Machine à calculer. L'invention se rapporte à une machine à. calculer utilisant des feuilles perforées, ca ractérisée en ce qu'elle comporte un appa reil effectuant à volonté les quatre opérations ayant divers dispositifs permettant d'effec tuer simultanément l'addition et la soustrac tion, ainsi que la totalisation de séries -de pro duits et quotients et des mêmes produits et quotients précédés -du signe moins, ces résul tats étant visibles sous formes de nombres apparaissant sous des fenêtres ad hoc, nom bres constitués par -des chiffres portés par des tambours, un second appareil étant prévu qui inscrit en langage clair, sur du papier, en plus de lettres représentées, elles aussi, par des perforations dans les feuilles, les divers termes de chacune des opérations et .des ré sultats de celles-ci,
de manière à conserver trace de ces résultats sans être obligé de les inscrire à la main. L'inscription en langage clair pourra se faire par tout appareil appro prié. Sur les dessins annexés, une forme d'exé cution de l'objet de l'invention ainsi que des variantes de détail sont représentées à titre d'exemple.
La fig. 1 représente un élément -de totali sation vu de face; La fig. 2 représente le même élément vu de côté; La fig. 3 est un schéma -de montage des circuits de commande des totalisateurs; La fig. dbis montre un distributeur uti lisable dans le schéma de la fig. 3; La fig. 4 représente la disposition des perforations; La fig. 5 est un schéma de montage -des commutateurs commandant les dispositifs de retenue; La fig. 5bis est un schéma analogue sim plifié;
La fig. 6 montre un .des commutateurs et sa commande, et La fig. 7 la came de commande de ce com mutateur; La fig. 8 montre, vu de côté, le dispositif utilisé pour la multiplication et la division; La fig. 9 représente le même dispositif vu -de face;
La fig. 10 est un schéma -de montage des circuits utilisés pour la multiplication; La fig. 11 est un schéma du montage pour l'inscription des zéros. seulement lors qu'ils sont à la droite :d'un chiffre significa- tif; La fig. 12 est un schéma du montage du chariot de la machine; La fig. 19-bis est une variante du mon tage de la fig. 3;
La fig. 13 est un schéma,des circuits gé- n6raux de l'appareil; La fig. 14 est un schéma représentant le fonctionnement des cames:; La fig. 15 indique la disposition .de ces cames; La fig. 16 représente le schéma du mon tage permettant -de n'inscrire le paramètre de tri -d'un paquet qu'en tête de ce paquet; La fig. 17 montre la disposition -d'un en cliquetage nécessité par les transcriptions; La fig. 18 représente le schéma -des cir cuits de commande du chariot pour la divi sion;
La fig. 19 montre le schéma des circuits -de la division; La fig. 20 est le schéma de montage per mettant l'utilisation du fichier répertoire. _Le mécanisme d'addition est le suivant: Un pignon 1 (fig. 1 et 2) de forme clas sique, à une dent, par exemple, accolé à un disque 2 de même diamètre engrène avec une croix de Malte 3 à dix encoches, folle sur son axe.
Le pignon 1 étant animé d'un mou vement .de rotation continu, la croix -de Malte 3 tournera ou restera bloquée suivant que le creux de son bord sera en prise avec le pi gnon 1 ou le disque qui lui est accolé; tout reviendra donc, pour .faire tourner ou non la croix,de Malte à déplacer longitudinalement le pignon 1 qui pour cela, sera simplement enfilé et claveté sur son axe,,de façon à pou- voir. glisser le long de celui-ci. Solidaire de la croix de Malte 3, un pignon 4 engrène avec un pignon 5 par l'intermédiaire d'un groupe de trois pignons 6, 7, 8 formant inverseur.
Enfin, le pignon 5 engrène avec un pignon 9 solidaire d'une roue 10 dont la jante est gravée des -dix chiffres. Il y a lieu -de remar quer tout -de suite que si l'on a soin -d'attri buer aux pignons 4, 5, 6, 7, 8, -des nombres -de dents multiples,de dix, chaque fois que la croix de Malte se sera déplacée d'un ou plu sieurs dixièmes -de tours, les pignons de l'in verseur se trouveront identiquement dans la même situation, de sorte que les dents vien- ,dront en prises sans difficulté. Le groupe de ces pignons 6, 7, 8 est monté sur un petit support 11 qui est enfilé sur deux arbres à crémaillères 12, 13.
Un levier 14, rentrant soit dans la crémaillère 12, soit dans la cré maillère 13 rend l'une -de celles-ci solidaire du support 11. Par conséquent, le déplace ment longitudinal -des arbres 12, 13 mettra à volonté en marche avant ou arrière tous les trains de pignons respectivement embrayés sur chacun d'eux. Le mouvement latéral du pignon 1 est commandé par une fourchette 15 pivotée en 16 et maintenue par un ressort<B>17</B> dans une position telle que ce soit le disque 2 qui en grène avec la croix de Malte. Une tige 18,
munie -d'un têton 19 reçoit d'une came portée par l'arbre général -de la machine un mouve ment vers la gauche qui embraye le pignon 1 avec la croix de Malte 3 et vient appliquer le barreau -de fer doux 20, terminant le levier 15, sur les pièces polaires -de l'électra 21.
Le mouvement que la tige 1.8 reçoit de la came qui la commande est tel que, dès que l'armature 20 a été appliquée sur l'éleetro 21, cette tige se recule; par conséquent, le pignon 1 ne restera embrayé avec la croix de Malte 3 que dans le cas où l'éleetro 21 sera parcouru par un courant. Dans le cas ;
on- traire, le ressort 17 le débraie avant qu'il n'aie eu le temps de faire tourner la croix de Malte 3, les pignons qu'elle entraîne et la roue chiffrée 10. Bien entendu, cela suppose que l'arbre portant le pignon 1 et la came commandant la tige 18 sont convenablement synchronisés.
Le dispositif d'entraînement par pignons tels que le pignon 1 (fig. 1) et la croix de Malte présente les avantages bien connus mais aussi le défaut que, lorsque la dent du pignon 1 vient en prise avec l'encoche corres pondante de la croix de Malte ou la quitte, tout le système est soumis à un choc brus que qui a pour effet :de le :détériorer d'au tant plus rapidement que le pignon 1 tourne plus vite. Or, pourvu que la :durée d'une ré vohition du pignon 1 soit constante, que la vitesse de rotation de ce pignon soit uniforme ou non, le rendement de l'appareil sera tou jours le même.
Dans ces conditions, il sera facile :d'obvier en grande partie au défaut susindiqué du :dispositif à croix :de Malte en donnant au pignon 1 une vitesse variable qui sera minime au moment où ce pignon entre en prise avec la croix de Malte et au moment où il la quitte. Ce résultat pourra !être faci lement obtenu par un mécanisme quelconque transformant un mouvement de rotation uni forme en un mouvement à vitesse variable, par exemple par pignons elliptiques et ré ducteur de vitesse.
L'électro 21 comporte trois enroulements 25, 26, 27, .deux dans le même sens et l'au tre dans le sens opposé (fig. 3). Le courant, venant de la pile 22 arrive aux :distributeurs 29, 30, 31, 32, 33 montés en dérivation.
Les trois premiers sont réunis par trois fils aux pastilles de la. plaque de contacts .du :distri buteur de fiches de la façon suivante: le fil venant de 29 aux :deux pastilles extrêmes a et f d'un groupe de six pastilles; le fil ve nant de 30 aux deux pastilles voisines b et e :des .deux précédentes; enfin, le fil venant de 31 aux deux pastilles centrales du groupe, <I>c et d.</I> Le peigne correspondant est divisé en deux tronçons 23' et 24 de trois tiges chacun recevant, d'après le montage précédent es pastilles, les mêmes courants. La moitié 23 est connectée à l'enroulement 25 :de l'électro 21 et l'autre 24, à l'enroulement 26, de sens contraire.
Le troisième enroulement 27 :de cet électro est relié directement :à l'interrup teur 32. Les interrupteurs 29, 30, 31, 32 sont commandés par une came de telle sorte que leurs durées de fermeture soient comme 1, 2, 4, 3 respectivement, la durée unité étant, celle qui est nécessaire au pignon 1 pour faire tourner, lorsqu'il est embrayé, la croix de Malte 3 :de '/,o de tour. En outre, les ferme tures :de 31 et<B>32</B> devront chevaucher très légèrement.
Enfin, le profil :de la came ap pliquant les armatures par l'intermédiaire des tiges 18 est tel que ces armatures soient appliquées sur leurs électron respectifs au mo ment :des fermetures :des interrupteurs 29, 30 et 31.
Si donc, :dans ces conditions, les quatre trous de la fiche viennent se placer, trois en <I>a, b,</I> e sous le demi-peigne 2,3 et le quatrième en d sous le :demi-peigne 24, le trou corres pondant au chiffre 1 en a, celui correspon dant au chiffre 2 en b, etc. (fig. 4), l'électro 21 recevra, en une ou plusieurs fois, un cou rant d'une :durée:
1 pour le chiffre 1, 2 pour le chiffre 2, etc., 9 pour le chiffre 9 et 0 pour le chiffre 0, à la condition que la puissance du ressort 1.7 soit suffisante pour que l'attraction de l'électro 21 sur son armature 20 ne puisse faire bouger celle-ci quand elle n'a pas été appliquée sur l'électro 21 par la tige 18; en effet, cela est évident pour les chiffres 1, 2, 3; pour le 4, le courant de 32 légèrement su perposé à celui de 31 auquel il succède et est opposé, décollera l'armature; au contraire, pour le 7, le courant de 32 étant de même sens que celui de 31, l'armature restera collée;
enfin, pour le 0, l'électro 21 recevra simulta nément deux courants inverses, par consé quent l'armature se détachera immédiate ment. Les autres chiffres se comprennent d'eux-mêmes.
Les interrupteurs 2,9, 30, 31, 32, 33 peu vent être constitués par le distributeur tour nant représenté à. la fig. ibis. On supposera les cames dessinées à l'extérieur, solidaires de la couronne portant les lames métalliques, tournant avec elle-: dans le sens indiqué par la flèche, le frottoir restant fixe. Les parties isolantes sont représentées en hachures croi sées. foncées. Le frottoir a la forme d'une fourche; l'isolant entre les blocs métalliques 31 et 32 est moins large que l'écartement des dents -de cette fourche; il y a donc ainsi che vauchement entre ces deux durées de courant.
Quant à la came commandant l'application des armatures des électron 21 par l'intermé diaire .de la tige 18 (fig. 2), son fonctionne ment se comprend de lui-même.
Le dispositif pour la réalisation .des rete nues est basé sur le principe -de leur inscrip tion simultanée et fonctionne ainsi: Un interrupteur M (fig. 3) est fermé au moment voulu (moment qui sera mieux :dé fini plus bas) pendant la même durée que l'interrupteur 29 (une unité). Le courant ve nant de la pile 22, après avoir traversé cet interrupteur 33 se rend au circuit 27 de 1\é lectro 21 à travers un commutateur 34 (fig. 5 et 6).
Ce commutateur à .deux,direc tions, commandé par le chiffre à. droite -de celui dont il alimente l'électro, est normale ment dans une position. intermédiaire (fig. 6) et aucun courant ne peut passer dans les électron 21, venant de 33. Une came 35 (fig. 6), solidaire de la roue chiffrée 10 (fig. 2) porte, en une rbgion correspondant au passage -de la roue 10 .du 9 au 0, un bos sage 36 qui repousse à gauche le levier 37 qui vient s'encliqueter en 38 en fermant en 39 le contact du commutateur 34.
On voit sur la fig. 5 que dans ce cas (levier R représenté vertical), l'électro \_?1 reçoit,du courant qui a traversé l'interrupteur manuel 43, supposé fermé. D'autre part, la came 35 porte, dans la région correspondant à. un 9 sur la roue chif frée, une encoche 40 dans laquelle le levier 37 vient s'enfoncer sous l'action du ressort 41.
Le commutateur 34 est alors fermé en 42 (position horizontale du levier sur la fig. 5) et -met ainsi en dérivation l'électro 21 du chiffre commandant le commutateur avec ce lui de son voisin de gauche; autrement dit, lorsqu'un 9 a été enregistré, s'il reçoit une retenue, son voisin -de gauche la reçoit aussi. <I>Exemple</I> numérique: Soit à ajouter: 156.743 843.552 <B>10</B> Le premier nombre s'enregistre et s'inscrit simultanément sous l'action de cou rants fournis par les interrupteurs 29, 30, 31, 32 (fig. 3). Il ne se passe évidemment rien pour le courant fourni par 33 puisqu'il ne peut y avoir de retenues.
20 Le deuxième nombre s'enregistre el: s'inscrit de la même façon; les disques mar quent immédiatement après l'ouverture de l'interrupteur 32 et avant fermeture de 33 9:99295.
