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La transmissiez mécanique du mouvement d'avancement ,su mécanisme compteur décote dans le brevet belge n" 339. Idl, déo080 le 25 juin 19;56, sa puissance limitée par le notent d'inertie (jos dispositifs de comptage à dép1euc'1', et, le ,Iispo- sitif d'avancement est ohoJ'cA mécaniquement. t p;-.t' le m'cauinmo
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compteur
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Le but d l'in,rerttion 8st d'sr.portcx des pel'L'f'\1t.ic.,nne- ments à des dispositifs du commande 81.1:t'JP.lIJtj "uo 1'0\11.' dispositifs
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d'avancement de machines-outils, dispositifs de commande oui travaillent électroniquement et permettont de ce fait un réglage de l'avancement plus rapide et plus prédis. Un tel dispositif d'avancement n'est pas chargé mécaniquement par le mécanime compteur.
L'invention part de dispositifs qui sont prévus aux machines-outils pour la commande de dispositifs d'avancement et dans lesquels à la selle, support, chariot ou analogue, dont l'avancement doit être commandé, peut être accouplé un mécanisme compteur qui, quand il atteint sa position zéro, détermine l'ar- est rêt de la commande d'avancement, comme il/décrit dans le brevet cité plus haut.
Le mécanisme compteur est, de façon connue en soi, for- mé d'un émetteur d'impulsions, dont les impulsions, qui consti- tuent une mesure de distance d'avancement, sont comptées dans un appareil de comptage électronique qui, lorsque le nombre d'im- pulsions correspondant à lu distance d'avancement désirée est atteint, émet une impulsion de débrayage, qui provoque l'arrêt . de la commande d'avancement.
Le réglage de l'appareil de comptage électronique au nom. bre d'impulsions correspondant à la distance d'avancement dési- rée se fuit, suivant l'invention-, à l'aide d'un clavier complet ou par exploration de cartes perforées; suivant l'invention, les contacts du clavier peuvent être connectés de façon que-, lors- qu'on emploie un appareil de comptage à tubes compteurs décadi- ques, le nombre d'impulsions préalablement choisi soit prévu inférieur d'une valeur déterminée, c'est-à-dire que son nombre complémentaire soit supérieur de cette valeur déterminée,
De oe fait ,
l'appareil compteur émet - un nombre déter- miné d'impulsions avant' que soit atteinte la position désirée de l'élément mobile de la machine - une impulsion de débrayage (impulsion préalable), qui est utilisée pour la commutation du moteur d'avancement à un nombre de tours inférieur et qui met
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en marche un autre appareil réglé de façon fixe, qui compte jusqu'à les impulsions résiduelles/ce que soit atteinte la position désirée de l'élément mobile et émet alors une impulsion de débrayage, laquelle est utilisée pour la mise à l'arrêt du moteur d'avancement.
Les 'impulsions résiduelles peuvent aussi être comp- tées dans l'appareil de comptage principal, qui est- alors nou- vellement réglé au nombre d'impulsions résiduelles par un préséleo- teur intermédiaire d'impulsions résiduelles qui est déclenché par l'impulsion préalable et qui émet, après épuisement, une im- pulsion qui met fin à l'avancement.
L'invention réside en outre en ce que, entre un amplifi- cateur d'impulsions et l'appareil de comptage, il est prévu un démultiplicateur d'impulsions, qui démultiplie les impulsions dans le rapport de 2/1 par exemple et qui est "ponté" par l'im- pulsion préalable, si bien que les impulsions résiduelles signi- fient une subdivision plus poussée de la distance d'avancement.
Lorsqu'on emploie un appareil de comptage avec tubes compteurs individuels connectés 'en boucle de comptage, les con- complet tacts du clavier/peuvent être connectés de telle façon que non seulement les tubes compteurs correspondant à la distance d'avancement désirée soient raccordés aux relais dont des contacts de travail montés en série forment un circuit, mais aussi les tubes compteurs qui représentent un nombre inférieur d'une valeur correspondant au parcours d'avancement plus lent, de sorte que l'appareil compteur fermera deux fois un circuit, la première fermeture abaissant'par exemple le nombre de tours de la commande d'avancement et la seconde déterminant l'arrêt du dispositif d'avancement.
