FR2535258A1 - Moyeu de roue a frein et reducteur integres - Google Patents

Abstract

CE MOYEU DE ROUE EST DU GENRE COMPORTANT, DANS UN CORPS CREUX 10 FERME PAR UN COUVERCLE 14, UN REDUCTEUR 20, A PORTE-SATELLITES 25, ET UN FREIN 21, A DISQUE DE FREIN 44 SUSCEPTIBLE D'ETRE SOUMIS A UN SERRAGE AXIAL CONTREBUTE PAR LE COUVERCLE 14. SUIVANT L'INVENTION, LE PORTE-SATELLITES 25 FORME UNE PIECE DISTINCTE A LA FOIS DU CORPS CREUX 10 ET DU COUVERCLE 14, ET, ETANT EN APPUI AXIAL SUR UN MOYEN DE BUTEE 76 LUI-MEME CALE AXIALEMENT SUR LEDIT CORPS CREUX 10, IL FERME AINSI LUI-MEME TRANSVERSALEMENT CELUI-CI IMMEDIATEMENT EN-DECA DUDIT COUVERCLE 14, EN SORTE QUE, POUR LE DESSERRAGE MANUEL DU FREIN 21, IL SUFFIT D'AGIR SUR LE COUVERCLE 14. APPLICATION, NOTAMMENT, A L'EQUIPEMENT DE VEHICULES INDUSTRIELS, D'ENGINS AGRICOLES, D'ENGINS DE TRAVAUX PUBLICS OU D'ENGINS DE MANUTENTION.

Description

La présente invention concerne d'une manière générale les moyeux de roue à

frein et réducteur intégrés, du type

de ceux mis en oeuvre par exemple pour l'équipement de vé-

hicules industriels, d'engins agricoles, d'engins de tra-

vaux publics, ou même d'engins de manutention tels que grues

ou ponts roulants.

D'une manière générale, un tel moyeu de roue comporte un corps creux, qui, intérieurement, est monté rotatif sur un manchon de support fixe, communément dit fusée, et sur lequel, extérieurement, peut être rapportée, par son voile de jante, la roue concernée, et, dans ledit corps creux,

d'une part, pour en ramener en service à une valeur admissi-

ble la vitesse de rotation, un réducteur de roue, dont le portesatellites est calé sur le corps creux tandis que l'arbre planétaire est destiné à être calé sur un arbre de roue monté rotatif dans la fusée, et, d'autre part, pour freinage éventuel de l'ensemble, un frein comportant au

moins un disque de frein, qui, lui aussi destiné à être ca-

lé en rotation sur ledit arbre de roue, soit directement

soit indirectement, est susceptible d'être soumis à un ser-

rage axial sons le contrôle d'une unité de commande appro-

priée, le plus souvent par l'intermédiaire d'un plateau de poussée. Lorsque, comme cela est le cas le plus fréquent, le

corps creux est globalement tubulaire, en étant fermé trans-

versalement, du côté opposé à la fusée, par un couvercle amovible qui prend appui axialement sur lui, et qui, en pratique, est rapporté sur lui par des vis mordant dans l'épaisseur de sa tranche, le porte-satellites est le plus souvent formé directement par un tel couvercle, en faisant

partie intégrante de celui-ci.

C'est le cas, par exemple, dans la demande de brevet français déposée le 3 Avril 1981 sous le NO 81 o 6903 et

publiée sous le NI 2 479 746.

C'est le cas, également, dans la demande de brevet in-

ternationale déposée le 28 Mai 1980 sous le N O PCT/US 8 o/0 o 644 et publiée sous le NO Wo 81/03469 * Dans la demande de brevet français déposée le 23

Novembre 1981 sous le NI 81 21885, cependant, le porte-

satellites se trouve constituer une pièce distincte du cou-

vercle. En effet, cette demande de brevet français concerne une disposition suivant laquelle le frein est disposé en bout du moyeu de roue concerné, c'est-à-dire au-delà de ce moyeu de roue par rapport au pont en bout duquel celui-ci

doit lui-même être implanté.

Par suite, pour la constitution d'un compartiment correspondant pour le frein, le corps creux du moyeu se trouve prolongé par une couronne, et celle-ci est fermée transversalement par un couvercle amovible à son extrémité

opposée, cependant que ledit corps creux est lui-même cons-

titué de deux coquilles convenablement affrontées, et que le portesatellites fait partie intégrante de celle de ces

coquilles axialement la plus éloignée de la fusée.

Ainsi, dans une telle réalisation, le porte-satellites

appartient directement au corps creux.

Le plus souvent, dans les moyeux de roue à frein et réducteur intégrés du genre concerné, la commande du frein

que comporte un tel moyeu de roue est double: pour la cons-

titution d'un frein de service, il y a tout d'abord une

commande hydraulique, qui, pour être active, doit être re-

liée à une source de fluide sous pression; pour la consti-

tution d'un frein de secours ou de parking, il y a ensuite une eo nmde mécanique, qui, au contraire de la précédente,

est empochée d'intervenir lorsqu'elle est reliée à une sour-

ce de fluide sous pression, en pratique différente de la précédente, et qui, sous la sollicitation d'un organe de commande élastique, empilage de rondelles Belleville par exemple, ne devient active que si sa liaison à cette source

de pression se trouve interrompue.

