CH139019A - Statistics installation using perforated sheets. - Google Patents

Statistics installation using perforated sheets.

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CH139019A
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Jacob Marcel
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Description

  

  Installation de statistique utilisant des feuilles perforées.    La, présente invention a. pour objet une  installation -de statistique utilisant: des feuil  les perforées et     qui    comporte un certain nom  bre .de dispositifs permettant de réaliser les  quatre opérations arithmétiques,     caractérisée     par un dispositif     permettant    clé comparer les       indications    données sur deux feuilles, -de lire       certaines    indications de l'une -(les feuilles       d'après    des indications données par l'autre,  de     transporter    les indications lues dans un  dispositif     traducteur    au moyen .duquel ces  indications,

   transmises à. partir     -des    feuilles  perforées, sont enregistrées sur le clavier  d'une machine à calculer et soit transportées  sur les tambours chiffrés de cette dernière  pour être utilisées, suivant     les    besoins. pour  une     opération    arithmétique quelconque, di  vers dispositifs étant prévus pour agir sur  l'enregistrement, suivant les     indications    don  nées par     certaines        feuilles    perforées. et effec  tuer     automatiquement    les opérations voulues  lorsque une série de ces feuilles est épuisée.  



  Le dessin ci-annexé représente, schémati  quement et à titre d'exemple, une forme    d'exécution d'une installation selon l'inven  tion, ainsi que quelques variantes de détail.  



       La,    fi-. 1 est une     représentation    schéma  tique d'un appareil     -clé    statistique appliqué à  la     commande    d'une     machine    .à calculer;  La     fig.    2 montre le ,dispositif de     solid.ari-          sation    :des poussoirs avec le cadre mobile;  La     fig.        2bis    représente le dispositif d'em  brayage des cames avec l'arbre de commande;  La     fi@g.    3 est un schéma de connexions  d'un traducteur sans relais;

    La     fig.    4 est une forme d'exécution     spè-          ciale    du -dispositif représenté     fig.    3;  La     fig.    5 est un schéma de montage du  relais de sécurité;  La     fig.    6 est un schéma .de montage pour  la vérification de l'identité -clé     @cleux    nombres;  La     fjg.    7 est. un schéma. de montage pour  la comparaison des valeurs relatives de deux       nômbres        formés    d'un seul chiffre;

    La     fïg.    8 est un schéma de montage pour  la     comparaison    des valeurs relatives de deux  nombres     formés    de plusieurs chiffres;      La     fig.    9 représente     schématiquement    un       dispositif    de lecture     4.e    barème;  La     fig.    10 représente la disposition des  groupes de     pastilles    conductrices sur la pla  que de lecture de l'appareil à barème;  La,     fig.    11 montre le dispositif de lecture  d'un élément d'un barème;

    La     fig.    12 représente le schéma du mon  tage permettant la totalisation automatique  après épuisement     -d'un    paquet de fiches triées  suivant un paramètre ;déterminé;  La     fig.    13 est un dispositif     pour    la to  talisation -de totaux     partiels;     La     fib.    14 est un     schéma,de        montage    d'un  dispositif d'inscription et     @d'a,ddition    sur une  machine à additionner imprimante;

    La,     fig.    15 est un schéma de     montagé     d'un     :dispositif        :d'a:ddi1ion    sur une machine à  calculer  La. fi; a. 16 est un schéma de montage     d'un          dispositif    de transcription des résultats il-     1:i     machine à. calculer sur la machine à. addi  tionner;  La fi-. 17 est un schéma, de montage d'un  dispositif de multiplication sur une machine  à. .calculer;  La     fig.    18 est un schéma. de montage d'un  dispositif -de     dimsion    sur une machine à cal  culer.  



  La.     machine    à additionner est surmontée       (fig.    1) d'un bâti muni d'autant     cle        tiges     verticales telles que t, qu'il y aura, de tou  ches telles que T, sur     cette    machine (neuf  par     colonnes);    chaque tige     vient    appuyer sur  une touche et peut. être, par     l'action    -d'un       électro        convenable,    rendue solidaire     d'un    ca  dre C qui pourra, en temps opportun. être  abaissé par     l'action    :de la     :

  bielle    R, actionnée  par la came Q, et, par conséquent, enfoncer  la. touche correspondante.  



  Les tiges t et le cadre C sont rendus soli  daires par le dispositif suivant     fig.    2.  



  En     électro    polarisé E, constitué par  exemple par un aimant     tVS    muni entre ses       branches    d'une bobine E dont les enroule  ments seront fixés plus .bas, porte une arma  ture clé fer doux articulée en- A et tirée par  un ressort R. A     cette    armature est fixé un    prolongement terminé par un anneau a.

   Dans  cet anneau peut coulisser une tige pivotée en       p    sur le cadre C et terminée par une four  chette<I>f.</I> D'autre part, la tige     t    est munie  d'un     disque    d reposant sur un ressort     r.    Lors  que     l'électro    E lâche son armature, la four  chette f vient prendre entre ses dents la     ti'e     <I>t</I> au-dessus du     .disque   <I>d</I> et lorsque le cadre C       s'abaissera,    il en sera de .même de la tige     t.     et de la, touche T.

   Au contraire, si     l'électro        E     n'a pas lâché son     armature,    la fourchette f  passe     à.    côté du :disque     d.    Dans tous les cas  la queue de la fourchette f coulisse dans l'an  neau a.  



  Quant     à.    l'abaissement du     cadre-C.    il est  obtenu ainsi: un arbre à cames C     (fig.        9bis)     mû par un moteur, porte, enfilées folles sur  lui un     certain    nombre de .cames ne     -différant     que par le profil et les dimensions. mais pou  vant être embrayées sur lui par le     .dispositif          suivant:    un noyau     plongeur    P     déplace        vers     la gauche un système de     :barres    b;

   -dans ce  mouvement un galet     g,    quitte une cavité tic,       bloquage        e        ménagée    :dans un disque     s.olidairo     ,de la came Q, puis un embrayage à     zriff@-          (ou    à friction) l claveté sur l'arbre C vient  en prise     av.        ,,    les     d-Pntures    (ou le plateau) soli  -daires -de la came Q;

   en outre, un galet     g=          vient    se placer dans la     gorge        (dont    le rebord  extérieur est interrompu en un point convena  ble) d'une roue à     ;gorge    i     également        solidaire     de la came Q, de     sorte        que,    si le courant cesse  de passer dans le plongeur P, les barres b  ne pourront sous     l'action    -du     ressort    R'. opé  rer le     débrat-a;e    que lorsque la came .Q aura  effectué un tour     c:omlrlet.     



  L'arbre C est représenté comme portant  (fil-. 1) cinq cames :dont les rôles sont:  Q, -d'abaisser le cadre;       Q_    d'abaisser la, touche     d'un    totalisateur:       Q@        d'.aba.isser    la.     touche    d'un second totali  sateur;       Q,    d'abaisser la. touche     d'enregistrement          ,du    nombre inscrit;  Q.; d'agir sur des tires     n        (fig.    2)     munies          d'ergots        e    ayant pour but de ramener les ar  matures sur les     électros    E.

        Il importe maintenant .de décrire la façon  dont s'opère la traduction -des perforations.  Bien que dans la. machine à. additionner     cha-          que        colonne    ne comporte que neuf chiffres,  cette     trajductiun    sera envisagée dans le cas       ;én        ral,c'est-à-dire    pour quatorze     combinai-          S,ons    possibles.  



  Le dispositif qui va être décrit permet la  traduction au moyen de quatorze électron po  larisés tels que E     (fig.        \?)    sans aucun relais;  flans ce but, chacun clé ces électron comporte       quatre    enroulements distincts et est monté,  comme il va, être -dit, en     dérivation    sur les  quatre fils correspondant aux quatre perfora  tions possibles; soient<I>a., b. c, d,</I> ces quatre  fils et Ex,     E2,    . . .<B><I>El,</I></B> les quatorze électron       (fig.    3).  



  Dans     l'électro    El, la     dérivation    prise sur  le fil a est montée de façon à, produire un  champ     démagnétisant,    tandis que les dériva  tions prises sur les trois autres fils sont mon  tées en sens contraire. Par conséquent, le       décollage    clé     l'armature    ne pourra. se produire  que     si    le courant vient     du    fil a et de celui-là  seulement.  



  Dans     l'électro        E_    ce sera la     dérivation     prise sur le fil b qui     agira.    .   Dans     l'éle.ctro    En seule la, dérivation ve  nant de c sera     active.     



  Dans     l'électro        E;    ce sera la dérivation       vinant    clé d.  



  Dans     l'électro        E;,    les deux dérivations ve  nant     respectivement    de     n.    et b seront.     .déma-          ,gn6tisantes,    les     deux    autres étant de sens con  traire:

       d'autre    part. la tension du ressort de  rappel     P        (fig.        2')    devra, être moitié de celle       des    ressorts des quatre premiers électron de  façon que le décollage ne     -puisse    avoir lieu       que        lorsque    les deux enroulements actifs sont       .simultanément    parcourus par le courant.  



  Dans les électron     E,,   <I>E;, ER,</I>     Eq.        Elo.    ce       >,ont    respectivement les groupements de     déri-          val:ions        ac.   <I>ad. bc. bd, cd,</I> qui     f,    vont décoller  les armatures.  



  Enfin,     -dans    les     'electros        Èll,        E12,        E12.   <B><I>El,</I></B>  les trois enroulements<I>abc,</I>     abd,        acd,        bed    se  ront respectivement     .démagnétisants    et les res  sorts de rappel     @de    :leurs     armatures        seront    ré-         ,;lés    de façon que les trais     courants    actifs  soient nécessaires pour :causer le décollage.

    leur tension -devra donc être le tiers de celle  des     éle.ctros    El,     E2,        E3,    E4.  



  Une variante du dispositif précédent qui  a pour but     d'éviter    les erreurs qui pourraient  se produire en cas de     -déréglage    d'un ressort  ou de variation dans le magnétisme des élec  tron est représentée sur la     fig.    4.  



  On peut tout -d'abord     remarqu        er    qu'il est  évident que si un     déréglage    peut permettre  à un     électro    ne :devant     fonctionner    que dans  le cas où deux circuits sont parcourus par un  courant de     fonctionner    sous     l'action    -d'un seul  par     suite        -clé        4éma,,om6tisa.tian    de l'aimant,  l'inverse ne pourra avoir lieu et jamais ce  phénomène n'aura pour effet de faire fonc  tionner un des électron El<B>...</B>     E14    sous     l'a,

  c-          tion    de deux     courants    -opposés. Dans ces con  ditions, il serait     avantageux    ,de disposer les  montages de     telle    sorte que, si par exemple  le courant a passe dans     l'électro    El, il ne  puisse passer aussi dans ceux qui doivent       fonctionner    sous son action et celle d'un ou  plusieurs autres.  



  Dans ce but, les fils<I>a., b,</I> c, d, passent  respectivement par des rupteurs commandés  par les armatures des électron El, E2,     E3,        E4,     avant que n'y soient branchées les     dérivations     ,des électron     E;,.        E,,.    . .     El,,.    Il en résulte que,  puisque même en cas de     déréglage    les res  sorts clés premiers seront plus tendus que  eux des seconds, les armatures de El.     E2,        E;,          E4,    seront lâchées les premières et couperont  le     courant    devant se rendre dans .les suivants.

    Il est d'ailleurs facile de régler les inerties  des électron de façon que ce résultat soit  atteint à. coup sur. On pourrait même pré  voir sur l'arbre de la     machine    plusieurs rup  teurs qui produiraient ces actions successives  et éviteraient par là :les     étincelles    possibles  aux bornes de ceux que     commandent        les        élec-          tros    E.  



  De même, avant d'être munis     @Îles        d'ériva.-          tions    alimentant les électron     El,,        E12,    El     -#.          El,,    les fils<I>a, b,</I>     e,   <I>d</I>     passent    par les doubles  rupteurs     commandés    par les armatures des  électron E;

   à     El,,,        chacun    de ceux-ci pouvant      couper les courants dont les dérivations les  alimentent, tous les rupteurs     relatifs    à un  même courant étant     montés    en série.     Dan¯     ces conditions les     électros    E,,.     E,_,   <B><I> & </I></B>,     E,.l     ne pourront, en aucun cas,     fonctionner    sous       l'a.etion    de deux courants seulement.  



  Il est bien évident que chaque fois que  la. traduction     n'.aizra,    à être faite que     -dans    le  système     :décimal,    les rupteurs actionnés par  les     électros        E;,    à.     El"    seront inutiles et pour  ront être supprimés.  



  Pour     plus    de clarté dans le dessin     (fi:g.        :I),     seuls les circuit produisant la. chute des  armatures ont été représentés, à l'exclusion  des autres circuits     et,du    fil de retour commun  à tous les circuits.         Relais   <I>de sécurité. - Zéros.</I>  



  Ce second dispositif représenté sur la       fig.    d a. l'avantage -d'éviter les erreurs     dues     à un     dé:réglage        toujours    possible, mais il a  l'inconvénient     d'introduire    un certain nombre  (le ruptures de courant dans des circuits à  self élevée, d'où éventualité de détérioration  des contacts et consécutivement de ratés,  sauf dans le cas indiqué ci-dessus où plu  sieurs rupteurs mécaniques auraient été pré  vus.

   On peut très simplement parer à.     e..#          -danger    de la, façon suivante:       Supposons    par exemple que les circuits a  et b soient parcourus par un courant, mais  que, par suite de ,la :détérioration !du rupteur  de     l'électro    El, le courant a n'arrive pas jus  qu'à E;; ce     dernier,    à moins de     :d-éréalago     bien improbable (à     moins    que l'appareil ne  soit tout à fais: en mauvais état), ne pourra  fonctionner puisqu'il ne sera. alimenté que  par le seul courant a:

       d'autre    part, El qui  recevra, à la fois le courant a et, dans le sens  contraire, le courant     b,    ne     fonctionnera    pas non  plus; par conséquent, tout mauvais contact à  un rupteur aura pour     Pffet:d'empêcher    le     fonc-          l-ionnement    -de     l'éleetro    en cause sans en faire  fonctionner un autre. Cette remarque faite,  on voit donc qu'il suffira. d'être sûr que, dès  qu'un .circuit a,<I>b,</I>     c   <I>ou d</I> est parcouru par  un courant quelconque, un des électron a  lâché son armature.

      D'autre part, d'après la méthode     exposé-          au    début de cette description, il faudra. que,       lorsque    les     électros    traducteurs auront fini  de     fonctionner,    un circuit     s'établisse    pour       eomma.nder        l'abaissement    :du -cadre C; or, au  moins dans le cas où les     électros    traducteurs  commandent un clavier de machine à, addi  tionner ou à calculer, il n'y a aucune touche  pour le zéro.

   Il faut donc prévoir un dis  positif qui permette, lorsque le chiffre d'une  colonne à. traduire est un zéro, -de disposer  également d'une     fermeture    -de circuit, qui,  mise en série avec celles dont auront     ét,'#     pourvus les     électros    traducteurs des autres  colonnes, permettra. de disposer ;d'un     :cirauil     continu     agissant    sur     l'électro        d'embrayage        d.,-          l'-abaissement    du cadre C.  



  Chacun des     électros    traducteurs E com  mande un rupteur C dont la.     fermeture    est  produite par les     arma.lure:.        rlesclitélectros    E.  Les rupteurs Cl à     C,,    sont montés en déri  vation pour tous les     électros    El<B>...</B> E14 :d'une  même colonne et     chaque    groupe correspon  dant à une colonne est monté en     série    avec  les groupes des autres colonnes de façon à  obtenir à. coup sûr le résultat cherché. à sa  voir que le fonctionnement d'un     électro    quel  conque ;dans     chaque    colonne permette la fer  meture d'un circuit.  



  Cela. posé, le fil de retour des quatorze       électros    (réduits en général à neuf) traverse  un relais     Rp    (fi;. 5) qui ferme lui-même le  circuit d'un relais     RS    à trois circuits -dis  tincts,     égaux.        montés    deux dans un sens. et  ](,troisième en sens opposé.  



  Le premier île ces enroulements est     excité     lors de la     fermeture        f'un    rupteur Y dès  qu'une fiche est soumise à     l'a'na'lyse.     



  Le     second        @de,    même sens que le     premi-r     est celui qui est fermé par les contacts c por  tés par les armatures des     électron    E.  



  Le troisième est celui qui est commandé  par le-relais     Rp,    excité lui-même par ce cou  rant traversant les électron E.  



  Dans ces conditions:  a)     'Si    un courant vient des contacts     n,     passe .d'ans     l'électro        R8,    c'est que, d'après la  remarque     ci-.clessus,    un de ces électron a reçu      un courant qui, par conséquent, traversera  aussi     RS.    Celui-ci attirera donc son     .arma-          ture    puisqu'il recevra deux courants actifs  et un de sens inverse.  



  b)     ,Si    aucun courant ne vient des contacts  c par suite     @de    non fonctionnement d'un     é@ec-          tro    E consécutivement à un mauvais     contact     de rupteur,     RS    recevra tout -de même le     eou-          rant,    lorsque     l'électro    E fonctionne et, ali  menté en     conséquent    par deux courants in  verses, il n'attirera pas son armature.  



  c) Le chiffre à traduire dans la colonne  est un zéro. Dans ce .cas seul le premier cir  cuit est parcouru par un courant et l'arma  ture est attirée.  



       Il    suffira     danc    de mettre en série tous  les contacts tels que<B>150</B> fermés par les ar  matures des relais     RS    correspondant à cha  que colonne et -de faire     fonctionner    par le       circuit    ,ainsi formé     l'électro        (Fembrayage    de  l'abaissement du cadre C pour être sûr que  ce mouvement ne puisse avoir lieu qu'après  que la tige     .correspondant    à la touche voulue  aura été     prise    par la fourchette f. et qu'il  aura lieu     même    si dans une colonne il y a un  zéro.

   Ce résultat n'aurait pu être obtenu en       mettant,    comme i1 a été dit ci-dessus, pour  plus de simplicité, en série les groupes de       contacts    c. Le relais     RS    ne pourrait fonc  tionner si son troisième .circuit était par  couru par les courants d'intensité variable  traversant les     électros    E ayant dû fonction  ner; c'est la raison pour laquelle on a prévu  un relais préliminaire     Rp    alimenté par ce  courant variable et formant     uii    circuit à     Té          sistance    fixe     traversant    le relais     RS.     



       L'installation    de statistique représentée  comporte en outre un certain nombre de     idis-          positifs    que l'on va décrire .ci-dessous.  



  <I>I. Dispositif de</I>     comparaison   <I>de</I>     de-rex,        -raoîyzb?-es     <I>représentés par des</I>     perforations.     



  En premier lieu, il     s'agira,    de lire dans  un barème les indications     correspondant    aux  données fournies par les     perforations    des  fiches. Bien entendu, le     barème    sera. lui  même     constitué    par une feuille perforée;  avant tout il y a lieu -de résoudre les pro  blèmes suivants:    a) Vérification de l'identité ides deux       nombres.     



  b) Comparaison -de     la.    valeur relative de  deux nombres.  



  a) Cette vérification peut se faire de la  façon suivante-     1o    soient d'abord des nombres  formés d'un seul chiffre (dans le système       quadridzcirna.l).     



  Deux     feuilles    portant les     perforations    cor  respondant aux     nombres    à     .so,mparer    sont pla  cées sur les plaques     :dr;    contact, sous les pei  gnes, soit par     exemple        en.        K    et en     K'        (fig.   <B>6).</B>  Les quatre fils -de chaque     .plaque    -de contact  sont reliés respectivement aux enroulements  de quatre     .électros    à deux enroulements con  traires. Les armatures de ces     ëlect_ros    ont.

    pour effet -de fermer une -dérivation prise sur       deux    fils FI et     F,    quel ou quels que soit ou  soient le ou les     électros    ayant attiré son ou  leurs     armatures.    Il est bien évident que si  les deux chiffres à     comparer    sont identiques,  chaque     électro    recevra. du     courant        dans        ses     deux enroulement .et n'attirera pas sa palette;

    au contraire si les deux     figures    formées par  les perforations sont différentes, un au     moius     des     électros        attirera    son armature et le cir  cuit     F,-F2    sera fermé par la     dérivation    cor  respondante.  