La durée constante de la marhe par inertie des éléments mus de la machine est, suivant l'invention, compensée par le fait'que l'impulsion employée pour la déconnexion se fait plus tôt, par réglage d'un nombre d'avancement conformément plus pe- tit, ou par le fait que plusieurs 'impulsions préalables pont
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envoyées au mécanisme compteur décadique, ou encore par le fait que le nombre d'impulsions résiduelles est prévu conformément plus petit.
Les impulsions préalables, pour qu'il soit tenu complu de le durée constante de marche par inertie, sont produites sui- vant l'invention dans un étage particulier émetteur d'impulsions, qui.comprend un multivibrateur, lequel est libéré par une bas- cule, pour un certain temps, réglable, en vue de l'émission l'im- pulsions vers la première décade du mécanisme compteur après sa présélection ou cède à l'étage émetteur d'impulsions le nombre d'impulsions que peut atteindre un tube compteur décadique par- ticulier selon sa présélection, après quoi le multiplivibrateur est bloqué par la bascule. Le blocage ne dépend alors pas d'un écart de temps mais d'un nombre.
Après commutation sur la troisième décade, cet étage émetteur d'impulsions sert à augmenter par exemple de deux im- pulsions, dans la troisième décade, le nombre complémentaire préalablement choisi par l'exploration de la carte perforée ou par pression sur les fourches, dont les* contacts sont dans ce cas connectés corme simples diviseurs de tension, et à obtenir ainsi du mécanisme de comptage électronique une impulsion préala- ble , par exemple' avec:une avance de 200 impulsion* déjà, pour la commutation à l'avancement plus lent.
Le principe de la commande d'avancement est illustré par la figure 1. Avec la broche.d'avancement 37 et l'arbre 29 du moteur tourne un disque perforé 10. Le rayon lumineux venant de la lampe 13 est interrompu par le disque perforé tournant 10 et envoie des impulsions lumineuses à la cellule photoélectrique 11. Si la broche a par exemple un pas de 1 mm. et si le disque perforé 10 présente dix trous uniformément répartis à sa péri- phérie, une impulsion lumineuse signifie une distance d'avance- ment de 1/10 mm. pour l'élément mobile 38 de le machine.
Dans le. cellule photoélectrique 11, les impulsions lumineuses sont
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transformées en impulsions électriques, qui sont mplifi0'3;:J d. n8 l'amplificateur d'impulsions 39 et sont amenées à l'entre il 'le
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comptage électronique z0.
Celui-ci est à pré réglage et est, suivant l'invention, réglé fi l'aide du clavier complet 31 ou d'une construction ajoutée en cet endroit pour permettre l'uti-
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lisation 'de cartes perforées, ce réglage étant tel que 1'r,ne- reil compteur envoie une impulsion au relais d'inversion de pôle 44 du moteur d'avancement 48, un nombre d'impulsions déterminé,
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par exemple de 200, avant le nombre d'impulsions corrpsponornt à la distance d'avancement désirée. Le relais entre en jeu et le moteur continue de tourner à un-nombre de tours inférieur' .
Les impulsions correspondant à la fin de'la distance d'avancement, icj/por exemple 300, sont comptées dans ; l'appareil 43 de compta- ge des impulsions résiduelles, qui envoie, après épuisement, une impulsion au relais 45 du moteur, qui se déconnecte alors et arrête le moteur d'avancement 48.
En un endroit approprié de la machine-outil est disposé le clavier complet 21, qui constitue un objet de l'invention et qui, selon le nombre d'ordres désiré du nombre exprimant le par- cours d'avancement, présente plusieurs rangées de touches, par allant exemple- quatre, avec touches/de 0 à 9. Les quatre rangées de touches peuvent par exemple signifier des distances d'avancement de 100/10/1/0,1 mm. Les touches du clavier complet sont bloquées- l'une par rapport à l'autre de façon connue.
