CH328912A - Machine à perforer des cartes - Google Patents

Machine à perforer des cartes

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CH328912A
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Randall Doty Charles
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Ibm
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  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description


  Machine à perforer des cartes    La présente invention a pour objet une  machine à perforer commandée à l'aide de  touches, dans laquelle les cartes à statistiques  portent des colonnes de positions de perfora  tions, et où les perforations s'effectuent co  lonne par colonne, sous la     commande    de  touches susceptibles d'être manipulées à la  main.  



  Le but principal de l'invention consiste à  améliorer le fonctionnement d'une telle ma  chine en la munissant de dispositifs de com  mande perfectionnés servant à perforer auto  matiquement des     chiffres    prédéterminés, par  exemple des zéros, à gauche de la valeur ex  primée. Lorsque l'on utilise des cartes per  forées, une zone ou champ comportant un  certain nombre de colonnes est affectée à la  réception de sommes d'ordres variés. Par  exemple, dans une zone à sept     colonnes,    on  peut perforer des sommes telles que 764321,  876 ou 5. Il est de pratique courante, lorsque  l'importance du nombre est inférieure au nom  bre total de colonnes de la zone, de perforer  des zéros dans les colonnes situées à gauche,  de telle sorte qu'un signe se trouve dans  chaque colonne de la zone.

   Ainsi, pour une  zone à sept colonnes, les sommes ci-dessus se  trouveraient perforées sous la forme 0764321,  0000876 et 0000005.  



  La machine comporte un     dispositif-pro-          gramme    coordonné avec le mécanisme d'avan-         cement    de la carte à statistiques et avec le  clavier, de telle sorte que, lorsque la pre  mière     colonne    d'une zone se trouve prête à  être perforée, l'opérateur enfonce la touche  de     chiffre    correspondant au nombre de posi  tions d'ordres dans la somme qu'il y a lieu  de perforer. Le fonctionnement de cette tou  che provoque la     perforation    automatique d'un  certain nombre de zéros dans la zone ,pour  constituer le nombre nécessaire de zéros.

   L'opé  rateur enfonce ensuite les touches d'après la  somme à enregistrer, et cette somme se trouve  perforée dans les colonnes situées à droite de  la zone.     Ainsi,    à propos du nombre 764321  mentionné dans les exemples ci-dessus, la       manoeuvre    de la touche 6 provoquera la per  foration d'un zéro.

   Pour la     somme    876, la       man#uvre    de la touche 3     entrainera    la per  foration de quatre zéros, et pour la somme 5  la manipulation de la touche 1 provoquera  la     perforation    de six zéros.     Ces    zéros sont  perforés     rapidement    à la suite et     sans    inter  ruption, amenant en position de perforation  la première colonne destinée à recevoir la per  foration de la somme.         Le    dessin représente, à titre d'exemple, une  forme d'exécution de la machine à perforer  selon l'invention.    La     fig.    1 est une coupe partielle de cette  forme d'exécution.

        La     fig.    2 est une coupe du détail d'un  embrayage.  



  La     fig.    3 est une coupe représentant les  organes essentiels du mécanisme de clavier.  La     fig.    3a est une vue de détail des élé  ments de la     fig.    3 représentés en cours da  fonctionnement.  



  La     fig.    4 représente un détail du méca  nisme de lecture d'une carte-programme.  



  La     fig.    5 représente le mécanisme d'en  traînement et d'échappement de l'alimentation  en cartes.  



  La     fig.    6 représente en élévation le méca  nisme d'entraînement de l'alimentation en car  tes.    La     fi-.    7 est une coupe selon 7-7 de la       fig.    6 et montre le dispositif à friction consti  tuant une partie du mécanisme d'alimentation  en cartes.    Les     fig.    8 et 8a réunies constituent un  schéma simplifié de circuit électrique de cette  forme d'exécution.    La     fig.    9 est une vue de la     carte-programme.       La     fig.    10 représente une carte à statis  tiques, perforée sous la commande de la     carte-          programme    de la     fig.    9.

      La machine représentée présente plusieurs  organes usuels connus.  



  <I>Clavier</I>  Si     l'on    se réfère aux     fig.    3 et 3a, on voit  que la touche 10, dont il existe un exemplaire  pour chacun des     chiffres,    est montée pour  fonctionner verticalement dans le bâti généra  lement désigné par 11 et, par l'intermédiaire  d'un levier coudé 12,     entraîne    vers la gauche  une biellette 13. L'extrémité de gauche de  cette biellette est montée à pivot sur le levier  coudé, et son extrémité de droite vient s'en  gager dans un cran ménagé dans un élément 15  monté à pivot en 16 sur une     glissière    verti  cale 17.

   L'élément 15 est normalement en  traîné dans le sens des aiguilles d'une montre    autour de son pivot 16 par un ressort 18  et possède un épaulement 20 engagé dans une  barre 21 pour le maintenir dans la position  représentée sur la     fig.    3. Lorsque l'on enfonce  la touche 10, la biellette 13 est entraînée vers  la gauche, emmenant avec elle l'extrémité su  périeure d'un élément 15, libérant ainsi son  épaulement de la barre 21. Ensuite, le res  sort 22 qui entoure l'extrémité     supérieure    de  la coulisse 17 entraîne la coulisse vers le bas  vers la position représentée sur la     fig.    3a.  



  Au-dessous de chacune de ces glissières  se trouve une paire de contacts désignés  généralement par 23, qui, lorsqu'on libère la  glissière ainsi qu'on l'a expliqué, se trouvent  fermés comme on l'a représenté sur la     fig.    3a.  Comme on l'a dit, il existe une touche 10  pour chacun des     chiffres,    et il y a par consé  quent dix contacts 23 représentés sur les  fi-. 8 et 8a, où il est indiqué qu'ils corres  pondent aux     chiffres    0, 1, 2, 3, 4, 5, 6,- 7,  8 et 9.

   La glissière 17, lorsqu'on l'a ainsi libé  rée, demeure dans sa position de la     fig.    3a  et ses contacts demeurent par conséquent fer  més jusqu'à ce que soit excité     l'électro    25  de retour du clavier, après quoi son arma  ture 26, montée à pivot en 27, bascule dans  le sens opposé à celui des aiguilles d'une  montre et amène par déplacement une plaque  recourbée 28 en prise avec l'élément 15, sou  levant celui-ci vers l'arrière dans sa position  de verrouillage le long de la glissière 17, où  il demeurera jusqu'à la     manoeuvre    suivante  de la touche.

