CH282441A - Machine comptable. - Google Patents

Machine comptable.

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CH282441A
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Corporation Internati Machines
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Description


      Machine    comptable.    La présente invention a pour objet une  machine comptable dans laquelle les opéra  tions d'impression de total et de remise à zéro  du totalisateur se font successivement. Cette  machine comprend un     ensemble    d'éléments  de totalisateur, des moyens pour la remise à  zéro de ces éléments et des moyens pour im  primer le chiffre total représenté par les po  sitions respectives de ces éléments.  



  Les machines comptables connues sont  commandées par (les cartes perforées et sont  conditionnées en même temps pour recevoir       lin    total du totalisateur. Ce conditionnement  se fait ordinairement par un dispositif auto  matique de contrôle du groupe de carte intro  duit. L'impression du total se fait dans le  même cycle d'opérations de la machine et en  suite le totalisateur est. remis automatique  ment à zéro pour être prêt à. recevoir de nou  velles entrées.  



  Les machines connues de ce type sont  entrées dans la pratique courante et se mon  trent efficaces et très précises pour de nom  breuses opérations mathématiques et statisti  ques. Il peut. arriver cependant, par suite  d'une     négligenee    de l'opérateur, qui oublie  par exemple d'établir la connexion à fiches  nécessaire, que le totalisateur ne soit pas re  mis à zéro, et il s'ensuit que la série d'entrées  suivante est incorrecte. Cette erreur peut être  due aussi, plus rarement, à des dérangements  mécaniques (parties du mécanisme ne fonc  tionnant pas, usure ou montage défectueux    de certaines parties,     etc.    ). Quelle que soit la  raison, il est nécessaire qu'une telle erreur  soit indiquée et corrigée.  



  En conséquence, le     but    de la présente in  vention est de prévoir des moyens pour dé  tecter la position de chaque ordre du totali  sateur après la remise à zéro et pour vérifier  si tous les ordres sont. dans la position zéro.  



  La machine faisant l'objet de l'invention  est. caractérisée en ce qu'elle comprend des  moyens pour vérifier, après chaque opération  de remise à zéro, la position des éléments de  chacun des ordres du totalisateur et assurer  une nouvelle opération d'impression de total  quand l'un quelconque des ordres du totali  sateur n'est pas revenu à zéro, afin d'impri  mer le total enregistré à. ce moment-là dans  le totalisateur, y compris l'ordre qui n'est pas  revenu à zéro.  



  Le dessin annexé représente, à, titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine objet de l'invention.  



  Les     fig.    1 à 17 se rapportent au méca  nisme d'exploration des cartes perforées de  ladite forme d'exécution.  



  La     fig.    1 est une vue d'un des embrayages  commandés     magnétiquement.     



  La     fig.    2 est une vue en élévation latérale  de gauche du mécanisme d'exploration. des  cartes.  



  La     fig.    3 est une vue en plan des moyens  de commande des différents arbres de com-      mande principaux et des     embra\-aôes        prévus     sur ces arbres.  



  La     fig.    4 est une vue en plan des moyens  de commande de tous les rouleaux d'avance.  La     fig.    5 est une vue en élévation latérale  de droite correspondant à l'élévation repré  sentée sur la.     fig.    2.  



  Les     fig.    6 et 7, prises ensemble, représen  tent une coupe en élévation des deux stations  d'exploration et du magasin.  



  La     fig.    8 est une vue en plan des deux  stations d'exploration.  



  La     fig.    9 est une vue en plan de l'ensem  ble du mécanisme d'exploration.  



  La     fig.    10 est. une coupe en élévation sui  vant la ligne     X-X    de la     fig.    2, montrant les  grands bras pivotants faisant osciller le sup  port des     leviers    détecteurs.  



  La     fig.    11 est une coupe en élévation sui  vant la ligne XI-XI de la     fig.    2, montrant  les roues dentées d'entraînement et les bro  ches détectrices.  



  La.     fig.    12 est     tune    coupe en élévation sui  vant la ligne XII-XII de la     fig.    7, mon  trant des bras commandant le support des  broches.  



  La     fig.    13 est une vue d'un détail du mé  canisme d'exploration, les broches détectrices  étant soulevées.  



  La     fig.    14 est. une vue semblable à la       fig.        13,    les broches détectrices étant abaissées  et passant dans les perforations d'une carte.  



  La     fig.    15 est une vue semblable à la       fig.    14, les trois premières broches ayant été  explorées.  



  La     fig.    16 représente une carte perforée.  La     fig.    17 est une vue d'un détail de la  trémie     recevant    les cartes.  



  La.     fig.    18 est une coupe en élévation d'un  élément. d'ordre     numérique    du totalisateur,  avec les électro-aimants de mise en marche et  d'arrêt et les contacts de report.  



  La     fig.    19 est une coupe en. élévation mon  trant une roue du totalisateur et les parties  associées.  



  Les     fig.        20a,    20'', 20e,     2011    et 20e, disposées  côte à côte dans cet ordre, représentent le  schéma électrique de la machine.    Les     fig.        21a,        21'',    ?1<B>'</B> et     '211'l        représentent     des diagrammes chronologiques.  



  Les     fig.        22a    et     2211,    prises ensemble, repré  sentent une coupe verticale latérale d'un élé  ment d'ordre numérique du mécanisme     d7im-          pression,    et montrent aussi le dispositif tra  ducteur convertisseur rotatif qui     transforme     les impulsions représentatives des combinai  sons de perforations et provenant du totali  sateur en impulsions équivalentes     ehronoloni-          quement    différées.  



  La     fig.    23 est une vue en élévation laté  rale montrant les engrenages pour l'entraîne  ment des arbres représentés sur les     fig.    2  et 22".         Mécanisme   <I>d'exploration des</I>     cartes        perforées.     Le but principal de ce mécanisme     est.     



  d'explorer les perforations codifiées dans la  carte C     (fig.   <B>16)</B> de commande de la machine  et de lancer les impulsions électriques chrono  logiques représentatives des données sur la  carte. En même temps, la machine produit  l'avance une à une des cartes à partir du ma  gasin, puis dans les deux stations d'explora  tion.  



  Dans chaque station     d'exploration,    la carte  est momentanément immobilisée et explorée       électromécaniquement,    tandis qu'elle est au  repos. Dans les deux stations d'exploration,  les dispositifs coopérant avec la carte sont  pratiquement les     mêmes,    le but de ces stations  souvent appelées station supérieure et sta  tion inférieure étant d'effectuer les     comman-          des    connues dans la. pratique.

   Entre les cieux  stations se trouve un dispositif de commande  de groupe qui peut fonctionner de la manière  connue pour détecter si des cartes     successives     appartiennent. au même groupe ou à. des  groupes différents, par     comparaison    de dési  gnations de commande de groupe     qu'elles     contiennent.  



  Dans le cas présent, nous désignons res  pectivement par     ZT    et<I>L</I> les stations droite et  gauche qui correspondent en effet aux sta  tions d'exploration ordinaires d'une machine  comptable, respectivement la station supé  rieure et la station inférieure, la première de      ces stations étant connue comme une station  de     commande,    par suite de sa fonction de  commande du groupe, la dernière étant  connue comme station de commande de la to  talisation et de l'impression, les impulsions  qui en proviennent étant dirigées directement  vers les électro-aimants de commande du to  talisateur et de l'imprimeur.  



  Dans chaque station d'exploration, il est  prévu des dispositifs électromécaniques qui  comprennent. une série complète de broches  détectrices verticales, une pour chaque posi  tion indicatrice de la carte. Les broches sont  normalement maintenues soulevées jusqu'à ce  que la carte s'arrête dans la position d'explo  ration,     puis    elles sont. abaissées, de sorte que  certaines d'entre elles passent à travers des  perforations, les autres reposant sur les par  ties non perforées de la carte. Il est prévu  trois leviers de contact coudés qui coopèrent.

    avec les têtes des broches de chaque colonne,  un bras de chaque levier portant. un profil  de came qui chevauche sur les têtes des sept  broches associées, le levier tournant et     fer-          niant    un contact quand la broche est. dans la.  position inférieure. Tous les leviers sont mon  tés sur un cadre commun à mouvement alter  natif qui oseille sur le     support    des broches  après chaque abaissement des broches.  



  Dans la station U, il faut noter qu'il n'y a  (lue trois séries de leviers détecteurs, un pour  chaque groupe de broches détectrices. L'autre  station L diffère en ce que les leviers y sont  disposés en quatre séries, la série supplémen  taire ayant pour fonction la détection de ce  qu'on appelle l'impulsion  5 retardée . Le  but de cette disposition est. de se conformer  à la construction des dispositifs totalisateurs  et imprimeurs qui nécessitent, par exemple  pour l'addition d'un 9, une ou plusieurs im  pulsions distribuées sur une longue période,  plus longue que celle prévue entre les posi  tions codifiées 5 et 0 dans le code à quatre  perforations envisagé ici. Ainsi, pour l'addi  tion d'un grand chiffre (par exemple un chif  fre supérieur à 5), il est prévu que deux le  viers coopèrent pour l'envoi des impulsions  pour préparer l'entrée du chiffre.

   Cette né-         eessité    n'existe pas seulement. dans la posi  tion extrême où coopèrent. les deux leviers  d'un côté du mécanisme d'exploration, mais  les quatre séries de leviers ont un certain  rôle commun pour l'entrée de ce qu'on peut  appeler les valeurs 5 avancée et 5 retardée.  C'est ainsi, par exemple, que le premier et le  second levier, le second et le troisième, et le  troisième et le quatrième coopèrent. pour l'en  trée de leur     valeur.    En d'autres mots, les le  viers des positions extérieures ont un simple       ljut    qui est d'assurer l'entrée des valeurs  avancées ou des valeurs retardées, tandis que  les deux séries de broches centrales ou inter  médiaires ont une double fonction en coopé  rant avec deux séries de broches détectrices.

           Bâti.     Le mécanisme de la machine est     supporté     par une base sur laquelle sont fixés deux ca  dres latéraux 26, 27     (fig.    4) qui supportent  la. majorité des parties actives.  



  Un certain nombre d'entretoises sont. pré  vues dans l'espace compris entre les deux ca  dres latéraux 26 et 27, en particulier deux  pièces de fonderie principales 28 et 29     (fig.    6  et 7) constituant des supports pour la. plu  part des rouleaux d'avance inférieurs. Une  autre entretoise constituée par une barre 3 3       (fig.    1) sert à supporter les éléments magné  tiques des mécanismes     d'embrayage.    Près de  l'extrémité avant des cadres est fixée une  traverse 35     (fig.    1) qui supporte les pièces  de contact des interrupteurs.  



  Deux éléments pivotants sont équilibrés  au-dessus des mécanismes d'entraînement,  l'un portant. la plus grande partie du méca  nisme d'exploration et l'autre portant le tam  bour récepteur et la trémie. Ces deux élé  ments pivotants sont disposés de telle ma  nière que le     premier    soit rabattu sous le se  cond. Quand ils sont basculés tous     deux    dans  la position ouverte, ils permettent ].'accès à  l'intérieur des mécanismes d'avance des cartes  pour le réglage, les remplacements et les ré  parations. Quand les parties sont remises dans  la position normale de fonctionnement, le ca  dre du mécanisme d'exploration est abaissé le      premier, et ensuite le cadre du dispositif ré  cepteur pivote sur le premier cadre et se  trouvé verrouillé dans une position inclinée  normale.  



  Le cadre du mécanisme d'exploration com  prend deux lourds cadres latéraux 38 et 39  (fi-, 2 et 5) pivotant sur des goujons 40 fai  sant saillie à. l'extérieur des cadres principaux  26 et 27. Des goujons 42 sont fixés aux extré  mités des cadres 38 et 39, et des ressorts puis  sants 43 fixés à ces goujons tendent à faire  pivoter le cadre du mécanisme d'exploration  dans le     sens    des aiguilles d'une montre       (fig.    2) dans la position ouverte. Ces ressorts  43 ne sont pas suffisamment, forts polir sou  lever le mécanisme d'exploration, ils agissent  simplement à la manière de contrepoids pour  empêcher la chute     br        lisqll.e    du mécanisme  d'exploration.

   Ces ressorts sont fixés à des  goujons 44 faisant saillie aux extrémités fron  tales desdits cadres 26 et 27.  



  Le mécanisme d'exploration dans son en  semble est isolé dit reste de la machine par  des moyens de fixation spéciaux entre les le  viers 38 et 39 et le reste de ce mécanisme.  s'étendant sur le mécanisme d'avance des  cartes. Ces     moyens    de fixation comprennent  des rivets 46     (fig.    8 et 12) qui sont complète  ment entourés par des douilles et des ron  delles isolantes 47 pour maintenir les cadres  latéraux auxiliaires 49 et 50     (fig.    2 et 5) sur  les cadres pivotants principaux 38 et 39.

   Dans  le plan de contact entre les cadres 38 et 49 et  39 et 50,     oii    le contact se fait ordinairement  métal sur métal, des feuilles isolantes 52       (fig.    12) et 53     (fig.    8) sont interposées pour  éviter toute conduction électrique entre le mé  canisme d'exploration et le reste de la ma  chine.  



  Il est suffisant de noter ici que les cadres  pivotants du mécanisme d'exploration portent  tout le mécanisme se trouvant directement  au-dessus de la carte, c'est-à-dire les broches  détectrices, les leviers de     contact    coopérant  avec lesdites broches, et les plateaux de con  tact sur lesquels viennent contacter les leviers  de contact.     Quand    l'élément portant le méca  nisme d'exploration est levé, il permet l'accès    direct aux cartes, et la. carie qui     eirrlile    ainsi  que les rouleaux d'avance supérieurs et infé  rieurs sont     suffisamment    dégagés pour que  tout dérangement concernant la carte ou les  dispositifs d'avance puisse être observé et  corrigé sans démonter aucune partie.  



  Une,     grosse    pièce de fonderie 55 (fi-.     _7)     s'étend entre les leviers pivotants 38 et. 39,  inclinée d'un angle d'environ 20  sur la verti  cale pour former une paroi du magasin 11.  Au-dessous de cette pièce 55 est prévue une  barre 56 limitant une fente     réglable    à tra  vers laquelle les cartes passent une à une  quand elles sont chassées de dessous la pile  disposée dans le     magasin.     



  Le dispositif récepteur de cartes est sup  porté par un cadre séparé fixé aux cadres la  téraux principaux 26 et 27. On voit sur les       fig.    2 et 5 que les plateaux latéraux 58 et 59  du dispositif récepteur sont fixés à. l'extré  mité arrière des cadres latéraux     principaux     par une série de vis 60. Des manchons 61 et  62 faisant saillie à     l'extérieur    des plateaux 58  et 59     (fig.    9) constituent des paliers de pivo  tement pour l'arbre 63 du tambour récepteur  sur lequel pivote le cadre destiné à. recevoir  la pile de cartes.

   Directement à l'intérieur des  plateaux 58 et. 59 sont prévus deux plateaux  65     (fig.    5) et 66     (fig.    2) montés à. pivotement  sur les douilles de l'arbre 63 et pouvant tour  ner autour de cet. axe.  



  Des pièces de distance 67 et 68     (fig.   <B>9)</B>  sont fixées sur les faces internes des plateau  pivotants 65 et 66, et à     l'intérieur    entre ces  pièces sont fixées les coulisses à. rainures<B>69</B>       (fig.    5) et 70     (fig.    2), dans lesquelles se dé  place le poids 71. Ce dernier s'appuie contre  la face droite (fi-. 2) des cartes qui s'empi  lent, avançant lentement vers la droite quand  la pile augmente le long du plan incliné dé  fini par les rainures des coulisses 69 et 70.  Un plateau de base 73     (fig.    2) est fixé à la  partie inférieure des coulisses 69 et 70 pour  soutenir les bords inférieurs des cartes empi  lées.

   Une traverse 74     (fig.    6) est. fixée à, la  partie inférieure gauche de ce plateau de  base et aussi aux plateaux latéraux 65 et 66       polir    renforcer toute la structure.      <I>Mécanisme</I>     d'eiz.traïnenirnt.     



  La roue dentée 110     (fig.    3), entraînée par  l'arbre 109 d'avance des cartes, engrène avec  la roue dentée principale 111 fixée sur l'arbre       d'entraînement,    principal 112. Une roue den  tée de transmission 113 montée sur l'arbre  112 sur la face interne du cadre latéral droit.  26 engrène avec une roue dentée folle 114 pi  votant sur un boulon 115 fixé au cadre 26.  La roue dentée 114 engrène aussi avec une  autre roue dentée 116 fixée sur un arbre  d'entraînement secondaire 117 près de la face  interne du cadre 26. L'arbre 117 tourne libre  ment dans le cadre latéral principal et se pro  longe au-delà du cadre latéral gauche 27 où  il porte une série de' trois cames 118, 119 et  120 actionnant des interrupteurs.  



  Un tambour d'embrayage 125 est monté  librement sur l'arbre secondaire 117 et il est  relié à cet arbre chaque fois qu'une barrière  doit être actionnée pour libérer une carte en  registreuse pour permettre son avance, ladite  carte étant. à ce moment dans la seconde sta  tion de détection L après que la détection  s'est faite. En d'autres mots, toutes les fois  qu'une carte     enregistreuse    est libérée pour  passer dans le dispositif récepteur, non seule  ment la barrière est abaissée pour permettre  son avance, mais des connexions par engre  nages sont établies par le     même    embrayage  pour déclencher le mouvement du tambour  récepteur qui doit recueillir la carte, comme  on va le voir.  



  Une roue dentée 126     (fig.    3) portée par  le tambour d'embrayage 125 engrène avec  une autre roue dentée 127 fixée sur l'arbre  128 du dispositif récepteur, qui s'étend à tra  vers la machine et. se prolonge à l'extérieur  du cadre latéral droit 26. Une roue dentée  129 fixée à l'extrémité de l'arbre 128 en     i:rène     avec une roue dentée folle 130 solidaire d'une  plus petite roue 131, ces deux roues pivotant  librement sur un boulon 132 faisant saillie à  l'extérieur du cadre latéral droit 26.

   Une roue  dentée 134 (voir aussi     fig.    5) fixée à     l'extré-          ïnité    droite     (le    l'arbre 63 du tambour récep  teur     engrène    avec la petite roue 131, l'arbre  63 pivotant dans les plateaux latéraux 58 et    59 du dispositif récepteur. Au moyen des con  nexions d'entraînement déjà indiquées, le tam  bour récepteur<I>SD</I> tourne dans le sens des  aiguilles d'une montre     (fig.    2 et 6), de     ma-          tiière    à saisir une carte et à la déposer sur le  plateau récepteur à chaque révolution du  tambour d'embrayage 125.  



  Il a été dit précédemment comment l'arbre  d'entraînement principal 112 est actionné de  puis un dispositif moteur extérieur représenté  ici par la roue dentée 110, et par l'intermé  diaire de la roue dentée d'entraînement, prin  cipale 111. L'arbre 112 porte un tambour  d'embrayage 140 qui remplit quatre buts       1     il ouvre la barrière qui arrête la carte en  registreuse sous la première station d'explo  ration     Tr    (de même que le tambour d'em  brayage 125 sert à commander les opérations  en connexion avec la seconde barrière de la  station d'exploration L) ; 2  au moyen de deux  cames complémentaires 142, 143     (fig.    3), il  actionne le couteau produisant. l'avance des  cartes enregistreuses une à une hors du ma  gasin;

   3  au moyen d'une autre came, il com  mande un levier de carte, comme il sera vu  plus loin, et 4  au moyen d'une roue dentée       1.44    il actionne un arbre 150 commandant des  interrupteurs. Cette roue dentée est proche  de la face interne du cadre latéral gauche 27  et engrène avec une grande roue dentée 146  folle, reliée à une plus petite roue 147 par  un moyeu monté librement sur un boulon 148  fixé au cadre 27. La roue dentée     1-17    engrène  avec une roue dentée 149 fixée sur l'arbre 150  s'étendant entre les cadres latéraux princi  paux et portant des dispositifs à came pour  commander l'ouverture et la. fermeture des  contacts PC utilisés pour régler les condi  tions de fonctionnement générales de la ma  chine.  



  Il a été noté précédemment que les deux  tambours d'embrayage 140 et 125 sont montés  respectivement sur l'arbre d'entraînement  frontal et sur l'arbre d'entraînement arrière,  clans le but d'actionner les deux barrières  pour régler l'avance de la carte portant. l'en  registrement. Il est prévu deux autres tam  bours d'embrayage montés librement sur ces      mêmes arbres, dans le but d'élever et d'abais  ser les dispositifs de support des broches. Un  tambour d'embrayage 153 est monté libre  ment sur l'arbre d'entraînement principal  112 et porte une came 154 qui agit chaque  fois que l'embrayage est actionné pour lever  et abaisser le support des broches équilibré  au-dessus de la carte dans la. première station  d'exploration U.