Comme mécanisme de comptage électronique, on peut em-
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ployer le montage, connu en soi, à tubes décadiqges (par exemple la les tubes connus 8fJUsdénorilination "Valvo E 1 Tel') ou les pion- tag-ep de compteurs en boucle de comptage, connus également.
Mécanisme de comptage . à tubes-compteurs dr.3cediques.
Si l'on emploie pour l'appareil de comptage électronique le mont13&'e B. tubes décadiques et à préréglag'e, la poussée sur chacune les touches des rangées de 'touches du clavier détermine la fermeture d'un contact qui, aux plaques de déviation des tu-
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. 'j correspondante, met un potentiel correspondant au ohiffru.
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Le montage est réalisé de telle façon que les touches de tous les ordres du nombre de la distance de déplacement règlent, au tube correspondant, le chiffre nécessaire pour amener au chiffre 9. Si une impulsion préalable particulière est envoyée à l'aopareil de comptage, le nombre complémentaire, c'est-à-cire le nombre nécessaire pour compléter à la puissance de dizaines qui suit, se rèle.
EXEMPLE :
Une impulsion lumineuse, comme on l'a dit plus haut, correspond à une distance de 1/10 mm. On désire un avancement de 230,4 mm. Le nombre 230,4 est formé sur le clavier. De ce lait se rèle aux tubes compteurs le nombre 7695, qui est complété par une impulsion préalable pour donner 7696. Si l'appareil de comptage saute au nombre (1) 0000, il émet l'impulsion de dé- clenchement qui fait s'arrêter le moteur. Il faut ici, pour ce- la, 2304 impulsions, qui correspondent exactement à la distance d'avancement désirée dans cet exemple .
Pour commuter le moteur d'avancement à un nombre de tours inférieur avant que la position d'extrémité du parcours d'avancement choisi au préalable ne soit.atteinte, on peut, lors- qu'on emploie des tubes compteurs dé'cadiques, connecter les con- tacts du clavier, suivant l'invention, de telle façon'que le nombre complémentaire choisi au préalable soit réglé supérieur d'une valeur déterminée de l'avancement lent, par exemple de 200 impulsions.
La différence du nombre choisi d'avance à la position extrême de l'appareil compteur est inférieure à la-.distance d'a- vancement totale. L'appareil compteur donne, avant que soit atteinte la distance d'avancement choisie, une impulsion qui sert à la commutation du moteur d'avancement à un nombre de tours moins -levé. En même temps est mis en .circuit un autre appareil compteur, qui est réglé de façon fixe au reste de la distance d'avancement, avec avancement lent (ici par exemple 200 "impulsions résiduelles") et qui, lorsque sa position
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extrême est atteinte, met fin à l'avancement.
EXEMPLE
Une impulsion lumineuse, comme on la dit plus haut, correspond à une distance de 1/10 mm On emploie un-clavier com- plet de quatre rangées de touches. On désire une distance d'avan- cement de 230,4 mm. L'appareil à impulsions résiduielles se d'éclen. che après 200 impulsions réglées de façon fixe. Le 'nombre 230,4 est formé sur le clavier. De ce fait, aux tubes compteurs, se rè- gle le nombre 7895, qui est porté à 7896 par une impulsion préa- lable. Après 2104 impulsions, correspondant à une distance d'a- vancement de210,4 mm., l'appareil compteur saute au nombre (1)
0000 et envoie une impulsion au'relaie d'inversion de pôle qui fait passer le moteur à un nombre de ours moins élevé.