   L'armature 26 porte un disque  isolant 30 qui, lorsque     l'électro    25 est excité,  provoque l'ouverture d'une paire de contacts  25a     (fig.    8) dans un but qui apparaîtra ulté  rieurement.    <I>Mécanisme d'alimentation de la carte</I>    Si l'on se réfère à la     fig.    1, on voit qu'une  carte à statistiques C est guidée de manière  à pouvoir se     déplacer    sur une plaque 33 et  avance à l'aide d'une paire de galets d'alimen  tation désignés par 34 et 35, galets dont le  dernier est un galet mené, tandis que le pre  mier est entraîné par un mécanisme que l'on  va     décrire,    de manière à faire passer la     carte,         colonne par colonne,

   en face d'une rangée     de     poinçons 36 (voir également     fig.    6). Le galet  d'alimentation 34 est fixé à un arbre 37       (fig.    5 et 6) auquel sont     également    fixés un  engrenage 39 et un rochet d'échappement 40.  L'engrenage 39 est entraîné dans le sens op  posé à celui des aiguilles     d'une        montre,    comme  on le voit sur la     fig.    5, par l'intermédiaire  d'un train d'engrenages désignés par 41, 42,  43 et 44.

   L'engrenage nommé en dernier lieu  est fixé à un arbre 47 qui, comme on l'a  représenté sur la     fig.    7, porte un engrenage 48  monté sur lui pour pouvoir y     tourner    libre  ment. Cet engrenage est entraîné constamment  à partir d'une     source    d'énergie quelconque et  est en rotation constante. Sur l'une et l'autre  faces du disque 48 se trouve un disque à  friction 49, et le dispositif à ressort 50 presse  constamment les disques à friction 49 pour les  maintenir en contact     d'entraînement    avec l'en  grenage 48.  



  De ce fait, sous l'action du train d'engre  nages que l'on vient de décrire, l'engrenage 39  et le     rochet    d'échappement 40 qui lui est  connecté sont constamment poussés dans le  sens opposé à celui des aiguilles d'une montre.  Leur déplacement se trouve cependant limité  par la venue en prise d'un cliquet d'armature  52 avec les dents du rochet 40.     L'électro     d'échappement 53, lorsqu'il se trouve momen  tanément excité, permet au rochet d'avancer  d'un intervalle de dent, de manière à faire  avancer la     carte    d'une colonne.     L'électro     d'échappement 53, lorsqu'il est excité, ferme  une paire de contacts 53a sur lesquels on  reviendra ultérieurement.

      <I>Entraînement de la carte-programme</I>    L'engrenage 42     (fig.    5 et 6) est fixé à un  arbre 55 supportant un tambour 57 autour  duquel peut être enroulée la     carte-programme     désignée par P. Comme l'engrenage 42 est  situé dans le train entraîné par friction et  couplé directement au rochet d'échappement,  le tambour 57 tourne par crans pour     faire          avancer    la carte-programme colonne par co  lonne, concurremment à     l'avance    de la carte  à statistiques, de     sorte    que le déplacement des    deux cartes s'effectue en synchronisme.

   Un  dispositif d'exploration ou de lecture est prévu  pour chaque position de chiffre de la     carte-          programme,        dispositif    qui a la forme d'une  roue en étoile 58 à cinq positions     (fig.    4).  Ceci constitue un dispositif d'exploration bien  connu.  



  La roue en étoile occupe normalement la  position représentée sur la     fig.    4 et, lors de  la rotation du tambour 57, la     roue    en étoile  glisse à travers la. surface de la carte tout en  demeurant dans la position représentée. La  roue est supportée de manière à pouvoir tour  ner par un levier 59 prenant appui sur une  tige 60, et elle est poussée dans le sens opposé  à celui des aiguilles d'une montre par la venue  en prise d'un     ressort    de contact 62 avec  l'extrémité de droite du levier.

   Lorsqu'une  perforation de la carte-programme     arrive    sous  la roue en étoile, la dent située à droite tombe       dans    la perforation, provoquant l'oscillation  du levier 59 dans le sens opposé à celui des  aiguilles d'une montre et provoquant la venue  en prise du ressort de contact 62 avec un  contact fixe 63. Ces     contacts    sont générale  ment désignés par PC sur la     fig.    8, et chacune  des paires de contacts distincts PC représentés  est en outre désignée par 7, 8, 9, etc., suivant  l'index ou position de     chiffre    de la carte que  son mécanisme de commande de roue en  étoile est destiné à explorer.

   Lorsque 'des posi  tions de colonnes successives de la     carte-          programme    sont perforées à la même position  de point d'index, la roue en étoile associée 58,  après avoir basculé dans la première de ces  séries de perforations pour fermer le contact  associé PC, passera ensuite par roulement d'une  opération à la suivante sans faire osciller le  levier associé 59.

   Par conséquent, les contacts  PC associés demeurent fermés pendant le pas  sage de cette série de perforations de la     carte-          programme.       <I>Mécanisme de</I>     perforation       Le mécanisme de     perforation,        ainsi    qu'on  l'a représenté à la     fig.    1, comporte les     poinçons     habituels 36 et, associé à ces poinçons, il       existe    un levier de commande 65 monté à      pivot sur un arbre 66 et supportant un loquet  67 soumis à la pression d'un ressort,

   qui est  normalement en prise avec une armature 68A  d'un     électro    68 de perforation et maintenu de  ce fait dans la position représentée sur la     fig.    1.  Après l'excitation de     l'électro    68, son arma  ture 68A bascule pour libérer le loquet 67,  lequel, sous l'action de son     ressort    69, bascule  ensuite dans le sens des aiguilles d'une montre  pour amener son extrémité recourbée 71 sous  un étrier 72 monté à pivot sur l'arbre 66. Le  basculement de chacun des douze loquets 67  fait pivoter un étrier 73 autour de son pivot 74  contre la tension du ressort 75 et ferme une  paire de contacts 76.

   Ces contacts mettent en  action un     mécanisme    d'embrayage pour pro  voquer une     oscillation    de l'étrier 72, ainsi qu'on  va l'expliquer ci-après.  



  Si l'on se     reporte    à la     fig.    2, on voit qu'une       poulie    est montée de manière à pouvoir tour  ner librement sur un arbre 78 (voir également  la fi-. 1) et est entraînée en rotation constante  grâce à une source d'énergie appropriée. A  l'arbre 78 est fixée une butée d'arrêt 79, et  entre la poulie 77 et la butée d'arrêt se trouve  un     ressort    81 enroulé autour et à distance du  prolongement du moyeu de la poulie 77. Une  extrémité de ce ressort est fixée à la came d'ar  rêt, et l'autre extrémité est fixée à un man  chon 82.

   Le manchon comporte une butée 83  qui vient en prise avec l'armature 84 d'un       électro    86, tandis que la came 79 présente  un bord d'arrêt 87 qui vient en prise avec un  levier 88 monté à pivot, levier qui est pressé  contre     l'armature    84 par un ressort de rac  cordement 89. Les pièces qui viennent d'être  décrites constituent une forme bien connue  d'embrayage à une seule révolution et, lorsque  les pièces occupent leur position normale et  que les deux butées 83 et 87 viennent en prise  avec leurs leviers respectifs, le ressort 81 est       maintenu    en position légèrement ouverte, de  sorte que le moyeu de la poulie 77 peut tour  ner librement à l'intérieur du ressort.  



