Installation de statistique utilisant des feuilles perforées. La, présente invention a. pour objet une installation -de statistique utilisant: des feuil les perforées et qui comporte un certain nom bre .de dispositifs permettant de réaliser les quatre opérations arithmétiques, caractérisée par un dispositif permettant clé comparer les indications données sur deux feuilles, -de lire certaines indications de l'une -(les feuilles d'après des indications données par l'autre, de transporter les indications lues dans un dispositif traducteur au moyen .duquel ces indications,
transmises à. partir -des feuilles perforées, sont enregistrées sur le clavier d'une machine à calculer et soit transportées sur les tambours chiffrés de cette dernière pour être utilisées, suivant les besoins. pour une opération arithmétique quelconque, di vers dispositifs étant prévus pour agir sur l'enregistrement, suivant les indications don nées par certaines feuilles perforées. et effec tuer automatiquement les opérations voulues lorsque une série de ces feuilles est épuisée.
Le dessin ci-annexé représente, schémati quement et à titre d'exemple, une forme d'exécution d'une installation selon l'inven tion, ainsi que quelques variantes de détail.
La, fi-. 1 est une représentation schéma tique d'un appareil -clé statistique appliqué à la commande d'une machine .à calculer; La fig. 2 montre le ,dispositif de solid.ari- sation :des poussoirs avec le cadre mobile; La fig. 2bis représente le dispositif d'em brayage des cames avec l'arbre de commande; La fi@g. 3 est un schéma de connexions d'un traducteur sans relais;
La fig. 4 est une forme d'exécution spè- ciale du -dispositif représenté fig. 3; La fig. 5 est un schéma de montage du relais de sécurité; La fig. 6 est un schéma .de montage pour la vérification de l'identité -clé @cleux nombres; La fjg. 7 est. un schéma. de montage pour la comparaison des valeurs relatives de deux nômbres formés d'un seul chiffre;
La fïg. 8 est un schéma de montage pour la comparaison des valeurs relatives de deux nombres formés de plusieurs chiffres; La fig. 9 représente schématiquement un dispositif de lecture 4.e barème; La fig. 10 représente la disposition des groupes de pastilles conductrices sur la pla que de lecture de l'appareil à barème; La, fig. 11 montre le dispositif de lecture d'un élément d'un barème;
La fig. 12 représente le schéma du mon tage permettant la totalisation automatique après épuisement -d'un paquet de fiches triées suivant un paramètre ;déterminé; La fig. 13 est un dispositif pour la to talisation -de totaux partiels; La fib. 14 est un schéma,de montage d'un dispositif d'inscription et @d'a,ddition sur une machine à additionner imprimante;
La, fig. 15 est un schéma de montagé d'un :dispositif :d'a:ddi1ion sur une machine à calculer La. fi; a. 16 est un schéma de montage d'un dispositif de transcription des résultats il- 1:i machine à. calculer sur la machine à. addi tionner; La fi-. 17 est un schéma, de montage d'un dispositif de multiplication sur une machine à. .calculer; La fig. 18 est un schéma. de montage d'un dispositif -de dimsion sur une machine à cal culer.
La. machine à additionner est surmontée (fig. 1) d'un bâti muni d'autant cle tiges verticales telles que t, qu'il y aura, de tou ches telles que T, sur cette machine (neuf par colonnes); chaque tige vient appuyer sur une touche et peut. être, par l'action -d'un électro convenable, rendue solidaire d'un ca dre C qui pourra, en temps opportun. être abaissé par l'action :de la :
bielle R, actionnée par la came Q, et, par conséquent, enfoncer la. touche correspondante.
Les tiges t et le cadre C sont rendus soli daires par le dispositif suivant fig. 2.
En électro polarisé E, constitué par exemple par un aimant tVS muni entre ses branches d'une bobine E dont les enroule ments seront fixés plus .bas, porte une arma ture clé fer doux articulée en- A et tirée par un ressort R. A cette armature est fixé un prolongement terminé par un anneau a.
Dans cet anneau peut coulisser une tige pivotée en p sur le cadre C et terminée par une four chette<I>f.</I> D'autre part, la tige t est munie d'un disque d reposant sur un ressort r. Lors que l'électro E lâche son armature, la four chette f vient prendre entre ses dents la ti'e <I>t</I> au-dessus du .disque <I>d</I> et lorsque le cadre C s'abaissera, il en sera de .même de la tige t. et de la, touche T.
Au contraire, si l'électro E n'a pas lâché son armature, la fourchette f passe à. côté du :disque d. Dans tous les cas la queue de la fourchette f coulisse dans l'an neau a.
Quant à. l'abaissement du cadre-C. il est obtenu ainsi: un arbre à cames C (fig. 9bis) mû par un moteur, porte, enfilées folles sur lui un certain nombre de .cames ne -différant que par le profil et les dimensions. mais pou vant être embrayées sur lui par le .dispositif suivant: un noyau plongeur P déplace vers la gauche un système de :barres b;
-dans ce mouvement un galet g, quitte une cavité tic, bloquage e ménagée :dans un disque s.olidairo ,de la came Q, puis un embrayage à zriff@- (ou à friction) l claveté sur l'arbre C vient en prise av. ,, les d-Pntures (ou le plateau) soli -daires -de la came Q;
en outre, un galet g= vient se placer dans la gorge (dont le rebord extérieur est interrompu en un point convena ble) d'une roue à ;gorge i également solidaire de la came Q, de sorte que, si le courant cesse de passer dans le plongeur P, les barres b ne pourront sous l'action -du ressort R'. opé rer le débrat-a;e que lorsque la came .Q aura effectué un tour c:omlrlet.
L'arbre C est représenté comme portant (fil-. 1) cinq cames :dont les rôles sont: Q, -d'abaisser le cadre; Q_ d'abaisser la, touche d'un totalisateur: Q@ d'.aba.isser la. touche d'un second totali sateur; Q, d'abaisser la. touche d'enregistrement ,du nombre inscrit; Q.; d'agir sur des tires n (fig. 2) munies d'ergots e ayant pour but de ramener les ar matures sur les électros E.
Il importe maintenant .de décrire la façon dont s'opère la traduction -des perforations. Bien que dans la. machine à. additionner cha- que colonne ne comporte que neuf chiffres, cette trajductiun sera envisagée dans le cas ;én ral,c'est-à-dire pour quatorze combinai- S,ons possibles.
Le dispositif qui va être décrit permet la traduction au moyen de quatorze électron po larisés tels que E (fig. \?) sans aucun relais; flans ce but, chacun clé ces électron comporte quatre enroulements distincts et est monté, comme il va, être -dit, en dérivation sur les quatre fils correspondant aux quatre perfora tions possibles; soient<I>a., b. c, d,</I> ces quatre fils et Ex, E2, . . .<B><I>El,</I></B> les quatorze électron (fig. 3).
Dans l'électro El, la dérivation prise sur le fil a est montée de façon à, produire un champ démagnétisant, tandis que les dériva tions prises sur les trois autres fils sont mon tées en sens contraire. Par conséquent, le décollage clé l'armature ne pourra. se produire que si le courant vient du fil a et de celui-là seulement.
Dans l'électro E_ ce sera la dérivation prise sur le fil b qui agira. . Dans l'éle.ctro En seule la, dérivation ve nant de c sera active.
Dans l'électro E; ce sera la dérivation vinant clé d.
Dans l'électro E;, les deux dérivations ve nant respectivement de n. et b seront. .déma- ,gn6tisantes, les deux autres étant de sens con traire:
d'autre part. la tension du ressort de rappel P (fig. 2') devra, être moitié de celle des ressorts des quatre premiers électron de façon que le décollage ne -puisse avoir lieu que lorsque les deux enroulements actifs sont .simultanément parcourus par le courant.
Dans les électron E,, <I>E;, ER,</I> Eq. Elo. ce >,ont respectivement les groupements de déri- val:ions ac. <I>ad. bc. bd, cd,</I> qui f, vont décoller les armatures.
Enfin, -dans les 'electros Èll, E12, E12. <B><I>El,</I></B> les trois enroulements<I>abc,</I> abd, acd, bed se ront respectivement .démagnétisants et les res sorts de rappel @de :leurs armatures seront ré- ,;lés de façon que les trais courants actifs soient nécessaires pour :causer le décollage.
leur tension -devra donc être le tiers de celle des éle.ctros El, E2, E3, E4.
Une variante du dispositif précédent qui a pour but d'éviter les erreurs qui pourraient se produire en cas de -déréglage d'un ressort ou de variation dans le magnétisme des élec tron est représentée sur la fig. 4.
On peut tout -d'abord remarqu er qu'il est évident que si un déréglage peut permettre à un électro ne :devant fonctionner que dans le cas où deux circuits sont parcourus par un courant de fonctionner sous l'action -d'un seul par suite -clé 4éma,,om6tisa.tian de l'aimant, l'inverse ne pourra avoir lieu et jamais ce phénomène n'aura pour effet de faire fonc tionner un des électron El<B>...</B> E14 sous l'a,
c- tion de deux courants -opposés. Dans ces con ditions, il serait avantageux ,de disposer les montages de telle sorte que, si par exemple le courant a passe dans l'électro El, il ne puisse passer aussi dans ceux qui doivent fonctionner sous son action et celle d'un ou plusieurs autres.
Dans ce but, les fils<I>a., b,</I> c, d, passent respectivement par des rupteurs commandés par les armatures des électron El, E2, E3, E4, avant que n'y soient branchées les dérivations ,des électron E;,. E,,. . . El,,. Il en résulte que, puisque même en cas de déréglage les res sorts clés premiers seront plus tendus que eux des seconds, les armatures de El. E2, E;, E4, seront lâchées les premières et couperont le courant devant se rendre dans .les suivants.
Il est d'ailleurs facile de régler les inerties des électron de façon que ce résultat soit atteint à. coup sur. On pourrait même pré voir sur l'arbre de la machine plusieurs rup teurs qui produiraient ces actions successives et éviteraient par là :les étincelles possibles aux bornes de ceux que commandent les élec- tros E.
De même, avant d'être munis @Îles d'ériva.- tions alimentant les électron El,, E12, El -#. El,, les fils<I>a, b,</I> e, <I>d</I> passent par les doubles rupteurs commandés par les armatures des électron E;
à El,,, chacun de ceux-ci pouvant couper les courants dont les dérivations les alimentent, tous les rupteurs relatifs à un même courant étant montés en série. Dan¯ ces conditions les électros E,,. E,_, <B><I> & </I></B>, E,.l ne pourront, en aucun cas, fonctionner sous l'a.etion de deux courants seulement.
Il est bien évident que chaque fois que la. traduction n'.aizra, à être faite que -dans le système :décimal, les rupteurs actionnés par les électros E;, à. El" seront inutiles et pour ront être supprimés.
Pour plus de clarté dans le dessin (fi:g. :I), seuls les circuit produisant la. chute des armatures ont été représentés, à l'exclusion des autres circuits et,du fil de retour commun à tous les circuits. Relais <I>de sécurité. - Zéros.</I>
Ce second dispositif représenté sur la fig. d a. l'avantage -d'éviter les erreurs dues à un dé:réglage toujours possible, mais il a l'inconvénient d'introduire un certain nombre (le ruptures de courant dans des circuits à self élevée, d'où éventualité de détérioration des contacts et consécutivement de ratés, sauf dans le cas indiqué ci-dessus où plu sieurs rupteurs mécaniques auraient été pré vus.
On peut très simplement parer à. e..# -danger de la, façon suivante: Supposons par exemple que les circuits a et b soient parcourus par un courant, mais que, par suite de ,la :détérioration !du rupteur de l'électro El, le courant a n'arrive pas jus qu'à E;; ce dernier, à moins de :d-éréalago bien improbable (à moins que l'appareil ne soit tout à fais: en mauvais état), ne pourra fonctionner puisqu'il ne sera. alimenté que par le seul courant a:
d'autre part, El qui recevra, à la fois le courant a et, dans le sens contraire, le courant b, ne fonctionnera pas non plus; par conséquent, tout mauvais contact à un rupteur aura pour Pffet:d'empêcher le fonc- l-ionnement -de l'éleetro en cause sans en faire fonctionner un autre. Cette remarque faite, on voit donc qu'il suffira. d'être sûr que, dès qu'un .circuit a,<I>b,</I> c <I>ou d</I> est parcouru par un courant quelconque, un des électron a lâché son armature.
D'autre part, d'après la méthode exposé- au début de cette description, il faudra. que, lorsque les électros traducteurs auront fini de fonctionner, un circuit s'établisse pour eomma.nder l'abaissement :du -cadre C; or, au moins dans le cas où les électros traducteurs commandent un clavier de machine à, addi tionner ou à calculer, il n'y a aucune touche pour le zéro.
Il faut donc prévoir un dis positif qui permette, lorsque le chiffre d'une colonne à. traduire est un zéro, -de disposer également d'une fermeture -de circuit, qui, mise en série avec celles dont auront ét,'# pourvus les électros traducteurs des autres colonnes, permettra. de disposer ;d'un :cirauil continu agissant sur l'électro d'embrayage d.,- l'-abaissement du cadre C.
Chacun des électros traducteurs E com mande un rupteur C dont la. fermeture est produite par les arma.lure:. rlesclitélectros E. Les rupteurs Cl à C,, sont montés en déri vation pour tous les électros El<B>...</B> E14 :d'une même colonne et chaque groupe correspon dant à une colonne est monté en série avec les groupes des autres colonnes de façon à obtenir à. coup sûr le résultat cherché. à sa voir que le fonctionnement d'un électro quel conque ;dans chaque colonne permette la fer meture d'un circuit.
Cela. posé, le fil de retour des quatorze électros (réduits en général à neuf) traverse un relais Rp (fi;. 5) qui ferme lui-même le circuit d'un relais RS à trois circuits -dis tincts, égaux. montés deux dans un sens. et ](,troisième en sens opposé.
Le premier île ces enroulements est excité lors de la fermeture f'un rupteur Y dès qu'une fiche est soumise à l'a'na'lyse.
Le second @de, même sens que le premi-r est celui qui est fermé par les contacts c por tés par les armatures des électron E.
Le troisième est celui qui est commandé par le-relais Rp, excité lui-même par ce cou rant traversant les électron E.
Dans ces conditions: a) 'Si un courant vient des contacts n, passe .d'ans l'électro R8, c'est que, d'après la remarque ci-.clessus, un de ces électron a reçu un courant qui, par conséquent, traversera aussi RS. Celui-ci attirera donc son .arma- ture puisqu'il recevra deux courants actifs et un de sens inverse.
b) ,Si aucun courant ne vient des contacts c par suite @de non fonctionnement d'un é@ec- tro E consécutivement à un mauvais contact de rupteur, RS recevra tout -de même le eou- rant, lorsque l'électro E fonctionne et, ali menté en conséquent par deux courants in verses, il n'attirera pas son armature.
c) Le chiffre à traduire dans la colonne est un zéro. Dans ce .cas seul le premier cir cuit est parcouru par un courant et l'arma ture est attirée.
Il suffira danc de mettre en série tous les contacts tels que<B>150</B> fermés par les ar matures des relais RS correspondant à cha que colonne et -de faire fonctionner par le circuit ,ainsi formé l'électro (Fembrayage de l'abaissement du cadre C pour être sûr que ce mouvement ne puisse avoir lieu qu'après que la tige .correspondant à la touche voulue aura été prise par la fourchette f. et qu'il aura lieu même si dans une colonne il y a un zéro.
Ce résultat n'aurait pu être obtenu en mettant, comme i1 a été dit ci-dessus, pour plus de simplicité, en série les groupes de contacts c. Le relais RS ne pourrait fonc tionner si son troisième .circuit était par couru par les courants d'intensité variable traversant les électros E ayant dû fonction ner; c'est la raison pour laquelle on a prévu un relais préliminaire Rp alimenté par ce courant variable et formant uii circuit à Té sistance fixe traversant le relais RS.
