BE463649A - - Google Patents

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BE463649A
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Description


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 tt Machines textiles tut 
La présente invention est relative à un procédé servant à effectuer des mouvements auxiliaires sur des machines textiles en vue d'éliminer des perturbations, et à une machine textile servant à la mise en oeuvre du procédé ci-dessus, par exemple dans les métiers à tisser lorsqu'on doit effectuer des mouvements auxiliaires pour   remédier   à des défectuosités dans le tissage. Conformément à l'invention, le procédé oonsiste en ce que l'on arrête le fonctionnement, après   quei   les parties de la machine qui doivent être déplacées pour remédier à la perturbation sont débrayées, puis après blooage de l'accouple- ment de facon passagère, elles sont remises en position d'ac- oouplement à l'aide d'une commande auxiliaire. 



   La machine textile servant à la mise en oeuvre du procédé est caractérisée par au moins deux accouplements dont l'un agit pendant le fonctionnement et l'autre lorsqu'on   exécu-   te un déplacement auxiliaire, une partie de l'un des accouple- ments étant réunie à l'autre par une tringlerie, et par le fait que, en outre, la première partie d'accouplement est 

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 maintenue en position débrayée par un blocage de façon à pou- voir servir d'appui lors de la mise en mouvement de la deuxième partie d'accouplement à l'aide de la tringlerie. 



   Lorsque, au cours d'un tissage, 11 se produit dans oelui-oi une défectuosité, le métier à tisser est arrêté auto- matiquement de façon connue au moyen d'un système connu et il est alors amené par le personnel de service en une position propre à remédier aux défectuosités de tissage. Ensuite, après avoir remédié à la défectuosité, par exemple après avoir reti- ré un fil de trame brisé ou avoir renoué un fil de chaîne brisé, on remet le métier dans une position à partir de laquelle le tissage peut se continuer sans trouble. Dans les très grands métiers à tisser, on peut utiliser la commande de la maohine pour ces mouvements auxiliaires servant à remédier à des per- turbations.

   Il est donc nécessaire d'une part lorsqu'il se produit des défectuosités de tissage que le métier soit débrayé d'avec sa commande et, d'autre part, que soit embrayée une commande auxiliaire servant à effectuer les mouvements auxi- liaires sur le métier à tisser, cette commande auxiliaire étant actionnée de préférence par la commande de la maohine et que, alors, pour autant que cela est nécessaire, le métier soit ramené dans une position initiale convenant pour continuer le tissage.

   Les accouplements et organes de commande   nécessai-   res à cet effet-nécessitent la plupart du temps une place im- portante et sont d'une construction excessivement compliquée de sorte que   la surveillance   de la machine est rendue diffici- le et son entretien ainsi que son service sont compliqués ce qui donne lieu souvent à des perturbations dans le tissage. 



   Conformément à la présente invention, on peut remé- dier à ces inconvénients du fait que les différentes fonctions de manoeuvre s'effectuent automatiquement dans l'ordre voulu et que l'on utilise pour cela un seul et même organe de ma- noeuvre ce qui fait que la construction de tout le dispositif de manoeuvre peut être simple et ramassée et que ce   dispositif   

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 même peut/être appliqué après coup sur des métiers de la façon la plus simple. 



   Lors de perturbations dans le tissage, par exemple lors de la rupture d'un fil de trame ou de chaîne, non seu- lement le métier est arrêté automatiquement et dans le temps le plus court, mais encore, grâce au nouveau mode de   construo-   tion et de disposition de l'organe de manoeuvre pour le mou- vement auxiliaire, le personnel de manoeuvre peut amener le métier avec une simple poignée ou même de façon complètement automatique au moyen de la commande du méfier, dans une po- sition qui convient pour remédier à la perturbation. Pour cela, il suffit d'actionner le même organe'de manoeuvre, par exemple lors de défauts dans les fils de   chaîne,   pour amener le métier de la position servant à remédier à la défectuosité, avec foule fermée, dans la position correcte pour continuer le tissage, avec foule ouverte.

   Il est évident que, puisque de cette façon le personnel de service est soulagé dans une grande mesure, les interruptions de fonctionnement sont plus oourtes et les perturbations dues à des manoeuvres   incorrec-   tes, peuvent être réduites à un minimum. 



   On a représenté sohématiquement et à titre d'exemple des formes de réalisation de l'invention sur les dessins an- nexés dans lesquels 
La figure 1 est une vue de   coté   dtun métier à tisser, vu d'un côté de la paroi du bâti avec les dispositifs de ma- noeuvre. 



   La figure 2 est une vue du métier, en regardant du côté de la sortie de la pièce tissée. 



   La figure 3 représente une paire d'accouplements fonctionnant de façon non automatique, dans la position qu' ils occupent en service normal. 



   La figure 4 représente la même paire dtaccouplements après que l'organe de manoeuvre a été déplacé dans un sens, lorsque le métier est arrêté et qu'un fil de trame, mis en 

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 place de façon défectueuse, doit être changé. 



   La figure 5 représente les accouplements après un deuxième déplacement de l'organe de manoeuvre en sens oontraire, le métier étant à l'arrêt. 



   La figure 6 représente une paire d'accouplements comme sur la figure 3 mais pour une manoeuvre automatique. 



   La figure 7 représente des accouplements action- nés automatiquement par un organe de surveillance après déplacement de l'accouplement dans un sens, avec métier à   l'arrêt.   



   La figure 8 représente le dispositif fonotionnant automatiquement après le deuxième déplacement de l'organe de manoeuvre en sens contraire et avec le métier à l'arrêt. 



   La figure 9 représente une paire d'accouplements servant à amener automatiquement les lamettes dans la po- sition correspondant à la foule fermée et à obtenir partiel- lement automatiquement la position des lamettes pour la fou- le ouverte. 



   La figure 10 représente le dispositif de la figure 9 après que les lamettes sont venues dans la position de foule fermée ou de foule ouverte, avec métier à l'arrêt. 



   La figure 11 représente le dispositif de la figure 9 après un deuxième déplacement de l'organe de manoeuvre en sens contraire de façon à obtenir la position des lamettes de foule ouverte ou de foule fermée, avec métier à l'arrêt. 



     La,figure   12 représente   lime   partie d'accouplement, à savoir la moitié d'un accouplement en perspective. 



   La figure 13 représente la deuxième partie de l'ao- couplement. 



   La figure 14 représente les deux pièces à l'état embrayé. 



   Les figures 15 et 16 sont des positions différentes intermédiaires des pièces à aocoupler l'une à l'autre. 

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   La figure 17 est une élévation d'une partie d'un accouplement. 



   La figure 18 représente, de façon correspondante, l'autre partie de l'accouplement. 



   Les figures 19, 20, 21,   22.et   23 représentent shhématiquement les différentes positions relatives des pièces d'accouplement pendant l'embrayage et le débrayage. 



   La figure 24 représente la commande des lamettes et le dispositif de manoeuvre correspondant pour un métier à tisser dans une position pendant le fonctionnement. 



   La figure 25 est une vue analogue à la figure 24 en position de repos des lamettes. 



   La figure 26 représente un autre dispositif ser- vant à la commande des lamettes avec un dispositif de ma- noeuvre en position de fonctionnement. 



   La figure 27 représente le même dispositif que la figure 26 avec les lamettes en position de repos. 



   La figure 28 représente schématiquement un dispo- sitif de manoeuvre pour le frein, muni d'un levier à deux bras. 



   La figure 29 est un schéma des différentes posi- tions du levier à deux bras pendant la manoeuvre. 



   Comme représenté sur les figures 1 et 2, le métier à tisser comporte deux montants 1 et   2'.   Sur le montant 1, se trouve la commande 3 du métier, par exemple un moteur élec- trique, une transmission 4 constituée par des poulies en trapézoïdales, des chaînes ou organes analogues allant aux deux plateaux de friction 5 de l'accouplement à friction, servant en même temps de volants. Les deux plateaux à fric- tion. 5 tournent librement sur l'arbre principal 6. Entre les deux plateaux à friction 5 se trouve la couronne à friction 7 calée sur l'arbre prinoipal. En outre, l'arbre principal 6 comporte un frein à bande 8 qui provoque l'arrêt rapide du métier après débrayage de l'accouplement à friction 5 et 7.

   L'arbre principal 6 actionne le mécanisme de commande 

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 de la navette qui est disposé dans le carter 9,9a, sur le coté intérieur des deux montants 1 et 2. A partir du méca- nisme de commande de la navette, disposé dans le carter 9a, est actionné, par l'intermédiaire d'une transmission d'angle 10, l'arbre 11 disposé transversalement à l'arbre principal 6. 



   L'arrêt du fonctionnement est obtenu au moyen du frein 8 (figure 2) actionné par débrayage du blocage 425-428 (figure 28) et de la force serrant le frein à savoir le res- sort 410 (figure   28).   Ce blocage 425 est efficace lorsque le frein 428 est en position desserrée. En même temps que se fait le desserrage, l'accouplement 405-406 (figure 28) ou l'accouplement 5, 7 (figure 2) est débrayé (à l'aide de cette force), le ressort 410, au moyen d'un levier à deux bras 411 qui est relié à l'organe de manoeuvre 419 (figure 28). 



   Le déclenchement du blooage 425-428 peut être obtenu automatiquement au moyen d'un organe de surveillance qui entre en jeu lors d'une perturbation. Un organe de ce genre est, par exemple, le casse-chaîne 33, le casse-trame 48, l'ar- bre central des casse-fils 59 (figure 1) et d'autres. 



