CA2622829A1 - Rotating drive machines, polyturbines and turbomachines with maximized thermodynamic efficiency that burn diesel fuel - Google Patents
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Abstract
La présente invention a pour objet de montrer comment réaliser un calibrage des aspects positionnel et orientationnel de la cinétique des parties compressives des machines rotatives, des polyturbines et des machines turbinatives de telle manière de leur permettre de réaliser taux d'efficacité thermodynamique maximal. La présente invention entend aussi montrer que le remaniement de ce calibrage orientationnel et positionnel pourra être obtenu par les procédés modifiant matériellement les parties compressives elles-mêmes detelle manièr e de permettre la réalisation de nouvelles cinétiques, ou encore en modifiant leurs structures mécaniques, ou finalement en modifiant leur design des pistons. On montrera que les arrangements spécifiques de leurs parties compressives peuvent être aussi réalisées de telle manière d'augmenter suffisamment la compression de ces types de machines pour qu'il soit possible de les réaliser avec un brûlage des gaz de type diesel . Les moteurs rotatifs, les polyturbines et les moteurs turbinatifs ainsi réalisés produiront un rendement thermodynamique non seulement supérieur aux machines actuelle, mais aussi aux moteurs à pistons conventionnels, sans distorsion ou dispersion de l'expansion de l'explosion,The object of the present invention is to show how to perform a calibration of the positional and orientational aspects of the kinetics of the compressive parts of rotary machines, polyturbines and turbine machines in such a way as to enable them to achieve maximum thermodynamic efficiency rates. The present invention also intends to show that the reworking of this orientational and positional calibration can be obtained by the methods that materially modify the compressive parts themselves in order to allow the realization of new kinetics, or by modifying their mechanical structures, or finally by changing their piston design. It will be shown that the specific arrangements of their compressive parts can also be made in such a way as to sufficiently increase the compression of these types of machines so that it is possible to achieve them with a burning of the diesel type gases. The rotary engines, polyturbines and turbines thus produced will produce a thermodynamic efficiency not only superior to current machines, but also to conventional piston engines, without distortion or dispersion of the expansion of the explosion,
Description
Machines motrices rotatives, polytu--bines et machines turbinatives à
rendement thermodynamique maximisé et à brîifage diesel Divulgation Quelques idées préalables relative à la thermodynamique La thermodynamique est une sciencf compliquée nécessitant pour ::on avancement, des connaissances de plus en plus avanqses de la part des ingénieurs. I1 est donc important ici de mentionner que la présente invention n'a en aucun cas la prëtentiori d'apporter de nouvelles configurations de brûlage des gaz dans les machines rotatives, les polyturbines et les machines turbinatives. La présente invention pourra cependant très certainen ent mettre en place des conditions pratiques permettant d'entraîner la réalisation éventuelle de telles recherches plus approfondies.
Par ailleurs, il est important de mentionner qu'il existe d'énormes différences entre la thermodynamique théorique et la thermodynamique appliquée. En d'autre tertnes, alors que théoriquement deux volumes de gaz compressés et allumés dégage nt la même quantité d'énergie, dans la pratique, il en va tout autrementt. En effet, la manière dont ces gaz sont allumés, la composition des parties compressives réalisant la compression et ki mécanique utilisée pour entrainer le refroidissement de cette chaleur par l'expansion en rotation dans un axe moteur, sont autant de facteurs qui, à la fin et pour une même thermodynamiquE: théorique, aboutissent, par des réalisations pratiques variées, à des différences de rendement éner;;étique très importantes, les capacités du moteur étant parfois doublées, voire triplées pour unc même explosion. Parmi celles-ci, par exemple, la considération du transfert directe de chaleurs dc matériel à matériel, qui théoriquement n'est pas considérée, ma.is qui pratiquement est très importante. De même, le type de mécanique réalisant le rendu rotationnel de la thermodynamiquie, qui théoriquement n'est pas considéré, et qui pratiquement, entraîne nombre de questions impcirtantes telle celles de la friction et la surchauffe de certaines parties des moteurs, ou encore , telle,ielle de l'acceptation maximale de l'onde d'expansion proprement dite.
En résumé, s'il n'y avait pas de différences notables entre la thermiadynamique théorique et le rendu effectivement réel et pratique de cette thermodynamique, u;i moteur rotatif de même volume de compression qu'un motEur à piston conventionnel réali:;erait la même efficacité
thenmiodynalnique. Or en dépit des soustractions notables de dépeizse énergétique entraînées par l'absence de soupapes mécaniques et le peu d'accélération décélération des pièces, le rendu pratique de la thermodynamique des nioteurs rotatifs est si carencé, que ces moteurs n'arrivent pas, en bout de ligne, à surpasser, ni même à égaler l'efficacité
ériergëtique, pourtant assez faible, des moteurs à pistons.
Tel que nous l'avons montré dans plusieurs de nos travaux antérieurs, le rendu pratique de thermodynamique des moteurs rotatifs peut être considérablemenl amélioré . La présente invention complétera ces travaux , et montreira que sous certaines conditions, le rendu de toute machine, qu'elle soit à piston conventionnel, de type rotative, polyturbine, ou de type turbinative peut être équivalent.
Exemples de thermodynamique tb éorique et thermodynamique- pratique dans le domaine des moteurs à pistons conventionn els.
Comme nous venons de le mentionner, lors de sa réalisation sous fôrme de moteur, la thermodynaniique subit des contrain es mécaniques qui peuvent veriir modifier considérablement les résultats pratiques de rendu énergétique.
Donnons quelques exemples tout d'abord relatifs aux moteurs à pistons conventionnels.
En théorie, lorsqu'on compresse un volume donné de gaz, et qu'or.i en produït l'allumage, on doit obtenir le même résultat de puissancg; créé par le refroidissement progressif de cette chaleur en cours de détente. Suivant un tel énoncé, la compression d'un piston plus petit, mu par un vilebrequin et un bielle plus longue, devrait toujours, si le volume compressé
est identique, donner le même résultat thermodynamique, la même efficience énergétique que si l'on avait construit la compression avec le recours à un plus gros piston relié par une bielle à un vilebrequin dont le rayon de tournage avait été plus court. (Fig. 1 a) Or dans la pratique, on s'aperçoit qz .'il faut aussi considérer l'échange de chaleur qui se produira entre les éléments. En effet, une par ie de la chaleur ira réchauffer la tête du cylindre, celle du piston, de même que, en cours de d -scente du piston, celle des parois du cylindre. En tenant compte de ce facteur, on constate q.ie le moteur dont le piston et cylindre a de plus gros volume réalisera un plus gros échange de chaleur irrécupérable entre les éléments.
Les résultats mécaniques finaux et pratiques de c es deux moteurs seront par conséquent différents, alors que théoriquement, ils devaient être idex{tiques.
Dans un deuxïème exemple, ( Fig. 1 b) on considère qu'un mêm,; volume de compression est réalisé d'une part par une structure ~onventionnelle, et d'autre parI;, par la complicité de deux pistons , insérés de façon opposée d ans un même cylindre. Encore là, même si l'on peut affrmer que , théoriquement, le rendement des deux moteurs devrait être identique, le rendement pratique sera différent, puisque la tête inerte du cylindre conventionnel emriaagasine plus d'énergie calorifique que la tête d'un piston aõtif.
Dans un troisième exemple, ( Fig. 1 c) on peut comparer, toujours pour un même volume, le rendement de deux moteurs dont l'i in aurait un piston et un cylind:~e conventionnel, alors que l'autre posséderait un piston et un < ylindre de forme carrée. Alors que si, théoriquement, on peut dire que la pression est égale sur la surface des pistons et cylindret:, qu'elle qu'en soient les formes, dans la pratique, on constai era que le développement de 1"allumage et de l'expansion se réalise moins bien dans un tel type g le forme. En effet, on connaît s:,ujourd'hui le phénomène de schril, de mini tempête que produii l'explosion, de même que le Lit que l'explosion a une origine et une diffusion qui sont progressivcIs. En conséquence, les encoignures d'un piston carré sont plus tardivement brûlés, et comblées pa r la pression. Les piston et cylindre parfa.itement ronds semblent être la plus économique fiçon de réaliser l'effort thermodynamique.
Donnons encore un exemple concr..t. Supposons, comme cela a d.'jà été réalisé
par çertains motoristes, qu'un moteur est cons ruit (Fig. 1 d) en plaçant la paitie du cylindre relative à
l'allumage au coté du piston et not au dessus. Encore là, on consiatera des différences notables entre la théorie de base et la pratiquc. En dépit d'une compression iõt d'une pression égale, les deux parties opposées de tête du cyl:,ndre de coté enunagasineront une plus grande quantité de chaleur qui ne sera par conséquent p;às réalisée en force de descente. De plus , le développement de l'explosion en expansion se fera latéralement, et on en perdra le mouvement proprement dit de cette expansion, pour n'en conserve: que le résultat, plus inerte, s6t la pression. Le moteur ressemblera plus à un moteur à air, ciu'à un moteur à explosion.
Donnons un dernier exemple (Fig. 1 e). Comparons, toujours pour une même quantité de gaz compressé et allumé, une moteur mir par un vilebrequin et une bielle standard, un moteur mu par un vilebrequin standard et une bielle à coulisse, et un moteur mu par un étagement de vilebrequins superposés. Bien que possédant de:. parties compressives identiqucs, certains aspects mécaniques rendront ces moteurs seront fort dü férents. Par exemples, les deua; derniers n'auront pas de point mort bas, et n'auront par de déperdi Lion angulaire piston bielle en c ours de descente. Par ailleurs, le niveau de frottement des pièces n.:cessaires à assurer le mouverr.ient strictement rectiligne vertical de la bielle à coulisse, de n~, me que le frottement réalisë p2r le déplacement , aussi rectiligne, mais cette fois-ci latéral, de la pièce de joint unissant la bielle au vilebrequin, produiront plus de friction, et par crnséquent de chaleur non seuleinent irrécupérable, que les deux attachement haut et bas d'une biellf , conventionnelle. Au total, les rendements des deux nwteurs seront en pratique fort différents, et dépendront des méthodes utili;;ées pour sécuriser le mouvement respectifs des bielles. I a même constatation s'appliquie pour le moteur à double vilebrequins superposés. Les gains a-éalisés par l'annulation du tem::)s mort bas et haut, et l'annulation des pertes par angulatic m de bielie, seront contrebala.n,,és par des pertes dues aux accélérations décélérations plus directes de la bielle, en mouvemeatt strictement rectiligne, de même que par la friction entraînée l- ar les engrenages produisant il e mouvement spécifique du vilebrequin supérieur.
Ces deux derniers exemples sont fo -t éloquents. Il montrent bien qu'en débit de qualités mécaniques en apparences supérieu res, certains nioteurs, sï l'on tio-nt compte de la &iction et de l'accélération décélération,. deviem ient plus énergétivores que ceux mus avec le recouss à une bielle. standard.
Moteurs à pistons et moteurs rotatifs et turbinatifs.
La même réflexion s'applique lorsc ue l'on entend comparer un muteur à pistons et un moteur rotatifs. En théorie, sï ces moteurs réalisent exactement le même volume de gaz compressés et allumés, ils devraient produire la r iême énergie mécanique Snaleõ Et pourtant, en dépit de leurs qualités propres indéniables, les mc iteurs rotatifs demeurent, au fiitai, plus énergétivores que les moteurs à pistons.
On ne peut que déduire ce qui suit Alors que théoriquement, poiir une mênie quantité de gaz compressés, un moteur à piston et un moteur rotatif devraient avoir un rendement identique, la théorie est à ce point différente de la pratique que la déficience d, a rendement thermodynamique des moteurs rotatifs n'arrive même cas à combler les pertes mécatiiiques dues aux soupapes mécaniques et à 1'accélération dëcéü-.ration, qui limitent pourtant c,:)nsidérablement la puissance des moteurs à pistons_ Ceci veut dire, en plus simple, qu'en rre la théorie et la pratique, il y a un écart de plus de trente pour cent. Ceci veut conséquennnen t aussi dire que la différence énorme entre la puissance théorique et la puissance pratique de s moteurs rotatifs est due à un ensemble de causes auxquelles on pourra, après les avoir correctement identifié, identifier des soli.itions pertinentes. Ceci veut donc dire, finalement, que c'est dan ; la pratique, dans le concret c; ue pourra être rétablie, au point auquel elle devraït l'être, la pu :ssance thermodynamique des anoteurs rotatifs et turbinatifs, de telle façon que ceux-ci puissent p rofiter des avantages notables relatifs au poids , aux soupapes, ainsi de suite .
Rappel des principaux défauts de , moteurs rotatifs et de nos sa-lutions antérieures Il est nécessaires de rappeler ici, le plus brièvement possible, les principaux défauts des moteurs rotatifs, au niveau thermodynamiqui ~, de même que les apports que nous avons pu contribuer à
réaliser en la matière. Ce bref regar(l nous permettra de constater les problèmes restants, et d'identifier comment ceux-ci pourrc nt être résolus par la présente solution technique. ( Fig. 2) Rappel de ces défauts Les défauts de moteurs rotatifs soni de quatre ordres, soit celui du, rendu mécanique , celui de la segmentation, celui du design, celtii de la cinétique. Principalemeait, on peut pointer du doigt :
a) le déséquilibrage arrière de la poussée sur la partie comprE:ssive en cours de descente b) le déséquilibrage avant de la poussée sur la partie compres,;.ive en cours de descente c) une mécanique trop lourde ( excentrique ) d) une segmentation trop lourd e e) le temps mort long de la ma hine f) la longueur excessive des p,~ rties compressives offertes à l'cxplosion g) le défaut de la cinétique pari iculière de la partie arrière du piston lors de la descente h) le manque d'amplitude de Ia poussée avant, due au manqu,: de longueur du rayon de tournage du piston i) le design déficient de la forr. ie des chambres à combustion lors de l'explosion ou des explosions j) le caractère carréoide du pi::ton On doit noter que plusieurs de ces i léfauts adviennent en cascade, les uns étant issus des autres. La source la plus générale de tous ces Jéfa.uts consiste en ce que les tszoteurs rotatifs, depuis Wankei, ont été à une seule partie mécaniquc motrice, et un ensemble de p,uties compressives, soit le piston et le cylindre. Rappelons que i lans les moteurs rotatifs de l'allant Wankel, le redressement du vilebrequin s'accompagnait du rertressement du piston. Mais ceci entrâma.it des courbures de cylindre trop prononcées, et Wankel , en corrigeant ce problème, a réduit les moteurs rotais à une seule expansion, ce qui rend les mac hine mono inductive.
Correction partielle de ces défauts dans nos travaux antérieurs ( mécanique et cinétique) Nous avons montré à plusieurs reprfes que la poussée mécanique ~sur un piston de machine rotative gérée par mono induction du type Wankel produisait un enn;emble de contre poussées arrière, un ensemble de poussées ceritrales en permettant la neutralisation, et un ensemble de poussée avant en levier.
La présente invention a pour objet d,, poursuivre plusieurs de nos iuventions antérieures ( Fig. 4) et de montrer qu'il est possible de ré.aliser sur le piston d'une machine rotative, turbinative ou de type poly turbine, une poussée qui n entra?ne pas de contre poussé<::s sur la parie antérieure, et de sur poussées su la partie postérieurf ,. Et qui au contraire, distribuf:
l'énergie de faible à forte en respectant le rapport de rétro tourna ge , ou de post tournage orienlationnel de u piston dans la machine. montrer que l'on peut ré é quilibrer le travail sur la surfaac. du piston de telle ma.nière que celui-ci soit proportionnel , ce clui veut dire de telle manière qit'il varie de faible à fort, ceci respectant la cinétique preétrorotatil,ye, pou post rotative orientatioimelle du piston dans la machine. ( Fig. 3 ) Les objectifs pratiques réaIisé par le,;, avancées de la présente invenl:ion sont par conséquent les suivants :
a) une diminution du temps mort de la machine, ce qui entraînera une diminution du temps d'échange de chaleur direct de n atériau à matériau b) une augmentation du taux de cor ipression, ce qui permettra de inieux réaliser des moteurs rotatifs à compression variable , ct de moteurs rotatifs diesel, sa: as réaliser de cascade de parties compressives.
c) une amélioration de la forrne des chambres de combustion lors cle l'allumage, ceci permettant de mieux positionner les bougies, et même de n'en conserver qu'une seule lors de la réalisation de la machine, d) une amélioration de la segmentat ion qui permettra de mieux po;:,itionner les bougies sans perdre de pression entre les chambres lo rs du passage des segments.
e) une réduction des parties matérie lles directement offertes à l'explosion, ceci permettant de réduire les échanges thermiques de matéria.ux irrécupérables rrécaniquement f) un adoucissement du mouvemeni des parties compressives de J. machine, ceci entrahant une diminution de l'usure des segme rits g) une augmentation de la puissanc e de la descente, en permettanl un effort rétro rotationnel accru, h) une réduction de la durée de la dc.scente, ceci ayant pour effet rion seulement de maximiser la puissance de l'explosion, de rédi àre le temps mort bas, i) une augmentation éventuelle du 1 enips de remplissage sans turbo compresseur.
Première partie de la présente invention : amé6oration de la tli,ermodynainique par re partition du caractère orientation-3el et positionnel en divisant le piston en composante caeur piston et pistons de courbati ires.
Comme nous venons de le mentionrnyr, nous avons montré, dans ncs travaux antérieurs, que l'on pouvait produire des avancées de ty; >e mécanique susceptible, pour des figurations de cylindre de machines identiques, de permettre i. ne meilleure captation du dévrloppement de l'explosion, et une limitation des échanges indus dc chaleur par friction, par échiange direct.
Première série d'observations pré:tlables à la présente inventia, n Pour mieux comprendre la présente invention, il est nécessaire au 5iurplus de rappeler deux remarques que nous avons déjà faitus préalablement, et qui sont relatives aux niachines rotatives, ces observations étant les suivantes.
Lorsque l'on observe un point quelc anque d'un piston d'un moteur rotatif lors d'une révolution complète de ce piston, on s'aperçoi t que la cinétique réalisée par ce point varie selon deux paramètres, à savoir, le premier, sek in la distance séparant celui-ci du centre du moteur, et le deuxième, soit le cadran du piston eji lequel le point est choisi.
En effet, dans un moteur rotatif star,dard, plus le point observé est situé
près du centre , plus la courbure de sa cinétique est pronon.;ée, et plus l'amplitude relativc de la différence entre ses points limites intérieur et extérieur e st forte. Inversement, plus le p~)int choisi est situé en vers l'extérieur, plus la courbure réalisée par ce point lors d'une circonvolution du moteur sera douce.
Par ailleurs, la cinétique d'un point ~~rarie aussi en tenant compte du cadran dans lequel il est positionné. Un point situé sur une li,;ne unissant le centre du pistori et l'une des extrémités des pointes du piston décrira une forme similaire et dans le même axe clue celle du cylindre. Par ailleurs une point situé sur une ligne passant par le centre du pistor. et le centre de l'un des cotés, décrira aussi une forme similaire au cylindre, mais cette fois ci daris une angle contraire à celui ci.
Finalement, un point situé entre ces deux positions décrira aussi uiie forme similaire, plus ou moins aigue, mais cette fois ci de façon oblique aux deux première positions. ( Fig 5) Ces observations permettent de dirc que plus la longueur relative cfu piston d'une machine rotative est faible par rapport à sa longueur ,ie vilebrequin, plus, comme nous venons de le voir, la courbure du cyündre est exagérée ei: devient inadéquate, puisqu'elle entraîne un changement brusque de direction du piston et dc-s segments qui entraîne à son 1:our une usure prématurée de ceux-ci. Par ailleurs, les contre forc es sur la partie arrière de celu i-ci sont moins importantes, et se transfornient en forces. La partie arrière du piston devient plus active, plus descendante, mis à
l'encontre de la direction du moteui , plus positive, ce qui maximke la puissance de la machine.
On constate donc que si d'une part la courbure non appropriée du cylindre risque d'entraîner une usure prématurée des segments, d'E utre part la thermodynanzique de la nnachine s'en serait trouvée améliorée, puisque pour un même volume de compressior.i, on aurait utilisé un piston moindre activé par un vilebrequin plizs grand, et on aurait par conséquent obtenu non seulement un effort positif sur la partie arrière,le la pale, mais aussi, un abais, sement de la surface d'exposition du piston et du cylindricc à l'explosion, réduïsant ainsi pour autant l'échange thermique entre ces parties. Ces ob;-,ervations permettent aussi de,romprend.re que la dimension du piston, lorsque 1'on entend prodt ire une courbe arrière de pistoai similaire en amorce de descente à la courbure de fin d'arc d u cylindre, doit être définie de telle manière qu'il soit assez volumineux. Il y a la contradiction svidente. Pour éviter les contre: forces sur la parties arrière du piston, les ingénieurs sont forcés de hii conférer une dimension qui entraînera par ailleurs la cinétique de sa partie arrière de faço ri négative, c'est-à-dire, s'activant latéralement à l'encontre du sens de la machine, plutôt qu'en des,ente.
La présente invention consiste à dist inguer , matériellement ou mécaniquement , ou au niveau du design du Opiston, le caractère orieni;ationnel et positionnel des pisifon des machines rotatives de telle manière de pouvoir mieux cont -ôler . équilibrer et proportionri er leur potentialités respectives à réaliser la thermodynaiaique de la machine. Nous app-clons l'aspect positionnel du mouvement du piston, son mouvemt -nt le mouvement du centre de clui-ci par rapport au centre de la machine, et nous appelons l'aspec orientationnel de celui-ci , soiz mouvement rotationnel par rapport au maneton du vilebrequin, ou au centre de l'excentrique.qui le supporte.
Dans sa première partie de la préseni:e invention réaliser cet équilibrage ds caractière orientationnel et positionnel de la m:cchine en montrant que l'on peut produïre la partie pistonnée d'une machine rotatives de telle mariière que l'une des parties du piston, que nous appellerons le corur-piston ou piston de compressii n, réalise un modification du caractère originel positionnel de la machine, en réalisant une augmeritation de la compression par le, recours à
une courbure exacerbée, plus prononcée, alors quc: la partie secondaire du piston que nous appellerons piston de courbature, réalisera un modificatioi du caractère orientationnel de la machine, puisque, en une seule pièce ou de façon morcelée, il réalisera une cinétique correspondant à
la courbature du cylindre , cette courbature étant non seulement adoucie, pour perrr.iettre une conservation ou une amélioration de la faible sollicitation de ceux-ci, mais plus, dessinéE: de telle manière d'obtenir simultanément plusieurs objectifs, scit, de maximiser le volume d'expansion et de di.minuer la surface d'échange therniique lors de l'explosion, et finalement, d'auigmenter la qualité de celle-ci et de l'expansion en résultant.
Première réalisation : complicité tk courbures de premier deginés La première réalisation de la présent c. invention consiste à montrer que l'on peut produire la machine par une complicité de pisto-As, dont les deux pistons seroni: tous deux de type rotatifs.
Dans cette première réalisation, on iistalle, à partir d'un même axe rotationnel deux excentriques de grosseurs différentes, sur lesquel s on monte deux pistons, de te lle manière que l'un deux soit ixLséré dans l'extrusion centrale de l' iutre. On attribue à chaque en:, emble une induction, par exemple par mono induction. On oi ganise les deux ensembles de ti;lle manière que leur grosseur générale soit semblable, tout en pretiant soin que l'ensemble extéri+::ur soit , au total, quelque peu plus volumineux, de telle manière que ce soit celui-ci dont les segn:ientation du piston touchent au cylindre. Par ailleurs, on réalise ur e induction de l'ensemble intérieur plus volumineuse que celle de l'ensemble extérieur, ce qui sow entend que le piston de l'enseinble intérieur sera plus petit. On peut produire l'ensemble extérieur ivec un vilebrequin plus court,rt un piston plus long que standard, alors que l'on produira in!entionellement le vilebrequin (le l'ensemble intérieur de dimension plus grande, et le piston Je dimension plus petite. Tel qje nous l'avons rappelé dans la dernière observation, la courbure wirie selon le degré d'éloigneme_at ou de rapprochement du maneton de centre du piston du ce: itre de la machine. En conséquence , on pourra augmenter intentionellement la longueur du pi;;ton de compression tout en co nservant ou en diminuant celle du piston de courbature.
Lorsque l'on actionnera le vilebrequin, on pourra observer que de cette manière, le piston extérieur dont la courbure sera plus douce, est jumelé, en complicité, avec un piston intérieur dont la courbure de cinétique est exacerl ée, et plus ample.. ( Fig. 6) Dans cet arrangement , nous désigr-erons par conséquent le piston réalisant la cinétique du cylindre comme étant le piston de courbature- , et nous désignerons le piston réalisant un mouvement plus ample de compression, le piston de compression, ou le cceur pistoii.
Dès lors, on parviendra à réaliser uw ie première version de la préselte invention en produisant , à
partir de deux pistons de figuration de machines rotatives à mouvrment planétaire semblables mais différents, tout d'abord une (xpansion plus profonde, et ensuite une conservation de la douceur de la courbure de cylindre. ( Fig. 7) Après avoir réalisé cette configurat:.on, on se rendra compte que b;; piston ayant la courbure la plus prononcée, soit le piston intérieur, aussi appelé piston de compression ou coeur piston, réalise par rapport au piston extérieur, le )iston de courbature, une cour,;e translationnelle. Partant de ce constat supplémentaire, on pourra i elier les deux pistons par un double ensemble coulissant, ce qui assurera l'étanchéité des piston enti e eux .( Fig. 10) Dans une version dérivée de cette l remière solution, on note que l'on peut pour un même ensemble d'engrenage le piston de,;ourbature, de support et d'incluction, produire, sur l'excentrique supportant, un seconr: maneton disposé de façon plus éloigné du centre et qui recevra le coeur piston. En ce cas, le caractère orientationnel du p, iston caeur devra être assuré par le piston de courbature. On notera lue le coeur-piston se déplace idéalement translationnellement par rapport au piston de courbaturE . En conséquence, on pourra lier l'un et l'autre par un petit vilebrequin, dont le rayon sera égal à la différence du rayon du matneton du piton cAeur et du rayon du piston de courbature. Ce petit v4ebrequin pourra être activé pEirti d'un engrenage de support disposé directement sur l'excentriqie ( Fig. 11 ) Comme précédemment, on si l'étar.:chéité entre les pistons est cor.i-ectement réalisé par des moyens, on constatera que la courtature supérieure du cylindre erigendré par le piston de courbature pennettra de redessiner la tête du coeur-piston de façoai plus adéquate que celle des têtes de piston de moteurs rotatifs i onventionnels. Inversement, o, a constatera un plus important rapport de compression à la montél et de descente de l'ensemble iiu système de compression, basé
principalement sur la descente du p ston de compression, du coeur=-piston est plus importante.
En conséquence, pour une même su face d'exposition à la chaleur des parties compressives lors de l'explosion on tiendra un plus grand volume d'expansion expansior1 Commande de l'ensemble des pis tons tracteurs et piston tractés.
Dans nos exemples précédents les pstons étaient commandés de hr.çon semi indépendante, ou encore, c'était le piston de courbati: re qui réalisant l'orientation de l'ensemble piston. Alors que le piston coeur était situé plus haut, de telle manière de rëaliser une plus forte amplitude de celui-ci.
Conmme nous venons le montrer, t ar ailleurs, il est possible de co. mmander l'ensemble par une seule induction maître, et de comm mder le second piston à partir du premier.
On dira donc que l'on a, orientationellement, un piston tracteur et un piston tracté. Dans cette dernière version, version donc, le piston de courbattre est le piston tracteur orientr;:tionnel, et le piston de compression est le piston tracté.
Inversion On peut produire 1'inversion de ce1 te situation, en réalisant tout d"abord l'induction du piston caeur, qui sera, alors par conséquei t simultanément le piston tract:.-ur. Dès lors on installera , cette fois ci dans une rayon plus court, u n second maneton sur l'excent:-ique de base du piston tracteur, dont le rayon sera plus court, de te üe manière que le piston de cor.trbature réalise une courbature plus douce. En ce cas, le vilebrequ.in de commande translationnel commandera la course du piston de courbature. Cette possibilité dE procédure est des plus import;înte p, et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord , elle permel tra le morcellement du piston (.le courbature en pistons de courbatures unitaires. Comme on <~, pu le constater, la segmentatir)n de la double coulisse liant les pistons n'est simplement difficile e i soi, mais aussi parce qu'elle rend encore plus difficile l'habituelle segmentation de coté. S-n morcelant le piston de cour'iature en pistons de courbature unitaires, on pourra réduire gran& nlent la difficulté de rendre les pistons étanches entre eux.
Morcellement On peut morceler le coeur piston,.;t le réaliser sous la formes de pistons conventionnels, ce que nous avons réalisé dans nos travaiix antérieur. La présent ajoute que ces pistons peuvent être tenus par un seule coeur membre, et qui pourra être même réalisé de fi.çon poly camé, de telle manière de soustraire les coulisses 1'unissa zt au piston.( Fig 10, Fig.11) Par ailleurs, après avoir défini le c oeur piston comme étant le pislon tracteur , on peut niorceler le piston de courbature en pistons d e courbatures unitaires, un de ces derniers étant inséré dans l'un des coins du piston caeur. ( Fig. 12.1 ) Comme précédemment, chacun p!)urra recevoir une comrnande >imilaire, semi indépendante de celle du piston corur. Mais on po wra aussi se servir du piston cneur à titre de piston tracteur.
Moyens d'isolation des pistons co :ur et pistons de compressiotr, et modifications mécaniques Comme nous l'avons déjà mentionni :, on doit isoler le caeur piston: et le , ou les piston de courbature de telle manière que les gaz ne se rendent pas entre les parties, ce qui annulerait les effets obtenus par leur complicité.. On a pu, par exemple, utiliser i.me échange de double coulisses, ou encore, on peut utilise - une seule coulisse insérer dan> une partie elle-rnême inséré
dans deux parties pivotantes Simplification Une telle étanchéification représeni e, coname on peut le constater, un défit technique appréciable..
Plusieurs moyens peuvent être réali;és pour contrer cette difficultE'. Ces moyens consistent tous à
alléger le double moyen coulissant i lui permet de sceller les deux l: istons complémentaires dans chacune de leurs pointes. Pour ce f:dre, il est nécessaire, dans tous les cas, de simplifier le double rapport vertical et latéral de mouve ment des pistons dans les poin'1es. En d'autres termes, c'est surtout l'aspect latéral du mouvem~.~nt du piston de courbature qu` il faut diminuer, voir soustraire.
Or ceci ne peut être fait sur l'une des pointes du piston sans que cles conséquences inappropriées, comme par des déplacements en dE hors du trajet des courbature, il'adviennent sur les pointes complémentaires du piston, ce qui ioit être exclu. L'avantage itru;iédiat et important du morcellement du piston de courbatiire en pistons de courbature uiiitaires est que l'on peut dispose chacun deux de façon indépendant:, dans chaque coin du coeur piston, et que, dès lors , on peut continuer de bénéficier de leur e.ffe t vertical, et soustraire partiellc:
ment ou totalement leur effet latéral.
Dans une prentière version de cetti; nianière de faire, on insérera iians chaque coin du coeur piston un élément oscillant cyiindrique, q-.ie l'on munira d'une coulisse pouvant recevoir l'un des pistons de courbature unitaire, On y dispoier le piston unitaire, et on en rattachera l'extrémitë au vilebrequin de celui-ci. on leur eflle latéral, sans perdre l'effiicacii:é de la machine, et sans modifier substantiellement les courbures du cylindre. ( Fig.12.1 ) Dans unr;> autre façon de faire, la segmentation entre le coeur piston et les pistons de courbature unitaire sera encore facilité si l'on insère chacun de ces pistons de ca urbatures unitaires par le biais, d'une seule coulisse verticale dans chaque pointe du caeur pisto; is. Dès lors, il faudra les lier au.
vilebrequin par une coulisse , cette fois-ci mécanique inférieur. ]'inaiement, tel qu'on l'a déjà fijit pour les poly turbines, on pourra ternainer chacun des pistor unitaires de courbature par uri élément pouvant s'appuyer sur un excentrique central Moyens de support Les moyens de liaison des piston., unitaires de courbature et du coeur piston pistons pourront dès lors être simplifié. Les trois princi pales réalisations de cette procédure seront les suivantes. Dans un preniier cas, on liera chacun d : ces pistons étant liés au pistorn par une pièces oscillatoire comprenant une coulisses. Dans i-n second cas, chacun de ces pistons étant au haut inséré dans une coulisse unique du piston de compression, et relié au bas, ar.i vilebrequin par une seconde coulisse. Dans un troisième cas, on rõmplacera l'association vilebrecluin coulisse, par un excentrique et une tige, ou un contre excentrique. ( Fig 13 ) Engrenages polycamés Le premier consiste à réaliser une se ule, ou les deux inductions avec le recours à des engrenages polycamés, autrement dit des engrei ages accéléro décélératifs. ( Fiig. 12.2) La conséquences directe de leur utilisation sera de co: itrer les différences d'accélératlion décélération entre les deux courbatures données, tout en ne cortraignant pas les différences &~, profondeur de celles-cL Ceci aura pour résultat de permettre entrc ces parties que ne soit utilisé qu'un seul membre coulissant d'isolation, ce qui réduira considéra blenient la difficulté plus haut mentionnée.
Double coulisse partagée.
Le morcellement du piston de cour )a.ture en pistons de courbaturc:s unitaires permettra en autre de conférer une seule coulisse à la j-artie supérieure du piston, et cle transférer l'autre au vilebrequin. De cette manière l'étal,.chéité produite entre les deux pistons sera énormément plus facile, puisque chaque piston unitai :e de courbature sers tristemerit inséré
de façon coulissante, et non de façon oscillatoire et coulissiunte, ou de façon translationnelle dans le pistons coeur. ( Fig. 8) Coulisse et moyen d'induction Le but de renvoyer sur le piston ccõur le travail d'induction et de inécanisation est principalement de diminuer fortement la pression :.ur le ou les pistons de courbat .ue.
Partant de ce fait on comprend qu'il sera acceptable de troquer l'induction par vilebrequin eoulisse, par un induction simple de came ou d'excentrique,, :t tige poussoir. En ce cas, le c ylindre rarnènera les pistons de courbatures vers l'intérieur ou le s~rstème sera complété par un double came.
Moyens d'induction Partant de ce fait, chaque piston ii.e courbature unitaire peut être activé
différents moyens, dont les principaux sont par poly induc tion, par vilebrequin coulisse , bielle avec coulisse et joint oscillatoire au haut, par vilebrequi:a coulisse, et coulisse au haut, par came seul ou came contre came , central ou poly inductif, p, tr excentrique , et excentrique,,-omposé.
( Fig. 13.2 ) Résumé de cette première partie de l'invention Dans cette première partie de l'in iention, on a montré que l'on l:ouvait se servir de deux parties pistonnées complémentaires réali: ant chacune des courbure diffi~rentes, toutes de deux de premier degré, mais avec des amplitudes c!.i$'érentes pour réaliser avec le cylindre de la courbure extérieure, en complicité la compression d'une machine rotative, On a vu aussi que ces deux pièces pc-uvaient être mues par des inductions différentes, ou encore par des manetons d'un même axe aci ivant les deux pistons.
Ces deux pièces doivent comporter des pièces assurant l'étanchéit~:: entre elles. On a aussi vu que l'un des pistons. préférablement le liston de courbature, peut être réalisé de faon morcelée de telle manière d'être inséré de façon ( oulissante , ou oscillatoire et coulissante dans la second piston, préférablement le caeur pisto !i. Cette façon de faire simplifiE: les éléments nécessaires à
étanchéifier les pistons entre eux.
Partant de ce fait, chaque piston de courbature unitaire peut être ejctivë
différents moyens, dont les principaux sont par poly inducticn, par vilebrequin coulisse , bielle avec coulisse et joint oscillatoire au haut, par vilebrequin coulisse, et coulisse au haut, Par caine seul ou came contre came , central ou poly inductif ( Fig 13.2 ) Jusqu'à présent nous avons montré qu'il était possible de réaliser iiin moteur rotatif ou turbinatif en trois parties sans que cela ne compronzette la fia.bilité du moteur. l:;n effet, alors que la superposition de vilebrequin souter ant une bielle, demeure mécaniquement hypothétique et risquée, la complicité de corur pistc n et de pistons de courbature , simple ou unitaires, soutenus partiellement par une même mécan que ou encore par deux mécartiques assez indépendantes ne constitue pas un défi mécanique im;aortant . Par ailleurs elle apporte beaucoup aux machines, en améliorant la propension à la comp ression et à l'acceptation de l'E:
xpansion, tout en conservant des courbures de cylindres plus douces. Quoique appréciables, les ré ;.ultats obtenus comportent encore certaines lacune, qui commõ nous le verrons peuvent être corrigées. Ces lacunes ressembles à celles que mous avon ; rencontré rencontrées dans c, ertaines de nos innovation antérieures, soit dans les mécaniqucs par engrenages polycamésõ dans les mécaniques à
superposition de vilebrequins, dar s les mécaniques par poly pist(i ns. ( Fig.
15 ) En efFet. nous avons remarqué quc toutes et chacune de ces méc aniques réalisent le même nombre de fluctuations, ou de correction d .> cylindre par tour que celui d. as ares.
En conséquence, bien que les renflement apportés dans 1:s machines ne peuvent l'être que sous un seul angle à la fois.
A titre d'exemple, lors de la réalis; ition par engrenage polycamês., si l'on dispose l'engrenage dans le sens du piton, on adoucit la cou rbure de rencontre des arcs du cylindre, mais on n'améliore pas l'effet descendant de départ. Inve rsement, lorsqu'on dispose l'engrenage dans le sens contraire su pistons, on améliore l'effet descer dant, mais la courbure de rerx;ontre des arcs devient trop prononcée.
Des résultats similaires se présent;:nt lors de la réalisation de mwõhines par étagements de vilebrequins. Lorsque , par exemi)le pour les machines post rot-citives, les vilebrequins sont superposés en hauteur lors du poi rit mort haut, et que le vilebrequin subsidiaire passe à l'intérieur lors de la descente, la compressioiz est plus haute, mais la eourbtLre de rencontre des arcs très prononcée. Inversement, lorsque te vilebrequin subsidiaire passe ver l'extérieur et que l'addïtion proprement dite des vilebrequin se f;it la.téralement, la rencontre des ares de cylindre est douce, mais l'expansion subit des forces contraires sur les deux vilebrequn:~.
Par ailleurs il est ici important de ral peler le cylindre des poly turbiiDnes, qui, réalisant une courbure que nous avons précédem ient définie comme étant de type bi rotative, réussit à réaliser des effets positifs, simultanément au haut et au bas du cylindre.
Malheureusement, la surface des pistons composant la structure paliq ue de ces machines est trop courte, et par conséquent le volume de compression est trop peu.
Courbure de cylnldre idéale de type bi rotative Si l'on regarde attentivement le cyliisdre d'un moteur rotatifs, on s c. rend compte que d'une part, sa courbure supérieure pourra être , unélioré, et adoucie. Non seull rment ceci permettrait-îl de réaliser meilleur taux de compressic,n, mais aussi , cela permettrait. de rapprocher le design de la tête du piston de celui du cylindre pendant l'explosion, ce qui évitirait les double cylindre habituel, peu compatibles avec une correcte >xplosion.
Par ailleurs, si l'on observe le cylindre standard, on se rend comptc- qu'il est généralemen.t d'un rapport de hauteur de sept neuvième, ce qui produit énormément de perte volunnétrique. Si la courbure du cylindre est augmentéc, cela signifiera que le piston entrera plus profondément en eIIe, et que par conséquent les parties aîrières du piston réaliseront mo ins de contre effets, et las parties avant un meilleur effet. (Fig. 16) Il est important de noter que, surtc ut dans les moteurs dont le nombre de coté du piston est impair, comme par exemple triangi Jaire, la fore inférieure du canr,i û devra compenser le caractère oblique de l'attaque des contre pis~ on de courbature, et par consEiquent être plus élargie.
Augmentation de degrés du caracti, re de courbature des machin*c Jusqu'ici nous avons niontré qu'il était possible de réaiiser une puussée de piston profonde, tout en réalisant une courbure de cylinc lre douce. Mais, la courbure dc,s cylindres des maehines rotatives peut selon nous être enci ire améliorée. En effet, dans la mesure ou l'on peut sépare:r le piston de compression et celui ou ceux de courbature, nous montrerons qu'il est que la courbature des pistons de courbat iires des moteurs rotatifs et tur binatifs soit une courbure de deuxième degré, tout en conservaiit une courbure de coeur pistor: de premier degré. En effet, nous pensons que si l'on peut, par les t,:ffl de pistons en compositior.i déjà
mentionnée, à agrandir la largeur des cylindres, et à en haus îer la hauteur, sans avoir a augmenter la largeur des pistons au moment de l'explosion.
Rappel de la notion de degré dans le ; courbures Nous disons qu'une courbure obtenre par une mono induction de t;ype Wanket, ou toute autre mécamque de mono induction que naus avons développée est une +,;ourbure de premier degré
De même nous disons qu'une courb tre obtenue par addition d'un ailebrequin maître et de vilebrequin auxiliaires est une induci ion de type poly inductive, et clécrit aussi un courbure de premier degré identique aux courbuw es de niono induction.
Nous réitérons qu'en additionnant u ri étagement de vilebrequins à la mono induction ou encore à
l'induction par poly induction on obtient une courbure de second clegré En ces cas, cet étagement fait passer la machine et sa courburc à une macbine et une courbure de second degré Ainsi sont par exemple obtenues des machines à cylindres bombés, ou encore: les poly turbines Or dans nos travaux antérieur, nous avons mont é que les courbures réalisées a: vec le recours à une seule induction devait être dites courbure,> de premier degrés. Nous avo-rts aussi, on aussi montré qu'il était possible de produire des court ares de deuxième degré, que n~.)us avons dites courbures de deuxiërnes degrés, Parmi les courbures les plus typiqui :s, on note les courbures par ac célération décélérations, que nous avons réalisés par engrenages polycamés. D'autres figures innportantes ont étés obtenues par addition de vilebrequins superpos& supportant le piston. Finaleme:nt, on a aussi montré que l'on pouvait obtenir des courbures birol atives, qui servent notamment à recevoir des structures Le développement de cette premiéi e partie de Ia présente inventiun a pour objet de montrer que, puisque les piston de courbature, o u les pistons de courbatures morcelés ne supportent plus de pression, celle-ci étant supportée p.-incipalement par le coeur pistan, on pourrait leur appliquer ces mécaniques sans que nous avons 1 on pouvait réaliser d'autres courbures de cylindre Premier exemple de combinaison è e courbures de premier et seccind degré
On peut donc montre ici un premit r exemple de la seconde partie de la présente invention, à
savoir celui en lequel on couplera in coeur piston réalisant un courbure de premier degré à des pistons de courbatures unitaires ré.flisant une courbure de secondl degré.
Pour ce faire, nous rappellerons qi te nous avons déjà montré qu'il était possible de soutenir les pentures de structure palique de p,)ly turbine,, celle machine ayai-it une courbure de second degré, par des vilebrequin subsidiaires c( important une addition géom&lrique , ces vilebrequin étant montrée planétairement et rétroroi:ativement aux manetons d'un -vilebre.quin centraL Ici, ces vilebrequins seront réalisé de faço 1 confondu avec les piston de irourbature, et réaliseront par conséquent les courbature désirés ( Fig 18 ) Comme nous l'avons aussi déjà r iontré pour les poly turbines, il est possible de soutenir les pointes de la structure palique en les appuyant des tiges de support glissées su un came central Double figure Un avancement important de la prési :nte invention est de montrer qa'idéalement , si on pouvait produire un cylindre possédant ces deux renflements à la fois, tout iõn ne modifiant pas les points de passage des pointes du piston lor, du temps mort, on aurait la di;>s effets thermodyn.amiques important puisquee d'une par on réali.3er une courbure de cylindre et de piston éliminant les pochettes latérales indues, on augmF aterait le taux de compression et permettant une explosion plus centrale, et d'autre part, on permettrait un plus grand volume ascendant et descendant d'expansion des gaz, et cela, tout en ne grossissant pas la dimensio:,i du piston lors de l'expiosion.
Cette réalisation pourra être réalisée mécaniquement en faisant en ,:,ort que les tiges des contre pistons de courbatures soient activé ;s en sorties non plus deux foi;s par tour complet, mais bien, pour une figure de piston triangulain-e, de quatre fois, On obtiendra ce résultat de plusieur~> manières. Tout d'abord en pcily induction, on réalisera les vilebrequin subsidiaires de telle matjière qu'ils tournent deux fois tilus rapidement , ou encore on les munira, cette fois-ci, plutôt d` m came de courbure elliptique façon elliptique, donc en double came. De cette manière, on produir~i l'effet recherché. De même , si les tiges des contre pistons sont repoussés par un vilebrequin o,a un excentrique subsidiaire ce:ntral, on doubler, par semi transmission la vitesse de ceux-ci, ùu encore , au lieu de les réalise;r en came simple, on les réaliser en double came, soit de façon quas:i elliptique.
Raffinement de la courbature du cy Lindre piston On a donc un avancement certain e n pouvant s'assurer que le cyli;ldre pourra être courbaturé vers l'extérieur, à la fois aux temps moi-t haut et bas, et à la fois la fir.i des bulbes, sans que la courbature ne soit changée vis à vi.; les pointes du piston aux tem<:)s mort aux et bas. De cette manière, on maximise l'explosion e-t l'expansion, tout en préservaint à son minimum la grosseur du piston, et par conséquent les partie s de celui-ci e du cylindre offeites à
l'explosion.
Mais, un regard plus attentif nous ;unène à la constatation que les renflement nécessaires au haut et bas du cylindre et ceux nécessaire; dans les arcs ne doivent pas nscessairement être réalisés avec la même amplitude. Or avec les m eaniques précédemment divul;;;uées, cela est le cas.
Pour réaliser des entrées et soutiei it différente, il faudra réaliser L:s cames de telle manière que ceux-ci soient réalisée par paire, e!: que ces paires soient associées alternativement. En d'autre termes les cames permettant de sL pporter les tiges basse de conlre pistons lors des temps mort haut, ne devront pas être les mêmõs que ceux qui supportent ces même tige lors de réalisation des arcs de bulbe.
Machine de complicité de courbure cie prenùer et de troisième degrc, Lorsque l'on examine les courbure h irotatives que nous avons prod',uite jusqu'à présent , on peut encore viser un raffinem.ent supplém.>ntaire. En effet, ces courbure,, prévoient un sur enflure des parties correspondante aux temps nort haut et bas, de même que c;ies parties des temps maximalement latéraux antérieurs et postérieur. Cependant , avec les mécaniques utilisées, qui prévoient réaliser successivement ce,> quatre exacerbations du cylin Ire, on assistera à des repoussage du cylindre verticaux ide ntiques en longueur et en amplïtude pour tous les cas, .