  Si     maintenant    les .deux nombres à com  parer     comportent    plusieurs chiffres, il faudra  autant -de     b    pupes de quatre     électros    qu'il y  aura     @de    chiffres et tous     les    rupteurs com  mandés par ces divers     électros    seront mon  tés en     dérivation    sur     les    fils     F,.-F..    Le cir  cuit     F,--F.    ne pourra.

   être ainsi fermé que  dans le cas où     l'ensemble    des chiffres en     K     ne sera pas identique à l'ensemble des chif  fres en W et     il    ne le sera, pas     clans    le cas  contraire, c'est-à-dire si les -deux nombres à  comparer sont égaux.  



  b) Comparaison de la. valeur     relative    de  deux nombres. Le dispositif     utilisé        (fig.    7)  comporte deux jeux de pointes     palpeuses        -1     et     B    et deux     rhéostats        potentiométriques        ('     et D formés chacun     -d'éléments    -de     résistance     <I>r,</I><B>...</B> r14     @et   <I>r',</I><B>...</B>     y'14.    Ces éléments sont     con-          nectés    à.

   des rupteurs     oomma.ndés        par    des re  lais 1, 2, 3 et 4, respectivement l', 2', 3' et      4' dont les     bobinages    sont reliés individuelle  ment .aux pointes     palpeuses    -des deux jeux 21  et     13.    Chaque relais     commande    autant de  rupteurs qu'il y a     d'éléments    -de résistance  dans     chaque    rhéostat.

   De plus, chaque rup  teur est relié en série avec les rupteurs homo  logues des autres relais, c'est-à-dire avec les  rupteurs des autres relais qui     .correspondent     tous au même élément de résistance.     Le,cou-          rant    venant des résistances -devra donc     tra:     verser toujours quatre rupteurs en série avant.  d'arriver à un fil commun aboutissant à un       enroulement    d'un relais différentiel Z dont  l'autre     enroulement    est relié de la même ma  nière à l'autre rhéostat.  



       Dans    l'exemple représenté, on a admis  que les chiffres sont représentés par quatre  perforations au maximum, perforations qui  peuvent former quatorze combinaisons diffé  rentes telles que celles que montrent la       fig.        7a.    A chaque perforation     correspo-nd    une  pointe     pulpeuse    reliée à un relais. Il y a  donc deux jeux     @de    quatre pointes et     ideux     groupes de quatre relais 1, 2, 3 -et 4 respec  tivement l', 2', 3' et 4'. Chaque relais com  mande .autant  &  rupteurs qu'il y a de com  binaisons possibles, soit quatorze au cas par  ticulier.

   Chaque     rupteur    constitue un     com-          mutateur    à quatre plots dont deux sont tou  jours reliés, que le relais soit excité :ou pas.  Chaque premier rupteur d'un relais est relié  en série avec tous les premiers rupteurs des  autres relais du même groupe; chaque second  rupteur est relié avec tous les seconds rup  teurs :des autres     relais    du .même groupe, etc.  ,jusqu'au quatorzième. -Un groupe ide relais  commande donc     cinquante-six    rupteurs reliés  en série     quatre    à quatre et qui forment qua  torze circuits dont .les entrées sont reliées  chacune à un élément de résistance et dont  les sorties sont toutes reliées au relais Z.  



  Les rupteurs en série sont reliés de telle  façon que pour une     oombinaison    donnée ides  perforations il n'y aura, qu'un seul circuit  fermé entre les rhéostats     potentiométriques    et  les fils d'entrée du relais     X.     



  Supposons maintenant par exemple que 'te  chiffre lu par les pointes du jeu A comman-          < l.ant    les relais 1,     =2,    3, 4 soit 6, tandis que  le chiffre lu par les pointes -du jeu D     com-          mandant    les relais l', 2', 3', 4' soit 9.

   Si l'on  appelle Y     la    tension aux bornes de la pile  et i le courant parcourant le fil     .des    potentio  mètres entre     x    et y, d'une     part,    et     .r'    et  -d'autre part, on .aura.:
EMI0006.0038  
    En conséquence, la     différence,de        potentiel     entre le point C et le -point y sera:  
EMI0006.0041     
    tandis que la différence de potentiel entre C'  et y' ne sera que:  
EMI0006.0042     
    Il est donc visible qu'un courant .allant  de D en D'     parcourra        l'électro    Z ;dans le sens  D D' et l'armature ,de Z prendra une position  donnée.  



  De même, si ,le chiffre lu par les peignes  dans le système 1, 2, 3, 4 avait été supé  rieur au chiffre lu par les peignes dans le  système     1.',    2', 3', 4', le courant parcourant  Z aurait été de sens contraire et l'armature  de Z aurait pris une position contraire<B>à</B>  celle     @du    cas précédent.  



  Enfin, si les deux chiffres avaient été  égaux, il n'y aurait eu aucune différence     cb-          potentiel    entre les points D et D' et par suite       aucun    courant dans     l'électro    Z, l'armature  restant alors     dans    la position médiane.  



  Les trois positions de     l'armature    :de Z  sont utilisées pour signaler, soit     l'identit@#-          (position    médiane), soit l'inégalité     positive     ,ou négative de deux     nombre    (position ex  trême).  



  20 Comparaison ide la valeur relative<B>de</B>  nombres comprenant deux chiffres (fi-. 8).  A chaque chiffre correspondra un     group,     sélectionneur comme -ci-dessus (non représenté  sur la figure) avec respectivement les deux  relais     Z,.    et     Z2;    le groupe     Zl    correspondra  aux     quatorzaines,    le groupe     Z.    aux unités  (système     quadridécimal).     



  Ici, une parenthèse s'impose. On a vu  plus haut que les chiffres sont représentés,      dans le cas de l'exemple décrit, par     quatre          perforations    susceptibles de former quinze       cam:binaisons    différentes. Or, dans le sys  tème décimal, on ne dispose que de .dix chif  fres -différents.

   Avec     quatre    perforations il  y aurait -donc     cinq    combinaisons perdues.<B>011</B>       Li    donc, au     ,lieu    du système     décimal,        auopM     1e système     quintidécimal    -où les nombres de  10, 11, 12 et 13 et 14 sont remplacés par les  signes A,     E,   <I>J,</I>     D    et     E    et sont     considérés     comme étant encore des nombres formés d'un  chiffre.

   0n réalise ainsi une     grande    écono  mie de colonnes,     respectivement    -de place sur  les feuilles où les nombres sont représentés  par des     perforations.   <B>011</B> parlera donc de  quinzaines ou bien -de dizaines. Dans cer  tains cas, la quinzième     combimiison    compre  nant quatre perforations devra être     aban-          -donnée,        'car    elle correspondrait     @au    cas où  aucune feuille     ;perforée    ne se trouverait dans  <B>la</B> machine.

   On aura donc plus que quatorze  signes -désignant quatorze     nombres    et on par  lera alors .de     "quatorzaines".    La     quinzième,          coambinaison    peut être maintenue si on pré  <I>-voit</I> un dispositif spécial permettant de dif  férencier le cas de quatre perforations et le  cas où aucune feuille ne se trouve .dans la       machine.    (Emploi d'une cinquième pointe     pal-          peuse    qui touche les feuilles là on il n'y a  jamais de perforations.)  Le dispositif     @de    comparaison ide la valeur  relative :de deux nombres est le suivant:

    Le plot mort de Z, est relié au pivot ide  la palette     Z=;,    les deux autres plots de Z, et  <B>7,2</B> sont     respectivement    montés en dérivation.  



       ,Supposons    des valeurs de chiffres     .de    "1  à quatorze" telles que la palette     _d,    soit re  poussée vers B,, il en résulte un courant     uti-          lisaible    de A vers B et il est visible que     ?,     n'intervient pas.     Supposons    au contraire que  les deux chiffres des     "quatorzaines"    soient  égaux, la     palette   <B>-A,</B> reste au plot mort et  c'est     Z..    qui décidera si l'on disposera d'un  courant .allant de<I>A</I> vers<I>B</I> .ou de A vers C.  



  On devra régler les relais de façon que  Z, fonctionne avant     Z=    pour éviter l'étincelle  en A, et les risques :d'oscillation dans les cir  cuits d'utilisation.         Etant    :donné la surcharge considérable  que peuvent supporter les enroulements Z, il  serait .avantageux ide prévoir dans les circuits  d'utilisation -des dispositifs     tels        que    le     eou-          rant    qui .les     traverse    soit coupé dès qu'ils ont  fonctionné.  



  30 Comparaison de la valeur relative de  nombres de plus de -deux chiffres.  



  On disposera d'autant de relais Z qu'il y  aura -d'ordres d'unités     dans    les     nombres    et le  montage des connexions secondaires sera ana  logue à ce qu'il était dans le cas précédent,  c'est-à-dire qu'un fil     d'arrivée    est branché  au     pivot    de la palette du premier relais à       gauche,    le     plot    mort de celui-ci au pivot de  la palette de son voisin de droite et ainsi -de  suite, tous les autres plots étant reliés en       ;dérivation    sur les .deux autres fils.

      II.<I>Lecture de</I>     barèmes   <I>ou tarifs.</I>         ('laçons-nous    dans     .le    cas le plus     général     de barèmes à double entrée; le problème     con-          siste    en ceci:  La fiche perforée     indique    la ligne et la.  colonne -du barème, i1 faut alors que le nom  bre placé à l'intersection de     celles-.ci    soit pris  par les machines à calculer -et utilisé comme  il convient.

   Il suffira pour cela. que ces     -der-          iiiers    appareils soient reliés par cordons sou  ples aux quatre fils ide la plaque     @de    contacts  du     bareême    et que les circuits     convenables     soient fermés par les peignes de lecture sur  le bon nombre -de ce barème.  



  Les barèmes :devront être constitués     par     ,les feuilles perforées     :dont    chaque page com  portera quatorze colonnes de quatorze nom  bres     chacune,    soit au total cent     quatre-vingt     seize éléments. La lecture nécessitera .donc  clans le cas le plus général.  



  10 la recherche de la page comprenant le  nombre à lire:  20 la recherche de ce nombre. dans la. page  considérée.  



  Pour fixer les idées, supposons qu'il     s'a-          ,,nsse,d'un    barème donnant les     ,distances        hil.o-          métriques    des gares d'un réseau deux à deux;  il est bien     évident    que si le nombre des gares  est de     14n        -f-    p, le nombre des pages du ha-           rême    sera de     (n        +        1)2    avec<I>(p  <  14).</I> Cha  que page comportera un double     numérotage,     l'un pour les lignes, l'autre pour les colon  nes.

   Si par     exemple        n        -i-    1 est     supérieur    à  14, le numérotage sera constitué par :des nom  bres de deux chiffres qui seront inscrits sous  forme     @de    perforations sur chaque page .du  barème.  



  'foutes lies pages seront placées à la suite  les unes des autres de façon à former soit  une bande -de papier enroulée sur un axe à  chaque extrémité si la bande est suffisam  ment     longue,    soit simplement une     bande    sans  fin tournant sur les rouleaux si elle est suf  fisamment courte. Dans le premier cas, il y  aura évidemment lieu ide faire déplacer la  bande dans un sens ou dans l'autre, tandis  que .dans le second il suffira que celle-ci se  déplace toujours dans le même sens.  



  L'appareil sera constitué ,ainsi qu'il suit:       (fig.    9) une bande de papier perforé     consti-          tuant    le     ba.rême    portant sur ses     bonds    des  trous de repérage se déroule, entraînée par  les cylindres<I>T</I> et<I>T'</I> en passant sur une     plii-          que    de contacts K.

   Cette plaque est formée  par une masse de matière     isolante    portant  autant     de,pastilles    métalliques incrustées qu'il  y .a de perforations dans une page ;du     b@arême     considéré, soit, s'il s'agit .d'éléments à trois  chiffres (dans le système     quadridécimal),     douze fois cent quatre-vingt seize ou     ideux     mille trois cent cinquante-deux. Dans     cha.quc,          groupe    de douze pastilles, chaque pastille  peut être     désignée    ainsi qu'il est fait     fi,g.    10.

    Toutes les     pastilles    .du même nom sont     mo.n-          tées    en dérivation sur trois groupes de quatre  fils aboutissant à douze     jadis.     



  Sur ces cent     -quatre-vingt    seize groupes de  douze pastilles vient s'abaisser un cadre  C'     portant    cent     quatre-vingt    seize     peignes     de douze tiges     formant    des groupes de     ti-ges     non isolées, mais chaque groupe étant     lui-          même    isolé.

   Enfin, au-dessus de ce cadre et  portées par le bâti de l'appareil se trouvent  respectivement     parallèles    aux deux côtés     -de     la page     idu        harêmedeux    groupes :de     quatorze     barres telles que B; et     B'i    portant chacune  quatorze ressorts ri et     r'i    convenablement    orientés et munis de contacts à leurs extré  mités     (fig.    11).

   Les ressorts de     D';    sont iso  lés de     celle-.ci    et chacun est connecté par un  fil souple avec le     peigne    de douze tiges placé  au-dessous de     lui;,au    contraire, les     ressorts    de       Bi    ne Bout pas     iaolés    de     L'i.    Normalement  les barres Bi et     B'i    sont maintenues eu place  par des     électros,    tels que     Ei    et<B>Fi,</B> identi  ques à ceux qui ont .été décrits plus haut  pour la     traduction    des perforations.

   Lors  qu'un     électro        Ei    et un     électro        E'i    reçoivent  du courant, les barres Bi et     B'i    correspon  dantes sont -déplacées longitudinalement sous  l'action de.     ressorts    Bi et     R'i    et les ressorts  ri et     -'i    placés au point de croisement de  Bi et     B'i    viennent en contact fermant par la  masse le circuit de retour des     douze    fils:

    <I>a,</I>     b,   <I>c. d;</I>     U',        b',   <I>c',<B>d</B>;</I>     d',   <I>b",<B>Ci/,</B> d".</I>  



  Les douze fils correspondant aux pastil  les:<I>a,</I>     v,        c,        d,..   <I>. .</I>     d',        !l',        C'",   <I>d"</I> (toutes mon  tées en parallèles) sont reliés par des     .cordons     souples aux     électros    traducteurs -de trais chif  fres de la machine à     calculer    sur laquelle les  données fournies par le barème doivent être  transportées.

   D'autre part, les     éle-etros    tels  que     Zi,        Z=    .correspondant au     numérotage    des  lignes et ceux correspondant aux colonnes  sont montés comme l'indique la     fi:g.    8 en sup  posant que les deux nombres de deux chif  fres ainsi formés ne constituent qu'un seul  nombre :

  de quatre chiffres, car il est bien  évident qu'il est nécessaire que ces deux nom  bres à la. fois soient identiques à ceux     due          porte    la fiche pour que l'appareil s'arrête et  que les troisièmes chiffres puissent     intervenir.     Enfin, dès ce moment ces troisièmes chiffre  devront alors intervenir et faire fonctionner  les     électros        Ei    et     L,71.    Pour cela le fil de  retour commun à -ces     vingt-huit        él.ectros    est  connecté avec le plot mort du dernier     électro          â.    droite Z.

   Dans ces conditions, si, par une  inertie .électrique ou     -mécanique    -croissante ou  par tout autre moyen     approprié,    la     vitesse    :de  fermeture des     électros    Z est décroissante de  telle sorte que ceux-ci fonctionnent succes  sivement, il est bien évident que les     électms     tels que Bi et     E'i    n'agiront que lorsque le  barème     aura-la    plage convenable sur lia pla-      que de contacts.

   Il     va,de    soi qu'il sera néces  saire     @de    disposer les pages     @du    barème !de fa  çon que les     numérotages    soient toujours crois  sants dans le sens des lignes et en même  temps des colonnes pour que les électron Z  n'aient pas à entraîner<B>la.</B> bande     -dans        deux     sens .opposée.  



  Le dispositif le plus     simple    pour l'entraî  nement de la bande est un dispositif analogue  à celui     décrit        fig.        2bis        (.,comportant    un     .dou-          ble    embrayage pour pouvoir     fonctionner     dans les deux sens), les dimensions étant tel  les qu'un tour     corresponde    au passage d'une  page à     1a    suivante avec soulèvement     pr6a-          la!ble    des peignes pendant le mouvement.  



  Si le     barème    ne comporte que quelques  pages, il pourra, comme il a été dit ci-dessus.  être constitué par une bande sans fin; dans  ce .cas, il sera inutile que l'entraînement se  fasse dans les deux sens et par suite, on  pourra remplacer le dispositif -de comparai  son des valeurs relatives des numéros des  pages par le simple dispositif de comparai  son de l'égalité.  



  La mise à la masse du circuit -de retour  des fils<I>a., b, c. d,</I><B>...</B><I>a", b", c", d"</I> aura  pour effet de faire fonctionner les électron       traducteurs        de        .la.        machine    à     calculer        ou        â    .  



  additionner qui     fonctionnera    comme si les  indications qu'elle reçoit avaient :été directe  ment fournies par la fiche.  



  Enfin, un relais     convenablement    placé,  par exemple sur le circuit fermé par les re  lais de sécurité -de     la,    machine, coupe tous las  courants .ayant fait fonctionner l'appareil à  barème.  



  Pour mieux faire     comprendre    le fonc  tionnement du ,dispositif     -de    lecture des     ba-          rêmes,    on a représenté schématiquement,       fig.    9a et 9b une     partie    ,de l'installation     cosn-          prenant    des dispositifs     ides        fig.    3, 7, 8 et 9.

    En     fig.    9a, on voit un peigne triple P,<I>C, L</I>  placé     au-dessîis    d'un     groupe    de douze pastil  les a, b,<I>c, d; a', b', c', d'; a!',</I> b", c" et     ,d".     Ces     peignes    et ces pastilles appartiennent à  un dispositif .de lecture des indications four  nies par les fiches. Le peigne P     sert    à explo-         rer    les perforations     représentant    les     numéros     des pages du barème.

   Les pastilles corres  pondantes<I>a.,</I> b, c et     d    sont reliées, comme  déjà décrit en regard de la     fig.    7, .aux relais  1, 2, 3 et d du dispositif de     comparaison    de  la grandeur relative de     ideux    nombres,     ido    ni.       dépend    le relais Z. Ce dernier est relié par  <I>D</I> et<I>D'</I> aux rhéostats     potenhamétriques    et  par y au pôle de las batterie. Les peignes C  et L servent à     explorer    les perforations re  présentant les numéros des colonnes C et des  lignes<I>L</I> du barème.

   Les pastilles<I>a,'-.<B>K</B></I>     c'     et d' correspondant au peigne C sont reliées  aux     électron    El commandant les barres B; du  dispositif de lecture des barèmes. Les pas  tilles<I>a", b", c" et d"</I>     ,oorrespondiant    au peigne  L sont reliées aux     électron    E'; commandant  les barres     B';    dudit     dispositif.    Un rupteur     Z,,,     placé avant les     peignes   <I>C et L</I> est actionné  par le relais Z lorsque     celui-ci    s'arrête en  position médiane.  



  En     fig.        9u,    'les pastilles     désignées    par a,  <I>b, c,</I>     ci,   <I>a', b', c', d'</I> -et<I>a",</I> b", c" appartien  nent au dispositif d'exploration     @du        harême.     Les pastilles sont reliées aux électron El à       E,,,    -du traducteur décrit .au début du pré  sent exposé. La     fig.    10a représente deux  jeux Ide perforations d'une fiche et la.

         fig.        10b        un    fragment ,d'un barème     idont    une  page est limitée par les     lignes        x-.r';   <I>t</I> dé  signe les perforations représentant le numéro  de cette     page    et T les perforations représen  tant les nombres à. lire dans le     ibarême.     



  Une fiche portant les     indications    de la  partie de     gauche    de la     fi@g:    10a étant intro  duite dans le dispositif .de la     fig.    9a, le nom  bre correspondant aux     indications    de     cette     fiche est lu clans le barème. En se référant  à la.     fig.    7a, on voit que les perforations re  présentent le nombre 529 qui signifie: lire à,  la page 5 -du barème le     ,nombre    se trouvant       dans    la colonne 2,     ligne    9.