C'est le cas, par exemple, dans la demande de brevet internationale NO 80/00644 et dans la demande de brevet

français NI 81 21885 mentionnées ci-dessus.

En pratique, dans l'un et l'autre cas, l'unité de com-

mande contrôlant le frein se trouve disposée du côté du disque de frein de celui-ci opposé au couvercle, en sorte

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que, lors du serrage axial de ce disque de frein, c'est ce

couvercle qui, directement ou indirectement, fournit un ap-

pui axial à celui-ci.

L'un des problèmes à résoudre dans la réalisation des moyeux de roue à frein et réducteur intégrés est de permet- tre un déblocage aisé du frein que comporte un tel moyeu de roue, et, de préférence, en pratique, un déblocage manuel de ce frein, lorsque, celui-ci ayant fait office de frein de secours, son intervention est due à une défaillance

quelconque.

Avec le moyeu de roue décrit dans la demande de brevet

internationale NI 80/00644 mentionnée ci-dessus, un tel dé-

blocage impose non seulement l'ouverture complète du corps creux du moyeu, avec la complication que cela implique, mais encore la dépose de la roue concernée, ce qui interdit que l'engin concerné puisse par lui-même poursuivre ensuite éventuellement sa route à faible vitesse vers un atelier plus spécialisé dans le traitement de la défaillance ayant

entraîné le blocage du frein de secours en cause.

En effet, dans cette demande de brevet internationale NO 80/00644, les vis assurant la fixation du couvercle au corps creux assurent également la fixation à celui-ci du

voile de jante de la roue concernée.

Le dépannage doit donc se faire sur place.

Il en est de même, en pratique, lors du blocage du frein du moyeu de roue décrit dans la demande française Ne 81 06903 mentionnée ci-dessus, bien que, dans celle-ci, et comme dans la demande française NI 81 21885 également mentionnée ci-dessus, le corps creux présente, pour fixation du voile de jante de la roue, un épaulement particulier, -formant bride, qui, distinct du couvercle, s'étend suivant

une circonférence de diamètre supérieur à celui de la cir-

conférence suivant laquelle s'étend celui-ci, en sorte que

le retrait de ce couvercle peut normalement se faire indé-

pendamment de toute dépose intempestive d'une telle roue.

Mais, dans cette demande de brevet français No 81 06903, le couvercle constituant par lui-même le porte-satellites, tout retrait de ce couvercle soulève des complications rédhibitoires. Il n'en est par contre pas exactement de même dans la

demande de brevet français N O 81 21885, dans laquelle, dis-

posé à distance du porte-satellites,en formant une pièce distincte de celui-ci, le couvercle ne fait que fermer le

compartiment, ou compartiment de frein, dans lequel se trou-

ve implanté le frein.

Cependant, le retrait, même partiel, du couvercle n'est pas encore souhaitable dans un tel cas, pour éviter toute

pollution, par d'éventuelles poussières ou autres souillu-

res, du volume intérieur du compartiment de frein qu'il fer-

me. C'est pourquoi, pour le déblocage manuel du frein, il

est spécifiquement prévu, dans cette demande de brevet fran-

çais NO 81 21885, des vis particulières, qui, engagées à

vissage dans des perçages taraudés du couvercle, sont sus-

ceptibles, par vissage, de venir repousser le plateau de poussée assurant le serrage axial du (ou des) disque(s) de

frein que comporte ce frein.

Bien qu'une telle disposition donne satisfaction, elle présente l'inconvénient de nécessiter la mise en oeuvre de

pièces particulières, à savoir les vis en question.

La présente invention a d'une manière générale pour objet une disposition permettant un déblocage manuel aisé du frein, éventuellement sans qu'il soit prévu à cet effet

une quelconque pièce particulière.

De manière plus précise, elle a pour objet un moyeu de roue à frein et réducteur intégrés, du genre comportant un corps creux globalement tubulaire, qui, intérieurement, est monté rotatif sur un manchon de support fixe, communément dit fusée, en étant fermé transversalement par un couvercle

amovible du côté opposé à ladite fusée, et qui, extérieure-

ment, présente transversalement, suivant une circonférence de diamètre supérieur à celui de la circonférence suivant

laquelle s'étend la périphérie dudit couvercle, un épaule-

ment sur lequel, par son voile de jante, peut être rappor-

tée une roue, et, dans ledit corps creux, d'une part un frein comportant au moins un disque de frein, qui, destiné

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à être calé en rotation sur un arbre de roue monté rotatif dans la fusée, est susceptible d'être soumis à un serrage axial sous le contrôle d'une unité de commande disposée du côté du disque de frein opposé au couvercle, en sorte que, lors du serrage axial dudit disque de frein, ledit couvercle est apte à fournir, directement ou indirectement, un appui axial à celui-ci, et, d'autre part, un réducteur de roue, dont le portesatellites est calé sur le corps creux,

ce moyeu de roue étant caractérisé en ce que le porte-

satellites du réducteur de roue forme une pièce distincte à la fois du corps creux et du couvercle fermant celui-ci, ledit porte-satellites étant en appui axial sur un moyen de

butée lui-même calé axialement sur ledit corps creux et fer-

mant ainsi lui-même transversalement celui-ci immédiatement

en-deçà dudit couvercle.

