CH323368A - Machine à calculer. - Google Patents

Machine à calculer.

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CH323368A
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  • Folding Of Thin Sheet-Like Materials, Special Discharging Devices, And Others (AREA)

Description


      Machine    à     calculer       On connaît déjà des machines à calculer  munies de mécanismes capables, grâce à un  moteur, d'amener un dispositif d'alimentation  par l'avant du cylindre, aussi bien en position  de fermeture qu'en position d'ouverture, mais  ces machines connues ont été jusqu'à présent  de fabrication coûteuse et ont nécessité l'em  ploi de mécanismes et de liaisons mécaniques  compliqués.  



  L'invention a pour objet une machine à cal  culer comprenant un chariot mobile     porte-          matériau    pour inscriptions, et un ensemble d'in  troduction par     l'-avant    du cylindre,     basculable     en position d'ouverture et de fermeture respec  tivement, caractérisée par une paire de ressorts,  disposés l'un de chaque côté de l'ensemble  d'alimentation avant de cylindre, chaque res  sort étant attaché au bâti du chariot et à une  pièce latérale de l'ensemble, lesdits ressorts  étant disposés de manière à être tendus lors  que l'ensemble d'introduction est basculé de la  position d'ouverture à la position de ferme  ture,

   et un dispositif de verrouillage qui ver  rouille automatiquement l'ensemble d'intro  duction en position de fermeture, lorsque     celui-          ci    est complètement amené, à la main, à ladite  position, lequel dispositif de verrouillage peut  être rendu inopérant, soit à la main, soit auto  matiquement, selon la position de colonne du  chariot, de telle sorte que lesdits ressorts tendus    puissent faire basculer l'ensemble d'introduc  tion par l'avant jusqu'à la position d'ouverture.  



  Le dessin annexé représente, à titre. d'exem  ple, une forme d'exécution de la machine fai  sant l'objet de l'invention.  



  La     fig.    1 est une vue de la machine, en  perspective, avec une feuille de journal, une  carte de compte et une feuille de relevé du  client, disposées autour d'un cylindre     porte-          papier    d'enregistrement.  



  La     fig.    2 est une vue en plan de la base de  la machine, montrant le montage de leviers de  déclenchement de la machine et de solénoïdes  utilisés pour le total et le sous-total.  



  La     fig.    3 est un schéma du     circuit    du mo  teur principal.  



  La     fig.    4 est une vue en élévation     arrière     du chariot et des mécanismes associés.  



  La     fig.    5 est une élévation de l'extrémité de  droite du chariot.  



  La     fig.    6 est un     détail    d'un rochet actionné  par la machine pour     faire    avancer verticale  ment le matériau     d'enregistrement.    .  



  La     fig.    7 est une vue détaillée du méca  nisme de rochet destiné à faire avancer le ma  tériau d'enregistrement dans le sens vertical      lorsqu'un ensemble d'introduction frontale est  ouvert.  



  La     fig.    8 est une vue en élévation latérale,  de gauche, du chariot.  



  La     fig.    9 représente des parties d'un méca  nisme de retour de chariot, sous forme déve  loppée.  



  La     fig.    10 représente une barre motrice  d'avance verticale et des liaisons associées pour  permettre que le fonctionnement de la machine  provoque l'avance verticale.  



  La     fig.    11 représente un mécanisme destiné  à rendre inopérante une barre d'arrêt de     tabu-          lation    lors du retour du chariot et une portion  d'un mécanisme de barre d'avance verticale.    La     fig.    12 représente une chaîne -mécani  que grâce à laquelle la machine ne peut pas  être déclenchée lorsque le chariot est dans une  position intermédiaire entre deux positions de  colonnes.  



  La     fig.    13 représente des parties d'un mé  canisme de commande de retour de chariot des  tinées à rendre inopérant le retour automatique  de chariot pendant les opérations de mise en  liste.  



  La     fig.    14 représente un loquet de chariot,  un levier,     man#uvré    à la main, qui est destiné  à débrayer le loquet, et un dispositif automati  que pour assurer ce débrayage.  



  La     fig.    15 est une vue développée d'un mé  canisme de retour arrière mû     par    moteur, y  compris un crabot.  



  La     fig.    16 représente un mécanisme contac  teur destiné à rendre inopérant le circuit du  moteur principal lorsque l'ensemble de cylin  dre est en position ouverte.  



  La     fig.    17 représente la commande de liste  et de     tabulation    et un mécanisme destiné à  rendre inopérant le mécanisme de total et de  sous-total automatique pendant les opérations  de mise en liste.  



  La     fig.    18 représente un mécanisme destiné  à fermer les contacteurs des solénoïdes de total  et de sous-total sous     l'influence    des dispositifs  de commande du chariot.    La     fig.    19 est une vue perspective des com  mandes de crabot de retour de chariot et des  commandes connexes.  



  La     fig.    20 représente une partie des liaisons  mécaniques destinées à entraîner le retour du  chariot lorsque l'on agit sur la barre motrice  verticale.  



  La     fig.    21 est une vue en perspective d'une  variante des solénoïdes et des     microcontacts     associés qui en provoquent l'excitation et la  désexcitation.  



  La     fig.    22 est un schéma de câblage des  circuits de la     fig.    21.  



  La     fig.    23 représente un mécanisme de  blocage du levier de déclenchement de machine  pendant le retour du chariot, et un contact pour  exciter le moteur qui ramène le chariot.  



  La     fig.    24 est une vue en perspective des  liaisons mécaniques entre les solénoïdes et la       coulisse    de total et la coulisse de sous-total.  



  La     fig.    25 est une vue en perspective prise  depuis l'arrière droit de la machine, en regar  dant vers l'avant en direction du dispositif à  cliquet et rochet d'avance verticale, actionné  par la machine, avec un dispositif de blocage  de l'étrier d'avance également représenté.  



  La     fig.    26 est un tableau des profils des  cavaliers de     chariot    utilisés avec la présente  forme d'exécution de la machine.    <I>Fonctionnement de la machine</I>    En se reportant à la     fig.    1, on voit le bâti  de la machine et les divers mécanismes recou  verts d'un coffre 20, à travers lequel font saillie  neuf rangées de touches de montants 21, une  rangée de touches de symboles 22, une touche  de total 23, une touche de sous-total 24, une  touche de soustraction 25, une barre mo  trice d'addition 26, une barre d'avancement  vertical par moteur 27, une touche de renver  sement 28, une touche de total   B   29, une  touche de non-addition 30 et une touche de  correction 31.  



  Le     coffre    comporte une ouverture 32 for  mant voyant, par laquelle on peut apercevoir  des tambours de chiffres fixés aux roues de      totalisation d'un totalisateur supérieur ou tota  lisateur   A  .  



  Un levier 33 peut occuper une     position       avant   pour les opérations normales d'im  pression, et une position   arrière   dans la  quelle il empêche le fonctionnement du méca  nisme d'impression.  



  Un levier de commande d'espacement et  de     tabulation    34 peut être mis dans l'une quel  conque de trois positions : la position   avant    commandant des mécanismes d'avance de pa  pier et de     tabulation,    de telle sorte qu'à cha  que opération de la machine il ne se produise  pas d'espacement vertical automatique,     mais     que le chariot porte-papier tubule sous le con  trôle de cavaliers-butées qui seront décrits plus  loin. Si l'on déplace ce levier 34 d'un cran  vers l'arrière, le papier avance verticalement à  chaque fonctionnement de la machine et le cha  riot tubule conformément à la disposition des  cavaliers.

   Si le levier 34 est amené à sa position  arrière extrême, le papier avance verticalement  à chaque fonctionnement de la machine, mais  le chariot ne tubule pas, c'est-à-dire n'avance  pas dans le sens horizontal.  



  Le chariot 35 à     tabulation    transversale au  tomatique est porté sur un rail de support 36  et est constamment attiré vers la gauche par  un ressort ; il se trouve successivement arrêté  dans diverses positions de colonnes par des  cavaliers-butées qui, si on le désire, peuvent  également déterminer le genre d'opération que  la machine doit effectuer.  



  Il est prévu sur le chariot des cavaliers  destinés à     actionner    un crabot d'un mécanisme  de retour de chariot, de telle sorte qu'à la fin  d'une série d'opérations d'inscription le cha  riot se trouve ramené à sa position extrême  de droite, ou à une autre position choisie et       déterminée    par certains cavaliers. Le méca  nisme de     tabulation    sera décrit en détail plus  loin.  



  La barre motrice verticale 27, quand elle  est maintenue abaissée pendant toute la durée  du fonctionnement de la machine, provoque  aussi le retour du chariot à une certaine posi  tion de colonne prédéterminée.  



  On peut faire tourner un cylindre porte-    papier 37 au moyen de boutons à main 39 et  39' afin de faire monter ou descendre le maté  riau destiné à recevoir des     inscriptions.     



  La machine est     munie    d'une tablette d'ap  pui de papier 40 située à l'arrière du     cylindre     37 et la feuille de journal est insérée entre la  tablette 40 et l'arrière du cylindre 37, pour  être enroulée autour de ce dernier jusqu'à ce  qu'elle ressorte par un couloir 41 formé par  le     cylindre    37, d'une part, et une plaque de  pression 42, d'autre part, bordant le     cylindre     37 sur toute sa longueur et habituellement  maintenue en contact élastique avec lui.  



  Une tablette d'appui avant de papier est  constituée par une plaque de matière transpa  rente 43, fixée au bâti de telle manière que  lorsque le chariot est ouvert, la tablette bas  cule vers l'avant et vers le bas, éloignant du  cylindre 37 la plaque de pression 42, tout en  libérant en même temps des rouleaux de pres  sion dont il sera question plus loin et qui sont  situés à la partie inférieure du     cylindre    37, de  telle sorte qu'il soit possible d'introduire le  compte et le relevé du client par l'avant entre  le cylindre 37 et les rouleaux de pression.

   La  tablette d'appui avant 43 peut être amenée de  la position d'ouverture complète à une posi  tion de demi-ouverture dans laquelle les rou  leaux de pression avant sont libérés, le maté  riau d'enregistrement pouvant     être    aligné en se  repérant sur une ligne de repère 44 tracée sur  la plaque transparente 43.  



  On ferme ensuite complètement le chariot,  ce qui provoque la fermeture de la plaque de  pression 42 et des rouleaux de pression contre  le cylindre 37 ; la machine est alors prête à  fonctionner.  



  Le chariot est amené à sa position d'ouver  ture par des ressorts qui se tendent lorsque l'on  met, manuellement, le chariot en position de  fermeture. Le chariot est maintenu fermé par  un loquet qui se met automatiquement en prise  lorsque le chariot est complètement fermé. Un  levier d'ouverture 46, quand on le pousse à la  main en arrière, déverrouille le chariot et lui  permet de s'ouvrir.  



  Le chariot peut également être amené en  position d'ouverture sous     l'influence    de cava-           liers-butées,    l'un de ces cavaliers pouvant être  disposé de telle façon qu'il provoque l'ouver  ture du chariot au début d'un mouvement de  retour du chariot.  