   Les parties de la machine qui doivent être dépla- cées pour remédier à une perturbation sont par exemple l'en- souple 30 avec sa commande et, en conséquence, les fils de chaîne 31, la pièce de tissu 37 et l'enrouleur 39. Comme autres   pièces   de ce genre, on a le peigne 35, les   lamettes   34 et le mécanisme 22 de commande de celles-ci. Le blocage momentané des pièces d'accouplement dans leurs positions de débrayage est constitué par les cliquets 16 et 70 (figure 1) ou 213 (figure 13). 



   Le manchon à griffes 12 forme une partie de l'em- brayage à griffes et il est calé sur l'arbre 11, mais peut se   déplacer axialement sur lui ; est poussé vers la droite   (figure 1) au moyeh du ressort 15. La deuxième partie de l'accouplement est constituée par la bague à griffes 13 qui 

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 est réunie à la roue à chaîne 14, ces deux pièces pouvant tourner librement sur l'arbre 11, mais étant fixées de façon à ne pouvoir se déplacer en direction axiale.

   L'accouplement à griffes 12-13 qui agit pendant le fonctionnement du. métier est muni d'un blocage, (le cliquet 16), qui vient s'introduire en position de débrayage de l'accouplement 12-13 entre le manchon à griffes 12 et la bague à griffes 13 et, pendant un angle de rotation déterminé, par exemple 360 , du manchon d'entraînement 12, empêche passagèrement la mise en prise de celui-ci et, par suite,   l'entraînement   de la partie d'accouple- ment entraînée 13 avec la roue à chaîne 14. Lorsque les deux parties   d'accouplement   12 et 13 ont tourné l'une par rapport à l'autre de cet angle, le cliquet de blocage 16 est débrayé automatiquement et l'accouplement 11-13 se rembraye sous la pression du ressort 15. 



   La roue à chaîne 14 est reliée par la chaîne 19 aux roues à chaîne 17 et 18. La roue à chaîne 17 est calée sur l'arbre de renvoi 20 qui est monté sur les paliers 21 disposés sur le côté extérieur du montant 2. La roue à chaîne 18 action- ne le mécanisme 22 de commande des lamettes fixé sur le mon- tant 2, par exemple une commande à excentrique ou autre, qui provoque le déplacement des lamettes 34 par l'intermédiaire d'un mécanisme connu, non représenté. 



   A partir de l'ensouple 30, les fils de chaîne 31 passent individuellement sur le tendeur 32, dans les casse- chaîne 33 servant d'organes de surveillance et qui entrent en action lorsqu'il se produit une perturbation, dans les lisses des lamettes 34 et dans le peigne 35, jusqu'à l'extré- mité de la foule. Une fois le fil de trame 36 mis en place et serrage par le peigne 35, la pièce de tissu 37, faite au moyen des fils de chaîne et de trame, passe sur l'ensouple de renvoi 38 pour aller à l'enrouleur 39 sur lequel elle s'en- roule. 



   L'ensouple 30 est actionnée à partir de l'arbre de 
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 renvoi 20 par l'intermédiaire de la transmission d'angle 23j4. 

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  La roue d'angle 23 est reliée à la roue à friction 25 qui coopère avec le disque à friction 26 calé sur l'arbre 27, mais pouvant se déplacer axialement. L'arbre 27 actionne l'ensouple 30 au moyen de la vis sans fin 29 et de la roue à vis sans fin 28. 



   L'ensouple tendeuse 32 est montée des deux cotés dans des pièces 43 qui pivotent dans des supports 44 fixés aux montants 1 et 2. L'extrémité inférieure des pièces pivo- tantes 43 est reliée, par une tringle 42 et le levier coudé 41, au manchon 40 du plateau de friction 26. De façon à tendre les fils de chaîne, les pièces 43 sont soumises à l'action de ressorts de traction 45. La position du plateau de friction 26, réglant la commande de l'ensouple 30, est déterminée auto- matiquement en fonction de la position de l'ensouple tendeuse 32. A l'extrémité de droite de l'arbre de renvoi 20, se trouve une vis sans fin 46 calée sur cet arbre et qui, par l'intermé- diaire de la roue à vis sans fin 47 et d'un mécanisme de com- mande non représenté sur le dessin, actionne l'enrouleur 39. 



   Le casse-trame 48, organe de surveillance qui entre en action lors d'une perturbation, s'applique élastiquement, pendant l'introduction du fil de trame dans la foule, sur le fil de trame tendu 36. Le casse-fil 48 est relié par le dis- positif de déclenchement 58 avec l'arbre central de casse-fil 59 qui fonctionne également comme organe de surveillance. 



  Lorsque le   casse-fil   48, lors d'un manque de fil de trame 36 ou d'une rupture de celui-ci, bascule vers la droite, le dispositif de déclenchement 58 provoque la rotation de l'ar- bre de casse-fil 59. 



   L'arbre 59, par l'intermédiaire d'une transmission 60 connue, qui peut être méoanique, hydraulique ou électrique, agit sur les plateaux d'accouplement 5 de telle sorte que la rotation de l'arbre 59, d'un angle déterminé, provoque le débrayage de l'accouplement 5-7 et le serrage du frein 8 et, par suite, l'arrêt de la machine. 

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   La roue d'angle 49, qui est reliée aux pièces d'ac- couplement opposées   54,55   et qui peut tourner librement sur l'arbre de renvoi 20, est actionnée à partir de l'arbre 53 par la transmission d'angle 52 et l'arbre 50 au moyen de la roue d'angle 51. L'arbre 53 est actionné par l'intermédiaire du réducteur 3a, à partir du moteur 3 du métier, de telle sorte que la roue d'angle 49 tourne dans le sens de la flèche en pointillé, en sens contraire de l'arbre de renvoi 20 pendant le fonctionnement.

   Les bagues à griffes 54 et 55 de la roue d'angle   49aonstituent   les pièces   complémentaires   d'accouple-      ment pour les manchons à griffes 56   et 57   qui peuvent coulis-   ser,,   Lorsque le métier est à   l'arrêt,   par suite du débrayage de l'accouplement 5,7, l'arbre de renvoi 20 peut être action- né par la transmission auxiliaire 49-53 pour effectuer les mouvements auxiliaires destinés à remédier aux perturbations. 



   Le manchon à griffes 56 peut être poussé sur l'arbre creux 61 à clavette jusqu'au collet 62. Comme le montrent les figures 9-11, cet arbre 61 peut tourner librement sur l'arbre de renvoi 20, entre la roue d'angle 49 et la partie d'accou- plement 69 fixée au montant 2. A gauche du collet 62, la douil- le 65 avec la roue à chaîne 64 est calée sur l'arbre creux 61. 



  Lorsque   l'accouplement   54-56 est embrayé, la roue à chaîne 64 actionne, par l'intermédiaire de la chaîne 66, la roue à chaîne 67, les lamettes 34 étant placées, au moyen du mécanisme 22 de commande des lamettes à partir d'une position de fonction- nement dans la position correspondant à la fermeture de la foule ou de cette dernière dans une position d'ouverture de foule nécessaire pour continuer le fonctionnement. 



   A l'extrémité de gauche, figures 1 et 9, de l'arbre creux 61, le manchon à griffes 68 est disposé de façon à pouvoir se déplacer axialement, mais tourne avec l'arbre 61. 



  Entre le manchon 68 et la douille 65, se trouve un ressort 71 travaillant à la compression. La partie d'accouplement 69 est montée de façon fixe et sans pouvoir tourner, sur le 

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 montant 2 et est munie d'un blocage (le cliquet 70) qui tombe entre la bague d'accouplement 69 et le manchon d'accouplement débrayé 68. Après une rotation relative déterminée des deux pièces l'une par rapport à l'autre, le cliquet 70 pivote auto- matiquement vers l'extérieur de sorte que sous la pression du ressort 71, l'accouplement 68-69 est embrayé automatiquement. 



  Les douilles d'accouplement 56 et 68 sont manies de bagues 72 et 73 montées dans des rainures, qui sont réunies l'une à l'au- tre par une tringlerie constituée par les leviers 75 et 76 réunis l'un à l'autre par une articulation 74. Sur le levier 76, est articulée une tringle 77 qui est réunie à l'organe de manoeuvre 78 (une pédale). L'organe de manoeuvre 78 est monté dans des paliers 79 et est tiré vers le haut à l'aide du res- sort de traction 80. 



   La fourohette 81 pénètre dans une rainure du manchon à griffes 12 et est montée sur un levier à deux bras 82 tour- nant autour du point fixe 83 et relié par l'articulation 84 du levier 25 (figures 1 et 3). La tige de oasse-fil 86 est articulée entre le point de pivotement 83 et l'articulation 84 du levier 82 et touohe le levier coudé 87 monté sur l'ar- bre de oasse-fil 59. De ce fait, tant que l'accouplement 12- 13 n'est pas complètement embrayé, l'arbre de casse-fil 59 est maintenu dans sa position de blocage de sorte que l'ac- couplement 5,7 n'est pas embrayé et que le frein 8 (figure 2) ne peut   pas être   desserré.

   Etant donné, par suite,que la commande 3 ne peut être accouplée avec le métier que lorsque l'accouplement 12-13 est complètement embrayé, on évite les défauts de manoeuvre du personnel de service grâce à ce dis- positif de surveillanoe automatique. 