Suivant une première forme de réalisation, suivant la-

quelle, du côté du disque de frein opposé à l'unité de cem-

mande, il est associé audit disque de frein un plateau d'ap-

pui, à compter de ce plateau d'appui s'étendent axialement, en direction du couvercle, des colonnettes, dites ici par commodité colonnettes de transmission, qui, après traversée du porte-satellites, sont aptes à prendre axialement appui

sur le couvercle.

Par exemple, celui-ci étant attelé au porte-satellites

par des tirants axiaux, lesdites colonnettes de transmis-

sion portent directement sur le couvercle, en sorte que, pour desserrage manuel du disque de frein, il suffit d'agir

sur lesdits tirants axiaux.

Dans un tel cas, aucune pièce particulière n'est à pré-

voir pour un tel desserrage manuel du disque de frein.

Cependant, si désiré, les colonnettes de transmission peuvent, en variante, porter chacune individuellement sur des vis d'appui spécifiques engagées à vissage dans des

perçages taraudés prévus à cet effet dans le couvercle.

Dans un tel cas, pour desserrage manuel du disque de

frein, il faut intervenir sur lesdites vis.

Suivant une deuxième forme de réalisation, suivant la-

quelle, du côté du disque de frein opposé à l'unité de commande, il est associé comme précédemment audit disque de frein un plateau d'appui, et suivant laquelle ledit plateau

d'appui est en appui axial sur l'arbre planétaire du réduc-

teur de roue, en combinaison, d'une part le couvercle est attelé au portesatellites par tirants axiaux, et, d'autre

part, l'arbre planétaire est en appui axial, soit directe-

ment soit indirectement, contre ledit couvercle.

Ainsi, et comme précédemment, pour desserrage manuel du disque de frein, il suffit de dévisser lesdits tirants

axiaux.

Comme précédemment, également, aucune pièce particuliè-

re n'est nécessaire pour un tel desserrage manuel du disque-

de frein.

Dans tous les cas, ce desserrage manuel peut aisément intervenir sur les lieux mêmes de l'incident ayant conduit

au blocage du disque de frein, sans complication particuliè-

re et/ou sans risque intempestif de pollution de tout ou partie du volume intérieur du corps creux du moyeu de roue concerné. L'engin affecté de cet incident peut,,le cas échéant, poursuivre avantageusement par lui- même sa route, pour son

dépannage plus complet dans un atelier spécialisé.

Les caractéristiques et avantages de l'invention res-

sortiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à ti-

tre d'exemple, en référence aux dessins schématiques annexés sur lesquels: la figure 1 est une vue en coupe axiale, suivant la ligne brisée I-I de la figure 2 B, d'un moyeu de roue à frein et réducteur intégrés suivant l'invention; la figure 2 A en est une demi-vue de bout, suivant la

flèche IIA de la figure 1, et la figure 2 B, en est, de ma-

nière complémentaire, une demi-vue en coupe axiale, suivant la ligne IIBIIB de cette figure 1; la figure 3 est une vue en coupe axiale analogue à

celle de la figure 1 et concerne une variante de réalisa-

tion. De manière connue en soi, et tel qu'illustré sur ces figures, le moyeu de roue 10 suivant l'invention, qui est en pratique un moyeu de roue moteur, est destiné à être rapporté sur un manchon de support fixe 11, communément dit

fusée, lui-même rapporté en bout d'un pont, rigide ou direc-

teur, non représenté.

Dans la fusée Il doit être monté rotatif un arbre de

roue, lui-même non représenté.

De manière également connue en soi, le moyeu de roue

suivant l'invention comporte un corps creux 12, globale-

ment tubulaire, qui, intérieurement, est monté rotatif sur la fusée 11, avec interposition de deux roulements 13, et

qui, suivant des dispositions décrites plus en détail ci-

après, est fermé transversalement par un couvercle amovible

14 du côté opposé à ladite fusée 11.

Extérieurement, et suivant une circonférence de diamè-

tre supérieur à celui de la -circonférence suivant laquelle s'étend la périphérie du couvercle 14, le corps creux 12 présente transversalement un épaulement annulaire 16, sur lequel, par son voile de jante, et indépendamment dudit

couvercle 14, peut être rapportée la roue concernée.

Celle-ci n'a pas été représentée sur les figures.

En pratique, l'épaulement 16 appartient à une bride

17 qui, pour la fixation du voile de jante de la roue con-

cernée, présente, de place en place, des passages 18 propres

à la traversée de goujons de roue appropriés.

Dans la forme de réalisation représentée sur les figu-

res 1 et 2, le corps creux 12 est circulairement ondulé du côté de la bride 17 opposé au couvercle 14, c'est-à-dire du côté de cette bride 17 situé du côté de la fusée 11, et il forme ainsi, radialement, des alvéoles 19, en alternance

avec les passages 18.