   (P signifie     page     C. colonne et L, ligne.) !Supposons cette  fiche     remplacée    par une autre portant le  nombre 296. Pour     chaque    page ,du barème.  la, plaque C'     (fig.    9) s'abaisse puis se relève  sous     l%etioon    d'un     mécanisme    ad hoc.

   La  page 5 explorée     lors,de        l'opération    précédente      étant encore en place lorsque la fiche a été  changée, le peigne P explorant la     ,fiche    trouve  le chiffre 2, tandis que le peigne P :du     @dis-          positif    de     lecture    du barème trouve le nom  bre 5. Le dispositif ide comparaison :de la  grandeur     relative    de deux     nombres    entre  aussitôt en     fonction    et agit sur le relais Z.

    Ce dernier déplace son armature dans un  sens tel que la bande L  &  la.     fig..    9 se ,dé  placera de la     longueur    d'une page du barème  dans le sens de la flèche B     -(fig.    9) dès que  la     plaque    C' se sera relevée. En même temps,  le     rupteur        Z_.        (fig.        9a)        empêchera    qu'aucun  courant ne passe .dans les     .électros        Ei    et     L;',     les     .barres    Bi et     Bi'    restant au repos.

   Le  même jeu se     répètera    tant que     ilia    page voulue  ne sera pas parvenue entre les plaques     K    et  C'     (fig.    9). Dès que     cette    page est en place,  les .deux peignes P     @du    ,dispositif .de comparai  son de la     grandeur    relative de deux nom  bres rencontrent les mêmes perforations, le  relais Z reste en repos,     son        armature    étant  maintenue entre les 'plats     ?i    et     z_    comman  dant les     déplacements    de la     bande,

  du    barème  et le     rupteur        Z3    se ferme. A ce moment, le  courant pourra parvenir par celles des pas  tilles<I>a',</I> b', c',<I>d'. a", b", c" et d"</I> qui sont  touchées par des pointes des peignes<I>C et L.</I>  Les     électros        Ei    et     Ei'        correspondants    lâche  ront leurs armatures et la     neuvième,des    bar  res<B>El</B> ainsi que la sixième des barres     E,'    se  déplaceront sous l'action des ressorts     Ri    et  Ri'.

   Le sixième ressort     id'e    la barre     Ei    ren  contrera le neuvième ressort de la barre     E'i     et le courant parviendra dans les     peignes     d'exploration du barème     (fig.    9b). Ce cou  rant passera. par celles des pastilles qui au  ront été touchées et parviendra aux     électron     El à     El°        4u    traducteur.

   Ces     étectros        fonc-          tionneront    comme ,déjà, :décrit et provoqueront  par l'abaissement     @du        eaidre    C     (fig.    2) l'abais  sement :des touches correspondant .aux chif  fres :du nombre lu à la page 5 du barème.       colonne    9, ligne 6.  



  On peut profiter     4u    barème pour rempla  cer     simplement    la     numérotation        quadridéci-          male,    si avantageuse à tant de points     @de        vue,     par la     numérotation    décimale qui seule    pourra, être transcrite sur une machine  additionner,     -.da.ns    le     cas    où l'on voudra faire  figurer sur la feuille :d'impression de celle-ci  les     indications    :concernant     le    :

  barème fournies  par la fiche (par exemple le nom des gares  expéditrices et réceptrices     @d:ans    le cas parti  culier     envisagé    plus haut). Il suffit pour cela       que    chaque page porte, à côté     @de    son numé  rotage     quadridécimal    un     numérotage    décimal  perforé, :qui, lui, sera. transporté sur la ma  chine à     @additionner    aux lieu -et place de  celui :de la fiche.  



  Avant d'exposer le fonctionnement des  dispositifs d'addition, de soustraction,     d2     multiplication et de -division, il y a lieu de  ,décrire sommairement les machines qui     se-          ront    employées dans ce but ainsi     que,de    dire  quelques mots :du     porte-fiches.     



  <B>10</B>     L'additionneuse,    contrairement .aux in  dications     @du    ,brevet suisse no 130276 du  même inventeur .devra être une addition  neuse à clavier complet,     @c'est-à-:dire    compor  tant     autant,de    fois neuf touches qu'il y a     des          cotonnes    :dans la machine. Elle sera     comm-in-          dée    comme il a été     idit        ci-,dessus.     



  <B>20</B> Le type de la machine à calculer     eni-          ployée    est la machine     "@!Iétal"    à     déplacement     de chariot et     division    automatiques et à. mul  tiplication semi-automatique.  



  Cette -machine, :du type     Payen    perfec  tionné comporte:  a) un clavier :à touches pour l'inscription  des nombres à :additionner,     soustraire,    multi  plier     ou,diviser;     b) une pédale :d'enregistrement électrique  faisant monter le nombre inscrit du clavier  au totalisateur;  c) une touche     .d'e        vidage    :du clavier;  <I>d)</I> un     levier        -AH-SD        (addition,    multipli  cation,     soustraction,    division);  c) un levier     A-M    (addition, soustraction.

    multiplication, :division) qui a pour     effet',     lorsqu'il est en A de faire vider le     clavier          matiquement    lorsqu'on     appuie    sur la     pé-          :LUtm          ,da.le    :d'enregistrement;       f)    un clavier .accessoire de     mn ltiplication     automatique.

   C'est en appuyant successive-      ment sur les touches     @de    ce clavier de neuf     tou-          ch-es    les ,chiffres du multiplicateur (en com  mençant par la gauche) que la multiplica  tion se fait, la touche restant abaissée pen  dant la durée de fonctionnement     jusqu'après     déplacement automatique du     -chariot;     g) une touche,     @complémentaire    à ce der  nier clavier, qu'il suffit d'abaisser pour ob  tenir la division automatique.

   Lorsque     1e     grand clavier est vide, il suffit d'appuyer sur  cette     touche    pour faire avancer le chariot  d'un cran (mouvement pouvant d'ailleurs  être obtenu par     une    touche spéciale).-,  h) un bouton pour le     vidage    !du totalisa  teur (à tirer);  i) un bouton pour le vidage du compteur  (à tirer).  



  D'autre     part,    pour transporter les résul  tats inscrits au totalisateur sur la. machine  à .additionner, les axes des voyants     de,ce    to  talisateur seront munis de     cylindres    en ma  tière isolante portant<I>des pastilles</I> montées  sur     @dix    génératrices pour représenter les dix  chiffres; devant les quatre positions possibles  de ces pastilles et suivant une génératrice  seront placés quatre     frottoirs        aboutissant    à des  plots sur     lesquels    viennent s'abaisser en  temps voulu d'autres ressorts     (abaissement     des contacts) ayant un jeu longitudinal de  deux unités pour le cas !de la multiplication.

    



  Pour     commander    automatiquement     cette          machine    par les fiches perforées, il faudra  la munir de deux cadres tels que C     (fig.    1),  l'un pour le clavier principal, l'autre pour le       clavier    ,de multiplication, en outre des cames  et leviers devront     .commander    les touches ac  cessoires. Leur description schématique sera  faite dans .le cours de l'exposé     @du    fonction  nement.  



  30     Etant    donné que la. .durée des     opéra-          lions    à. effectuer sera. essentiellement varia  ble, il ne saurait être question     @de    faire     tir-          culer    les fiches par un dispositif ,à mouve  ment     régulier    comme c'est le cas     pour    la  trieuse ou pour les     additionneuses    habituelles.  Le plus simple sera de faire commander le  mouvement par un relais agissant en temps    voulu sur un embrayage identique à celui  décrit ci-dessus et représenté     fig.        2bis.     



  De plus, la. fiche devra venir se placer  sur une plaque -de contacts immobile (pour  éviter le -déplacement continu de trop nom  breux fils souples qui auraient     tendance    à se  rompre) constituée par un masse     isolante          munis,dedeux    cents     pastilles    métalliques cor  respondant; aux     perforations    possibles es  fiches. Chaque pastille est     connectée    à un  jack     permettant    la, liaison par fil souple avec  les divers autres appareils.

   Les peignes se  ront supportés par un cadre mobile, les qua  tre tiges d'un peigne ne seront -pas isolées les  unes des .autres, mais chaque peigne sera       iso@l:é    de ses voisins et relié par fil souple à  un jack. Par ce moyen, les combinaisons les  plus variées pourront être envisagées.  



  Enfin, l'arbre de l'appareil     porte-fiche     agira. par cames sur -deux     interrupteurs    à       duére        chevauchante;    l'un, I     (fig.    12), qui fi  gurera .dans tous les schémas, a pour but de  fermer les divers circuits lorsque les peignes  sont abaissés et de les couper avant     qu     ceux-ci ne se relèvent pour éviter les étin  celles;

   l'autre, Io     (fig.    12), aura sa présence  expliquée lors     @de    la     deseription    du dispositif  de sommation automatique ,des paquets     @de     fiches classées suivant un     paramètre        @déter-          mine.     



  Il serait .avantageux de     remplacr    cet in  terrupteur I par deux interrupteurs     fonction-          nant    successivement: l'un sur le .circuit -des  relais     d'indication        d'opérations,    l'autre sur  les circuits :des relais de traduction pour être  sûr que ces seconds ne puissent fonctionner  avant que les premiers aient terminé.  



  C'est ce :dispositif de totalisation qui va  maintenant être décrit     (fig.    12).       Totalisation   <I>après</I>     épuisement        d'un        paquet        de          fiches        triées        suivant   <I>un</I>     paramètre   <I>déterminé.</I>  



  10 Le paramètre     n':a    qu'un seul .chiffre  (de base quatorze). Les quatre fils     correspon-          -d.ant    aux quatre     pastilles    de la colonne du       paramètre    sont .connectés à quatre relais     s,,          s-,>,    s.;. s4 montés ainsi qu'il suit:     chacun    de  ces relais comporte un circuit de collage     (eti         pointillé) puis une commutation.

   En outre  sont prévus les deux interrupteurs I et     Ia     dont il a été parlé ci-dessus et     eommandés     par l'arbre du     porte-fiches,    I sur le circuit  plaque -de contacts peignes, l'autre sur le cir  cuit .de     collage.        Leurs    ,durées de contact sont       chevauchantes,    de     sorte    .que leurs     .armatures          restent    en position     d'attraction    tant que le  paramètre reste le même; tous les plots des  commutateurs sont reliés comme le montre la  figure:

   tous les plots supérieurs sont en série  ainsi que     tous    les plots inférieurs;     @de    plus,  chaque plot inférieur communique avec le  plot supérieur correspondant; autrement dit,       quelles    que soient les positions des     palettes     des quatre     relais,    le circuit dans lequel se  trouvent     celles-ci    est continu; il ne     sera    in  terrompu que pendant la. durée     @du    ;déplace  ment d'une quelconque de :ces palettes. Ce  circuit sert à alimenter un relais     S    et ne peut  le faire que lorsque ce relais a attiré la pa  lette qui en fait partie.

   Si donc le paramètre  vient à changer un ou plusieurs des quatre  relais     s1,        s2,        sû,        s4    modifie la. position de leur  ature et le     courant    alimentant     S    se trou  <B>,</B> arm.  



  vera coupé et le restera<B>à,</B> moins que par un       autre    circuit tel que<I>CD</I> un courant ne vienne  l'alimenter un instant. Enfin, en tombant,  la palette -de     S    fermera un ,circuit tel que        < 4Z3    dont -on verra l'utilisation plus loin.  



  20 Le paramètre a plusieurs chiffres: il  suffira de disposer d'autant     @de    fois quatre  relais     si,-s.,   <I>s"</I>     s4    qu'il y a de chiffres;     tous     les circuits relatifs à:     S    seront mis en série.       S    reste     unique    quel que sait le nombre -des  chiffres.  



  Il va. être maintenant parlé des :différen  tes     opérations.     



  <B><I>10</I></B>     Additioyaraezise:    Le courant     part    :de  la. source, arrive au fil .commun des traduc  teurs, traverse ceux-ci, se rend à la plaque  de contacts :du distributeur de fiches, est re  pris par les peines et revient à la source  comme suit     (fig.    14):

    On suppose que     l'ladditionneuse    sera. uti  lisée pour l'inscription de trois colonnes (de  deux     ehiffres    seulement pour simplifier les  dessins, car cela. ne change rien à la,descrip-         tion,        dont    deux au plus pourront être tota  lisées si     l'additionneuse    comporte deux     tota-          lisateurs);    la position     -des    -colonnes     fixée    par  les mouvements et arrêts du chariot est géné  ralement déterminée par les positions de     ta-          quets    que l'on adapte à une règle portée par  le chariot.  



  A chaque colonne correspond un groupe  de peignes; soient     Pl,        P_#,    P,,     c.es    peignes sont  connectés respectivement avec trois interrup  teurs<I>Il,</I>     I_.,    1, qui se trouvent fermés lors  que le chariot vient à se mettre à la place  qu'il doit occuper.

   Le circuit se ferme alors  en passant successivement par un interrup  teur     Ao        maintenu    fermé par une     came    aux  positions     @de    repos et de départ du     chariot        de          l'ardditionneuse,    de façon que les interrupteurs  <B>il,</B>     1=,   <I>I, ne</I> risquent pas -de fonctionner     deux     fois,

   par les dots de repos des relais     Rl    et       R=    et enfin par     l'interrupteur    I     commandé     comme il a été dit plus haut par le     distribu-          teur    de fiches.  



  Le fonctionnement est alors le suivant:  Lorsque la fiche est venue se     placer    sur  la plaque et que les peignes sont :descendus,  l'interrupteur 1 se ferme; les     électros    du tra  ducteur lâchent leurs armatures; les relais  de     sécurité        attirent    les leurs et ferment les  contacts<I>il,</I>     i2,   <B>...</B>     i"    montés en série et fer  ment ainsi le circuit enfermant le relais R,.

    Ce relais ferme .alors le courant alimentant       l'électro    d'embrayage     El    de l'abaissement du  châssis     porte-tiges,        @du    placage des     armatures     des     électros    du traducteur, et El du levier  appuyant sur la. touche     d'enregistrement;    il  ferme aussi un     second    circuit :dont il sera  question plus bas.

   Le chariot se     déplace    alors  et vient fermer     I.;        Ao    qui s'était ouvert un  peu après le départ de l'arbre à cames se re  ferme: une seconde     inscription    à. lieu. puis  enfin celle correspondant â I.

   Mais alors,  par une dérivation sur le circuit P.,,<I>I"</I> le  circuit du relais     Bl    se ferme quand     R.,        attir?     son armature;     Rl    s'alimente alors     lui-même     par le circuit     Co,        D"    et ferme le circuit de       l'électrod'embrayage    du distributeur de fi       ches;    on voit en     Eh'    les connexions de l'em  brayage     -du    distributeur en série .avec la. ma-           ,chine    à     :calculer;

      celui-ci se met en marche,  coupe I et tout revient à l'état initial.  



  Tous ces mouvements se répéteront tant  que les fiches passant par le distributeur ap  partiendront à un même paquet.  



  Lorsque une fiche d'un autre paquet ar  rive, au moment de la fermeture de l'inter  rupteur I, un :des relais     s1   <B>...</B>     s4        (fig.    12) mo  difie la position de son :armature; le circuit  du relais     R,    se ferme alors; ce relais coupe  le fil de retour des traducteurs     TI,   <I>T2</I> de     l'a.d-          ditionneuse    et ferme les circuits des     :électro.s     <I>ET</I> .d'embrayage de la     touche    totale et     E@     de la pédale d'enregistrement.

   Les trois in  terrupteur     I'1,        I'î,        I'3        fermés    par le chariot  dans les trois positions sont simplement mis  en dérivation, puisqu'il ne     s'agit    que de faire  trois tours à l'arbre à cames pour appuyer  trois fois sur la. pédale d'enregistrement.

   En  autre, la     came    commandant l'appui sur la       touche    "total" choisie (ou les touches ,,total"  si -deux colonnes sont additionnées simultané  ment) ferme un contact Il de fin -de totali  sation mis en série .avec l'interrupteur I""       fermé    par le chariot     :dans    sa. troisième -posi  tion; ce circuit de totalisation vient en CD  alimenter le relais     S    qui attire son ,armature;

    celle-ci,     :comme    on a vu, restera     attirée    pen  dant toute la :durée     -du    passage<B>du</B>     paquet.     D'ailleurs à ce moment, le     courant,d"aiimen-          tation    de     R        @    étant coupée en x     (fig.    12), ce  relais lâche son armature et l'on est ramené  à la position d'inscription.  



  Dans le cas où l'on n'utiliserait     qu'une     seule     colonne    de     l'additionneuse,    il faudrait  au moment ide l'inscription des totaux, ap  puyer deux fois ide suite sur la pédale d'en  registrement; il serait donc nécessaire de pré  voir une sorte     @de    changement ide     vitesse    ide la.  came :de contact de fin :de totalisation pour  que la rotation de l'arbre soit de deux     tours     et non d'un     seul-.     



  <I>Addition sur la machine à</I>     calculer.     



  La machine est supposée vidée et le chi  riot poussé à fond vers la gauche. Lorsque  les leviers<I>AM.</I>     SD    et<I>A, M</I> ne sont pas en  place, ils doivent y venir; dans le cas con-    traire, il est inutile qu'il y ait     la.    perte de  temps nécessité par une     rota,-tion        @de    l'arbre  à cames tournant à     vide.    Ce résultat est ob  tenu ainsi qu'il suit     (fig.    15):

    Les leviers     AM.        SD    et<I>A,</I><B>11</B> sont.     ma-          n#uvrés    par quatre poussoirs, les relais     S/D,          Vil,   <I>A,<B>AIN</B></I> commandant .les embrayages de  ces poussoirs sont .alimentés par les circuits  des palettes -de deux     électros    polarisés, type  Siemens,     U3   <I>et</I>     U,,    à     deux    enroulements in  verses qui, à leur tour, reçoivent leur courant  ,des circuits des     armatures    :

  des relais<I>AD ou</I>       Sn-    fonctionnant respectivement pour le signe       -f-    ou le signe -.     Dans    ce but, une des  colonnes des fiches     :devra    être réservée pour  porter l'indication ide l'opération ;à     effectuer;     comme il y a quatre opérations, le plus sim  ple sera. .de .caractériser chaque     opération        p'ir          uné        position    ide trou de façon à éviter toute       traduction.    Puisqu'il     s'ugit    ,de l'addition.

    c'est le relais<I>Ad</I> qui .aura attiré     son    arma  ture; par     :cela,    il excite les relais     A;!M    et A.  Da-lis le cas de la soustraction Sn, en soule  vant son     armature,    excite     U3    par l'enroule  ment inverse et     U4    parle même enroulement;  par suite l'armature de     Uî    se     .colle        contre     l'autre pièce polaire et celle .de     U4    ne bouge  pas. Dans ce cas, ce seront les     embrayages          S!D    et<I>A</I> qui fonctionneront.  



  D'autre part, les relais     U3    et     U°    sont  munis des autres plots ab,     a'b'    pour le pre  mier et     gla,        g'lt'    pour le second, plots pouvant  faire bifurquer un circuit aux points     X-Y     suivant     ,les    positions     .des    palettes de     U3    et     U,,.     Enfin, en .arrivant à fin de course en     AN     et<I>A,

  </I> les     leviers        A1MISD    et     Af    ferment res  pectivement les     interrupteurs        AN    et A inter  calés     -chacun    dans le circuit des     électros        L\,     et     U.,.    Les plots de ces     électros   <I>cd,</I>     c'd"    et     ef.          r'f'    sont montés en série     avec    ceux ide     U,,    et.

         U.,;    ,de plus, les     portions   <I>d,</I>     e   <I>et d',</I> e' -des deux  circuits     X-Y    bifurqués sont reliés électri  quement. On voit alors que pour que la suite  <I>X ab.</I>     a'b'   <B>...</B>     gh.,        g'la'    y forme un circuit  continu, il faut et il suffit que les relais     Ui     et     U.    soient respectivement dans le même  état que les relais     U,,    et     U4;    si par exemple  il 's'agit de faire une addition, les quatre re-           lais    auront leur :armature soulevée;

   dans le  cas d'une     soustraction,        Ul    et     U.,    auraient leur  armature tombée et     L.',,    et     U.,    leur     armature     soulevée.  