L'installation de statistique représentée comporte en outre un certain nombre de idis- positifs que l'on va décrire .ci-dessous.
<I>I. Dispositif de</I> comparaison <I>de</I> de-rex, -raoîyzb?-es <I>représentés par des</I> perforations.
En premier lieu, il s'agira, de lire dans un barème les indications correspondant aux données fournies par les perforations des fiches. Bien entendu, le barème sera. lui même constitué par une feuille perforée; avant tout il y a lieu -de résoudre les pro blèmes suivants: a) Vérification de l'identité ides deux nombres.
b) Comparaison -de la. valeur relative de deux nombres.
a) Cette vérification peut se faire de la façon suivante- 1o soient d'abord des nombres formés d'un seul chiffre (dans le système quadridzcirna.l).
Deux feuilles portant les perforations cor respondant aux nombres à .so,mparer sont pla cées sur les plaques :dr; contact, sous les pei gnes, soit par exemple en. K et en K' (fig. <B>6).</B> Les quatre fils -de chaque .plaque -de contact sont reliés respectivement aux enroulements de quatre .électros à deux enroulements con traires. Les armatures de ces ëlect_ros ont.
pour effet -de fermer une -dérivation prise sur deux fils FI et F, quel ou quels que soit ou soient le ou les électros ayant attiré son ou leurs armatures. Il est bien évident que si les deux chiffres à comparer sont identiques, chaque électro recevra. du courant dans ses deux enroulement .et n'attirera pas sa palette;
au contraire si les deux figures formées par les perforations sont différentes, un au moius des électros attirera son armature et le cir cuit F,-F2 sera fermé par la dérivation cor respondante.
Si maintenant les .deux nombres à com parer comportent plusieurs chiffres, il faudra autant -de b pupes de quatre électros qu'il y aura @de chiffres et tous les rupteurs com mandés par ces divers électros seront mon tés en dérivation sur les fils F,.-F.. Le cir cuit F,--F. ne pourra.
être ainsi fermé que dans le cas où l'ensemble des chiffres en K ne sera pas identique à l'ensemble des chif fres en W et il ne le sera, pas clans le cas contraire, c'est-à-dire si les -deux nombres à comparer sont égaux.
b) Comparaison de la. valeur relative de deux nombres. Le dispositif utilisé (fig. 7) comporte deux jeux de pointes palpeuses -1 et B et deux rhéostats potentiométriques (' et D formés chacun -d'éléments -de résistance <I>r,</I><B>...</B> r14 @et <I>r',</I><B>...</B> y'14. Ces éléments sont con- nectés à.
des rupteurs oomma.ndés par des re lais 1, 2, 3 et 4, respectivement l', 2', 3' et 4' dont les bobinages sont reliés individuelle ment .aux pointes palpeuses -des deux jeux 21 et 13. Chaque relais commande autant de rupteurs qu'il y a d'éléments -de résistance dans chaque rhéostat.
De plus, chaque rup teur est relié en série avec les rupteurs homo logues des autres relais, c'est-à-dire avec les rupteurs des autres relais qui .correspondent tous au même élément de résistance. Le,cou- rant venant des résistances -devra donc tra: verser toujours quatre rupteurs en série avant. d'arriver à un fil commun aboutissant à un enroulement d'un relais différentiel Z dont l'autre enroulement est relié de la même ma nière à l'autre rhéostat.
Dans l'exemple représenté, on a admis que les chiffres sont représentés par quatre perforations au maximum, perforations qui peuvent former quatorze combinaisons diffé rentes telles que celles que montrent la fig. 7a. A chaque perforation correspo-nd une pointe pulpeuse reliée à un relais. Il y a donc deux jeux @de quatre pointes et ideux groupes de quatre relais 1, 2, 3 -et 4 respec tivement l', 2', 3' et 4'. Chaque relais com mande .autant & rupteurs qu'il y a de com binaisons possibles, soit quatorze au cas par ticulier.
Chaque rupteur constitue un com- mutateur à quatre plots dont deux sont tou jours reliés, que le relais soit excité :ou pas. Chaque premier rupteur d'un relais est relié en série avec tous les premiers rupteurs des autres relais du même groupe; chaque second rupteur est relié avec tous les seconds rup teurs :des autres relais du .même groupe, etc. ,jusqu'au quatorzième. -Un groupe ide relais commande donc cinquante-six rupteurs reliés en série quatre à quatre et qui forment qua torze circuits dont .les entrées sont reliées chacune à un élément de résistance et dont les sorties sont toutes reliées au relais Z.
Les rupteurs en série sont reliés de telle façon que pour une oombinaison donnée ides perforations il n'y aura, qu'un seul circuit fermé entre les rhéostats potentiométriques et les fils d'entrée du relais X.
Supposons maintenant par exemple que 'te chiffre lu par les pointes du jeu A comman- < l.ant les relais 1, =2, 3, 4 soit 6, tandis que le chiffre lu par les pointes -du jeu D com- mandant les relais l', 2', 3', 4' soit 9.
Si l'on appelle Y la tension aux bornes de la pile et i le courant parcourant le fil .des potentio mètres entre x et y, d'une part, et .r' et -d'autre part, on .aura.:
EMI0006.0038
En conséquence, la différence,de potentiel entre le point C et le -point y sera:
EMI0006.0041
tandis que la différence de potentiel entre C' et y' ne sera que:
EMI0006.0042
Il est donc visible qu'un courant .allant de D en D' parcourra l'électro Z ;dans le sens D D' et l'armature ,de Z prendra une position donnée.
De même, si ,le chiffre lu par les peignes dans le système 1, 2, 3, 4 avait été supé rieur au chiffre lu par les peignes dans le système 1.', 2', 3', 4', le courant parcourant Z aurait été de sens contraire et l'armature de Z aurait pris une position contraire<B>à</B> celle @du cas précédent.
Enfin, si les deux chiffres avaient été égaux, il n'y aurait eu aucune différence cb- potentiel entre les points D et D' et par suite aucun courant dans l'électro Z, l'armature restant alors dans la position médiane.
Les trois positions de l'armature :de Z sont utilisées pour signaler, soit l'identit@#- (position médiane), soit l'inégalité positive ,ou négative de deux nombre (position ex trême).
20 Comparaison ide la valeur relative<B>de</B> nombres comprenant deux chiffres (fi-. 8). A chaque chiffre correspondra un group, sélectionneur comme -ci-dessus (non représenté sur la figure) avec respectivement les deux relais Z,. et Z2; le groupe Zl correspondra aux quatorzaines, le groupe Z. aux unités (système quadridécimal).
Ici, une parenthèse s'impose. On a vu plus haut que les chiffres sont représentés, dans le cas de l'exemple décrit, par quatre perforations susceptibles de former quinze cam:binaisons différentes. Or, dans le sys tème décimal, on ne dispose que de .dix chif fres -différents.
Avec quatre perforations il y aurait -donc cinq combinaisons perdues.<B>011</B> Li donc, au ,lieu du système décimal, auopM 1e système quintidécimal -où les nombres de 10, 11, 12 et 13 et 14 sont remplacés par les signes A, E, <I>J,</I> D et E et sont considérés comme étant encore des nombres formés d'un chiffre.
0n réalise ainsi une grande écono mie de colonnes, respectivement -de place sur les feuilles où les nombres sont représentés par des perforations. <B>011</B> parlera donc de quinzaines ou bien -de dizaines. Dans cer tains cas, la quinzième combimiison compre nant quatre perforations devra être aban- -donnée, 'car elle correspondrait @au cas où aucune feuille ;perforée ne se trouverait dans <B>la</B> machine.
On aura donc plus que quatorze signes -désignant quatorze nombres et on par lera alors .de "quatorzaines". La quinzième, coambinaison peut être maintenue si on pré <I>-voit</I> un dispositif spécial permettant de dif férencier le cas de quatre perforations et le cas où aucune feuille ne se trouve .dans la machine. (Emploi d'une cinquième pointe pal- peuse qui touche les feuilles là on il n'y a jamais de perforations.) Le dispositif @de comparaison ide la valeur relative :de deux nombres est le suivant:
Le plot mort de Z, est relié au pivot ide la palette Z=;, les deux autres plots de Z, et <B>7,2</B> sont respectivement montés en dérivation.
,Supposons des valeurs de chiffres .de "1 à quatorze" telles que la palette _d, soit re poussée vers B,, il en résulte un courant uti- lisaible de A vers B et il est visible que ?, n'intervient pas. Supposons au contraire que les deux chiffres des "quatorzaines" soient égaux, la palette <B>-A,</B> reste au plot mort et c'est Z.. qui décidera si l'on disposera d'un courant .allant de<I>A</I> vers<I>B</I> .ou de A vers C.
On devra régler les relais de façon que Z, fonctionne avant Z= pour éviter l'étincelle en A, et les risques :d'oscillation dans les cir cuits d'utilisation. Etant :donné la surcharge considérable que peuvent supporter les enroulements Z, il serait .avantageux ide prévoir dans les circuits d'utilisation -des dispositifs tels que le eou- rant qui .les traverse soit coupé dès qu'ils ont fonctionné.
30 Comparaison de la valeur relative de nombres de plus de -deux chiffres.
On disposera d'autant de relais Z qu'il y aura -d'ordres d'unités dans les nombres et le montage des connexions secondaires sera ana logue à ce qu'il était dans le cas précédent, c'est-à-dire qu'un fil d'arrivée est branché au pivot de la palette du premier relais à gauche, le plot mort de celui-ci au pivot de la palette de son voisin de droite et ainsi -de suite, tous les autres plots étant reliés en ;dérivation sur les .deux autres fils.
II.<I>Lecture de</I> barèmes <I>ou tarifs.</I> ('laçons-nous dans .le cas le plus général de barèmes à double entrée; le problème con- siste en ceci: La fiche perforée indique la ligne et la. colonne -du barème, i1 faut alors que le nom bre placé à l'intersection de celles-.ci soit pris par les machines à calculer -et utilisé comme il convient.
Il suffira pour cela. que ces -der- iiiers appareils soient reliés par cordons sou ples aux quatre fils ide la plaque @de contacts du bareême et que les circuits convenables soient fermés par les peignes de lecture sur le bon nombre -de ce barème.
Les barèmes :devront être constitués par ,les feuilles perforées :dont chaque page com portera quatorze colonnes de quatorze nom bres chacune, soit au total cent quatre-vingt seize éléments. La lecture nécessitera .donc clans le cas le plus général.
10 la recherche de la page comprenant le nombre à lire: 20 la recherche de ce nombre. dans la. page considérée.
Pour fixer les idées, supposons qu'il s'a- ,,nsse,d'un barème donnant les ,distances hil.o- métriques des gares d'un réseau deux à deux; il est bien évident que si le nombre des gares est de 14n -f- p, le nombre des pages du ha- rême sera de (n + 1)2 avec<I>(p < 14).</I> Cha que page comportera un double numérotage, l'un pour les lignes, l'autre pour les colon nes.
Si par exemple n -i- 1 est supérieur à 14, le numérotage sera constitué par :des nom bres de deux chiffres qui seront inscrits sous forme @de perforations sur chaque page .du barème.
'foutes lies pages seront placées à la suite les unes des autres de façon à former soit une bande -de papier enroulée sur un axe à chaque extrémité si la bande est suffisam ment longue, soit simplement une bande sans fin tournant sur les rouleaux si elle est suf fisamment courte. Dans le premier cas, il y aura évidemment lieu ide faire déplacer la bande dans un sens ou dans l'autre, tandis que .dans le second il suffira que celle-ci se déplace toujours dans le même sens.
L'appareil sera constitué ,ainsi qu'il suit: (fig. 9) une bande de papier perforé consti- tuant le ba.rême portant sur ses bonds des trous de repérage se déroule, entraînée par les cylindres<I>T</I> et<I>T'</I> en passant sur une plii- que de contacts K.
Cette plaque est formée par une masse de matière isolante portant autant de,pastilles métalliques incrustées qu'il y .a de perforations dans une page ;du b@arême considéré, soit, s'il s'agit .d'éléments à trois chiffres (dans le système quadridécimal), douze fois cent quatre-vingt seize ou ideux mille trois cent cinquante-deux. Dans cha.quc, groupe de douze pastilles, chaque pastille peut être désignée ainsi qu'il est fait fi,g. 10.
Toutes les pastilles .du même nom sont mo.n- tées en dérivation sur trois groupes de quatre fils aboutissant à douze jadis.
Sur ces cent -quatre-vingt seize groupes de douze pastilles vient s'abaisser un cadre C' portant cent quatre-vingt seize peignes de douze tiges formant des groupes de ti-ges non isolées, mais chaque groupe étant lui- même isolé.
Enfin, au-dessus de ce cadre et portées par le bâti de l'appareil se trouvent respectivement parallèles aux deux côtés -de la page idu harêmedeux groupes :de quatorze barres telles que B; et B'i portant chacune quatorze ressorts ri et r'i convenablement orientés et munis de contacts à leurs extré mités (fig. 11).
Les ressorts de D'; sont iso lés de celle-.ci et chacun est connecté par un fil souple avec le peigne de douze tiges placé au-dessous de lui;,au contraire, les ressorts de Bi ne Bout pas iaolés de L'i. Normalement les barres Bi et B'i sont maintenues eu place par des électros, tels que Ei et<B>Fi,</B> identi ques à ceux qui ont .été décrits plus haut pour la traduction des perforations.
Lors qu'un électro Ei et un électro E'i reçoivent du courant, les barres Bi et B'i correspon dantes sont -déplacées longitudinalement sous l'action de. ressorts Bi et R'i et les ressorts ri et -'i placés au point de croisement de Bi et B'i viennent en contact fermant par la masse le circuit de retour des douze fils:
<I>a,</I> b, <I>c. d;</I> U', b', <I>c',<B>d</B>;</I> d', <I>b",<B>Ci/,</B> d".</I>
Les douze fils correspondant aux pastil les:<I>a,</I> v, c, d,.. <I>. .</I> d', !l', C'", <I>d"</I> (toutes mon tées en parallèles) sont reliés par des .cordons souples aux électros traducteurs -de trais chif fres de la machine à calculer sur laquelle les données fournies par le barème doivent être transportées.
D'autre part, les éle-etros tels que Zi, Z= .correspondant au numérotage des lignes et ceux correspondant aux colonnes sont montés comme l'indique la fi:g. 8 en sup posant que les deux nombres de deux chif fres ainsi formés ne constituent qu'un seul nombre :
de quatre chiffres, car il est bien évident qu'il est nécessaire que ces deux nom bres à la. fois soient identiques à ceux due porte la fiche pour que l'appareil s'arrête et que les troisièmes chiffres puissent intervenir. Enfin, dès ce moment ces troisièmes chiffre devront alors intervenir et faire fonctionner les électros Ei et L,71. Pour cela le fil de retour commun à -ces vingt-huit él.ectros est connecté avec le plot mort du dernier électro â. droite Z.
Dans ces conditions, si, par une inertie .électrique ou -mécanique -croissante ou par tout autre moyen approprié, la vitesse :de fermeture des électros Z est décroissante de telle sorte que ceux-ci fonctionnent succes sivement, il est bien évident que les électms tels que Bi et E'i n'agiront que lorsque le barème aura-la plage convenable sur lia pla- que de contacts.
Il va,de soi qu'il sera néces saire @de disposer les pages @du barème !de fa çon que les numérotages soient toujours crois sants dans le sens des lignes et en même temps des colonnes pour que les électron Z n'aient pas à entraîner<B>la.</B> bande -dans deux sens .opposée.
Le dispositif le plus simple pour l'entraî nement de la bande est un dispositif analogue à celui décrit fig. 2bis (.,comportant un .dou- ble embrayage pour pouvoir fonctionner dans les deux sens), les dimensions étant tel les qu'un tour corresponde au passage d'une page à 1a suivante avec soulèvement pr6a- la!ble des peignes pendant le mouvement.