Quoi qu'il en soit, il forme une enceinte étanche dans

laquelle se trouve confinée une certaine quantité d'huile.

Dans ce corps creux 12 sont disposés, d'une part, du côté du couvercle 14, un réducteur de roue 20, et, d'autre

part, du côté de la fusée 11, un frein 21.

De manière connue en soi, le réducteur de roue 20 com-

porte une pluralité de pignons satellites 23, qui, réguliè-

rement répartis circulairement autour de l'axe de l'ensem-

ble, sont chacun individuellement montés rotatifs autour

d'arbres de support 24 eux-mêmes portés par un porte-

satellites 25.

Suivant l'invention, ce porte-satellites 25 forme une pièce distincte à la fois du corps-creux 12 et du couvercle 14 fermant celui-ci, et, disposé en appui axial sur un moyen de butée 76 lui-même calé axialement sur ledit corps creux 12, il ferme lui-même transversalement ce corps creux 12

immédiatement en-deçà dudit couvercle 14.

Dans la forme de réalisation représentée, le moyen de butée 76 est constitué par une rondelle élastique fendue en prise avec une gorge 29 ménagée à cet effet dans le corps

creux 12.

En pratique, le porte-satellites 25 comporte, trans-

versalement, deux flasques 27, 28, le premier au voisinage immédiat du couvercle 14,le deuxième à distance de celui-ci, et entre ces flasques 27, 28 s'étendent axialement, d'une part les arbres de support 24 des pignons satellites 23, lesdits arbres de support 24 étant engagés à force dans des perçages ménagés à cet effet dans lesdits flasques 27, 28, et d'autre part, des bras 30, qui, d'un seul tenant avec les flasques 27, 28, alternent circulairement avec les arbres

de support 24.

De manière connue en soi, le porte-satellites 25 ainsi

constitué est calé en rotation sur le corps creux 12.

En pratique, dans la forme de réalisation représentée, et suivant des dispositions qui, ne faisant pas partie de la présente invention, ne seront pas décrites plus en détail ici, un montage à cannelures 70 est prévu à cet effet entre la tranche périphérique du flasque 27 du portesatellites

et la surfave interne du corps creux 12.

Le porte-satellites 25 constituant suivant l'invention une pièce distincte du couvercle 14 et du corps creux 12,

ledit couvercle 14 lui est attelé par des tirants axiaux 75.

Il s'agit, dans la forme de réalisation représentée,

de vis, qui, régulièrement réparties circulairement, traver-

sent à étanchéité le couvercle 14, et sont engagées à vis-

sage dans des perçages taraudés 78 prévus à cet effet dans

le flasque transversal 27 du porte-satellites 25.

Conjointement, pour l'appui axial du couvercle 14 ain-

si sollicité par les tirants axiaux 75 en direction du vo-

lume intérieur du corps creux 12, ce corps creux 12 présen-

te, sur le bord intérieur de sa tranche correspondante, un décrochement 80, et, en correspondance, le couvercle 14 présente, radialement en saillie, une collerette 81, qui, complémentaire dudit décrochement 80, est propre à coopérer

en butée avec celui-ci.

De préférence, et tel que représenté sur la figure 1,

le coucercle 14 présente, en direction de la rondelle élas-

tique fendue constituant le moyen de butée 76, un prolonge-

ment axial 82, qui s'étend jusqu'au voisinage immédiat de

celle-ci, tout en ménageant avec elle, en raison des inévi-

tables tolérances de montage, un certain jeu, non visible sur les figures O Ainsi qu'il est aisé de le comprendre, ce prolongement

axial 82 du couvercle 14 a pour but de limiter une éventuel-

le flexion, vers l'extérieur du volume du corps creux 12,

et sous la sollicitation des tirants axiaux 75, de la ron-

delle élastique fendue constituant le moyen de butée 76.

En variante, figure 3, le couvercle 14 s'étend par lui-

même axialement dans le même but jusqu'au voisinage immédiat

de la rondelle élastique fendue constituant le moyen de bu-

tée 76.

De manière connue en soi, les pignons satellites 23 du réducteur 20 interviennent entre un arbre planétaire 37, qui est destiné à être solidarisé en rotation à l'arbre de roue associé, et une couronne 38, qui est solidaire d'un

flasque transversal de support 39, communément dit porte-

couronne, lui-même calé sur la fusée 11.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement re-

présentée sur les figures 1 et 2, l'arbre planétaire 37 est

calé axialement sur le flasque transversal 27 du porte-

satellites 25 par l'intermédiaire de rondelles de frottement , ledit arbre planétaire 37 traversant à cet effet ledit flasque transversal 27 par un prolongement axial 41, qui, a son extrémité, porte un anneau élastique fendu 42 pour la

retenue axiale de l'ensemble.

En outre, dans cette forme de réalisation, la couronne 38 est réalisée axialement en deux parties convenablement assujetties l'une à l'autre, par exemple par soudage, tel que représenté, et, entre son porte-couronne 39 et la fusée 11, interviennent, frontalement, en combinaison, en bout de

ladite fusée 11, d'une part des moyens de crabotage 43, a-

gissant circonférentiellement, pour le calage en rotation recherché, et d'autre part des vis 48, agissant axialement>

pour le maintien axial de l'ensemble.