  La portion     X-Y    est commune à     deux     circuits: l'un passe par 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7.  Ibis, 8. 9; 10, 11, 12, et I en traversant le  traducteur; l'autre passe par 1, 18, le relais       U5,    à deux enroulements inverses. 14; 15, 5,       X-Y_,    6, 7, 8, 9, 10,<B>11,</B> 12 et I. Le second  enroulement de     U,    est fermé par 16, 17, 18,  19, 20 ou 20' (selon qu'il s'agit d'une addi  tion ou d'une     soustraction),    21 et I. Comme  on voit, il est fermé :dés que le relais Ad ou  le relais<I>Sn</I> attire son armature.

   Les     plots     du relais     Ur.    sont en 22 sur le fil .commun de       retour    des circuits d'alimentation des relais  commandant les     électros    d'embrayage des  poussoirs.

      Le     fonctionnement    est alors le suivant:  10     X-Y   <I>forme</I> un     circuit   <I>continu:</I> Dès  que<I>Ad</I> ou Sn fonctionne, le relais     U,    reçoit  visiblement :deux courants inverses; par con  séquent, il     n'attire    pas son armature et le cir  cuit des     poussoirs    est coupé en 22; d'autre       part,    le circuit des     électros    traducteurs étant  fermé,     ceux-ci    fonctionnent.  



  2e     X-Y   <I>ne f or</I>     in.e   <I>pas un</I>     circuit        conlinti.:     Le relais     Uu    ne     recevant    que le courant venant  des relais<I>Ad</I> ou Sn     attire    son     armature;    les  relais     U3    et     U4    peuvent faire fonctionner les  embrayages des poussoirs et les leviers vien  nent se placer .dans la position voulue; le cir  cuit     X-Y    se ferme alors et l'on est ramené  au cas précédent.  



  Lorsque les     électros    de traducteur ont  fonctionné, les relais de sécurité     ferment    les  interrupteurs tels que     Is    montés en série qui  ferment les circuits :des     électros    d'embrayage  de l'abaissement des tiges     L'l,    de la pédale  d'enregistrement     E'_,    et du     placcage    des arma  tures des     électros    traducteurs.  



  Vers la fin     ,du        tourde    l'arbre à ,cames une  de celles-ci fait fermer un interrupteur     Il,.     qui alimente un relais     R,;    celui-ci ferme un  circuit :de collage 23, 24 et ferme en 25 le  circuit de mise en marche du     distributeur        @de       fiches, circuit comportant ailleurs, en série  avec 25 un     interrupteur        commandé    comme on  l'a vu par le relais     R,,

      fermé par     l'addition-          nèuse    pour le cas où celle-ci fonctionnera si  multanément avec     ils    machine à     calculer,    soit  pour enregistrer les nombres additionnés par  celle-ci, soit pour d'autres colonnes     @de    la  fiche.  



  Lorsque le paquet -de fiches à addition  ner est terminé, la première fiche du paquet  suivant fait tomber l'armature     @du    relais de  totalisation     R,    qui ferme alors le ,circuit de  transport -du     total    sur     l'additionneuse    (en 26 ).

    Ce circuit comprend un relais     R,        (fig.    16)  qui fait fonctionner     l'électro   <I>AC</I> d'applica  tion des contacts .des chiffres du chariot de  la machine et     commute    les fils de retour aux  peignes     P,.,        P2,        Pg        (fig.    14) sur les fils de  retour :des cylindres des chiffres du totali  sateur     TO        @du.        charlot        -de    la machine à cal  culer;

   en fin de course cet     électro    ferme  l'interrupteur<B>P</B> qui fait agir le relais     R,,          (fig.    14). Celui-ci coupe un instant en 37,  38 le circuit -de collage de     l'électro        Rl    qui  lâche son     armature    et     permettra    ainsi en     fer-          Tuant    en 27' le circuit de retour des interrup  teurs<B>il</B>     I2,        I.,    au total de la     machine    de s'ins  crire     dans    la     colonne    désirée;

   enfin, en 39, il  ferme un circuit qui sera fermé 'définitivement  par le relais     Rl,    c'est-à-dire quand     l'a:ddition-          neuse    aura terminé ses mouvements; ce cir  cuit alimente un relais     Bg    qui, en     attirant     son armature ferme en 162 un     circuit,de    col  lage, coupe en 161 celui du relais     RE    et par  suite retire les contacts du totalisateur -de la       machine.    En outre,     R4    se     ferme,    un circuit  de collage comprenant     l'interrupteur    I et     R,

       fait agir     l'6lectro        d:'embrayage    de remise à 0  du totalisateur<I>T0.</I> Enfin, dans ce mouve  ment, l'arbre à cames coupera par le relais       RSbis    le     circuit,de        collage        R,    et ferme en<I>LN</I>  par<I>Iv</I> le circuit     d'alimentation    -du relais     R;     dont l'armature se recolle et ferme en 9, 10  le circuit     X-Y.    La fiche peut alors se tra  duire, etc.

   On peut .augmenter la sécurité da       transport    sur     l'additionneuse    de     façon    à évi  ter les erreurs dues à de mauvais contacts  sur les cylindres du totalisateur dans le cas      de l'addition ou de la multiplication, si le  produit     n',a    pas plus de chiffres que la capa  cité -du clavier.  



  Pour cela il suffit, au lieu -de vider le  totalisateur, .d'enregistrer sur le clavier (en  montant .les fils en dérivation sur ceux de       l'additionneuse)    la somme à transporter, à la       retrancher,du    totalisateur     et,de    constater     par     un dispositif quelconque que ce dernier est  vide.  



  Il arrive assez souvent qu'après avoir été  transcrit' sur     l'additionneuse,    le total     parti-#1     devra être totalisé sur celle-ci; dans ce cas,  il y aura sur la fiche changement du para  mètre relatif à la totalisation sur la machina  et également changement -du paramètre rela  tif à la totalisation sur     l'additionneuse;    il  est bien évident qu'il sera nécessaire que la.

    première totalisation se fasse     avant    la se  conde; le montage suivant     (fig.    18) permet  d'obtenir ce résultat:  Les     courants    alimentant respectivement les       électros    -de totalisation     R,    et     S    (fi-. 12) tra  versent, en série par exemple avec ces     élec-          tros,    un relais     R,    ;à deux enroulements de  même sens.

   Ce relais doit avoir son arma  ture attirée pour que le     relais        RZ        commandé     en     x    par     S    puisse fonctionner. Dans ces con  ditions, si     .8    seul reçoit .du courant,     R,    attire  son armature, mais le circuit -de     R2    est coupé  en     x.    Si R,;

   seul en     reçoit,        R9    .attire encore  son armature et il en est  &  même de     R@.     Enfin, si     Bzi    et     ST    n'en reçoivent ni l'un ni  l'autre,     R,    lâche son     armature    et, par consé  quent, c'est la totalisation par     R,    qui se fera;  quand elle sera     terminée        R,    .attirant sa pa  lette,     R@    fonctionnera, etc.

   Pendant ce temps,  la fiche du paquet suivant attendra puisque  pendant toute l'opération concernant la. ma  chine à calculer les peignes     Pl,        P=,    P; ont  été mis hors circuit.  



       Soustraction.    Tout est identique à l'addi  tion sauf que c'est le relais     S    qui a fonc  tionné.  



       Multiplication        (fig.    17). Dans le cas de       l'adldition    et de la soustraction, le fait d'opé  rer sur des -chiffres décimaux n'intervenait    pour ainsi dire pas; pour la multiplication  une petite complication s'introduit déjà:

    Le     multiplicande    et le multiplicateur au  ront en fait toujours ,deux décimales; par con  séquent, le produit en .aura quatre; or il n'y  aura lieu que -d'en prendre deux sur ces qua  tre; il     sera,d-onc        nécessaire        @de,décaler    .les con  tacts de lecture du totalisateur de la machine  de deux     unités;    d'autre part, si la troisième  décimale est un chiffre égal ou supérieur à  5, il faudra que la seconde .décimale soit aug  mentée d'une unité.  



  Pour .obtenir ces résultats:  10 La barre portant les contacts s'abais  sant pourra se déplacer latéralement sous  l'action d'un     électro    spécial;  20 Le cylindre     porte-contacts    du deuxième  chiffre décimal sera muni de deux     groupes     de frottoirs, l'un normal et l'autre pour le  chiffre supérieur .d'une unité à celui     @qu'in-          dique    le totalisateur;

   d'autre part, le troi  sième chiffre décimal     d3    aura son cylindre       porte-contacts    muni d'un contact supplémen  taire fermant le circuit d'un relais spécial  (relais de forcement)     FR        lorsque    ce troisième  chiffre est 5, 6, 7,     .8    ou 9.

   Ce relais :aura  pour effet :de connecter le fil de     retour    de       l'électro    traducteur -de     l'additionneuse        corres.-          ponda.nt    .au deuxième chiffre .décimal avec le  frottoir normal ou le deuxième groupe de  ceux-ci suivant qu'il n'attire pas ou qu'il     at-          tire    sa palette. Bien entendu le circuit     @de    .ce  relais de forcement sera fermé par     l'armature     attirée     idu    relais de multiplication pour ne  pouvoir fonctionner que pour cette .opération.  



  Ceci fait,     l'électro    M     (fig.    17)     agit    sur  les relais     U3    et     U4    pour mettre les :leviers       AM,!SD    et     A/M    en position;

   en même temps  qu'il ferme le circuit du relais .de forcement  FR en     40n,    celui du tirage :du chariot vers     1-,     droite<I>TC</I> en     40b        celui    du décalage des     .con-          tacts   <I>DC</I> en 40n celui de     R3    en     40A,    et il  coupe en     40bis    .le circuit de commande de     la,

       touche .d'addition<I>AT.</I> Le multiplicande  s'inscrit alors en     IMA        .comme    s'inscrirait le  nombre à .additionner -ou à     soustraire.    Le     e=ha-          riot    en fin de course ferme l'interrupteur<I>Id</I>  qui fait fonctionner un relais     RIA,    lequel      ferme un circuit de collage passant par l'in  terrupteur I, coupe l'alimentation de l'em  brayage du tirage du chariot et ferme ,le cir  cuit de     traduction    du multiplicateur. Ce der  nier     circuit    passe par deux plots supérieurs  du relais     B7    qui se ferment quand le multi  plicande a été enregistré.

   Il comporte en ou  tre le .distributeur D et l'interrupteur     I-rya     commandé par le levier de mise en .marche  de la machine. Le     distributeur    D est porté  par le châssis fixe de .l'appareil, tandis -que  le ressort de     -contact    mobile<I>Mr</I> est fixé isolé  sur le     chariot.        Son    but est de     connecter    suc  cessivement avec le traducteur du multiplica  teur tous les chiffres constituant ce dernier.

    Quant au levier de mise en marche     fdu    mo  teur de la machine, il est automatiquement  commandé par les touches du multiplicateur;  par conséquent,     l'interrupteur    fin sera ouvert  tant qu'une touche du multiplicateur restera  enfoncée et ferme dans le cas !contraire.  



  Dans ces conditions le premier chiffre (à  gauche du multiplicateur) se traduit; le relais  de sécurité du multiplicateur fait abaisser en  <I>IX,</I> le châssis qui enfonce la touche     corres-          pondante,    puis recoller les armatures des     élec-          tros    traducteurs; cependant la multiplication  se fait et     l'interrupteur        Inz    restant     ouvert     pendant toute la durée de l'opération y com  pris le déplacement ,du chariot, rien ne se  passe d'autre;

   une fois .cette opération termi  née<I>lm</I> se ferme, le -deuxième chiffre se tra  duit,     .etc.    Lorsqu'on est arrivé ,au dernier  chiffre à droite, c'est-à-dire ,lorsque le cha  riot est à fond de ourse,     celui-Ici    ferme -l'in  terrupteur     Ig;

      cet interrupteur amorce la  fermeture     id'un    circuit qui sera définitive  ment clos par le .mouvement ,de l'interrupteur       Ih    commandé par une came après     inscription     du chiffre du     multiplicateur.    Ce circuit     @com-          porte    un     électro        Rl,    qui coupe en 160 le cir  cuit d'alimentation de la traduction du mul  tiplicateur et ferme un circuit de     collage     comprenant l'interrupteur I, .ouvre en 50 le  circuit comprenant le relais     B5        (fig.    1.5) qui  transporte le produit ,

  du     totalisateur    sur     l'ad-          ditionneuse.    Enfin, il ferme un -circuit @d'ali-         mentation    de l'embrayage de la touche -de vi  dage du clavier     CI.     



  La, machine effectue la multiplication en  commençant par le premier -chiffre à gauche  du multiplicateur; si donc le     ,nombre    des  chiffres du multiplicateur est inférieur à  celui de la capacité -de la machine, il faudra  faire     ,avancer    le chariot à vide     d'autant        id'uni-          tés    qu'il manque     @de    chiffres .au multiplica  teur. Pour     cela.,    le traducteur du     multiplica-          teurcomportera    . une touche     ()    .devant ap  puyer sur la.     touche    d'avancement -du chariot.  



  Cette touche devra être abaissée soit     que     la     colonne    de la. fiche ne comporte aucune       perforation,    soit que la. colonne     considérée-          comporte    la perforation     wrrespondant    ait  zéro.

   Ce résultat peut     être,obtenu    ainsi qu'il  suit: la tige t     (fig.        Z)    de cette touche peut  être     embrassé=e    par deux fourchettes     f,    l'une       commandée    par un     éleétro    E identique à     cem@     des .autres chiffres, et fonctionnant pour la  combinaison  , l'autre en sens inverse, c'est  à-dire accrochée quand son     électro    de     coin-          mande    ne reçoit aucun courant, ledit     éleetro     ne comportant qu'un seul enroulement, dé  magnétisant,

   et     parcouru    par le courant de  retour commun à tous les     électros    traducteurs.  



       Divison        (fig.    18). La première chose à  faire est de placer le chariot dans la position  convenable. Considérons un compteur à huit  chiffres, il y aura évidemment lieu, pour  avoir un quotient avec deux chiffres déci  maux exacts, de poursuivre la division jus  qu'au troisième; dans     ice    cas, on peut se ren  dre compte qu'après avoir tiré le chariot à  fond vers la droite, il faudra le faire avan  cer vers la gauche d'un     na-mbre    d'unités égal  à quatre .diminué de l'excès de nombre des  chiffres .du     dividende    sur celui du diviseur.

    En outre, il faudra, placer le     dividende    et le  diviseur     @de    façon que le premier chiffre à  gauche     idechacun    .d'eux soit dans la même  colonne, si le -dividende a plus de     -chiffres     que le     diviseur    et que ce soit leur premier  chiffre .à .droite dans le cas contraire. Cette  dernière     condition    sera     automatiquement    rem  plie     d'ailleurs    si le chariot est     placé        préala.-          blement    ide façon indiquée ci-dessus et que      le dividende et le diviseur viennent s'inscrire  l'un au-dessus de l'autre.

    



  Les     idivers    mouvements seront alors les  suivants:  Le relais D ferme en 56 le relais com  mandant l'embrayage<I>TC</I> du tirage du     ch.a-          r10t;    en ;même temps, il commute en 55 le  circuit     fermé    par     l'interrupteur   <I>Id</I> (que vient  pousser le chariot en fin de course) et le di  rige sur un relais Z qui:  10 se forme en 60 un circuit de     collage;     2e court-circuite en<I>p, q, r, s,</I>     t    respec  tivement les quatre premiers chiffres du cla  vier;

    3e commute en     u.,   <I>v, x, y;</I>     u',   <I>v', x', d'</I>  les fils ide retour .des quatre premiers chiffres  ,du dividende et du diviseur pour les diriger,  comme il va être -dit, à travers les enroule  ments des quatre relais     Vl,        V2,        V.,    V4;  40     Ouvre    en 61 le circuit du relais -du  tirage ,du chariot;  50     ferme    en 62 le circuit d'un relais de  retardement dont l'utilité va être expliquée  plus bas.  



  Les     électros        Vl,        V2,        V3,    V4 sont des     élec-          tros    polarisés types Hughes (à petite course  pour que l'armature revienne d'elle-même).  



  Ils comportent trois enroulements: l'un  connecté .avec les fils venant du diviseur est       _naignétisant;    les     .deux    ,autres sont     démagnéti-          sants;    parmi ceux-ci l'un reçoit les fils     du     dividende et l'autre est alimenté :ainsi qu'il  sera expliqué.  



  Le     montage,de    leurs     armatures    est .le sui  vant: le plot de travail     h    de     Vl    est relié au  pivot     p2    die     Vz,    le plot ide travail     l,2    ,de     V2    est  relié .au pivot     p2    de     V.,,    le plot ide travail<I>l.,</I>  de     V2    est relié au pivot p4     ,die    V4.  



  Les plots de repos     ml,        m2,        m3,        m4    sont  respectivement connectés à.     une,des        .extrémités     de l'enroulement des relais     WI,        W2,        W3,        W4.     Enfin, 14 plot de travail de     V4    -est connecté  à une des extrémités .de l'enroulement !d'un  relais D'.

   Les quatre     électros    W et     l'électro     D' ont l'autre extrémité de leur enroulement  branchée en dérivation     sur    un     circuit    qui est  fermé en     62bis    par le relais ,de retardement Z'  et vient se terminer .au pivot     p1    de l'arma-         turc    du relais     Vl.    Les quatre relais     W    fer  ment en dérivation le     circuit    d'un relais Y  commandant la touche     d'ava.ncement,du    cha  riot.  



  Enfin, quatre     interrupteurs   <I>il,</I>     i2,        ir,        i4          seront    successivement fermés par un bossage  continu du chariot dans son     avancement    unité  par unité     (chaque    interrupteur restant fermé  lorsque les suivants se ferment); ils sont in  tercalés dans des circuits alimentant le troi  sième enroulement des     électros    V. De plus,  leur fermeture se fera dans l'ordre     i4,        i#-,        i2,   <I>il.</I>  



  Dans ces conditions, le fonctionnement de  ce dispositif sera le suivant:       Supposons    que le .dividende :ait, au plus,  autant de chiffres que le diviseur; dans ce  cas les armatures des quatre relais V reste  ront à leur position de repos; le circuit de Y  se fermera par Vil, le     chariot    avancera d'une  unité et par là fermera     i4    qui agira sur     V4,     celui-ci fermera p4,     l4;    le     chariot    avancera  d'une seconde unité et, par     i3,        p3,   <B>1</B><I>3</I> se fer  mera, puis     p2,    12 et enfin pl,     h    quand le cha  riot aura avancé :de quatre unités;

   à ce mo  ment les quatre relais     W    seront hors circuit  et c'est D' qui fonctionnera.  



  Si maintenant le dividende a un chiffre  de plus que le diviseur, ce sera évidemment  le relais     Vl,    qui ne recevra pas de courant  venant du diviseur et par suite aura lâché  son armature;<B>il</B>     p1    se fermera mettant     Wl     hors circuit; ce sera ,alors     W2    qui fera avan  cer le chariot; comme ci-dessus     l4,        p4    se fer  mera, puis     l3,        p3,    puis     p2,    12 mais, le chariot  ayant avancé ide trois unités tous les     électros          W    seront hors circuit, etc.  



  Si le dividende a deux chiffres de plus  que le diviseur, ce sera le relais     W3    qui fera  avancer le chariot.  



  Enfin, si le     dividende    a quatre chiffres  ,de plus que le diviseur, les quatre     électros    V  auront lâché leur armature et le relais D'  fonctionnera     tout    de suite.  



  D' coupe en 63     l',alimentation    du relais Z,  les circuits -de traduction du dividende et du  diviseur redeviennent alors normaux, se  ferme en 64 un circuit     @de    collage, en 65 celui  <B>(le</B>     l'électro   <I>Ad</I>     (fig.    15) après avoir commuté      en 45 le fil d'alimentation du relais     R7    et  fermé en 66 le fil de retour du dividende.  Celui-ci s'inscrit alors (comme une somme  à additionner).

