is much larger than mechanical expansion, and therefore a part of the expansion is not used.
In b of the same figure, we show the four privileged circumstances which decenter the compressive part of its axis.
In bl, we find this situation when using gears polycamés, of the same direction or inverted.
In b 2. during compressive parts per rotor cylinder In 6 3) during Clokwise movement of blade or cylinder In b 4) during support said in intermediate position, elis In b 5) during any double situation supports Figure 36 shows that in the situations listed in 35, one can to proceed to a blade design that will have an effective rotary impact, which will allow a perpendicular rotativo expansion, whose mean will be equivalent to effective geometric expansion. Even though the form of these the blades that are redrawn, the actual consequences will be felt on the parts dynamic compressors and off-center, especially on itself, when of use of polycammed gears, on the cylinder in a pale neck cylinder Clokwise and rotor cylinder, or both, when we find these two circumstance at the same time, which will ensure the motor a great power.
Various blade design with effective consequences on the thrust are therefore possible. The important thing here is to show and prove that it is realized during the situations that we have just given, but can not be in any machine of the prior art ..
In cases of realization by blade in Clok wise, one will aim at a primer lateral explosion, gradually turning into vertical thrust.
This Lateral expansion will be possible by the angulation of part.
In the case of polycammed gear machines, whose cylinder is later deformed, we can instead draw the blade offensively.
The curvature of the blades is therefore to be realized in such a way to follow successively the lateral subsidiary rotational movement, and the movement large frame. All of these movements achieve the totality of gap between the blade and the cylinder, which is only realized at a small percentage, in the mechanical devices of the prior art.
Figure 37 and following shows that several supports of poly induction dynamic alternatives are possible, and cause many positions different from the master and secondary crankshafts being filmed. The present Figure shows, in a) the dynamic polyinductions for the three types of support in the explosion phase.
We can also build the support of the same blade with more than three supports . The armament will still be effective, when it will be unitary and successive.
In b) we find these same mechanics in the descent phase.
As we can see, the locations of the couplings to subtract temporarily vary according to the types of support offered, depending on whether they are of initial compressive nature, or motor.
For a better understanding of these, simplify by saying simply that it is almost impossible for the same poly induction to have all his inductions in equal work except at the compression top. About to all moment, we will have a) a defensive support means, b) medium support means c) an offensive support medium However, it should be noted that according to its positioning, the support means defensive can serve as a positive weapon. This is the case, in particular the means of back support models support by the sides or in position intermediate.
In a) 1 of the figure, we find the model supports in the tips.
.In a 2 of this one, the type of figure that the means of support traverse, and their position departure. It can be seen that the posterior posterior support will be negative for all the first part of descent .. As for the posterior superior support, it is positive, though lateral .. As for the lower support, it is descendant, but enough lateral the elision of the orientational capacity of the previous mayen therefore seems preferable. .
In model b, of already driving nature, even in standard polyinduction, lends itself better to developments. First, the two posterior gears are very descendants, by the very structure of their race. They can therefore serve as starting support. On the other hand, the previous way between almost immediately in its immobility phase, which will allow it to be used as an armament.
The elision of the upper middle seems thus from the beginning, or shortly after the departure preferable, since, moreover, when the blade will be supported by its two means lower, these will be perfectly parallel to the thrust.
By doing these actions successively, we will have a lateralized thrust of the departure and verticalized thereafter, hence the need for a dynamic blade design geometric.
In part b of the figure, we see the parts being descent.
One can see that in a, the two lower gears are still active. In B, however, the two lower gears that are active, the thrust Lateralizing gave way to the general push, wide and reinforced.
In c) as in b, we have transferred the functionality of gears of such way to enjoy the armament and the Boomerang effect.
So we see that the motor effect is better in two seconds position because the motorization of the first model seems to remain individually on the means of the outside, and not by armature between them, which produces the wide effect Boomerang, and posterior dilatation of those cis.
Moreover, we see that the double gearing semi transmission allows retroactive l, cylinder gear and cylinder 298.

Figure 38 shows the evolution of the thrust for a poly method induction dynamic with support in the sides. We see that this method allows a blade cylinder work whose actual extension 299, diagonal, is superior to the only perpendicular mechanical extension, machines of the prior art.
Figure 39 shows the same for a polyinduction support method dynamic by the spikes. Note that dynamic media can be performed with any poly induction, semi transmittive or not, and with gears standard or with gears, and for post-rotating or retrorotative machines.
Figure 40 shows the same considerations for the model of support by in the intermediate parties. The thrust goes from lateral to vertical 299. Of more, this type of method cancels the starting point of the machine.
one thus passes from prior art machines to very long dead point at machinery without dead spots.
Figure 41 shows indeed, we note that by its geometry of positioning of the support means, this type of model allows two supports perpendicular to the outbreaks 300 and closer to the center than the third support 301. Therefore, if one produces the temporary elision of one of the two first support 302, and a party of the thrust on the blade will be without counter-thrust 303, this which causes rotation, even at the top of the climb. The thrust on the blade will indeed be more powerful on the third party.
Figure 42 shows that one could imitate the polycamation of the gears in motivating the support gear of a reciprocating motion, which would actuate it alternatively in the direction of rotation of the crankshaft is in its direction reverse.