   L'autre tambour d'embrayage  ,156 est     monté    librement sur l'arbre d'entraî  nement secondaire 117 et porte -une came 157  qui actionne des dispositifs pour lever et  abaisser le support de broches coopérant avec  la carte enregistreuse placée dans la seconde  station d'exploration L.  



  Deux cames complémentaires 162 et 163       (fig.    3) sont fixées sur l'arbre principal 112  juste à l'extérieur de la face externe du ca  dre latéral principal 26 et près de la roue  ,dentée     d'entraînement    principale 111. Ces  deux cames sont utilisées pour déplacer un  cadre qui porte les leviers de contact des bro  ches, leviers qui sont susceptibles d'être dé  placés horizontalement en avant et en arrière  ;pour explorer les têtes des broches levées et  abaissées coopérant avec les cartes perforées.

           Entraînement   <I>des</I> rouleaux     d'avance.       La     fig.    4 est un plan montrant schémati  quement les connexions d'entraînement prin  cipales des rouleaux d'avance destinés à pro  duire l'avance des cartes une à une de droite  à gauche, du magasin au dispositif récepteur.  La connexion principale est assurée par un  engrenage composé comprenant les roues  dentées 165 et 166     (fig.    4) reliées par un  moyeu 167 monté librement sur un goujon  168 faisant saillie à l'extérieur du cadre 26.  L'engrenage composé est monté fou entre la  roue dentée d'entraînement principale 111  qui engrène avec la roue 165 et deux pignons  d'entraînement 170 et 171 qui engrènent avec  l'autre roue 166.

   Le pignon 170 porte les con  nexions     d'entraînement    du rouleau d'avance  supérieur préliminaire, tandis que l'autre pi  gnon 171 assure la transmission du mouve  ment     vers    la gauche au moyen d'une série de    rouleaux d'avance successifs conduisant au  dispositif récepteur.  



  Si l'on considère d'abord les rouleaux  d'avance associés à la carte quand elle quitte  le     magasin,    on voit que le pignon 170 relié à  une autre roue dentée 172     (fig.    4) est monté  sur l'arbre 173 qui porte la première paire  de rouleaux     d'avance-Ï74    et 175 qui     engagent     la surface inférieure de la carte quand celle-ci  sort du magasin. Cet arbre 173 est monté  dans des paliers fixes prévus dans les cadres  latéraux principaux 26 et 27, et deux rou  leaux supérieurs 176 et 177 coopérant avec  les rouleaux 174 et 175 sont montés sur un  arbre 178 monté lui-même aux extrémités des  bras 179 et 180 pivotant. en 181 et 182 sur  des goujons fixés respectivement sur les ca  dres latéraux 26 et 27.

   Deux ressorts 183 fixés  aux extrémités des     bras    179 et 180 tendent à  faire tourner les bras vers le bas, de sorte  que les rouleaux d'avance<B>176</B> et 177 sont  forcés contre les rouleaux 174 et 175 pour  maintenir la carte entre les deux séries de  rouleaux. Les ressorts servent aussi à faire  tourner l'arbre 178, de façon qu'une roue  dentée 184 sur l'extrémité droite de l'arbre  178 soit maintenue en engrènement avec la  roue dentée 172 fixée sur l'autre arbre  d'avance 173.

   Les rouleaux mentionnés     ci-          dessus    coopèrent avec chaque carte qui sort,  dès qu'elle passe au-delà de la gorge dans le  magasin, et servent à faire avancer la carte  jusqu'à la première paire de rouleaux  d'avance où la carte est. simplement sollicitée  vers la première barrière, contre laquelle elle  est simplement maintenue, par le contact à.  friction entre les rouleaux d'avance, plutôt  que     soumise    à un entraînement serré tel que       celui        exercé    par les rouleaux 174 à 177.  



  Quand la carte a quitté le magasin et la  première série de rouleaux associée à celui-ci,  elle avance successivement à travers six séries  de rouleaux avant d'être pincée sur le tam  bour récepteur. Chacun de ces six dispositifs  d'avance comprend une paire de rouleaux  inférieurs qui sont entraînés et une paire de  rouleaux supérieurs maintenus par ressort  contre les     rouleaux    inférieurs. Les six séries      de rouleaux inférieurs sont entraînées succes  sivement par des roues dentées folles entre  les divers arbres, l'entraînement commençant  à l'extrémité avant par l'intermédiaire de la  roue dentée 166 qui     engrène    avec un pignon  <B>171</B> fixé sur un arbre 190 portant la première  paire de rouleaux     inférieurs    191 et 192.

   Cet  arbre 190 (fi-.     4.)    et les autres arbres l93,  194, 195, 196 et 197 pivotent, tous librement  dans des paliers prévus dans les deux cadres  latéraux principaux 26 et. 27 et se prolongent       au-delà    du cadre gauche 27, et portent des  pignons destinés à recevoir le mouvement,  d'entraînement, communiqué par les roues  dentées folles.

   Débutant par le pignon 199  fixé sur     l'extrémité    gauche de l'arbre 190, le  mouvement d'entraînement. se poursuit     succes-          sivement    jusqu'aux arbres des rouleaux       d'avance    au moyen des liaisons comprenant  une roue dentée folle 200, un pignon 201 fixé  sur l'arbre 193, une roue dentée folle 202,  un     pignon    203 fixé sur l'arbre 194, une roue  dentée folle 204, un pignon 205 fixé sur l'ar  bre 195, une roue dentée folle 206, un pignon  207 fixé sur l'arbre 196, une roue dentée  folle 208 et finalement le pignon 209 fixé à  l'extrémité du dernier arbre 197 des rouleaux  d'avance.

   Les roues dentées folles 200, 202,       20-1,    206 et 208 sont toutes montées sur des  goujons fixés au cadre latéral gauche 27.    Comme chaque arbre des rouleaux d'avance       comporte    une paire de rouleaux d'entraîne  ment     inférieurs,    il est utile d'identifier sépa  rément. ces rouleaux. Les rouleaux 211 et 212  sont sur l'arbre<B>193,</B> les rouleaux 213 et 214  sur l'arbre 194, les rouleaux 215 et 216 sur  l'arbre 195, les rouleaux 217 et 218 sur l'arbre  196 et les derniers rouleaux 219 et 220 sont  fixés sur l'arbre 197.    Il est entendu que la carte passe sur les  six paires des rouleaux entraînés, représentés  sur la     fig.    4, ces rouleaux soutenant les  marges des cartes parallèles aux deux extré  mités de celles-ci.

   Un rouleau plus petit co  opère avec chacun des douze rouleaux indi  qués et il s'appuie sur la surface supérieure  de la carte pour pincer légèrement la surface    marginale des cartes entre lui et le rouleau  entraîné.  



  Chacun. de ces rouleaux supérieurs est sol  licité par un petit ressort 228     (fig.    6) fixé à  un bras 223 (voir aussi     fig.    11)     qui    porte le  rouleau, et il exerce une légère pression pour  tirer vers le bas le petit rouleau supérieur  qui vient en contact avec la carte ou le rou  leau inférieur, établissant une connexion d'en  traînement par friction qui tend à faire avan  cer la carte, mais n'exerce pas une force  appréciable sur une carte qui est arrêtée par  une barrière.

           3lagasin   <I>des</I>     cartes   <I>et</I>     mécanismes        chasseurs.     La pile des cartes enregistreuses qui doi  vent être analysées est placée dans le maga  sin, et les cartes sont chassées une à une de  puis le bas de la pile et envoyées entre les  rouleaux d'avance. Les cartes sont placées  dans la pile la face en bas, la partie infé  rieure du groupe      .t1     des données étant en  tête et la première colonne étant à droite  quand on regarde le mécanisme d'avance de  puis le magasin.  



  On a vu déjà que le magasin comprend  une paroi frontale ou un plateau 55 incliné  d'un certain angle pour déterminer les posi  tions de départ du bord frontal des cartes  dans le magasin. La partie inférieure du ma  gasin comprend une grande pièce de fonderie  236     (fig.    7) qui traverse la machine entre  les cadres latéraux principaux 26 et 27 et  qui est fixée à ces derniers par un certain  nombre de vis.  



  Deux guides sont fixés au sommet de la  pièce 236 et comportent des rainures en queue  d'aronde recevant les coulisseaux 243 portant  le cadre du couteau chasseur, comme repré  senté sur les     fig.    7 et 9. Le couteau chasseur  245 est fixé d'une manière réglable sur un  bloc 246 comportant une tige 247 qui se pro  longe dans le coulisseau 243. Une vis d'arrêt  vissée dans le coulisseau 243 verrouille la tige  247 dans la position voulue par rapport au  coulisseau. Le fond du magasin n'est pas pa  rallèle à la base de la machine, mais est incliné      d'un angle de 20  pour former un angle de  90  avec la paroi frontale du magasin.  



  On voit sur la     fig.    7 que les coulisseaux  243 comportent à leur bord inférieur une  série de dents de crémaillère qui s'engagent  avec un secteur 265 correspondant fixé sur  l'arbre 266. Les bras 265 des deux secteurs  sont fixés sur un arbre 266, de manière que  les dents des secteurs coopèrent avec les dents       clés    crémaillères du côté inférieur des deux  coulisseaux 243.

   Un bras de     commande    270       (fig.    1) est fixé sur un prolongement de  l'arbre 266, et     sur    ce bras pivote une bielle  271 s'étendant vers l'arrière e% dont l'autre  extrémité est reliée par un pivot 272 au bras  supérieur d'un levier 273 pivotant sur un  arbre 274 et pourvu de deux galets<B>275</B> et 276  coopérant avec les deux cames complémen  taires 142 et 143 qui, comme on l'a vu, sont,  montées sur le tambour d'embrayage 140.

    Chaque fois que l'embrayage est. engagé pour  ouvrir la première barrière et permettre  l'avance des cartes, les cames sont mises en  rotation et le levier 273 tourne dans le sens  des aiguilles d'une montre, poussant la bielle  <B><U>971</U></B> et faisant. tourner les deux secteurs 265  en sens inverse des aiguilles d'une montre  pour faire avancer les coulisseaux 243 et les  couteaux 245 associés, pour chasser la carte  inférieure et la faire avancer à travers la  fente de sortie; la carte est prise alors dans  la première série de     rouleaux    d'avance     17-1    à.  177.  



  La fente est une ouverture étroite à. tra  vers laquelle une seule carte seulement peut  passer à la fois. Cette ouverture est limitée  par le plateau réglable 56 déjà mentionné et  par un galet. 279     (fig.    7) dont le centre est  dans l'alignement de la paroi intérieure dé  finie par le plateau 56. Le plateau 56 est fixé  sur une traverse 280 qui est indépendante de  la pièce 55 formant paroi frontale et qui est  amovible, de sorte que si des cartes sont coin  cées dans la fente, le plateau et la barre 280  sont facilement retirés en enlevant les vis sur  les cadres latéraux fixes 26 et 27.  



  Le rouleau 279 (fi-. 7) qui définit le fond  de la fente pivote sur un plateau 281 guidé    par deux nervures 282     (fig.    9) sur la face  supérieure de la pièce de fonderie 236 du ma  gasin et fixées à cette dernière d'une manière  réglable par un dispositif à vis et à fente 283.  



  Il est prévu un guide     supérieur.285    pour  les cartes     (fig.    7) associé aux premiers rou  leaux d'avance supérieurs 176 et 177 que la  carte rencontre     quand    elle quitte le magasin.  Ce guide comprend une partie verticale supé  rieure qui est     fixée,à    la traverse 280. Le guide  285 est découpé pour laisser la place aux rou  leaux d'avance supérieurs, et il s'incurve  vers le bas selon le trajet que la carte doit.  suivre et qui l'amène de sa position inclinée  de 20  sur l'horizontale à. la position horizon  tale qu'elle garde en     passant.    dans le méca  nisme d'exploration.  



  Il est     prévit    un autre guide 286 pour     les     cartes, déterminant la partie inférieure de la  trajectoire incurvée de la carte entre le ma  gasin et la première station     d'exploration.    Ce  guide 286 est. découpé pour laisser passer les  rouleaux d'avance     inférieurs        17-1    et 175 et  comprend une partie verticale fixée à la paroi  287 constituant, une partie de la. pièce de fon  derie principale 236.  



  Un levier de carte constitué par un     long     levier 298     (fig.    2 et 7) est fixé sur l'arbre     299     et comporte un sabot supérieur 300     passant     dans une ouverture prévue dans le guide de  carte inférieur. Le levier 298 est maintenu  normalement dans une position telle que le  sabot 300 soit hors du trajet de la carte.

   Cha  que fois que la machine fonctionne cependant,  une came 250     (fig.    2) sur le tambour d'em  brayage 140     permet    le mouvement du levier  298 en sens inverse des aiguilles d'une mon  tre, le levier étant projeté vers le haut à tra  vers le guide 286 à moins qu'il en soit     empê-          ehé    par une carte passant entre le magasin et  la première station d'exploration. L'arbre 299  se prolonge à l'extérieur     dit    cadre gauche<B>'27</B>       (fig.    2) et porte un bras 251 qui maintient  normalement fermé un contact 252.

   Chaque  fois que le levier ne rencontre pas de carte  quand la machine fonctionne, son mouvement,  produit l'ouverture du contact. 252 qui en  traîne l'arrêt de la machine.           Arrêts   <I>des cartes.</I>  



  Un arrêt de carte est associé à chaque sta  tion d'exploration pour arrêter la carte dans  la position voulue pour son analyse par les  broches     détectriees.    Il v a donc deux méca  nismes d'arrêt, un pour la station     17    et l'autre  pour la station L. Ils sont semblables quant. à.  leur construction et leur fonctionnement, et  la description du premier mécanisme associé à  la station     T?    s'applique aussi au second mé  canisme de la station L, les     deivz    mécanismes  étant représentés sur les fi-. 6 et 7 par leurs       traverses    ou barrières, la première étant dé  signée par 310 et la seconde par 311.  



  Les deux mécanismes d'arrêt forment cha  cun un ensemble monté sur des pièces de fon  derie     séparées    312     (fig.    7) logées entre les ca  dres latéraux principaux 26 et 27, fixées à ces  derniers et formant une espèce de panier pour  tenir les goujons et les arbres destinés au  fonctionnement des barrières 310 et 311, pour  lever et. abaisser ces barrières à l'instant  voulu et arrêter et libérer les cartes. Ces piè  ces (le fonderie. servent. aussi à supporter des  plateaux 315 et 316     (fig.    6, 7 et 9) sur les  quels reposent les cartes quand elles sont  analysées dans les deux stations d'exploration.  On voit sur la     fig.    7 que le plateau 315 est.

    logé dans la station d'exploration     T'    et qu'il  comporte la série complète de perforations,  sous forme de trous circulaires, correspon  dant, à toutes les broches des positions indica  trices de la carte dans les trois groupes de  données. Le plateau s'élargit en 317     (fig.    9)  pour loger une colonne supplémentaire de per  forations à l'extérieur du champ des posi  tions indicatrices régulières correspondant. à  la carte. Ces perforations supplémentaires en  317 sont prévues simplement pour détecter la  présence ou l'absence d'une carte, et la carte  n'est. jamais perforée à cet endroit. L'autre  plateau 316 est construit de la même ma  nière, avec un prolongement 318 comportant  une série supplémentaire de perforations  dans un but. de contrôle seulement.  



  Si l'on considère la construction de la     pre-          inière    pièce de fonderie 312     (fig.    7 et 12) et.  du     mécanisme    qu'elle porte, similaire à celui    de la seconde station, on voit que la pièce se  présente en coupe sous forme d'un<B>U</B> allongé       (fig.    7). Quand on voit la pièce dans l'autre  direction sur la     fig.    12, on remarque qu'entre  les cadres latéraux principaux la pièce 312  présente une section allongée 321 en forme de  <B>U</B> renversé d'où s'élèvent trois nervures, dont  deux seulement, 324 et 326, sont visibles sur  la     fig.    12.

   Ces nervures sont coupées pour  laisser la place aux arbres 190 et 193 des rou  leaux d'avance inférieurs, mais en d'autres  endroits elles s'élèvent directement sous le  plateau 315     (fig.    7) pour supporter la carte  dans la position d'exploration.  



  On voit sur les     fig.    6 et 9 que les pièces  de fonderie 310 et 311 comportent chacune  deux oreilles 329 s'étendant en avant et ser  vant de paliers. Des boulons 330 constituent  des pivots pour une paire de bras 331 por  tant une traverse ou barrière 311. Celle-ci       s'étend    transversalement sur la plus grande  partie de la largeur dit mécanisme d'explora  tion et comporte à ses extrémités deux parties  courbées à angle droit sur la partie allongée,  lesdites extrémités comportant un pivot 334  et s'étendant vers le bas en un bras 335 dont  l'extrémité est articulée en 336 sur l'extré  mité d'un bras de commande 337 fixé sur un  arbre 338. La vue latérale montre que cette  construction permet de lever et d'abaisser la  barrière 311 selon une trajectoire presque  verticale.

   Ce mouvement. est obtenu parce que  les centres fixes 330 et 338 sont sur les côtés  opposés et presque au même niveau que les  centres mobiles 334 et 336 respectivement. Un  ressort (non représenté) disposé entre le bras  337 et une goupille fixée à la. pièce de fon  derie de support tend à faire tourner le bras  337 dans le sens des aiguilles d'une montre  sur l'arbre 338. Par l'intermédiaire du pivot  336, le ressort tend aussi à faire monter le  prolongement 335 de la barrière 311 qui est  guidé en outre par le pivot libre 334 à. l'extré  mité du bras 331 pivotant en 330.

   La com  mande pour abaisser la barrière se fait au       moyen    d'un bras 342     commandé    par came       (fig.    6 et 7) et portant un galet 343 qui re  pose sur la came 141 de commande de la bar-           rière        (fig.    3) montée sur l'un des     tambours          d'embravage    commandés     m.agnétiquement.     



  Le bras de commande 342 (fi-. 7) s'étend  à travers la pièce de fonderie 312, supporté  par les branches de la section 321 en  forme de<B>U</B> renversé. L'arbre 338 est main  tenu en place par deux colliers 345 et 316       (fig.    12). Les bras 357     (fig.    7) sont fixés sur  l'arbre près de ses extrémités et portent les  deux extrémités de la barrière. Près de l'ex  trémité gauche de l'arbre 338 est fixé le bras  de commande 342 dont le galet 343 repose sur  la came 141     (fig.    3).

   Le profil de la came       1-11    est tel que, dans la première partie de  chaque cycle, la. barrière est. libre de s'élever  sous l'action d'un certain nombre de ressorts  (non représentés) et agit ainsi comme un  arrêt en s'engageant avec le bord avant d'une  carte en mouvement pour maintenir celle-ci  en position d'exploration. Quand l'opération  d'exploration est     achevée,    une saillie sur la  carne 141 déplace le galet 343 et fait tourner  l'arbre 342     (fig.    7) en sens inverse des  aiguilles d'une montre, ce qui     abaisse    les deux  bras articulés 331 et 337 et, par conséquent,  la barrière 310 contre l'action de ses ressorts.

    La carte peut alors s'échapper sous l'action  des rouleaux d'avance à friction et avancer       jusque    dans la seconde station d'exploration  où un mécanisme semblable pour la com  mande de la barrière 311 est actionné chrono  logiquement pour maintenir d'abord, puis  pour libérer la carte pendant et après les opé  rations d'exploration.  



       Embrayages        comnmndés        ?ftagnétiqice@iterit.     Le mécanisme actionnant les barrières  étant commandé par un embrayage magné  tique, il est utile maintenant d'envisager le  fonctionnement d'un tel embrayage. Comme  il a été dit précédemment, il est prévu quatre  embrayages (fis. 3) pour commander les opé  rations des deux barrières et des deux méca  nismes soulevant et abaissant les broches dé  tectrices. Les tambours d'embrayage 140 et  125 commandent     respectivement    les méca  nismes frontal et arrière actionnant les bar  rières, tandis que les tambours<B>153</B> et 156         commandent    respectivement. les mécanismes  frontal et arrière     actionnant    les broches.

    



  Les mécanismes d'embrayage     magnétiques     étant semblables quant à leur construction et  leur fonctionnement, il suffit de décrire celui  qui est associé au mécanisme frontal action  nant la barrière, la description s'appliquant  aux trois autres embrayages. Les quatre dis  positifs d'embrayage se différencient par la  désignation des électro-aimants de commande:  les électro-aimants<I>FG</I> et     RG    se rapportent       respectivement    au mécanisme frontal et au  mécanisme arrière actionnant les barrières, et,  les électro-aimants     FP    et     RP    au mécanisme  frontal et au     mécanisme    arrière actionnant  les broches.  



