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MACHINE A FICELER.
La présente invention est relative à une machine commandée selon un sens de rotation constant et servant à tendre, torsader et couper un fil métallique entourant un paquet.
On connaît déjà des machines servant à ficeler au moyen d'un fil métallique des emballages ou paquets tels que des caisses, des boites, etc.. et servant au moins à tendre, torsader et couper le fil métallique entourant le paquet ou également à assurer automatiquement l'enroulement du fil autour du paquet. Pour autant qu'il s'agit de machines commandées à la main, celles- ci sont en général munies d'au moins un levier actionné à la main, que l'on manoeuvre en le faisant aller et venir. Avec ces machines actionnées à la main, le travail est à la longue fatiguant.
Dans le cas où il s'agit de machines actionnées par moteur, les machines connues de ce genre sont de construction relativement volumineuse et compliquée et leur acquisition nécessite de ce fait des frais d'investis- sement élevés. Par suite, l'achat de ces machines ne peut être supporté que par des exploitations importantes.
La présente invention a pour objet une machine relativement plus simple et petite,commandée selon un sens de rotation constant et qui, par suite, peut être actionnée directement par un moteur en vue de tendre, torsa- der et couper un fil métallique entourant un paquet, le fil étant automatique- ment et successivement tendu dans un appareil tendeur, après quoi les parties de fil venant l'une sur l'autre sont torsadées au moyen d'un appareil à tor- sader et, enfin, les parties de fil en excès sont séparées par un appareil à cisailler.
En conséquence, la machine selon l'invention est caractérisée par le fait qu'elle comporte un arbre monté de façon à pouvoir tourner et à être actionné, sur lequel sont calées deux cames dont chacune coopère avec un dis- positif de serrage du fil, par l'intermédiaire des leviers tendeurs pivotants
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de l'appareil tendeur et entre lesquelles se trouve la roue motrice de l'ap- pareil de torsion, montée de manière à pouvoir tourner sur l'arbre en ques- tion en ayant même axe que lui, la dite roue pouvant être accouplée à la com- mande de la machine, celle-ci étant assurée de telle sorte qu'au début les cames ne font qu'écarter l'un de l'autre les leviers, de façon à tendre le fil, après quoi, au moyen d'une pièce d'entraînement coulissante, la commande est accouplée automatiquement à la roue de commande de la torsion,
de sorte que les parties de fil sont torsadées ensemble, après quoi, sous l'action d'une pièce de commande fixe, la dite pièce d'entraînement débraye la roue de commande de la torsion avant que l'appareil à cisailler ne soit actionné, l'arbre à cames venant à l'arrêt après la coupe du fil.
On a représenté un exemple de réalisation de l'invention sur les dessins annexés, dans lesquels :
La fig. 1 est une vue en plan d'une coupe médiane longitudinale par l'arbre de commande.
La figo 2 représente, de façon analogue, la roue motrice et l'ar- bre de commande avec la pièce d'entraînement embrayée.
La figo 3 est une vue en bout en regardant dans le sens de la flèche A de la fig.2.
La fig. 4 représente, comme sur la fig. 2, la position des piè- ces avant l'achèvement d'un demi-tour de l'arbre de commandeo
La figo 5 est une vue en bout correspondante, analogue à celle de la figo 3.
Les figo 6 et 7 représentent, de fagon analogue aux fig. 2 et 3 et 4 et 5, une autre position des pièces à un stade plus avancé du travail.
La figo 8 représente, partiellement en coupe et en plan, par rapport à la figo3, un dispositif de rappel.
La fige 9 représente, schématiquement et en développement, les pièces portées par l'arbre de commande et par une pièce fixe pour la phase finale de la commande.
La fige 10 est une vue en bout de l'appareil à cisailler, en re= gardant dans la direction de la flèche B de la fig. 1.
La fig. 11 est une vue d'ensemble à plus petite échelle.
La fig. 12 représente, de façon analogue à la figo 1 une varian- te de la machine.
La figo 13 représente, de la même fagon, la partie de la roue de commande de la torsion suivant une autre variante.
Conformément à la figo 1, sur un socle a sont montés deux paliers b et c coaxiaux. Le palier c porte une douille f empêchée de tourner au moyen d'une goupille d et dans laquelle se trouve un axe e, également traversé par la goupille d et qui, par suite, est maintenu fixe.