Or en analysant , idéalement les coni.raintes que devraient subir la r.ourbure du cylindre pour que la niachine atteigne son degré de perfo rmance maximal, on s'aperçoiit que l'augmentation de l'élévation du cylindre doit correspc ndre à certaines prérogatives, ~,dors que son élargissement doit correspondre à d'autres intentions. Ce qui découle de cette affirmiLtion revient à dire qu'il est non seulement possible, mais fort certair, que les exagération verticales du cylindre ne doivent pas être identique à augmentations latérales Je celui-ci.
Pour donner ici une approximation, disons que , idéalement la rencontre des ares supérieurs du cylindre devrait refléter un bon pas::age du de la tête du piston , dc; telle manière de concentrer la compression au centre, et d'éviter 1õs double, voir les triples poches de compression de la chambre lors de l'allumage, de mâne qu'elle devrait permettre de conserver, pour un certain temps la compression égale, de tello manière de permettre un allumage dépassant brièvement le temps mort de la machine.
Par ailleurs, on sait que l'une des g~-andes difficultés des moteurs ;rotatifs consiste en ce que, avec une pression supposément égale su - toute la pale, on doit entraîne;r une inflexion de celle ci vers l'avant correspondant à 60 degrés =.ur cent vingt. Pour réaliser ce;ci, la pales devrait être un peu plus longueur sur l'un des cotés, el cette longueur devrait être délerminée de telle manière de ne pas, inversernent entraîner de surc;wge rotationelle orientationw.lle avant.
L'extension latérale du cylindre ne suit donc pas les mê tne contrainte que l'extension ~rerticalisée. (fig 19 ) On a donc besoin une courbure de cylindre de troisième degré. L:'n cylindre de troisième degré est un cylindre qui, en poly induction i lemanderait trois hauteurs de i, ilebrequins subsidiaires. Ici, en effet, il fa.udrait un troisième vilebrequin subsidiaire, qui viendrait augmenter l'un des paramètres et abaisser l'autre. En effet , si l'ori instaltait sur cette structure bi rotative, un troisiènle vilebrequin subsidiaires qui tournei-ait à raison de deux tour par ri' wolution de la pale, on pourrait par exemples quelque peu abaissei la hauteur birotative du cylinclre et augmenter sa largeur. ( fig .
20) Voici conunent seront réalisées 1eï mécaniques plus haut ënoncécs pour en obtenir les effets les cames spécifiques plus haut menfi.)nnés Mécanique par poly induction Pour réaliser une poussée alternativi ; de différentes longueur des ti;;es des contre pistons de courbature, on pourra , par l'extérie ur, unir les trois engrenages des vilebrequin subsidiaires d'une poly induction par une engrenage cc uronne, cet engrenage étant rr.iuni de came successifs de grosseurs aiternativement égale. En conséquence, on pourra définir que les cames plus court assez au centre haut et bas, lors de temps mort bas et haut, et que les ca mes plus long passent pendant les arcs des bulbes. Lorsque la macl-ine sera réaGsée par vilebrequi:n central on pourra réaliser un second vilebrequin dont le nombre de came de grosseur différente sera doublé, et dont la vitesse sera aussi double. De même, si le ,me est situé dans le coté de la machine, on pourra soit le prévoir à quatre membres par paire:-, opposées de niênie grosseur, cu encore, irnaginer, un ensemble de deux cames opposés d:: grosseur différente, mais cettc- fois-ci monté rotativement dans la machine .
Courbures de troisième degrés p: ir engrenages polycamsés Il est possible d'obtenir des courbui-es de troisième degré par engrenages polycamés. De fait les engrenages polyca.més peuvent être réalisé de façon très variables.. Il peuvent être disposés dans le sens su piston, en sens contraire, oi i dans une position hybride erttre ces deux angles. Par exemple, on peurt réaliser un engre nage polycamé de quatre cotés . De plus, il peuvent compoerter des sous formes. Par e:::emple un engrenage de quatre: cotés peut être jumelé à un engrenage de six, ce qui permettra de conserver les rapport, par e,xemple deux de trois nécessaires, à la machine, mais aus: 4 de produire plus d'accëlératicn et décélérations par tour.
De plus ces sous formes peuvent nõ pas être assymétriques, et par conséquent on pourra produire des accélérations décélérations plu , opportunes des éléments de la machine. ( Fig. 26) Mécanique par translation de cam., , de l'excentrique central, ou de l'engrenage de support.
On peut, pour repousser les tiges c!es pistons de courbature aussi avoir recours à un excentrique central, rond ou multiforme, dont le mouvement sera translationi ieL Si cet excentrique , rond, appui indirectement sur les pistons de courbature par le recours ài une pièces intermëdiaire, cette pièces étant de longueur différente sur les coté et sur la longueur., ou si les polycames de l'excentrique sont de longueur dip ërente sur la hauteur et sur la largeur, on obtiendra les repoussements désirés dans les hai iteurs et les largeurs du cylindres. ( Fig.
22 ) Cette hypothèse nous amène à déc anter l'idée suivante qui consiiste à
constater que 1'ors d'une réalisation conventionnelle des cyl indre et piston de la machine , on pourrait réaliser l'engrenage de support de telle manière qu'il r:aliser une dynamique translatiiinelle. Fig 23 Ceci sera possible si la sonmm des différences entre l'engrenage de support et l'eng;renage d'induction , et la longueur du rayon des vilebrequirn s de support de l'engrenage tr:.nslationnel est égale à au rayon du vilebrequin maître.
Dès lors deux cinétiques principales peuvent advenir. D'une part l'i>,ngrenage de support peut être placé au haut , au moment du temp. ~. mort haut de 1 machine, ou cumme dans les moteurs conventionnels, au bas. Dans le prei nier cas, il descendra en même: temps que le vilebrequin maître, et dans le second cas, il rem intera. On peut percevoir que , dans les deux cas, la translation se réaliser dans le même ïiens que celui du vilebrequin ccntral.
Dans le premier cas, on devra réduire la grosseurs des deux engrenages, et dans le second . les grossir.
Les deux versions analysées en cou rs de descente donnent des rés. ultats intéressants. Dans les deux cas, l'engrenage en translatioi i est considéré comme un engi=enage de support planétaire de ratio un sur un, ce qui permet la tra islation. L'intérêt de ce type d,, réalisation consiste en ce que celui-ci peut être soutenu par un po ly induction arrêtée, à savoir p,ir un double vilebrequin . Des lors la rotation orientationnelle du iÅston ne peut avoir d'incidenc.-positionnelle indirecte. Par conséquent l'incidence positionnellc, se fait directement du les vilebrequins de l'engrenage . En d'autres termes, le blocage des effei;s orientationnels, positifs et négatifs, se transforme en avantage positionne, positif sur toui; la longueur de la pale.
En effet, on pourra constater , en <ippuyant sur toute partie du pi::.ton que cela force la descente des vilebrequins de l'engrenage dc support et simultanément du vilebrequin central. Par ailleurs si le vilebrequin est disposé au bas, d onc dans le talon du vilebrequiin central, il se de qu'il se déplace dans le même sens, il se retrouvera , en cours de descente, dans scm extrémité
latérale arrière.
Comme il sera montant, iI offrira u ie résistance à un quelconque r:tppui sur l'arrière du piston, et la poussée sur l'arrière de celui-ci sera canalisé sur la rotation du vikbrequin.
Comme les engrenages sont grossis, l'appui,)u l'armement orientationnel di piston se fera plus en arrière, ce qui augmentera le caractère offe nsif de la machine.
Pour les cas, ou la translation se ré aliserait en contre sens du vilebrequin maître, il faudrait concevoir l'engrenage d`inductior. comme étant un engrenage planétaire, entra"mant un engrenage rotationnel, ce qui serai!: fort difficile à réaliser.
Plusieurs méthode d'entraînement et de synchronisation des eng:i-enage de vilebrequins de translation par rapport au vilebreqjiin maître sont possibles. La r.néthode la plus sirnple d'entraînement consiste simplemerit induire chacun d'eux par unE: induction par engrenage interniédiaire, cet engrenage internaédiaire étant préférablement partagée par chacune des inductions. On peut aussi déduire iles précédentes observations que la translation peut aussi avoir des effets positifs, non seulement lorsqu'il s'agit de la translatiori de la pale, dans les machines turbinatives à cinétiques Clokwise, ou encore, lorsqu'il s'agit , ci: tel que nous venons de la le montrer, de translation de caxne poussoir des pistons de courbatare, ou de translation de l'engrenage de support.( Fig. 24 ) Deuxième partie de la présente Invention : recalibrage des e,iiractère orientationnel et positionnel des machines rotatk,es et turbinatives par redistiibution des inductions positionnelle et orientationeDe Rappel des observations préalabk s à présente section Pour mieux comprendre le propos d:; cette section, nous faisons part au lecteur d'observation que nous avons réalisé relativement au si ipport mécanique des machineo-rotatives.
La principale de celIes-ci est la suiv-c nte, Si l'on observe le piston d:'une machine rotative, de type post rotative, par rapport à son axE de support de maneton, ce p:iston réalise une action rétrorot.atiortnelle orientationnelle. F'ar exemple, pour un moteur rotatif de piston triangulaire, tournant dans un cylindre en huit, oi i assiste à une rétrorotation de l'ordre de deux tiers de tour par tour. Par ailleurs, si l'on observg: l'action de ce piston par rapl:ort à
sa rotation générale, on observe que le piston a quand mêmo avancé de cent vingt degrés degrés par rapport à sa position initiale. .
Cette observation entraîne la suivan te. Si l'on observe le devant d' un piston rotatii; on voir qu'il se déplie par rapport à son vilebrequin avant de se replier, alors que sa partie antérieur se plie sur elle même avant de se déplier.
Ces observations en entraîne une tr)isième . Toutes les mécaniques utilisées pour entraîner un piston d'une machines rotative procèdent selon l'un ou l'autre de ces observations et jamais les deux simultanénient.
A titre d'exemple, certaines mécarjiques, telle la mono induction ile Wankel, ou encore la mécanique par poly induction don nous somme l'inventeur, répartissait le piston, Produisent une sur puissance avant du piston, .-t des contre forces arrières. D'autres mécaniques, telles par exemple, la mécanique par engrenE ge intermédiaire de Wankel, olii encore par engrenage cerceau, dont nous sommes l'inventeur, fav >risent la partie antérieure du p iston, et produisent des contre efforts sur la partie avant.
Une autre remarque doit encore êt -e faite à propos des mécaniqucs. Il faut noter que les mécaiùques de type post offensif, rlivisent généralement le piston en tiers, le tiers arrière agissant en contre force , alors que les niéc:miques par 4de type rétro offe.nsif divisent le piston en parties inégales, mais de façon beaucoup moins déséquilibrée..
Une autre constatation doit encori: être faite. Alors que les mécaiiiques post offensives essaient d'entraîner directement l'aspect lm -sitionnel du vilebrequin, les tn!;caniques rétrooffensives, agissent, pour ainsi dire en ciseau, en transformant la force orienf:ationnelle en force positionnelle, Une dernière constatation doit êtr>, faite, et qui est fort subtile. S i on mesure correctement le rapport de volume que produit le JÉveloppement cinétique de la, partie positionnelle par rapport à
la partie orientationnelle, on s'aperçoit que la puissance positionielle vaut pour deux tiers de la puissance totale. Ceci peut être constaté plus facilement lors de l'observation d'une machine turbinative de base. On y voir clai rement que le déplacement du piston seul, qui, correspond l'aspect positionnel produit deux tiers du volume , alors que cel:ui du cylindre produit l'autre tieurs.
Ceci nous amène à dire que quelque soit la mécanique utilisé, le rapport positionnel orientationnel de la puissance que le piston dévelol pe avec le recours à cette méc.u-ique est inégal au rapport positionnel et orientationnel de la ré partition du volume et par cowéquent de la puissance que la machine devrait avoir.
.Par conséquent, on peut déduïre que non seulement dans les mach:ines rotatives, l'un des défauts majeurs consiste en ce que l'arrière i;t ou le devant du piston subit des forces ou contres forces selon le cas, mais aussi que les raplx wt de forces ne répondent pas des rapport orentationnels et positionnes;
Méthode par induction d'orientaïon unitaire Dans la présente section, nous ente adons montrer que le caractèrr.:
orientationnel du piston peut être réalisé en en diminuant i'amplei ar, ce qui diminuera les contra,.dictions orientationnel positionnel commentées plus haut..
En effet, si on suppose un membre J'en ensemble planétaire, et qiie l'on réalise un poussée sur ce membre, on réalise que plus ce mernbre à un rayon de rétrorotatio n court, voir plus court que celuï
de la rotation du vilebrequin centra I, plus la force de rotation rotai ionnnelle orientationnelle est inférieure et soumise à la force de xctation positionnelle. Par ailleius plus on allonge ce membre, et que son rayon de tournage orieniationnel devient plus grand qu~-. celui du tournage du vilebrequin maître, plus la force de rétrorotation est puissante. (Fi;;. 28.1 et 28.2) Or en réalisant le piston en une seu le pièce avec un membre orieniationnel, on réaliser simultanément un excès de force oi ientationnelle sur la force poskionnelle, qui , bien que bénéfique sur l'un des cotés du pie, on, est carrément négative sur l'autre coté.
En consëquence , on doit constatei qu'il sera préférable de réalise;r le contrôle orientationnel d'un piston par un membre lui même mi -tivé planétairement, ce membite étant rattaché non rigidement à
un endroit du piston. toute induct: on pourra être utilisées pout gouverner ce membre plan;taire de gouverne orientationneUe.
En réalisant ce type d'induction, oii déplacera les proportions de l'effort fourni sur la tête du piston, et on le centre de gravité d:; celui-ci relativement au rendu de l'explosion. On pourra par conséquent coordonner plus faeileinent et plus justement le centrc- de gravité
de l'explosion et de celui du rendu de la tête du piston.,.
En effet, tel qu'on pourra le constater en cours de descente, la lxrtie arriëre pourra travail , même si cela est relativement faible, posi tivement, et par conséquent, ce qui est des plus important, la partie centrale du piston pourra , rLu lieu de contrebalancer les eflèts arrières su le piston, absorber correctement , en complicité avec la partie avant une partie de l'ex ~ansion, dont le déroulement thezmodynamique se fait plus particulièrement entre ces endroits. (:omme nous venons de l'énoncer, l'un des défauts majeurs cies moteurs rotatifs tient selon ::ious plus encore à la naécanique qui en réaliser le guidage orientationnel que dans la cinétique même, car la plupart de ces mécaniques produisent des effn.; négatifs dans la partie antéritiir du piston explosé à la pression de l'expansion des gaz, aloi s que la partie avant produit drs forces en levier. Nous avons montré à plusieurs reprises qu'il étai t possible de réduire ces contn. forces arrières, et que conséquemment la puissance des foa ces avant levier dim'vnuait.
Cette réalisation représente le point limite des précédentes en ce que le contrôle orientationnel décrit exactement la même courburE que le point de rattachement 'libre au piston réaliserait si celui-ci était entraîné par une gouverne fixe. Dès une lors une diffi:rence assez important séparera les induction conventionnelle, d'une induction par un seul point. Lors d'un induction par un seul point, en effet les poussée postérieu rs à ce point, quelles soient dircetes sur de devant du piston, ou indirectes, sur l'arrière de la pale, seront supérieure mais la répartition du caractère orientationnei et positionnel de la p)ussée sera plutôt en fonction du point comme tel.
Méthode par complicité d'induel ion orientationnelle et positiii-nnelles Ceci nous amène à une deuxième pïrtie de la présente invention, en laquelle on montrera qu'il est possible de relativiser le caractère ürientationnel et positionnel du mouvement d'une partie compressive, tel un piston de mach ine rotative ou turbinative.
Premières réalisations Comme nous l'avons montré plus lta.ut , il est possible de réaliser l'engrenage de support d'un machine rotative de façon translati,)nnelle. Or, en observant l'acti,:)n de celui-ci pour une révolution de la machine , on se rei id compte que celle-ci resseml,le à celle du vilebrequin centrai.
(Fig.27.1.1) Ceci nous atnène à constater que 1 on peut réaliser l'excentrique,i:entral d'une m.a.chine rotative sous la forme d'un excentrique traaslationneL Dans cette réalisation, on suppose qu'une pièce cylindre , servant ultérieurement d excentrique sera entraîné mécimiquement par deux, ou plus, vilebrequins , de même longueur e t tournant à la même vitesse et dans le même sens, ces deux vilebrequin pouvant être entraînés de la sorte par des engrenages leur étant fixement disposés, et simultanément couplé à un même ,ngrenage lié à un axe central. On pourra par la suite fixer rotativement le piston sur cet exce ntrique. Lors de la réalisation de la mach.ine avec un excentrique conventionnel, on cor:state qu'il faut entraîner rétrormationnellement le piston par rapport à celui-ci. Or dans le cas lrésent, comnie cet excentrique; n'a aucune action orientationnelle, mais strietement une action positionnelle, on dewa actionner positivement le piston par rapport à celui-ci. Dan le présent cas, on munira un ou plusieurs maneton des viiebrequin subsidiaires d'un engr,mage de support, et on couplera cet engrenage à celui de la pale.
Ces engrenages tourneront dans le n:.ême sens que les vilebrequin e1:
entraîneront donc par conséquent le piston pot rotativemert par rapport à celui-ci.
A niveau théorique, la division du teinps que nous venons de réalis~;;r n'est pas nouvelle, elle a été
étable dans la poly induction et dans les machines turbinatives à cic-étique clokwise. Mais ce qu'il y a de nouveau, c'est la répartition ces actions circonférentielles. E n effet, l'action positionnelle des vilebrequin, en poly induction s jrbsidiaire, sera réalisée au cent. re , et on aura plus de vilebrequin maître. ( Fig 29.1) Ceci entraînera des conséquences in :éressantes, dont la principale ;;.e site au niveau des rapports de rotation. Alors que dans une pol;, induction standard, le vilebrequin maitre tourne à raison de un demi tour pou un tour des vilebr;;quin subsidiaires, et que par conséquent les engrenage d'induction sont de la moitié de la g rosseur de l'engrenage de supl:ort, ici, engrenage de support et d'induction motivent l'excentriq.ie, et une seconde série d'engr-cnage de support et d'induction motivera le piston. Ces nouveaux er-grenages seront dans un rapport non plus de un sur deux , mais de un sur trois.
Ceci entraînera un point d'encrage ou d'armement de l'aspect o-iîentationnel du piston plus arrière, et par conséquent diminuer; i considérablement les contre f:)rces de la miachines, ainsi que les forces avant nécessaires à les ne atraliser. (Fig .28.2) Dès lors, si l'on réalise la cinétique de la partie cylindrique et la dynamique du piston, on s'aperçoit que le mouvement circulaire de celui-ci est respecté, mais qu'alors qu'il ; e déplace orientationellement coujours à deux tiers de tous rétrorotationnel par rapport au mm ieton d'un vilebrequin standarcl, ici, au contraire, pour conserver sa vitesse, il doit être aci ivé post rotativement , par rapport à
celui-ci.
Cette manoeuvre prouve , hors de ;out doute, qu'une fois de plus, il est possible de réaliser une machine rotative par addition de v itesses , et non par soustractioai, tel que cela est réalisé dans l'art antérieur. Mais , il y a plus. E: i inversant la poly induction si,:lon sa hauteur, c'est-à-dire en positionnant les motivation positioi:uielle, à savoir celle qui prodi:.it les deux tiers du volume, au centre et la motivation orientatiorn-ielle, celle qui produit un tiers ilu volume, en périphérie, on rétabli a poly induction dan un bieri meilleur rapport, et automatii quement en étagement d'inductions. Rappelons que la rétIisation de l'excentrique central sous forme de translation a un effet bénéfique similaire à celui co, istaté plus haut, à savoir qu'urie rotation sur lui même ne peut être obtenue, et que par conséquei it , i1 peut servir simultanémenl. de point de support du caractère orientationnel du piston, ce qui nc : peut être obtenu dans aucune induction réalisant le contrôle du piston par des partie pouvant éver tuellement réaliser , simultanérnent à leur rotation autour d'un axe général, un rotation autour d'iõlle-même.
Avec ce type d'excentrique centril, parfaitement translatif, on s'aperçoit vraiment de la nécessité
d'entraîner post rotationellement *~e piston par rapport à celui-ci. l'aspect post offensif du piston apparaît par conséquent ici beauc )up plus clairement que dans toute autre induction. Ainsi donc, ici, on pour simplement surajoutei' aux manetons des vilebrequir.i de support de l'excentrique des engrenages que l'on couplera l'ergrenage d'induction de piston. Comme ces vilebrequins tournent post rotativement, et que l'on a besq iin d'un post rotation de l'engrenage d'induction de piston et de sous piston, on pourra ainsi obtenir l'effet désiré.
Une constatation de l'amélioration i les forces pourra être constaté en cours de descente .
Tel qu'on peut le constater, les oppcsitions entre les forces rétro rctationnelle et post rotationnelles du piston ne peuvent se réaliser. Toutes les forces sont canalisées dans la rotation positionnelle de l'excentrique centr, il. En effet, tel qu'on pourra lle constater, en appuyant sur la partit e avant du piston, on réaliser, au niveau de la rotation orienl:ationnelle, une traction sur le vilebrequin qui rend cette action impossible, et conséquemment la force doit se dériver sur les rotation positionnelle. On constate fa même chose, même si on alîpui sur l'arrière du piston. Par ailleurs, en amorce de descente, on agit plus positïvement sur le coté avant, sans créer de contre forces par le coté arrière..
Post rotation entrainée par l'induct.on maitres, et post rotation entrainée par un induction de connplicité.
Plusieurs moyens peuvent être réal .sés pour entraîner post rotativic-ment le piston par rapport à son axe excentrique Comme nous l'av(ins précédemment montré, on;heut réaliser un engrenage de support non pas fixe, ou encore rctationnel, mais planétaire, mais bien translationnel. (Fig .27.5) Cette façon de faire est une autre riiéthode qui permet de mieux a:zcepter l'énergie dans les moteur rotatifs.
On peut pousser plus loin en mor.trant que le vilebrequin, ou l'excentrique d'un moteur rotatif peut aussi être strictement translat:onnel. En effet, on peut construire l'excentrique d'un moteur rotatif an se servant de deux ou tr4 iis vilebrequins que l'on aura monté
rotativement dans le coté
de la machine de telle manière que ceux si, comme c'est le cas paur les piston de moteurs turbinatifs, soient activés dans à la même vitesse et dans le même sens. On pourra réaliser ceci par exemple en munissant chacun des vilebrequins d'un engrenage d' induction et en couplant chacun de ces engrenages d'induction à w i engrenage central relié à un axe.
Par la suite on installera sur le mai-ieton de ces vilebrequin un éléanent de forme cylindrique qui servira d'excentrique à la machine. On montera par la suite le piss ton rotativement sur cet excentrique de telle manière qu'il ;oit simultanément inséré dans le cylindre.
On aura par conséquent jusque la induit le moi ivement positionnel du piston, car , comme on pourra le constater, le centre du niouvemeni; translationnel de l'excentriqur, décrira une circonférence identique à celle du centre d'un e)..centrique standard.
Par il y aura dans ce type de niacriine une différence fondamentale entre le mouvement oritentationnel de son excentriquc translationnel et celui du mouyement rotationnel d'un excentrique standard. Da fait, le r. iouvement orientationnel de l'~;:xcentrique transiationnel est pour ainsi dire absent. Ceci a un ;onséquence majeure sur la mEichine. En effet, alors que dans les moteurs rotatifs, standard, le pistg in se déplace à contre sens , à~avoir d'une manière rétro rotative par rapport à son excentrique central, ce qui entraîne toutes ies ::oustraction de vitesses ind.ues, entraînant à leur tour des contre forces indues, ici, le piston se déplace dans le même sens que l'excentrique, c'est-à-dire post rotati vement On pourra donc coor<'onner par une post rotativité
les éléments, tels des engrenages en, issurant le mouvement rotaxiormel orientationnel. .
Dans l'exemple précédent, la façon la plus simple d'entraîner post rDtativement le mouvement du piston sera d'installer sur chacun au moins un des manetons des vili,brequins un engrenage de support d'un nouveau type , que l'or[ pourrait nonuner engrenage (Je support orbital, que l'on couplera à l'engrenage à l'engrenagE- d'induction disposé rigideme:lt sur la pale.
Lorsque l'on disposera les éléments cn cours de descente, on pourra constater les avantages d'une telle méthode de support du piston. I.n effet, tel qu'on peut le cons.tater la force orientationnelle disfonctionnelle dans les mécanique; standard est ici absente, est ic :
parfaitement répartie. En conséquence, si l'on appui sur la pat tie avant du piston on produira , tout autant sur les dents de l'engrenage que sur son centre un ekt positif. Par ailleurs, si on a::)pui sur la partie arrière du piston, on produira tout au plus un ïtoppage de la mécanique mais on ne produira pas les contre forces indues que l'on retrouve géntxalement dans ce type de macliine.
Par ailleurs, ce qui est ici un effet important recherché, on réalisera, un proportiaonalisation de la poussée sur le piston qui est compai ible avec la proportionalisatiori des forces a y être développées, à savoir que l'on prop )rtionnisera les forces sur le piston de telle manière que deux tiers de celles-ci soient réalisés par l"entraînement positionnel du p:iston et un tiers par son entraînement orientationnel..
Nous avons réalisé cette dernière ve-rsion en respectant le découp:ge de la poly induction, mais en redistribuant celle-ci au niveau di:;s éléments. Ainsi donc au lieu de réaliser les vilebrequin, comme dans le cas des premières pr ly induction, conune étant sup,rrposé au vilebrequin maître et soutenant le, piston, ou au lieu enc >re de les disposer de telle mari ière qu'ils supportent directement le piston, comme ce fui le cas dans les moteurs turbinâtifs, de base, nous les disposés ici de telle nunière qu'ils supporteni: l'excentrique de la machine, le mouvement orientaxionnel étant alors entraîné par d'autres élé: nents.
Induction de complicité.
Comme on l'a montré précédemmeiit, l'engrenage d'induction du piston était induit à parti d'engrenage disposé rigidement sur les manetons des vilebrequin (:,le l'excentrique. ( Fig 27.5) Application aux machines turbinat~,es.
On pourra imiter ce procédé , et l'a ppliquer aux machines turbinaliives de type Clokwise., pour équilibrer la force orientationnelle, ici réalisé par le cylindre et la f)rce positionnelle, réalisé par le pistons. Par exemple on pourra réaliser un vilebrequin central et u:n ou deux vilebrequin subsidiaires, interreliés entre eux >r chaîne ou par tige, ( Fig.. 29,2, 29.3 et 29.4) On se servira par la suite par exemple de l'engrerage intermédiaire de cette indi.ictio0n comme engre4nage de support périphérique pour entraînE-r l'engrenage d'induction du cylindre, ce qui en produira la rétrorotation.
Généralisation des inductions Le prochain énoncé a pour objet de l:;énéraliser cette subdivision des éléments à toutes les inductions. En effet, on pourra se sei vir de toute induction pour entraîner le mouvement strictement translationnel d'un excen trique, pour ensuite, partant dc ce mouvement, induire post rotativement le mouvenient orientati,.)nnel du piston ( Fig. 30 ) Par exemple, on pourra induire le mc uvement translationnel de l'ex: .entrique par une induction par engrenage intermédiaire, ou par une nduction par semi-tranmissior.i, ou encore par engrenage cerceau. Dans tous les cas, on poun a par la suite induire une post i=otation du piston qui réaliser les même avantages que ceux décrib dans l'exemple translationnel par poly induction arrêtée PPréCédent.
Élargissement de la notion d'excentr ique motivé planétairenient .
Nous avons répété à plusieurs repris:;s que l'un des problèmes fonclamentaux des moteurs rotatifs tient au type d'induction avec lequel on le réalise. Dans un cas , ave:c la mono induction, on ne réalise que très peu le potentiel rota tionnel orientationnel de la machine, qui compte, en terme de déplacement des éléments pour un ticrs du volume, alors qu'avec dl'autres inductions, par exemple par engrenage intermédiaire, on éga liser totalement les poussées rc-Jtationnelles orientationnells, alors qu'elles devraient être proport: onalisés. Les proclaains propos montrerons qu'on peut arriver à réaliser un des mécaniques de mac;ùnes rotatives compatibles avcc leur construetion de volumes ( Fig 34).
On peut donc énoncer , à la suite de,> dernières démonstrations que l'on peut réaliser le réaliser l'excentique d'une machine rotative de telle manière qu'il tourne à une vitesse différente , orientationnellement, que celle d'uri excentrique standard, et que ceci n'est pas litnitë à la seule configuration transiationnelle.
En effet, on peut réaliser un ensemb :e excentrique d'une machine rxative en produisant tout d'abord une pièce de forme de form e cylindrique , que l'on nomrrx!ra surexcentrique et que l'on montera par la suite sur un excentrii.[ue relié à un axe moteur ou à im maneton d'un vilebrequin.
On nommera cet excentrique, coeur cxcentrique ou maitre excentrique . On induira par la suite au sur excentrique un mouvement post ou rétrorotationnel par rappoi-t au coeur excentrique, et cela avec le recours à une induction servint généralement à mouvoir le piston lui-même Cette pièce, que nous nominons surexcentrique ;tura par conséquent un mouveinent circulaire couplé d'un mouvement sur elle même. . Le surE-xcentrique réaliser par conséquent un mouvement planétaire.On disposera par la suite rotativement le piston sur cet f:xcentrique de gouverne, et convne précédemment, on disposei les éléments nécessaires à en réaliser la gouverne orientationnelle.
Cette gouverne aura ceci de spécifii lue. Tout d'abord , elle pourra être réalisé à partir du sur excentrique. Comme le surexcentriciue aura déjà un mouvement pl,méta'vre, le mouvement planétaire du piston par rapport à cclui du sera excentrique sera g!;néralement faible. Par exemple, on installera sur le caeur ex.,entrique un engrenage, et sur I'excentrique de gouverne un engrenage intermédiaire., qu'on liera finalement à l'engrenage d'indluction disposé sur le piston.
( fig 31, 32, 33.1) Contrôle du piston par l'induction de l'excentrique ou par une induition de complicité.
Comme nous l'avons vu, la motivatii ~n d'un excentrique dont la rotation sur lui-n-ême ne sera pas circonférentielle , comme dans les rn chines standard, ou translatioi-nelle, mais pluton planétaire.
En tous ces cas, le piston n'a pas la i-aême vitesse de rétro ou de po st rotation que son excentrique. En certains cas, il faudri L l'accélérer, et en en d'autres le décélérer.
On pourra se servir des différences o le vitesse entraWes entre le vi'.ebrequin maître et le vilebrequin cylindrique excentrique lour motiver un engrenage inte;-médiaire, ou un double d'engrenage intenmédianre, qui servii Dnt alors d'engrenages d'entra:àienient de l'engrenage d'induction de piston Par ailleurs , on pourra entraîner cet engrenages intermmédiaire, ou c:e double d'engrenages intermédiaire disposé rotativement s ir un axe lui même disposé sur le vilebrequin maître, en le coupla a une engrenage de support c entral fixé rigidement au conté, de la machine. L'engrenage de piston sera par la suite entraîné post rotativement ou rotrorotativer.iient, la vitesse de sub rotation que l'on aura conféré au sub vilebret luin cylindrique.
Or ce faisant , on réalisera que l'on rontrôle partiellement le piston avec une induction de type positionnelle, et l'autre de type orieY tationnelle.
Ceci aura plusieurs avantages, et les deux principaux seront les suii-ants., On reculera de façon notable le point d'armement de l'engrenage d:.- support du vilebrequin positionnelle, et par conséquent du 1-iiston. On réalisera un inductio n orientationnelle que viendra modifier les rapports de post rotatioiz et de rétrorotation de l'inducaion positionnelle, ce qui nouces permettra d'obtenir exactem c-nt le rapport de post rotation ct de rétrorotation général que l'on attend de la machine .
Mouvement slinky Nous avons déjà montré , dans nos : nachine turbinatives, que l'on pouvait réaliser un mouvement virtuel de piston qui faisait en en sorte que sa cinétique totale du c,ilindre se réalisait en plus d'un court. Pour ce faire, nous avons moi itré que si l'on choisi, intentWnellement un rapport de rotation se situant près du rapport tandard, on aura peu de reconection orientationnellle à
effectuer, et pourtant, conune les ré-rolutions demanderont plus d' im tour, on aura un rapport grosseur des engrenages qui sera fortement modifié, tout en demei.irant près des rapports standard.
En conséquence, les rapports de grcsseurs des engrenages seront i`ôrtement affectés, tout en affectant peu ceux de rétro tournagi: du piston, qui pourront par conséquent être corrigés fac:ilement. Par exemple, dans les mi ~tions à plusieurs explosion pai tour, on parvenait à reculer le point d'armement des engrenage cor sidérablement tout en conserwmt une motion se situant proche de la motion clokwisre.
Or ceci est très important , car en mr-difiant les rapports de grosseu rs des engrenages , on recule le point d'encrage , d couplage du piswn et en modifie considéablemcnt les proportions des forces, augmentant les force arrières, et dim:nuant les forces levier avant.
Il en est de même ici. La cinétique ea mouvement Slinky d'un poinit pris dur 1'excentrique suvbasidiaire parmettra de réaliser w i rapport de rotation dont les e-agrenages seront de beaucoup plus volumineux , en grosseur d'ensE-mble, , mais non en l'un par reipport à
l'autre, ce qui maint.iendra le rayon du vilebrequin E gal. Comme ces dynamiques me modifieront que peu l'aspect rotationnel du mouvement du piston cela ne nécessitera que peu d4 ~ correction orientationnelle.
En conséquence on gagnera beaucoup sur le point d'encrage, et on ré
équilibrera encore davantage les rapport d'effort de ch,tcun des cotés du pistons par l'induction orientationnel ajouté, sans que celle-ci ne cont.amin e l'ensemble du système , par i.me trop forte égalisation de la poussée.
On obtiendra par conséquent exactei nent la bonne poussées de touinage positionnel, et de tottrnage orientationnel désiré.
Il faut encore ajouter ceci, qui est l'i.i.n des éléments importants de (a présent solution. So on utilise pour motiver planétairement lic, surexentrique, une induction de type post offensive, par exemple, une mono induction ou un: induction par poly induction, on pourra la compléter par une induction de piton par exemple par c-ngrenage cerceau. On complél:era par conséquent une induction réduite en intensité de tyf e post offensive, par une induction, aussi réduite en intensité, mais de type rétro offensive.
En conséquence, on pourra parvenû à réaliser exactement le post tnournage du piston sans contre forces, et avec en ensemble de récertion de forces proportionailiés au quantum de tournage positionnel et de tournage post orientationnel , ou rétro orient.atïorinel, selon qu'il s'agit dune machine post ou rétro rotative, dont on a besoin.
Application aux machines turbinativi-ls Mécaniques et machine turbinatives Des mécaniques similaires peuvent ê re réalisé pour les machines tu:-binative.
Il faut cependant apporte certaines p!=écisions. On sait par exemples, que dans les machines turbinatives, on doit réaliser les méci niques en fonction non pas de:;
cylindres réels, mais plutôt en fonction des courbures de cylindre v: rtuels , réalisé par les pointes d e pistons. De même ici, les pointes des pitons de courbatures, dE vront être calculées de telle mimière de recevoir de mécanique aptes à réaliser des courbizre virtuelles modifiées.
Ceci étant dit, il nous semble que de ~ mécaniques à induction descendante pourraient être réalisés à partir des surexcentriques.
Mécaniques Notons aussi que les cinétiques des >urexcentriques peuvent tout a:utant être plus post rotatives que le piston que plus rétrorotatives. En conséquence, l'engrenage d'induction du piston devra toiirner selon le cas dans le même selis , ou dans le sens opposé. Dî,ns la mesure ou les cinétiques soint des cinétiques slinky, l'inductio: i de piston orientationnel sera peu effective. Des calculs plus approfondis permettront de détermiY:er les meilleurs configurations pour ceux-ci.
Troisième partie de la présente in,,,ention : recalibrage des cari[ctère orientationnel et positionnel des machines rotativeg et turbinatives par design diu piston La thermodynamique nous prouve < ue la nature a son intelligence. En conséquence, lorsqu'on dessine la tète du pi.ston avec une droite. On voit que lors de l'amo rce de la descente , celle-ci s'enfonce dans le cylindre et refermE, la cavité de celui-ci. Ceci now, donne I'ïmpreesio que la partie arrière du piston est encore et i copmpression, et par conséqt;i ent , le ingénieurs on intentionellement dessiné la partie ai ~térieure du piston de telle sortc qu'elle se marie à la figure du cylindre. Mais même avec une telle courbature extérieure, on a enc are dans cette partie une petite chambre qui après l'une des explosi4 ~n se refermera.
Mais, comme nous venons de le mcntre , qu'il est possible de réaliser des mécaniques qui, si elle ne produisent pas d'action mécaniql e posïtive sur la partie arrière ilu piston, ne produisent pas non plus d'action en contre force, rr ais plutôt une action passive. t:)r, l,ajout d'une action passive, d'une force latente a compléter par !a force avant est tout à fait rmijeur.
Mais ceci doit être entériné cinétiqu.ment. Nous avons constaté qi;.e si l'on impose au piston, dans sa partie arrière, non pas un courbai ure vers l'extérieur, mais plutâ, t vers l'intérieur, sous le bulebe antérieur deu cylindre au niveau de la chambre d'explosion, le piston se déplacera, et la cavité
issue de cette courbature intérieur 'n a se placer sour le bulebe de c,ffindre de rencontre des arcs, au haut, contredisant ainsi l'mmenuisea nent de Ika chambre de conbwlion à ce niveau, et à ce stade.
Des calculs préliminaire nous ont pe rmis de constater que non seullemen l,espace pouvait ainsi être maintenu, mais aussi augmenté légèricment, et ce même avec des er.igrenages standard, ce qui pourra être aniplifié avec des engren tges polycamés.
Par conséquent , nous pensons que tiien au contraire que de tenter de refermer cette partie du pisiton lors de l'explosion, les mécan ques associées au présent design de piston permettront d'y produire une explosion positive, et de se servir adéquatement de la partie arrière du piston pour appuyer la partie avant que celle-ci i -lus tard lors de l'expansion nF:
travaille réellement post activement Description sommaire des figures La figure 1 montre quelques exempli ;s de différences entre la therrriodynamique théorique et la thermodynamique pratique. On y vo- i t que si, en théorie, un même volume de compression et d'expansion des gaz entraîne un mêriie puissance, en pratique des f<<cteurs mécaniques peuvent influencer considérablement les résu: tats finaux.
La figure 2 rappelle, le plus brièvement possible, les principaux dé:Iâ.uts des moteurs rotatifs, au niveau thermodynamique, de même +,lue les apports que nous avores pu contribuer à réaliser en la ma.tière. Ce bref regard nous permetira de constater les problèmes restants, et d'identifier comment ceux-ci pourront être réso: us par la présente solution technique.
La figure 3 monte quel est l'intérêt c'e reproportionaliser la poussée sur le piston La figure 4.1 rappetle principalemeni: deux mécaniques par lesquellrs nous avons réaliser une meilleure répartition de la poussée si ir la pale , ceci ayant pour résultat de concentrer plus de puissance au centre et au tiers avan du piston, et non pas strictem, cent sur la partie extérieure, ce qui permet finalement de mieux acce-pter la poussée de l'explosion , qui se développe prioritairement à cet endroit.
La figure 4.2 rappelle les principales manière par lesquelles nous avons jusqu'à présent réussi à
modifier avantageusement les forme.; de parties compressives, soit par engrenage polycamés, en a , par superposition de vilebrequin et d'inductïon en b, par segment.Aion oscillante en c, et par poly piston rotatif, conventionnel en d,:, >ar poly turbine.
La figure 4.2 réitère que l'une des c onfiguration les plus intéressarttes consiste à retarder la pointe avant du piston en cour de descentE :, ce qui a pour effet d'aplann- la courbe de la partie arrière de celui-ci , et de bomber celle de la f-artie inférieure . Ceci se réaliswnt deux fois par tour, on aura un abaissement la partie arrière de k. chambre à combustion, et une augmentation de sa partie avant , en laquelle on pourra par coi iséquent disposer la bougie .(::es courbures pourront être accompagnées de courbure du pisto n complémentaire, bombées vers l'arrière , et incurvée vers l'intérieur , vers l'avant. .
La figure 4.2.2 montre l'évolution dc-s volumes lors de procédure piir accélération décélération orientationnelle. On voit que le volut ie arrière augmente à mesure (-. ue l'évolution du cylindre se fait. Ceci se traduit , mécaniquement par un recul progressif des cor.ttre forces arrière, obtenu par polycamation ou autre moyen de décclération accélération. Le motf:ur est par conséquent sans perte volumétrique. On remarquera (lue la forme avant du piston dci it être surbaissé pour permettre son entré dans la phase ac célérative. La perte volumétriclue se produit non plus en début d'expansion, mais, comme dar s n moteur à piston en fin d'expansion.
La figure 4.3, rappelle les diverses 1 iositions principales de engrewges polycamés, de même que la possibilité de les réaliser avec un n)mbre de degrés supérieur et déphasé.
La figure 4.4 montre un exemple de .;ontrôle intentionnel des accéli`.rations décélération du piston dans certains de ses phases.
La figure 5 rappelle une notion de b.-~ se relative aux machines rotatives et qui consiste à constater que tout point d'un piston d'une ma.c hine rotative, autre qu'une ma)-,hine à
mouvement de piston translationnel, a une cinétique différente propre au cadran dans lequ.el il se trouve, et propre à la distance du centre à laquelle se trouve ce point.
La figure 6 montre en a, une premiè re déduction géométrique pouirant découler des derniers énoncés, selon laquelle on pourrait construire deux ensembles de vi:lebrequin et pistons réalisant des cylindres de grosseur approximai;ivement similaire , mais avec des courbures pour l'une plus douce et pour l'autre plus aiguë, en réalisant le premier ensemble ;ivec un vilebrequin plus petit et un piston plus gros, et le second avE c un vilebrequin plus gros et u: ne piston plus petit.
La figure 7 montre la dynamique du mouvement des pièces de la figure précédente pour un tour.
On y voit que les accélérations décél bration des pistons sont différentes et que le piston du centre peut produire une impulsion plus grînde , par rapport , alors que lc~ piston extérieur permet de conserver une courbature douce.
La figure 8 montre que pour obtenir l'efficacité du couplage des pi!,tons de type rotatifs, il faut garder étanche les parties situées eni re les pistons. Ici, on utilise unc-ensemble de double coulisses , qui pourra garder lié les pistons polr quelque différence de cinétii:tue que ceux-ci produiront.
La figure 9 monte que l'on pourrait ie servir du piston intérieur coinme élément de conduite de pistons conventionnels, ce qui permottrait de soustraire les bielles cl es ensemble à poly pistons, pour lesquels on ne garderait, pour chacun, qu'une coulisse de rac zordement.
.
La figure 10 montre qu'il est possitile de soustraire les différence c:l'accélération décélération latérales des deux pistons sans en ct: anger les différence de déplace;ment vertical, en réalisant un ou les deux ensembles avec le recours Ici des engrenages polycamés , di-, telle manière que les accélération et décélération des deu:i: pistons soient coordonnés.
La figure 11 montre qu'il n'est pas j técessaire de réaliser pour les cieux pistons deux commandes différentes. En effet, on pourra obse rver que l'un des pistons se dé;:blace dans une relation translationnelle par rapport à l'autre On pourra par conséquent ccimmander l'un des pistons en le soumettant à l'autre.
La figure 12.1 montre qu'il est possible de morceler le piston court-ature en plusieurs pistons de courbatures unitaires , ce qui perme ttra de simplifier les éléments f~ssurant l'étanchéité entre les pistons De cette façon on pourra ca itrôler indépendamment chacuiie des extrémités des pistons.
On pourra dès lors modifier latéralei nent les paramètres de réalisat;ion de la courbature des pistons de courbature. Ici, les pistons sont c,)ntrôlés par un membre principal monté
planétairement.
Chacun est inséré de façon coulissar.te dans un pièce cylindrique cc-mportant un coulisse, cette pièce étant elle même inséré de faço ii pivotant ou oscillatoire dans chaque extrémité du piston.
La figure 12.2 montre qu'il est poss!ble de soustraire les partie cyRldres oscillante et d'insérer d'une façon strictement coulissante ~es pistons unitaires de courbatlare si l'on contrôle les accélérations décélération du memh e de soutient par des engrenages polycamés .
La figure 13.1 montre les principaw moyens de liaison des pistons unitaires de courbature et du coeur piston pistons pourront dès li -rs être simplifié. La figure moiitre les trois principales façons de la faire.
La figure 13.2 montre que des pistû ns de courbature pivotants po i ttront être reliés au même axe de centre de la machine.
La figure 13.3 montre en a et b . co: nment ramener les accélératioris décélérations dan le bon cadran.
La figure 14 montre que lors de l'ut ilisation d'excentrique, ceux-cii peuvent aussi être disposés de façon unitaire et en périphérie, 91, ùu encore de façon dynamique rt centrale 96. En ce cas, on verra plus loin que plusieurs dynam: ques peuvent être utilisées.
La figure 15 montre en a, que par ( ertaine mécaniques déjà comn)entées par nous-mêmes ,. on réussit à bomber le cylindre soit daiis ces bulbes,soit dans ces arcs, alors que dans les cylindres des machines de type polyturbine , iion parvena.it à réaliser des cyliiidres de type bi rotatifs, réalisant successivement ces deux aiigmentations. , tel que montré en c mais dans les mécaniques par poly Pistons.
I.a figure 16 rappelle que si l'on reÃ.arde attentivement le cylindre ii'un moteur rotatifs, on se rend compte que d'une part, sa courbure supérieure pourra être améliorée, et adoucie . Non seulement ceci permettrait-il de réaliser meille ir taux de compression, mais a:ussi , cela permettrait de rapprocher, surtout sur la face arriè re, le design de la tête du pisten de celui du cylindre pendant l'explosion, ce qui éviterait les doul de cylindre habituel, peu compitibles avec une correcte explosion.
Par ailleurs, si l'on observe le cylinrire standard, on se rend comptc qu'il est généralement d'un rapport de hauteur de sept neuviènm -, ce qui produit énormément r,le perte volumétrique. Si la courbure du cylindre est augmentét, cela signifiera que le piston ejitrera plus profondément en elle, et que par conséquent les parties an ières du piston réaliseront moiiis de contre effets, et las parties avant un meilleur effet.
La figure 17 rappelles les notion de -,ourbures de premier deuxièmf, et troisième degré On représente ici cette notion avec le re cqurs à des poly induction sup;rposées.
La figure 18.1 montre une autre dyruznique possible de came de poussé sur les tiges des piston de courbature unitaire. Ici, le came ~[ lé même nombre de cotés que celui du piston, mais réalise un mouvement planétaire en sens inver;e;qui produit quatre faces con,écutives .
En b de la figure, on retrouve un ca ne fixe mais cette fois-ci de foiime tri rotative, et qui par conséquent permettra de réalise la fi me trirotative anticipé.
La figure 18.3 montre successiveme ciY ces trois type de courbure. l:?n a) on retrouve ;a courbure mono rotative standard. En b) on ri .trouve la courbure de type bi irotative.