En mê- me temps, l'appareil commpteur d'impulsions résiduelles, qui se déclenche après 200 impulsions, est mis en circuit. Le moteur d'avancementtourne à un nombre de tours moins élevé, jusqu'à ce que, après 200 impulsions, ce qui correspond à une distance d'avancement de 20 mm, il soit arrêté par une impulsion de l'appareil compteur d'impulsions résiduelles. Dans cet exemple, l'élément d'avancement de la machiné a couvert 210,4 mm..de distance à l'allure rapide et 20 rune à l'allure lente, soit, au total, les 230,4 mm. voulus.
Un exemple de réalisation du montage du clavier complet, lorsqu'on emploie un appareil compteur d'impulsions résiduelles se déclenchant après 200 impulsions,est représenté à la figure
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S1 à SIV y indiquent les branchements des diviseurs de tension, qui, pour le réglage des tubes compteurs décadiques I à
IV - correspondant aux ordres unités à milles du nombre - aux nombres 0 à 9, déterminent le potentiel nécessaire aux plaques de déviation de ces tubes.
Le schéma de montage donne un exemple du mode de coopé- ration des contacts des touches, pour donner, 200 impulsions
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avant la position finale du nombre rélé , l'impulsion faisant passer l'avancement à la marche lente, les 200 impulsions res- tantes étant - comme mentionné plus haut - comptées dans un séparé mécanisme compteur/ 43 (figure 1), dont la position finale provoque l'arrêt de l'avancement.
Les "impulsions résiduelles" peuvent aussi être comptées dans le mécanisme compteur principal. La figure 3 représente le montage d'ensemble. Par la première impulsion de déclenchement, par exemple à 200 impulsions de la position finale de l'élément mobile de la machine, Est actionné électroniquement, en plus du relais de commutation, un présélecteur intermédiaire 47, qui rèle l'appareil compteur au nombre Complémentaire des impulsions résiduelles, par exemple à 9.800. Après que. se sont produites les 200 impulsions résiduelles, l'appareil compteur émet à nouveau une impulsion de déclenchement, qui est utilisée pour mettre fin à l'avancement.
Pour permettre une subdivision non déoadique, plus poupée, de l'exploration à impulsions d'avancement - par exem- ple une impulsion pour 1/20 mm. au lieu de 1/10 mm. de distance d'avancement - il est, suivant l'invention, prévu un étage de démultiplication d'impulsions 50 (figure 4) entre l'amplifica- teur d'impulsions 39 et l'appareil compteur 48. Si cet étege a un rapport de démultiplication de 3/1, une impulsion sur deux seulement arrive à l'appareil compteur.- Si, par exemple, l'arbre' d'avancement a un pas de 1 mm. et si.le disque perforé 10 pré- sente des trous uniformément répartis à sa périphérie, une im- pulsion signifie 1/20 mm. de distance d'avancement.
Comme. grAce ' au démultiplicateur de tension, seule une impulsion- sur deux ar- rive à l'appareil compteur, celui-ci, compte le même nombre d'im- pulsions que dans le cas d'exploration- décrit précédemment, cor- respondant à 1/10 mm. Une impulsion à l'appareil compteur si- gnifie 1/10 mm. de distance d'avancement. Par l'impulsion de co mutation qui déclenche le relais d'inversion de rôle 44 et ac-
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tionne le présélecteur intermédiaire 49, le démultipli@ateur d'im- pulsions 50 est. également "ponté". Une impulsion à l'appareil compteur signifie alors une distance d'avancement de 1/20 mm., c'est-à-dire qu'il doit être compté 400 impulsions, au lieu de 200, pour une distance d'avancement de 20 mm.
Ceci peut se faire dans l'appareil compteur d'impulsions résiduelles, qui est réglé de façon fixe , ou encore dans l'appareil compteur principal, qui est réglé par le présélecteur intermédiaire au nombre complémen- taire, par exemple à 9600. Quand la position finale est atteinte, l'avancement prend fin.
Montage en boucle de comptage.