   A l'extrémité inférieure du levier 85, est fixée la tringle de commande 88 qui est montée dans le support 89 et dont le déplacement vers la droite est limité par la butée 90. La tringle 88 porte une fourohette 91 qui vient en prise 

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 dans le manchon à griffes 57, Au moyen de l'articulation 133, sur le levier 85 est monté un organe fixé à la tige 92 qui peut être actionné au moyen de la fourohette 93 et de l'arbre   94,   par   l'organe   95. Le ressort de traction 115 fixé à la tringle 92 est bandé lors d'un débrayage de l'accouplement   12-13.   



   Sur la bague 73 du manohon à griffes 68, est montée la tringle de casse-fil   97   qui touche également le levier coudé 87 de l'arbre de   casse-fil   59 et qui maintient se der- nier en position de blocage, empêchant l'accouplement de la commande 32 du métier, tant que l'accouplement   68-69   n'est pas complètement embrayé de façon à maintenir à l'arrêt l'ar- bre creux 61 et la roue à chaînes 67. 



   La tringle de casse-fil 97 est solidaire du contact 98, qui, avec le contact opposé fixe 99 et les contacts du casse-fil 33 est intercalé dans le circuit 100 comportant le relais électrique 101. Le noyau 102 du relais 101 est relié, par l'intermédiaire de la tringlerie,   103-106,   avec le verrou basculant 107 monté à articulation sur l'organe   77.   Le ressort de traction 108 fixé sur la tige 104 s'oppose à la traction du relais 101. Lorsque les contacts sont fermés dans le cir- cuit 100, le noyau 102 est attiré par le relais 101 et le verrou pivotant 107 vient vers la droite dans sa position de travail de sorte qu'il peut être actionné par le levier pivo- tant 109 qui est maintenu en oscillation par le système à ex- centrique 110. Ce dernier, monté sur l'arbre 111, est actionné par l'arbre 53.

   Le noyau 102 est muni d'un champignon 112 sous lequel vient en prise le levier à deux bras 113 sont le bras de gauche est relié par la tringle 114'au levier coudé 87 de l'arbre de casse-fil 59. 



   Pour faire reculer la foule par le personnel de service, par exemple pour changer un fil de trame introduit de façon défectueuse, il est nécessaire d'avoir les positions de manoeuvre des figures 3 à 5. Pendant le travail, o'est-à- 

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 dire pendant le fonctionnement, l'arbre de renvoi 20 est accouplé, au moyen de l'accouplement 12-13 qui est embrayé et l'arbre 11 est accouplé, avec le dispositif de commande de la navette du métier   dan.s   le carter 9a. L'accouplement 5,7 qui est commandé par l'arbre de casse-fil central 59 est embrayé de sorte que l'arbre principal 6 est actionné par le moteur 3.

   Si le fil de trame 35 se casse, le casse- trame 48   baaoule   pour venir dans la position finale de droi- te représentée sur la figure 4 et il fait tourner d'un angle déterminé l'arbre de casse-fil 59, par l'intermédiaire de la tringlerie 58. De ce fait, la tringle 60 est actionnée pour débrayer l'accouplement 5,7 et pour serrer le frein 8 de sorte que le travail s'arrête. Le déplacement auxiliaire servant à faire reculer les lamettes 54 ne s'effectue pas automatiquement en ce cas, mais est effectué par le personnel de service. 



   Dans ce but, on fait tourner la poignée 95 de la position de la figure 3 pour l'amener dans la position de la figure 4. La tringle 92 se déplace vers la droite et le res- sort de traction 115 est bandé. Du fait de ce déplacement, les leviers 85 et 82 prennent la position, formant coude, représentée sur la figure 4 et le levier 85 tourne autour de l'articulation 135 car la butée 90 est appliquée contre le support 89, Le levier 82 tourne autour du pivot fixe 83 de sorte que le manchon à griffes   12   se déplace vers la gau- che en antagonisme à la pression du ressort 15 et il est débrayé d'avec la bague à griffes 13. De ce fait, le cliquet de blocage 16 tombe entre les deux parties d'accouplement   12-13   et empêche qu'elles se remettent en prise.

   Lors de la rotation du levier 82, la tige de casse-fil 86 se déplace en même temps vers la droite de sorte que le levier 87 fait tourner l'arbre de casse-fil 59 pour l'amener dans sa posi- tion de blocage. Si on lâche alors le levier à main 95, il revient, sous l'action du ressort 115, en tournant sur la tige 92, dans sa position initiale de la figure 3, la tige 

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92 se déplaçant vers la gauche. Le levier 85 tourne, du fait que le manohon d'accouplement 12 est verrouillé dans sa po- sition de débrayage, autour de l'articulation 84, pour venir dans la position représentée sur la figure 5.

   En conséquence, la tige de commande 88 articulée sur le levier 85 se déplace vers la gauche et met en prise, au moyen de la fourchette 91, le manchon à griffes 57 avec la bague à griffes 55 fixée sur la roue d'angle 49 qui tourne alors dans le sens indiqué par la flèche en pointillé sur la figure 1   L'arbre   de renvoi 20      et la roue à chaîne 17 fixée sur lui tournent alors, de ce fait, dans le sens de la flèche en pointillé, dans le sens contraire à celui de la rotation pendant le travail, qui est représenté par la flèche en trait plein. Au moyen de la chaîne 
19 et de la roue à ohatne 18, le mécanisme 22 des lamettes recule également dans le sens de la flèche en pointillé, La chaîne 19 fait tourner également la roue à chaine 14 qui tourne librement sur l'arbre 11, avec la bague à griffes 13. 



  Lorsque cette dernière a tourné par rapport au manohon 12 qui reste fixe, d'un angle qui est nécessaire pour le recul d'un fil de trame, par exemple de 360 , le cliquet de blocage 16 pivote automatiquement vers l'extérieur et le manchon d'accouplement se déplace vers la droite sous la pression du ressort 15. L'accouplement 12-13 qui est en service pen- dant le travail est en conséquence remis en prise et en même temps l'accouplement 55-57, qui servait à effectuer le mouve- ment auxiliaire, est débrayé car du fait du déplacement du manohon d'accouplement 12, le levier 82 revient au moyen de la fourchette 81, en tournant autour du point fixe 83, dans la position de la figure 3.

   En même temps, le levier 85 pivote autour de l'articulation 133 de la tige 92 4e sorte que la tige 88 se déplace vers la droite jusqu'à application de la butée 90 et la fourchette 91 tire le manchon à griffes 87 en le séparant de la bague à griffes 55 qui tourne. De ce fait, les pièces de la maohine qui doivent être déplacées pour 

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 remédier à une perturbation sont débrayées   d'avec   la commande auxiliaire 49-53 et sont réembrayées avec l'arbre 11 du mé- tier qui est encore à l'arrêt et qui peut être remis en fono- tionnement en actionnant la poignée 63 (figures 1 et 2). En actionnant la poignée 63, l'accouplement 5,7 est embrayé et le frein 8 desserré de sorte que l'arbre prinoipal 6 est de nouveau actionné par le moteur 3.

   Le dispositif de manoeuvre dervant à faire reculer la foule sur les figures 6 à 8 est actionné automatiquement, par exemple lorsqu'un fil de trame 36 se brise ou est introduit de façon défectueuse, par consé- quent sans l'aide du personnel de service et cela par l'ac- tion du oasse-trame 48. En conséquence, la poignée 95 servant à effectuer les mouvements auxiliaires ne doit pas être ma- noeuvrée. Le casse-trame 48 est non seulement relié   méeani-   quement à l'arbre de casse-fil central par la tringle 58 mais encore il est muni d'un interrupteur électrique : 116 dans le circuit 117. Dans ce dernier, se trouve un deuxième inter- rupteur électrique avec contact fixe 118 et contact mobile 119 qui est calé sur la tige de casse-fil coulissante 86.

   Le circuit 117 alimente le relais éleotro-magnétique 120 dont le noyau 121 pivote sur le levier à deux bras 122. Le noyau 121 porte à son extrémité, une tête en forme de champignon 123 oontre laquelle porte le levier à deux bras 124 qui est      relié par la tringle 125 au levier coudé 87 monté sur l'arbre de oasse-fil central 59. Le levier 122 est relié par la trin- gle 126 au verrou basculant 127 qui pivote sur la tringle 92 et qui est tiré par le ressort de traction 128 dans sa po- sition de repos. En position de travail, le verrou 127 coo- père avec le levier oscillant 129 qui tourne autour de l'arti-   culation   fixe 130.

   Le levier oscillant 128 est actionné par le système à exoentrique 110 du fait que la branche 131 du levier pivotant 109, tournant autour du point fixe 134, met en oscillation le levier 129 par l'intermédiaire de la bielle 132. 

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   Pendant le fonctionnement; l'interrupteur 116 (figure 6) est ouvert et l'interrupteur 118-119 est fermé. 



  Par suite, le circuit 117 est coupé et il ne passe pas de oourant dans le relais électro-magnétique 120. Le ressort 128 maintient le verrou basculant 127 en position de repos dans laquelle il ne rencontre pas le levier oscillant 129. 



  Le noyau 121 reste dans sa position extrême supérieure. 