  La     manoeuvre    du levier manuel 46, qui rend  inopérant le loquet de     chariot,    et l'ouverture  qui s'ensuit du couloir d'alimentation avant,  libère les rouleaux de pression avant, de sorte  que le papier peut être introduit sous le rouleau  et peut ressortir par l'arrière, sur une tablette  arrière de papier 543     (fig.    4).  



  Un levier de libération 47 du journal, quand  on l'écarte de sa position normale, qui est en  avant, pour le pousser vers l'arrière jusqu'à  une première position, soulève un étrier 48  portant des rouleaux supérieurs de pression qui  appuient contre la feuille de journal. Si le levier  47 est poussé vers l'arrière jusqu'à une seconde  position, l'étrier 48 se trouve levé davantage et  les rouleaux de pression arrière sont libérés,  permettant d'aligner correctement la feuille de  journal. La première position sert à introduire  la feuille de journal autour du cylindre, les rou  leaux de pression étant en prise et tenant la  feuille, et l'étrier étant relevé de telle façon que  la feuille puisse     être    guidée au-dessous.

   Quand  on introduit le compte client et le relevé, après  avoir ouvert le couloir d'alimentation avant, il  faut mettre le levier 47 dans sa position ex  trême avant.  



  Sur le côté droit de la machine se trouve  un levier 49 de libération d'imprimé qui, quand  on le tire vers l'avant de la machine, relâche  les rouleaux de pression avant.  



  Sur le côté droit du chariot se trouve aussi  un levier de libération de chariot 50 qui, quand  on l'abaisse, rend inopérante la barre des cava  liers de     tabulation    et permet au chariot de se  déplacer librement dans un sens ou     dans     l'autre.  



  L'espacement vertical, ou     interlignage,    est  commandé par le mouvement d'une pièce de  crabotage 51 reliée à un arbre de cylindre 419       (fig.    5) au moyen d'une seconde pièce de     cra-          botage    53     (fig.    1) clavetée sur l'arbre 419 et  maintenue en contact avec la pièce de     crabo-          tage    51 par un ressort. Le mouvement vers  l'extérieur de la pièce de crabotage 53, contre    ledit ressort, la dégage de la pièce 51, de telle  sorte que l'on peut alors faire tourner le cylin  dre d'une quantité variable.

   La pièce de     cra-          botage    51 est solidaire d'une roue à rochet       d'espacement    linéaire 418 qui tourne cran par  cran à chaque fonctionnement de la machine  et chaque fois que l'ensemble d'alimentation  avant est ouvert, comme expliqué plus loin.  



  Le mécanisme d'espacement linéaire peut  être commandé par un levier 54 qui peut être  déplacé de manière sélective afin de rendre le  mécanisme d'espacement linéaire inopérant ou  au contraire de lui faire exécuter un mouve  ment d'espacement d'un ou de deux interli  gnes.  



  Un autre levier réglable 61 exerce une  action déterminante analogue sur l'étendue de  l'espacement linéaire qui est     donné    au moment  du mouvement d'ouverture du chariot.  



  La machine est munie d'un dispositif  électromécanique destiné à effectuer automati  quement des opérations de total et de     sous-          total    dans certaines positions de colonnes du  chariot, ceci sous l'influence de cavaliers de  chariot qui commandent des solénoïdes, comme  expliqué plus loin. Un contacteur 55 est prévu  pour permettre de couper le circuit moteur  alimentant en énergie les solénoïdes, afin de  pouvoir rendre ces solénoïdes inopérants en  cas de besoin. Ce contacteur est     manoeuvrable     à la main.  



  Des guides de papier 56, 57, montés cou  lissants sur le rebord supérieur de la tablette  avant de papier, sont réglables aux dimensions  des feuilles de compte et de relevé, afin de  faciliter l'alignement     correct    de celles-ci. Sur  la tablette arrière 40     (fig.    1) sont montés des  guides-papier réglables 58, 59 qui peuvent être  disposés à volonté pour     faciliter    l'introduction  de la feuille de journal dans la position cor  recte.

      <I>Mécanisme opératoire principal</I>    La machine est munie d'un moteur électri  que 93, représenté schématiquement en     fig.    3,  qui fait exécuter à la machine des cycles de  fonctionnement et qui provoque également le      retour du chariot à sa position de droite sous       l'influence    des butées de chariot.  



  La machine exécute des cycles de fonction  nement, d'une     manière    connue, lorsque le mo  teur 93 est mis en marche par le     basculement     dans le sens     dextrorsum    d'un levier de déclen  chement 88     (fig.    2) qui tire sur une biellette 87  articulée à un levier 86 qui, à l'une de ses ex  trémités, est monté sur un pivot fixé à la ma  chine et qui comporte, à son autre extrémité,  un doigt qui s'adapte dans une ouverture d'un  loquet de déclenchement 85, faisant basculer  ce dernier pour libérer un levier à trois bras  97     (fig.    23) de telle sorte qu'un     contacteur    de  moteur 89     (fig.    3) se trouve fermé.  



  La machine est     entraînée    et exécute un  cycle de fonctionnement consistant en un uni  que mouvement de rotation de l'arbre principal  d'entraînement 95     (fig.    11, 19 et 23) pour les  opérations d'addition, de soustraction et de       non-addition,    et exécute deux cycles de fonc  tionnement, consistant en deux mouvements  de rotation de l'arbre principal d'entraînement  95 dans les opérations de total et de sous-total.  



  Lorsque le mécanisme de retour de chariot  fonctionne, le moteur 93 continue de tourner  une fois le cycle unique de rotation de l'arbre  95 achevé, car il y a un autre circuit électrique  alimentant le moteur 93 et qui peut être réalisé  par la fermeture d'un interrupteur 81     (fig.    3).    <I>Inscription des montants</I>    Les touches de montants 21     (fig.    1) posi  tionnent des caractères imprimeurs 38 et intro  duisent des valeurs dans les totalisateurs, d'une  manière connue (mécanisme différentiel, non  représenté).

      <I>Totalisateurs</I>    Il existe un totalisateur supérieur, dont les  roues     chiffrées    sont visibles à travers l'ouver  ture 32     (fig.    1) et un totalisateur inférieur (non  représenté) qui sont d'un type     addition-sous-          traction    bien connu et qui, dans chaque ordre  décimal, comportent des pignons qui peuvent  être sélectivement mis en prise avec des cré  maillères (non représentées) selon que l'on dé  sire effectuer une addition ou une soustraction.

      Dans les opérations de total ou de sous-total  négatives, les pignons convenables sont auto  matiquement mis en prise avec les crémaillères  d'entraînement, d'une manière connue, de telle       sorte    qu'un nombre     négatif    réel soit imprimé  à partir de l'un ou de l'autre totalisateur. Les       totalisateurs    sont mis en prise avec les     crémail-          lères    et en sont dégagés d'une manière connue.

      <I>Total et sous-total</I>  <I>contrôlés par touches</I>    L'enfoncement de la touche de total 23       (fig.    1) agit sur un ergot 230     (fig.    24)     _e'une     coulisse de total<B>1231</B> prévue pour pouvoir  coulisser derrière une coulisse de sous-total  231, ce qui fait descendre la coulisse de total  et met la machine en état d'exécuter une opé  ration à deux cycles, d'une manière connue.  



  Lorsque l'on veut exécuter un sous-total,  on enfonce la touche 24     (fig.    1) qui agit sur  un ergot 236     (fig.    24) de la coulisse de     sous-          total    231, faisant descendre cette dernière et,  en même temps, déplaçant de manière analo  gue la coulisse de total 1231, étant donné que  l'ergot 230 de la coulisse de total passe aussi  à travers la coulisse 231. Ainsi la machine exé  cute une opération de sous-total en deux cycles.

      <I>Touche de renversement</I>    La touche     dite    de renversement 28     (fig.    1),  quand on l'enfonce, est aménagée, d'une ma  nière connue, pour empêcher la machine d'être  commandée par une butée de chariot en sous  traction, de sorte que le nombre posé sur le  clavier soit additionné au lieu d'être soustrait.    <I>Bâti de chariot</I>         Fig.    4, 5 et 8 : le chariot est porté     par    un  rail 281 fixé au rebords supérieurs arrière des  plaques latérales verticales de bâti de la ma  chine (non représentées).

   Une plaque latérale  de gauche 282 de bâti de chariot et une pla  que latérale de droite 283 de bâti de chariot       (fig.    5 et 8) sont réunies     par    un rail 284     (fig.    4)  qui porte, sur son rebord arrière, des dents de  crémaillère grâce auxquelles le chariot peut  être ramené vers la droite de la machine à la      fin d'une série d'opérations d'inscription,  comme expliqué plus loin.  



  Une réglette à butées 288     (fig.    4) est     fixée     au chariot par des pièces de fixation 286 et  287 ; elle comporte des rainures supérieures et  inférieures sur lesquelles des cavaliers-butées  des types représentés aux     fig.    18 et 26 peu  vent être enfilés. Le but de ces cavaliers sera  expliqué plus loin.         Mécanisme     <I>de</I>     tabulation   <I>de chariot</I>    Le chariot est attiré vers la gauche par une  poulie à ressort 295     (fig.    4 et 8) autour de la  quelle s'enroule un ruban de traction 296 fixé  à l'extrémité de droite du chariot. La poulie est  montée sur un support fixé au rail 281.

   En  travers de la réglette 288 est montée une barre  de     tabulation    297     (fig.    4, 11 et 18) qui pivote  horizontalement en 298 et qui est attirée vers  le bas par un     ressort    299     (fig.    11) contre la  traction duquel elle peut être déplacée vers le  haut sous l'influence du mécanisme de     tabula-          tion    qui va être     décrit.     



  Le pivot 298 est porté par un support des  cendant du rail 281. L'extrémité arrière de la  réglette de     tabulation    297 est maintenue écar  tée de la réglette à butées 288 par un galet 305  monté sur un support 300 fixé à la réglette  297 et reposant sur un étrier 307 qui sera dé  crit plus loin, de sorte que le chariot puisse se  déplacer librement à moins qu'il n'en soit em  pêché par un des cavaliers-butées de chariot.  L'extrémité avant de la réglette 297 comporte  une surface en biseau 301 qui permet le     libre     retour du chariot vers la droite malgré les bu  tées, quelles qu'elles soient, à l'exception d'une  butée spéciale d'extrémité.

   Une arête d'arrêt  302 de la réglette de     tabulation    297 coopère  avec un bras supérieur 303 (fi-. 26) de l'un  quelconque des     cavaliers    actifs afin d'arrêter  le chariot quand celui-ci se déplace dans le  sens de la     tabulation.    Si l'extrémité arrière de  la réglette de     tabulation    est relevée, le chariot  continue vers la gauche sous     l'influence    de la  poulie à ressort 295 jusqu'au moment où il est  en contact avec une butée de fin de course  comportant un bras supérieur large 304     (fig.       26). La réglette de     tabulation    297 peut être  soulevée grâce au mécanisme qui va mainte  nant être décrit.  