Les électron 21 -des six colonnes seront alors connectés comme suit (en supprimant les interrupteurs 43, voir fig. 5bis) et l'on voit sans peine que, une fois le courant 33 passé, les chiffres .deviendront: 1000295 Ce qui précède, concernant le cas de pad- dition de sommes s'enregistrant sur le totali sateur formé par un groupe de roues chif frées, doit être modifié comme suit dans le cas où le nombre à enregistrer doit être re tranché: le groupe des pignons 6, 7, 8 doit être déplacé pour inverser le sens de rotation du pignon 5 et par suite de la roue chiffrée.
D'autre part, ce n'est plus lorsqu'un chiffre recevant une retenue est un 9 qu'il doit la transmettre à son voisin de gauche, mais lorsqu'il est un 0. Pour cela, la came 35 de vra êAtre accolée à une autre pour laquelle l'encoche 40 se trouve de l'autre côté du bos sage 36.
De plus, il sera nécessaire que par inversion du sens -de la rotation, le levier 37 passa d'une came à l'autre; pour cela, la came 35 devra être munie dans la région 40-36-40 d'une sorte de rampe constituée par une rampe 43' (fig. 7) en forme d'$ al longé, de façon que le levier 37, qui devra posséder une certaine élasticité ou pouvoir prendre un certain déplacement latéral, soit obligé de glisser à gauche -de cette rampe lors que la came 35 tourne dans un sens et à droite de celle-ci lorsque la came $5 tourne dans l'autre sens.
Pour la soustraction, il n'y a rien à chan ger à l'addition si ce n'est que sous l'actian du dispositif de pignons inverseurs, les roues chiffrées tournent en sens inverse pour l'en registrement du -deuxième nombre et que le profil présenté par la came 35 n'est plus le même.
Dans toute cette description, on a sup posé que les chiffres pouvaient être groupés de façon à. former deux totalisateurs diffé rents pouvant recevoir simultanément îles nombres positifs ou négatifs; dans le cas où l'on se contenterait d'une seule totalisation, il est bien évident que l'on pourrait remplacer les inverseurs individuels par un simple in verseur unique sur l'arbre 44. Ici on envisage donc simplement un emploi limité de la ma chine. Normalement, la machine effectue si multanément l'addition et la soustraction.
Dans ces conditions, tous les chiffres de la machine sont solidaires; si, par exemple, leur nombre est 100 et que le premier à gau che étant un zéro, et les 99 autres .des 9, on ajoute à ce nombre une unité, le résultat ob tenu en une seule fraction de tour sera le nombre 1099. L'avantage de ce dispositif est de permettre le groupement à volonté -des colonnes: pour cela, il sera évidemment né cessaire de pouvoir désolidariser certaines co lonnes: cela se fera très aisément au moyen des petits interrupteurs à main 43 (fig. 5) qui coupent l'alimentation par le rupteur 33 des électro.s 21 du chiffre correspondant.
Supposons qu'il s'agisse maintenant d'ef fectuer une multiplication par un nombre d'un seul chiffre; tout revient à faire tour ner l'arbre 44 sur lequel sont enfilés les pi gnons 1 d'un nombre de tours égal au nombre d'unités contenues dans le multiplicateur. On peut pour cela employer le dispositif de lec ture -des barèmes en prenant pour barème une table de Pythagore; il faudra alors, bien entendu opérer en deux fois, d'abord sur les chiffres de rang pair, par exemple, puis sur ceux -de rang impaire pour éviter les retenues supérieures à. 11. Le système suivant est pré- (érable et s'adapte plus commodément à la division.
Ainsi qu'il sera expliqué plus bas, sous l'action du relais de multiplication, l'arbre 44 portant les pignons 1 se met à tourner. A chaque tour, il fait avancer d'une unité (l@lo de tour) un tambour isolant 45 (fig. 9 et 10) portant des pastilles métalliques 46 incrustées de façon à former les dix chiffres successivement, ces pastilles étant connectées intérieurement à une bande métallique 47, en tourant le cylindre 45 et servant à l'arrivée -du courant par l'intermédiaire du frottoir 48.
Le courant venant de la source 49 (fig. 10) traverse les quatre électros R12, R'12, R"., R"'12 d'un système de comparaison d'égalité de deux groupes de perforations; les autres extrémités de ces enroulements sont respec tivement connectées avec les frottoirs 50.
Quant à l'autre enroulement de ces électros, il -est connecté avec les pastilles 51 de la plaque de contacts du porte-fichies, celles-ci étant en dérivation pour l'ensemble -des chiffres du multiplicateur; d'autre part, les peignes cor respondants 52 sont connectés aux plots 55 d'un distributeur 53 dont le frottoir 54 est re lié à la source 49.
En même temps que le tambour 45, avance d'une unité un arbre 56 (fig. 8 et 9) portant, enfilés et clavetés sur lui des pignons 57 identiques aux pignons 1 engrenant avec ,des croix .de Malte 68 -en nombre égal au nombre p des chiffres admis comme capacité pour le multiplicateur dans la machine. Les pignons 57 sont montés sur l'arbre 56 comme les pignons 1 sur l'arbre 44; ils sont main tenus en place par des fourchettes 58 pivotées en 59 et dont la queue 60 est engagée dans une rainure 62 tracée sur un cylindre 61. Ces rainures portent chacune une encoche 63, le décalage entre .deux encoches appartenant à deux rainures consécutives étant de 360 /p.
Les croix de Malte 68 sont solidaires .des quatre petites cames 64, 64', 64", 64"' por tant en creux les combinaisons du code cryptographique et contre lesquelles peuvent venir s'appliquer quatre tiges 65, 65', 65", 65"', fermant les circuits correspondants (non représentés sur les figures); ces cames et con tacts servant au transport du multiplicateur en particulier pour son inscription. C'est cette application qui sera .dénommée dans la suite "Application -des contacts".
Lorsque le chiffre indiqué par le tambour est égal à celui du. multiplicateur, le produit enregistré est évidemment 1c produit cherché; l'action du dispositif .de comparaison sera donc d'arrêter la rotation des pignons 1 et de passer à la fiche suivante; on verra comment un peu plus loin.
Dans le cas où le multiplicateur est un nombre de plus .d'un chiffre, il est bien évi dent qu'il faudra munir la machine d'un cha riot mobile pour décaler, vers la gauche, par Pxemple, les totalisations lorsqu'on passe aux différents chiffres du multiplicateur. Ce cha riot sera constitué par un simple commuta teur ayant pour but de déplacer d'une unité les fils venant des peignes et se rendant aux électros 21. Autrement dit, chaque chiffre du multiplicande sera successivement connecté avec les électros 21 successifs correspondant aux colonnes où doivent s'enregistrer les chiffres du produit.
La fig. 12 montre un schéma de ce chariot distributeur: les fils 67, 67', etc., venant des peignes passent devant les ressorts 66, 66', ete., connectés avec les co lonnes où doivent s'enregistrer les produits; on voit qu'un déplacement vers la gauche -de l'ensemble des fils d'arrivée décalera d'une unité vers la gauche l'enregistrement du mul tiplicande. Sur la fig. 12 on a supposé pour plus de simplicité que les connexions entre les peignes et le chariot se faisaient par l'in termédiaire de fils souples; il serait préféra ble, pour éviter les ruptures de fils de rempla cer ceux-ci par -des bandes métalliques et des frottoirs.
Dans le cas du multiplicateur à plusieurs chiffres, l'égalité entre le chiffre indiqué par le tambour 45 et par le chiffre du multipli cateur figurant sur la fiche devra, par les combinaisons de circuits qui seront exposées ci-dessous, arrêter les embrayages de pi- gnons 1 avec les croix -de Malte 3, et déplacer le chariot ainsi que le distributeur 53.
Le cylindre 61 ainsi que les pignons 57 sont montés sur un bâti 69 qui peut osciller autour de l'arbre 70 sous l'action de la came 71 et de la roulette 72 fixée en 73 sur le bras 74 du bâti 69. Pour permettre ce mouvement de bascule, le cylindre 61 et l'arbre 56 re çoivent leur mouvement par l'intermédiaire des pignons 75 et 76 engrenant avec les pi gnons 77 et 78 fous sur l'arbre 70 -du bâti 69. Ceux-ci reçoivent à leur tour respective ment leur mouvement -des pignons 79 et 80. Un cylindre 81 fixé au bâti 69 vient, .dans la position de repos bloquer les croix de Malte 68 qui ont été libérées par les disques des pi gnons 57.
Cette position de repos correspond à l'addition et à la soustraction, et la position représentée sur la fig. 8 @à la multiplication et .à la division.
La multiplication est tout simplement ob tenue par totalisations successives. Les di vers mouvements mécaniques à réaliser le sont toujours de la même façon; un relais commandé par -la perforation agit plus ou moins directement sur un embrayage ma gnétique qui produit le mouvement désiré; puis, celui-ci terminé, actionne un contact mécanique grâce auquel un relais détermine le mouvement suivant, etc. Tous les divers mouvements utiles: arrêt -du -distributeur de fiches pendant la durée de la multiplication, mise en position du bâti, déplacement du cha riot 69 (fi g. 8 et 9), etc., sont déjà exposés en détail dans le brevet suisse no 139019.
Le point vraiment fondamental est l'arrêt des totalisations successives au momént voulu; par exemple, dans le -cas -de la mul tiplication: 252 X 2,8, le nombre 25,2 s'en registre au totalisateur; le tambour 45 (fi,-. 9 et 10) avançant d'une unité, place sous les frottoirs 50 la combinaison corres pondant -à 1; 252 s'enregistre une seconde fois, la combinaison 2 vient sous le balai, etc., jusqu'à 8;
Ù ce moment, ainsi qu'il résulte des connexions de la fig. <B>10,</B> les courants venant du tambour 45 -et ceux venant des peignes de lecture du multiplicateur devenant identiques puisqu'ils correspondent au même chiffre, le dispositif de comparaison de ces deux nom bres formé par les quatre électron R12, R'12, R"12, R\12 agit suivant le processus indi qué plus haut (voir brevet suisse no 139019) pour réaliser l'arrêt de l'enregistrement du multiplicande puis le déplacement du chariot d'une unité vers la gauche; les mêmes opéra tions se produisent alors pour le chiffre 2 (du multiplicateur 28).
<I>Exemple</I> numérique: Soit à multiplier: 892 par 2534.
Le chariot étant situé dans sa position de droite, le multiplicande 892 est additionné quatre fois par lui-même, ce qui donne 3568. A ce moment, le tambour 45 a fait 410 de tour et le dispositif de comparaison de deux chiffres (relais R12, fig. 10) constate l'iden tité du chiffre symbolisé par la position du tambour 45 et du dernier chiffre du mul tiplicateur, d'où il résulte un courant dans le relais Rlv,. Le chariot est déplacé d'un cran vers la gauche -et le chiffre 892 est additionné trois fois au nombre déjà obtenu 3568.
Comme le chariot a été déplacé, ce n'est pas 892 qui est additionné, mais 8920 et on ob tient donc 3 X 8920 + 3568 = 30.328. A ce moment, le dispositif de comparaison (re.. lais R12) agit à nouveau; le chariot est dé placé d'un cran à gauche, etc., jusqu'à ob tention du résultat final à savoir 2.260.328.
Dans le cas où les deux facteurs du pro produit auraient eu des décimales (pratique ment deux), les deux premières décimales du produit auraient été seules inscrites, la deuxième étant, le cas échéant, forcée.
Le forcement dans le cas de la multiplica tion peut être illustré par le même exemple précédent.
Soit à multiplier 8,92 par 25,34, le résul tat étant 226,0328.
On sait d'avance que le résultat comporte quatre décimales et on désire forcer la deuxième décimale. Ce sera donc le troisième chiffre à partir de la gauche et il suffira de s 'arranaer pour que ce soit la croix de Malte correspondant à. ce chiffre qui porte les dis- positifs pour le forcement pour que l'on ob tienne le résultat désiré, -à savoir en l'es pèce 226,03 puisque la décimale suivant le trois est inférieure à cinq.
Dans le cas de .la division la première chose à faire est de faire venir le chariot à la place voulue, place dépendant des nombres de chiffres du dividende et du diviseur. Dans l'hypothèse ou dividende et diviseur ont tous deux deux décimales, ou ce qui revient au même, sont entiers tous deux et que l'on dé sire au quotient trois décimales pour en gar der deux, il est nécessaire de placer le divi dende de façon que ses unités soient au-dessus des unités du diviseur quand le chariot est déplacé de trois unités vers la gauche à partir de sa position extrême @à droite.
Ruant à l'opération elle-même, elle se réa lise identiquement comme dans la plupart des machines à calculer, le dispositif des fi '-. <B>8</B> et 9 servant de compte-tour pour enregistrer le quotient.
L'arbre 82 portant les croix de Malte 68 devra être agencé pour permettre la remise à 0 de celles-ci par le procédé habituellement employé dans les compte-tours.