   Si maintenant, par exemple du fait d'une rupture d'un fil de trame 36, le casse-trame 48 tourne vers la droite, non seulement il fait tourner l'arbre de casse-fil 59 pour l'amener en position de blooage, par l'intermédiaire de la tringle 58 et, par suite, il débraye   l'accouplement   5-7 et serre le frein 8, mais encore l'interrupteur 116 ferme le circuit 117 de sorte que le relais électromagnétique 120 fonctionne et tire le noyau 121 vers le bas. Le levier 124 a déjà basoulé du fait de la rotation de l'arbre de oasse-   %il   59 pour venir dans sa position extrême représentée sur la figure 7. Le noyau 121, qui descend, fait tourner le ver- rou 127, en antagonisme à l'action du ressort 128, de sorte que son extrémité de gauche vient par pivotement sur la tra- jeotoire du levier oscillant 129.

   En oonséquenoe, le verrou   127,   et avec lui la tringle 92, se déplace vers la droite. 



  En oonséquenoe, la tringlerie 82, 85, 88 est amenée dans la position représentée sur la figure 7 qui correspond à la po- sition de la figure 4. La tringle de casse-fil 86 s'est déjà déplacée vers la droite et en entraînant le contact 119, a ouvert l'interrupteur 118-119 et le circuit 117 est de nouveau coupé. Le ressort 128 tire le verrou 127 hors de la trajec- toire du levier oscillant 129 de sorte que la tringle 92 re- vient vers la gauche sous l'action du ressort 115. Etant donné que l'accouplement 112, 113 ne peut se réembrayer du fait du pivotement du cliquet de verrouillage, le levier 85 tourne autour de l'articulation 84 et tire la tringle de commande 88 vers la gauche ce qui fait que le manchon à grif- fes 57 vient en prise dans la bague à griffes 55 de la   roue;?   

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 d'angle 49 qui tourne.

   Le recul de la foule, d'une trame, la remise en prise de l'arbre de renvoi 20   aveà   l'arbre 11 du métier et le débrayage de l'arbre de renvoi d'avec la commande auxiliaire 53   s'effectuent   de la même façon que dans l'exemple de réalisation des figures 3 à 5. 



   Sur les figures 9 à 11, on a représenté les diffé- rentes positions de manoeuvre d'un dispositif au moyen duquel on peut amener les   lamettes3   d'une position de service quel- conque, de la position de foule ouverte à la position de   foule   fermée puis de celle-ci à la position de foule ouverte, comme cela est nécessaire, par exemple, pour le rétablissement d'un fil de chaine cassé 31. 



   Dans la position de service représentée sur la figure 9, le circuit 100 est ouvert parce que les casse-chaîne 33 représentés sur la figure 1 comme formant pont de contact, s'appuient sur les fils de chaîne 31 et, en conséquence, sont écartés des points de contact électrique. Si l'un des fils de chaîne 31 se casse, le casse-chaîne 33 tombe sur les points de contact électrique (figure 1) et ferme le circuit 100 de sorte que le relais électro-magnétique 101 est excité et attire le noyau 102.

   De ce fait, le levier 113 et le levier coudé 87, qui est relié à lui par la tringle ae liaison 114, viennent dans la position représentée sur la figure 10 et le levier 113 met en'mouvement l'arbre de casse-fil central 59 qui , par l'intermédiaire de la tringlerie 60 (figure 1), dé- braye l'accouplement 5,7 et actionne le frein 8 de sorte que l'arbre principal 6; c'est à dire le métier, s'arrête.

   Le le- vier à deux bras 103 articulé sur le noyau 102 du relais, qui est deseendu , est venu dans la position de la figure 10 et a amené, par l'intermédiaire de la tringlerie 104,105,106, le levier basculant 107 en position de travail, de sorte que le ressort de traction 108 attelé sur la tige   104   est   bqndé.   Le 

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 levier pivotant 107 est venu sur la trajectoire du levier oscillant 109 qui effectue des oscillations sous l'action de l'arbre d'excentrique 111, par l'intermédiaire du système à exoentrique 110. En montant, le levier oscillant 109 sou- lève le levier pivotant 107 et avec lui l'organe de manoeuvre 77 qui y est relié de sorte qu'il se forme un coude dans la tringlerie 75-76, au point d'articulation 74.

   Le levier 76, articulé sur la bague 72, s'appuie, par l'Intermédiaire du levier 75, la bague 73, et avec elle le manchon à griffes 68, se déplace vers la droite de sorte que le manchon 68 cesse d'être en prise avec la bague à griffes fixe 69. Le verrou de blocage 70 tombe par pivotement entre le manchon à griffes 68 et la bague à griffes 69 et empêche leur remise en prise. 



  Du fait du débrayage du manchon à griffes 68, le ressort 71 est comprimé. La fourchette 96 fixée sur la bague 73 a poussé la tige de casse-fil 97 vers la droite de sorte quecelle-ci vient porter sur le levier coudé 87. L'interrupteur 98-99 s'est ouvert de sorte que le circuit 100 est interrompu. 



  L'effet de traction oesse dans le relais 101 de sorte que le levier pivotant 107, sous l'effet de la traction du res- sort 108, s'écarte de la trajectoire du levier oscillant 109. 



  Le ressort 80 porté par l'organe de service 78 tire celui-ci dans sa position supérieure extrême, de sorte que la tringle 77 fait descendre les leviers 75 et 76 pour les mettre en position rectiligne. Comme le manchon à griffes 68 ne peut venirvers la gauche par suite du verrouillage du cliquet 70, le manchon à griffes 56 vient en prise, en se déplaçant vers la droite au moyen de la bague 72, dans la bague à griffes 54 de la roue d'angle 49 qui tourne. Le dispositif de manoeu- prend de ce fait la position,. représentée sur la figire 11. 



  Le manohon à griffes 56, qui est en prise,tourne en sens con- 

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 traire de l'arbre de renvoi 20 et entraîne l'arbre creux à clavettes 61. La douille 65 clavetée sur cet arbre 61 ainsi que la roue à chaîne 64 sont entrainées en rotation et actionnent, par l'intermédiaire de la chaîne 66, la roue à chaine 67 qui amène le mécanisme de commande des lamettes et les lamettes 34 (figure 1) de la machine 22 de commande des lamettes dans la position. de fermeture de la foule. L'arbre creux tournant 61 entratne également le manchon à griffes 68 qui tourne d'une quantité telle , par rapport à la moitié d'accouplement fixe 69, que le cliquet de blocage 70 s'échappe par pivotement de sorte que le man- chon à griffes 68 se déplace vers la gauche du fait de la pression du ressort 71 (figures 1 et 9).

   De ce fait, le manchon à griffes 56 est attiré au moyen des leviers 75-76 hors du manchon à griffes 54 qui continue à tournée et le manchon à griffes 68 revient en prise dans la moitiéfixe de l'accouplement 69. La commande de l'arbre creux 61 par l'intermédiaire de l'arbre de commande 53 est par suite interrompue. 



   La transmission de la roue à   chaîne   64 à la roue à chaîne 67 est choisie de telle sorte que l'angle de ro- tation de l'arbre creux 61 xxk nécessaire pour faire pivoter et échapper le cliquet de blocage 70, corresponde au dépla- cement de la commande des lamettes de la position d'ouverture de la foule à la position de fermeture. 



   De ce fait, le métier est débrayé d'avec le mécanis- me de commande, sans action de la part du personnel de service, uniquement au moyen d'un casse-chalïne 33   agiasant   sur le dis- positif de manoeuvre et il est amené en position, de fermeture de la foule dans laquelle, dans la position représentée sur la figure 9, on peut remédier aux défectuosités des fils de chaîne. 

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   Le déplacement permettant de revenir à la position d'ouverture de la foule, nédessaire pour la remise en fonc- tionnement du métier, s'effectue en actionnant l'organe 78 qui peut être, par exemple, une pédale que l'on abaisse de la position de repos représentée sur la figure 9, en an- tagonisme à la traction du ressort 80, pour l'amener dans la position représentée sur la figure 10. De ce fait, les leviers 75 et 76 viennent dans la position coudée, repré- sentée sur la figure 10, et débrayent le manchon à griffes 68 d'avec la moitié d'accouplement fixe   ]69., le   réembrayage ne pouvant se faire par suite du verrou de blocage 70 qui est venu se mettre en prise.

   On lâche l'organe de manoeuvre 78 de sorte que le ressort de traction 80 ramène les deux leviers 75 et 76 en position rectiligne, selon la figure 11, de sorte que le manohon à griffes 56 vient s'embrayer dans la bague à griffes 54 qui tourne . L'arbre creux 61 avec la roue à chaîne 64 est donc actionné directement de ce fait par le moteur 3, par l'intermédiaire de l'arbre 53 et ceci amène les lamettes 34, par l'intermédiaire de la machine 22 de la commande des lamettes, en position d'ouver- tures de la foule. Lorsque ce résultat est atteint, le verrou de blocage 70 s'échappe par pivotement, par rotation simul- tanée du manchon d'accouplement 68, d'un angle de rotation. correspondant.

   Du fait de la pression du ressort 71, le man- chon à griffes 68 vient vers la gauche et, par l'intermédiaire des leviers 75 et 76, il débraye le manchon à griffes 56 d'a- vec la bague à griffes 54, de sorte que la roue à chaîne 64 cesse d'être entrainée. Le dispositif de manoeuvre revient alors dans la position de la figure 9 dans laquelle le métier est de nouveau prêt à fonctionner. En actionnant la poignée 63, (figures 1 et 2), le métier peut être remis en action. de la façon déjà décrite. 

