CH163707A - Calculator. - Google Patents

Calculator.

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CH163707A
CH163707A CH163707DA CH163707A CH 163707 A CH163707 A CH 163707A CH 163707D A CH163707D A CH 163707DA CH 163707 A CH163707 A CH 163707A
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CH
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sub
cam
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Inventor
Jacob Marcel
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Jacob Marcel
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    • GPHYSICS
    • G06COMPUTING; CALCULATING OR COUNTING
    • G06FELECTRIC DIGITAL DATA PROCESSING
    • G06F7/00Methods or arrangements for processing data by operating upon the order or content of the data handled
    • G06F7/38Methods or arrangements for performing computations using exclusively denominational number representation, e.g. using binary, ternary, decimal representation
    • G06F7/46Methods or arrangements for performing computations using exclusively denominational number representation, e.g. using binary, ternary, decimal representation using electromechanical counter-type accumulators
    • G06F7/462Multiplying; dividing
    • G06F7/463Multiplying; dividing by successive additions or subtractions

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
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  • Pure & Applied Mathematics (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Transmission Devices (AREA)
  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description

  

  Machine à calculer.    L'invention se rapporte à une machine à.  calculer utilisant des feuilles perforées, ca  ractérisée en     ce    qu'elle comporte un appa  reil effectuant à volonté les quatre opérations  ayant divers dispositifs permettant d'effec  tuer simultanément l'addition et la soustrac  tion, ainsi que la totalisation de séries -de pro  duits et quotients et des mêmes produits et  quotients précédés -du signe moins, ces résul  tats étant visibles sous formes de nombres  apparaissant sous des fenêtres ad hoc, nom  bres constitués par -des chiffres portés par des  tambours, un second appareil étant prévu  qui inscrit en langage clair, sur du papier,  en plus de lettres représentées, elles aussi, par  des perforations dans les feuilles, les divers  termes de chacune des opérations et .des ré  sultats de celles-ci,

   de manière à conserver  trace de ces résultats sans être obligé de les  inscrire à la main. L'inscription en langage  clair pourra se faire par tout appareil appro  prié.    Sur les dessins annexés, une forme d'exé  cution de l'objet de l'invention ainsi que des       variantes    de détail sont représentées à titre  d'exemple.  



  La     fig.    1 représente un élément -de totali  sation vu de face;  La     fig.    2     représente    le même élément vu  de côté;  La     fig.    3 est un schéma -de montage des  circuits de commande des totalisateurs;  La     fig.        dbis    montre un distributeur uti  lisable dans le schéma de la     fig.    3;  La     fig.    4 représente la disposition des  perforations;  La     fig.    5 est un schéma de montage -des  commutateurs commandant les dispositifs de  retenue;  La     fig.        5bis    est un schéma analogue sim  plifié;

    La     fig.    6 montre un .des commutateurs et  sa commande, et      La     fig.    7 la came de commande de ce com  mutateur;  La     fig.    8 montre,     vu    de côté, le dispositif  utilisé pour la multiplication et la division;  La     fig.    9 représente le même dispositif       vu    -de face;

    La     fig.    10 est un schéma -de montage des  circuits utilisés pour la     multiplication;     La     fig.    11 est un schéma du montage  pour l'inscription des zéros. seulement lors  qu'ils sont à la     droite    :d'un chiffre     significa-          tif;     La     fig.    12 est un schéma du montage  du chariot de la machine;  La     fig.        19-bis    est une variante du mon  tage de la     fig.    3;

    La     fig.    13 est un     schéma,des    circuits     gé-          n6raux    de l'appareil;  La     fig.    14 est un schéma représentant le  fonctionnement des cames:;  La     fig.    15 indique la disposition .de ces  cames;  La     fig.    16 représente le schéma du mon  tage permettant -de n'inscrire le paramètre  de tri -d'un paquet qu'en tête de ce paquet;  La     fig.    17 montre la disposition -d'un en  cliquetage nécessité par les transcriptions;  La     fig.    18 représente le schéma -des cir  cuits de commande du chariot pour la divi  sion;

    La     fig.    19 montre le schéma des circuits  -de la division;  La     fig.    20 est le schéma de montage per  mettant l'utilisation du fichier répertoire.       _Le    mécanisme d'addition est le suivant:  Un pignon 1     (fig.    1 et 2) de forme clas  sique, à une dent, par exemple, accolé à un       disque    2 de même diamètre engrène avec une  croix de Malte 3 à dix encoches, folle sur  son axe.

   Le pignon 1 étant animé d'un mou  vement .de rotation continu, la croix -de Malte  3 tournera ou restera bloquée suivant que le  creux de son bord sera en prise avec le pi  gnon 1 ou le disque qui lui est accolé; tout  reviendra donc, pour .faire tourner ou non la       croix,de    Malte à déplacer longitudinalement  le pignon 1 qui pour cela, sera simplement  enfilé et claveté sur son     axe,,de    façon à pou-         voir.    glisser le long de celui-ci. Solidaire de  la croix de Malte 3, un pignon 4 engrène avec  un pignon 5 par l'intermédiaire     d'un    groupe  de trois pignons 6, 7, 8 formant inverseur.

    Enfin, le pignon 5 engrène avec un pignon  9 solidaire d'une roue 10 dont la jante est  gravée des     -dix    chiffres. Il y a lieu -de remar  quer tout -de suite que si l'on a soin -d'attri  buer aux pignons 4, 5, 6, 7, 8, -des nombres  -de dents     multiples,de    dix, chaque fois que la  croix de Malte se sera déplacée d'un ou plu  sieurs dixièmes -de tours, les pignons de l'in  verseur se trouveront identiquement dans la  même situation, de sorte que les dents     vien-          ,dront    en prises sans difficulté. Le groupe de  ces pignons 6, 7, 8 est monté sur un petit  support 11 qui est enfilé sur deux arbres à  crémaillères 12, 13.

   Un levier 14, rentrant  soit dans la crémaillère 12, soit dans la cré  maillère 13 rend l'une -de celles-ci solidaire  du support 11. Par conséquent, le déplace  ment longitudinal -des arbres 12, 13     mettra     à volonté en marche avant ou arrière tous les  trains de pignons respectivement embrayés  sur chacun     d'eux.       Le mouvement latéral du pignon 1 est  commandé par une fourchette 15     pivotée    en  16 et maintenue par un ressort<B>17</B> dans une  position telle que ce soit le disque 2     qui    en  grène avec la croix de     Malte.    Une tige 18,

    munie -d'un     têton    19 reçoit d'une came portée  par l'arbre général -de la machine un mouve  ment vers la gauche qui embraye le pignon  1 avec la croix de Malte 3 et vient appliquer  le barreau -de fer     doux    20, terminant le levier  15, sur les pièces polaires -de     l'électra    21.

      Le mouvement que la tige 1.8 reçoit de  la came qui la commande est tel que, dès que  l'armature 20 a été appliquée sur     l'éleetro     21,     cette    tige se recule; par conséquent, le  pignon 1 ne restera embrayé avec la croix de  Malte 3 que dans le cas où     l'éleetro    21 sera  parcouru par un courant.     Dans    le cas     ;

  on-          traire,    le ressort 17 le débraie avant qu'il  n'aie eu le temps de faire     tourner    la croix de  Malte 3, les pignons qu'elle entraîne et la  roue chiffrée 10.     Bien    entendu, cela suppose      que l'arbre portant le pignon 1 et la came  commandant la tige 18 sont convenablement  synchronisés.  



  Le dispositif d'entraînement par pignons  tels que le pignon 1     (fig.    1) et la croix de  Malte présente les avantages bien connus  mais aussi le défaut que, lorsque la dent du  pignon 1 vient en prise avec l'encoche corres  pondante de la croix de Malte ou la quitte,  tout le système est soumis à un choc brus  que qui a pour effet :de le :détériorer d'au  tant plus rapidement que le pignon 1 tourne  plus vite. Or, pourvu que la :durée d'une ré  vohition du pignon 1 soit constante, que la       vitesse    de rotation de ce pignon soit uniforme  ou non, le rendement de l'appareil sera tou  jours le même.

   Dans ces conditions, il sera  facile :d'obvier en grande partie au défaut       susindiqué    du :dispositif à croix :de Malte en  donnant au pignon 1 une vitesse variable qui  sera minime au moment où ce pignon entre  en prise avec la croix de Malte et au moment  où il la quitte. Ce résultat pourra     !être    faci  lement obtenu par un     mécanisme    quelconque  transformant un mouvement de rotation uni  forme en un mouvement à vitesse variable,  par exemple par pignons elliptiques et ré  ducteur de vitesse.  



       L'électro    21 comporte trois enroulements  25, 26, 27, .deux dans le même sens et l'au  tre dans le sens opposé     (fig.    3). Le courant,  venant de la pile 22 arrive aux :distributeurs  29, 30, 31, 32, 33 montés en dérivation.

   Les  trois premiers sont réunis par trois fils aux  pastilles de la. plaque de contacts .du :distri  buteur de fiches de la façon suivante: le fil  venant de 29 aux :deux pastilles extrêmes a  et f d'un groupe de six pastilles; le fil ve  nant de 30 aux deux pastilles voisines b et  e :des .deux précédentes; enfin, le fil venant  de 31 aux deux pastilles centrales du groupe,  <I>c et d.</I> Le peigne correspondant est divisé en  deux tronçons     23'    et 24 de trois tiges chacun  recevant, d'après le montage précédent es  pastilles, les mêmes courants. La moitié 23  est connectée à l'enroulement 25 :de     l'électro     21 et l'autre 24, à l'enroulement 26, de sens    contraire.

   Le troisième enroulement 27 :de  cet     électro    est relié directement :à l'interrup  teur 32.     Les    interrupteurs 29, 30, 31, 32  sont commandés par une came de telle sorte  que leurs durées de fermeture soient comme  1, 2, 4, 3 respectivement, la durée unité     étant,     celle qui est nécessaire au pignon 1 pour faire  tourner, lorsqu'il est embrayé, la croix de  Malte 3 :de     '/,o    de tour. En outre, les ferme  tures :de 31 et<B>32</B> devront chevaucher très  légèrement.

   Enfin, le profil :de la     came    ap  pliquant les armatures par l'intermédiaire  des tiges 18 est tel que ces armatures soient  appliquées sur leurs électron     respectifs    au mo  ment :des fermetures :des     interrupteurs    29, 30  et 31.

   Si donc, :dans ces conditions, les     quatre     trous de la fiche viennent se     placer,    trois en  <I>a, b,</I> e sous le     demi-peigne    2,3 et le quatrième  en d sous le     :demi-peigne    24, le trou corres  pondant au chiffre 1 en a, celui correspon  dant au chiffre 2 en b, etc.     (fig.    4),     l'électro     21 recevra, en une ou plusieurs fois, un cou  rant d'une :durée:

    1 pour le chiffre 1, 2 pour le chiffre 2,  etc., 9 pour le chiffre 9 et 0 pour le chiffre 0,  à la condition que la puissance du ressort 1.7  soit suffisante pour que l'attraction de       l'électro    21 sur son armature 20 ne     puisse     faire bouger celle-ci quand elle n'a pas été  appliquée sur     l'électro    21 par la tige 18; en  effet, cela est évident pour les chiffres 1, 2,  3; pour le 4, le courant de 32 légèrement su  perposé à celui de 31 auquel il succède et est  opposé, décollera l'armature; au contraire,  pour le 7, le courant de 32 étant de même  sens que celui de 31, l'armature restera collée;

    enfin, pour le 0,     l'électro    21 recevra simulta  nément deux courants inverses, par consé  quent l'armature se détachera immédiate  ment. Les autres chiffres se comprennent  d'eux-mêmes.  



  Les interrupteurs 2,9, 30, 31, 32, 33 peu  vent être constitués par le distributeur tour  nant représenté à. la     fig.    ibis. On supposera  les cames dessinées à l'extérieur, solidaires  de la couronne portant les lames métalliques,  tournant avec elle-: dans le     sens    indiqué par la      flèche, le frottoir     restant    fixe. Les parties  isolantes sont représentées en hachures croi  sées. foncées. Le frottoir a la forme d'une  fourche; l'isolant entre les blocs métalliques  31 et 32 est moins large que l'écartement des  dents -de cette fourche; il y a donc ainsi che  vauchement entre ces deux durées de courant.

    Quant à la came commandant l'application  des armatures des électron 21 par l'intermé  diaire .de la tige 18     (fig.    2), son fonctionne  ment se comprend de lui-même.  



  Le dispositif pour la réalisation .des rete  nues est basé sur le principe -de leur inscrip  tion simultanée et fonctionne ainsi:    Un interrupteur     M        (fig.    3) est fermé au  moment voulu (moment qui sera mieux :dé  fini plus bas) pendant la même durée que  l'interrupteur 29 (une unité). Le courant ve  nant de la pile 22, après avoir traversé cet  interrupteur 33 se rend au circuit 27 de 1\é  lectro 21 à travers un     commutateur    34       (fig.    5 et 6).

   Ce commutateur à .deux,direc  tions, commandé par le chiffre à. droite -de  celui dont il alimente     l'électro,    est normale  ment dans une position. intermédiaire     (fig.    6)  et aucun courant ne peut passer dans les  électron 21, venant de 33. Une came 35       (fig.    6), solidaire de la roue chiffrée 10       (fig.    2) porte, en une     rbgion    correspondant  au passage -de la roue 10 .du 9 au 0, un bos  sage 36 qui repousse à gauche le levier 37  qui vient s'encliqueter en 38 en fermant en  39 le contact du commutateur 34.

   On voit sur  la     fig.    5 que dans ce cas (levier     R    représenté  vertical),     l'électro        \_?1        reçoit,du    courant qui a  traversé l'interrupteur manuel 43,     supposé     fermé. D'autre part, la came 35 porte, dans la  région correspondant     à.    un 9 sur la roue chif  frée, une encoche 40 dans laquelle le levier 37  vient     s'enfoncer    sous l'action du ressort 41.

    Le commutateur 34 est alors fermé en 42  (position horizontale du levier sur la     fig.    5)  et -met ainsi en dérivation     l'électro    21 du  chiffre commandant le commutateur avec ce  lui de son voisin de gauche; autrement dit,  lorsqu'un 9 a été enregistré, s'il reçoit une  retenue, son voisin -de gauche la reçoit aussi.    <I>Exemple</I>     numérique:     Soit à ajouter: 156.743  843.552  <B>10</B> Le premier nombre s'enregistre et  s'inscrit simultanément sous l'action de cou  rants fournis par les     interrupteurs    29, 30, 31,  32     (fig.    3). Il ne se passe évidemment rien  pour le     courant    fourni par 33 puisqu'il ne  peut y avoir de retenues.  



  20 Le deuxième nombre s'enregistre el:  s'inscrit de la même façon; les disques mar  quent immédiatement après l'ouverture de  l'interrupteur 32 et avant fermeture de 33  9:99295.  



  Les électron 21 -des six colonnes seront  alors connectés comme suit (en supprimant les  interrupteurs 43, voir     fig.        5bis)    et l'on voit  sans peine que, une fois le courant 33 passé,  les chiffres .deviendront:    1000295  Ce qui précède, concernant le cas de     pad-          dition    de sommes s'enregistrant sur le totali  sateur formé par un groupe de roues chif  frées, doit être modifié comme suit dans le  cas où le nombre à enregistrer doit être re  tranché: le groupe des pignons 6, 7, 8 doit  être déplacé pour inverser le sens de rotation  du pignon 5 et par suite de la roue chiffrée.

    D'autre part, ce n'est plus lorsqu'un chiffre  recevant une retenue est un 9 qu'il doit la  transmettre à son voisin de gauche, mais  lorsqu'il est un 0. Pour cela, la came 35 de  vra     êAtre    accolée à une autre pour laquelle  l'encoche 40 se trouve de l'autre côté du bos  sage 36.