De manière connue en soi, le frein 21 comporte au moins un disque de frein 44, qui, destiné à être calé en rotation sur l'arbre de roue, est susceptible d'être soumis à un

serrage axial sous le contrôle d'une unité de commande 45.

En pratique, et tel que représenté, il est prévu une pluralité de disques de frein 44, ou disques intérieurs, en alternance avec des disques intercalaires 46, et/ou disques

extérieurs, et l'ensemble est disposé au sein même du volu-

me intérieur à la couronne 38 du réducteur de roue 20 asso-

cié. Les disques de 'frein 44 sont calés en rotation sur un moyeu porteur 47 lui-même calé en rotation, par un montage

a cannelures, sur l'arbre planétaire 37 du réducteur 20.

Suivant l'invention, ce moyeu porteur 47 est apte, par

un montage à cannelures, à être calé en rotation sur l'ar-

bre de roue, en sorte qu'il constitue par lui-même un inter-

médiaire entre l'arbre planétaire 37 et ledit arbre de roue, ou, autrement dit, que c'est par son intermédiaire que cet

arbre planétaire 37 est calé sur ce dernier.

Suivant des dispositions du type de celles décrites dans la demande de brevet français NI 81 21885 mentionnée ci-dessus, les disques intercalaires 46 sont en prise avec

une colonnette de support unique 49, qui s'étend axialement.

Suivant l'invention, cette colonnette de support 49 est solidaire de la couronne 38 du réducteur 209 Elle est en effet portée par le portecouronne 39 de celle-ci, en faisant saillie sur ce porte-couronne 39 en direction du couvercle 14 o 1 l Cette colonnette de support 49 est donc fixe, et il en

est de même pour les disques intercalaires 46.

Toutefois, suivant des dispositions décrites en détail dans la demande de brevet français NO 81 21885, les disques intercalaires 46 sont montés pivotants autour de leur colon-

nette de support 49, et leur périphérie externe est excen-

trée par rapport à l'axe de l'ensemble, pour coopération en butée avec la partie correspondante de la paroi interne

de la couronne 38, elle-même excentrée de manière complémen-

taire.

Bien entendu, les disques de frein 44 sont montés mobi-

les axialement sur leur moyeu porteur 47, et, de même, les disques intercalaires 46 sont montés mobiles axialement sur

leur colonnette de support 49.

En pratique, l'unité de commande 45 qui leur est asso-

ciée est disposée du côté de la fusée 11, et donc du côté opposé au couvercle 14, en sorte que, lors de leur serrage

axial, ledit couvercle 14 est apte à leur fournir, directe-

ment ou indirectement, suivant des modalités décrites ulté-

rieurement, un appui axial.

En pratique, également, les disques de frein 44 et les disques intercalaires 46 s'étendent axialement entre, d'une part, un plateau de poussée 50, qui est soumis à l'unité de commande 45, et qui est donc monté mobile axialement, et, d'autre part, un plateau d'appui 51, qui, lui aussi monté mobile axialement, est susceptible de trouver un appui axial

sur le couvercle 14.

Dans la forme de réalisation représentée sur les figu-

res 1 et 2, il est prévu à cet effet des colonnettes 52, dites ici par commodité colonnettes de transmission, qui s'étendent axialement en direction du couvercle 14 à compter

du plateau d'appui 51, et qui, après traversée du porte-

satellites 25, et, plus précisément, des arbres 24 et des bras 30 que comporte axialement ce porte-satellites 25,

sont aptes à prendre axialement appui sur le couvercle 14.

* En pratique, dans cette forme de réalisation, ces co-

lonnettes de transmission 52 portent directement sur le

couvercle 14, tel que représenté.

Z 53525 fi -Corollairement, dans cette forme de réalisation, le plateau d'appui 51 présente, à sa périphérie externe, un

rebord 53, qui est dirigé axialement, en direction du cou-

vercle 14, et par lequel il est centré sur le porte-satelli-

tes 25. Le plateau d'appui 51 est en outre calé en rotation sur ce portesatellites 25, ce qui facilite le passage du

couple à encaisser.

A cet effet, dans la forme de réalisation représentée,

son rebord axial 53 présente localement au moins une échan-

crure 96, par laquelle il est engagé axialement sur un er-

got 97, ou un quelconque autre bossage de ce type, que pré-

sente radialement à cet effet le porte-satellites 25 en

saillie sur la tranche de son flasque transversal 28.

En pratique, pour minimisation de l'encombrement axial de l'ensemble, le plateau de poussée 50 est engagé par des

ouvertures 91 sur la tète des vis 48.

En pratique, également dans les formes de réalisation

représentées, l'unité de commande 45 du frein 21 est dispo-

sée annulairement à l'intérieur de l'alésage interne de la

fusée 11, entre celle-ci et l'arbre de roue associé.

Pour constitution d'un frein de service, cette unité

de commande 45 comporte une commande hydraulique.

Celle-ci est en pratique constituée par un piston 55, ou piston de service, qui porte axialement sur le plateau de poussée 50, et dont le cylindre 56, par des canalisations internes à la fusée 11, est susceptible d'être relié à une source de fluide sous pression, suivant des modalités qui, ne faisant pas partie de la présente invention, ne seront

pas décrites plus en détail ici.