  L'étrier de     libération    de     tabulation    307 est  monté pivotant sur des bras de droite et de  gauche (non représentés) prévus sur les pla  ques latérales 282     (fig.    8) et 283     (fig.    5).

   Selon  la     fig.    5,     l'extrémité    de droite de l'étrier 307  traverse la plaque de bâti de chariot de droite  283 et passe au-dessus d'un bras 308 du levier  de libération de chariot 50, lequel peut être  basculé manuellement dans le sens     senestror-          sum        (fig.    5), afin de soulever l'étrier 307 et de  permettre au chariot d'être déplacé sous     l'in-          fluence    de la poulie à ressort 295 jusqu'à ce  qu'une butée large 304 vienne arrêter le  chariot.  



  Un levier 310     (fig.    11) comporte un bras  orienté vers l'arrière qui fait saillie sous une  oreille 306 du support 300 et un bras descen  dant qui     comporte    une portion orientée vers  l'arrière et vers le haut 311. Sur l'arbre prin  cipal     d'entraînement    95 est calé un bras-came  312 comportant à son extrémité supérieure un  ergot (non représenté) qui vient en contact  avec un cliquet d'effacement 313, lequel pivote  sur un pivot fixé à un support 314 fixé à l'en  tretoise transversale arrière de la machine.  



  Quand la machine exécute un cycle, pen  dant le premier demi-cycle, l'ergot du     bras-          came    312 franchit   à vide   le cliquet 313, ce  dernier basculant dans le sens     senestrorsum    au  tour de son pivot     (fig.    11) ;

   lors de la course  de retour du bras-came 312, l'ergot fait bascu  ler le     cliquet    313 dans le sens     dextrorsum    de  telle sorte qu'un ergot 315 qui y est fixé vienne  toucher l'extrémité arrière d'un levier 316 com  portant un ergot 317 qui se déplace dans une  fente 318 pratiquée dans le support 314, pous  sant ledit levier 316 vers l'arrière et contrai  gnant un ergot 319 qui y est fixé à exercer une  pression vers l'arrière sur la portion faisant sail  lie vers le haut 311 du levier 310.

   De ce fait,  ce dernier bascule dans le sens     dextrorsum,    ce  qui, par l'intermédiaire de l'oreille 306, sou  lève l'extrémité arrière de la réglette de     tabu-          lation    297 et permet au chariot d'être tiré libre  ment par la poulie à ressort 295 jusqu'à la      butée suivante. Les pièces décrites reprennent  immédiatement leur position normale d'inter  vention aussitôt que l'ergot du bras-came 312  s'est éloigné du cliquet d'effacement 313, vers  la fin du cycle de la machine.  



  Comme décrit à propos du mécanisme d'in  terlignage (ou mécanisme d'alimentation verti  cale, ou d'espacement linéaire), une biellette  320 est tirée vers la gauche     (fig.    11) lorsque  l'on agit sur la barre motrice d'avance ou ali  mentation verticale 27 (voir aussi     fig.    1 et 10).  La biellette 320 est reliée, par ergot et fente, à  un levier de blocage d'avance verticale<B>321</B> qui  est articulé au bâti de la machine et qui com  porte un ergot 322, lequel traverse librement  un trou pratiqué dans un support 323 fixé à la  biellette 324.

   L'extrémité supérieure de     celle-          ci    est articulée, grâce au pivot 319, au levier  316, de sorte que lorsque l'on abaisse la touche  motrice d'alimentation verticale 27, l'extrémité  arrière du levier 316 est tirée vers le bas, fai  sant basculer l'extrémité avant dudit levier et  la retirant du trajet du cliquet 313, de sorte  qu'il ne se produise aucune     tabulation    du cha  riot.

      <I>Mécanisme de retour de chariot</I>    On voit en     fig.    19 que lorsque le chariot,  par     tabulation,    a atteint une butée de retour  330, qui porte une dent de retour de chariot  331 (voir aussi     fig.    26), les conditions se trou  vent réunies pour que, à la fin d'une opération  ultérieure de la machine, le moteur soit mis en  marche et pour qu'une liaison mécanique soit  réalisée avec la crémaillère de retour de cha  riot, de sorte que le chariot soit ramené à sa  position de droite, elle-même déterminée par  une autre butée, comme expliqué plus loin.  Bien que ce mécanisme soit décrit plus loin, on  peut signaler ici que la butée de retour 330  comporte une dent orientée vers le haut 332  qui actionne un contact, lequel excite le solé  noïde de total.

   La dent de retour 331 heurte  l'extrémité supérieure d'un levier 333 (voir  aussi     fig.    4) pivotant sur un support fixé à une  tringle 285 qui fait basculer ledit levier dans le  sens     dextrorsum        (fig.    19) autour de son pivot    334. L'extrémité inférieure du levier 333 est  couplée, par fente et ergot, à un étrier 335  pivotant sur un axe 338 lui-même     fixé    au bâti  de la machine. Un bras inférieur de l'étrier 335  est fourchu et entoure un ergot 336     fixé    sur un  étrier 337 pivotant lui-même sur un axe 329,  faisant basculer ledit étrier 337 dans le sens       senestrorsum        (fig.    19).  



  L'étrier 337 porte, sur son bras inférieur,  un ergot vertical 339 qui s'engage dans l'ex  trémité inférieure fourchue d'un levier-came  340 qui pivote en 341 sur le bâti de la machine.  La partie supérieure du levier-came 340 com  porte une portion incurvée 342 formant came  et qui s'étend au-dessus du sommet d'une pièce  343 qui porte une fourchette     ouverte    vers le  haut 344 et une extrémité recourbée 345. Une  extrémité droite et orientée vers l'arrière 346  du levier 343 traverse une fente pratiquée dans  une plaque de support (non représentée).

    Comme on peut le     voir    par la     fig.    23, l'extré  mité recourbée 345 de la pièce 343 est main  tenue en position haute par un ressort 347, de  telle sorte que sa fente 344 s'engage sur un  ergot 348 de l'extrémité supérieure d'un levier  349 pivotant en 350 sur un support. L'extré  mité inférieure du levier 349 est articulée, par  une rotule, à un levier de renvoi de     sonnette     351 pivotant sur une entretoise transversale  352. Le levier 351 porte une équerre de butée  353 qui, lorsque la pièce 343 est tirée vers  l'avant, est amenée à la position représentée à  la     fig.    23.

   L'extrémité recourbée 345 de la  pièce 343 est en contact avec une partie-came  d'un levier 354     (fig.    19) calé sur l'arbre princi  pal     d'entraînement    95, vers la     fin    d'un fonc  tionnement de la machine consécutif au mou  vement du levier 333,     donnant    un supplément  de mouvement à la pièce 343 qui vient alors  fermer le contacteur de moteur 81.  



  Selon la     fig.    23, le levier 349     porte    un  ergot 355 qui se déplace dans l'extrémité four  chue d'un étrier 356 calé sur l'arbre 95, lequel  étrier porte des ergots 357 et 358 qui s'enga  gent dans une gorge 359 (voir     fig.    15) prati  quée dans     une    pièce de crabotage 360 (voir  aussi     fig.    19) qui peut coulisser sur un arbre  361.      D'après la     fig.    15, un arbre 362 sortant du  moteur 93     (fig.    3) et entraîné par lui, porte,  claveté, un pignon conique 363 qui engrène  avec un pignon associé 364 claveté sur l'arbre  365.

   L'arbre 361, porté dans l'extrémité de  l'arbre 365, porte un disque 365a qui est en  traîné par un     premier    ressort amortisseur 366  fixé au disque 365a et par un disque 361a calé  sur l'arbre<B>361.</B> L'extrémité arrière de l'arbre  361 est supportée par le moyeu d'une pièce  de crabotage 368 comportant des saillies ra  diales 367 avec lesquelles la pièce de     crabo-          tage    360, qui peut coulisser     axialement    sur  l'arbre 361 grâce à un dispositif de tenon et  mortaise, se met en prise lorsque bascule  l'étrier 356.

   La surface arrière de la pièce de  crabotage 360 comporte des'     saillies    366a qui  viennent en prise avec les saillies 367 de la  pièce de crabotage 368, de manière à entraîner  cette dernière et un arbre 369 sur lequel elle  est clavetée. Un pignon conique 370 est monté  à l'arrière de l'arbre 369 et peut exécuter par  rapport à ce dernier un mouvement de rotation       limité    par un accrochage à tenon et mortaise  371a et par un second ressort amortisseur 371b  reliant l'arbre 369 et le pignon 370. Le pignon  370 engrène avec un pignon associé 371 monté  sur un arbre 372 couplé, par un manchon à  baïonnette 373, avec un arbre 374 portant un  pignon à denture droite 375 qui engrène avec  un pignon 376.

   Celui-ci est couplé par un arbre  377 à un pignon 378 qui engrène avec la cré  maillère de retour de chariot 284. Habituelle  ment, les pièces 367 à 378 tournent librement  sous l'influence de la crémaillère 284, quand le  chariot avance dans le sens de la     tabulation,     mais quand les pièces de crabotage 360 et 368  se mettent en prise, elles se trouvent couplées  au moteur 93     (fig.    3) lequel,. lorsqu'il est mis  en marche par la     fermeture    du contact 81     (fig.     23), provoque le retour du chariot vers la droite  jusqu'à ce qu'il soit     arrêté    par un mécanisme  qui sera décrit plus     loin.     



  Un dispositif permet de soulever la réglette  de     tabulation    297     (fig.    11) lorsque le chariot  revient, afin d'empêcher que les     cavaliers-          butées    ne viennent     inutilement    cliqueter sur la  surface en biseau 301. Sur une biellette    d'avance de ruban 379, articulée à un bras 380  calé sur l'arbre d'entraînement 95, est soudé  un support 381 muni d'oreilles tournées vers  l'arrière, sur lesquelles peut pivoter un étrier  382 qui comporte lui-même des jambages 383  et 384 orientés vers l'arrière.

   Le jambage 384  présente un épaulement 385 destiné à coopérer  avec une     oreille-386    qui     fait    saillie vers la gau  che à partir de la jambe descendante du renvoi  de sonnette 310. L'étrier 382 est sollicité par  un ressort 388 qui tend à le faire tourner de  façon que ses jambages tendent à tourner vers  le bas. Mais, normalement, ce mouvement est  empêché par un bras recourbé et tourné vers  le haut 389 de l'étrier 337 (voir     fig.    9 et 19),  de sorte que l'épaulement 385 ne se trouve pas  sur le trajet de l'oreille 386 lorsque le renvoi  de sonnette 310 est actionné pendant le fonc  tionnement de la machine.

   Cependant, lorsque  l'étrier 337 bascule, lors des opérations de re  tour de chariot commandées par les     cavaliers-          butées    de chariot, le bras recourbé 389 de  l'étrier 337 s'abaisse et, lorsque le fonction  nement de la machine débute par un mouve  ment dans le sens     dextrorsum    de l'arbre prin  cipal d'entraînement 95     (fig.    11), la biellette  d'avance de ruban 379 se soulève et le jambage  384 est abaissé et tiré vers l'arrière de manière  à accrocher l'oreille 386 du renvoi de sonnette  310 lorsque ce     dernier    est basculé pour le mou  vement de     tabulation.    Lorsque le mouvement  cyclique de la machine s'arrête,

   la réglette de       tabulation    297 est retenue en position inopé  rante pendant le retour du chariot.  