Pour plus -de commodité dans le forcement des quotients, l'avant-dernière croix de Malte à droite sera munie pour le transport non de petites cames fermant des interrupteurs, mais d'un tambour analogue au tambour 45 muni de deux séries de frottoirs ou mieux, ainsi que le représente la fig. 9, de deux séries -de quatre petites cames, l'utilisation de l'une ou l'autre de ces séries étant commandée par la petite came de croix de Malte de droite ayant, par exemple, un-bossage pour les chiffres 5, 6, 7, 8, 9. Pour le forcement des quotients on renvoie nu brevet suisse no 139019.
L'inscription se fera de la façon suivante: deux électron 82 et 83 (fig. 3) seront montés en dérivation sur les deux enroulements 25 et 26 de l'électro 21, chacun de ces électron 82 et 83 servira comme l'électro 21 à embrayer une croix de Malte folle sur son axe, l'une de ces croix sera -reliée au pignon central .d'un train planétaire, l'autre au support des pi- gnons satellites de :ce train, constituant de la sorte un système d'addition mécanique des ro tations des croix de Malte. L'engrenage exté rieur du train dont la rotation est la somme des rotations séparées sera relié au dispositif inscripteur.
Pour pouvoir transporter les produits sur les totalisateurs (il y a lieu de remarquer à ce propos que tous les chiffres de la machine étant identiques, on pourra les, grouper comme l'on voudra, de façon à obtenir des totalisa teurs partiels et généraux de nombre positifs ou négatifs à volonté) et sur le dispositif d'inscription, les pignons 5 (fig. 1 et 2 sont munis de quatre petites cames identiques à celles que portent les croix de Malte 68 (fig. 9) et sur lesquelles viennent, -en temps opportun, s'appuyer des tiges telles que 65, 65', 65", 65"' commandant des interrupteurs.
Ce dispositif présente, sur des tambours munis de pastilles glissant sous des frottoirs, l'avantage de ne pas créer .de frottements pendant la rotation des pignons. puisque les tiges 65 ne viendront s'appliquer sur les cames que pendant les périodes de repos des pignons; toutefois, pour le forcement des pro duits, il devra être prévu un chiffre muni -de contacts et du double frottoir; ou mieux de deux séries de .cames que l'on montera en dé rivation sur le dernier chiffre gardé du pro duit. De même, un chiffre spécial sera mis en dérivation sur le premier chiffre aban donné; il sera muni d'une came qui agira sur les connexions des interrupteurs du chiffre gardé.
Dans ce cas se pose la question de l'ins cription des 0 à droite :des chiffres significa tifs et non à gauche. Le dispositif suivant est particulièrement avantageux pour ce but.
Le fil de retour à la masse 84 des élec- iros 82 et 83 ne -se fait pas directement à celle-ci, 86, mais par l'intermédiaire d'un commutateur à deux directions 85 commandé (fig. 11) par une petite came calée sur l'arbre du pignon 5 (fig. 1 et 2) et portant un bos sage agissant sur le commutateur 85 quand le chiffre indiqué par la roue chiffrée 10 est un 0.
Dans ces conditions, si le chiffre :à trans- crire n'est pas un 0, le commutateur 85 con necte directement le fil de retour 84 des élec- tros 82 et 83 avec la masse 86; au contraire, si ce chiffre est un 0, le fil 84 est connecté avec le fil 84 de son voisin de gauche, si donc celui-ci est un chiffre significatif, le 0 ,sera inscrit; dans le cas contraire, il ne le sera que si un chiffre significatif est inscrit quel que part à sa gauche.
Des. interrupteurs à main 8? sont disposés immédiatement entre le plot de liaison entre deux fils 84 et celui de gauche de ceux-ci pour pouvoir interrompre la chaîne et laisser l'indépendance entre les divers groupements de colonnes que l'on aura choisis.
Le dispositif de montage des circuits d'a limentation des électros 21, 82 et 83 a l'in convénient de nécessiter pour l'électro 21, l'usage de deux fils, ce qui a pour :effet de doubler la complication du chariot et des connexions; la variante suivante dont le schéma est représenté fig. 12bis supprime cet inconvénient.
Le fil de retour des électros 21, 82 et 83 est fixé au milieu de la pile 88. Les distribu teurs 29, 30, 31 sont répétés deux fois en 29', 30', 31' et 29", 30", 31"; les premiers alimentent les pastilles de la plaque de con tacts placée sous des demi-peignes de gau che, par exemple, les seconds celles qui sont placées sous les autres demi-peignes;
le res tant des connexions relatives aux électros 82 et 83 est le même que représenté -en fig. 3 mais l'électro 21 ne possède plus qu'un seul enroulement relié à la fois aux deux demi- peignes par l'intermédiaire des résistances 89 et 90. Quant aux distributeurs 32' et 33' il suffira qu'ils envoient un courant de sens convenable dans le circuit unique -de l'élec- tro 21.
On peut se rendre facilement compte que ce montage conduit exactement aux mê mes résultats que celui -de la fig. 3. Les remises à 0 pourront se faire très simplement sans aucun dispositif mécanique de la façon suivante: le :distributeur de courant portant la came d'application des.
armatures des électros 21 vient, en temps op- portun, appliquer ces armature., et fermer un courant traversant au besoin un enroulement spécial des électron 21, 82, 83; on verra plus bas que ce circuit restera fermé et par suite que les croix -de Malte tourneront jusqu'à ce que, la roue 10 étant revenue au 0, un inter rupteur vienne couper ce courant et arrêter la rotation :de la croix de Malte correspon dante.
En outre, arrivée au 0, la roue 10 agit sur un commutateur; ce commutateur 112 (fig. 13), ferme un circuit qui sera consti tué par tous ces petits commutateurs mis en série pour déterminer le moment où tous les pignons 10 et les roues -des types (animés du même mouvement) seront effectivement reve nus à 0.
Reste à. voir maintenant. comment devront être montés les différents circuits de com mande de cet appareil.
Trois relais R3, <I>R4,</I> Rri (fig. 13) comman dent respectivement les électron El, E2, E;, d'embrayages des changements de marche des deux totalisateurs et de basculement du bâti 69 (fig. 8); trois autres relais, polari sés du type .Siemens, R; à deux enroulements inverses, RE et Rs à quatre enroulements deux à deux inverses, joueront le rôle qui sera expliqué plus bas; l'inertie de ces trois derniers relais sera aussi petite que possible.
D'autre part, les interrupteurs 97, 98, 99, 100, 101, 102 sont commandés respective ment par les inverseurs et le bâti 69, dont ils contrôlent en quelque sorte le mouvement.
L'interrupteur<B>il,</B> commandé par le dis tributeur de fiche, ferme le circuit de la Co lonne d'indication d'opération par 9,1, 92, 93, 91, 95, 96. Par exemple, pour une addi tion sur le premier totalisateur, les relais R., R.,, R$ grâce à leur petite inertie, se mettent tout de suite dans la position vou lue. Aussitôt 12 ferme le circuit 103, 104, Rl, 105, 10e6, Y, X, 107, 108, 94, 95,<B>H</B>; si X.
Y ne forme pas un circuit continu, Rl ne peut fonctionner, mais El, qui devra avoir une inertie suffisante pour ne pas bouger si Ri avait attiré son armature, attire la sienne; alors l'interrupteur 100 se ferme et X, Y forme un circuit continu; Rl fonctionne puis si (voir plus bas) le mécanisme d'inscription est revenu à 0, R2 fonctionne également. R, ferme à travers le synchroniseur -dont il sera parlé ci-après, l'embrayage du distributeur -de courant;
celui-ci est constitué par une série de cames (fig. 15) ayant pour effet d'ap pliquer les armatures des électron 21 et -de ceux de l'inscription, de fermer les circuits de ces électron suivant le schéma ci-dessous (fig. 14) et de libérer l'encliquetage 38 des leviers .37 des commutateurs de retenues; le schéma est le suivant: <B>10</B> Application des armatures -des éleetros 21 et 8,2-83, puis courant pendant 1/12 -de tour par l'interrupteur 29; 20 Application des armatures -des électron 21 et 82-83,, puis courant pendant 2/1z de tour par l'interrupteur 30;
30 Application -des armatures des électron 21 et 82---83, puis courant pendant 4/12 -de tour par l'interrupteur 3-1; Ces trois premiers temps correspondent à l'inscription des chiffres 0 à 7 comme indi qué plus haut (voir page 3).
40 Courant pendant 3/12 de tour par l'in terrupteur 32 (fig. 3) avec léger chevauche ment sur le précédent, de manière à réaliser les chiffres 7, 8 et 9 (il y a lieu de remarquer qu'il n'y a. pas eu d'application des armatures avant l'émission -de ce courant).
Après ce courant, frappe sur l'inscrip tion et envoi -du courant pour la remise en marche du -distributeur !de fiches.
5 1/12 de tour, puis application des ar matures des électron 82 et 8,3 seulement, puis courant dans ces électron pour la remise à zéro des appareils inscripteurs; 60 2/12 de tour, puis application -des ar matures des électron 21 et courant pendant 1/12 -de tour par l'interrupteur 33 (fig. 3), de manière à. effectuer le report tes retenues; et aussitôt cette opération effectuée: 70 -déclenchement du déclic des commu tateurs de retenue.
La fig. 13 concerne un schéma général de l'appareil et elle est plus spécialement re lative à la discrimination des opérations à effectuer suivant les indications portées sur la carte qui est introduite sous les peignes montrés en haut et à gauche ide cette figûre.
La carte ou la fiche comporte, outre les perforations a correspondant à des chiffres, une perforation b indiquant la nature :de l'o pération à effectuer, soit: b,. correspond à une addition, 42 à une soustraction, b, à une multiplication et b4 à une division, le tout sur le premier totalisateur, b#j correspond à une addition, b,, à une soustraction sur le deuxième totalisateur.
L'appareil a été réalisé dans le but d'é viter toute manoeuvre inutile et pour cela les tiges 12 et 13 ainsi que le bâti 69 (fig. 8) ne sont pas ramenés dans une posi tion déterminée après chaque passage de fiche, mais ils restent dans leur position ac tuelle. Si la fiche suivante correspond à la même des six opérations que la fiche précé dente, aucune -des pièces 12, 13 et 69 ne bouge, car le circuit x-y est immédiatement fermé. Les interrupteurs 97 et 100 sont com mandés mécaniquement par les tiges de com mande -du premier totalisateur, les interrup teurs 99 et 102 par le bâti<B>0</B> et enfin 98 et<B>101</B> par les. tiges du second totalisateur.
On voit immédiatement que si les positions des relais Rs, R7 et R$ correspondent aux positions -des interrupteurs 97 et 102, ce qui signifie que les pièces 12, 13 et 69 sont dans la position correspondant à l'opération à ef fectuer, ces pièces ne bougent pas et l'opé ration commence immédiatement, d'où résulte un gain de temps. Les relais E, E2 et E3 commandent respectivement les pièces 12, 13 et 69.
Cependant, la remise à 0 de l'inscription continue par l'intermédiaire du relais à col lage R[, dont le circuit est fermé en 109 par le distributeur -de courant. Ce relais ferme en 110 l'alimentation .du circuit -de remise à 0 des électros d'inscription, circuit qui sera coupé en 111 quand la roue d es types sera re venue au point mort;
enfin, quand toutes ces roues seront revenues à ce point, tous les in terrupteurs 112, 112', 112"' ferment le cir cuit du relais Blo qui coupe en 113 le circuit ,de collage -de Ba et ferme en 114 le circuit de R, lequel, attirant alors son armature, embraye le distributeur de courant en<B>De.</B>
Il y a avantage à maintenir la remise à 0 par un collage et non par un dispositif mécanique, car on est sûr ainsi que cette re mise à 0 se fera -dans le temps minimum.
Il n'est pas nécessaire de prévoir un col lage pour R2: dès que les roues des types quittent leur point mort, les interrupteurs 112 coupent le circuit de R,o et par suite ce lui de R2, mais cela ne fait rien car, par suite de leur construction, les embrayages à eom- mande électrique accomplissent un tour com plet dès que le mouvement a été commencé.
Le synchroniseur, dont il a été question ci-dessus, est simplement constitué par une came fermant un interrupteur à un moment tel que l'embrayage du distributeur ne se fasse que lorsque les griffes, dont sont mu nies les parties mâles et femelles des em brayages magnétiques utilisés, ne risquent pas de se prendre par le bout.
Avant d'exposer le mécanisme de l'ins cription ide la totalisation d'un paquet de fi ches, un dispositif va être ,décrit, qui permet de n'inscrire le paramètre, suivant lequel le tri a été effectué, qu'en tète ,de chaque groupe, de façon à rendre 1a lecture des tableaux plus commode.
La fermeture d'un circuit en 134 (fig. 13) par le dispositif de totalisation automatique envoie un courant dans un électro R,., Sie mens (fig. 16) à deux enroulements inverses.