   L'interrupteur     II'    en se fer  mant envoie par la bifurcation 45 du cou  rant dans un relais     Ro    qui se ferme en 67  en circuit .de     collage,    coupe en 68 le fil de  retour du dividende et ferme en     @69        .l'em-          braya,Lye    ide     vidaz.e    -du compteur     VC.    L'inter.    la droite), ou 5 (en commençant par la gau  che) du     compteur.   <B>Il</B> y -aura .donc lieu de  tirer le chariot à fond à droite, puis de le  reculer -de quatre unités vers la gauche (on a  supposé toujours huit chiffres :au compteur).  



  On peut alors suivre ,les     divers    mouve  ments .des relais; la perforation pratiquée  dans la colonne     d'indication    d'opération agit.  
EMI0018.0013     
  
    <U>anrla <SEP> nalaia <SEP> n <SEP> las <SEP> gi@.n"@+r <SEP> rlji</U>     
EMI0018.0014     
      ensuite 7631 -de 2530, puis enfin le premier  chiffre     clin    quotient 3, puis le second 3. Le  quotient apparaissant est donc: 0,033.  



  A remarquer qu'à part les montages par  ticuliers des     relais    V, le mécanisme complet  clé cette opération n'est qu'un cas particulier       .chi        procédé    général indiqué au début de     la,     description: un relais est fermé un instant  par une cause extérieure; ce relais ferme un  circuit de collage et commande un mouve  ment. Ce     circuit    -de     collage    sera coupé par  un relais intervenant ,de même manière après  la fin du mouvement     commandé    par le pre  mier relais et ainsi de suite.

      <I>Vérification de</I>     résultats   <I>de</I>     calculs        indiqués     <I>par</I>     une   <I>fiche.</I>  



  Cette     vérification    se fera .de la     faeon    sui  vante dont il est inutile d'indiquer le détail,  car il ne s'agit que de la combinaison d'opé  rations<B>déjà</B> décrites.  



  Les résultats des     calculs    opérés par     la,     machine et ceux que fournit la fiche sont  comparés par le dispositif décrit     ci-,dessus        de     comparaison de la valeur relative .de     deux          nombres;    s'ils sont identiques, la fiche sui  vante est prise par le distributeur; dans le  cas contraire des relais convenables enregis  treront successivement les deux nombres à  comparer sur .une machine à calculer, feront  la différence et la     transporteront    suivant  qu'elle sera dans un sens ou dans l'autre sur  l'un ou l'autre des compteurs d'une machine  à additionner qui pourra. en même temps en  registrer les indications numériques .de repère.



  Statistics installation using perforated sheets. The present invention a. for object a statistical installation using: perforated sheets and which comprises a certain number of devices allowing to carry out the four arithmetic operations, characterized by a device allowing key to compare the indications given on two sheets, - to read certain indications one - (the sheets according to indications given by the other, to transport the indications read in a translator device by means of which these indications,

   forwarded to. from perforated sheets, are recorded on the keyboard of a calculating machine and are transported on the numbered drums of the latter for use, as required. for any arithmetic operation, various devices being provided to act on the recording, according to the indications given by certain perforated sheets. and automatically perform the desired operations when a series of these sheets is exhausted.



  The appended drawing represents, schematically and by way of example, an embodiment of an installation according to the invention, as well as some variants of detail.



       The, fi-. 1 is a schematic representation of a statistical key apparatus applied to the control of a machine. To be calculated; Fig. 2 shows the solid.ari- sation device: pushers with the movable frame; Fig. 2a shows the device for engaging the cams with the control shaft; The fi @ g. 3 is a circuit diagram of a translator without relays;

    Fig. 4 is a special embodiment of the device shown in FIG. 3; Fig. 5 is a circuit diagram of the safety relay; Fig. 6 is a mounting diagram for verifying the identity -key @ two numbers; The fjg. 7 is. a diagram. assembly for the comparison of the relative values of two numbers formed by a single digit;

    The fïg. 8 is a circuit diagram for the comparison of the relative values of two numbers formed of several digits; Fig. 9 schematically represents a reading device 4.e scale; Fig. 10 shows the arrangement of the groups of conductive pads on the reading plate of the scale apparatus; The, fig. 11 shows the device for reading an element of a scale;

    Fig. 12 represents the diagram of the assembly allowing the automatic totalization after exhaustion of a packet of files sorted according to a determined parameter; Fig. 13 is a device for the totalization of subtotals; The fib. 14 is a diagram showing the mounting of a writing and adding device on a printer adding machine;

    The, fig. 15 is a circuit diagram of a: device: a: design on a calculating machine La. Fi; at. 16 is an assembly diagram of a device for transcribing the results of an il-1: i machine. calculate on the machine. add; The fi-. 17 is a diagram of the assembly of a multiplication device on a machine. .calculate; Fig. 18 is a diagram. for mounting a dimsion device on a cal culating machine.



  The adding machine is surmounted (fig. 1) by a frame provided with as many vertical rods such as t as there will be keys such as T on this machine (nine per column); each rod comes to press a key and can. to be, by the action of a suitable electro, made integral with a frame C which may, in due course. to be lowered by the action of:

  connecting rod R, actuated by cam Q, and, consequently, push in. corresponding key.



  The rods t and the frame C are made integral by the device according to FIG. 2.



  Electro-polarized E, consisting for example of a tVS magnet provided between its branches with a coil E whose windings will be fixed lower, carries a soft iron key armature articulated at A and pulled by a spring R. A this reinforcement is fixed an extension terminated by a ring a.

   In this ring can slide a rod pivoted at p on the frame C and terminated by an oven chette <I> f. </I> On the other hand, the rod t is provided with a disc d resting on a spring r. When the electro E lets go of its frame, the oven f comes to take between its teeth the ti'e <I> t </I> above the .disk <I> d </I> and when the frame C will lower, it will be the same for the rod t. and the, key T.

   On the contrary, if the electro E has not let go of its armature, the fork f goes to. side of: disc d. In all cases the tail of the fork f slides in the ring a.



  As for. lowering the C-frame. it is obtained as follows: a camshaft C (fig. 9a) moved by an engine, carries, threaded madly on it a certain number of .cames differing only in profile and dimensions. but can be engaged on it by the following .dispositif: a plunger P moves to the left a system of: bars b;

   - in this movement a roller g, leaves a tic cavity, locking e provided: in a s.olidairo disc, of the cam Q, then a zriff @ - (or friction) clutch l keyed on the shaft C comes in taken av. ,, the solid d-Pntures (or the plate) -of the Q cam;

   in addition, a roller g = is placed in the groove (the outer edge of which is interrupted at a suitable point) of a groove wheel i also integral with the cam Q, so that, if the current stops pass through the plunger P, the bars b cannot under the action of the spring R '. only operate the release when the .Q cam has completed one turn c: omlrlet.



  The shaft C is represented as carrying (wire-. 1) five cams: whose roles are: Q, - to lower the frame; Q_ to lower the, key of a totalizer: Q @ to.aba.se the. touch of a second totalizer; Q, to lower the. registration key, the number entered; Q .; to act on tires n (fig. 2) fitted with lugs e intended to bring back the mature arches on the appliances E.

        It is now important to describe the way in which the translation of the perforations takes place. Although in the. machine. adding each column has only nine digits, this trajductiun will be considered in the general case, that is to say for fourteen possible combinations.



  The device which will be described allows translation by means of fourteen polarized electrons such as E (fig. \?) Without any relay; blanks for this purpose, each key these electron comprises four distinct windings and is mounted, as it will be said, by branching on the four wires corresponding to the four possible perforations; let <I> a., b. c, d, </I> these four sons and Ex, E2,. . . <B> <I> El, </I> </B> the fourteen electron (fig. 3).



  In the electro El, the shunt taken on wire a is mounted so as to produce a demagnetizing field, while the shuntings taken on the other three wires are mounted in the opposite direction. Therefore, the key takeoff the armature will not be able. occur only if the current comes from the a wire and that one only.



  In the electro E_ it will be the bypass taken on the wire b which will act. . In ele.ctro In only the, bypass coming from c will be active.



  In electro E; this will be the key vinant derivation d.



  In the electro E ;, the two derivations coming respectively from n. and b will be. .dema-, annoying, the other two being in the opposite direction:

       on the other hand. the tension of the return spring P (fig. 2 ') must be half that of the springs of the first four electrons so that take-off can only take place when the two active windings are simultaneously traversed by the current.



  In the E ,, <I> E ;, ER, </I> Eq. Elo. ce>, respectively have the derivative groups: ac ions. <I> ad. bc. bd, cd, </I> who f, will take off the frames.



  Finally, -in the electros Èll, E12, E12. <B><I>El,</I> </B> the three windings <I> abc, </I> abd, acd, bed will be respectively demagnetizing and the @de recall spells: their armatures will be set so that the current active lines are necessary to: cause takeoff.

    their voltage -should therefore be a third of that of el, E2, E3, E4 ele.ctros.



  A variant of the previous device which aims to avoid errors which could occur in the event of -disadjustment of a spring or of variation in the magnetism of the electrons is shown in FIG. 4.



  We can -first notice er that it is obvious that if a maladjustment can allow an electronic: having to work only in the case where two circuits are traversed by a current to function under the action of -a single as a result - key 4ème ,, om6tisa.tian of the magnet, the reverse will not be able to take place and this phenomenon will never have the effect of making one of the El <B> ... </B> E14 electrons work. under the,

  c- tion of two opposing currents. Under these conditions, it would be advantageous to arrange the assemblies so that, if for example the current has passed through the electro El, it cannot also pass through those which must operate under its action and that of one or more. several others.



  For this purpose, the wires <I> a., B, </I> c, d, pass respectively through breakers controlled by the armatures of the electrons El, E2, E3, E4, before the branches are connected to them. , electron E;,. E ,,. . . El ,,. It follows that, since even in the event of maladjustment the primary key resources will be more strained than them of the seconds, the reinforcements of El. E2, E ;, E4, will be released first and will cut off the current having to go to them. following.

    It is moreover easy to adjust the inertias of the electrons so that this result is achieved at. for sure. We could even foresee on the shaft of the machine several breakers which would produce these successive actions and thus avoid: possible sparks at the terminals of those controlled by the electrics E.



  Likewise, before being provided @ Islands of derivations feeding the El ,, E12, El - # electrons. El ,, the wires <I> a, b, </I> e, <I> d </I> pass through the double breakers controlled by the armatures of the electrons E;

   to El ,,, each of these being able to cut the currents whose branches supply them, all the breakers relating to the same current being connected in series. In these conditions the E ,, appliances. E, _, <B> <I> & </I> </B>, E, .l cannot, under any circumstances, operate under the a.etion of two currents only.



  It is quite obvious that every time the. translation n'.aizra, to be done only -in the system: decimal, the switches actuated by the electros E ;, à. El "will be unnecessary and may be deleted.



  For clarity in the drawing (fi: g.: I), only the circuits producing the. falling reinforcements have been shown, excluding the other circuits and, the return wire common to all the circuits. Safety relay <I>. - Zeros. </I>



  This second device shown in FIG. d a. the advantage - of avoiding errors due to a die: adjustment always possible, but it has the disadvantage of introducing a certain number (the current breaks in circuits with high self-inductance, hence the possibility of deterioration of the contacts and consecutively misfires, except in the case indicated above where several mechanical breakers would have been expected.

   We can very simply avoid. e .. # -danger in the following way: Let us suppose for example that the circuits a and b are traversed by a current, but that, as a result of, the: deterioration! of the switch of the electro El, the current a n 'does not reach E ;; the latter, unless: d-éréalago very improbable (unless the device is completely: in bad condition), will not be able to function since it will not be. supplied only by the current a:

       on the other hand, El which will receive both current a and, in the opposite direction, current b, will not work either; consequently, any bad contact to a breaker will have the effect of: preventing the operation of the appliance in question without making another operate. This remark made, we therefore see that it will suffice. to be sure that, as soon as a .circuit a, <I> b, </I> c <I> or d </I> is traversed by any current, one of the electrons has released its armature.

      On the other hand, according to the method exposed at the beginning of this description, it will be necessary. that, when the electro-translators have finished functioning, a circuit is established to control the lowering: of -frame C; however, at least in the case where the electro translators control a keyboard of a machine to add, add or calculate, there is no key for zero.

   It is therefore necessary to provide a positive dis which allows, when the number from one column to. translating is a zero, -to also have a circuit closure, which, placed in series with those with which the electro-translators of the other columns will have been provided, will allow. to have; a: continuous cirauil acting on the electro-clutch d., - the lowering of the frame C.



  Each of the electro-translators E controls a breaker C whose. closure is produced by arma.lure :. rlesclitélectros E. The switches Cl to C ,, are mounted as a bypass for all El <B> ... </B> E14 appliances: of the same column and each group corresponding to a column is mounted in series with groups of other columns so as to get to. certainly the result sought. to see that the operation of an electro whatever shell, in each column allows the closing of a circuit.



  That. laid, the return wire of the fourteen appliances (reduced in general to nine) crosses a relay Rp (fi ;. 5) which itself closes the circuit of a relay RS with three circuits -dis tinct, equal. mounted two in one direction. and] (, third in the opposite direction.



  The first island these windings is excited during the closing f'un breaker Y as soon as a plug is submitted to a'na'lyse.



  The second @de, same meaning as the first-r is that which is closed by the contacts side by the armatures of the electrons E.



  The third is the one controlled by the Rp relay, itself excited by this current flowing through the E electrons.



  Under these conditions: a) 'If a current comes from the contacts n, passes .in the electro R8, it is because, according to the remark above .clessus, one of these electron has received a current which, therefore, will also cross RS. This will therefore attract its armature since it will receive two active currents and one in the opposite direction.



  b), If no current comes from the contacts c as a result of the non-functioning of an ectro E following a bad breaker contact, RS will still receive the current, when the electro E works and, consequently supplied by two opposite currents, it will not attract its armature.



  c) The digit to be translated in the column is a zero. In this case only the first circuit is traversed by a current and the armor is attracted.



       It will suffice to put in series all the contacts such as <B> 150 </B> closed by the arrays of the RS relays corresponding to each column and to operate by the circuit, thus formed the electro (the lowering the frame C to be sure that this movement can only take place after the rod corresponding to the desired key has been taken by the fork f. and that it will take place even if in a column there is a zero.

   This result could not have been obtained by putting, as i1 was said above, for more simplicity, in series the groups of contacts c. The RS relay could not operate if its third circuit was run by the currents of varying intensity passing through the electros E which must have operated; this is the reason why a preliminary relay Rp supplied by this variable current and forming a fixed resistance circuit crossing the relay RS has been provided.



       The statistical installation shown further comprises a certain number of identifiers which will be described below.



  <I> I. Device for </I> comparison <I> of </I> de-rex, -raoîyzb? -Es <I> represented by </I> perforations.



  In the first place, it will be a question of reading in a scale the indications corresponding to the data provided by the perforations of the cards. Of course, the scale will be. itself constituted by a perforated sheet; first of all, the following problems must be solved: a) Verification of the identity of two numbers.



  b) Comparison of the. relative value of two numbers.



  a) This verification can be done in the following way - 1o are first numbers formed of a single digit (in the system quadridzcirna.l).



  Two sheets bearing the perforations corresponding to the numbers to .so, mparer are placed on the plates: dr; contact, under the combs, for example in. K and in K '(fig. <B> 6). </B> The four wires -of each contact plate are connected respectively to the windings of four electros with two opposite windings. The frames of these ëlect_ros have.

    the effect of -closing a-derivation taken on two wires FI and F, whatever or whatever the appliance (s) having attracted its or their armatures. It is obvious that if the two figures to be compared are identical, each electro will receive. current in its two windings. and will not attract its pallet;

    on the contrary, if the two figures formed by the perforations are different, one of the electros will attract its armature and the circuit F, -F2 will be closed by the corresponding branch.



  If now the two numbers to be compared comprise several digits, it will take as many b pupae of four appliances as there will be digits and all the breakers commanded by these various appliances will be connected in branch on the wires F , .- F .. The circuit F, - F. will not be able to.

   be so closed only in the case where the set of digits in K will not be identical to the set of digits in W and it will not be, otherwise, that is to say if the - two numbers to compare are equal.



  b) Comparison of. relative value of two numbers. The device used (fig. 7) comprises two sets of safety tips -1 and B and two potentiometric rheostats ('and D each formed -of -resistance elements <I>r,</I> <B> ... </B> r14 @et <I>r',</I> <B> ... </B> y'14. These items are connected to.

   oomma.ndés breakers by relays 1, 2, 3 and 4, respectively l ', 2', 3 'and 4', the windings of which are individually connected .aux feelers -of the two sets 21 and 13. Each relay controls as many breakers as there are resistance elements in each rheostat.

   In addition, each breaker is connected in series with the homologous breakers of the other relays, that is to say with the breakers of the other relays which all correspond to the same resistance element. The current coming from the resistors will therefore have to tra: always pour four breakers in series before. to arrive at a common wire leading to a winding of a differential relay Z whose other winding is connected in the same way to the other rheostat.



       In the example shown, it has been accepted that the figures are represented by a maximum of four perforations, which perforations can form fourteen different combinations such as those shown in FIG. 7a. Each perforation corresponds to a pulpy tip connected to a relay. There are therefore two sets of four points and two groups of four relays 1, 2, 3 -and 4 respectively l ', 2', 3 'and 4'. Each relay controls as many switches as there are possible combinations, or fourteen in the particular case.

   Each breaker constitutes a four-pin switch, two of which are always connected, whether the relay is energized or not. Each first breaker of a relay is connected in series with all the first breakers of the other relays of the same group; each second breaker is connected with all the second breakers: other relays of the same group, etc. , until the fourteenth. -A group of relays therefore controls fifty-six breakers connected in series four to four and which form fourteen circuits whose inputs are each connected to a resistance element and whose outputs are all connected to relay Z.



  The breakers in series are connected in such a way that for a given combination of perforations there will be only one closed circuit between the potentiometric rheostats and the input wires of relay X.



  Suppose now for example that the figure read by the points of set A controlling the relays 1, = 2, 3, 4 is 6, while the figure read by the points of set D controlling the relay l ', 2', 3 ', 4' or 9.

   If we call Y the voltage across the battery and i the current flowing through the wire of the potential meters between x and y, on the one hand, and .r 'and - on the other hand, we will have:
EMI0006.0038
    Consequently, the difference in potential between point C and -point y will be:
EMI0006.0041
    while the potential difference between C 'and y' will only be:
EMI0006.0042
    It is therefore visible that a current going from D to D 'will run through the electro Z; in the direction D D' and the armature, from Z will take a given position.



  Likewise, if the figure read by the combs in system 1, 2, 3, 4 had been greater than the figure read by the combs in system 1. ', 2', 3 ', 4', the current flowing Z would have been in the opposite direction and the reinforcement of Z would have taken a position opposite <B> to </B> that @ of the previous case.



  Finally, if the two figures had been equal, there would have been no difference cb-potential between points D and D 'and consequently no current in the electro Z, the armature then remaining in the middle position.



  The three positions of the frame: of Z are used to indicate either the identity @ # - (middle position), or the positive or negative inequality of two numbers (extreme position).



  20 Comparison of the relative value <B> of </B> numbers comprising two digits (fig. 8). Each digit will correspond to a group, selector as above (not shown in the figure) with the two relays Z, respectively. and Z2; the group Zl will correspond to the fortnights, the group Z. to the units (quadridecimal system).



  Here, a parenthesis is in order. We have seen above that the figures are represented, in the case of the example described, by four perforations capable of forming fifteen different cams. However, in the decimal system, there are only ten different digits available.

   With four perforations there would be - therefore five combinations lost. <B> 011 </B> Li therefore, instead of the decimal system, auopM the quintidecimal system - where the numbers 10, 11, 12 and 13 and 14 are replaced by the signs A, E, <I> J, </I> D and E and are considered as still being numbers formed by one digit.

   0n thus achieves a great saving of columns, respectively -of space on the sheets where the numbers are represented by perforations. <B> 011 </B> will therefore speak of fortnights or even tens. In some cases the fifteenth combination with four perforations will have to be discarded, as it will match in the event that no perforated sheet is in the <B> </B> machine.