   De plus, il sera nécessaire que par  inversion du sens -de la rotation, le levier 37       passa    d'une came à l'autre; pour cela, la came  35 devra être munie dans la région  40-36-40 d'une sorte de rampe constituée  par une rampe 43'     (fig.    7) en forme     d'$    al  longé, de façon que le levier 37, qui devra  posséder une certaine élasticité ou pouvoir  prendre un certain     déplacement    latéral, soit  obligé de glisser à gauche -de     cette    rampe lors  que la came 35 tourne dans un sens et à      droite de celle-ci lorsque la came $5 tourne  dans l'autre sens.  



  Pour la soustraction, il n'y a rien à chan  ger à l'addition si ce n'est que sous     l'actian     du dispositif de pignons inverseurs, les roues  chiffrées tournent en sens inverse pour l'en  registrement du     -deuxième    nombre et que le  profil présenté par la came 35 n'est plus le  même.  



  Dans toute cette description, on a sup  posé que les chiffres pouvaient être groupés  de façon à. former deux totalisateurs diffé  rents pouvant recevoir simultanément     îles     nombres positifs ou négatifs; dans le cas où  l'on se contenterait d'une seule totalisation, il  est bien évident que l'on pourrait remplacer  les inverseurs individuels par un simple in  verseur     unique    sur l'arbre 44. Ici on     envisage     donc simplement un emploi limité de la ma  chine. Normalement, la machine effectue si  multanément l'addition et la soustraction.  



  Dans ces conditions, tous les chiffres de  la machine sont solidaires; si, par     exemple,     leur nombre est 100 et que le premier à gau  che étant un zéro, et les 99 autres .des 9, on  ajoute à     ce    nombre une unité, le résultat ob  tenu en une seule fraction de tour sera le  nombre 1099. L'avantage de ce dispositif est  de permettre le groupement à volonté -des  colonnes: pour cela, il sera évidemment né  cessaire de pouvoir désolidariser certaines co  lonnes: cela se fera très aisément au moyen  des petits interrupteurs à main 43     (fig.    5)  qui coupent l'alimentation par le rupteur 33  des     électro.s    21 du chiffre correspondant.  



  Supposons qu'il s'agisse maintenant d'ef  fectuer une multiplication par un nombre  d'un seul chiffre; tout revient à faire tour  ner l'arbre 44 sur lequel sont enfilés les pi  gnons 1 d'un nombre de tours égal au nombre  d'unités contenues dans le multiplicateur. On  peut pour cela employer le dispositif de lec  ture -des barèmes en     prenant    pour barème  une table de Pythagore; il faudra alors, bien  entendu opérer en deux fois, d'abord sur les  chiffres de rang pair, par exemple, puis sur  ceux -de rang     impaire    pour éviter les retenues  supérieures à. 11. Le système suivant est pré-    (érable et s'adapte plus commodément à la  division.  



  Ainsi qu'il sera expliqué plus     bas,    sous  l'action du relais de multiplication, l'arbre  44 portant les pignons 1 se met à tourner. A  chaque tour, il fait avancer d'une unité       (l@lo    de tour) un tambour isolant 45     (fig.    9  et 10) portant des pastilles métalliques 46       incrustées    de façon à former les     dix    chiffres  successivement, ces pastilles étant connectées  intérieurement à une bande métallique 47, en  tourant le cylindre 45 et servant à l'arrivée  -du courant par l'intermédiaire du     frottoir    48.

    Le courant venant de la source 49     (fig.    10)  traverse les quatre     électros        R12,        R'12,        R".,          R"'12    d'un système de comparaison d'égalité  de deux groupes de perforations; les autres  extrémités de ces enroulements sont respec  tivement connectées avec les frottoirs 50.

    Quant à l'autre enroulement de ces     électros,    il  -est connecté avec les pastilles 51 de la plaque  de contacts du     porte-fichies,        celles-ci    étant  en dérivation pour l'ensemble -des chiffres du       multiplicateur;    d'autre part, les peignes cor  respondants 52 sont connectés aux plots 55  d'un distributeur 53 dont le frottoir 54 est re  lié à la source 49.  



  En même temps que le tambour 45,  avance d'une unité un arbre 56     (fig.    8 et 9)  portant, enfilés et clavetés sur lui des pignons  57 identiques aux pignons 1 engrenant avec  ,des croix .de Malte 68 -en nombre égal au  nombre p des chiffres admis comme capacité  pour le multiplicateur dans la machine. Les  pignons 57 sont montés sur l'arbre 56 comme  les pignons 1 sur l'arbre 44; ils sont main  tenus en place par des fourchettes 58 pivotées  en 59 et dont la queue 60 est engagée dans  une rainure 62 tracée sur un     cylindre    61. Ces  rainures portent chacune une encoche 63, le  décalage entre     .deux    encoches appartenant à  deux rainures consécutives étant de 360  /p.  



       Les    croix de Malte 68 sont solidaires .des  quatre petites cames 64, 64', 64", 64"' por  tant en creux les combinaisons du code       cryptographique    et contre lesquelles peuvent  venir s'appliquer quatre tiges 65, 65', 65",      65"', fermant les circuits correspondants     (non     représentés sur les figures); ces cames et con  tacts servant au transport du multiplicateur  en particulier pour son inscription. C'est  cette application qui sera .dénommée dans la  suite "Application -des contacts".  



  Lorsque le chiffre indiqué par le tambour  est égal à celui du. multiplicateur, le produit  enregistré est évidemment 1c produit cherché;  l'action du dispositif .de comparaison sera  donc d'arrêter la rotation des pignons 1 et de  passer à la fiche suivante; on verra comment  un peu plus loin.  



  Dans le cas où le multiplicateur est un  nombre de plus .d'un chiffre, il est bien évi  dent qu'il faudra munir la machine d'un cha  riot mobile pour décaler, vers la gauche, par       Pxemple,    les totalisations lorsqu'on passe aux  différents chiffres du multiplicateur. Ce cha  riot sera constitué par un simple commuta  teur ayant pour but de déplacer d'une unité  les fils venant des peignes et se rendant aux       électros    21. Autrement dit, chaque chiffre du  multiplicande sera successivement connecté  avec les     électros    21     successifs    correspondant  aux colonnes où doivent s'enregistrer les  chiffres du produit.

   La     fig.    12 montre un  schéma de ce chariot distributeur: les fils 67,  67', etc., venant des peignes passent devant  les ressorts 66, 66',     ete.,    connectés avec les co  lonnes où doivent s'enregistrer les produits;  on voit qu'un déplacement vers la gauche -de  l'ensemble des fils d'arrivée décalera d'une       unité    vers la gauche l'enregistrement du mul  tiplicande. Sur la     fig.    12 on a supposé pour  plus de simplicité     que    les connexions entre  les peignes et le chariot se faisaient par l'in  termédiaire de fils souples; il serait préféra  ble, pour éviter les ruptures de fils de rempla  cer ceux-ci par -des bandes métalliques et des  frottoirs.

      Dans le cas du multiplicateur à plusieurs  chiffres, l'égalité entre le chiffre indiqué par  le tambour 45 et par le chiffre du multipli  cateur figurant sur la fiche devra, par les  combinaisons de circuits qui seront exposées  ci-dessous, arrêter les embrayages de pi-         gnons    1 avec les croix -de Malte 3, et déplacer  le chariot ainsi que le distributeur 53.  



  Le cylindre 61 ainsi que les pignons 57  sont montés sur un bâti 69 qui peut osciller  autour de l'arbre 70 sous l'action de la came  71 et de la     roulette    72 fixée en 73 sur le bras  74 du bâti 69. Pour permettre ce mouvement  de bascule, le cylindre 61 et l'arbre 56 re  çoivent leur mouvement par l'intermédiaire  des pignons 75 et 76 engrenant avec     les    pi  gnons 77 et 78 fous sur l'arbre 70 -du bâti  69. Ceux-ci     reçoivent    à leur tour respective  ment leur mouvement -des pignons 79 et 80.  Un cylindre 81 fixé au bâti 69 vient, .dans  la position de repos bloquer les croix de Malte  68 qui ont été libérées par les     disques    des pi  gnons 57.

   Cette position de repos correspond  à l'addition et à la soustraction, et la position  représentée sur la     fig.    8     @à    la multiplication  et .à la division.  



  La multiplication est tout simplement ob  tenue par totalisations successives. Les di  vers mouvements mécaniques à réaliser le  sont toujours de la même façon; un relais  commandé par -la perforation agit plus ou  moins directement sur un embrayage ma  gnétique qui produit le mouvement désiré;  puis, celui-ci terminé, actionne un contact  mécanique grâce auquel un relais détermine  le mouvement suivant, etc. Tous les divers  mouvements utiles: arrêt -du -distributeur de  fiches pendant la durée de la     multiplication,     mise en position du bâti, déplacement du cha  riot 69 (fi g. 8 et 9), etc., sont déjà exposés  en détail dans le brevet suisse no 139019.

    Le point vraiment fondamental est l'arrêt  des totalisations successives au     momént     voulu; par     exemple,    dans le -cas -de la mul  tiplication: 252     X    2,8, le nombre 25,2 s'en  registre au totalisateur; le tambour 45  (fi,-. 9 et 10) avançant d'une unité, place  sous les frottoirs 50 la combinaison corres  pondant -à 1; 252 s'enregistre une seconde  fois, la combinaison 2 vient sous le balai, etc.,  jusqu'à 8;

       Ù    ce moment, ainsi qu'il résulte des  connexions de la     fig.   <B>10,</B> les courants venant  du tambour 45 -et ceux venant des peignes de  lecture du multiplicateur devenant identiques      puisqu'ils correspondent au même chiffre, le  dispositif de comparaison de ces deux nom  bres formé par les quatre électron     R12,        R'12,          R"12,        R\12    agit suivant le processus indi  qué plus haut (voir brevet suisse no 139019)  pour réaliser l'arrêt de l'enregistrement du  multiplicande puis le déplacement du chariot  d'une unité vers la gauche; les mêmes opéra  tions se produisent alors pour le chiffre 2  (du multiplicateur 28).  



  <I>Exemple</I>     numérique:     Soit à multiplier: 892 par 2534.  



  Le chariot étant situé dans sa position de  droite, le multiplicande 892 est additionné  quatre fois par lui-même, ce qui donne     3568.     A ce moment, le tambour 45 a fait 410 de  tour et le dispositif de comparaison de deux  chiffres (relais     R12,        fig.    10) constate l'iden  tité du chiffre symbolisé par la position du  tambour 45 et du dernier chiffre du mul  tiplicateur, d'où il résulte un courant dans le  relais     Rlv,.    Le chariot est déplacé d'un cran  vers la gauche -et le chiffre 892 est additionné  trois fois au nombre déjà obtenu 3568.

    Comme le chariot a été déplacé, ce n'est pas  892 qui est additionné, mais 8920 et on ob  tient donc 3     X    8920     +    3568 = 30.328. A  ce moment, le dispositif de comparaison     (re..     lais     R12)    agit à nouveau; le chariot est dé  placé d'un cran à gauche, etc., jusqu'à ob  tention du résultat final à savoir 2.260.328.  



  Dans le cas où les deux facteurs du pro  produit auraient eu des décimales (pratique  ment deux), les deux premières décimales du  produit auraient été seules inscrites, la  deuxième étant, le cas échéant, forcée.  



  Le forcement dans le cas de la multiplica  tion peut être illustré par le même exemple  précédent.  



  Soit à multiplier 8,92 par 25,34, le résul  tat étant 226,0328.  



  On sait d'avance que le résultat comporte  quatre décimales et on désire forcer la  deuxième décimale. Ce sera donc le troisième  chiffre à partir de la gauche et il suffira de  s 'arranaer pour que ce soit la croix de Malte  correspondant à. ce chiffre qui porte les dis-    positifs pour le forcement pour que l'on ob  tienne le résultat désiré, -à savoir en l'es  pèce 226,03 puisque la décimale suivant le  trois est inférieure à cinq.  



  Dans le cas de .la division la première  chose à faire est de faire venir le chariot à  la place voulue, place dépendant des nombres  de chiffres du dividende et du diviseur. Dans  l'hypothèse ou dividende et diviseur ont tous  deux deux décimales, ou     ce    qui revient au  même, sont entiers tous deux et que l'on dé  sire au quotient trois décimales pour en gar  der deux, il est nécessaire de placer le divi  dende de façon que ses unités soient au-dessus  des unités du diviseur quand le chariot est  déplacé de trois unités vers la gauche à partir  de sa position extrême     @à    droite.  



  Ruant à l'opération elle-même, elle se réa  lise identiquement comme dans la plupart des  machines à calculer, le dispositif des fi     '-.   <B>8</B> et  9 servant de     compte-tour    pour enregistrer le  quotient.  



  L'arbre 82 portant les croix de Malte 68  devra être agencé pour permettre la remise  à 0 de celles-ci par le procédé habituellement  employé dans les compte-tours.  



  Pour plus -de commodité dans le forcement  des quotients, l'avant-dernière croix de Malte  à droite sera munie pour le transport non de  petites cames fermant des interrupteurs, mais  d'un tambour analogue au tambour 45 muni  de deux séries de frottoirs ou mieux,     ainsi     que le représente la     fig.    9, de deux séries     -de     quatre petites cames, l'utilisation de l'une ou  l'autre de ces séries étant commandée par la  petite came de croix de Malte de droite ayant,  par exemple,     un-bossage    pour les chiffres 5,  6, 7, 8, 9.     Pour    le forcement des quotients on  renvoie nu brevet suisse no 139019.  



  L'inscription se fera de la façon suivante:  deux électron 82 et 83     (fig.    3) seront montés  en dérivation sur les deux enroulements 25  et 26 de     l'électro    21, chacun de ces électron 82  et 83 servira comme     l'électro    21 à embrayer  une croix de Malte folle sur son axe, l'une de  ces croix sera -reliée au pignon central .d'un  train planétaire, l'autre au support des pi-           gnons    satellites de :ce train, constituant de la  sorte un système d'addition mécanique des ro  tations des croix de Malte. L'engrenage exté  rieur du train dont la rotation est la somme  des rotations séparées sera relié au dispositif       inscripteur.     



  Pour pouvoir transporter les produits sur  les     totalisateurs    (il y a lieu de remarquer à  ce propos que tous les chiffres de la machine  étant     identiques,    on pourra les, grouper comme  l'on voudra, de façon à obtenir des totalisa  teurs partiels et généraux de     nombre    positifs  ou négatifs à volonté) et sur le dispositif  d'inscription, les pignons 5     (fig.    1 et 2 sont  munis de quatre     petites    cames identiques à  celles que portent les croix de Malte 68       (fig.    9) et sur lesquelles viennent, -en temps  opportun, s'appuyer des tiges telles que 65,  65', 65", 65"' commandant des interrupteurs.  



  Ce dispositif présente, sur des tambours  munis de pastilles glissant sous des frottoirs,  l'avantage de ne pas créer .de frottements  pendant la rotation des     pignons.    puisque les  tiges 65 ne viendront s'appliquer sur les  cames que pendant les périodes de repos des       pignons;    toutefois, pour le forcement des pro  duits, il devra être prévu un chiffre muni -de  contacts et du double     frottoir;    ou mieux de  deux séries de .cames que l'on montera en dé  rivation sur le dernier chiffre gardé du pro  duit. De même, un chiffre spécial sera mis  en dérivation sur le premier chiffre aban  donné; il sera muni d'une came qui agira sur  les     connexions    des     interrupteurs    du chiffre  gardé.  



  Dans ce cas se pose la question de l'ins  cription des 0 à droite :des chiffres significa  tifs et non à gauche. Le dispositif suivant est       particulièrement    avantageux pour ce but.  