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   Bien que, comme on l'a dit, le dispositif de ma- noeuvre selon l'invention convienne particulièrement pour être utilisé dans des métiers à tisser, il peut tout aussi bien être utilisé, par exemple pour des machines prépara- toires, c'est à dire celles qui préparent les fils de chaîne ou de trame, ainsi que pour des machines finisseuses,   o'est   à dire celles servant à traiter ultérieurement le tissu, 
Dans ces machines, on peut effectuer de la façon la plus sim- ple des déplacements auxiliaires, par exemple pour faire reouler une partie dans une position occupée précédemment, de manière à pouvoir remettre en   action   un dispositif uti- lisé précédemment. 



   L'avantage d'un arbre de renvoi 20,   (fig.l)   qui peut être accouplé au choix avec un arbre 11 servant pour le fonctionnement ou avec un mécanisme auxiliaire 49-53, constitue une simplification sensible de la commande de paires différentes d'accouplements pour deux   déplacements   auxiliaires ou plus servant à remédier à ces perturbations dans des   moments   différents du fonctionnement, par exemple pour le remplacement d'un fil de trame cassé ou pour nouer un fil de chaîne cassé. Cependant, non seulement la commande, mais encore le dispositif, sont très simples étant donné que la paire   d'accouplements   54-56 et 68-69 est montée di-   reotement   sur l'arbre de renvoi 20.

   Les pièces d'accouplement 
56 et 57 sont même disposées sur l'arbre de renvoi 20 avec leur pièce d'accouplement opposée commune 54-55 de la com- mande auxiliaire 49-53. 



   L'une des moitiés d'accouplement comporte, con- formément à la figure 13, une bague à griffes 201 munie d'une roue dentée 202 telle que les roues dentées 14 et 64 de la figure 1, un alésage 203 et une griffe 216 qui est limitée par des flancs inclinés 215 limitant le creux 211. Sur la ba- 

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 gue 201, est encore fixé le taquet 212, parallèle à l'axe et faisant saillie sur la surface de base du oraux 211 et, sur ce taquet 212, est monté l'organe de blocage formant cliquet de blocage 213. La pièce de blocage 213a du oli- quet 213 est poussée dans sa position de blocage par le ressort à lame 214 , fixé sur la griffe 216. La hauteur H, mesurée dans le sens de l'axe, de la surface 213c du cliquet 213 est plus grande que la hauteur h de la sur- face de portée 216a de la griffe 216. 



   Conformément à la figure 12, la deuxième moitié d'accouplement 204 est en forme de douille et comporte une denture intérieure 207. La moitié d'accouplement 204 est calée en rotation sur l'arbre 205 muni de dents 206 et d'un collet 208, mais elle peut coulisser dans le sens de ltaxe, pour déplacer la douille d'accouplement 204 sur l'arbre 205, cette douille comporte une rainure annulaire 210 dans laquelle vient en prise une fourchette, non re- présentée sur le dessin. La face frontale de la deuxième moitié d'accouplement 204, tournée vers la bague à griffe 201,de la première moitié d'accouplement (figure 13) com- porte une griffe 217 faisant saillie en direction axiale et qui est limitée par les flancs d'entraînement inclinés 220 limitant le creux 218. 



   La dimension de la griffe 217 et du creux 218 est telle que, de façon correspondant à la figure 14, lorsque la douille 204 est embrayée, la griffe 217 pénètre dans le creux 211 de la bague 201 et la griffe 216 de celle-ci dans le creux 218 de la moitié d'accouplement 204, les flancs dtentrainement inclinés   .et   220 venant porter les uns sur les autres. 

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   La griffe 217 (figure 12) comporte un évidement   219.   La profondeur de la surface de butée219a de l'évide- ment 219 correspond en direction axiale au moins à la hau- teur de décalage axiale (H-h) de la surface de portée 216a de la griffe 216 par rapport à la surface 213o de la pièce de blocage 213a. L'   a'rête   comprise entre l'une des surfa- ces inclinées 220 et l'enveloppe cylindrique de la moitié d'accouplement 204 est chanfreinée par la surface de por- tée 221 pour la pièce de blocage   213a.   La surface de portée   221   empêche l'usure de l'arrête de travail 213b de la pièce de blocage 213a lorsqu'elle monte surl'enveloppe oylindri- que de la moitié d'accouplement 204. 



   En se référant aux figures 14 à 16 et   19   à 23, l'accouplement à griffes fonctionne de la façon   suivante:   
De l'arbre 205,une charge doit être transmise à la roue dentée 202, l'accouplement entre l'arbre 205 et la roue 202 devant être interrompu momentanément.A l'aide de la fourchette venant en prise dans la rainure annulaire 210, la douille d'accouplement en prise 204 (figures 14 et 19) lorsque l'arbre 205 est à l'arrêt ainsi que la roue 202 recule de la quantité de débrayage c'est à dire s'écarte de la bague d'accouplement 201 d'une quantité telle qu'il n'y ait plus transmission de rotation entre les pièces 201 et 204.

   L'enveloppe cylindrique de la douille 204 a glissé sous l'arête 313b de la pièce de blocage 213a de sorte que celle-ci peut tomber par pivotement dans l'évidement 219 (figures   12,16 et   20). La bague d'accouplement 201 peut tourner librement avec son alésage 203, mais elle ne peut coulisser en direction axiale sur l'arbre 205. Le ressort 209 monté entre le collet 208 de l'arbre 205 et la douille 204 est par suite comprimé.

   Si la pression exercée en di- 

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 rection axiale par la fourchette sur la douille 204 cesse, sous l'action du ressort 209, il n'y a que la   snrfaoe   de butée 219a de l'évidement 219, perpendiculaire à   l'axe   de l'arbre, qui vienne porter contre la surface de blocage 213c de la pièce de blocage 213a et par suite elle empêche la remise en prise de l'accouplement. Dans cette position de débrayage, la bague à griffe 201 et la roue 202 peuvent tourner dans le sens de la flèche 222 (figure 15), la pres- sion du ressort 209 agissant en direction-axiale s'exer- çant pendant un petit angle de rotation par l'intermédiai- re de la surface frontale de l'évidement 219 sur la pièce de blocage 213a.

   En continuant à tourner dans le sens de la flèche 222, la surface 216a de la griffe porte sur la griffe 217(figures 16 et 21) ce qui fait que la surface de blocage 213c ne supporte plus la pression du ressort 209. La moitié d'aooouplement 201 continuant à tourner dans le sens 222, la griffe 216 monte sur la griffe 217, le contact s'effectuant d'abord partiellement jusqu'à ob- tenir un recouvrement complet (figure 22). Le cliquet 213 arrive alors dans l'espace libre compris entre les oreux de griffes 211-218 de sorte que la pièce de   blooag3   213a tombe intérieurement sous l'action du ressort 214. 



   Si la griffe 216 continue à glisser dans le sens de la rotation 222, le recouvrement des griffes 216 et 217 diminue pendant que la surface de portée 221 passe sous la pièce déblocage 213a. La moitié d'accouplement 201 con- tinuant à tourner, l'arête 213b porte sur l'enveloppe cy- lindrique de la douille 204 de sorte que la pièce de blo- cage 213a reste en position de basculement vers l'exté- rieur en opposition à l'action du ressort 214.

   Lorsque la moitié d'accouplement 201 a effectué presque un tour com- 

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 plet, l'arête 217a de la griffe   217   glisse sur la surface 216a de la griffe   216   de sorte que la douille 204 se dé- place sous l'action du ressort 209 jusqu'à ce que la sur- face oblique 215 vienne porter sur la surface oblique 220, De ce fait, la douille à griffe 204 revient dans sa posi- tion initiale de mise en prise (figures 14 et 19). 



   De manière à assurer la mise en prise de la douille à griffes 204 avec la bague à griffe 201 sous l'action du ressort 209, même lorsque les deux parties d'accouplement 201 et   204   tournent à grande vitesse, au lieu d'un chan- frein 116a sur la griffe 216, il peut y avoir un évide- là '   Lient   217b sur la griffe 217, ou la surface supérieure de la griffe est en retrait (fig.19-23). De ce fait, il se produit, avant la remise en prise des parties d'accouple- ment 201 et   204,   un léger déplacement axial du manchon à griffe 204 par rapport à la bague 201 et cela pour une position relative des deux griffes 216 et 217 pour laquelle ne l'organe de blocage 213 peut pas encore accéder à sa po- sition de blocage intérieure.

   Grâce à ce léger déplacement axial, lorsque les deux moitiés d'accouplement 201 et 204 ont atteint presque ou complètementleurspositions de remise en prise, l'organe de blocage 213a est empêché-de tomber dans 1'évidement 219 et de provoquer un blocage intempestif lorsque la hauteur H de la partie 213a assurant le blocage est égale à la hauteur h de la griffe 216 ou n'est qu'un peu plus grande que celle-ci. L'organe de blocage 213 vient, de ce fait, en prise sur la douille à griffes 204 qui le maintient dans sa position extérieure. 



   Au lieu de ne prévoir qu'une griffe 216 ou 217 sur chacune des moitiés d'accouplement 201 et 204 et par suite de devoir faire tourner les parties d'accouplement débrayées 

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 d'un tour complet l'une par rapport à l'autre jusqu'à re- mise en prise automatique, il serait possible de prévoir deux griffes ou plus, auquel cas la rotation relative entre les deux parties d'accouplement serait réduite à une frac- tion correspondante d'un tour complet. 