  Après l'excitation de     l'électro    86, l'arma  ture 84 libère la butée 83, après quoi le res  sort 81 fait osciller le manchon 82 jusqu'à ce  que le     ressort    se ferme suffisamment pour    saisir le moyeu de la poulie et soit entraîné  par ce dernier pour assurer l'entraînement de  l'arbre 78 par l'intermédiaire de la came d'ar  rêt 79. A la fin d'une révolution,     l'électro    73  se trouvant désexcité, le manchon 82 vient  heurter l'armature 84 pour rouvrir le ressort 81  et effectuer le     désaccouplement    des pièces. Les  pièces entraînées sont légèrement déportées,  de telle sorte que la butée 87 vient à nou  veau en prise avec le levier 88, empêchant la  fermeture du ressort à boudin.

   L'arbre 78  supporte une paire de cames supplémentaires  91 qui entraînent des galets 92 montés sur  le bras latéral de l'étrier 72, de sorte que  l'étrier est basculé une fois lors de chaque  révolution de l'arbre 78. L'arbre 78 supporte  également une came (non représentée) servant  à commander une paire de contacts désignés  par 93, comme on l'a représenté sur le schéma  de circuits     (fig.    8).  



  Ce qui précède décrit brièvement le fonc  tionnement des éléments de la perforatrice.    <I>La carte</I>    On a représenté sur la     fig.    10 une carte C  dans laquelle des perforations sont indiquées  en plusieurs zones ou champs, comportant  chacune des     colonnes    multiples. Pour ces  zones ou champs, que l'on désire remplir de  zéros à gauche de la somme, la     carte-pro-          gramme    P de la     fig.    9 est perforée à ses posi  tions d'index 7, 8 et 9 comme on l'a représenté.

    On supposera qu'une dimension maximum de  champ est de sept colonnes, de sorte que la  carte-programme comportera la perforation  d'un 7 dans chaque colonne d'unités ou co  lonne de droite ; un 8 perforé dans la colonne  des dizaines ; un 7 et un 8 dans la colonne  des centaines ; un 9 dans la colonne des mil  liers ; un 7 et un 9 dans la colonne des di  zaines de mille ; un 8 et un 9 dans la colonne  des centaines de mille ; et un 7, un 8 et un 9  dans la colonne des millions. On remarquera  également sur la     fig.    9 que chaque colonne,  à l'exception de la colonne d'ordre la plus  élevée d'un champ, contient également une  perforation 12.

   Ces     perforations    12 ne pré  sentent pas d'intérêt pour le fonctionnement,      mais elles sont nécessitées par les opérations  habituelles de duplication et de saut effectuées  par le poinçon.  



  La manière suivant laquelle les perfora  tions de points d'index 7, 8, 9 de la     carte-          programme    commandent la perforation de zé  ros dans la carte C sera expliquée à propos  du schéma de circuits.  



  Sur les     fig.    9 et 10, les rangées désignées  par   ligne de lecture   et   ligne de perfora  tion   respectivement servent à indiquer qu'il  existe un décalage d'une colonne entre les deux  cartes en ce qui concerne leur lecture et leur  perforation, de sorte que, lorsqu'une colonne  quelconque de la carte-programme se trouve  à sa ligne de lecture, la colonne correspondante  de la carte à statistiques se trouve à un inter  valle ou à une     colonne    de sa position de       perforation.       <I>Schéma de circuits</I>    On comprendra mieux le fonctionnement  de la machine en dessinant des circuits parti  culiers conformes aux exemples de carte repré  sentés sur les     fig.    9 et 10.

   Supposons que la  carte-programme ait été disposée sur le     tam-          bour-programme    et que sa colonne 1 ait été  mise à l'alignement des roues en étoile 58 et  que la carte à statistiques ait été convenable  ment introduite dans la machine et placée  entre ses galets d'amenée 34 et 35, sa colonne 1  se trouvant à un     intervalle    ou pas à droite  de la ligne de poinçons 36. On peut alors  faire avancer la carte par l'intermédiaire des  dispositifs habituels d'espacement (non repré  sentés) pour amener la colonne 2 à l'aligne  ment des     poinçons.    L'appareil est maintenant  prêt à perforer la valeur 2 dans la colonne 3.  



  La     manipulation    de la touche 10 du chif  fre 2 représentée sur la     fig.    3 ferme les  contacts associés 23-2     (fig.    8a) pour complé  ter un circuit allant d'une ligne 94 de poten  tiel zéro à une ligne 97 sous     tension.    positive  et passant par les contacts<I>25a</I> de retour du  clavier, les contacts 23-2, la face normalement  fermée des contacts     PCP-4    d'un relais désigné  par     PCP,    la face normalement fermée des  contacts 96e d'un relais R96,     l'électro    68-2    et la face normalement fermée des contacts  96b du     relais    R96.

   Ce     fonctionnement    de la  touche 2, tel qu'on l'a expliqué en se référant  aux     fig.    3 et 4, libère la coulisse associée 17  pour fermer les contacts 23-2 qui demeurent  fermés jusqu'à     ce    que soit excité     l'électro    25  de retour à zéro.

   L'excitation de     l'électro    68-2  débraie le verrou 67 de la     fig.    1 qui lui est  associé et provoque la fermeture des contacts  76 qui complètent ensuite un circuit partant  de la ligne 94 à travers les contacts 76, un  redresseur d'isolement 98 et les contacts 99b  d'un relais R99 pour aboutir à la grille d'une  lampe     Tl,    rendant ainsi     cette        dernière    conduc  trice en vue d'exciter     l'électra    d'échappement  53 par l'intermédiaire des contacts à came 93  normalement fermés.

   L'excitation de     l'électro     d'échappement 53 fait avancer la carte d'une  colonne de la façon expliquée précédemment  et, grâce à la fermeture de ses contacts asso  ciés 53a, complète un circuit allant de la  ligne 94 à la grille d'une lampe T2 et passant  par les contacts<I>53a,</I> lampe qui est de ce fait  rendue conductrice pour exciter le     relais    99  à travers le     contact    à came 93. L'excitation  du relais 99 provoque la fermeture des contacts  99a qui lui sont associés, et l'ouverture de ses  contacts 99b.

   L'ouverture des contacts 99b       dans    le circuit de     grille    de la lampe<I>TI</I> rend  cette dernière non conductrice et désexcite  ainsi rapidement     l'électro    d'échappement 53,  de sorte qu'il ne peut servir qu'à faire avancer  d'une colonne seulement les cartes à statis  tiques.  



  La fermeture des contacts 99a complète  un circuit allant de la ligne 94 à la grille  d'une lampe T3, rendant ainsi cette dernière  conductrice pour exciter     l'électro    d'embrayage  de perforation 86 par l'intermédiaire du contact  à came 93. Le levier de poinçon 65 de la       fig.    1 se trouvant associé à la position d'index 2  maintenant couplée à l'étrier 72, l'excitation  de     l'électro    86 d'embrayage de perforation  entraîne une révolution unique de l'arbre 78  de la manière expliquée précédemment. La  révolution unique de l'arbre 78 provoque une  perforation au point d'index 2 de la colonne 3  de la carte.