  Le fil de retour à la masse 84 des     élec-          iros    82 et 83 ne -se fait pas directement à  celle-ci, 86, mais par l'intermédiaire d'un  commutateur à     deux    directions 85 commandé       (fig.    11) par une petite came calée sur l'arbre  du pignon 5     (fig.    1 et 2) et portant un bos  sage agissant sur le commutateur 85     quand    le  chiffre indiqué par la roue chiffrée 10 est un  0.

   Dans ces     conditions,    si le chiffre :à trans-         crire    n'est pas un 0, le commutateur 85 con  necte directement le fil de retour 84 des     élec-          tros    82 et 83 avec la masse 86; au contraire,  si ce chiffre est un 0, le fil 84 est connecté  avec     le    fil 84 de son voisin de gauche, si donc  celui-ci est un chiffre significatif, le 0     ,sera     inscrit; dans le cas contraire, il ne le sera  que si un chiffre significatif est inscrit quel  que part à sa gauche.

   Des. interrupteurs à  main 8? sont disposés immédiatement entre le  plot de liaison entre deux fils 84 et     celui    de  gauche de ceux-ci pour pouvoir interrompre  la chaîne et laisser l'indépendance entre les  divers groupements de     colonnes    que l'on aura  choisis.  



  Le dispositif de montage des circuits d'a  limentation des     électros    21, 82 et 83 a l'in  convénient de nécessiter pour     l'électro    21,  l'usage de deux fils, ce qui a pour :effet de  doubler la     complication    du chariot et des  connexions; la variante     suivante    dont le  schéma est représenté     fig.        12bis    supprime cet  inconvénient.  



  Le fil de retour des     électros    21, 82 et 83  est fixé au milieu de la pile 88. Les distribu  teurs 29, 30, 31 sont répétés deux fois en  29', 30', 31' et 29", 30", 31"; les premiers  alimentent les pastilles de la plaque de con  tacts placée sous des     demi-peignes    de gau  che, par exemple, les seconds celles qui sont  placées sous les autres demi-peignes;

   le res  tant des connexions relatives aux     électros    82  et 83 est le même     que    représenté -en     fig.    3  mais     l'électro    21 ne possède plus qu'un seul  enroulement relié à la fois     aux        deux        demi-          peignes    par l'intermédiaire des résistances  89 et 90. Quant aux distributeurs 32' et 33'  il suffira qu'ils envoient un courant de sens  convenable dans le circuit unique -de     l'élec-          tro    21.

   On peut se rendre facilement compte  que ce montage conduit     exactement    aux mê  mes résultats que celui -de la     fig.    3.    Les remises à 0 pourront se faire très  simplement sans aucun dispositif     mécanique     de la façon suivante: le :distributeur de  courant portant la came d'application des.

    armatures des     électros    21 vient, en temps op-           portun,    appliquer ces armature., et fermer un  courant traversant au besoin un enroulement  spécial des électron 21, 82, 83; on verra plus  bas que ce circuit restera fermé et par suite  que les croix -de Malte tourneront jusqu'à ce  que, la roue 10 étant revenue au 0, un inter  rupteur vienne couper ce courant et arrêter  la rotation :de la croix de Malte correspon  dante.  



  En outre, arrivée au 0, la roue 10 agit  sur un commutateur; ce commutateur 112       (fig.    13), ferme un circuit qui sera consti  tué par tous ces petits commutateurs mis en  série pour déterminer le moment où tous les  pignons 10 et les roues -des types (animés du  même mouvement) seront effectivement reve  nus à 0.  



  Reste à. voir maintenant. comment devront  être montés les différents circuits de com  mande de cet appareil.  



  Trois relais     R3,   <I>R4,</I>     Rri        (fig.    13) comman  dent respectivement les électron El,     E2,        E;,     d'embrayages des     changements    de marche  des deux totalisateurs et de basculement du  bâti 69     (fig.    8); trois autres relais, polari  sés du type .Siemens, R; à deux enroulements  inverses,     RE    et     Rs    à quatre enroulements  deux à deux inverses, joueront le rôle qui  sera expliqué plus bas; l'inertie de ces trois  derniers relais sera aussi petite que possible.

    D'autre part, les interrupteurs 97, 98, 99,  100, 101, 102 sont commandés respective  ment par les inverseurs et le bâti 69, dont ils  contrôlent en quelque sorte le mouvement.  



  L'interrupteur<B>il,</B> commandé par le dis  tributeur de fiche, ferme le circuit de la Co  lonne d'indication d'opération par 9,1, 92,  93, 91, 95, 96. Par exemple, pour une addi  tion sur le premier totalisateur, les relais       R.,        R.,,        R$    grâce à leur petite inertie, se  mettent tout de suite dans la position vou  lue. Aussitôt 12 ferme le circuit 103, 104,       Rl,    105,     10e6,    Y, X, 107, 108, 94, 95,<B>H</B>; si  X.

   Y ne forme pas un circuit continu,     Rl    ne  peut fonctionner, mais El, qui devra avoir  une inertie suffisante pour ne pas bouger si  Ri avait attiré son armature, attire la sienne;  alors l'interrupteur 100 se ferme et X, Y    forme un circuit continu;     Rl    fonctionne puis  si (voir plus bas) le mécanisme d'inscription  est revenu à 0,     R2    fonctionne également.     R,     ferme à travers le synchroniseur -dont il sera  parlé ci-après, l'embrayage du distributeur -de  courant;

   celui-ci est constitué par une série  de cames     (fig.    15) ayant pour effet d'ap  pliquer les armatures des électron 21 et -de  ceux de l'inscription, de fermer les circuits  de ces électron suivant le schéma ci-dessous       (fig.    14) et de libérer l'encliquetage 38 des  leviers .37 des commutateurs de retenues; le  schéma est le suivant:  <B>10</B> Application des     armatures    -des     éleetros     21 et     8,2-83,    puis courant pendant     1/12    -de  tour par l'interrupteur 29;  20 Application des armatures -des électron  21 et     82-83,,    puis courant pendant     2/1z    de  tour par l'interrupteur 30;

    30 Application -des armatures des électron  21 et     82---83,    puis courant pendant     4/12    -de  tour par l'interrupteur 3-1;  Ces trois premiers temps correspondent à  l'inscription des chiffres 0 à 7 comme indi  qué plus haut (voir page 3).  



  40 Courant pendant     3/12    de tour par l'in  terrupteur 32     (fig.    3) avec léger chevauche  ment sur le précédent, de manière à réaliser  les chiffres 7, 8 et 9 (il y a lieu de remarquer  qu'il n'y a. pas eu d'application des     armatures     avant l'émission -de ce courant).  



  Après ce courant, frappe sur l'inscrip  tion et envoi -du courant pour la remise en  marche du -distributeur !de fiches.  



  5      1/12    de tour, puis application     des    ar  matures des électron 82 et 8,3 seulement, puis  courant dans ces électron pour la remise à  zéro des appareils     inscripteurs;     60     2/12    de tour, puis application -des ar  matures des électron 21 et courant pendant       1/12    -de tour par l'interrupteur 33     (fig.    3), de  manière à. effectuer le report tes retenues;  et aussitôt cette     opération    effectuée:  70 -déclenchement du déclic des commu  tateurs de retenue.  



  La     fig.    13 concerne un schéma général  de l'appareil et elle est plus spécialement re  lative à la     discrimination        des    opérations à      effectuer suivant les indications portées sur  la carte qui est introduite sous les peignes  montrés en haut et à gauche ide cette     figûre.     



  La carte ou la fiche comporte, outre les  perforations a     correspondant    à des chiffres,  une perforation b indiquant la nature :de l'o  pération à effectuer, soit:     b,.    correspond à  une addition,     42    à une soustraction,     b,    à une  multiplication et     b4    à une division, le tout  sur le premier     totalisateur,        b#j    correspond à  une addition,     b,,    à une soustraction sur le  deuxième totalisateur.  



  L'appareil a été réalisé dans le but d'é  viter toute     manoeuvre    inutile et pour cela  les tiges 12 et 13     ainsi    que le bâti 69       (fig.    8) ne sont pas ramenés dans une posi  tion déterminée après chaque passage de  fiche, mais ils restent dans leur position ac  tuelle. Si la fiche suivante correspond à la  même des six opérations que la fiche précé  dente, aucune -des     pièces    12, 13 et 69 ne  bouge, car le circuit     x-y    est immédiatement  fermé. Les interrupteurs 97 et 100 sont com  mandés mécaniquement par les tiges de com  mande -du premier totalisateur, les interrup  teurs 99 et 102 par le bâti<B>0</B> et enfin 98  et<B>101</B> par les. tiges du second totalisateur.

    On voit immédiatement que si les positions  des relais     Rs,        R7    et     R$    correspondent aux  positions -des interrupteurs 97 et 102, ce qui  signifie que les     pièces    12, 13 et 69 sont dans  la     position        correspondant    à l'opération à ef  fectuer, ces pièces ne bougent pas et l'opé  ration     commence    immédiatement, d'où résulte  un gain de temps. Les relais     E,        E2    et     E3     commandent respectivement les pièces 12, 13  et 69.  



  Cependant, la remise à 0 de l'inscription  continue par l'intermédiaire du relais à col  lage     R[,    dont le circuit est fermé en 109 par  le distributeur -de courant. Ce relais ferme  en 110     l'alimentation    .du circuit -de remise à  0 des     électros    d'inscription, circuit qui sera  coupé en 111 quand la roue d es types sera re  venue au point mort;

   enfin, quand toutes ces  roues seront revenues à ce point, tous les in  terrupteurs 112,     112',        112"'    ferment le cir  cuit du relais     Blo        qui    coupe en 113 le circuit    ,de collage -de     Ba    et ferme en 114 le circuit  de     R,    lequel, attirant alors son armature,  embraye le distributeur de courant en<B>De.</B>  



  Il y a avantage à maintenir la remise  à 0 par un collage et non par un dispositif       mécanique,    car on est sûr ainsi que cette re  mise à 0 se fera -dans le temps minimum.  



  Il n'est pas nécessaire de prévoir un col  lage pour     R2:    dès que les roues des types  quittent leur point mort, les interrupteurs  112 coupent le circuit de     R,o    et par suite ce  lui de     R2,    mais cela ne fait rien car, par suite  de leur construction, les embrayages à     eom-          mande    électrique accomplissent un tour com  plet dès que le mouvement a été commencé.  



  Le synchroniseur, dont il a été question  ci-dessus, est simplement constitué par une  came fermant un interrupteur à un moment  tel que l'embrayage du distributeur ne se  fasse que lorsque les griffes, dont sont mu  nies les parties     mâles    et femelles des em  brayages magnétiques utilisés, ne risquent  pas de se prendre par le bout.  



  Avant d'exposer le mécanisme de l'ins  cription ide la totalisation d'un paquet de fi  ches, un dispositif va être ,décrit, qui permet  de n'inscrire le paramètre, suivant lequel le  tri a été effectué, qu'en tète ,de chaque groupe,  de façon à rendre 1a lecture des     tableaux    plus  commode.  



  La fermeture d'un circuit en 134     (fig.    13)  par le dispositif de totalisation automatique  envoie un courant dans un     électro        R,.,    Sie  mens     (fig.    16) à deux enroulements inverses.

    Lorsque ce premier enroulement est en ser  vice, l'armature vient en 1l5 et ferme le cir  cuit de retour des fils des     électros        inscripteurs     des colonnes relatives au paramètre de tri; le       second        enroulement    du     relais        R,l    est en dé  rivation sur les enroulements de remise à  zéro des     électros    d'inscription représentés à  droite de la     fig.    16; par conséquent, la pre  mière remise là zéro     interrompt    l'inscription  du paramètre de tri qui ne pourra avoir lieu  de nouveau que lorsque la coupure en 134  aura été fermée:

       c'est-à-dire-à    l'arrivée d'un  nouveau paquet.      Un interrupteur 116 à poussoir à main est  prévu pour permettre, lorsqu'on change la  feuille d'inscription, de réinscrire le para  mètre en     tête    de cette nouvelle feuille.  



  Pour la totalisation d'un paquet,     le-dispo-          sitif    représenté par la fi-. 13 est employé.  Les connexions à. réaliser par le relais de com  mande     S    devront ,être les suivantes  10 Couper le fil de retour des indications  portées par les fiches, de façon que le dis  tributeur de courant ne les enregistre pas  deux fois; il serait d'ailleurs facile également  de connecter ces fils de retour sur un barème  fixe, de façon à inscrire certaines indications,  constantes pour chaque totalisation, telles que  total, à reporter, etc.;

    20 Couper en 118 le circuit du relais     R2     dont une dérivation 119 sera fermée pour la  transcription, par la came d'application des  contacts, une fois     cette    application     faite,     en<B>120,-</B>  <B>30</B> Fermer (en 131) le circuit d'embrayage  de l'application des contacts. Cette applica  tion se faisant au moyen d'un embrayage non  synchronisé avec le distributeur de courant,  dont il referme le circuit en 120, il sera né  cessaire que le dispositif d'application soit  muni d'un encliquetage qui sera libéré par le  distributeur de courant quand celui-ci aura  terminé la transcription d'un total partiel.  



  La     fig.    17 montre la disposition de cet  encliquetage; la came 121 fait basculer le le  vier 12.?     entraînant    les     tiges    d'application; ce  levier 122 porte une encoche 123 où vient  pénétrer le doigt 1224 qu'un ressort 125 ap  puie sur le levier 122. Ce doigt 124 est pivoté  en 126 et, lorsqu'il est enfoncé dans l'enco  che 123, son extrémité 12.8 munie d'un galet  roule sur la came 127 solidaire de l'arbre du  distributeur de courant; ce dernier viendra  donc, en temps voulu, en faisant basculer le  doigt 124, libérer le levier 122 qui, sous l'ac  tion du ressort 129 reprendra sa position de  repos.

   La courbure supérieure du levier 122  est telle que, dans la position .de repos,     c'est-          à-dire    le doigt.     12:1    non encliqueté, le galet  <B>128</B> ne repose pas sur la came<B>127,</B> de façon    à éviter des frottements inutiles pendant  qu'il ne se fait pas de totalisations.  



  Chaque transport d'un total partiel ou de  tout autre résultat numérique sur un totalisa  teur devra être suivi de la remise à zéro des  chiffres transportés; il est donc naturel de  charger le mécanisme de transport,     c'est-à-          dire    l'application des contacts, de réaliser  cette remise à 0.  



  En conséquence, le levier 122 devra, en  basculant sous l'action de la came 121:  a) Fermer, comme il a été dit, l'interrup  teur 120 sur le circuit     d'alimentation    de     R2;     b) Appliquer l'armature d'un relais  Hughes qui recevra son courant démagnéti  sant d'une dérivation du courant de contrôle de  remise à zéro et devra: fermer les circuits, en  132, de remise à zéro des chiffres qui vien  nent d'être transportés;

    c) Mettre, en 133, en série les interrup  teurs de contrôle .de remise à zéro de ces  chiffres avec ceux !de l'inscription; ce sera  une dérivation de ce courant de contrôle qui  devra décoller l'armature du relais Hughes       H,.,    tandis qu'une autre dérivation traversera  un enroulement du relais     S    pour terminer la  totalisation et passer à la fiche suivante;

    d) Fermer en 130 un circuit comportant  un     électro    ayant pour effet de maintenir  armé le     déclic,des    retenues de façon que, par  la remise à. zéro 'des chiffres à annuler,     ceux-          ci,    passant du 9 au 0, n'enregistrent pas une  retenue; on obtiendrait le même résultat en  faisant la remise à zéro uniquement dans le  sens des chiffres     -décroissants,    c'est-à-dire en  embrayant la soustraction; l'un ou     l'autre    des  deux dispositifs peut être le plus avantageux  suivant les cas.