Si le barème ne comporte que quelques pages, il pourra, comme il a été dit ci-dessus. être constitué par une bande sans fin; dans ce .cas, il sera inutile que l'entraînement se fasse dans les deux sens et par suite, on pourra remplacer le dispositif -de comparai son des valeurs relatives des numéros des pages par le simple dispositif de comparai son de l'égalité.
La mise à la masse du circuit -de retour des fils<I>a., b, c. d,</I><B>...</B><I>a", b", c", d"</I> aura pour effet de faire fonctionner les électron traducteurs de .la. machine à calculer ou â .
additionner qui fonctionnera comme si les indications qu'elle reçoit avaient :été directe ment fournies par la fiche.
Enfin, un relais convenablement placé, par exemple sur le circuit fermé par les re lais de sécurité -de la, machine, coupe tous las courants .ayant fait fonctionner l'appareil à barème.
Pour mieux faire comprendre le fonc tionnement du ,dispositif -de lecture des ba- rêmes, on a représenté schématiquement, fig. 9a et 9b une partie ,de l'installation cosn- prenant des dispositifs ides fig. 3, 7, 8 et 9.
En fig. 9a, on voit un peigne triple P,<I>C, L</I> placé au-dessîis d'un groupe de douze pastil les a, b,<I>c, d; a', b', c', d'; a!',</I> b", c" et ,d". Ces peignes et ces pastilles appartiennent à un dispositif .de lecture des indications four nies par les fiches. Le peigne P sert à explo- rer les perforations représentant les numéros des pages du barème.
Les pastilles corres pondantes<I>a.,</I> b, c et d sont reliées, comme déjà décrit en regard de la fig. 7, .aux relais 1, 2, 3 et d du dispositif de comparaison de la grandeur relative de ideux nombres, ido ni. dépend le relais Z. Ce dernier est relié par <I>D</I> et<I>D'</I> aux rhéostats potenhamétriques et par y au pôle de las batterie. Les peignes C et L servent à explorer les perforations re présentant les numéros des colonnes C et des lignes<I>L</I> du barème.
Les pastilles<I>a,'-.<B>K</B></I> c' et d' correspondant au peigne C sont reliées aux électron El commandant les barres B; du dispositif de lecture des barèmes. Les pas tilles<I>a", b", c" et d"</I> ,oorrespondiant au peigne L sont reliées aux électron E'; commandant les barres B'; dudit dispositif. Un rupteur Z,,, placé avant les peignes <I>C et L</I> est actionné par le relais Z lorsque celui-ci s'arrête en position médiane.
En fig. 9u, 'les pastilles désignées par a, <I>b, c,</I> ci, <I>a', b', c', d'</I> -et<I>a",</I> b", c" appartien nent au dispositif d'exploration @du harême. Les pastilles sont reliées aux électron El à E,,, -du traducteur décrit .au début du pré sent exposé. La fig. 10a représente deux jeux Ide perforations d'une fiche et la.
fig. 10b un fragment ,d'un barème idont une page est limitée par les lignes x-.r'; <I>t</I> dé signe les perforations représentant le numéro de cette page et T les perforations représen tant les nombres à. lire dans le ibarême.
Une fiche portant les indications de la partie de gauche de la fi@g: 10a étant intro duite dans le dispositif .de la fig. 9a, le nom bre correspondant aux indications de cette fiche est lu clans le barème. En se référant à la. fig. 7a, on voit que les perforations re présentent le nombre 529 qui signifie: lire à, la page 5 -du barème le ,nombre se trouvant dans la colonne 2, ligne 9.
(P signifie page C. colonne et L, ligne.) !Supposons cette fiche remplacée par une autre portant le nombre 296. Pour chaque page ,du barème. la, plaque C' (fig. 9) s'abaisse puis se relève sous l%etioon d'un mécanisme ad hoc.
La page 5 explorée lors,de l'opération précédente étant encore en place lorsque la fiche a été changée, le peigne P explorant la ,fiche trouve le chiffre 2, tandis que le peigne P :du @dis- positif de lecture du barème trouve le nom bre 5. Le dispositif ide comparaison :de la grandeur relative de deux nombres entre aussitôt en fonction et agit sur le relais Z.
Ce dernier déplace son armature dans un sens tel que la bande L & la. fig.. 9 se ,dé placera de la longueur d'une page du barème dans le sens de la flèche B -(fig. 9) dès que la plaque C' se sera relevée. En même temps, le rupteur Z_. (fig. 9a) empêchera qu'aucun courant ne passe .dans les .électros Ei et L;', les .barres Bi et Bi' restant au repos.
Le même jeu se répètera tant que ilia page voulue ne sera pas parvenue entre les plaques K et C' (fig. 9). Dès que cette page est en place, les .deux peignes P @du ,dispositif .de comparai son de la grandeur relative de deux nom bres rencontrent les mêmes perforations, le relais Z reste en repos, son armature étant maintenue entre les 'plats ?i et z_ comman dant les déplacements de la bande,
du barème et le rupteur Z3 se ferme. A ce moment, le courant pourra parvenir par celles des pas tilles<I>a',</I> b', c',<I>d'. a", b", c" et d"</I> qui sont touchées par des pointes des peignes<I>C et L.</I> Les électros Ei et Ei' correspondants lâche ront leurs armatures et la neuvième,des bar res<B>El</B> ainsi que la sixième des barres E,' se déplaceront sous l'action des ressorts Ri et Ri'.
Le sixième ressort id'e la barre Ei ren contrera le neuvième ressort de la barre E'i et le courant parviendra dans les peignes d'exploration du barème (fig. 9b). Ce cou rant passera. par celles des pastilles qui au ront été touchées et parviendra aux électron El à El° 4u traducteur.
Ces étectros fonc- tionneront comme ,déjà, :décrit et provoqueront par l'abaissement @du eaidre C (fig. 2) l'abais sement :des touches correspondant .aux chif fres :du nombre lu à la page 5 du barème. colonne 9, ligne 6.
On peut profiter 4u barème pour rempla cer simplement la numérotation quadridéci- male, si avantageuse à tant de points @de vue, par la numérotation décimale qui seule pourra, être transcrite sur une machine additionner, -.da.ns le cas où l'on voudra faire figurer sur la feuille :d'impression de celle-ci les indications :concernant le :
barème fournies par la fiche (par exemple le nom des gares expéditrices et réceptrices @d:ans le cas parti culier envisagé plus haut). Il suffit pour cela que chaque page porte, à côté @de son numé rotage quadridécimal un numérotage décimal perforé, :qui, lui, sera. transporté sur la ma chine à @additionner aux lieu -et place de celui :de la fiche.
Avant d'exposer le fonctionnement des dispositifs d'addition, de soustraction, d2 multiplication et de -division, il y a lieu de ,décrire sommairement les machines qui se- ront employées dans ce but ainsi que,de dire quelques mots :du porte-fiches.
<B>10</B> L'additionneuse, contrairement .aux in dications @du ,brevet suisse no 130276 du même inventeur .devra être une addition neuse à clavier complet, @c'est-à-:dire compor tant autant,de fois neuf touches qu'il y a des cotonnes :dans la machine. Elle sera comm-in- dée comme il a été idit ci-,dessus.
<B>20</B> Le type de la machine à calculer eni- ployée est la machine "@!Iétal" à déplacement de chariot et division automatiques et à. mul tiplication semi-automatique.
Cette -machine, :du type Payen perfec tionné comporte: a) un clavier :à touches pour l'inscription des nombres à :additionner, soustraire, multi plier ou,diviser; b) une pédale :d'enregistrement électrique faisant monter le nombre inscrit du clavier au totalisateur; c) une touche .d'e vidage :du clavier; <I>d)</I> un levier -AH-SD (addition, multipli cation, soustraction, division); c) un levier A-M (addition, soustraction.
multiplication, :division) qui a pour effet', lorsqu'il est en A de faire vider le clavier matiquement lorsqu'on appuie sur la pé- :LUtm ,da.le :d'enregistrement; f) un clavier .accessoire de mn ltiplication automatique.
C'est en appuyant successive- ment sur les touches @de ce clavier de neuf tou- ch-es les ,chiffres du multiplicateur (en com mençant par la gauche) que la multiplica tion se fait, la touche restant abaissée pen dant la durée de fonctionnement jusqu'après déplacement automatique du -chariot; g) une touche, @complémentaire à ce der nier clavier, qu'il suffit d'abaisser pour ob tenir la division automatique.
Lorsque 1e grand clavier est vide, il suffit d'appuyer sur cette touche pour faire avancer le chariot d'un cran (mouvement pouvant d'ailleurs être obtenu par une touche spéciale).-, h) un bouton pour le vidage !du totalisa teur (à tirer); i) un bouton pour le vidage du compteur (à tirer).
D'autre part, pour transporter les résul tats inscrits au totalisateur sur la. machine à .additionner, les axes des voyants de,ce to talisateur seront munis de cylindres en ma tière isolante portant<I>des pastilles</I> montées sur @dix génératrices pour représenter les dix chiffres; devant les quatre positions possibles de ces pastilles et suivant une génératrice seront placés quatre frottoirs aboutissant à des plots sur lesquels viennent s'abaisser en temps voulu d'autres ressorts (abaissement des contacts) ayant un jeu longitudinal de deux unités pour le cas !de la multiplication.
Pour commander automatiquement cette machine par les fiches perforées, il faudra la munir de deux cadres tels que C (fig. 1), l'un pour le clavier principal, l'autre pour le clavier ,de multiplication, en outre des cames et leviers devront .commander les touches ac cessoires. Leur description schématique sera faite dans .le cours de l'exposé @du fonction nement.
30 Etant donné que la. .durée des opéra- lions à. effectuer sera. essentiellement varia ble, il ne saurait être question @de faire tir- culer les fiches par un dispositif ,à mouve ment régulier comme c'est le cas pour la trieuse ou pour les additionneuses habituelles. Le plus simple sera de faire commander le mouvement par un relais agissant en temps voulu sur un embrayage identique à celui décrit ci-dessus et représenté fig. 2bis.
De plus, la. fiche devra venir se placer sur une plaque -de contacts immobile (pour éviter le -déplacement continu de trop nom breux fils souples qui auraient tendance à se rompre) constituée par un masse isolante munis,dedeux cents pastilles métalliques cor respondant; aux perforations possibles es fiches. Chaque pastille est connectée à un jack permettant la, liaison par fil souple avec les divers autres appareils.
Les peignes se ront supportés par un cadre mobile, les qua tre tiges d'un peigne ne seront -pas isolées les unes des .autres, mais chaque peigne sera iso@l:é de ses voisins et relié par fil souple à un jack. Par ce moyen, les combinaisons les plus variées pourront être envisagées.
Enfin, l'arbre de l'appareil porte-fiche agira. par cames sur -deux interrupteurs à duére chevauchante; l'un, I (fig. 12), qui fi gurera .dans tous les schémas, a pour but de fermer les divers circuits lorsque les peignes sont abaissés et de les couper avant qu ceux-ci ne se relèvent pour éviter les étin celles;
l'autre, Io (fig. 12), aura sa présence expliquée lors @de la deseription du dispositif de sommation automatique ,des paquets @de fiches classées suivant un paramètre @déter- mine.
Il serait .avantageux de remplacr cet in terrupteur I par deux interrupteurs fonction- nant successivement: l'un sur le .circuit -des relais d'indication d'opérations, l'autre sur les circuits :des relais de traduction pour être sûr que ces seconds ne puissent fonctionner avant que les premiers aient terminé.
C'est ce :dispositif de totalisation qui va maintenant être décrit (fig. 12). Totalisation <I>après</I> épuisement d'un paquet de fiches triées suivant <I>un</I> paramètre <I>déterminé.</I>
10 Le paramètre n':a qu'un seul .chiffre (de base quatorze). Les quatre fils correspon- -d.ant aux quatre pastilles de la colonne du paramètre sont .connectés à quatre relais s,, s-,>, s.;. s4 montés ainsi qu'il suit: chacun de ces relais comporte un circuit de collage (eti pointillé) puis une commutation.
En outre sont prévus les deux interrupteurs I et Ia dont il a été parlé ci-dessus et eommandés par l'arbre du porte-fiches, I sur le circuit plaque -de contacts peignes, l'autre sur le cir cuit .de collage. Leurs ,durées de contact sont chevauchantes, de sorte .que leurs .armatures restent en position d'attraction tant que le paramètre reste le même; tous les plots des commutateurs sont reliés comme le montre la figure:
tous les plots supérieurs sont en série ainsi que tous les plots inférieurs; @de plus, chaque plot inférieur communique avec le plot supérieur correspondant; autrement dit, quelles que soient les positions des palettes des quatre relais, le circuit dans lequel se trouvent celles-ci est continu; il ne sera in terrompu que pendant la. durée @du ;déplace ment d'une quelconque de :ces palettes. Ce circuit sert à alimenter un relais S et ne peut le faire que lorsque ce relais a attiré la pa lette qui en fait partie.
Si donc le paramètre vient à changer un ou plusieurs des quatre relais s1, s2, sû, s4 modifie la. position de leur ature et le courant alimentant S se trou <B>,</B> arm.
vera coupé et le restera<B>à,</B> moins que par un autre circuit tel que<I>CD</I> un courant ne vienne l'alimenter un instant. Enfin, en tombant, la palette -de S fermera un ,circuit tel que < 4Z3 dont -on verra l'utilisation plus loin.
20 Le paramètre a plusieurs chiffres: il suffira de disposer d'autant @de fois quatre relais si,-s., <I>s"</I> s4 qu'il y a de chiffres; tous les circuits relatifs à: S seront mis en série. S reste unique quel que sait le nombre -des chiffres.
Il va. être maintenant parlé des :différen tes opérations.
<B><I>10</I></B> Additioyaraezise: Le courant part :de la. source, arrive au fil .commun des traduc teurs, traverse ceux-ci, se rend à la plaque de contacts :du distributeur de fiches, est re pris par les peines et revient à la source comme suit (fig. 14):
On suppose que l'ladditionneuse sera. uti lisée pour l'inscription de trois colonnes (de deux ehiffres seulement pour simplifier les dessins, car cela. ne change rien à la,descrip- tion, dont deux au plus pourront être tota lisées si l'additionneuse comporte deux tota- lisateurs); la position -des -colonnes fixée par les mouvements et arrêts du chariot est géné ralement déterminée par les positions de ta- quets que l'on adapte à une règle portée par le chariot.
A chaque colonne correspond un groupe de peignes; soient Pl, P_#, P,, c.es peignes sont connectés respectivement avec trois interrup teurs<I>Il,</I> I_., 1, qui se trouvent fermés lors que le chariot vient à se mettre à la place qu'il doit occuper.
Le circuit se ferme alors en passant successivement par un interrup teur Ao maintenu fermé par une came aux positions @de repos et de départ du chariot de l'ardditionneuse, de façon que les interrupteurs <B>il,</B> 1=, <I>I, ne</I> risquent pas -de fonctionner deux fois,
par les dots de repos des relais Rl et R= et enfin par l'interrupteur I commandé comme il a été dit plus haut par le distribu- teur de fiches.
Le fonctionnement est alors le suivant: Lorsque la fiche est venue se placer sur la plaque et que les peignes sont :descendus, l'interrupteur 1 se ferme; les électros du tra ducteur lâchent leurs armatures; les relais de sécurité attirent les leurs et ferment les contacts<I>il,</I> i2, <B>...</B> i" montés en série et fer ment ainsi le circuit enfermant le relais R,.
Ce relais ferme .alors le courant alimentant l'électro d'embrayage El de l'abaissement du châssis porte-tiges, @du placage des armatures des électros du traducteur, et El du levier appuyant sur la. touche d'enregistrement; il ferme aussi un second circuit :dont il sera question plus bas.
Le chariot se déplace alors et vient fermer I.; Ao qui s'était ouvert un peu après le départ de l'arbre à cames se re ferme: une seconde inscription à. lieu. puis enfin celle correspondant â I.