En c) de la figure on retrouve la courbure de type tri rota tive, celle-ci étant dessinée de 'âçon exagérée bien sur.
La figure 18.4 montre d'autres exer. iple de came permettant d'atte indre ces types de courbure. En a) le came dynamique à sens inverse est maintenant à double prowbérance, alors que le came à
même sens est de fonne quasi trianà ulaire.
En 18 5, on voit que l'on peut dessiiior le came comme tant lui-mê ne de forme tri rotative, en tenant compte, comme mentionné p~-éjcédemment des accélération ct décélérations, de même que des angulation des tiges des pistons do courbature unitaire. On obt iendra alors avec un came fixe, des figures de cylindre complexes.
La figure 19 montre en a) que l'on peut aussi réaliser des courbui, es de troisième degré par engrenages polycamé. Icï, tout en d,rieurant des engrena de rappcirt de trois sur deux, la polycamation elle aura un rapport d:; quatre sur six, ce qui entraînera quatre accélérations décélérations par tour., ce qui est l'i ffet recherché.
En b) la figure montre que l'on pel it obtenir une figure de troisièi:~ie degré de façon simplifiée en ajoutant une poly induction subsidia iré à un élément lui même plan,;taire, par conséquent lui-même de second degré.
La figure 20 montre que des machir. es de type rétrorotatives en a',i , et de type poly turbines en b) peuvent aussi être réalisé avec le re;cours à des doubles courburi;:s obtenus par le jumelage de coeur piston et de pistons de courbai:ure unitaires. Dans les deux cv s, ceci augmentera leur compression, ce qui est ici l'un des effets recherchés.
Dans la figure 21 nous montrons qi ie l'amélioration des formes de, cylindre a des effets positifs similaires pour les machines turbina i--~es. En effet, premièrement, l.a meilleure figure de la chambre d'explosion produit les même effet,,. Par ailleurs, l'allongement du piston par la sortie du piston de courbature produit un effet de t(iurnage supplémentaire sur le c ylindre en déplaçant positivement son centre de gravité , et par conséquent le couple qii'il dégagera autour de l'axe centrat.
Dans la figure 22.1 , on pourra d&înter chacune des méthodes dE: support plus haut mentionnées pour les moteurs turbinatifs. Tout d'abord dans les moteurs à cinélique Clokwise, on pourra munir le cylindre d'un came fixe de forme quasi elliptique et par la suite munir le contre piston de courbature de tiges en appui sur ce1 te ellipse. On obtiendra alors les sorties et rentrés successives des contre piston de courbature.
Dans la figure 22.2. , on réalise un i ype de repoussage des tiges de s pistons de courbature unitaires par un excentrique central se déplaS ant de façon translationnelle, ce support réalisant une amplitude de translation supérieure à celle du coeur piston ce qui a.ugment les volumes de la manière déjà commentée.
Dans la figure 22.4, pour une macl ùne turbinative dont les tiges d 1-s pistons de courbature unitaire seraient conduites par came, et doni ion désirerait produire une cciurbure tri rotative, on voir que les came doit être réalisé en huit coi:és.
Dans la figure 23, on montre que le s courbure du piston peuvent Ãtre réalsée de telle manière de capter l'explosion.
La figure 24.1 montre que lorsque l'on installe un membre de faf;,on planétaire sur un vilebrequin toute poussée sur ce membre, si sa longueur ne dépasse pas celle du rayon de tournage du vilebrequin , produit une action ciu culaire sur ce vilebrequin. Dars les machines rotative, ce membre est le piston, et généralemcnt ses extrémité dépassent de'3eaucoup le rayon de tournage du vilebrequin.
Dans la figure 24 2, nous donnon ; deux exemples d'un telle proc;édure. En a de la figure, un mernbre unitaire planétaire de contiSle de l'orientation est conduit:
pLanétairement par induction par engrenage intermédiaire. . En t-, le membre est conduit par un. induction par mono induction La figure 25 montre qu'une segmeiitation conventionnelle n a) pi,-urra être ajoutée à chacun des pistons unitaires de courbature. Il 1aut cependant mentionner que nous considérons que les pistons unitaires pourront aussi recevoir di ss segments à ressorts hélicoïdaux en b), ou pourront recevoir des segments oscillants tangentiels tels que nous les avons comrrientés précédemment en c). Ces segments seront liés au piston par :'oulement, ou encore par des oouplage d'engrenages polycamés, partiellement ronds, ar, lués ou en crémaillère en d) .
Dans la présent invention, nos tenc ns à rappeler que la réalisatiori de segments oscillants et dédoublé ou encore celle de suppo rt de segments oseillantes et dg:doublés permettra aussi, de façon subtile de réaliser les falsifici lion de hauteur et de larguer clu cylindre.
La figure 25.1 rappelle la notion de egment oscillants La figure 25.2 montre quelques mo-fens permettant de sécuriser iriécaniquement le mouvement rectiligne des pistons de courbature:; . En a) on voit que l'on peut 3implement utiliser des roulements, de chaque coté de chaci in des pistons. Ces roulements peuvent être remplacés par des engrenages. En b) de la figure, des t ras de support s oscillant supp,:)rte le piston.
La figure 26, rappelle en a, les deuapositions principales de engrenages polycamés., l'une produisant des accélérations des po ntes su piston dans les bulbes clu cylindre, et l'autre dans le encoignures.
La figure 26.1 en a montre que l'or. pourrait aussi activer les tiges des pistons de courbature unitaire avec le recours à un polyca ne dont le mouvement serait translationnel En b de la figure nous rappelons la mécanique par pc ly induction starxlard, en laquelle nous avons montré qu'un viEebrequin maître pouvait supporti r deux vilebrequin subsidiaires. Ce découpage a permis de réaliser qu'un mouvement translatiennel périphérique peut être adclitionné à
un mouvement circulaire central pour obtenir la coi irbure désirée du cylindre .
Par ailleurs, en faisant coïncider ceç, information, on peut aussi ob:ierver qu'un installant un élément cylindrique donné sur deux vilebrequins centraux, on en e, btenait un mouvement rotationnel similaire à celui d'un ex,,entrique standard, ce que mortre les figures c) et d).
Cependant , si ces mouvement réali eent le mênze déplacement positionnel, ils ont un aspect orientationnel dynamique très différent. Dans le premier cas, chaqiie point de l'élément cylindrique produit exactement une circonférer ce de rayon identique à la circg: férence du point de centre du système. En d) nous les points sont éloignés du centre de sotournn.~ge, plus la circonférence est grande.
La figure 26 rappelle les notions de poycamation et montre que l'an peut réaliser celles-ci au troisème et au quatrième degré, cei ,i permettat de réaliser des acc;;lérations décélérationions pertinentes.
La figure 27 rappelle en a que lors Je soutient de machines motric:e post rotatives les plus standard par mono induction, un tiers de la partie arrière du piston agit en contre force.
En b, de la figure, on voit que les c antre forces s'exercent plutôt mr le cylindre, dans les machines turbinatives, et par rapport au cent,-e, ce qui ne produit que peu dc perte d'énergie, et cela d'autant plus que le cylindre réalisr-nt la partie orientationnelle du mouvement, les pertes réalise à
ce niveau ont un moindre effet.
La figure 26.2 montre les impacts lue ce type de nouvelle réalisal ion de la pièce cylindrique de support apporte, lorsque ces élém c-nts seront les éléments de support d'un machine rotative.
Dans la figure 27.3, on voit qu'il ee assez facile d'induire dans uiie rotation simultanée les vilebrequin de support de l'exceni rique tranlationnel , en fixant ii chacun un engrenage , lesquels engrenages seront couplés indirecterient un tiers engrenage 934 pr,euvant être fixé à un axe central La figure 27.4 montre la machine ai. temps mort haut , en coupe transversale, en a, et en perspective en b) La figure 27.5 monte les éléments eYi. cours de descente La figure 28 .1 montre la dynamiqu,; des éléments pré décrits , potz un tour de la machine. On y voit que les vilebrequins centraux 9'i0 supportant l'excentrique tra;nslationnel tournent à la même vitesse par ailleurs, les engenages c1.'induction disposés sur leur m:meton tournent sur eux même et entraînent la rotation de l'engrena ge du piston..
La figure 28.2 monte de façon plus 1 irécise l'avantage de ce type d(;:
mécanique de support du piston. Principalement, on voit que i iême si les rapports de géoméllrique sont respectés, et que par conséquent le point de tournage sur lui-même du piston, orientaticinnellement et positionnellelement demeure identir,ue à celui d'une mono inductir ou de tout autre induction simple de premier degré, 980, les cc ere réactions situés derrière c.- point sont partiellement contrés par le fait que le point de coiiplage de l'engrenage d'induct:ion du piston 981 à son engrenage de support demeure plus en avant. En conséquence une, force attribué
en arrière du point de tournage, en dépit du fait q~x'elle entraîne une rétrorotatioii 984, s'appuie nmatériellement su un point de tournage post rotatif , on assiste donc plus à une anaulation de forces qu'un une création de forces négatives proprer ient dite. Cette énergie négative économisée est doublé par le fait qu'il y a aussi économie de l'éne rgie avant nécessaire normaleriient à
la neutraliser qui pourra ici être réalisé positivement.
La figure 29.1 monte que l'on peut adapter cette procédure aux ni,)teurs turbinataf L'engrenage du cylindre 990 pourra entraîner en cnsemble d'engrenage périphériques couplé
à des vilebrequins. 992 Ces manetons de ces vilebrequin seront munis d''engrenage supportant l'engrenage de centre du piston, qui réalisera par conséquent une c inétique translationnelle.
La figure 29.2 montre que l'on peui: réaliser la machine avec un vi:.ebrequin central. supportant l'excentrique translationnel Pour c)mpléter la mécanique de tran:ctation, on disposer dans le flanc de la machine un vilebrequin subsiid ia.ire, , et on joindra son mane! ton à
l'excentrique. On couplera le vilebrequin central et le rilebrequin subsidiaire de telle ,iorte que leur action soit identique, par exemple par une chaû -e , un engrenage cerceau, un E:ngrenage intermédiaire . Pour finir, on ajoutera au maneton de du rilebrequin subsidiaire un engri;nage de support auquel on couplera l'engrenage d'induction dL piston.
La figure 29.4 monte que , lorsque : es mécaniques précédentes sorit réalisées pour soutenir les parties d'une machine de forme turt-inative Clokwise, l'excentriqur;
translationnel est réalisé de façon confondue avec le piston , et l'engrenage de raccord des eiigrenages de vilebrequins de centre et périphérique peut être cou,Aé à celui du cylindre et perrn-cttre son activation en sens inverse.
La figure 29.5 montre que le rayon c:.'attaque des mécanique conve ntionnelles turbinative, Rl, est diffférent de celle présentée plus haul , R 2 La figure 29.6 montre un autre exerlple , en lequel la synchronicit(;: des vilebrequins est assurée par leur couplage à un vilebrequin ci ntral, par le recours 'un tiers é;léxnent tel un bielle 1.
La figure 30 montre que l'on pourra mécaniser avec toute inducti(in un pour un , l'excentrique d'une machine rotative, de telle man ière que son mouvement soit urs mouvement translationnel.
Fans la figure a) n obtient un mouve~nent translationnel de l'excent;-ique par induction par engrenage intermédiaire, et en b) , p ir induction par engrenage cer,;eau.
La figure 31 monte que dans la mesi ire où la forme active de façon planétaire est cylinndrique, elle peut recevoir toute autre dynamisati )n planétaire que seulement la dynamisation translationelle, et qu'en dépit de ces modification de tq ~urnage rétro ou post rotationriel, orientationnel, cette pièce réalisera, comme la pièce translatioi nelle, une rotation positionnelle similaire à celle d'un excentrique standard.
Dans le présent exemple la pièce à u ne rétrorotation sur le manetor du vilebrequin dont le résultat que cette pièce tourne sur elle mêmF un demi fois par tour de vilebcequin.
S'il s'agissant du piston, il faudrait qu'il ne tourne qu'un tien de rétrorotation. En conséquence la rétrorotation de l'excentique est haute, et it faudra r,ça.liser un tournage rétrorotationnel du piston par rapport à ce excentrique. Ici par exemple, ion utHse deux engrenage de lien de iype exteme successifs.
Dans la figure 31.2 , on a monté le 1~iston sur l'excentrique.
Dans la figure 31.3 , on voit les pièccs en perspective.
Dans la figure 32, on établit la dynai nique orientationelle de excen:trique planétaire de façon inversée. Pour ce faire, on a disposé sur cet excentrique un piston virtuei, que l'on actionne planétairement, par exemple pour c~=éer un figure virtuelle de d'exc;entrique rétrorotative en quatre. Comme on peut le constate r, dans cette figure, le mouven[ient rétrorotationnel de l'excentrique est supérieur à celui qi ii est attendu pour le piston. Un devra par conséquent réaliser un engrenage intermédiaire i uiissant le piston et cet excenti.ique de telle manière que cet engrenage tourne post rotativement et rétablisse la vitesse relative du piston, alors que comme on l'a vu précédenunent , si la vitesse d e dérotation de l'excentrique e;t inférieure à celle attendue pour le piston, on devra ajouter de la dérotation en réalisant un eni,xenage intermédiaire d'entraînement du piston par l'excei itrique qui travaillera rétrorotaïvement.
Mais le piston a toujours un effet égal arrière et avar t sur cet engrenage , qu'il soit activé
post ou rétrorotativement. L'intérêt de la pr;sent section est par conséquent de trouver le moyen de grossir les engrenages de support et d'induction de l'excentrique, , ans changer le trayon du vilebrequin et par conséquent la disi ance entre les engrenages, ce que montrera la prochaine figure.
La figure 34 rappelle nos motions de planétarisations synthétique:s, appliquées dans les machines turbinatives. En celles-ci on montre ju'un élément entraîné planétairement peut réaliser un nombre de faces , mais cette fois-ci non con:écutives. Ceci permettra de grcssier les engrenages tout en conservant entre eux un distance égAe à celle du rayon de tournage- attendu.
La figure 35 montre l'intérêt des dernières procédures. Le principal de celui-ci est de reculer le point de couplage des engrenages, ce qui rendra Ies contre forces <<rrière vraiment actives plus en arrière. Ceci augmentera par ailleur ; le rayon montant de couplagf: des engrenages . Mais le gain en réduction de cognement direct es : énorme. Si cette structure esi: au surplus réalisé de façon polycamée ce qui est montré en acomme dans nos premières fil;ures, on aura là
un machine très fluide.
La figure 36 montre que si la rétrorc tation de piston est inégale, ce; qui pourra être réalisé par des engrenage polycamés , et si on fait i itervenir simultanément des induction de positionnement et d'orientation, les unes travaillant er différence, et les autres en égillité, on doit développer un explosion qui, au temps mort haut i-arcera moins le piston vers l'avant, orientationelle, et vers le centre, en réaccélétation orientationiielle, le forcera plus. On pourra donc laisser travailler l'arrière du piston de façon proportionnée à'explosion centrale, et viser urie explosion descendant mieux situé, par exemple en la produisant 1iartie du piston.
La figure 37 montre en a, que la surface du piston peut être extru3é de façon variable de telle manière de produire une répartition le l'explosion et de l'expansioii appropriée à la cinétique.
En b) de la figure, on montre que s: l'on réaliser un orifice de chac:lue coté
du cylindre au niveau du temps mort bas du piston, on poi irra sortir les segments de coiiis et les remplacer par des neufs, sans avoir à ouvrir le cylindrc, ces trous pouvant par suite êire bouchés par des pièces cylindriques.
La figure 38 nzontre qu'avec un g6)métrie arrière du piston appro-priée, en laquelle on a réalise une courbure intérieure de celui-ci,-~-010, cette courbure se déplaccra vers lavant en descente 3011, et ce faisant, viendra eontrec,urer la fermeture du cylindre I:,ar le passage du bulbe formé
par la rencontre des arcs supérieurs. 3012. En conséquence, comnie le montre la suite due calculs des surfa.ce relatives à ces espaces, :1013,1'aire entre ces partie ne diminuera pas, comme dans les moteurs standard, mais demeurera oit stable, ou encore produira +ane légère croissance. Ceci signifie que cinétiquement, on sera (lès lors assuré que la machine i-st positive, même dans ses parties arrières. Ceci est de la plus l:aute importance, puisque l'on peut déduire que dans cette partie , le travail de la force orienta tionnelle arrière est commencé-, et que l'on aurait tord comme le fait l'industrie, de sacrifier l'énerl:;ie que cet espace pourrait créE:r, par les méthode de support par mono induction. La capacité
La figure 39 montre qu'en couplani la notion d' intra courbure arrière du piston et celle de courbure de cylindre par engrenage ; polycamés, ( ou autre moyen d'accélération et décélération du piston ) on obtient une cinétiqu s qui non seulement ne produit plus de compression après le temps morts , convne c'est le cas, c ans les machines de l'art antérieur, ou encore un ma.intient de la compression, comme c'est le cas dans notre figure précédente, j, nais une augmentation graduelle et significative du volume >upérieur à l'augmentation de wlume de la partie avant, pour toute la première partie de l'expans, on.
La figure 40 montre que l'on peut a lapter ces méthodes de guidagi, aux machines turbinatives, en couplant le cylindre , par un engrenîge d'induction, d'une inductic n descendante , dont l'engrenage de support périphérique est fixé sur le sub vilebrequin Description sommaire des figures Description somma.ire des figures La figure 1 montre quelques exempl -s de différences entre la thermodynamique théorique et la thermodynamique pratique. On y vc it que si , en théorie, un même volume de compression et d'expansion des gaz entraîne un mêj ne puissance, en pratique des i:acteurs mécaniques peuvent influencer considérablement les résu Itats finaux.
La figure 2 rappelle , le plus brièven tent possible, les principaux dé Fauts des moteurs rotatifs, au niveau thermodynamique, de même que les apports que nous avow pu contribuer à
réaliser en la matière. Ce bref regard nous permel tra de constater les problèmes restants, et d'identifier convnent ceux-ci pourront être réso lus par la présente solution tec hnique.
La figure 3 monte quel est l'intérêt i le reproportionaliser la pousséc sur le piston La figure 4.1 rappelle principalemer t deux mécaniques par lesquelles nous avons réaiiser une meilleure répartition de la poussée sur la pale , ceci ayant pour résultat de concentrer plus de puissance au centre et au tiers avan : du piston, et non pas strictement sur la partie extérieure, ce qui permet finalement de mieux acccspter la poussée de l'explosion, qui se développe prioritairement à cet endroit.
La figure 4.2 rappelle les principale, manière par lesquelles nous avons jusqu'à présent réussi à
modifier avantageusement les forme s de parties compressives, soit par engrenage polycamés, en a , par superposition de vilebrequin el d'induction en b, par segment,ition oscillante en c, et par poly piston rotatif, conventionnel en d,)ar poly turbine.
La figure 4.2 réitère que l'une des i onfiguration les plus intéressaiites consiste à retarder la pointe avant du piston en cour de descentr, , ce qui a pour effet d'aplannr la courbe de la partie arrière de celui-ci , et de bomber celle de la l:artie inférieure . Ceci se réalisant deux fois par tour, on aura un abaissement la partie arrière de I [ chambre à combustion, et uw:
augmentation de sa partie avant , en laquelle on pourra par co: iséquent disposer la bougie . I;;es courbures pourront être accompagnées de courbure du pisto::i complémentaire, bombées ve:-s l'arrière, et incurvée vers l'intérieur , vers l'avant. .
La figure 4.2.2 montre l'évolution dcs volumes lors de procédure I;ar accélération décélération orientationnelle. On voit que le volu ne arrière augmente à mesure que l'évolution du cylindre se fait. Ceci se traduit , mécaniquemen par un recul progressif des cc ntre forces arrière, obtenu par polycamation ou autre moyen de dé+.;élération accélération. Le mot,-,ur est par conséquent sans perte volumétrique. On remarquera iaue la forme avant du piston di)it être surbaissé pour permettre son entré dans la phase a,célérative. La perte volumétrii lue se produit non plus en début d'expansion, mais, conune da s n moteur à piston en fin d'e:-:pansion.
La figure 4.3, rappelle les diverses positions principales de engreriages polycamés, de même que la possibilité de les réaliser avec un i iombre de degrés supérieur et déphasé.
La figure 4.4 montre un exemple de contrôle intentionnel des accéli&rations décélération du piston dans certains de ses phases.
La figure 5 rappelle une notion de b se relative aux machines rotat:.ves et qui consiste à constater que tout point d'un piston d'une ma hine rotative, autre qu'une m:Lchin.e à
mouvement de piston translationnel, a une cinétique différ.,nte propre au cadran dans leqixel il se trouve, et propre à la distance du centre à laquelle se trotuve ce point.
La figure 6 montre en a, une premii re déduction géométrique poui vant découler des derniers énoncés, selon laquelle on pourrait c onstruire deux ensembles de v ilebrequin et pistons réalisant des cylindres de grosseur approximi:tivement similaire , ma.is avec des courbures pour l'une plus douce et pour l'autre plus aiguë, er réalisant le premier ensemble avec un vilebrequin plus petit et un piston plus gros, et le second avi >,c un vilebrequin plus gros et i;ne piston plus petit.
La figure 7 montre la dynamique du mouvement des pièces de la f;;ure précédente pour un tour.
On y voit que les accélérations décé lération des pistons sont différi;,ntes et que le piston du centre peut produire une impulsion plus gr mde , par rapport , alors que ll e piston extérieur permet de conserver une courbature douce.
La figure 8 montre que pour obtenv l'efficacité du couplage des pistons de type rotatifs, il faut garder étanche les parties situées enr,re les pistons. Ici, on utilise w:e ensemble de double coulisses , qui pourra garder lié les pistons pc ur quelque différence de cinétique que ceux-ci produiront.
La figure 9 monte que l'on pourrait se servir du piston intérieur comme élément de conduite de pistons conventionnels, ce qui perm -,ttrait de soustraire les bielles des ensemble à poly pistons, pour lesquels on ne garderait, pour chacun, qu'une coulisse de rac;cordement.
.
La figure 10 montre qu'il est possil le de soustraire les différence d'accélération décélération latérales des deux pistons sans en cl anger les différence de déplacr;ment vertical, en réalisant un ou les deux ensembles avec le recours , i des engrenages polycamés , cle telle manière que les accélération et décélération des deu pistons soient coordonnés.
La figure 11 montre qu'il n'est pas récessaire de réaliser pour les d-cux pistons deux commandes différentes. En effet, on pourra obse:ver que l'un des pistons se déplace dans une relation translationnelle par rapport à l'autre On pourra par conséquent commander l'un des pistons en le soumettant à l'autre.
La figure 12.1 montre qu'il est possi ble de morceler le piston courtature en plusieurs pistons de courbatures unitaires , ce qui perme ttra de simpiifier les éléments assurant l'étanchéité entre les pistons De cette façon on pourra coi -trôler indépendamment chacuiie des extrémités des pistons.
On pourra dès lors modifier latéralernent les paramètres de réa.lisati::)n de la courbature des pistons de courbature. Ici, les pistons sont c:)ntrôlés par un membre princil:al monté
planétairement .
Chacun est inséré de façon coulissar te dans un pièce cylindrique ccimportant un coulisse, cette pièce étant elle même inséré de faço: i pivotant ou oscillatoire dans r,haque extrémité du piston.
La figure 12.2 montre qu'il est possi ble de soustraire les partie cyliiidres oscillante et d'insérer d'une façon strictement coulissante : es pistons unitaires de courbatiue si l'on contrôle les accélérations décélération du membre de soutient par des engrenag;-.s polycamés .
La figure 13.1 montre les principau moyens de liaison des pistons unitaires de courbature et du coeur piston pistons pourront dès 14,rs être simplifié. La figure moaitre les trois principales façons de la faire.
La figure 13.2 montre que des pistc,ns de courbature pivotants poi.irront être reliés au même axe de centre de la machine.
La figure 13 .4 montre que dans la r iesure ou les pointes des pistoi[ts de courbatures n'accélèrent et ne décélèrent pas de façon corres. )ondante dans le temps, mais ;plutôt partiellement successivement, on peut , en les mc rcelant, les réaliser de façon eribouvetée les uns aux autres.
La figure 14 montre que lors de l'utilisation d'excentrique, ceux-ci peuvent aussi être disposés de façon unitaire et en périphérie, 91, c u encore de façon dynamique el centrale 96. En ce cas, on verra plus loin que plusieurs dynami!lues peuvent être utilisées.
La figure 15 montre en a, que par c ztaine mécaniques déjà comm; -,ntées par nous-mêmes ,. on réussit à bomber le cylindre soit dai s ces bulbes,soit dans ces ares, alors que dans les cylindres des machines de type polyturbine ,)n parvenait à réaliser des cyl'n-idres de type bi rotatifs, réalisant successivement ces deux ai tgmentations. , tel que montré -.n c mais dans les mécaniques par poly pistons.
La figure 16 rappelle que si l'on reg:ffde attentivement le cylindre rl'un moteur rotatifs, on se rend compte que d'une part, sa courbure supérieure pourra être améliorée, et adoucie . Non seulement ceci permettrait-ü de réaliser meillei r taux de compression, ma.is aiissi , cela permettrait de rapprocher, surtout sur la face arriè; e, le design de la tête du pistcin de celui du cylindre pendant l'explosion, ce qui éviterait les doub le cylindre habituel, peu compaibles avec une correcte explosion.
Par ailleurs, si l'on observe le cylind~=e standard, on se rend compte qu'il est génëralement d'un rapport de hauteur de sept neuvièmF , ce qui produit énormément d: -~ perte volumétrique. Si la courbure du cylindre est augmentée, cela signifiera que le piston eritrera plus profondément en elle, et que par conséquent les parties arr .ères du piston réaliseront monris de contre effets, et las parties avant un meilleur effet.
La figure 17 rappeltes les notion de ourbures de premier deuxièmc: et troisième degré On représente ici cette notion avec le recours à des poly induction sup,õrposées.
La figure 18.1 montre une autre dyn unique possible de came de poussé sur les tiges des piston de courbature unitaire. Ici, le came î le même nombre de cotés que celui du piston, mais réalise un mouvement planétaire en sens inver,-:e qui produit quatre faces conécutives .
En b de la figure, on retrouve un cm ae fixe mais cette fois-ci de forme tri rotative, et qui par conséquent permettra de réalise la f< rme trirotative anticipé.
La figure 18.3 montre successivement ces trois type de courbure. En a) on retrouve ;a courbure mono rotative standard. En b) on retrouve la courbure de type bi rotative. En c) de la figure on retrouve la courbure de type tri rotai;ive, celle-ci étant dessinée de :làçon exagérée bien sur.
La figure 18.4 montre d'autres exen ple de came permettant d'atteindre ces types de courbure. En a) le came dynamique à sens inverse est maintenant à double protiibérance, alors que le came à
même sens est de forine quasi triang ulaire.
En 18 5, on voit que l'on peut dessi ier le came comme tant lui-mêine de forme tri rotative, en tenant compte, comme mentionné p: -écédemment des accélération et décélérations, de même que des angulation des tiges des pistons Je courbature unitaire. On obtiendra alors avec un came fixe, des figures de cylindre complexes.
La figure 19 montre en a) que l'on peut aussi réaliser des courbures de troisième degré par engrenages polycamé. Ici, tout en dumeurant des engrena de rapport de trois sur deux, la polycamation elle aura un rapport & , quatre sur six, ce qui entraînera quatre accélérations décélérations par tour., ce qui est l'(ffet recherché.
En b) la figure montre que l'on pei it obtenir une figure de troisièriie degré
de façon simplifiée en ajoutant une poly induction subsidia ire à un élément lui même planistaire, par conséquent lui-même de second degré.
La figure 20 montre que des machinõs de type rétrorotatives en a), et de type poly turbines en b) peuvent aussi être réalisé avec le i ecours à des doubles courbure:s obtenus par le jumelage de c ur piston et de pistons de courbat ire unitaires. Dans les deux cas, ceci augmentera leur compression, ce qui est ici l'un des ;ffets recherchés.
Dans la figure 21 nous montrons qu e l'amélioration des formes de cylindre a des effets positifs similaires pour les machines turbinat,ves. En effet, premièrement, la meilleure figure de la chambre d'explosion produit les même effets . Par ailleurs, l'allongement du piston par la sortie du piston de courbature produit un effet de te urnage supplémentaire sur le cylindre en déplaçant positivement son centre de gravité ,ct par conséquent le couple qu 'il dégagera autour de l'axe central.
Dans la figure 22.1 , on pourra déc~!nter chacune des méthodes de support plus haut mentionnées pour les moteurs turbinatifs. Tout d' abord dans les moteurs à cinétique Clokwise, on pourra munir le cylindre d'un came fixe de forme, ruasi elliptique et par la suite munir le contre piston de courbature de tiges en appui sur ceti e ellipse. On obtiendra alors le3 sorties et rentrés successives des contre piston de courbature.
Dans la figure 22.2. , on réalise un t.,rpe de repoussage des tiges des pistons de courbature unitaires par un excentrique central se déplaç; nt de façon translationnelle, ie support réalisant une amplitude de translation supérieure i E celle du coeur piston ce qui ai;gment les volumes de la manière déjà commentée.
Dans la figure 22.4, pour une machne turbinative dont les tiges des pistons de courbature unitaire seraient conduites par came, et dont ion désirerait produire une coi,irbure tri rotative, on voir que les came doit être réalisé en huit con's.
Dans la figure 23, on montre que le, courbure du piston peuvent &lre réalsée de telle manière de capter l'explosion.
La figure 24.1 montre que lorsque :'on installe un membre de façon planétaire sur un vilebrequin toute poussée sur ce membre, si sa langueur ne dépasse pas celle clu rayon de tournage du vilebrequin , produit une action cir(ulaire sur ce vilebrequin. Daw. les ma:chines rotative, ce membre est le piston, et généralemeat ses extrémité dépassent de tieaucoup le rayon de tournage du vilebrequin.
Dans la figure 24 2, nous donnons deux exemples d'un telle proccdure. En a de la figure, un membre unitaire planétaire de contnile de l'orientation est conduit planétairement par induction par engrenage intermédiaire. . En b, le membre est conduit par un :induction par mono induction La figure 25 montre qu'une segmen :ation conventionnelle n a) poizrra être ajoutée à chacun des pistons unitaires de courbature. Il fz ut cependant mentionner que r.ous considérons que les pistons unitaires pourront aussi recevoir de;; segments à ressorts hélicoïdaiex en b ) , ou pourront recevoir des segments oscillants tangentiels, ',els que nous les avons eommentés précédemment en c). Ces segments seront liés au piston par rc ulement, ou encore par des couplage d'engrenages polycamés, partiellement ronds, arqi iés ou en crémaillère en d) .
Dans la présent invention, nos tenon s à rappeler que la réalisation (i.e segments oscillants et dédoublé ou encore celle de support de segments oscillantes et dédimblés permettra aussi, de façon subtile de réaliser les falsificat on de hauteur et de larguer du cylindre.
La figure 25.1 rappelle la notion de egment oscillants La figure 25.2 montre quelques moi(ens permettant de sécuriser rn.bcaniquement le mouvement rectiligne des pistons de courbature~ . En a) on voit que 1'on peut ;>implement utiliser des roulements, de chaque coté de chaci n des pistons. Ces roulements peuvent être remplacés par des engrenages. En b) de la figure, des t ras de support s oscillant supporte le piston.
La figure 26, rappelle en a, les deux positions principales de engreiiages polycamés., l'une produisant des accélérations des poees su piston dans les bulbes clu cylindre, et l'autre dans le encoignures.
La figure 26.1 en a montre que l'on pourrait aussi activer les tiges des pistons de courbature unitaire avec le recours à un polycavie dont le mouvement serait translationnel En b de la figure nous rappelons la mécanique par po: y induction standard, en laque1(e nous avons montré qu'un vilebrequin maiItre pouvait supporte r deux vilebrequin subsidiaires, Ce découpage a permis de réaliser qu'un mouvement translatio wel périphérique peut être adclitionné à
un mouvement circulaire central pour obtenir la coL rbure désirée du cylindre .
Par ailleurs, en faisant coïncider ces information, on peut aussi obsi;rver qu'un installant un élément cylindrique donné sur deux vilebrequins centraux, on en ol Aenait un mouvement rotationnel similaire à celui d'un exc entrique standard, ce que monire les figures c) et d).
Cependant, si ces mouvement réalis ent le même déplacement posÉ ionnel, ils ont un aspect orientationnel dynamique très différcnt. Dans le premier cas, chaquie point de l'élément cylindrique produit exactement une circonféren(e de rayon identique à la circo férence du point de centre du système. En d) nous les points sont,;loignés du centre de sotournal;e, plus la circonférence est grande.
La figure 26 rappelle les notions de )oycamation et montre que l'o ri peut réaliser celles-ci au troisème et au quatrième degré, ceci permettat de réaliser des accélérations décélérationions pertinentes.
La figure 27.1.1 rappelle en a que Ic rs de soutient de machines moi:rice post rotatives les plus standard par mono induction, un tie; s de la partie arrière du pistori agit en contre force.
En b, de la figure, on voit que les cc ntre forces s'exercent plutôt si.ir le cylindre , dans les machines turbinatives, et par rapport au centru, ce qui ne produit que peu de perte d'énergie, et cela d'autant plus que le cylindre réalisai t la partie orientationnelle du rnouvement, les pertes réalise à
ce niveau ont un moindre effet.
La figure 27.1.2.1 montre que de (e point de vue, les moteurs stiind en a comporte un tiers de contre forces, sur l'ensemble du pis on, alors que les moteurs turb:inatifs de base comporte un force parfaitement égale sur son pist~)n , et déséquilibrée sur le cyâ[ -dre, aussi à raison d'un rapport d'environ quatre sur cinq.
La figure 27.1.2.2 montre en b) que, selon le dessin des pistons et des cylindres de l'art antérieur, la partie arrière du piston et du cylinIre, pour la première phase de ssa descente semble continer de compresser, et par conséquent ài m cinétique contraire à celle de la dépense de l'énergie de l'explosioneet de l'expansion.
Par contre en a, on voit pourtant qu e la distance séparant la pointe arrière du piston du centre du moteur se réduit progressivement p; w le pliage du piston sur le vilebrequin.
La mécanique contredit par conséquent la cinétiquc , car , celle-ci9 semble produire du travail. On verra dans les dernières fiogures que les courbi trees de cylindres à mécaniques polycamés, adssociés à
certaines coubures de pistons rende,it compte de ce travail au lieu de la nier.
La figure 27.2 montre les impacts qie ce type de nouvelle réalisatiun de la pièce cylindrique de support apporte, lorsque ces élémei .ts seront les éléments de supp+~-rt d'un machine rotative.
Dans la figure 27.3, on voit qu'il est assez facile d'induire dans une:
rotation simultanée les vilebrequin de support de l'excentrïlue tranlationnel , en fxant à+õhacun un engrenage , lesquels engrenages seront couplés indirectei rient un tiers engrenage 934 pauvant être fixé à un axe central La figure 27.4 montre la machine ai i temps mort haut , en coupe tiransversale, en a, et en perspective en b) La figure 27.5 monte les éléments ei i cours de descente La figure 28 .1 montre la dynamiqu >,des éléments pré décrits, poli cr un tour de la machine. On y voit que les vilebrequins centraux 9 50 supportant l'excentrique tmnslationnel tournent à la même vitesse par ailleurs, les engrenages c l'induction disposés sur leur mi meton tournent sur eux même et entraînent la rotation de l'engrenm ige du piston..
La figure 28.2 monte de façon plus )récise l'avantage de ce type de mécanique de support du piston. Principalement, on voit que j nême si les rapports de géométrique sont respectés, et que par conséquent le point de tournage sur lui-même du piston, orientatic ellement et positionnellelement demeure identique à celui d'une mono inductii)n ou de tout autre induction simple de premier degré, 980, les contre réactions situés derrière c;e point sont partiellement contrés par le fait que le point de ce uplage de l'engrenage d'induciion du piston 981 à son engrenage de support demeure plu:, en avant. En conséquence une: force attribué en arrière du point de tournage, en dépit du fait q a'elle entraîne une rétrorotation 984, s'appuie nma.tériellement su un point de tournage post rotatif , on assiste donc plus à une an aulation de forces qu'un une création de forces négatives proprei rient dite. Cette énergie négative économisée est doublé par le fait qu'il y a aussi économie de l'éne~~gie avant nécessaire normalement à la neutraliser qui pourra ici être réalisé positivement.
La figure 29.1 monte que l'on peut ~ dapter cette procédure aux mcteurs turbinataf. L'engrenage du cylindre 990 pourra entraîner en g .nsemble d'engrenage périphéi=iques couplé à des vilebrequins. 992 Ces manetons de i .ses vilebrequi.n seront munis d',,-ngrenage supportant l'engrenage de centre du piston, qui réalisera par conséquent une c:inétique translationnelle.
La figure 29.2 montre que l'on peul réaliser la machine avec un vil, -,brequin central. supportant l'excentrique translationnel Pour ccnipléter la mécanique de translation, on disposer dans le flanc de la machine un viilebrequin subsüd; aire, , et on joindra son mane-:on à
l'excentrique. On couplera le vilebrequin central et le i ilebrequin subsidiaire de telle :;
orte que leur action soit identique, par exemple par une chaîr:e , un engrenage cerceau, un e ngrenage intermédiaire . Pour finir, on ajoutera au maneton de du ~îlebrequin subsidiiaire un engre! nage de support auquel on couplera l'engrenage d'induction du piston.
La figure 29.4 monte que, lorsque l.;s mécaniques précédentes son, t réalisées pour soutenir les parties d'une machine de forme turb:native Clokwise, l'excentrique, translationnel est réalisé de façon confondue avec le piston , et i'engrenage de raccord des er..grenages de vilebrequins de centre et périphérique peut être coul k à celui du cylindre et peririettre son activation en sens inverse.
La figure 29.5 montre que le rayon (l'attaque des mécanique conver-tionnelles turbinative, Rl, est différent de celle présentée plus haul , R 2 La figure 29.6 montre un autre exei aple , en lequel la synchroniciitc des vilebrequins est assurée par leur couplage à un viilebrequin contral, par le recours 'un tiers élément tel un bielle 1.
La figure 30 montre que l'on pourra mécaniser avec toute inductir.~n un pour un, l'excentrique d'une machine rotative, de telle mar, ière que son mouvement soit Lin mouvement translationnel.
Fans la figure a) n obtient un mouve ment translationnel de l'excenl:rique par induction par engrenage interrnédiaire, et en b) , p;i.r induction par engrenage cerceau.
La figure 31 monte que dans la mes ire où la forme active de façon planétaire est cylinndrique, elle peut recevoir toute autre dynamüsati Dn planétaiire que seulement la dynanvsation translationelle, et qu'en dépit de ces modification de t>urnage rétro ou post rotationnel, orientationnel, cette pièce réalisera, comme la pièce translatio: melle, une rotation positionnel.le similaire à celle d'un excentrique standard.
Dans le présent exemple la pièce à i: ne rétrorotation sur le manetoiii du vilebrequin dont le résultat que cette pièce tourne sur elle mêmi , un denû fois par tour de vilebrequin.
S'il s'agissant du piston, il faudrait qu'il ne tourne qu'un tier:; de rétrorotation. En conséquence la rétrorotation de l'excentique est haute, et il faudra icaliser un tournage rétrorotatig:,nnel du piston par rapport à ce excentrique. Ici par exemple, üon uti lise deux engrenage de lien de type externe successifs.
Dans la figure 31.2 , on a monté le r iston sur 1'excentrique.
Dans la figure 31.3 , on voit les pièc s en perspective.
Dans la figure 32, on établit la dynatiûque orientationelle de excenirique planétaire de façon inversée. Pour ce faire, on a disposé sur cet excentrique un piston virtuel, que l'on actionne planétairement , par exemple pour ci éer un figure virtuelle de d'excentrique rétrorotative en quatre . Comme on peut le constate r, dans cette figure, le mouven; ent rétrorotationnel de l'excentrique est supérieur à celui qui est attendu pour le piston.
La figure 33 rappelle nos motions dc- planétarisations synthétiques, appliquées dans les machines turbinatives. En celles-ci on montre - lu'un élément entraîné planétairement peut réaliser un nombre de faces, mais cette fois-ci non com écutives. Ceci permettra de grossier les engrenages tout en conservant entre eux un distance ég~,1e à celle du rayon de tournage attendu.
La figure 34 montre l'intérêt des dei nières procédures. Le principal de celui-ci est de reculer le point de couplage des engrenages, (e qui rendra les contre forces ;:Grrière vraiment actives plus en arrière. Ceci augmentera par ailleur~., le rayon montant de coupla.ge; des engrenages . Mais le gain en réduction de cognement direct es i: énorme. Si cette structure est au surplus réalisé de façon polycamée ce qui est montré en a) comme dans nos premières fi;,;ures, on aura là un machine très fluide.
La figure 35.1 montre l'intérêt des d ernières procédures. Le principal de celui-ci est de reculer le point de couplage des engrenages ,4 e qui rendra les contre forces ,; urrière vraiment actives plus en arrière. Ceci augmentera par ailleur le rayon montant de couplage; des engrenages 2004. Mais le gain en réduction de cognement dire ct est énorme. Si cette structwe est au surplus réalisé de façon polycamée ce qui est montré en a)., comme dans nos premières fi;E;ures, on aura là un machine très fluide. Le deuxième intérêt est, l'amener le piston, par le couplage, de préférence , d'induction post effective et rétro el fective, à travailler , mécaniqucment, d'une façon proportionnée à sa cinétique, ce qui est la difficulté majeure des m,ichines rotatives.
Dans la figure 35.2 nous montrons n a, qu'il est possible d'entrâiner l'engrenage intermédiaire menant l'engrenage qu'il est possibl~ d'entraîner l'engrenage intemaédiaire menant à l'engrenage d'induction de piston à parti d'un ergrenage deus support disposé ,igidement dans le centre de la machine. Comme l'engrenage intem édiaire sera disposé sur un ma:leton fixé au sub vilebrequin, et que la vitesse de planétarisation de celui-ci n'est pas identique à celIe d'un vilebrequin standard, ou d'un vilebrequin traniationnel, le jeu d'engrenage sera différent , et selon le cas, c'est-à-dire , se l'on le rapporchement slinky par dei rière en rétrorotation plus rapii le ou plus lente que la rotrorotation standard choisie, mon is rétrorotatif ou post rotatif.
La figure 35.3 montre que l'on peut appliquer la notion de vilebrequin cylindrique aux machines de type turbinatives. Ce vilebrequin 3C DO pourra alors avoir une ciné-lique différente de celle de la cinétique virtuelle du piston. Et ceti e cinétique sera préférablemeni, une cinétique de type slinky , surtout si le piston ne la réalise pas 'ui-même.
La figure 36 montre que l'on peut a ussi lier le piston par une couli,-se à
l'engrenage à un maneton situé sur l'engrenage intermédiaire, :>i celui-ci est calibré pour touriier un nombre équivalent par tour que le nombre des arcs du cyliadre, ou un double de ce nombre. Ceci permettra de réaliser des accélérations décélérations sans avoir à utiliser d'engrenages polyvcamés.
La figure 37 montre en a, que la stirface du piston peut être extru.dé de façon variable de telle manière de produire une répartition de l'explosion et de l'expansio;i appropriée à la cinétique.
En b) de la figure, on montre que s: l'on réaliser un orifice de chac: ue coté
du cylindre au niveau du temps mort bas du piston, on poi irra sortir les segments de conris et les remplacer par des neufs, sans avoir à ouvrir le cylindre, ces trous pouvant par suite être bouchés par des pièces cylindriques.
La figure 38 montre qu'avec un gét,métrie arrière du piston appropriée, en laquelle on a réalise une courbure intérieure de celui-ci,3 D10, cette courbure se déplacr:ra vers lavant en descente 3011, et ce faisant, viendra contrecrurer la fermeture du cylindre par le passage du bulbe formé
par la rencontre des arcs supérieurs. 3012. En conséquence, commc le montre la suite due calculs des surface relatives à ces espaces, -1-013,1'aire entre ces partie ne r,liminuera pas, comme dans les moteurs standard, mais demeurera sÅt stable, ou encore produira i,ne légère croissance. Ceci signifie que cinétiquement, on sera cès lors assuré que la machine E! st positive , même dans ses parties arrières. Ceci est de la plus h,iute importance, puisque l'on peut déduire que dans cette partie , le travail de la force orienta ionnelle arrière est commencé, et que l'on aurait tord comme le fait l'industrie, de sacrifier l'énerg ie que cet espace pourrait créer, par les méthode de support par mono induction. La capacité
La figure 39 montre qu'en couplant la notion d' intra courbure arri(bre du piston et celle de courbure de cylindre par engrenages polycamés, ( ou autre moyen (I'accélération et décélération du piston ) on obtient une cinétique qui non seulement ne produit Plus de compression après le tenips morts , conune c'est le cas, d ans les machines de l'art antériieur, ou encore un maintient de la compression, comme c'est le cas dans notre figure précédente, rnais une augmentation graduelle et significative du volume >upérieur à l'augmentation de wolume de la partie avant, pour toute la première partie de l'expa.ns on.
Ceci montre hors de tout doute que les mécaniques que nous avomi proposé au cours des années et dans la présente invention ont leu - corroboration cinétique , et pitr conséquent que les notion de thermodynamique relatives au volume et à la production de trav.il s'appliquent ici favorablement.
Description détaillé des figures La figure 1 montre quelques exempl -.s de différences entre la thern iodynamique théorique et la thermodynamique pratique. Dans le premier en a) on voit qu'alors que théoriquement, des parties compressives produisant le même vc lume de compression devraierit réaliser la même énergie thermodynamique, dans la pratique cela est différent. En effet, su:ivant un tel énoncé, la compression d'un piston plus petit, : nu par un vilebrequin et un bieale plus longue 1 , devrait, toujours si le volume compressé est identique, donner le même résultat thermodynamique, la même efficience énergétique que si l'on avait construit la compression avec le recours à un plus gros piston relié à un vilebrequin pa - une bielle à un vilebrequin doiit le rayon de tournage est plus court 2. Or dans la pratique, si la co,npression est réalisée par un paus gros piston, la surface de piston et de cylindre 3 offert à l'exp:osion est beaucoup plus grandc et l'échange de chaleur directe entre l'explosion et le matériau est t eaucoup plus important que si le piston est plus petit. En conséquence, on a là un premier exe mple qui montre que le rendernent énergétique final des deux moteurs de volume de compression identique peut être fort différent dans la pratique. En 3 de la figure, on retrouve un moteur avec i les dimensions plus calibrées. Par ailleurs, l'allongement excessif d'un ensemble piston cylind re tel que présenté en un dilue l'expansion 5.
En b de la même figure, on a un auti e exemple de thermodynamique différente, résultant de volume de compression et d'allumal ;e identique, mais avec le recoi.irs à des parties compressives différentes 7 par rapport à un moteu r standard 8. Dans un deuxième exemple, un volume donné
de compression et d'expansion est r:alisé par la complicité de deux pistons, insérés, tel que l'industrie en a déjà produit, de façon opposé dans un même cylinclre. Encore là, si le rendement théorique des deux moteurs devrait ~`,tre identique, le rendement pr,itique sera différent, puisque la tête inerte du cylindre emmagasine plus d'énergie calorifique que 1a tête d'un piston actif.