      En outre, le relais     S        (fig.    13) devra:  40 Fermer,     ainsi    qu'il a été expliqué     ci-          dessus    en 134, le premier circuit -de     l'élec-          tro        Bl,        (fig.    16) d'inscription -du paramètre  de tri;  <B>50</B> Couper, en 135, le circuit du distribu  teur de fiches, afin que l'inscription du total  n'en fasse pas venir une autre.       n va maintenant décrire le montage cor  respondant à la multiplication.  



  Supposons que     cette    opération soit défi  nie par la troisième perforation dans la co  lonne     d'indication    d'opération. En se fermant,  l'interrupteur     I1    envoie un courant dans un  enroulement du relais     Re    donnant la mise en  addition et dans un enroulement du relais       R,    donnant pour le bâti 69 la     position    -de  multiplication.

   Ce bâti, en     venant    dans cette       position,    agit sur un commutateur 136  (dont la tige -de commande est seule repré  sentée sur la     fig.    8) et qui a pour     effet-de:     10 Couper le fil de retour des indications  portées par les fiches dans     -les    mêmes condi  tions que le relais     S    en 117 dans le cas de  la totalisation; ces deux rupteurs devront être  mis en série;  20 Couper en 137     (fig.    13) l'alimentation  de     R.;     30 Couper en série avec le rupteur 135,  l'alimentation du -distributeur de fiches;  40 Couper les fils de retour des chiffres  autres que ceux du multiplicande;

    <B>50</B> Fermer en     l38    et 139, les circuits des  électron de comparaison     R12    et de     l'électro          R,E    commandant l'embrayage de l'avance  ment -du chariot     (fig.    10);  60 Fermer, un peu après, en 140 le circuit  de     l'éleetro        R14    commandant le retour du cha  riot     (fig.    10);  70 Appliquer l'armature d'un relais  Hughes     HZ    (non représenté) mettant en dé  rivation sur le circuit -des remises à zéro     l'é-          lectro    d'embrayage -de la remise à zéro du  multiplicateur.

   Cet     électro        HZ    recevra son  courant démagnétisant .d'une dérivation -du  courant alimentant Hl.  



  Toutes ces commutations se feront sous  l'action de la poussée -de la tige 136,  toutefois elles pourront aussi se faire sous la  poussée d'un     électro    spécial     R17    dont il sera  parlé lors de la description du montage cor  respondant à la division.  



  Dans     ces    conditions, la multiplication se  faisant de droite à gauche, si le multiplica  teur est terminé par des 0, les électron de com  paraison     R12    feront avancer le chariot vers la    gauche: dans le cas contraire, un au moins  de ces électron     é12    attire son armature et  ferme en 141 le circuit d'alimentation de       R2;

      alors le multiplicande s'ajoute et le cy  lindre 45 tourne jusqu'à ce qu'il y ait égalité  entre le chiffre qui se trouve sous les frot  toirs 50 et celui -du     multiplicateur.    A ce mo  ment, tous les électron     R\    ayant lâché     ,leur     armature, l'alimentation de R= est coupée en  141 mais celle de     B",    embrayant l'avance  ment du chariot vers la gauche est fermée en  142, 142', 1.42",     142"'.    Le chariot avance  d'une unité vers la gauche et d'une unité seu  lement,

   car la largeur des touches 55 et du       frottoir    54 sont telles que le chiffre voisin du  chiffre quitté envoie son courant dans les  électron     R12    dès que l'embrayage a été réalisé  et par suite l'alimentation de     R"    se trouve  coupée. En même temps que le chariot avance  vers la gauche, le cylindre 45 est remis à  zéro.

   Finalement, le     frottoir    54 arrive sur un  chiffre inexistant au multiplicateur; alors le  relais     R13    comportant quatre enroulements en  dérivation     respectivement    sur les quatre cir  cuits des électron de comparaison R12 venant  des fiches, ne reçoit plus aucun courant et  lâche son armature qui vient, en 143, fermer  le circuit d'alimentation du relais     R14.    Ce re  lais     R14    ferme: en 144 le circuit d'alimenta  tion -de l'embrayage du retour du chariot  (vers la droite), en 1.45 l'application des con  tacts en 146 la mise en     addition    -du     bâti    69,  et il coupe:

   en 147 le circuit d'indication de  multiplication, en 148 le circuit d'indication  de division, enfin en 149, il se ferme un cir  cuit de collage qui sera coupé en 150 par       l'électro        R\    dont il va être parlé; le circuit  de cet     électro    est fermé en 151 par le relais       R14,    mais il ne pourra fonctionner qu'après  que le rupteur 152, fermé par le chariot re  venu à la position de départ qu'on lui aura  fixée, aura été     manoeuvré    par le chariot.  



  Automatiquement, la mise en addition  coupe les circuits fermés par la     tige    136, à  l'exception bien entendu de celui fermé par       l'électro        FI2.    L'impression du multiplicateur  se fait par l'application !des contacts sur les       petites    cames 64 accolées aux     croixde        Malte68.         Alors les transports et transcriptions se réa  lisent, ainsi que les mises à zéro.  



  Si l'on veut que le produit s'ajoute sur un  totalisateur et se retranche sur l'autre, il y       aura    lieu de mettre en dérivation l'application  des contacts du produit sur les deux tota  lisateurs, le premier étant mis à l'addition,  le second à la soustraction.  



  Dans le cas de la     division,    le circuit d'in  dication d'opération agit sur deux relais en  dérivation     R,7    et     R,a        (fig.    19);     Rl$    pousse,  par l'intermédiaire d'une tige identique à la  tige 136, le commutateur actionné par cette  dernière lorsque le bâti 69 vient dans la po  sition de multiplication ou de     division.     Quant à     R,;

  ,    il ferme le circuit d'embrayage  du chariot dans la direction de gauche et, en  réalisant les commutations     nécessaires    sur  les circuits venant du dividende et du divi  seur pour leur permettre de se conformer au  schéma, de la     fig.    18, fait fonctionner le dis  positif de mise en place du chariot.  



  Puisque le dividende vient s'inscrire à  une place déterminée sur un des totalisateurs,  cette mise en place consiste simplement à dé  placer le chariot pour que le diviseur vienne  se retrancher correctement du dividende.  



  On peut également se rendre compte que  dans tous les cas où le -diviseur n'est pas ré  duit à une fraction inférieure à. l'unité, il  suffira, dans l'hypothèse d'un quotient cal  culé avec trois décimales, de -déplacer le       chariot    de sa position extrême à droite, vers  la gauche d'un nombre d'unités égales à 3  augmenté de l'excès du nombre -de chiffres  du dividende sur le nombre de chiffres du -di  viseur, le dividende et le diviseur étant tous  deux supposés entiers, hypothèse toujours  réalisable.  



  Dans le cas où le diviseur est une frac  tion décimale inférieure à l'unité le chariot  devra être repoussé, en plus, vers la gauche,  d'une unité si cette fraction n'est pas infé  rieure à 0,1 et de deux unités dans le cas  contraire, car on suppose toujours que les  nombres n'ont que deux décimales.  



  Le schéma de la fi-. 18 résout la question:    Une série     d'électros    tels que     K@,        K,,        K2,          Kn_,,   <I>K .</I> à quatre     enroulements.,    en  nombre égal au nombre plus 1 des chiffres  entiers constituant la capacité de la machine  pour le dividende et le diviseur sont montés  ainsi qu'il suit:  Le premier enroulement d vient -des chif  fres du dividende, il est en sens contraire des  trois autres;  Le deuxième d vient des chiffres du divi  seur;

    Le troisième vient'- des interrupteurs i  commandés par le chariot, l'interrupteur     2-i     envoyant -du courant dans le relais K _ ,,  l'interrupteur     i,    dans     K,,    etc.,     i,,    dans K,,;  Le quatrième c fermé par le relais     R,7          (fig.    19) est constant.  



  Ces relais ne réalisent qu'une commuta  tion; le courant venant de la source arrive par  le plot central 154 du relais K-     i;    le plot su  périeur de ce relais est connecté avec le plot  central 156 du relais     K,;    le plot     supérieur     157 de ce     relais    est connecté avec le plot cen  tral 158 -du relais     K2,    etc., jusqu'au plot supé  rieur 159 -du relais K"-, qui est     connecté     avec le plot central 160 de K,,, enfin -du plot  supérieur 161 du relais     K"    le courant     revient     à la source à travers le relais D'.

   D'autre  part, tous les plots inférieurs, tels que 162  sont montés en dérivation sur un circuit re  venant à la source à travers le relais Y com  mandant le mouvement du chariot vers la  gauche.  



  Le fonctionnement est le suivant: laissant  pour le moment de côté la description -des re  lais     K-,    et     K,    dont il sera parlé ci-après,  et supposant leur armature attirée,     trois        cas     peuvent se présenter relativement au relais       KZ        correspondant    au deuxième     chiffre    à gau  che de la virgule pour le dividende et le di  viseur (supposés avoir deux décimales).  



  a) Le dividende et le diviseur n'avaient  qu'un seul chiffre à gauche de la     virgule;     alors le relais K. ne reçoit que le courant     c     et attire son armature; il en est évidemment  de même de     toua    les suivants jusqu'à Tin et  le circuit de D' se ferme.      h) Le diviseur a deux chiffres à gauche  de la virgule; alors le relais     Kz    reçoit deux       gourants   <I>c et d</I> de même sens; .donc; que le di  vidende ait ou     non    des dizaines, c'est-à-dire  que le courant D passe ou non,     KZ    attire son  armature comme précédemment.  



  c) Le     diviseur    n'a qu'un chiffre à gauche  de la virgule et le dividende au moins deux;  alors le relais     K2    reçoit les courants inverses  D et c et n'attire pas son armature; le cou  rant arrivant en 1:54 passe en 155, 156, 157,  le plot inférieur<B>167</B> de     K1    et revient à la  source à travers le relais Y, par conséquent,  7e chariot avance d'une unité vers la gauche,  puis l'interrupteur     i2    se ferme et     -envoie    un  courant contraire :à D dans le relais     KZ    qui       attire    alors son armature.  



  Le même mouvement se réalisera de pro  che en proche tant que le dividende aura des  chiffres à gauche du dernier chiffre à gauche  .du diviseur. Ensuite, les     électros        K    -     Kn,     ne recevant que le courant c, attirent leurs  armatures.  



  Reste le cas où le diviseur se réduit à  des dixièmes ou des     centièmes.    Il faut alors  que le zéro placé dans la colonne des unités ne  joue aucun rôle dans le déplacement du cha  riot qui doit se faire comme si ce chiffre n'é  tait pas inscrit; autrement dit, lorsque dans  cette colonne     (celle    de     Kl)    il y a un zéro, le  circuit d ne doit recevoir aucun courant.

   Pour  cela, les deux fils correspondant aux perfora  tions relatives aux chiffres 1 et 2 traver  sent le relais     Kl    directement; par contre  ceux correspondant aux perforations rela  tives aux chiffres 4 et 7 retournent à la  source à travers deux enroulements contraires  d'un relais supplémentaire     Ll;    c'est alors le  circuit 163, 164 qui traverse en d le relais       K,;    ce circuit sera évidemment fermé pour  les chiffres 4 et 7, mais pour le zéro, les deux  enroulements inverses de L, étant parcourus  par le même courant, le circuit d sera coupé  en 164. Par conséquent, rien ne passera dans  d si le chiffre des unités -du diviseur est un  zéro.

   Mais cela ne suffit pas; il faut que si  ce chiffre, tout en étant un zéro, est à droite  d'un chiffre significatif, soit     directement,    soit    par l'intermédiaire d'autres zéros, le circuit  d de K, reçoive du courant. Pour cela, l e re  lais     T.,.    est muni d'un troisième enroulement  167, dans un sens     quelconque,    mis en     d6ri-          vation    en 165, 166 sur le .circuit d de     Ki!.    Par  conséquent, si le diviseur possède un chiffre  des dizaines,     suivi    à droite d'un zéro,     l'éleetro          L1    recevant deux courants dans un sens et un  autre dans l'autre attire son armature.

   Tou  tefois, pour que cette armature soit attirée  même si le chiffre des unités du diviseur est  un 4 ou un 7 (suivant le sens des enroule  ments, il faudra que l'enroulement 167 com  porte un nombre d'ampères-tours au moins  double de celui des enroulements qui lui est  contraire.  



  Enfin, un dispositif identique est adapté  au chiffre des dixièmes du diviseur;     l'électro          g_i    ne     recevra    aucun courant si le chiffre  des dixièmes est un 0 ainsi que celui des uni  tés et que -ce dernier n'est lui-même suivi à  droite d'aucun autre chiffre. Dans tout autre  cas,     Kl    attire son armature.

   Alors le relais  D'     (fig.    19) reçoit un courant par 161; il at  tire son armature et coupe, en 169 le fil de  retour .du     diviseur,    en 171 l'alimentation du  relais     R17;    d'autre part, ii ferme, en 168 un  circuit de collage et en 170 le circuit du re  lais D" dont il va être question ci-après; le  mouvement     .de        R17    ferme l'alimentation de       R_    ,et     le,dividende    s'enregistre; le courant de  retenue venant de l'interrupteur     33'          (fig.        12bis)    en passant par 170 alimente     ie     relais D";

   celui-ci ferme en 172 un circuit  de collage; il coupe, en 173 le circuit de col  lage de D', en 174 le fil de retour     idu    divi  dende, en 175 l'alimentation .à la fois de  R17 (en série avec 171) et de     R,s    et ferme en  176 le circuit des relais     RE    et     R8,    de façon  à placer le bâti 69     (fig.    8), en position de       multiplication        ou,de    -division et l'inverseur 14       (fig.    1) en     position    de soustraction.     Rla    a pu  être coupé, car il n'a plus de raison     .d'être     puisque le bâti 69 a poussé la tige 136.

   Pen  dant ce temps, l'alimentation de     R2    est cou  pée par le relais     B,    Ensuite, le diviseur se  retranche jusqu'à ce qu'un 9 apparaisse sur  le chiffre ad hoc. Ce chiffre est mis en dé-           rivation    sur le dernier chiffre à gauche du  dividende; il possède une petite came spé  ciale qui ferme le circuit d'un relais     Rl,    qui,  à son tour, coupe en 177 le circuit soustrac  tion de     R,    et ferme en 178 le circuit addition,  en 179 son circuit de collage qui sera coupé  comme il sera. dit par la came d'embrayage  du chariot, en 180 le circuit d'un relais     R2o     commandant le mouvement du chariot;

   ce cir  cuit comporte un interrupteur 181 qui se fer  mera quand le chiffre spécial sera revenu  du 9 au 0. C'est alors qu'en     accomplissant     son tour, l'embrayage du chariot coupe le  circuit de collage de R19,     R,    se remet alors  en soustraction et le diviseur se retranche,  etc. Lorsque le chariot est arrivé :à fin de  course à droite, il agit sur un     commutateur     remplaçant. l'action du relais     R29    sur le cha  riot par la fermeture de l'application des  contacts et par suite provoquant le passage  de la fiche     suivante.     



  [-n complément au dispositif d'applica  tion des barèmes va maintenant être décrit;  dans l'appareil qui a été imaginé dans .ce but  les indications du barème sont groupées dans  un tableau à. double entrée; il peut y avoir  des cas où ces indication: seraient plus avan  tageusement inscrites sur des fiches; telles  seraient, par exemple, celles que fournirait  un répertoire d'adresses; si, par exemple, une  comptabilité est     faite    en attribuant à cha  que client de l'entreprise un numéro, s'il y a  des factures ou des quittances à faire, il sera  nécessaire     d'inscrire    sur celles-ci le nom et  l'adresse du débiteur.

   Pour cela on utilisera  deux .distributeurs de fiches; l'un normal,  l'autre d'ailleurs identique, sera alimenté par  des     fiches-répertoires    portant chacune un  nom et le numéro correspondant. Les peignes  et pastilles relatives au numéro tant de l'un  des distributeurs que de l'autre, sont connec  tés avec un dispositif -de comparaison de l'i  dentité de deux nombres. Il faudra donc au  tant de fois quatre     éleciros    qu'il y a de chif  fres dans le nombre considéré.