Mais alors, par une dérivation sur le circuit P.,,<I>I"</I> le circuit du relais Bl se ferme quand R., attir? son armature; Rl s'alimente alors lui-même par le circuit Co, D" et ferme le circuit de l'électrod'embrayage du distributeur de fi ches; on voit en Eh' les connexions de l'em brayage -du distributeur en série .avec la. ma- ,chine à :calculer;
celui-ci se met en marche, coupe I et tout revient à l'état initial.
Tous ces mouvements se répéteront tant que les fiches passant par le distributeur ap partiendront à un même paquet.
Lorsque une fiche d'un autre paquet ar rive, au moment de la fermeture de l'inter rupteur I, un :des relais s1 <B>...</B> s4 (fig. 12) mo difie la position de son :armature; le circuit du relais R, se ferme alors; ce relais coupe le fil de retour des traducteurs TI, <I>T2</I> de l'a.d- ditionneuse et ferme les circuits des :électro.s <I>ET</I> .d'embrayage de la touche totale et E@ de la pédale d'enregistrement.
Les trois in terrupteur I'1, I'î, I'3 fermés par le chariot dans les trois positions sont simplement mis en dérivation, puisqu'il ne s'agit que de faire trois tours à l'arbre à cames pour appuyer trois fois sur la. pédale d'enregistrement.
En autre, la came commandant l'appui sur la touche "total" choisie (ou les touches ,,total" si -deux colonnes sont additionnées simultané ment) ferme un contact Il de fin -de totali sation mis en série .avec l'interrupteur I"" fermé par le chariot :dans sa. troisième -posi tion; ce circuit de totalisation vient en CD alimenter le relais S qui attire son ,armature;
celle-ci, :comme on a vu, restera attirée pen dant toute la :durée -du passage<B>du</B> paquet. D'ailleurs à ce moment, le courant,d"aiimen- tation de R @ étant coupée en x (fig. 12), ce relais lâche son armature et l'on est ramené à la position d'inscription.
Dans le cas où l'on n'utiliserait qu'une seule colonne de l'additionneuse, il faudrait au moment ide l'inscription des totaux, ap puyer deux fois ide suite sur la pédale d'en registrement; il serait donc nécessaire de pré voir une sorte @de changement ide vitesse ide la. came :de contact de fin :de totalisation pour que la rotation de l'arbre soit de deux tours et non d'un seul-.
<I>Addition sur la machine à</I> calculer.
La machine est supposée vidée et le chi riot poussé à fond vers la gauche. Lorsque les leviers<I>AM.</I> SD et<I>A, M</I> ne sont pas en place, ils doivent y venir; dans le cas con- traire, il est inutile qu'il y ait la. perte de temps nécessité par une rota,-tion @de l'arbre à cames tournant à vide. Ce résultat est ob tenu ainsi qu'il suit (fig. 15):
Les leviers AM. SD et<I>A,</I><B>11</B> sont. ma- n#uvrés par quatre poussoirs, les relais S/D, Vil, <I>A,<B>AIN</B></I> commandant .les embrayages de ces poussoirs sont .alimentés par les circuits des palettes -de deux électros polarisés, type Siemens, U3 <I>et</I> U,, à deux enroulements in verses qui, à leur tour, reçoivent leur courant ,des circuits des armatures :
des relais<I>AD ou</I> Sn- fonctionnant respectivement pour le signe -f- ou le signe -. Dans ce but, une des colonnes des fiches :devra être réservée pour porter l'indication ide l'opération ;à effectuer; comme il y a quatre opérations, le plus sim ple sera. .de .caractériser chaque opération p'ir uné position ide trou de façon à éviter toute traduction. Puisqu'il s'ugit ,de l'addition.
c'est le relais<I>Ad</I> qui .aura attiré son arma ture; par :cela, il excite les relais A;!M et A. Da-lis le cas de la soustraction Sn, en soule vant son armature, excite U3 par l'enroule ment inverse et U4 parle même enroulement; par suite l'armature de Uî se .colle contre l'autre pièce polaire et celle .de U4 ne bouge pas. Dans ce cas, ce seront les embrayages S!D et<I>A</I> qui fonctionneront.
D'autre part, les relais U3 et U° sont munis des autres plots ab, a'b' pour le pre mier et gla, g'lt' pour le second, plots pouvant faire bifurquer un circuit aux points X-Y suivant ,les positions .des palettes de U3 et U,,. Enfin, en .arrivant à fin de course en AN et<I>A,
</I> les leviers A1MISD et Af ferment res pectivement les interrupteurs AN et A inter calés -chacun dans le circuit des électros L\, et U.,. Les plots de ces électros <I>cd,</I> c'd" et ef. r'f' sont montés en série avec ceux ide U,, et.
U.,; ,de plus, les portions <I>d,</I> e <I>et d',</I> e' -des deux circuits X-Y bifurqués sont reliés électri quement. On voit alors que pour que la suite <I>X ab.</I> a'b' <B>...</B> gh., g'la' y forme un circuit continu, il faut et il suffit que les relais Ui et U. soient respectivement dans le même état que les relais U,, et U4; si par exemple il 's'agit de faire une addition, les quatre re- lais auront leur :armature soulevée;
dans le cas d'une soustraction, Ul et U., auraient leur armature tombée et L.',, et U., leur armature soulevée.
La portion X-Y est commune à deux circuits: l'un passe par 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7. Ibis, 8. 9; 10, 11, 12, et I en traversant le traducteur; l'autre passe par 1, 18, le relais U5, à deux enroulements inverses. 14; 15, 5, X-Y_, 6, 7, 8, 9, 10,<B>11,</B> 12 et I. Le second enroulement de U, est fermé par 16, 17, 18, 19, 20 ou 20' (selon qu'il s'agit d'une addi tion ou d'une soustraction), 21 et I. Comme on voit, il est fermé :dés que le relais Ad ou le relais<I>Sn</I> attire son armature.
Les plots du relais Ur. sont en 22 sur le fil .commun de retour des circuits d'alimentation des relais commandant les électros d'embrayage des poussoirs.
Le fonctionnement est alors le suivant: 10 X-Y <I>forme</I> un circuit <I>continu:</I> Dès que<I>Ad</I> ou Sn fonctionne, le relais U, reçoit visiblement :deux courants inverses; par con séquent, il n'attire pas son armature et le cir cuit des poussoirs est coupé en 22; d'autre part, le circuit des électros traducteurs étant fermé, ceux-ci fonctionnent.
2e X-Y <I>ne f or</I> in.e <I>pas un</I> circuit conlinti.: Le relais Uu ne recevant que le courant venant des relais<I>Ad</I> ou Sn attire son armature; les relais U3 et U4 peuvent faire fonctionner les embrayages des poussoirs et les leviers vien nent se placer .dans la position voulue; le cir cuit X-Y se ferme alors et l'on est ramené au cas précédent.
Lorsque les électros de traducteur ont fonctionné, les relais de sécurité ferment les interrupteurs tels que Is montés en série qui ferment les circuits :des électros d'embrayage de l'abaissement des tiges L'l, de la pédale d'enregistrement E'_, et du placcage des arma tures des électros traducteurs.
Vers la fin ,du tourde l'arbre à ,cames une de celles-ci fait fermer un interrupteur Il,. qui alimente un relais R,; celui-ci ferme un circuit :de collage 23, 24 et ferme en 25 le circuit de mise en marche du distributeur @de fiches, circuit comportant ailleurs, en série avec 25 un interrupteur commandé comme on l'a vu par le relais R,,
fermé par l'addition- nèuse pour le cas où celle-ci fonctionnera si multanément avec ils machine à calculer, soit pour enregistrer les nombres additionnés par celle-ci, soit pour d'autres colonnes @de la fiche.
Lorsque le paquet -de fiches à addition ner est terminé, la première fiche du paquet suivant fait tomber l'armature @du relais de totalisation R, qui ferme alors le ,circuit de transport -du total sur l'additionneuse (en 26 ).
Ce circuit comprend un relais R, (fig. 16) qui fait fonctionner l'électro <I>AC</I> d'applica tion des contacts .des chiffres du chariot de la machine et commute les fils de retour aux peignes P,., P2, Pg (fig. 14) sur les fils de retour :des cylindres des chiffres du totali sateur TO @du. charlot -de la machine à cal culer;
en fin de course cet électro ferme l'interrupteur<B>P</B> qui fait agir le relais R,, (fig. 14). Celui-ci coupe un instant en 37, 38 le circuit -de collage de l'électro Rl qui lâche son armature et permettra ainsi en fer- Tuant en 27' le circuit de retour des interrup teurs<B>il</B> I2, I., au total de la machine de s'ins crire dans la colonne désirée;
enfin, en 39, il ferme un circuit qui sera fermé 'définitivement par le relais Rl, c'est-à-dire quand l'a:ddition- neuse aura terminé ses mouvements; ce cir cuit alimente un relais Bg qui, en attirant son armature ferme en 162 un circuit,de col lage, coupe en 161 celui du relais RE et par suite retire les contacts du totalisateur -de la machine. En outre, R4 se ferme, un circuit de collage comprenant l'interrupteur I et R,
fait agir l'6lectro d:'embrayage de remise à 0 du totalisateur<I>T0.</I> Enfin, dans ce mouve ment, l'arbre à cames coupera par le relais RSbis le circuit,de collage R, et ferme en<I>LN</I> par<I>Iv</I> le circuit d'alimentation -du relais R; dont l'armature se recolle et ferme en 9, 10 le circuit X-Y. La fiche peut alors se tra duire, etc.
On peut .augmenter la sécurité da transport sur l'additionneuse de façon à évi ter les erreurs dues à de mauvais contacts sur les cylindres du totalisateur dans le cas de l'addition ou de la multiplication, si le produit n',a pas plus de chiffres que la capa cité -du clavier.
Pour cela il suffit, au lieu -de vider le totalisateur, .d'enregistrer sur le clavier (en montant .les fils en dérivation sur ceux de l'additionneuse) la somme à transporter, à la retrancher,du totalisateur et,de constater par un dispositif quelconque que ce dernier est vide.
Il arrive assez souvent qu'après avoir été transcrit' sur l'additionneuse, le total parti-#1 devra être totalisé sur celle-ci; dans ce cas, il y aura sur la fiche changement du para mètre relatif à la totalisation sur la machina et également changement -du paramètre rela tif à la totalisation sur l'additionneuse; il est bien évident qu'il sera nécessaire que la.
première totalisation se fasse avant la se conde; le montage suivant (fig. 18) permet d'obtenir ce résultat: Les courants alimentant respectivement les électros -de totalisation R, et S (fi-. 12) tra versent, en série par exemple avec ces élec- tros, un relais R, ;à deux enroulements de même sens.
Ce relais doit avoir son arma ture attirée pour que le relais RZ commandé en x par S puisse fonctionner. Dans ces con ditions, si .8 seul reçoit .du courant, R, attire son armature, mais le circuit -de R2 est coupé en x. Si R,;
seul en reçoit, R9 .attire encore son armature et il en est & même de R@. Enfin, si Bzi et ST n'en reçoivent ni l'un ni l'autre, R, lâche son armature et, par consé quent, c'est la totalisation par R, qui se fera; quand elle sera terminée R, .attirant sa pa lette, R@ fonctionnera, etc.
Pendant ce temps, la fiche du paquet suivant attendra puisque pendant toute l'opération concernant la. ma chine à calculer les peignes Pl, P=, P; ont été mis hors circuit.
Soustraction. Tout est identique à l'addi tion sauf que c'est le relais S qui a fonc tionné.
Multiplication (fig. 17). Dans le cas de l'adldition et de la soustraction, le fait d'opé rer sur des -chiffres décimaux n'intervenait pour ainsi dire pas; pour la multiplication une petite complication s'introduit déjà:
Le multiplicande et le multiplicateur au ront en fait toujours ,deux décimales; par con séquent, le produit en .aura quatre; or il n'y aura lieu que -d'en prendre deux sur ces qua tre; il sera,d-onc nécessaire @de,décaler .les con tacts de lecture du totalisateur de la machine de deux unités; d'autre part, si la troisième décimale est un chiffre égal ou supérieur à 5, il faudra que la seconde .décimale soit aug mentée d'une unité.
Pour .obtenir ces résultats: 10 La barre portant les contacts s'abais sant pourra se déplacer latéralement sous l'action d'un électro spécial; 20 Le cylindre porte-contacts du deuxième chiffre décimal sera muni de deux groupes de frottoirs, l'un normal et l'autre pour le chiffre supérieur .d'une unité à celui @qu'in- dique le totalisateur;
d'autre part, le troi sième chiffre décimal d3 aura son cylindre porte-contacts muni d'un contact supplémen taire fermant le circuit d'un relais spécial (relais de forcement) FR lorsque ce troisième chiffre est 5, 6, 7, .8 ou 9.
Ce relais :aura pour effet :de connecter le fil de retour de l'électro traducteur -de l'additionneuse corres.- ponda.nt .au deuxième chiffre .décimal avec le frottoir normal ou le deuxième groupe de ceux-ci suivant qu'il n'attire pas ou qu'il at- tire sa palette. Bien entendu le circuit @de .ce relais de forcement sera fermé par l'armature attirée idu relais de multiplication pour ne pouvoir fonctionner que pour cette .opération.
Ceci fait, l'électro M (fig. 17) agit sur les relais U3 et U4 pour mettre les :leviers AM,!SD et A/M en position;
en même temps qu'il ferme le circuit du relais .de forcement FR en 40n, celui du tirage :du chariot vers 1-, droite<I>TC</I> en 40b celui du décalage des .con- tacts <I>DC</I> en 40n celui de R3 en 40A, et il coupe en 40bis .le circuit de commande de la,
touche .d'addition<I>AT.</I> Le multiplicande s'inscrit alors en IMA .comme s'inscrirait le nombre à .additionner -ou à soustraire. Le e=ha- riot en fin de course ferme l'interrupteur<I>Id</I> qui fait fonctionner un relais RIA, lequel ferme un circuit de collage passant par l'in terrupteur I, coupe l'alimentation de l'em brayage du tirage du chariot et ferme ,le cir cuit de traduction du multiplicateur. Ce der nier circuit passe par deux plots supérieurs du relais B7 qui se ferment quand le multi plicande a été enregistré.
Il comporte en ou tre le .distributeur D et l'interrupteur I-rya commandé par le levier de mise en .marche de la machine. Le distributeur D est porté par le châssis fixe de .l'appareil, tandis -que le ressort de -contact mobile<I>Mr</I> est fixé isolé sur le chariot. Son but est de connecter suc cessivement avec le traducteur du multiplica teur tous les chiffres constituant ce dernier.
Quant au levier de mise en marche fdu mo teur de la machine, il est automatiquement commandé par les touches du multiplicateur; par conséquent, l'interrupteur fin sera ouvert tant qu'une touche du multiplicateur restera enfoncée et ferme dans le cas !contraire.
Dans ces conditions le premier chiffre (à gauche du multiplicateur) se traduit; le relais de sécurité du multiplicateur fait abaisser en <I>IX,</I> le châssis qui enfonce la touche corres- pondante, puis recoller les armatures des élec- tros traducteurs; cependant la multiplication se fait et l'interrupteur Inz restant ouvert pendant toute la durée de l'opération y com pris le déplacement ,du chariot, rien ne se passe d'autre;
une fois .cette opération termi née<I>lm</I> se ferme, le -deuxième chiffre se tra duit, .etc. Lorsqu'on est arrivé ,au dernier chiffre à droite, c'est-à-dire ,lorsque le cha riot est à fond de ourse, celui-Ici ferme -l'in terrupteur Ig;
cet interrupteur amorce la fermeture id'un circuit qui sera définitive ment clos par le .mouvement ,de l'interrupteur Ih commandé par une came après inscription du chiffre du multiplicateur. Ce circuit @com- porte un électro Rl, qui coupe en 160 le cir cuit d'alimentation de la traduction du mul tiplicateur et ferme un circuit de collage comprenant l'interrupteur I, .ouvre en 50 le circuit comprenant le relais B5 (fig. 1.5) qui transporte le produit ,
du totalisateur sur l'ad- ditionneuse. Enfin, il ferme un -circuit @d'ali- mentation de l'embrayage de la touche -de vi dage du clavier CI.