  Selon les     fig.    9 et 19, l'arbre 329 porte,  derrière l'étrier 337, un levier 387     (fig.    9) qui  a une position normale, représentée en poin  tillé, position dans laquelle il n'a aucune     in-          fluence    sur le jambage 384 de l'étrier 382.

   Lors  des opérations d'interlignage vertical, opéra  tions dans lesquelles la biellette 320 est tirée  vers la gauche     (fig.    9 et 11), le levier 387 est  basculé dans le sens     dextrorsum    par un ergot  390 jusqu'à la position représentée en traits  pleins en     fig.    9, position dans laquelle il inter  vient pour empêcher l'étrier 382 d'accrocher  le renvoi de sonnette 3l0, de sorte que si l'on  maintient abaissée la barre motrice 27 d'avance      verticale pendant une opération au cours de  laquelle le chariot est ramené jusqu'à la posi  tion de butée suivante, le chariot sera arrêté  dans ladite position par la réglette de     tabulation     297.  



  <I>Interlignage automatique</I>  Sur un pivot 400 fixé sur la plaque laté  rale de bâti de chariot de gauche 282     (fig.    8)  pivote un bras 401     portant    l'extrémité de gau  che d'un étrier 402 d'avance verticale (voir  aussi     fig.    4). L'extrémité de droite de cet étrier  est supportée par un bras 403     (fig.    5) qui pi  vote en 404 sur la plaque latérale de chariot  de droite 283.

   L'étrier 402 est sollicité en vue  de basculer dans le sens     dextrorsum    autour de  ses pivots     (fig.    5) par un ressort 405 qui s'en  roule autour du pivot 404 et qui s'accroche sur  l'extrémité inférieure du bras 403, et par un  ressort semblable 406 fixé sur l'extrémité de  gauche     (fig.    8). Sur une pièce 399 est claveté  un autre étrier composé de pièces 407, 408 et  409     (fig.    25), la pièce 408 comportant une  oreille qui vient se placer au-dessus et le long  du côté de la pièce 407 et qui porte un galet  410 monté sur un pivot     vertical.    La pièce 407  comporte une portion orientée vers le haut et  vers l'avant 411.

   Une     surface    412 de la pièce  407 repose contre un ergot d'un bras 430 de  l'arbre principal d'entraînement 95 de la ma  chine. Lorsque la machine est au repos, le galet  410, qui porte constamment contre le rebord  avant de l'étrier d'avance verticale 402, main  tient ledit étrier basculé dans sa position     senes-          trorsum        (fig.    5). Lorsque la machine fonc  tionne, l'arbre 95 éloigne le bras et son ergot de  la surface 412 et l'étrier 402 bascule dans le  sens     dextrorsum        (fig.    5) à moins qu'il n'en soit  empêché par ailleurs.  



  D'après les     fig.    5 et 25, l'extrémité supé  rieure du bras 403 porte, articulé sur lui par  pivotement en 414, un cliquet 415 qui est  maintenu basculé par un ressort 417 de telle  sorte que son rebord supérieur appuie contre  un ergot 416. Lorsque la machine est au repos,  l'extrémité en forme de dent du cliquet 415  s'engage presque avec la roue à rochet 418  disposée à l'extrémité de l'arbre 419 de sup-         port    de rouleau porte-papier     (fig.    5).

       Quand     le fonctionnement de la machine commence,  et que l'étrier 402 se déplace vers l'arrière de  la machine, le     cliquet    415 est tiré vers l'ar  rière sous     l'influence    des ressorts 405, 406 et,  pendant la seconde moitié du cycle de la     ma-          chine,    le cliquet 415 est     entraîné    positivement  vers l'avant du fait que le bras 430 entre en       contact    avec l'arête 412, entrant en contact  avec une dent de la roue à rochet 418 et fai  sant tourner celle-ci d'un cran, de manière à  communiquer un mouvement d'interlignage au  cylindre porte-papier 37     (fig.    1).  



  Sur l'arbre 419 de support de cylindre     (fig.     6) sur lequel est calée la roue à rochet 418,  pivote le levier 54 de     commande    d'espacement  vertical, dont l'extrémité inférieure comporte  un cran et coopère avec un ergot d'un renvoi  de sonnette 391 qui pivote sur une plaque de  support de droite 392.  



  Une autre arête inférieure du levier 54     (fig.     5) comporte une arête-came 421 coopérant  avec un ergot du cliquet 415. Le levier 54 peut  être déplacé dans le sens     dextrorsum    jusqu'à  une position dans laquelle il retient le cliquet  d'avance 415 complètement écarté de la roue  à rochet 418 et, à partir de cette position, on  peut le déplacer dans le sens     senestrorsum,    jus  qu'à une position   1  , dans laquelle     l'arête-          came    421 retient le cliquet 415 seulement par  tiellement écarté,

   de sorte que le cylindre reçoit  seulement un mouvement d'avance d'un     cran.     Dans la position que le levier 54 peut attein  dre par un mouvement complet dans le sens       senestrorsum,    ou position   2      ,    l'arête-came  421 n'a aucune action sur le cliquet 415 et le  mouvement de celui-ci pendant le fonctionne  ment de la machine fait tourner la roue à rochet  de deux crans.

   Ce mouvement d'espacement  vertical automatique du     cylindre    37     (fig.    1) est  bloqué si le levier 34 est dans sa position avant,  auquel cas un -levier à trois bras 422     (fig.    17)  se trouve dans sa position -extrême atteinte par  mouvement dans le sens     senestrorsum.     



  Sur une vis de support du levier 34 peut  pivoter une bielle 423 reliée par goupille et  fente au levier 422 et articulée à une autre  bielle 424 comportant une fente allongée 427      qui coopère avec un ergot de guidage 426.  Lorsque le levier à trois bras 422 est déplacé  jusqu'à la position extrême qu'il peut atteindre  par mouvement dans le sens     senestrorsum,    il  abaisse les bielles 423 et 424 jusqu'à la posi  tion représentée à la fi-. 17, position dans la  quelle l'ergot de guidage 426 se trouve à l'ex  trémité supérieure de la fente 427.

   Normale  ment, en face de la portion 411 de la pièce 407       (fig.    25) se trouve un bras 431 du levier de  blocage 321, lequel pivote sur une entretoise de  la machine et est maintenu dans la position re  présentée à la     fig.    25 par un ressort 432 (voir  aussi fi.. 4), bloquant ainsi le mouvement  d'avance ou d'alimentation de l'étrier d'interli  gnage 402. Le bras 431 du levier de blocage  321 comporte un ergot 428 qui se déplace dans  une fente 429 de la bielle 320     (fig.    11), empê  chant le ressort 432 de faire basculer le levier  de blocage trop loin dans le sens     senestrorsum.     



  Si le levier 34 est alors amené à sa position  intermédiaire     (fig.    1 et 17) qui est la position    interligne   et       tabulation         ,    le levier à trois  bras 422 bascule légèrement     dans    le sens     dex-          trorsum,    soulevant la biellette 424, de telle  sorte que l'ergot 426 soit à mi-chemin dans la  fente 427, et faisant basculer une plaque-came  433 légèrement dans le sens     senestrorsum        (fig.     17). La plaque 433 comporte une fente-came  435 dans laquelle se déplace un ergot 436  fixé à l'extrémité de gauche d'un levier 438.

   Si  l'on regarde de l'arrière, la plaque-came 433 est  attirée dans le sens     dextrorsum    par un ressort  437     (fig.    13) qui la maintient en contact avec  la bielle 424     (fig.    17). Le levier 438 pivote,  près de son centre, sur une entretoise de la  machine et son extrémité de droite comporte  un ergot 440 qui se déplace dans une fente en  arc de cercle 441 pratiquée dans un levier-came  442 articulé en 443 sur le bras inférieur de  l'étrier 337. L'extrémité de droite du levier 442  porte sur l'ergot 322 du levier de blocage 321.  



  Lorsque le levier 34 est dans sa position  avant, ou position       tabulation,    sans interli  gne      ,    comme représenté à la     fig.    17, l'ergot  436 repose dans la partie de droite de la     fente-          came    435     (fig.    17) et l'ergot 440     (fig.    13) sur  l'autre extrémité du levier 438 retient le levier    442, de façon que, lorsque l'étrier 337 bascule  et que la dent de retour<B>331</B>     (fig.    19) touche  le levier 333, l'extrémité 446 du levier 442       (fig.    13)

   ne porte pas sur l'ergot 322 pour faire  basculer le levier de blocage     d'interlignage   <B>321</B>  jusqu'à sa position de déblocage pendant l'opé  ration de la     machine,    à la fin de laquelle le  chariot est ramené vers la gauche.  



  Si, cependant, le levier 34     (fig.    17) est dans  sa position intermédiaire, la plaque-came 433  est basculée légèrement dans le sens     senestror-          sum    et le levier 438 est basculé légèrement       dans    le sens contraire, de sorte que, lorsque  l'étrier 337     (fig.    13) bascule, au moment où la  dent de retour 331 touche lé levier 333, l'ex  trémité 446 du levier 442 vient en contact avec  l'ergot 322, faisant basculer le levier de blocage  d'interlignage 321 jusqu'à sa position inactive,  de telle sorte que, lorsque se produit l'opéra  tion de la machine au cours de laquelle le cha  riot revient, le cylindre 37     (fig.    1)

   tourne et  reçoive un espacement vertical ou d'interligne.  



  Si le levier 34 est dans sa position arrière,  comme représenté à la     fig.    1, le levier à trois  bras 422     (fig.    17) est dans sa position extrême  dans le sens     dextrorsum,    le bas de la fente 427  est en contact avec l'ergot 426 et l'extrémité  inférieure de la bielle 424 vient en prise avec  l'extrémité de gauche 447 d'un levier 448     (fig.     13) qu'elle soulève en le faisant pivoter en 439,  obligeant une extrémité de droite 449 dudit  levier 448 à porter sur l'ergot 322, faisant bas  culer le levier de blocage     d'interlignage    321  jusqu'à sa position inactive. De ce fait, le cy  lindre reçoit un mouvement d'espacement ver  tical à chaque fonctionnement de la machine.

    En outre, si une dent de retour 331, analogue  à celle qui est sur la butée 330     (fig.    19) essaie  de faire basculer l'étrier 337     (fig.    13), un ergot  450 qui y est fixé, venant toucher un bloc 452  fixé au levier 448, empêche ce basculement et,  de la     sorte,    empêche le retour du chariot.  