  Un cadre 350     (fig.    1) est filé sur la tra  verse 33 et comprend     deux    parois latérales  entre lesquelles s'étend un arbre 353. Cet  arbre porte les éléments de déclenchement. et  de retour de l'embrayage -qui est commandé  par     l'électro-aimant    FG monté sur une con  sole 356. Un goujon 357 constitue un pivot  pour une armature 358 s'étendant vers le  haut tout au long de l'électro-aimant FG, l'ar  mature étant influencée quand l'électro  aimant est excité on désexcité.  



  Une pièce d'arrêt 359 est. prévue le     longs     de     l'armature    et limite le mouvement dans la  position de désexcitation. L'extrémité de l'ar  mature 358 est dans la trajectoire d'un épau  lement 360 à. l'extrémité d'un levier de dé  clenchement 361 qui pivote sur l'arbre 353  et comporte à son extrémité frontale un     ero-          ehet    362 s'engageant. normalement avec un  court prolongement d'un cliquet d'embrayage  363 qui pivote en 364 sur un plateau 365 fixé       an    tambour d'embrayage 140.

   Le plateau 365       comprend    un     prolongement    366 portant un   goujon auquel est. fixé un ressort 367 atta  ché également à l'extrémité du cliquet 363  et tendant à faire tourner ce dernier de ma  nière qu'il s'engage avec un disque     d'entrai-          nement    à une seule dent 368 fixé sur l'arbre  112. Le cliquet 363 est maintenu     normalement     engagé avec le levier 361, et l'arbre 11'?  tourne sans entraîner le tambour d'embrayage.

    Quand cependant     l'électro-aimant        FG    est      excité, l'armature 358 tourne dans le sens des  aiguilles d'une montre et se dégage de l'épau  lement 360 du levier 361; ce levier peut alors  tourner dans le sens des aiguilles d'une mon  tre autour de l'arbre 353, sous l'action d'un  ressort (non représenté). Le crochet 362 libère  le     .cliquet    363, de sorte que ce dernier peut.  tourner en sens inverse des aiguilles d'une  montre sous l'action du ressort 367 et venir  s'engager avec le disque à une dent 368, re  liant ainsi le tambour d'embrayage 140 à l'ar  bre 112, le cliquet étant entraîné avec les  cames sur un tour seulement.  



  Des moyens sont. prévus     pour    limiter la.  rotation à un seul tour. Sur l'arbre 353 sont  montés deux bras. L'un de ces bras, 373, est  disposé le long du levier de libération 361 et  comprend un prolongement décalé 374 qui  chevauche la partie supérieure du levier 361  pour lui communiquer un mouvement de re  tour vers le bas.

   L'autre bras monté sur l'ar  bre 353 est le bras 375 s'étendant vers le bas  et portant un galet 376 qui s'engage avec une  came de retour 377 qui sert à faire tourner  le bras 375 en sens inverse des aiguilles d'une  montre autour du pivot 353, de sorte que le  ressort 379 fixé au bras 375 tire vers le bas  le bras 373 qui, par suite de la position du  prolongement     37-1,    exerce une     action    similaire  vers le bas sur le levier d'embrayage 361, de       facson    que son crochet 362 soit dans la. trajec  toire du court prolongement sur le cliquet  363 pour arrêter ce dernier à la fin d'un cy  cle. Les dimensions du bras 373 sont telles  que son extrémité maintient un prolonge  ment 380 du plateau 365 en ligne avec le  court prolongement du cliquet 363.

   Quand le  tambour d'embrayage arrive dans la position  d'arrêt déterminée par le crochet 362, l'extré  mité du bras 373 tombe derrière le prolonge  ment 380 et prévient le rebondissement.  



  Le levier 375 coopère avec la came 377  sous l'effet. d'un faible ressort. 382 qui est  fixé sur un bras court 383 dudit levier. Ce       ressort    382 ne doit pas être confondu avec le  ressort 379 plus puissant qui est normale  ment détendu et qui se tend pour assurer le  débrayage.    Un levier coudé 385 est associé avec les  extrémités de l'armature 358 et de l'épaule  ment 360 du levier d'embrayage<B>361,</B> ce levier  385 tournant dans le sens des aiguilles d'une  montre pour dégager     l'armature    d'une ma  nière positive de l'électro-aimant depuis l'ins  tant où le levier d'embrayage est ramené dans  sa position normale.

   Ce mouvement se fait  pour     assurer    la position de verrouillage  appropriée de l'armature et pour surmonter  tout     magnétisme    rémanent tendant à mainte  nir cette armature dans la position de fonc  tionnement.  



  Il est. prévu un long rail de     guidage    390       (fig.    11 et 12) proche du cadre latéral droit  26 et fixé à ce dernier. Ce rail. sert de     guide     à la carte, le bord latéral droit de celle-ci  étant maintenu dans une rainure prévue le  long de ce rail par les rouleaux supérieurs à  friction, qui sont inclinés vers le rail.    <I>Cadre</I>     d'exploration        mobile.     



  Il a été dit au début de la présente des  cription que des bras 38 et 39 portant le mé  canisme d'exploration comme un élément à  charnière sont montés à pivot sur les goujons  40     (fig.    2 et 5) faisant saillie des cadres laté  raux principaux 26 et 27. Les     fig.    2 et 5 mon  trent que ces bras 38 et 39 ne se     prolongent.     pas très loin en avant. et qu'ils sont. reliés  d'une manière isolante aux deux plateaux 49  et 50, comme décrit précédemment, un grand  cadre ou pièce de fonderie principale 395  étant fixé à ces plateau: et supportant tou  tes les parties utilisées pour l'exploration et  l'analyse. Le plateau 50 est. fixé au bras 39  par des rivets 46 et le cadre 395 est fixé sur  le même plateau par de gros boulons 396.

   De  l'autre côté     (fig,    5), le cadre est fixé au bras       û8    de la même manière par le plateau 49.  



  Le cadre 395     (fig.    6 et 7) porte six séries  de broches 398 comprenant chacune 60 co  lonnes de sept. broches pour l'analyse des six  groupes de perforations dans les deux cartes  aux stations<I>U</I> et<I>L.</I> . Les broches .sont dis  posées en groupes séparés dans les deux sta  tions et leurs supports sont abaissés et soulevés  séparément pour que les broches analysent les      carte d'une manière intermittente pendant.  qu'elles sont arrêtées. Le cadre 395 porte  aussi sept. séries de leviers de contact coudés  400 qui chevauchent sur les têtes 397 des bro  ches 398 pour explorer les broches abaissées  dans des perforations et fermer ainsi des con  tacts assurant l'émission d'impulsions repré  sentatives des perforations.

   Il est prévu trois  séries de leviers 400 dans la station U avec  60 leviers par série, chaque levier coopérant  avec. les têtes d'une colonne de sept broches  correspondantes. Il est prévu quatre séries de  leviers dans la station L avec 60 leviers dans  chaque série, les deux séries extérieures de  leviers coopérant chacune avec une série cor  respondante de broches, les deux séries inté  rieures de leviers coopérant avec deux séries  correspondantes de broches pour assurer les       impulsions    se rapportant aux lectures  5 re  tardées  destinées au totalisateur.

   Le cadre  395 porte     aussi    sept séries de lames de con  tact     407,à    raison     d'-une    lame     pour    chaque  levier de contact, ces lames transmettant l'im  pulsion électrique qui est engendrée quand le  levier de contact oscille et vient en     contact;     avec elle.  



  Il est prévu une colonne supplémentaire  de broches dans le groupe B pour les stations       U    et L, ainsi     qu'un    levier et une lame supplé  mentaires destinés à coopérer avec une marge  non perforée des cartes pour détecter la pré  sence de celles-ci.  



  Avant de donner les détails de construc  tion et de fonctionnement des broches, des le  viers et. des lames de contact. du mécanisme  d'exploration, il faut examiner la forme du  cadre oscillant 395 et voir comment il peut  porter autant     d'éléments    avant. des     moLLve-          ments    différents.  



  Le cadre 395 comprend deux parois laté  rales 410 et 411     (fig.    11.) qui partent près du  magasin     ill    et vont jusqu'au tambour récep  teur<I>SD.</I> Trois traverses en forme de<B>U</B> tien  nent les parois ensemble, soit une traverse  extrême 413     (fig.    7), une traverse centrale  414 et une autre traverse extrême 415     (fig.    6).  Entre ces traverses sont ménagées deux  ouvertures à travers lesquelles les séries de    broches peuvent     atteindre,        vers    le bas, les  deux cartes dans les deux stations.  



  Quatre plateaux 416,     -117,    418 et 419       (fig.    6 et 7) sont fixés au sommet de ces tra  verses, les leviers extrêmes 400 chevauchant  ces plateaux quand ils     passent    au-delà des  séries correspondantes des têtes de broches.  



  Deux épais plateaux 421 et 422     (fig.    6  et 7) sont fixés à la base du cadre 395, le  premier comportant trois ouvertures allon  gées pour les broches dans la     station        Z%,    le  second comportant trois mêmes ouvertures  dans la station. L.

   Sur la face supérieure du  plateau 421. est fixée une mince feuille métal  lique 423     (fig.    7) comportant une série com  plète de trous ronds pour guider toutes les  broches de la. station     T".    Une mince feuille  424 destinée à guider la carte est fixée à la  partie inférieure du plateau 421, cette feuille  étant recourbée vers le haut près du guide  285 et. se prolongeant en arrière jusque vers  une feuille recourbée similaire 425     (fig.    6)  fixée au plateau 422 dans la station L. Les  deux feuilles 424 et 425 comportent une série  complète d'ouvertures à,     travers    lesquelles les  extrémités amincies 399 des broches 398 peu  vent passer librement pour s'engager avec la  surface de la. carte.

   Ces feuilles sont destinées  à guider les cartes et non à guider les broches.  Une feuille 426 fixée au sommet du plateau  422     (fig.    6) comprend une série complète (le  trous de guidage pour les broches de la sta  tion L.  



  On voit sur la fi-. 12 que deux     manchons          cylindriques    428 sont rivés sur les     eôtés    et  sous la face inférieure du plateau 421 et se  prolongent vers le bas, recevant des pistons  ou tiges de levage 429 qui sont utilisés     pow-          lever    et. abaisser les broches 398. Chaque tige  429 comprend un épaulement 430 sur lequel  est fixé un plateau de levage 431 qui com  porte trois ouvertures allongées pour les trois  séries de broches de la. station     L%.    Le plateau  de levage 431 s'étend sur toutes les broches  398 et il est. monté de     manière    à. s'abaisser et.

    se soulever, de sorte que les broches 398, dont  les têtes 397 reposent sur     Lune    mince feuille  433 fixée au sommet du plateau 431, sont      susceptibles de pénétrer dans les perforations  des cartes et peuvent être entraînées hors de  ces perforations.  



  La coupe     (fig.    12) montre que l'extrémité  inférieure clé la tige 429 est trouée pour re  cevoir une douille isolante 435 fixée sur la  tige par une goupille 436 passant dans les pa  rois de la tige et clans la partie centrale de la  douille. Cette goupille 436 fait. saillie des  deux côtés et constitue un arrêt pour un col  lier de retenue 437 sur lequel s'appuie  l'extrémité inférieure d'un ressort de com  pression 438 dont l'extrémité supérieure s'ap  puie contre la partie inférieure du manchon  428. Un plateau de friction 440 est fixé à la  partie inférieure de la douille 435 et repose  sur un galet     .441    à l'extrémité d'un bras de  commande 442 fixé sur l'arbre 443 monté à  pivot sur les cadres latéraux principaux.

   Le  ressort 438 tend à abaisser la tige 429 et à  la maintenir contre le dispositif de commande  à tout instant. Dans la position normale des  parties, les tiges sont élevées pour maintenir  le plateau 431 et les broches qu'il supporte  dans la position élevée. Comme les broches et  les leviers de contact     associés    constituent une  partie du circuit. électrique produisant les  impulsions, le cadre dans son ensemble doit  être isolé clés pièces de support et de com  mande de la machine, et c'est pour cette rai  son qu'il est. prévu la douille isolante 435 et       las    plateaux isolants pour isoler électrique  ment le cadre principal 395 des bras oscil  lants qui pivotent sur les cadres latéraux  principaux.  



  On voit sur la droite de la.     fig.    12 que  l'autre tige     -129    disposée au-dessous du côté  droit du plateau de levage 431 coopère avec  un galet 445 sur un bras 446 fixé aussi sur  l'arbre 443. Les bras     .442    et 446 sont par con  séquent reliés par l'arbre 443 et fonctionnent  ensemble pour lever et abaisser les deux tiges  429, de sorte que le plateau 431 supportant  les broches est levé et abaissé en même temps  des deux côtés. L'alignement est.     assuré    par  le guidage exercé par les longs supports cy  lindriques 428 à travers lesquels se déplacent  les tiges 429.

      Un troisième bras 448 fixé près du point  milieu de l'arbre 443 constitue la pièce de  commande et porte un galet 449 qui coopère  avec la came de commande     15-1        (fig.    3) men  tionnée précédemment,     prévue    sur le tambour  d'embrayage 153 pour la commande des dis  positifs de levage des broches de la station  frontale     T'.    Le profil de la came 154 est tel  qu'il maintient les broches levées jusqu'à ce  qu'une carte soit en repos dans la station U,  et ensuite une dépression du profil de came  permet l'abaissement du galet 449, ce qui en  traîne les deux bras 442 et     4-16    dans le sens  des aiguilles d'une montre, de sorte que les  deux tiges et toute la série des broches de la.

    station peuvent descendre sous l'action des  ressorts 438. Les extrémités     amincies    des bro  ches restent alors sur la face supérieure de la  carte enregistreuse     (fig.    13) ou se projettent  vers le bas dans les perforations de la carte       (fig.    15), et cette disposition des broches dé  termine les impulsions par l'intermédiaire des  leviers de contact coopérant avec les têtes des  broches qui assurent ou non le contact selon  qu'ils oscillent ou non.  



  La chronologie réelle de la came 154 de  levage des broches est. donnée sur le dia  gramme chronologique qui sera considéré plus  loin. On envisagera de même la chronologie  exacte des autres cames.  



  Il est prévu dans la station L un dispo  sitif pour le mouvement des broches similaire  à celui décrit pour la station U, qui en diffère  seulement par les connexions de commande.  Dans la station L     (fig.    6), un plateau de le  vage 451 similaire au plateau 431 est disposé  au-dessus de la feuille 426. Ce plateau 451  porte une mince feuille perforée 452 sur la  quelle reposent les têtes de toutes les broches  dans cette station, et la feuille est perforée  pour servir de guide supérieur pour les bro  ches. Deux tiges 453 (analogues aux tiges  429) sont fixées au plateau 451 et passent  dans les guides cylindriques 454, les tiges et.  les cylindres étant. d'une construction simi  laire aux parties correspondantes 428 et 429  de la station     ZT    et fonctionnant de la même  manière.

        Le mécanisme de commande pour les dis  positifs de levage des broches dans la station  L est un peu différent de celui de la station       L',    les connexions d'entraînement se faisant.  par l'intermédiaire d'un gros tube     :156        encer-          elant    un gros arbre 457 utilisé pour produire  l'oscillation du cadre de support des leviers  de contact. Au milieu du tube     (fig.    6 et 10)  est fixé un bras de commande 458 portant un  galet coopérant avec la lame 157     (fig.    3)  mentionnée précédemment et faisant partie  du tambour d'embrayage<B>156</B> destiné, comme  on l'a vu, à la commande des dispositifs de  levage des broches de la station arrière ou  station L.

   La chronologie de la came 157  est notée sur le diagramme chronologique       (fig.    21a), elle est semblable à celle de la came  154 actionnant les broches de l'autre station.  Le mouvement est transmis par le     tube    456 à  un bras de commande 461     (fig.    6) fixé à  l'extrémité droite du tube et à un autre bras  de commande 462     (fig.    10) fixé à l'extrémité  gauche du tube. Les deux bras 461,     46'2    por  tent des galets 463     (fig.    6) qui coopèrent  avec les extrémités inférieures des deux tiges  453 disposées au-dessous du plateau de levage  451.

   L'abaissement et le soulèvement des bro  ches dans la station L s'effectuent de la même  manière que ceux de la station     '\,    la came     15-j7     ayant un profil permettant la rotation en  sens inverse des aiguilles d'une montre des  deux bras     pour    permettre l'abaissement des  tiges et du plateau supportant les broches  après qu'une carte a été placée dans la sta  tion L. Au moment approprié, tout l'ensem  ble des broches est soulevé pour permettre  l'avance de la carte dans le dispositif récep  teur.         I7écaizisyjze   <I>de</I>     déplaceînen.t   <I>(les</I>     leviers     <I>de contact.</I>  



  Avant de décrire les moyens permettant.  de déplacer les leviers de contact 400 horizon  talement pour l'émission des impulsions chro  nologiques sous la commande des broches  abaissées, il faut considérer les différentes  positions des éléments assurant le contact, re  présentées     sur    les vues agrandies     fig.    13, 14    et 15, montrant la position des différentes  parties d'abord quand les broches 398 sont  dans la position de retrait complet ou posi  tion supérieure,     puis    dans une position qui  permet aux broches de passer à travers les  perforations, et enfin quand les leviers de  contact se déplacent horizontalement sur les       broches    abaissées.  



  Sur la     fig.    13, le levier 400 est. dans la  position normale relativement aux sept bro  ches 398 associées, qui sont levées, et on voit  que la première     broche    clé      < gauche    agit sur  un profil de came 402 du levier pour faire  tourner ce dernier     autour    du pivot 401 dans  le sens des aiguilles d'une montre, de sorte  que le bouton de contact 404 est abaissé et.  n'entre pas en contact avec la lame 407.  



  Quand les broches 398 sont abaissées en  contact avec la carte, la carte n'étant perforée  dans aucune position, les têtes des broches  ont la position représentée pour les deux pre  mières broches de la     fig.    14 et. le levier, bien  qu'ayant légèrement tourné en sens inverse  des aiguilles     d'une    montre, ne s'est. pas dé  placé suffisamment pour amener son     bouton     404 en contact, avec le     bord    inférieur de la  lame de contact 407.  



  C'est seulement quand une ou plusieurs  broches 398 passent. à. travers une perforation       (fig.    15) que les têtes 397 de ces broches sont  suffisamment abaissées pour permettre la ro  tation     phis    accentuée du levier 400 en sens  inverse des aiguilles d'une montre, le     levier     établissant le contact avec la lame de contact.  Cette disposition ne concerne pas seulement  la première broche placée directement sous le  profil de came 402 du levier 400, mais les  sept broches doivent, être détectées successive  ment, ce     qui    produit. des impulsions chrono  logiquement différentes pour commander le  mécanisme de totalisation, etc.

   Dans ce but,  le levier 400 est déplacé horizontalement vers  la droite, de sorte que le profil 402 est tiré  sur les têtes des broches successivement, de  gauche à droite. Chaque fois qu'il rencontre  une broche abaissée, le levier pivote et son.  bouton de contact 404 est soulevé suffisam  ment. pour établir le contact avec la surface      inférieure de la lame de contact 40"r et établir  un circuit qui est maintenu un instant si une  seule broche est abaissée, le contact avec la  lame 407 se répétant si la broche suivante  est abaissée.

   De cette manière, l'une quelcon  que de sept impulsions possibles est fournie       lorsque    le levier rencontre une broche abais  sée en se     dépla#,ant    vers la droite de faon       uniforme.    Nous allons voir maintenant quels  sont les moyens utilisés pour le montage et le  déplacement des leviers, de manière qu'ils       puissent    chevaucher     sur    les broches et émettre  les impulsions représentatives des positions des  broches déterminées par les perforations de  la carte.  



  Le sept séries     oti    rangées de leviers 400  sont montées sur un cadre commun pour se  déplacer ensemble, aller et retour, sur les  têtes des chevilles, chaque rangée comprenant  60 leviers, et deux leviers supplémentaires  étant prévus pour coopérer avec les broches  dans les deux     groupes         h     correspondant aux  séries supplémentaires de perforations 317 et  318     (fig.    9).  



  Le cadre de support des leviers comprend  cieux barres latérales 465 et 466 en forme de       (fig.    11 et 12). Sept peignes 467     (fig.    7)  s'étendent à travers la machine entre les deux  barres 46.5 et 466, supportant chacun une  rangée de leviers et fixés auxdites barres par  des vis 468     (fig.    12). Les peignes 467 ne ser  vent pas seulement de supports pour les le  viers, mais ils servent aussi d'entretoise et de  renforts pour l'ensemble du cadre qui doit  être déplacé pour donner aux leviers le mou  vement nécessaire sur les broches.  