   Pendant la révolution de l'arbre 78,      les contacts associés 93 commandés par came  s'ouvrent pour couper les circuits à travers le  relais R99 et     l'électro    86 d'embrayage de per  foration. Un autre circuit se trouve complété  dès la fermeture des contacts 76, ce circuit  allant de la ligne 94 à travers les contacts 76,  et à travers la face     normalement    fermée des  contacts 96k vers la grille d'une lampe T4  pour rendre cette lampe conductrice afin d'ex  citer     l'électro    25 de retour du clavier, de telle  sorte que le clavier est     ramené    à zéro et que  les contacts 23-2 s'ouvrent à nouveau pendant  que s'effectue la perforation.  



  Ce qui précède explique brièvement l'opé  ration normale de perforation qui a lieu, étant  bien entendu que la colonne à perforer est  normalement hors de la position de perfora  tion et qu'une     action    d'échappement a lieu  avant la perforation     effective,    de telle sorte  qu'après que la perforation a été effectuée la  colonne perforée demeure     en        alignement    avec  les poinçons.  



  Pour obtenir une perforation au point zéro  de la colonne suivante (colonne 4), la touche  zéro est manipulée pour effectuer la fermeture  des contacts associés 23-0. Ces contacts étant  fermés,     l'électro    68-0 est excité et il en résulte  que le point d'index zéro de la colonne 4 de  la carte à statistiques est perforé d'une manière  identique à celle expliquée pour l'opération de  perforation du 2.

   Les touches 7 et 1 sont en  suite manipulées de la même manière pour       effectuer    la perforation d'un 7 dans la co  lonne 5 et la perforation d'un 1 dans la co  lonne 6 de la carte.     Les    cartes sont alors  amenées vers une position où la colonne 11  de la carte-programme se trouve en position  de lecture et la colonne correspondante 11 de  la     carte    C se trouve à un intervalle de la  ligne de poinçons 36.A propos de la carte  de la     fig.    10,     on    supposera que la somme à  perforer dans     ce    champ à sept colonnes con  tient sept     chiffres,    de sorte qu'il n'y a     pas    à  perforer de zéro à gauche,

   et l'on va expliquer  maintenant les opérations qui ont lieu dans  ce cas.  



  La ligne 11 de la     carte-programme    se  trouvant en position d'exploration, les contacts         PC7,        PC8    et     PC9    de la roue en étoile de la  fia. Sa sont fermés et provoquent l'excitation  des     électros    de relais désignés par R7,<I>R8</I>  et R9, fermant ainsi les contacts qui leur sont  associés, désignés par 9a à 9j pour le relais  R9, 8c à     8f    pour le relais R8, et 7a à 7c pour  le relais R7.

   Lorsque l'un ou l'autre des  contacts R96<I>ou</I>     RSb    disposés en parallèle  est fermé, un circuit est complété qui va de  la ligne 94 à la ligne 97 en passant par les  contacts 104a (en position normale) d'un  relais<I>R104,</I> les contacts 103b (en position  normale) d'un relais<I>R103,</I> soit par les points  de contacts     R8b    ou R96 et ce que l'on appelle  le relais<I>R96</I> de déconnexion du clavier. Lors  que le relais R96 est excité, la totalité des  points de contact 96a<I>à 96k</I> qui lui sont asso  ciés sont décalés. Le relais R96 est maintenu  excité par son propre point de contact 96a  et par le contact 25a de retour du clavier.  On notera que l'excitation de l'un ou l'autre  des relais R8 ou R9 provoque l'excitation  du relais R96.  



  La colonne<B>11</B> de la carte-programme se  trouvant en position d'exploration et les relais  <I>R7, R8,</I> R9 et R96 excités comme on l'a  expliqué ci-dessus, l'opérateur, conformément  aux règles exposées plus haut, enfoncera une  touche représentant le nombre de places occu  pées par la somme à perforer. Pour l'exemple  choisi,     ce    sera la touche 7 qui, après son  enfoncement, provoquera la fermeture des  contacts 23-7 de la manière habituelle. Comme  à ce moment le relais R96 est excité, ses  contacts     96d    sont déplacés, de sorte qu'aucun  circuit n'est complété en direction de     l'électro     68-7.

   Un circuit est toutefois complété depuis  la ligne 94 à travers les contacts 25a de retour  du clavier, les contacts     23-7_,    les contacts     PCP-3     (en position normale), les contacts 96d (dé  placés), les     contacts    9d (déplacés), les contacts  8c (déplacés), les contacts 7b (déplacés), à  travers un conducteur 102 et la bobine d'ex  citation d'un relais R103 dit relais d'arrêt,  pour aboutir à la ligne 97.

   L'excitation du  relais d'arrêt<I>R103</I> provoque la fermeture des  contacts     R103a    qui lui sont associés, et le  transfert de ses contacts     R103b.    Le transfert      des contacts<I>8103b</I> ouvre le circuit passant à  travers le relais R96 et complète un circuit  allant de la ligne 94 à travers la face norma  lement fermée des contacts<I>8104a,</I> la     face     normalement ouverte des contacts<I>8103b,</I>  maintenant fermés, à travers un conducteur  105, les contacts     R96k    (déplacés) vers la grille  de la lampe T4, rendant cette dernière conduc  trice pour exciter     l'électro    25 de retour du  clavier et ramener à zéro (ouvrir) les contacts  23-7.

   Lorsque     l'électro    25 de retour du cla  vier est complètement excité, ses contacts  associés 25a s'ouvrent et coupent le circuit  de maintien en direction du relais R96. Dès  que le relais R96 est désexcité, les contacts  <I>896a à</I>     R96k    qui lui sont associés se déplacent,  ouvrant ainsi le circuit de grille vers la lampe  T4 et rendant de nouveau cette dernière non  conductrice. La lampe T4 se trouvant en état  de     non-conductivité,        l'électro    25 de retour du  clavier est désexcité pour fermer les contacts       25a    de retour du clavier et     reconnecter    la  face commune des contacts 23-0 à 23-9 en  direction de la ligne sous tension 94.

   Le relais  d'arrêt<I>R103</I> est maintenu excité par les  contacts     8103n    qui lui sont     associés    et les  contacts<I>8104b</I> normalement fermés du relais  d'arrêt de remise à zéro<I>R104.</I>  



  L'opérateur enfonce maintenant les touches  de la somme à perforer dans le champ de  la carte, la première de ces touches étant la  touche 3, ce qui entraîne la fermeture des  contacts<B>23-3.</B> Grâce à la fermeture des  contacts 23-3, un circuit -se trouve complété  depuis la ligne 94 jusqu'à la ligne 97 en pas  sant par les contacts 25a, les contacts 23-3.  le contact     PCP-2    (en position normale), les  contacts<B>96e</B> (en position normale),     l'électro     68-3 et les contacts     R96b.    Il en résulte que  la carte est avancée puis perforée à la position  de point d'index 3 de la colonne 11, de la  manière que l'on a décrite précédemment.