   Ces     électros     (fi,,. -0) ferment en 182 des dérivations d'un  circuit 188, 184, commandant l'alimentation  du distributeur de fiches répertoire; celui-ci    fera donc passer des fiches tant qu'il recevra  du courant, c'est-à-dire tant que les deux  nombres     comparés    seront différents; d'autre  part, ces     électros    ouvrent en 185     (toutes    ces  coupures étant en série) le circuit d'enregis  trement .des inscriptions des fiches, circuit  qui ne pourra être évidemment fermé que  si les deux nombres comparés sont égaux.  Lorsque l'enregistrement ainsi due les opé  rations sont terminé. un courant est en  voyé dans l'embrayage des deux distributeurs  de fiches et tout recommence.  



  Pour accroître la vitesse de l'appareil, il  pourra être avantageux de le munir d'un  changement de vitesse permettant de faire  tourner les arbres .de commande plus vite  lorsque l'inscription ne se fait pas, pendant  les multiplications et division, par exemple,  ce résultat peut facilement être obtenu en  commandant, par le courant     agissant    sur l'ins  cription, par exemple un changement de vi  tesse constitué par deux embrayages à trains  planétaires.



  Calculator. The invention relates to a machine. calculate using perforated sheets, characterized in that it comprises an apparatus performing at will the four operations having various devices allowing simultaneous addition and subtraction, as well as the totalization of series of products and quotients and the same products and quotients preceded by the minus sign, these results being visible in the form of numbers appearing under ad hoc windows, names made up of -digits carried by drums, a second device being provided which inscribes in plain language, on paper, in addition to letters also represented by perforations in the sheets, the various terms of each of the operations and the results thereof,

   in order to keep track of these results without having to enter them by hand. Plain language registration can be done by any appropriate device. In the accompanying drawings, an embodiment of the object of the invention as well as variant details are shown by way of example.



  Fig. 1 represents a totalization element seen from the front; Fig. 2 shows the same element seen from the side; Fig. 3 is a circuit diagram of the control circuits of the totalizers; Fig. dbis shows a dispenser that can be used in the diagram of fig. 3; Fig. 4 shows the arrangement of the perforations; Fig. 5 is a circuit diagram of the switches controlling the retainers; Fig. 5bis is a simplified analogous diagram;

    Fig. 6 shows one of the switches and its control, and FIG. 7 the control cam of this switch; Fig. 8 shows, seen from the side, the device used for multiplication and division; Fig. 9 shows the same device seen from the front;

    Fig. 10 is a circuit diagram of the circuits used for the multiplication; Fig. 11 is a diagram of the assembly for the inscription of zeros. only when they are to the right: by a significant number; Fig. 12 is a diagram of the assembly of the machine carriage; Fig. 19-bis is a variant of the assembly of FIG. 3;

    Fig. 13 is a diagram of the general circuits of the apparatus; Fig. 14 is a diagram showing the operation of the cams :; Fig. 15 indicates the arrangement of these cams; Fig. 16 represents the diagram of the assembly making it possible to register the sorting parameter of a packet only at the head of this packet; Fig. 17 shows the provision of a clicker required by the transcriptions; Fig. 18 shows the diagram of the control circuits of the carriage for the division;

    Fig. 19 shows the circuit diagram of the division; Fig. 20 is the assembly diagram allowing the use of the directory file. _The addition mechanism is as follows: A pinion 1 (fig. 1 and 2) of classic shape, with one tooth, for example, attached to a disc 2 of the same diameter meshes with a Maltese cross 3 with ten notches, mad on its axis.

   The pinion 1 being driven by a continuous rotational movement, the Maltese cross 3 will turn or remain blocked depending on whether the hollow of its edge is in engagement with the pin 1 or the disc attached to it; everything will therefore come back, in order to rotate or not the cross, from Malta to longitudinally moving the pinion 1 which for this will simply be threaded and keyed on its axis, so as to be able. slide along it. Solid with the Maltese cross 3, a pinion 4 meshes with a pinion 5 via a group of three pinions 6, 7, 8 forming an inverter.

    Finally, the pinion 5 meshes with a pinion 9 integral with a wheel 10 whose rim is engraved with ten digits. It should be noted immediately that if care has been taken to -attribute to the gears 4, 5, 6, 7, 8, -multiple numbers of teeth, of ten, each time that the Maltese cross will have moved one or more tenths of turns, the gearboxes of the reverse gear will be identically in the same situation, so that the teeth will come into engagement without difficulty. The group of these pinions 6, 7, 8 is mounted on a small support 11 which is threaded onto two rack shafts 12, 13.

   A lever 14, entering either in the rack 12, or in the mesh rack 13 makes one of these integral with the support 11. Consequently, the longitudinal movement of the shafts 12, 13 will start at will. or rear all the gear trains respectively engaged on each of them. The lateral movement of the pinion 1 is controlled by a fork 15 pivoted at 16 and held by a spring <B> 17 </B> in a position such that it is the disc 2 which grates with the Maltese cross. A rod 18,

    provided with a stud 19 receives from a cam carried by the general shaft of the machine a movement to the left which engages the pinion 1 with the Maltese cross 3 and comes to apply the soft iron bar 20, ending lever 15, on the pole pieces of the electra 21.

      The movement that the rod 1.8 receives from the cam which controls it is such that, as soon as the armature 20 has been applied to the electro 21, this rod moves back; consequently, the pinion 1 will remain engaged with the Maltese cross 3 only in the case where the electro 21 will be traversed by a current. In the case     ;

  On the other hand, the spring 17 disengages it before it has had time to turn the Maltese cross 3, the pinions it drives and the numbered wheel 10. Of course, this supposes that the bearing shaft the pinion 1 and the cam controlling the rod 18 are suitably synchronized.



  The drive device by pinions such as pinion 1 (fig. 1) and the Maltese cross has the well-known advantages but also the defect that, when the tooth of pinion 1 engages with the corresponding notch of the Maltese cross or leaves it, the whole system is subjected to a sudden shock which has the following effect: to: deteriorate it more quickly than the pinion 1 turns faster. However, provided that the: duration of a re vohition of the pinion 1 is constant, that the speed of rotation of this pinion is uniform or not, the efficiency of the device will always be the same.

   Under these conditions, it will be easy: to largely obviate the above-mentioned defect of the: Maltese cross device by giving the pinion 1 a variable speed which will be minimal when this pinion engages with the Maltese cross and the moment he leaves her. This result could easily be obtained by any mechanism which transforms a uniform rotational movement into a variable speed movement, for example by elliptical gears and a speed reducer.



       Electro 21 has three windings 25, 26, 27, two in the same direction and the other in the opposite direction (fig. 3). The current, coming from the battery 22 arrives at: distributors 29, 30, 31, 32, 33 mounted in bypass.

   The first three are joined by three threads to the pastilles of the. .du contact plate: plug distributor as follows: the wire coming from 29 to: two end pads a and f of a group of six pads; the wire coming from 30 to the two neighboring pellets b and e: the previous two; finally, the wire coming from 31 to the two central pellets of the group, <I> c and d. </I> The corresponding comb is divided into two sections 23 'and 24 of three rods each receiving, according to the previous assembly es pastilles, the same currents. Half 23 is connected to winding 25: of the electro 21 and the other 24, to winding 26, in the opposite direction.

   The third winding 27: of this electro is directly connected: to the switch 32. The switches 29, 30, 31, 32 are controlled by a cam so that their closing times are like 1, 2, 4, 3 respectively, the unit duration being, that which is necessary for the pinion 1 to turn, when it is engaged, the Maltese cross 3: of '/, o of turn. In addition, the closures: from 31 and <B> 32 </B> must overlap very slightly.

   Finally, the profile: of the cam applying the armatures via the rods 18 is such that these armatures are applied to their respective electrons at the time: of the closures: of the switches 29, 30 and 31.

   If therefore,: under these conditions, the four holes of the card are placed, three in <I> a, b, </I> e under the half-comb 2,3 and the fourth in d under the: half comb 24, the hole corresponding to the number 1 in a, the one corresponding to the number 2 in b, etc. (fig. 4), the electro 21 will receive, on one or more occasions, a current of: duration:

    1 for the number 1, 2 for the number 2, etc., 9 for the number 9 and 0 for the number 0, on the condition that the power of the spring 1.7 is sufficient for the attraction of the electro 21 on its armature 20 cannot move the latter when it has not been applied to the electro 21 by the rod 18; indeed, this is evident for the numbers 1, 2, 3; for the 4, the current of 32 slightly perposed to that of 31 which it succeeds and is opposed, will take off the armature; on the contrary, for 7, the current of 32 being in the same direction as that of 31, the reinforcement will remain stuck;

    finally, for 0, the electro 21 will simultaneously receive two reverse currents, consequently the armature will come off immediately. The other numbers are self-explanatory.



  The switches 2,9, 30, 31, 32, 33 little wind be formed by the distributor tower nant shown at. fig. ibis. We will assume the cams drawn on the outside, integral with the crown bearing the metal blades, rotating with it -: in the direction indicated by the arrow, the wiper remaining fixed. The insulating parts are represented by cross hatching. dark. The slider has the shape of a fork; the insulation between the metal blocks 31 and 32 is less wide than the spacing of the teeth of this fork; there is therefore an overlap between these two current durations.

    As for the cam controlling the application of the armatures of the electrons 21 via the intermediary of the rod 18 (FIG. 2), its operation is understandable by itself.



  The device for the realization of the retains is based on the principle of their simultaneous registration and works as follows: A switch M (fig. 3) is closed at the desired moment (moment which will be better: defined below) during the same duration as switch 29 (one unit). The current coming from the cell 22, after passing through this switch 33 goes to the circuit 27 of the electronics 21 through a switch 34 (fig. 5 and 6).

   This two-way switch, controlled by the digit at. right - of the one whose electro it supplies, is normally in one position. intermediate (fig. 6) and no current can pass through the electrons 21, coming from 33. A cam 35 (fig. 6), integral with the numbered wheel 10 (fig. 2) carries, in a region corresponding to the passage - from wheel 10. from 9 to 0, a wise bos 36 which pushes lever 37 to the left which clicks into place at 38 by closing the contact of switch 34 at 39.

   It is seen in fig. 5 that in this case (lever R shown vertical), the electro \ _? 1 receives, from the current which has passed through the manual switch 43, assumed to be closed. On the other hand, the cam 35 carries, in the region corresponding to. a 9 on the chif frée wheel, a notch 40 in which the lever 37 sinks under the action of the spring 41.

    The switch 34 is then closed at 42 (horizontal position of the lever in FIG. 5) and thus bypassing the electro 21 of the number controlling the switch with that of its neighbor on the left; in other words, when a 9 has been registered, if it receives a carry, its left neighbor receives it as well. <I> Numerical example </I>: Or to add: 156.743 843.552 <B> 10 </B> The first number is recorded and registered simultaneously under the action of currents supplied by switches 29, 30, 31, 32 (fig. 3). Obviously nothing happens for the current supplied by 33 since there can be no holdbacks.



  20 The second number is registered and: is registered in the same way; the disks mark immediately after opening switch 32 and before closing 33 9: 99295.



  The electrons 21 -of the six columns will then be connected as follows (by removing the switches 43, see fig. 5bis) and it is easily seen that, once the current 33 has passed, the numbers will become: 1000295 The above, concerning the case of pad- dition of sums recorded on the totalizer formed by a group of numbered wheels, must be modified as follows in the case where the number to be recorded must be reset: the group of pinions 6, 7 , 8 must be moved to reverse the direction of rotation of pinion 5 and consequently of the numbered wheel.

    On the other hand, it is no longer when a digit receiving a carry is a 9 that it must transmit it to its neighbor on the left, but when it is a 0. For this, the cam 35 of real be joined. to another for which the notch 40 is on the other side of the sage bos 36.

   In addition, it will be necessary that by reversing the direction of rotation, the lever 37 passes from one cam to the other; for this, the cam 35 must be provided in the region 40-36-40 with a sort of ramp constituted by a ramp 43 '(fig. 7) in the form of a long $ al, so that the lever 37, which will have to have a certain elasticity or be able to take a certain lateral displacement, either obliged to slide to the left -de this ramp when the cam 35 turns in one direction and to the right thereof when the cam $ 5 turns in the other direction.



  For the subtraction, there is nothing to change at the addition except that under the actuation of the inverter pinion device, the numbered wheels turn in the opposite direction for the registration of the second number and that the profile presented by the cam 35 is no longer the same.



  Throughout this description it has been assumed that the digits could be grouped so as to. forming two different totalizers capable of simultaneously receiving positive or negative numbers; in the case where one would be satisfied with a single totalization, it is quite obvious that one could replace the individual inverters by a simple single inverter on the shaft 44. Here one thus envisages simply a limited use of the my china. Normally, the machine performs the addition and the subtraction so multaneously.



  Under these conditions, all the figures of the machine are united; if, for example, their number is 100 and the first on the left being a zero, and the other 99 of 9, we add to this number a unit, the result obtained in a single fraction of a turn will be the number 1099 The advantage of this device is that it allows the columns to be grouped at will: for this, it will obviously be necessary to be able to separate certain columns: this will be done very easily by means of the small hand switches 43 (fig. 5). ) which cut the power supply by switch 33 of the electro.s 21 of the corresponding number.



  Suppose it is now a matter of multiplying by a single digit number; everything comes down to turning the shaft 44 on which the pins 1 are threaded by a number of turns equal to the number of units contained in the multiplier. For this, we can use the device for reading scales by taking a Pythagorean table as a scale; it will then, of course, be necessary to operate twice, first on the numbers of even rank, for example, then on those -of odd rank to avoid deductions greater than. 11. The following system is pre- (maple and more conveniently adapts to division.



  As will be explained below, under the action of the multiplication relay, the shaft 44 carrying the pinions 1 starts to rotate. At each turn, he advances by one unit (l @ lo of turn) an insulating drum 45 (fig. 9 and 10) carrying metal pellets 46 inlaid so as to form the ten digits successively, these pellets being connected internally to a metal strip 47, by turning the cylinder 45 and serving for the arrival of the current through the wiper 48.

    The current coming from the source 49 (fig. 10) passes through the four appliances R12, R'12, R "., R" '12 of a system of comparison of equality of two groups of perforations; the other ends of these windings are respectively connected with the rubbers 50.

    As for the other winding of these appliances, it -is connected with the pads 51 of the contact plate of the file holder, the latter being in derivation for the set of digits of the multiplier; on the other hand, the corresponding combs 52 are connected to the pads 55 of a distributor 53, the friction plate 54 of which is linked to the source 49.



  At the same time as the drum 45, advances by one unit a shaft 56 (fig. 8 and 9) carrying, threaded and keyed on it pinions 57 identical to the pinions 1 meshing with, Maltese crosses 68 - in equal number to the number p of digits admitted as capacity for the multiplier in the machine. The pinions 57 are mounted on the shaft 56 like the pinions 1 on the shaft 44; they are hand held in place by forks 58 pivoted at 59 and whose tail 60 is engaged in a groove 62 traced on a cylinder 61. These grooves each carry a notch 63, the offset between two notches belonging to two consecutive grooves being of 360 / p.



       The Maltese crosses 68 are integral with four small cams 64, 64 ', 64 ", 64"' for both hollow combinations of the cryptographic code and against which four rods 65, 65 ', 65 "can be applied, 65 "', closing the corresponding circuits (not shown in the figures); these cams and con tacts used to transport the multiplier in particular for its registration. It is this application which will be referred to in the following as "Contact application".



  When the number indicated by the drum is equal to that of. multiplier, the recorded product is obviously 1c sought product; the action of the comparison device will therefore be to stop the rotation of the pinions 1 and to go to the next sheet; we will see how a little further.