  Pour permettre l'inscription de nombres en  liste, c'est-à-dire leur inscription verticale sans       total    ni sous-total automatique dans celles des  colonnes où ces opérations ont habituellement  lieu, un micro-contact 460 normalement fermé       (fig.    17, 21 et 22), disposé dans le circuit d'ali-           mentation    des solénoïdes, se trouve ouvert par  l'action de l'extrémité inférieure de la bielle 424  qui se soulève et fait basculer un levier 462,  pivotant en 463, dans le sens     dextrorsum        (fig.     17), l'extrémité avant agissant sur un levier 464  pour actionner un bouton d'interrupteur 466  qui ouvre le circuit     d'alimentation    des solé  noïdes.

      <I>Commande manuelle de l'interlignage</I>    Selon la     fig.    10, un ressort 467 maintient  normalement la barre motrice d'avance verti  cale 27 en position non enfoncée. Un bras  orienté vers l'arrière de cette barre comporte  un cliquet d'effacement 468 orienté vers le bas ;  une oreille 469 de ce cliquet en empêche le  mouvement dans le sens     senestrorsum.    Un res  sort 470 retient le cliquet 468 dans la position  représentée à la     fig.    10.

   Un rebord inférieur  475 du cliquet 468 est destiné à venir en con  tact avec le sommet d'un galet 455     (fig.    10)  monté sur un bras 477, de sorte que, lorsque  la barre 27 est enfoncée, ledit rebord 475 fait  basculer le bras 477 dans le sens     dextrorsum    et  un ergot 477a     actionne    alors un levier de dé  clenchement de machine (non représenté) qui  déclenche le fonctionnement de la machine, à  la manière     connue.    Si la barre d'espacement  vertical 27 est enfoncée et lâchée avant la fin  d'un cycle de la machine, la machine     effectue     complètement un cycle     d'inscription,    avec  avance verticale provoquée par le fonctionne  ment de l'étrier d'avance verticale 402,

   grâce  au mécanisme suivant : quand on enfonce la  barre 27     (fig.    10), un court bras 476 de     celle-          ci,    orienté vers l'arrière, heurte un ergot 1477  de l'un des bras d'un levier à trois bras 478,  le faisant basculer dans le sens     dextrorsum     avant que le rebord 475 du cliquet 468 ne  vienne heurter le galet 455 pour faire basculer  le bras 477 et déclencher le fonctionnement.

   Un  renvoi de sonnette pivotant 479 comporte une  fourchette dans laquelle s'emboîte un ergot 480  fixé sur le bras médian 481 du levier 478, et  comporte un bras orienté vers le haut 482 qui  bascule dans le sens     senestrorsum    lorsque le  levier 478 bascule dans le sens contraire, ve  nant s'engager derrière une oreille 483 du bras    477 quand ce dernier est basculé par le cliquet  468.     Ainsi,    le levier 478 est maintenu basculé  dans le sens     dextrorsum    jusqu'à la conclusion  d'un cycle de fonctionnement, au moment où  le levier de déclenchement 88     (fig.    2) est ra  mené d'une manière connue.

   Lorsque le levier  478     (fig.    10) bascule dans le sens     dextrorsum,     une bielle 484,     reliée    par pivotement à son bras  descendant, est tirée vers l'avant. L'extrémité  arrière de la bielle 484 comporte une fente 485  grâce à laquelle elle est supportée sur un ergot  486. Un ergot 487 s'étend vers la gauche à par  tir de la bielle 484 et est fixé dans une     biel-          lette    488 articulée en 489 à un renvoi de son  nette 490 qui pivote lui-même en 491. Un bras,  tourné vers l'arrière, du levier 490 pénètre dans  une fente .d'un renvoi de sonnette 492 pivotant  en 493.

   Un bras orienté vers le haut du levier  492 est articulé à la biellette 320 qui est cou  plée au levier de blocage d'interlignage 321  par un accouplement à ergot et fente. Grâce  aux liaisons qui viennent d'être     décrites,    lors  que la barre 27 est enfoncée, le levier de blo  cage 321 bascule dans le sens     dextrorsum,    de  sorte que le bras 431 soit écarté de l'encoche  de la portion 411 de la pièce 407 et que l'étrier  d'avance verticale 402 fonctionne afin de faire  avancer verticalement le     cylindre,    au cours de  l'opération de la machine qui s'ensuivra. Les  pièces sont ramenées à leur position d'origine  à la fin-du cycle de ladite opération, à moins  que la barre motrice verticale 27 ne soit main  tenue abaissée au delà de la fin de ce cycle.  



  Lorsque les bielles 484 et 488 se déplacent  vers l'avant, l'extrémité avant de la bielle 488  fait basculer un renvoi de sonnette 494 qui  pivote en 495, dans le sens     dextrorsum,    tirant  vers la droite une bielle 496     (fig.    20) articulée  au bras arrière du renvoi de sonnette 494. L'ex  trémité de gauche de la bielle 496 est articulée  à une bielle 500, par l'intermédiaire de leviers  497 et 498, cette bielle 500 étant articulée par  ergot et fente au bras descendant de l'étrier  337, tirant ce dernier dans le sens     dextrorsum     lors de l'enfoncement de la barre 27 pour ac  tionner l'embrayage de retour de chariot.

   Si la  barre motrice d'avance verticale 27 est lâchée  avant que le crabot de retour de chariot n'ait      été     mis    en prise, il se produira seulement un  mouvement d'espacement     vertical.    Si, par con  tre, la barre motrice 27 est maintenue abaissée  lorsque le cycle de la machine prend fin, le  crabot de retour de chariot se trouve mis en  prise et le chariot est ramené en arrière d'une  colonne, ainsi qu'on va le voir plus en détail.

      <I>Interlignage et retour du chariot</I>  <I>en</I>     maintenant   <I>enfoncée</I>  <I>la barre d'espacement vertical</I>    Comme on l'a indiqué, lorsque la bielle 320       (fig.    9) est tirée dans le sens de la flèche par  enfoncement de la barre motrice d'espacement  vertical 27, le levier 387 bascule dans le sens       dextrorsum        (fig.    9) et se trouve amené de sa  position représentée en pointillé à sa position  représentée en trait plein. Le levier 387 est calé  sur l'arbre 329 qui, à son tour, est couplé, par  un     dispositif    de couplage 501, à l'arbre 338  qui tourne dans le même sens.

   Sur l'extrémité  arrière de l'arbre 338 est fixée une came 502  (voir aussi     fig.    4) qui fait basculer une pièce  d'interposition 503 jusqu'à la position repré  sentée à la     fig.    9, position dans laquelle un  ergot 504 se trouve sur le trajet de l'extrémité  inférieure en crochet d'un levier 505 pivotant  en 334. Habituellement, le levier 505 est main  tenu en position d'origine par un ressort 506  et est libre de se mouvoir     élastiquement    sur son  pivot dans un sens ou dans l'autre lorsqu'il est  atteint par une butée 507 prévue sur le bras  inférieur du cavalier-butée 508 (voir aussi     fig.     26).

   La butée 507 commande le retour du cha  riot jusqu'à une position de colonne prédéter  minée lorsque l'on     man#uvre    la barre motrice  d'avance verticale 27 : par exemple jusqu'à une  colonne de date ou de numéro de folio.  



  Lorsque l'on enfonce la barre 27     (fig.    10)  et qu'on la maintient enfoncée après la fin d'un  cycle de fonctionnement, le levier de déclen  chement 88     (fig.    2) devient libre de retourner  à sa position d'origine à la fin de l'opération,  car au moment où le cliquet 468     (fig.    10) des  cend et vient toucher le galet 455, un ergot 509  dudit cliquet vient en contact avec une arête  d'un cliquet (non représenté) chassant le cliquet  468 du galet 455, de     sorte    que le levier de    déclenchement peut se rendre sans obstacle  jusqu'à sa position de repos ou d'origine.

   La  pièce d'interposition 503     (fig.    9) peut pivoter  sur un bras orienté vers le haut et vers l'ar  rière 510 d'un     étrier    511 qui peut basculer sur  l'arbre 338. Une oreille 512 du bras 510  s'étend vers le haut et derrière un bras,     lui-          même    orienté     vers    l'arrière et vers le haut, de       l'étrier    335. Quand, vers la fin du cycle au  cours duquel la barre motrice 27 est maintenue  abaissée, le levier 354     (fig.    19) actionne la  pièce 346, l'étrier 356 et le contact 81 (voir  aussi     fig.    23) et le chariot commence son mou  vement de retour.

   Comme la butée 508 appro  che     (fig.    9) du levier 505, la butée 507 touche  l'extrémité supérieure du levier 505, le faisant  basculer dans le sens     senestrorsum.    Comme  l'ergot 504 est maintenant sur le trajet de l'ex  trémité inférieure du levier 505, la     pièce    d'in  terposition 503 est basculée dans le sens     dex-          trorsum    et l'oreille 512 entre alors en contact  avec l'arrière de l'étrier 335, ramenant ce der  nier à sa position d'origine en même temps que  l'étrier 337, de     sorte    que la pièce de crabotage  de retour de     chariot    368     (fig.    19) se trouve  dégagée.

   A cet instant, une bielle 453     (fig.    13  et 23) pivotant en 339 est tirée vers la droite       (fig.    23), faisant basculer le renvoi de sonnette  351 jusqu'à sa position de repos, de manière  à ouvrir l'interrupteur de moteur 81. Le cou  plage élastique qui existe entre la bielle 496 et  le levier 497     (fig.    20) permet le retour de  l'étrier 337 à sa position d'origine même si  l'opérateur n'a pas encore lâché la barre 27.

      <I>Mécanisme de maintien du papier</I>  <I>dans le dispositif</I>  <I>d'introduction par l'avant</I>    Les     fig.    5 et 8 montrent l'arbre 419     touril-          lonnant    dans une plaque de support de droite  392     (fig.    5) et dans une plaque de support de  gauche 520     (fig.    8). Les plaques 392 et 520  sont clavetées sur un arbre transversal 521 qui  tourillonne dans des plaques d'extrémité de  chariot 282 et 283. Sur un arbre transversal  523 qui s'étend entre les plaques 392 et 520  est montée, de manière     basculable,    la tablette  à papier 40     (fig.    1).

        L'ensemble porte-cylindre est constam  ment sollicité dans le sens     dextrorsum    autour  de l'arbre 521     (fig.    5) par des ressorts 524 et  525 (voir aussi     fig.    8) qui sont tendus entre  lesdites plaques 392 et 520 et les plaques 282  et 283, et tend à tourner dans le sens     dextror-          surn    jusqu'à     ce    qu'une arête 526 de la plaque  392 vienne toucher une surface d'arrêt 527 et  qu'une surface 528 de la plaque 520 vienne  heurter une butée 529, sauf empêchement con  traire.  



  D'après la     fig.    14, un étrier de     manoeuvre     de loquet de chariot 530 s'étend entre les pla  ques latérales de chariot 282 et 283 et est sup  porté par des bras 531 articulés auxdites pla  ques, le bras 531 de gauche et son pivot 532  étant représentés à la     fig.    14. L'extrémité de  droite, non représentée, est soutenue de ma  nière semblable. L'extrémité supérieure du bras  531     comporte    une oreille recourbée 533 sus  ceptible d'entrer en contact avec un épaulement  534 d'une plaque de loquet 535 fixée sur la  plaque de support de gauche 520.