   En  suite, les touches 4, 5, 6, 7, 8 et 9 sont mani  pulées successivement pour effectuer les per  forations désirées dans les colonnes restantes,  comme on l'a représenté sur la fi-.<B>10.</B> La  carte-programme va naturellement progressant  à travers les colonnes pour permettre une    exploration des positions perforées 7, 8 et 9,  mais, comme le relais d'arrêt<I>R103</I> est main  tenu excité et que ses     contacts   <I>8103b</I> sont  transférés, l'achèvement de la lecture d'une  perforation 8 ou 9 dans la carte-programme  ne peut effectuer l'excitation du relais R96.

    Lorsque la dernière     colonne    (17) du champ  de la carte-programme arrive en- position de  lecture, seule une perforation 7 'est     lue    sur  la     carte-programme    et il en résulte que seul  le relais R7 de la carte-programme est excité.

    Le relais R7 se trouvant excité, la fermeture  d'un contact 107 par l'intermédiaire d'une  came supportée par l'arbre 78 complète un  circuit allant de la     liane    94 à la     ligne    97 et  passant par les contacts     R9a    normalement  fermés, les contacts Réa normalement     fermés,     les contacts     R7a    normalement ouverts (main  tenant fermés) et le relais d'arrêt<I>R104</I> de  retour à zéro.

   L'excitation du relais<I>R104</I>  provoque l'ouverture de ses contacts<I>8104b</I>       normalement    fermés, et le     transfert    de ses  contacts<I>8104a.</I> L'ouverture des contacts  <I>8104b</I> ouvre le circuit de maintien en direc  tion du relais d'arrêt<I>R103</I> pour désexciter  ce     dernier.    Le relais d'arrêt<I>R103</I> se trouvant  désexcité et les contacts<I>8103b</I> de celui-ci  occupant leur position normale,

   on peut de  nouveau     réaliser    le circuit d'excitation en di  rection du relais R96 lors de la lecture d'une       perforation    d'index 8 ou 9 dans la     carte-          programme.    Le redresseur shunté autour du  relais<I>R104</I> d'arrêt de retour à zéro retarde  la désexcitation du relais<I>R104</I> après l'ouver  ture des contacts     R7a    jusqu'à ce que le relais  d'arrêt<I>R103</I> ait été effectivement     désexcité.     La machine se trouve     maintenant    en état de  perforer la somme suivante dans la     carte.     



  La     carte    progresse maintenant sous l'ac  tion des dispositifs habituels de mise en place  (non représentés), vers une position où la  colonne 23 de la     carte-programme    est en posi  tion d'exploration, tandis que la colonne cor  respondante 23 de la carte C se trouve à un       intervalle    de la ligne de poinçons 36.     Du        fait     de la lecture des perforations 8 et 9 sur la  colonne 23 de la carte-programme et de  l'excitation des relais R8 et R9 qui en résulte,      le relais R96 se trouve excité à nouveau.  Comme il y a lieu de perforer dans ce champ  une somme occupant trois places, l'opérateur       enfonce    d'abord la touche 3 pour fermer les  contacts 23-3.

   Ceci complète un circuit allant  de la ligne 94 à la ligne 97 et passant par  les contacts 25a, les contacts 23-3, les contacts       PCP-2    (en position normale), les contacts<I>896c</I>  (déplacés), les contacts     R9c    (déplacés), le  conducteur<B>108,</B> le redresseur d'isolement 109  et     l'électro    68-0.

       L'électro    68 du chiffre zéro  libère son loquet de perforation 67 pour fer  mer les contacts 76 comme auparavant,     ce    qui       entraîne    le fonctionnement de     l'électro    d'échap  pement 53 et de     l'électro    86 d'embrayage de  perforation, de telle sorte que la carte à sta  tistiques C est avancée     d'une    colonne et qu'un  zéro est perforé     dans    une     colonne    23.

       Cepen@          dant,    cette action ne s'accompagne pas de  l'excitation de     l'électro    25 de retour du clavier  parce que les contacts     R96k    de la     fig.    8a sont  déplacés de telle sorte qu'aucun courant en  provenance de la ligne 94 n'est appliqué à la  grille de la lampe T4. Il en résulte que les  contacts 23-3 demeurent fermés et que le cir  cuit passant à travers     l'électro    68-0 demeure  complété pour effectuer une opération auto  matiquement répétée de l'échappement et du  mécanisme de perforation pour perforer des  zéros dans les colonnes 24, 25 et 26.  



  Dans la colonne 27 de ce champ ou zone  de la carte-programme P, la perforation a lieu  dans les positions 7 et 8, et cette colonne se  trouve en position de lecture tandis que la  perforation de zéros     s'effectue        dans    la colonne  26 de la     carte    à statistiques C.

       Par    conséquent,  les relais R7 et R8 se trouvant maintenant  excités, il existe un circuit supplémentaire qui  peut être tracé de la ligne 94 à la ligne 97  en passant     par    les contacts 25a, les contacts  23-3, les contacts     PCP-2    (en position normale),  les contacts     R96c    déplacés, la face normale  ment fermée des contacts     R9c,    les contacts       R8d    déplacés, les contacts     R7b    déplacés, le  conducteur 102 et la bobine d'excitation du  relais d'arrêt<I>R103.</I> Le relais<I>R103</I> est main  tenu à travers ses propres contacts<I>8103a</I> et  les contacts<I>8104b</I> normalement fermés.

   Le    relais<I>R103</I> se trouvant excité, ses contacts  <I>8103b,</I> lors de leur transfert, complètent un  circuit partant de la ligne 94 et passant à tra  vers la face normalement fermée des contacts  <I>8104a,</I> les contacts<I>8103b</I> (déplacés), le  conducteur 105, la face normalement ouverte  des contacts     R96k    (encore déplacés) pour  aboutir à la grille de la lampe T4, rendant  ainsi cette dernière     conductrice    ,pour exciter       l'électro    25 de retour du clavier.

   Par consé  quent, accompagnant la perforation de zéro  dans la colonne 26,     s'effectue    l'excitation de       l'électro    25 de retour du clavier, de sorte que  les contacts 23-3 s'ouvrent de nouveau après  que la colonne 26 a été     perforée.        De    même,  du fait de l'excitation de     l'électro    25, les  contacts 25a de retour du clavier s'ouvrent et  interrompent le circuit de maintien en direc  tion du relais R96. Le relais R96 se trouvant  désexcité, les points de contact     R96a   <I>à</I>     R96k     qui lui sont associés     retournent    à leur position  normale.

   Lorsque les contacts     R96k    sont trans  férés, le circuit en direction de la grille de la  lampe T4 est interrompu, la     rendant    ainsi non  conductrice en vue de désexciter     l'électro    25  de retour du clavier. Les contacts 25a de  retour du clavier se referment alors pour     re-          connecter    le clavier à la ligne sous tension.  Il résulte des opérations mentionnées ci-dessus  que les     opérations    de perforations se trouvent  de nouveau sous la commande de la manipu  lation manuelle du clavier.  