L'unité de commande 45 comporte en outre, pour la cons-

titution d'un frein de secours ou de parking, un deuxième piston 60, ou piston de secours ou de parking, qui, soumis à un empilage de rondelles Belleville 61, est susceptible, par un épaulement 63, d'agir sur le piston de service 55, et dont le cylindre 62, par des canalisations internes à la

fusée 11, et suivant des modalités qui ne seront pas décri-

tes plus en détail ici, est normalement relié à une source de fluide sous pression, distincte de la précédente, pour

en assurer la retenue.

Une cloison annulaire 99, calée axialement sur la fu-

sée, dans les deux sens, dans la forme de réalisation repré-

sentée, par deux rondelles élastiques fendues 98 en prise avec des gorges prévues à cet effet dans cette fusée 11, sépare l'un de l'autre le cylindre 56 du piston de service

de celui 62 du piston de secours ou de parking 60 -

En pratique, dans la forme de réalisation représentée,

le cylindre 56 du piston de service 55 est formé entre l'a-

lésage interne de la fusée 1 l et un prolongement axial du cylindre de secours ou de parking 60, et un ressort 84, qui prend appui axialement en bout dudit prolongement axial,

sollicite en permanence ledit piston de service 55 en direc-

tion opposée au couvercle 14, pour desserrage des disques

de frein 44 et des disques intercalaires 46 entre deux frei-

nages.

Quoi qu'il en soit, la commande mécanique que consti-

tuent les rondelles Belleville 61 est disposée de manière à pouvoir au contraire assurer un serrage de ces disques, les dites rondelles Belleville 61, qui agissent à cet effet sur le piston de secours ou de parking 60, prenant appui sur un

épaulement 78 de la fusée 11 tourné vers le couvercle 14.

En service, le cylindre 62 du piston de secours ou de

parking 60 est normalement sous pression.

Pour un freinage de parking il est mis à la décharge.

Les rondelles Belleville 61 repoussent alors ce piston de secours ou de parking 60 en direction du couvercle 14, et, ce dernier, parl'intermédiaire du cylindre de service

55 et du plateau de poussée 50, assure un serrage des dis-

ques de frein 44 et des disques intercalaires 38 contre le

plateau d'appui 51, celui-ci se trouvant lui-même contre-

buté par le couvercle 14 par l'intermédiaire des colonnet-

tes de transmission 52.

Il en est de même si, en service, une quelconque dé-

faillance provoque la mise à la décharge du cylindre 62 du

piston de secours ou de parking 60.

Dans ce cas, pour assurer un desserrage manuel des disques de frein 44 et des disques intercalaires 46, il suffit, dans la forme de réalisation représentée sur les figures 1 et 2, d'agir en dévissage sur les vis constituant les tirants axiaux 75 attelant au porte-satellites 25 le couvercle 14.

En effet, au fur et à mesure de ce dévissage, le cou-

vercle 14, par son recul, permet un recul concomitant des colonnettes de transmission 52 et du plateau d'appui 51, sous la sollicitation des rondelles Belleville 61, qui, dans un premier temps, sont libres de développer encore

leurs effets.

Mais, dans un deuxième temps, le piston de secours ou de parking 60 à travers lequel elles déploient ainsi leurs effets vient en appui axial sur un moyen de butée prévu

dans ce but sur son trajet.

Dans la forme de réalisation représentée, il s'agit de celle des rondelles élastiques fendues 98 qui est la plus proche des rondelles Belleville 61, et le piston de secours

ou de parking 60 vient buter contre celle-ci par un épaule-

ment transversal 100.

Dès que le piston de secours ou de parking 60 est ain-

si en butée axiale contre cette rondelle élastique fendue

98, les rondelles Belleville 61 sont ensuite sans effet.

Le dévissage des vis constituant les tirants axiaux 75 étant poursuivi, le recul correspondant du couvercle 14, des colonnettes de transmission 52, et du plateau d'appui 51, assure le desserrage recherché des disques de frein 44 et des disques intercalaires 46, ces disques n'étant plus l'objet d'une quelconque sollicitation de la part du plateau

de poussée 50 opposé.

Suivant une variante de réalisation non représentée,

les colonnettes de transmission 52 portent chacune indivi-

duellement sur des vis d'appui engagées à vissage dans les

perçages taraudés prévus à cet effet dans le couvercle 14.

Dans un tel cas, pour le desserrage manuel des disques

de frein 44 et des disques intercalaires 46, il suffit d'as-

surer un dévissage suffisant de ces vis d'appuis pour que, -

comme précédemment, le recul qui en résulte pour les colon-

nettes de transmission 52 et le plateau d'appui 51 permette

le desserrage recherché.

Suivant la variante de réalisation illustrée par la

figure 3, le plateau d'appui 51 est en appui axial sur l'ar-

bre planétaire 37 du réducteur 20, en portant, par la tran- che 101 de son moyeu 102, sur la tranche correspondante des cannelures 104 que présente cet arbre planétaire 37 pour

son engrènement avec les pignons satellires 23, et, conjoin-

tement, ledit arbre planétaire 37 est, à son extrémité oppo-

sée, en appui axial contre le couvercle 14.