   Lorsque la hauteur axiale H de l'organe de blocage 213 est plus grande que la hauteur h des griffes et lors- qutil n'y a pas d'évidement 219, l'accouplement est bloqué lors dtun débrayage pour chaque sens de rotation. En effet, après que la griffe 217 a glissé de sur la surface de blocage 213a, les parties d'accouplement 201 et 204 effectuent un petit déplacement axial l'une par rapport à l'autre. En tous cas, les deux extrémités de la griffe 217 doivent être munies dtune surface de portée 221 (fig.12). 



   Dans l'exemple de réalisation de la figure 24, la com- mande des lamettes comporte les deux cames 301 et 302 qui sont calées ltune derrière l'autre sur l'arbre 303 montées dans des paliers 303a et reliées à la commande du métier. 



  La came 301 agit sur le galet 304 et la came 302 sur le ga- let 305. Les galets 304 et 305 sont montés sur l'organe de commande intermédiaire 306 muni d'un prolongement 307 et qui, est, par exemple, une pièce oscillante. Cette pièce 306 est montée dans un ou deux paliers 308 placés l'un derrière l'autre qui sont fixés de façon mobile sur une tringle 309 et sur une pièce de transmission 310 du dispositif de manoeu- vre, par exemple un étrier à excentrique. Le levier 309 pi- vote sur un axe fixe   311.   



   Sur le levier 309, est articulée à la tige de casse- fil 336 qui est reliée à 1'interrupteur du moteur de commande ou à   l'accouplement   qui se trouve entre ce dernier et l'arbre 303. (Ceci   n'est'pas   représenté sur le dessin).. La tige 338 

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 surveille la position du palier 308 et empêche la mise en action du métier lorsque l'étrier à excentrique 310 est écarté de la position de fonctionnement. 



   L'étrier à excentrique 310 est monté sur le dis- que à excentrique 312 qui est calé sur l'arbre 313 lequel est monté dans un palier   314   et est relié par la chaîne 66 et un accouplement   débrayable   64 à une commande, par exemple la commande du métier ou une commande à main. 



   La tringle 317 est munie d'une tête en forme de barre 318 sur laquelle sont prévus plusieurs points d'ar- ticulation 319. La pièce oscillante 306 est articulée sur un de ces points 319. L'autre extrémité de la tringle 317 est articulée sur le levier coudé 321 au moyen du pivot 320, le levier coudé tournant sur le pivot fixe 322. Le levier coudé 321 est relié au levier coudé 324 monté sur un pivot fixe 323 par la bielle 325. Les leviers coudés 321 et 324 sont reliés chacun par une bielle 326 à une tige 327 qui passe dans les guidages 327a et est fixée sur la lamette 34. Lalamette 34 comporte un support de lisses in- férieur et supérieur 329, lisses dans lesquelles passent les fils de chaîne dans un oeillet 331. 



   En fonctionnement du métier, l'arbre 303, aotion- né par la commande du métier, tourne avec les denut cames      301 et 302, partir de la position représentée sur la fi- gure 24, dans'le sens de la flèche 333, la came 302 appuyant sur le galet 305 et la pièce oscillante 306 venant dans sa position extrême 306a. La tringlerie 317,321, 325, 324, 326 et 327 pousse la lamette 34 dans sa position Inférieure d'in- version. Lorsque la pièce oscillante se trouve dans sa posi- tion extrême 306a, la came 301 appuie sur le galet 304,la pièce 306 se déplace en sens inverse des aiguilles d'une mon- 

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 tre et la lamette 304 revient dans sa position extrême supe- rieure . En continuant à tourner, les cames 301 et 302 pro- voquent, par suite, un mouvement oscillant permanent de la lamette 34.

   Sur   larbre   303, sont calées les cames nécessai- res pour la   commande   d'un nombre désiré des lamettes 34. 



   Lorsqu'il se produit une perturbation dans le fonc- tionnement du métier, lorsque par exemple un fil de chaîne 31 se brise, le métier s'arrête, de façon connue, par fonc-      tionnement d'un organe de contrôle, par exemple le casse- chaîne. Les cames 301 et 302 et les lamettes 34 qui y sont reliées de façon positive s'arrêtent alors dans n'importe quelle position non déterminée. Pour remédier à la défec- tuosité, par exemple pour mettre en place un nouveau fil de chatne 31, il est bon de fermer la foule, ce qui s'obtient en déplaçant les différentes lamettes 34 pour les amener dans leurs positions moyennes comprises entre les positions extrêmes supérieure et inférieure. 



   Sur la figure 25, les lamettes 34 nécessaires pour for- mer la foule sont déplacées à partir d'une position de fonction- nement quelconque pour les amener dans la position de repos qui est decpréférence la position de fermeture de la foule, qui peut être, par exemple, la position moyenne des lamettes, grâce à ce que l'accouplement 64 est embrayé ce qui fait que le disque à excentrique 312 est relié au moteur qui n'est pas touché par la mise à l'arrêt des lamettes 34. Lachaïne 66 fait tourner l'excentrique 312 de 180 , de sorte que celui-ci vient dans la position 312a et, de ce fait, déplace l'étrier d'ex- centrique 310 d'une quantité correspondant ;au double de 1'ex- centricité pour l'amener dans la position 310a.

   Dès que cette nouvelle position est atteinte, l'accouplement 64 interrompt automatiquement la transmission de rotation entre le moteur et la chaîne 66. Le pivot 308 est amené, du fait du déplace- 

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 ment de l'excentrique 310 dans la position 308a et la tringle 309 dans la position 309a. De ce fait, la tringle 336 vient dans la position 336a et empêche la remise en marche du mé- tier ou de l'arbre 303. La pièce oscillante 306 a été, de ce fait, poussée contre les butées 334 et 335 qui correspon- dent à sa position médiane 306a dans laquelle les lamettes 34 forment la foule fermée. Les galets 304 et 305 ont été alors écartés des cames 301 et 302 pour venir dans la position 304a et 305a. 



   Lorsqu'on a remédié à la défectuosité, en rembray ant l'accouplement 64 , l'excentrique 312a est remis dans la posi- tion de fonctionnement 312 représentée sur la figure 24 et, de ce fait, les galets 304 et 305 viennent de nouveau porter sur les cames 301 et 302 et amènent les lamettes 34 dans la posi- tion qu'elles avaient prise lorsque le métier a été mis à l'ar- rêt. De ce fait, la tige de contrôle 336 revient également dans sa position de fonctionnement, de sorte que le tissage peut s'effectuer de nouveau après remise en prise de l'arbre 303 avec le moteur du métier. 



   Au lieu d'actionner chacune des lamettes 34 d'un mé- tier à tisser au moyen de deux cames 301 et 302 et des deux galets 304 et 305 ooopérant avec ces cames, il pourrait n'être prévu qu'une seule came avec deux galets. Il serait également possible   de ..' ne ,   prévoir pour chaque came qu'un seul galet qui circulerait; pour assurer la transmission positive, par exemple dans un chemin came constitué par une rainure de la came. 



   Dans la commande des lamettes selon les figures 26 et 27, la bielle 355 est articulée, au moyen de l'articulation 359, sur la pièce oscillante 356, la bielle 355 étant actionnée par un excentrique ou par une machine à lamettes 357. La pièce os- cillante 356 comporte un pivot 337 qui est maintenu de façon pouvoir tourner entre les deux coussinets 358 coulissants. Les 

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 deux coussinets 358 sont guidés entre les plaques de gui- dage 338 et chacun dteux est relié à un système de tringle- rie , ces systèmes étant symétriques l'un à l'autre par rapport à un plan. Chacun des coulisseaux 358 est articulé sur une bielle 339 montée elle-même sur un pivot 340.

   Au moyen du pivot 340, chacune des bielles 339 est réunie à une tringle 342 et ambras court d'un levier coudé 341 pivo-      tant sur un   qxe   fixe 344. L e grand bras du levier coudé 341 est articulé, par l'intermédiaire d'une bielle 343, à la manivelle 345 ou 345a. Les manivelles 345 et 345a, qui font l'une par rapport à l'autre un angle de 180 , sont calées sur l'arbre 346 sur lequel est montée une roue den- tée 347 solidaire de l'arbre en rotation; La roue dentée 347 est reliée, par la chaîne 66 et un accouplement 64, tel que représenté sur la figure 24, à une commande, par exemple le moteur du métier ou une commande à main. 



   La tige 342 est reliée par une articulation 348 aux tiges 349 et 350. La tige 349 pivote dans un palier fixe 351 tandis que chacune des tiges 350 est articulée sur un patin 352 qui est monté entre les deux rails de guidage 353. 



  La pièce oscillante 356 se déplace entre les deux patins 352 et elle est   articulée   sur la bielle 354 au moyen du pi- vot 360 qui se trouve sur son axe de déplacement. La bielle 354 correspond à la tige 317 représentée sur la figure 24 et peut être reliée aux lamettes 34 de la façon décrite dans l'exemple précédent. 



   Comme, ainsi qu'on le sàit, les métiers à tisser sont munis la plupart du temps de plusieurs lamettes, tous les organes intermédiaires tournant autour du même axe et constitués sous forme de pièces oscillantes 356, peuvent être actionnés par deux coulisseaux 358, stétendant sur une lon- gueur correspondante (perpendiculaire au plan du dessin), et par deux patins 352. 