   Un ressort  536 fixé au bras de gauche 531 et un ressort  correspondant (non représenté) fixé au bras de  droite 531 tendent à faire basculer l'étrier 530  dans le sens     senestrorsum    (en     fig.    14) jusqu'à  une position de verrouillage. Le levier d'ou  verture d'introduction par l'avant 46 pivote en  532 et comporte une oreille orientée vers le  haut 537 qui     porte    contre un ergot 538 fixé  dans l'extrémité supérieure du bras de gauche  531 et faisant     saillie    à travers une fente de dé  gagement de la plaque 520.

   En faisant basculer  l'ensemble de     support    de cylindre contre les  ressorts 524 et 525, ce qui s'obtient en exer  çant manuellement une traction en avant sur  le sommet de la tablette de papier 40, on ver  rouille l'ensemble de cylindre grâce à la coopé  ration de la plaque de loquet 535 et du bras  de gauche 531, en position de fermeture, posi  tion dans laquelle le cylindre est en position  d'impression.

   Le mouvement vers l'arrière du  levier à main 46 déverrouille l'ensemble de  support en faisant basculer le bras de gauche  531 vers l'arrière, le cylindre se déplaçant vers  le haut et vers l'arrière lorsque l'ensemble exé  cute un mouvement dans le sens     dextrorsum            (fig.    11), sous     l'influence    des ressorts 524 et  525 qui ont été bandés.  



  La plaque transparente 43     (fig.    1) est tenue  dans un bâti ou cadre 542 pivotant sur un pro  longement 540     (fig.    8) de la plaque de bâti de  chariot 282 et aussi sur un prolongement sem  blable 541     (fig.    5) de la plaque de bâti de cha  riot 283.

   Le cadre 542 est couplé à l'une et       l'autre    extrémité des plaques latérales de sup  port de cylindre 392 et 520 par une     liaison    à  ergot et fente, d'une manière     connue,    de sorte  que, quand on fait basculer l'ensemble de cy  lindre jusqu'à la position d'ouverture, le cadre  542 s'ouvre, le haut vers l'avant, de telle sorte  que le matériau pour inscription puisse être  passé, à     partir    de l'avant, sous le cylindre et  ressortir par derrière sur la tablette     porte-          papier    543     (fig.    4).  



  Sur le rebord inférieur de la tablette     porte-          papier    40 est montée une série de rouleaux de  pression 544     (fig.    4) portés par un arbre 545  qui tourillonne dans des bagues-paliers 546,  547 fixées à ladite tablette. Le rebord inférieur  de la tablette 40 et, en conséquence, les rou  leaux 544, sont normalement maintenus contre  le     cylindre    37 de manière à tenir fermement le  papier qui a été passé autour du cylindre à  partir de l'arrière.

   Les rouleaux de pression 544  sont appuyés contre le     cylindre    37 par une  barre 548 qui pivote dans les plaques latérales  de bâti 392 et 520 et qui présentent des doigts  à ressort s'étendant vers le bas et reposant con  tre le rebord inférieur de la     tablette    40. La  barre 548 est sollicitée par ressort pour forcer  les     doigts    à s'appuyer contre la tablette 40  pour maintenir les rouleaux de pression 544  contre le cylindre afin de maintenir fermement  le papier introduit par l'arrière. Le mouvement  de recul du levier 47     (fig.    1) libère les rouleaux  de pression 544 en faisant basculer la barre  548.

   Le levier 47 fait aussi basculer en arrière  l'étrier de papier 48     (fig.    1) fixé à chaque ex  trémité à un bras 549, 550     (fig.    4), le bras 549  étant également représenté à la     fig.    1. Les bras  549 et 550 pivotent, à leur extrémité arrière,  sur les plaques latérales de support de cylindre  392 et 520, et sont réunis par une tringle 551       (fig.    4) disposée derrière la tablette à papier 40.      Le levier 47, quand on le déplace vers l'arrière,  actionne la tringle 551 d'une manière connue,  et soulève l'étrier de papier 48. Le levier 47  est maintenu dans la     position    qui lui a été don  née par un dispositif à détente de ressort d'un  type connu.  



  La tablette arrière 543, qui est     basculable          (fig.    4), supporte le matériau pour inscription  introduit par l'avant et pivote sur l'arbre 521  (voir     fig.    5 et 8). Elle comporte une partie qui  passe sous le cylindre en direction de l'avant.  Le rebord avant de la tablette 543 porte des  doigts incurvés qui remontent autour du cylin  dre vers l'avant     (fig.    1) et ces doigts sont unis  à leurs extrémités par la plaque de pression 42  qui, lorsque le chariot est fermé, est maintenue  contre le cylindre 37. Des rouleaux de pression  avant, non représentés, s'étendent entre les  doigts recourbés de la tablette 543 de manière  à maintenir contre le cylindre le papier intro  duit par l'avant.

   La table à papier     basculable     543 est plus lourde à l'avant qu'à l'arrière et,  lorsque le cylindre bascule vers le haut et vers  l'arrière et que la plaque transparente 43 s'ou  vre vers l'avant, la plaque de pression 42 située  à l'extrémité avant de la tablette 543 tombe,  formant entre cette table et le rouleau 37 une  galerie de guidage pour l'introduction du  papier.    <I>Ouverture</I>     autonuatique   <I>du chariot</I>    On a prévu des organes automatiques des  tinés à amener le chariot porte-papier en posi  tion d'ouverture, organes qui sont actionnés par  des butées disposées sur le chariot et qui inter  viennent, soit dans les deux sens de marche du  chariot, soit dans un seul sens.  



  Sur un goujon 560     (fig.    14) pivote un étrier  consistant en deux bras 561 et 562 réunis à  leur extrémité arrière par une plaque 563. Les  rebords inférieurs des bras 561 et 562 ont res  pectivement des pieds 564 et 565 qui reposent  sur une pièce 566 sous l'influence d'un ressort  567. Les rebords arrière des bras 561 et 562  reposent contre l'étrier 530. Un cliquet d'effa  cement 568 pivote en 569 sur la plaque 563,  et un autre cliquet de ce genre 571 pivote sur  la barre en 570.

   Le cliquet 571 est à une .cer-         taine    distance en arrière par rapport au cliquet  568, de sorte qu'une formation de butée pré  vue sur un cavalier d'ouverture de chariot, qui  sera décrit plus loin, et qui est à l'alignement du       cliquet    571, ne serait pas à l'alignement du     cli-          quet    568, et inversement. Une butée 572 fait       saillie    en arrière sur la plaque 563 et un res  sort 573 retient les cliquets 568 et 571 contre  ladite butée.

   Dans un certain système de comp  tabilité, conforme au spécimen représenté à la       fig.    1, la disposition est telle que le chariot est  ouvert juste après avoir commencé son mouve  ment de retour, et ceci est réalisé grâce à l'uti  lisation d'une butée de commande d'ouverture  de chariot 574 convenablement disposée (voir       fig.    4, 14 et 26).

   La butée, ou cavalier 574,  comporte un bras supérieur 575 et un bras  inférieur 576 (fi-. 26) permettant d'être fixé  sur la barre-réglette des cavaliers 288 de la  manière habituelle et sur ce cavalier peut pivo  ter un levier 577 comportant une pièce-butée  578 qui, disposée comme on peut le voir à la  fi-. 26 et enfilée sur la barre des cavaliers 288       (fig.    14), est à l'alignement du     cliquet    d'efface  ment 571. Quand le chariot     tabule    dans la di  rection de la     flèche    579, la butée 578 fait bas  culer le     cliquet    571 dans le sens     senestrorsum          (fig.    14), sans aucun effet.

   Cependant, lorsque  le chariot retourne dans la direction de la flè  che 580, la butée 578 heurte l'arête inclinée  581 du cliquet 571, faisant basculer ce dernier  et le bras 562 qui lui est associé, afin de faire  basculer l'étrier 530 dans la direction de la  flèche 1582, déverrouillant l'ensemble     porte-          rouleau    qui, alors, bascule à la position d'ou  verture pendant que le chariot est en mouve  ment.  



  En se reportant à la     fig.    26, si l'on fait  tourner le levier 577 dans le sens     dextrorsum,     la butée 578 se trouve écartée du trajet du     cli-          quet    571 et l'ouverture automatique du cha  riot sous l'influence de     cette    butée particulière  ne se produit plus. .  



  On peut s'arranger pour que le chariot  s'ouvre lorsqu'il se déplace dans le sens de la       tabulation,    c'est-à-dire dans la direction mar  quée par la flèche 579, en installant une butée  d'ouverture de chariot 582 (telle que celle qui      est représentée en pointillés à la     fig.    26) sur  le levier 577, au lieu de la butée 578. La butée  582 est décalée par rapport à la butée 578, de  manière à coopérer avec le cliquet 568, en  franchissant ce dernier sans     effet    quand le cha  riot retourne, mais en le faisant remonter par  action de came lorsque le chariot     tabule,    pro  voquant ainsi l'ouverture de ce dernier.

      <I>Avance verticale d'interligne</I>  <I>par ouverture du chariot</I>    Selon les     fig.    5 et 7, un cliquet de rochet  590 pivote en 591 sur la plaque de bâti de  chariot de droite 283. Le cliquet 590 comporte  une dent 592 coopérant avec les dents de la  roue à rochet 418. Lorsque le chariot s'ouvre,  le rouleau et la roue à rochet 418 se déplacent  vers l'arrière et vers le haut     (fig.    7), par rapport  au cliquet 590.

   La dent 592 du cliquet 590  tend à se rapprocher de la roue à rochet 418,  sous     l'influence    d'un ressort 593, mais elle est  retenue en position complètement inefficace du  fait qu'un ergot 594 du cliquet 590 est en con  tact avec le rebord arrière du levier 61, lequel  est normalement à la position   0   comme  on l'a représenté à la     fig.    7. Le levier 61 pivote  en 595 sur la plaque latérale de support de  cylindre 392. Si l'on amène le levier 61 à la  position   1  , la dent 592 exécute un mou  vement limité vers la roue à rochet 418, de telle  sorte que, lors de l'ouverture du chariot, la roue  à rochet 418 vienne toucher la dent 592 et que  le cylindre tourne d'un cran.

   Si l'on amène le  levier 61 à la position   2  , la dent 592 devient  libre de se rapprocher davantage de la roue à  rochet 418, de sorte que, lorsque le chariot  s'ouvre, la roue à rochet 418 tourne davantage  au moment où elle rencontre la dent 592, et  que le cylindre tourne de deux espaces. Ces  mouvements d'interlignage se produisent en  plus de ceux qui sont     communiqués    par le     cli-          quet    415     (fig.    6) pendant le fonctionnement de  la machine.