  L'opérateur enfonce alors à la suite les  touches 5, 6 et 7 pour     effectuer    la perforation  de cette somme dans les colonnes 27, 28 et 29  de la carte C, de la manière habituelle. Comme  on l'a expliqué antérieurement en détail à pro  pos du champ ou zone précédent à sept co  lonnes, la seule perforation du 7 dans la  colonne 29 de la carte-programme provoque  l'excitation du relais<I>R104</I> d'arrêt de retour  à zéro. L'excitation du relais<I>R104</I> d'arrêt de  retour à zéro fait retomber le relais d'arrêt  <I>R103,</I> de sorte que la machine est en état  de perforer le champ suivant de la     carte    à  statistiques, ou     carte    C.

   L'examen des     fig.    8  et 8a indiquera que les contacts     R9c   <I>à</I>     R9j,     les contacts     R8c   <I>à.</I>     R8f    et les contacts     R7b         et     R7c    sont interconnectés électriquement d'une  manière telle qu'ils constituent un trajet de  courant en direction du relais d'arrêt<I>R103</I>  lorsque leur réglage sous la commande d'une  colonne de la carte-programme correspond à  la valeur en chiffres de la touche     manoeuvrée.     Ainsi, dans l'exemple donné plus haut,

   le cir  cuit est complété à travers     ces    contacts seu  lement lorsqu'ils sont disposés de manière à  représenter les perforations situées dans la troi  sième colonne à partir de la droite de la     carte-          programme    (c'est-à-dire les perforations 7 et 8)  et la touche 3 est manipulée. De la même  manière, si l'on a manipulé la touche 5, le  circuit en direction de     l'électro    d'arrêt<I>R103</I>  ne se trouverait complété que lors de l'excita  tion des relais 7 et 9 en réponse à la lecture  de ces perforations dans la cinquième colonne  à partir de la droite de ce champ ou zone de  la carte-programme.

      Après que la vingt-neuvième colonne de  la carte à statistiques a été perforée pour re  présenter un 7 dans l'exemple de la     fig.    10,  la carte est déplacée par les dispositifs habi  tuels vers une position où la colonne 35 de  la carte-programme est en position de lecture,  et la colonne correspondante 35 de la     carte    à  statistiques C est à un intervalle de la ligne  de poinçons 36. Il y a lieu de noter que ce  champ de la carte-programme comporte cinq  colonnes et que la colonne 35 contient de ce  fait une perforation 7 et une perforation 9.

    Par conséquent, les relais R7 et R9 sont ex  cités pour mettre leurs contacts en état, de  sorte que seule la manipulation de la touche 5  entraîne l'excitation du relais d'arrêt<I>R103.</I>  Dans la carte représentée sur la     fig.    10, l'opé  rateur enfonce la touche 2. Ceci complète un  circuit allant de la ligne 94 à la ligne 97 en  passant par les contacts 25a, les contacts 23-2,  les contacts     PCP-4    (en position normale), les  contacts     R96e    (déplacés), les contacts     R9e     (déplacés), le conducteur 108, le redresseur 109  et     l'électro    68-0.

   Ceci entraîne l'échappement  de la colonne 35 de la carte à statistiques vers  la ligne de perforations, et la perforation du  point d'index zéro dans cette carte, suivie par    une perforation automatique similaire de zéros  dans les colonnes 36 et 37.  



       Tandis    que la colonne 37 est en cours de  perforation, la colonne 38 de la     carte-pro-          gramme    est lue pour exciter le relais R8,       complétant    ainsi à ce moment un circuit par  tant de la     ligne    94 à travers les     contacts    25a,  le contact 23-2 (encore fermé), les contacts       PCP-4    (en position normale), les contacts     R96e     (déplacés), les contacts     R9e    (en position nor  male), les contacts     R8d    (déplacés), les contacts       R7c    (en position normale),

   le conducteur 102  et     l'électro    d'arrêt<I>R103</I> pour aboutir à la  ligne 97,     interrompant    ainsi la perforation de  zéros et ramenant le clavier de telle     sorte    que  l'opérateur peut- ensuite introduire à la main  la valeur 34.  



  Après l'introduction de la valeur 34 dans  les     colonnes    38 et 39 de la carte à statistiques  C, la carte est poussée vers l'avant de la ma  nière habituelle jusqu'à ce que la colonne 47  de la     carte-programme    se trouve en position  de lecture et que la colonne correspondante 47  de la carte à statistiques C se trouve à un  intervalle de la ligne de poinçons 36. Du fait  de la lecture de la     perforation    9 dans la co  lonne 47 de la carte-programme et de l'exci  tation du relais R9 qui en résulte, le relais R96  se trouve excité à nouveau. Dans les     cartes     représentées sur les     fig.    9 et 10, on désire  remplir ce champ de zéros (chiffres sans signi  fication).

   L'opérateur enfonce donc la touche 0,  fermant ainsi les contacts 23-0 associés. Lors  que les contacts 23-0 sont fermés, on peut  obtenir un circuit partant de la ligne 94 et  passant à travers les contacts 25a, les contacts  23-0, les contacts     R96j    (déplacés), les contacts       R9j    (déplacés), le redresseur 109 et     l'électro     68-0, pour aboutir à la ligne 97.

       L'électro    68-0  excite son loquet de perforation 67 pour fer  mer les contacts 76 comme précédemment et  effectue une opération de     l'électro    d'échappe  ment 53 et de     l'électro    86 d'embrayage de  perforation, de sorte que la carte à statistiques  C est avancée d'une colonne et qu'un zéro se  trouve perforé dans la colonne 47. Cette opé  ration ne s'accompagne pas de l'excitation de       l'électro    25 de retour du clavier parce que les      contacts     R96k    de la     fig.    8a sont déplacés, de  telle sorte qu'aucun courant n'est     appliqué    à  la     grille    de la lampe T4 en provenance de la  ligne 94.  



  Du fait de l'opération d'échappement et de  perforation décrite ci-dessus, la     colonne    48 de  la     carte-programme    est avancée en position  d'exploration. Cette colonne contient des per  forations aux positions de     points    d'index 7 et 8  pour réaliser une excitation des relais R7 et R8.

    Lorsque ces deux relais se trouvent excités,  on obtient un circuit partant de la ligne 94  et passant par le contact     R25a    de     retour    du  clavier, les contacts 23-0 (encore fermés), les  contacts     R96j    (déplacés), les contacts     R9j    (en  position normale), les     contacts        R8f    (déplacés),  le conducteur 108, le redresseur 109 et     l'élec-          tro    68-0 pour aboutir à la     ligne    97.

       L'électro     68-0 excite de nouveau son loquet de perfo  ration 67 pour fermer les contacts 76 comme  précédemment, ce qui     entraîne    le fonctionne  ment de     l'électro    53 d'échappement et de       l'électro    86 d'embrayage de perforation. La  carte à statistiques et la carte-programme se  trouvent     ainsi    avancées d'une colonne et un  zéro est perforé dans la colonne 48 de la carte  à statistiques.  