Lorsque ce premier enroulement est en ser vice, l'armature vient en 1l5 et ferme le cir cuit de retour des fils des électros inscripteurs des colonnes relatives au paramètre de tri; le second enroulement du relais R,l est en dé rivation sur les enroulements de remise à zéro des électros d'inscription représentés à droite de la fig. 16; par conséquent, la pre mière remise là zéro interrompt l'inscription du paramètre de tri qui ne pourra avoir lieu de nouveau que lorsque la coupure en 134 aura été fermée:
c'est-à-dire-à l'arrivée d'un nouveau paquet. Un interrupteur 116 à poussoir à main est prévu pour permettre, lorsqu'on change la feuille d'inscription, de réinscrire le para mètre en tête de cette nouvelle feuille.
Pour la totalisation d'un paquet, le-dispo- sitif représenté par la fi-. 13 est employé. Les connexions à. réaliser par le relais de com mande S devront ,être les suivantes 10 Couper le fil de retour des indications portées par les fiches, de façon que le dis tributeur de courant ne les enregistre pas deux fois; il serait d'ailleurs facile également de connecter ces fils de retour sur un barème fixe, de façon à inscrire certaines indications, constantes pour chaque totalisation, telles que total, à reporter, etc.;
20 Couper en 118 le circuit du relais R2 dont une dérivation 119 sera fermée pour la transcription, par la came d'application des contacts, une fois cette application faite, en<B>120,-</B> <B>30</B> Fermer (en 131) le circuit d'embrayage de l'application des contacts. Cette applica tion se faisant au moyen d'un embrayage non synchronisé avec le distributeur de courant, dont il referme le circuit en 120, il sera né cessaire que le dispositif d'application soit muni d'un encliquetage qui sera libéré par le distributeur de courant quand celui-ci aura terminé la transcription d'un total partiel.
La fig. 17 montre la disposition de cet encliquetage; la came 121 fait basculer le le vier 12.? entraînant les tiges d'application; ce levier 122 porte une encoche 123 où vient pénétrer le doigt 1224 qu'un ressort 125 ap puie sur le levier 122. Ce doigt 124 est pivoté en 126 et, lorsqu'il est enfoncé dans l'enco che 123, son extrémité 12.8 munie d'un galet roule sur la came 127 solidaire de l'arbre du distributeur de courant; ce dernier viendra donc, en temps voulu, en faisant basculer le doigt 124, libérer le levier 122 qui, sous l'ac tion du ressort 129 reprendra sa position de repos.
La courbure supérieure du levier 122 est telle que, dans la position .de repos, c'est- à-dire le doigt. 12:1 non encliqueté, le galet <B>128</B> ne repose pas sur la came<B>127,</B> de façon à éviter des frottements inutiles pendant qu'il ne se fait pas de totalisations.
Chaque transport d'un total partiel ou de tout autre résultat numérique sur un totalisa teur devra être suivi de la remise à zéro des chiffres transportés; il est donc naturel de charger le mécanisme de transport, c'est-à- dire l'application des contacts, de réaliser cette remise à 0.
En conséquence, le levier 122 devra, en basculant sous l'action de la came 121: a) Fermer, comme il a été dit, l'interrup teur 120 sur le circuit d'alimentation de R2; b) Appliquer l'armature d'un relais Hughes qui recevra son courant démagnéti sant d'une dérivation du courant de contrôle de remise à zéro et devra: fermer les circuits, en 132, de remise à zéro des chiffres qui vien nent d'être transportés;
c) Mettre, en 133, en série les interrup teurs de contrôle .de remise à zéro de ces chiffres avec ceux !de l'inscription; ce sera une dérivation de ce courant de contrôle qui devra décoller l'armature du relais Hughes H,., tandis qu'une autre dérivation traversera un enroulement du relais S pour terminer la totalisation et passer à la fiche suivante;
d) Fermer en 130 un circuit comportant un électro ayant pour effet de maintenir armé le déclic,des retenues de façon que, par la remise à. zéro 'des chiffres à annuler, ceux- ci, passant du 9 au 0, n'enregistrent pas une retenue; on obtiendrait le même résultat en faisant la remise à zéro uniquement dans le sens des chiffres -décroissants, c'est-à-dire en embrayant la soustraction; l'un ou l'autre des deux dispositifs peut être le plus avantageux suivant les cas.
En outre, le relais S (fig. 13) devra: 40 Fermer, ainsi qu'il a été expliqué ci- dessus en 134, le premier circuit -de l'élec- tro Bl, (fig. 16) d'inscription -du paramètre de tri; <B>50</B> Couper, en 135, le circuit du distribu teur de fiches, afin que l'inscription du total n'en fasse pas venir une autre. n va maintenant décrire le montage cor respondant à la multiplication.
Supposons que cette opération soit défi nie par la troisième perforation dans la co lonne d'indication d'opération. En se fermant, l'interrupteur I1 envoie un courant dans un enroulement du relais Re donnant la mise en addition et dans un enroulement du relais R, donnant pour le bâti 69 la position -de multiplication.
Ce bâti, en venant dans cette position, agit sur un commutateur 136 (dont la tige -de commande est seule repré sentée sur la fig. 8) et qui a pour effet-de: 10 Couper le fil de retour des indications portées par les fiches dans -les mêmes condi tions que le relais S en 117 dans le cas de la totalisation; ces deux rupteurs devront être mis en série; 20 Couper en 137 (fig. 13) l'alimentation de R.; 30 Couper en série avec le rupteur 135, l'alimentation du -distributeur de fiches; 40 Couper les fils de retour des chiffres autres que ceux du multiplicande;
<B>50</B> Fermer en l38 et 139, les circuits des électron de comparaison R12 et de l'électro R,E commandant l'embrayage de l'avance ment -du chariot (fig. 10); 60 Fermer, un peu après, en 140 le circuit de l'éleetro R14 commandant le retour du cha riot (fig. 10); 70 Appliquer l'armature d'un relais Hughes HZ (non représenté) mettant en dé rivation sur le circuit -des remises à zéro l'é- lectro d'embrayage -de la remise à zéro du multiplicateur.
Cet électro HZ recevra son courant démagnétisant .d'une dérivation -du courant alimentant Hl.
Toutes ces commutations se feront sous l'action de la poussée -de la tige 136, toutefois elles pourront aussi se faire sous la poussée d'un électro spécial R17 dont il sera parlé lors de la description du montage cor respondant à la division.
Dans ces conditions, la multiplication se faisant de droite à gauche, si le multiplica teur est terminé par des 0, les électron de com paraison R12 feront avancer le chariot vers la gauche: dans le cas contraire, un au moins de ces électron é12 attire son armature et ferme en 141 le circuit d'alimentation de R2;
alors le multiplicande s'ajoute et le cy lindre 45 tourne jusqu'à ce qu'il y ait égalité entre le chiffre qui se trouve sous les frot toirs 50 et celui -du multiplicateur. A ce mo ment, tous les électron R\ ayant lâché ,leur armature, l'alimentation de R= est coupée en 141 mais celle de B", embrayant l'avance ment du chariot vers la gauche est fermée en 142, 142', 1.42", 142"'. Le chariot avance d'une unité vers la gauche et d'une unité seu lement,
car la largeur des touches 55 et du frottoir 54 sont telles que le chiffre voisin du chiffre quitté envoie son courant dans les électron R12 dès que l'embrayage a été réalisé et par suite l'alimentation de R" se trouve coupée. En même temps que le chariot avance vers la gauche, le cylindre 45 est remis à zéro.
Finalement, le frottoir 54 arrive sur un chiffre inexistant au multiplicateur; alors le relais R13 comportant quatre enroulements en dérivation respectivement sur les quatre cir cuits des électron de comparaison R12 venant des fiches, ne reçoit plus aucun courant et lâche son armature qui vient, en 143, fermer le circuit d'alimentation du relais R14. Ce re lais R14 ferme: en 144 le circuit d'alimenta tion -de l'embrayage du retour du chariot (vers la droite), en 1.45 l'application des con tacts en 146 la mise en addition -du bâti 69, et il coupe:
en 147 le circuit d'indication de multiplication, en 148 le circuit d'indication de division, enfin en 149, il se ferme un cir cuit de collage qui sera coupé en 150 par l'électro R\ dont il va être parlé; le circuit de cet électro est fermé en 151 par le relais R14, mais il ne pourra fonctionner qu'après que le rupteur 152, fermé par le chariot re venu à la position de départ qu'on lui aura fixée, aura été manoeuvré par le chariot.
Automatiquement, la mise en addition coupe les circuits fermés par la tige 136, à l'exception bien entendu de celui fermé par l'électro FI2. L'impression du multiplicateur se fait par l'application !des contacts sur les petites cames 64 accolées aux croixde Malte68. Alors les transports et transcriptions se réa lisent, ainsi que les mises à zéro.
Si l'on veut que le produit s'ajoute sur un totalisateur et se retranche sur l'autre, il y aura lieu de mettre en dérivation l'application des contacts du produit sur les deux tota lisateurs, le premier étant mis à l'addition, le second à la soustraction.
Dans le cas de la division, le circuit d'in dication d'opération agit sur deux relais en dérivation R,7 et R,a (fig. 19); Rl$ pousse, par l'intermédiaire d'une tige identique à la tige 136, le commutateur actionné par cette dernière lorsque le bâti 69 vient dans la po sition de multiplication ou de division. Quant à R,;
, il ferme le circuit d'embrayage du chariot dans la direction de gauche et, en réalisant les commutations nécessaires sur les circuits venant du dividende et du divi seur pour leur permettre de se conformer au schéma, de la fig. 18, fait fonctionner le dis positif de mise en place du chariot.
Puisque le dividende vient s'inscrire à une place déterminée sur un des totalisateurs, cette mise en place consiste simplement à dé placer le chariot pour que le diviseur vienne se retrancher correctement du dividende.
On peut également se rendre compte que dans tous les cas où le -diviseur n'est pas ré duit à une fraction inférieure à. l'unité, il suffira, dans l'hypothèse d'un quotient cal culé avec trois décimales, de -déplacer le chariot de sa position extrême à droite, vers la gauche d'un nombre d'unités égales à 3 augmenté de l'excès du nombre -de chiffres du dividende sur le nombre de chiffres du -di viseur, le dividende et le diviseur étant tous deux supposés entiers, hypothèse toujours réalisable.
Dans le cas où le diviseur est une frac tion décimale inférieure à l'unité le chariot devra être repoussé, en plus, vers la gauche, d'une unité si cette fraction n'est pas infé rieure à 0,1 et de deux unités dans le cas contraire, car on suppose toujours que les nombres n'ont que deux décimales.
Le schéma de la fi-. 18 résout la question: Une série d'électros tels que K@, K,, K2, Kn_,, <I>K .</I> à quatre enroulements., en nombre égal au nombre plus 1 des chiffres entiers constituant la capacité de la machine pour le dividende et le diviseur sont montés ainsi qu'il suit: Le premier enroulement d vient -des chif fres du dividende, il est en sens contraire des trois autres; Le deuxième d vient des chiffres du divi seur;
Le troisième vient'- des interrupteurs i commandés par le chariot, l'interrupteur 2-i envoyant -du courant dans le relais K _ ,, l'interrupteur i, dans K,, etc., i,, dans K,,; Le quatrième c fermé par le relais R,7 (fig. 19) est constant.
Ces relais ne réalisent qu'une commuta tion; le courant venant de la source arrive par le plot central 154 du relais K- i; le plot su périeur de ce relais est connecté avec le plot central 156 du relais K,; le plot supérieur 157 de ce relais est connecté avec le plot cen tral 158 -du relais K2, etc., jusqu'au plot supé rieur 159 -du relais K"-, qui est connecté avec le plot central 160 de K,,, enfin -du plot supérieur 161 du relais K" le courant revient à la source à travers le relais D'.
D'autre part, tous les plots inférieurs, tels que 162 sont montés en dérivation sur un circuit re venant à la source à travers le relais Y com mandant le mouvement du chariot vers la gauche.
Le fonctionnement est le suivant: laissant pour le moment de côté la description -des re lais K-, et K, dont il sera parlé ci-après, et supposant leur armature attirée, trois cas peuvent se présenter relativement au relais KZ correspondant au deuxième chiffre à gau che de la virgule pour le dividende et le di viseur (supposés avoir deux décimales).
a) Le dividende et le diviseur n'avaient qu'un seul chiffre à gauche de la virgule; alors le relais K. ne reçoit que le courant c et attire son armature; il en est évidemment de même de toua les suivants jusqu'à Tin et le circuit de D' se ferme. h) Le diviseur a deux chiffres à gauche de la virgule; alors le relais Kz reçoit deux gourants <I>c et d</I> de même sens; .donc; que le di vidende ait ou non des dizaines, c'est-à-dire que le courant D passe ou non, KZ attire son armature comme précédemment.
c) Le diviseur n'a qu'un chiffre à gauche de la virgule et le dividende au moins deux; alors le relais K2 reçoit les courants inverses D et c et n'attire pas son armature; le cou rant arrivant en 1:54 passe en 155, 156, 157, le plot inférieur<B>167</B> de K1 et revient à la source à travers le relais Y, par conséquent, 7e chariot avance d'une unité vers la gauche, puis l'interrupteur i2 se ferme et -envoie un courant contraire :à D dans le relais KZ qui attire alors son armature.