En c de la même figure, on peut pre !idre en considération un troisir'.:me exemple de différence entre la théorie et la pratique. En effet, D~:.ns un troisième exemple, le pi ton et le cylindre ne sont pas de forme cylindrique 9, comme c'est k cas dans un moteur conventiannel, conventionnel, mais plutôt de forme carrée 10 . Alors qu e si théoriquement, on peut di:, e que la pression est égale sur la surfaces des pistons et cylindres, i lu'elle qu'en soient les formes., dans la pratique, on connaît aujourd'hui le phénomène de mini empête 11 que produit l'explosion, de même que le fait que l'explosion a une origine et une diffi ision qui sont progressives. En.
conséquence, les encoignures 12 d'un piston carré sont plus tardi-7ement comblées par la pression, et les pistons et cylindre parfaitement ronds semblent être les plus économique façon de réa:':iser l'effort thermodynamique.
La figure 1 d rappelle de cas de ceri:ains moteurs construits en p!açant la partie du cylindre relative à l'allumage au coté du pisù in et non au dessus 13 . Encori: là, on constatera des différences notables entre la théorie de base et la pratique. En dépil d'une compression et d'une pression égale, et en comparaison a~.~ec un moteur à piston et cylin,tre plus conventionnel, 14 ,les deux parties opposées de tête du c rlindre de coté enunagasineroiit une plus grande quantité de chaleur qui ne sera par conséquent pas réalisée en force de descent: 2.
En e de ia même figure, on montre <iuelques exemples de mécanisations différentes de parties compressives identiques. On a tout ~ l'abord un moteur mu par un i+ilebrequin et une bielle standard 15, puis par une vilebrequin standari l couplé à une une bielle à coulisses 14 , et un moteur mu par un étagement de vilebrequins supenosés 17 . Bien que possédant des parties compressives identiques, sur certains aspects mé* niques, ces moteurs seront foi-t différents. Par exemples, les deux derniers n'auront pas de point nort bas, et n'auront par de df'.perdition angulaire piston bielle en cours de descente. Par ailleurs, le niveau de frottement des piècr;;s nécessaire à assurer le mouvement strictement rectiligne d;: la bielle à coulisse, de même ilue le frottement réalisé par le déplacement , aussi rectiligne d u de la pièce de joint l'unissant au vilebrequin produiront plus de friction, et par conséquent de chalet r non seulement irrécupérable, mais aussi à refroidir, qu'au total, les rendement des deux moteu -s seront, en pratique fort diffé rents, et dépendront des méthodes utilisées pour en calculer ] .- rendement fina.l. La même wnstatation s'applique pour le moteur à double vilebrequins superf osés. Les gains réalisés par l'aiinulation du temps mort bas, et l'annulation des pertes par angulatio ri de bielle, seront contrebalanc;ées par l'accélération décélération plus directe de la bielle, en mouvement strictement rectiligne, de même que par la friction entraînée par les engrenages nécessaire à entraîner le mouv cment du vilebrequin supérieur.
La figure 2 rappelle , le plus brièven ient possibles, les principaux d,E:fauts des moteurs rotatifs, au niveau thermodynamique, de même lue les apports que nous avon., pu contribuer à réaliser en la matière. Ce bref regard nous permettra de constater les problèmes. restants, et d'identifier comment ceux-ci pourront être réso'us par la présente solution te(;hnique.
Ces défauts sont de trois ordres , d esign , cinétique et mécanique ;
a) le design déficient de la fornr e des chambres à combustion llors de l'explosion ou des explosions 18 , un manque d'efficience post rotative rotati(inelle 22 b) le caractère carréoide du pis on 19 c) la longueur excessive des panies compressives offertes à l'explosion 20-d) le défaut de la cinétique par:.iculière de la partie arrière du ;:)iston lors de la descente 21 e) le temps mort long de la mac hine 20 f) le déséquilibre arrière de la )oussée sur la partie compress:ive en cours de descente 23 g) le déséquilibre avant de la p(ussée sur la partie compressivi en cours de descente 24 h) le manque d'amplitude de la poussée avant, due au manque; de longueur du rayon de tourr,age du piston 25 i) une mécanique trop lourde ( excentrique ) 26 j) une segmentation trop lourd~; 27 Rappelons que ces défauts en entrainent d'autres en cascade, comine par exemple la nécessiter d'ajouter des systèmes de refroidissusment, la grande friction des se: gments de coin et de coté, et ainsi de suite. La correction des déf ,its de base entraînera celle des défauts en cascade qui en découlent.
La figure 3 monte quel est l'intérêt i le reproportionaliser la pousséc sur le piston La figure 4 rappelle principalement ieux mécaniques par lesquelle:: nous avons réaliser une meilleure répartition de la poussé su r la pale, ceci ayant pour résultat de concentrer plus de puissance 32 au centre et au tiers aN ant du piston, et non pas stricti;ment sur la partie extérieure, ce qui permet finalement de mieux c ccepter la poussée de l'explosiian , qui se développe prioritairement à cet endroit. On pei it résumer nos travaux antérieuis en disant que nous avons montré que l'on pouvait, et ce de pl isieurs manières mécaniques, raieux répartie la poussée sur le piston, en neutralisant partiellement ou totalement les contre force; ï
arrières sur le piston. Dans les moteurs Wankel, mécanisés par moi o induction, on retrouve une importante contre force sur pa partie arrière du piston 28 , et une fi rce levier excessive vers l'avfint 31.
Le centre de gravité de ces deux forces opposées est très a-, s.ncé , et ne correspond pas au centre de gravité de l'explosion, 32, et ce en dépit du fai que les ingénieurs l'ait déplac: --vers l'avant , par la bougie postérieure. . Nous avons réussi à riùnimiser les contre forces arrii!res dans ces machines Le prix à
payer de cette neutralisation aura éto une diminution de la puissance levier avant de la machine. La poussées totale sera donc demeurée la même, mais on aura soustrait à la machine un important quantum de friction, parce que le ceiitre de gravité de réceptivité
nrr.écanique correspond mieux à
celui pour lequel on peut détenminei une explosion. 32 Le nouvellr, liquidité
des machines aura permis de supporter le piston par un simple maneton, ce qui aura eii pour effet de soustraire non seulement davantage de friction, ma s aussi une bonne partie de la pression d'huile nécessaire à la bonne lubrification de celui-ci. Ceci aura à son tour permis de diminuer la pression des segments racleurs de coté. C'est d'ailleurs ce, lue nous avons aussi réussi à produire au niveau cinétique , par les machine turbinatives. En effe t, au lieu , par la nécessité de I aire basculer orientationnellement le piston au de] à de son centre dans les machiiie standard, on réalisa la contradixction du le cylindre, et le c.:ntre de gravité de celui-ci se rctrouve directement en face de celui du piston, et par conséquent ne- subit pas cette addition, ou cctte déportation que subissent les machines conventionneIIes. Ce c entre de gravité , identique po i ir le piston et le cylindre , est plus arrière, et adéquat à l'explosior. . Dans le moteur rotatifs standa.rd, plus on se déplace vers l'avant du piston, plus on produit dc puissance mécanique. Par aillt:urs, plus on s'éloigne du centre de gravité de l'explosion. Pour une rnême puissance générale totale, et pour un même volume d'expansion, nous pensons qu'il est ~ie loin préférable de reculer le centre de gravité , et de la placer exactement la ou on peut pr:)duiire une post rotation positionnelle pour deux rotations orientationnelle, soit , environ à 58 :, du centre du piston, endroit ir,léal pour réaliser 1,explosion.
Parmi ces mécaniques , on retrouve la mécanique par engrenage cei rceau à
chaûie, 34, et celle par engrenages polycamés 35.
La figure 4.1 rappelle les principales manière par lesquelles nous ai, ons jusqu'à présent réussi à
modifier avantageusement les forme-- de parties compressives, soit par engrenage polycamés, en a , par superposition de vilebrequin et d'induction en b, par segmentî:tion oscillante en c, et par poly piston rotatif, conventionnel en d , l iar poly turbine.
En a de la présente figure, nous ral pelons la notion de mécaniqu,:s par engrenages polycamés 36, 38, 39, qu'il était possible de réE.Gser des accélérations décélérations du caractère rétro rotation orientationnel du piston en :-éalisant la machine avec des engrenages de support et d'induction dits engrenages polycarlÅques. Ces engrenages ont la caractéristique de ne pas être ronds, mais plutôt de réaliser des fig ares simila.ires à celles des figui-es de base des moteurs rotatifs. Lorsque les machines rotat: ves sont réalisées avec de tels types d'engrenages, on remarque que la distance séparant 1i ~ point de couplage du le point de couplage des engrenages du centre de la machine est , contraireriient à ce qui se passe lorsque la machine est réalisé avec des engrenages standard, variable. Par ;onséquent, on peut disposer le-s engrenages de telle manière à
ce que le point de couplage, au ten:ps mort haut, soit le plus près possible du centre de la machine. Ce faisant, on accentuera : e pivotement de la pointe inférieure, et on adoucira la courbure du cylindre à cet endroit. i:et adoucissement permettra, pour un même cylindre, de modifier les rapports de grosseur de piston et vilebrequin, en rapei issant le piston et en accroissant le vilebrequin, En conséquence, on,.iiminuera, pour une même cyli:ldre, la surface d'exposition à la chaleur du piston et du cylindre lor5 de l'explosion, ce qui amélior,:ra le rendement de la machine On pourra aussi disposer les engrenages en sens inverse, et au contraire produire un plus grand déplacement latéral de la partie superieure du piston lors du temps mort haut, ce qui adoucira la partie supérieure du cylindre, et per =ttra de réaliser une tête de p iston plus arrondie.
En b de la présente figure , on retro,ive la méthode par superpositi.:)n de vilebrequins. Dans la méthode par superposition de vileba equins, nous avons montré qu"il était possible de soutenir un piston en le supportant par un excei trique rotativement monté sur un premier vilebrequin. Dans le premier cas de figure, pour les mot mrs rétrorotatif et rotatifs, on ;3eut faire passer le vilebrequin étagé à l'intérieur du vilebrequin mmiître 40 et réduire les arcs de d(;scente dans les moteurs rotatifs, et les augmenter dans les moteurs rg arorotatifs.
Inversement, si l'on fait passer les v ilebrequins maîtres vers l'extér-ieur, post rotativement par rapport aux vilebrequins maître 42, Dn augmente les bulbes des arc;s des moteurs post rotatifs, et on augment la pénétration dans le e: icoignures des pointes de piston dans les moteurs rétro rotatifs.
En c de la présente figure, nous rap:>elons que 1'utilisation de segn=tents osciliants permet aussi de parfaire le dessin du cylindre en ami iindrissant les angles de rencontres des arcs formant le cylindre 43 , et en grossissant les bulbes de ( eux-ci 44 .
En d) de la présente figure, nous ra ppelons la méthode par poly-p;.ston rotatif et conventionnel, qui montre que dans les moteur rots,tifs, on peut créer sur l'excentiique une seconde portée et y rattacher des pistons conventionels, Préférablement dont le rayon de tournage sera supérieur à
celui de l'excentrique, et cela en vu d'y joindre, pour chaque coté du piston, un ensemble de bielle et piston 45 , chacun de ces pistons étant installé dans un cylindre iiisposé
dans chacun des cotés du piston.
En e) de la présente figure, nous ra ?pelons la notion de poly turbine 46, pour lesquelles nous avons montré que ce type de maclù ies possédait un cylindre dont la caractéristique était d'être de type rotative . Ceci veut die que la 4 ourbure des cylindres de ce type de machines se situait entre celles des machines post rotatives, l,lus bombées, et celle des macl ines rétrorotatives plus aiguë.
Nous avons aussi montrer que ces r,iachines étaient des machines cle deuxième niveau, c'est-à-dire que lors de la conduite mécanique de la structure palique de cellei s-ci, par poly induction, l'on devait avoir recours à deux ensemb: es de vîlebrequins superposés. Nous avons par la suite montré
que l'on pouvait faire i'économie df ces mécaniques plus compliqt:.ées, en montrant que l'on pouvait allonger l'une des mécaniqi: es d'une élément nommé bielle de géométrie, ou encore, se servir d'une came central sur lequel les tiges soutenant les penture!, de la structure palique seront appuyées, Rappelons que ces mécaniques com :)ortent des difficultés, que la présente invention entend surmonter. Les deux premières mécaniques comprennent les mêmcs diilicultés en ce que ce qui est amélioré d'une part entraîne des lacunes d'autre part. la mécanique par superposition de vilebrequin est sur ce point éloqueni e. En effet, lorsque les vilebrecluin subsidiaires et maîtres sont tous deux entraînées post rotativem.;nt, les bulbes des ares est allcingé. Par ailleurs le temps mort haut est aussi allongé, pendant le pa..~sage a l'intérieur du vilebrequ.in subsidiaire. Inversement, lorsque le vilebrequin subsidiaire pa;se sur l'intérieur lors de la descente, il u a addition de vilebrequins au point mort haut. La courbure du cylindre, au bas, pendant ce point mort haut est donc très aiguë, et pour l'affaiblir il faut grossir le piston par rappcirt aux vilebrequins.
La figure 4.2 réitère que l'une des 4 onfiguration les plus intéressa[ttes, déjà réalisé par engrenage polycamés, consiste à retarder la pc inte avant du piston en cour cle descente 99, ce qui a pour effet d'aplanir la courbe de la partie arrière de celui-ci 101 , et de l:omber celle de la partie inférieure 102 . Ceci se réalisant dei x fois par tour, on aura un abai issement la partie arrière de la chambre à combustion, et une augrr entation de sa partie avant , en laquelle on pourra par conséquent disposer la bougie 104. Ces courbures pourront être a:-compagnées de courbure du piston complémentaire, bombées ve,s l'arrière 105, et incurvée vers l'intérieur 106, vers l'avant. .
La figure montre un exemple de co trôle intenrionnel des accélériition décélération du piston dans certains de ses phases. Ici par exem] de, on provoque intentionellennent , à
la mi descente, une décélération relative du piston par r Lpport à sont maneton. 101. G,sci entraînera un applatissement de la courbure de la trajectoire 102 le la partie arrière du piston, el: par conséquent de la courbure arrière du cylindre lors du temps mürt haut. 103 les conséquence sur la troisième parite du pisont et sur la partie du cylindre y étant rc lative, sont aussi intéressant. En effet, cette partie du piston entame la compression. La courburc de la cinétique du piston à cet endroit sortira de sa trajectoire conventionnel, et par conséquent le cylindre sera à cet endroit , plu s bombé
104. La même procédure se produira un demi tour plus loin, ce qui permettra d'élablir au haut , la courbure de la chambre de combustion, qui aura ét1s avantagé de deux manières, en ce qu'elle aura été aplanie vers l'arrière, et bombée 105 vers 1 avant. tenant compte que le tritvail post rotatif rotationnel du piston vaut pour trente trois pour ef nt de la dynamique générale cle ce type de machine, on aura donc la une courbure qui permettra Je réaliser une explosion entrs1an.t à la fois un mouvement positionnel et un mouvement orient ttionnel. De plus, ce type de cplindre limitera pour une période appréciable le dégagement de chalei r dans cette partie du cylindre, ceci limitant les parties offerte au réchauffement inopportun. La têl e du piston 107 pourra marier, non après l'explosion, comme dans le machines standard, mais au i noment de l'explosion la courbure du cylindre 106. A devant, elle pourra être surbaissée 108 sans entraîner de perte de compression puisque la partie antérieure à été rétrécie. En conséquence, la cl ambre d'allumage de ce type cl.e moteur sera idéale.
La figure 4.2.2 montre l'évolution d es volumes lors de procédure l:-ar accélération décélération orientationnelle. On voit que le vok me arrière augmente à mesure que l'évolution du cylindre se fait. Ceci se traduit , mécaniquemeni: par un recul progressif des cantre forces arrière, obtenu par polycamation ou autre moyen de dé;élération accélération. Le moteur est par conséquent sans perte volumétrique. On remarquera que la forme avant du piston dcit être surbaissé pour permettre son entré dans la phase a.rcélérative. La perte volumétrique se produit non plus en début d'expansion, mais, conime da ns n moteur à piston en fin d'etpansion.
La figure 5 rappelle une notion de tase relative aux machines rotalives et qui consiste à constater que tout point d'un piston d'une rm .chine rotative, autre qu'une m,ichine à
niouvement de piston translationnel, a une cinétique différente propre au cadran dans Iequel il se trouve, et propre à la distance du centre à laquelle se troave ce point. En effet, tel que l'on peut le constater la figure, plus ce point est situé près du centrc 47, plus la courbure de sa cinétique est prononcée 48, plus l'amplitude relative de la différence entre ses points limites intériei<<re et extérieur est forte.
Inversement, plus le point choisi esi: situé en vers l'extérieur 49, plus la courbure réalisée par ce point lors d'une circonvolution du 1 noteur sera douce 50. Par aill~i;urs, la cinétique d'un point varie aussi en tenant compte du ca('ran dans lequel il est positionrc. Un point situé dur une ligne unissant le centre du piston et l'une des extrémités des pointes du piston décria une forme similaire et dans le même axe que celle du c;Aindre, et sera comme précéde nment, plus aiguë ou plus douce, selon que ce point est respectivement situé plus près du centre, ou plus près de la surface extérieures. 52, 54 Par ailleurs un C point situé sur une ligne pass,înt par le centre du piston et le centre de l'un des cotés, décrira au3si une fonne sinvlaire au cyl':idre, mais cette fois ci dans une angle contraire à celui-ci. Finalement, un point situé entre ces deux positions décrira aussi une forme similaire, plus ou moins aigi: ë, mais cette fois ci de façon oblique aux deux première positions.
Ces observations permettent de dia e que plus la longueur relative du piston d'une machine rotative est faible par rapport à sa longueui de vilebrequin, plus, comme nous venons de le voir, la courbures du cylindre est exagérée et devient inadéquate, mais aussi, moins les forces sur la partie arrière de celui-ci sont importante, et plus cette partie est active l'ositivement, ce qui ma.ximise la puissance de la machine. On constate donc que n'eut été de la colarbure non appropriée du cylindre , la thernwdynamique de 1 a machine s'en serai trouvée ainéliorée, puisque pour un même volume de compression, on aurait utilisé un piston moindre activ;~ par un vilebrequin plus grand, et on aurait par conséquent obtenu. non seulement un effort positif sur la partie arrière de la pale, mais aussi, un abaissement de la s arface d'exposition à l'explosic)n du piston et du cylindre, réduisant ainsi pour autant l'échan ge thermique entre ces parties La figure 6 montre en a, une pren iière déduction géométrique pc)uvant découler des derniers énoncés, selon laquelle on pourrai,, construire deux ensembles de vilebrequin et pistons réalisant des cylindres de grosseur approxn nativement similaire56, mais itvec des courbures pour l'une plus douce 55 , et pour l'autre plu s aiguë 57, en réalisant le pre mier ensemble avec un vilebrequin plus petit et un piston plus gros, et le second avec wii vilebrequin plus gros et une piston plus petit.
En b de la figure, on suppose que ces vilebrequins possèdent le i,iême axe central et que le piston réalisant la courbure la plus doucE- sera extrudé en son centre , dc telle manière d'y permettre l'inclusion du piston 59 réalisant la courbature la plus aiguë. Or.i suppose aussi que chaque ensemble vilebrequin excentrique piston possédera son propre einsemble d'engrenage de support et d'induction, chacun de ces ensemblE s devant être proportionné à chacun des excentrîques et pistons. On appellera le piston réalis,ânt la courbature du cylindre , le piston de courbature, et le piston réalisant l'effort de compress: on, le caeur piston, pu piston die compression.
La figure 7 montre la dynamique du mouvement de ces pièces pou:i- un tour. On y voit que les accélérations décélération des pistors sont différentes et que le piston du centre peut produire une impulsion plus grande 61 , par rapport 63 , alors que le piston extéieur permet de conserver une courbature douce 60.
La figure 8 montre que pour obtenn l'efficacité du couplage des pistons de type rotatifs, il faut garder étanche les parties situées eni:re les pistons. Ici, on utilise urie ensemble de double coulisses 66, qui pourra garder lié les piston: pour quelque différence de ciriétique que ceux-ci produiront.
La figure 9 monte que l'on pourrait se servir du piston intérieur co mme élément de conduite 59 de pistons conventionnels, ce qui pc rmettrait de soustraire les biellr,s des ensemble à poly pistons 64, pour lesquels on ne garderait ,r our chacun, qu'une coulisse dE,!
raccordement. .
La figure 10 montre qu'il est possib ie de soustraire les différence cl'accélération décélération latérales des deux pistons sans en cl-anger les différence de dépiace.ment vertical, en réaGsant un ou les deux ensembles avec le recours , i des engrenages polycamés 72, de telle manière que les accélération et décélération des deu c pistons soient coordonnés.
La figure 11 montre qu'il n'est pas ~iécessaire de réaliser pour les (;leux pistons deux commandes différentes. En effet, on pourra obsf -rver que l'un des pistons se déplace dans une relation transiationnelle par rapport à l'autrc. On pourra par conséquent ccmmander l'un des pistons en le soumettant à l'autre. L'un ou l'autr . des deux pistons pourra être le piston qui réalisera la mécanique d'entrainement de base, et c'est pourquoi nous le nomu~nerons le piston tracteur. Il sera donc par conséquent commandé dc façon semi indépendante, ou e-ncore, c'était le piston de courbature qui réalisant l'orientatioil de I'ensemble piston. En inslallera sur le cas, le maneton de support du piston coeur était situé pdus haut, de telle manière de réaliser une plus forte amplitude de celui-ci. Dans cette version, le piston de courbature est le pisto;z tracteur orientationnel, et le piston de compression est le piston tracté.
On peut produire l'inversion de cetr.e situation, en réalisant tout d'abord l'induction du piston coeur, qui sera, alors simultanémenrn le piston tracteur. Des lors l'on i;nstatlera , cette fois ci dans une rayon plus court, un second m.neton 68. 70 l'excentrique de base du piston tracteur, dont le rayon sera plus court, de telle mani::re que le piston de courbature: réalise une courbature plus douce.
La figure part de l'idée précédemr ient énoncée selon laquelle, le,raractère orientationnel des parties compressives peut plutôt êt-e réalisé sur le corur piston, on pourra constater que l'on pourra dès lors morceler sans diffic ulté le piston de courbature en pistons de courbature unitaires.
Une observation permettra de con; tater que les pointes de piston réalisent ,1'une par rapport à
l'autre 67, un mouvement translationne168. On pourra contrôler les piston en reliant ces pointes par des petits vilebrequins entraûnié,; rotativement par des engrena ;es, dont un exemple est montré
en b. 69, 70, 71.
Par ailleurs, en c de la figure, on voii: que l'on peut aussi supposer ilue le coeur piston et le piston de courbature auront le même centrc: 800. Dès lors on pourra relier à un vilebrequin 801 subsidiaire monté sur le coeur pistort au piston de courbature oscïllant par le recours à une bietle 802, ou encore un came à une couli:-se. Ce vilebrequin subsidiaire et ce came pourront être activé
par un engrenage d'induction leur 61 ant fixé et un engrenage de support étant fixé l'excentrique, ou encore à un engrenage polycamé fixé rigidement au flanc du nxiteur. Comme le piston de courbature et le coeur piston on un centre commun, on pourra les iiisérer un à
l'autre par des élément supplémentaires en forme d'arc correspondant au oscillations, ce qui est montré en c).
La figure 12.1 montre qu'il est possible de morceler le piston courlmture en plusieurs pistons de courbatures unitaires 73 , ce qui pet mettra de simplifier les élémenis assurant l'étanchéité entre les pistons De cette façon on pourra co ltrôler indépendamment chacwne des extrémités des pistons.
On pourra dès lors modifier latérale+nent les paramètres de réalisat;.on de la courbature des pistons de courbature. Ici, les pistons sont contrôlés par un membre principal nwnté
planétairement 76.
Chacun est inséré de façon coulissai ite dans un pièce cylindrique comportant un coulisse, 64, 75, cette pièce étant elle même inséré d.: façon pivotant ou oscillatoire dans chaque extrémité du piston.
La figure 12.2 montre qu'il est poss ible de soustraire les partie cylindres oscillante et d'insérer d'une façon strictement coulissante les pistons unitaires de courbalure si l'on contrôle les accélérations décélération du memb re de soutient par des engrenal=;es polycamés 78 .
La figure 13.1 montre les principai.x moyens de liaison des piston.s unitaires de courbature et du coeur piston pistons pourront dès bors être simplifié. Les trois priricipales réalisations de cette procédure seront les suivantes. Dai is un premier cas, on liera chacun de ces pistons étant liés au piston par une pièces oscillatoire cc rnprenant une coulisse 80. Datis un second cas, chacun de ces pistons étant au haut inséré dans un -. coulisse unique du piston de compression 83, et relié au bas, au vilebrequin par une seconde cou'isse 83. Dans un troisième cas, on remplacera l'association vilebrequin coulisse, par un excentrique et une tige 87. Par ailleurs, les vilebrequin ou came , ou partie coulissantes de rattachement. 86 pourront être subsidiaires, 81, central, 82, La figure 13.2 montre que des pist,)ns de courbature pivotant poi:iront être reliés au même axe de centre de la machine. Il produiront ;ilors des accélérations décélérations latérales. Qui atnélioreront la courbure du cylindre, en réduim -t la surface d'exposition à l'ex.plosion et en l'augmentant en cours de descente.
La figure 13.3 montre en a) que le ~ accélérations mécaniques pro 3uites par bielles ne sont pas dans le mênze cadran que les accélé rations décélérations naturelle:, du piston .
La figure 13 .4 montre que dans la mesure ou les pointes des pistc:,ns de courbatures n'accélèrent et ne décélèrent pas de façon correipondante dans le temps, mais, plutôt partiellement successivement, on peut , en les marcelant, les réaliser de façon enbouvetée les uns aux autres.
La figure montre en b que si l'on veirt réaliser des accélérations déi;élérati:ons mécaniques , c'est à
dire sans engrenages polycamé, et sans non plus morceler le pLskon, on doit, tel que montré en b), réaliser une induction orientatiorinelle tranversale au système, d:-, telle manière que ces accélératioions décélérations soient iians les mêms cadranc que ceux du piston.
La figure 14 montre que lors de l'utilisation d'excentrique, ceux-ci peuvent aussi être disposés de façon unitaire et en périphérie, 91, c u encore de façon dynamique,;.t centrale 96. En ce cas, on verra plus loin que plusieurs dynamiques peuvent être utilisées. Finalement, ces came s peuvent être rigidement fixées au contés de 1.a machine 98. En tenant compte des accélération et décélération du piston, de l'angle dc tiges de pistons de courbature:, 73 on réaliser la forme des cames en fonction de celle de cylind res que l'on veut obtenir.
La figure 15 montre en a, que par ,ertaine mécaniques déjà comr.i ientés par nous-mêmes,. on réussit à bomber le cylindre soit da is ces bulbes, 101 soit dans ce: s ares 102, , alors que dans les cylindres des machines de type polyi;urbine 103 , on parvenait à réï.liser des cylindres de type bi rotatifs, réalisant successivement ce> deux augmentations. 104, tel que montré
en e niais dans les mécaniques par poly pistons. En effõt. Nous avons remarqué que t,)utes et chacune de ces mécaniques réalisent le même nomt re de fluctuations, ou de correction de cylindre par tour que eelui; des ares. En conséquence, bieri que les renflement apportés d.ans les machines ne peuvent l'être que sous un seul angle à la foi s. A titre d'exemple, lors de la réalisation par engrenage polyeamés, si l'on dispose l'engrenage dans le sens du piston, on .:idoucit la courbure de rencontre des ares du cylindre, mais on n'am:!liore pas l'effet descendant de départ.
Inversement, lorsqu'on dispose l'engrenage dans le sens co: itraire su pistons, on améliore :'effet descendant, mais la courbure de rencontre des ares devi ent trop prononcée. Des résultats similaires se présentent lors de la réalisation de machines par éti igements de vilebrequins. Lor:; que , par exemple pour les machines post rotatives, les vilebrecl uins sont superposés en ha.uteuir lors du point mort haut, et que le vilebrequin subsidiaire passe k l'intérieur lors de la descente, la compression est plus haute, mais la courbure de rencontre des wcs très prononcée. Inversemer~t, lorsque le vilebrequin subsidiaire passe ver l'extérieur et ~ lue l'addition proprement dite des vilebrequin se fait latéralement rencontre des ares de c ylindre est douce, mais l'expaa-sion subit des forces contraires sur les deux vilebrequin.
Par ailleurs il est ici important de ra ppeler le cylindre des poly turtines, qui, réalisant une courbure que nous avons précédemment défiirie comme étant de type bi rot,ative, réussit à réaliser des effets positifs , simultanément au haut et am bas du cylindre . Malheurew,ement , la surface des pistons composant la structure palique de c es machines est trop courte, el: par conséquent le volume de compression est trop petit La figure 16 rappelle que si l'on rei!;arde attenti:vement le cylindre d'un moteur rotatifs, on se rend compte que d'une part, sa courburE supérieure pourra être amélio;-é, et adoucie 109. Non seulement ceci permettrait-i:l de réaliser meilleur taux de compression, mais aussi, cela permettrait de rapprocher, surtout sur la face girrière, le design de la tête du piston de celui du cylindre pendant l'explosion, ce qui éviterai les double cylindre habituel, peu compatibles avec une correcte explosion.
Par ailleurs, si l'on observe le cylindce standard, on se rend compte qu'il est généralement d'un rapport de hauteur de sept neuvièrnt, ce qui produit énormément d: e perte volumétrique. Si la courbure du cylindre est augmentée, cela signifiera que le piston eritrera plus profondément en elle, et que par conséquent les parties art ières du piston réaliseront monris de contre effets, et las parties avant un meilleur effet. 108 La figure 17 rappelles les notion de courbures de premier deuxième et troisième degré Cette notion est plus facile à comprendre i ;n utilisant la notion de poly iniluction. Si on fait tourner planétairement un premier engrenagic et qu'on observe pendant un tour de rotation, par exemple une dent de celui-ci, on se rendra ci -mpte que celle-ci décrit une trajectoire , similaire, selon les rapports d'engrenage choisis, à la courbure d'une machine rotative, de base.
C'est ce que l'on peut observer en a ) Par ailleurs, si sur cette pièce, on pc uvait installer un second sous=
rüebrequin entraîné
planétairement, et qu'on observait 11 cinétique de son maneton, on.
s'apercevrait, selon le rapport de tournage choisi, que par exempk on pourrait adoucir la forme c'u cylindre en faisant ressorti le vilebrequin pour la période de renccntre des ares, ce qui aura pour effet de les adoucir, ce qui est montré en b.
Par ailleurs, on pourrait vouloir réa] iser deux augmentation succes;;ives de volume, soit une dans les rencontres des arc, et une dans l.:s bulbes. Il nous faudrait alors réaliser une troisième correction, ce qui est montré en c. I tien entendu , de telle manipul:rtions entraûieraient des superposition de vilebrequin et sera:ent irréalisables, industrieliement. Ces exemples n'avaient pour objet que de bien montrer le ca -ncept de type de cylindre auxquels nous pouvons tendre. La flexibilité des cames que nous avon:., montré plus haut permettra de réaliser ces figures complexes avec une grande simplicité.
La figure montre que l'on peut réaliser en complicité un piston coE;ur de courbure de premier degré, et des pistons unitaires de cc urbure de deuxième degrés. Pùur ce faire, nous rappellerons que nous avons déjà montré qu'il él ait possible de soutenir les per.itures de structure palique de poly turbine,, celle machine ayant uae courbure de second degré, par des vilebrequin subsidiaires comportant une addition géométriq je , ces vilebrequin étant mont:ée planétairement et rétrorotativement aux manetons d'i n vilebrequin central. Ici, ces 1,ilebrequins seront réalisé de façon confondu avec les pistons de courbature, et réaliseront par conséquent les courbature désirés.
Or en analysant , idéalement les coi itraintes que devraient subir la courbure du cylindre pour que la niachine atteigne son degré de perf >rn'ance maximal, on s'aperçoit que l'augmentation de l'élévation du cylindre doit corresp )ndre à certaines prérogatives, alors que son élargissement doit correspondre à d'autres intentions Ce qui découle de cette affirn-ation revient à dire qu'ü est non seulement possible, mais fort certaia que les exagération verticales du cylindre ne doivent pas être identique à augmentations latérales de celui-ci.
Pour donner ici une approximation disons que, idéalement la rencontre des arcs supérieurs du cylindre devrait refléter un bon pasiage de la tête du piston , de tolle manière de concentrer la compression au centre, et d'éviter l.;s double, voir les triples pochc7ss de compression de la chambre lors de l'allumage, de mêi (ie qu'elle devrait permettre de! conserver , pour un certain temps la compression égale, de tellc manière de permettre un aIluriiage dépassant brièvement le temps mort de la machine.
Par ailleurs, on sait que l'une des grandes difficultés des moteurs rXatifs consiste en ce que, avec une pression supposément égale sw toute la pale, on doit entraîne.r une inflexion de celle ci vers l'avant correspondant à 60 degrés s ur cent vingt. Pour réaliser ceî:i, la pales devrait être un peu plus longueur sur l'un des cotés, et cette longueur devrait être déti:rminée de telle manière de ne pas , inversement entra?ner de surcl,arge rotationelle orientationne lle avant. L'extension latérale du cylindre ne suit donc pas les mêrne contraintes que l'extension -rersatile.
La figure 18.1 montre une autre dy iamique possible de came de :)oussé sur les tiges des piston de courbature unitaire. Ici, le came 302 à le même nombre de cotés que celui du piston, mais réalise un mouvement planétaire en sens inverse qui produit quatrc; faces consécutives 303 .
En b de la figure, on retrouve un ca me fixe mais cette fois-ci de fo, rme tri rotative, et qui par conséquent permettra de réalise la l-Drme trirotative anticipé.
On peut déduire des précédentes fil:;ure que si l'on entend modifiei- les courbures des cylindre successivement dans les rencontre (,l'arc, et dans les bulbes, on deira multiplier le nombre de corrections. Par conséquent, pour iane courbure de deux arcs, on devra réaliser quatre corrections, par conséquent réalise r un courbure hybride entre en courbure en deux cotés et une courbure en quatre cotés. C'est ce ~ lue nous appelons une courbure tri rotataive.
La figure 18.3 montre successivemont ces trois type de courbure. En a) on retrouve ;a courbure mono rotative standard. En b) on i ctrouve la courbure de type bi rotative. En c) de la figure on retrouve la courbure de type tri rot; itive, celle-ci étant dessinée de façon exagérée bien sur.
La figure 18.4 montre d'autres exe: nple de came permettant d'attoindre ces types de courbure. En a) le came dynamique à sens inversõ est maintenant à double prot abérance, alors que le came à
même sens est de forme quasi trian ;ulaire.
En 18 5, on voit que l'on peut dess iner le came comme tant lui-m+;:me de forme tri rotative, en tenant compte, comme mentionné 1 irécédemment des accélération: et décélérations , de même que des angulation des tiges des pistom de courbature unitaire. On oh:iendra alors avec un came fixe, des figures de cylindre complexes.
La figure 19 montre en a) que l'oi i peut aussi réaliser des courbures de troisième degré par engrenages polycamé. Ici, tout en (!emeurant des engrena de rappi)rt de trois sur deux, la polycamation elle aura un rapport <:e quatre sur six, ce qui entraîn.-ra quatre accélérations décélérations par tour., ce qui est l' effet recherché.
En b) la figure montre que l'on pet: t obtenir une figure de troisième degré
de façon simplifiée en ajoutant une poly induction subsidia ce à un élément lui même plan'.:taire, par conséquent l.ui même de second degré.
La figure 20 montre que des machin;s de type rétrorotatives en a), et de type poly turbines en b) peuvent aussi être réalisé avec le :ecours à des doubles courbures obtenus par le jumelage de coeur piston et de pistons de courbai ure unitaires. Dans les deux cas, ceci augmentera leur compression, ce qui est ici l'un des ~Cffets recherchés.
Dans la figure 21 nous montrons qt,e l'amélioration des formes de cylindre a des effets positifs simiiaires pour les niachines turbinai ives. En effet, premiërement, :la meilleure figure de la chambre d'explosion produit les même effet~ . Par ailleurs, l'allongement dui piston par la sortie du piston de courbature produit un effet de tcurnage supplémentaire sur le cylindre en déplaçant positivement son centre de gravité , et par conséquent le couple qu'il dégagera autour de l'axe central.400 Dans la figure 22.1 , on pourra déc..mter chacune des méthodes de support plus haut mentionnées pour les moteurs twrbinatifs. Tout d abord dans les moteurs à cinétique Clokwise, on pourra munir le cylindre d'un came fixe de forme quasi elliptique et par la suite inunir le contre piston de courbature de tiges en appui sur ceti:e ellipse. On obtiendra alors les sorties et rentrés successives des contre piston de courbature.
Dans la figure 22.2. , on réalise un t ype de repoussage des tiges des pistons de courbature unitaires par un excentrique central se déplaç ant de façon translationnelle, ce support réalisant une amplitude de translation supérieure à celle du coeur piston ce qui aixgment les volunnes de la manière déjà commentée.
Dans la figure 22.4, pour une mactiine turbinative dont les tiges dcs pistons de courbature unitaire seraient conduites par came, et don~, ion désirerait produire une co urbure tri rotative, on voir que les came doit être réalisé en huit co' és.
Dans la figure 23, on montre que le;; courbure du piston peuvent être réalisée de telle ma.nière de capter l'explosion.
La figure 24.1 montre que lorsque l'on installe un membre de faS;on planétaire sur un vilebrequin toute poussée sur ce membre, si sa longueur 402 ne dépasse pas cclle du rayon de tournage du vilebrequin 403 , produit une actior: circulaire sur ce vilebrequin. Dans les machines rotative, ce membre est le piston, et généralein .nt ses extrémité dépassent de beaucoup le rayon de tournage du vilebrequin. On peut donc, pour contrer ce problème, réaliser i:n membre unitaire planétaire directionnel de l'orientation en a), ce niembre 400étant plus cow,t que le piston, en relier l'extrémité au piston, dans l'une du ses pointes en b) ou dans 1'uii de ces cotés en c) Dans lors , les contre effets rétrorotatifs des micteurs rotatifs seront annulé. Ili résultera des partie arrière des mécaniques des blocages, dénudés de contre effet , ce qui sera utie amélioration notable dans ce type de machine.
Dans la figure 24 2, nous donnons ..leux exemples d'un telle procédure. En a de la figure, un membre unitaire planétaire de contrc le de l'orientation est conduit planétairement par induction par engrenage intermédiaire.500 . Ei-i b, le membre est conduit par ia.n induction par mono ïnduction 502. Dans les deux cas, lo membre orientationnel unitan-e est lié au piston 501.
On doit noter que le lieu de raccord peut être choisi dans toute sedion du piston, et qu'il est préférable que celui-ci soit réalisé à1-iartir d'une joint incluant une coulisse, de telle manière de ne conserver que l'aspect latéral de la r oussée orientationnelle . On pe ut, par exemple constater que lorsque le lieu de rattachement est si;:ué dans le centre des coté, il y a peu d'incidence rotationnelle des poussée, et que principalement 1 incidence positionnelle est coriservé.
Par ailleurs, notons que toutes les in.iuction demeure possible pour activer le membre orientationnel planétaire, qui sera ra taché en un ou plusieurs points au piston.
La figure 25.1 montre qu'une segmcntation conventionnelle na) pourra être ajoutée à chacun des pistons unitaires de courbature. Il faixt cependant mentionner que nious considérons que les pistons unitaires pourront aussi recevoir & segments à ressorts hélicoïdai:x en b ) , ou pourront recevoir des segments oscillants tangentiels, - els que nous les avons commeiltés précédemment en c). Ces segments seront liés au piston par rc ulement, ou encore par des ccuplage d'engrenages polycamés, partiellement ronds, arqi iés ou en crémaillère en d) .
Dans la présent invention, nos tenoris à rappeler que la réalisation de segments oscillants et dédoublé ou encore celle de suppori de segments oscillantes et décloublés penmettra aussi, de façon subtile de réaliser les falsificat ion de hauteur et de larguer du cylindre. E effet, lors de son passage dans les ares, l'abaissement du passage avant du segment pourra être augmenté, et compensé par la partie arrière. Ceci aura pour effet de soustraire u.ze partie des rapports de rencontre des ares non acceptables des machines rotatives, lorsqu' elles sont montées avec des vilebrequin plus longs. Par ailleurs, !a largeur de la section segmenl:
forcera l'augmentation de l'amplitude des bulbes du cylindre , ce qui est aussi un effet recherr,hé
La figure 25.2 montre quelques mc yens permettant de sécuriser nécaniquement le mouvement rectiligne des pistons de courbature;;. En a) on voit que l'on peut simplement utiliser des roulements, de chaque coté de chac un des pistons. Ces roulements peuvent être remplacés par des engrenages. En b) de la figure, des !>ras de support s oscillant supl;orte le piston.
La figure 26 rappelles la notion de polycamation , et montre que l:'on peut réaliser des polycamations de troisième, de qua rième degrés permettant de ré<<liser des accélérations décélérations variées de la machinE
La figure 27.1,1 que , selon les méc aniques par lesquelles est indui.t le mouvement du piston d'un machine rotative, la capacité e réccption de celle-ci est très différe;nte. En aO dans les mono induction et poly induction, le tiers arrière du piston agit en contrf~ force, alors que la partie avant agit en effet de levier. Quant à la pi -.rtie centrale, elle neutralise les, contre forces de la prtie arrière.
En b) de la figure, on nappelle les incluction par engrenage intenmécliaire de Wankei, et l'induction par engrenage cerceau dont nous so: nmes l'inventeur. Dans la preniiière, la force rotationelle orientationnelle est distribuée de faç,>n également répartie sur le piston.
Dans la seconde, une plus grande partie de la force de réceptioii est situé dans le derrière de la piston.
Par ailleurs, pour un même piston,Lii, distribution de la force de réccption est aussi diofférente selon qu'il s'agit d'un machine post otative, ou d'une machine rétarorotative.
Dans la partie c de la figure, on voit qu'une mono induction post rotative commande le l;iston et que les contre forces arrière sont du tiers. Dans la machini, rétrorotative, de cylindre de quatre cotés, le rapport des engrenage est de trois sur quatre, et I'engrenage d'induction de piston est plut de type externe.
La ma.jorité de la force de réception est sur la partie arrière du pistcèn pour un pourcentage d'environ trois quart de celle-ci.
La figure 27.1.2.1 montre que de ce point de vue, les moteurs stand en a comporte un tiers de contre forces, sur l'ensemble du pis on, alors que les moteurs turb:;natifs de base comporte un force parfaitement égale sur son pisi on, et déséquilibré sur le cylin,Jre, aussi à raison d'un rapport d'environ quatre sur cinq. Ce moteu r devrai produire moins de friction . par ailleurs, le cylindre , produisant le tiers du volume d'expinsion, devrait produire un tier; de la puissance Le poussée de la partie postérieur du cylindre sont supéieures à celle de sa partie iurtérieur, non seulement parce que celle-ci est plus large, mais auss i parce que l'action descendanie de la partie arrière du cylindre est gonui-iée par le déplacement laté:-al avant du piston. On verra que si le piston est dessiné
convenablement, tel que monté à la figure 38 et 39, que si on réali:se cet ensemble avec engrenages polycamés, et que finale,nent on induit de façon séparé.- le cylindre et le piston, on aura la un machine dont les pertes v~)lumétrique seront inexistante::.
en a que lors de soutient de machinE s motrice post rotatives les plu s standard par mono induction, un tiers de la partie arrière du pistoii agit en contre force.
En b, de la figure, on voit que les c*ntre forces s'exercent plutôt sur le cylindre , dans les machines turbinatives, et par rapport au centr , ce qui ne produit que peu dc: perte d'énergie, et cela d'autant plus que le cylindre réalisai it la partie orientationnelle du mouvement, les pertes réalise à
ce niveau ont un moindre effet.
La figure 27.1.2.2 montre en b) qu selon le dessin des pistons et, des cylindres de l'art antérieur, la partie arrière du piston et du cylù îdre, pour la première phase de; ssa descente semble continer de compresser, et par conséquent à un cinétique contraire à celle de la dépense de l'énergie de l'explosioneet de l'expansion.
Par contre en a, on voit pourtant q ie la distance séparant la pointc arrière du piston du centre du moteur se réduit progressivement par le pliage du piston sur le vilc-brequin.
La mécanique contredit par conséquent la cinétiqi: e , car , celle-ci9 semble produire du travail. On verra dans les dernières fiogures que les court urees de cylindres à mécaniquos polycamés, adssociés à
certaines coubures de pistons rend ;nt compte de ce travail au lieu de la nier.
La figure 28.1 montre que lorsque l'on installe un membre de faç on planétaire sur un vilebrequin toute poussée sur ce membre, si sa !ongueur ne dépasse pas celle du rayon de tournage du vilebrequin , produit une action ciri ,ulaire sur ce vilebrequin.
Dans la figure 28 2, nous donnons deux exemples d'un telle proa;dure. En a de la figure, un membre unitaire planétaire de contr5le de l'orientation est conduit planétairement par induction par engrenage intermédiaire. . En b, le membre est conduit par un ;nduction par mono induction La figure 29.1.1 en a montre que l' on pourrait aussi activer les tiges des pistons de courbature unitaire avec le recours à un polyca ne 900 dont le mouvement sei=ait translationnel 901.
En b de la figure nous rappelons la -nëcanique par poly induction standard, en laquelle nous avons montré qu'un vi.lebrequin maître 902 pouvait supporter deux vilebi=equin subsidiaires 903. Ce découpage a permis de réaliser qu't n mouvement translationnel px;riphérique peut être additionné
à un mouvement circulaire central r our obtenir la courbure désiréE; du cylindre .
Par ailleurs, en faisant coïncider ces information, on peut aussi observer qu'un installant un élément cylindrique donné sur deux vilebrequins centraux, on en o btenait un mouvement rotationnel similaire à celui d'un excentrique standard, ce que moritre les figures c) et d).
Cependant, si ces mouvement réali ;ent le même déplacement pos:itionnel, ils ont un aspect orientationnel dynamique très diffét -cnt. Dans le premier cas, chaque point de l'élément cylindrique produit exactement une circonférence de rayon identique à la circcnférence du point de centre du système. En d) tous les points sont ~sloignés du centre de tournage, plus la circonférence est grande.