   We will therefore have more than fourteen signs - designating fourteen numbers and we will then speak of "fourteen". The fifteenth, coambination can be maintained if a special device is provided to make it possible to differentiate the case of four perforations and the case where no sheet is in the machine. (Use of a fifth palpus point which touches the leaves there there are never any perforations.) The device for comparing the relative value: of two numbers is as follows:

    The dead stud of Z, is connected to the pivot ide the pallet Z = ;, the two other studs of Z, and <B> 7,2 </B> are respectively mounted in bypass.



       Suppose digit values from "1 to fourteen" such that the paddle _d be pushed back to B ,, this results in a usable current from A to B and it can be seen that?, Is not involved. Let us suppose on the contrary that the two digits of the "quatorzaines" are equal, the pallet <B> -A, </B> remains at the dead pad and it is Z .. which will decide if one will have a current. from <I> A </I> to <I> B </I>. or from A to C.



  The relays should be adjusted so that Z works before Z = to avoid the spark at A, and the risks of: oscillation in the operating circuits. In view of the considerable overload which the Z windings can withstand, it would be advantageous to provide in the circuits of use such devices as the current which passes through them is cut off as soon as they are in operation.



  30 Comparison of the Relative Value of Numbers Over -Two Digits.



  There will be as many relays Z as there will be orders of units in the numbers and the assembly of the secondary connections will be similar to what it was in the previous case, that is to say that an incoming wire is connected to the pivot of the pallet of the first relay on the left, the dead stud of this one to the pivot of the pallet of its neighbor on the right and so on, all the other studs being connected in ; bypass on the other two wires.

      II. <I> Reading of </I> scales <I> or tariffs. </I> (Let us consider the most general case of double entry scales; the problem consists in this: perforated indicates the row and the column of the scale, the number placed at the intersection of these must then be taken by the calculating machines and used as appropriate.

   It will suffice for that. that these third devices are connected by flexible cords to the four wires on the contact plate of the scale and that the suitable circuits be closed by the reading combs on the correct number of this scale.



  The scales: must consist of, perforated sheets: each page of which will contain fourteen columns of fourteen names each, that is to say a total of one hundred and ninety-six elements. Reading will therefore require in the most general case.



  10 looking for the page including the number to read: 20 looking for this number. in the. page considered.



  To fix the ideas, let us suppose that it follows from a scale giving the hilometrical distances of the stations of a network two by two; it is obvious that if the number of stations is 14n -f- p, the number of pages of the hareme will be (n + 1) 2 with <I> (p <14). </I> Each the page will have double numbering, one for the lines, the other for the columns.

   If for example n -i- 1 is greater than 14, the numbering will consist of: two-digit names which will be entered in the form of perforations on each page of the scale.



  All the pages will be placed one after the other so as to form either a strip of paper wound on an axis at each end if the strip is long enough, or simply an endless strip rotating on the rollers if it is is suf ficiently short. In the first case, it will obviously be necessary to make the strip move in one direction or the other, while. In the second it will suffice for the latter to always move in the same direction.



  The apparatus will be constituted, as follows: (fig. 9) a strip of perforated paper constituting the ba.reme bearing on its jumps the registration holes is unwound, driven by the cylinders <I> T </ I> and <I> T '</I> passing over a fold of K contacts.

   This plate is formed by a mass of insulating material carrying as many inlaid metal pellets as there are perforations in a page; of the b @ areme considered, that is, if it is a question of three-digit elements. (in the four-decimal system), twelve times one hundred and ninety-six or two thousand three hundred and fifty-two. In each group of twelve lozenges, each lozenge can be designated as shown, g. 10.

    All the pellets of the same name are derivatized on three groups of four wires leading to twelve formerly.



  On these one hundred and ninety-six groups of twelve pellets comes down a frame C 'carrying one hundred and ninety-six combs of twelve rods forming groups of non-isolated rods, but each group being itself isolated.

   Finally, above this frame and carried by the frame of the apparatus are respectively parallel to the two sides of the page i of the harem, two groups: of fourteen bars such as B; and B'i each carrying fourteen springs ri and r'i suitably oriented and provided with contacts at their ends (fig. 11).

   The springs of D '; are isolated from this and each is connected by a flexible wire with the comb of twelve rods placed below it;, on the contrary, the springs of Bi do not end with the i. Normally the bars Bi and B'i are held in place by electros, such as Ei and <B> Fi, </B> identical to those which have been described above for the translation of the perforations.

   When an electro Ei and an electro E'i receive current, the corresponding bars Bi and B'i are displaced longitudinally under the action of. springs Bi and R'i and the springs ri and -'i placed at the crossing point of Bi and B'i come into contact, closing by the mass the return circuit of the twelve wires:

    <I> a, </I> b, <I> c. d; </I> U ', b', <I> c ', <B> d </B>; </I> d', <I> b ", <B> Ci /, </B> d ". </I>



  The twelve sons corresponding to the pastil les: <I> a, </I> v, c, d, .. <I>. . </I> d ',! L', C '", <I> d" </I> (all mounted in parallel) are connected by flexible .cords to the electronic translators -of the machine to be calculated on which the data provided by the scale should be carried.

   On the other hand, the electros such as Zi, Z =. Corresponding to the numbering of the lines and those corresponding to the columns are mounted as indicated by fi: g. 8 by supposing that the two two-digit numbers thus formed constitute only one number:

  of four digits, because it is quite obvious that it is necessary that these two names to the. times are identical to those due to the card holder so that the appliance stops and the third digits can intervene. Finally, from this moment these third digits must then intervene and operate the electros Ei and L, 71. For this, the return wire common to these twenty-eight electros is connected with the dead pad of the last electro â. right Z.

   Under these conditions, if, by increasing electrical or -mechanical inertia or by any other appropriate means, the closing speed of the Z electros is decreasing so that they operate successively, it is quite obvious that the Electms such as Bi and E'i will only act when the scale has the proper range on the contact plate.

   It goes without saying that it will be necessary @ to arrange the pages @of the scale! So that the numbering is always increasing in the direction of the rows and at the same time of the columns so that the Z electrons do not have to drive <B> the. </B> tape in two opposite directions.



  The simplest device for driving the strip is a device similar to that described in fig. 2bis (., Comprising a .double clutch to be able to operate in both directions), the dimensions being such that one revolution corresponds to the passage from one page to the next with prior lifting of the combs during the movement.



  If the scale has only a few pages, it may, as has been said above. be made up of an endless belt; in this case, it will be useless for the training to be done in both directions and as a result, the device for comparing the relative values of the numbers of the pages can be replaced by the simple device for comparing the equality.



  The grounding of the return circuit of the wires <I> a., B, c. d, </I> <B> ... </B> <I> a ", b", c ", d" </I> will operate the electron translators of .la. calculating machine or â.



  add which will function as if the indications it receives had: been directly supplied by the form.



  Finally, a relay suitably placed, for example on the closed circuit by the safety relays of the machine, cuts all the currents. Having operated the scale apparatus.



  In order to better understand the operation of the device for reading the bars, there is shown schematically, FIG. 9a and 9b a part of the installation comprising the devices ides fig. 3, 7, 8 and 9.

    In fig. 9a, we see a triple comb P, <I> C, L </I> placed above a group of twelve pastil them a, b, <I> c, d; a ', b', c ', d'; a! ', </I> b ", c" and, d ". These combs and these pellets belong to a device for reading the indications supplied by the cards. The comb P is used to explore the perforations representing the page numbers of the scale.

   The corresponding pads <I> a., </I> b, c and d are connected, as already described with reference to fig. 7,. To relays 1, 2, 3 and d of the device for comparing the relative magnitude of two numbers, ido ni. depends on the Z relay. The latter is connected by <I> D </I> and <I> D '</I> to the potenhametric rheostats and by y to the battery pole. The combs C and L are used to explore the perforations representing the numbers of the columns C and of the lines <I> L </I> of the scale.

   The <I> a, '-. <B> K </B> </I> c' and d 'pellets corresponding to the comb C are connected to the electrons El controlling the bars B; the system for reading scales. The steps <I> a ", b", c "and d" </I>, oorresponding to the comb L are connected to the electrons E '; controlling the bars B '; of said device. A switch Z ,,, placed before the combs <I> C and L </I> is actuated by the Z relay when the latter stops in the middle position.



  In fig. 9u, 'the pastilles designated by a, <I> b, c, </I> ci, <I> a', b ', c', d '</I> -and <I> a ", </ I> b ", c" belong to the exploration device @du harême. The pellets are connected to the electrons El to E ,,, -of the translator described at the beginning of this presentation. Fig. 10a represents two sets of Ide perforations of a plug and the.

         fig. 10b a fragment, of a scale of which a page is limited by the lines x-.r '; <I> t </I> denotes the perforations representing the number of this page and T the perforations representing the numbers to. read in the bareme.



  A card bearing the indications of the left part of the fi @ g: 10a being introduced into the device .de fig. 9a, the number corresponding to the indications on this sheet is read in the scale. With reference to the. fig. 7a, we see that the perforations represent the number 529 which means: read on, page 5 - of the scale, the number being in column 2, line 9.

   (P stands for page C. column and L, row.)! Suppose this record has been replaced by another bearing the number 296. For each page, of the scale. the, plate C '(fig. 9) is lowered and then raised under the etioon of an ad hoc mechanism.

   Page 5 explored during the previous operation still being in place when the card has been changed, the comb P exploring the card finds the number 2, while the comb P: from the scale reading device finds number 5. The device for comparison: of the relative magnitude of two numbers is immediately activated and acts on relay Z.

    The latter moves its frame in a direction such as the band L & la. fig. 9 will move the length of a page of the scale in the direction of arrow B - (fig. 9) as soon as the plate C 'is raised. At the same time, the breaker Z_. (Fig. 9a) will prevent any current from flowing through .electros Ei and L; ', .bars Bi and Bi' remaining at rest.

   The same game will be repeated as long as the desired page has not reached between the plates K and C '(fig. 9). As soon as this page is in place, the .two combs P @du, a device for comparing the relative size of two names, meet the same perforations, the relay Z remains at rest, its frame being maintained between the 'plates? i and z_ controlling the movements of the band,

  of the scale and the switch Z3 closes. At this time, the current will be able to reach by those of the pas tilles <I> a ', </I> b', c ', <I> d'. a ", b", c "and d" </I> which are touched by the tips of the combs <I> C and L. </I> The corresponding appliances Ei and Ei 'will release their armatures and the ninth, bar res <B> El </B> as well as the sixth of the bars E, 'will move under the action of the springs Ri and Ri'.

   The sixth spring of the bar Ei will meet the ninth spring of the bar E'i and the current will reach the exploration combs of the scale (fig. 9b). This current will pass. by those of the pellets which have been touched and will reach the electrons El to El ° 4u translator.

   These electros will function as, already,: described and will cause by the lowering of water C (fig. 2) the lowering of: keys corresponding to the numbers: of the number read on page 5 of the scale. column 9, row 6.



  We can take advantage of the scale to simply replace the four-decimal numbering, so advantageous from so many points of view, by the decimal numbering which alone can be transcribed on an adding machine, -da.ns in the case where the we want to include on the sheet: printing it the information: concerning the:

  scale provided by the form (for example the name of the sending and receiving stations @d: in the particular case considered above). To do this, each page need only bear, next to its quadridecimal numbering, a perforated decimal numbering,: which will be. transported to the ma chine to @addition instead of the one: of the file.



  Before explaining the operation of the addition, subtraction, d2 multiplication and -division devices, it is necessary to briefly describe the machines which will be used for this purpose as well as, to say a few words: -sheets.



  <B> 10 </B> The additioner, contrary to the indications @du, Swiss patent no 130276 by the same inventor. Must be a full keyboard addition, @ that is: to say comprising as much, as many times nine keys as there are cotton: in the machine. It will be commanded as it was idit above.



  <B> 20 </B> The type of calculating machine used is the "@! Iétal" machine with automatic carriage movement and division and. semi-automatic multiplication.



  This machine,: of the perfec ted Payen type, comprises: a) a keyboard: with keys for entering the numbers to: add, subtract, multi fold or divide; b) a pedal: electrical recording raising the number entered on the keyboard to the totalizer; c) an empty key: on the keyboard; <I> d) </I> a lever -AH-SD (addition, multiplication, subtraction, division); c) a lever A-M (addition, subtraction.

    multiplication,: division) which has the effect ', when it is at A to empty the keyboard matically when pressing the p-: LUtm, da.le: recording; f) an accessory keyboard with automatic multiplication.

   It is by successively pressing the @keys of this nine-key keypad, the digits of the multiplier (starting from the left) that the multiplication is done, the key remaining down for the duration. operating until after automatic movement of the carriage; g) a key, @ complementary to this last keyboard, which it suffices to lower to obtain automatic division.

   When the large keypad is empty, all you have to do is press this key to move the carriage up one notch (movement which can also be obtained by a special key) .-, h) a button for emptying! tor (to be drawn); i) a button for emptying the counter (pull-out).



  On the other hand, to transport the results recorded in the totalizer on the. adding machine, the axes of the indicator lights of this to taliser will be provided with cylinders in insulating material carrying <I> pellets </I> mounted on @ ten generators to represent the ten digits; in front of the four possible positions of these pellets and following a generator, four wipers will be placed leading to pads on which other springs are lowered in due course (lowering of the contacts) having a longitudinal play of two units for the case! the multiplication.

    



  To automatically control this machine using the perforated cards, it will have to be fitted with two frames such as C (fig. 1), one for the main keyboard, the other for the multiplication keyboard, in addition to cams and levers. will have to control the acessory keys. Their schematic description will be given in the course of the description of the operation.



  30 Since the. . duration of operations at. perform will. essentially variable, there can be no question of making the cards pull by a device, with regular movement as is the case for the sorter or for the usual adders. The simplest will be to have the movement controlled by a relay acting in time on a clutch identical to that described above and shown in fig. 2bis.



  In addition, the. plug must come to be placed on a stationary contact plate (to avoid the continuous displacement of too many flexible wires which would tend to break) constituted by an insulating mass provided with two hundred corresponding metal pads; the possible perforations of the cards. Each patch is connected to a jack allowing the connection by flexible wire with the various other devices.

   The combs will be supported by a mobile frame, the four rods of a comb will not be isolated from each other, but each comb will be isolated from its neighbors and connected by flexible wire to a jack. By this means, the most varied combinations can be considered.



  Finally, the shaft of the plug-holder device will act. by cams on two overlapping duration switches; one, I (fig. 12), which will appear in all the diagrams, is intended to close the various circuits when the combs are lowered and to cut them before they are raised to avoid sparking those ;

   the other, Io (fig. 12), will have its presence explained during the deseription of the automatic summation device, of the packets of files classified according to a determined parameter.



  It would be advantageous to replace this switch I by two switches operating successively: one on the circuit - operation indication relays, the other on the circuits: translation relays to be sure that these latter cannot function until the former have finished.



  It is this: totalization device which will now be described (fig. 12). Totalization <I> after </I> exhaustion of a packet of records sorted according to <I> a </I> determined <I> parameter. </I>



  10 The parameter n ': has only one .digit (base fourteen). The four wires corresponding to the four pads in the parameter column are connected to four relays s ,, s -,>, s.;. s4 mounted as follows: each of these relays comprises a bonding circuit (dotted eti) then a switching.

   In addition, the two switches I and Ia of which it was mentioned above are provided and controlled by the shaft of the plug-holder, I on the plate circuit -de comb contacts, the other on the cir cuit .de bonding. Their contact times are overlapping, so that their .armatures remain in the position of attraction as long as the parameter remains the same; all the switch pads are connected as shown in the figure:

   all the upper studs are in series as well as all the lower studs; @ moreover, each lower stud communicates with the corresponding upper stud; in other words, whatever the positions of the paddles of the four relays, the circuit in which they are located is continuous; it will only be interrupted during the. duration of the movement of any of these pallets. This circuit is used to power a relay S and can only do so when this relay has attracted the pallet which is part of it.

   So if the parameter changes one or more of the four relays s1, s2, sur, s4 modifies it. position of their ature and the current supplying S is <B>, </B> arm.



  It will be cut and will remain so <B> at, </B> unless by another circuit such as <I> CD </I> a current comes to feed it for a moment. Finally, when falling, the -de S palette will close a circuit such as <4Z3, the use of which will be seen later.



  20 The parameter has several digits: it will suffice to have as many times four relays if, -s., <I> s "</I> s4 as there are digits; all the circuits relating to: S will be put in series. S remains unique regardless of the number of digits.



  He goes. be now talked about: different operations.



  <B><I>10</I> </B> Additioyaraezise: The current leaves: from the. source, arrives at the common wire of the translators, crosses them, goes to the contact plate: of the card distributor, is caught by the penalties and returns to the source as follows (fig. 14):

    It is assumed that the additioner will be. used for the inscription of three columns (of two digits only to simplify the drawings, because this does not change the description, of which two at most can be totaled if the adder has two totalizers) ; the position of the columns fixed by the movements and stops of the carriage is generally determined by the positions of the tabs which are adapted to a rule carried by the carriage.



  To each column corresponds a group of combs; or Pl, P_ #, P ,, cthese combs are respectively connected with three switches <I> Il, </I> I_., 1, which are closed when the carriage comes to be placed in the place that 'he must occupy.

   The circuit then closes by passing successively through a switch Ao kept closed by a cam at the rest and start positions of the sledger carriage, so that the switches <B> il, </B> 1 =, <I> I, don't </I> run the risk of running twice,

   by the rest dots of the relays Rl and R = and finally by the switch I controlled as mentioned above by the plug distributor.



  The operation is then as follows: When the plug is placed on the plate and the combs are: lowered, switch 1 closes; the translator's appliances let go of their fittings; the safety relays attract theirs and close the contacts <I> il, </I> i2, <B> ... </B> i "connected in series and thus close the circuit enclosing the relay R ,.

    This relay then closes the current supplying the clutch electro El from the lowering of the rod-holder frame, @ from the plating of the transducer electro armatures, and El from the lever pressing the. record key; it also closes a second circuit: which will be discussed below.

   The carriage then moves and comes to close I .; Ao which had opened a little after the departure of the camshaft closes again: a second inscription at. location. then finally the one corresponding to I.

   But then, by a derivation on the circuit P. ,, <I> I "</I> the circuit of the relay Bl closes when R., attracted to its armature; Rl then feeds itself by the circuit Co , D "and closes the circuit of the plug distributor's clutch solenoid; we see in Eh 'the connections of the clutch -of the distributor in series. with the. calculator;

      it starts up, cuts I and everything returns to the initial state.



  All these movements will be repeated as long as the cards passing through the distributor are part of the same package.



  When a plug from another package arrives, when switch I is closed, one of the relays s1 <B> ... </B> s4 (fig. 12) changes the position of its : reinforcement; the circuit of relay R then closes; this relay cuts the return wire of the TI, <I> T2 </I> translators of the a.d- and closes the circuits of the: <I> ET </I>. full button and E @ on the recording pedal.

   The three switches I'1, I'î, I'3 closed by the carriage in the three positions are simply bypassed, since it is only a matter of making three turns of the camshaft to press three times on the. recording pedal.

   In addition, the cam controlling the pressing of the selected "total" key (or the "total" keys if two columns are added simultaneously) closes an end-of-totalization contact Il placed in series with the. switch I "" closed by the carriage: in its third position: this totalization circuit comes in CD to supply the relay S which attracts its armature;

    the latter,: as we have seen, will remain attracted throughout: the duration of the <B> passage of the </B> packet. Moreover at this moment, the current, of supply of R @ being cut at x (fig. 12), this relay releases its armature and we are brought back to the registration position.



  In the event that only one column of the adder is used, when entering the totals, press the recording pedal twice in succession; it would therefore be necessary to foresee some kind of change ide speed ide la. cam: end contact: totalization so that the rotation of the shaft is two turns and not just one.



  <I> Addition on the calculator </I>.