Si, pour l'appareil compteur électronique, on emploie le montage en boucle de comptage, par pression sur chaque touche des rangées de touches du clavier, on ferme un contact qui rac- corde chacun des tubes compteurs correspondant à ces touches, à un relais. Quand le nombre d'impulsions-correspondant à l'avan- cement choisi est atteint, tous les relais sont entrés en jeu.
Leurs contacts de travail connectés en série ferment un circuit qui détermine l'achèvement du mouvement d'avancement.
Pour commuter le moteur à un nombre de tours moins éle- vé, avant que soit atteint le point final de la distance d'avan- cement choisie au préalable, l'inventeur propose, pour le cas d'emploi de tubes compteurs individuels dans des montages en bou- ole de comptage, de prévoir les contacts des touches du clavier de telle façon que soient raccordés aux relais non seulement les tubes compteurs correspondant à la distance d'avancement désirée mais encore les tubes compteurs qui représentent un nombre in- férieur de la Valeur correspondant à l'avancement lent. De ce fait, avant que l'appareil compteur n'ait pris sa position fi- nale, il se produit une impulsion servant à la commutation à l'avancement lent, l'impulsion suivante devant déterminer alors seulement l'arrêt de l'avancement.
Les connexions peuvent, sui- vant 1* invention,, être prévues telles qu'avant l'arrêt de l'avan-
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cement, il se produise plusieurs impulsions, qui puissent être utilisées pour d'autres opérations de commande, par exemple pour le réglage finement échelonné du nombre de tours du moteur d'a- vancement.
Un exemple, de réalisation de la connexion à boutons pous- .soirs du clavier complet, exemple dans lequel une impulsion préa- lable se produit 200 impulsions avant l'impulsion de déclenchemet est donné à la figure 5. Ici, K1à KIV désignent les connexions des cathodes aux tubes compteurs 0 à 9 des montages en boucle de comptage I à IV, correspondant au nombre des ordres allant des unités aux milles, et.relient ces tube par un contact pro- duit à l'aide des touches ou des cartes perforées, aux relais I, II III.
IV, les quatre relais étant, dans cet exemple, ac- tionnés 200 impulsions avant l'arrivée à sa position finale du mécanisme compteur, d'où l'avancement lent est commencé; pour la position finale du mécanisme compteur, les quatre relais déterminant l'arrêt de l'avancement.
-outil
Comme les éléments mus de la machine/ont encore, après la déconnexion, une marche par inertie constante, qui porte la distance parcourir effectivement à une mesure supérieure à celle de la distance réglée, les contacts sont, suivant l'inven- tion, montés de façon que l'impulsion employée pour la déconne- xion se produise plus tôt, par réglage d'un nombre de distance d'avancement conformément plus petit, si bien que l'élément mo- que bile de la machine s'arrêtera après/la distance d'avancement désirée aura été parcourue.
Dans le même but, pour augmenter le nombre complémentaire à régler, au moyen d'un émetteur d'impul- , sions préalables (42), plusieurs impulsions préalables peuvent être envoyées à l'appareil compteur déoadique, ou leur nombre ' complémentaire est prévu conformément plus grand.
Au lieu de recourir aux touches et à leurs contacts, on peut aussi, suivant l'invention, pour le réglage d'un avan- cement déterminé, employer une carte perforée ou à contacts,
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avec plusieurs fentes ou plusieurs lignes, qui, pour charge Lou- che existante, présentent un endroit déterminé pour recevoir un trou ou une pluçue de contact par chiffre du nombre traduiront la distance d'avancement. Chaue ligne ou fente représente donc un nombre traduisant due distance d'avancement.
Si l'on veut travailler avec ces cartes, on actionne un interrupteur pour dé- connecter les contacts des touches et connecter ceux de l'explo- ration des cartes, laquelle est prévue de façon connue nais ferme les mêmes circuits que ceux des contacts des touches.