  En raison de l'action d'échappement et de  perforation que l'on vient de décrire, la co  lonne 49 de la     carte-programme    est avancée  en position de lecture, et la lecture de la per  foration 8 dans celle-ci a pour résultat l'exci  tation du relais R8. Ceci constitue un circuit       partant    de la ligne 94 et passant par les  contacts de clavier 25a, les contacts 23-0 (en  core fermés), les contacts     R96j    (déplacés), les  contacts     R9j    (en position normale), les contacts       R8f    (déplacés), le conducteur 108, le redres  seur 109 et     l'électro    68-0 pour aboutir à la  ligne 97.

       L'électro    68-0 excite son loquet de  perforation 67 pour fermer les contacts 76  comme précédemment, ce qui     entraîne    le fonc  tionnement de     l'électro    d'échappement 53 et  de     l'électro    d'embrayage de perforation 86.  Ainsi, la carte à statistiques et la     carte-pro-          gramme    avancent d'une colonne et     un    zéro se  trouve perforé dans la colonne 49 de la carte  à statistiques.    La colonne 50 de la carte-programme se  trouvant maintenant en position de lecture, la  lecture de la perforation 7 de celle-ci     entraîne     l'excitation du relais R7.

   Il en résulte     que    l'on  peut obtenir un circuit partant de la     ligne    94  et passant par les contacts 25a, les contacts  23-0 (encore fermés), les contacts     R96j    (dé  placés), les contacts     R9j    (en position normale),  les contacts     R8f    (en position normale), les  contacts     R7c    (déplacés), le conducteur 108, le  redresseur 109 et     l'électro    68-0 pour aboutir  à la ligne 97.

       L'électro    68-0 excite à nouveau  son loquet de perforation 67 pour fermer les       contacts    76     comme    précédemment, ce qui en  traîne le fonctionnement de     l'électro    d'échap  pement 53 et de     l'électro    86 de l'embrayage  de perforation.     Ainsi,    la carte à statistiques  et la carte-programme sont avancées d'une       colonne    et un zéro se trouve perforé dans la  colonne 50 de la carte à statistiques C.

   Au  cours de l'opération de perforation et avant  que le relais R7 ne soit désexcité, le contact  à came 107 se ferme pour compléter un cir  cuit partant de la ligne 94 et passant par le  contact à came 107, les contacts     R9a    (en  position normale), les contacts Réa (en posi  tion normale), les contacts     R7a    (déplacés) et  le relais<I>R104</I> de libération de butée     pour     aboutir à la ligne 97.

   Le transfert des contacts       R104a    complète un circuit partant de la ligne  94 et passant à travers les contacts     R104a     (déplacés), le conducteur 105, les contacts       R96k    (encore déplacés), pour aboutir à la  grille de la lampe T4, rendant ainsi cette der  nière conductrice pour exciter     l'électro    25 de  retour du clavier.

   Ceci provoque l'ouverture  des contacts associés<I>25a en vue</I> de couper  le circuit de maintien en direction du relais  R96, de sorte que ce dernier se trouve     dés-          excité.    Lors de la désexcitation du relais R96,  ses contacts     R96k    se déplacent pour inter  rompre le circuit de grille de la lampe T4,       rendant    celle-ci non conductrice, de manière  à désexciter     l'électro    25 de retour du clavier.  Lorsque     l'électro    25 est désexcité, les contacts  associés<I>25a</I> se ferment, de sorte que la ma  chine se trouve de nouveau sous la commande  du clavier manuel.

        <I>Préparation de la carte-programme</I>  Comme on l'a expliqué précédemment, la  perforation automatique de zéros est fonction  du code de     perforation    de la     carte-programme.     Afin de simplifier la perforation de la carte  programme, on a disposé la     machine    de telle  sorte que l'opérateur n'ait pas besoin de con  naître le code de perforation de la     carte-pro-          gramme,        mais    ait simplement besoin d'enfoncer  les touches numériques à la suite, dans l'ordre  décroissant, la première touche enfoncée dé  pendant de la dimension de champ désirée.

    Par exemple, en préparant la     perforation-pro-          gramme    de la carte-programme C de la     fig.    9,  l'opérateur ferme d'abord le commutateur 113  de préparation de la carte-programme de la       fig.    8a.

   Il en résulte qu'un circuit est complété  de la ligne sous tension 94 à la ligne sous  tension 97, circuit passant par le commutateur  113 et le relais     PCP.    L'excitation de ce relais  provoque la fermeture des contacts     PCP-1    qui  lui sont associés, et le transfert des contacts       PCP-2   <I>à</I>     PCP-8.    Le transfert des contacts       PCP-2   <I>à</I>     PCP-8    déconnecte les contacts de la  touche associés 23-1 à 23-7 de leur circuit  régulier et les relie au circuit 114 de transla  tion du redresseur représenté sur la     fig.    8a.

      L'opérateur fait alors avancer une carte  en blanc grâce aux dispositifs habituels d'ali  mentation et d'espacement jusqu'à ce que la  colonne 11 de cette carte se trouve à une  colonne à droite de la ligne de perforation 36.  Ensuite, puisque le premier champ de la carte  programme doit être un champ à sept colonnes,  l'opérateur, conformément à la règle exposée  précédemment, enfonce les touches 7, 6, 5, 4,  3, 2 et 1 à la suite dans l'ordre décroissant.

    La manipulation de la touche 7 ferme les  contacts 23-7 de la manière habituelle, en vue  de compléter un circuit partant de la     ligne    94  et passant par les contacts 25-1, les contacts  23-7, les contacts     PCP-3    (déplacés), le re  dresseur d'isolement 115,     l'électro    68-7,     les     contacts     R96b    (en position normale), pour  aboutir à la ligne 97.     Simultanément,    un cir  cuit se trouve complété à travers le redresseur  <B>116</B> et le conducteur 118 pour exciter     l'électro       68-8.

   Un     circuit    identique est complété à tra  vers le redresseur 119 et le conducteur 120  pour exciter     l'électro    68-9. Ainsi, du     fait    de       l'enfoncement    de la touche 7, les     électros    68-7,  -8 et -9 sont excités pour effectuer la perfo  ration des points d'index 7, 8 et 9 de la co  lonne 11 de la carte à statistiques de la ma  nière habituelle. Ceci constitue la perforation  nécessaire en code du programme pour la  colonne 11 de la carte, comme on le remar  quera en se reportant à la     fig.    9.

   Pendant       l'opération    de perforation de la colonne 11,  une came     supportée    par l'arbre 78 ferme un  contact 122 pour compléter un circuit partant  de la ligne 94 et passant à travers le contact  122, les contacts<I>8123c</I> (en position normale),  d'un relais d'arrêt<I>R123</I> d'un poinçon désigné  par   12  , les contacts     PCP-1        (maintenant     fermés) et la bobine d'excitation d'un relais  <I>R124</I> de poinçon   12   pour aboutir à la  ligne 97.