  Tous les peignes 467 sont d'une construc  tion similaire. On voit sur la     fig.    12 que les  parties extrêmes des peignes 467 sont réduites  là où les vis fixent le peigne sur les barres  465 et 466. La section moyenne est suffisam  ment haute pour permettre de faire les en  tailles et les perforations nécessaires pour lo  ger les parties inférieures des leviers 400.  Comme le montrent les     fig.    13, 14 et 15, le  peigne 467 comprend des encoches on fentes  470, de manière que chaque levier soit guidé  individuellement autour du pivot 401. Ce pi-         vot    401 est constitué par un fil métallique ou  une tige qui passe dans toutes les ouvertures  circulaires prévues dans les dents 470 du  peigne.  



  Il est prévu une série d'ouvertures     eireu-          laires    dirigées verticalement dans le peigne  467 pour loger des petits ressorts de compres  sion 471, chaque ressort s'appuyant contre le  bras horizontal du levier 400 et tendant à le  faire tourner en sens inverse des aiguilles  d'une montre, sollicitant le profil de came 402  dans la direction des têtes des broches. Les  bras horizontaux des leviers sont guidés  leurs extrémités au moyen d'un nouveau  peigne 472 qui est fixé     sur    la face inférieure  du peigne 467 et comprend des dents qui en  tourent librement le profil de came du levier.

    Un prolongement 473 fait saillie verticale  ment depuis le peigne 467 et comprend une  paroi frontale verticale qui coopère avec une  surface plane 474     prévue    au coude du bras       supérieur    du levier 400 pour limiter le mou  vement des leviers en sens inverse des  aiguilles d'une montre lors de l'assemblage.  Le bouton de contact     .104    à l'extrémité du  bras supérieur du levier comprend une sur  face supérieure courbe pour établir une ligne  de contact avec le bord inférieur de la lame  clé contact.  



  Nous allons voir maintenant     continent    le  cadre est monté pour assurer son mouve  ment alternatif horizontal.  



  On voit sur la     fig.    11 que des boulons 478  passent horizontalement dans les parois verti  cales des barres du cadre 165 et 466 et por  tent chacun un galet 479. Il est prévu quatre  de ces galets     (fig.    8), un à chaque angle du  cadre de support des leviers. Les deux bou  lons sur la barre de droite 465 sont légère  ment plus longs que ceux de l'autre côté, car  ils portent non seulement les galets 479, mais  aussi des blocs de guidage semi-circulaires  480 (fi-. 11) qui se prolongent verticalement  au-dessus des galets de droite pour guider le  cadre des leviers sur le grand cadre 395:  Quatre rails 482, 483, 484 et 485     (fig.    11)  sont fixés aux parois 410 et 411 du grand  cadre 395, à l'intérieur de ces parois.

   C'est      entre ces rails que les galets 479 oscillent  horizontalement pour déplacer en avant et en  arrière le cadre de support des leviers. Les  deux rails inférieurs 482 et     .184    comportent  un épaulement pour maintenir les galets laté  ralement, un autre guidage s'effectuant au       moyen    dîme longue rainure 486     (fig.    11)  prévue à la partie inférieure du rail supé  rieur 483 et dans laquelle glissent les blocs de  guidage 480.  



  Des moyens sont prévus pour communi  quer le mouvement alternatif des extrémités       supérieures    de deux bras verticaux aux deux  côtés du cadre de support des leviers. Des  brides 488 et 489     (fig.    12) sont boulonnées à.  l'extérieur des deux barres latérales 465 et       466,1a    bride 488 étant fixée à la barre droite       .165    par des boulons 490, et la bride 489 étant  fixée à la barre gauche 466 par des boulons  491. La vue en plan     (fig.    8) montre que ces  deux brides 488 et     .189    sont en forme de<B>U</B>  dont. les branches se dirigent à l'extérieur du  cadre de support des leviers.

   On voit dans  l'élévation     (fig.    2) que les branches latérales  des brides sont évasées vers l'extérieur dans  la partie inférieure 492, de sorte que lorsque  le cadre du mécanisme d'exploration est  abaissé, le chariot des leviers tend à se centrer  de lui-même sur les galets des bras oscillants.  Deux boutons de fibre 493     (fig.    8) faisant  saillie vers l'intérieur depuis les branches la  térales de chacune des brides 488 et 489 co  opèrent avec les deux côtés du galet de com  mande et assure l'isolation électrique entre le  cadre du mécanisme d'exploration et le reste  de la machine. Les boutons 493 sur les brides  s'étendent au-delà des deux cadres latéraux  principaux dans une position où ils peuvent  être engagés par les bras de commande verti  caux qui vont. être décrits.  



  La coupe de la     fig.    10 montre que le grand  arbre 457 déjà. mentionné portant le tube 456  passe dans dés paliers dans les deux cadres  latéraux principaux et porte à l'extrémité  droite un grand bras vertical 495 dont l'extré  mité supérieure porte un galet 496 (voir aussi       fig.    5 et 8) qui s'engage avec la bride 488 en  saillie sur le côté droit du cadre de support         clés    leviers. Un bras     semblable    497 est fixé à  l'extrémité gauche de l'arbre     .157,    et porte à  son extrémité supérieure un galet 498 qui  s'engage avec la bride 489 en saillie sur le  côté gauche du cadre de support des leviers.

    Deux plaques de protection 499 et 500 sont  fixées sur les parois droite et gauche respec  tivement du cadre principal du mécanisme  d'exploration et se prolongent vers le bas pour       enfermer    les dispositifs à galets et à brides  qui sont ainsi hors d'atteinte des doigts clé  l'opérateur.  



  Le cadre oscillant     comprenant        l'arbre    457  et les deux bras 495 et 497 est actionné par  les cames complémentaires 162 et 163     (fig.    3  et 5) qui, comme on l'a vu, sont reliées à la  roue dentée d'entraînement principale<B>111.</B>  L'action des     carnes    ne se communique cepen  dant pas directement au cadre oscillant, mais  par l'intermédiaire d'un levier de     commande     réglable disposé d'une manière variable rela  tivement au bras     .195    de droite. Ce levier ré  glable 502.     (fig.    5) pivote librement sur un  moyeu s'étendant depuis le bras 495 et com  prend deux bras, un bras     supérieur    portant.

    un galet 503 coopérant avec la came exté  rieure 162, et un bras inférieur     portant        irn     galet 504 coopérant avec la came intérieure  163. Le levier 502 comporte un troisième bras       pourvu    d'une fente :505     (fig.    10) qui est dé  calée     d'un    léger angle sur la ligne radiale par  rapport au centre de l'arbre 457. Une fente       analogue    506 est prévue dans le bras 495     près     de la fente 505, avec cette différence que la  fente 506 est     décalée    par rapport à la ligne  radiale dans une direction différente de celle  de la fente 505.

   Un boulon 507 de réglage et  de serrage passe dans les deux fentes     505     et 506, la tête du boulon étant constituée par  une partie rectangulaire plate qui s'adapte  dans la fente 505 et. qui constitue une extré  mité légèrement élargie qui passe dans la  fente 505 et s'arrête juste     ait    niveau de la  fente 506, cette dernière étant traversée par  une partie du boulon 507 d'une section- cir  culaire plus petite. Le     boulon    .507 est réglable  verticalement le long des deux fentes et peut  prendre une infinité de positions à des han-           teurs    différentes, ce qui     permet    de régler le  levier 502     angulairement    relativement au bras  495.

   Quand le réglage voulu est. obtenu, on       serre    l'écrou à l'extérieur sur le boulon 507  pour bloquer ce dernier clans la position dé  sirée le long de la fente 506 la tête du bou  lon passant dans la fente 505 maintenant le  levier 502 dans la position relative appropriée.  Pour renforcer le dispositif de fixation, un  boulon 509 est vissé dans le levier 502 et passe  dans une fente arquée 510     (fig.    10) prévue  dans un court prolongement inférieur du bras  495.

   Le boulon 509 est desserré quand le ré  glage se fait, puis il est serré pour pincer les  bras et les relier ensemble     opérativ        ement.       Pour permettre un autre réglage du     mon-          vement    alternatif des     commandes    du cadre de  support des leviers, il est prévu un dispositif  de serrage entre les cames 162, 163 et la roue  dentée 111, similaire au dispositif de réglage  entre les leviers     -195    et 502.    Les deux cames 162, 163 sont reliées     par     un moyeu 520     (fig.    3) qui est monté libre  ment sur le moyeu de la roue dentée d'entraî  nement principale 111 clavetée directement  sur l'arbre 112.

   Les cames sont connectées à  la roue dentée 111 par un boulon de réglage  517     (fig.    5) qui passe dans des fentes<B>515</B> et  516 prévues dans la came 162 et la roue  dentée<B>111</B> respectivement (voir aussi     fig.    11).  Ces fentes 515 et 516 ont une direction angu  laire décalée par rapport à la ligne radiale,  et en plus elles sont décalées l'une par rap  port à l'autre, de sorte qu'on peut obtenir un  mouvement circulaire relatif entre la roue  dentée et les cames quand on déplace verti  calement. le boulon 517. Ce dernier     comporte     une tête rectangulaire intérieure 518 qui se       termine    par une partie passant dans la fente  515 de plus grande section que la partie exté  rieure passant dans la fente 516.

   Une ron  delle est prévue sous la tête 518 et, quand  l'écrou est serré, la roue dentée et les cames  sont fixées dans la     position    voulue. Un ser  rage supplémentaire est assuré par un boulon  519 qui passe dans une fente arquée dans la  roue dentée 111 et qui se visse dans la came    162 pour bloquer ensemble les différentes  parties du dispositif d'entraînement.  



  Il faut noter que le mécanisme de dépla  cement dit levier commandant le mouvement  du cadre de support des leviers est indépen  dant de l'embrayage et est. actionné invaria  blement aussi longtemps que le mécanisme  d'avance des cartes doit être entraîné. Il est  prévu évidemment d'autres commandes élec  triques pour décider quand les impulsions en  gendrées à la suite du mouvement alternatif  des     leviers    doivent être dirigées dans le méca  nisme à commander. Par conséquent, bien que  les leviers fonctionnent continuellement, il  n'est. pas forcé que les     contacts    établis ainsi  soient effectifs pour engendrer des impulsions  de commandes à tout. instant.  



  Les cames produisant l'oscillation du ca  dre de support des leviers sont prévues pour  faire avancer les sept rangées de leviers 400  de gauche à droite après que les broches sont  tombées dans les perforations des cartes. Ce  mouvement est synchronisé avec les disposi  tifs de commande de totalisation ou d'autres  opérations comptables, et les impulsions ré  sultant des mouvements d'oscillation des le  viers présentent. des valeurs qui dépendent di  rectement de l'instant où elles sont lancées,  instant commandé à son tour par le mouve  ment des cames 162 et 163.

   La chronologie  clés cames et la production des impulsions  sont. indiquées clairement sur le diagramme  chronologique     (fig.        21a)    qui montre non seu  lement la position relative de chaque cycle  d'impulsions, mais aussi la relation entre les  dites impulsions et les autres commandes  d'opérations pour la totalisation.    <I>Lames de</I>     contact.     



  A chaque levier de contact 400 est associée       (fig.    6, 7 et 1.1) une lame de contact horizon  tale 407 disposée au-dessus du bouton 404 sur  l'extrémité du bras supérieur du levier qui  vient en contact avec la laine 507 quand le le  vier tourne en sens inverse des aiguilles d'une  montre quand il passe sur une broche abais  sée. Il est donc prévu six rangées de ces lames  comprenant chacune 60 lames, plus deux      lames supplémentaires pour les données du  groupe  B  comprenant une position d'explo  ration supplémentaire, comme il a été dit.  



  Les lames de contact dans les deux sta  tions<I>U</I> et<I>L</I> sont séparées en deux séries de  trois rangées chacune, chaque groupe de trois  lames étant, fixé à une feuille isolante com  mune 409 pour former un groupe compact  qui va être décrit en se rapportant à la       fig.    7.  



  Il est prévu deux supports séparés rece  vant d'une manière amovible les lames de con  tact 407, l'un pour la station     ZT,    l'autre pour  la station L. Ils sont de construction identi  que et il suffit. de décrire l'un d'eux. Bien  que ces supports portent les lames de contact       -107,    il n'y a pas de connexion métallique  entre ces lames et le support, et c'est. en réa  lité sur les feuilles isolantes 409 fixées sur le  support que sont fixées les lames 407 séparé  ment au-dessus des leviers 400. Une série de  trois lames de contact 407 est fixée sur un  côté de chaque feuille 409 par soudure ou par  tout autre moyen occupant peu d'espace, les  lames étant séparées et leur bord inférieur  dépassant au-dessous du bord inférieur de la  feuille.

   Ainsi, les bords horizontaux     rectili-          grnes    inférieurs des lames 407 sont exposés sé  parément et peuvent entrer chacun en con  tact avec un bouton 404 prévu sur le bras  supérieur d'un     levier    400.  



  Chaque lame 407 comprend un bras verti  cal 408 prévu pour recevoir et maintenir une  pince fixée à l'extrémité d'un conducteur relié  au tableau de connexions de la machine. Ces  bras sont. non seulement séparés par les feuil  les 409, mais ils sont en outre disposés en  quinconce pour laisser plus d'espace     pour     fixer et enlever les pinces de     connexion.     



  Les feuilles 409 comprennent aussi deux  prolongements terminaux 522 et 524     (fig.    7)  et les     lames    sont situées, supportées et main  tenues par des peignes et des barres coopé  rant avec lesdits prolongements, comme il va  être dit.  



  Deux cadres creux rectangulaires 527 et.  528 sont fixés à la partie supérieure du cadre  principal 395 par des boulons 526 vissés dans    les     parois    latérales 410 et 411     (fig.    6, 7,     S    et  10), le premier cadre 527 servant de support  pour les lames de contact de la position     IT    et.  le second cadre 528 jouant le même rôle dans  la station L. Les parois du cadre 527 ont une  section transversale en forme de     L,    la. branche  inférieure du     L    étant. tournée vers l'exté  rieur sur les côtés (fi-. 11) et vers l'intérieur  aux deux extrémités     (fig.    7).  



  Il est prévu deux peignes .530 et 531  fixés sous les extrémités des cadres 527 et. 528  par une série de quatre vis 529     (fig.    7), les  dents des peignes séparant les prolongements  terminaux 522 et 524 respectivement des  feuilles isolantes 409. Des barres de support  532 et 533 sont fixées sous les barres 530 et.  531, passent dessous les prolongements 522 et  524 et maintiennent ces derniers au-dessous  du bord du cadre 527.  



  Un peigne 536 est fixé à des pattes     53:i     s'étendant à l'intérieur du cadre 527, les  dents 537 du peigne s'étendant vers le bas, les  bords supérieurs des feuilles 409 se logeant  entre ces dents (voir aussi     fig.    8 et 12). Ce  dispositif est prévu pour situer et renforcer  la partie moyenne des feuilles 409.  



  On voit d'après ce qui précède que les  feuilles isolantes 409 et les lames de contact  407 sur ces feuilles sont maintenues indivi  duellement et fixées rigidement.  



  Comme le dispositif récepteur des     carte,,     peut être éloigné par rotation de la partie  supérieure du mécanisme d'exploration, les  extrémités supérieures 408 des lames de con  tact 407 peuvent être facilement. atteintes  quand on veut établir les connexions avec les  conducteurs, et les lames peuvent être facile  ment     enlevées    pour l'inspection des bords  inférieurs de ces lames quand c'est, nécessaire.  L'ensemble du mécanisme d'exploration étant  construit sur une base unique, il est possible  d'enlever et d'inspecter     séparément    les     laines     de contact,. le support. des leviers et le sup  port des broches, dans l'ordre mentionné.  



       JZécaiiism.e        récepteur.     



  Quand une carte quitte la seconde station  L     (fig.    6), elle sort des deux plateaux 316 et           -125    et est guidée vers le haut au-delà des  derniers rouleaux d'avance par un plateau  de guidage 559 incliné et incurvé vers le haut,  fixé entre les cadres latéraux 26 et 27.  L'extrémité gauche du guide 559 est incurvée  de manière à correspondre à la périphérie du  tambour récepteur SD, et ainsi la. carte  avance vers le tambour et partiellement  autour de lui.  



  Il a été dit déjà que l'arbre 63 du     tambour     récepteur est entraîné par un train     d'emgre-          nages    comprenant. les roues dentées 126, 127,  129,<B>130,</B> 131 et     1.3.1,    de sorte que le tambour  tourne dans le sens des aiguilles d'une mon  tre d'un demi-tour chaque fois que     l'em-          brayage    de la barrière arrière est     engagé.     



  Le tambour récepteur<I>SD</I> comprend trois  parties, une partie extrême droite 560     (fig.    9),  une partie centrale de jonction 561 et une  partie extrême gauche 562, ces trois parties  étant fixées ensemble et sur l'arbre 63.  



  Deux tiges coulissantes 563 sont prévues  près de la périphérie du tambour     SD,    espacées  l'une de l'autre de 180  et montées dans des  paliers prévus dans les larges parois des par  ties extrêmes du tambour. Ces tiges 563 por  tent quatre pinces de carte 564, soit deux  pinces disposées près des extrémités de cha  que tige, ces pinces dépassant. de quatre ouver  tures 565 prévues dans le tambour pour saisir  la carte.  



  Les quatre pinces sont semblables et il  suffit de décrire la construction et le fonc  tionnement de l'une d'elles. Chaque pince a  une forme triangulaire, un des angles du  triangle comportant un bras double 566 en  tourant la tige coulissante 563, le second  angle étant. entaillé en 567     (fig.    6) pour s'en  gager à glissement. sur l'arbre d'entraînement  63, et le troisième angle ayant la forme d'un  sabot 568 sur lequel le bord de la carte est  maintenu par deux minces lames incurvées  569 portées par un bras rotatif 570 fixé sur  la tige 563 entre les deux bras extrêmes 566       (fig.    9) du cadre. Une pince fixe 573 main  tient les lames 569 sur le bras 570, les lames  se prolongeant en arrière dudit bras. Un res  sort 574 tend à presser les lames sur le sabot.

      568 à tout,     instant.    Chaque tige 563 est  actionnée pour faire tourner et osciller les  extrémités des lames 569 contre le sabot 568,  le bord frontal de la carte étant serré entre  ces pièces. Dans ce but, un bras 571     (fig.    17)  portant un goujon sur lequel est monté un  galet 572 est fixé à l'extrémité droite de la  tige 563.  



  Les bras 571 supportent les galets 572 de  manière qu'ils soient tournés vers l'intérieur  et se déplacent autour de deux douilles à  came 577 et 578 qui sont fixées d'une manière  réglable près de l'extrémité droite de l'arbre  63 juste à ]'intérieur de la pièce 65 sur la  quelle est monté le cadre pivotant du disposi  tif récepteur. Ces cames<B>577</B> et 578 sont pro  filées de manière à maintenir les tiges 563  dans une position telle que les lames 569 mon  tées sur le bras 570 saisissent ou pincent nor  malement la carte enregistreuse sur le tam  bour. Il est prévu cependant deux positions  dans lesquelles deux saillies sur les cames  font tourner les bras 571 et. les tiges 563 dans  le sens des aiguilles d'une montre     (fig.    6)  pour produire ].'espacement des lames 569 et  du sabot 568.

   Une de ces positions où les par  ties sont. séparées pour permettre au bord de  la. carte de passer entre elles est représentée  sur la     fig.    6, et c'est dans cette position  qu'une carte venant de la dernière station  d'exploration L est. projetée au-delà du guide  559 et amenée dans une position où les lames  569 peuvent     tourner    en sens inverse des  aiguilles -d'une montre sous ]'action du res  sort     57-1    pour engager la carte entre les lames  et le sabot 568.

   Comme il     p    a deux bras<B>570</B>  sur chaque tige 563 et que ces bras compren  nent chacun deux lames 569, il est évident  que la carte est pincée sur le tambour récep  teur par quatre lames et entraînée ainsi dans  cette position qui se maintient pendant plus  de 180  quand le     tambour    récepteur tourne  dans le sens des aiguilles d'une montre pour  amener la carte dans une position presque  verticale à la partie frontale du poids de re  tenue 71.

   Le fond du plateau 73 de la trémie  réceptrice se prolonge dans l'ouverture annu  laire 579 dans la partie centrale 561 et se      trouve par     conséquent    dans la trajectoire du  bord d'attaque de la carte disposée autour du       tambour,    et l'engagement du bord de la carte  sur le bord du plateau 73 permet de dégager  la carte du tambour et de la déposer dans le  cadre récepteur.  



       Totalisateur.     L'arbre 713     (fig.    18) engrène d'une ma  nière appropriée avec les rouleaux d'avance  des cartes pour faire une     révolution    par cy  cle d'opérations. Pour chaque ordre décimal  du totalisateur, cet. arbre 713 comprend     une     roue dentée 714 fixée sur lui qui entraîne le  mécanisme d'embrayage totalisateur. Le mé  canisme d'entraînement de l'embrayage et du  totalisateur comprend une roue à rochet 715  montée librement sur un axe 716 et d'une  seule pièce avec une roue dentée 717 entraînée  par la roue dentée 714     (fig.    19).