On donne ci-après un autre exemple de réalisation pour l'utilisation des cartes perforées; les touches du clavier sont prolongées de tiges et de leviers et se terminent par une série de taquets voisins, devant la carte perforée, si bien qu'à cha- que touche correspond un taquet. Les taquets portent un levier coudé à l'endroit de liaison avec la tige de la touche, si bien que, lorsqu'on appuie sur les touches, ils restent au repos.
Si, toutefois,on doit travailler avec une carte perforée, tous les taquets sont poussés contre la carte perforée par différents res- sorts qui sont mus en commun par un électro-aimant. Les taquets qui recontrent un trou de la carte traversent celle-ci et atti- rent la-touche articulée, qui ferme alors les contacts nécessai- res, comme il a été décrit plus haut, et indique quai nombre a été réglé pour la carte perforée' .Les taquets peuvent également être eux-mêmes pourvus de contacts comme en présentent les tou- ches et travailler ainsi sans liaison mécanique avec ces derniè- res.
La marche d'inertie du dispositif d'avancement mécanique après le passage de la vitesse d'avancement rapide la vitesse d'avancement lent, couvre une certaine distance, par exemple 20 mm. Si la distance d'avancement totale choisie est inférieure à 20 mm, l'impulsion de commutation à l'avancement lent doit se produire dès le commencement du mouvement d'avancement ou immé- diatement avant, pour que l'impulsion finale agisse comme signal
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d'arrêt.
C'est pourquoi les touches de clavier "0" de la 4e déca- de et "0" et "1" de la 3e décade sont montées de façon que, quand on pousse sur la première et que l'on actionne l'une des dernières. un relais travaille, qui commute de l'avancement rapide à l'avan- cement lent et qui raccorde le circuit à l'aimant de déclenche- ment du dispositif d'arrêt, pour le signal d'arrêt. Chacune des touches considérées possède par exemple, en outre, un contact de repos particulier, qui est ouvert quand on appuie sur,élle, et les touches de la 3e décade sont montées en série et les tou- ches "0" de la 4e et éventuellement d'autres décades sont mon- tées en parallèle, si bien qu'un relais', se trouvant dans le cir- cuit de ces contacts retombe quand "OOXX" ou O1XX" est préala- blement choisi.
Sur la carte perforée, il est, à cet effet, prévu une possibilité de perforation, dont, suivant l'exemple donné plus haut, il n'est pas fuit usage en cas d'avancement court, le relais restant do ce fait sans courant.
L'examen des figures 6 et 7 permettra de comprendre l'explication. On y a désigné par :
A distance d'avancement
B
C les outils
D
E
F l'avancement
G le retour
H le support transversal
I la rotation de la broche (vitesse de coupe)
K le déplacement par minute
L la lampe "prêt à l' emploi" (M = réserve)
Le mécanisme compteur décrit peut servir à la commande de mouvements longitudinaux et en plan du porte-outil d'un tour. mouvements se succédant de façon quelconque ou, éventuellement, simultanés - et, par conséquent, à la commande du porte-outil suivant deux dimensions.
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De ce fait, il est par exemple possible d'effectuer des travaux au tour à copier sens l'aide de gabarits et de façonner au tour des pièces étagées, sans utiliser de jauges. La commande correcte du,ou des porte-outils n'exige que la préparation des cartes perforées. L'invention assure une commande automatique du tour qui limite le travail du tourneur au réglage et à' la sur- veillance.
En plus de leur perforation propre 'à la longueur de la distance d'avancement, les cartes perforées prévues présentent encore des possibilités de perforation pour le déclenchement d'autres opérations de commande de la machine-outil, par exemple du réglage du nombre de tours de la broche ou de la vitesse de coupe, de la vitesse d'avancement, du choix de l'outil, du chan- gement de matériaux, du choix de la direction, éventuellement avec commutation pour passer à un deuxième ou un troisième méca- nisme compteur de même mode de fonctionnement, pour le déplace- ment de la pièce d'oeuvre ou de. l'outil suivant une autre dimen- sion, dont la mesure de déplacement apparaît alors dans la ligne de perforations suivante de la carte perforée.