La figure 29.1.2 montre les impacts que ce type de nouvelle réalisation de la pièce cylindrique de support apporte, lorsque ces éléme nt seront les éléments de suppr~rt d'un machine rotative. De fait , on aura ici une machine rotati-e dont la répartition du mouvement orientationnel et du mouvement positionne sera inversé+.; par rapport aux machine staniard et aux machine poly inductive. Par rapport aux machine;.; standard, le mouvement de piSton sera orientationnellemt addition au mouvement du vilebreqi.iin, et non pas soustrait comm!: `est le as normalement. Par rapport aux nia.chine poly inductive% le mouvement rotatonnel sera périphérique et non centrai comme c'est le cas généralement. Dans les faits, ceci veut dire quE: si l'on actionne le piston d'une machine rotative standard par rappi irt à un engrenage qui se si.tuerait sur l'excentrique, on devrait alors se servir d'un engrenage inter nédia'vre qui réalise une avtion rétrorotative. En cour de descente, on voit bien que cette act on sera contraire à celle de la descente du piston. Eite serait compensé d'égale façon par la pou;:sé sur la parti arrière du pistori. Cette action réaction d'égale i:ntensité est inadéquate si on tient c ompte que l'action du piston dloit basculer de la moitié des degrés vers l'avant à chaque degré Je rotation du vilebrequin cent:-a1.
Avec un excentrique translationnel, on se rend compte que l'actioai du piston par rapport à celui-ci n'est pas rétrorotative et rapide, imi.is pluton post rotative et plus lente.
A chaque avancement de trente degrés du vilebrequin standa d, on doit réaliser une rétro rotation de vint degrés pour positionner le piston. a chaque avar.cement de vingt degré du vilebrequin translationnel, on doit avance le piston de deux. On dimin~ie donc la friction de moitié. oa devra plutôt , à partir d'un engrenage disposé sur l'excentrique c-ntraîner post rotativement 92;. un engrenage intermédiaire, qui à son tour entraînera l'engrenage d'induction du piston, orienta:ionellement.
Dans la figure 29.1.3, on voit qu'il e>t assez facile d'induire dans uiie rotation simultanée les vilebrequin de support 930 de l'excc ntrique tranlationnel 931 , en f;xant à
chacun un engrenage 933 , lesquels engrenages seront cotiplés indirectement un tiers en-;renage 934 pouvant être fixé à
un axe central 935 .
Comnie on le montrera plus loin, on pourra réalise de diverses façcan l'induction de l'engrenage intermédiaire menant du vilebrequin subsidiaire au piston, par toutc induction de relation entrahnant , par exemple plus la figw e de piston à trois coté, un po;;t tournage du piston de un sur trois de celui des vilebrequin de sup port de l'excentrique translaticinnel.
Pour le moment, notons qu'une façon par a.illeurs très simple de réaliser le post tournage du piston sera de munir les maneton des vilebrequin de support de l'excentrique d'un engrenal:;e externe 936 que l'on couplera à l'engrenage de support du piston 937.
La figure 29.1.4 montre la machine au temps mort haut , en a, et en perspective en b) La figure 29.1.5 monte les élénients en cours de descente La figure 29.1 .6 montre la dynami, lue des éléments pré décrits, l-our un tour de la maclùne. On y voit que les vilebrequins centraux 5-50 supportant l'excentrique tr:mslationnel tournent à la même vitesse par ailleurs, les engrenages .i'induction disposés sur leur maneton tournent sur eux même et entraînent la rotation de l'engrerL ge du piston 951..
La figure 29.1.7 montre de façon pl us précise l'avantage de ce typc de mécanique de support du piston. Principalement, on voit que même si les rapports de géomE:trique sont respectés, et que par conséquent le point de tournage stu lui-même du piston, orientaicrnnellement et positionnellelement demeure identiilue à celui d'une mono induction ou de tout autre induction simple de premier degré, 980, les c:)ntre réactions situés derrière i;e point sont partiellement contrés par le fait que le point de cc uplage de l'engrenage d'inducaion du piston 981 à son engrenage de support demeure plui en avant. En conséquence unc force attribué
en arrière du point de tournage, en dépit du fait qu'elle entraîne une rétrorotatiün 984, s'appui nmatériellement su un point de tournage post rotatii', on assiste donc plus à une arnulation de forces qu'un une création de forces négatives proprement dite. Cette énergie négative écononvsée est doublé par le fait qu'il y a aussi économie de l'én ;rgie avant nécessaire normale:;nent à
la neutraliser qui pourra ici être réalisé positivement.
La figure 29.1.8 monte que l'on peirt adapter cette procédure aux. moteurs turbinataf. L'engrenage du cylindre 990 pourra entraîner er ensemble d'engrenage péripb,3riques couplé
à des vilebrequins. 992 Ces manetons dfi ces vilebrequin seront munis c('engrenage supportant l'engrenage de centre du piston, qtii réalisera par conséquent une cinétique translationnelle.
La figure 29.2 .1 montre que l'on pi-lut réaliser la machine avec un vilebrequin central. 1000 supportant l'excentrique translation nel 1003 Pour compléter la mkanique de translation, on disposer dans le flanc de la machine un vilebrequin subsüdiaire, 10 31 , et on joindra son maneton à l'excentrique 1006. On couplera lc vilebrequin central et le vilebrequin subsidiaire de telle sorte que leur action soit identique, par e-çemple par une chaîne 1004, uii engrenage cerceau, un engrenage intermédiaire 1005. Pow finir, on ajoutera au maneton Je du vilebrequin subsidiaire un engrenage de support 1007auquel ûn couplera l'engrenage d'induc:tion du piston 1008.
La figure 29.2. 3 montre que l'on picut coordonner les vilebrequin!;
subsidiai.res supportant le vilebrequin excentrique par le recotirs à une tige méttallique 1000, :)référablement couplé à une vi.lebreuin central.
La figure 29.2.4 monte que , lorsqu -. les mécaniques précédentes :;ont réalisées pour soutenir les parties d'une machine de forme turl rinative Clokwise, l'excentriquc translatüonnel est réalisé de façon confondue avec le piston 103~) , et l'engrenage de raccord .1031 des engrenages de viilebrequins de centre et périphériqie peut être couplé à celui du (:ylindre 1032 et permettre son activation en sens inverse.
La figure 29.2.5 montre que le rayc n d'attaque des mécanique cor.ventionnelles turbinative, Rl, est différent de celle présentée plus haut , R 2 La figure 30 montre que l'on pourr:i mécaniser avec toute inducti::)n un pour un , l'excentrique d'une machine rotative, de telle ma ûère que son mouvement soit im mouvement translationnel.
Fans la figure a) n obtient un mouv,,ment translationnel de l'excen:trique par induction par engrenage intermédiaire, et en b) , l iar induction par engrenage cerceau.
La figure 31 monte que dans la me.wre où la forme active de façon planétaire est cylindrique, elle peut recevoir toute autre dynamisai ion planétaire que seulement liii dynamisation tranlationelle, et qu'en dépit de ces modification de - ournage rétro ou post rotatiorinel, orientationnel, cette pièce réalisera, comme la pièce translati(mnelle, une rotation positionnelle similaire à celle d'un excentrique standard.
Dans le présent exemple la pièce à, i.ne rétrorotation sur le maneton du vilebrequin dont le résultat que cette pièce tourne sur elle mêrr e un demi fois par tour de vilel;,requin.
S'il s'agissant du piston, il faudrait qu'il ne tourne qu'un tier 3 de rétrorotation. En conséqucnce la rétrorotation de l'excentique est haute, et il faudra !-éaliser un tournage rétrorotati::)nnel du piston par rapport à ce excentrique. Ici par exemple, ion ul ilise deux engrenage de lien de type externe successifs.
Dans la figure 31.2, on a monté le piston sur l'excentrique.
Dans la figure 31.3 , on voit les piè:~es en perspective. La planétarisation du subvilebrequin ne sera pas équivalente à celle qu'aurait rec u le piston, motivé par une mi;canisation directe. En conséquence , l'action achevé du p ston sera soit en rétrorotation :)ar rapport à celle du csub vilebreuin, soit a post rotation. On istattera par conséquen des ur.i ou un double d'engrenages partant de l'engrenage d'induction clu sub vilebrequin qui, installés rotativmeent sur un maneton disposé rigidement sur le vilebrequi i central se coupleront à l'eng -enade cy,indre. On entraînera directment l'engrenage de cylindre, ou on produira une inversion s -lon le cas.
Il est important de noter que, réali, mt cette procédure, on réalise:r simultanément le couplage d'une induction par mono inductior, et une induction par en engre nage cerceau, conséquemment une induction à effet postérieur, et i ne induction à effet antérieur. Par ce couplage, non seulement réussira-t-on a réaliser partiellemer t les effets arrières et avant sur le piston, mais aussi à les équilibrer, selon les rapport d'engre nages choisis, de telle manière de proportionaliser l'effort , entre le piston et le cylindre en fonc tion de la cinétique, du design, et finalement de développement de l'explosion. La proportionalisati on de la force de réception du piston sera due au fait que celle-ci sera partagé entre les déséquilibre s différentes de deux types d'iiiduction enployées., de même que de l'affaiblissement et le renforg ement de l'une ou l'autre de ccs inductions Au surplus, comme on le précisera >lus loin en montrant le pertinence d'utiliser des dynamiques Slinky pour les sub vilebrequin, on éaliser des modifications impo:rtantes des grosseurs des engrenages, sans en modifier de fac on importante les rapports de ~;ournage.
En conséquence, on reculera considérablement le point c:'encrage des induction de mor.i induction.
Dans la figure 32, on montre que, comme dans nos machines turb inative, on peut parler ici de figure virtuelle , celle-ci étant établiõ , Dans le présent exemple, la dynaniique virtuelle du vilebrequin est celle d'un carré. Poiir calculer la mécanique à appli,iuer au piston, en fonction du subvilebrequin, il faudra calculer la différence en cette figure et la iigure réelle à obtenir. Dans la présente, par la trajectoire d'un poi it défini du subvilebrequin pou:r un tour. établit la dynamique orientationelle de excentrique plani taire de façon inversée. Pour (:e faire, on a disposé sur cet excentrique un piston virtuel, que l' :)n actionne planétairement , p,ar exemple pour créer un figure virtuelle de d'excentrique rétrorotai ive en quatre . Comnze on peut le constater, dans cette figure, le mouvement rétrorotationnel de l'excentrique est supérieur à celui qui est attendu pour le piston. On devra par conséquent Kaliser un engrenage intermédiaire unissant le piston et cet excentrique de telle manière que ce engrenage tourne post rotatiti,ement et rétablisse la vitesse relative du piston, alors que comme on l'a vu précédemment , si h-i vitesse de dérotation de l'excentrique est inférieure à celle a;tendue pour le piston, on devra ajouter de la dérotation en réalisant un engrenage intermédiain ; d'entraînement du piston par l'excentrique qui travaillera rétrorotativement. Mais le piston a :oujours un effet égal arrière eit avant sur cet engrenage, qu'il soit activé post ou rétrorotativemert. L'intérêt de la présent section est par conséquent de trouver le moyen de grossir leles engrenage s de support et d'induction de l'excentrique, sans changer le trayon du vilebrequin et par conséq uent la distance entre les engre nages, ce que montrera la prochaine figure.
Toutes le figure virtuelles de sub vi:ebrequin sont possible, Mais ccrtaine seront préférables à
d'autres. Préférablement , on visera la conjonction d'un mécaniqui : rétro effictive, et du,une mécanique post effective. Ici par e> emple, comme, par oppositiori à la figure précédente, la mécanique est rétro effective, on po urra la coupler à une mono indluction post rotative, pour actionner le piston.
Encore une fois, non seulement nou i semble-t-il préférable de coupder les induction de telle manière de réaliser ensemble des incl.uction post et rétro effective, :i nais aussi, de telle manière de les de proportionner le rendement dc chacune. Ainsi donc , on montrera plus loin l'importance des dynamiques Slinky, déjà utilisé par nous même pour les pistons de,~, machines turbinatives, et à
utiliser ici par les sub vilebrequins.
La figure 33 rappelle nos motions (!e planétarisations synthétique;>, ou selon une autre terminologie, les cinétique Slinky dE planétarisation. appliquées d ans les machines turbinatives.
En celles-ci on montre qu'un élémerit entraîné planétairement peut réaliser un nombre de faces , mais cette fois-ci non consécutives. En conséquence, le nombre de: faces se fera sur plus d'un tour.
En conséquence, les rapport des enI:Xenages seront élevé. Par exetniple, ici, produisant un an une figure à huit cotés non consécutif, ei: en b) un figure a vingt cotés a'ton consécutif.
Dans le premier cas on aura un rapl:ort de trois huitième de tour el dans 1 second cas, un rapport de neuf vingtième de tour.
Ceci permettra de grossier les engre nages tout en conservant entre, eux un distance égale à celle du rayon de tournage attendu.
La figure 35.1 montre l'intérêt des (lernières procédures. Le princi~)al de celui-ci est de reculer le point de couplage des engrenages , ce qui rendra les contre forces arrière vraiment actives plus en arrière. Ceci augmentera par ailleuus le rayon montant de couplagr, des engrenages 2004. Mais le gain en réduction de cognement din.:ct est énorme. Si cette structu.re est au surplus réalisé de façon polycamée ce qui est montré en a ) , comme dans nos prernïères figures, on aura là un machine très fluide. Le deuxième intérêt est d'amener le piston, par le coul.ilage, de préférence, d'induction post effective et rétro eifective, à travailler , mécaniqu,,-ment, d'une façon proportionnée à sa cinétique, ce qu i est la difficulté majeure des naehines rotatives.
Dans la figure 35.2 nous montrons en a, qu'il est possible d'entraîner l'engrenage intermédiaire menant l'engrenage qu'il est possib:.e d'entraîner l'engrenage interinédiaire menant à l'engrenage d'induction de piston à parti d'un e; tgrenage deus support disposé rigidement dans le centre de la machine. Comme l'engrenage inten.aédiaire sera disposé sur un m,neton fixé au sub vilebrequin, et que la vitesse de planétarisation de ;elui-ci n'est pas identique à cc lle d'un vilebrequin standard, ou d'un vilebrequin tranlationnel, le jeii. d'engrenage sera différent , el selon le cas, c'est-à-dire , se l'on le rapporchement slinky par de,.rière en rétrorotation plus rapide ou plus lente que la rotrorotation standard choisie, moi ns rétrorotatif ou post rotatif.
La figure 35.3 montre que l'on peu appliquer la notion de vilebre[luin cylindrique aux machines de type turbinatives. Ce vilebrequin 31100 pourra alors avoir une cinétique différente de celle de la cinétique virtuelle du piston. Et ceti e cinétique sera préfërablemen:t une cinétique de type slinky , surtout si le piston ne la réalise pas lui-même.En ce cas, le cylindrr; pourra être activé par plusieurs mécaniques, dont par exemple par i m engrenage de support péripli .érique 3001 fixé rigidement au vilebrequin cylindrique, cet engrena ge étant couplé à un engrenagi;:
d'induction central 3002 fixé
au cylindre 3003 .
Selon la vitesse de l'induction du sizb vilebrequin duquel sera corrmandë la vitesse de rotation de l'axe de support de l'engrenage intE rmédiaire manant à l'engrenag;- de piston, on pourra par conséquent avoir une action post rctative de celui-ci assez lente, La figure 36 montre que l'on peut iiiussi lier le piston par une couliisse à
l'engrenage à un maneton situé sur l'engrenage intennédiaire, si celui-ci est calibré pour tourner un nombre équivalent par tour que le nombre des arcs du cyl:ndre, ou un double de ce nombre. Ceci permettra de réaliser des accélérations décélérations san: avoir à utiliser d'engrenages polyvcamés.
La figure 37 montre en a, que la s- -rface du piston peut être extrt:.dé de façon variable de telle manière de produire une répartition de l'explosion et de l'expansici n appropriée à la cinétique.
En b) de la figure, on montre que, l'on réaliser un orifice de chai lue coté
du cylindre au niveau du temps mort bas du piston, on po urra sortir les segments de coiins et les remplacer par des neufs, sans avoir à ouvrir le cylindri:, ces trous pouvant par suite être bouchés par des pièces cylindriques.
La figure 38 montre qu'avec un géométrie arrière du piston apprc:priée, en laquelle on a réalise une courbure intérieure de celui-ci,: ; 010, cette courbure se déplacera vers lavant en descente 3011, et ce faisant, viendra contrec arrer la fermeture du cylindre par le passage du bulbe formé
par la rencontre des arcs supérieurs 3012. En conséquence, conwie le montre la suite due calculs des surface relatives à ces espaces, 3013, l'aire entre ces partie ne diminuera pas, comme dans les moteurs standard, mais demeurera ;,oit stable, ou encore produira une légère croissance. Ceci signifie que cinétiquement, on sera lès lors assuré que la machine cst positive, même dans ses parties arrières. Ceci est de la plus 1 aute importance, puisque l'on peut déduire que dans cette partie , le travail de la force orienu ~ tionnelle arrière est commencé, et que l'on aurait tord comme le fait l'industrie, de sacrifier l'énerl ie que cet espace pourrait cré~;:r, par les méthode de support par mono induction. La capacité
La figure 39 montre qu'en couplani la notion d' intra courbure arrière du piston et celle de courbure de cylindre par engrenage;; polycamés, ( ou autre moyen d'accélération et décélération du piston ) on obtient une cinétiquw qui non seulement ne produit plus de compression après le temps morts , comme c'est le cas, ,ians les machines de l'art antéj.ieur, ou encore un niaintient de la compression, comme c'est le caa! dans notre figure précédente, ma.is une augmentation graduelle et significative du volume supérieur à l'augmentation de volume de la partie avant, pour toute la première partie de l'expan, ,ion.
Ceci montre hors de tout doute que les mécaniques que nous avoi5s proposé au cours des années et dans la présente invention ont lei;r corroboration cinétique , et par conséquent que les notion de thermodynamique relatives au vq ilume et à la production de tra-rail s'appliquent ici favorablement.
La figure 40 montre que l'on peut ~dapter ces méthodes de guida;E;e aux machines turbinatives, en couplant le cylindre , par un engren age d'induction, d'une inductiion descendante , dont l'engrenage de support périphériqu, est fixé sur le sub vilebrequini evendications Reve ication 1 Une mac de type rotative, turt inative ou de type poly turbine., dont la composante positionnelle la composante oriei itationnelle de la cinétique du l~~iston, lorsqu'il s'agit d seule partie compress e active sont réal:sées :
a) en deux inductio chacune sup~)ortant une partie du piston, la première étan ppelée coeur piston et la seconde ' on de co urbatures, b) en deux inductions, do la prerinière soutient le centre du pistc,,n , et es ppelé induction positionnelle, et la second tant une induction planétaire termi;ié p membre de guidage, ce membre étant lié à un po' d i piston, cette induction étant i.me duction oroientationnelle, c) en deux inductions, dont la pre 'ère entraîne planétairement ebrequin cylindrique monté
planétairement dans le corps de : a hine , cette induction a.nt appelé
l'induction positionnelle, et la seconde, coni rôl le mouvement ori tationnel du piston par le recours à
une induction liée au subvile bre, luin pI étaire, cette ' duction éttant nonuné l'induction orentationnelle du piston est réalisé en deux parties , soit le roeur pist et le ' ton de courbature, ce parties réalisant des cinétiques similaires , du point de v ie laté , mais plus moins l. rononcées du point de vue vertical, et ce de telle manière que 1~, pi on caeur réalise omprcIssion et une expansion plus ample, et que le piston de courbatw réalise une courbature cy.lindre de premier , second, ou troisième degré, chacun de ces p' un étant activé orientationeli ient.
Revendication 2 Une nia.chine dont la artie arrière cù piston est dessinée de telle naanière comporter un courbure réalisée rs l'intérieur, al pelée intra courbure antérieur(: du piston, alculée de telle manière de ma' enir ou d'augmentõr le volume des gaz se trouvaà dans cette bre pour toute la pre ère partie de la descer te.
Revendi ion 3 U machine réalisant une courbure de cylindre dont la partie arrI~re des deux arcs de cy dre se Rotary, multi - engine and rotary turbine engines thermodynamic efficiency maximized and diesel bridging Disclosure Some preliminary ideas relating to thermodynamics Thermodynamics is a complicated sciencf requiring for :: on advancement, more and more advanced knowledge from engineers. I1 is therefore important here from mention that the present invention has in no way the presentiment to bring new gas burning configurations in rotating machines, polyturbines and machines turbinatives. The present invention may however very in place practical conditions for the possible realization of such searches more depth.
Moreover, it is important to mention that there are huge differences between the theoretical thermodynamics and applied thermodynamics. In other words, while theoretically two volumes of gas compressed and ignited gives off the same amount of energy, in practice, everything else is different. Indeed, the way these gases are on, the composition of compressive parts performing compression and mechanical ki used for lead to the cooling of this heat by the expansion in rotation in a motor axis, are many factors which, in the end and for the same thermodynamics: theoretical, result, by varied practical achievements, with differences in energy efficiency very important, motor capacities being sometimes doubled, even tripled for a same explosion. Of these this, for example, the consideration of direct heat transfer of material to equipment, which theoretically is not considered, ma.is which is practically very important. Similarly, the type of mechanics realizing the rotational rendering of thermodynamics, which theoretically is not considered, and which practically, leads to many impeccable questions such as those of friction and the overheating of some parts of the engines, or, as such, of maximum acceptance of the actual expansion wave.
In summary, if there were no significant differences between the theoretical thermodynamics and the actually real and practical rendering of this thermodynamics, u; i engine rotary of the same Compression volume that a conventional piston piston would make the same efficiency thenmiodynalnique. But despite the notable subtractions of depeizse driven by the absence of mechanical valves and the little accelerating deceleration of pieces, rendering The practice of the thermodynamics of rotary niotors is so deficient that these engines do not arrive not, at the end of the day, to surpass or even ereretic, yet quite weak, piston engines.
As we have shown in many of our previous works, the rendering practice of The thermodynamics of rotary motors can be considerably improved. The present invention will complete this work, and will show that under certain conditions, the rendering of any machine, whether it is conventional piston, rotary type, polyturbine, or type turbinator can be equivalent.
Examples of thermodynamic and thermodynamic thermodynamics- practical in the field conventional piston engines.
As we have just mentioned, when it was carried out under the engine, the Thermodynamic is subject to mechanical constraints which can modify greatly the practical results of energy rendering.
Let's give some examples first of all relating to piston engines conventional.
In theory, when one compresses a given volume of gas, and that or.i in produït ignition, one must to obtain the same result of power; created by progressive cooling of this heat in relaxing course. According to such a statement, the compression of a piston more small, moved by a crankshaft and a longer connecting rod, should always, if the compressed volume is identical, give the same thermodynamic result, the same energy efficiency as if one had built the compression with the use of a larger piston connected by a connecting rod to a crankshaft whose turning radius had been shorter. (Fig. 1 a) In practice, however, we realize that we must also consider the exchange of heat that will occur between the elements. Indeed, a heat par will heat the head of the cylinder, that of piston, as well as, during the d-piston stroke, that of the walls of the cylinder. Taking account of this factor, we see that the engine whose piston and cylinder has larger volume will achieve a greater heat exchange unrecoverable between the elements.
The results The final and practical mechanical properties of these two motors will therefore be different, while theoretically, they had to be idex {ticks.
In a second example, (Fig. 1b) we consider that a same; volume of compression is on the one hand by a structure ~ onventional, and other parI;
complicity of two pistons, inserted in opposite directions in the same cylinder. Again, even if we can show that, theoretically, the efficiency of the two engines should be identical, the practical performance will be different, since the inert head of the conventional emmaagasine cylinder more energy heat that the head of a piston aõtif.
In a third example, (Fig. 1 c) we can compare, always for the same volume, the performance of two engines whose i in would have a piston and a cylinder: ~ e conventional, while the other one would have a piston and a <ylindre square shape. So if, theoretically, we can say that the pressure is equal on the surface of the pistons and cylindret :, whatever the In practice, it will be seen that the development of ignition and of expansion performs less well in such a type g form. Indeed, we know s:, u today the phenomenon of schril, mini storm that produced the explosion, as well as the Bed that the explosion has an origin and a diffusion that are progressive. As a result, the corners of a square piston are more belatedly burned, and filled by pressure. Piston and cylinder Perfectly round seem to be the most economical way to achieve the thermodynamic effort.
Let's give another concrete example. Suppose, as has already been done by some motorists, that an engine is consuited (Fig. 1 d) by placing the relative cylinder to ignition on the side of the piston and not above. Again, we will consider notable differences between basic theory and practice. Despite a compression iõt of a equal pressure, the two opposite parts of the head of the cylinder, to be side by side will store one more large amount of heat which will not be realized in force of descent. Moreover , Development of the exploding explosion will be laterally, and we will lose the movement proper this expansion, to preserve only the result, more inert, is the pressure. Engine will look more like an air motor, than an internal combustion engine.
Let's give a last example (Fig. 1 e). Compare, always for the same amount of gas compressed and lit, a motor mir by a crankshaft and a standard rod, a motor driven by a standard crankshaft and a sliding rod, and a motor driven by a staging of crankshafts Bunk. Although possessing :. identical compressive parts, some mechanical aspects these engines will be very different. For example, the two; last will not have a point death down, and will not have to paralyzed Lion angular piston connecting rod in c bear descent. Otherwise, the level of friction of the parts necessary to ensure the movement strictly rectilinear vertical sliding rod, n ~, me the friction achieved p2r the moving, too rectilinear, but this time lateral, of the joint piece joining the connecting rod with crankshaft, will produce more friction, and therefore less heat irretrievable, that both top and bottom attachment of a biellf, conventional. In total, yields of both in practice will be very different and will depend on the methods used to secure the respective movement of the connecting rods. The same statement applies to the double engine crankshafts superimposed. The gains made by canceling the tem: :) s death low and high, and cancellation of losses by angulatic m of bielie, will be counterbala.n ,, és by losses due to accelerations more direct decelerations of the connecting rod, in motion strictly rectilinear, same as by the friction driven l- ar the gears producing it e specific movement of the upper crankshaft.
These last two examples are eloquent. It show that in debit qualities mechanical appearances superior, some nioteurs, if tio-nt account of the &iction and deceleration acceleration ,. become more energizing than those the recouss to a rod. standard.
Piston engines and rotary and turbine engines.
The same thinking applies when one is trying to compare a piston and an engine rotatable. In theory, if these engines achieve exactly the same volume of compressed gases and on, they should produce the same mechanical energy Snaleõ And yet, despite their undeniable intrinsic qualities, rotating machines remain, in the fiitai, more energetic than piston engines.
We can only deduce the following While theoretically, for a moment amount of gas compressors, a piston engine and a rotary engine should have a identical yield, the theory is at this point different from the practice that d deficiency has thermodynamic efficiency rotary motors can not even compensate for the mechanical losses due to at the valves mechanics and acceleration of demolition, which, however, limit c, :) nsidably the power piston engines_ This means, in simpler terms, that in theory and practice, there is a gap of more than thirty percent. This also means that the huge difference between the power theoretical and practical power of rotary motors is due to a set causes to which after having correctly identified them, we can identify soli.itions relevant. This wants so to say, finally, that it is dan; practice, in concrete c; eu may be reinstated, at point at which it should be, the thermodynamic performance of the anotors rotary and turbines, in such a way that they can enjoy significant advantages weight, valves, and so on .
Reminder of the main defects of rotary engines and our solutions previous It is necessary to recall here, as briefly as possible, the main defects of the engines rotary, at the thermodynamic level ~, as well as the contributions we have could contribute to realize in the matter. This brief review will allow us to see the remaining problems, and to identify how these can not be solved by this solution technical. (Fig 2) Reminder of these defects Rotary motor defects are four-way, that of the, rendered mechanical, that of the segmentation, that of design, that of kinetics. Principalemait, we can point fingers:
a) the rear unbalance of the thrust on the comprE: ssive portion in progress downhill b) the imbalance before the push on the compressions part,; ive in progress downhill c) too heavy mechanics (eccentric) d) Segmentation too heavy e) the dead time along the machine (f) the excessive length of the compressive properties offered for the explosion (g) the defect of the parietal kinetics of the rear part of the piston of the descent h) the lack of amplitude of the thrust before, due to the lack of:
radius of Piston turning i) the deficient design of the forr. ie combustion chambers during the explosion or explosions j) the square character of the pi :: ton It should be noted that many of these events occur in cascading being from others. The most general source of all these Jefa.uts is that tszoteurs rotary, from Wankei, have been to a single motor mechanics part, and a set of p, uties compressive, the piston and the cylinder. Recall that i in the rotary engines of the going Wankel, the recovery the crankshaft was accompanied by the rertressement of the piston. But this entangled curvatures of cylinder too pronounced, and Wankel, correcting this problem, reduced the engines at one only expansion, which makes the mac hine mono inductive.
Partial correction of these defects in our previous work (mechanics and kinetic) We have shown to several reprfes that the mechanical push ~ on a piston machine Wankel type mono-induction rotary machine produced a against thrusts back, a set of ceritral thrusts allowing the neutralization, and a set of forward thrust lever.
The object of the present invention is to pursue several of our inventions previous (Fig. 4) and to show that it is possible to realize on the piston of a machine rotating, turbinating or type poly turbine, a thrust that does not push against pushed <:: s on the previous bet, and on outbreaks on the posterior side,. And who on the contrary, distribuf:
energy from low to high in respecting the report of retro rotation, or post orienlial filming of a piston in the machine. show that you can rebalance work on surfac. of piston like this that it is proportional, this means in such a way that it varies from weak to strong, this respecting the kinetics of pre-rotorotatil, ye, for orientational rotational post of the piston in the machine. (Fig. 3) The practical objectives achieved by the advances of the present invention are therefore the following:
a) a reduction in the machine's dead time, which will result in a decreased time direct heat exchange from material to material (b) an increase in the rate of compression, which will permit make engines rotary variable speed engines, rotary diesel engines, sa: as achieve cascade of parts compressive.
(c) an improvement in the shape of the combustion chambers during ignition, this allowing to better position the candles, and even to keep only one when of realization of the machine, d) an improvement of the segmentation which will allow better po:, itionner candles without losing pressure between the chambers when the segments pass.
(e) a reduction of the material parts directly available to the explosion, this allows reduce the heat exchange of irreplaceable material irrevocably f) a softening of the movement of the compressive parts of J. machine, this leading a decreased wear of rites g) an increase in the power of the descent, allowing an effort rotational retro increased, (h) a reduction in the duration of the loss, the effect of which is only to maximize the power of the explosion, to reduce the downtime, i) a possible increase of the 1 filling inips without turbo compressor.
First part of the present invention: improvement of the tli, ermodynainic by re partition of the orientation-3el and positional character by dividing the piston into component piston and pistons of curvature.
As we have just mentioned, we have shown in our work previous, which one could produce advances of ty; > e mechanics susceptible, for cylinder figurations of identical machines, to allow i. better capture of development of the explosion, and a limitation of the indirect exchanges of heat by friction, by echange direct.
First series of observations that are relevant to the present invention, n To better understand the present invention, it is necessary to remember two remarks that we have already made previously, and which relate to rotary machines, these observations being the following.
When we observe a certain point of a piston of a rotary engine when of a revolution complete of this piston, one realizes that the kinetics realized by this point varies according to two parameters, namely, the first, sek in the distance separating it from the center of the engine, and the second, the piston dial eji which point is chosen.
Indeed, in a rotary engine star, dart, the more the observed point is located near the center, plus the the curvature of its kinetics is pronounced, and the greater the relative amplitude of the difference between internal and external endpoints are strong. Conversely, the more the p ~) int chosen is located in verse the outside, plus the curvature realized by this point during a convolution the engine will be soft.
Moreover, the kinetics of a point ~~ rarie also taking into account the dial in which he is positioned. A point on a li, uniting the center of the pistori and one of the ends of piston tips will describe a similar shape and in the same axis clue that of the cylinder. By elsewhere a point on a line passing through the center of the pistor. and the center of one of the sides, will also describe a shape similar to the cylinder, but this time opposite angle to this one.
Finally, a point between these two positions will also describe a shape similar, more or less acute, but this time obliquely to the first two positions. (Fig 5) These observations make it possible to say that the longer the relative length of the piston of a rotary machine is small compared to its length, ie crankshaft, more, as we come to see him, the curvature of the cyündre is exaggerated ei: becomes inadequate, since it entails a change abrupt direction of the piston and dc-s segments which leads to its 1: for a premature wear of them. In addition, the counterforce on the back part of it are less important, and turn into forces. The rear part of the piston becomes more active, more downward, set to against the direction of the moteui, more positive, which maximizes the power of the machine.
It is therefore found that if on the one hand the inappropriate curvature of the cylinder risk of causing premature wear of the segments, on the other hand the thermodynamics of the nnachine would be found improved, since for the same volume of compressior.i, we would have used a piston less activated by a crankshaft plizs large, and one would consequently got not only a positive effort on the rear part, the pale, but also, a low, surface of exposure of the piston and cylindricc to the explosion, thereby reducing as much as the exchange between these parts. These observations also allow de, romrend.re that the dimension piston, when one hear prodt ire a rear curve of pistoai similar to primer down to the end-of-arc curvature of the cylinder, must be defined as such way it's pretty bulky. There is the obvious contradiction. To avoid against: forces on the back part of piston, engineers are forced to hii confer a dimension that will also cause kinetic of its rear part of way negative, that is to say, activating laterally against the meaning of the machine, rather than in, ente.
The present invention consists in distancing, materially or mechanically , or at the level of Opiston's design, the orientational and positional character of the pisifon rotary machines in such a way as to be able to better control. balance and proportion their potential to perform the thermodynamics of the machine. We app-clons the positional aspect of the movement of the piston, its moving -nt the movement of the center of it by report to the center of the machine, and we call it the orientational aspec of it, soiz rotational motion by compared to the crankpin, or the center of the eccentric.
supports.
In its first part of the present invention, realize this balancing ds caractière orientational and positional approach by showing that one can produce the boosted part rotary machine such as one of the parts of the piston, that we will call the corur-piston or piston compressii n, makes a modification of the character original positional the machine, realizing an increase of the compression by the, recourse to the a curvature exacerbated, more pronounced, whereas: the secondary part of the piston that we will call piston of curvature, will make a change in the orientation of the machine, since, in one single piece or in a fragmented way, it will achieve kinetics corresponding to the curvature of the cylinder, this stiffness being not only softened, to allow a conservation or improvement of the low solicitation of these, but more, drawn from such way to get simultaneously several objectives, scit, to maximize the volume of expansion and to di.minute thernic exchange surface during the explosion, and finally, to auigmenter the quality of it and the resulting expansion.
First realization: complicity tk curvatures of first deginés The first realization of this c. invention is to show that one can produce the machine by a complicity of pisto-As, whose two pistons seroni: all two of rotary type.
In this first embodiment, it is based on a same axis rotational two eccentric of different sizes, on which is mounted two pistons, of te lle way that one two be ixMixed in the central extrusion of the other. Each is attributed to:, emble an induction, by example by mono induction. The two sets of that their size general, while taking care that the external set is , in total, somewhat more voluminous, so that it is this one whose segn: ientation of the piston touch cylinder. Moreover, the induction of the inner whole is carried out more bulky than that of the outer assembly, which means that the piston of the interior will be smaller. We can produce the outside assembly with a shorter crankshaft, and a piston longer than standard, while the crankshaft will inevitably be produced (the the inner set of larger dimension, and the piston I dimension smaller. Such as we recalled it in the last observation, the curvature wirie according to the degree of distance_at bringing the crank pin of the piston center of the machine. As a result, may increase intentionally the length of the compression tube while preserving or by decreasing that of the curvature piston.
When we operate the crankshaft, we can observe that this way, the piston the curvature will be softer, is paired, in complicity, with a inner piston of which the kinetic curvature is exacerbated, and more ample .. (Fig. 6) In this arrangement, we will therefore desigr-erate the piston realizing the cylinder kinetics as the piston of curvature-, and we will designate the piston realizing a movement more ample compression, the compression piston, or the heart pistoii.
From then on, we will be able to realize uw ie first version of the preselte invention by producing, from two pistons of figuration of rotating machines to move similar planetary but different, first of all a deeper expansion, and then a conservation of softness of the cylinder curvature. (Fig. 7) After making this configuration: .on, we will realize that b ;; piston having the most curvature pronounced, either the inner piston, also called compression piston or heart piston, realizes with respect to the outer piston, the curvature iston, a court, Translational. Starting from this Moreover, we can distinguish the two pistons by a double sliding assembly, which will seal the entire piston (Fig. 10) In a version derived from this first solution, we note that we can for one gear set the piston of, urbature, support and incluction, produce, on the eccentric supporting a second crankpin disposed further away from the center and who will receive the heart piston. In this case, the orientation character of p, iston must be provided by the piston of curvature. Note that the heart-piston moves conveniently translationally relative to the piston of curvature. As a result, we can link the one and the other by a small crankshaft, whose radius will be equal to the difference of the radius of the matneton of the piton cAeur and radius of the curvature piston. This small v4ebrequin can be activated pEirti a support gear placed directly on the eccentric (Fig. 11) As before, it is the case that the gap between the pistons is coronely realized by means, it will be seen that the upper court of the cylinder erigend by the piston of curvature pennettra to redesign the head of the heart-piston of way more adequate as that of rotary piston heads of conventional engines. Conversely, o, a will find a more important ratio of compression to the montel and descent of the whole system of compression, based mainly on the descent of the compression p ston, the heart = -piston is more important.
As a result, for the same heat exposure face of the parties compressive during the explosion will hold a larger expansion volume expansior1 Control of all tractor and towed piston tents.
In our previous examples the pstons were ordered from half independent, or again, it was the piston of curvature that realizing the orientation of the piston assembly. While the piston heart was located higher, in such a way to realize a more strong amplitude of it.
As we have just shown, besides, it is possible to co. mmander together by a only master induction, and to comm the second piston from the first.
So we will say that a tractor piston and a towed piston are orientated. In this last version, version therefore, the piston to bend is the orientrational tractor piston, and the piston of compression is the towed piston.
Inversion We can produce the inversion of this situation, by first realizing the induction of the piston which will be, then consequently simultaneously the plunger piston. from when we install, this once in a shorter radius, a second crankpin on the excenter:
tractor piston base, whose radius will be shorter, in such a way that the piston of structure perform a stiffness softer. In this case, the translational control crankshaft will control the piston stroke of stiffness. This possibility of procedure is of the utmost importance.
this for several reasons. First, it allows the piston to break up (.
Piston curvature single body pains. As we <~, as can be seen, the segmentation) n of the double slide linking the pistons is simply not easy, but also because it makes even more difficult the usual segmentation of side. Sn splitting the piston of circulation into pistons of stiffness units, it will be possible to reduce the difficulty of making the pistons sealed between them.
partition We can break up the piston core, and do it in the form of pistons conventional, what we realized in our previous work. The present adds that these pistons can be required by a single heart member, and that can even be made poly fi fi cameo, in such a way subtract the slides 1'unissa zt piston (Fig 10, Fig.11).
By the way, after defining the piston as the piston tractor, we can improve the piston of curvature in pistons of individual aches, one of these being inserted into one corners of the piston. (Fig. 12.1) As before, each one will receive a command, imilaire, semi independent of that of the corur piston. But we can also use the piston driver tractor piston.
Means for isolating the plunger pistons and plunger pistons, and modifications mechanical As we already mentioned:, we must isolate the piston piston: and the, or the piston of curvature in such a way that the gases do not go between the parts, which would cancel the effects obtained by their complicity .. For example, we could use i.me double exchange backstage, or one can use - a single slide insert dan> a part itself inserted in two pivoting parts Simplification Such sealing represents, as we can see, a challenge appreciable technique ..
Several means can be used to counter this difficulty. These means all consist of lighten the double sliding means i allows him to seal the two l: istons complementary each of their points. For this purpose, it is necessary, in all cases, to simplify the double vertical and lateral ratio of movement of the pistons in the points. In other words, it's especially the lateral aspect of the movement of the piston of curvature that is necessary decrease, see subtract.
But this can not be done on one of the points of the piston without keys inappropriate consequences, as by displacements in dE outside the path of the curvature, it comes on the tips the piston, which should be excluded. The advantage is immediate and important of the splitting of the curvature piston into upright stiffness pistons is that we can have each two independently :, in each corner of the piston core, and that, therefore, we can continue to benefit from their vertical income, and subtract from:
completely or totally lateral.
In a first version of cetti; nianière to do, we will insert iians every corner of the heart piston a cylindrical oscillating element, which will be provided with a sliding receive one of the pistons of unit curvature, the unitary piston is available, and will be connected with the extremity crankshaft of it. they are side-by-side, without losing the effiicacii the machine, and without modifying substantially the curvatures of the cylinder. (Fig.12.1) In unr;> other way of doing things, segmentation between the piston core and the unit stiffness pistons will be still easier if one inserts each of these pistons of unitary currencies through, single vertical slide in each point of the pisto; est. From then on, it will be necessary to link them to.
crankshaft by a slide, this time lower mechanical. ] as it has already been done for poly turbines, one will be able to fix each of the unit pistor of curvature by an element able to rely on a central eccentric Means of support The connecting means of the piston, unit of curvature and the piston core pistons will be able when simplified. The three main achievements of this procedure will be the following. In a first case, we will link each of these pistons being linked to the pistorn by a oscillatory pieces comprising a wings. In the second case, each of these pistons being at top inserted in a single slide of the compression piston, and connected to the bottom, ar.i crankshaft by one second slides. In a third case, we will relocate the vilebrecluin association slide, by a eccentric and a rod, or an eccentric counterpart. (Fig 13) Polychanted gears The first is to realize a seele, or both inductions with the use of gears polycamés, that is accelerator decelerative engrei ages. (Figure 12.2) The consequences direct use will be to check for differences in acceleration deceleration between the two aches and pains, while not controlling differences, depth of them result in allowing those parties to use only one single sliding member insulation, which will greatly reduce the difficulty mentioned.
Double shared slide.
The breaking of the piston of the court) a.ture in pistons of curvature s unit will allow in other to give a single slide to the upper part of the piston, and cle transfer the other to crankshaft. In this way the stall produced by the two pistons will be enormously more easy, since each piston unit: e of curvature sers tristemerit inserted in a sliding way, and not in an oscillatory and coulissiunte way, or in a translational way in the heart pistons. (Fig. 8) Slide and means of induction The purpose of returning to the piston ccõur the work of induction and inecision is mainly to strongly reduce the pressure: on the pistons or pistons.
Starting from this fact understands that it will be acceptable to trade the induction by crankshaft eoulisse, by induction simple cam or eccentric ,,: t push rod. In this case, the cylinder will rim the pistons of body aches or the system will be completed by a double cam.
Induction means From this fact, each piston ii.e unitary curvature can be activated different means, including The main ones are by poly induc tion, crankshaft slide, connecting rod with slide and seal oscillating at the top, by crankshaft: a slide, and slide at the top, by cam alone or cam against cam, central or inductive poly, p, tr eccentric, and eccentric ,, - omposé.
(Fig 13.2) Summary of this first part of the invention In this first part of the article, it has been shown that it is open to serve as two parts complementary pistons for each of the different curvatures, all of two of first degree, but with larger amplitudes to achieve with the cylinder curvature outside, in complicity the compression of a rotary machine, We also saw that these two pieces could be driven by inductions different, or by crank pins of the same axis aci ivant the two pistons.
These two parts must include parts ensuring the sealing ~ :: between they. We also saw that one of the pistons. preferably the list of stiffness, can be realized from fragmented way of in such a way as to be inserted in a flexible (oscillating or sliding in the second piston, preferably the piston pisto! i. This simple way of doing things:
necessary elements to seal the pistons together.
On the basis of this fact, each unit curvature piston can be ejected.
different means, including The main ones are by poly inducticn, by crankshaft slide, connecting rod with slide and seal oscillating at the top, by crankshaft slides, and slides at the top, By caine alone or cam against cam, central or inductive poly (Fig 13.2) So far we have shown that it is possible to realize iiin engine rotating or turbinating three parts without this understanding the reliability of the engine. l: n effect, while the crankshaft superimposition underground a connecting rod, remains mechanically hypothetical and risky, complicity of corur pistc n and pistons of curvature, simple or unitary, supported partially by the same mechan that or by two mécartiques enough independent is not an impending mechanical challenge. In addition, she brings many machines, improving the propensity for compulsion and acceptance of E:
xpansion, while retaining softer cylinder curvatures. Although appreciable, the results obtained include still some gaps, which as we will see it can be corrected. These gaps resemble those which are soft; encountered in some of our innovation earlier, either in the mechanics by polycammed gears in the mechanical superimposition of crankshafts, by the mechanics by poly pistons (Figs.
15) Indeed. we noticed that each and every one of these mechanisms realize the same number fluctuation, or correction of> cylinder per revolution than that d. as ares.
As a result, well that bulges brought in 1: s machines can only be under a only one angle at a time.
For example, during the realization; ition by polycamês gear., if one has the gear in the direction of the piton, one softens the neck of meeting of the arcs of the cylinder, but we do not improve the descending effect of departure. Inve ly, when the gear is available in the contrary sense pistons, we improve the effect descerant, but the curvature of rerx;
bows becomes too pronounced.
Similar results occur: nt when making mwõhines by stagings of crankshafts. Where, for example, for post-burial machines, crankshafts are superimposed in height at the top dead death, and that the crankshaft subsidiary goes inside during the descent, the compressioiz is higher, but the cost of encounter very bows pronounced. Conversely, when the subsidiary crankshaft passes worm outside and that addition properly speaking, the crankshaft is f? it la.tely, the meeting ares of cylinder is soft, but the expansion undergoes contrary forces on both crankshafts.
In addition, it is important here to remove the poly cylinder turbiiDnes, who, realizing a curvature that we have previously defined as being of bi-rotating type, succeeds in realizing positive effects, simultaneously at the top and bottom of the cylinder.
Unfortunately, the surface of pistons composing the paliq ue structure of these machines is too short, and therefore the Compression volume is too little.
Ideal cylnldre curvature of bi rotating type If you look closely at the cylinder of a rotating engine, you know it. makes account that on the one hand, its upper curvature may be improved and softened. Not only this would allow realize better rate of compressic, n, but also, that would allow. of bring the design closer to the piston head of the cylinder during the explosion, which would avoid the usual double cylinder, not compatible with a correct> xplosion.
Moreover, if we look at the standard cylinder, we realize that is usually a height ratio of seven ninth, which produces tremendous loss volunnétrique. If the curvature of the cylinder is increased, this will mean that the piston will enter more deeply in eIIe, and that consequently the elongated parts of the piston will realize mo ins of against effects, and the parties before a better effect. (Fig. 16) It is important to note that, in the engines whose number of side of the piston is odd, as for example triangular, the lower bore of the can, i will have to compensate for the character oblique the attack against the pis ~ on curvature, and therefore be more enlarged.
Increased degrees of caracti, re curvature of the machin * c So far we have stated that it was possible to make a puussée deep piston, everything by performing a gentle cylindrical curvature. But, the curvature dc, s cylinders of maehines In our view, we believe that we can improve the quality of the rotations. Indeed, to the extent we can separate: r the piston of compression and the one or those of curvature, we will show that is that the curvature of the pistons of courbat iires of rotary and tur binative engines is a curvature of second degree, while maintaining a curvature of heart pistor: first degree. Indeed, we think that if we can, by the t, ffl of pistons in compositior.i already mentioned, to enlarge the width of the cylinders, and to increase the height, without having to increase the width of the pistons at moment of the explosion.