  In the event that the multiplier is a number more than one digit, it is obvious that the machine will have to be fitted with a mobile cart to shift, to the left, for example, the totals when goes to the different digits of the multiplier. This cha riot will be constituted by a simple switch with the aim of moving the wires coming from the combs and going to the electros 21 by one. In other words, each digit of the multiplicand will be successively connected with the successive electros 21 corresponding to the columns where must register the product figures.

   Fig. 12 shows a diagram of this distributor trolley: the wires 67, 67 ', etc., coming from the combs pass in front of the springs 66, 66', ete., Connected with the columns where the products must be registered; it can be seen that a movement to the left of all the incoming wires will shift the recording of the multiplicand by one unit to the left. In fig. 12 it was assumed for simplicity that the connections between the combs and the carriage were made by means of flexible son; it would be preferable, in order to avoid breakage of the wires, to replace the latter with metal bands and rubbers.

      In the case of the multiplier with several digits, the equality between the number indicated by the drum 45 and by the number of the multiplier appearing on the sheet must, by the combinations of circuits which will be explained below, stop the pi clutches. - gnons 1 with the Maltese crosses 3, and move the trolley as well as the distributor 53.



  The cylinder 61 as well as the pinions 57 are mounted on a frame 69 which can oscillate around the shaft 70 under the action of the cam 71 and of the roller 72 fixed at 73 on the arm 74 of the frame 69. To allow this rocking movement, the cylinder 61 and the shaft 56 receive their movement through the intermediary of the pinions 75 and 76 meshing with the idle pins 77 and 78 on the shaft 70 of the frame 69. These receive at their respectively turn their movement -of the pinions 79 and 80. A cylinder 81 fixed to the frame 69 comes, .dans the rest position to block the Maltese crosses 68 which have been released by the discs of the pinions 57.

   This rest position corresponds to addition and subtraction, and the position shown in FIG. 8 @ to multiplication and. To division.



  The multiplication is quite simply obtained by successive totalizations. The various mechanical movements to be carried out are always done in the same way; a relay controlled by the perforation acts more or less directly on a magnetic clutch which produces the desired movement; then, this finished, activates a mechanical contact thanks to which a relay determines the next movement, etc. All the various useful movements: stopping the card distributor during the multiplication process, positioning the frame, moving the carriage 69 (fi g. 8 and 9), etc., are already explained in detail in the section. Swiss patent no.139019.

    The really fundamental point is the stopping of successive tabulations at the desired moment; for example, in the case of multiplication: 252 X 2.8, the number 25.2 is registered in the totalizer; the drum 45 (fi, -. 9 and 10) advancing by one, places under the rubbers 50 the corresponding combination -to 1; 252 registers a second time, combination 2 comes under the broom, etc., up to 8;

       At this time, as can be seen from the connections in fig. <B> 10, </B> the currents coming from drum 45 -and those coming from the reading combs of the multiplier becoming identical since they correspond to the same figure, the device for comparing these two names formed by the four electron R12 , R'12, R "12, R \ 12 acts according to the process indicated above (see Swiss patent no 139019) to stop the recording of the multiplicand and then move the carriage one unit to the left ; the same operations then occur for the number 2 (of the multiplier 28).



  <I> Example </I> numeric: Either to multiply: 892 by 2534.



  With the carriage in its right-hand position, the multiplicand 892 is added four times by itself, which gives 3568. At this time, the drum 45 has made 410 turns and the comparator has two digits (relay R12 , fig. 10) notes the identity of the number symbolized by the position of the drum 45 and of the last number of the multiplier, from which a current results in the relay Rlv ,. The carriage is moved one notch to the left - and the number 892 is added three times to the number already obtained 3568.

    As the cart has been moved, it is not 892 which is added, but 8920 and we therefore obtain 3 X 8920 + 3568 = 30.328. At this moment, the comparison device (re .. lais R12) acts again; the carriage is moved one notch to the left, etc., until the final result is obtained, namely 2,260,328.



  In the event that the two factors of the pro product would have had decimals (practically two), only the first two decimal places of the product would have been entered, the second being, where appropriate, forced.



  Forcing in the case of multiplication can be illustrated by the same previous example.



  Or to multiply 8.92 by 25.34, the result being 226.0328.



  We know in advance that the result has four decimal places and we want to force the second decimal. It will therefore be the third number from the left and it will suffice to s' arranaer so that it is the Maltese cross corresponding to. this figure which carries the devices for forcing to obtain the desired result, namely in this case 226.03 since the decimal following the three is less than five.



  In the case of division the first thing to do is to bring the cart to the desired place, place depending on the number of digits of the dividend and the divisor. In the hypothesis that dividend and divisor both have two decimal places, or what amounts to the same, are both integers and that we want the quotient to be three decimal places to keep two, it is necessary to place the divi dende so that its units are above the divider units when the cart is moved three units to the left from its extreme @ right position.



  Rushing to the operation itself, it is carried out identically as in most calculating machines, the device of the fi '-. <B> 8 </B> and 9 serving as tachometer to record the quotient.



  The shaft 82 carrying the Maltese crosses 68 must be arranged to allow the latter to be reset to 0 by the process usually employed in tachometers.



  For greater convenience in forcing quotients, the penultimate Maltese cross on the right will be fitted for transport not with small cams closing switches, but with a drum similar to drum 45 fitted with two series of wipers or better, as shown in fig. 9, of two series of four small cams, the use of one or the other of these series being controlled by the small Maltese cross cam on the right having, for example, a boss for the digits 5, 6, 7, 8, 9. For the forcing of the quotients we refer to Swiss patent no 139019.



  The registration will be done in the following way: two electron 82 and 83 (fig. 3) will be connected in derivation on the two windings 25 and 26 of the electro 21, each of these electron 82 and 83 will serve as the electro 21 to engage a mad Maltese cross on its axis, one of these crosses will be connected to the central pinion of a planetary gear, the other to the support of the satellite gears of: this train, thus constituting a system of mechanical addition of the rotations of the Maltese crosses. The outer gear of the train whose rotation is the sum of the separate rotations will be connected to the writing device.



  In order to be able to transport the products on the totalizers (it should be noted in this connection that all the figures of the machine being identical, they can be grouped as desired, so as to obtain partial and general totalizers of positive or negative number at will) and on the registration device, the pinions 5 (fig. 1 and 2 are provided with four small cams identical to those worn by the Maltese crosses 68 (fig. 9) and on which come, - in due course, lean rods such as 65, 65 ', 65 ", 65"' controlling switches.



  This device has, on drums fitted with pellets sliding under rubbers, the advantage of not creating friction during the rotation of the pinions. since the rods 65 will be applied to the cams only during the periods of rest of the pinions; however, for the forcing of the products, a cipher equipped with contacts and the double wiper must be provided; or better than two series of cams which will be mounted as a derivation on the last figure kept of the product. Similarly, a special digit will be derived from the first given aban digit; it will be fitted with a cam which will act on the connections of the switches of the digit kept.



  In this case, the question arises of writing 0 on the right: significant digits and not on the left. The following device is particularly advantageous for this purpose.



  The ground return wire 84 of the electrodes 82 and 83 is not made directly to the latter, 86, but through a two-way switch 85 controlled (fig. 11) by a small cam wedged on the shaft of pinion 5 (fig. 1 and 2) and bearing a bos sage acting on switch 85 when the number indicated by the numbered wheel 10 is 0.

   Under these conditions, if the number: to be transcribed is not a 0, the switch 85 directly connects the return wire 84 of the electrodes 82 and 83 with the ground 86; on the contrary, if this figure is a 0, the wire 84 is connected with the wire 84 of its neighbor on the left, if this one is therefore a significant number, the 0, will be registered; otherwise, it will only be if a significant digit is entered somewhere to its left.

   Of. hand switches 8? are arranged immediately between the connecting pad between two wires 84 and the one on the left thereof in order to be able to interrupt the chain and to leave independence between the various groupings of columns which will be chosen.



  The device for mounting the power supply circuits of the electros 21, 82 and 83 has the disadvantage of requiring for the electro 21, the use of two wires, which has the effect of: doubling the complication of the carriage and connections; the following variant, the diagram of which is shown in FIG. 12bis removes this drawback.



  The return wire of the appliances 21, 82 and 83 is fixed in the middle of the stack 88. The distributors 29, 30, 31 are repeated twice in 29 ', 30', 31 'and 29 ", 30", 31 " the first supply the pellets of the contact plate placed under the left half-combs, for example, the second those which are placed under the other half-combs;

   the remainder of the connections relating to the appliances 82 and 83 is the same as shown in fig. 3 but the electro 21 has only one winding connected at the same time to the two half-combs via the resistors 89 and 90. As for the distributors 32 'and 33' it will suffice that they send a current of proper direction in the single circuit - electro 21.

   One can easily see that this assembly leads exactly to the same results as that of fig. 3. Resets to 0 can be done very simply without any mechanical device as follows: the: current distributor carrying the application cam.

    armatures of the electros 21 comes, in due time, to apply these armatures., and to close a current passing if necessary through a special winding of the electrons 21, 82, 83; we will see below that this circuit will remain closed and consequently that the Maltese crosses will rotate until, with wheel 10 having returned to 0, an switch cuts off this current and stops the rotation: of the Maltese cross corresponding.



  In addition, when it reaches 0, wheel 10 acts on a switch; this switch 112 (fig. 13) closes a circuit which will be constituted by all these small switches placed in series to determine the moment when all the pinions 10 and the wheels - of the types (animated by the same movement) will actually be returned to 0.



  Stay at. see now. how the different control circuits of this device must be mounted.



  Three relays R3, <I> R4, </I> Rri (fig. 13) respectively control the electrons El, E2, E ;, of the gear change clutches of the two totalizers and of the tilting of the frame 69 (fig. 8); three other relays, polarized of the type .Siemens, R; with two reverse windings, RE and Rs with four windings two by two reverse, will play the role which will be explained below; the inertia of these last three relays will be as small as possible.

    On the other hand, the switches 97, 98, 99, 100, 101, 102 are controlled respectively by the inverters and the frame 69, the movement of which they control in a way.



  The switch <B> il, </B> controlled by the plug distributor, closes the circuit of the operation indication column by 9,1, 92, 93, 91, 95, 96. For example , for an addition to the first totalizer, the relays R., R. ,, R $ thanks to their small inertia, immediately put themselves in the desired position. Immediately 12 closes the circuit 103, 104, Rl, 105, 10e6, Y, X, 107, 108, 94, 95, <B> H </B>; if X.

   Y does not form a continuous circuit, Rl cannot function, but El, which must have sufficient inertia not to move if Ri had attracted its armature, attracts its own; then switch 100 closes and X, Y forms a continuous circuit; Rl works then if (see below) the registration mechanism has returned to 0, R2 also works. R, closes through the synchronizer - which will be discussed below, the clutch of the current distributor;

   this is constituted by a series of cams (fig. 15) having the effect of applying the armatures of the electrons 21 and of those of the inscription, of closing the circuits of these electrons according to the diagram below ( fig. 14) and release the snap 38 of the levers .37 of the retention switches; the diagram is as follows: <B> 10 </B> Application of the reinforcements - electros 21 and 8,2-83, then running for 1/12 - of a turn by switch 29; Application of the armatures - of the electrons 21 and 82-83, then current for 2 / 1z of a turn by the switch 30;

    30 Application-of the armatures of the electrons 21 and 82 --- 83, then current for 4/12 - of a turn by the switch 3-1; These first three times correspond to the entry of the digits 0 to 7 as indicated above (see page 3).



  40 Current for 3/12 of a turn by switch 32 (fig. 3) with a slight overlap on the previous one, so as to achieve the numbers 7, 8 and 9 (it should be noted that it does not there was no application of the reinforcements before the emission of this current).



  After this current, knock on the entry and send the current to restart the card-distributor!



  5 1/12 of a turn, then application of the mature arrays of electrons 82 and 8.3 only, then current through these electrons to reset the writing devices to zero; 60 2/12 of a turn, then application of mature arcs of the electron 21 and current for 1/12 of a turn by switch 33 (fig. 3), so as to. carry over your deductions; and as soon as this operation is carried out: 70 - triggering of the click of the restraint switches.



  Fig. 13 relates to a general diagram of the apparatus and it is more especially relating to the discrimination of the operations to be carried out according to the indications given on the card which is inserted under the combs shown at the top and to the left of this fig.



  In addition to the perforations a corresponding to numbers, the card or card includes a perforation b indicating the nature: of the operation to be carried out, namely: b ,. corresponds to an addition, 42 to a subtraction, b, to a multiplication and b4 to a division, the whole on the first totalizer, b # j corresponds to an addition, b ,, to a subtraction on the second totalizer.



  The device was designed to avoid any unnecessary maneuvering and for that the rods 12 and 13 as well as the frame 69 (fig. 8) are not returned to a determined position after each passage of the plug, but they remain in their present position. If the following card corresponds to the same of the six operations as the preceding card, none of the parts 12, 13 and 69 move, because the x-y circuit is immediately closed. Switches 97 and 100 are mechanically controlled by the control rods of the first totalizer, switches 99 and 102 by the frame <B> 0 </B> and finally 98 and <B> 101 </B> by the. rods of the second totalizer.

    It is immediately seen that if the positions of the relays Rs, R7 and R $ correspond to the positions of the switches 97 and 102, which means that the parts 12, 13 and 69 are in the position corresponding to the operation to be carried out, these parts do not move and the operation begins immediately, saving time. Relays E, E2 and E3 respectively control parts 12, 13 and 69.



  However, the resetting of the inscription to 0 continues by means of the sticking relay R [, the circuit of which is closed at 109 by the current distributor. This relay closes at 110 the power supply to the circuit for resetting the registration electros to 0, a circuit which will be cut at 111 when the wheel of the types has returned to neutral;

   finally, when all these wheels have returned to this point, all the switches 112, 112 ', 112 "' close the circuit of the relay Blo which cuts in 113 the circuit, of bonding -de Ba and closes in 114 the circuit of R, which, then attracting its armature, engages the current distributor in <B> De. </B>



  There is an advantage in maintaining the reset to 0 by gluing and not by a mechanical device, because it is thus certain that this reset to 0 will be done - in the minimum time.



  It is not necessary to provide a glue for R2: as soon as the wheels of the types leave their neutral point, the switches 112 cut the circuit of R, o and consequently that of R2, but that does not matter because, By virtue of their construction, electrically operated clutches complete a full revolution as soon as movement has been started.



  The synchronizer, which was discussed above, is simply constituted by a cam closing a switch at a time such that the distributor is engaged only when the claws, of which the male and female parts of the em Magnetic clutches used, do not risk getting caught by the end.



  Before explaining the mechanism of the registration of the totalization of a packet of files, a device will be described which makes it possible to register the parameter, according to which the sorting was carried out, only at the head. , of each group, so as to make reading the tables more convenient.



  The closing of a circuit in 134 (fig. 13) by the automatic totalizing device sends a current in an electro R,., Sie mens (fig. 16) with two reverse windings.

    When this first winding is in service, the armature comes to 1l5 and closes the return circuit of the wires of the electrical inscribers of the columns relating to the sorting parameter; the second winding of the relay R, l is bypassed on the reset windings of the registration appliances shown to the right of FIG. 16; consequently, the first reset there interrupts the writing of the sorting parameter which can only take place again when the cut in 134 has been closed:

       that is, when a new package arrives. A hand push-button switch 116 is provided to make it possible, when the registration sheet is changed, to re-register the parameter at the head of this new sheet.