   Un disque  720 monté à rotation sur l'axe 716 comprend  dix dents     720a    prévues pour s'engager avec       -une    dent 721a sur un long bras d'un levier  d'embrayage 721 pour empêcher le disque de  tourner en sens inverse des aiguilles d'une  montre.  



  Une roue d'enregistrement ou d'addition  724 tournant sur l'axe 716 à côté du disque  720 comprend dix encoches périphériques       724a.    La roue 724 peut prendre l'une quel  conque des dix positions angulaires corres  pondant aux valeurs 0 et 1 à 9. Un levier 725  sollicité par un ressort s'engage avec une en  coche     724a    de la roue 724 pour maintenir  cette roue d'une manière non rigide et pour  déterminer sa position quand elle a été  tournée de la valeur voulue. Une came de re  port 726 est fixée à côté de la roue 724 et un  goujon 727 -sur la roue 724 passe dans une  ouverture prévue dans le disque<B>720</B> et cons  titue     un    pivot pour un cliquet d'embrayage  730. Un ressort 731 assure l'engagement de la  dent du cliquet 730 avec la roue à rochet 715.

    Dans la position représentée sur la     fig.    18, le  levier d'embrayage 721 est en position dé  brayée, sa dent     721a    empêche la rotation du  disque 720 en sens inverse des aiguilles d'une  montre et le cliquet 730 est dégagé de la roue  à rochet 715. Le cliquet 730 est maintenu dé-    gagé de la roue à. rochet par     l'ael.ion    d'une  cheville 730b sur le cliquet 730 et d'un profil  de came 720b du disque<B>720.</B>  



  Quand le levier     d'embrayage    721 tombe et  sa dent     721(r    libère le disque<B>720</B> pour qu'il  puisse tourner en     sens        inverse    des aiguilles  d'une montre, le ressort. 7.31 agit et fait tour  ner le cliquet 730 qui s'engage avec la roue à.  rochet 715. Pendant ce mouvement. du     cliquet     730, sa cheville 730b     chevauche    le bord de  came     720b    et déplace le disque 720 en sen,  inverse des aiguilles d'une montre jusqu'à ce  que sa dent. 720a. précédemment engagée avec  la dent 721a, soit à la droite de cette     dernière     dent.

   Les parties sont alors clans la position  d'embrayage représentée sur la     fig.    19, et la  roue enregistreuse     72-1-    est. couplée au dispo  sitif d'entraînement 715, 717 et peut tourner.  Par engageaient de la     cheville    730b     sur    le     cli-          quet    730 avec le bord (le came     720b,    le disque  720 est obligé de     tourner    en sens     inverse    des  aiguilles d'une montre avec la. roue enregis  treuse.  



  Quand le levier     d'embrayage    721 retourne  dans la position supérieure de débrayage, sa  dent     721u    intercepte une dent     720a    du dis  que 720 et arrête le disque. La roue enregis  treuse 724 et le cliquet 730     eontinuetit    à tour  ner, tandis que le bord de came 720b du dis  que 720 déplace la cheville     7:

  30b    vers l'exté  rieur jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau dans  sa position la plus     extérieure.    La. cheville 730b  étant déplacée à l'extérieur, le cliquet     d'eni-          brayage    730 s'éloigne de la roue à rochet 715  et débraye la roue enregistreuse     des    moyens  d'entraînement. La roue     enregistreuse    est.  maintenue et centrée     alors    dans sa nouvelle  position par le levier 725. Un     verrou    735 à  ressort sert à maintenir le levier 721 dans la  position d'embrayage ou de débrayage.  



  Le levier d'embrayage 721 comprend un.  bras court. qui engage     l'extréniité    inférieure  d'une armature<B>736</B> disposée entre Lui électro  aimant d'avance     1,1Z    et un électro-aimant  d'arrêt     SJI.    L'excitation (le     l'électro-aimant           < L!I    fait tourner l'armature 736 dans le sens  des aiguilles d'une montre pour abaisser le  levier 721, et l'excitation de     l'électro-aimant              SBI    fait tourner l'armature 736 en sens in  verse des aiguilles d'une montre pour lever le  levier 721.  



  Quand la roue 724 est. dans l'une des posi  tions 0 et 1 à 8, 1a came 726 maintient un le  vier de report 737 pivotant en 738 dans la  position représentée sur la     fig.    18, une lame  de contact 739 (isolée du levier 737) prenant.  une position moyenne entre les éléments de  contact. 740 et 741.     Quand    la roue est. dans la  position 9, une dent. sur le levier<B>737</B> tombe  dans une encoche     726a.    de la     caiïie    726 et la  lame 739 vient en contact avec l'élément 741.  Quand la roue 724 passe de la position. 9 à la.  position 0, une bosse     7261)    de la came     7'26    fait  tourner le levier 737 et produit le contact clé  la lame 739 et de l'élément 740.

   Quand le le  vier est. dans cette position, un bras 742 d'une  seule pièce avec lui est engagé et, maintenu  par un verrou 743 à ressort. qui maintient le  contact de la lame 739 et l'élément 740 jus  qu'à ce qu'une cheville 744 sur la roue den  tée 714 heurte un bras 745 d'une seule pièce  avec le verrou 743 pour libérer le levier 742.  lie point du cycle auquel se produit ce dé  verrouillage est indiqué sur le diagramme  chronologique. Le totalisateur comprend aussi  un dispositif de     eoupure    mécanique ou de dé  brayage qui comprend trois chevilles 751, 752  et 753 fixées sur le côté de la roue dentée  714 et prévues pour passer successivement.  sous un rebord du levier d'embrayage<B>721</B>  pendant. la rotation de la roue dentée 714.  



  Supposons que le levier d'embrayage soit  dans la position inférieure     quand    l'une ou  l'autre des chevilles 751, 752 ou 753 s'engage  sous le levier 721, ladite cheville déplacera ce  levier vers le haut dans la position de la  fia. 18. Les chevilles de coupure 751, 752 et  753 sont effectives en clés points déterminés  du cycle, comme indiqué sur le diagramme  chronologique.  



       Lecture   <I>du.</I>     total.     



  Le totalisateur envisagé ici comprend des  moyens électriques pour la lecture du total.  De tels     moyens    sont connus et ne sont repré  sentés que schématiquement sur le schéma  électrique     (fig.    201 et 20e). Il est prévu un    balai     66$    pour chaque ordre du totalisateur  qui tourne avec la roue du totalisateur et éta  blit un contact avec un plot commun 662 et  avec l'un ou l'autre des plots 661 selon le       éhiffre    représenté dans l'ordre de l'accumu  lateur. Les plots 661 identiques sont connectés  entre eux par des fils 664, ou ils peuvent, cons  tituer des rubans sur lesquels s'engagent le  balai 663.

   Ces plots reçoivent les impulsions  de chiffre 5, 3, 1, 0 transmises par les con  tacts de came     CR97    à CR106 et, selon les po  sitions clé chiffre de chaque ordre, des impul  sions sélectionnées 5, 3, 1, 0 sont transmises à.  un dispositif traducteur fonctionnant selon le  code utilisé et transformées par celui-ci en  un chiffre décimal équivalent.  



       Dispositif        traducteur   <I>et</I>     mécanisyne     <I>d'impression du chiffre total.</I>  



  La machine comprend un mécanisme d'im  pression qui peut. imprimer les données et  aussi les totaux enregistrés dans le totalisa  teur. Comme il sera expliqué     phis    loin, les  valeurs du totalisateur ne sont pas lues par  les moyens de lecture sous forme     déeimale,     niais sous forme de combinaisons codifiées qui  sont transformées en équivalents décimaux  par un traducteur qui va être décrit.  



  Un arbre 822     (fig.    22a et 23) est entraîné  à raison d'une     révolution    pour chaque cycle  clé la machine. L'arbre 109 qui entraîne le mé  canisme d'avance des cartes est entraîné par  L'arbre 822, et entre l'arbre 109 et l'arbre 822  se trouve un embrayage d'avance des cartes  qui est. engagé par excitation d'un électro  aimant d'embrayage CF     (fig.        20a).    Cet em  brayage est de type connu.  



  Le dispositif traducteur qui va être décrit.       transforme    les représentations codifiées des  chiffres transmises sous la commande des  moyens de lecture en un chiffre équivalent.  qui est nécessaire pour sélectionner le carac  tère     d'impression    pour imprimer les chiffres  du total.  



  Les cames     800a,    800b, 800c et     800d.          (fig.        226)    sont entraînées par des moyens  appropriés qui seront décrits plus loin à rai  son     d'une        révolution    pour chaque cycle d'opé-      rations de la machine.

   Il faut noter que ces  cames diffèrent les unes des autres par leurs  profils et que le mouvement chronologique  particulier de ces cames est représenté     sur    le  diagramme chronologique de la     fig.        .'31b.    Le  profil de chaque came comprend trois niveaux  qui sont représentés sur la     fig.        22u    par les  trois cercles en lignes pointillées indiqués  pour la came     800a,    ces trois niveaux étant  désignés par les mots BAS, MOYEN et  HAUT. Les profils développés de ces cames  sont représentés au diagramme chronologique  de la     fig.    21''.

   Les cames     800a,        800b,   <B>800e</B> et  800d peuvent. s'étendre longitudinalement,  pour des raisons pratiques de construction,  pour former des tiges cannelées à profils de  came ayant la configuration et le contour  extérieur représenté sur les     fig.    222 et     22b    de  manière à collaborer avec plusieurs ordres.  



  Chaque came 800 coopère avec une pièce  810 de blocage et de libération. Quand cette  pièce 810 est élevée par le profil de .came au  niveau MOYEN ou HAUT, elle libère     ttne     bielle 863 qui petit alors se déplacer, mais  quand elle est dans sa position inférieure nor  male (correspondant au niveau BAS de la  came), elle bloque la bielle 863 contre tout  mouvement. Chaque pièce 810 est montée et  coulisse dans une fente 801 d'un bloc de gui  dage 802 et elle est guidée en outre par une  tige 804 qui coopère avec une fente 803 de la  pièce 810 correspondante. Sur une tige 805  portée par le bloc 802 pivote un cliquet de  verrouillage 806.

   Un ressort de compression  807 est     prévu    entre le cliquet 806 et la pièce  810 correspondante, ce ressort sollicitant vers  le bas la pièce 810, de manière qu'elle s'ap  puie toujours contre le profil de la came 800  correspondante. Chaque pièce 810 comporte  un épaulement 808 coopérant avec une patte  809 d'une seule pièce avec la bielle 863.  



  La bielle 863     (fig.    223) est montée à cou  lisse dans des fentes de     guidage    prévues dans  un plateau de support 811 qui supporte la  bielle 863 à une extrémité et guide son mou  vement, l'autre extrémité de la bielle 863       (fig.    22b) étant montée sur l'extrémité d'un  bras 813 comportant un prolongement 818    s'appuyant contre une came 825. Un ressort  de compression 814 logé dans un bloc de sup  port et de guidage pour le bras 813 sollicite  la. bielle vers la gauche, et quand ce ressort  peut agir sous la commande de la came 825,  il produit une impulsion mécanique sur la  bielle 863 à des instants déterminés pour  faire tourner un bras 867 de libération d'un  embrayage qui produit alors la rotation de la  roue à caractères.  



  Chaque came 800 ayant des profils com  portant trois niveaux différents, on petit voir  que lorsque la pièce 810 est, dans une posi  tion déterminée par la partie basse de la  came 800,     L'épaulement    808 s'engage avec l a  patte 809 pour     empêcher    le mouvement de la  bielle 863 vers la gauche sous l'action du  ressort 814. La patte 809 s'appuie donc con  tre l'épaulement 808 et tend     iï,    faire tourner la  pièce 810 dans le sens des aiguilles d'une  montre, cette rotation étant empêchée par       fine    partie 812 verticale à crochet de la     pièee     810 qui s'appuie contre l'extrémité du cliquet  de verrouillage 806.

   Quand la came a tourné  de manière que son profil     MOYEN    ait sou  levé la pièce 810, l'épaulement 808 a. été élevé  légèrement au-dessus de la patte 809, mais la  partie à crochet 812 de la pièce 810 coopère  toujours avec l'extrémité     clu    cliquet 806 et le  mouvement de rotation clans le sens des  aiguilles d'une montre de la, pièce 810 est en  core évité. .  



  Si l'on suppose maintenant que le profil  HAUT de la came a porté la pièce 810 à sa  hauteur maximum, l'épaulement 808 est. en  core plus haut par rapport à la patte 809 et  la pièce 810 est maintenant. dans une position  telle que le ressort de compression 807 peut.  agir et faire tourner la pièce 810 dans le sens  des aiguilles d'une montre, de manière que  la partie à crochet.     812    se déplace au-dessus  de l'extrémité du cliquet 806, pourvu qu'à  cet instant le cliquet 806 ait tourné en sens  inverse des aiguilles d'une montre par suite  de la détection d'une perforation dans une  carte au moment où la pièce 810 est dans sa  position la     phis    élevée.

   Si le     eliquet.    806 n'a  pas tourné légèrement en sens inverse des      aiguilles d'une montre, le verrouillage de la  pièce 810 ne se produit pas. En résumé, cha  que fois     qu'iui    profil HAUT de la. came a.  soulevé la pièce 810 dans sa position supé  rieure, cette pièce est verrouillée si le cliquet  806 correspondant est tourné concurremment.  dans la position de verrouillage. Si le cliquet  806 n'a pas tourné à ce moment, la pièce 810  n'est pas verrouillée, et elle est libre de se dé  placer ensuite en haut et en bas selon le pro  fil de la came 800 correspondante quand  celle-ci tourne.  



  La description ci-dessus se rapporte au  fonctionnement des parties sous la commande  de la came     800a,    mais il faut noter que des  opérations identiques se     produisent    sous la  commande des autres cames 800b, 800c et  800d. Il n'est pas nécessaire pour cette rai  son de répéter la description pour ces der  nières.  



  Dans le but de faire tourner les     cliquets     806 pour verrouiller celles des pièces 810 qui  sont dans leur position supérieure au moment  où une perforation est. détectée dans la carte,  on voit sur la fis.     22''    que chaque électro  aimant 861 attire, quand il est excité, une  armature 815 et la fait tourner de manière à  déplacer vers la gauche une bielle 816.     Celle-          ci    comprend quatre prolongements 817 d'une  seule pièce avec elle,     coopérant    chacun avec  le cliquet 806 correspondant.

   Quand une im  pulsion est envoyée à un électro-aimant<B>861,</B>  la bielle 816 est. déplacée vers la gauche et  fait tourner les quatre cliquets 806 en même  temps, mais le     cliquet    806 produit le verrouil  lage de la pièce 810 correspondante seule  ment si celle-ci a été soulevée. dans sa posi  tion supérieure. Ainsi, un ou plusieurs     eli-          quets    806 peuvent tourner à vide en même  temps sans verrouiller les pièces 810 corres  pondantes.  



  Pour empêcher l'armature 815 (le coller au  noyau de     l'éiectro-aimant    861 par suite du  magnétisme rémanent, il est utile de prévoir  des moyens pour ramener la bielle 816 et l'ar  mature 815     dans    la position normale, par un  dispositif mécanique dont la chronologie est    réglée par     1a.    rotation des cames 800.

   Dans ce  but, il est prévu une came 820 entaillée  comme représenté     (fig.        22d.    Un bras 821  d'un bras de libération de l'embrayage     82-1    co  opère avec la came 820, un autre bras     822a     solidaire des premiers étant sollicité par un  ressort 823 contre un doigt vertical de la bielle  <B>816.</B> Au moment où l'électro-aimant 861 est  excité, il faut     noter    que le bras 821 coopère  avec une encoche     820a    de la came 820. La  partie 820b de la came 820 fait ensuite tour  ner le bras 821 qui agit sur la bielle 816 et  ramène l'armature 815 dans sa position nor  male si elle est restée attirée par le noyau  dans les circonstances indiquées.  



  Il est évident, d'après la.     fig.    21'', qu'au  moment où les impulsions 5, 3, 1, 0 sont di  rigées, par des contacts de came qui seront  décrits, vers les électro-aimants 861, une des  cames 800 coopère par son profil HAUT avec  la pièce de verrouillage 810. Quand l'impul  sion 5 est envoyée, par exemple, le profil  HAUT de la came 800a est. effectif. Quand  l'impulsion 3 est envoyée, c'est le profil  HAUT de la came     800b    qui est effectif. La.  table suivante indique quelles sont les pièces  810 verrouillées pour     toutes    les impulsions  électriques 5, 3, 1, 0  
EMI0023.0024     
  
    Impulsions <SEP> Pièces <SEP> Sio <SEP> verrouillées
<tb>  5 <SEP> 810a
<tb>  3 <SEP> 810b
<tb>  1 <SEP> <B>810e</B>
<tb>  0 <SEP> 810d.

         Il est évident, d'après la table précédente,  que les pièces 810 sont verrouillées seules ou  selon des combinaisons déterminées,     dépen-          daxit    du code, de sorte qu'à la fin de la trans  mission des impulsions électriques 5, 3, 1, 0,  toutes les pièces 810 sont verrouillées ou une  partie seulement de ces pièces sont verrouil  lées, les autres étant libres de prendre toute  position dépendant du profil de leur came  pendant la rotation subséquente de celle-ci.  Par contre, une fois qu'une pièce 810 a été  verrouillée, elle ne peut plus se déplacer vers      le haut ou vers le bas selon le profil de la  came, seules les pièces non verrouillées pou  vant le faire.  



  Le mouvement de la bielle 863 vers la  gauche pendant que les impulsions 5, 3, 1 et 0  sont transmises, mouvement qui peut être  permis si toutes les quatre pièces     8l.0    de cet  ordre sont verrouillées ou élevées au-dessus  des pattes 809, est empêché par la partie 825a.  de la came 825     (fig.        22b).    Cette came, en  traînée par des moyens qui seront décrits     phis     loin, est entraînée synchroniquement avec les  cames 800 et 820 et coopère avec le prolonge  ment 818 du bras 813. Comme le montre le  diagramme chronologique, le profil HAUT  825a de la came 825 empêche le     mouvement     de la bielle 863 vers la gauche pendant la  transmission des impulsions 5, 3, 1 et 0.  



  Après le verrouillage des pièces 810 selon  des combinaisons déterminées, le profil des  cames 800a,, 800b,<B>800e</B> et 800d qui est. effectif       ensuite    détermine l'instant dans le cycle où la  bielle 863 est. déplacée vers la gauche, de la  manière qui va être décrite en détail.  



  Après qu'une ou plusieurs pièces 810 ont  été verrouillées selon une combinaison dépen  dant des impulsions transmises, comme indi  qué dans la table précédente, la. rotation sub  séquente des cames 800a., 800b,<B>800e</B> et 800d  produit l'élévation et l'abaissement des pièces  810 non verrouillées selon les profils des ca  mes respectives, mais pendant cette rotation       subséquente    des cames, la bielle 863 ne peut  se déplacer, étant retenue par une ou plu  sieurs pièces non verrouillées, jusqu'à ce qu'on  atteigne un point du cycle où les cames cor  respondant aux pièces non verrouillées pré  sentent tontes des profils MOYENS auxdites  pièces.

   Il faut rappeler que puisque les pièces  810 verrouillées sont dans une position telle  qu'elles n'empêchent pas le mouvement de la  bielle 863 sous l'influence du ressort. 814 et  en outre que l'élévation de chaque pièce non  verrouillée par un profil de came MOYEN  déverrouille aussi la bielle 863, il est évident,  que si ces deux conditions existent pour qua  tre des pièces 810, la bielle est libre de se dé-    placer sous l'influence du ressort     81-1    et de la  came 825. Un exemple particulier le fera bien  comprendre.  



  Si, par exemple. les impulsions 5, 3, 0 (re  présentant 9) sont transmises sur la com  mande d'un ordre du dispositif de lecture  quand il représente un 9, les pièces     810a,     810b et 810d sont verrouillées par les parties  du profil HAUT des cames respectives     SOOa,     800b et     800d,    le verrouillage des pièces 810a,  810b et 810d étant, terminé     environ    au degré  <B>75</B> du cycle (voir     fig.        21h).    A ce moment, les  pièces     810a,    810b et 810d sont verrouillées  dans la position supérieure, de sorte qu'elles  déverrouillent la bielle 863.

   La came 800c, ce  pendant, par sa rotation subséquente,     eont.i-          nue    à abaisser et soulever la pièce     eorrespon-          dante   <B>810e</B> non verrouillée, et cette dernière  empêche le mouvement. de la bielle 863 jus  qu'au degré 123 environ du cycle, moment  auquel la came 800c, par son profil MOYEN,  déplace la pièce<B>810e</B> et déverrouille la bielle  863.A ce moment, le prolongement. 818 du  bras 813 coopère avec l'encoche 825b désignée  par 5, 3, 0 sur les     fig.    22'' et 21". La bielle est  maintenant libérée par les quatre verrous et  son mouvement vers la     gauche    se fait environ  au degré 123 du cycle sous l'action du ressort  814.