Le même mouvement se réalisera de pro che en proche tant que le dividende aura des chiffres à gauche du dernier chiffre à gauche .du diviseur. Ensuite, les électros K - Kn, ne recevant que le courant c, attirent leurs armatures.
Reste le cas où le diviseur se réduit à des dixièmes ou des centièmes. Il faut alors que le zéro placé dans la colonne des unités ne joue aucun rôle dans le déplacement du cha riot qui doit se faire comme si ce chiffre n'é tait pas inscrit; autrement dit, lorsque dans cette colonne (celle de Kl) il y a un zéro, le circuit d ne doit recevoir aucun courant.
Pour cela, les deux fils correspondant aux perfora tions relatives aux chiffres 1 et 2 traver sent le relais Kl directement; par contre ceux correspondant aux perforations rela tives aux chiffres 4 et 7 retournent à la source à travers deux enroulements contraires d'un relais supplémentaire Ll; c'est alors le circuit 163, 164 qui traverse en d le relais K,; ce circuit sera évidemment fermé pour les chiffres 4 et 7, mais pour le zéro, les deux enroulements inverses de L, étant parcourus par le même courant, le circuit d sera coupé en 164. Par conséquent, rien ne passera dans d si le chiffre des unités -du diviseur est un zéro.
Mais cela ne suffit pas; il faut que si ce chiffre, tout en étant un zéro, est à droite d'un chiffre significatif, soit directement, soit par l'intermédiaire d'autres zéros, le circuit d de K, reçoive du courant. Pour cela, l e re lais T.,. est muni d'un troisième enroulement 167, dans un sens quelconque, mis en d6ri- vation en 165, 166 sur le .circuit d de Ki!. Par conséquent, si le diviseur possède un chiffre des dizaines, suivi à droite d'un zéro, l'éleetro L1 recevant deux courants dans un sens et un autre dans l'autre attire son armature.
Tou tefois, pour que cette armature soit attirée même si le chiffre des unités du diviseur est un 4 ou un 7 (suivant le sens des enroule ments, il faudra que l'enroulement 167 com porte un nombre d'ampères-tours au moins double de celui des enroulements qui lui est contraire.
Enfin, un dispositif identique est adapté au chiffre des dixièmes du diviseur; l'électro g_i ne recevra aucun courant si le chiffre des dixièmes est un 0 ainsi que celui des uni tés et que -ce dernier n'est lui-même suivi à droite d'aucun autre chiffre. Dans tout autre cas, Kl attire son armature.
Alors le relais D' (fig. 19) reçoit un courant par 161; il at tire son armature et coupe, en 169 le fil de retour .du diviseur, en 171 l'alimentation du relais R17; d'autre part, ii ferme, en 168 un circuit de collage et en 170 le circuit du re lais D" dont il va être question ci-après; le mouvement .de R17 ferme l'alimentation de R_ ,et le,dividende s'enregistre; le courant de retenue venant de l'interrupteur 33' (fig. 12bis) en passant par 170 alimente ie relais D";
celui-ci ferme en 172 un circuit de collage; il coupe, en 173 le circuit de col lage de D', en 174 le fil de retour idu divi dende, en 175 l'alimentation .à la fois de R17 (en série avec 171) et de R,s et ferme en 176 le circuit des relais RE et R8, de façon à placer le bâti 69 (fig. 8), en position de multiplication ou,de -division et l'inverseur 14 (fig. 1) en position de soustraction. Rla a pu être coupé, car il n'a plus de raison .d'être puisque le bâti 69 a poussé la tige 136.
Pen dant ce temps, l'alimentation de R2 est cou pée par le relais B, Ensuite, le diviseur se retranche jusqu'à ce qu'un 9 apparaisse sur le chiffre ad hoc. Ce chiffre est mis en dé- rivation sur le dernier chiffre à gauche du dividende; il possède une petite came spé ciale qui ferme le circuit d'un relais Rl, qui, à son tour, coupe en 177 le circuit soustrac tion de R, et ferme en 178 le circuit addition, en 179 son circuit de collage qui sera coupé comme il sera. dit par la came d'embrayage du chariot, en 180 le circuit d'un relais R2o commandant le mouvement du chariot;
ce cir cuit comporte un interrupteur 181 qui se fer mera quand le chiffre spécial sera revenu du 9 au 0. C'est alors qu'en accomplissant son tour, l'embrayage du chariot coupe le circuit de collage de R19, R, se remet alors en soustraction et le diviseur se retranche, etc. Lorsque le chariot est arrivé :à fin de course à droite, il agit sur un commutateur remplaçant. l'action du relais R29 sur le cha riot par la fermeture de l'application des contacts et par suite provoquant le passage de la fiche suivante.
[-n complément au dispositif d'applica tion des barèmes va maintenant être décrit; dans l'appareil qui a été imaginé dans .ce but les indications du barème sont groupées dans un tableau à. double entrée; il peut y avoir des cas où ces indication: seraient plus avan tageusement inscrites sur des fiches; telles seraient, par exemple, celles que fournirait un répertoire d'adresses; si, par exemple, une comptabilité est faite en attribuant à cha que client de l'entreprise un numéro, s'il y a des factures ou des quittances à faire, il sera nécessaire d'inscrire sur celles-ci le nom et l'adresse du débiteur.
Pour cela on utilisera deux .distributeurs de fiches; l'un normal, l'autre d'ailleurs identique, sera alimenté par des fiches-répertoires portant chacune un nom et le numéro correspondant. Les peignes et pastilles relatives au numéro tant de l'un des distributeurs que de l'autre, sont connec tés avec un dispositif -de comparaison de l'i dentité de deux nombres. Il faudra donc au tant de fois quatre éleciros qu'il y a de chif fres dans le nombre considéré.
Ces électros (fi,,. -0) ferment en 182 des dérivations d'un circuit 188, 184, commandant l'alimentation du distributeur de fiches répertoire; celui-ci fera donc passer des fiches tant qu'il recevra du courant, c'est-à-dire tant que les deux nombres comparés seront différents; d'autre part, ces électros ouvrent en 185 (toutes ces coupures étant en série) le circuit d'enregis trement .des inscriptions des fiches, circuit qui ne pourra être évidemment fermé que si les deux nombres comparés sont égaux. Lorsque l'enregistrement ainsi due les opé rations sont terminé. un courant est en voyé dans l'embrayage des deux distributeurs de fiches et tout recommence.
Pour accroître la vitesse de l'appareil, il pourra être avantageux de le munir d'un changement de vitesse permettant de faire tourner les arbres .de commande plus vite lorsque l'inscription ne se fait pas, pendant les multiplications et division, par exemple, ce résultat peut facilement être obtenu en commandant, par le courant agissant sur l'ins cription, par exemple un changement de vi tesse constitué par deux embrayages à trains planétaires.
Calculator. The invention relates to a machine. calculate using perforated sheets, characterized in that it comprises an apparatus performing at will the four operations having various devices allowing simultaneous addition and subtraction, as well as the totalization of series of products and quotients and the same products and quotients preceded by the minus sign, these results being visible in the form of numbers appearing under ad hoc windows, names made up of -digits carried by drums, a second device being provided which inscribes in plain language, on paper, in addition to letters also represented by perforations in the sheets, the various terms of each of the operations and the results thereof,
in order to keep track of these results without having to enter them by hand. Plain language registration can be done by any appropriate device. In the accompanying drawings, an embodiment of the object of the invention as well as variant details are shown by way of example.
Fig. 1 represents a totalization element seen from the front; Fig. 2 shows the same element seen from the side; Fig. 3 is a circuit diagram of the control circuits of the totalizers; Fig. dbis shows a dispenser that can be used in the diagram of fig. 3; Fig. 4 shows the arrangement of the perforations; Fig. 5 is a circuit diagram of the switches controlling the retainers; Fig. 5bis is a simplified analogous diagram;
Fig. 6 shows one of the switches and its control, and FIG. 7 the control cam of this switch; Fig. 8 shows, seen from the side, the device used for multiplication and division; Fig. 9 shows the same device seen from the front;
Fig. 10 is a circuit diagram of the circuits used for the multiplication; Fig. 11 is a diagram of the assembly for the inscription of zeros. only when they are to the right: by a significant number; Fig. 12 is a diagram of the assembly of the machine carriage; Fig. 19-bis is a variant of the assembly of FIG. 3;
Fig. 13 is a diagram of the general circuits of the apparatus; Fig. 14 is a diagram showing the operation of the cams :; Fig. 15 indicates the arrangement of these cams; Fig. 16 represents the diagram of the assembly making it possible to register the sorting parameter of a packet only at the head of this packet; Fig. 17 shows the provision of a clicker required by the transcriptions; Fig. 18 shows the diagram of the control circuits of the carriage for the division;
Fig. 19 shows the circuit diagram of the division; Fig. 20 is the assembly diagram allowing the use of the directory file. _The addition mechanism is as follows: A pinion 1 (fig. 1 and 2) of classic shape, with one tooth, for example, attached to a disc 2 of the same diameter meshes with a Maltese cross 3 with ten notches, mad on its axis.
The pinion 1 being driven by a continuous rotational movement, the Maltese cross 3 will turn or remain blocked depending on whether the hollow of its edge is in engagement with the pin 1 or the disc attached to it; everything will therefore come back, in order to rotate or not the cross, from Malta to longitudinally moving the pinion 1 which for this will simply be threaded and keyed on its axis, so as to be able. slide along it. Solid with the Maltese cross 3, a pinion 4 meshes with a pinion 5 via a group of three pinions 6, 7, 8 forming an inverter.
Finally, the pinion 5 meshes with a pinion 9 integral with a wheel 10 whose rim is engraved with ten digits. It should be noted immediately that if care has been taken to -attribute to the gears 4, 5, 6, 7, 8, -multiple numbers of teeth, of ten, each time that the Maltese cross will have moved one or more tenths of turns, the gearboxes of the reverse gear will be identically in the same situation, so that the teeth will come into engagement without difficulty. The group of these pinions 6, 7, 8 is mounted on a small support 11 which is threaded onto two rack shafts 12, 13.
A lever 14, entering either in the rack 12, or in the mesh rack 13 makes one of these integral with the support 11. Consequently, the longitudinal movement of the shafts 12, 13 will start at will. or rear all the gear trains respectively engaged on each of them. The lateral movement of the pinion 1 is controlled by a fork 15 pivoted at 16 and held by a spring <B> 17 </B> in a position such that it is the disc 2 which grates with the Maltese cross. A rod 18,
provided with a stud 19 receives from a cam carried by the general shaft of the machine a movement to the left which engages the pinion 1 with the Maltese cross 3 and comes to apply the soft iron bar 20, ending lever 15, on the pole pieces of the electra 21.
The movement that the rod 1.8 receives from the cam which controls it is such that, as soon as the armature 20 has been applied to the electro 21, this rod moves back; consequently, the pinion 1 will remain engaged with the Maltese cross 3 only in the case where the electro 21 will be traversed by a current. In the case ;
On the other hand, the spring 17 disengages it before it has had time to turn the Maltese cross 3, the pinions it drives and the numbered wheel 10. Of course, this supposes that the bearing shaft the pinion 1 and the cam controlling the rod 18 are suitably synchronized.
The drive device by pinions such as pinion 1 (fig. 1) and the Maltese cross has the well-known advantages but also the defect that, when the tooth of pinion 1 engages with the corresponding notch of the Maltese cross or leaves it, the whole system is subjected to a sudden shock which has the following effect: to: deteriorate it more quickly than the pinion 1 turns faster. However, provided that the: duration of a re vohition of the pinion 1 is constant, that the speed of rotation of this pinion is uniform or not, the efficiency of the device will always be the same.
Under these conditions, it will be easy: to largely obviate the above-mentioned defect of the: Maltese cross device by giving the pinion 1 a variable speed which will be minimal when this pinion engages with the Maltese cross and the moment he leaves her. This result could easily be obtained by any mechanism which transforms a uniform rotational movement into a variable speed movement, for example by elliptical gears and a speed reducer.
Electro 21 has three windings 25, 26, 27, two in the same direction and the other in the opposite direction (fig. 3). The current, coming from the battery 22 arrives at: distributors 29, 30, 31, 32, 33 mounted in bypass.