La, machine effectue la multiplication en commençant par le premier -chiffre à gauche du multiplicateur; si donc le ,nombre des chiffres du multiplicateur est inférieur à celui de la capacité -de la machine, il faudra faire ,avancer le chariot à vide d'autant id'uni- tés qu'il manque @de chiffres .au multiplica teur. Pour cela., le traducteur du multiplica- teurcomportera . une touche () .devant ap puyer sur la. touche d'avancement -du chariot.
Cette touche devra être abaissée soit que la colonne de la. fiche ne comporte aucune perforation, soit que la. colonne considérée- comporte la perforation wrrespondant ait zéro.
Ce résultat peut être,obtenu ainsi qu'il suit: la tige t (fig. Z) de cette touche peut être embrassé=e par deux fourchettes f, l'une commandée par un éleétro E identique à cem@ des .autres chiffres, et fonctionnant pour la combinaison , l'autre en sens inverse, c'est à-dire accrochée quand son électro de coin- mande ne reçoit aucun courant, ledit éleetro ne comportant qu'un seul enroulement, dé magnétisant,
et parcouru par le courant de retour commun à tous les électros traducteurs.
Divison (fig. 18). La première chose à faire est de placer le chariot dans la position convenable. Considérons un compteur à huit chiffres, il y aura évidemment lieu, pour avoir un quotient avec deux chiffres déci maux exacts, de poursuivre la division jus qu'au troisième; dans ice cas, on peut se ren dre compte qu'après avoir tiré le chariot à fond vers la droite, il faudra le faire avan cer vers la gauche d'un na-mbre d'unités égal à quatre .diminué de l'excès de nombre des chiffres .du dividende sur celui du diviseur.
En outre, il faudra, placer le dividende et le diviseur @de façon que le premier chiffre à gauche idechacun .d'eux soit dans la même colonne, si le -dividende a plus de -chiffres que le diviseur et que ce soit leur premier chiffre .à .droite dans le cas contraire. Cette dernière condition sera automatiquement rem plie d'ailleurs si le chariot est placé préala.- blement ide façon indiquée ci-dessus et que le dividende et le diviseur viennent s'inscrire l'un au-dessus de l'autre.
Les idivers mouvements seront alors les suivants: Le relais D ferme en 56 le relais com mandant l'embrayage<I>TC</I> du tirage du ch.a- r10t; en ;même temps, il commute en 55 le circuit fermé par l'interrupteur <I>Id</I> (que vient pousser le chariot en fin de course) et le di rige sur un relais Z qui: 10 se forme en 60 un circuit de collage; 2e court-circuite en<I>p, q, r, s,</I> t respec tivement les quatre premiers chiffres du cla vier;
3e commute en u., <I>v, x, y;</I> u', <I>v', x', d'</I> les fils ide retour .des quatre premiers chiffres ,du dividende et du diviseur pour les diriger, comme il va être -dit, à travers les enroule ments des quatre relais Vl, V2, V., V4; 40 Ouvre en 61 le circuit du relais -du tirage ,du chariot; 50 ferme en 62 le circuit d'un relais de retardement dont l'utilité va être expliquée plus bas.
Les électros Vl, V2, V3, V4 sont des élec- tros polarisés types Hughes (à petite course pour que l'armature revienne d'elle-même).
Ils comportent trois enroulements: l'un connecté .avec les fils venant du diviseur est _naignétisant; les .deux ,autres sont démagnéti- sants; parmi ceux-ci l'un reçoit les fils du dividende et l'autre est alimenté :ainsi qu'il sera expliqué.
Le montage,de leurs armatures est .le sui vant: le plot de travail h de Vl est relié au pivot p2 die Vz, le plot ide travail l,2 ,de V2 est relié .au pivot p2 de V.,, le plot ide travail<I>l.,</I> de V2 est relié au pivot p4 ,die V4.
Les plots de repos ml, m2, m3, m4 sont respectivement connectés à. une,des .extrémités de l'enroulement des relais WI, W2, W3, W4. Enfin, 14 plot de travail de V4 -est connecté à une des extrémités .de l'enroulement !d'un relais D'.
Les quatre électros W et l'électro D' ont l'autre extrémité de leur enroulement branchée en dérivation sur un circuit qui est fermé en 62bis par le relais ,de retardement Z' et vient se terminer .au pivot p1 de l'arma- turc du relais Vl. Les quatre relais W fer ment en dérivation le circuit d'un relais Y commandant la touche d'ava.ncement,du cha riot.
Enfin, quatre interrupteurs <I>il,</I> i2, ir, i4 seront successivement fermés par un bossage continu du chariot dans son avancement unité par unité (chaque interrupteur restant fermé lorsque les suivants se ferment); ils sont in tercalés dans des circuits alimentant le troi sième enroulement des électros V. De plus, leur fermeture se fera dans l'ordre i4, i#-, i2, <I>il.</I>
Dans ces conditions, le fonctionnement de ce dispositif sera le suivant: Supposons que le .dividende :ait, au plus, autant de chiffres que le diviseur; dans ce cas les armatures des quatre relais V reste ront à leur position de repos; le circuit de Y se fermera par Vil, le chariot avancera d'une unité et par là fermera i4 qui agira sur V4, celui-ci fermera p4, l4; le chariot avancera d'une seconde unité et, par i3, p3, <B>1</B><I>3</I> se fer mera, puis p2, 12 et enfin pl, h quand le cha riot aura avancé :de quatre unités;
à ce mo ment les quatre relais W seront hors circuit et c'est D' qui fonctionnera.
Si maintenant le dividende a un chiffre de plus que le diviseur, ce sera évidemment le relais Vl, qui ne recevra pas de courant venant du diviseur et par suite aura lâché son armature;<B>il</B> p1 se fermera mettant Wl hors circuit; ce sera ,alors W2 qui fera avan cer le chariot; comme ci-dessus l4, p4 se fer mera, puis l3, p3, puis p2, 12 mais, le chariot ayant avancé ide trois unités tous les électros W seront hors circuit, etc.
Si le dividende a deux chiffres de plus que le diviseur, ce sera le relais W3 qui fera avancer le chariot.
Enfin, si le dividende a quatre chiffres ,de plus que le diviseur, les quatre électros V auront lâché leur armature et le relais D' fonctionnera tout de suite.
D' coupe en 63 l',alimentation du relais Z, les circuits -de traduction du dividende et du diviseur redeviennent alors normaux, se ferme en 64 un circuit @de collage, en 65 celui <B>(le</B> l'électro <I>Ad</I> (fig. 15) après avoir commuté en 45 le fil d'alimentation du relais R7 et fermé en 66 le fil de retour du dividende. Celui-ci s'inscrit alors (comme une somme à additionner).
L'interrupteur II' en se fer mant envoie par la bifurcation 45 du cou rant dans un relais Ro qui se ferme en 67 en circuit .de collage, coupe en 68 le fil de retour du dividende et ferme en @69 .l'em- braya,Lye ide vidaz.e -du compteur VC. L'inter. la droite), ou 5 (en commençant par la gau che) du compteur. <B>Il</B> y -aura .donc lieu de tirer le chariot à fond à droite, puis de le reculer -de quatre unités vers la gauche (on a supposé toujours huit chiffres :au compteur).
On peut alors suivre ,les divers mouve ments .des relais; la perforation pratiquée dans la colonne d'indication d'opération agit.
EMI0018.0013
<U>anrla <SEP> nalaia <SEP> n <SEP> las <SEP> gi@.n"@+r <SEP> rlji</U>
EMI0018.0014
ensuite 7631 -de 2530, puis enfin le premier chiffre clin quotient 3, puis le second 3. Le quotient apparaissant est donc: 0,033.
A remarquer qu'à part les montages par ticuliers des relais V, le mécanisme complet clé cette opération n'est qu'un cas particulier .chi procédé général indiqué au début de la, description: un relais est fermé un instant par une cause extérieure; ce relais ferme un circuit de collage et commande un mouve ment. Ce circuit -de collage sera coupé par un relais intervenant ,de même manière après la fin du mouvement commandé par le pre mier relais et ainsi de suite.
<I>Vérification de</I> résultats <I>de</I> calculs indiqués <I>par</I> une <I>fiche.</I>
Cette vérification se fera .de la faeon sui vante dont il est inutile d'indiquer le détail, car il ne s'agit que de la combinaison d'opé rations<B>déjà</B> décrites.
Les résultats des calculs opérés par la, machine et ceux que fournit la fiche sont comparés par le dispositif décrit ci-,dessus de comparaison de la valeur relative .de deux nombres; s'ils sont identiques, la fiche sui vante est prise par le distributeur; dans le cas contraire des relais convenables enregis treront successivement les deux nombres à comparer sur .une machine à calculer, feront la différence et la transporteront suivant qu'elle sera dans un sens ou dans l'autre sur l'un ou l'autre des compteurs d'une machine à additionner qui pourra. en même temps en registrer les indications numériques .de repère.
Statistics installation using perforated sheets. The present invention a. for object a statistical installation using: perforated sheets and which comprises a certain number of devices allowing to carry out the four arithmetic operations, characterized by a device allowing key to compare the indications given on two sheets, - to read certain indications one - (the sheets according to indications given by the other, to transport the indications read in a translator device by means of which these indications,
forwarded to. from perforated sheets, are recorded on the keyboard of a calculating machine and are transported on the numbered drums of the latter for use, as required. for any arithmetic operation, various devices being provided to act on the recording, according to the indications given by certain perforated sheets. and automatically perform the desired operations when a series of these sheets is exhausted.
The appended drawing represents, schematically and by way of example, an embodiment of an installation according to the invention, as well as some variants of detail.
The, fi-. 1 is a schematic representation of a statistical key apparatus applied to the control of a machine. To be calculated; Fig. 2 shows the solid.ari- sation device: pushers with the movable frame; Fig. 2a shows the device for engaging the cams with the control shaft; The fi @ g. 3 is a circuit diagram of a translator without relays;
Fig. 4 is a special embodiment of the device shown in FIG. 3; Fig. 5 is a circuit diagram of the safety relay; Fig. 6 is a mounting diagram for verifying the identity -key @ two numbers; The fjg. 7 is. a diagram. assembly for the comparison of the relative values of two numbers formed by a single digit;
The fïg. 8 is a circuit diagram for the comparison of the relative values of two numbers formed of several digits; Fig. 9 schematically represents a reading device 4.e scale; Fig. 10 shows the arrangement of the groups of conductive pads on the reading plate of the scale apparatus; The, fig. 11 shows the device for reading an element of a scale;
Fig. 12 represents the diagram of the assembly allowing the automatic totalization after exhaustion of a packet of files sorted according to a determined parameter; Fig. 13 is a device for the totalization of subtotals; The fib. 14 is a diagram showing the mounting of a writing and adding device on a printer adding machine;
The, fig. 15 is a circuit diagram of a: device: a: design on a calculating machine La. Fi; at. 16 is an assembly diagram of a device for transcribing the results of an il-1: i machine. calculate on the machine. add; The fi-. 17 is a diagram of the assembly of a multiplication device on a machine. .calculate; Fig. 18 is a diagram. for mounting a dimsion device on a cal culating machine.
The adding machine is surmounted (fig. 1) by a frame provided with as many vertical rods such as t as there will be keys such as T on this machine (nine per column); each rod comes to press a key and can. to be, by the action of a suitable electro, made integral with a frame C which may, in due course. to be lowered by the action of:
connecting rod R, actuated by cam Q, and, consequently, push in. corresponding key.
The rods t and the frame C are made integral by the device according to FIG. 2.
Electro-polarized E, consisting for example of a tVS magnet provided between its branches with a coil E whose windings will be fixed lower, carries a soft iron key armature articulated at A and pulled by a spring R. A this reinforcement is fixed an extension terminated by a ring a.
In this ring can slide a rod pivoted at p on the frame C and terminated by an oven chette <I> f. </I> On the other hand, the rod t is provided with a disc d resting on a spring r. When the electro E lets go of its frame, the oven f comes to take between its teeth the ti'e <I> t </I> above the .disk <I> d </I> and when the frame C will lower, it will be the same for the rod t. and the, key T.
On the contrary, if the electro E has not let go of its armature, the fork f goes to. side of: disc d. In all cases the tail of the fork f slides in the ring a.
As for. lowering the C-frame. it is obtained as follows: a camshaft C (fig. 9a) moved by an engine, carries, threaded madly on it a certain number of .cames differing only in profile and dimensions. but can be engaged on it by the following .dispositif: a plunger P moves to the left a system of: bars b;
- in this movement a roller g, leaves a tic cavity, locking e provided: in a s.olidairo disc, of the cam Q, then a zriff @ - (or friction) clutch l keyed on the shaft C comes in taken av. ,, the solid d-Pntures (or the plate) -of the Q cam;
in addition, a roller g = is placed in the groove (the outer edge of which is interrupted at a suitable point) of a groove wheel i also integral with the cam Q, so that, if the current stops pass through the plunger P, the bars b cannot under the action of the spring R '. only operate the release when the .Q cam has completed one turn c: omlrlet.
The shaft C is represented as carrying (wire-. 1) five cams: whose roles are: Q, - to lower the frame; Q_ to lower the, key of a totalizer: Q @ to.aba.se the. touch of a second totalizer; Q, to lower the. registration key, the number entered; Q .; to act on tires n (fig. 2) fitted with lugs e intended to bring back the mature arches on the appliances E.
It is now important to describe the way in which the translation of the perforations takes place. Although in the. machine. adding each column has only nine digits, this trajductiun will be considered in the general case, that is to say for fourteen possible combinations.
The device which will be described allows translation by means of fourteen polarized electrons such as E (fig. \?) Without any relay; blanks for this purpose, each key these electron comprises four distinct windings and is mounted, as it will be said, by branching on the four wires corresponding to the four possible perforations; let <I> a., b. c, d, </I> these four sons and Ex, E2,. . . <B> <I> El, </I> </B> the fourteen electron (fig. 3).
In the electro El, the shunt taken on wire a is mounted so as to produce a demagnetizing field, while the shuntings taken on the other three wires are mounted in the opposite direction. Therefore, the key takeoff the armature will not be able. occur only if the current comes from the a wire and that one only.
In the electro E_ it will be the bypass taken on the wire b which will act. . In ele.ctro In only the, bypass coming from c will be active.
In electro E; this will be the key vinant derivation d.
In the electro E ;, the two derivations coming respectively from n. and b will be. .dema-, annoying, the other two being in the opposite direction:
on the other hand. the tension of the return spring P (fig. 2 ') must be half that of the springs of the first four electrons so that take-off can only take place when the two active windings are simultaneously traversed by the current.
In the E ,, <I> E ;, ER, </I> Eq. Elo. ce>, respectively have the derivative groups: ac ions. <I> ad. bc. bd, cd, </I> who f, will take off the frames.
Finally, -in the electros Èll, E12, E12. <B><I>El,</I> </B> the three windings <I> abc, </I> abd, acd, bed will be respectively demagnetizing and the @de recall spells: their armatures will be set so that the current active lines are necessary to: cause takeoff.
their voltage -should therefore be a third of that of el, E2, E3, E4 ele.ctros.
A variant of the previous device which aims to avoid errors which could occur in the event of -disadjustment of a spring or of variation in the magnetism of the electrons is shown in FIG. 4.
We can -first notice er that it is obvious that if a maladjustment can allow an electronic: having to work only in the case where two circuits are traversed by a current to function under the action of -a single as a result - key 4ème ,, om6tisa.tian of the magnet, the reverse will not be able to take place and this phenomenon will never have the effect of making one of the El <B> ... </B> E14 electrons work. under the,
c- tion of two opposing currents. Under these conditions, it would be advantageous to arrange the assemblies so that, if for example the current has passed through the electro El, it cannot also pass through those which must operate under its action and that of one or more. several others.