Sur le socle a est également montée, de manière à pouvoir tour- ner, une vis sans fin 1 qui est actionnée de façon continue par un moteur électrique (non représenté) et qui engrène avec la roue motrice 2 constituée par une roue hélicoïdale ou à vis sans fin. Celle-ci comporte sur le côté droit un moyeu sur lequel fait faillie une griffe 3. La roue de commande 2 est montée folle sur un arbre de commande 4 qui est creux. L'arbre!: s'enfile sur l'axe et il est monté de manière à pouvoir tourner et coulisser longi- tudinalement sur lui, l'extrémité de droite de l'arbre étant supportée par un palier b. L'extrémité de l'arbre est fermée et est munie d'un bouton 5.
Sur l'arbre 4 se trouve, en outre, une pièce d'entraînement radiale 6. L'ar- bre porte encore deux clavettes 2 et 8 dont chacune sert à porter une came 9 ou 10 de façon qu'elle puisse coulisser longitudinalement, mais non effectuer un mouvement relatif de rotation par rapport à l'arbre 4. Les cames 9 et 10 se trouvent des deux côtés de la roue de commande 2 et elles portent, sur les
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côtés opposés l'un à l'autre, une face de commande 17 qui est constituée par une section oblique d'un cylindre creux. Les deux faces de commande 17 sont disposées symétriquement par rapport au plan transversal médian d'une roue dentée 19 qui peut tourner librement sur le moyeu de la roue de commande 2 et qui forme roue de commande pour un pignon de torsion 20 monté sur le so- cle a de manière à pouvoir tourner librement.
La roue 12 est munie de deux griffes 18, faisant saillie axialement, qui sont diamétralement opposées l'une à l'autre et qui, en direction axiale, sont plus courtes que la griffe 3 de la roue de commande 2. Le socle supporte en outre deux leviers de
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tension 12 et Il pivotant autour de tourillons verticaux 12' ou 1' et accou- plés l'un à l'autre par un ressort de rappel 11; ces leviers sont destinés à serrer les portions 14 et 15. du fil métallique enroulé autour du paquet et chacun d'eux est muni à cet effet d'un dispositif de serrage 160 L'arbre de commande ¯4 est muni sur son extrémité de gauche et dans le bas d'une saillie axiale 21 (figol) qui coopère avec une surface de commande 22 d'une pièce
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de commande fixe f (voir également fig, 9).
Dans la position de repos repré- sentée sur la fig. 1 et sur la fig. 3, la roue motrice de torsion 19, comme on le voit sur la figo 8, est maintenue, d'une part, par un cliquet à ressort
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2 monté sur un pivot fixe gr et, d'autre part, par un cliquet de blocage G6 porté par un pivot fixe 6'o Le cliquet peut pénétrer dans un évidement de la roue dont le flanc de droite sur la frigo 8 forme butée pour ce cliquet 23.
De même, le cliquet 26 pénètre dans un évidement de la roue 19 dont la surface limite de gauche forme butée pour le cliqueto En consé- quence, la roue 19 est maintenue en position de repos et cela de telle sorte qu'elle peut tourner dans le sens normal de rotation, indiqué par la flèche
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représentée sur la fige 3, en surmontant la force des ressorts.23" et 26", mais non en sens contraire,car le cliquet 26 empêche cette rotation.
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Chacune des deux cames 2 et 10 porte un taquet zig (fige 10) faisant saillie radialement,) ces taquets sont toujours en face l'un de l'au- tre en direction axiale et chacun d'eux coopère, avec un couteau 28 apparte- nant à l'appareil de coupe, chacun de ces couteaux étant destiné à couper la
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partie de fil là et l5.
qui se trouve dans le guide-fil 30o Chacun des cou- teaux 28 tourne sur un pivot 28' et est soumis à l'action d'un ressort de rappel 29 qui le ramène en position de non utilisation.
Pour utiliser l'appareil, la vis sans fin 1 tourne de façon con- tinue lors de la mise en marche du moteur, de sorte que la roue de commande
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tourne dans le sens de la flèche représentée sur la fig. 3o Comme en posi- tion de repos, représentée sur la fig. 1, la pièce d'entraînement 6 se trouve en dehors de la trajectoire de la griffe 3. de la roue 2, celle-ci tourne à vide. On pose le socle a de la machine sur le paquet à ficelero On fait pas- ser le fil autour du paquet et on serre une partie 14 du fil au moyen du dis- positif de serrage 16 du levier il, puis on fait passer ce fil dans le guida- ge 30 du couteau 28 se trouvant de l'autre coté.
De façon analogue, on bloque l'autre partie 15 du fil dans le dispositif de serrage 16 du levier 12 et on le fait passer dans l'autre guidage 30 du couteau 280
Après cette préparation, on met en marche le dispositif tendeur en appuyant axialement à la main sur le bouton 5. De ce faitl'arbre de com- mande ! passe de sa position de repos de gauche représentée, à la position extrême opposée, la pièce d'entraînement 6 se déplaçant axialement de façon correspondante pour venir dans la position extrême représentée sur la fig2, dans laquelle elle vient sur la trajectoire des griffes 3 et 18.