Recall of the notion of degree in the; curvatures We say that a curvature obtained by a mono induction of t; ype Wanket, or any other Mono induction mechanism that we have developed is a +,;
first degree Similarly, we say that a curvature obtained by adding a crankshaft master and Auxiliary crankshaft is an inductive inductive type inductive and clerical also a curvature of first degree identical to the cycles of niono induction.
We reiterate that by adding u ri staggering crankshafts to the mono induction or even to Induction by poly induction gives a curvature of second degree In these case, this staging put the machine and its courburc to a macbine and a curvature of second degree so are for example obtained from machines with curved cylinders, or else: poly Gold turbines in our previous work, we have ascertained that the curvatures achieved with the resort to one induction was to be called curvature, of first degree. We have too, we also showed that It was possible to produce second-degree courts, which we did not have.
said curvatures of second degrees, Among the most typical curvatures, we note the curvatures per ac celeration decelerations, that we made by polycammed gears. Other innportant figures were obtained by addition of superimposed crankshafts supporting the piston. Finally, we have also shown that one birol curvatures, which serve, in particular, to receive structures The development of this first part of this invention is intended to object to show that, since the piston of curvature, or the pistons of fractured paroxysms support more than pressure, the latter being supported, for example, by the heart pistan, could apply them these mechanics without which we 1 could realize other curvatures of cylinder First example of combination of first and second degree curvatures We can therefore show here a first example of the second part of the present invention, know the one in which one will couple in heart piston realizing a curvature of first degree to unit-aiding pistons reflecting a second degree curvature.
To do this, we will remind you that we have already shown that it was possible to support hinges of palet structure of p,) ly turbine ,, this machine has ay-it a second degree curvature, by subsidiary crankshafts c (important geomorphic addition, these crankshaft being shown planetarily and retrore: to the crank pins of a -vilebrequin Here, these crankshafts will be realized of way 1 confused with the piston of irourbature, and will realize by therefore the desired curvature (Fig 18) As we have already seen for poly turbines, it is possible to support points of the palatal structure by pressing them on the sliding support rods on a central cam Double figure An important advance of the present invention is to show Ideally, if we could produce a cylinder with these two bulges at a time, everything not changing points the passage of the points of the piston lor, the dead time, one would have the di>> effects thermodyn.amiques important since one of them is to achieve a curvature of cylinder and piston eliminating side pockets, the compression ratio and allowing an explosion more central, and on the other hand, one would allow a larger volume upward and down gas expansion, and that, while not enlarging the dimensio:, i of the piston during the expiosion.
This realization can be done mechanically by making,:, that the stems of the cons pistons of aches are activated;
complete turn, but well, for a triangular piston figure, four times, We will obtain this result from several ways. First of all in pcily induction, we will realize the subsidiary crankshaft such that they turn twice tilus quickly, or else this time, it will be more of an elliptical curvature elliptical, so duplicate cam. In this way, the desired effect is produced. Similarly, if the stems counter pistons are repulsed by a crankshaft o, has a subsidiary eccentric this: ntral, one double, semi transmission of the speed of these, or rather, instead of realizing them;
simple cam, we realize in double cam, so almost elliptical.
Refinement of the curvature of the cy Lindre piston So we have a certain advance in being able to ensure that the cyli; ldre can to be curved towards outside, both at times up and down, and at the same time the fir.i of bulbs, without the curvature is changed to vi; the points of the piston to the tem <:) s death below and below. Of this way, we maximize the explosion and expansion, while preserving its minimum the size of the piston, and therefore the parts s of it and the cylinder offeites to the explosion.
But, a closer look at us; unene to the finding that the bulge needed at the top and bottom of the cylinder and those needed; in the arches do not have to nessarily be made with the same amplitude. However, with the previously disclosed methods, this is the case.
To make entries and support it will be necessary to realize L: s cams in such a way that these are done in pairs, e !: that these pairs are associated alternately. In other terms the cams allowing to bear the rods low conler pistons during the dead time must not be the same as those who support these same rods when realization of bulb arches.
Bent compliety machine of third-party and third-party cc, When examining the irotative curvature we have produced, until now, we can still aim for a supplementary refinement. Indeed, these curvature, predict a on swelling of parts corresponding to the times up and down, as well as parts the times maximally lateral anterior and posterior. However, with used, which plan to carry out successively> four exacerbations of the first cylinder, will attend pushing of the vertical vertical cylinders in length and amplity for all cases, .
But by analyzing, ideally the conflicts that should undergo the bending of the cylinder so that the niachine attains its maximum perfo rmance, we realized that the raise of the elevation of the cylinder must correspond to certain prerogatives, ~, that its enlargement must correspond to other intentions. What follows from this affirmation is to say that it is no only possible, but very sure, that the vertical exaggerations of the cylinder should not be identical to side increases I this one.
To give here an approximation, let us say that, ideally, the meeting of upper ares of the cylinder should reflect a good step :: age of the piston head, dc; such how to focus the compression at the center, and avoid 1õs double, see the triple pockets of compression of the chamber during ignition, of a manna which it should allow to preserve, for a certain time equal compression, so tello way to allow ignition exceeding briefly the dead time of the machine.
Moreover, it is known that one of the major difficulties of the motors;
consists in that, with a presumably equal pressure on the entire blade, one must train;
inflection of this one towards the front corresponding to 60 degrees = one hundred and twenty. To achieve this, the blades should be a little longer on one side, el this length should be delineated such way of not, conversely entail additional rotation orientation before.
The lateral extension the cylinder does not follow the same constraint as the extension ~ Rerticalisée. (fig 19) Therefore, a third degree cylinder curvature is needed. L: 'n cylinder of third degree is a cylinder which, in poly induction i would ask three heights of i, subsidiary ilebrequins. Here in Indeed, it would be a third subsidiary crankshaft, which would come increase one of the parameters and lower the other. Indeed, if the ori instalait on this structure bi rotating, a third subsidiary crankshaft which rotates at a rate of two turns per ri ' wolution of the blade, we could for example somewhat lowered the birotative height of the cylincler and increase its width. (fig.
20) Here conunent will be carried out 1eï mechanics higher esecommitted for in get the effects the specific cams above menfi.) nnes Mechanical by poly induction To achieve an alternativi thrust; different lengths of the ti ;;
against pistons of curse, we can, through the outside, unite the three gears of subsidiary crankshaft of a poly induction by a gear cc uronne, this gear being rr.iuni of successive cams of sizes equally equal. Consequently, it can be defined that the cams shorter enough in the center up and down, during downtime and up, and that the more long pass during the arches of the bulbs. When the macloin will be delivered by central crankshaft we can realize a second crankshaft whose cam number of different size will be doubled, and whose speed will also be double. Similarly, if the, me is located in the side of the machine, we can either provide for four members in pairs: -, opposite of niênie size, cu still, to unpack set of two opposing cams of different size, but this time rotatively mounted in the machine.
Third degree curvatures p: ir polycarved gears It is possible to obtain third-degree gears by gears polycamés. In fact, Polychrome gears can be made in very different ways.
can be arranged in the piston in the opposite direction, where in a hybrid position these two angles. By For example, one can make a polycamé engreg on four sides. Moreover, they can composting forms. For example, a gear of four: side can be paired with a gear six, which will keep the ratio, by e, xample two three machine, but also to produce more accelera-decelerations per turn.
In addition these subforms may not be asymmetrical, and therefore we can produce accelerations more and better decelerations of the elements of the machine. ( Fig. 26) Mechanics by cam translation, of the central eccentric, or of the support gear.
We can, to push back the rods of the pistons of curvature also to have resort to an eccentric central, round or multiform, whose movement will be translational.
eccentric, round, support indirectly on the pistons of curvature by the recourse to a parts intermediary, this parts being of different length on the sides and on the length., or if the polycames of the eccentric are of length diperent on the height and on the width, one will get the desired repetitions in the widths and widths of the rolls. (Fig.
22) This hypothesis leads us to decant the following idea which considers find that conventional production of the cylinders and piston of the machine, could realize the gearing of support in such a way that it achieves a translational dynamics. Fig 23 This will be possible if the sonmm of the differences between the support gear and eng engage induction, and the length of the crankshaft of the support of the trs.national gearing is equal to radius of the master crankshaft.
Therefore, two main kinetics can occur. On the one hand the i>, gears of support can be placed at the top, at the time of the temp. ~. dead top of 1 machine, or cumme in engines conventional, at the bottom. In the first case, it will come down at the same time the crankshaft master, and in the second case, he rem intera. It can be seen that in two cases, the translation is realized in the same area as that of the crankshaft.
In the first case, will have to reduce the size of the two gears, and in the second. the fat.
The two versions analyzed in downhill run give res. ultats interesting. In the In two cases, the gear in translation i is considered to be a machine of planetary support of ratio one on one, which allows the tra islation. The interest of this type of realization is that this one can be supported by a po ly induction stopped, namely p, ir a double crankshaft. of the during the orientation rotation of the iÅston can not incidenc.-indirect positional. By Therefore the positionnellc incidence, is directly from the crankshafts of the gear. In in other words, the blocking of the orientational effectives, positive and negative, turns into advantage positions, positive on all; the length of the blade.
Indeed, we can see, in <on any part of the room it forces the descent crankshafts of the support gear and simultaneously the crankshaft central. Otherwise if the crankshaft is arranged at the bottom, in the heel of the crankshaft central, he is moving in the same direction, he will find himself, going downhill, in scm end rear side.
As it will be rising, it will offer resistance to some sort of support.
the back of the piston, and the push on the back of it will be channeled on the rotation of the vikbrequin.
Like the gears are magnified, the support,) u the orientational armament di piston is will do more backwards, which will increase the nastiness of the machine.
For the cases, or the translation would be made in counter sense of the crankshaft master, it would design the gear of inductior. as a planetary gear, entering a rotational gear, which will be !: very difficult to achieve.
Several methods of training and synchronization of eng: i-enage crankshafts translation with respect to the master vilebreqjiin are possible. The method more sirnple of training consists simply of inducing each of them by an induction by gear internally, this internaediate gear being preferably shared by each of inductions. It can also be deduced from previous observations that the translation can also have positive effects, not only when it comes to the translatiori of the pale, in machines kinetic turbines with Clokwise, or when it comes to we come from the show, of translation of caxne pusher pistons of courbatare, or of translation of the support gear (Fig. 24) Second part of the present invention: recalibration of e Orientational and positional rotatk machines and turbines by redistiibution inductions Positional and Orientation Reminder of previous observations in this section To better understand the purpose of; this section we are sharing with observation reader that we have realized in relation to the mechanical presses.
The principal of these is the follow-up, if we observe the piston of a rotary machine, type post rotary, with respect to its crank support axle, this p: iston realizes an action retrorot.atiortnelle orientational. For example, for a rotary engine of triangular piston, turning in a cylinder in eight, where i attend a rearrangement of the order two-thirds of a turn per turn. Moreover, if we observe: the action of this piston by rapl: ort to its general rotation, we observe that the piston has when even advanced a hundred twenty degrees degrees by report to his initial position. .
This observation entails the following. If we look at the front of a rotatii piston; we see that he unfolds in relation to its crankshaft before retreating, while its previous folds on it even before unfolding.
These observations lead to a third. All the mechanics used to train a piston of a rotary machine proceed according to one or other of these observations and never the two simultaneously.
As an example, some mécarjics, such as the mono induction Wankel Island, or again mechanical by poly induction don we sum the inventor, distributed the piston, produce one on front power of the piston, .- t against the rear forces. other mechanical, such For example, the mechanics of Wankel's middle age, still by hoop gear, of which we are the inventor, favor the anterior part of the pesto, and produce counter efforts on the front part.
Another remark must still be made about the mechanics. It is necessary note that post-offensive type mechanics, usually reduce the piston to third, the rear third acting on the other hand, whereas the Nielsen by 4 of the retro type offe.nsif divide the piston into parts unequal, but much less unbalanced ..
Another finding must be made. While the mechanics post offensive try to directly drive the lm -sitional aspect of the crankshaft, the Retro-friendly canines, act, so to speak in chisel, by transforming the force orienf: ational in positional strength, One last observation must be made, and that is very subtle. If we correctly measure the volume report produced by the kinetic development of the positionally in relation to the orientation part, we see that the positional power is for two thirds of the total power. This can be seen more easily when observation of a machine basic turbinator. It is clear that the displacement of the piston alone, who corresponds the positional aspect produces two thirds of the volume, while that of the cylinder produces the other tieurs.
This leads us to say that whatever the mechanics used, the ratio Orientational positional the power that the piston develops with the recourse to this mechanic is unequal to the report positional and orientational of the partition of the volume and by cowquent of the power that the machine should have.
.Therefore, it can be deduced that not only in the mach: ines rotating, one of the most major is that the rear end or the front of the piston undergoes forces or against forces depending on the case, but also that the forces wt do not respond to Orentational report and POSITIONED;
Induction method of unitary orientaon In this section, we want to show that the character:
Orientation of the piston can to be achieved by reducing the number of samples, which will decrease the contra, .dictions Positional commented above ..
Indeed, if one supposes a member I in planetary set, and which one make a push on this member, one realizes that more this mernbre with a ray of retrorotatio n short, see shorter than that the rotation of the crankshaft centra I, plus rotational rotational force isional orientation is inferior and subject to the force of positional xctation. By ailleius more we extend this member, and that his radius of orienial filming becomes larger than ~. that of filming master crankshaft, the greater the backward force is powerful. (Fi ;; 28.1 and 28.2) Now realizing the piston in one piece with an orieniationnel member, we realize at the same time an excess of oriente force on the poskional force, who, although beneficial on one side of the magpie, one is downright negative on the other side.
Consequently, it should be noted that it will be preferable to Orientational control of a piston by a member himself mid-activated planetarily, this member being attached not rigidly to a place of the piston. any induct: we can be used to govern this plan member;
governor orientation.
By performing this type of induction, where it will shift the proportions of the effort provided on the head of the piston, and one's center of gravity; this one relative to the rendering of the explosion. We will be able therefore, coordinate more centrally and more accurately the center of gravity of the explosion and the rendering of the piston head.,.
Indeed, as we can see during the descent, the lxrtie back can work even if this is relatively weak, positively, and therefore, what is most importantly, the the central part of the piston may, instead of counterbalancing the eflects back on the piston, absorb correctly, in complicity with the party before part of the ex ~ ansion, whose course of action thezmodynamics is more particularly between these places. (: what about us?
come from to state it, one of the major defects in rotary engines is even more at the naechanical which perform guidance guidance as in kinetics same because most of these mechanics produce effn .; negative in the early part of the piston exploded at the pressure of the gas expansion, because the front part produces strong forces in leverage. We have shown repeatedly that it was possible to reduce these contn. strengths back, and that consequently, the power of the foas before the lever dimmed.
This realization represents the limit point of the previous ones in that the Orientational control exactly the same curve as the point of attachment 'free to piston would realize if it was driven by a fixed rudder. From a moment a diffi ence quite important will separate conventional induction, induction by a single point. At a induction by a single point, indeed the subsequent pushes at this point, whatever dircetes on the front of the piston, or indirect, on the back of the blade, will be superior but the distribution character orientated and positional of the USP will rather be depending on the point as such.
Method by complicity of orientational and positiii-nual identification This brings us to a second part of the present invention, in which will show that he is possible to relativize the orientational and positional character of the movement of a party compressive, like a rotary or turbinating machine piston.
First achievements As we have shown more lta.ut, it is possible to achieve the support gear of a rotating machine in a translational manner. Now, observing the acti, :) n of this one for a revolution of the machine, we realize that this is the same of the central crankshaft.
(Fig.27.1.1) This leads us to note that we can realize the eccentric, i: entral of a rotary machine in the form of an eccentric traaslationneL In this realization, we suppose a piece cylinder, later used as eccentric will be mechanically driven by two, or more, crankshafts, of the same length and rotating at the same speed and in the same meaning, these two crankshaft can be driven in this way by gears being steadily arranged, and simultaneously coupled to the same, gear connected to a central axis. We will be able the following rotatively the piston on this exce nical. When carrying out the mach.ine with a conventional eccentric, one cor: state that must be trained retrormally the piston by report to this one. Now, in the case of the present, as this eccentric; does not have any action orientational, but strietely a positional action, we dewa operate positively the piston relative to it. In this case, we will provide one or more crank pin viiebrequin subsidiary of an engr, mage of support, and one will couple this gear to that of the blade.
These gears will rotate in the same sense as the crankshaft e1:
will therefore involve consequently the piston pot rotativemert with respect thereto.
At theoretical level, the division of the teinps that we have just realized ~ ;; r is not new, she was stable in poly induction and in cicletic turbine machines clokwise. But what he There is again, it is the distribution these circumferential actions. In effect, positional action crankshaft, in secondary poly induction, will be made to the cent. re, and we will have more crankshaft master. (Fig 29.1) This will have serious consequences, including the main site.
at the reporting level of rotation. While in a pol ;, standard induction, the crankshaft master turns to reason of half a turn for a turn of the vilebr ;; quin quinaires, and that consequently gearing of induction are half the weight of the gearing supl: ort, here, support gear and induction motivate eccentricity, and a second series of engr-cnage support and induction will motivate the piston. These new er-grenings will be in a report either one in two, but one in three.
This will result in a point of anchoring or arming of the mental aspect.
piston more backward, and consequently decrease; i considerably against the the miachines, as well as the forces before needed to atract them. (Fig. 28.2) Therefore, if one realizes the kinetics of the cylindrical part and the dynamics of the piston, one realizes that the movement circular of that it is respected, but that while it; e move orientally two-thirds of all retrorotational compared to the millimeter of a standard crankshaft, here at contrary, for to maintain its speed, it must be post-rotated ac-this one.
This maneuver proves, out of doubt, that once again, it is possible to achieve a rotary machine by addition of velocity, and not by subtraction, such as this is achieved in the prior art. But there is more. E: i inverting the poly induction if,: lon its height, that is to say in positioning the positive motivation, namely that which produces:
two-thirds of the volume, center and motivation orientatiorn-ielle, the one that produces a third ilu volume, periphery, one restored to poly induction in a better ratio, and automatically in staging inductions. Recall that the retIisation of the central eccentric form translation has a a beneficial effect similar to that described above, namely that rotation on itself can not be obtained, and therefore, it can serve simultaneously. point character support Orientation of the piston, which nc: can be obtained in any induction carrying out the control of the piston by parts that can be realized simultaneously, simultaneously with their rotation around a general axis, a rotation around itself.
With this type of eccentric centril, perfectly translative, one realizes really of necessity to drive post rotationally * ~ e piston relative to it. appearance post offensive piston therefore appears here much more clearly than in any other induction. Thus, here, one simply adds to the crank pins of the support crankshaft.
of the eccentric gears that will be coupled to the piston induction gear. As these crankshafts rotate post rotatively, and that there is need for a post rotation of the gear piston induction and under piston, it will thus be possible to obtain the desired effect.
A finding of improvement i the forces can be found in progress downhill.
As can be seen, the oppcsitions between the retro forces functional and post rotational piston can not be realized. All forces are channeled into the rotation positional of the eccentric centr, he. Indeed, as we will be able find, by pressing the left before the piston, we realize, at the level of the rotation orienl: ational, a pull on the crankshaft that makes this action impossible, and consequently the force must to drift on positional rotation. We can see the same thing, even if we use the back of the piston. By moreover, in the beginning of descent, one acts more positively on the front side, without creating counter forces from the back side ..
Post rotation driven by the induct.on masters, and post rotation trained by induction of connplicité.
Several means can be implemented to train post rotativally the piston in relation to his eccentric axis As we have previously shown, we can achieve a gear of support not fixed, or retentive, but planetary, but well translational. (Fig. 27.5) This is another way of doing things better: zcepter energy in the engine rotatable.
We can go further in mor.trant than the crankshaft, or the eccentric a rotary engine can also be strictly translat: onnel. Indeed, we can build the eccentric of an engine rotating one using two or four crankshafts that will be mounted rotatively in the side of the machine in such a way that those if, as is the case for the piston engines turbines, are activated in the same speed and in the same direction. We can do this by example by providing each crankshaft with an induction gear and coupling each of these induction gears to wi central gear connected to an axis.
Subsequently we install on the May-ieton these crankshaft an eleanent of cylindrical shape that will serve as an eccentric machine. We will then mount the piss ton rotatively on this eccentric so that it is simultaneously inserted into the cylinder.
We will have consequently the armature of the piston is positionally we can to notice, the center of niouvemeni; translation of the eccentric, will describe a circumference identical to that of the center of a standard centric e.
By there will be in this type of niacriine a fundamental difference between the movement oritalization of its translational eccentric and that of the rotational of a eccentric standard. In fact, the r. orientational movement of the transitional xcentric is so to speak absent. This has a major occurrence on Mishine. In effect, whereas in rotary motors, standard, the pistg in moves against sense, to ~ have in a retro rotary way compared to its central eccentric, resulting in all the :: inductive speeding, in turn causing undue counter forces, here the piston moves in the same sense as the eccentric, that is to say post rotati vement So we can coor <'onner post rotativity the elements, such as gears in, making rotaxiormel movement orientational. .
In the previous example, the easiest way to train post ratively the movement of the piston will install on each at least one of the crankpins of the vili, brequin a gear of Support of a new type, that gold [could nonuner gear (I support orbital, which one will couple to the gear to the induction gear arranged rigidly on the blade.
When we have the items in the course of descent, we can see the benefits of a such method of supporting the piston. Indeed, as can be seen from the orientational force dysfunctional in mechanics; standard is here absent, is ic:
perfectly distributed. In Consequently, if we press on the front part of the piston we will produce, all as much on the teeth of the gear only on its center a positive ekt. By the way, if we have: :) pui on the back part of the piston, we will produce at most a top of the mechanics but we do not will not produce the cons undue forces that are found genetically in this type of macliine.
Moreover, what is here an important effect sought, one will realize, a proportionality of the thrust on the piston which is com- patible with the proportionalisatiori forces ay be developed, ie that the forces on the piston of such that two third of these are made by the positional training of the p: iston and a third by his Orientational training ..
We realized this last ve-rsion by respecting the cut of the poly induction but by redistributing it to the level of the elements. So so instead of make the crankshaft, as in the case of the first pre-induction, since it is sup-crankshaft master and supporting the piston, or instead of disposing of such a that they support the piston, as was the case in turbines, base, we arranged them here of such nunière that they support: the eccentric of the machine, the orientational movement being then driven by other elements.
Induction of complicity.
As previously shown, the piston induction gear was induced to party gearbox arranged rigidly on the crankshaft crank pins (:, the the eccentric. (Fig 27.5) Application to turbinat machines, es.
We can imitate this process, and apply it to the turbinali machines of type Clokwise., for balance the orientational force, here realized by the cylinder and the f) rce positional, realized by the pistons. For example we can make a central crankshaft and u: n or two crank shaft subsidiary, interrelated> chain or stem, (Fig. 29,2, 29.3 and 29.4) We will use subsequently, for example, the intermediate meshing of this indi.ictio0n as a father of peripheral support for driving the induction gear of the cylinder, this who will produce the retro rotation.
Generalization of inductions The purpose of the next statement is to make this subdivision of elements at all inductions. Indeed, we will be able to avoid any induction to lead movement strictly translational of an excen cal, then, starting from movement, induce post the rotational movement of the piston (Fig. 30) For example, we can induce the translational mecU ulation of the ex:.
by induction by intermediate gear, or by semi-translational gearing, or by gear hoop. In any case, it is possible to induce a post i = otation of the piston that realize the same advantages as those described in the translational example by poly induction stopped PPréCédent.
Enlargement of the notion of eccentric motivated planetary.
We have repeated to several people that one of the fundamental problems rotary motors depends on the type of induction with which it is realized. In one case, with the mono induction, we do not realizes that very little of the rotational potential of the machine, which counts, in terms of moving elements for a volume, while with others inductions, for example by intermediate gearing, the relapses should be completely Orientational guidance, whereas they should be proporte: onalised. The proclaains about show that we can arrive to realize one of the mechanics of rotary macros compatible with their volume construetion (Fig 34).
We can therefore state, following> last demonstrations that we can achieve it the excipient of a rotating machine in such a way that it turns into a different speed, orientationally, that of standard eccentric uri, and that this is not not litnitë to the only transitional configuration.
Indeed, it is possible to make an eccentric assembly of a machine that is producing everything first of all a piece of cylindrical form, which one will call! ra overexcentric and that one will then be mounted on an eccentri [connected to a motor shaft or to a motor crankpin of a crankshaft.
We will name this eccentric, eccentric heart or eccentric master. We will subsequently induce on eccentric a post or retrorotational movement by rappoit-t to the heart eccentric, and that induction is usually used to move the piston itself.
Even this piece, which we nominate as overexcentric, therefore has a circular movement coupled with movement on itself. . The surE-xcentric therefore realize a movement planetary.The piston will then be rotatively disposed of on this f: xcentric steering, and previously agreed, the necessary elements are available to carry out the governs orientational.
This governance will have this specificity. First, it can be made from the on eccentric. As the surexcentriciue will already have a pl movement, meta'vre, the movement planetary piston relative to the eccentric will be eccentric will be Generally weak. By example, one will install on the core eg, entric a gear, and on The eccentric govern a intermediate gear., which will eventually be connected to the gear of indluction arranged on the piston.
(fig 31, 32, 33.1) Control of the piston by the induction of the eccentric or by inducing complicity.
As we have seen, the motivation of an eccentric whose rotation on he himself will not be circumferential, as in standard or translational machines, but pluton planetary.
In all these cases, the piston does not have the same speed of retro or po st rotation that his eccentric. In some cases, it would have to accelerate it, and in others it would decelerate.
Differences in speed can be used between vi'.ebrake master and the eccentric cylindrical crankshaft to motivate an inter-gearing -mediate, or a double gearbox, which was then used to drive gears.
of the gear piston induction Moreover, it will be possible to drive this interme- diate gears, or c: e double gears intermediary arranged rotatively ir an axis itself arranged on the master crankshaft, in the coupled to a cage support gear rigidly fixed to the machine. The gear of piston will subsequently be rotated post rotorotativer.iient, the speed of sub rotation that will have been conferred on the cylindrical luin subvilebret.
But in doing so, we realize that we partially check the piston with induction type positional, and the other type of orientation.
This will have several advantages, and the two main ones will be the following ones.
We will move back significantly the arming point of the gear d: .- support crankshaft positional, and therefore 1-iiston. We will realize an inductio n orientational that will come to modify the reports of post rotatioiz and reversion of the inducaion positional, which will enable us to obtain exactly the ratio of post rotation and general reversion that we expect the machine.
Slinky movement We have already shown in our turbines that we could make a movement virtual piston that made sure that its total kinetics of the cylinder was realized in more than one short. To do this, we have it iter that if one chooses, intentionWally a report of rotation close to the tandard ratio, we will have little reconection orientation to perform, and yet, as the re-resolutions will require more im tower, we will have a report size of the gears that will be heavily modified, while demei.irant close standard reports.
As a result, gears gear ratios will inevitably be affected, while affecting slightly those of retro-tournagi: piston, which will consequently to be corrected easily. For example, in multi-explosion mi ~ tions, we managed to move back arming point of the gear cor sidérement while conserwmt a motion lying close to the motion clokwisre.
This is very important, because by quantifying the gross ratios of gears, we move back inking, coupling of the piswn and considerably modifying the proportions of forces, increasing the rear force, and dim: nuking the front lever forces.
It is the same here. The kinetics of slinky movement of a point taken hard 1'excentrique suvbasidiaire parmettra to realize wi rotation report whose e-agrenages will be of much more voluminous, in size of set, but not in one by reipport to the other, which keep the radius of the crankshaft E gal. As these dynamics me will change that little aspect rotational movement of the piston this will require little d4 ~ correction orientational.
As a result we will gain a lot on the point of inking, and we re will balance again more the ratio of effort of ch, each of the sides of the pistons by the induction orientational added, without that it does not cont.amin the whole system, by i.me too strong equalization of the thrust.
As a result, we will obtain exactly the right pushing positional, and desired orientation set.
It should be added that this is the most important element of present solution. So on uses to motivate planetary lic, overexentric, induction type post offensive, by example, a mono induction or an induction by poly induction, it will be possible complete with Induction of piton for example by c-gear hoop. We will complete by therefore a induction reduced in intensity of post-offensive tyf, by induction, also reduced in intensity, but retro-type offensive.
As a result, we will be able to achieve exactly the post-turnaround of piston without counter forces, and with as a set of recces forces proportionaliés to the quantum shooting positional and turning post orientational, or retro orient.atïorinel, depending on whether it is dune post or retro rotary machine, which one needs.
Application to turbinativi-ls machines Mechanical and turbine machine Similar mechanics can be realized for the machines: - binative.
However, some speci fi cations must be made. We know for example that in the machines turbines, one must realize the mechanics in function not of:
real cylinders but rather in function of the curvatures of cylindrical cylinders, realized by the points of pistons. Similarly here, peaks of muscle soreness, should be calculated in such a way as to receive from mechanical capable of performing modified virtual curves.
That being said, it seems to us that ~ mechanical downward induction could be realized from the overexcentric.
Mechanicals It should also be noted that the kinetics of the urexcentrics can all be more post rotary than the piston as more retrorotative. As a result, the induction gear the piston will have to to go according to the case in the same selis, or in the opposite direction. Dî, ns the measurement or kinetics with slinky kinetics, the orientational piston inductio: i will be little effective. More calculations In-depth studies will determine the best configurations for this.
Part III of the present invention, recalibration of currencies Orientational and positional of rotary and rotary machines by piston design Thermodynamics proves us Nature has her intelligence. In consequence, when Draw the head of the pi.ston with a straight line. We see that during the amo rce of the descent, this one sinks into the cylinder and closes, the cavity of it. This now gives I'imreesio that the the rear part of the piston is still and is compressed, and consequently, the engineers on intentionally drawn the part ai ~ interior of the piston of such fate that she gets married in the figure of cylinder. But even with such an external curvature, we are enc in this part a little room that after one of the explosi4 ~ n will close.
But, as we have just said, it is possible to realize which, if it do not produce any positive mechanical action on the rear part of the piston, do not produce no more action against force, rather a passive action. t:) r, the addition of a passive action, of a latent force to be completed by force before is quite rmjeur.
But this must be endorsed kinetically. We found qi; .e if we imposes on the piston, in its rear part, not a curve to the outside, but rather, to inside, under the bulebe before the cylinder at the level of the explosion chamber, the piston will move, and the cavity the result of this inner curvature 'na stand sour bulebe c, ffindre meeting bows, at high, thus contradicting the disguise of Ika chamber of conbwlion to this level, and at this point.
Preliminary calculations have allowed us to conclude that not only space could thus be maintained, but also increased slightly, even with erigriages standard, which can be aniplified with polycamé engren tges.
Therefore, we think that instead of trying to close this part of pisiton during the explosion, the mechanics associated with the present design of piston will allow to produce a positive explosion, and to make good use of the back of the piston for press the part before it i -lus later during the expansion nF:
really works post active Brief description of the figures Figure 1 shows some examples of differences between the theoretical thermodynamics and the practical thermodynamics. Only if, in theory, the same volume of compression and expansion of the gases leads to a similar amount of power, in practice <<ers mechanical can significantly influence the final results.
Figure 2 recalls, as briefly as possible, the main issues:
rotary engines, thermodynamic level, likewise, read the contributions that we have contribute to achieving ma.tière. This brief look will allow us to see the remaining problems, and identify how these can be solved by the present technical solution.
Figure 3 shows what is the interest of reproportionalising the thrust on the piston Figure 4.1 summarizes the principle: two mechanics by which we have to realize a better distribution of the thrust if ir the blade, this resulting to focus more than power in the center and the third before the piston, and not strictly, one hundred on the outer part, this which finally allows better access to the thrust of the explosion, which is developed priority to this place.
Figure 4.2 recalls the main ways in which we have so far managed to advantageously modify the shapes; compressive parts, either by polycammed gear, has , by superposition of crankshaft and inductance in b, by segment.Aion oscillating in c, and by poly rotary piston, conventional in d,,> ar poly turbine.
Figure 4.2 reiterates that one of the most interesting c onsformations is to delay the tip before the piston in the course of descent:, which has the effect of flattening the curve from the back part of this one, and to conceal that of the lower part. This is achieved twice a turn, we'll have a lowering the back part of k. combustion chamber, and a increase of its part before, in which it is possible to arrange the candle.
curvatures can be accompanied by curvature of the complementary pisto n, curved towards the rear, and curved towards inside, towards the front. .
Figure 4.2.2 shows the evolution of the volumes during the procedure piir deceleration acceleration orientational. We can see that the rear volute increases as we go.
the evolution of the cylinder made. This is reflected, mechanically by a progressive decline of cortex rear forces, obtained by polycamation or other acceleration deceleration means. The motf: ur is by therefore without volumetric loss. We will notice (read the shape before the piston dci it to be lowered for allow his entry into the ac celerative phase. Volumetric loss is product no longer in beginning of expansion but, as dar sn piston engine at the end of expansion.
Figure 4.3 recalls the various main concepts of engrewges polycamés, as well as the possibility to realize them with a number of degrees higher and out of phase.
Figure 4.4 shows an example of the intentional control of accelerations.
piston deceleration in some of its phases.
Figure 5 recalls a notion of b ~ ~ relating to rotating machines and which consists in that every point of a piston of a rotating machine, other than a ma - hine to piston movement translational, has a different kinetics specific to the dial in which it is find, and fit for the distance from the center to which this point is.
Figure 6 shows in a, a first geometric deduction that can flow last stated, that one could build two sets of vi: crankshaft and pistons realizing cylinders of approximately the same size, but with curvatures for one more soft and for the other more acute, realizing the first set;
crankshaft smaller and a bigger piston, and the second one with a bigger crankshaft and u: ne smaller piston.
Figure 7 shows the dynamics of the movement of the parts of the figure previous for a ride.
It shows that the decelerating accelerations of the pistons are different and that the center piston can produce a bigger impulse, compared, while the ~ piston outside allows keep a soft curvature.
Figure 8 shows that to obtain the efficiency of the coupling of pi, tones of rotary type, it takes keep the parts inside the pistons tight. Here, we use set of double slides , who will be able to keep the pistons linked to some difference in kinetics: kills these will produce.
Figure 9 rises that one could use the inner piston coinme driving element of conventional pistons, which would allow subtraction of the key rods poly pistons set, for which one would keep, for each one, only a slide of rac zordement.
.
Figure 10 shows that it is possible to subtract the differences c: acceleration deceleration side of the two pistons without any difference in movement vertical, realizing one or the two sets with the resort Here of polycammed gears, di-, such way that acceleration and deceleration of the two pistons are coordinated.
Figure 11 shows that it is not necessary to realize for the heavens pistons two commands different. Indeed, we can see that one of the pistons is disassembled in a relationship translational with respect to the other one can therefore ccimmander one of the pistons in the submitting to the other.
Figure 12.1 shows that it is possible to split the short piston into several pistons of body aches, which will simplify the fetus the watertightness between In this way we will be able to independently check each ends of the pistons.
It will be possible to modify laterally the parameters of realization of the curvature of the pistons of stiffness. Here, the pistons are c)) controlled by a main member mounted planetarily.
Each is slidably inserted in a cylindrical part cc-mportant a slide, this piece itself being pivotally or oscillatoryly inserted into each end of the piston.
Figure 12.2 shows that it is possible to subtract the cyRldres oscillating and insert in a strictly sliding way ~ the unitary pistons of courbatlare if we control the accelerations deceleration of the support member by polycammed gears .
Figure 13.1 shows the principal means of connection of the unit pistons of curvature and Piston heart pistons will soon be easier. The figure meiter the three main ways to do it.
Figure 13.2 shows that pivoting torso pistils will be connected to the same axis center of the machine.
Figure 13.3 shows in a and b. how to reduce accelerations decelerations in the good dial.
Figure 14 shows that when using eccentric, they can also be willing to unitary and peripherally, 91, still dynamically rt central 96. In this case, will see later that several dynam: ques can be used.
Figure 15 shows in a, that by some mechanical already comn) ented by ourselves,. we succeeds in bulging the cylinder either with these bulbs, or in these arches, then only in the cylinders polyturbine type machines, iion parvena.it to achieve cylinders bi-rotating type, successively realizing these two adjustments. , as shown in c but in mechanics by poly Pistons.
Figure 16 reminds us that if we carefully re-examine the cylinder rotary engine, one surrenders account that on the one hand, its upper curvature can be improved, and softened. Not only would this make it possible to achieve better compression ratio, but a: ussi, this would allow bring closer, especially on the back side, the design of the pisten's head that of the cylinder during the explosion, which would avoid the usual cylinder pain, uncompromising with a correct explosion.
Moreover, if we look at the standard cylinder, we realize that is usually a height ratio of seven ninth - which produces tremendously r, the loss volumetric. If the curvature of the cylinder is increased, it will mean that the piston ejitrera deeper in it, and that consequently the piston parts will realize against effects, and the parties before a better effect.
Figure 17 is a reminder of the notion of - first second wave, and third degree here represents this notion with the effect of superexposed poly-induction.
Figure 18.1 shows another possible cam dyruznique of pushed on piston rods of unitary curvature. Here, the cam ~ [the same number of sides as that of the piston, but realizes a planetary motion in the inverteous direction, which produces four consecutives faces.
In b of the figure, we find a ca not fixed but this time of faith sorting rotating, and who by Therefore, it will be possible to realize the anticipated trirotative fiie.
Figure 18.3 shows successively these three types of curvature. l:? na) on find, curvature standard rotary mono. In b) we find the bi-irotative curvature.
In c) of the figure found the curvature of sort rotational type, the latter being drawn exaggerated of course.
Figure 18.4 shows other exer. iple of cam allowing to reach indre these types of curvature. In a) the reverse dynamic cam is now double-buffered, then that the cam to The same meaning is almost tribal.
In 18 5, we see that we can desiior the cam as much as itself of form sorting, in taking into account, as already mentioned, acceleration and decelerations, as well as angulation of the rods of the pistons of unitary curvature. We will get then with a fixed cam, complex cylinder shapes.
Figure 19 shows in a) that one can also realize curves of third degree by polycammed gears. Here, while at the same time, there are three in two, the polycamation it will have a report d :; four out of six, which will result in four acceleration decelerations per revolution, which is the desired effect.
In b) the figure shows that it is possible to obtain a figure of third: ~ ie degree in a simplified way in adding a poly induction subsidiary to an element itself therefore even second degree.
Figure 20 shows that machir. are of retro-type in a ', i, and type poly turbines in b) can also be performed with the return to double curly;
obtained by the twinning of heart piston and pistons of curvature: ure unitary. In both cv's, this will increase their compression, which is here one of the desired effects.
In Figure 21 we show that the improvement of the shapes of positive effects similar for turbina machines i-- ~ es. Indeed, first, the best figure of the room explosion produces the same effect. Moreover, the lengthening of the piston by the exit of the piston of curvature produces an additional tingling effect on the cylinder in moving positively its center of gravity, and therefore the couple that it will clear around the axis centrat.
In Figure 22.1, we can look at each of the methods of E: support plus mentioned for turbines. First in the kinetic engines Clokwise, we can provide the cylinder of a fixed cam of almost elliptical shape and subsequently provide the against piston of stem curvature resting on this ellipse. We will then obtain the out and back in counterbalance piston.
In Figure 22.2. a spinning rod is made single stroke pistons by a central eccentric moving in a translational way, this support realizing a amplitude of translation greater than that of the piston core which has a.
the volumes of the already commented way.
In Figure 22.4, for a turbinal turbine with 1-s rods unitary stiffness pistons would be driven by cam, and would like to produce a sort curc rotating, we see that the cam must be made in eight steps.
In FIG. 23, it is shown that the curvature of the piston can be reshaped in such a way catch the explosion.
Figure 24.1 shows that when installing a member of faf;
planetary on a crankshaft any thrust on that limb, if its length does not exceed that of the radius of filming crankshaft, produces a ciu cular action on this crankshaft. Dars them rotary machines, this limb is the piston, and generally its extremities exceed by turning radius crankshaft.
In Figure 24 2, we give; two examples of such a procedure. In of the figure, a planetary unitary unit of contiSle of orientation is conducted:
pLanétairement by induction by intermediate gear. . In t-, the member is led by one. induction by mono induction Figure 25 shows that a conventional segmentation will have to be added to each of single pistons of curvature. However, it must be mentioned that we consider that the pistons units may also be fitted with helical coil segments in (b), or will be able to receive tangential oscillating segments as we have discussed them previously in c). These segments will be connected to the piston by: 'oulement, or by oouage gears polycamé, partially round, aru lué or rack in d).
In the present invention, we are reminded that the realization of oscillating segments and split or the suppo rt of daring segments and dg: doubled will also allow subtle way to achieve the lion falsifici of height and larguer clu cylinder.
Figure 25.1 recalls the notion of oscillation Figure 25.2 shows some ways of securing iriechanically movement rectilinear pistons of stiffness; . In a) we see that we can 3imply use bearings, on each side of each piston. These bearings can be replaced by gears. In (b) of the figure, oscillating supports are supple piston.
Figure 26, recalls in a, the main gears deeuositions polycamés., one producing accelerations of the piston on the bulbs clu cylinder, and the other in the corners.
Figure 26.1 shows that gold. could also activate the stems of pistons of stiffness unit with the use of a polyca whose movement would be translational B in the figure we recall the mechanics by pc ly induction starxlard, in which we have shown that The master could support two subsidiary crankshafts. This cutting helped realize that a peripheral translatienal movement can be adclined to a movement central circular to obtain the desired curvature of the cylinder.
Moreover, by matching this information, one can also oberver that installing a cylindrical element given on two central crankshafts, one had a movement rotational similar to that of an ex ,, standard entric, what mortre the Figures c) and d).
However, if these movements do the same positional shift, they have an aspect dynamic orientation very different. In the first case, each point of the cylindrical element produces exactly one circumference of radius identical to the circumference from the center point of the system. In d) we points are far from the center of sotournn. ~ Ge, plus the circumference is big.
Figure 26 recalls the notions of poycamation and shows that the year can realize these at third and fourth degree, which makes it possible to acceleration decelerations relevant.
Figure 27 reminds us that when I support machines motric: e post most standard rotary by mono induction, a third of the rear part of the piston acts against strength.
In b, of the figure, we see that the other forces are exerted rather mr the cylinder, in machinery turbines, and compared to the cent, -e, which produces little loss of energy, and that especially as the cylinder realizes the orientational part of the movement, the losses realizes to this level have a lesser effect.
Figure 26.2 shows the impacts read this type of new realiza- tion of the cylindrical piece of support brings, when these elements will be the supporting elements of a rotating machine.
In Figure 27.3, we see that it is quite easy to induce in simultaneous rotation crankshaft supporting the tranlational flow, fixing a gear, which gears will be coupled indirectly a third gear 934 pr, having to be fixed to a central axis Figure 27.4 shows the machine ai. dead time up, in cross-section, in, and in perspective in b) Figure 27.5 shows the elements eYi. downhill course Figure 28.1 shows the dynamics; pre-described elements, potz a ride of the machine. We sees that the central crankshafts 9'i0 supporting the eccentric tra nslational turn to the same speed, on the other hand, the induction drives arranged on their m turn on themselves and cause rotation of the engagement of the piston.
Figure 28.2 shows the advantage of this kind of (;:
mechanical support of the piston. Primarily, we see that even if the geomeletic relationships are respected, and that by therefore the turning point on itself of the piston, orientaticinnellement and positionnellelement remains identical to that of a mono inductir or any other other induction simple first degree, 980, cc cc reactions behind this point are partially countered by the fact that the coiiplage point of the inductance gear of the piston 981 to his Support gear stays further forward. As a result a, assigned strength back from filming point, despite the fact that it entails a retrocession 984, relies materially on a post-rotating turning point, there is more to an anaulation of forces that one creation of negative forces to propert were said. This negative energy saved is doubled by the fact that there is also economy of energy before necessary normal to neutralize it that will here be realized positively.
Figure 29.1 shows that this procedure can be adapted to turbinataf The gear 990 cylinder can result in a coupled peripheral gear assembly Has crankshafts. 992 These crank pins of these crankshafts will be equipped with gearing supporting the piston center gear, which will therefore perform a c inetic Translational.
Figure 29.2 shows that one can realize the machine with a vi: .ebrequin central. supporting the translational eccentric To c) mplete the mechanics of tran? cation, one dispose in the flank from the machine a crankshaft subside, and we will add his mane! tone to the eccentric. We will couple the central crankshaft and the subsidiary crankshaft of such, iorte that their action be identical, for example by a chau -e, a hoop gear, a E: gears intermediate. For finish, we add to the crankpin of the subsidiary crankshaft a engri nage of support that we will couple the piston induction gear.
Figure 29.4 shows that when the previous mechanicals are carried out to support parts of a turt-inative form machine Clokwise, the eccentric;
translational is realized from way confused with the piston, and the gear connection of the eiigrenages of crankshafts center and periphery can be neck, to that of the cylinder and perrn-cttre his activation in sense reverse.
Figure 29.5 shows that the radius of attack of the mechanical mechanisms turbinative, R1, is different from the one presented above, R 2 Figure 29.6 shows another example, in which the synchronicity (;:
crankshaft is insured by their coupling to a crankshaft ci ntral, by the recourse 'a third like a connecting rod 1.
Figure 30 shows that one can mechanize with any inducti (in one for one , the eccentric of a rotating machine, so that its movement is in motion translational.
Fans in figure a) n obtain a translational movement of the excent;
induction by intermediate gear, and in b), p ir induction by gear, water.
Figure 31 rises only in the mesi ire where the planetary active form is cylindrical, she can receive any other planetary dynamisati nt that only the translational dynamism, and that in spite of these modifications of retro or post-rotation Orientational, this piece will perform, like the translational piece, a positional rotation similar to that of a eccentric standard.
In this example, the part with u does not retrorot on the manetor of the crankshaft whose result that this piece turns on it even half a turn of the vilebcquin.
If it is about the piston, he should turn only one of yours. As a result reversion of the surplus is high, and it will be necessary to use a retroreflective filming of the piston in relation to this eccentric. Here for example, ion utHse two external iype link gear successive.
In Figure 31.2, the 1 ~ iston is mounted on the eccentric.
In Figure 31.3, we see the perspectives in perspective.
In Figure 32, we establish the orientational dyna nique of excenque planetary so reversed. To do this, we have placed on this eccentric a virtual piston, that we operate planetary, for example to c ~ = eer a virtual figure of exc;
retro-active four. As can be seen in this figure, the movement retrorotational the eccentric is greater than that expected for the piston. One will Therefore make an intermediate gear i uiissant the piston and this excenti.ique in such a way that this gear rotates post rotatively and restores the relative speed of the piston, whereas as one saw it previously, if the derotation speed of the eccentric e; t lower than expected for the piston, it will be necessary to add derotation by realizing an eni, xenage intermediate piston drive by the excei itrique which will work retrorotaïvely.