      <I>Coupure automatique</I>  <I>du circuit du moteur</I>  <I>par l'ouverture du chariot</I>    Un interrupteur normalement fermé 600         (fig.    3 et 16) est prévu dans le circuit     d7alimen-          tation    du moteur principal. L'interrupteur 600  est fixé à une entretoise verticale arrière 601  de la machine. Sur un bouton 602 de     manoeu-          vre    de l'interrupteur repose un poussoir 603  qui, lorsqu'il est abaissé, ouvre l'interrupteur  600. Le poussoir 603 est guidé dans son mou  vement vertical par le fait qu'il passe dans des  trous pratiqués dans des supports 604, 605  fixés à l'entretoise 601.

   Un ressort (non repré  senté) disposé à l'intérieur de l'interrupteur 600  maintient le bouton 602 et le poussoir 603 en  position haute, telle qu'elle est représentée à  la     fig.    16. Sur un support 606 pivote un     collier     607 qui porte un galet 608 monté sur un pivot  radial audit     collier,    derrière l'étrier de     manoeu-          vre    de loquet de chariot 530, c'est-à-dire devant  ledit étrier si l'on se place du point de vue de  la     fig.    16. Sur le côté du collier 607 est fixée  une oreille 609 qui repose sur le sommet du  poussoir 603.

   Lorsque l'étrier 530 se déplace  dans le sens de la     flèche,    le     collier    607 est bas  culé, de sorte que l'oreille vient appuyer sur le  poussoir 603, provoquant ainsi l'ouverture de  l'interrupteur 600 et coupant le circuit d'ali  mentation du moteur principal, lorsque le cha  riot s'ouvre.

           Dispositif   <I>automatique</I>  <I>pour bloquer la machine</I>  <I>lorsque le chariot est à mi-chemin</I>  <I>entre des butées</I>    Pour empêcher que la machine ne soit dé  clenchée lorsque le chariot n'est pas exactement  dans l'une de ses positions de colonne, on a  prévu un dispositif pour verrouiller le levier 86       (fig.    12) et l'empêcher d'être mû par le     levier     de déclenchement 88     (fig.    2).

   Dans un trou 610       (fig.    11 et 12) pratiqué dans l'extrémité arrière  de la réglette de     tabulation    297 pivote, grâce  à un goujon 611, une pièce 612 présentant une  arête-came     inclinée    613a et qui est soulevée  vers le haut lors du mouvement de retour du  chariot, lorsque la réglette de     tabulation    297  bascule vers le haut. Cependant, lors du mou  vement de     tabulation    du chariot, la pièce 612  est basculée sur son pivot lorsque son arête  613a vient en contact avec un cavalier de cha-           riot,    comme, par exemple, le cavalier 303 qui,  comme on peut le voir à la     fig.    12, est sur le  point de faire basculer la pièce 612.

   Un jam  bage descendant de la     pièce    612, lorsque cette  dernière est basculée, vient heurter un bras 613  d'une biellette coulissante 614, déplaçant cette  dernière vers la gauche     (fig.    12), pour     faire     basculer un levier 615 dans le sens     senestror-          sum    autour de son pivot de support 616. L'ex  trémité inférieure du levier 615 comporte un  ergot 617 qui appuie contre     l'extrémité    supé  rieure d'un renvoi de sonnette 618 qui pivote  sur le bâti en 619a. L'extrémité de gauche du  levier 618 comporte un crochet 619 normale  ment en prise avec le levier de déclenchement  de machine 86     (fig.    2).

   Lorsque le cavalier de  chariot fait basculer la pièce 612, le crochet  619 est soulevé, contre un ressort 620, permet  tant à la machine d'être libérée en vue de son  fonctionnement. Ainsi, la machine ne peut être  déclenchée lorsque le chariot est dans une po  sition intermédiaire à celles de     tabulation,    parce  que, dans ces positions intermédiaires, le cro  chet 619 bloque le levier 86.

           Opérations        automatiques     <I>de total et de sous-total</I>    Deux solénoïdes 626 et 627     (fig.    21 et 24)  sont alimentés en courant électrique par l'in  termédiaire d'un interrupteur     principal    commun  55, de l'interrupteur 460     (fig.    17) et     d'interrup-          teurs    individuels 629, 630     (fig.    21).  



  Le solénoïde 627 commande les opérations  de total, tandis que le solénoïde 626 commande  les opérations de sous-total.  



  Sur une armature 665 du solénoïde 627       (fig.    24) pivote une biellette 663 articulée, éga  lement, à un bras 664 calé sur un arbre 633.  Sur l'arbre 633 est calé un autre bras 636 arti  culé, par l'intermédiaire d'une tringle 666, à  l'extrémité inférieure d'un renvoi de sonnette  667 articulé à une biellette 233 dont l'extré  mité supérieure comporte une ouverture allon  gée dans laquelle s'engage l'ergot 230 de la  coulisse de total 1231. Lorsque le solénoïde  627 est excité, comme expliqué plus loin, son  armature 665 est     rétractée    et, par l'intermé  diaire de la     chaîne    mécanique qui vient d'être    décrite, tire la coulisse de total vers le bas, pro  voquant ainsi une opération de total d'une ma  nière connue.  



  Sur l'armature 632 du solénoïde 626 pivote  une biellette 634 articulée à l'un des bras 635  d'un étrier 1635 monté fou sur l'arbre 633. Une  biellette 637 fixée à un ergot de l'autre bras  1636 de l'étrier 1635 est fixée, à son autre ex  trémité, à un ergot monté sur un bras     inférieur     d'un renvoi de sonnette pivotant 638. Un bras  supérieur du renvoi de sonnette pivotant 638 est  articulé à une biellette 237 qui comporte à son  extrémité supérieure une ouverture allongée  dans laquelle s'engage l'ergot 236 de la cou  lisse de sous-total 231.

   Lorsque le solénoïde  626 est excité, comme expliqué plus loin, les  connexions qui viennent d'être décrites attirent  la     coulisse    de sous-totalisation 231 vers le bas,  entraînant avec elle la coulisse de total 1231,  provoquant ainsi une opération de sous-total,  à la manière connue.  



  Un levier 662     (fig.    18) est fixé à l'extrémité  d'un arbre 643 à l'autre extrémité duquel est  fixé un levier 680 et qui est porté par un sup  port 646. L'extrémité inférieure du levier 680  porte contre un bras d'un renvoi de sonnette  682 pivotant en 650 sur le bâti de la machine.  Une oreille 683 de ce renvoi de sonnette co  opère avec un cliquet de franchissement 659  qui peut osciller sur l'extrémité arrière de la  réglette de     tabulation    297.

   Lorsque le chariot       tabule    dans la direction de la flèche 685, une  butée 686 d'un cavalier 657 fait basculer le       cliquet    659, qui fait tourner les leviers 682 et  680, ainsi que l'arbre 643, dans le sens     senes-          trorsum        (fig.    18), et le levier 662 bascule alors  de manière correspondante et ferme l'interrup  teur 630. Ceci excite le solénoïde de total 627       (fig.    24) et provoque l'intervention d'une opé  ration de total.

   Lorsque le chariot retourne  dans la direction de la     flèche    1657     (fig.    18), la  butée 686 du cavalier 657 fait basculer à vide  le cliquet de franchissement 659 et le levier  682 n'est pas actionné.  



  Un étrier 644,     muni    de bras 642 et 647,  peut pivoter sur l'arbre 643. Le bras 642 co  opère avec un bouton 1641 destiné à actionner  l'interrupteur 629 et le bras 647 coopère avec      un bras 648 d'un levier 649 qui pivote lui aussi  en 650 sur le bâti de la machine. Un bras  orienté vers l'arrière 651 du levier 649 com  porte une oreille en équerre 652 qui coopère  avec un bras d'un levier de renvoi de sonnette  à franchissement 653, lequel peut osciller par  rapport à la réglette de     tabulation    297 sur la  quelle il est monté. L'autre bras du levier de  renvoi de sonnette 653 se trouve sur le trajet  d'une butée de total 655 d'un cavalier 656 dis  posé sur la réglette 288.

   Lorsque le chariot se  déplace dans la direction de la     flèche    685, pour       tabulation,    la butée 655 fait basculer le levier  653 dans le sens     senestrorsum,    ce qui fait bas  culer le levier 649 dans le même sens et le bras  647 et l'étrier 644 se déplacent alors, eux aussi,  dans le sens     senestrorsum,    grâce à quoi le bras  642 entre en contact avec le bouton 1641 et  ferme l'interrupteur 629, de sorte que le solé  noïde 626     (fig.    24) se trouve excité et qu'une  opération de sous-total se trouve déclenchée.

    Lorsque le chariot retourne dans le sens de la  flèche 1657, la butée 655 fait basculer à vide le  levier de renvoi de sonnette 653 dans le sens       dextrorsum        (fig.    18).    <I>Dispositif empêchant</I>  <I>le déclenchement de la machine</I>  <I>pendant le mouvement de retour</I>  <I>du chariot</I>    Selon la     fig.    23, un bras 890, orienté vers  l'arrière, du levier à trois bras 97 qui est ac  tionné lorsque le levier de déclenchement de  machine 88     (fig.    2) est basculé, comporte une  oreille recourbée 891 grâce à laquelle il est  maintenu en position de repos par le loquet de  déclenchement 85     (fig.    2).

   Ordinairement, ce  loquet 85 est basculé en position d'inefficacité  par l'extrémité du levier 86, lorsque la machine  est déclenchée au moyen des touches de com  mande 23-26     (fig.    1), permettant au levier 97       (fig.    23) de basculer pour déclencher le fonc  tionnement de la machine.  



  Une pièce ascendante 892     (fig.    23) est  fixée au levier 351 et comporte, à son extrémité  supérieure, une encoche 893 qui, lorsque le  levier 351 est dans la position de retour du  chariot, se trouve en dessous de l'oreille 891,         empêchant    le levier 97 de basculer, même si  le levier de déclenchement 85 a été     amené    en       position    d'inefficacité. Ainsi, la machine ne  peut pas être déclenchée pendant le mouvement  de retour du chariot.  



  <I>Fonctionnement de la machine</I>  Le chariot est d'abord ramené à l'extrême  droite et la réglette de     tabulation    297 heurte  le bras supérieur large 304     (fig.    4 et 26) de la  butée d'extrémité.     Le    chariot s'ouvre et l'on  met la feuille de journal en position. Puis l'opé  rateur pose l'ancien solde du compte intéressé  après avoir inséré, par l'avant du cylindre, la  carte de compte et le relevé du client.

   Ensuite,  il ferme le     chariot    à la main.     Il    enfonce la barre  motrice d'addition 26, ce qui introduit la  somme     additivement    dans les deux totalisa  teurs, après quoi le     chariot        tabule    automatique  ment jusqu'à la colonne de date et de numéro  de folio, où     il    est arrêté par la butée 508 qui,  en plus de la saillie de dégagement du crabot  de retour de chariot 507, comporte une saillie  850 qui commande la machine selon les fonc  tions notées sur le     cavalier   <B>851</B> à la     fig.    26, à  la manière connue.