For this purpose, the wires <I> a., B, </I> c, d, pass respectively through breakers controlled by the armatures of the electrons El, E2, E3, E4, before the branches are connected to them. , electron E;,. E ,,. . . El ,,. It follows that, since even in the event of maladjustment the primary key resources will be more strained than them of the seconds, the reinforcements of El. E2, E ;, E4, will be released first and will cut off the current having to go to them. following.
It is moreover easy to adjust the inertias of the electrons so that this result is achieved at. for sure. We could even foresee on the shaft of the machine several breakers which would produce these successive actions and thus avoid: possible sparks at the terminals of those controlled by the electrics E.
Likewise, before being provided @ Islands of derivations feeding the El ,, E12, El - # electrons. El ,, the wires <I> a, b, </I> e, <I> d </I> pass through the double breakers controlled by the armatures of the electrons E;
to El ,,, each of these being able to cut the currents whose branches supply them, all the breakers relating to the same current being connected in series. In these conditions the E ,, appliances. E, _, <B> <I> & </I> </B>, E, .l cannot, under any circumstances, operate under the a.etion of two currents only.
It is quite obvious that every time the. translation n'.aizra, to be done only -in the system: decimal, the switches actuated by the electros E ;, à. El "will be unnecessary and may be deleted.
For clarity in the drawing (fi: g.: I), only the circuits producing the. falling reinforcements have been shown, excluding the other circuits and, the return wire common to all the circuits. Safety relay <I>. - Zeros. </I>
This second device shown in FIG. d a. the advantage - of avoiding errors due to a die: adjustment always possible, but it has the disadvantage of introducing a certain number (the current breaks in circuits with high self-inductance, hence the possibility of deterioration of the contacts and consecutively misfires, except in the case indicated above where several mechanical breakers would have been expected.
We can very simply avoid. e .. # -danger in the following way: Let us suppose for example that the circuits a and b are traversed by a current, but that, as a result of, the: deterioration! of the switch of the electro El, the current a n 'does not reach E ;; the latter, unless: d-éréalago very improbable (unless the device is completely: in bad condition), will not be able to function since it will not be. supplied only by the current a:
on the other hand, El which will receive both current a and, in the opposite direction, current b, will not work either; consequently, any bad contact to a breaker will have the effect of: preventing the operation of the appliance in question without making another operate. This remark made, we therefore see that it will suffice. to be sure that, as soon as a .circuit a, <I> b, </I> c <I> or d </I> is traversed by any current, one of the electrons has released its armature.
On the other hand, according to the method exposed at the beginning of this description, it will be necessary. that, when the electro-translators have finished functioning, a circuit is established to control the lowering: of -frame C; however, at least in the case where the electro translators control a keyboard of a machine to add, add or calculate, there is no key for zero.
It is therefore necessary to provide a positive dis which allows, when the number from one column to. translating is a zero, -to also have a circuit closure, which, placed in series with those with which the electro-translators of the other columns will have been provided, will allow. to have; a: continuous cirauil acting on the electro-clutch d., - the lowering of the frame C.
Each of the electro-translators E controls a breaker C whose. closure is produced by arma.lure :. rlesclitélectros E. The switches Cl to C ,, are mounted as a bypass for all El <B> ... </B> E14 appliances: of the same column and each group corresponding to a column is mounted in series with groups of other columns so as to get to. certainly the result sought. to see that the operation of an electro whatever shell, in each column allows the closing of a circuit.
That. laid, the return wire of the fourteen appliances (reduced in general to nine) crosses a relay Rp (fi ;. 5) which itself closes the circuit of a relay RS with three circuits -dis tinct, equal. mounted two in one direction. and] (, third in the opposite direction.
The first island these windings is excited during the closing f'un breaker Y as soon as a plug is submitted to a'na'lyse.
The second @de, same meaning as the first-r is that which is closed by the contacts side by the armatures of the electrons E.
The third is the one controlled by the Rp relay, itself excited by this current flowing through the E electrons.
Under these conditions: a) 'If a current comes from the contacts n, passes .in the electro R8, it is because, according to the remark above .clessus, one of these electron has received a current which, therefore, will also cross RS. This will therefore attract its armature since it will receive two active currents and one in the opposite direction.
b), If no current comes from the contacts c as a result of the non-functioning of an ectro E following a bad breaker contact, RS will still receive the current, when the electro E works and, consequently supplied by two opposite currents, it will not attract its armature.
c) The digit to be translated in the column is a zero. In this case only the first circuit is traversed by a current and the armor is attracted.
It will suffice to put in series all the contacts such as <B> 150 </B> closed by the arrays of the RS relays corresponding to each column and to operate by the circuit, thus formed the electro (the lowering the frame C to be sure that this movement can only take place after the rod corresponding to the desired key has been taken by the fork f. and that it will take place even if in a column there is a zero.
This result could not have been obtained by putting, as i1 was said above, for more simplicity, in series the groups of contacts c. The RS relay could not operate if its third circuit was run by the currents of varying intensity passing through the electros E which must have operated; this is the reason why a preliminary relay Rp supplied by this variable current and forming a fixed resistance circuit crossing the relay RS has been provided.
The statistical installation shown further comprises a certain number of identifiers which will be described below.
<I> I. Device for </I> comparison <I> of </I> de-rex, -raoîyzb? -Es <I> represented by </I> perforations.
In the first place, it will be a question of reading in a scale the indications corresponding to the data provided by the perforations of the cards. Of course, the scale will be. itself constituted by a perforated sheet; first of all, the following problems must be solved: a) Verification of the identity of two numbers.
b) Comparison of the. relative value of two numbers.
a) This verification can be done in the following way - 1o are first numbers formed of a single digit (in the system quadridzcirna.l).
Two sheets bearing the perforations corresponding to the numbers to .so, mparer are placed on the plates: dr; contact, under the combs, for example in. K and in K '(fig. <B> 6). </B> The four wires -of each contact plate are connected respectively to the windings of four electros with two opposite windings. The frames of these ëlect_ros have.
the effect of -closing a-derivation taken on two wires FI and F, whatever or whatever the appliance (s) having attracted its or their armatures. It is obvious that if the two figures to be compared are identical, each electro will receive. current in its two windings. and will not attract its pallet;
on the contrary, if the two figures formed by the perforations are different, one of the electros will attract its armature and the circuit F, -F2 will be closed by the corresponding branch.
If now the two numbers to be compared comprise several digits, it will take as many b pupae of four appliances as there will be digits and all the breakers commanded by these various appliances will be connected in branch on the wires F , .- F .. The circuit F, - F. will not be able to.
be so closed only in the case where the set of digits in K will not be identical to the set of digits in W and it will not be, otherwise, that is to say if the - two numbers to compare are equal.
b) Comparison of. relative value of two numbers. The device used (fig. 7) comprises two sets of safety tips -1 and B and two potentiometric rheostats ('and D each formed -of -resistance elements <I>r,</I> <B> ... </B> r14 @et <I>r',</I> <B> ... </B> y'14. These items are connected to.
oomma.ndés breakers by relays 1, 2, 3 and 4, respectively l ', 2', 3 'and 4', the windings of which are individually connected .aux feelers -of the two sets 21 and 13. Each relay controls as many breakers as there are resistance elements in each rheostat.
In addition, each breaker is connected in series with the homologous breakers of the other relays, that is to say with the breakers of the other relays which all correspond to the same resistance element. The current coming from the resistors will therefore have to tra: always pour four breakers in series before. to arrive at a common wire leading to a winding of a differential relay Z whose other winding is connected in the same way to the other rheostat.
In the example shown, it has been accepted that the figures are represented by a maximum of four perforations, which perforations can form fourteen different combinations such as those shown in FIG. 7a. Each perforation corresponds to a pulpy tip connected to a relay. There are therefore two sets of four points and two groups of four relays 1, 2, 3 -and 4 respectively l ', 2', 3 'and 4'. Each relay controls as many switches as there are possible combinations, or fourteen in the particular case.
Each breaker constitutes a four-pin switch, two of which are always connected, whether the relay is energized or not. Each first breaker of a relay is connected in series with all the first breakers of the other relays of the same group; each second breaker is connected with all the second breakers: other relays of the same group, etc. , until the fourteenth. -A group of relays therefore controls fifty-six breakers connected in series four to four and which form fourteen circuits whose inputs are each connected to a resistance element and whose outputs are all connected to relay Z.
The breakers in series are connected in such a way that for a given combination of perforations there will be only one closed circuit between the potentiometric rheostats and the input wires of relay X.
Suppose now for example that the figure read by the points of set A controlling the relays 1, = 2, 3, 4 is 6, while the figure read by the points of set D controlling the relay l ', 2', 3 ', 4' or 9.
If we call Y the voltage across the battery and i the current flowing through the wire of the potential meters between x and y, on the one hand, and .r 'and - on the other hand, we will have:
EMI0006.0038
Consequently, the difference in potential between point C and -point y will be:
EMI0006.0041
while the potential difference between C 'and y' will only be:
EMI0006.0042
It is therefore visible that a current going from D to D 'will run through the electro Z; in the direction D D' and the armature, from Z will take a given position.
Likewise, if the figure read by the combs in system 1, 2, 3, 4 had been greater than the figure read by the combs in system 1. ', 2', 3 ', 4', the current flowing Z would have been in the opposite direction and the reinforcement of Z would have taken a position opposite <B> to </B> that @ of the previous case.
Finally, if the two figures had been equal, there would have been no difference cb-potential between points D and D 'and consequently no current in the electro Z, the armature then remaining in the middle position.
The three positions of the frame: of Z are used to indicate either the identity @ # - (middle position), or the positive or negative inequality of two numbers (extreme position).
20 Comparison of the relative value <B> of </B> numbers comprising two digits (fig. 8). Each digit will correspond to a group, selector as above (not shown in the figure) with the two relays Z, respectively. and Z2; the group Zl will correspond to the fortnights, the group Z. to the units (quadridecimal system).
Here, a parenthesis is in order. We have seen above that the figures are represented, in the case of the example described, by four perforations capable of forming fifteen different cams. However, in the decimal system, there are only ten different digits available.
With four perforations there would be - therefore five combinations lost. <B> 011 </B> Li therefore, instead of the decimal system, auopM the quintidecimal system - where the numbers 10, 11, 12 and 13 and 14 are replaced by the signs A, E, <I> J, </I> D and E and are considered as still being numbers formed by one digit.
0n thus achieves a great saving of columns, respectively -of space on the sheets where the numbers are represented by perforations. <B> 011 </B> will therefore speak of fortnights or even tens. In some cases the fifteenth combination with four perforations will have to be discarded, as it will match in the event that no perforated sheet is in the <B> </B> machine.
We will therefore have more than fourteen signs - designating fourteen numbers and we will then speak of "fourteen". The fifteenth, coambination can be maintained if a special device is provided to make it possible to differentiate the case of four perforations and the case where no sheet is in the machine. (Use of a fifth palpus point which touches the leaves there there are never any perforations.) The device for comparing the relative value: of two numbers is as follows:
The dead stud of Z, is connected to the pivot ide the pallet Z = ;, the two other studs of Z, and <B> 7,2 </B> are respectively mounted in bypass.
Suppose digit values from "1 to fourteen" such that the paddle _d be pushed back to B ,, this results in a usable current from A to B and it can be seen that?, Is not involved. Let us suppose on the contrary that the two digits of the "quatorzaines" are equal, the pallet <B> -A, </B> remains at the dead pad and it is Z .. which will decide if one will have a current. from <I> A </I> to <I> B </I>. or from A to C.
The relays should be adjusted so that Z works before Z = to avoid the spark at A, and the risks of: oscillation in the operating circuits. In view of the considerable overload which the Z windings can withstand, it would be advantageous to provide in the circuits of use such devices as the current which passes through them is cut off as soon as they are in operation.
30 Comparison of the Relative Value of Numbers Over -Two Digits.
There will be as many relays Z as there will be orders of units in the numbers and the assembly of the secondary connections will be similar to what it was in the previous case, that is to say that an incoming wire is connected to the pivot of the pallet of the first relay on the left, the dead stud of this one to the pivot of the pallet of its neighbor on the right and so on, all the other studs being connected in ; bypass on the other two wires.
II. <I> Reading of </I> scales <I> or tariffs. </I> (Let us consider the most general case of double entry scales; the problem consists in this: perforated indicates the row and the column of the scale, the number placed at the intersection of these must then be taken by the calculating machines and used as appropriate.
It will suffice for that. that these third devices are connected by flexible cords to the four wires on the contact plate of the scale and that the suitable circuits be closed by the reading combs on the correct number of this scale.
The scales: must consist of, perforated sheets: each page of which will contain fourteen columns of fourteen names each, that is to say a total of one hundred and ninety-six elements. Reading will therefore require in the most general case.
10 looking for the page including the number to read: 20 looking for this number. in the. page considered.
To fix the ideas, let us suppose that it follows from a scale giving the hilometrical distances of the stations of a network two by two; it is obvious that if the number of stations is 14n -f- p, the number of pages of the hareme will be (n + 1) 2 with <I> (p <14). </I> Each the page will have double numbering, one for the lines, the other for the columns.
If for example n -i- 1 is greater than 14, the numbering will consist of: two-digit names which will be entered in the form of perforations on each page of the scale.
All the pages will be placed one after the other so as to form either a strip of paper wound on an axis at each end if the strip is long enough, or simply an endless strip rotating on the rollers if it is is suf ficiently short. In the first case, it will obviously be necessary to make the strip move in one direction or the other, while. In the second it will suffice for the latter to always move in the same direction.
The apparatus will be constituted, as follows: (fig. 9) a strip of perforated paper constituting the ba.reme bearing on its jumps the registration holes is unwound, driven by the cylinders <I> T </ I> and <I> T '</I> passing over a fold of K contacts.
This plate is formed by a mass of insulating material carrying as many inlaid metal pellets as there are perforations in a page; of the b @ areme considered, that is, if it is a question of three-digit elements. (in the four-decimal system), twelve times one hundred and ninety-six or two thousand three hundred and fifty-two. In each group of twelve lozenges, each lozenge can be designated as shown, g. 10.
All the pellets of the same name are derivatized on three groups of four wires leading to twelve formerly.
On these one hundred and ninety-six groups of twelve pellets comes down a frame C 'carrying one hundred and ninety-six combs of twelve rods forming groups of non-isolated rods, but each group being itself isolated.
Finally, above this frame and carried by the frame of the apparatus are respectively parallel to the two sides of the page i of the harem, two groups: of fourteen bars such as B; and B'i each carrying fourteen springs ri and r'i suitably oriented and provided with contacts at their ends (fig. 11).
The springs of D '; are isolated from this and each is connected by a flexible wire with the comb of twelve rods placed below it;, on the contrary, the springs of Bi do not end with the i. Normally the bars Bi and B'i are held in place by electros, such as Ei and <B> Fi, </B> identical to those which have been described above for the translation of the perforations.
When an electro Ei and an electro E'i receive current, the corresponding bars Bi and B'i are displaced longitudinally under the action of. springs Bi and R'i and the springs ri and -'i placed at the crossing point of Bi and B'i come into contact, closing by the mass the return circuit of the twelve wires:
<I> a, </I> b, <I> c. d; </I> U ', b', <I> c ', <B> d </B>; </I> d', <I> b ", <B> Ci /, </B> d ". </I>
The twelve sons corresponding to the pastil les: <I> a, </I> v, c, d, .. <I>. . </I> d ',! L', C '", <I> d" </I> (all mounted in parallel) are connected by flexible .cords to the electronic translators -of the machine to be calculated on which the data provided by the scale should be carried.