But the piston has always a rearward effect and avar t on this gear, that it is activated post or rétrorotativement. The interest of this section is therefore of find the way to magnify the support and induction gears of the eccentric, change the teat of the crankshaft and therefore the difference between the gears, what will show the next Fig.
Figure 34 recalls our synthetic planetaryizations motions: s, applied in machines turbinatives. In these we show that a planet-driven element can make a number of faces, but this time not con con: ecutive. This will enable you to gears while keeping between them a distance equal to that of the expected turning radius.
Figure 35 shows the interest of the latest procedures. The principal of this this is to back down the coupling point of the gears, which will make the counter-forces <<rrière really active more in back. This will increase moreover; the coupling up radius of couplagf:
gears. But the gain in direct knockdown reduction: huge. If this structure is:
surplus realized so polycamée what is shown in acomme in our first wire; ures, we'll have there a machine very fluid.
Figure 36 shows that if the piston retrorcation is unequal, this; who can be achieved by polycammed gear, and whether simultaneous induction of positioning and of orientation, some working differently, and others in we must develop a explosion which, at the time of death, i-arcera minus the piston forward, orientation, and towards center, in orientation reflexion, will force it more. We can therefore let the back work of the piston proportionally to the central explosion, and aiming at an explosion descending better located, for example by producing 1irtie of the piston.
Figure 37 shows in a, that the surface of the piston can be extruded in a variable of such way of producing a breakdown the explosion and expansioii appropriate for kinetics.
In b) of the figure, it is shown that s: we make a hole of each side from cylinder to level of the dead time of the piston, it will be possible to pull out the piston rings and replace with new, without having to open the cylinder, these holes being able to clogged by coins cylindrical.
FIG. 38 shows that with a suitable rear piston diameter, in which we realized an inner curvature of it, - ~ -010, this curvature will move towards washing downhill 3011, and in doing so, will come to test the closing of the cylinder I:
passage of the formed bulb by the meeting of the upper arches. 3012. As a result, comnie the watch the following due calculations surfa.ce relating to these spaces,: 1013,1'ear between these parties will not decrease, as in standard engines, but will remain stable, or produce light growth. This means that kinetically, one will be assured then that the machine i-st positive, even in his back parts. This is of the greatest importance, since we can deduce that in this part, the work of the rearward orientational force is started-, and that we would be wrong as does industry, to sacrifice the energy that this space could create:
by the support method by mono induction. The capacity Figure 39 shows that in coupling the notion of intra-back curvature of the piston and that of gear cylinder curvature; polycamé, (or other means acceleration and deceleration of the piston) we obtain a kinetics which not only produces no more compression after the idle time, this is the case, c the machines of the prior art, or still a handful of compression, as is the case in our previous figure, but increase gradual and significant volume> greater than the increase in wlume of the front part, for all the first part of the expans, one.
Figure 40 shows that these methods of guidagi can be turbines, in coupling the cylinder, by an induction gear, an inductive descendant, of which the peripheral support gear is attached to the sub crankshaft Brief description of the figures Description somma.ire figures Figure 1 shows some exempl -s of differences between thermodynamics theoretical and the practical thermodynamics. It is true that if, in theory, the same volume of compression and The expansion of gases results in a similar amount of power, in practice mechanical can significantly influence the final results.
Figure 2 recalls, as briefly as possible, the main faults rotary engines, thermodynamic level, as well as the contributions that we have been able to contribute to realize in the material. This brief look allows us to see the remaining problems, and identify These can be solved by the present technical solution.
Figure 3 shows what is the point of reproportionalising the growth on the piston Figure 4.1 mainly reminds us of two mechanics by which we have to make a better distribution of the thrust on the blade, resulting in focus more than power in the center and at the front third: of the piston, and not strictly on the outer part, this which finally allows to better acccess the thrust of the explosion, which is developed priority to this place.
Figure 4.2 recalls the main ways in which we have so far managed to advantageously modify the shapes of compressive parts, either by polycammed gear, has , by superimposition of crankshaft and induction in b, by segment, ition oscillating in c, and by poly rotary piston, conventional d) poly turbine.
Figure 4.2 reiterates that one of the most interesting is to delay the tip forward of the piston in the downhill, which has the effect of flattening the curve from the back part of this one, and to conceal that of the lower part. This coming true twice a turn, we'll have a lowering the rear part of I [combustion chamber, and uw:
increase of its part before, in which we can arrange the candle. I're ;;
curvatures can be accompanied by curvature of the pisto :: i complementary, curved ve: -s the back, and curved towards inside, towards the front. .
Figure 4.2.2 shows the evolution of volumes during procedure I; ar deceleration acceleration orientational. We see that the rear volume increases as the evolution of the cylinder made. This is reflected, mechanically, by a gradual decline in rear forces, obtained by polycamation or other means of de + acceleration. The word - ur is therefore without volumetric loss. It will be noted that the front shape of the piston is lowered for to allow his entry into phase a, celerative. The volumetric loss is product no longer in beginning of expansion, but, like a sn piston engine at the end of e: -: pansion.
Figure 4.3, recalls the various main positions of engrerings polycamés, as well as the possibility of realizing them with a greater number of degrees and of phase.
Figure 4.4 shows an example of intentional control of accelerations piston deceleration in some of its phases.
Figure 5 recalls a notion of b relating to rotat machines: .ves and which consists in that every point of a piston of a rotating hin, other than a m: Lchin.e to piston movement translational, has a different kinetics, nte specific to the dial in the qixel it is found, and fit for the distance from the center to which this point is trotuve.
Figure 6 shows in a, a first geometric deduction for arise from the last stated that one could build two sets of crankshaft and pistons realizing cylinders of approximately similar size, but with curvatures for one more soft and for the other more acute, er realizing the first set with a crankshaft smaller and a larger piston, and the second one a larger crankshaft and i;
smaller piston.
Figure 7 shows the dynamics of the movement of the workpieces.
previous for a ride.
It shows that the decelerating accelerations of the pistons are different.
and that the center piston can produce a larger impulse compared, whereas the piston outside allows keep a soft curvature.
FIG. 8 shows that to obtain the effectiveness of the coupling of the pistons of rotary type, it takes keep the parts where the pistons are tight. Here we use w: e set of double slides , which will be able to keep the pistons connected to some kinetic difference these will produce.
Figure 9 shows that one could use the inner piston as driving element of pistons, which would remove the connecting rods from poly pistons set, for which we would keep, for each one, only a coulisse of connection.
.
Figure 10 shows that it is possible to subtract the differences deceleration acceleration side of the two pistons without affecting the difference in displacement vertical, realizing one or the two sets with the recourse, i polycammed gears, such key way that acceleration and deceleration of the two pistons are coordinated.
Figure 11 shows that it is not necessary to realize for the d-cux pistons two commands different. Indeed, we can see that one of the pistons moves in a relationship translational with respect to the other We can therefore order one pistons in the submitting to the other.
Figure 12.1 shows that it is possible to split the shortened piston into several pistons of body aches, which allows to simplify the elements ensuring the watertightness between pistons In this way we can coi-control independently each one of the ends of the pistons.
It will be possible later to change the parameters of realizatio: :) the curvature of the pistons of stiffness. Here, the pistons are c:) ntrôlés by a principal member: al mounted planetary.
Each is slidably inserted into a large cylindrical piece a slide, this the piece itself being inserted in a pivotal or oscillatory fashion end of the piston.
Figure 12.2 shows that it is possible to subtract the cylindrical parts oscillating and insert in a strictly sliding way: the single pistons of curvature if we control the acceleration deceleration of the limb of support by gears;
polycamés.
Figure 13.1 shows the principal means of connection of the single pistons of stiffness and heart piston pistons will be able to start as early as 14, rs be simplified. The figure to master the three main ways to do it.
Figure 13.2 shows that swivel pistons may be connected to the same axis center of the machine.
Figure 13.4 shows that in the rifle or points of the pistols of aches do not accelerate and do not decelerate accordingly. ) in time, but rather partially successively, we can, by grinding them, realize them in a way each other.
Figure 14 shows that when using eccentric, these can also be willing to unitary and peripherally, 91, still dynamically and centrally 96. In this case, will see later that several dynamis can be used.
Fig. 15 shows in a, that by mechanical means already comm; -, owned by ourselves,. we succeeds in bulging the cylinder either with these bulbs, or in these ares, then only in the cylinders machines of the polyturbine type,) n was able to produce cylinders of bi rotating type, successively realizing these two augmentations. as shown -.nc but in mechanics by poly pistons.
Figure 16 reminds us that if we carefully check the cylinder rotary engine, one surrenders account that on the one hand, its upper curvature can be improved, and softened. Not only this would make it possible to achieve a better compression ratio, but more this would allow bring closer, especially on the back side; e, the design of the pistcin's head that of the cylinder during the explosion, which would avoid the doub the usual cylinder, not compaible with a correct explosion.
Moreover, if we observe the standard ~ = e cylinder, we realize that it is usually a height ratio of seven ninth, which produces a great deal of: - ~ loss volumetric. If the curvature of the cylinder is increased, it will mean that the piston will eritrera deeper in it, and therefore the rear parts of the piston will realize monris of against effects, and the parties before a better effect.
Figure 17 reminds us of the notion of first second wave:
third degree represents here this notion with the recourse to poly-induction sup õrposées.
Figure 18.1 shows another possible unique dyn cam cam on piston rods of unitary curvature. Here, the cam has the same number of sides as that of the piston, but realizes a planetary motion in the inver direction, which produces four conective faces.
In b of the figure, we find a fixed cm ae but this time of form tri rotating, and who by therefore will realize the f <trirotative anticipation.
Figure 18.3 shows successively these three types of curvature. In a) find, curvature standard rotary mono. In b) there is the bi-rotating type curvature. In c) of the figure on found curvature type tri rotai ive, it being drawn from: there exaggerated of course.
Figure 18.4 shows other cam followers to achieve these types of curvature. In a) the reverse dynamic cam is now double-protected, while the cam to The same meaning is almost triangular.
In 18 5, we can see that we can draw the cam as itself by itself sorting, in taking into account, as mentioned p: - recently acceleration and decelerations, as well as angulation of the rods of the pistons I unitary curvature. We will get then with a fixed cam, complex cylinder shapes.
FIG. 19 shows in a) that it is also possible to realize curvatures of third degree by polycammed gears. Here, while dumbing up gear of three in two, the polycamation it will have a ratio &, four out of six, which will result in four acceleration decelerations per revolution, which is the desired effect.
In b) the figure shows that it is possible to obtain a figure of third degree in a simplified way adding a poly subsidiary induction to an element itself planar, therefore even second degree.
Figure 20 shows that retrorotative type machines in a), and of type poly turbines in b) can also be achieved with double curvature i:
obtained by the twinning of heart piston and unitary pistons. In both cases, this will increase their compression, which is here one of the ffets sought.
In Figure 21 we show that the improvement of cylinder shapes has positive effects similar for turbinat machines, ves. Indeed, first, the best figure of the room explosion produces the same effects. Moreover, the lengthening of the piston by the exit of the piston of curvature produces an additional effect of te urnage on the cylinder in moving positively its center of gravity, and therefore the couple that it will clear around the axis central.
In Figure 22.1, we can describe each of the support methods more mentioned for turbines. First of all in kinetic motors Clokwise, we can provide the cylinder of a fixed form cam, ruasi elliptic and subsequently equip the against piston of curvature of stems resting on this ellipse. We will then get le3 out and back in counterbalance piston.
In Figure 22.2. , one carries out a t., rpe of repoussage of the stems of single stroke pistons by a central eccentric moves; in a translational way, ie support realizing a amplitude of translation greater than that of the piston core which has the volumes of the already commented way.
In figure 22.4, for a turbinator, whose piston rods unitary curvature would be driven by cam, and whose ion would wish to produce a coi, irbure rotating sort, we see that the cam must be made in eight con's.
In Figure 23, it is shown that the bending of the piston can be reordered in such a way catch the explosion.
Figure 24.1 shows that when: 'we install a member planetary way on a crankshaft any thrust on this limb, if its languor does not exceed that of the radius of filming crankshaft, produces a circular action on this crankshaft.
China: Rotary, this limb is the plunger, and generally its extremities exceed by much the turning radius crankshaft.
In Figure 2 we give two examples of such a procedure. In a the figure, a Planetary unitary unit of contnile of orientation is conducted planetary induction by intermediate gear. . In b, the limb is led by: induction by mono induction Figure 25 shows that a conventional segment will not be able to added to each of single pistons of curvature. However, it should be noted that consider that the pistons units may also receive; coil springs in b) , or will be able to receive tangential oscillating segments, which we eommented them previously in c). These segments will be connected to the piston by rc ulement, or by coupling gears polycamé, partly round, arqi ed or racked in d).
In the present invention, our tenon to remember that the realization (ie oscillating segments and duplicated or that of support of oscillating and unresolved segments will also allow subtle way to realize falsificat on height and to dump of cylinder.
Figure 25.1 recalls the notion of oscillation Figure 25.2 shows some me (ens to secure rn.bcaniquement movement rectilinear pistons of soreness ~. In (a) we see that we can > implement use of bearings, on each side of each pistons. These bearings can be replaced by gears. In b) of the figure, oscillating support t s supports the piston.
Figure 26, recalls in a, the two main positions of engreiiages polycamés., one producing accelerations of the piston pots in the cylindrical cylinder bulbs, and the other in the corners.
Figure 26.1 shows that one could also activate the stems of pistons of stiffness unitary with the use of a polycavie whose movement would be translational B in the figure we recall the mechanism by po: y standard induction, in lacquer1 (e we have shown that crankshaft may be able to support two subsidiary crankshafts, this cutting helped realize that a movement translatio wel peripheral can be adclitionned to a movement central circular to obtain the desired curvature of the cylinder.
Moreover, by matching this information, one can also observe that installing a cylindrical element given on two central crankshafts, one in ol had a movement similar to that of a standard excentric, which is Figures c) and d).
However, if these movements achieve the same posional displacement, they have an aspect dynamic orientation very different. In the first case, each point the cylindrical element produces exactly one circumference of radius identical to the circumference of center point of the system. In d) we points are, far from the center of sotournal, the more the circumference is big.
Figure 26 recalls the notions of oycamation and shows that o ri can realize these at third and fourth degree, this makes it possible to accelerate décélérationions relevant.
Figure 27.1.1 reminds us that rs of machinery support me: rice post most standard by mono induction, a tie; s the rear part of the pistori acts in against force.
In b, of the figure, we see that the cc ntre forces exert rather rather si.ir the cylinder, in machinery turbines, and compared to the centru, which produces little loss of energy, and that especially since the cylinder made the orientational part of the In the event of a loss, the losses this level have a lesser effect.
Figure 27.1.2.1 shows that from a point of view, the engines stiind has has one third of against forces, on the whole udder, while the engines turb: inatives of base has a perfectly equal force on his pist ~) n, and unbalanced on the cyâ [-dre, also because of a report about four out of five.
Figure 27.1.2.2 shows in b) that, according to the drawing of the pistons and cylinders of the prior art, the rear part of the piston and the cylinder, for the first phase of ssa descent seems to continue to compress, and therefore kinetic kinetics contrary to that of the energy expenditure of explosion and expansion.
However, in a, we see that the distance separating the rear tip of the center piston of the motor is gradually reduced p; w the folding of the piston on the crankshaft.
The mecanic therefore contradicts the kinetics, since the latter seems to produce job. We will see in the last flips that the courbi trees of cylinders to mechanical polycamés, associated with some piston bends made it out of this work instead of the deny.
Figure 27.2 shows the impacts of this type of new realiza-cylindrical piece of support brings, when these ele ments are the elements of supp + ~ -rt a rotating machine.
In Figure 27.3, we see that it is quite easy to induce in a:
simultaneous rotation crankshaft supporting the tranlational eccentricity, by attaching to + each gear, which gears will be coupled indirectly a third gear 934 poor be fixed to a central axis Figure 27.4 shows the machine with high dead time, in section tiransversale, a, and perspective in b) Figure 27.5 shows the elements and i downhill Figure 28 .1 shows the dynamics, pre-described elements, polished cr a lap of the machine. We see that the central crankshafts 9 50 supporting the axial eccentric turn to the same speed by the way, the gears c induction arranged on their mi meton turn on themselves and cause the piston to rotate.
Figure 28.2 mounts more) the advantage of this type of mechanics support piston. Mainly, we see that even if geometric relations are respected, and that therefore the turning point on itself of the piston, orientatically and positionelellelement remains identical to that of a mono inductii) n or any other induction simple first degree, 980, the counter reactions behind this point are partially countered by the fact that the point of this uplage of the inductive gearing of the piston 981 to his Support gear stays longer, forward. As a result a: force attributed back from turning point, despite the fact that it entails a 984 relies nma.tériellement on a post-rotating turning point, we thus witness more than one year of forces that one creation of negative forces proper. This negative energy saved is doubled by the fact that there is also saving of energy before necessary normally to the neutralize who will here be realized positively.
Figure 29.1 shows that one can adapt this procedure to the masters turbinataf. The gear of the cylinder 990 may result in gear gears peripherals coupled with crankshafts. 992 These crank pins of their crankshafts which will be provided with, -supportive gear the piston center gear, which will therefore realize a c: inetic Translational.
Figure 29.2 shows that one can realize the machine with a vile, -, brequin central. supporting the translational eccentric To understand the translation mechanics, we dispose in the flank from the machine a crankshaft subsüd; area,, and we will join his mane-the eccentric. We will couple the central crankshaft and the subsidiary crankshaft of such;
that their action is identical, for example by a chain e, a hoop gear, a gears intermediate. For to finish, we add to the crankpin of the subsidiary island a grape! swimming support that we will couple the induction gear of the piston.
Figure 29.4 shows that when previous mechanicals were not carried out to support parts of a turbo-shaped machine: native Clokwise, the eccentric, translational is realized from confused with the piston, and the connecting gear of the gears.
crankshafts center and peripheral can be coul k to that of the cylinder and peririettre his activation in sense reverse.
Figure 29.5 shows that the ray (the attack of the conver-tional mechanics turbinative, R1, is different from the one presented above, R 2 Figure 29.6 shows another example, in which the synchronicity of crankshaft is insured by their coupling to a contral crankshaft, by the use of a third party like a connecting rod 1.
Figure 30 shows that it will be possible to mechanize with any inductor.
one, the eccentric of a rotating machine, such that its movement is Lin translational movement.
In figure (a), we obtain a translational movement of the excel-induction by intermediate gear, and in b), p; ir induction by hoop gear.
Figure 31 rises only in the air where the planetary active form is cylindrical, she can receive any other dynamüsati Dn planétaiire that only the translational dynanvsation, and that, despite these modifications of retro- or post-rotation Orientational, this piece will perform, like the translational piece, a positional rotation.
similar to that of a eccentric standard.
In the present example the piece with i: does not retrorot on the handle of the crankshaft whose result that this piece turns on it even, a few times per turn of crankshaft.
If it is about the piston, he would have to turn only one tier; of retrorotation. As a result reversion of the excinent is high, and it will be necessary to icaliser a retrorotatig shooting:, nnel of the piston in relation to this eccentric. Here, for example, two type of link gear is used.
successive external In Figure 31.2, the mounting is mounted on the eccentric.
In Figure 31.3, we see the parts in perspective.
In Figure 32, we establish the orientational dynatiousness of exceryic planetary so reversed. To do this, a virtual piston has been placed on this eccentric, that we operate planetary, for example to show a virtual figure of eccentric retro-active four. As can be seen in this figure, the motion; ent retrorotational the eccentric is greater than that expected for the piston.
Figure 33 recalls our motions of synthetic planetaryizations, applied in machines turbinatives. In these we show - the element driven planetarily can make a number of faces, but this time not com ecutive. This will make it rude gears while keeping between them a distance equal to that of the expected turning radius.
Figure 34 shows the interest of the last two procedures. The principal of this this is to back down the coupling point of the gears, (e which will make the counter forces;
really active more in back. This will increase further, the rising radius of coupling; of the gears. But the gain in direct knockdown reduction es i: huge. If this structure is at surplus realized so polycamée what is shown in a) as in our first fi;, ures, we will have there a machine very fluid.
Figure 35.1 shows the interest of the last procedures. The principal of this one is to back down the coupling point of the gears, 4th which will make the counter forces,; urrière really active more in back. This will increase the radius of the coupling; of the 2004. But the gain in knockdown reduction say is huge. If this structwe is at surplus realized so polycamée what is shown in a)., as in our first fi fths, we will have a machine very fluid. The second interest is, to bring the piston, by the coupling, of preference , of induction post effective and retro el fective, to work, mechanically, in a manner proportional to its kinetics, which is the major difficulty of the michean presses.
In figure 35.2 we show na, that it is possible to train the intermediate gear leading the gear that is possible ~ to drive the gearing intemaédiaire leading to the gear of piston induction from a gearset support disposed, igidement in the center of the machine. As the external gear will be arranged on a mat sub crankshaft, and that the planetization speed of it is not identical to that of a standard crankshaft, or of a traniferous crankshaft, the gear set will be different, and depending on the case, that is to say, it is slinky rappelling backward in retrorotation more rapii or slower than the standard rotrorotation chosen, my is retrorotative or post rotary.
Figure 35.3 shows that the concept of crankshaft can be applied cylindrical to the machines of Turbine type. This crankshaft 3C DO can then have a cine-lique different from that of the virtual kinetics of the piston. And this kinetic will be preferable, a kinetics of slinky type, especially if the piston does not realize it itself.
FIG. 36 shows that the piston can be connected by means of a the gear to a crankpin located on the intermediate gear:> i this one is calibrated for one equivalent number per turn only the number of arcs of the cyliadre, or a double of this number. This will achieve accelerations decelerations without having to use polyvcamés gears.
Figure 37 shows in a, that the surface of the piston can be extruded.
variable way of such how to produce a breakdown of the explosion and expansio;
appropriate for kinetics.
In b) of the figure, it is shown that s: we make a hole of each side from cylinder to level of the dead time of the piston, it will be possible to release the conris segments and replace with new, without having to open the cylinder, these holes can consequently be clogged by coins cylindrical.
Figure 38 shows that with a suitable rear metric of the appropriate piston, in which we realized an inner curvature of it, 3 D10, this curvature will move: ra vers washing downhill 3011, and in doing so, will counteract the closure of the cylinder by the passage of the formed bulb by the meeting of the upper arches. 3012. As a result, as shown in following due calculations areas relative to these spaces, -1-013,1'ear between these parts r, will not eliminate, as in the standard motors, but will remain stable, or will produce i, only light growth. This means that kinetically, we will be assured that the machine E! st positive, even in his back parts. This is of the utmost importance, since we can deduce that in this part, the work of the rearward orientational force is started, and that it would be wrong as does industry, to sacrifice energy that this space could create, by the support method by mono induction. The capacity Figure 39 shows that by coupling the notion of intra-curvature piston and that of polycammed gear cylinder curvature, (or other means (Acceleration and deceleration of the piston) we obtain a kinetics which not only produces more than compression after the dead, as is the case, in machines of the prior art, or still a maintain of compression, as is the case in our previous figure, but a increase gradual and significant volume> greater than the wolume increase of the front part, for the first part of the expa.ns on.
This shows beyond any doubt that the mechanics we proposed to over the years and in the present invention have leu - corroboration kinetic, and pitr therefore that the concepts of thermodynamics relating to the volume and production of work apply here favorably.
Detailed description of the figures Figure 1 shows some examples of differences between the thern theoretical iodynamics and the practical thermodynamics. In the first in a) we see that while theoretically, parts compressive material producing the same compression fluid should be able to same energy thermodynamics, in practice this is different. Indeed, after a such statement, the compression of a smaller piston, naked by a crankshaft and a bieale plus long 1, should, always if the compressed volume is the same, give the same result thermodynamics, the same energy efficiency as if we had built the compression with the resort to a more big piston connected to a crankshaft pa - a connecting rod to a crankshaft must turning radius is more short 2. But in practice, if the co npression is performed by a big paus piston, the surface of piston and cylinder 3 offered to exp: osion is much bigger and direct heat exchange between the explosion and the material is much more important than if the piston is smaller. In Consequently, we have here a first example which shows that the final energy of the two identical compression volume engines can be very different in the convenient. In 3 of the figure, we find a motor with i more calibrated dimensions. By Elsewhere excess of a set of cylindrical piston re as presented in a dilute expansion 5.
In b of the same figure, there is another example of different thermodynamics, resulting from volume of compression and ignition, but with the recoi.irs to compressive parts 7 in comparison with a standard motor 8. In a second example, a given volume compression and expansion is achieved by the complicity of two pistons, inserted, as the industry has already produced it, in the opposite way in a single cylinder. Again there, if the performance theoretical of the two engines should ~ `be identical, the performance pr? itique will be different, since the Inert head of the cylinder stores more heat energy than the head of a cylinder.
active piston.
In the same figure, one may consider a third.
example of difference between theory and practice. Indeed, in a third example, the pi tone and the cylinder are not of cylindrical form 9, as is the case in a conventional motor, conventional but rather square shape 10. While theoretically, we can di: e that the pressure is equal on the surfaces of the pistons and cylinders, whatever their shape.
practice, we know today the mini-fest 11 phenomenon that the explosion produces, likewise that the fact that the explosion has a progressive origin and diffi ision. In.
therefore, the corners 12 of a square piston are later filled by pressure, and the pistons and cylinder perfectly rounded seem to be the most economical way of realizing the thermodynamic effort.
Figure 1 d reminds of cases of ceri: so engines built by p!
part of the cylinder relating to ignition on the side of the pisù in and not above 13. Encori: there, we will find notable differences between basic theory and practice. In depil of a compression and a equal pressure, and in comparison with ~. ~ ec a piston engine and cylin, be more conventional, 14, the two opposite sides of the head of the cider on the other hand large amount of heat which will not be realized in force of descent: 2.
In the same figure, we show <some examples of mechanization different parts identical compressive. At first we have a motor driven by an i + crankshaft and a standard connecting rod 15, then by a standard crankshaft l coupled to a sliding rod 14 , and a motor driven by supenosed crankshaft staging 17. Although possessing parts compressive identical, on certain mechanical aspects, these engines will be different. For example, the last two will have no low point, and will not be defeated.
angular piston connecting rod going downhill. In addition, the level of friction of the necessary to ensure the strictly rectilinear movement of the sliding rod, likewise the friction achieved by the moving, as straight as the seal piece uniting it to crankshaft will produce more than friction, and therefore cottage r not only unrecoverable but to cool, as well as total, the performance of the two motives will, in practice, be very different, and will depend on methods used to calculate them] .- fina.l. The same wnstatation applies for the double crankshaft motor. The gains made by the elimination low dead time, and the cancellation of the losses by angulatio ri of connecting rod, will be counterbalanced by acceleration more direct deceleration of the connecting rod, in strictly rectilinear motion, as well as by the friction caused by the gears necessary to drive the movement of the upper crankshaft.
Figure 2 recalls, as briefly as possible, the main d, E: Rotary engine faults, thermodynamic level, as well as the contributions we have, could have contributed to achieve in the material. This brief look will allow us to see the problems. remaining, and identify how these can be solved by the present solution tehique.
These defects are of three kinds, design, kinetics, and mechanics;
(a) the deficient design of the combustion chamber construction the explosion or explosions 18, rotational post rotational inefficiency (inelle 22 b) the square character of the udder 19 (c) the excessive length of the compressive panies offered to the explosion;
(d) the defect of the kinetics by: particular of the rear part of the;
during the descent 21 e) the dead time along the path 20 f) the rear imbalance of the oussée on the compress part: ive in progress downhill 23 g) the imbalance before the p (ussée on the compressivi part in the course of descent 24 h) lack of amplitude of the thrust before, due to lack; length of radius of rotation, age of the piston 25 i) too heavy (eccentric) mechanics j) too heavy a segmentation ~; 27 Recall that these defects lead others cascading, comine by example require it to add cooling systems, the great friction of the elements corner and side, and and so on. The correction of the basic defaults will lead to that of the cascading faults that in arise.
Figure 3 shows what is the point of reproportionalising the growth on the piston Figure 4 recalls mainly the mechanical ones by which :: we have achieve a better distribution of the thrust on the blade, resulting in focus more than power 32 in the middle and third of the piston, and not strictly on the outside, which ultimately makes it easier to accept the explosion of explosi expands priority to this place. We can summarize our previous work in saying that we have showed that one could, and this in several ways mechanical, raieux spread the thrust on the piston, partially or totally neutralizing counterforce; ï
back on the piston. In the Wankel motors, mechanized by me o induction, we find an important against force on pa the rear portion of the piston 28, and excessive leverage towards the end 31.
The center of gravity of these two opposing forces are very weak, and do not correspond to the center gravity the explosion, 32, and this despite the fact that the engineers moved it: -forward, by the candle later. . We managed to mitigate the back forces against these machines the price at to pay for this neutralization will have a decrease in the leverage before the machine. The total pushes will therefore remain the same, but we will have subtracted from the machine an important quantum of friction, because the ceiiter of gravity of receptivity nrr.economic corresponds better to the one for which we can determine an explosion. 32 The new liquidity machines will have allowed to support the piston by a single crank pin, which will eii for effect of subtracting only more friction, but also a lot of the pressure of oil necessary for good lubrication of it. This in turn will have reduced the Segment pressure side scrapers. It is besides this, read we also managed to produce at the kinetic level, by the turbines. Effectively, instead, by the necessity of to toggle orientationally the piston at its center in the machiiie standard, we realized the contradiction of the cylinder, and the gravity of it rctrouve directly in front of that of the piston, and therefore does not undergo this addition, or deportation Conventional machines. This gravity gap, which is the same for piston and the cylinder, is further back, and adequate to the explosior. . In the standa.rd rotary engine, the more we move towards the front of the piston, the more mechanical power is produced. By aillt: urs, plus we move away from the center of gravity of the explosion. For the same total general power, and for the same volume of expansion, we think it is ~ far better to move back the center of gravity, and position exactly where you want to position a positional rotation for two rotations orientation, about 58:, from the center of the piston, ir to achieve 1, explosion.
Among these mechanisms, we find the gear mechanism chauie, 34, and that by polycammed gears 35.
Figure 4.1 recalls the main ways in which we have so far managed to advantageously modify the form-- of compressive parts, either by polycammed gear, has , by superimposition of crankshaft and induction in b, by segmentî: tion oscillating in c, and by poly rotary piston, conventional in d l l iar poly turbine.
In this figure, we emphasize the notion of mechanics:
polycammed gears 36, 38, 39, that it was possible to regenerate accelerations decelerations retro character orientational rotation of the piston by: - realizing the machine with gears of support and induction said polycarbonate gears. These gears have the characteristic of not being round, but rather to make fig ares similar to those of the figui-es basic engines rotatable. When rotary machines are made with such types of gear, we note that the distance separating 1i ~ coupling point from the point of coupling of the gears center of the machine is, contrary to what happens when the machine is made with standard gears, variable. Therefore, we can arrange the-s gears in such a way to that the coupling point, at the top of the pen, be as close as possible from the center of machine. In doing so, one will accentuate: e pivoting of the lower point, and we will soften curvature of the cylinder at this point. i: and softening will allow, for a same cylinder, of change piston and crankshaft size ratios, by rapping out the piston and growing the crankshaft, Consequently, it will be eliminated, for the same cylinder, the exhibition area at the heat of the piston and cylinder lor5 of the explosion, which will improve:
machine performance It will also be possible to arrange the gears in the opposite direction, and on the contrary produce a bigger lateral displacement of the upper part of the piston during the top dead time, which will soften the upper part of the cylinder, and per = ttra to make a head of p iston more rounded.
In b of the present figure, we retrace the method by superpositi.:)n crankshafts. In the vileba equins overlay method, we showed that he was possible to support a piston by supporting it with an excel rotatably mounted on a first crankshaft. In the first case, for the word mrs retrorotative and rotary, one;
pass the crankshaft staggered inside the crankshaft merrier 40 and reduce the arcs of d (; scente in rotary engines, and increase them in arorotative engines.
Conversely, if one passes the crankshafts masters to the outside, post rotatively by compared to the master crankshafts 42, Dn increases the bulbs of the arcs;
post rotary engines, and increased penetration in the e: the corners of the piston tips in the retro engines rotatable.
In this figure, we point out that the use of segn = tents osciliants also helps perfect the drawing of the cylinder as a friend inducing the meeting angles of the arches forming the cylinder 43, and by enlarging the bulbs of (them 44.
In d) of this figure, we describe the method by poly-p.
rotary and conventional, which shows that in the engine rots, tifs, one can create on the excenti second litter and y attaching conventional pistons, preferably with turning radius will be greater than that of the eccentric, and that in view of joining, for each side of the piston, a set of connecting rod and piston 45, each of these pistons being installed in a cylinder iiisposé
in each of the sides of the piston.
In e) of this figure, we take a look at the notion of poly turbine 46, for which we have shown that this type of maclù ies had a cylinder whose characteristic was to be of rotary type. This means that the 4 cylinder curvature of this type of machines was between those of the post-rotating machines, the more convex, and that of the macl ines retrorotative more acute.
We also show that these machines were second-rate machines level, that is to say than during the mechanical operation of the palic structure of the latter, poly induction, one had to use two sets of superimposed veiled trees. We have subsequently shown that we could make the economy of these more complex mechanics.
showing that one could lengthen one of the mechanics of an element named rod of geometry, or again, serve as a central cam on which the rods supporting the hinges !, from the palic structure will be supported, Remember that these mechanisms involve difficulties, that this invention intends overcome. The first two mechanics include the same dielliculty in what that is improved on the one hand leads to gaps on the other hand. mechanics by superposition of the crankshaft is on this point eloquent. Indeed, when the vilebrecluin Subsidiaries and masters are both trained post rotativem.; nt, the bulbs of the ares is allotted. By elsewhere the dead time top is also lengthened, during the pa .. ~ sage inside the crankshaft.in subsidiary. Conversely, when the subsidiary crankshaft is on the inside during the descent, he ua addition of crankshafts at the top dead center. The curvature of the cylinder, at the bottom, during this top dead center is therefore very acute, and to weaken it must increase the piston by rapprirt crankshafts.
Figure 4.2 reiterates that one of the 4 most interesting fea-already made by gear polycamé, consists in delaying the pc integer before the piston in the course of descent 99, which has effect of smoothing the curve of the back part of it 101, and of l: omber that of the party lower 102. This being done twice a turn, we will have an abal the back part of the combustion chamber, and an augrr entation of its front part, in which we can Therefore arrange the candle 104. These curvatures can be a: -compagnées curvature complementary piston, curved ve, s back 105, and curved towards the interior 106, forward. .
The figure shows an example of intenlional control of accelerations deceleration of the piston in some of its phases. Here, for example, we intentionally the mid descent, a Relative deceleration of the piston by r Lembort to are crankpin. 101. G, sci will cause flattening of the curvature of the trajectory 102 the the rear part of the piston, el: par consequent curvature rear of the cylinder when the time is up. 103 the consequences on the third parite of the pisont and on the part of the cylinder being recluctive, are also interesting. In indeed, this part of the piston starts the compression. The curvature of piston kinetics at this location will leave his trajectory conventional, and therefore the cylinder will be at this point, more curved 104. The same The procedure will take place a half-turn later, which will make it possible to establish high, the curvature of the combustion chamber, which will have advantages in two ways, in that it will have been flattened backwards, and convex 105 to 1 front. taking into account that post work rotating rotational piston is worth thirty-three for the general dynamics of this type machine, we will have so the one curvature that will allow me to carry out an explosion between them at the time a movement positional and orientational movement. Moreover, this type of cplindre will limit for a period appreciable the release of chalei r in this part of the cylinder, this limiting the parties offered to untimely warming. The head of the piston 107 can marry, not after the explosion, as in the standard machines, but at the name of the explosion the curvature of the cylinder 106. In front, it can be lowered 108 without causing loss of compression since the anterior part has been narrowed. As a result, the ignition key of this type will be ideal.
Figure 4.2.2 shows the evolution of volumes during the procedure l: -ar deceleration acceleration orientational. We see that the rear vok me increases as the evolution of the cylinder made. This is translated, mechanically: by a gradual decline of creels rear forces, obtained by polycamation or other means of deceleration acceleration. The engine is by therefore without volumetric loss. It will be noted that the front shape of the piston has to be lowered for allow his entry into the a.rcélérative phase. Volumetric loss is product no longer in the beginning of expansion, but, as a result of piston engine at the end of expansion.
Figure 5 recalls a concept of tase relative to rotational machines and which is to notice that any point of a piston of a rotating shaft, other than piston movement translational, has a different kinetics specific to the dial in which it is find, and fit for the distance from the center to which this point is traced. Indeed, as we can see the figure, the further this point is located near the center 47, the greater the curvature of its kinetics is pronounced 48, plus the relative amplitude of the difference between its internal endpoints <<re and outside is strong.
Conversely, the more the chosen point is: located towards the outside 49, plus the curvature achieved by this point during a convolution of the ruler will be soft 50. For example, the kinetic of a point also varies taking into account the range in which it is located.
point located hard a line uniting the center of the piston and one end of the piston tips decried a similar form and in the same axis as that of C; Aindre, and will be as before, more acute or more soft, depending on whether this point is respectively closer to the center, or closer to the surface exterior. 52, 54 In addition, a C point situated on a pass line, the center of the piston and the the center of one of the sides, will describe if it is a sin-this time in a opposite angle to this one. Finally, a point between these two positions will also describe a similar form, more or less acute: but this time obliquely to the first two positions.
These observations make it possible to determine that the relative length of the piston of a rotary machine is small compared to its crankshaft length, plus, as we come to see him, the curvatures of the cylinder is exaggerated and becomes inadequate, but also, less the forces on the part back of it are important, and the more this part is active the ositive, which maximizes the power of the machine. It is therefore found that had it not been colarbure not appropriate cylinder, the energy of the machine will have improved, since for the same compression volume, we would have used a lower piston activated; ~ by a larger crankshaft, and we would have therefore obtained. not only a positive effort on the rear part of the blade, but also, a lowering of the area of exposure to explosive n piston and cylinder, thus reducing the heat exchange between these parts Figure 6 shows in a, a first geometric deduction pc) uvant arise from the last statements, according to which one can ,, build two sets of crankshaft and pistons realizing cylinders of approximately the same size, 56 but with curvatures for one softer 55, and for the other more acute 57, realizing the first together with a crankshaft smaller and one piston larger, and the second with wii crankshaft bigger and one smaller piston.
In b of the figure, it is assumed that these crankshafts have the same axis central and that the piston making the most smooth curvature will be extruded at its center, such way to allow the inclusion of the piston 59 achieving the sharpest curvature. Or.i suppose as each eccentric crankshaft assembly piston will have its own einsemble support gear and each of these assemblies must be proportionate to each of the eccentric and pistons. We will call the piston realized, at the curvature of the cylinder, the piston of curvature, and the piston realizing the effort of compress: one, the caeur piston, pu piston die compression.
Figure 7 shows the dynamics of the movement of these parts for one lap. We sees that the accelerations deceleration of the pistors are different and that the piston of the center can produce a larger impulse 61, compared 63, while the outer piston allows you to keep a soft curvature 60.
FIG. 8 shows that to obtain the efficiency of the coupling of the pistons of rotary type, it takes keep the parts inside the pistons tight. Here, we use urie set of double slides 66, which will be able to keep the piston connected: for some difference of ciri that these will produce.
Figure 9 shows that one could use the inner piston itself driving element 59 conventional pistons, which would make it difficult to remove the rods from poly pistons set 64, for which one would keep, for each one, only a slide of E!
connection. .
Figure 10 shows that it is possible to subtract the differences acceleration deceleration side of the two pistons without revealing the differences in their appearance.
vertical, by reducing one or the two sets with the recourse, i polycammed gears 72, of such way that acceleration and deceleration of the two pistons are coordinated.
Figure 11 shows that it is not necessary to perform for pistons two commands different. Indeed, we can obsf -rver that one of the pistons moves in a relationship transitional with respect to the other. We can therefore ccmmander one of the pistons in the submitting to the other. One or the other. two pistons may be the piston who will realize the basic training mechanics, and that is why we will name it the tractor piston. He will be therefore controlled semi-independently, or e-ncore, it was the piston of curvature which realizes the orientatioil of the piston assembly. In inslallera on the case, the crankpin of heart piston support was located above, in such a way to achieve a higher amplitude of it. In this version, the piston of curvature is the pisto; z orientational tractor, and the compression piston is the towed piston.
We can produce the reversal of this situation, by first realizing the induction of the piston heart, which will be, then simultanémenrn the tractor piston. From then on i; nstatlera, this time in a shorter radius, a second m.neton 68. 70 the basic eccentric of the piston tractor, whose radius will be shorter, in such a way that the stroke piston: realizes a more stiffness soft.
The figure starts from the previously stated idea that, the rarest Orientational compressive parts can rather be done on the piston corur, we can find that one will be able to break up the piston of piston curvature without difficulty.
of single curvature.
An observation will allow con; tater that the piston tips realize , One with respect to the other 67, a translational movement168. We can control the piston in connecting these spikes by small crankshafts trained; rotatively by engrena; es, an example is shown in B. 69, 70, 71.
On the other hand, in c of the figure, we can see that we can also assume heart piston and piston will have the same center: 800. From then on we will be able to connect to a crankshaft 801 subsidiary mounted on the heart pistort to the oscillating piston of curvature by the use of a bietle 802, or a cam with a coulis: -se. This subsidiary crankshaft and this cam can be activated by an induction gear attached thereto and a support gear being set the eccentric, or else a polycammed gear fixed rigidly to the side of the nxiteur. As the piston of bending and the heart piston a common center, we can ilisérer one to the other by additional arc-shaped element corresponding to the oscillations, which is shown in c).
Figure 12.1 shows that it is possible to break up the piston in several pistons of Unit aches 73, which will help to simplify the elements sealing between In this way we can independently control each of the ends of the pistons.
We can then modify laterally the parameters of realization.
Piston curvature of stiffness. Here, the pistons are controlled by a main member nwnté
planetary 76.
Each is slidably inserted into a cylindrical piece having a slide, 64, 75, this piece being itself inserted in a pivoting or oscillatory manner in each end of piston.
Figure 12.2 shows that it is possible to subtract the cylinders oscillating and insert in a strictly sliding way the unitary pistons of courtbalure if we control the accelerations deceleration of the support member by engrenal =; es polycamé 78.
Figure 13.1 shows the principal means of connection of the single piston.
of stiffness and heart piston pistons will soon be easier. The three priricipales achievements of this procedure will be as follows. Dai is a first case, we will link each of these pistons being linked to the piston by oscillating parts cc taking a slide 80. Datis a second case, each of these pistons being at the top inserted into a -. single slide of the piston of compression 83, and connected to the bottom, crankshaft by a second cow 83. In a third case, will replace the association crankshaft slides, by an eccentric and a stem 87. Moreover, crankshaft or cam, or sliding part of attachment. 86 may be subsidiary, 81, central, 82, Figure 13.2 shows that pistons with pivoting curvature will be connected to the same axis of center of the machine. It will produce; therefor accelerations decelerations side. Who will improve the curvature of the cylinder, reducing the exposure surface to the ex-erosion and increasing it in downhill course.
Figure 13.3 shows in a) that the mechanical accelerations produced by connecting rods are not in the same dial as the accelerations natural decelerations :, from the piston.
Figure 13.4 shows that to the extent that the tips of the pistons, ns of aches do not accelerate and do not decelerate correipondantly in time, but rather partially successively, one can, by marcelant, realize them in a way enbouvetée each other.
The figure shows in b that if we veirt achieve accelerations mechanical hazards, it is up to say without polycamé gears, and without splitting the pLskon, we must, as shown in b), perform a transverse directional induction to the system, d: -, such that these accelerations decelerations be iians the same cadranc that those of the piston.
Figure 14 shows that when using eccentric, these can also be willing to unitary and peripherally, 91, still dynamically,; t 96. In this case, will see later that several dynamics can be used. Finally, these cams can be rigidly attached to the sides of the machine 98. Taking into account the acceleration and deceleration of the piston, the angle of the rods of stiffness pistons: 73 realize the shape of cams depending on the cylinder res we want to get.
FIG. 15 shows in a, that by some of the mechanics already comr.i iented by ourselves,. we succeeds in bulging the cylinder either in these bulbs, 101 in this case 102, while in the cylinders of polyimine 103 type machines, it was possible to use cylinders type bi rotating, successively realizing this> two increases. 104, as shown e niais in the mechanical by poly pistons. In fact. We have noticed that each of these mechanical devices achieve the same number of fluctuations, or correction of cylinder by turn that eelui; ares. As a result, the bulges brought from the machines can the being only under one angle to the faith s. For example, during the gear realization polyamines, if we have the gear in the direction of the piston, we can:
encounter curvature of the cylinder, but we do not improve the descending effect of departure.
Conversely, when has the gear in the direction of the pistons, it improves: 'effect descending but the curvature of the ares become too pronounced. Results similar situations arise the production of machines by crankshaft etching. Lor :; than , for example for post rotary machines, the vilebrecl uins are superimposed in ha.uteuir during from the top dead center, and that the subsidiary crankshaft passes inside during the descent, the compression is higher, but the curvature of meeting wcs very pronounced. Reverse, when the crank shaft Subsidiary goes to the outside and reads the actual addition of crankshaft is done laterally meets the ares of c ylindre is sweet, but expaa-sion undergoes contrary forces on both crankshaft.
Moreover, it is important here to inspect the cylinder of poly turtines, who, realizing a curvature that we have previously challenged as bi rot, ative, succeeds to achieve effects positive, simultaneously at the top and bottom of the cylinder. Unfortunately, the pistons surface component of the palic structure of these machines is too short, therefore the volume of compression is too small Figure 16 reminds us that if we pay close attention to the cylinder of a rotary engine, one surrenders considers that, on the one hand, its upper curvature may be improved, and softened 109. No only this would make it possible to achieve better compression ratio, but also, this would allow to bring closer, especially on the girrière face, the design of the piston head of that of the cylinder during the explosion, which will avoid the usual double cylinder, little compatible with correct explosion.
Moreover, if we look at the standard cylinder, we realize that is usually a height ratio of seven ninth, which produces a great deal of loss volumetric. If the curvature of the cylinder is increased, it will mean that the piston will eritrera deeper in it, and that therefore the art parts of the piston will realize monris of against effects, and the parties before a better effect. 108 Figure 17 recalls the notion of curvatures of first and second third degree This notion is easier to understand i; n using the notion of poly iniluction. If we turn planetarily a first engrenagic and that we observe during a turn of rotation, for example a tooth of it, it will be seen here that it describes a trajectory, similar, according to gear ratios chosen, the curvature of a rotating machine, basic.
That's what we can observe in a) Moreover, if on this piece, one pc could install a second sub =
driven rüequin planetary, and that one observed the kinetic of his crankpin, one.
would notice, according to the report chosen, that for example one could soften the shape of the cylinder by bringing out the crankshaft for the period of arcing, which will have the effect of soften them, which is shown in b.