Claims

Revendications Les droits de propriété suivants sont demandés pour la présente invention, en accord avec celles de nos travaux antérieurs, Revendication 1 Pour toute machine, dont la birotativité est réalisée, au surplus es méthodes déjà
montrées par nous même antérieurement:
- Par poly induction à trois pôles avec positionnement Moteurs, c'est-à-dire, dans les cotés , ou dans les parties intermédiaires - par plus de trois pôles, avec tout positionnement - par semi transmission, considérant toute semi transmission comme une induction -par réingénérie géométrico dynamique sous forme de machine à
cylindre rotor planétaire, ou machine à pale ou cylindre en mouvment clokwise - par poly induction dynamique, les dynamiques alternatives de celle-ci pouvant être réalisées entre toutes induction dynamique cette birotativité pouvant être caractérisée au niveau de ces fonctions compressives par des design de pale en propulsion intégrale, diagonale , et ces birotativité
donnant lieu , selon le cas à des mouvement de pale dits en Booerang .
ces machines pouvant être de tout nombre de cotés de pales ou de cylindre post rotatifs, rétrorotatif, et bi rotatif Revendication 2 Toute machine telle que définie en un comportant des moyens de support réalisant en combinaison deux inductions ou plus, - ces moyens de support pouvant être combinées et être réalisé
confondus, de telle manière d'avoir des pièces communes - ces moyens de support comprenant les semi transmissions, ces dernières étant considérées comme des induction virées sur elles -mêmes Revendication 3 Toute machine telle que définie en un dont les induction sont réunies l'une à
l'autre pale le vilebrequin, par l'engrenage de support, par l'engrenage d'induction ou par l'engrenage de couplage , intermédiaire ou cerceau , ou par l'un de ces moyen.
Revendication 4 Une machine telle que définie en un, dont la méthode est dite par poly induction à
trois pôles , le positionnement de ces troispoles étant soit dans les cotés , soit dans les parties médianes , de telle manière de réaliser une course des soutiens non latérale , et par conséquent de réaliser la poly induction dans sa version et son modèle Moteur Revendication 5 Une machine telle que définie en un, dont la méthode est dite par poly induction et pour tout positionnement des pôles, qu'ils soient de deux ou de trois ou plus, cette machine est munie de semi transmission Revendication 6 Une machine telle que définie en 5 , dont les semi transmission sont des plus élémentaires, tel simplement une addition géométrique de bielle de géométrie, ou plus sophistiquées, telle les semi transmission par engrenage pignons, par doublées d'engrenages Une machine telle que définie en 1, dont la poly induction dynamique est réalise par le découplage temporaire et alternatif , total ou partiel de l'un des moyens de support Revendication 7 Une machine telle que définie en 1 et 2 , dont le découplage des moyens de support est réalisé:
- par disfonction des engrenages, par retranchement, amenuisement, des dents, de l'engrenage de support ou d'induction, déformation d'engrenage - par disfonction des soutient, par exemple par coulisse des bielle ou autre moyen Revendication 8 Une machine , à cylindre rotor, dont le cylindre rotor est contrôlé par toute méthode de support , de premier, deuxième troisième degré ou plus Une machine à pale ou cylindre en mouvement Clokwise, dont la pale est soutenue par une induction et dont la rétrorotation du cylindre rotor est réalisé par semi transmission , ces inductions et semi transmission pouvant être combinées l'une à
l'autre par l,intermédiaire du vilebrequin de ,engrenage d'induction, de celui de couplage, de l,engrenage de support ou de plus d'un engrenage ou autre éléments , de telle manière que ces induction soient confondues.
Revendication 9 Une machine telle que définie en 8, dont la méthode de soutient est par poly induction, cette poly induction pouvant être ou non semi transmittive, à
pignon ou à
engrenages standard, et finalement standard, ou dynamico alternativce Revendication 10 Toute machine, dont le soutint de la pale est réalise en combinaison par deux méthodes de support en complétion Revendication 11 Tote machine porésente aux présentes , dont les moyens de support des pales sont internes à celle -ci de telle manière d«assurer une facilité de segmentation Revendication 12 Toute machine telle que présentée aux présentes, dont les valves sont des valves lumières.

Revendication 13 Toute machine telle que présentée aux présentes, dont le maneton ou ensemble de maneton est identique pour plusieurs pales mais disposé sur chacune d'elles à
des points de rattachement différents, chacune d'elles recevant par conséquent un cylindre de direction différente, cet ensemble étant nommée par nous-mêmes machine orbitalorotative Revendication 14 Toute machine des présentes ou de l'art antérieur munie d'engrenage polycamés , simple ou double, uni sensée, ou bisensée.