  For the totalization of a packet, the-device represented by the fi-. 13 is used. Connections to. carried out by the control relay S must be as follows 10 Cut the return wire of the indications carried by the plugs, so that the current distributor does not register them twice; moreover, it would also be easy to connect these return wires to a fixed scale, so as to enter certain indications, constants for each totalization, such as total, to report, etc .;

    20 Cut the circuit of relay R2 at 118, a branch of which 119 will be closed for transcription, by the contact application cam, once this application has been made, at <B> 120, - </B> <B> 30 < / B> Close (at 131) the contact application clutch circuit. This application being made by means of a clutch not synchronized with the current distributor, the circuit of which it closes at 120, it will be necessary for the application device to be provided with a snap which will be released by the distributor. current when the latter has finished transcribing a subtotal.



  Fig. 17 shows the arrangement of this snap; the cam 121 switches the lever 12.? driving application rods; this lever 122 carries a notch 123 which penetrates the finger 1224 which a spring 125 presses on the lever 122. This finger 124 is pivoted at 126 and, when it is pressed into the notch 123, its end 12.8 is provided with a roller rolls on the cam 127 integral with the shaft of the current distributor; the latter will therefore come, in due course, by tilting the finger 124, release the lever 122 which, under the action of the spring 129, will return to its rest position.

   The upper curvature of the lever 122 is such that, in the rest position, that is to say the finger. 12: 1 not engaged, the roller <B> 128 </B> does not rest on the cam <B> 127, </B> in order to avoid unnecessary friction while no totals are being made.



  Each transport of a subtotal or any other numerical result on a totalizer shall be followed by the resetting of the figures transported; it is therefore natural to charge the transport mechanism, that is to say the application of the contacts, to carry out this reset to 0.



  Consequently, the lever 122 must, by tilting under the action of the cam 121: a) Close, as has been said, the switch 120 on the supply circuit of R2; b) Apply the armature of a Hughes relay which will receive its demagnetizing current from a bypass of the reset control current and will have to: close the circuits, at 132, for resetting the digits which come from be transported;

    c) Place, in 133, the control switches for resetting these digits to zero with those of the inscription; it will be a derivation of this control current which will have to take off the armature of the Hughes H relay,., while another derivation will cross a winding of the S relay to complete the totalization and go to the next card;

    d) Close in 130 a circuit comprising an electro having the effect of keeping the click cocked, the restraints so that, by the reset. zero 'of the digits to be canceled, these, passing from 9 to 0, do not register a carry; the same result would be obtained by resetting to zero only in the direction of decreasing digits, that is to say by engaging the subtraction; one or the other of the two devices may be the most advantageous depending on the case.

      In addition, the relay S (fig. 13) must: 40 Close, as was explained above in 134, the first circuit - of the electric B1, (fig. 16) of registration - the sort parameter; <B> 50 </B> Cut the card distributor circuit at 135, so that the entry of the total does not cause another to come. n will now describe the assembly corresponding to the multiplication.



  Suppose that this operation is defined by the third perforation in the operation indication column. By closing, the switch I1 sends a current in a winding of the relay Re giving the addition and in a winding of the relay R, giving the frame 69 the multiplication position.

   This frame, coming into this position, acts on a switch 136 (of which the control rod is the only one shown in fig. 8) and which has the effect of: Cutting the return wire of the indications carried by the plugs under the same conditions as relay S in 117 in the case of totalization; these two breakers must be placed in series; 20 Cut off at 137 (fig. 13) the power supply to R .; 30 Cut in series with breaker 135, the power supply to the plug-distributor; 40 Cut the return threads of the digits other than those of the multiplicand;

    <B> 50 </B> Close at l38 and 139, the circuits of the comparison electron R12 and of the electro R, E controlling the carriage advance clutch (fig. 10); 60 Close, a little later, in 140 the circuit of the electro R14 commanding the return of the cart (fig. 10); 70 Apply the armature of a Hughes HZ relay (not shown) bypassing the circuit - resets the clutch electro - resetting the multiplier.

   This electro HZ will receive its demagnetizing current. From a bypass - of the current supplying H1.



  All these commutations will be done under the action of the thrust of the rod 136, however they can also be done under the thrust of a special R17 electro which will be mentioned during the description of the assembly corresponding to the division.



  Under these conditions, the multiplication being done from right to left, if the multiplier is terminated by 0, the comparison electrons R12 will cause the carriage to advance towards the left: otherwise, at least one of these electrons é12 attracts its armature and closes at 141 the supply circuit of R2;

      then the multiplicand is added and the cylinder 45 rotates until there is equality between the number which is under the friction 50 and that of the multiplier. At this moment, all the electron R \ having released, their armature, the supply of R = is cut off at 141 but that of B ", engaging the advance of the carriage to the left is closed at 142, 142 ', 1.42 ", 142" '. The carriage moves forward one unit to the left and one unit only,

   because the width of the keys 55 and of the slider 54 are such that the figure close to the figure left sends its current in the electron R12 as soon as the clutch has been carried out and consequently the supply of R "is cut off. At the same time. as the carriage advances to the left, cylinder 45 is reset.

   Finally, the slider 54 arrives on a non-existent number at the multiplier; then the relay R13 comprising four windings in derivation respectively on the four circuits of the comparison electrons R12 coming from the plugs, no longer receives any current and releases its armature which comes, at 143, to close the supply circuit of the relay R14. This release R14 closes: in 144 the supply circuit - for the return clutch of the carriage (to the right), in 1.45 the application of contacts in 146 the addition of the frame 69, and it chopped off:

   in 147 the multiplication indication circuit, in 148 the division indication circuit, finally in 149, a gluing circuit is closed which will be cut in 150 by the electro R \ which will be discussed; the circuit of this electro is closed in 151 by the relay R14, but it will only be able to operate after the breaker 152, closed by the carriage returned to the starting position that will have been set for it, will have been operated by the cart.



  Automatically, the addition cuts the circuits closed by the rod 136, with the exception of course of that closed by the electro FI2. The multiplier is printed by applying the contacts to the small cams 64 attached to the Maltese crosses68. Then the transports and transcriptions are carried out, as well as the resets.



  If we want the product to be added to one totalizer and subtracted from the other, the application of the product contacts on the two totalizers will have to be bypassed, the first being set to addition, the second to subtraction.



  In the case of division, the operation indication circuit acts on two bypass relays R, 7 and R, a (fig. 19); Rl $ pushes, by means of a rod identical to the rod 136, the switch actuated by the latter when the frame 69 comes into the multiplication or division position. As for R ,;

  , it closes the carriage clutch circuit in the left direction and, by making the necessary switchings on the circuits coming from the dividend and from the divider to enable them to conform to the diagram in fig. 18, operates the trolley positioning device.



  Since the dividend is inscribed at a specific place on one of the totalisers, this setting up consists simply in moving the cart so that the divider comes to withdraw correctly from the dividend.



  We can also see that in all cases where the -divider is not reduced to a fraction less than. unit, it will suffice, in the hypothesis of a quotient calculated with three decimal places, to move the carriage from its extreme right position, to the left by a number of units equal to 3 increased by the excess of the number -of digits of the dividend over the number of digits of the -di finder, the dividend and the divisor both being assumed to be integers, an assumption that can always be made.



  In the event that the divisor is a decimal fraction less than unity, the carriage must be pushed back, in addition, to the left, by one unit if this fraction is not less than 0.1 and by two units otherwise, because it is always assumed that the numbers have only two decimal places.



  The diagram of the fi-. 18 solves the question: A series of electros such as K @, K ,, K2, Kn_ ,, <I> K. </I> with four windings., In number equal to the number plus 1 of the whole digits constituting the capacity the dividend machine and the divider are mounted as follows: The first winding comes from the dividend figures, it is in the opposite direction to the other three; The second d comes from the digits of the divider;

    The third comes from the switches i controlled by the carriage, the switch 2-i sending current to the relay K _ ,, the switch i to K ,, etc., i ,, to K ,,; The fourth c closed by relay R, 7 (fig. 19) is constant.



  These relays perform only one switching; the current coming from the source arrives through the central pad 154 of the relay K- i; the upper pad of this relay is connected with the central pad 156 of the relay K; the upper pad 157 of this relay is connected with the central pad 158 - of the relay K2, etc., up to the upper pad 159 - of the relay K "-, which is connected with the central pad 160 of K ,,, finally - from the upper pad 161 of relay K ", the current returns to the source through relay D '.

   On the other hand, all the lower pads, such as 162 are mounted in bypass on a circuit coming back to the source through the relay Y controlling the movement of the carriage to the left.



  The operation is as follows: leaving aside for the moment the description -of the relays K-, and K, which will be discussed below, and assuming their armature attracted, three cases may arise in relation to the relay KZ corresponding to the second digit to the left of the decimal point for the dividend and the divider (assumed to have two decimal places).



  a) The dividend and the divisor had only one digit to the left of the decimal point; then relay K. receives only current c and attracts its armature; it is obviously the same for all the following ones until Tin and the circuit of D 'closes. h) The divisor has two digits to the left of the decimal point; then relay Kz receives two gourants <I> c and d </I> of the same meaning; .therefore; whether or not the di vidende has tens, that is to say whether the current D is flowing or not, KZ attracts its armature as before.



  c) The divisor has only one digit to the left of the decimal point and the dividend has at least two; then the relay K2 receives the reverse currents D and c and does not attract its armature; the current arriving at 1:54 goes to 155, 156, 157, the lower <B> 167 </B> pad of K1 and returns to the source through the Y relay, therefore, 7th carriage advances by one to the left, then the switch i2 closes and sends an opposite current: to D in the KZ relay which then attracts its armature.



  The same movement will take place closely as long as the dividend has digits to the left of the last digit to the left of the divisor. Then, the K - Kn appliances, receiving only the current c, attract their armatures.



  There remains the case where the divisor is reduced to tenths or hundredths. The zero placed in the units column must therefore play no role in the movement of the cart, which must be done as if this number had not been entered; in other words, when in this column (that of K1) there is a zero, the circuit d must not receive any current.

   For this, the two wires corresponding to the perforations relating to numbers 1 and 2 pass directly through relay K1; on the other hand, those corresponding to the perforations relating to the numbers 4 and 7 return to the source through two opposite windings of an additional relay L1; it is then the circuit 163, 164 which crosses the relay K at d; this circuit will obviously be closed for the digits 4 and 7, but for the zero, the two reverse windings of L, being traversed by the same current, the circuit d will be cut in 164. Consequently, nothing will pass in d if the digit of units -of the divisor is a zero.

   But this is not enough; it is necessary that if this figure, while being a zero, is to the right of a significant figure, either directly or through other zeros, the circuit d of K, receives current. For this, l e lais T.,. is provided with a third winding 167, in any direction, branched off at 165, 166 on the circuit d of Ki !. Consequently, if the divisor has a tens digit, followed to the right by a zero, the electro L1 receiving two currents in one direction and another in the other attracts its armature.

   However, in order for this armature to be attracted even if the units digit of the divider is a 4 or a 7 (depending on the direction of the windings, the winding 167 must have a number of ampere-turns at least double. that of the windings which is contrary to it.



  Finally, an identical device is adapted to the digit of the tenths of the divisor; the electro g_i will not receive any current if the tenths digit is 0 as well as that of the units and the latter is not itself followed to the right of any other digit. In any other case, K1 attracts his frame.

   Then the relay D '(fig. 19) receives a current through 161; it has drawn its armature and cuts, in 169 the return wire .du divider, in 171 the power supply of relay R17; on the other hand, ii closes, in 168 a bonding circuit and in 170 the circuit of the release D "which will be discussed below; the movement of R17 closes the supply of R_, and the, dividend s 'registers; the withholding current coming from switch 33' (fig. 12bis) passing through 170 supplies the relay D ";

   this closes in 172 a bonding circuit; it cuts, in 173 the gluing circuit of D ', in 174 the return wire idu divi dende, in 175 the supply of both R17 (in series with 171) and R, s and closes in 176 the circuit of the relays RE and R8, so as to place the frame 69 (fig. 8) in the multiplication or de-division position and the inverter 14 (fig. 1) in the subtraction position. Rla could be cut, because there is no longer any reason to be since the frame 69 has pushed the rod 136.

   During this time, the power supply to R2 is cut by relay B. Then, the divider is cut off until a 9 appears on the ad hoc digit. This figure is derived from the last figure to the left of the dividend; it has a special small cam which closes the circuit of a relay Rl, which, in turn, cuts the subtraction circuit of R at 177, and closes the addition circuit in 178, its bonding circuit in 179 which will be cut as it will be. said by the carriage clutch cam, at 180 the circuit of a relay R2o controlling the movement of the carriage;

   this circuit includes a switch 181 which will close when the special number has returned from 9 to 0. It is then that, when performing its turn, the carriage clutch cuts off the bonding circuit of R19, R, resumes then in subtraction and the divisor is subtracted, etc. When the carriage has arrived: at the limit switch on the right, it acts on a replacement switch. the action of relay R29 on the unit by closing the application of the contacts and consequently causing the passage of the next plug.



  [a complement to the device for applying the scales will now be described; in the apparatus which has been devised for this purpose the indications of the scale are grouped in a table at. double entry; there may be cases where these indications: would be more advantageously written on cards; such would be, for example, those provided by an address book; if, for example, an accountancy is made by attributing to each customer of the company a number, if there are invoices or receipts to be made, it will be necessary to write on them the name and debtor's address.

   For this we will use two .distributors of cards; one normal, the other identical, will be supplied by directory files each bearing a name and the corresponding number. The combs and pellets relating to the number of both one of the distributors and the other are connected with a device for comparing the identity of two numbers. It will therefore be necessary as many times as four electros that there are figures in the number considered.

   These electros (fi ,,. -0) close in 182 the branches of a circuit 188, 184, controlling the supply of the directory card distributor; this one will therefore pass cards as long as it receives current, that is to say as long as the two numbers compared are different; on the other hand, these appliances open in 185 (all these cuts being in series) the recording circuit .des inscriptions of the cards, a circuit which can obviously only be closed if the two numbers compared are equal. When the registration thus due, the operations are completed. a current is sent through the clutch of the two plug distributors and everything starts again.



  To increase the speed of the device, it may be advantageous to provide it with a speed change allowing the control shafts to turn faster when the writing is not done, during multiplications and division, for example. , this result can easily be obtained by controlling, by the current acting on the inscription, for example a change of speed consisting of two planetary gear clutches.