   La bielle actionne     alois    le bras<B>867</B> de  libération d'un embrayage de sélection     chi    ca  ractère qui sera décrit, pour mettre en rota  tion la roue d'impression 860 jusque sur le  caractère 9.  



  On voit sur la     fig.        22v    que lorsque la bielle  863 se déplace vers la gauche pour engager  l'embrayage de sélection du caractère, le pro  longement 818 du bras 813 se trouve dans le  fond de l'encoche 825b de la came 825 et la  rotation subséquente de cette came dans le  sens des aiguilles d'une montre produit, par  la partie inclinée 825e qui suit, le retour de  la. bielle 863 vers la droite, sans entraîner ce  pendant le déverrouillage d'aucune pièce 810  verrouillée.

   A 315  environ, une     partie    de  profil HAUT 825d déplace la. bielle 863 vers  la droite au-delà de la     position    normale, et  ainsi les pattes 809 s'engagent avec les épau-           lements    123 des pièces 810 respectives ver  rouillées et les font tourner en     sens    inverse  des aiguilles d'une montre dans la     position     déverrouillée, les ressorts 807 étant compri  més pendant cette opération et. faisant tour  ner les cliquets 806 dans la position normale.

    lie mouvement de la bielle 863 vers la droite,  à ce moment, peut produire aussi le mouve-  
EMI0025.0004     
  
    Chiffre <SEP> représenté <SEP> par <SEP> Cames <SEP> 8oo <SEP> avec <SEP> profil
<tb>  le <SEP> dispositif <SEP> de <SEP> lecture <SEP> Impulsions <SEP> transmises <SEP> Pièces <SEP> 8io <SEP> verrouillées <SEP> MOYEN <SEP> actif
<tb>  9 <SEP> 5, <SEP> 3, <SEP> 0 <SEP> 810a, <SEP> 810b, <SEP> <I>810d</I> <SEP> <B>800e</B>
<tb>  <B>8</B> <SEP> 5, <SEP> 3 <SEP> 810a, <SEP> 810b, <SEP> 800c, <SEP> 800d
<tb>  7 <SEP> 5, <SEP> 1, <SEP> 0 <SEP> 810a, <SEP> 810c, <SEP> 810d <SEP> 800b
<tb>  6 <SEP> 5, <SEP> 1 <SEP> 810a., <SEP> 810c, <SEP> 800b, <SEP> 800d
<tb>  5 <SEP> 5, <SEP> 0 <SEP> 810a,, <SEP> 810d <SEP> 800b, <SEP> 800c
<tb>  1 <SEP> 3, <SEP> 0 <SEP> 810b, <SEP> 810d <SEP> 800a, <SEP> <B>800e</B>
<tb>  3 <SEP> 3 <SEP> 810b <SEP> 800a., <SEP> 800c,

   <SEP> 800d
<tb>  '? <SEP> 1, <SEP> 0 <SEP> 810c, <SEP> 810d <SEP> 800a, <SEP> 800b
<tb>  1 <SEP> 1 <SEP> 810c <SEP> 800a., <SEP> 800b, <SEP> 800d       Les cames 800 dont le profil MOYEN est  actif, c'est-à-dire les cames dont les pièces 810  n'ont pas été préalablement verrouillées, dé  terminent l'instant où l'impulsion mécanique  est transmise.  



  L'impulsion mécanique transmise à la  bielle 863 produit l'engagement, d'un em  brayage pour faire tourner une roue d'im  pression 860 dans une position choisie corres  pondant à. un chiffre.  



       L'embrayage    une fois engagé est entraîné  par un arbre 839, entraîné lui-même par des  moyens qui seront décrits plus loin.  



  Pour chaque ordre d'impression, il est,  prévu une pièce comportant les bras 861, 865  et un bras 867 de libération de l'embrayage,  qui pivote sur une tige 866.  



       Lin    tube 868 fixé sur l'arbre 839 est. can  nelé transversalement sur sa périphérie pour  former des encoches d'embrayage 869. Ce  tube 868 constitue la pièce motrice de l'em  brayage. Plusieurs roues dentées 870 entou  rent le tube 868, une pour chaque ordre du       mécanisme    d'impression. Chaque roue dentée  870 est fixée sur le tube 868 au moyen d'une  bride 872. Des fentes de guidage 871 prévues  dans des blocs 873 et<B>874</B>     assurent    l'espace-    ment des pièces 810 non verrouillées, mais ce       mouvement    est sans effet.  



  Les opérations qui viennent d'être décrites  en supposant la     transmission    des impulsions  5,     3,-0    pour choisir le caractère 9 quand un  ordre du dispositif de lecture représente un  9, se font sur le même principe pour toute  autre combinaison, selon le tableau suivant    ment latéral des roues dentées 870. Ces roues  sont ainsi séparées et peuvent tourner indé  pendamment, la distance entre elles permet  tant de loger un cliquet d'embrayage 876 qui  pivote sur la roue dentée 870 correspondante  et coopère avec le bras 867 de libération de  l'embrayage. Le bras 867 maintient normale  ment le cliquet 876 dans une position telle  que la dent. 877 soit dégagée des encoches 869  dans le tube 868.

   Quand le bras 867 tourne  sous l'action de la bielle 863 à un moment dé  terminé,     l'embrav        age    est engagé grâce à un  ressort 878 fixé au cliquet d'embrayage 876  qui fait tourner ce dernier et produit     l'enga-          gement    de la. dent 877 avec une encoche 869  déterminée par l'instant où la bielle 863 est  actionnée. Cet     embrayage    décrit est l'em  brayage de sélection du caractère d'impres  sion et produit la rotation de la roue d'im  pression 860, la roue dentée 870 engrenant  avec les dents d'impression de la roue à, ca  ractères 860.  



  Les     fig.    22a et 22b représentent le dispo  sitif imprimeur pour un seul ordre, plusieurs  dispositifs analogues étant prévus de préfé  rence dans la machine pour imprimer une  pluralité de caractères.      Si, comme décrit     précédemment,    la bielle  863 est déplacée au degré 123 environ du cy  cle sous l'effet des impulsions 5, 3, 0, parce  qu'un ordre du dispositif de lecture repré  sente un 9, le bras 867 tourne à cet instant et  le     éliquet    876 est libéré et tourne sous l'action  du ressort 878, de sorte que la dent 877 s'en  gage avec une encoche 869 et que la roue  d'impression 860 tourne ensuite de façon que  le caractère  9  se place sur la ligne d'im  pression.

   L'instant particulier où la bielle 863  est. actionnée détermine l'angle de rotation en  sens inverse des aiguilles d'une montre de la  roue 860 nécessaire pour sélectionner un ca  ractère numérique. Quand la roue 860     a,     tourné de la valeur voulue et que l'impression  s'est effectuée, l'embrayage de sélection da  caractère étant encore engagé, la roue 860  continue à tourner jusqu'à ce que l'extrémité  libre du cliquet d'embrayage 876 heurte le  bras 867 de libération de l'embrayage qui,  clans l'intervalle, est revenu à sa position nor  male sous l'action d'un ressort de compres  sion 879     (fig.    22a). Quand le dégagement se  fait, la roue 860 est dans la position normale  représentée sur la     fig.        22a.     



  Chaque roue d'impression 860 est portée  par un bras 881 qui pivote librement sur une  tige 882 et comprend un prolongement arrière  884 qui est actionné par une saillie 883 d'une  came 885 qui constitue une pièce commandée  d'un embrayage d'impression.  



  Un arbre 838 fait tourner un tube d'em  brayage 886 fixé sur lui, et un disque d'em  brayage 885 entoure le tube 886 et porte un       cliquet    d'embrayage 887 qui pivote sur lui.  Le disque 885 et les parties associées sont       .guidées    comme les roues dentées 870. Un bras  888 de libération de l'embrayage est. associé  au cliquet.     d'embrayage    887.

   Quand     l'enga--ë-          ment    d'embrayage s'est effectué entre le     cli-          quet    d'embrayage 887 et l'une des encoches  d'embrayage du tube 886, le disque 885 tourne  dans le sens des aiguilles d'une montre, et la  saillie 883 de la came coopérera avec le pro  longement 884 pour faire tourner le bras 881.  autour de la tige 882 contre l'action d'un res  sort de retour 889. L'engagement de l'em-         brayage    qui vient d'être décrit est effectué  quand l'électro-aimant 861 de commande de  l'embrayage pour chaque ordre est. excité à.  nouveau pour une impression numérique par  une     impulsion     N .  



  Quand l'engagement. de l'embrayage d'im  pression s'est effectué, chaque came 885 co  opère avec le prolongement 884 correspon  dant pour faire tourner le bras     d'impression     881 associé, de manière à forcer la roue     d'iiii-          pression    860 contre le ruban encreur usuel et  la platine 890 autour de laquelle est placée la  bande clé papier à     imprimer.    Quand chaque  bras 881 tourne contre l'action du ressort 889,  la roue d'impression 860 qui tourne en sens  inverse des aiguilles d'une montre autour de  son axe roule en même temps sur la roue den  tée 870, et ce roulement produit une rotation  égale et simultanée dans le sens des aiguilles  d'une montre.

   L'effet combiné de ces deux  rotations opposées fait que la. roue d'impres  sion est immobile, au     point.    de vue de sa rota  tion, quand elle se     déplace    vers la droite     poin-          heurter    la platine 890, le caractère frappant  la platine franchement et fermement pour  donner une impression nette.  



  Après l'impression, quand la saillie     88:i    (le  la came 885 passe au-delà du prolongement  884, le ressort 889 produit le     retour    de la  roue à caractères en ramenant le bras 881  dans sa position normale, le prolongement     88.1     s'appuyant à nouveau contre la périphérie  circulaire de la came 885.  



  L'embrayage de sélection du     caractère        re@-          tant    engagé après l'impression, la roue<B>860</B>  continue à tourner,     comme    il a été dit.     préet,-          demment,    jusqu'à. ce que le     cliquet    876 heurte  le bras 867 qui, dans     l'intervalle,    est revenu  en position normale, ce  < lui dégage     l'em-          bra.yage    de sélection du caractère quand les  roues d'impression sont en position normale.  



  L'embrayage d'impression reste     enga < rzé     pendant un tour complet. (le la came 885, et il  est dégagé par l'engagement     chi    cliquet S87  avec le bras 888.  



  Quand l'extrémité libre du cliquet.     dIein-          bray        age    876 heurte le bras 867, il a tendance      à faire rebondir la roue dentée 870 en sens  inverse des aiguilles d'une montre. Ce Mouve  ment est empêché par la coopération d'une dé  tente à ressort 896 avec un épaulement 897  d'une plaque 898 fixée sur chaque roue den  tée 870. Quand l'embrayage atteint sa posi  tion normale, la. détente 896 s'engage avec  l'épaulement 897 pour empêcher le rebondis  sement et retenir les différentes parties de  l'embrayage dans leur position normale.  



  Un mécanisme similaire est prévu pour  l'embrayage d'impression et. comprend une  détente à ressort. 891 qui coopère avec un       épaulement    899 du disque 885.  



  Lors de la transmission d'une impulsion        N ,    ait moyen de circuits qui seront décrits,  la seconde excitation de l'électro-aimant 861  produit à     nouveau    l'attraction de l'armature  815 et le déplacement de la bielle 816. Cette  dernière fait, tourner le bras 824 pour déga  ger te bras 888 de l'embrayage d'impression.  A cet instant, un profil bas<B>820e</B> de la came  820 (voir     fig.        22a    et     21")    coopère avec le  prolongement. 821, ce qui permet. la rotation  du bras     82-1.    Quand le bras 888 est déver  rouillé, un nez 827 de ce bras se place dans un  évidement 826 dudit bras 824.

   La came 885  tourne maintenant dans le sens des aiguilles  d'une montre et la saillie 883 heurte le pro  longement 884 au moment où le caractère  numérique choisi est sur la ligne d'impres  sion pour effectuer l'impression.  



  Il n'est. pas désirable que le bras 888 soit  libéré chaque fois que la bielle 816 est dé  placée la première fois pour faire tourner le  bras 824 pour engager l'embrayage de la  roue d'impression, aussi à ce moment une  saillie 837a d'une came 837 coopère avec le  bras 888 pour l'empêcher de se déplacer et  de libérer l'embrayage d'impression. Quand  une impulsion      N     est transmise, une partie  basse 837b de la came 837 coopère avec le       bra888    et permet sa rotation pour engager  l'embrayage d'impression. Ensuite, le profil  837c de la came ramène le bras 888 dans sa  position normale pour produire le dégage  ment du cliquet 887 après un tour complet    de     l'embrayage    d'impression.

   A la fin du cy  cle d'opérations, une saillie     820.i    de la came  820 fait tourner le bras 824 en sens inverse  des aiguilles d'une montre pour le ramener  au-dessous du nez 827 du bras 888 qui avait  été levé précédemment dans la position repré  sentée sur la     fig.    22a. Cette saillie 820d pro  duit aussi le déplacement de la bielle 816.  pour remettre l'armature 815 dans la posi  tion normale au     cas    où elle colle au noyau de  l'électro-aimant 861.    <I>Engrenages pour le</I>     méeanisrne          d'impression.     



  *L'arbre d'entraînement de     l'embrayaâe     d'impression 838     (fig.    23) est entraîné à, une  vitesse de rotation uniforme lors de chaque  cycle d'opérations de la machine. L'arbre mo  teur 822 porte une roue dentée 940 qui en  traîne une roue dentée 941 fixée sur l'arbre  838, pour produire la rotation de ce dernier  à une vitesse uniforme d'un tour et demi pour  chaque tour de l'arbre moteur 822.    L'arbre 839 de la sélection des     caractères     fait. deux tours et un douzième pour chaque  cycle d'opérations.

   L'arbre 839 est entraîné à  certains moments à une vitesse uniforme syn  chrone avec l'arbre moteur, mais à d'autres  moments la vitesse donnée à l'arbre 839 dimi  nue et augmente     relativement    à l'arbre mo  teur 838, dans le but de sélectionner le     ea-          raetère    alphabétique désiré d'un groupe choisi  de caractères alphabétiques. Les moyens uti  lisés pour effectuer cet.     entraînement    à. vitesse  variable de l'arbre 839 sont connus, et comme  L'impression alphabétique n'est pas envisagée  ici, il n'est. pas nécessaire de les décrire.

   L'ar  bre 839 entraîne la roue à type à une vitesse  réduite pour amener le caractère numérique  choisi en regard de la platine au degré 330  environ du cycle, et à ce moment la saillie  883 de la. came d'impression 885 heurte le  prolongement 884 pour     presser    le caractère  contre la platine 890.    La machine comprend un dispositif en  traîné par l'arbre 822 pour faire tourner     syn-          chroniquement.    les cames     800a,    800b,<B>800e</B> et      800d, 820, 825 et 837, ces cames faisant un  tour complet pour chaque cycle.  



  Nous allons décrire l'entraînement des  cames 800a,, 800b, 800c et 800d. Une roue  dentée 1040     (fig.    23) fixée sur l'arbre 822 en  traîne, par l'intermédiaire d'une roue dentée  1041, une roue dentée 1042 fixée sur l'arbre  1043 de la came 800d. L'arbre 822 est pro  longé et porte directement la came 800c. Par  l'intermédiaire d'une roue dentée 1044,     la,     roue dentée 1040 entraîne une roue dentée  1045 fixée sur l'arbre 1046 de la came 800b.

    La roue dentée 1045, par l'intermédiaire  d'une roue dentée folle 1047, entraîne une  roue dentée 1048 fixée sur l'arbre 1049 de la  came     800a.    Les cames     800a,        800b,    800c et  800d sont ainsi entraînées     synchroniquement.     



  La roue dentée 1044 tourne avec une  roue dentée<B>1050</B> qui, par l'intermédiaire  d'une roue dentée folle 1051, entraîne une  roue dentée 1052 fixée sur l'arbre 1053 qui  porte la came 825.  



  La roue 1050 engrène aussi avec une  roue 1054 fixée sur un arbre 1055 Sur lequel  est montée la came 820.  



  Une roue dentée 1056 fixée sur l'arbre 838  engrène avec une roue dentée plus grande  1057 fixée sur un arbre 1058 sur lequel est  montée la came 837.  



  Les cames 820, 825 et 837 sont ainsi en  traînées synchroniquement avec les cames       800a,    800b, 800c et 800d.    <I>Schéma.</I>     électrique.     



  Les lignes d'alimentation principales sont  désignées par 615 et 616, ces lignes étant sous  tension quand l'interrupteur de ligne princi  pal est fermé.  



       Circuits   <I>de</I>     commande   <I>de</I>     l'avance   <I>des cartes.</I>  Dans ce cas, l'abaissement d'une touche  de mise en marche et la fermeture de son  contact 617 produisent l'excitation de l'enrou  lement principal d'un relais de mise en mar  che R12 comme suit: ligne 615, contact de  came     CR6,    fil 618, contact de touche 617,  enroulement R12, fil 619 et ligne 616. Le re  lais R12 établit son propre circuit de main-    tien par le contact de came     CR5,    le fil 620, le  contact     R12a,    l'enroulement de maintien R12,  le fil 619 et la ligne 616.  



  L'autre contact     R12b    du relais     R12    de       luise    en marche se     ferme    pour préparer un  circuit de mise en marche automatique par  les relais R13 et R14 qui est. indépendant (le  la touche de mise en     marelle    et dépend de la  présence des cartes dans le magasin et, d'une  certaine condition dans le récepteur des car  tes. Le circuit. d'excitation du relais     R13     comprend la ligne 615, le contact     RE2    main  tenant fermé, le fil 623, le contact. 624 de la  touche d'arrêt, le fil 625, le contact     R12b,    le  relais R13, le     fil    619 et la ligne 616.

   Le cir  cuit de maintien comprend la ligne 615, le  contact de came     CR4,    le contact de relais       R13b,    l'enroulement R13, le fil 619 et la  ligne 616.  



  Le relais     R13    ferme son contact     R13a    en  série avec     l'enroulement    principal du relais       R14    de mise en marelle automatique. Le cir  cuit comprend la ligne 615, le contact de  came     CR3,    le fil     628,\1e        contact        R13a,    le con  tact 1112 maintenant fermé, l'enroulement  principal R14, le fil 619 et la ligne 616. Le  relais     R14    ferme     alois    son     contact.        R14a        pour     établir un circuit. de maintien pour. ledit re  lais.

   Ce circuit comprend la ligne 615, le con  tact de came     CR2,    le fil 629, le contact     814a,,     l'enroulement de maintien R14, le fil 619 et la  ligne 616.  



  Un autre contact     R14b    est associé au relais  R14 pour établir les     circuits        d'excitation    de  tous les électro-aimants de     commande    des em  brayages du mécanisme d'avance des cartes,  comprenant     l'électro-aimant        FG    qui commande  la barrière frontale, l'avance des cartes et le  dispositif chasseur.

   Le fonctionnement,. de cet  électro-aimant d'embrayage entraîne celui du  mécanisme d'avance des cartes par     l'intermé-          diaire    d'un circuit     eoinpreiiant    la ligne 615,  le fil 630, le contact de relais     R14b,    le fil 631,  le contact de came     CR125,    le fil 632, l'électro  aimant     d'embra.y        age    PC, le fil 633 et la ligne  616.

   Le fonctionnement du dispositif chasseur  produit l'avance de la. première carte dans  la. première station d'exploration     l',    ce qui a      pour effet d'actionner le levier de carte 298  qui ferme le     contact    252 et actionne un re  lais R4 pour assurer plusieurs commandes de  maintien associées au mécanisme d'explora  tion des cartes.  



  Le circuit d'excitation du relais R4 com  prend la ligne 615, le contact de came     PC2,     le contact 252 du levier de carte, l'enroule  ment principal du relais R4, le fil 619 et la  ligne 616. Un circuit de maintien pour ce re  lais s'établit par la ligne 615, le contact de  came     PC1,    le contact de relais     R4a,    l'enroule  ment de maintien du relais R4, le fil. 619 et  la ligne 616.  



  Une condition de maintien est basée sur  la, présence de cartes     enregistreuses    dans le  magasin, présence constatée par la. fermeture  du contact. de trémie 296, de la manière  connue, et par l'excitation d'un relais R1 de  commande de la trémie. Le circuit pour le  relais de trémie comprend la ligne 615, le  contact 296, le relais     Rl,    le fil 619 et la ligne  <B>616.</B> Le relais     Rl    ferme son contact     Rla    et  établit un circuit de maintien comprenant la  ligne 615, le contact de came     PC3,    le contact  (le relais     Rla,    le relais     Rl,    le fil 619 et la  ligne 616.  