Revendication 15 Toute machine ayant un cylindre irrégulier réalisé par l'utilisation d'engrenages polycamés Revendication 16 Toute machine possédant plus de moyens de soutiens que son nombre de coté, cette machine étant conçue pour réalise alternativement les engrenages de cotés et de pointe Revendication 17 Tout autre machine, à pale ou à piston, utilisant nos semi transmission, ou ajout de bielle de géométries.

Revendication 18 Toute machine rotative dont la pale est dessinée thermodynamiquement , pour assimiler les poussées des circonvolutions secondaires , et celles des circonvolutions d'ancrage.

Revendication 19 , toute machine , y comprenant ;les machines Slinky, les machines à explosion centrale, les machines de type semi turbines différentielles, les machines de type à piston périphériques, utilisant les semi transmission permettant de bimécaniser les poussées arrière , ou arrière et avant
claims The following property rights are required for the present invention, in with those of our previous work, Claim 1 For any machine, whose birotativity is realized, in addition to the methods already shown by us before:
- By three-pole poly induction with positioning Motors, that is to say, in the sides, or in the intermediate parts - by more than three poles, with any positioning - by semi transmission, considering any semi transmission as an induction -by dynamic geodynamic reengineering as a machine planetary rotor cylinder, or blade machine or cylinder in motion clokwise - by dynamic poly induction, the alternative dynamics of this ci can be realized between all dynamic induction this birotation can be characterized at the level of these functions compressive by blade design in integral propulsion, diagonal, and these birotativité
giving rise, according to the case to paleo movements said in Booerang.
these machines can be any number of blade sides or post cylinder rotary, retrorotative, and bi-rotating Claim 2 Any machine as defined in one having support means performing in combination two or more inductions, these support means can be combined and realized confused, in such a way as to have common parts these support means including the semi-transmissions, these past being considered induction on them -same Claim 3 Any machine as defined in one whose induction is joined one to the other Blade the crankshaft, by the support gear, by the induction gear or by the coupling gear, intermediate or hoop, or by one of these means.
Claim 4 A machine as defined in one, whose method is called by poly induction to three poles, the positioning of these threepoles being either in the sides, either in the middle parts, in such a way to run a run of supports no lateral, and therefore to realize the poly induction in its version and his Motor model Claim 5 A machine as defined in one, whose method is called by poly induction and for any positioning of the poles, whether they are two or three or more, this machine is equipped with semi transmission Claim 6 A machine as defined in 5, whose semi transmission are more elementary, such as simply a geometrical rod addition of geometry, or more sophisticated, such as semi gear transmission gear, lined gears A machine as defined in 1, whose dynamic poly induction is realized temporary and alternative decoupling, total or partial, of one of the means of support Claim 7 A machine as defined in 1 and 2, whose decoupling means of support is realised:
- by disfunction of the gears, by retrenchment, reduction, teeth, support gear or induction, deformation gear - by disfunction supports, for example by sliding connecting rod or other means Claim 8 A machine with a rotor cylinder whose rotor cylinder is controlled by any method support, first, second, third or higher A blade machine or cylinder in motion Clokwise, whose blade is supported by an induction and whose retrorotation of the rotor cylinder is achieved by semi transmission, these inductions and semi transmission can be combined one to the other through the crankshaft of, induction gear, the one of coupling, support gear or more than one gear or other elements, in such a way that these induction are confounded.
Claim 9 A machine as defined in 8, whose method of support is by poly induction, this poly induction which may or may not be semi-transmissive, pinion or standard gears, and finally standard, or dynamico alternativce Claim 10 Every machine, whose support of the blade is carried out in combination by two support methods in completion Claim 11 Porous machine head herein, including blade support means are internal to it in such a way as to ensure ease of segmentation Claim 12 Any machine as presented herein, the valves of which are valves lights.

Claim 13 Any machine as presented herein, including the crankpin or set of crankpin is identical for several blades but arranged on each of them to of the different points of attachment, each of which therefore receives a cylinder of different direction, this set being named by ourselves orbitalorotative machine Claim 14 Any machine herein or prior art provided with polycammed gearing , single or double, uni sensible, or bisensee.

Claim 15 Any machine having an irregular cylinder made by use gears polycamés Claim 16 Any machine with more support means than its number of sides, this machine being designed to alternately produce side gears and of point Claim 17 Any other machine, blade or piston, using our semi transmission, or addition of connecting rod of geometries.

Claim 18 Any rotary machine whose blade is thermodynamically drawn, for assimilate the thrusts of the secondary convolutions, and those of anchor convolutions.

Claim 19, any machine, including Slinky machines, central explosion machines, semi-turbine type machines differential, Peripheral piston type machines, using semi transmission allowing to bimecanise the rear thrusts, or rear and front
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