   L'excitation du relais<I>R124</I> qui en  résulte provoque la fermeture de ses contacts  <I>8124a</I> et le transfert de ses contacts<I>8124b.</I>  La fermeture des     contacts   <I>8124a</I> complète un  circuit de maintien du relais<I>R124,</I> circuit  partant de la ligne 94 et     passant    par un contact  125 qui est fermé par une came supportée par  l'arbre 55 du     tambour-programme,    les contacts  <I>8123d</I> (en position normale), les contacts  <I>8124a</I> (maintenant fermés) et la bobine de  maintien du relais<I>R124,</I> pour aboutir à la  ligne 97:

   Le relais<I>R124</I> est     maintenant     excité jusqu'au commencement de l'intervalle  de perforation du cycle suivant de la machine  au cours duquel il est     excité    à nouveau de la  manière expliquée ci-dessus.  



  L'enfoncement de la touche 6 par l'opéra  teur complète un circuit en direction des     élec-          tros    68-8 et 68-9 en vue     d'effectuer    une per  foration des points d'index associés de la  colonne 12, à la demande.

   Au moment même  où les     électros    68-8 et 68-9 sont excités par  les     contacts        PCP-5    (transférés), et les contacts  23-6 fermés, un circuit parallèle se trouve  complété, soit à travers le conducteur 118, soit  à travers le     conducteur    120, les redresseurs  associés 127 ou 128     respectivement,    le conduc  teur 129, les contacts<I>8124b</I> (déplacés) et           l'électro    68-l2, en direction de la ligne 97.       Ainsi,    la position de point d'index 12 de la  colonne 12 de la carte-programme de perfo  ration se trouve également perforée.  



  L'enfoncement de la touche 5     effectue    en  suite la perforation des points d'index 9, 7 et  12 de la colonne 13 de la carte, d'une manière  identique. L'enfoncement des touches 4, 3 et 2  de la carte, dans l'ordre décroissant, effectue  la perforation des     colonnes    14, 15 et 16 comme  on l'a indiqué sur la     fig.    9.     Ensuite,    l'enfon  cement de la touche 1 complète un circuit  partant de la ligne 94 et passant par les  contacts 25a, les contacts 23-1, les contacts       PCP-6    (déplacés), le conducteur 130 et la  bobine d'excitation du relais 123 pour aboutir  à la ligne 97.

   L'excitation du relais<I>R123</I> qui  en résulte provoque le     déplacement    des contacts       R123a   <I>à</I>     R123e    qui lui sont associés. La fer  meture des contacts     R123e    complète un cir  cuit partant de la     ligne    94 et passant par les  contacts 25a, les     contacts    23-1, les contacts       PCP-6    (déplacés), le conducteur 130, le conduc  teur 132, les contacts     R123e    (maintenant  fermés), le conducteur 133, le     conducteur    134,

         I'électro    68-7 et les contacts     R96b    pour abou  tir à la     ligne    97. Au même moment, un cir  cuit est complété depuis le conducteur 134 à  travers le redresseur 136, le conducteur 129,  les contacts     R123a    (déplacés), les contacts       R124b    (en position normale), et     l'électro    68-12  pour aboutir à la     ligne    97. Les     électros    68-7  et 68-12 se trouvant excités, un 12 et un 7  sont perforés dans la colonne 17 de la carte  à la demande.  



  La     fermeture    des contacts     R123b    complète  un circuit partant de la     ligne    94 et passant  par les contacts à cames 131 (lorsque ceux-ci  sont fermés), les contacts     R123b    et la bobine  de     maintien    du relais<I>R123</I> pour aboutir à  la ligne 97. Le     relais   <I>R123</I> est maintenu excité  par le circuit     mentionné    ci-dessus, jusqu'à ce  que les contacts 131 soient ouverts lors de  l'opération d'échappement suivante.

   L'ouver  ture des contacts     R123d    désexcite le relais  <I>R124</I> qui, on le rappelle, commande la per  foration 12, de sorte que la perforation 12  est supprimée dans la colonne de l'ordre le    plus élevé (colonne 23) du champ suivant de  la même manière que dans la colonne 11. Les  opérations de saut, etc., exigent que la colonne  de l'ordre le plus élevé de chaque champ ou  zone de la carte-programme ne contienne pas  une perforation 12, tandis qu'une perforation  12 est     nécessaire    dans la colonne suivante  d'ordre inférieur, comme on l'a indiqué sur  la     fig.    9.  



  Lorsque la perforation est achevée dans la  colonne 17 de la carte, l'opérateur fait avancer  la     carte    jusqu'à ce que la colonne 23 de celle-ci  se trouve à une colonne à droite de la ligne  de perforation. Comme le champ suivant de  la carte-programme doit être un champ à sept  colonnes, l'opérateur enfonce, en conséquence,  à la suite, les touches 7 à 1 dans l'ordre dé  croissant, effectuant ainsi une perforation des  colonnes 23 à 29 incluse, comme on l'a indi  qué sur la     fig.    9. Ensuite, les autres champs  de programme des colonnes 5 et 4 sont per  forés d'une manière identique.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à perforer des cartes à l'aide de touches comprenant une rangée de poinçons représentant des chiffres, des moyens pour faire avancer une carte colonne par colonne devant cette rangée de poinçons, ladite carte comportant une zone comprenant un nombre prédéterminé de colonnes pouvant recevoir cha cune une perforation, un jeu de touches re présentant des chiffres, un dispositif-pro- gramme, caractérisée en ce qu'elle comprend des dispositifs d'exploration commandés à la fois par le dispositif-programme et l'une quel conque des touches dont la valeur est infé rieure au nombre de colonnes existant dans la zone précitée, ces dispositifs provoquant,
    à la suite de la manipulation de l'une quelconque de ces touches et lorsque la première colonne de la zone est en position de perforation, la perforation d'un chiffre prédéterminé dans la première colonne précitée et dans un nombre de colonnes successives égal à la différence de valeur entre la touche manipulée et le nom bre de colonnes de la zone. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine conforme à la revendication, caractérisée en ce que les poinçons sont des poinçons de perforation et le chiffre prédéter miné est un zéro. 2.
    Machine conforme à la revendication, caractérisée en ce que le dispositif-programme comporte une rangée de dispositifs d'explora tion et des dispositifs commandés simultané ment avec le dispositif d'avancement de la carte pour faire passer une carte-programme colonne par colonne devant la rangée précitée de poinçons pour présenter à ceux-ci des dé signations de commande. 3.
    Machine conforme à la revendication, caractérisée en ce que le dispositif d'exploration comporte un banc de relais commandés par les dispositifs d'exploration précités, plusieurs points de contact de ces relais étant connectés en un circuit présentant une connexion de sortie avec l'un des dispositifs d'enregistrement pré cités, chacune des touches précitées étant sus ceptible de fermer un circuit à la suite d'une opération de manipulation de celles-ci, un relais étant disposé pour être excité par un circuit comportant d'autres points de contact du banc de relais pour disconnecter plusieurs des touches de contact précitées d'avec lesdits dispositifs d'enregistrement et pour les relier au circuit précité.
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