In addition, there may be a desire to increase two successive increases in volume, one in the encounters of the bow, and one in the bulbs. We would then need achieve a third correction, which is shown in c. Of course, such manipulations would train superposition of crankshaft and will be: unachievable, industrially. These examples had the purpose of this is to show the type of cylinder that we can tend. The flexibility of cams that we have:., shown above will achieve these complex figures with great simplicity.
The figure shows that we can realize in complicity a piston core of curvature of first degree, and unit pistons of cc second-degree groove. For this do, we will call back that we have already shown that it is possible to support the palic structure of poly turbine, that machine having a second degree curvature, by subsidiary crankshaft having a geometric addition I, these crankshaft being mounted planetary and retrorotatively to the crank pins of a central crankshaft. Here, these 1, the crankshafts will be realized from way confused with the pistons of curvature, and will realize consequently the stiffness desired.
But by analyzing, ideally, the costs that the curvature should undergo of the cylinder so that the niachine reaches its maximum degree of perfonnance, one realizes that the raise of the elevation of the cylinder must correspond to certain prerogatives, whereas its enlargement must correspond to other intentions What follows from this statement is to say that is no only possible, but certainly that the vertical exaggerations of the cylinder should not be identical to lateral increases of it.
To give here an approximation let's say that, ideally the meeting of the arcs of the cylinder should reflect a good pitch of the piston head, tolle how to focus the compression at the center, and avoid l. s double, see the triple pochc7ss of compression of the chamber during ignition, as it should allow to keep , for a certain time equal compression, so tellc manner to allow aIluriuriiage exceeding briefly the dead time of the machine.
Moreover, we know that one of the major difficulties of rXative engines consists in that, with pressure supposedly equal to the entire blade, we must inflection of this one towards the front corresponding to 60 degrees one hundred and twenty. To achieve this: i, the blades should be a little longer on one side, and this length should be determined in such a way not, inversely to drive of surcl, arge rotational orientates lle before. The lateral extension The cylinder does not follow the same constraints as the -rersatile extension.
Figure 18.1 shows another possible cam dyamic:
piston rods of unitary curvature. Here, the cam 302 has the same number of sides as the one of the piston but realizes a planetary motion in the opposite direction that produces quatrc; sides consecutive 303.
In b of the figure, we find a ca fixed me but this time of f, rme sorting rotating, and who by Therefore, it will be possible to realize the anticipated trirotative l-Drme.
We can deduce from the preceding thread: ure that if one hears modifies cylinder curvatures successively in encounters (, the bow, and in the bulbs, one will deira multiply the number of corrections. Therefore, for the curvature of two arcs, one must achieve four corrections, therefore realize a hybrid curvature between curvature in two sides and one curvature in four sides. This is what we call a curvature sort rotataive.
Figure 18.3 shows successively these three types of curvature. In a) find, curvature standard rotary mono. In b) we find the bi-rotating type curvature. In c) of the figure on finds the curvature of sort tri rot; itive, this one being drawn so exaggerated of course.
Figure 18.4 shows other examples of cams that can be used to types of curvature. In a) the reverse dynamic camõ is now double protected, while the cam to The same meaning is almost trianic in form.
In 18 5, we see that we can inert the cam as much as it tri-rotating form, in taking into account, as mentioned 1 previously acceleration: and decelerations, as well as angulation of the rods of the pistom of unitary curvature. We will then with a fixed cam, complex cylinder shapes.
Figure 19 shows in a) that oi i can also perform curvatures of third degree by polycammed gears. Here, while meshes of rappelling from three in two, the polycamation she will have a report <: e four out of six, which will cause-ra four accelerations decelerations per revolution, which is the desired effect.
In b) the figure shows that one can get a third-degree figure in a simplified way adding a poly induction subsidia ce to an element itself plan ': silent, therefore l.ui even second degree.
Figure 20 shows that retrorotative type machines in a), and of type poly turbines in b) can also be achieved with the: double curvature obtained by twinning piston core and single curved pistons. In both cases, this will increase their compression, which is here one of the ~ Cffets sought.
In Figure 21 we show that the improvement of the cylinder shapes has positive effects simiiaires for turbine engines. Indeed, first, best figure of the room explosion produces the same effect ~. Moreover, the lengthening of the piston by the exit of the piston of curvature produces an additional heating effect on the cylinder in moving positively its center of gravity, and therefore the couple it will clear around the axis central.400 In figure 22.1, we can deconfide each of the support methods more mentioned for twirling engines. First of all in kinetic motors Clokwise, we can provide the cylinder of a fixed cam of almost elliptical shape and subsequently to unite the against piston of curvature of stems resting on this ellipse. We will then obtain the out and back in counterbalance piston.
In Figure 22.2. it is possible to carry out a piston rod pushing pattern of single curvature by a central eccentric moving in a translational way, this support realizing a amplitude of translation greater than that of the piston core which aixgment the volunnes of the already commented way.
In figure 22.4, for a turbinatious mactiine with piston rods of unit curvature would be driven by cam, and don ~, ion would like to produce a co urure rotating sort, we see that the cams must be made in eight colors.
In Figure 23, we show that the; Piston bend can be realized in such a way catch the explosion.
Figure 24.1 shows that when installing a planetary member on a crankshaft any thrust on that limb, if its length 402 does not exceed that radius filming Crankshaft 403, produces an actior: circular on this crankshaft. In the rotary machines, this limb is the piston, and generally its extremities far exceed the turning radius crankshaft. So, to counter this problem, you can make a member unitary planetary directional orientation in a), this being a cowboy, not the piston, to connect the end to the piston, in one of its points in b) or in the one of these Listed in (c) In the counter-effects of the rotational mictors will be canceled. Ili will result from the back parts of mechanical blockages, denuded against effect, which will be used notable improvement in this type of machine.
In Figure 2 we give some examples of such a procedure. In of the figure, a Planetary unitary contrc member of the orientation is driven planetary induction by intermediate gear. Ei-i b, the member is led by ia.n induction by mono 502. In both cases, the unitary orientation member is linked to the piston 501.
It should be noted that the place of connection can be chosen in any sedion of piston, and that it is it is preferable that it be made from a joint including a in such a way that retain only the lateral aspect of the referral. We are pe example find that when the place of attachment is so close to the center of the side, there is little rotational incidence thrust, and that mainly 1 positional incidence is coriservated.
In addition, note that all in.iuction remains possible to activate member planetary orientation, which will be highlighted in one or more points at piston.
Figure 25.1 shows that a conventional segment na) can be added to each of single pistons of curvature. However, it is worth mentioning that consider that the pistons units will also be able to receive helicoidal segments: x in b), or will be able to receive tangential oscillating segments, which we have previously in c). These segments will be connected to the piston by rc ulement, or by ccuplage gears polycamé, partly round, arqi ed or racked in d).
In the present invention, our tenoris to recall that the realization of oscillating segments and split or suppori of oscillating and unstuck segments will also subtle way of achieving height falsification and dropping cylinder. Indeed, during his passage in the ares, the lowering of the forward passage of the segment may be increased, and compensated by the rear part. This will have the effect of subtracting a part reports of encounter unacceptable ares of rotating machines, when they are mounted with crankshaft longer. In addition, the width of the section segmenl:
will force the increase of the amplitude of the bulbs of the cylinder, which is also a desired effect, hey Figure 25.2 shows some tools for nechanically securing movement rectilinear pistons of curvature; In a) we can see that we can simply use of bearings, on each side of each of the pistons. These bearings can be replaced by gears. In b) of the figure, oscillating support brackets supl;
piston.
Figure 26 reminds us of the notion of polycamation, and shows that we can to realize polycamations of third, fourth degree allowing re <<read acceleration various decelerations of the machine Figure 27.1.1 shows that, according to the mechanics by which the piston movement of a rotating machine, the ability to receive it is very different. In aO in mono Induction and poly induction, the rear third of the piston acts in contrf ~ force, while the front part acts in effect of leverage. As for the central part, it neutralizes, against the forces of the rear prtie.
In b) of the figure, the intermeshing gearing Wankei, and induction by hoop gear of which we are the inventor. In the first place, the rotational force The orientation is distributed evenly over the piston.
In the second, one more much of the reception force is located in the back of the piston.
Moreover, for the same piston, Lii, distribution of the force of reception is also diofferent depending on whether it is a post otative machine, or a retorative machine.
In part c of the figure, we see that a mono post rotary induction controls the iston and that the counter forces back are third. In the machini, retrorotative, four cylinder listed, the report of the gear is three in four, and the piston induction gear is external type.
The majority of the receiving force is on the rear part of the pistcene for a percentage about three quarters of it.
Figure 27.1.2.1 shows that from this point of view, the engines stand in has one third of against forces, on the whole udder, while the engines turb: native of base has a perfectly equal force on his pisi on, and unbalanced on the cylinder, Jre, also because of a report about four out of five. This motor should produce less friction. by elsewhere, the cylinder, producing one third of the expinsion volume, should produce a tier; of the power The push of the posterior part of the cylinder are superior to that of its part the interior, not only because that it is wider, but also because the action descended from the rear part of the cylinder is gonui-iée by displacement laté: -al front of the piston. We will see that if the piston is drawn suitably, as shown in Figure 38 and 39, if this is done together with polycammed gears, and that final, nente one induces separately.- the cylinder and piston, one will have one machine whose v ~) lummetric losses will be nonexistent ::.
in that when supporting post-rotary machinery the most standard by mono induction, a third of the rear part of the pistoii acts against force.
In b, in the figure, we see that the other forces exert themselves rather on the cylinder, in machinery turbines, and with respect to the center, which produces only a small loss of energy, and that all the more so as the cylinder realized the orientation part of the movement, the losses realizes to this level have a lesser effect.
Figure 27.1.2.2 shows in b) that according to the drawing of the pistons and, cylinders of the prior art, the rear part of the piston and the cylinder, for the first phase of; ssa descent seems to continue to compress, and therefore to a kinetics contrary to that of the energy expenditure of explosion and expansion.
On the other hand in a, we see however that the distance separating the rear point of the center piston of the motor is gradually reduced by the folding of the piston on the vilc-brequin.
The mecanic therefore contradicts the kinetic, since it seems to produce job. We will see in the last few digits that short of cylinders mechanics polycamés, associated with some piston bends make it count of this work instead of the deny.
Figure 28.1 shows that when installing a planetary member on a crankshaft any push on this member, if its length does not exceed that of the radius of filming crankshaft, produces a ciri action, ulaire on this crankshaft.
In Fig. 28, we give two examples of such a hard problem. In a the figure, a planetary unitary member of control of the orientation is conducted planetary induction by intermediate gear. . In b, the member is led by a nduction by mono induction Figure 29.1.1 shows that one could also activate the stems of pistons of stiffness unitary with the use of a polycarbonate 900 whose movement translational 901.
In b of the figure we recall the -nechanical by standard poly induction, in which we have shown that a master shave 902 could support two vilebi = equin Subsidiaries 903. This cutting enabled us to realize that no translational movement px;
can be added a central circular motion to obtain the desired curvature; of cylinder.
Moreover, by matching this information, we can also observe that installing a cylindrical element given on two central crankshafts, there was a movement similar to that of a standard eccentric, which Figures c) and d).
However, if these movements perform the same posional shift, they have an aspect dynamic orientation very different -cnt. In the first case, each point of the cylindrical element produces exactly a circumference of identical radius to the circumference of the center point of the system. In d) all the points are ~ away from the filming center, plus the circumference is big.
Figure 29.1.2 shows the impacts that this type of new achievement of the cylindrical piece of support brings, when these elements will be the elements of deletion of a rotating machine. Of In fact, we will have here a rotati-e machine whose distribution of the movement orientational and Positioned motion will be reversed + .; compared to staniard machines and poly machine Inductive. Compared to the machine; standard, the piSton movement will be orientationnellemt addition to the motion of the crankshaft, and not subtracted from it: is the ace normally. By relationship to the nia.chine poly inductive% rotatormal motion will be peripheral and non-centric as is the case generally. In fact, this means that: if one actuates the piston of a standard rotary machine by means of a gear that would fit on the eccentric, we should then use an inter-channel gear that achieves an action rétrorotative. In court of descent, we can see that this act will be contrary to that of the descent of the piston. Eite would equalized by the weight on the back of the pistori. This action reaction of equal i: ntensity is inadequate if we take into account that the action of the piston switch from half of degrees forward to each degree I rotate the hundred crankshaft: -a1.
With a translational eccentric, one realizes that the action of the piston in relation to this one is not retrorotative and fast, imi.is pluto post rotary and slower.
At each advancement of thirty degrees of the crankshaft standa d, one must carry out a retro rotation of came degrees for position the piston. at each 20 degree stroke of the crankshaft translational, we must advance the piston two. We therefore reduce the friction by half. oa will rather, from a gear arranged on the eccentric c-ntrain post rotatively 92; a intermediate gear, which in turn will cause the piston induction gear, steered: ionellement.
In Figure 29.1.3, we can see that it is quite easy to induce in simultaneous rotation support crank 930 of the tranlational excentric 931, each a gear 933, which gears will be cotipled indirectly a third party 934 can be attached to a central axis 935.
As will be shown later, we will be able to realize various induction of the gear intermediate leading from the subsidiary crankshaft to the piston, by any induction of relationship for example, the more the three-sided piston figure, one po ;; t turning the piston one on three of that of the crankshaft of support of the eccentric translaticinnel.
For now, let's note that a way by a.illeurs very simple to realize the post turning of the piston will be to provide the eccentric support crankpin of an engrenal: e external 936 that we will couple to the support gear of piston 937.
Figure 29.1.4 shows the machine at top dead time, at, and in perspective in b) Figure 29.1.5 shows the elements undergoing descent Figure 29.1.6 shows the dynamism, read from the elements described above, for a tower of the maclùne. We sees that the central crankshafts 5-50 supporting the eccentric tr: mslationnel turn to the same speed, moreover, the induction gears arranged on their crank pin turn on themselves and cause the piston 951 to rotate.
Figure 29.1.7 shows in a more precise way the advantage of this typc of mechanical support of the piston. Mainly, we see that even if the geomE reports are respected, and that therefore the turning point is itself piston, orientally and positionelellement remains identiilue to that of a mono induction or all other induction simple first degree, 980, the reactions behind the point are partially countered by the fact that the location of the induction gear of the piston 981 to his Support gear stays plui forward. As a result an assigned force back from turning point, despite the fact that it entails a retrorotatiün 984, externally on a turning point post rotatii ', so we are witnessing more of an arnulation of forces that one creation of negative forces proper. This negative energy econvsée is doubled by fact that there is also economy of energy before the necessary normal:
neutralize it that will here be realized positively.
Figure 29.1.8 shows that this procedure can be adapted to. engines turbinataf. The gear 990 cylinder can drive a set of gear periph 3ric coupled Has crankshafts. 992 These crank pins for these crankshafts will be equipped with gear supporting the piston center gear, which will therefore realize a kinetic Translational.
Figure 29.2 .1 shows that the machine was designed with a central crankshaft. 1000 supporting the eccentric translation nel 1003 To complete the mechanics of translation, we dispose in the side of the machine a crankshaft subsidiary, 10 31, and will join his crankpin to the eccentric 1006. We will couple the central crankshaft and the crankshaft subsidiary so that their action is identical, for example by a chain 1004, uii hoop gear, a intermediate gear 1005. Pow finish, we will add to the crankpin I of the subsidiary crankshaft a support gear 1007 to which the piston induction gear will couple 1008.
Figure 29.2. 3 shows that the crankshaft!
subsidiai.res supporting the eccentric crankshaft by the recotirs to a metal rod 1000, :) with a link to a vi.the central breuin.
Figure 29.2.4 shows that when -. previous mechanics:
carried out to support the parts of a machine of form turl rinative Clokwise, the eccentric translatüonnel is made of confused with the piston 103 ~), and the connection gear .1031 gears of crankshafts of center and periphery can be coupled with that of (: ylindre 1032 and allow his activation in the opposite direction.
Figure 29.2.5 shows that the mechanical strikes turbinative corrosion, R1, is different from the one presented above, R 2 Figure 30 shows that one can mechanize with any inducti:
one, the eccentric of a rotating machine, of such a kind that its movement is im motion translational.
In figure (a), we obtain a translational movement of the excenque by induction by intermediate gear, and in b), iar hoop gear induction.
Figure 31 rises only in the me.wre where the planetary active form is cylindrical, she can receive any other planetary dynamisai ion that only liii tranlational dynamisation, and that in spite of these modifications of - retroactive or post rotatiorinel Orientational, this piece will realize, like the translati piece (melle, a positional rotation similar to that of a eccentric standard.
In the present example the piece with, i.ne retrorotation on the crank pin of the crankshaft whose result let this piece turn on it half a time every turn of a vilel, shark.
If it is about the piston, it would have to turn only one tier 3 of back turn. As a result, reversion of the excinent is high, and it will! -realize a retrorotati shooting: :) nnel of the piston in relation to this eccentric. Here for example, ion ul ilise two type link gear successive external In figure 31.2, the piston is mounted on the eccentric.
In Figure 31.3, we see the parts in perspective. Planetization of the sub-crankshaft will only not equivalent to that received by the piston, motivated by a mi, direct canalisation. In As a consequence, the completed action of the ston will be either backward:) ar compared to that of the csub vilebreuin, either a post rotation. As a result, ur.i or double gears starting from the induction gear clu sub crankshaft which, installed rotativmeent on a crankpin arranged rigidly on the central crankshaft i will couple to the eng-go cy, Indre. We will train directly to the cylinder gear, or we will produce an inversion s -lon the case.
It is important to note that, in this procedure, we realize:
simultaneously coupling of induction by mono inductior, and induction by engre swimming hoop, consequently induction with a posterior effect, and induction with anterior effect. By coupling, not only will we be able to achieve some of the backward effects and piston, but also to balance, according to the selected gear ratios, in such a way to proportion the effort, between the piston and the cylinder depending on the kinetics, the design, and finally developing of the explosion. The proportionalization of the piston receiving force will be due to the fact that This will be shared between the imbalances of different types employed.
the weakening and strengthening of one or the other of inductions Moreover, as will be pointed out>
to use dynamics Slinky for the sub crankshaft, important modifications of the sizes of gears, without altering the shape of the gear.
As a result, will considerably reduce the point of the inking of moron induction.
induction.
In Figure 32, we show that, as in our turb inative machines, we can talk here about virtual figure, the latter being established, In the present example, the virtual dynani crankshaft is that of a square. To calculate the mechanics to appli piston, depending on the subvilebrequin, it will be necessary to calculate the difference in this figure and the figure real to get. In the present, by the trajectory of a defined pole of the subvilebrequin to: r a tower. establishes the dynamics orientation of planetary eccentric inversely. For (: do, we have disposed on this eccentric a virtual piston, that the:) n operates planetarily, p, ar example to create a figure virtual of eccentric retrorotal ive in four. Comnze we can note, in this figure, the retrorotational movement of the eccentric is superior to that which is waited for the piston. It will therefore be necessary to locate an intermediate gear uniting the piston and this eccentric in such a way that this gear rotates post rotatiti, ement and restore speed relative to the piston, whereas, as we saw earlier, if the speed of derotation from the eccentric is smaller than that stretched for the piston, we will have to add derotation realizing an intermediate gear; piston drive by the eccentric who will work rétrorotativement. But the piston always has a rear equal effect before on this gear, which he either activated post or retrorotativemert. The interest of this section is therefore to find the means of enlarging the gearing s support and induction of the eccentric without changing the teat of the crankshaft and consequently the distance between the crankshafts, what will the next figure.
All the virtual figure of sub vi: ebrequin are possible, but ccrtaine will be preferable to others. Preferably, we will aim the conjunction of a mechanic: retro efficient, and of, a post effective mechanics. Here for example, as, by oppositiori in the figure previous, the mechanical is retro effective, it can be coupled to a mono indluction post rotary, for operate the piston.
Again, not only does it seem preferable to cut induction of such way to achieve together post and retro effective incl.uction, i nais also, in such a way to proportion the performance of each. So, we will show more far the importance of Slinky dynamics, already used by ourselves for the pistons of, ~, machines turbines, and use here by sub crankshafts.
Figure 33 recalls our motions (! Planetaryizations synthetic>, or according to another terminology, Slinky kinetics of planarization. applied in years turbines.
In these we show that a planet-driven élémerit can realize a number of faces, but this time not consecutive. As a result, the number of: faces will do on more than one trick.
As a result, the ratio of eni: xenages will be high. For example, here producing a year a figure at eight sides not consecutive, ei: in b) a figure has twenty sides a'ton consecutive.
In the first case we will have a rapl: ort of three eighth of a turn el in 1 second case, a report nine twentieth turn.
This will make the cracks rude while keeping in between them a distance equal to that of expected turning radius.
Figure 35.1 shows the interest of the most recent procedures.
this one is to back down the coupling point of the gears, which will make the counter forces back really active more in back. This will increase the amplitude of the coupling beam, 2004. But the gain in knock reduction din.:ct is huge. If this structu.re is at surplus realized so polycamée what is shown in a), as in our previous figures, we will have a machine very fluid. The second interest is to bring the piston, by coul.ilage, of preference, of post-operative and retroactive induction, to work, mechanically, in a manner proportional to its kinetics, which is the major difficulty of naehines presses.
In figure 35.2 we show in a, that it is possible to train the intermediate gear driving the gear that it is possib: .e to drive the intermediate gear leading to the gear piston induction from e; gears of support rigidly arranged in the center of the machine. As the intermediate gear will be placed on a net fixed to sub crankshaft, and that the planetary speed of this one is not identical to that of a standard crankshaft, or of a tranlational crankshaft, the jeii. gear will be different, el according the case, that is to say, it is rappelling slinky by, back in retrorotation faster or slower than the standard rotrorotation chosen, either retrorotative or post-rotating.
Figure 35.3 shows that we can apply the notion of crankshaft [luin cylindrical to the machines of Turbine type. This crankshaft 31100 can then have a kinetics different from that of the virtual kinetics of the piston. And this kinetics will be preferable kinetics of slinky type, especially if the piston does not make it itself. In this case, the cylinder; will be activated by several mechanical, of which for example by im gear of peri-plasic carrier 3001 rigidly attached to cylindrical crankshaft, this gear being coupled to an engrenagi ;:
central induction coil 3002 to cylinder 3003.
Depending on the speed of induction of the crankshaft sizb which will be corrmanded rotation speed of the support shaft of the internal gear gearing to the gear;
piston, we will be able therefore have a post-reaction action of it quite slow, Figure 36 shows that the piston can be connected by a the gear to a crankpin located on the intermediate gear, if it is calibrated to turn a equivalent number per the number of arcs of the cylinder, or a doubling of this number. This will achieve deceleration accelerations san: have to use polyvcamés gears.
Figure 37 shows in a, that the s--face of the piston can be extrt: .dé de variable way of such way of producing a breakdown of the explosion and expansici appropriate for kinetics.
In b) of the figure, it is shown that, one carries out a hole of chai lue side from cylinder to level the bottom dead time of the piston, we can take out the segments of coiins and replace with new, without having to open the cylindri :, these holes can consequently be clogged by coins cylindrical.
Figure 38 shows that with a rear geometry of the piston apprc: requested, in which we realized an inner curvature of it ,: 010, this curvature will move toward washing downhill 3011, and in doing so, will counteract the closure of the cylinder by the passage of the formed bulb by the meeting of the upper arches 3012. As a result, conwie shows it following due calculations surfaces relative to these spaces, 3013, the area between these parts will not decrease, as in standard engines, but will remain stable, or produce a slight growth. This means that kinetically, we will be assured then that the machine cst positive, even in his back parts. This is of the utmost importance, since we can deduce that in this part, the work of the rear orienu ~ tional force is started, and that we would be wrong as the industry, to sacrifice the energy that this space could create;
by the support method by mono induction. The capacity Figure 39 shows that in coupling the notion of intra-back curvature of the piston and that of gear cylinder curvature; polycamé, (or other means acceleration and deceleration of the piston) we obtain a kinetics which not only produces no more compression after the dead time, as is the case, in machines of the prior art, or still a niaintient of compression, as it is the caa! in our previous figure, ma.is a increase gradual and significant volume higher than the increase in volume of the front part, for all the first part of the expan, ion.
This shows beyond any doubt that the mechanics that we proposed to over the years and in the present invention have the kinetic corroboration, and by therefore that the concepts of thermodynamics relating to the v il ilume and the production of tra-rail apply here favorably.
Figure 40 shows that these methods of guida; e; e can be adapted to turbines, in coupling the cylinder, by an induction gear, of an inductiion descendant, of which the peripheral support gear, is fixed on the sub crankshaft evendications Reve ication 1 A mac of rotary type, inactive turt or type poly turbine., Whose component positional the theoretical component of the kinetics of l ~~ iston, when it comes to one active compressive part are real:
a) in two inductio each sup ~) ortant part of the piston, the first etan heart piston and the second one of co urbatures, (b) in two inductions, the teacher supports the center of the pistc ,, n, and es induction positional, and the second is a planetary induction terminated by a member of guide, this member being connected to a plunger, this induction being i.me duction oroientationnelle, (c) in two inductions, the first of which leads to a planetary plane cylindrical mounted planetically in the body of: a hine, this induction has called induction positional, and the second, coni rol the ori tational movement of the piston by resorting to an induction linked to the subirabillary blood, this production being nonuned induction Orentational piston is done in two parts, the pistil and the tone of curvature, this parties carrying out similar kinetics, from the latitudinal point of view, but minus l. rononcées from the standpoint vertically, and this in such a way that 1 ~, pi on caeur realizes omprcIssion and more expansion ample, and that the piston of courbatw realizes a curvature cy.lindre of first, second, or third degree, each of these being activated orientationally.
Claim 2 A nia.chine whose rear part cù piston is drawn such naanière have a curvature performed inside, peeled intra-curvature anterior (: du piston, cradled such way of breathing or increasing the volume of gases is in this for all the first part of the descer te.
Claim 3 The machine producing a cylinder curvature, the rear part of the two bows of cy dre
Claims
a) en deux inductions chacune supportant une partie du piston, la première étant appelée coeur piston et la seconde piston de courbatures, b) en deux inductions, dont la première soutient le centre du piston, et est appelé induction positionnelle, et la seconde étant une induction planétaire terminé par un membre de guidage, ce membre étant lié à un point d i piston, cette induction étant une induction oroientationnelle, c) en deux inductions, dont la première entraîne planétairement un vilebrequin cylindrique monté
planétairement dans le corps de a machine , cette induction étant appelé
l'induction positionnelle, et la seconde, contrôlant le mouvement orientationnel du piston par le recours à
une induction liée au subvile brequin planétaire, cette induction éttant nommé
l'induction orentationnelle du piston est réalisé en deux parties, soit le coeur piston et le piston de courbature, ce parties réalisant des cinétiques similaires , du point de vue latéral, mais plus ou moins prononcées du point de vue vertical, et ce de telle manière que le piston coeur réalise un compression et une expansion plus ample, et que le piston de courbature réalise une courbature de cylindre de premier , second, ou troisième degré, chacun de ces piston étant activé orientationellement.
Revendication 2 Une machine dont la partie arrière du piston est dessinée de telle manière de comporter un courbure réalisée vers l'intérieur, appelée intra courbure antérieure du piston, calculée de telle manière de maintenir ou d'augmenter le volume des gaz se trouvant dans cette chambre pour toute la première partie de la descente.
Revendication 3 Une machine réalisant une courbure de cylindre dont la partie arrière des deux arcs de cylindre se joignant aux temps mort haut et bas du piston est surbaissée et la partie avant surélevée , ceci étant possible grâce à des accélérations décélérations du piston sur son axe, réalisé par engrenage4 polycamé, ou par came, ou moyen mécanique de bielle occillante.
Revendication 4 Une machine, dont l'excentrique central est un élément cylindrique activé par une induction l'entraînant dans un mouvement planétaire, cette induction étant,, le piston étant monté
rotativement sur l'excentrique cylindrique, de telle manière d'être simultanément inséré dans un cylindre, et ce piston étant muni d'un engrenage d'induction, de type interne, cet engrenage et ce piston étant entraîné postrotativement par rapport au à l'excentrique cylindrique par un ou des engrenages monté de façon rigides sur les maneton des vilebrequins de support de l'élément cylindrique.
Revendication 5 Une machine telle que décrite en 4, dont le mouvement du sub vilebrequin est translationnel, et activé de la sorte par une induction un sur un, ou par une induction pour ce cas, préférablement composée de deux vilebrequins munis d'engrenages liés entre eux par un tiers engrenage entraînant l'axe central de la machine, ces sous vilebrequin comprenant sur leur maneton un engrenage de support couplé à l'engrenage de piston, ce piston étant monté
rotativement sur l'exentrique tranlationnel.
Revendication 4 Une machine telle que définie en 3, dont la réalisation translationnelle de l'excentrique est produite avec un induction mécanique habituellement utilisée pour induire le mouvement d'un piston de machine turbinative.
Revendication 5 Une machine telle que définie en 3, dont l'ensemble excentrique est composé
d'un excentrique central, sur lequel est monté rotativement un élément cylindrique, cet élément étant induit planétairement par une induction de l'art servant généralement à entraîner le piston lui-même, mais de rapport planétaire différent, cet élément cylindrique planétaire recevant rotativement le piston, ce piston étant contrôlé rotativement par des éléments mécaniques, dont préférablement un élément, soitt l'engrenage intermédaire entrainat l,engrenage d'induction de piston est monté
rotativment sur un axe situé sur l'élément cylindrdrique planétaire Revendication 5 Revendication 6 Une machine telle que définie en 4, dont l'engrenage intermédiaire a comme engrenage de support a) un engrenage monté du l'élément cylindrique b) un engrenage monté sur l'excentrique central c) un engrenage monté dans le cou de la machine, cet engrenage étant généralement polycamé, ou encore l'engrenage intermédiaire l'étant, ou les deux.
Revendication 7 Une machine telle que définie en 4 et 5, dont l'une des induction est une induction de type post effective, telle une a) une mono induction b) une poply induction et l'induction est de type retro effective, telle par exemple, mais non limitativem,ent a) une induction par engrenage intermédiaire, b) une induction par engrenage cerceau c) une induction par engrenage talon.
Revendication 8 Une machine telle que définie en 4, 5, dont l'induction due l'élément cylindrique réalise une figure virtuelle d'un forme géométrique de base, triangle, carré et ainsi de suite, cette figure étant réalisée par la cinétique qu'un point de cet élément décrit pour un tour, ou un ensemble de tours du vilebrequin.
Revendication 9 Une machine, dont le mouvement virtuel décrit une cinétique slinky, mouvement planétaire de type slinky, se caractérisant par le fait que la figure totale est non seulement produite par plus d'un tour du vilebrequin, mais aussi par le fait qu'elle est réalisé par saut de cotés, ou par cotés alternatifs, jusqu'à ce que la figure soit totalement exécuté, cette figuration étant réalisée de telle manière que les angles entre chaque saut soit proches de l'angle parfait, d'un machine standard, ces angles étant quelque peu plus petit, ou quelque peu plus gros.
Revendication 10 Une machine telle que décrite en 8, dont les engrenage de support intermédiaire seront directement liés à l'engrenage d'induction de piston, ou lié indirectement par un engrenage inverseur.
Revendication 11 Une machine telle que décrite en 8, dont l'engrenage de support intermédaire sera muni d'un maneton recevant un élément fixement relié au piston, cet élément étant muni d'une coulisse en laquelle il sera engagé, ceci entrainant une accélération décélération du piston.
Revendication 12 Une machine dont l'un des piston, soit le coeur piston, ou le piston de courbature est subdivisé en coeurs piston unitaire, ou pistons du courbatures unitaire.
Revendication 13 Une machine telle que définie en 11, dont les coeurs piston unitaire sont des pistons standard insérés dans le piston de courbature, ces pistons étant reliées entre eux par un élément planétaire, et liée à ce élément planétaire paur une coulisse, ou encore par un point de rattachement simple, si cet élément planétaire a une course accéléro décélérative, obtenue par engrenages polycamés.
Une machine telle que définie en 1, dont le piston de courbature est morcelé
en piston de courbatures unitaires, chacun de ce piston étant inséré dans chacun des coin du coeur piston a) de façon pivotante et coulissante b) de façon strictement pivotante c) de façon strictement coulissante Une machine telle que définie en 11, dont la partie inférieur de chacun des piston de courbature unitaire est soutenu par:
a) par un maneton d'un vilebrequin périphérique b) par un vilebrequin central c) par un came actif central d) par un came à plusieurs faces actif central e) par un came à plusieurs face décrivant une figure virtuelle f) par une came actif central dont e mouvement est translationnel g) par un came fixe central h) par une coulisse le liant à l'axe central Revendication 12 Une machine telle que écrite en 11 , dont les cames dédoublés ne sont pas de même longueur, selon les situations de couplage dont elles sont responsables, ces cames produisant des courbures de cylindre de quatrième degrés.
Revendication 13 Une machine telle que définie en 1, 7, dont les pistons de courbature unitaire reçoivent des segments oscillants.
Revendication 14 Une machine telle que décrite en 1 le piston est monté rotativement sur l'excentrique central et simultanément introduit dans son cylindre, et dont l'élément de gouverne et orientationnel est un membre planétairement monté sur le même excentrique, ce membre étant lié de façon non rigide un ou plusieurs endroit du piston, la longueur de ce membre étant préférablement assez restreinte pour diminuer les incidences orientationnelle néfastes, ce la planétarisation de ce membre étant réalisé avec toute induction de l'art antérieur Revendication 15 Une machine dont le coeur piston décrit la cinétique d'une machine de promer degré, alors ques pistons de courbature décrivent la courbure d'uen machine de deuxième, troisèm ou quatrième degré.
Revendication 16 Une machine telle que décrite en 3, dont l'accélération décélération du piston est réalisé par un membre dont la parti inférieur est couplé a l'axe central par une coulisse, dont la partie central est monté de facon pivotante un sub vilbrequin dont le vilebrequin de support est orienté
tranversalement au vià l,excentrique du piston e dont l,extrémité est lié au piston.
Revendication 10 Une machine telle que décrite en 3, dont l'engrenage de support translationnel décrit une translation dans le sens inverse de celui de la rotation du vilebrequin maître, l'engrenage de support de celui-ci étant alors poly inductif.
Revendication 11 Une machine, comprenant un piston de type rotatif monté sur un excentrique et inséré dans le cylindre, cette machine ayant l'induction orientationelle entraînant un tiers membre dans une action planétaire, ce membre ayant une longueur est inférieure à celle de la longueur du rayon du vilebrequin du piston de la machine, le piston étant réalisé de telle manière de posséder une extension intérieur permettant de le raccorder à ce membre, de façon non rigide.
Revendication 12 Un machine telle que définie en 3, dont l'induction unitaire orientationelle est l'une des suivantes.
^~ mono induction ^~ induction par engrenage intermédiaire, ^~ induction par engrenage cerceau ^~ induction par poly induction ^~ induction par engrange cerceau à chaine ^~ induction par engrenage polycamés Revendication 13 Une machine telle que définie en 1, dont l'isolation entre le c ur piston et le piston de courbature est réalisés par un jeu de double coulisse.
Revendication 14 Une machine telle que réaliser en un dont le piston coeur est le piston tracteur, l'induction du piston de courbature se faisant à parti de l'induction ou du piston de l'induction du c ur piston.
Revendication 15 Une machine telle que définie en 1 dont le piston de courbature est morcelé en plusieurs pistons de courbature unitaires, chacun de ces pistons de courbature étant inséré de façon coulissante dan une tierce partie, cette partie étant elle-même de forme cylindrique et étant elle-même inséré de façon oscillatoire dans chacune des pointes du piston, la partie inférieure de chacun des piston état munie d'un collet permettant de la rattacher à un maneton d'un vilebrequin de vitesse différente que le vilebrequin central, ou 'un manetor su vilebrequin central, selon le nombre de révolution de ce vilebrequin attendues, correspondant au nombre de corrections de cylindre par tour on entend réaliser.
Revendication 16 Une machine telle que définie en 1, dont les pistons de courbature sont insérés dans de façon coulissante directement dans chaque coulisse dont chaque coin du piston est pourvue, la partie inférieure de chaque piston de courbature unitaire étant munie ^~ d'une coulisse, cette coulisse étant jointe à un maneton de vilebrequin ^~ d'un appuyé chacun de ces appuis étant appuyée sur un excentrique central remplaçant le vilebrequin Revendication 17 Une machine telle que décrite en 7 et 8, dont chacun des vilebrequins ou excentrique de gouverne des pistons de courbature est monté de façon planétaire su le piston et entraîné
rotativement par un moyen, tel un engrenage couplé un engrenage de support fixé rigidement à
l'excentrique central.
Revendication 18 Une machine telle que définie en 7, 8 9, dont les vilebrequin, ou les excentriques tournent plus d'un fois par bulbes de cylindre.
Revendication 19 Une machine, telle que définie en 8, dont l'excentrique a plusieurs parties camés.
Revendication 20 Une machine, telle que définie en 7,8, 9 dont le came simple, ou en polycame, est disposé
rigidement dans le cylindre, fixe ou rotationnel, ou rigidement, dans les machines turbinatives, dans le carter de la machine.
Revendication 21 Une machine telle décrite en 1,. dont le mouvement rectiligne des pistons unitaires est sécurisé par des roulements, ou des engrenages rotationellement installés dans le c ur piston ou sur chaque piston de courbature.
Revendication 22 Une machine telle que défine en 1, de type rotative, polyturbvine, turbinative, dont la courbure du cylindre est obtenue par l'utilisaion d'engrenages polycamés , ces engrenage étant de premier degré, ou de degrés supérieur, les cames en étant alors dédoublés , un encore étant réalisé de façon assymétrique et irrégulière.
Une machine telle que définie en un, dont l'induction de cylindre est réalisé
à partir d'un engrenage de support périphérique disposé rigidement sur le sub vilebrequin du piston, et l'engrenage d'induction est disposé rigidement au centre du cylindre. claims Claim 1 A rotary type machine, turbinator or poly turbine type whose component positional and the orientational component of piston kinetics, when it comes to the only active compressive part are realized:
a) in two inductions each supporting a portion of the piston, the first being called heart piston and the second piston of aches, b) in two inductions, the first of which supports the center of the piston, and is called induction positional, and the second being a planetary induction terminated by a guiding member, this member being linked to a plunger point, this induction being an induction oroientationnelle, c) in two inductions, the first of which leads planetarily a crankshaft cylindrical mounted planetary in the body of a machine, this induction being called induction positional, and the second, controlling the orientation of the piston by resorting to an induction linked to the subtle planetary brine, this induction being named induction Orentational piston is made in two parts, the heart piston and the piston of curvature, this parts realizing similar kinetics, from the lateral point of view, but more or less pronounced from the standpoint vertically, and this in such a way that the heart piston compresses and more expansion ample, and that the curvature piston achieves a cylinder curvature of first, second, or third degree, each of these piston being activated orientationally.
Claim 2 A machine whose rear part of the piston is designed in such a way have a inward curvature, called intra-anterior curvature of the piston calculated from to maintain or increase the volume of the gases in this room for the first part of the descent.
Claim 3 A machine producing a cylinder curvature whose rear part of both cylinder arches get joining to the dead times up and down the piston is lowered and the part front elevated, this being possible thanks to accelerations decelerations of the piston on its axis, made by gear4 polycamé, or cam, or mechanical means of occillante rod.
Claim 4 A machine whose central eccentric is a cylindrical element activated by an induction causing it in a planetary motion, this induction being, the piston being mounted rotatively on the cylindrical eccentric, so to be simultaneously inserted in a cylinder, and this piston being provided with an induction gear, of internal type, this gear and this piston being driven postrotatively with respect to the eccentric cylindrical by one or more gears mounted rigidly on crankpin of support crankshafts of the element cylindrical.
Claim 5 A machine as described in 4, whose movement of the sub crankshaft is translational, and activated in this way by induction one on one, or by induction for this case, preferably composed of two crankshafts with gears linked together by a third party gearing driving the central axis of the machine, these sub crankshaft comprising on their crankpin a support gear coupled to the piston gear, which piston is mounted rotatively on the tranlational exentric.
Claim 4 A machine as defined in 3, whose translational realization of the eccentric is produced with a mechanical induction usually used to induce movement of a piston of turbinator machine.
Claim 5 A machine as defined in 3, whose eccentric set is composed an eccentric central, on which is mounted rotatively a cylindrical element, this element being induced planetary by an induction of art generally serving to drive the piston itself but of different planetary ratio, this planetary cylindrical element receiving rotatively the piston, this piston being rotatively controlled by mechanical elements, of which preferably one element, soitt the intermediate gear drives the induction gear of piston is mounted rotatively on an axis located on the planetary cylindrical element Claim 5 Claim 6 A machine as defined in 4, whose intermediate gear has as support gear a) a mounted gear of the cylindrical element b) a gear mounted on the central eccentric c) a gear mounted in the neck of the machine, this gear being usually polycamé, or the intermediate gear being, or both.
Claim 7 A machine as defined in 4 and 5, one of which is an induction post type induction effective, such a a) a mono induction b) a poply induction and the induction is of the retro-effective type, such as for example, but not limitativem, ent a) an intermediate gear induction, b) hoop gear induction c) heel gear induction.
Claim 8 A machine as defined in 4, 5, whose induction due to the element cylindrical realizes a virtual figure of a basic geometric shape, triangle, square and so following, this figure being realized by the kinetics that a point of this element describes for a turn, or a set of towers crankshaft.
Claim 9 A machine, whose virtual movement describes a kinetic slinky, movement planetary of slinky type, characterized by the fact that the total figure is no only produced by more than one crankshaft, but also by the fact that it is made by jumping listed, or by quoted alternative, until the figure is fully executed, this figuration being made of such angle between each jump is close to the perfect angle, standard machine, these angles being somewhat smaller, or somewhat larger.
Claim 10 A machine as described in 8, including the support gear intermediary will be directly related to the piston induction gear, or indirectly linked by a gear inverter.
Claim 11 A machine as described in 8, including the intermediate support gear will be provided with a crankpin receiving an element fixedly connected to the piston, this element being provided with a slide in which it will be engaged, causing a decelerating acceleration of the piston.
Claim 12 A machine with one piston, either the piston core, or the piston curvature is subdivided into unitary piston hearts, or pistons of unitary body aches.
Claim 13 A machine as defined in 11, whose unit piston cores are standard pistons inserted into the plunger piston, these pistons being interconnected by a planetary element, and related to this planetary element for a slide, or by a point of simple attachment, if this planetary element has an accelerating decelerative stroke, obtained by polycammed gears.
A machine as defined in 1, whose piston of curvature is broken up in piston of body aches, each of which is inserted in each corner piston heart a) pivotally and slidably (b) in a strictly pivoting manner c) strictly sliding A machine as defined in 11, the lower part of each of piston of stiffness unitary is supported by:
a) by a crank pin of a peripheral crankshaft b) by a central crankshaft c) by a central active cam d) by a cam with several central active faces e) by a cam with several faces describing a virtual figure f) by a central active cam whose movement is translational g) by a central fixed cam h) by a slide linking it to the central axis Claim 12 A machine as written in 11, whose split cams are not same length, depending on the coupling situations for which they are responsible, these cams producing curvatures of fourth degree cylinder.
Claim 13 A machine as defined in 1, 7, including the unitary curvature pistons receive oscillating segments.
Claim 14 A machine as described in 1 the piston is rotatably mounted on the central eccentric and simultaneously introduced into its cylinder, and whose steering element and Orientational is a member planetarily mounted on the same eccentric, this member being bound non-rigid way one or more points of the piston, the length of this member being preferably enough restricted to reduce harmful directional impacts, this planetization of this member being performed with any induction of the prior art Claim 15 A machine whose piston core describes the kinetics of a machine to walk degree, then pistons of curvature describe the curvature of a machine of second, third or fourth degree.
Claim 16 A machine as described in 3, including the deceleration acceleration of the piston is realized by a member whose lower party is coupled to the central axis by a slide, whose central part is pivotally mounted a sub crankshaft whose crankshaft support is oriented across the eccentric piston e whose end is connected to the piston.
Claim 10 A machine as described in 3, including the translational support gear describes a translation in the opposite direction to that of crankshaft rotation master, the gear of support of it being then inductive poly.
Claim 11 A machine, comprising a rotary type piston mounted on an eccentric and inserted into the cylinder, this machine having orientational induction driving a third member in a planetary action, this member having a length is less than that of the length of the radius of the crankshaft of the piston of the machine, the piston being made in such a way to own a internal extension allowing to connect it to this member, in a non rigid.
Claim 12 A machine as defined in 3, including the unitary induction induction is one of the following.
^ ~ mono induction ^ ~ induction by intermediate gear, ^ ~ hoop gear induction Induction by poly induction ~ ~ induction by engrange chain hoop ^ ~ polycombic gear induction Claim 13 A machine as defined in 1, including the insulation between the piston core and the piston of curvature is made by a double slide game.
Claim 14 A machine such as to realize in one whose piston heart is the piston tractor, the induction of piston of curvature being made from the induction or the piston of the induction of the heart piston.
Claim 15 A machine as defined in 1, the piston of curvature is broken up into several pistons of single curvature, each of these plungers being inserted from sliding way in a third party, this part being itself cylindrical and being itself even inserted so oscillatory in each of the points of the piston, the lower part of each of the piston state equipped a collar for attaching it to a crank pin of a crankshaft different speed than the central crankshaft, or a central crankshaft manetor, depending on the number of revolution of this crankshaft expected, corresponding to the number of cylinder corrections per turn we hear achieve.
Claim 16 A machine as defined in 1, whose bending pistons are inserted in so sliding directly into each slide where each corner of the piston is provided, the part lower of each piston of unitary curvature being provided ^ ~ a slide, this slide being attached to a crankpin crankshaft ^ ~ a supported each of these supports being supported on a central eccentric replacing the crankshaft Claim 17 A machine as described in 7 and 8, each of which crankshafts or eccentric of rudder pistons is mounted planetary on the piston and trained rotatively by means such as a gear coupled with a support gear rigidly attached to the central eccentric.
Claim 18 A machine as defined in 7, 8 9, including the crankshaft, or the eccentrics turn over once per cylinder bulbs.
Claim 19 A machine, as defined in 8, whose eccentric has several parts junkies.
Claim 20 A machine, as defined in 7.8, 9 whose single cam, or in polycam, is willing rigidly in the cylinder, fixed or rotational, or rigidly, in the turbines, in the crankcase of the machine.
Claim 21 A machine as described in 1 ,. including the rectilinear motion of the pistons unitary is secured by bearings, or gears rotatably installed in the heart piston or on each piston of curvature.
Claim 22 A machine such as define in 1, rotary type, polyturbvine, turbinator, whose curvature of the cylinder is obtained by the use of polycammed gears, these gear being first degree, or higher degrees, the cams being then split, a further being made of asymmetrical and irregular way.
A machine as defined in one, the cylinder induction of which is realized from a peripheral support gear arranged rigidly on the sub crankshaft of the piston, and the induction gear is rigidly disposed in the center of the cylinder.
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CA 2622829 CA2622829A1 (en) | 2008-03-13 | 2008-03-13 | Rotating drive machines, polyturbines and turbomachines with maximized thermodynamic efficiency that burn diesel fuel |
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