Conformément à la fige 3, la pièce d'entraînement 6 se trouve, en position de repos et dans le sens de rotation de la roue 2, immédiatement en arrière de l'une des grif- fes 18 de la roue de torsion 19, de sorte qu'après le déplacement ci-dessus
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de l'arbre de commande =4y ce dernier doit faire presqu'un demi-tour jusqu'à ce que la pièce 6 vienne au contact de l'autre griffe 18 de la roue de torsion 19.
En conséquence, cette roue reste d'abord en position de repos, de telle
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sorte qu'il n'y a uniquement que l'arbre de commande à qui est mis en rota- tion dans le même sens au moyen de la griffe .3.;, dès que celle-ci vient au con-
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tact de la pièce d'entraînement 60 De ce fait, les cames 3 et 10 sont entrai-
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nées en rotation dans le même sens au moyen des clavettes 1 et 8 qui les accouplent à l'arbreo En conséquence, les surfaces de commande 17 écartent
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les leviers 12 et Il l'un de l'autre, en antagonisme à l'action du ressort de rappel'il, et cela pendant un demi-tour des cames 3 et lQe comme il res- sort de la fig. 1.
De ce fait, les portions de fil et !2 sont serrées par les dispositifs de serrage 16 et le fil placé autour du paquet est ten- du de façon correspondante. Dès que la pièce d'entraînement 6 arrive dans la position représentée sur la figo 5, elle vient au contact de la griffe
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18 correspondante et elle entraîne par suite la roue zei de commande de la torsion, en la faisant tourner dans le même sens. De ce fait, le pignon 20 qui est en prise avec la roue 19 est mis en rotation. Ce dernier tord ensem- ble, de façon connue, les parties de fil et 15 qui sont au contact l'une avec l'autre. Cette torsion dure tant que la pièce d'entraînement 6 se trou- ve sur la trajectoire de la griffe 18.
Elle est toutefois repoussée hors de cette trajectoire pendant que l'arbre de commande continue à tourner, par la
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coopération de la saillie axiale 21 de l'arbre de commande I et de la surface de commande 2 de la pièce de commande fixe f La frigo 9 représente la posi- tion réciproque de ces organes correspondantau recul axial de l'arbre de
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commande lo La position et la forme des surfaces de commande 22 sont telles que la pièce d'entraînement 6 ne quitte la griffe 18 de la roue de commande de la torsion 19, dans le sens de rotation, qu'après avoir dépassé la position de repos représentée sur la figo 6. Cette libération s'effectue lorsque la saillie 21 a atteint la position i de la surface de commande 22 (figa 9). La
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position en question correspond à celle représentée sur les fig. 6 et 7.
Le retour de la roue 1 dans la position de repos représentée sur la fig. 3 a lieu sous l'action du dispositif de rappel, du fait que le cliquet 23. qui était enclenché précédemment dans la rainure (fige 8) et qui, en butant contre le flanc de la rainure et sous la tension du ressort 23", avait effec- tué une oscillation correspondante, revient maintenant dans la position repré-
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sentée sur la frigo 8, laquelle est maintenue par le cliquet 26 qui, de son côté, était enclenché précédemment dans la rainure 24, sous l'action du res.- sort 26".
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Dès que la pièce d'entrainement 6 a libéré la griffe 18 (fiôo6 et 7), l'opération de torsion est terminée.
La pièce d'entraînement .6 est cependant toujours au contact de la griffe 3 de la roue de commande (voir
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fig 6), car le cliquet est davantage en saillie axiale que la griffe po En conséquence, l'arbre de commande ¯4 continue de tourner et, avec lui, les cames 9 et 10 dont les taquets 27 (figo 10) viennent au contact du couteau correspondant 28. De ce fait, les couteaux 28 s'abaissent et coupent la por- tion de fil qui se trouve dans le guide-fil 30. Après coupure du fil, les couteaux reviennent dans leur position d'ouverture sous l'action des ressorts
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de rappel 29. La saillie axiale 21 de l'arbre de commande il: est alors arrivée dans la position k de la surface de commande 22 (figo 9).
Dans cette position l'arbre de commande ± est repoussé d'une distance telle qu'il n'est plus au contact de la griffe 3. De ce fait, la rotation de l'arbre de commande .4 ces- se, de sorte que la roue motrice tourne à vide. Les différentes pièces sont alors revenues dans leur position de repos.