  The machine is supposed to be empty and the puppy pushed all the way to the left. When the <I> AM. </I> SD and <I> A, M </I> levers are not in place, they must come there; otherwise, there is no point in there being. loss of time necessitated by rotating the camshaft running empty. This result is obtained as follows (fig. 15):

    The AM levers. SD and <I> A, </I> <B> 11 </B> are. operated by four push-buttons, the S / D, Vil, <I>A,<B>AIN</B> </I> relays controlling the clutches of these push-buttons are supplied by the circuits of the pallets - two polarized appliances, type Siemens, U3 <I> and </I> U ,, with two reverse windings which, in turn, receive their current from the circuits of the armatures:

  <I> AD or </I> Sn- relays operating respectively for the -f- sign or the - sign. For this purpose, one of the columns of the files: must be reserved to indicate the operation; since there are four operations, the simpler will be. . to. characterize each operation in a position in the hole so as to avoid any translation. Since he rises, of the addition.

    it is the <I> Ad </I> relay which will have attracted its armor; by: this, it energizes the relays A;! M and A. In the case of the subtraction Sn, by lifting its armature, it energizes U3 by the reverse winding and U4 by the same winding; consequently the frame of Uî sticks against the other pole piece and that of U4 does not move. In this case, the clutches S! D and <I> A </I> will operate.



  On the other hand, the relays U3 and U ° are provided with the other pads ab, a'b 'for the first and gla, g'lt' for the second, pads capable of causing a circuit to branch off at the following XY points, the positions .pallets of U3 and U ,,. Finally, arriving at the end of the race in AN and <I> A,

  </I> the A1MISD and Af levers respectively close the AN and A interlocked switches - each in the circuit of the L \, and U. The pads of these <I> cd, </I> c'd "and ef. R'f 'appliances are mounted in series with those ide U ,, and.

         U.,; , moreover, the <I> d, </I> e <I> and d ', </I> e' portions of the two bifurcated X-Y circuits are electrically connected. We see then that for the sequence <I> X ab. </I> a'b '<B> ... </B> gh., G'la' y to form a continuous circuit, it is necessary and sufficient that the relays Ui and U. are respectively in the same state as the relays U ,, and U4; if for example it is a question of making an addition, the four relays will have their: frame raised;

   in the case of a subtraction, Ul and U., would have their armature dropped and L. ',, and U., their armature raised.



  The X-Y portion is common to two circuits: one passes through 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7. Ibis, 8. 9; 10, 11, 12, and I by crossing the translator; the other goes through 1, 18, the U5 relay, with two reverse windings. 14; 15, 5, X-Y_, 6, 7, 8, 9, 10, <B> 11, </B> 12 and I. The second winding of U, is closed by 16, 17, 18, 19, 20 or 20 '(depending on whether it is an addition or a subtraction), 21 and I. As we can see, it is closed: as soon as the relay Ad or the relay <I> Sn </I> attracts its frame.

   The contacts of the Ur relay are at 22 on the common return wire of the power supply circuits of the relays controlling the pushrod clutch electrodes.

      The operation is then as follows: 10 XY <I> forms </I> a continuous <I> circuit: </I> As soon as <I> Ad </I> or Sn operates, relay U visibly receives: two reverse currents; consequently, it does not attract its frame and the circuit of the pushers is cut at 22; on the other hand, the circuit of the electro-translators being closed, they operate.



  2e XY <I> ne f or </I> in.e <I> not a </I> circuit conlinti .: The Uu relay receiving only the current coming from the <I> Ad </I> or Sn relays attracts its frame; relays U3 and U4 can operate the push-button clutches and the levers come to be placed in the desired position; the X-Y circuit then closes and we are brought back to the previous case.



  When the translator's electros have operated, the safety relays close the switches such as Is mounted in series which close the circuits: of the clutch electros of the lowering of the rods L'l, of the recording pedal E'_ , and the armor plating of electro translators.



  Towards the end, by turning the camshaft, one of them closes a switch II ,. which supplies a relay R ,; this closes a bonding circuit 23, 24 and closes at 25 the starting circuit of the plug distributor, a circuit comprising elsewhere, in series with 25 a switch controlled as seen by the relay R, ,

      closed by the addition nèuse for the case where this one will work so simultaneously with their calculating machine, either to record the numbers added by this one, or for other columns @ of the file.



  When the packet of cards to be added is finished, the first card of the next pack drops the armature @of the totalization relay R, which then closes the transport circuit of the total on the adding machine (at 26).

    This circuit includes a relay R, (fig. 16) which operates the electro <I> AC </I> of application of the contacts. Of the figures of the machine carriage and switches the return wires to the combs P, ., P2, Pg (fig. 14) on the return wires: from the cylinders of the numbers of the totalizer TO @du. charlot -from the cal culating machine;

   at the end of its travel this electro closes the switch <B> P </B> which activates the relay R ,, (fig. 14). This cuts for a moment at 37, 38 the bonding circuit of the electro Rl which releases its armature and will thus allow by closing at 27 'the return circuit of the switches <B> il </B> I2 , I., in total of the machine to be registered in the desired column;

   finally, in 39, it closes a circuit which will be closed definitively by the relay Rl, that is to say when the adder has finished its movements; this circuit feeds a relay Bg which, by attracting its armature closes at 162 a gluing circuit, cuts at 161 that of the relay RE and consequently removes the totalizer contacts from the machine. In addition, R4 closes, a bonding circuit comprising the switch I and R,

       activates the electro d: 'totalizer reset clutch <I> T0. </I> Finally, in this movement, the camshaft will cut the circuit, bonding R, by the relay RSbis, and close in <I> LN </I> by <I> Iv </I> the supply circuit - relay R; whose reinforcement is glued and closes in 9, 10 the X-Y circuit. The plug can then be translated, etc.

   It is possible to increase the transport safety on the adding machine so as to avoid errors due to bad contacts on the totalizer cylinders in the case of addition or multiplication, if the product does not have more. numbers that the keyboard capacity quoted.



  To do this, it suffices, instead of emptying the totalizer,. To record on the keyboard (by mounting the bypass wires on those of the adding machine) the sum to be transported, to subtract it, from the totalizer and, to note by any device that the latter is empty.



  It often happens that after having been transcribed on the adder, the total parti- # 1 will have to be totaled on it; in this case, there will be on the form a change of the parameter relating to the totalization on the machine and also a change of the parameter relating to the totalization on the adding machine; it is quite obvious that it will be necessary that the.

    first totalization is done before the second; the following assembly (fig. 18) makes it possible to obtain this result: The currents supplying respectively the R, and S totalizing electrodes (fig. 12) pass through, in series for example with these electrodes, a relay R ,; with two windings of the same direction.

   This relay must have its armature attracted so that the RZ relay controlled in x by S can operate. Under these conditions, if .8 alone receives current, R, attracts its armature, but the circuit of R2 is cut at x. If R ,;

   only one receives it, R9. still attracts its frame and it is even R @. Finally, if Bzi and ST receive neither one nor the other, R, lets go of its frame and, consequently, it is the totalization by R, which will be done; when it is finished R,. attracting its pallet, R @ will work, etc.

   During this time, the file of the next package will wait since during the whole operation concerning the. my china to calculate the combs Pl, P =, P; have been switched off.



       Substraction. Everything is identical to the addition except that it is the relay S which has operated.



       Multiplication (fig. 17). In the case of addition and subtraction, the fact of operating on decimal digits did not intervene so to speak; for multiplication a small complication is already introduced:

    The multiplicand and the multiplier will in fact always have two decimal places; therefore, the product will have four; but it will only be necessary to take two out of these four; it will be necessary to shift the reading contacts of the machine totalizer by two units; on the other hand, if the third decimal is a number equal to or greater than 5, the second decimal must be increased by one.



  To obtain these results: The bar carrying the lowering contacts will be able to move sideways under the action of a special electro; The contact-carrying cylinder of the second decimal digit shall be provided with two groups of wipers, one normal and the other for the digit higher by one unit than that indicated by the totalizer;

   on the other hand, the third decimal digit d3 will have its contact-holder cylinder fitted with an additional contact closing the circuit of a special relay (override relay) FR when this third digit is 5, 6, 7,. 8 or 9.

   This relay: will have the effect of: connecting the return wire of the electro translator - of the corresponding adder - ponda.nt. To the second .decimal figure with the normal slider or the second group of these depending on whether he does not attract or that he pulls his pallet. Of course, the circuit of this forcing relay will be closed by the armature attracted to the multiplication relay so as to be able to operate only for this operation.



  This done, the electro M (fig. 17) acts on relays U3 and U4 to put the: AM,! SD and A / M levers in position;

   at the same time as it closes the circuit of the relay .de forcing FR in 40n, that of the pulling: from the carriage to 1-, right <I> TC </I> in 40b that of the offset of the .contacts <I> DC </I> in 40n that of R3 in 40A, and it cuts in 40bis. The control circuit of the,

       addition key <I> AT. </I> The multiplicand is then written in IMA. as would be the number to .addition - or to subtract. The e = ha- riot at the end of the stroke closes the switch <I> Id </I> which operates an RIA relay, which closes a bonding circuit passing through the switch I, cuts the power supply to the clutch of the carriage pull and closes the multiplier translation circuit. This last circuit passes through two upper pads of relay B7 which close when the multi plicand has been registered.

   It comprises in or be the .distributor D and the switch I-rya controlled by the lever for starting the machine. The distributor D is carried by the fixed frame of the apparatus, while the movable contact spring <I> Mr </I> is fixed isolated on the carriage. Its goal is to connect successively with the translator of the multiplier all the digits constituting the latter.

    As for the starting lever of the machine engine, it is automatically controlled by the multiplier keys; therefore, the fine switch will be open as long as one button of the multiplier is held down and closes otherwise.



  Under these conditions the first digit (to the left of the multiplier) is translated; the multiplier safety relay lowers the frame at <I> IX, </I> which presses the correspon- ding key, then re-glue the fittings of the electronic translators; however the multiplication takes place and the switch Inz remaining open throughout the duration of the operation including the movement of the carriage, nothing else happens;

   once this operation is complete <I> lm </I> is closed, the -second digit is translated, .etc. When we arrive, at the last digit on the right, that is to say, when the cart is at the bottom of the bear, this-Here closes -the switch Ig;

      this switch initiates the closing of a circuit which will be definitively closed by the movement of the switch Ih controlled by a cam after entering the number of the multiplier. This circuit includes an electro Rl, which cuts in 160 the supply circuit for the translation of the multiplier and closes a bonding circuit comprising the switch I,. Opens at 50 the circuit comprising the relay B5 (fig. . 1.5) who transports the product,

  the totalizer on the adder. Finally, it closes a -circuit @ for supplying the clutch to the CI keyboard emptying key.



  The machine performs the multiplication starting with the first digit to the left of the multiplier; if, therefore, the number of digits of the multiplier is less than that of the capacity of the machine, it will be necessary to advance the empty trolley by as many units as the number of digits is missing from the multiplier. For this, the translator of the multiplier will carry. a key () before pressing the. advance key - the carriage.



  This key will have to be lowered either that the column of the. sheet has no perforation, either. considered column- has the corresponding perforation at zero.

   This result can be obtained as follows: the stem t (fig. Z) of this key can be embraced by two forks f, one controlled by an electro E identical to cem @ of the other figures, and working for the combination, the other in the opposite direction, that is to say hooked when its electronic control does not receive any current, said electro having only one winding, de-magnetizing,

   and traversed by the return current common to all electro-translators.



       Divison (fig. 18). The first thing to do is to place the cart in the correct position. Let us consider an eight-digit counter, it will obviously be necessary, in order to have a quotient with two exact decimal digits, to continue the division until the third; in this case, we can realize that after having pulled the carriage all the way to the right, it will have to be advanced to the left by a number of units equal to four. reduced by the excess number of digits of the dividend over that of the divisor.

    In addition, it will be necessary to place the dividend and the divisor @ so that the first digit to the left of each of them is in the same column, if the -dividend has more -digits than the divisor and this is their first number. to the right otherwise. This last condition will be automatically fulfilled, moreover, if the carriage is placed beforehand in the manner indicated above and if the dividend and the divisor come to register one above the other.

    



  The various movements will then be as follows: Relay D closes at 56 the relay controlling the clutch <I> TC </I> for pulling the ch.a- r10t; at the same time, it switches the closed circuit to 55 by the <I> Id </I> switch (which the carriage pushes at the end of its travel) and directs it to a Z relay which: 10 is formed at 60 a bonding circuit; 2nd short-circuits to <I> p, q, r, s, </I> t respec tively the first four digits of the keypad;

    3rd switches to u., <I> v, x, y; </I> u ', <I> v', x ', d' </I> the return children of the first four digits, the dividend and of the divider to direct them, as will be described, through the windings of the four relays Vl, V2, V., V4; 40 Opens in 61 the circuit of the relay - of the draw, of the carriage; 50 closes at 62 the circuit of a delay relay, the utility of which will be explained below.



  The Vl, V2, V3, V4 electros are Hughes type polarized electros (with short stroke so that the armature returns by itself).



  They have three windings: one connected .with the wires coming from the divider is _naignetizing; the two others are demagnetizing; among these one receives the children of the dividend and the other is fed: as will be explained.



  The assembly of their reinforcements is the following: the working stud h of Vl is connected to the pivot p2 die Vz, the working stud l, 2 of V2 is connected to the pivot p2 of V. ,, the stud ide work <I> l., </I> of V2 is connected to pivot p4, die V4.



  The rest pads ml, m2, m3, m4 are respectively connected to. one, of the ends of the winding of the relays WI, W2, W3, W4. Finally, 14 working studs of V4 -is connected to one end of the winding! Of a relay D '.

   The four electros W and the electro D 'have the other end of their winding connected in bypass on a circuit which is closed at 62bis by the delay relay Z' and comes to an end at the pivot p1 of the arma- Turkish relay Vl. The four relays W shunt off the circuit of a relay Y controlling the forward button of the chain.



  Finally, four switches <I> il, </I> i2, ir, i4 will be successively closed by a continuous boss of the carriage in its advancement unit by unit (each switch remaining closed when the following ones close); they are intercalated in circuits supplying the third winding of the electros V. In addition, they will be closed in the order i4, i # -, i2, <I> il. </I>



  Under these conditions, the operation of this device will be as follows: Let us suppose that the .dividend: has, at most, as many digits as the divisor; in this case the armatures of the four V relays will remain in their rest position; the circuit of Y will be closed by Vil, the carriage will advance by one unit and thereby close i4 which will act on V4, this one will close p4, l4; the carriage will move forward a second unit and, through i3, p3, <B>1</B> <I> 3 </I> will close, then p2, 12 and finally pl, h when the carriage has moved forward : four units;

   at this moment the four W relays will be switched off and D 'will operate.



  If now the dividend has one digit more than the divisor, it will obviously be the relay Vl, which will not receive any current from the divider and therefore will have released its armature; <B> it </B> p1 will close by putting Wl off; then W2 will move the cart forward; as above l4, p4 will close, then l3, p3, then p2, 12 but, the carriage having advanced ide three units all the W appliances will be switched off, etc.



  If the dividend is two digits more than the divisor, the W3 relay will move the cart forward.



  Finally, if the dividend has four digits, more than the divisor, the four electros V will have released their armature and the relay D 'will operate immediately.



  Cut the power supply of relay Z at 63, the dividend and divider translation circuits then return to normal, a bonding circuit closes at 64, and at 65 the <B> (the </B> l 'electro <I> Ad </I> (fig. 15) after having switched the supply wire of relay R7 to 45 and closed the dividend return wire at 66. This is then registered (as a sum to be added).

   Switch II 'when closing, sends the current through bifurcation 45 to a relay Ro which closes at 67 in the bonding circuit, cuts the dividend return wire at 68 and closes at @ 69. - braya, Lye ide vidaz.e - from the VC meter. Inter. the right), or 5 (starting from the left) of the counter. <B> It </B> will therefore be necessary to pull the carriage all the way to the right, then to reverse it by four units to the left (we have always assumed eight digits: on the meter).



  We can then follow the various movements of the relays; the perforation made in the operation indication column acts.
EMI0018.0013
  
    <U> anrla <SEP> nalaia <SEP> n <SEP> las <SEP> gi @ .n "@ + r <SEP> rlji </U>
EMI0018.0014
      then 7631 -of 2530, then finally the first number clin quotient 3, then the second 3. The appearing quotient is therefore: 0.033.



  Note that apart from the particular assemblies of the V relays, the complete key mechanism this operation is only a particular case. My general process indicated at the beginning of the description: a relay is closed for a moment by an external cause ; this relay closes a bonding circuit and controls a movement. This bonding circuit will be cut by an intervening relay, in the same way after the end of the movement commanded by the first relay and so on.

      <I> Verification of </I> results <I> of </I> calculations indicated <I> by </I> an <I> record. </I>



  This check will be carried out in the following way, of which it is unnecessary to indicate the details, because it is only a question of the combination of operations <B> already </B> described.



  The results of the calculations made by the machine and those provided by the sheet are compared by the device described above for comparing the relative value of two numbers; if they are identical, the following plug is taken by the distributor; otherwise suitable relays will record successively the two numbers to be compared on a calculating machine, make the difference and transport it depending on whether it is in one direction or the other on one or the other of the counters of an adding machine that can. at the same time to register the digital reference indications.

 

Claims (1)