  Le circuit pour le relais R4 de levier de  carte primaire s'établit par la fermeture du  contact 252 en série avec l'enroulement     prin-          eipal.    Ce circuit comprend la ligne 615, le fil  639, le contact. de came     PC2,    le contact 252  du levier de carte, l'enroulement principal du  relais R4, le fil 619 et la ligne 616. Un cir  cuit. de maintien s'établit pour l'enroulement  (le maintien (lu relais R4 par fermeture du  contact     R4ci    dans un circuit comprenant la  ligne 615, le fil 639, le contact de came     PCI,     le contact de relais     R4a,    l'enroulement de  maintien du relais R4, le fil 619 et la ligne  616.  



  En plus de l'indication dépendant. du     pas-          sage    d'une carte dans la première     station     d'exploration, il est nécessaire qu'une indica  tion plus tardive soit donnée pour maintenir  la commande exercée par la même carte quand  elle passe dans la seconde station d'explora  tion. Cette fonction. est assurée par     un    relais         L'7    qui est excité par le circuit de maintien  du relais R4 et maintenu pendant un. cycle  supplémentaire.

   Ce circuit d'excitation du re  lais R7 comprend la ligne 615, le contact de  came     PCl,    le contact de relais     R4a,    le con  tact de came     CF3,    l'enroulement principal du  relais R7, le fil 619 et la ligne 616. Le circuit  de maintien du relais R7 s'établit par ferme  ture du contact.     R7cc    et. par fermeture du con  tact de came 581 qui se ferme près de la fin  du cycle chaque fois que le dispositif récep  teur fonctionne. Cette fermeture est assurée  par un dispositif à came connu. Le circuit  de maintien du relais R 7 comprend la ligne  615, le contact 581, le contact de relais     R7cc,     le circuit de     maintien    du relais R7, le fil<B>619</B>  et la ligne 616.  



  Maintenant qu'il a été montré comment  les relais     Rl,    R4 et R 7 sont excités en. rap  port avec la présence et l'avance des     cartes     enregistreuses, il faut expliquer plus en dé  tail les commandes concernant la mise en  marche et le maintien de L'avance des cartes.  



  En ce qui concerne le maintien de l'exci  tation du relais R13 de mise en marche, il  faut noter que ce relais est rendu indépen  dant de l'abaissement de la touche de mise en  marche après les premiers cycles pour avan  cer la carte. Ce résultat est obtenu au moyen  d'une série de contacts     Rlb,   <I>Rob</I> et     R7b,    tous  disposés en série les uns par     rapport    aux  autres et avec le contact de relais     R13b    pour  maintenir R13 excité aussi longtemps que des  cartes sont présentes.

   Le circuit de maintien  supplémentaire complet comprend les lignes  615, le fil 623, le contact 624 de la touche  d'arrêt, le contact     RE2    maintenant. fermé,  les contacts de relais     Rlb,    Rob et     R7b,    le con  tact de relais     R13b,    le relais R13, le fil 619 et  la ligne 616. Par le maintien de l'excitation  du relais R13, il est possible aussi de mainte  nir le relais     R14    par fermeture du contact       R13a,    et la condition est. maintenue par la.  présence de cartes enregistreuses clans le ma  gasin et par leur avancement à travers le mé  canisme d'exploration.  



  On a, vu déjà que     l'électro-aimant    FG con  cernant la première barrière de     commande    de      l'avance des cartes et le mécanisme chasseur  sont actionnés par le contact de came     CR125     et par le contact     R14b    du relais de commande  de la mise en marche automatique. Pendant  cette excitation, le fonctionnement de     l'élec-          tro-aimant        I'P    de commande de l'embrayage  pour le déplacement du premier support de  broches se fait de bonne heure, ce qui en  traîne l'abaissement des broches en coopéra  tion avec la carte se trouvant dans la pre  mière station d'exploration U.

   Le circuit com  prenant l'électro-aimant     PP    dépend de la fer  meture du contact de relais Roc, qui, comme  on s'en souvient,     devient    effective quand le  levier de carte     \398    indique qu'une carte est.  entrée dans la première station.  



  L'excitation de     l'électro-aimant    CF qui  commande l'avance des cartes dépend aussi  de l'excitation du relais R4. Cet électro  aimant CF commande l'embrayage qui assure  la liaison de l'arbre<B>109</B> avec l'arbre d'entraî  nement principal 822. Dans ce but, un con  tact de relais     R4d    est     prévu    en série avec  l'électro-aimant d'embrayage CF. Le circuit.  comprend la ligne 615, le fil 630, le contact       R14b    du relais de commande de la mise en  marche, le fil 631, le contact de came     CR126,     le contact. de relais     R4d,    l'électro-aimant CF  et la ligne 616.

   Des cames que porte l'arbre  109 associé à. l'électro-aimant d'embrayage  CF commandent des contacts     CF3    qui se dis  tinguent des contacts de cames CR tournant  constamment, ces dernières étant reliées direc  tement au mécanisme d'entraînement.  



  La carte est libérée de la seconde station       d'exploration.    par l'action de     l'électro-aimant          RG    de commande de la barrière arrière qui  est sous l'influence commune du relais     Rl     associé au contact de la trémie et du relais  R4 associé au levier de carte.

   Le circuit pour  la commande de la barrière arrière est com  mandé normalement par le contact     R4e    et  comprend la ligne 615, le fil 630, le contact       R14b    du relais de mise en marche     aut.omati.-          due,    le fil 631, le contact de came     CR125,    le  contact de relais     R4e,    le fil 642, l'électro  aimant     d'embrayage        RG    et la. ligne 616.  Quand la dernière carte d'une pile est sortie    de la première station d'exploration, le relais  R4 n'est. plus excité et le circuit passe alors  par un contact. de relais     Rle    normalement.  fermé du relais R1 de commandé de la trémie.

    Ce contact est shunté     sur    le     contact    de re  lais     R4e    et assure les connexions qui sont nor  malement     assurées    par ce dernier, et permet  de maintenir excité l'électro-aimant     d'ein-          brayage        RG    pour le dernier cycle d'avance de  la carte, après quoi le contact     R14b    de coin  mande de la mise en marelle s'ouvre pour ter  miner les opérations commandées par l'em  brayage de l'élément     d'avance    des cartes.  



  En même temps que la commande de la  carte, quand cette     dernière    passe dans la se  conde station d'exploration, il faut     exciter     l'électro-aimant     RP    d'embrayage du support  des broches relatif an mécanisme d'explora  tion de la station arrière L.

   L'excitation de  cet électro-aimant     dépend    de l'opération com  mune des relais R4 et R7 des leviers de carte  montrant qu'une carte a quitté la première  station d'exploration et se trouve dans la se  conde station     d'exploration,    ce qui établit  alors un circuit complet comme suit: ligne  615, fil 630, contact     R14b    du relais de mise  en marche     automatique,    fil 631, contact de  came     CR125,    contact de relais     R4e,    contact de  relais     R7c,        électro-aimant        d'embrayage        RP,     fil 633 et. ligne 616.  



       Circuit.        de        commande        autoïnatique        poi!.i-          dée?eii.eh.ei-   <I>les</I>     opératimi-s   <I>de prise dit</I>     total     <I>et de</I>     remise.   <I>à zéro</I>     (ii.        totalisateur.     



  La machine représentée comprend un dis  positif de commande automatique pour dé  clencher les opérations de prise du total et de  remise à zéro du totalisateur, lorsqu'un groupe  de cartes déterminé a été exploré. Comme il  est bien connu, plusieurs colonnes occupant  un certain champ de la carte enregistreuse  sont réservées     pour    la représentation des nu  méros de groupe, afin de     pouvoir    identifier  les cartes appartenant au même groupe.

   Dans  le cas envisagé ici, il est représenté seulement,  pour     phis    de clarté, trois ordres ou trois co  lonnes dudit     circuit    de commande et, sur la       fig.    20b, seules les     connexions        à,    fiches pour      l'un des ordres sont indiquées, concernant, la.  commande de cet ordre à la station d'explora  tion supérieure et à la station d'exploration  inférieure.

   Depuis le jack 651 de l'ordre des  centaines de la colonne réservée     pour    la com  mande du groupe à la station de lecture infé  rieure, il est prévu une connexion à fiches 652  jusqu'au jack 653 relié à l'enroulement. prin  cipal d'un relais     RC1.    De même, la connexion  à fiches     65-1    pour l'ordre des     centaines    de la  station d'exploration supérieure permet l'exci  tation d'un relais de commande     RC2.    lies re  lais     RC1    et     R(\2    reçoivent ainsi les impulsions  électriques 5, 3, 1, 0, selon la combinaison de  perforations dans la colonne correspondante  de la carte dans la station inférieure et dans  la station supérieure.

   Le circuit est le même  pour chaque station et comprend la ligne 615,  le contact de came CR34 qui transmet les im  pulsions aux moments     oà    les perforations 5,  3, 1, 0 sont détectées, le fil 655, le cadre 395,  le levier clé contact     .100,    le jack 651, la con  nexion à fiches<B>652,</B> le jack 653, l'enroulement  principal du relais     RC1    et la ligne 616. Le  relais     RC1    est excité ainsi par les impulsions  électriques et, en même temps, le relais     RC2     est excité par les impulsions correspondantes,  si les représentations codifiées représentent le  même chiffre. Chaque relais     RC1    et     RC2    est.

    maintenu excité par un circuit de maintien  comprenant la ligne 615, le contact de came       CR34,    le fil 655, le contact     RCla    ou le con  tact     RC2a,    l'enroulement<I>H</I> du relais     RC1    ou  du relais     RC'2    et la ligne 616.  



  Le circuit de comparaison comprend les  contacts<I> b </I> des relais     RCl,        RC2    du même  ordre, et     ces    contacts doubles sont connectés  entre eux dans le circuit de telle manière que  si les relais     RC1    et     RC2    du même ordre sont  excités ensemble, les contacts  b  changent de  position conjointement et maintiennent ouvert  le circuit entre le fil 656 et un jack 657.

   Par  contre, quand les perforations dans les co  lonnes des     cartes    comparées sont dissembla  bles, l'un des contacts  b  seulement change  de position et un circuit s'établit par la ligne  615, le contact de came     CR34,    le fil 655, le  fil 656, les contacts     RC1b    (en position modi-    fiée par exemple) et     RC'2b    (en     position    nor  male) et le jack 657.

   Si on utilise trois ordres  pour la commande, les connexions 658 sont  établies et ainsi des perforations différentes  dans une quelconque des trois colonnes en  traînent la fermeture du circuit et, par la  connexion 659, l'excitation du relais de com  mande     HI1        (fig.    20 ) relié par un fil 660 à la  ligne 616.  



  Quand le relais     JIIl    est excité, comme dé  crit précédemment, son contact     1l'111-1    se  ferme et établit un circuit de maintien com  prenant la ligne 616, le fil 660, l'enroulement.       3111H,    le contact de relais     JIIl-1,    le contact.  de came CR41 et la, ligne 615. Le contact de  came     CR41    maintient excité le relais     3I11     jusqu'au degré 335 du cycle dans lequel le  changement de groupe a été détecté.  



  Le relais     HI1    ferme le contact     11I1-3     qui établit un circuit comprenant la ligne 615,  le contact, de came     CR43,    le contact     :1T11-3,     l'enroulement principal du relais     J112,    le fil  660 et la ligne 616. Le circuit de maintien  pour ce relais s'établit par le contact 11I2-1,  le contact de came CR42 et la ligne 615.

   Un  contact P12-2 du relais P12 établit une dé  rivation en parallèle avec le contact de came       CR42.    En conséquence, quand le contact de  came     CR42    s'ouvre au degré 315 du     eyele     dans lequel un changement du numéro de  groupe a été détecté, l'enroulement de main  tien du relais     JII2    est maintenu néanmoins  excité jusqu'à ce que le contact P12-2 s'ou  vre finalement, comme il sera décrit.  



  Quand le contact de came<I>CR48</I>     (fig.    20 )  se ferme au degré 305, avant que le contact  CR41 ne s'ouvre pour remettre au repos le  relais     11711,    un circuit s'établit comprenant.  la ligne 615, le fil 661, le contact de came       CR48,    le contact (le relais     11I1--1    maintenant  fermé, l'enroulement. principal du relais Pl  et la ligne 616. Un circuit de maintien pour  le relais Pl s'établit par le contact P1-1, le  contact     CR50,    le fil 661 et la ligne 615. Le  relais de commande     CC1    est. en parallèle avec.  l'enroulement de maintien du relais Pl.

   Le  contact de came CR50 maintient ainsi les re  lais Pl et     CC1    excités jusqu'au degré 288 en-           viron    du prochain cycle dans lequel s'effec  tuent les opérations d'impression du total et  de remise à zéro du totalisateur.  



  Pendant, la période de fermeture du con  tact de came     CR3        (fig.        20R)    permettant une  éventuelle excitation du relais     R14    de mise en  marche automatique, le relais     1I12    produit  l'ouverture de son contact     31I2-2.    Le relais       ±È14    revient ainsi au repos à. la fin du cycle  dans lequel le changement de groupe est dé  tecté, quand le contact de came     CR2    s'ouvre.  lia mise au repos du relais     R1-1    arrête  l'avance des cartes pendant. le     cycle    de prise  du total et de remise à zéro.

           Relais   <I>de commande du</I>     subtotal     <I>et de la</I>     remise   <I>à zéro.</I>    La machine est conditionnée     polir    impri  mer un total provenant d'un totalisateur et  pour remettre ce dernier à zéro, par une con  nexion à fiches 665     (fig.    20 ). Dans le cycle  où un changement du numéro de groupe a été  détecté, le contact de came CR58     (fig.        20c)    se  ferme, établissant un circuit comprenant la  ligne 615, le contact     CR58,    le contact de re  lais     CC1-1,    la connexion 665, le relais     STR     de remise à zéro et la ligne 616.

   Ainsi, d'après  la chronologie du contact de came     CR58          (fig.        21d),    il est. évident que le relais     STR    est  maintenu excité jusqu'au degré 275     environ     du prochain cycle, ou du cycle pendant le  quel se produisent une impression du total et  une remise à. zéro.

           Arîtres        reluis        pour   <I>conditionner la</I>     machine          pour   <I>les</I>     opérations        d'impression   <I>dit total,</I>  <I>et de</I>     remise   <I>à zéro</I>     dit        totalisateur.     Ces relais sont. les relais     LC,        S-,   <I>PCC</I> et       R?V    dont. les circuits d'excitation seront dé  crits en rapport avec les opérations de la ma  chine.  



  A la fin du cycle dans lequel un change  ment du numéro de groupe a été détecté, le  contact de came     CR119        (fig.        20c)    se ferme  pour établir un circuit comprenant la ligne  615, le contact de came     CR119,    le contact de  relais     STR2    maintenant fermé, le relais S-    et la ligne 616. Le contact CR119 maintient  fermé le relais S-     jusqu'au    degré<B>275</B> envi  ron du     cycle    pendant lequel se font une im  pression du total et une remise à zéro.

   Le  relais S- ferme son     contact    S-1, établissant  un circuit quand le     contact    de came<I>CR122</I>  se ferme entre 0 et     78     du cycle d'impression  et de remise à zéro, et     comprenant    la ligne  615, le     contact.        CR122,    le contact     STRl    main  tenant fermé, le relais     LC    et la. ligne 616.  



       Quand    le relais     LC    est     excité,    l'impression  du total se     produit.    de la manière qui va.     être     décrite.    <I>Circuits de commande (le l'impression</I>  <I>dit total.</I>    Dans la machine représentée, l'impression  du total se fait sous la commande de la     ]ce-          turc    du total conjointement à la commande  du dispositif traducteur décrit dans le para  graphe  Mécanisme     traducteur    et mécanisme  (l'impression du chiffre total  et.

   qui trans  forme la lecture des impulsions représentant  les combinaisons de perforations en une im  pulsion unique chronologiquement, différée  équivalente, pour sélectionner ainsi le type du  chiffre correspondant.  



  Chaque section de lecture comprend     une     série de plots de contact 661     (fig.    20" et 20e)  correspondant, aux chiffres, un plot de con  tact commun 662 et un balai 663 qui     prend     des     positions    correspondant aux chiffres selon  la représentation des chiffres dans l'ordre du  totalisateur. Les positions représentées sur le  schéma électrique se rapportent à un total de  00-14. Les plots 661 de même valeur sont re  liés entre eux par les fils 664 transmettant  les impulsions représentatives des chiffres.  Les contacts de came CR97 à. CR106 corres  pondent respectivement aux fils     644        marqués     9 à 0.

   Ces contacts transmettent les combi  naisons des impulsions 5, 3, 1, 0 notées sur le  schéma électrique, et comme leur chronologie  est la même que celle des impulsions 5, 3, 1, 0  du contact de came     CR34        (fig.        21P),    la chro  nologie pour chaque contact individuel     CR9   <I>7</I>  à     CR106    n'est pas représentée.

   Des combi-           terminés,    comme on le voit sur la     fig.        21b.     L'engagement de l'embrayage de la roue d'im  pression se produit donc à un instant. déter  miné, et. après que l'engagement s'est produit,  le contact 672     (fig.        22a)    de la roue à carac  tères se ferme à un instant déterminé du cy  cle pour transmettre une impulsion d'arrêt  à     l'électro-aimant    d'arrêt<B>8,11</B> du totalisateur  du même ordre.  



  La     pièce    898     (fig.        22a)    comprend un profil  de came 670 qui coopère avec le double bras  896 et le fait tourner peu après que l'em  brayage a été engagé. Le bras inférieur 671       du    double bras 896 s'appuie contre la. lame  supérieure du contact 672.

   Il est évident       qu'après    l'engagement de l'embrayage de la  roue 870, le léger mouvement du double bras  896 dans le sens des aiguilles d'une montre  ferme le contact.<B>672;</B> cette fermeture ne se       produit        évidemment    que si l'embrayage a été       engagé,    et les périodes de fermeture des con  tacts 672, pour transmettre les impulsions  0-9 chronologiquement déterminées, sont re  présentées sur le diagramme     fig.    21'.  



  Avant de décrire les     circuits    pour la trans  mission des impulsions d'arrêt, nous décrirons  les circuits pour la transmission des     impul-          sions    destinées à.     exciter    les électro-aimants de  mise en marche     L17    de tons les ordres.

   Rap  pelons     (fig.    20") que le relais S- est excité  à. la dernière partie du cycle, dans lequel un       eliangement    du     numéro    de groupe a été dé  tecté, et que le contact de came     CR119    main  tient ce relais excité pendant le cycle d'im  pression et de remise à.

   zéro jusqu'au degré  275     environ.    Par conséquent     (fig.    20d), quand  le     contaet    de came CR85 se ferme au degré       7-10        environ    du cycle, un circuit s'établit qui       comprend    la ligne 615, le contact     CR85,    le  contact de relais     STR3        maintenant    fermé, les       contacts    rie relais S-,     TT,   <I>T,</I>     H,        TII        ma.inte-          nant    fermés,

   les électro-aimants     A31    de mise  en marche des quatre ordres du totalisateur  et la ligne<B>616.</B> Tous les embrayages des roues       (lit        totalisateur    sont alors     erigapés,    et si l'une       quelconque    des roues du totalisateur se trouve       (]ans    une position de chiffre autre que la po  sition 9, la rotation de cette roue commence,    le     mouvement    représentant le complément à 9  du chiffre indiqué     par    la roue.  



  Pendant la rotation des roues du totali  sateur, des impulsions d'arrêt. sont.     envoyées          aux        électro-aimants    d'arrêt     Sil,    au moyen  d'un circuit qui va être décrit.

   Quand le con  tact de came CR15     (fig.        20c)    se ferme entre  les degrés 100 et 315 de chaque cycle, le relais  <I>PCC</I> est excité et modifie la position de ses  contacts     T',   <I>T,</I>     17    et.     TII.    Le circuit des impul  sions d'arrêt comprend la ligne 615, le con  tact de came<I>CR82</I>     (fig.    20e) qui est fermé  entre 116 et 273      pendant    les instants déter  minés où les contacts 672 des roues à. carac  tères sont fermés, les contacts de relais res  pectifs     PCCT',   <I>T, II,</I>     TII    maintenant en po  sition modifiée, le jack 668 correspondant, la  connexion à.

   fiches 667, le jack 666, les con  tacts de relais respectifs     LCTT,        II',   <I>T,</I>     TII     maintenant dans la. position normale, les     élee-          tro-aimant.s    d'arrêt     SII    respectifs et la ligne  616.    Si le totalisateur représente     00-14,    comme  il. a été supposé, le balai 663 de l'ordre des  unités étant dans la position correspondant  au chiffre q, le contact. 672 de cet. ordre se  ferme au degré 225.