 

Claims (1)

REVENDICATION: Machine à calculer utilisant .des feuilles perforées, caractérisée en ce qu'elle comporte un appareil effectuant à volonté les quatre opérations ayant divers dispositifs permettant d'effectuer simultanément l'addition et la soustraction ainsi que la totalisation de sé ries de produits et quotients et des mêmes produits et quotients précédés du signe moins, ces résultats étant visibles sous forme de nom bres apparaissant sous des fenêtres ad hoc, nombres constitués par des .chiffres portés par des tambours, un second appareil étant prévu qui inscrit en langage clair sur du papier, en plus de lettres représentées, elles aussi, par des perforations dans les feuilles, les divers termes de chacune des opérations et des résultats de celles-ci, CLAIM: Calculating machine using perforated sheets, characterized in that it comprises an apparatus performing at will the four operations having various devices allowing simultaneous addition and subtraction as well as the totalization of series of products and quotients and the same products and quotients preceded by a minus sign, these results being visible in the form of names appearing under ad hoc windows, numbers consisting of digits carried by drums, a second device being provided which inscribes in clear language on paper, in addition to letters also represented by perforations in the sheets, the various terms of each of the operations and the results thereof, de manière à conser ver trace de ces résultats sans être obligé de les inscrire à main. SOUS-REVENDICATIONS: 1 Machine selon la revendication, caracté risée en .ce qu'elle possède un .dispositif de totalisation à commande électrique avec inverseur sur chaque unité permet tant ainsi à la machine d'ajouter et de retrancher simultanément les quantités en cause, le susdit dispositif possédant un pignon à dent, une croix de Malte, un train de roues transmettant le mouvement de la croix de Malte à une roue :à chiffres et un commutateur à levier permettant de mettre @à volonté en marche avant ou ar rière le train de roues susmentionné for mant ainsi un renverseur pour chaque roue à chiffres. so as to keep track of these results without having to enter them manually. SUB-CLAIMS: 1 Machine according to claim, characterized in that it has an electrically controlled totalizing device with inverter on each unit thus allowing the machine to simultaneously add and subtract the quantities in question, the aforesaid device having a toothed pinion, a Maltese cross, a set of wheels transmitting the movement of the Maltese cross to a wheel: with digits and a lever switch making it possible to set @ forward or reverse the aforementioned wheel set thus forming an inverter for each number wheel. 2 Machine selon la sous-revendication <B>1,</B> caractérisée en ce que le pignon :à dent du dispositif de totalisation a une vitesse variable qui est minime au moment où le pignon entre -en prise avec la croix de Malte et le moment où il la quitte, ladite vitesse étant réalisée par une transmis sion par pignons elliptiques et réducteur de vitesse. 2 Machine according to sub-claim <B> 1, </B> characterized in that the pinion: toothed of the totalizing device has a variable speed which is minimal at the moment when the pinion engages with the Maltese cross and the moment when it leaves it, said speed being achieved by transmission by elliptical gears and speed reducer. 3 Machine selon la sous-revendication 2, ca ractérisée en ce que la commande élec trique @du dispositif de totalisation -est re liée avec un dispositif de traduction des perforations des fiches de papier compor tant -des pastilles -et un peigne de contact correspondant entre lesquels passe la fi che perforée, des, distributeurs -de cou rant, .des électros à plusieurs enroulements et une came appliquant en temps voulu les armatures -de l'un desdits électros. .t Machine selon la revendication, 3 Machine according to sub-claim 2, characterized in that the electric control @du totalizing device -is linked with a device for translating the perforations of the paper cards comprising -the pellets -and a corresponding contact comb between which passes the perforated plug, current distributors, electros with several windings and a cam applying in time the armatures of one of said appliances. .t Machine according to claim, caracté risée en ce qu'elle possède un dispositif d'enregistrement simultané électrique .des retenues pour l'addition, ledit dispositif comportant un commutateur à deux -direc tions et une came possédant un bossage et une encoche coopérant avec le commuta teur susmentionné, le tout de telle façon que l'élsetro du chiffre commandant le commutateur est mis en dérivation avec celui .de son voisin -de gauche. character ized in that it has a device for simultaneous electrical recording. of the additions, said device comprising a two-way switch and a cam having a boss and a notch cooperating with the aforementioned switch, the everything in such a way that the elsetro of the number controlling the switch is put in bypass with that of its left neighbor. 5 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée -en ce que la came susmention née du .dispositif -d'enregistrement électri- que est munie d'une lame divisant cette came en deux parties, chaque partie pos sédant un bossage et une encoche, l'une des parties correspondant à l'enregistre ment des retenues pour l'addition et l'au tre pour la soustraction après la mise en marche arrière du dispositif de totalisa tion. 5 Machine according to sub-claim 4, characterized -in that the aforementioned cam born from the electric recording device is provided with a blade dividing this cam into two parts, each part having a boss and a notch , one of the parts corresponding to the recording of deductions for the addition and the other for the subtraction after putting the totalizing device in reverse. 6 Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle possède un dispositif de désolidarisation .de chiffres voisins pour permettre le groupement @à volonté des colonnes, ledit dispositif possédant un inverseur et des petits interrupteurs à main qui -coupent l'alimentation des électros .du chiffre correspondant. 6 Machine according to claim, character ized in that it has a disconnecting device .de neighboring figures to allow grouping @ at will of the columns, said device having an inverter and small hand switches which cut off the supply of electros. of the corresponding figure. 7 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le dispositif permettant la réalisation de la multiplication comporte un relais de multiplication agissant sur les pignons à dent des dispositifs de to talisation, un tambour isolant comportant des pastilles jouant le rôle de distribu teur de courant, un frottoir coopérant avec ces pastilles et avec des perforations des bandes de papier, des électros à plu sieurs enroulements (Ri., R'1#_, R",2, R"'1_) pour la vérification de la position du tambour, 7 Machine according to claim, characterized in that the device for carrying out the multiplication comprises a multiplication relay acting on the toothed pinions of the topping devices, an insulating drum comprising pellets playing the role of current distributor , a friction pad cooperating with these pellets and with perforations in the paper strips, electros with several windings (Ri., R'1 # _, R ", 2, R" '1_) for checking the position of the drum , des moyens pour l'accouple ment des roues à dent avec des croix de Malte solidaires des cames portant en creux les combinaisons du code cryptogra- phique agissant sur des contacts servant au transport du multiplicateur et pour son inscription. means for coupling the toothed wheels with Maltese crosses integral with the cams bearing recessed combinations of the cryptographic code acting on contacts serving to transport the multiplier and for its inscription. 8 Machine selon la sous-revendication 7, ca; ractérisée en ce que l'avant-dernière croix de Malte -du dispositif susmentionné est munie d'un tambour à pastilles coopérant avec deux séries de quatre petites cames, l'utilisation de l'une ou l'autre de ces sé ries étant commandée par une came de la dernière croix de Malte, le tout de telle façon que le forcement des quotients soit réalisé par cette came susmentionnée. 8 Machine according to sub-claim 7, ca; characterized in that the penultimate Maltese cross of the above-mentioned device is provided with a pellet drum cooperating with two series of four small cams, the use of one or the other of these series being controlled by a cam of the last Maltese cross, all in such a way that the forcing of the quotients is achieved by this aforementioned cam. 9 Machine selon la sous-revendication 8, ca ractérisée en ce que le forcement dans le cas de la multiplication est réalisé par l'emploi, d'une part, d'un chiffre spécial mis en dérivation sur le dernier chiffre conservé, et muni de deux groupes de cames traductrices, dont l'un correspond au chiffre lui-même et l'autre au chiffre forcé d'une unité, et d'autre part, d'un chiffre spécial mis -en dérivation sur le premier chiffre abandonné, muni d'une came ayant pour effet de connecter les fils de connexions des interrupteurs com mandés par les cames du chiffre auxiliaire précédemment indiqué, de façon @à faire agir le second groupe lorsque ce premier chiffre abandonné est supérieur ou égal à 5. 9 Machine according to sub-claim 8, characterized in that the forcing in the case of multiplication is achieved by the use, on the one hand, of a special figure derived from the last stored figure, and provided two groups of translator cams, one of which corresponds to the digit itself and the other to the forced digit of one unit, and on the other hand, a special digit deriving from the first abandoned digit, provided with a cam having the effect of connecting the connection wires of the switches controlled by the cams of the previously indicated auxiliary figure, so as to make the second group act when this first abandoned figure is greater than or equal to 5. IC Machine selon la revendication, caracté risée en ce que l'inscription des 0 a lieu seulement, lorsqu'ils sont placés à droite d'un chiffre significatif, réalisée par un dispositif comportant un commutateur à deux directions commandé par une came collée sur l'arbre d'un pignon denté du dispositif de totalisation, des interrup teurs à main permettant de laisser l'in dépendance entre les divers groupements de colonnes que l'on aura choisies. IC Machine according to claim, characterized in that the registration of 0 takes place only when they are placed to the right of a significant figure, produced by a device comprising a two-way switch controlled by a cam stuck on the 'shaft of a toothed pinion of the totalization device, hand switches allowing independence between the various groupings of columns that will be chosen. 11 Machine selon la sous-revendication 10, caractérisée en ce que le dispositif -de traduction comporte un électro ne possé dant qu'un seul enroulement relié à, un peigne par l'intermédiaire de résistances. 12 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que les remises à 0 s'effec tuant direetement, la roue :de chiffres étant revenue à 0, agit. sur un interrupteur qui coupe le courant du dispositif de com mande. 11 Machine according to sub-claim 10, characterized in that the -translation device comprises an electro having only one winding connected to a comb via resistors. 12 Machine according to claim, characterized in that the resets to 0 effecting direetement, the wheel: having returned to 0, acts. on a switch which cuts off the current to the control device. 13 Machine selon la sous-revendication 12, caractérisée en ce que tous les mouve- m-ents se produisent sous l'action @d'em- brayages à commande magnétique d'un dispositif comportant trois relais (R3, R,, RJ, commandant des électron (E, E2, E3) d'embrayages des changements de mar- ,che du dispositif de la multiplication, 13 Machine according to sub-claim 12, characterized in that all the movements occur under the action of magnetically controlled clutches of a device comprising three relays (R3, R ,, RJ, commander of the electrons (E, E2, E3) of the gearshift clutches, che of the multiplication device, des interrupteurs commandés par les in verseurs des dispositifs de totalisation, trois autres relais (R,, R7, R$) formant une chaîne avec les trois relais susmen tionnés, des interrupteurs et encore d'au tres relais, le tout de telle façon que les armatures des électron (21, 82, 83), des dispositifs de totalisation et de l'inscrip tion sont appliquées aux moments op portuns. switches controlled by the reversers of the totalizing devices, three other relays (R ,, R7, R $) forming a chain with the three aforementioned relays, switches and even other relays, all in such a way that the armatures of the electrons (21, 82, 83), of the totalizing devices and of the inscription are applied at the appropriate times. 1.4 Machine selon la sous-revendication 13, caractérisée en ce que la remise à 0 de l'inscription s'effectue par un relais à col lage (R,) prévu dans le dispositif sus mentionné et un second relais -commandé par les roues là chiffres qui coupe l'alimen tation du premier relais et ferme le cir cuit d'un troisième relais embrayant le distributeur -de .courant, le tout de telle façon que les remises à 0 se réalisent dans le minimum de temps. 1.4 Machine according to sub-claim 13, characterized in that the resetting of the registration is effected by a glue relay (R,) provided in the aforementioned device and a second relay -controlled by the wheels there figures which cut off the supply to the first relay and close the circuit of a third relay engaging the current distributor, all in such a way that the resets to 0 are carried out in the minimum time. 15 Machine selon la sous-revendication 14, caractérisée en ce qu'on a prévu un syn- chronisateur .dans ce dispositif susmen tionné, ce synchronisateur étant constitué par une came fermant un interrupteur à un moment tel que l'embrayage du dis tributeur ne se fasse que lorsque les griffes, dont sont munies les parties mà- les et femelles des embrayages magnéti ques utilisés, ne risquent pas de se pren dre par le bout. Machine according to sub-claim 14, characterized in that a synchronizer is provided in this aforementioned device, this synchronizer being constituted by a cam closing a switch at a moment such that the clutch of the distributor does not. be done when the claws, with which the male and female parts of the magnetic clutches used are fitted, are not liable to catch on by the end. 16 Machine selon la sous-revendication 15, caractérisée en ce que dans .le dispositif d'embrayage un électro, à deux -enrou lements commandé par les dispositifs de totalisation est prévu, dont un enroule ment est en dérivation sur les enroule ments de remise @à 0 des électron d'ins cription, ce dispositif permettant de n'inscrire le paramètre, suivant lequel le tri a été effectué, qu'en tête de chaque groupe. 16 Machine according to sub-claim 15, characterized in that in .the clutch device an electro, two -windings controlled by the totalizing devices is provided, one winding of which is bypass on the reset windings @ 0 of the registration electrons, this device making it possible to enter the parameter, according to which the sorting was carried out, only at the head of each group. 17 Machine selon la revendication, caracté risée en ce que pour la totalisation d'un paquet de bandes -de papier, on a prévu un dispositif comportant un relais de commande réglant l'embrayage dudit dis- positif. 18 Machine selon la sous-revendication 17, caractérisée en ce que le relais susmen tionné ferme le circuit d'un embrayage non synchronisé avec le -distributeur de courant et dont cet embrayage referme le circuit au moyen .d'un dispositif -d'ap- plication muni d'un encliquetage compor tant une came et un levier entraînant les tiges d'application, 17. Machine according to claim, characterized in that for the totalization of a packet of paper strips, a device is provided comprising a control relay regulating the clutch of said device. 18 Machine according to sub-claim 17, characterized in that the aforementioned relay closes the circuit of a clutch not synchronized with the current distributor and of which this clutch closes the circuit by means of a device -d'ap - folding provided with a snap-fit comprising a cam and a lever driving the application rods, le tout de telle façon que chaque frottement inutile sur la came soit évité. 19 Machine selon la sous-revendication 18, caractérisée en ce que les circuits relatifs à la multiplication sont commandés par un interrupteur du dispositif d'embrayage, circuits comportant une chaîne d'électron de comparaison, agissant sur le tambour du dispositif permettant la réalisation de la multiplication et commandés par les contacts se produisant à travers des per forations des bandes de papier, .des relais et électron réglant .les mouvements des fi ches et du chariot de la machine. all in such a way that any unnecessary friction on the cam is avoided. 19 Machine according to sub-claim 18, characterized in that the circuits relating to the multiplication are controlled by a switch of the clutch device, circuits comprising a comparison electron chain, acting on the drum of the device allowing the production of the multiplication and controlled by the contacts occurring through perforations of the paper strips,. of relays and electron regulating. the movements of the plugs and of the carriage of the machine. 20 Machine selon la sous-revendication 19, ,caractérisée en ce que les circuits relatifs à la division comprennent deux relais en dérivation agissant sur le dispositif de multiplication et sur les mouvements du chariot. 20 Machine according to sub-claim 19, characterized in that the circuits relating to the division comprise two bypass relays acting on the multiplication device and on the movements of the carriage. 21 Machine selon la sous-revendication 21, caractérisée en ce que le chariot est re poussé vers la gauche -d'au moins une unité, .dans le cas où le diviseur est une fraction décimale inférieure à l'unité, au moyen d'un montage auxiliaire compor tant une série .d'électron à quatre enroule- ments commandés par les bandes de pa pier et agissant sur un relais commandant le mouvement du chariot vers la gauche. 21 Machine according to sub-claim 21, characterized in that the carriage is pushed back to the left - by at least one unit,. In the case where the divider is a decimal fraction less than unity, by means of an auxiliary assembly comprising a series of electrons with four windings controlled by the paper strips and acting on a relay controlling the movement of the carriage to the left. 22 Machine selon la sous-revendication 21, caractérisée par l'utilisation d'un chiffre spécial mis en dérivation sur le dernier chiffre à gauche du dividende et pourvu d'une came agissant, lorsqu'il passe du 0 au 9 sur l'inverseur, pour la réalisation du mouvement de marche du chariot dans le cas où le diviseur a été retranché une fois de trop. 22 Machine according to sub-claim 21, characterized by the use of a special digit derived from the last digit to the left of the dividend and provided with an acting cam, when it passes from 0 to 9 on the inverter , for carrying out the running movement of the carriage in the event that the divider has been cut off once too often. 23 Machine selon la sous-revendication 22, caractérisée en ce qu'au dispositif d'ap plication des barèmes, un dispositif de fiches automatiques est prévu, ledit dis positif comportant deux distributeurs de fiches, dont l'un contient des fiches nor males et l'autre est alimenté par des fiches-répertoire portant chacune un nom et le numéro correspondant, pour chaque chiffre quatre électron étant prévus com mandant l'alimentation -du distributeur -de fiches-répertoire. 24 Machine selon la sous-revendication 23, 23 Machine according to sub-claim 22, characterized in that at the device for applying the scales, an automatic card device is provided, said positive device comprising two card distributors, one of which contains normal cards and the other is supplied by directory files each bearing a name and the corresponding number, for each digit four electrons are provided to control the supply of the distributor of directory files. 24 Machine according to sub-claim 23, caractérisée en ce que l'appareil est muni d'un changement de vitesse permettant de faire tourner les arbres de commande plus vite lorsque l'inscription ne se fait pas, ce changement étant constitué par deux embrayages à trains planétaires commandés par le courant agissant sur l'inscription. characterized in that the apparatus is provided with a speed change making it possible to rotate the control shafts more quickly when the registration is not done, this change being constituted by two planetary gear clutches controlled by the current acting on registration.
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