Contrairement à ce qui est représenté sur le dessin, la saillie
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de commande 21 de l'arbre ik et celle de la pièce fixe la: pourraient être inter- verties en ce qui concerne leur rôle, la saillie axiale 21 se trouvant sur la pièce fixe 1: au lieu d'être sur l'arbre et, inversement, l'arbre -4 pour- rait être muni d'une surface correspondante, remplaçant la surface de commande 22 de la pièce de commande f.
Il est avantageux de disposer l'ensemble de la machine de façon qu'elle puisse être accrochée à un organe porteur placé au-dessus, de telle
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sorte que, après utilisation, on puisse la suspendre au-dessus de l'emplace- ment du travail à une hauteur telle qu'on puisse faire avancer sous la machi- ne les paquets à ficeler. Cette avance peut être réalisée, par exemple, au moyen d'une installation à bande sans fin ou à rouleaux, qui sont disposés au-dessus du plancher, à une hauteur pratique pour le service. On peut toute- fois déplacer le dispositif de suspension de la machine sur une voie horizon-
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tales en disposant par exemple sous le toit de l'atelier un rail horizontal sur lequel le dispositif de suspension peut circuler au moyen d'un galet ou d'un chariot.
Il est alors possible d'amener le dispositif de suspension dans la nouvelle position désirée au-dessus du paquet à ficeler simplement en poussant la machine. La bobine de fil d'où se déroule le fil à utiliser peut se trouver au-dessus de la machine, par exemple en un point correspon-
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dant sous le plaioniou à la partie, supérieure du dispositif de suspension de la machine, de telle sorte que la place qui se trouve au-dessous de la ma- chine ne soit pas obstruée par le rouleau de fil et l'arrivée de ce dernier à la machine.
On a représenté sur la fig.11 une disposition d'ensemble appro- priée. Le socle a de la machine ou un carter qu'elle supporte est muni d'un
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oeillet Il dans lequel vient s'insérer un crochet .32 fixé à l'extrémité du brin J1 d'un palan actionné à la main et dont le brin là est fixé en un point approprié du socle a ou du carter qu'elle supportea On choisit ce point de fixation, ainsi que la position de l'oeillet 31 de telle sorte que le centre de gravité de la machine se trouve entre ces positions et que le socle suspendu soit, comme représenté, sensiblement horizontal. Le palan est
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suspendu à un chariot 12. circulant librement au moyen de roues 6 sur un rail 37 disposé en dessous du plafond (non représenté) de l'atelier d'embal- lage.
A côté du dispositif de suspension se trouve une bobine 38 qui est montée de manière à pouvoir tourner sur le chariot 35 et sur laquelle est enroulée la réserve de fil d'emballage 39, que l'on enroule autour du paquet 40.
Pour actionner la machine au moteur, la vis sans fin 1 de la fig. 1 est calée sur un arbre vertical 41. Celui-ci peut s'accoupler avec un câble souple de commande 42 (figo Il) entraîné par un moteur électrique 43
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porté également par le chariot .2.2, de l'autre côté du dispositif de suspen- sion, et que l'on peut embrayer et débrayer au moyen d'un organe de tension
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1 àà., à l'extrémité libre duquel se trouve une poignée 45.
Pour utiliser l'appareil, l'ouvrier prend le crochet 32 d'une main et l'oeillet 31 de l'autre et il les sépare l'un de l'autre. Ensuite, il abaisse la machine sur le paquet 40 qui se trouve en dessous, jusqu'à ce que le socle a repose sur le paquet. Il insère alors le fil 39 comme on l'a dit plus haut puis met en marche le moteur et par suite la machine en tirant sur la poignée 45, de sorte que le ficelage commence. Ensuite, en tirant sur le crochet .32;, il soulève la machine qui est maintênue-en position soulevée
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par l'engagement du crochet 2 dans l'oeillet 31. Le moteur peut continuer à tourner car la vis sans fin 1 actionne la roue motrice 2 en tournant à vide.
En tirant sur l'oeillet 31, l'ouvrier amène le chariot 12-dans la nouvelle po- sition désirée sur laquelle doit se faire le ficelage d'une autre caisse et il recommence l'opération. Si l'on doit arrêter la machine, le moteur 43 est arrêté en tirant sur la poignée 45.