On the other hand, the electros such as Zi, Z =. Corresponding to the numbering of the lines and those corresponding to the columns are mounted as indicated by fi: g. 8 by supposing that the two two-digit numbers thus formed constitute only one number:
of four digits, because it is quite obvious that it is necessary that these two names to the. times are identical to those due to the card holder so that the appliance stops and the third digits can intervene. Finally, from this moment these third digits must then intervene and operate the electros Ei and L, 71. For this, the return wire common to these twenty-eight electros is connected with the dead pad of the last electro â. right Z.
Under these conditions, if, by increasing electrical or -mechanical inertia or by any other appropriate means, the closing speed of the Z electros is decreasing so that they operate successively, it is quite obvious that the Electms such as Bi and E'i will only act when the scale has the proper range on the contact plate.
It goes without saying that it will be necessary @ to arrange the pages @of the scale! So that the numbering is always increasing in the direction of the rows and at the same time of the columns so that the Z electrons do not have to drive <B> the. </B> tape in two opposite directions.
The simplest device for driving the strip is a device similar to that described in fig. 2bis (., Comprising a .double clutch to be able to operate in both directions), the dimensions being such that one revolution corresponds to the passage from one page to the next with prior lifting of the combs during the movement.
If the scale has only a few pages, it may, as has been said above. be made up of an endless belt; in this case, it will be useless for the training to be done in both directions and as a result, the device for comparing the relative values of the numbers of the pages can be replaced by the simple device for comparing the equality.
The grounding of the return circuit of the wires <I> a., B, c. d, </I> <B> ... </B> <I> a ", b", c ", d" </I> will operate the electron translators of .la. calculating machine or â.
add which will function as if the indications it receives had: been directly supplied by the form.
Finally, a relay suitably placed, for example on the closed circuit by the safety relays of the machine, cuts all the currents. Having operated the scale apparatus.
In order to better understand the operation of the device for reading the bars, there is shown schematically, FIG. 9a and 9b a part of the installation comprising the devices ides fig. 3, 7, 8 and 9.
In fig. 9a, we see a triple comb P, <I> C, L </I> placed above a group of twelve pastil them a, b, <I> c, d; a ', b', c ', d'; a! ', </I> b ", c" and, d ". These combs and these pellets belong to a device for reading the indications supplied by the cards. The comb P is used to explore the perforations representing the page numbers of the scale.
The corresponding pads <I> a., </I> b, c and d are connected, as already described with reference to fig. 7,. To relays 1, 2, 3 and d of the device for comparing the relative magnitude of two numbers, ido ni. depends on the Z relay. The latter is connected by <I> D </I> and <I> D '</I> to the potenhametric rheostats and by y to the battery pole. The combs C and L are used to explore the perforations representing the numbers of the columns C and of the lines <I> L </I> of the scale.
The <I> a, '-. <B> K </B> </I> c' and d 'pellets corresponding to the comb C are connected to the electrons El controlling the bars B; the system for reading scales. The steps <I> a ", b", c "and d" </I>, oorresponding to the comb L are connected to the electrons E '; controlling the bars B '; of said device. A switch Z ,,, placed before the combs <I> C and L </I> is actuated by the Z relay when the latter stops in the middle position.
In fig. 9u, 'the pastilles designated by a, <I> b, c, </I> ci, <I> a', b ', c', d '</I> -and <I> a ", </ I> b ", c" belong to the exploration device @du harême. The pellets are connected to the electrons El to E ,,, -of the translator described at the beginning of this presentation. Fig. 10a represents two sets of Ide perforations of a plug and the.
fig. 10b a fragment, of a scale of which a page is limited by the lines x-.r '; <I> t </I> denotes the perforations representing the number of this page and T the perforations representing the numbers to. read in the bareme.
A card bearing the indications of the left part of the fi @ g: 10a being introduced into the device .de fig. 9a, the number corresponding to the indications on this sheet is read in the scale. With reference to the. fig. 7a, we see that the perforations represent the number 529 which means: read on, page 5 - of the scale, the number being in column 2, line 9.
(P stands for page C. column and L, row.)! Suppose this record has been replaced by another bearing the number 296. For each page, of the scale. the, plate C '(fig. 9) is lowered and then raised under the etioon of an ad hoc mechanism.
Page 5 explored during the previous operation still being in place when the card has been changed, the comb P exploring the card finds the number 2, while the comb P: from the scale reading device finds number 5. The device for comparison: of the relative magnitude of two numbers is immediately activated and acts on relay Z.
The latter moves its frame in a direction such as the band L & la. fig. 9 will move the length of a page of the scale in the direction of arrow B - (fig. 9) as soon as the plate C 'is raised. At the same time, the breaker Z_. (Fig. 9a) will prevent any current from flowing through .electros Ei and L; ', .bars Bi and Bi' remaining at rest.
The same game will be repeated as long as the desired page has not reached between the plates K and C '(fig. 9). As soon as this page is in place, the .two combs P @du, a device for comparing the relative size of two names, meet the same perforations, the relay Z remains at rest, its frame being maintained between the 'plates? i and z_ controlling the movements of the band,
of the scale and the switch Z3 closes. At this time, the current will be able to reach by those of the pas tilles <I> a ', </I> b', c ', <I> d'. a ", b", c "and d" </I> which are touched by the tips of the combs <I> C and L. </I> The corresponding appliances Ei and Ei 'will release their armatures and the ninth, bar res <B> El </B> as well as the sixth of the bars E, 'will move under the action of the springs Ri and Ri'.
The sixth spring of the bar Ei will meet the ninth spring of the bar E'i and the current will reach the exploration combs of the scale (fig. 9b). This current will pass. by those of the pellets which have been touched and will reach the electrons El to El ° 4u translator.
These electros will function as, already,: described and will cause by the lowering of water C (fig. 2) the lowering of: keys corresponding to the numbers: of the number read on page 5 of the scale. column 9, row 6.
We can take advantage of the scale to simply replace the four-decimal numbering, so advantageous from so many points of view, by the decimal numbering which alone can be transcribed on an adding machine, -da.ns in the case where the we want to include on the sheet: printing it the information: concerning the:
scale provided by the form (for example the name of the sending and receiving stations @d: in the particular case considered above). To do this, each page need only bear, next to its quadridecimal numbering, a perforated decimal numbering,: which will be. transported to the ma chine to @addition instead of the one: of the file.
Before explaining the operation of the addition, subtraction, d2 multiplication and -division devices, it is necessary to briefly describe the machines which will be used for this purpose as well as, to say a few words: -sheets.
<B> 10 </B> The additioner, contrary to the indications @du, Swiss patent no 130276 by the same inventor. Must be a full keyboard addition, @ that is: to say comprising as much, as many times nine keys as there are cotton: in the machine. It will be commanded as it was idit above.
<B> 20 </B> The type of calculating machine used is the "@! Iétal" machine with automatic carriage movement and division and. semi-automatic multiplication.
This machine,: of the perfec ted Payen type, comprises: a) a keyboard: with keys for entering the numbers to: add, subtract, multi fold or divide; b) a pedal: electrical recording raising the number entered on the keyboard to the totalizer; c) an empty key: on the keyboard; <I> d) </I> a lever -AH-SD (addition, multiplication, subtraction, division); c) a lever A-M (addition, subtraction.
multiplication,: division) which has the effect ', when it is at A to empty the keyboard matically when pressing the p-: LUtm, da.le: recording; f) an accessory keyboard with automatic multiplication.
It is by successively pressing the @keys of this nine-key keypad, the digits of the multiplier (starting from the left) that the multiplication is done, the key remaining down for the duration. operating until after automatic movement of the carriage; g) a key, @ complementary to this last keyboard, which it suffices to lower to obtain automatic division.
When the large keypad is empty, all you have to do is press this key to move the carriage up one notch (movement which can also be obtained by a special key) .-, h) a button for emptying! tor (to be drawn); i) a button for emptying the counter (pull-out).
On the other hand, to transport the results recorded in the totalizer on the. adding machine, the axes of the indicator lights of this to taliser will be provided with cylinders in insulating material carrying <I> pellets </I> mounted on @ ten generators to represent the ten digits; in front of the four possible positions of these pellets and following a generator, four wipers will be placed leading to pads on which other springs are lowered in due course (lowering of the contacts) having a longitudinal play of two units for the case! the multiplication.
To automatically control this machine using the perforated cards, it will have to be fitted with two frames such as C (fig. 1), one for the main keyboard, the other for the multiplication keyboard, in addition to cams and levers. will have to control the acessory keys. Their schematic description will be given in the course of the description of the operation.
30 Since the. . duration of operations at. perform will. essentially variable, there can be no question of making the cards pull by a device, with regular movement as is the case for the sorter or for the usual adders. The simplest will be to have the movement controlled by a relay acting in time on a clutch identical to that described above and shown in fig. 2bis.
In addition, the. plug must come to be placed on a stationary contact plate (to avoid the continuous displacement of too many flexible wires which would tend to break) constituted by an insulating mass provided with two hundred corresponding metal pads; the possible perforations of the cards. Each patch is connected to a jack allowing the connection by flexible wire with the various other devices.
The combs will be supported by a mobile frame, the four rods of a comb will not be isolated from each other, but each comb will be isolated from its neighbors and connected by flexible wire to a jack. By this means, the most varied combinations can be considered.
Finally, the shaft of the plug-holder device will act. by cams on two overlapping duration switches; one, I (fig. 12), which will appear in all the diagrams, is intended to close the various circuits when the combs are lowered and to cut them before they are raised to avoid sparking those ;
the other, Io (fig. 12), will have its presence explained during the deseription of the automatic summation device, of the packets of files classified according to a determined parameter.
It would be advantageous to replace this switch I by two switches operating successively: one on the circuit - operation indication relays, the other on the circuits: translation relays to be sure that these latter cannot function until the former have finished.
It is this: totalization device which will now be described (fig. 12). Totalization <I> after </I> exhaustion of a packet of records sorted according to <I> a </I> determined <I> parameter. </I>
10 The parameter n ': has only one .digit (base fourteen). The four wires corresponding to the four pads in the parameter column are connected to four relays s ,, s -,>, s.;. s4 mounted as follows: each of these relays comprises a bonding circuit (dotted eti) then a switching.
In addition, the two switches I and Ia of which it was mentioned above are provided and controlled by the shaft of the plug-holder, I on the plate circuit -de comb contacts, the other on the cir cuit .de bonding. Their contact times are overlapping, so that their .armatures remain in the position of attraction as long as the parameter remains the same; all the switch pads are connected as shown in the figure:
all the upper studs are in series as well as all the lower studs; @ moreover, each lower stud communicates with the corresponding upper stud; in other words, whatever the positions of the paddles of the four relays, the circuit in which they are located is continuous; it will only be interrupted during the. duration of the movement of any of these pallets. This circuit is used to power a relay S and can only do so when this relay has attracted the pallet which is part of it.
So if the parameter changes one or more of the four relays s1, s2, sur, s4 modifies it. position of their ature and the current supplying S is <B>, </B> arm.
It will be cut and will remain so <B> at, </B> unless by another circuit such as <I> CD </I> a current comes to feed it for a moment. Finally, when falling, the -de S palette will close a circuit such as <4Z3, the use of which will be seen later.
20 The parameter has several digits: it will suffice to have as many times four relays if, -s., <I> s "</I> s4 as there are digits; all the circuits relating to: S will be put in series. S remains unique regardless of the number of digits.
He goes. be now talked about: different operations.
<B><I>10</I> </B> Additioyaraezise: The current leaves: from the. source, arrives at the common wire of the translators, crosses them, goes to the contact plate: of the card distributor, is caught by the penalties and returns to the source as follows (fig. 14):
It is assumed that the additioner will be. used for the inscription of three columns (of two digits only to simplify the drawings, because this does not change the description, of which two at most can be totaled if the adder has two totalizers) ; the position of the columns fixed by the movements and stops of the carriage is generally determined by the positions of the tabs which are adapted to a rule carried by the carriage.
To each column corresponds a group of combs; or Pl, P_ #, P ,, cthese combs are respectively connected with three switches <I> Il, </I> I_., 1, which are closed when the carriage comes to be placed in the place that 'he must occupy.
The circuit then closes by passing successively through a switch Ao kept closed by a cam at the rest and start positions of the sledger carriage, so that the switches <B> il, </B> 1 =, <I> I, don't </I> run the risk of running twice,
by the rest dots of the relays Rl and R = and finally by the switch I controlled as mentioned above by the plug distributor.
The operation is then as follows: When the plug is placed on the plate and the combs are: lowered, switch 1 closes; the translator's appliances let go of their fittings; the safety relays attract theirs and close the contacts <I> il, </I> i2, <B> ... </B> i "connected in series and thus close the circuit enclosing the relay R ,.
This relay then closes the current supplying the clutch electro El from the lowering of the rod-holder frame, @ from the plating of the transducer electro armatures, and El from the lever pressing the. record key; it also closes a second circuit: which will be discussed below.
The carriage then moves and comes to close I .; Ao which had opened a little after the departure of the camshaft closes again: a second inscription at. location. then finally the one corresponding to I.
But then, by a derivation on the circuit P. ,, <I> I "</I> the circuit of the relay Bl closes when R., attracted to its armature; Rl then feeds itself by the circuit Co , D "and closes the circuit of the plug distributor's clutch solenoid; we see in Eh 'the connections of the clutch -of the distributor in series. with the. calculator;
it starts up, cuts I and everything returns to the initial state.
All these movements will be repeated as long as the cards passing through the distributor are part of the same package.
When a plug from another package arrives, when switch I is closed, one of the relays s1 <B> ... </B> s4 (fig. 12) changes the position of its : reinforcement; the circuit of relay R then closes; this relay cuts the return wire of the TI, <I> T2 </I> translators of the a.d- and closes the circuits of the: <I> ET </I>. full button and E @ on the recording pedal.
The three switches I'1, I'î, I'3 closed by the carriage in the three positions are simply bypassed, since it is only a matter of making three turns of the camshaft to press three times on the. recording pedal.
In addition, the cam controlling the pressing of the selected "total" key (or the "total" keys if two columns are added simultaneously) closes an end-of-totalization contact Il placed in series with the. switch I "" closed by the carriage: in its third position: this totalization circuit comes in CD to supply the relay S which attracts its armature;
the latter,: as we have seen, will remain attracted throughout: the duration of the <B> passage of the </B> packet. Moreover at this moment, the current, of supply of R @ being cut at x (fig. 12), this relay releases its armature and we are brought back to the registration position.
In the event that only one column of the adder is used, when entering the totals, press the recording pedal twice in succession; it would therefore be necessary to foresee some kind of change ide speed ide la. cam: end contact: totalization so that the rotation of the shaft is two turns and not just one.
<I> Addition on the calculator </I>.
The machine is supposed to be empty and the puppy pushed all the way to the left. When the <I> AM. </I> SD and <I> A, M </I> levers are not in place, they must come there; otherwise, there is no point in there being. loss of time necessitated by rotating the camshaft running empty. This result is obtained as follows (fig. 15):
The AM levers. SD and <I> A, </I> <B> 11 </B> are. operated by four push-buttons, the S / D, Vil, <I>A,<B>AIN</B> </I> relays controlling the clutches of these push-buttons are supplied by the circuits of the pallets - two polarized appliances, type Siemens, U3 <I> and </I> U ,, with two reverse windings which, in turn, receive their current from the circuits of the armatures:
<I> AD or </I> Sn- relays operating respectively for the -f- sign or the - sign. For this purpose, one of the columns of the files: must be reserved to indicate the operation; since there are four operations, the simpler will be. . to. characterize each operation in a position in the hole so as to avoid any translation. Since he rises, of the addition.
it is the <I> Ad </I> relay which will have attracted its armor; by: this, it energizes the relays A;! M and A. In the case of the subtraction Sn, by lifting its armature, it energizes U3 by the reverse winding and U4 by the same winding; consequently the frame of Uî sticks against the other pole piece and that of U4 does not move. In this case, the clutches S! D and <I> A </I> will operate.