Dans la forme de réalisation représentée, cet appui axial se fait indirectement, par l'intermédiaire d'une butée

de roulement 105 et d'une rondelle élastique à action axia-

le 106 sollicitant en permanence ladite butée de roulement,

et donc l'arbre planétaire 37, en direction opposée au cou-

vercle 14, pour l'absorption d'éventuels jeux.

Il va de soi cependant que l'arbre planétaire 37 pour-

rait être directement en appui axial contre le couvercle 14.

Dans tous les cas, la contrebutée des disques de frein 44 et des disques intercalaires 46 se fait avantageusement

surtout suivant une portée circulairement continue du pla-

teanu d'appui affranchie d'un appui ponctuel sur des colon-

nettes, la seule capacité de déformation de celui-ci étant

une éventuelle légère mise en cône.

Dans tous les cas également, la poussée axiale dont est inévitablement l'objet en service l'arbre planétaire 37 se trouve avantageusement encaissée dans des conditions bien définies.

Quoi qu'il en soit, pour le desserrage manuel des dis-

ques de frein 44 et des disques intercalaires 46 il suffit,

comme pour la forme de réalisation représentée sur les figu-

res 1 et 2, d'assurer le dévissage des vis constituant les

tirants axiaux 75 attelant le couvercle 14 au porte-satelli-

tes 25.

On appréciera que, dans tous les cas, le recul du cou-

vercle 14 nécessaire à ce desserrage manuel n'est pas sus-

ceptible d'entraîner une quelconque pollution du volume in-

terne du corps creux 10, celui-ci se trouvant fermé trans-

versalement par le flasque 27 du'porte-satellites 25 immé-

diatement en-deçà dudit couvercle 14, et que c'est ledit porte-satellites 25 qui assure par lui-même le maintien

axial de ce couvercle 14.

Par ailleurs, dans la forme de réalisation représentée sur la figure 3, le ressort 84 auquel est soumis le piston

de service 55 prend appui sur le moyeu porteur 47 des dis-

ques de frein 44, et celui-ci se trouve centré par le pis-

ton de secours ou de parking 60.

Enfin, dans cette forme de réalisation, le plateau d'appui 51 est calé en rotation, et centré, sur l'arbre planétaire 37, un montage à cannelures étant prévu entre celui-ci et son moyeu 102; en variante, il peut être monté

fou sur l'arbre planétaire 37.

Quoi qu'il en soit, n'ayant plus à centrer ni à entraî-

ner le plateau d'appui 51, le porte-satellites 25 peut a-

vantageusement être un porte-satellites standard, c'est-à-

dire un porte-satellites du type de ceux mis en oeuvre par

exemple dans les moyeux de roue à réducteur intégré dépour-

vus de frein.

La présente invention ne se limite d'ailleurs pas aux

formes de réalisation décrites et représentées, mais englo-

be toute variante d'exécution et/ou de combinaison de leurs divers éléments*

Claims (12)

REVENDICATIONS

1 Moyeu de roue à frein et réducteur intégrés, du genre comportant un corps creux globalement tubulaire ( 12), qui, intérieurement, est monté rotatif sur un manchon de support fixe ( 11), communément dit fusée, en étant fermé

transversalement par un couvercle amovible ( 14) du côté op-

posé à ladite fusée (ll), et qui, extérieurement, présente

transversalement, suivant une circonférence de diamètre su-

périeur à celui de la circonférence suivant laquelle s'étend la périphérie dudit couvercle ( 14), un épaulement ( 16) sur lequel, par son voile de jante, peut être rapportée une roue, et, dans ledit corps creux ( 12), d'une part un frein

( 21) comportant au moins un disque de frein ( 44), qui, des-

tiné à être calé en rotation sur un arbre de roue monté ro-

tatif dans la fusée ( 11), est susceptible d'être soumis à un serrage axial sous le contrôle d'une unité de commande

( 45) disposée du côté du disque de frein ( 44) opposé au cou-

vercle ( 14) en sorte que, lors du serrage axial dudit disque

de frein ( 44), ledit couvercle ( 14) est apte à fournir, di-

rectement ou indirectement, un appui axial à celui-ci, et,

d'autre part, un réducteur de roue ( 20), dont le porte-

satellites ( 25) est calé sur le corps creux ( 12), caractéri-

sé en ce que le porte-satellites ( 25) du réducteur de roue ( 20) forme une pièce distincte à la fois du corps creux ( 12)

et du couvercle ( 14) fermant celui-ci, ledit porte-satelli-

tes ( 25) étant en appui axial sur un moyen de butée ( 76) lui-

même calé axialement sur ledit corps creux ( 12) et fermant

ainsi lui-même transversalement celui-ci immédiatement en-

deçà dudit couvercle ( 14).