L'arrêt du mouvement d'avancement par l'impulsion de dé- clenchement peut se faire, pour être plus précis; au moyen d'un frein serré au préalable et pouvant être desserré automatique- ment, qui défait l'accouplement destiné à la commande d'avance- ment, le serrage préalable se faisant mécaniquement ou électro- mécaniquement.
Ceci est illustré par la figure 8, où l'on peut voir qu'à l'arbre commandé 201, dont il faut prévoir la possibilité d'arrêt brusque, est associé par clavetage le manchon d'accou- plement et de frein 202, sur lequel un ressort de compression 203 agit en vue de 1' accouplement du cône 204 avec le cône 205 de la poulie à courroie en coin 206. Contre un collier 207 du manchon 202 s'appuie l'un des bras d'un levier double 209, mo té à rotation en. 308, qui est bloqué dîne sa position représf
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(accouplement de 204 et '305), par r. 1 cliquet ,310, (.ui a.t' Cam m"'nrlé au moyen d'un petit :51.:ctr-ri.rrtt SU.
Le déplacement du levier 0C en vue du débraya a r:.e 204 et .2C:; ea..'u a .-.#rage du frein 2C4-2J. est assuré .î?[...l' l'éleo- tro-ulmant s.',¯3, dont 1' armature 314; ait sur un rosser* ci?* trac- tion 215; l'autre extrémité de ce report est fixée au levier 209
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Lors c;e l'excitation de l'électro -aimant 813, il ne se produit d'abord aucun déplacement du levier 20± riais l' 2(er,- Bort de traction 315 est si .'11ern.ent tendu, ce qui crée une for- ce d'accumulation. Cette force peut être utilisée eu igowent ou, par 1' entrée en circuit de l'aimant auxiliaire 11, le cliqt z1.0 :3t soulevé et, par suite, le levier z09 débloqué.
Pour que les touches abaissées du clavier soient miaux visibles, les touches portent des plaques porteuses de chiffre transparentes, tandis que le corps des touches ne l'est pas.
Au ni /eau des corps de touches se répand, sur tout le clavier, une lumière en flot de lampes dont le rayonnement vers le haut est empoché par un écran; les touches abaissées, dont les pla-
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ques porteuses de chiffre se trouvente par le fait même, dais le flot.'de lumière, s'éclairent nettement. Les trois touches représentées à la figure 9 portent.les chiffres 1, 2 et 3 ; sont dessinées dans des positions permettant déjuger du contras.
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te dû 3 l'éclairaient et au non-éclairement. La la:"lP--:e à incan- descence 104 produit un flot de- lumière qui est couvert vers. l'extérieur par la tôle 105.
Les touches 2 et 3, qui se trouvent
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en position nor.-iale, sont en dehors Je la zone éclairée f .r la source ae lumière. Par contre, la touche abaissée 1 est éclairée.
Des qu'elle refonte, et le cesse d'être éclairée.
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R'&-:VIr;D J G.1, TI OHS 1. Nouer le dispositif d'avancement de li1.chines.. outils, cl"uS lüQ.u811e, t la ..elle, support, chariot ou 1\'l"J:",¯ue, r10'1t l': 7r:ncnut doit .tr'Z" CS"S :I:(l Ilh'J peut être accouplé un .té-
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cynisme compteur qui, lorsqu'il atteint sa position zéro, provo- que l'arrêt de la commando d'avancement, comme le décrit le brevet n 539.
311, déposé en Belgique le 25, juin 1955, caractéri- sée par le fait que le mécanisme compteur est formé d'un émet- -beur d'impulsions 'dont les impulsions, qui représentent un mesu- re de la distance d'avancement, sont comptées dans un appareil de comptage éleotronirjue (40) qui est réglé, au moyen d'un ula- vier complet (21) ou par une exploration de cartes perforées, au nombre d'impulsions correspondant à la distance d'avancement désiréej, et qui émet, suivant ce nombre d'impulsions réglé, une impulsion de déclenchement qui provoque l'arrêt de la commande d'avancement.
2. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fuit que, quand on emploie un appareil de comptage à tubes compteurs décadiques, les contacts du clavier sont connec tés de- telle façon que le nombre d'impulsions choisi soit réglé inférieur d'une valeur déterminée, c'est-à-dire de façon que le nombre complémentaire soit resté supérieur, pour que l'appareil compteur émette, avant que soit atteinte la distance d'avance- ment désirée, une impulsion de débrayage ou déclenchement qui puisse .être utilisée pour la commutation de la commande au nom- bre de tours moins élevé.
3. Dispositif suivant les revendications 1 et 2, carac- térisé par le fait que les impulsions résiduelles de la distance d'avancement lent sont comptées dans un appareil de comptage d'im pulsions résiduelles- séparé, qui est mis en circuit par l'impul- '\ Il sion de déclenchement préalable, ou encore dans l'appareil de comptage principal, qui est nouvellement réglé par un présélec- teur intermédiaire pour le nombre des impulsions résiduelles, l'appareil de comptage des impulsions résiduelles ou l'appareil de comptage principal émettant, après épuisement, une impulsion qui est utilisée pour l'arrêt de l'avancement.
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4. Dispositif suivant les revendications 1 à 3, carac- térisé par le fait que, entre un amplificateur d'impulsions (39) et l'appareil de comptage (4), il est prévu un démultiplicateur d'impulsions (50), qui démultiplie les impulsions dans le rapport de 2/1 par exemple et qui est "ponté" par l'impulsion préalable, de sorte que les impulsions résiduelles se traduisent par une subdivision.plus poussée de la distance d'avancement.
5. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que, quand on emploie un appareil de comptage avec différents tubes compteurs montés en boucle de comptage, les contacts du clavier complet sont connectés de façon que soient raccordés aux relais dont les contacts de travail montés en série ferment un Circuit, non seulement les tubes compteurs correspondant à la distance d'avancement désirée mais encore les tubes compteurs qui représentant un nombre inférieur d'une valeur correspondant à la distance d'avancement lent, de sorte que 1' appareil de comptage fermera deux fois un circuit, la première fermeture déterminant par exemple une réduction du nombi de tours du moteur d'avancement et la seconde, l'arrêt du dispositif d'avancement.'
6.
Dispositif suivent les revendications 1 à 5, carac- térisé par le fait que la durée constante de marche par inertie des éléments mus de la machine est compensée par le fait que l'impulsion utilisée pour la déconnexion se produit plus tôt, grâce au réglage d'un nombre d'avancement conformément plus putit, ou par le fait que plusieurs impulsions préalables sont envoyées au mécanisme de comptage décadique (40), ou encore par le fait que le nombre des impulsions résiduelles est prévu conformément plus petit c'est-à-dire que son nombre complémen- taire est prévu plus grand.
7. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que le réglage de la distance d'avancement désirée ne fait à l'aide .d'un clavier complet (SI) ou pat une explora-
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tion de cartes perforées, l'exploration des certes perforées déterminant 1' actionneront des touchas du clavier, de sorte que leurs contacts actionnent les circuits voulus, ou bien l'explo- ration des cartes perforées étant accompagnée d'un jeu de con- tacts, de sorte qu'elle puisse agir indépendamment du clavier.
8. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par le fait que les impulsions préalables sont produites, pour que compte soit tenu du tomps de marche par inurtio constant, dans un étage émetteur d'impulsions comprenant un multivibra- teur, qui sera libéré par une bascule.
9. Dispositif suivant la revendication 1, caractérise per le fait que l'arrêt du mouvement d'avancement se produit grâce à un frein à ressort préalablement serré, qui peut se desserrer électromagnétiquement.
10. Dispositif suivant la revendication 1, ceracté-'isé par le fait que lestouches sont pourvues de plaques porteuses de chiffre transparentes, tandis que le corps des touches n'est pas transparent.