REVENDICATION: Installation de statistique utilisant des feuilles perforées et qui comporte un certain nombre de dispositifs permettant .de réaliser les quatre opérations arithmétiques, caracté risée par -un dispositif permettant de compa rer les indications données sur deux feuilles, de lire certaines indications de l'une .des feuilles d'après des indications .données par l'autre, -de transporter les indications lues -dans un. dispositif traducteur au moyen du- quel les indications, transmises à partir des feuilles perforées, sont enregistrées sur le cla vier d'une machine à calculer et sont trans portées sur les tambours chiffrés de cette dernière pour être utilisées, suivant les be soins, CLAIM: Installation of statistics using perforated sheets and which comprises a certain number of devices allowing to carry out the four arithmetic operations, characterized by a device making it possible to compare the indications given on two sheets, to read certain indications of the a .of sheets according to indications. given by the other, -to transport the indications read -in one. translator device by means of which the indications, transmitted from the perforated sheets, are recorded on the keyboard of a calculating machine and are transported to the numbered drums of the latter for use, as required, pour une opération arithmétique quel conque, divers ,dispositifs étant prévus pour agir sur l'enregistrement, suivant les indica tions données par certaines feuilles perforées, et effectuer automatiquement les opérations voulues lorsque une série @clé ces feuilles est épuisée. for any arithmetic operation, various devices being provided to act on the recording, according to the indications given by certain perforated sheets, and to automatically perform the required operations when a series of these sheets is exhausted. SOUS-REVENDICATIONS 1 Installation de statistique, dans laquelle il est prévu un cadre mobile muni -d'au tant de poussoirs qu'il y ,a clé touches au clavier et des poussoirs indépendants agis sant sur des touches commandant les dif férentes opérations, les poussoirs ,du cadre étant solidarisés avec ce dernier au moyen d'accouplements mis en action par -des électro-aimants dont les circuits sont fer més par ,des pointes pulpeuses passant au travers ides perforations des feuilles pour entrer en contact avec des pastilles con ductrices disposées sur une plaque, le,,, SUB-CLAIMS 1 Statistical installation, in which there is provided a movable frame fitted with as many push-buttons as there are keys on the keyboard and independent push-buttons acting on the buttons controlling the various operations, pushers, of the frame being secured to the latter by means of couplings actuated by electromagnets whose circuits are closed by, pulpy tips passing through perforations of the sheets to come into contact with conductive pellets arranged on a plate, the ,,, poussoirs des touches d'opération et le ca- -dre mobile étant mus par des cames por tées par un arbre dont elles sont rendues solidaires en rotation, au moment voulu, par des accouplements placés sous l'in fluence d'électro-aimants .dont le fonction nement est déterminé par ides relais fonc tionnant suivant la disposition -de perfo rations spéciales -des feuilles. push buttons of the operation keys and the movable frame being driven by cams carried by a shaft which they are made integral in rotation, at the desired moment, by couplings placed under the influence of electromagnets. the operation of which is determined by relays operating according to the arrangement - of special perforations - of the sheets. 2 Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 1, dans la.- quelle les électros-aimants agissant sur les accouplements ides poussoirs et -du cadre mobile constituent un dispositif traduc teur des perforations, ces électros-aimants étant polarisés et comportant chacun plu sieurs enroulements dont les uns sont connectés en sens inverse des -autres et qui sont reliés chacun avec une pointe. 2 Statistical installation according to claim and sub-claim 1, in which the electromagnets acting on the pushrod couplings and the mobile frame constitute a device for translating perforations, these electromagnets being polarized and each comprising several windings, some of which are connected in opposite directions from the others and which are each connected with a point. pulpeuse des feuilles perforées, les con- nexions des enroulements de tous ces électroaaimants étant prévus de telle sorte qu'un seul desdits électros-aimants fonc- tionne pour unedisposition donnée ,d'une série de perforations représentant un chiffre. pulpy perforated sheets, the connections of the windings of all these electromagnets being provided so that only one of said electromagnets operates for a given arrangement, of a series of perforations representing a number. 3 Installation de statistique selon la reven dication et les sous-revendications 1 et 2, iians laquelle les enroulements des électro- aimants traducteurs sont alimentés en dé rivation sur les circuits des pointes pul peuses, chaque électro-aimant actionnant un rupteur avec. contact de repos placé -dans le circuit .dérivé ,alimentant l'un ,des enroulements -de l'électro suivant, de telle sorte qu'un électro qui fonctionne, em pêche le fonctionnement @du suivant. 3 Statistics installation according to claim and sub-claims 1 and 2, iians which the windings of the translator electromagnets are supplied with bypass on the circuits of the tips pulp bit, each electromagnet actuating a switch with. rest contact placed -in the .dérivé circuit, supplying one of the windings -of the following electro, so that an electro which operates, prevents operation @du following. 4 Installation de statistique selon la reven- ,dicati:on et les sous-revendications <B>1,</B> 2 et 3, dans laquelle les électros traducteurs comportent chacun un rupteur à contact de travail (Cl à C14, fig. 5), tous les rup teurs étant montés en dérivation sur un ,circuit traversant un enroulement d'un relais différentiel à trois enroulements dit relais @de sécurité et dont le second enroulement est parcouru, dans le même sens que le premier, par un courant éta bli ,dès qu'une fouille perforée est soumise à une analyse, 4 Statistical installation according to resale, dicati: on and sub-claims <B> 1, </B> 2 and 3, in which the electro-translators each comprise a breaker with working contact (Cl to C14, fig. 5), all the breakers being connected in shunt on a circuit passing through a winding of a three-winding differential relay called safety relay and of which the second winding is traversed, in the same direction as the first, by a current established, as soon as a perforated search is submitted for analysis, le troisième enroulement & ce relais de sécurité étant parcouru, en sens inverse des d'eux premiers, par un courant envoyé -par un relais dont la bo bine est montée en série sur le circuit de retour des électros traducteurs. the third winding & this safety relay being traversed, in the opposite direction to the first ones, by a current sent by a relay whose coil is mounted in series on the return circuit of the electro-translators. 5 Installation -de statistique selon la reven- ,dication,dans laquelle i1 est prévu un dispositif pour .comparer l'identité de deux nombres représentés par,des perforations, ce dispositif comportant deux jeux 13 pointes pulpeuses .dont les pointes sont liées à -des relais différentiels commandant ,des rupteurs disposés en parallèle @daus un circuit -de signalisation. 5 statistical installation according to claim, in which there is provided a device for comparing the identity of two numbers represented by, perforations, this device comprising two sets 13 pulpy tips. Whose tips are linked to - differential relays controlling breakers arranged in parallel @daus a signaling circuit. 6 Installation @de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 5, dans laquelle un enroulement d'un relais dif férentiel est relié à une pointe pulpeuse de .l'un des jeux, l'autre enroulement étant relié à la pointe homologue de l'autre jeu, de telle sorte que, si deux pointes homo- logues,des deux jeux tombent toutes deux simultanément dans .des perforations de -deux documents, le relais correspondant n'attire pas son armature et ne ferme pas le circuit de signalisation, la combinaison des relais étant telle que si les perfora tions -des deux documents à comparer sont tontes identiques, ledit circuit; 6 Statistical installation according to claim and sub-claim 5, in which a winding of a differential relay is connected to a pulpy tip of one of the sets, the other winding being connected to the homologous tip. of the other set, so that, if two matching points, of the two sets both fall simultaneously into perforations of two documents, the corresponding relay does not attract its armature and does not close the circuit of signaling, the combination of relays being such that if the perforations of the two documents to be compared are all identical, said circuit; -de signali sation ne reçoit .aucun courant et qu'il suffise d'une différence entre ces perfo rations pour que ce circuit entre en action. 7 Installation -de statistique selon la reven dication, dans laquelle il est prévu un dispositif de comparaison -de la valeur re lative de deux nombres, à un chiffre, ce dispositif comportant -deux jeux de poin tes pulpeuses fermant les circuits de :deux groupes de relais qui agissent chacun sur des séries de rupteurs destinés à mettre en ou hors circuit un nombre plus ou moins grand d'éléments -de résistance dont, l'ensemble constitue ,deux rhéostats po- tentiométriques connectés tous deux à un relais différentiel à trois positions. - signaling does not receive any current and all that is needed is a difference between these perforations for this circuit to come into action. 7 Statistical installation according to the claim, in which there is provided a device for comparing the relative value of two numbers, with one digit, this device comprising -two sets of pulpy tips closing the circuits of: two groups of relays which each act on a series of breakers intended to switch on or off a greater or lesser number of resistance elements, the whole of which constitutes two potentiometric rheostats both connected to a three-way differential relay positions. â Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 7, dans laquelle les rupteurs ide chaque relais commandé par une pointe pulpeuse sont reliés en série .avec les rupteurs des relais voisins de manière à constituer des cir cuits ,dont chacun n'est fermé que pour une seule combinaison ;de perforations. chacun @de ces circuits étant relié, d'une part, à un élément -de résistance d'un rhéostat potentiométrique et, d'autre part, en parallèle avec les autres circuits, à l'un des enroulements du relais différentiel à trois positions. Statistical installation according to claim and sub-claim 7, in which the breakers ide each relay controlled by a pulpy tip are connected in series with the breakers of the neighboring relays so as to constitute circuits, each of which is not is closed for only one combination of perforations. each of these circuits being connected, on the one hand, to a resistance element of a potentiometric rheostat and, on the other hand, in parallel with the other circuits, to one of the windings of the three-position differential relay . 9 Installation .de statistique selon la reven dication et -les sous-revendications 7 et fi, dans laquelle il est prévu des moyens pour comparer les valeurs relatives -de deux nombres composés @de plusieurs chiffres, caractérisé par autant de jeux -de pointes pulpeuses de groupes de relais, de rhéos- tats et @de relais différentiels à trois po sitions qu'il y a de .chiffres .dans les nom bres à comparer, les plots extrêmes de cas relais étant reliés en parallèle à un circuit -de signalisation, 9. Statistics installation according to claim and -the sub-claims 7 and fi, in which there is provided means for comparing the relative values -of two numbers composed of several digits, characterized by as many sets -of pulpy tips groups of relays, rheos- tats and three-position differential relays that there are .digits in the names to be compared, the extreme terminals of the relay cases being connected in parallel to a signaling circuit , tandis que le plot mé dian de chaque relais est relié au point de pivotement de l'armature du relais sui vant, le point de pivotément,de l'armature -du premier relais étant relié au pôle po sitif d'une source -de courant. while the middle pin of each relay is connected to the pivot point of the armature of the next relay, the pivot point of the armature of the first relay being connected to the positive pole of a current source . 10 Installation de statistique selon la reven- diciatioan et les sous-revendications 7, 8 et 9, dans laquelle les relais différentiels re liés aux rhéostats potentiométriques sont munis ide rupteurs qui coupent le courant d'alimentation @de leurs bobines dès qu'ils ont fonctionné. 11 Installation de statistique selon la reven dication, dans laquelle il est prévu un dis positif de lecture de barèmes d'après les indications données par des fiches perfo rées, 10 Statistical installation according to claim and sub-claims 7, 8 and 9, in which the differential relays linked to the potentiometric rheostats are provided with breakers which cut off the supply current to their coils as soon as they are switched on. worked. 11 Statistical installation according to the claim, in which a device for reading scales is provided according to the indications given by perforated sheets, ce dispositif @de lecture comportant une plaque isolante munie id'autant de pastilles conductrices qu'une page de :ba rème peut contenir de perforations et qui est surmontée d'une seconde plaque iso lante munie d'autant de pointes pulpeuses qu'il y ,a -de pastilles conductrices sur la plaque inférieure, la plaque supérieure étant :munie de deux .groupes de barres mobiles longitudinalement, perpendiculai res les unes .aux autres et qui sont munies, les unes ide contacts isolés reliés à des ; this reading device comprising an insulating plate provided with as many conductive pads as a page of: ba reme may contain perforations and which is surmounted by a second insulating plate provided with as many pulpy tips as there are , a conductive pellets on the lower plate, the upper plate being: provided with two .groups of longitudinally movable bars, perpendicular to each other and which are provided, each with insulated contacts connected to; poupes <B>-</B>de pointes pulpeuses, les autres de contact non isolés, ces barres étant pla cées sous l'influence d'électro-aimants semblables à,ceux des traducteurs et dont le circuit est fermé par un .dispositif -de comparaison de deux nombres qui entre en action chaque fois qu'une page du ba- rême, ioù se trouve un nombre devant être lu, correspond aux indications d'une fiche perforée placée sur une .autre plaque de contact. stems <B> - </B> of pulpy points, the others of contact not insulated, these bars being placed under the influence of electromagnets similar to those of the translators and of which the circuit is closed by a device. a comparison of two numbers which comes into action each time a page of the bareme, where there is a number to be read, corresponds to the indications of a perforated card placed on another contact plate. 12 Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 11, dans laquelle il est prévu un dispositif d'en traînement -du :barème perforé dont les mouvements sont régis par un dispositif de comparaison de la valeur relative de deux nombres de telle sorte que le barème est entraîné .dans un sens ou dans l'autre suivant que le numéro de la page dudit barême est supérieur ou inférieur à l'in- dication -donnée par la fiche perforée. 12 Statistics installation according to claim and sub-claim 11, in which there is provided a device for training -du: perforated scale whose movements are governed by a device for comparing the relative value of two numbers of such so that the scale is driven .in one direction or the other depending on whether the page number of said scale is greater or less than the indication-given by the perforated card. 18 Installation de statistique selon la reven dication et la saus-revendication 11, dans laquelle il est prévu un dispositif d'en traînement du barème perforé dont les mouvements sont régis par un dispositif de comparaison :de l'identité de deux nom bres de telle sorte que le barème se dé place, toujours dans le même sens, jusqu'à ce que le numéro -de la page dudit barème soit égal @à l'indication fournie par la fiche perforée. 18 Statistics installation according to claim and saus-claim 11, in which there is provided a device for dragging the perforated scale, the movements of which are governed by a comparison device: of the identity of two names of such so that the scale moves, always in the same direction, until the number of the page of said scale is equal to the indication provided by the perforated card. 14 Installation @de statistique selon la reven dication, dans laquelle est prévu un dis positif pour totaliser automatiquement les indications fournies par un .certain nom bre de fiches triées suivant un paramètre déterminé lorsque ces fiches sont épuisées, ce dispositif comportant un jeu de poin tes pulpeuses dont chacune est reliée à un relais à auto-exeitation commandant un rupteur à contacts commutateurs placé ; 14 Statistical installation according to the claim, in which a device is provided for automatically totaling the indications supplied by a certain number of files sorted according to a determined parameter when these files are exhausted, this device comprising a set of pins pulpers, each of which is connected to an auto-exeitation relay controlling a switch contact breaker placed; dans le circuit d'un relais de commande également à les rupteurs 'de tous les relais reliés aux pointes .ayant leurs plots de -contact connectés -de ma nière à constituer un circuit continu quel les que soient les positions des .armatures de ces relais, de telle sorte que le relais de commande n'entre en action que lors ,d'un changement de position de l'une quelconque des @armatures susdites et ferme un circuit provoquant le fonction nement des organes ;de totalisation. in the circuit of a control relay also to the breakers' of all the relays connected to the points. having their contact pads connected - so as to constitute a continuous circuit whatever the positions of the armatures of these relays. , so that the control relay only comes into action when there is a change in the position of any of the aforementioned armatures and closes a circuit causing the functioning of the totalization members. :5 Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 14, dans laquelle le relais de commande du dis positif de totalisation agit sur deux rup teurs, placé Dun dans le circuit de com mande et l'autre dans un circuit d'auto- excitation commandé par .ledit dispositif ,de totalisation, l'un de ces circuits étant ouvert lorsque l'autre est fermé -de telle aorte que, lors .d'un changment dans la position .de l'une quelconque -des ar matures, 5 Statistical installation according to claim and sub-claim 14, in which the control relay of the totalizing device acts on two breakers, placed one in the control circuit and the other in a control circuit. self-excitation controlled by .said totalizing device, one of these circuits being open when the other is closed - so that, during .d'un change in the position .of any one - ar mature, le circuit d'excitation idu re lais de commande est coupé:, l'arma- ture de ce relais tombe, ouvre le cir cuit d'auto-excitation et ferme le cir cuit de commande du totalisateur qui en tre en action, ferme lui-même le circuit d'alimentation du relais de commande dont l'armature attirée complète .à nou veau le circuit .des rupteurs -des autres relais au moyen duquel elle reste attirée. the excitation circuit idu re control is cut :, the armature of this relay drops, opens the self-excitation circuit and closes the control circuit of the totalizer which is in action, closes it. - even the power supply circuit of the control relay, the drawn armature of which completes the circuit of the breakers again - of the other relays by means of which it remains attracted. 16 Installation de statistique selon la reven dication et les sous-revendications 1, 2, 3, 4, 14 et 15, pour la commande d'une ,ma- ehine à additionner dans laquelle les relais de sécurité .dont les rupteurs sont en série ferment le circuit d'un relais qui déter mine l'abaissement du cadre portant les poussoirs des touches et l'abaissement d'une touche d'enregistrement, 16 Statistical installation according to claim and sub-claims 1, 2, 3, 4, 14 and 15, for the control of a machine to be added in which the safety relays. Whose breakers are in series close the circuit of a relay which determines the lowering of the frame carrying the push-buttons of the buttons and the lowering of a recording button, .après quoi le chariot de la machine se déplace de l'espace d'une colonne et ferme un inter rupteur qui commande l'enregistrement d'un nombre de la colonne suivante et .ainsi de suite jusqu'à ce que toutes les colonnes d'une fiche aient été explorées, un interrupteur commandé par ledit cha riot arrivant dans sa dernière position fermant un-circuit qui provoque la mise en action du distributeur de fiches qui amène une autre fiche sous les pointes palpeuses du traducteur. after which the machine carriage moves one column space and closes a switch which controls the recording of a number in the next column and so on until all the columns d 'a card have been explored, a switch controlled by said carrier arriving in its last position closing a circuit which causes the activation of the card distributor which brings another card under the feeler tips of the translator. 17 Installation de statistique selon la, reven dication et les sous-revendications 1, 2, 3, 4, 14, 15 et<B>16,</B> dans laquelle un totali sateur partiel est mis en ,action au moyen d'un dispositif influencé lorsqu'un pa quet -de fiches, triées suivant un para mètre déterminé, vient d'être épuisé. 17 Statistical installation according to the claim and the sub-claims 1, 2, 3, 4, 14, 15 and <B> 16, </B> in which a partial totalizer is activated by means of a device influenced when a packet of files, sorted according to a determined parameter, has just been exhausted. 18 Installation de statistique selon la reven- ,dication, utilisée pour la commande d'une machine à calculer permettant les quatre -opérations, dans laquelle est prévu un premier dispositif à pointes palpeuses explorant -des perforations donnant -des in- idications relatives -au genre d'opération<B>à</B> effectuer, ces indications étant transmises à ,des relais polarisés qui déterminent, par les positions respectives ide leurs arma tures, lequel -des poussoirs actionnant les touches d'opérations doit être abaissé. 18 Statistical installation according to the claim, used for the control of a calculating machine allowing the four -operations, in which is provided a first device with feeler tips exploring -perforations giving -relative indications -au type of operation <B> to </B> to perform, these indications being transmitted to polarized relays which determine, by the respective positions of their armatures, which of the pushbuttons operating the operation keys must be lowered. 19 Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 18, ans la-quelle le dispositif -de commande des organes du mécanisme multiplicateur comportent des moyens permettant -de dé caler-des contacts dits contacts de lecture du totalisateur de deux unités pour ré duire à un nombre fixe le nombre des .chiffres décimaux du produit. 19 Statistical installation according to claim and sub-claim 18, in which the control device of the members of the multiplier mechanism comprises means for -de shifting-contacts called reading contacts of the totalizer of two units for reduce the number of decimal digits in the product to a fixed number. ?0 Installation -de statistique selon la reven dication et les sous-reven.dications 18 et 19, dans laquelle il est prévu un relais dit relais de forcement en relation avec le relais qui commande l'abaissement -de la touche de multiplication, et qui a pour fonction de faire .augmenter d'une unité le -dernier chiffre décimal que l'on -désire lire si le chiffre suivant est supérieur à 5. ?1 Installation de statistique selon la reven dication et la sous-revendication 18, dans laquelle le dispositif utilisé pour la divi sion comporte des moyens prévus pour produire automatiquement les déplace ments du chariot suivant les nombres -de chiffres relatifs que comportent le divi dende et le diviseur. ? 0 Statistical installation according to claim and subclaims 18 and 19, in which a relay called forcing relay is provided in relation to the relay which controls the lowering of the multiplication key, and which has the function of increasing by one unit the -last decimal digit that is -desired to read if the following digit is greater than 5.? 1 Statistical installation according to the claim and sub-claim 18, in in which the device used for the division comprises means provided for automatically producing the movements of the carriage according to the numbers -de relative digits that comprise the divide and the divider. 22 Installation de statistique selon la reven dication, dans laquelle il est prévu un .dis positif de comparaison des valeurs rela tives de deux nombres pour vérifier les résultats obtenus. 23 Installation .de statistique selon la reven- .dication et la sous-revendication 1, .dans laquelle les accouplements solidarisant les cames @de commande du cadre mobile et des poussoirs ,des touches d'opération com portent chacun un manchon denté soli daire en rotation dudit arbre le long du quel il peut se déplacer, 22 Statistical facility according to the claim, in which a positive .disay of comparison of the relative values of two numbers is provided to verify the results obtained. 23. Statistics installation according to claim and sub-claim 1,. In which the couplings securing the control cams of the movable frame and the pushers, the operation keys each have a solid toothed sleeve in. rotation of said shaft along which it can move, sous l'action -de l'armature d'un relais, pour venir en prise avec la :came, cette .dernière présentant une gorge circulaire dans laquelle vient s'engager par une entrée latérale un ver rou porté par ladite armature -de telle sorte que la came doit exécuter une rota tion complète avant ,d'être débrayée même si l'excitation du relais d'embrayage ne dure qu'un instant. under the action of the frame of a relay, to engage with the: cam, this last having a circular groove in which engages by a side entry a worm carried by said frame -of such so that the cam must perform a complete rotation before being disengaged even if the excitation of the clutch relay lasts only a moment. 24 Installation de statistique selon la reven- -dication et la. sous-revendication <B>1,</B> 4ans laquelle les accouplements -des poussoirs avec le cadre mobile sont constitués par -des 'leviers articulés audit cadre -et qui se terminent, : 24 Statistics facility according to the claim and the. sub-claim <B> 1, </B> 4in which the couplings -of the pushers with the movable frame are constituted by -the levers articulated to said frame -and which end,: d'une part, par -des fourchettes venant s'engager sur -des butées que com- portent lesdits poussoirs, et, d'autre part, par .des parties rectilignes engagées dans ,des -boucles formées .aux extrémités .de tiges solidaires ,des armatures ,des électros- tra: on the one hand, by -forks coming to engage on -stops which the said pushers comprise, and, on the other hand, by rectilinear parts engaged in, loops formed at the ends of integral rods. , fittings, electrostra: ducteurs @de telle sorte que lorsque les dits électros libèrent leurs armatures, les fourchettes s'engagent au-dessus ides pous soirs qui sont entraînés -et abaissent les touches lorsque le cadre mobile est mis en mouvement. drivers @ so that when said appliances release their frames, the forks engage above the evenings which are driven - and lower the keys when the movable frame is set in motion.
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