2 Moyeu de roue suivant la revendication 1, et dans lequel, du côté du disque de frein ( 44) opposé à l'unité de commande ( 45), il est associé audit disque de frein ( 44) un plateau d'appui ( 51), caractérisé en ce que, à compter dudit plateau d'appui ( 51), s'étendent axialement, en direction

du couvercle ( 14), des colonnettes =( 52), dites ici par com-

modité colonnettes de transmission, qui, apres traversée du portesatellites ( 25), sont aptes à prendre axialement appui

sur ledit couvercle ( 14).

3 Moyeu de roue suivant la revendication 2, et dans lequel le couvercle ( 14) est attelé au porte-satellites( 25) par des tirants axiaux ( 75), caractérisé en ce que lesdites colonnettes de transmission ( 52) portent directement sur le couvercle ( 14), en sorte que, pour desserrage manuel du dis- que de frein ( 44), il suffit-d'agir sur lesdits tirants

axiaux ( 75).

4 Moyeu de roue suivant la revendication 2, caractéri-

sé en ce que lesdites colonnettes de transmission ( 52) por-

tent chacune individuellement sur des vis d'appui engagées à vissage dans des perçages taraudés prévus à cet effet dans le couvercle ( 14), en sorte que, pour desserrage manuel du

disque de frein ( 44), il suffit de dévisser lesdites vis.

Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 2 à 4, caractérisé en ce que, à sa périphérie exter-

ne, le plateau d'appui ( 51) associé au disque de frein ( 44) présente un rebord ( 53), qui est dirigé axialement, et par

lequel il est centré sur le porte-satellites ( 25).

6 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 2 à 4, caractérisé en ce que le plateau d'appui ( 51) associé au disque de' frein ( 44) est calé en rotation sur le

porte-satellites ( 25).

7 Moyeu de roue suivant les revendications 5 et 6,

prises conjointement, caractérisé en ce que le rebord axial

( 53) dudit plateau d'appui ( 51) présente au moins une échan-

crure ( 96) par laquelle il est engagé axialement sur un bossage ( 97), ergot ou autre, que présente radialement à

cet effet le porte-satellites ( 25).

8 Moyeu de roue suivant la revendication 1, et dans lequel, du côté du disque de frein ( 44) opposé à l'unité de commande ( 45), il est associé audit disque de frein ( 44) un plateau d'appui ( 51) en appui axial sur l'arbre planétaire ( 37) du réducteur de roue ( 20), caractérisé en ce que, en

combinaison, le couvercle ( 14) est attelé au porte-satelli-

tes ( 25) par des tirants axiaux ( 75) et l'arbre planétaire

( 37) est en appui axial, spit directement, soit indirecte-

ment, contre ledit couvercle ( 14), en sorte que, pour des-

serrage manuel du disque de frein, il suffit d'agir sur les 253525 e

dits tirants axiaux ( 75).

9 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 1 à 8, caractérisé en ce que le moyen de butée ( 76) contre lequel est calé axialement le porte-satellites ( 25) est constitué par une rondelle élastique fendue en prise avec une gorge ( 79) ménagée à cet effet dans le corps creux

( 12).

Moyeu de roue suivant la revendication 9, caracté-

risé en ce que, éventuellement par un prolongement axial( 82), le couvercle ( 14) s'étend jusqu'au voisinage de la rondelle

élastique fendue constituant ledit moyen de butée ( 76).

11 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 1 à 10, caractérisé en ce que, pour l'appui axial du couvercle ( 14) qui le ferme, le corps creux présente,

sur le bord intérieur de sa tranche correspondante, un dé-

crochement ( 80), et, à sa périphérie, ledit couvercle ( 14) présente radialement en saillie une collerette ( 81), pour

coopération avec ledit décrochement ( 80).

12 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 3, 8, caractérisé en ce que les tirants axiaux ( 75) attelant au couvercle ( 14) le porte-satellites ( 25) sont constitués par des vis qui, traversant à étanchéité ledit couvercle ( 14), sont engagées à vissage dans des perçages

taraudés ( 78) dudit porte-satellites ( 25).

13 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 1 à 12, caractérisé en ce que le porte-satellites

( 25) assure par lui-même le maintien axial du couvercle( 14).

14 Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 1 à 13, dans lequel le disque de frein ( 44) est ca-

lé en rotation sur un moyeu porteur ( 47) lui-même calé en rotation sur l'arbre planétaire ( 37) du réducteur de roue ( 20), caractérisé en ce que ledit moyeu porteur ( 47) est

apte à être calé en rotation sur un arbre de roue monté ro-

tatif dans la fusée ( 11), en sorte qu'il constitue un inter-

médiaire entre ledit arbre de roue et ledit arbre planétai-

re ( 37).

Moyeu de roue suivant l'une quelconque des revendi-

cations 1 à 14, dans lequel le frein ( 21) comporte plusieurs

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disques de frein ( 14) en alternance avec des disques inter-

calaircs ( 46) en prise avec ule colonnette de support ( 49) qui s'étend axialement, et dans lequel le réducteur de roue ( 20) comporte une couronne ( 38) qui, solidaire en rotation de la fusée ( 11), engrène avec les pignons satellites ( 23) port 6 S par le porte-sa Lellites ( 25), caract 6 risé en ce que la colonnette de support ( 49) desdits disques intercalaires ( 46) est solidaire de ladite couronne ( 38)