   La machine est actionnée  et imprime la date et le numéro de folio, puis  le chariot     tabule    automatiquement jusqu'à un  cavalier 852 qui comporte une saillie 853, qui  met en état de     fonctionner    le marteau impri  meur de caractères, de sorte qu'un symbole  correspondant à la touche de symbole 22 qui  a été enfoncée est imprimé. En enfonçant la  touche inférieure de symbole   R      ,    en même  temps qu'une autre touche de symbole et en  actionnant le loquet 60, la touche de symbole  enfoncée restera enfoncée pour des impres  sions répétées du symbole.  



  Le montant de l'opération est introduit en  agissant sur les touches de montants 21 et sur  la barre motrice d'addition 26. La machine peut  aussi être mise en marche par la barre motrice  d'avance verticale 27 s'il y a plus d'un article  dans l'opération, et cette barre peut être main  tenue abaissée si l'on a besoin du retour du  chariot à la colonne de date et de numéro.

   La       tabulation    de la colonne des inscriptions à la  colonne de crédit place un     cavalier    854 com-      portant une saillie de soustraction 855 en po  sition d'intervention, ce qui met automatique  ment la machine en état de     soustraire    automa  tiquement un nombre composé sur les touches  de montants, d'une manière connue, à moins  que la touche   Renversement   28 n'ait été       enfoncée,    auquel cas le nombre s'additionne  au lieu de se soustraire. Le chariot     tabule    en  suite jusqu'à un     cavalier    656 présentant une       saillie    de commande de sous-total 655, ce qui  provoque une opération de sous-total en deux  cycles.

   Pendant le premier des deux cycles, le  mécanisme de     tabulation    fait     tabuler    le chariot  jusqu'à la butée 303 où le sous-total est re  cueilli sur le totalisateur supérieur et imprimé.  Puis le chariot     tabule    jusqu'à une butée 856  qui, comme la butée 854, est une butée de  soustraction. A ce moment,     l'ancien    solde est  de nouveau posé et soustrait des deux totalisa  teurs en agissant sur la barre motrice d'addi  tion 26. Puis le chariot franchit par     tabulation     la position de colonne devant laquelle se trouve  placé le cavalier d'ouverture de chariot 574 et  arrive à la position de     colonne    où se trouve la  butée 657 de total.

   Pendant le premier cycle  de l'opération automatique de total en deux  cycles qui s'ensuit, le chariot     tabule    jusqu'à une  position dans laquelle se trouve disposée la bu  tée de retour de chariot 508. Une fois que,  pendant le second cycle, le total a été imprimé,  le chariot est automatiquement ramené et pen  dant ce temps la butée 574     intervient,    de telle  sorte que, tandis que le     chariot    continue à re  tourner, il se trouve amené à la position d'ou  verture et que la carte de compte et le relevé du  client peuvent être retirés. Pendant que le cha  riot s'ouvre, la feuille de grand livre avance  d'un interligne ou deux, selon la position don  née au levier 61. La machine est maintenant  en état de traiter le compte suivant.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer, comprenant un chariot mobile porte-matériau pour inscriptions, et un ensemble d'introduction par l'avant du cylin dre basculable en position d'ouverture et de fermeture respectivement, caractérisée par une paire de ressorts (524, 525), disposés l'un de chaque côté de l'ensemble d'alimentation avant de cylindre, chaque ressort (524, 525) étant at taché au bâti du chariot (282, 283) et à une pièce latérale (392, 520) de l'ensemble, lesdits ressorts (524, 525) étant disposés de manière à être tendus lorsque l'ensemble d'introduction est basculé de la position d'ouverture à la posi tion de fermeture,
    et un dispositif de verrouil lage (530-538) qui verrouille automatiquement l'ensemble d'introduction en position de ferme ture, lorsque celui-ci est complètement amené, à la main, à ladite position, lequel dispositif de verrouillage (530-538) peut être rendu inopé rant, soit à la main, soit automatiquement, se lon la position de colonne du chariot, de telle sorte que lesdits ressorts tendus (524, 525) puissent faire basculer l'ensemble d'introduc tion par l'avant jusqu'à la position d'ouverture. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine à calculer conforme à la re vendication, caractérisée par une pièce de ver rouillage (535) fixée à un cadre latéral (520) de l'ensemble d'introduction par l'avant, un étrier de verrouillage (530) monté pivotant sur une paire de plaques latérales de chariot (282, 283) et s'étendant sur toute la longueur du cylindre (37), ledit étrier (530) étant sollicité par un ressort (536), de telle sorte qu'un bras (531) de cet étrier coopère avec la pièce de verrouillage (535) pour maintenir l'ensemble d'introduction par l'avant en position de fer meture contre l'action des ressorts (524, 525), une pièce manoeuvrable à la main (46, 537) étant adaptée pour faire basculer ledit bras (531) et l'éloigner de la pièce de verrouillage (535) de telle sorte que les ressorts (524, 525)
    puissent ensuite amener l'ensemble d'alimenta tion avant à sa position d'ouverture. 2. Machine à calculer conforme à la reven dication et à la sous-revendication 1, caracté risée par une paire de leviers pivotants (561, 562) couplés ensemble afin de se mouvoir soli dairement l'un de l'autre, lesdits leviers com portant chacun une surface arrière coopérant avec ledit étrier de verrouillage (5.30), une paire de cliquets d'effacement (568, 571), mon- tés en position décalée l'un par rapport à l'au tre sur lesdits leviers (561, 562) et des pièces de butée (574) montées dans des positions de colonnes choisies sur une réglette à butées (288) supportée par le chariot mobile (35), l'une de ces pièces de butée (574) ayant une saillie (582)
    adaptée pour basculer efficace ment l'un desdits cliquets (658) lorsque le cha riot circule dans le sens de la tabulation, une autre desdites butées (574) ayant une saillie (578) adaptée pour basculer efficacement l'au tre cliquet (571) lorsque le chariot (35) circule dans le sens du retour, le basculement efficace de l'un ou l'autre cliquet (568, 571) faisant bas culer lesdits leviers pivotants (561, 562) de manière à amener l'étrier de verrouillage (530) à sa position de déverrouillage pendant le dé placement du chariot (35). 3.
    Machine à calculer conforme à la re vendication et aux sous-revendications 1 et 2, caractérisée par le fait que lesdites saillies (578, 582) sont montées de manière réglable sur les butées de chariot (574) de manière à pouvoir être amenées manuellement à une position de non-intervention. 4. Machine à calculer conforme à la re vendication, comportant un mécanisme d'inter lignage actionné à partir d'une pièce principale d'entraînement de la machine, caractérisée par un mécanisme supplémentaire d'interlignage (590-595) qui est automatiquement actionné lorsque l'ensemble d'introduction par l'avant est amené par lesdits ressorts (524, 525) à la position d'ouverture. 5.
    Machine à calculer conforme à la reven dication et aux sous-revendications 1 à 3, ca ractérisée par le fait qu'un interrupteur (600) normalement fermé, disposé dans le circuit d'alimentation du moteur (93) d'entraînement de la machine, est ouvert par un poussoir (603) qui est enfoncé par l'étrier de verrouillage (530) lorsque ce dernier est basculé en position de non-verrouillage. 6.
    Machine à calculer conforme à la reven- dication, caractérisée par un mécanisme de re tour de chariot (343-378) comprenant une pièce de crabotage commandée (359), un mécanisme de mise en prise de crabot (333-339) actionné par une butée de commande (508-850) dispo sée sur le chariot mobile (35), une butée de commande (507-508) adaptée pour arrêter le dit chariot (35) dans une position de colonne prédéterminée pendant le mouvement de retour, un levier de commande de crabot (505) ayant normalement un mouvement de basculement libre lorsqu'il est touché par ladite butée d'arrêt de chariot (507-508), et une barre de com mande manaeuvrable à la main (27)
    ayant pour effet, quand on l'enfonce et qu'on la lâche aus sitôt, de déclencher le fonctionnement de la machine et de provoquer l'interlignage du cy lindre (37), ladite barre de commande manoeu- vrable à la main (27) étant aussi adaptée, quand on l'enfonce et qu'on la maintient enfoncée au delà de la fin d'une, opération de la machine, pour amener la pièce de crabotage (359) à être mise .en position d'engagement indépen damment de la butée de chariot (508-850) et pour mettre une pièce de dégagement de cra- bot (503)
    sur le trajet du levier de commande de crabot (505) de façon que, lorsque ce der nier est touché par la butée d'arrêt de chariot (507, 508) pendant le mouvement de retour du chariot (35), la pièce de dégagement de cra- bot (503) soit actionnée et amène la pièce de crabotage (509) en position débrayée. 7.
    Machine à calculer conforme à la reven dication, comprenant un mécanisme de tabula- tion normalement efficace ayant pour but de faire tabuler le chariot porte-document, et un mécanisme d'interlignage actionné à partir d'une pièce principale d'entraînement de la ma chine, caractérisée par le fait qu'une pièce de blocage (431) intervient normalement pour empêcher le mécanisme d'interlignage (403 405, 411, 415, 418) d'être actionné, et que le mécanisme de tabulation (297-309) et la pièce de blocage (431)
    sont commandés de telle fa çon, par un levier réglable à la main (34) que, dans une position dudit levier (34), la pièce de blocage (431) demeure en position d'efficacité et que le mécanisme de tabulation (297-309) soit laissé libre d'opérer, tandis que dans une seconde position du levier réglable manuelle ment (34), le mécanisme de tabulation (297 304) est libre de fonctionner et la pièce de blo cage (431) est rendue inopérante, tandis que, dans une troisième position du levier réglable à la main (34), le mécanisme de tabulation (297-309) et la pièce de blocage (431)
    sont tous deux rendus inopérants. 8. Machine à calculer conforme à la reven dication et à la sous-revendication 7, caracté risée par une paire de solénoïdes (626, 627) commandables par des butées de commande (656, 657) disposées sur le chariot mobile porte-document (35) de manière à provoquer sélectivement le fonctionnement automatique de la machine en vue, soit d'une opération de sous-total, soit d'une opération de total, et un interrupteur normalement fermé (460) disposé dans un circuit d'alimentation des solénoïdes (626, 627), ledit interrupteur (460) étant adapté pour être ouvert par un mécanisme (422-424, 462-465, 96, 97) actionné par un mouvement du levier .réglable à la main (34) vers ladite troisième position,
    de manière à empêcher un tel fonctionnement automatique de la machine lorsque l'on inscrit des nombres en liste dans une position de colonne devant laquelle sont disposées des butées (656, 657) de commande de solénoïdes. 9. Machine à calculer conforme à la reven dication et à la sous-revendication 6, compre nant une pièce de déclenchement de machine actionnée lorsque l'une quelconque d'un cer tain nombre de barres de déclenchement de machine est enfoncée, caractérisée par le fait qu'une pièce de blocage (892) est disposée sur le trajet de la pièce de déclenchement de ma chine (97) lorsque le mécanisme de retour de chariot (343-378) est actionné, empêchant ainsi le déclenchement de la machine pendant que le chariot mobile porte-document (35) est en traîné dans le sens du retour.
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