On the other hand, the relays U3 and U ° are provided with the other pads ab, a'b 'for the first and gla, g'lt' for the second, pads capable of causing a circuit to branch off at the following XY points, the positions .pallets of U3 and U ,,. Finally, arriving at the end of the race in AN and <I> A,
</I> the A1MISD and Af levers respectively close the AN and A interlocked switches - each in the circuit of the L \, and U. The pads of these <I> cd, </I> c'd "and ef. R'f 'appliances are mounted in series with those ide U ,, and.
U.,; , moreover, the <I> d, </I> e <I> and d ', </I> e' portions of the two bifurcated X-Y circuits are electrically connected. We see then that for the sequence <I> X ab. </I> a'b '<B> ... </B> gh., G'la' y to form a continuous circuit, it is necessary and sufficient that the relays Ui and U. are respectively in the same state as the relays U ,, and U4; if for example it is a question of making an addition, the four relays will have their: frame raised;
in the case of a subtraction, Ul and U., would have their armature dropped and L. ',, and U., their armature raised.
The X-Y portion is common to two circuits: one passes through 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7. Ibis, 8. 9; 10, 11, 12, and I by crossing the translator; the other goes through 1, 18, the U5 relay, with two reverse windings. 14; 15, 5, X-Y_, 6, 7, 8, 9, 10, <B> 11, </B> 12 and I. The second winding of U, is closed by 16, 17, 18, 19, 20 or 20 '(depending on whether it is an addition or a subtraction), 21 and I. As we can see, it is closed: as soon as the relay Ad or the relay <I> Sn </I> attracts its frame.
The contacts of the Ur relay are at 22 on the common return wire of the power supply circuits of the relays controlling the pushrod clutch electrodes.
The operation is then as follows: 10 XY <I> forms </I> a continuous <I> circuit: </I> As soon as <I> Ad </I> or Sn operates, relay U visibly receives: two reverse currents; consequently, it does not attract its frame and the circuit of the pushers is cut at 22; on the other hand, the circuit of the electro-translators being closed, they operate.
2e XY <I> ne f or </I> in.e <I> not a </I> circuit conlinti .: The Uu relay receiving only the current coming from the <I> Ad </I> or Sn relays attracts its frame; relays U3 and U4 can operate the push-button clutches and the levers come to be placed in the desired position; the X-Y circuit then closes and we are brought back to the previous case.
When the translator's electros have operated, the safety relays close the switches such as Is mounted in series which close the circuits: of the clutch electros of the lowering of the rods L'l, of the recording pedal E'_ , and the armor plating of electro translators.
Towards the end, by turning the camshaft, one of them closes a switch II ,. which supplies a relay R ,; this closes a bonding circuit 23, 24 and closes at 25 the starting circuit of the plug distributor, a circuit comprising elsewhere, in series with 25 a switch controlled as seen by the relay R, ,
closed by the addition nèuse for the case where this one will work so simultaneously with their calculating machine, either to record the numbers added by this one, or for other columns @ of the file.
When the packet of cards to be added is finished, the first card of the next pack drops the armature @of the totalization relay R, which then closes the transport circuit of the total on the adding machine (at 26).
This circuit includes a relay R, (fig. 16) which operates the electro <I> AC </I> of application of the contacts. Of the figures of the machine carriage and switches the return wires to the combs P, ., P2, Pg (fig. 14) on the return wires: from the cylinders of the numbers of the totalizer TO @du. charlot -from the cal culating machine;
at the end of its travel this electro closes the switch <B> P </B> which activates the relay R ,, (fig. 14). This cuts for a moment at 37, 38 the bonding circuit of the electro Rl which releases its armature and will thus allow by closing at 27 'the return circuit of the switches <B> il </B> I2 , I., in total of the machine to be registered in the desired column;
finally, in 39, it closes a circuit which will be closed definitively by the relay Rl, that is to say when the adder has finished its movements; this circuit feeds a relay Bg which, by attracting its armature closes at 162 a gluing circuit, cuts at 161 that of the relay RE and consequently removes the totalizer contacts from the machine. In addition, R4 closes, a bonding circuit comprising the switch I and R,
activates the electro d: 'totalizer reset clutch <I> T0. </I> Finally, in this movement, the camshaft will cut the circuit, bonding R, by the relay RSbis, and close in <I> LN </I> by <I> Iv </I> the supply circuit - relay R; whose reinforcement is glued and closes in 9, 10 the X-Y circuit. The plug can then be translated, etc.
It is possible to increase the transport safety on the adding machine so as to avoid errors due to bad contacts on the totalizer cylinders in the case of addition or multiplication, if the product does not have more. numbers that the keyboard capacity quoted.
To do this, it suffices, instead of emptying the totalizer,. To record on the keyboard (by mounting the bypass wires on those of the adding machine) the sum to be transported, to subtract it, from the totalizer and, to note by any device that the latter is empty.
It often happens that after having been transcribed on the adder, the total parti- # 1 will have to be totaled on it; in this case, there will be on the form a change of the parameter relating to the totalization on the machine and also a change of the parameter relating to the totalization on the adding machine; it is quite obvious that it will be necessary that the.
first totalization is done before the second; the following assembly (fig. 18) makes it possible to obtain this result: The currents supplying respectively the R, and S totalizing electrodes (fig. 12) pass through, in series for example with these electrodes, a relay R ,; with two windings of the same direction.
This relay must have its armature attracted so that the RZ relay controlled in x by S can operate. Under these conditions, if .8 alone receives current, R, attracts its armature, but the circuit of R2 is cut at x. If R ,;
only one receives it, R9. still attracts its frame and it is even R @. Finally, if Bzi and ST receive neither one nor the other, R, lets go of its frame and, consequently, it is the totalization by R, which will be done; when it is finished R,. attracting its pallet, R @ will work, etc.
During this time, the file of the next package will wait since during the whole operation concerning the. my china to calculate the combs Pl, P =, P; have been switched off.
Substraction. Everything is identical to the addition except that it is the relay S which has operated.
Multiplication (fig. 17). In the case of addition and subtraction, the fact of operating on decimal digits did not intervene so to speak; for multiplication a small complication is already introduced:
The multiplicand and the multiplier will in fact always have two decimal places; therefore, the product will have four; but it will only be necessary to take two out of these four; it will be necessary to shift the reading contacts of the machine totalizer by two units; on the other hand, if the third decimal is a number equal to or greater than 5, the second decimal must be increased by one.
To obtain these results: The bar carrying the lowering contacts will be able to move sideways under the action of a special electro; The contact-carrying cylinder of the second decimal digit shall be provided with two groups of wipers, one normal and the other for the digit higher by one unit than that indicated by the totalizer;
on the other hand, the third decimal digit d3 will have its contact-holder cylinder fitted with an additional contact closing the circuit of a special relay (override relay) FR when this third digit is 5, 6, 7,. 8 or 9.
This relay: will have the effect of: connecting the return wire of the electro translator - of the corresponding adder - ponda.nt. To the second .decimal figure with the normal slider or the second group of these depending on whether he does not attract or that he pulls his pallet. Of course, the circuit of this forcing relay will be closed by the armature attracted to the multiplication relay so as to be able to operate only for this operation.
This done, the electro M (fig. 17) acts on relays U3 and U4 to put the: AM,! SD and A / M levers in position;
at the same time as it closes the circuit of the relay .de forcing FR in 40n, that of the pulling: from the carriage to 1-, right <I> TC </I> in 40b that of the offset of the .contacts <I> DC </I> in 40n that of R3 in 40A, and it cuts in 40bis. The control circuit of the,
addition key <I> AT. </I> The multiplicand is then written in IMA. as would be the number to .addition - or to subtract. The e = ha- riot at the end of the stroke closes the switch <I> Id </I> which operates an RIA relay, which closes a bonding circuit passing through the switch I, cuts the power supply to the clutch of the carriage pull and closes the multiplier translation circuit. This last circuit passes through two upper pads of relay B7 which close when the multi plicand has been registered.
It comprises in or be the .distributor D and the switch I-rya controlled by the lever for starting the machine. The distributor D is carried by the fixed frame of the apparatus, while the movable contact spring <I> Mr </I> is fixed isolated on the carriage. Its goal is to connect successively with the translator of the multiplier all the digits constituting the latter.
As for the starting lever of the machine engine, it is automatically controlled by the multiplier keys; therefore, the fine switch will be open as long as one button of the multiplier is held down and closes otherwise.
Under these conditions the first digit (to the left of the multiplier) is translated; the multiplier safety relay lowers the frame at <I> IX, </I> which presses the correspon- ding key, then re-glue the fittings of the electronic translators; however the multiplication takes place and the switch Inz remaining open throughout the duration of the operation including the movement of the carriage, nothing else happens;
once this operation is complete <I> lm </I> is closed, the -second digit is translated, .etc. When we arrive, at the last digit on the right, that is to say, when the cart is at the bottom of the bear, this-Here closes -the switch Ig;
this switch initiates the closing of a circuit which will be definitively closed by the movement of the switch Ih controlled by a cam after entering the number of the multiplier. This circuit includes an electro Rl, which cuts in 160 the supply circuit for the translation of the multiplier and closes a bonding circuit comprising the switch I,. Opens at 50 the circuit comprising the relay B5 (fig. . 1.5) who transports the product,
the totalizer on the adder. Finally, it closes a -circuit @ for supplying the clutch to the CI keyboard emptying key.
The machine performs the multiplication starting with the first digit to the left of the multiplier; if, therefore, the number of digits of the multiplier is less than that of the capacity of the machine, it will be necessary to advance the empty trolley by as many units as the number of digits is missing from the multiplier. For this, the translator of the multiplier will carry. a key () before pressing the. advance key - the carriage.
This key will have to be lowered either that the column of the. sheet has no perforation, either. considered column- has the corresponding perforation at zero.
This result can be obtained as follows: the stem t (fig. Z) of this key can be embraced by two forks f, one controlled by an electro E identical to cem @ of the other figures, and working for the combination, the other in the opposite direction, that is to say hooked when its electronic control does not receive any current, said electro having only one winding, de-magnetizing,
and traversed by the return current common to all electro-translators.
Divison (fig. 18). The first thing to do is to place the cart in the correct position. Let us consider an eight-digit counter, it will obviously be necessary, in order to have a quotient with two exact decimal digits, to continue the division until the third; in this case, we can realize that after having pulled the carriage all the way to the right, it will have to be advanced to the left by a number of units equal to four. reduced by the excess number of digits of the dividend over that of the divisor.
In addition, it will be necessary to place the dividend and the divisor @ so that the first digit to the left of each of them is in the same column, if the -dividend has more -digits than the divisor and this is their first number. to the right otherwise. This last condition will be automatically fulfilled, moreover, if the carriage is placed beforehand in the manner indicated above and if the dividend and the divisor come to register one above the other.
The various movements will then be as follows: Relay D closes at 56 the relay controlling the clutch <I> TC </I> for pulling the ch.a- r10t; at the same time, it switches the closed circuit to 55 by the <I> Id </I> switch (which the carriage pushes at the end of its travel) and directs it to a Z relay which: 10 is formed at 60 a bonding circuit; 2nd short-circuits to <I> p, q, r, s, </I> t respec tively the first four digits of the keypad;
3rd switches to u., <I> v, x, y; </I> u ', <I> v', x ', d' </I> the return children of the first four digits, the dividend and of the divider to direct them, as will be described, through the windings of the four relays Vl, V2, V., V4; 40 Opens in 61 the circuit of the relay - of the draw, of the carriage; 50 closes at 62 the circuit of a delay relay, the utility of which will be explained below.
The Vl, V2, V3, V4 electros are Hughes type polarized electros (with short stroke so that the armature returns by itself).
They have three windings: one connected .with the wires coming from the divider is _naignetizing; the two others are demagnetizing; among these one receives the children of the dividend and the other is fed: as will be explained.
The assembly of their reinforcements is the following: the working stud h of Vl is connected to the pivot p2 die Vz, the working stud l, 2 of V2 is connected to the pivot p2 of V. ,, the stud ide work <I> l., </I> of V2 is connected to pivot p4, die V4.
The rest pads ml, m2, m3, m4 are respectively connected to. one, of the ends of the winding of the relays WI, W2, W3, W4. Finally, 14 working studs of V4 -is connected to one end of the winding! Of a relay D '.
The four electros W and the electro D 'have the other end of their winding connected in bypass on a circuit which is closed at 62bis by the delay relay Z' and comes to an end at the pivot p1 of the arma- Turkish relay Vl. The four relays W shunt off the circuit of a relay Y controlling the forward button of the chain.
Finally, four switches <I> il, </I> i2, ir, i4 will be successively closed by a continuous boss of the carriage in its advancement unit by unit (each switch remaining closed when the following ones close); they are intercalated in circuits supplying the third winding of the electros V. In addition, they will be closed in the order i4, i # -, i2, <I> il. </I>
Under these conditions, the operation of this device will be as follows: Let us suppose that the .dividend: has, at most, as many digits as the divisor; in this case the armatures of the four V relays will remain in their rest position; the circuit of Y will be closed by Vil, the carriage will advance by one unit and thereby close i4 which will act on V4, this one will close p4, l4; the carriage will move forward a second unit and, through i3, p3, <B>1</B> <I> 3 </I> will close, then p2, 12 and finally pl, h when the carriage has moved forward : four units;
at this moment the four W relays will be switched off and D 'will operate.
If now the dividend has one digit more than the divisor, it will obviously be the relay Vl, which will not receive any current from the divider and therefore will have released its armature; <B> it </B> p1 will close by putting Wl off; then W2 will move the cart forward; as above l4, p4 will close, then l3, p3, then p2, 12 but, the carriage having advanced ide three units all the W appliances will be switched off, etc.
If the dividend is two digits more than the divisor, the W3 relay will move the cart forward.
Finally, if the dividend has four digits, more than the divisor, the four electros V will have released their armature and the relay D 'will operate immediately.
Cut the power supply of relay Z at 63, the dividend and divider translation circuits then return to normal, a bonding circuit closes at 64, and at 65 the <B> (the </B> l 'electro <I> Ad </I> (fig. 15) after having switched the supply wire of relay R7 to 45 and closed the dividend return wire at 66. This is then registered (as a sum to be added).
Switch II 'when closing, sends the current through bifurcation 45 to a relay Ro which closes at 67 in the bonding circuit, cuts the dividend return wire at 68 and closes at @ 69. - braya, Lye ide vidaz.e - from the VC meter. Inter. the right), or 5 (starting from the left) of the counter. <B> It </B> will therefore be necessary to pull the carriage all the way to the right, then to reverse it by four units to the left (we have always assumed eight digits: on the meter).
We can then follow the various movements of the relays; the perforation made in the operation indication column acts.
EMI0018.0013
<U> anrla <SEP> nalaia <SEP> n <SEP> las <SEP> gi @ .n "@ + r <SEP> rlji </U>
EMI0018.0014
then 7631 -of 2530, then finally the first number clin quotient 3, then the second 3. The appearing quotient is therefore: 0.033.
Note that apart from the particular assemblies of the V relays, the complete key mechanism this operation is only a particular case. My general process indicated at the beginning of the description: a relay is closed for a moment by an external cause ; this relay closes a bonding circuit and controls a movement. This bonding circuit will be cut by an intervening relay, in the same way after the end of the movement commanded by the first relay and so on.
<I> Verification of </I> results <I> of </I> calculations indicated <I> by </I> an <I> record. </I>
This check will be carried out in the following way, of which it is unnecessary to indicate the details, because it is only a question of the combination of operations <B> already </B> described.
The results of the calculations made by the machine and those provided by the sheet are compared by the device described above for comparing the relative value of two numbers; if they are identical, the following plug is taken by the distributor; otherwise suitable relays will record successively the two numbers to be compared on a calculating machine, make the difference and transport it depending on whether it is in one direction or the other on one or the other of the counters of an adding machine that can. at the same time to register the digital reference indications.