   Cependant, l'impulsion  de mise en marche envoyée par le contact de  came CR85 a déplacé la. roue du totalisateur  de la position     -1    à la position 9, soit de cinq  pas, au moment où     l'électro-aimant.    d'arrêt  <I>SM</I> reçoit l'impulsion provenant du contact  672 de la, roue à caractères. La roue du tota  lisateur est ainsi arrêtée dans la position du  chiffre 9. L'opération est la même pour l'or  dre des dizaines supposé représenter un 4.  Pour les ordres des centaines et des milliers  cependant, on a supposé que chacun d'eux re  présentait. le chiffre 0 qui indique une posi  tion de balance ou de débit. L'impulsion de  mise en marche (les électro-aimants de' mise  en marche     11T    de ces ordres déterminera. un  mouvement de neuf pas.

   L'embrayage de la  roue     diinpression    est engagé pour faire tour  ner la roue d'impression 860 en sens inverse  des aiguilles d'une montre, environ en même  temps que le bras 881 de la roue d'impres-           naisons    des impulsions 5, 3, 1, 0 sont ainsi  transmises, selon le chiffre représenté, dans  le dispositif de lecture du totalisateur.

   Si, par  exemple, le balai est sur le chiffre 9, le con  tact de came<I>CR97</I> se ferme aux moments  voulus pour     transmettre    les impulsions 5, 3, 0  représentant, le chiffre 9 (comme le contact       CR34).    Le contact CR98     transmet    les impul  sions 5, 3, le contact CR99 les     impulsions    5,  1, 0, etc., aux instants représentés sur le dia  gramme chronologique     fig.    21 .

   Ces impulsions  sont dirigées dans un circuit comprenant la  ligne 615, le contact     CB,    le contact de came  CR102 (si le chiffre 4 est représenté dans  l'ordre des unités), le fil 644 correspondant  an chiffre 4, le plot 661, le balai 663, le plot  commun 662, le contact de relais     STRU    main  tenant fermé, le contact de relais     LCTT    main  tenant en position modifiée et le jack 666.  



  Pour que les sections de lecture comman  dent les ordres correspondants du dispositif  traducteur, des connexions à. fiches 667 sont.  établies entre les jacks 666 et les     jacks    668. Il  faut noter que pendant la première partie du  cycle, de 0 à 90 , quand les contacts de came  <I>CR97 à</I> CR106 transmettent les     impulsions    5,  3, 1, 0, les relais     LC    et     STR    sont excités.  



  Depuis le jack 666 du circuit de l'ordre  des unités, les impulsions sont dirigées par la  connexion correspondante 667, le jack 668       (fig.    20e), le contact de relais     PCCTI    mainte  nant en position normale, le contact de relais       RNI_T    en position normale, l'électro-aimant 861  de commande du dispositif du traducteur de  l'ordre des unités et la, ligne 616. Cet électro  aimant. reçoit les impulsions 3, 0 et, comme  décrit précédemment, le dispositif traducteur  les transforme en une     impulsion    équivalente  au chiffre 4 qui produit. l'engagement de  l'embrayage de la roue à caractères pour dé  clencher la rotation de la roue d'impression       jusque    dans la position 4.

   Ainsi, dans     chaque     ordre, les     impulsions    combinées 5, 3, 1, 0 sont  sélectionnées par le dispositif de lecture pour  être transmises     au    dispositif traducteur et  transformées en une impulsion équivalente  chronologiquement déterminée.     Quand    toutes  les roues à caractères 860     (fig.    22a) sont en    position, l'impression se fait par la     transmis-          sion    d'une impulsion au temps N.  



  Au degré 165 du cycle (fi-,     21c),    le con  tact de came     CR1.7    se ferme pour exciter. le  relais RN (voir     fig.    20 ). Le relais RN     change     alors la position de ses contacts     RNL',   <I>T, H,</I>  <I>TH</I>     (fig.    20e), de sorte qu'une seconde impul  sion est envoyée aux électro-aimants 861 de  tous les ordres par un circuit. comprenant la  ligne 615, le contact de came     CR80,    les con  tacts de relais     RNU,   <I>T, H, TH,</I> maintenant  en position modifiée les relais 861 respectifs  et la ligne 616.  



  <I>Circuits pour effectuer</I>     la        mise   <I>à</I>     zéro     <I>du</I>     totalisateur.     



  La mise à zéro du totalisateur se produit.  dans le même cycle que l'impression du total,  mais pendant la dernière partie de ce cycle,  et utilise des impulsions électriques d'arrêt  chronologiquement déterminées et provenant  du dispositif traducteur. Les impulsions de  mise en marche sont envoyées à chaque élec  tro-aimant de mise en     marche    du totalisateur  pour faire tourner les roues de ce dernier  dans le     sens    additif, depuis la position repré  sentative du chiffre jusqu'à la position zéro  qui, dans la machine envisagée ici, est la po  sition correspondant au chiffre 9.

   Les impul  sions d'arrêt provenant, du dispositif traduc  teur sont envoyées à des moments tels que le  complément à 9 du chiffre enregistré par la  roue du totalisateur entre     additivement,    pour  amener ainsi chaque roue dans la position 9,  Il est. préférable d'envoyer les impulsions  d'arrêt sous la     commande    des embrayages des  roues à caractères, chacun de ces embrayages,  comme il. a été dit, étant engagé     sous    la com  mande des impulsions combinées provenant  du dispositif traducteur, de sorte que l'enga  gement de l'embrayage de la roue à.

   caractères,  pour faire tourner cette dernière dans la po  sition voulue, se fait en même temps que la  transmission de l'impulsion d'arrêt envoyée à       l'électro-aimant    d'arrêt du totalisateur. Rap  pelons que le dispositif     traducteur        (fig.        22a     et 22b) produit le mouvement de la bielle 863  en des points du cycle chronologiquement dé-      Sion est. déplacé pour faire tourner cette roue  dans le sens des aiguilles d'une montre sur  l'effet de l'impulsion d'impression N. Il s'en  suit l'impression du chiffre 0.

   L'engagement  de l'embrayage de la roue d'impression en  traîne une fermeture plus tardive du con  tact 672 envoyant une impulsion d'arrêt à  l'électro-aimant d'arrêt     SH    après que la roue  du totalisateur a tourné de neuf pas     pour     prendre la position correspondant au chiffre 9.  



  Si une roue occupe la position 9 (indi  quant dans les ordres de gauche une donnée  négative ou de crédit), la fermeture du con  tact 672 pour envoyer une impulsion d'arrêt.,  au degré 1.40 environ, après que l'embrayage  de la roue d'impression a été engagée pour  choisir le caractère 9,     edïneide    avec l'impul  sion de mise en marche, ou précède de peu  cette impulsion qui est transmise à l'électro  aimant 1     JI    par le contact de came     CR85.     L'engagement de l'embrayage est. ainsi empê  ché et la roue reste sur la position 9.

      <I>Circuit</I>     d'essai   <I>de remise à zéro.</I>    A la fin de chaque cycle et, par consé  quent, à la fin du cycle dans lequel le totali  sateur a été remis à zéro, un circuit d'essai est  établi pour déterminer si les roues du totali  sateur ont été ramenées à la position zéro qui,  dans la machine envisagée ici, est la position  du chiffre 9. Si la machine a été conditionnée  pour les opérations de prise du total et de  remise à zéro, ce circuit d'essai sera détermi  nant pour le     fonctionnement    subséquent de la  machine, l'avance des cartes continuant pour  le prochain groupe de cartes ou, dans le cas       d'une    erreur, l'avance des cartes étant arrêtée  et l'erreur étant signalée à l'opérateur d'une  manière quelconque.  



  On a     vii    que le mouvement complémen  taire donné à chaque roue du totalisateur  pour l'amener à zéro déplace aussi le balai de  lecture 663 du même ordre d'une valeur cor  respondante, de sorte que si la roue du tota  lisateur     revient    à zéro, soit sur la position du  chiffre 9, le balai 663 vient également dans  la position correspondant au chiffre 9 et reste    sur le plot 661 correspondant, et les contacts  de     commande    du report. de     l'unité    739 et 741       (fig.    18) sont connectés les uns aux autres.  



  Sur les     fig.        2011    et 20e, les contacts de re  port 739 et 741 des quatre ordres sont con  nectés en série, de sorte que lorsque tous les  ordres représentent un 9, ce qui se produit.  quand chaque lame de contact 739 vient en  contact avec la lame 741 correspondante, un  circuit s'établit. comprenant la ligne 615, le  contact de came<I>CR70</I> qui se ferme à la. fin  du cycle, les contacts 739, 741 des quatre  ordres, l'enroulement principal du relais     SZB     et la ligne 616. Un circuit de maintien pour  ce relais est établi par la ligne 615, le contact.  de came     CR73,    le contact de relais     SZB1,    l'en  roulement<I>II</I> du relais     SZB    et. la ligne 616.

   Le  contact.<I>CR73</I> maintient l'excitation du relais       SZB    pendant la plus grande partie du cycle       suivant.    Uri relais indicateur d'erreur RE       (fig.        '0e)    a un circuit d'excitation conditionné  de manière à. être excité pendant. les opéra  tions de prise du total et de remise à zéro si  tous les éléments du totalisateur ne sont pas  dans la position zéro.

   Ce circuit est. condi  tionné par le relais     SCT        (fig.        20c).    L'enrou  lement d'excitation du relais     SCT    est en pa  rallèle avec l'enroulement d'excitation du re  lais     S-    et, par conséquent, il est excité par  le même circuit. quand le contact. de came       CR119    se ferme à la fin du cycle. Un cir  cuit de maintien pour le relais     SCT    s'établit  par la ligne 616, l'enroulement de maintien  du relais     SCT,    le contact de relais     SCTl,    le  contact de     came    CR74 et. la ligne 615.

   Le con  tact de came CR72 se ferme à. la fin du cycle  pour une éventuelle excitation du relais RE  par le circuit suivant: ligne 615, contact.       CR72,    contact de relais     SCT2    maintenant  fermé, contact de relais     SZB2    qui est ouvert.  si le totalisateur a été remis à. zéro dans tous  les ordres, et qui est fermé si un ordre quel  conque n'est pas dans la position du chiffre 9  après l'opération de remise à zéro, l'enroule  nient. d'excitation du relais RE et la ligne  616.

   Le circuit. de     maintien    du relais RE com  prend la ligne 616, l'enroulement de maintien  H, le contact de relais     RE1,    le fil. 673           (fig.        )0a),    le contact 624 de la touche d'arrêt,  le fil 623 et la ligne 615.  



  Il est évident maintenant que si tous les  ordres du totalisateur sont remis à zéro, le  relais RE n'est pas excité et la machine con  tinue ses opérations normales. On sait. que  dans les machines du type envisagé ici, le  fonctionnement continue après l'opération de  prise du total avec l'avance des cartes, et les  opérations comptables se poursuivent pour le  groupe suivant. jusqu'à ce qu'un changement  de groupe soit détecté.  



  Pour que l'avance des cartes se poursuive  quand une erreur n'est pas détectée, il est  nécessaire de mettre au repos le relais     JI12     qui, comme on l'a vu, est maintenu excité par  le contact de relais P12-2     (fig.        20c).    Le con  tact     A112-2    se ferme alors     (fig.        20a)    et com  plète le circuit d'excitation du relais R14 de  mise en marche automatique.

   Pendant le cy  cle de prise du total et de remise à zéro, il  s'établit un. circuit par la ligne 615, le fil 661,  le contact de relais     1I12-2    maintenant en  position modifiée, le contact P1-3 mainte  nant fermé, le contact     RE5    maintenant en  position normale (puisque aucune erreur de  remise à zéro n'a été détectée), le contact  P13-2 maintenant fermé, le contact de came       CR132,    l'enroulement principal du relais P12  et la ligne 616. Un circuit de maintien pour  P12 s'établit par la ligne 616, l'enroulement  de maintien H de     P12,    le contact. de relais  P12-1, le contact de came<I>CR46</I> et la ligne  61.5. Quand le relais P12 est excité, il ouvre  son contact.

   P12-2 pour désexciter le relais       JI12.    Le circuit de maintien de P12 est. main  tenu plus longtemps par le contact de came  CR46 que le contact de came CR42 n'est  fermé, et ainsi le maintien de l'ouverture     dit     circuit de maintien supplémentaire pendant  un temps plus long que la fermeture du cir  cuit de maintien par CR42 produit. finale  ment la. désexcitation du relais M12.    <I>Circuit.</I>     d'erreur        (le        remise   <I>à</I>     zéro.       Le totalisateur peut ne pas revenir à. zéro  clans tous les ordres pour diverses raisons,  par exemple si la connexion à     fiches    667 est    oubliée.

   Si l'opérateur oublie d'établir cette  connexion dans l'ordre des unités, l'impulsion  de mise en marche     normale    provenant du con  tact de came     CRâ5    est envoyée à l'électro  aimant de mise en marche     AJI    de cet ordre,  mais     par    suite de l'absence de connexion, cette       impulsion    n'est. pas envoyée dans l'électro  aimant d'arrêt     SJI    du même ordre.  



  Le balai 663 du dispositif de lecture re  tourne à la position représentant un  3 , et.  l'embrayage du totalisateur est     dégagé    par la  première cheville de choc mécanique 752. Ce  pendant, à. cause des dispositifs connus de     re-          port;    des unités qui sont prévus dans la. ma  chine, le report de l'unité dans l'ordre où un   3  est représenté change la position de lec  ture correspondante en un  4 . Comme les       contacts    739-741 de l'ordre des unités sont  ouverts, le relais     SBZ    n'est pas excité, le con  tact de relais     SBZ2    reste fermé et le relais  RE est excité.  



  Nous allons décrire maintenant comment.  le fonctionnement normal de l'avance des  cartes est. modifié et comment un second cycle  d'impression du total est produit     lorsqu'une     erreur est décelée dans les opérations de re  mise à zéro.  



  On suppose donc     qu'une    erreur a été dé  celée et que le relais     R.E    est excité pendant la  première partie du cycle d'impression de to  tal et de remise à. zéro, quand le contact de  came CR72 se ferme à.     3-17 .    Un circuit s'éta  blit quand le contact de came CR133     (fig.    20c)  se ferme au degré 5 du cycle suivant (RE  étant maintenu indéfiniment.), comprenant la  ligne 615, le fil 661, le contact     3I12-2    main  tenant en position normale, le contact     RE5     maintenant en position modifiée,     puisqu'une     erreur a été détectée, le contact     RE4    mainte  nant fermé pour la.

   même raison, le contact  de came     CR133,    le contact. P14-2, l'enroule  ment principal du relais Pli et la, ligne 616.  Le circuit de maintien de P13 comprend la  ligne 616, l'enroulement     P131-T,    le contact       P13-1,    le contact de came     CR45,    le fil 661 et  la ligne 615. Ce circuit     maintient    le relais  P13 excité jusqu'au degré 315 du cycle sui  vant le cycle d'impression du total et de re-      mise à zéro, qui peut être appelé un cycle   mort. . Au degré 305 de ce cycle mort,  quand le contact de came     CR48    se ferme, il.

    s'établit un     circuit    comprenant la ligne 615,  le contact de relais P13-2 maintenant fermé,  l'enroulement principal de Pl et la ligne 616.  Le relais Pl est alors maintenu excité par le  contact de came     CR50,    et. par répétition des  opérations précédemment décrites, la machine  est à     nouveau    conditionnée pour effectuer un  nouveau ou un second cycle d'impression chi  total et de remise à zéro.  



       5i    l'on suppose que tous les ordres du dis  positif de lecture ont été ramenés à la posi  tion 9, excepté l'ordre des unités qui repré  sente encore le chiffre     4-,    on voit que dans ce  second cycle le total, qui est     imprimé    à nou  veau indique un 4 dans la colonne d'impres  sion de l'ordre des unités. On dispose dore       d'une        indication    imprimée signalant une  erreur de remise à zéro dans l'ordre des       unités.     



  Le circuit d'essai de remise à zéro précé  demment décrit redevient. opérant, mais il est  rendu inefficace     par    le fait que le relais RE  a     alois    déjà été excité et qu'il est maintenu  excité     indéfiniment    par son circuit. de main  tien passant par le contact     6'24    de la touche  d'arrêt.  



  Il est prévu cependant un circuit de blo  cage pour empêcher un     troisième    cycle consé  cutif d'impression du total et de remise à  zéro. Ce     eireuit    conditionne le relais P14. Au       degré    273 du cycle  mort , le contact de came  CR47 se ferme, tandis que le relais P13 est  encore excité et établit un circuit. comprenant  la ligne 615, le contact     CR47,    le contact. de  relais P12-3 maintenant. fermé, le contact.  P13-3 maintenant, fermé, le fil 674, le con  tact de relais     RE3    maintenant fermé, l'enrou  lement principal du relais P14 et la ligne 616.

    Un circuit de maintien s'établit par la ligne  616, l'enroulement     P14H    de maintien, le con  tact     P14-1,    le fil 673, le contact 624 de la  touche d'arrêt et la ligne 615, ce qui main  tient le relais R14 excité indéfiniment. Ainsi,  il est, évident que pendant le second cycle de  prise du total et<B>(le</B> remise à. zéro qui suit    celui dans lequel une erreur a été détectée, le  circuit décrit précédemment transmettant une  impulsion au relais P13 ne peut être établi  une seconde fois, par suite de l'ouverture du  contact     P14--2.     



  Un signal lumineux     SL        (fig.        20")    est  monté en parallèle sur le circuit. de maintien  du relais RE et indique qu'il y a une erreur.  Le second total imprimé indique l'ordre du  totalisateur clans lequel l'erreur s'est produite.  



       Oua!ertiire   <I>du circuit</I>     d'a.mcnce   <I>des</I>     cartes     <I>dans le cas d'une erreur.</I>  



  Il est avantageux, dans certains cas, d'ar  rêter l'avance des cartes, de manière à     pou-          oir    localiser et corriger l'erreur.  



  On voit. sur la     fig.        20a    que le circuit  d'excitation du relais R13 passe par le con  tact. de relais     RE2.    L'excitation. du relais<I>RE</I>  lors d'une erreur dans la. remise     à,    zéro pro  duit     l'ouverture    du contact     RE2,    le relais     R1.3     n'est pas excité, le contact     R13ca    reste ouvert  et le relais R1.4 n'est pas excité.

   On a vu que  le relais R14 commande le contact     R14h    qui  conditionne les circuits d'excitation des élec  tro-aimants d'embrayage     FP,        FC,        RP,        RC    et       CI'.    Par conséquent, aucun des quatre em  brayages du mécanisme d'avance des cartes  ne s'engage, et en outre, l'électro-aimant CF  ne s'excite pas. II s'ensuit que tout l'élément.  d'avance des cartes est inopérant et, en con  séquence, les cartes n'avancent pas.  



  Quand la touche d'arrêt est abaissée, les  circuits de maintien de relais RE et P14 sont.  rompus et la machine est prête pour que  l'avance des cartes reprenne par abaissement  de la touche de mise en marche et fermeture  de son contact 617.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine comptable, dans laquelle les opé rations d'impression de total et de remise à. zéro du totalisateur se font successivement, et comprenant. un ensemble d'éléments de totali sateur, des moyens pour la remise à zéro de ces éléments et des moyens pour imprimer le chiffre total représenté par les positions res pectives de ces éléments, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens pour vérifier, après chaque opération de remise â. zéro, la position des éléments de chacun des ordres du totalisateur et assurer une nouvelle opération d'impression de total quand l'un quelconque des ordres du totalisateur n'est pas revenu à zéro, afin d'imprimer le total enregistré à ce moment-là dans le totalisateur, y compris l'ordre qui n'est.
    pas revenu à zéro. SOL S-RE VEï@DICATIONS 1. 1Iaehine selon la revendication, caracté risée en ce que le totalisateur comprend une série de roues totalisatrices, et en ce que les dits moyens de remise à zéro sont agencés pour produire la rotation de ces roues jus qu'à la position zéro. 2. Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle est agencée de façon que la répétition de l'opération d'impression du total. provoque la répétition de l'opération de remise à zéro. 3.
    Machine selon la, revendication, caracté risée en ce qu'elle est agencée pour être com mandée par des cartes enregistreuses perfo rées, et en ce qu'elle comprend des moyens pour contrôler le numéro de groupe desdites cartes, et des moyens pour faire avancer ces cartes, lesdits moyens de contrôle du groupe étant agencés pour empêcher le fonctionne ment desdits moyens d'avance des cartes cluand ils détectent un changement du nu méro de groupe, les moyens d'avance des cartes ne fonctionnant à nouveau que lorsque tous les éléments totalisateurs ont. été remis à zéro.
    4. Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comprend des inoy eus pour signaler une erreur quand au moins un ordre du totalisateur n'a pas été remis à zéro.
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