The first three are joined by three threads to the pastilles of the. .du contact plate: plug distributor as follows: the wire coming from 29 to: two end pads a and f of a group of six pads; the wire coming from 30 to the two neighboring pellets b and e: the previous two; finally, the wire coming from 31 to the two central pellets of the group, <I> c and d. </I> The corresponding comb is divided into two sections 23 'and 24 of three rods each receiving, according to the previous assembly es pastilles, the same currents. Half 23 is connected to winding 25: of the electro 21 and the other 24, to winding 26, in the opposite direction.
The third winding 27: of this electro is directly connected: to the switch 32. The switches 29, 30, 31, 32 are controlled by a cam so that their closing times are like 1, 2, 4, 3 respectively, the unit duration being, that which is necessary for the pinion 1 to turn, when it is engaged, the Maltese cross 3: of '/, o of turn. In addition, the closures: from 31 and <B> 32 </B> must overlap very slightly.
Finally, the profile: of the cam applying the armatures via the rods 18 is such that these armatures are applied to their respective electrons at the time: of the closures: of the switches 29, 30 and 31.
If therefore,: under these conditions, the four holes of the card are placed, three in <I> a, b, </I> e under the half-comb 2,3 and the fourth in d under the: half comb 24, the hole corresponding to the number 1 in a, the one corresponding to the number 2 in b, etc. (fig. 4), the electro 21 will receive, on one or more occasions, a current of: duration:
1 for the number 1, 2 for the number 2, etc., 9 for the number 9 and 0 for the number 0, on the condition that the power of the spring 1.7 is sufficient for the attraction of the electro 21 on its armature 20 cannot move the latter when it has not been applied to the electro 21 by the rod 18; indeed, this is evident for the numbers 1, 2, 3; for the 4, the current of 32 slightly perposed to that of 31 which it succeeds and is opposed, will take off the armature; on the contrary, for 7, the current of 32 being in the same direction as that of 31, the reinforcement will remain stuck;
finally, for 0, the electro 21 will simultaneously receive two reverse currents, consequently the armature will come off immediately. The other numbers are self-explanatory.
The switches 2,9, 30, 31, 32, 33 little wind be formed by the distributor tower nant shown at. fig. ibis. We will assume the cams drawn on the outside, integral with the crown bearing the metal blades, rotating with it -: in the direction indicated by the arrow, the wiper remaining fixed. The insulating parts are represented by cross hatching. dark. The slider has the shape of a fork; the insulation between the metal blocks 31 and 32 is less wide than the spacing of the teeth of this fork; there is therefore an overlap between these two current durations.
As for the cam controlling the application of the armatures of the electrons 21 via the intermediary of the rod 18 (FIG. 2), its operation is understandable by itself.
The device for the realization of the retains is based on the principle of their simultaneous registration and works as follows: A switch M (fig. 3) is closed at the desired moment (moment which will be better: defined below) during the same duration as switch 29 (one unit). The current coming from the cell 22, after passing through this switch 33 goes to the circuit 27 of the electronics 21 through a switch 34 (fig. 5 and 6).
This two-way switch, controlled by the digit at. right - of the one whose electro it supplies, is normally in one position. intermediate (fig. 6) and no current can pass through the electrons 21, coming from 33. A cam 35 (fig. 6), integral with the numbered wheel 10 (fig. 2) carries, in a region corresponding to the passage - from wheel 10. from 9 to 0, a wise bos 36 which pushes lever 37 to the left which clicks into place at 38 by closing the contact of switch 34 at 39.
It is seen in fig. 5 that in this case (lever R shown vertical), the electro \ _? 1 receives, from the current which has passed through the manual switch 43, assumed to be closed. On the other hand, the cam 35 carries, in the region corresponding to. a 9 on the chif frée wheel, a notch 40 in which the lever 37 sinks under the action of the spring 41.
The switch 34 is then closed at 42 (horizontal position of the lever in FIG. 5) and thus bypassing the electro 21 of the number controlling the switch with that of its neighbor on the left; in other words, when a 9 has been registered, if it receives a carry, its left neighbor receives it as well. <I> Numerical example </I>: Or to add: 156.743 843.552 <B> 10 </B> The first number is recorded and registered simultaneously under the action of currents supplied by switches 29, 30, 31, 32 (fig. 3). Obviously nothing happens for the current supplied by 33 since there can be no holdbacks.
20 The second number is registered and: is registered in the same way; the disks mark immediately after opening switch 32 and before closing 33 9: 99295.
The electrons 21 -of the six columns will then be connected as follows (by removing the switches 43, see fig. 5bis) and it is easily seen that, once the current 33 has passed, the numbers will become: 1000295 The above, concerning the case of pad- dition of sums recorded on the totalizer formed by a group of numbered wheels, must be modified as follows in the case where the number to be recorded must be reset: the group of pinions 6, 7 , 8 must be moved to reverse the direction of rotation of pinion 5 and consequently of the numbered wheel.
On the other hand, it is no longer when a digit receiving a carry is a 9 that it must transmit it to its neighbor on the left, but when it is a 0. For this, the cam 35 of real be joined. to another for which the notch 40 is on the other side of the sage bos 36.
In addition, it will be necessary that by reversing the direction of rotation, the lever 37 passes from one cam to the other; for this, the cam 35 must be provided in the region 40-36-40 with a sort of ramp constituted by a ramp 43 '(fig. 7) in the form of a long $ al, so that the lever 37, which will have to have a certain elasticity or be able to take a certain lateral displacement, either obliged to slide to the left -de this ramp when the cam 35 turns in one direction and to the right thereof when the cam $ 5 turns in the other direction.
For the subtraction, there is nothing to change at the addition except that under the actuation of the inverter pinion device, the numbered wheels turn in the opposite direction for the registration of the second number and that the profile presented by the cam 35 is no longer the same.
Throughout this description it has been assumed that the digits could be grouped so as to. forming two different totalizers capable of simultaneously receiving positive or negative numbers; in the case where one would be satisfied with a single totalization, it is quite obvious that one could replace the individual inverters by a simple single inverter on the shaft 44. Here one thus envisages simply a limited use of the my china. Normally, the machine performs the addition and the subtraction so multaneously.
Under these conditions, all the figures of the machine are united; if, for example, their number is 100 and the first on the left being a zero, and the other 99 of 9, we add to this number a unit, the result obtained in a single fraction of a turn will be the number 1099 The advantage of this device is that it allows the columns to be grouped at will: for this, it will obviously be necessary to be able to separate certain columns: this will be done very easily by means of the small hand switches 43 (fig. 5). ) which cut the power supply by switch 33 of the electro.s 21 of the corresponding number.
Suppose it is now a matter of multiplying by a single digit number; everything comes down to turning the shaft 44 on which the pins 1 are threaded by a number of turns equal to the number of units contained in the multiplier. For this, we can use the device for reading scales by taking a Pythagorean table as a scale; it will then, of course, be necessary to operate twice, first on the numbers of even rank, for example, then on those -of odd rank to avoid deductions greater than. 11. The following system is pre- (maple and more conveniently adapts to division.
As will be explained below, under the action of the multiplication relay, the shaft 44 carrying the pinions 1 starts to rotate. At each turn, he advances by one unit (l @ lo of turn) an insulating drum 45 (fig. 9 and 10) carrying metal pellets 46 inlaid so as to form the ten digits successively, these pellets being connected internally to a metal strip 47, by turning the cylinder 45 and serving for the arrival of the current through the wiper 48.
The current coming from the source 49 (fig. 10) passes through the four appliances R12, R'12, R "., R" '12 of a system of comparison of equality of two groups of perforations; the other ends of these windings are respectively connected with the rubbers 50.
As for the other winding of these appliances, it -is connected with the pads 51 of the contact plate of the file holder, the latter being in derivation for the set of digits of the multiplier; on the other hand, the corresponding combs 52 are connected to the pads 55 of a distributor 53, the friction plate 54 of which is linked to the source 49.
At the same time as the drum 45, advances by one unit a shaft 56 (fig. 8 and 9) carrying, threaded and keyed on it pinions 57 identical to the pinions 1 meshing with, Maltese crosses 68 - in equal number to the number p of digits admitted as capacity for the multiplier in the machine. The pinions 57 are mounted on the shaft 56 like the pinions 1 on the shaft 44; they are hand held in place by forks 58 pivoted at 59 and whose tail 60 is engaged in a groove 62 traced on a cylinder 61. These grooves each carry a notch 63, the offset between two notches belonging to two consecutive grooves being of 360 / p.
The Maltese crosses 68 are integral with four small cams 64, 64 ', 64 ", 64"' for both hollow combinations of the cryptographic code and against which four rods 65, 65 ', 65 "can be applied, 65 "', closing the corresponding circuits (not shown in the figures); these cams and con tacts used to transport the multiplier in particular for its registration. It is this application which will be referred to in the following as "Contact application".
When the number indicated by the drum is equal to that of. multiplier, the recorded product is obviously 1c sought product; the action of the comparison device will therefore be to stop the rotation of the pinions 1 and to go to the next sheet; we will see how a little further.
In the event that the multiplier is a number more than one digit, it is obvious that the machine will have to be fitted with a mobile cart to shift, to the left, for example, the totals when goes to the different digits of the multiplier. This cha riot will be constituted by a simple switch with the aim of moving the wires coming from the combs and going to the electros 21 by one. In other words, each digit of the multiplicand will be successively connected with the successive electros 21 corresponding to the columns where must register the product figures.
Fig. 12 shows a diagram of this distributor trolley: the wires 67, 67 ', etc., coming from the combs pass in front of the springs 66, 66', ete., Connected with the columns where the products must be registered; it can be seen that a movement to the left of all the incoming wires will shift the recording of the multiplicand by one unit to the left. In fig. 12 it was assumed for simplicity that the connections between the combs and the carriage were made by means of flexible son; it would be preferable, in order to avoid breakage of the wires, to replace the latter with metal bands and rubbers.
In the case of the multiplier with several digits, the equality between the number indicated by the drum 45 and by the number of the multiplier appearing on the sheet must, by the combinations of circuits which will be explained below, stop the pi clutches. - gnons 1 with the Maltese crosses 3, and move the trolley as well as the distributor 53.
The cylinder 61 as well as the pinions 57 are mounted on a frame 69 which can oscillate around the shaft 70 under the action of the cam 71 and of the roller 72 fixed at 73 on the arm 74 of the frame 69. To allow this rocking movement, the cylinder 61 and the shaft 56 receive their movement through the intermediary of the pinions 75 and 76 meshing with the idle pins 77 and 78 on the shaft 70 of the frame 69. These receive at their respectively turn their movement -of the pinions 79 and 80. A cylinder 81 fixed to the frame 69 comes, .dans the rest position to block the Maltese crosses 68 which have been released by the discs of the pinions 57.
This rest position corresponds to addition and subtraction, and the position shown in FIG. 8 @ to multiplication and. To division.
The multiplication is quite simply obtained by successive totalizations. The various mechanical movements to be carried out are always done in the same way; a relay controlled by the perforation acts more or less directly on a magnetic clutch which produces the desired movement; then, this finished, activates a mechanical contact thanks to which a relay determines the next movement, etc. All the various useful movements: stopping the card distributor during the multiplication process, positioning the frame, moving the carriage 69 (fi g. 8 and 9), etc., are already explained in detail in the section. Swiss patent no.139019.
The really fundamental point is the stopping of successive tabulations at the desired moment; for example, in the case of multiplication: 252 X 2.8, the number 25.2 is registered in the totalizer; the drum 45 (fi, -. 9 and 10) advancing by one, places under the rubbers 50 the corresponding combination -to 1; 252 registers a second time, combination 2 comes under the broom, etc., up to 8;
At this time, as can be seen from the connections in fig. <B> 10, </B> the currents coming from drum 45 -and those coming from the reading combs of the multiplier becoming identical since they correspond to the same figure, the device for comparing these two names formed by the four electron R12 , R'12, R "12, R \ 12 acts according to the process indicated above (see Swiss patent no 139019) to stop the recording of the multiplicand and then move the carriage one unit to the left ; the same operations then occur for the number 2 (of the multiplier 28).
<I> Example </I> numeric: Either to multiply: 892 by 2534.
With the carriage in its right-hand position, the multiplicand 892 is added four times by itself, which gives 3568. At this time, the drum 45 has made 410 turns and the comparator has two digits (relay R12 , fig. 10) notes the identity of the number symbolized by the position of the drum 45 and of the last number of the multiplier, from which a current results in the relay Rlv ,. The carriage is moved one notch to the left - and the number 892 is added three times to the number already obtained 3568.
As the cart has been moved, it is not 892 which is added, but 8920 and we therefore obtain 3 X 8920 + 3568 = 30.328. At this moment, the comparison device (re .. lais R12) acts again; the carriage is moved one notch to the left, etc., until the final result is obtained, namely 2,260,328.
In the event that the two factors of the pro product would have had decimals (practically two), only the first two decimal places of the product would have been entered, the second being, where appropriate, forced.