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   En fonctionnement, le système de leviers de la com- mande des lamettes   occupe.,la   position représentée sur la fig. 



   26. De ce fait, les deux coulisseaux 358 maintiennent le pi- vot 357 fixe mais de façon qu'il puisse tourner. Les patins 
352 sont écartés l'un de l'autre dans une mesure telle que la pièce oscillante 356 puisse effectuer ces oscillations. 



   Si maintenant les lamettes 34 (figure 24) doivent être amenées dans la position médiane correspondant à la fermeture de la foule, comme cela est nécessaire pour remédier à des défectuosités de tissage, par exemple à des ruptures de fil de chaîne, le métier est mis à l'arrêt par des dispositifs qui ne sont pas décrits plus en détail et actionnés par des organes de contrôle et, de ce fait, les lamettes se trouvent d'abord dans n'importe quelle position de leur trajet. Pour fermer la foule, la chaîne 66 est actionnée, de préférence au moyen d'un accouplement, de telle sorte que les manivelles 
345 et 345a tournent de 1800 pour venir dans la position 
345b ou 345c. Cette rotation provoque un déplacement du sys- tème de leviers pour l'amener dans la position 339a, 341a, 
342a, 343a, 349a, 350a.

   Les deux coulisseaux 358 s'écartent de ce fait pour venir dans les positions 358a et les deux patins 352 se rapprochent l'un   del'autre   et viennent dans la position 352a, ce qui amène la bielle 354 dans la position médiane 354a correspondant à la fermeture de la foule. En ce cas, la positipn prise par la tige 355, avec l'excentrique ou la machine à lamettes 357, est sans importance parce que la pièce oscillante 356a peut se déplacer entre les coulis- seaux ouverts   558a,de   telle sorte que sa position médiane soit assurée dans tous les cas entre les patins 352a rapprochés l'un de l'autre. 



     ..près   avoir remédié à la défectuosité, on ramène le système de leviers du dispositif de manoeuvre, par rotation 

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 des manivelles 345b et 345c de 180 ,dans la posi tion 345 et 345a représentée sur la figure 26. Par suite de la ro- tation des manivelles 345 et 345a, les patins 352a sont ramenés dans leurs positions extrêmes 352 tandis que les coulisseaux 358a qui se ferment entourent le pivot 337 et le ramènent dans sa.position médiane.. De ce fait, la pièce pviotante 356 fait tourner la bielle 355 autour du pivot 
359 ce qui fait que, par l'intermédiaire de la bielle 354, les lamettes 34 sont ramenées dans la position correspon- dant à la position de l'excentrique   357   à partir de la- quelle le métier peut recommencer à fonctionner. 



   Le temps nécessaire pour remédier à des défectuo- sités, telles que des défauts de tissage, est du temps perdu pour le tissage et il est avantageux de raccourcir ce temps autant que possible. En particulier pour des tis- sus avec dessins compliqués, un défaut de tissage provoque une perte d'une certaine longueur de tissu lorsqu'on ne remédie pas à ce défaut de sorte que, parfois, il faut en- lever un grand nombre de fils de trame, lorsque le métier ne s'arrête pas immédiatement. 



   L'utilisation de paires d'accouplements présente l'avantage de simplifier le changement de manoeuvre lors- que l'on remédie à des défectuosités, ce qui ne nécessite qu'un seul organe de manoeuvre pour des métiers du type indiqué au début et grâce à quoi il est possible, à tout moment du travail, de fermer la foule. 



   Dans des cas particuliers, toutes les lamettes ne sont pas en même temps, pendant le travail, en position moyenne. Mais comme cette position moyenne est absolument nécessaire pour renouer les fils de chaîne cassés, on ne peut obtenir cette position moyenne que lorsque la liaison posi- tive ci-dessus décrite entre la commande des lamettes et les 

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 lamettes est supprimée, comme cela est représenté sur les figures   24   à 27. De même, lorsqu'il faut enlever différents fils de trame, et qu'il faut faire reculer la chaîne et le tissu d'une certaine quantité, il ne peut se produire d'er- reurs et, pour chaque recul, il n'y a qu'un seul organe de manoeuvre 95 à actionner. 



   Un autre point consiste en ce que, lorsque les lamettes sont séparées de leur commande, il est nécessaire que le métier s'arrête immédiatement. L'arrêt du fonction- nement,qui est décrit ci-dessous, présente l'avantage qu'il n'y a pas de temps perdu entre le débrayage et le freinage et que, avec un seul organe de manoeuvre, on obtient immé- diatement la position de remise en marche du métier. 



   Le moteur électrique 401 (fig.28) transmet le mou- vement, par la transmission 402, à l'arbre 403.   Celui-ci   est relié à l'arbre 404 du métier par les plateaux d'embrayage 405 et 406. Le plateau 405 peut coulisser sur l'arbre 403 et le plateau 406 est calé sur l'arbre 404. Ce dernier perte encore un tambour de frein 407 qui est normalement relié au plateau 406 mais qui, pour plus de clarté est repré- senté comme en étant séparé. 



   L'arbre 404 est le même que l'arbre 6 de la fi- gure 2, l'accouplement 405,406 que l'accouplement 5,7 et le frein 407, 408 que le frein 8 de la figure 2. 



   Le sabot de frein 408 est appliqué par le ressort de frein 410 au moyen du levier de frein 409, sur le tam- bour de frein 407. Le levier de frein 409 est relié à un levier à deux bras 411 par l'articulation 412. Le levier à deux bras 411 est relié par l'articulation 413 à la tige 416, et l'articulation 417 à un levier d'embrayage 419 pi- votant sur un axe fixe 418. L e levier 411 comporte encore une butée 414 coopérant avec la butée fixe 415 ainsi qu'une vis de poussée 420 qui, par l'intermédiaire du poussoir 421, 

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 du levier 422, de l'arbre 423 et du levier fourchu 424, pousse le plateau d'accouplement mobile 405 et accouple par suite l'arbre   403   avec l'arbre 404. 



   En outre, l'articulation 412 du levier à deux bras 
411 est encore reliée à un dispositif de blocage. Un le- vier à genouillère   425,426,427   est relié d'une part, à l'articulation 412 et, d'autre part, à un pivot fixe 428. 



   Si le levier est en ligne droite, la   mâchoire   de frein 
408 est écartée dutambour de frein 407. Un arbre 420 ao- tionné par le casse-fil pousse, par   l'intermédiaire   du levier 430, et du poussoir 431, le levier coudé, ce qui fait que l'articulation 412 se déplace sous l'action du ressort de frein 410. Sur le levier coudé 425, 426,427 est monté un contact électrique 452 tel que le moteur de com- mande 401 ne fonctionne que lorsque le levier à genouillère est en position rectiligne. 



   Le mode de fonctionnement du dispositif s'explique à l'aide de.la figure 29. 



   Pour une perturbation quelconque, le métier s'est arrêté. Le levier à genouillère   425,426,427   a été brisé sous l'action du poussoir 431 et l'articulation 412 a été amenée, sous l'action du ressort de frein 410, de la posi- tion 412 à la position 412' dans laquelle le frein   407-408   est serré. L'articulation 413 est restée en 413' parce que le levier 419 est resté dans sa position représentée en trait plein. La vis de réglage 420 est value de la position 420" à la position 420' de sorte que l'accouplement est débrayé. 



   En soulevant la tige 416 à l'aide du levier de com- mande 419, on met dtabord obliquement le levier à deux bras 411 jusqu'à ce que sa butée 414 vienne rencontrer sa butée fixe 415, l'articulation 412 restant en 412'. En oon- 

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 tinuant à soulever l'articulation 413 jusqu'en   413"t   l'ar- ticulation 412 revient en 412" de sorte que le dispositif de blocage se trouve de nouveau en ligne droite (position représentée en trait mixte). Dans cette position, le frein est desserré mais le métier est encore débrayé d'avec le moteur de commande. On peut faire tourner le métier à la main à l'aide du volant 435. Le moteur de commande est déjà mis en fonctionnement par le contact 432. 



   Si le métier doit être actionné par le moteur 401, on amène le levier 419 de la position représentée en trait mixte à celle représentée en pointillé, jusqu'à oe que l'articulation 413 passe de la position 413" à la position 413'. Comme l'articulation 412 reste bloquée en position 412" par le levier à genouillère   425,426,427   qui est en position allongée, le levier 411 prend la position re- présentée en pointillé, la vis de réglage 420 vient dans la position 420" et actionne par suite la tringlerie d'ac- couplement 421, 422 423, 424 qui y est reliée. Dans cette position, le frein reste desserré et l'arbre 404 du mé- tier est accouplé avec l'arbre 403 actionné par le moteur. 



   Afin que l'articulation 413 reste en 413' et puis- se supporter la réaction des   fdEes   nécessaires pour l'ac- de couplement ainsi que les forces du   ressort/desserrage   433 monté sur le point fixe 434, la tige 416 et le levier 419 sont disposés', de telle sorte que,dans cette position, l'ar- ticulation 417 se trouve dans la position de point mort ou même au-delà de celle-ci. 



   Si, pendant le fonctionnement du métier, il se produit une perturbation quelconque, le poussoir 431 brise la genouillère 425, 426, 427 et, sous l'action du ressort de frein 410, le levier 411, vient rapidement de la posi- tion représentée en pointillé sur la figure 29 à celle re- 

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 présentée en trait plein. De ce fait, l'accouplement est débrayé étant donné que la vis 420 vient   en   position 420' ,. et le frein est serré. En réglant la vis 420, on peut faire que l'accouplement 405-406 soit d'abord débrayé et le frein 407-408 serré ensuite, ce qui ménage la garniture du frein et est très favorable pour l'arrêt rapide du mé- tier lorsque, par exemple, le volant n'est pas relié à l'arbre principal du métier mais à l'arbre 403.