Forcing in the case of multiplication can be illustrated by the same previous example.
Or to multiply 8.92 by 25.34, the result being 226.0328.
We know in advance that the result has four decimal places and we want to force the second decimal. It will therefore be the third number from the left and it will suffice to s' arranaer so that it is the Maltese cross corresponding to. this figure which carries the devices for forcing to obtain the desired result, namely in this case 226.03 since the decimal following the three is less than five.
In the case of division the first thing to do is to bring the cart to the desired place, place depending on the number of digits of the dividend and the divisor. In the hypothesis that dividend and divisor both have two decimal places, or what amounts to the same, are both integers and that we want the quotient to be three decimal places to keep two, it is necessary to place the divi dende so that its units are above the divider units when the cart is moved three units to the left from its extreme @ right position.
Rushing to the operation itself, it is carried out identically as in most calculating machines, the device of the fi '-. <B> 8 </B> and 9 serving as tachometer to record the quotient.
The shaft 82 carrying the Maltese crosses 68 must be arranged to allow the latter to be reset to 0 by the process usually employed in tachometers.
For greater convenience in forcing quotients, the penultimate Maltese cross on the right will be fitted for transport not with small cams closing switches, but with a drum similar to drum 45 fitted with two series of wipers or better, as shown in fig. 9, of two series of four small cams, the use of one or the other of these series being controlled by the small Maltese cross cam on the right having, for example, a boss for the digits 5, 6, 7, 8, 9. For the forcing of the quotients we refer to Swiss patent no 139019.
The registration will be done in the following way: two electron 82 and 83 (fig. 3) will be connected in derivation on the two windings 25 and 26 of the electro 21, each of these electron 82 and 83 will serve as the electro 21 to engage a mad Maltese cross on its axis, one of these crosses will be connected to the central pinion of a planetary gear, the other to the support of the satellite gears of: this train, thus constituting a system of mechanical addition of the rotations of the Maltese crosses. The outer gear of the train whose rotation is the sum of the separate rotations will be connected to the writing device.
In order to be able to transport the products on the totalizers (it should be noted in this connection that all the figures of the machine being identical, they can be grouped as desired, so as to obtain partial and general totalizers of positive or negative number at will) and on the registration device, the pinions 5 (fig. 1 and 2 are provided with four small cams identical to those worn by the Maltese crosses 68 (fig. 9) and on which come, - in due course, lean rods such as 65, 65 ', 65 ", 65"' controlling switches.
This device has, on drums fitted with pellets sliding under rubbers, the advantage of not creating friction during the rotation of the pinions. since the rods 65 will be applied to the cams only during the periods of rest of the pinions; however, for the forcing of the products, a cipher equipped with contacts and the double wiper must be provided; or better than two series of cams which will be mounted as a derivation on the last figure kept of the product. Similarly, a special digit will be derived from the first given aban digit; it will be fitted with a cam which will act on the connections of the switches of the digit kept.
In this case, the question arises of writing 0 on the right: significant digits and not on the left. The following device is particularly advantageous for this purpose.
The ground return wire 84 of the electrodes 82 and 83 is not made directly to the latter, 86, but through a two-way switch 85 controlled (fig. 11) by a small cam wedged on the shaft of pinion 5 (fig. 1 and 2) and bearing a bos sage acting on switch 85 when the number indicated by the numbered wheel 10 is 0.
Under these conditions, if the number: to be transcribed is not a 0, the switch 85 directly connects the return wire 84 of the electrodes 82 and 83 with the ground 86; on the contrary, if this figure is a 0, the wire 84 is connected with the wire 84 of its neighbor on the left, if this one is therefore a significant number, the 0, will be registered; otherwise, it will only be if a significant digit is entered somewhere to its left.
Of. hand switches 8? are arranged immediately between the connecting pad between two wires 84 and the one on the left thereof in order to be able to interrupt the chain and to leave independence between the various groupings of columns which will be chosen.
The device for mounting the power supply circuits of the electros 21, 82 and 83 has the disadvantage of requiring for the electro 21, the use of two wires, which has the effect of: doubling the complication of the carriage and connections; the following variant, the diagram of which is shown in FIG. 12bis removes this drawback.
The return wire of the appliances 21, 82 and 83 is fixed in the middle of the stack 88. The distributors 29, 30, 31 are repeated twice in 29 ', 30', 31 'and 29 ", 30", 31 " the first supply the pellets of the contact plate placed under the left half-combs, for example, the second those which are placed under the other half-combs;
the remainder of the connections relating to the appliances 82 and 83 is the same as shown in fig. 3 but the electro 21 has only one winding connected at the same time to the two half-combs via the resistors 89 and 90. As for the distributors 32 'and 33' it will suffice that they send a current of proper direction in the single circuit - electro 21.
One can easily see that this assembly leads exactly to the same results as that of fig. 3. Resets to 0 can be done very simply without any mechanical device as follows: the: current distributor carrying the application cam.
armatures of the electros 21 comes, in due time, to apply these armatures., and to close a current passing if necessary through a special winding of the electrons 21, 82, 83; we will see below that this circuit will remain closed and consequently that the Maltese crosses will rotate until, with wheel 10 having returned to 0, an switch cuts off this current and stops the rotation: of the Maltese cross corresponding.
In addition, when it reaches 0, wheel 10 acts on a switch; this switch 112 (fig. 13) closes a circuit which will be constituted by all these small switches placed in series to determine the moment when all the pinions 10 and the wheels - of the types (animated by the same movement) will actually be returned to 0.
Stay at. see now. how the different control circuits of this device must be mounted.
Three relays R3, <I> R4, </I> Rri (fig. 13) respectively control the electrons El, E2, E ;, of the gear change clutches of the two totalizers and of the tilting of the frame 69 (fig. 8); three other relays, polarized of the type .Siemens, R; with two reverse windings, RE and Rs with four windings two by two reverse, will play the role which will be explained below; the inertia of these last three relays will be as small as possible.
On the other hand, the switches 97, 98, 99, 100, 101, 102 are controlled respectively by the inverters and the frame 69, the movement of which they control in a way.
The switch <B> il, </B> controlled by the plug distributor, closes the circuit of the operation indication column by 9,1, 92, 93, 91, 95, 96. For example , for an addition to the first totalizer, the relays R., R. ,, R $ thanks to their small inertia, immediately put themselves in the desired position. Immediately 12 closes the circuit 103, 104, Rl, 105, 10e6, Y, X, 107, 108, 94, 95, <B> H </B>; if X.
Y does not form a continuous circuit, Rl cannot function, but El, which must have sufficient inertia not to move if Ri had attracted its armature, attracts its own; then switch 100 closes and X, Y forms a continuous circuit; Rl works then if (see below) the registration mechanism has returned to 0, R2 also works. R, closes through the synchronizer - which will be discussed below, the clutch of the current distributor;
this is constituted by a series of cams (fig. 15) having the effect of applying the armatures of the electrons 21 and of those of the inscription, of closing the circuits of these electrons according to the diagram below ( fig. 14) and release the snap 38 of the levers .37 of the retention switches; the diagram is as follows: <B> 10 </B> Application of the reinforcements - electros 21 and 8,2-83, then running for 1/12 - of a turn by switch 29; Application of the armatures - of the electrons 21 and 82-83, then current for 2 / 1z of a turn by the switch 30;
30 Application-of the armatures of the electrons 21 and 82 --- 83, then current for 4/12 - of a turn by the switch 3-1; These first three times correspond to the entry of the digits 0 to 7 as indicated above (see page 3).
40 Current for 3/12 of a turn by switch 32 (fig. 3) with a slight overlap on the previous one, so as to achieve the numbers 7, 8 and 9 (it should be noted that it does not there was no application of the reinforcements before the emission of this current).
After this current, knock on the entry and send the current to restart the card-distributor!
5 1/12 of a turn, then application of the mature arrays of electrons 82 and 8.3 only, then current through these electrons to reset the writing devices to zero; 60 2/12 of a turn, then application of mature arcs of the electron 21 and current for 1/12 of a turn by switch 33 (fig. 3), so as to. carry over your deductions; and as soon as this operation is carried out: 70 - triggering of the click of the restraint switches.
Fig. 13 relates to a general diagram of the apparatus and it is more especially relating to the discrimination of the operations to be carried out according to the indications given on the card which is inserted under the combs shown at the top and to the left of this fig.
In addition to the perforations a corresponding to numbers, the card or card includes a perforation b indicating the nature: of the operation to be carried out, namely: b ,. corresponds to an addition, 42 to a subtraction, b, to a multiplication and b4 to a division, the whole on the first totalizer, b # j corresponds to an addition, b ,, to a subtraction on the second totalizer.
The device was designed to avoid any unnecessary maneuvering and for that the rods 12 and 13 as well as the frame 69 (fig. 8) are not returned to a determined position after each passage of the plug, but they remain in their present position. If the following card corresponds to the same of the six operations as the preceding card, none of the parts 12, 13 and 69 move, because the x-y circuit is immediately closed. Switches 97 and 100 are mechanically controlled by the control rods of the first totalizer, switches 99 and 102 by the frame <B> 0 </B> and finally 98 and <B> 101 </B> by the. rods of the second totalizer.
It is immediately seen that if the positions of the relays Rs, R7 and R $ correspond to the positions of the switches 97 and 102, which means that the parts 12, 13 and 69 are in the position corresponding to the operation to be carried out, these parts do not move and the operation begins immediately, saving time. Relays E, E2 and E3 respectively control parts 12, 13 and 69.
However, the resetting of the inscription to 0 continues by means of the sticking relay R [, the circuit of which is closed at 109 by the current distributor. This relay closes at 110 the power supply to the circuit for resetting the registration electros to 0, a circuit which will be cut at 111 when the wheel of the types has returned to neutral;
finally, when all these wheels have returned to this point, all the switches 112, 112 ', 112 "' close the circuit of the relay Blo which cuts in 113 the circuit, of bonding -de Ba and closes in 114 the circuit of R, which, then attracting its armature, engages the current distributor in <B> De. </B>
There is an advantage in maintaining the reset to 0 by gluing and not by a mechanical device, because it is thus certain that this reset to 0 will be done - in the minimum time.
It is not necessary to provide a glue for R2: as soon as the wheels of the types leave their neutral point, the switches 112 cut the circuit of R, o and consequently that of R2, but that does not matter because, By virtue of their construction, electrically operated clutches complete a full revolution as soon as movement has been started.
The synchronizer, which was discussed above, is simply constituted by a cam closing a switch at a time such that the distributor is engaged only when the claws, of which the male and female parts of the em Magnetic clutches used, do not risk getting caught by the end.
Before explaining the mechanism of the registration of the totalization of a packet of files, a device will be described which makes it possible to register the parameter, according to which the sorting was carried out, only at the head. , of each group, so as to make reading the tables more convenient.
The closing of a circuit in 134 (fig. 13) by the automatic totalizing device sends a current in an electro R,., Sie mens (fig. 16) with two reverse windings.
When this first winding is in service, the armature comes to 1l5 and closes the return circuit of the wires of the electrical inscribers of the columns relating to the sorting parameter; the second winding of the relay R, l is bypassed on the reset windings of the registration appliances shown to the right of FIG. 16; consequently, the first reset there interrupts the writing of the sorting parameter which can only take place again when the cut in 134 has been closed:
that is, when a new package arrives. A hand push-button switch 116 is provided to make it possible, when the registration sheet is changed, to re-register the parameter at the head of this new sheet.
For the totalization of a packet, the-device represented by the fi-. 13 is used. Connections to. carried out by the control relay S must be as follows 10 Cut the return wire of the indications carried by the plugs, so that the current distributor does not register them twice; moreover, it would also be easy to connect these return wires to a fixed scale, so as to enter certain indications, constants for each totalization, such as total, to report, etc .;
20 Cut the circuit of relay R2 at 118, a branch of which 119 will be closed for transcription, by the contact application cam, once this application has been made, at <B> 120, - </B> <B> 30 < / B> Close (at 131) the contact application clutch circuit. This application being made by means of a clutch not synchronized with the current distributor, the circuit of which it closes at 120, it will be necessary for the application device to be provided with a snap which will be released by the distributor. current when the latter has finished transcribing a subtotal.
Fig. 17 shows the arrangement of this snap; the cam 121 switches the lever 12.? driving application rods; this lever 122 carries a notch 123 which penetrates the finger 1224 which a spring 125 presses on the lever 122. This finger 124 is pivoted at 126 and, when it is pressed into the notch 123, its end 12.8 is provided with a roller rolls on the cam 127 integral with the shaft of the current distributor; the latter will therefore come, in due course, by tilting the finger 124, release the lever 122 which, under the action of the spring 129, will return to its rest position.
The upper curvature of the lever 122 is such that, in the rest position, that is to say the finger. 12: 1 not engaged, the roller <B> 128 </B> does not rest on the cam <B> 127, </B> in order to avoid unnecessary friction while no totals are being made.