Claims (1)

  1. RESUME I.- Procédé permettant d'effectuer des mouvements auxiliaires dans des machines textiles lorsqu'on remédie à des perturba- tions,procédé caractérisé par les points suivants séparément ou en combinaisons : 19) Le fonctionnement est arrêté, après quoi des par- ties de la machine qui doivent être actionnées pour remédier à la perturbation sont débrayées et, ensuite, après blocage passager de l'accouplement en position de débrayage, elles sont accouplées à un mécanisme de commande auxiliaire.
    20) En employant un accouplement débrayable entre la commande et la maohine, ainsi qu'un frein pour arrêter le tis- sage à l'état débrayé, et en mettant hors d'action le blceage de la force de serrage du frein, blocage qui est efficace en position de desserrage du frein, l'accouplement cifdessus est débrayé à l'aide de cette force au moyen d'un levier à deux bras relié à l'organe de manoeuvre.
    Lors de la remise en service du métier, le dèsser- rage du frein s'effectue par déplacement de l'organe de ma- noeuvre dans un sens, après quoi l'embrayage de l'accouplement s'effectue en déplaçant le même organe dans l'autre sens.
    40) Dans le cas où le métier est commandé électrique- ment pendant le desserrage du blocage, le circuit du moteur électrique est coupé. <Desc/Clms Page number 36>
    5 ) Le blocage de la force de serrage du frein est interrompu par un organe de surveillance actionné lors d'une perturbation.
    II.- Machine textile pour la mise en oeuvre du procédé ci- dessus, caractérisée par les points suivants séparément ou en combinaisons: 18) Elle comporte au moins une paire d'accouplements dont l'un est en prise pendant le fonctionnement et l'autre est en prise pour effectuer un déplacement auxiliaire, une partie d'accouplement de l'un d'eux étant réunie avec une par- tie d'accouplement de l'autre par des tringles et, en outre, la première partie d'accouplement est maintenue en position de débrayage par un blocage de telle sorte qu'il peut servir d'appui lors de la manoeuvre de la deuxième partie d'accouple- ment à l'aide de la tringlerie.
    2 ) Un organe servant à la manoeuvre du mouvement au- xiliaire se déplace dans un sens qui débraye l'accouplement en prise pendant le fonctionnement et se déplace ensuite en sens contraire pour embrayer l'accouplement qui est en prise pour effectuer un déplacement auxiliaire.
    3 ) L'organe de manoeuvre servant à effectuer le dé- placement auxiliairé actionne la tringlerie réunissant les parties d'accouplement.
    ) Cet organe de manoeuvre, lors de l'embrayage d'un accouplement qui est en prise pour effectuer un déplacement auxiliaire, se déplace automatiquement par exemple à l'aide d'un ressort.
    58) Il y a deux paires d'accouplements et les parties d'accouplement montées sur la tringlerie de liaison des ac- couplements des deux paires en prise pour effectuer des mou- vements auxiliaires, peuvent être accouplés avec une pièce d'accouplement commune de la commande auxiliaire.
    6 ) Comme organe de manoeuvre pour le déplacement auxi- liaire, il est prévu une Lige de manoeuvre reliée à articula- tion à la tringlerie de liaison de la première partie d'ac- couplement avec la seconde et qui sert passagèrement de point <Desc/Clms Page number 37> de pivotement pour un organe de cette tringlerie.
    7 ) Un organe de surveillance actionné lors d'une per- turbation commande au moins un déplacement de l'organe de manoeuvre servant à commander les mouvements auxiliaires.
    8 ) L'organe de manoeuvre comporte un verrou basculant qui, dans sa position de travail, transmet à l'organe de ma- noeuvre le déplacement d'une pièce de commande oscillante.
    9 ) Le verrou basculant peut être amené dans sa posi- tion de fonctionnement en antagonisme à l'action, par exemp, d'un ressort, par manoeuvre d'un relais électro-magnétique, un organe de surveillance, fonctionnant lors d'une perturba- tion, pouvant provoquer la manoeuvre du relais tandis qu'en fonction de la position de remise en prise d'un accouplement en prise pendant le fonctionnement, la mise en action du relais peut être interrompue.
    10 ) Une partie d'un accouplement en prise pendant le fonctionnement du métier est fixée sur le bâti du métier sans pouvoir pivoter.
    11 ) Un organe de surveillance fonctionnant lors de la rupture d'un fil de chaîne provoque le déplacement de l'organe de manoeuvre en vue de former la foule.
    12 ) Un organe de surveillance ne libère l'embrayage placé entre le moteur et le métier, en fonction d'une position d'un accouplement en prise pendant le fonctionnement du métier, que lorsque ce dernier accouplement est en prise.
    13 ) La tringlerie réunissant les parties d'accouple- ment est constituée par au moins deux leviers reliés l'un à l'autre par des articulations.
    14 ) Il est prévu pour effectuer le blocage d'une par- tie d'un accouplement à griffes en prise pendant le fonction- nement du métier, un organe de blocage qui lors d'un débrayage peut tomber par sa partie provoquant le blocage entre les deux parties d'accouplement de telle sorte que ces parties ne peu- vent se réembrayer pendant une rotation relative déterminée. <Desc/Clms Page number 38>
    15 ) La hauteur axiale de la pièce de blocage de l'or- gane de blocage est au moins égale à la hauteur axiale de la griffe d'accouplement.
    16 ) L'organe de blocage est monté à pivotement sur EMI38.1 une pièce e d' a c e oup 1 eme rt .
    17 ) L'angle de rotation relatif pendant lequel la pièce de blocage de l'organe de blocage glisse sur une grif- fe de l'une des pièces d'accouplement est au moins assez grand pour que la griffe suivante de l'autre partie d'accouplement recouvre la première sur une longueur déterminée lorsque la partie de blocage quitte la première griffe.
    18 ) L'organe de blocaje tombe automatiquement en po- sition de blocage lors d'un débrayage, par exemple sous l'ac- tion d'un ressort. EMI38.2
    192) La pièce de blocage glisse sur un èv.cd,ex'c c1 '\mf:: griffe de la première partie d'accouplement et la hauteur axiale de cette partie est plus grande que la longueur axiale de débrayage de façon à pouvoir amener l'organe de blocage, automatiquement, au moyen d'une griffe de cette partié tour- nant sous l'organe de blocage, en position de débrayage.
    20 ) La hauteur axiale d'au moins une griffe, au moins sur son extrémité touchant l'autre griffe avant le réembrayage à partir d'une position dans laquelle l'organe de blocage ne peut pas encore tomber en position de blocage, est réduite de telle sorte que, par suite du déplacement axial, la griffe maintient l'organe de blocage en position débrayée jusqu' à la position de ré embrayage.
    21 ) Chaque, moitié d'accouplement comporte deux ou plu- sieurs griffes de même longueur séparées par des creux, de ma- nière à avoir plusieurs positions de réembrayage.
    22 ) Dans le cas d'un métier à tisser, celui-ci comporte un dispositif au moyen duquel les lamettes peuvent être action- nées de façon desmodromique pendant le tissage et un dispositif <Desc/Clms Page number 39> de manoeuvre au moyen duquel, pour obtenir une position des lamettes servant à remédier à des perturbations, pendant que ne se fait pas le tissage, la liaison deemodromique entre le dispositif de commande et les lamettes est interrompue.
    23 ) Le dispositif de commande des lamettes compacte au moins un organe intermédiaire pivotant autour d'une arti- cula%ion maintenue fixe par le dispositif de manoeuvre et qui peut être déplaoé pour obtenir la position de foule servabt à remédier à des perturbations.
    242) Pendant le déplacement de l'exe de rotation du ou des organes intermédiaires hors de la-position qu'ils occupent pendant le tissage, l'organe intermédiaire s'appli- que au moins sur une butée de telle sorte que s'établit la position de la foule permettant de remédier aux perturbations.
    25±) Il est prévu au moins un organe intermédiaire avec point de pivotement pendant le tissage et une artioula- tion de liaison avec une lemette ou sa tige, le dispositif de manoeuvre maintenant fixe, d'une part, pendant le tissage, le point de pivotement, par exemple au moyen de butées régla- bles et, d'autre part, l'artioulation de liaison lorsque l'on reemédie à des perturbations en libérant l'autre par déplace- ment des butées.
    26 ) Plusieurs déplacements servant à remédier à des perturbations peuvent être obtenus en commun à partir d'un arbre de renvoi que l'on peut aoooupler au choix avec l'arbre du métier ou aveo un dispositif de commandé auxiliaire.
    27 ) Une paire d'accouplements est montée sur l'arbre de renvoi.
    28 ) Des parties d'accouplement, reliées à la tringle- rie de liaison des deux paires d'accouplements sont montées sur l'arbre de renvoi avec la partie d'accouplement commune de la commande auxiliaire.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2492420A1 (fr) * 1980-10-20 1982-04-23 Staeubli Ag Dispositif de recherche de duite a allure reduite

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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FR2492420A1 (fr) * 1980-10-20 1982-04-23 Staeubli Ag Dispositif de recherche de duite a allure reduite

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