Each transport of a subtotal or any other numerical result on a totalizer shall be followed by the resetting of the figures transported; it is therefore natural to charge the transport mechanism, that is to say the application of the contacts, to carry out this reset to 0.
Consequently, the lever 122 must, by tilting under the action of the cam 121: a) Close, as has been said, the switch 120 on the supply circuit of R2; b) Apply the armature of a Hughes relay which will receive its demagnetizing current from a bypass of the reset control current and will have to: close the circuits, at 132, for resetting the digits which come from be transported;
c) Place, in 133, the control switches for resetting these digits to zero with those of the inscription; it will be a derivation of this control current which will have to take off the armature of the Hughes H relay,., while another derivation will cross a winding of the S relay to complete the totalization and go to the next card;
d) Close in 130 a circuit comprising an electro having the effect of keeping the click cocked, the restraints so that, by the reset. zero 'of the digits to be canceled, these, passing from 9 to 0, do not register a carry; the same result would be obtained by resetting to zero only in the direction of decreasing digits, that is to say by engaging the subtraction; one or the other of the two devices may be the most advantageous depending on the case.
In addition, the relay S (fig. 13) must: 40 Close, as was explained above in 134, the first circuit - of the electric B1, (fig. 16) of registration - the sort parameter; <B> 50 </B> Cut the card distributor circuit at 135, so that the entry of the total does not cause another to come. n will now describe the assembly corresponding to the multiplication.
Suppose that this operation is defined by the third perforation in the operation indication column. By closing, the switch I1 sends a current in a winding of the relay Re giving the addition and in a winding of the relay R, giving the frame 69 the multiplication position.
This frame, coming into this position, acts on a switch 136 (of which the control rod is the only one shown in fig. 8) and which has the effect of: Cutting the return wire of the indications carried by the plugs under the same conditions as relay S in 117 in the case of totalization; these two breakers must be placed in series; 20 Cut off at 137 (fig. 13) the power supply to R .; 30 Cut in series with breaker 135, the power supply to the plug-distributor; 40 Cut the return threads of the digits other than those of the multiplicand;
<B> 50 </B> Close at l38 and 139, the circuits of the comparison electron R12 and of the electro R, E controlling the carriage advance clutch (fig. 10); 60 Close, a little later, in 140 the circuit of the electro R14 commanding the return of the cart (fig. 10); 70 Apply the armature of a Hughes HZ relay (not shown) bypassing the circuit - resets the clutch electro - resetting the multiplier.
This electro HZ will receive its demagnetizing current. From a bypass - of the current supplying H1.
All these commutations will be done under the action of the thrust of the rod 136, however they can also be done under the thrust of a special R17 electro which will be mentioned during the description of the assembly corresponding to the division.
Under these conditions, the multiplication being done from right to left, if the multiplier is terminated by 0, the comparison electrons R12 will cause the carriage to advance towards the left: otherwise, at least one of these electrons é12 attracts its armature and closes at 141 the supply circuit of R2;
then the multiplicand is added and the cylinder 45 rotates until there is equality between the number which is under the friction 50 and that of the multiplier. At this moment, all the electron R \ having released, their armature, the supply of R = is cut off at 141 but that of B ", engaging the advance of the carriage to the left is closed at 142, 142 ', 1.42 ", 142" '. The carriage moves forward one unit to the left and one unit only,
because the width of the keys 55 and of the slider 54 are such that the figure close to the figure left sends its current in the electron R12 as soon as the clutch has been carried out and consequently the supply of R "is cut off. At the same time. as the carriage advances to the left, cylinder 45 is reset.
Finally, the slider 54 arrives on a non-existent number at the multiplier; then the relay R13 comprising four windings in derivation respectively on the four circuits of the comparison electrons R12 coming from the plugs, no longer receives any current and releases its armature which comes, at 143, to close the supply circuit of the relay R14. This release R14 closes: in 144 the supply circuit - for the return clutch of the carriage (to the right), in 1.45 the application of contacts in 146 the addition of the frame 69, and it chopped off:
in 147 the multiplication indication circuit, in 148 the division indication circuit, finally in 149, a gluing circuit is closed which will be cut in 150 by the electro R \ which will be discussed; the circuit of this electro is closed in 151 by the relay R14, but it will only be able to operate after the breaker 152, closed by the carriage returned to the starting position that will have been set for it, will have been operated by the cart.
Automatically, the addition cuts the circuits closed by the rod 136, with the exception of course of that closed by the electro FI2. The multiplier is printed by applying the contacts to the small cams 64 attached to the Maltese crosses68. Then the transports and transcriptions are carried out, as well as the resets.
If we want the product to be added to one totalizer and subtracted from the other, the application of the product contacts on the two totalizers will have to be bypassed, the first being set to addition, the second to subtraction.
In the case of division, the operation indication circuit acts on two bypass relays R, 7 and R, a (fig. 19); Rl $ pushes, by means of a rod identical to the rod 136, the switch actuated by the latter when the frame 69 comes into the multiplication or division position. As for R ,;
, it closes the carriage clutch circuit in the left direction and, by making the necessary switchings on the circuits coming from the dividend and from the divider to enable them to conform to the diagram in fig. 18, operates the trolley positioning device.
Since the dividend is inscribed at a specific place on one of the totalisers, this setting up consists simply in moving the cart so that the divider comes to withdraw correctly from the dividend.
We can also see that in all cases where the -divider is not reduced to a fraction less than. unit, it will suffice, in the hypothesis of a quotient calculated with three decimal places, to move the carriage from its extreme right position, to the left by a number of units equal to 3 increased by the excess of the number -of digits of the dividend over the number of digits of the -di finder, the dividend and the divisor both being assumed to be integers, an assumption that can always be made.
In the event that the divisor is a decimal fraction less than unity, the carriage must be pushed back, in addition, to the left, by one unit if this fraction is not less than 0.1 and by two units otherwise, because it is always assumed that the numbers have only two decimal places.
The diagram of the fi-. 18 solves the question: A series of electros such as K @, K ,, K2, Kn_ ,, <I> K. </I> with four windings., In number equal to the number plus 1 of the whole digits constituting the capacity the dividend machine and the divider are mounted as follows: The first winding comes from the dividend figures, it is in the opposite direction to the other three; The second d comes from the digits of the divider;
The third comes from the switches i controlled by the carriage, the switch 2-i sending current to the relay K _ ,, the switch i to K ,, etc., i ,, to K ,,; The fourth c closed by relay R, 7 (fig. 19) is constant.
These relays perform only one switching; the current coming from the source arrives through the central pad 154 of the relay K- i; the upper pad of this relay is connected with the central pad 156 of the relay K; the upper pad 157 of this relay is connected with the central pad 158 - of the relay K2, etc., up to the upper pad 159 - of the relay K "-, which is connected with the central pad 160 of K ,,, finally - from the upper pad 161 of relay K ", the current returns to the source through relay D '.
On the other hand, all the lower pads, such as 162 are mounted in bypass on a circuit coming back to the source through the relay Y controlling the movement of the carriage to the left.
The operation is as follows: leaving aside for the moment the description -of the relays K-, and K, which will be discussed below, and assuming their armature attracted, three cases may arise in relation to the relay KZ corresponding to the second digit to the left of the decimal point for the dividend and the divider (assumed to have two decimal places).
a) The dividend and the divisor had only one digit to the left of the decimal point; then relay K. receives only current c and attracts its armature; it is obviously the same for all the following ones until Tin and the circuit of D 'closes. h) The divisor has two digits to the left of the decimal point; then relay Kz receives two gourants <I> c and d </I> of the same meaning; .therefore; whether or not the di vidende has tens, that is to say whether the current D is flowing or not, KZ attracts its armature as before.
c) The divisor has only one digit to the left of the decimal point and the dividend has at least two; then the relay K2 receives the reverse currents D and c and does not attract its armature; the current arriving at 1:54 goes to 155, 156, 157, the lower <B> 167 </B> pad of K1 and returns to the source through the Y relay, therefore, 7th carriage advances by one to the left, then the switch i2 closes and sends an opposite current: to D in the KZ relay which then attracts its armature.
The same movement will take place closely as long as the dividend has digits to the left of the last digit to the left of the divisor. Then, the K - Kn appliances, receiving only the current c, attract their armatures.
There remains the case where the divisor is reduced to tenths or hundredths. The zero placed in the units column must therefore play no role in the movement of the cart, which must be done as if this number had not been entered; in other words, when in this column (that of K1) there is a zero, the circuit d must not receive any current.
For this, the two wires corresponding to the perforations relating to numbers 1 and 2 pass directly through relay K1; on the other hand, those corresponding to the perforations relating to the numbers 4 and 7 return to the source through two opposite windings of an additional relay L1; it is then the circuit 163, 164 which crosses the relay K at d; this circuit will obviously be closed for the digits 4 and 7, but for the zero, the two reverse windings of L, being traversed by the same current, the circuit d will be cut in 164. Consequently, nothing will pass in d if the digit of units -of the divisor is a zero.
But this is not enough; it is necessary that if this figure, while being a zero, is to the right of a significant figure, either directly or through other zeros, the circuit d of K, receives current. For this, l e lais T.,. is provided with a third winding 167, in any direction, branched off at 165, 166 on the circuit d of Ki !. Consequently, if the divisor has a tens digit, followed to the right by a zero, the electro L1 receiving two currents in one direction and another in the other attracts its armature.
However, in order for this armature to be attracted even if the units digit of the divider is a 4 or a 7 (depending on the direction of the windings, the winding 167 must have a number of ampere-turns at least double. that of the windings which is contrary to it.
Finally, an identical device is adapted to the digit of the tenths of the divisor; the electro g_i will not receive any current if the tenths digit is 0 as well as that of the units and the latter is not itself followed to the right of any other digit. In any other case, K1 attracts his frame.
Then the relay D '(fig. 19) receives a current through 161; it has drawn its armature and cuts, in 169 the return wire .du divider, in 171 the power supply of relay R17; on the other hand, ii closes, in 168 a bonding circuit and in 170 the circuit of the release D "which will be discussed below; the movement of R17 closes the supply of R_, and the, dividend s 'registers; the withholding current coming from switch 33' (fig. 12bis) passing through 170 supplies the relay D ";
this closes in 172 a bonding circuit; it cuts, in 173 the gluing circuit of D ', in 174 the return wire idu divi dende, in 175 the supply of both R17 (in series with 171) and R, s and closes in 176 the circuit of the relays RE and R8, so as to place the frame 69 (fig. 8) in the multiplication or de-division position and the inverter 14 (fig. 1) in the subtraction position. Rla could be cut, because there is no longer any reason to be since the frame 69 has pushed the rod 136.
During this time, the power supply to R2 is cut by relay B. Then, the divider is cut off until a 9 appears on the ad hoc digit. This figure is derived from the last figure to the left of the dividend; it has a special small cam which closes the circuit of a relay Rl, which, in turn, cuts the subtraction circuit of R at 177, and closes the addition circuit in 178, its bonding circuit in 179 which will be cut as it will be. said by the carriage clutch cam, at 180 the circuit of a relay R2o controlling the movement of the carriage;
this circuit includes a switch 181 which will close when the special number has returned from 9 to 0. It is then that, when performing its turn, the carriage clutch cuts off the bonding circuit of R19, R, resumes then in subtraction and the divisor is subtracted, etc. When the carriage has arrived: at the limit switch on the right, it acts on a replacement switch. the action of relay R29 on the unit by closing the application of the contacts and consequently causing the passage of the next plug.
[a complement to the device for applying the scales will now be described; in the apparatus which has been devised for this purpose the indications of the scale are grouped in a table at. double entry; there may be cases where these indications: would be more advantageously written on cards; such would be, for example, those provided by an address book; if, for example, an accountancy is made by attributing to each customer of the company a number, if there are invoices or receipts to be made, it will be necessary to write on them the name and debtor's address.
For this we will use two .distributors of cards; one normal, the other identical, will be supplied by directory files each bearing a name and the corresponding number. The combs and pellets relating to the number of both one of the distributors and the other are connected with a device for comparing the identity of two numbers. It will therefore be necessary as many times as four electros that there are figures in the number considered.
These electros (fi ,,. -0) close in 182 the branches of a circuit 188, 184, controlling the supply of the directory card distributor; this one will therefore pass cards as long as it receives current, that is to say as long as the two numbers compared are different; on the other hand, these appliances open in 185 (all these cuts being in series) the recording circuit .des inscriptions of the cards, a circuit which can obviously only be closed if the two numbers compared are equal. When the registration thus due, the operations are completed. a current is sent through the clutch of the two plug distributors and everything starts again.
To increase the speed of the device, it may be advantageous to provide it with a speed change allowing the control shafts to turn faster when the writing is not done, during multiplications and division, for example. , this result can easily be obtained by controlling, by the current acting on the inscription, for example a change of speed consisting of two planetary gear clutches.