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Le moteur ¯42 peut être détaché facilement du chariot 3 et être disposé de manière à ce qu'on puisse le fixer, par exemple sur une paroi ou sur un pilier d'un mur, ou sur un poteau ou sur un châssis transportable ou mobile; ce dernier peut comporter également, entre autres, un dispositif sur lequel on peut placer la bobine de fil, par exemple de telle sorte que le tam-
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bour .38, que l'on peut décrocher facilement du chariot 35 sur lequel il tour- ne, puisse être suspendu dans un palier correspondant du châssis mobile et transportable. Du fait qu'il est possible de déconnecter le câble souple 42 d'avec l'arbre 41 de la vis sans fin, on peut utiliser encore le moteur avec son câble souple pour commander une machine de réserve ou un autre appareil quelconque.
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Dans le dispositif de la fig. 12, le moteur électrique servant à la commande, ainsi qu'une transmission qui lui est associée, sont fixés sur le socle 46 de la machine. L'arbre de commande est en prise au moyen de
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roues dentées !1l avec un pignon .2.Q calé sur un arbre entraîné 51, lequel tourillonne dans deux paliers fixés sur le socle -46 Sur l'extrémité de l'arbre .21 opposée au pignon 2Q est calée une came comportant un taquet
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de commande ilko Ce dernier coopère avec un commutateur 5.
servant à faire arriver et à couper le courant arrivant au moteur 7 de telle sorte que la came U., chaque fois qu'elle passe sur le commutateur .55,, agit sur la pièce de commande de ce commutateur en coupant l'arrivée du courant au moteur, de sorte que le moteur s'arrête et qu'en conséquence, l'arbre 51 s'arrête éga-
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lemeto Eventuellement, et indépendamment du commutateur, on peut actionner en même temps un frein servant à arrêter immédiatement l'arbre.51 ' l'aide du taquet 54 ou au moyen d'un autre organe dont le déplacement dépend de celui de l'arbre 51. Toutefois, comme l'ont montré les essais effectués jus- qu'ici, la coupure de l'arrivée du courant provoque l'arrêt immédiat de l'ar- bre 51, de sorte qu'un frein serait superflu.
La remise en route du moteur peut se faire en manoeuvrant à la main l'interrupteur 55, de manière quelconque connue.
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Sur l'arbre 21 sont calées deux cames .56, de telle sorte qu'elles tournent de façon positive avec l'arbre .2l0 Chacune des cames 6¯ porte sur le côté opposé à l'autre came une surface de commande ;Il qui coopère avec l'un
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des leviers de l'appareil tendeur de la même fagon, dans le cas de la fi g. 12, que dans l'exemple de réalisation précédente Ces leviers tendeurs pivotent de la même façon et comportent un dispositif de serrage analogue à celui dé-
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crit ci-dessus. Entre les cames .i2 tourne librement la roue ,8 de commande de la torsion, sur une douille fi9 entourant l'arbre 51, Cette roue 58 est cons- tamment en prise avec le pignon de torsion 60 qui est disposé et fonctionne de la même façon que ci-dessus.
La roue 58 de commande de la torsion comporte deux alésages axiaux, diamétralement opposés l'un à l'autre et dans chacun desquels est montée, de
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manière à pouvoir coulisser axialement, une pièce d'entraînement Li ou 62.
Chacune des pièces d'entraînement est soumise à l'action d'un ressort 63 tra- vaillant à la compression., Sur le socle ¯46 ou sur le carter du moteur .7. est fixée une pièce de commande 64 qui coopère avec un organe de commande mobile
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jS5,o L'organe de commande mobile 6 est monté, de manière à pouvoir coulisser axialement, dans un plateau de commande 66 placé entre la roue 58 et la pièce fixe 64 et qui est calé sur l'arbre .51 de manière à tourner avec lui. L'orgme de commande mobile 65 a la forme d'un taquet à gradins et il est monté dans une douille 67, en traversant le plateau 66; il est disposé de telle sorte que la pièce d'entraînement 61 se trouve dans sa trajectoire circulaire de ro- tation.
Comme on le voit sur la figol2, dans la position représentée de départ de la machine, la pièce d'entraînement 61 est disposée dans l'axe de l'organe
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de commande mobile 65. lequel s'applique contre la pièce fixe 6.. du côté op- posé à la pièce d'entraînement 61. Comme l'extrémité de l'organe de commande
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mobile 65. tournée vers la pièce d'entraînement 1 ferme, dans cette position, avec la surface de limitation tournée vers la roue 58, le plateau 66. la pièce
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d'entraînement 61 ne peut sortir de la roue de commande de la torsion 5.8.
Si maintenant, en manoeuvrant le commutateur 55 à la main, on met
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le moteur 7 sous tension et, par suite, l'arbre .51 en rotation dans la direc- tion de la flèche 68, le plateau 66 est entraîné positivement, tandis qu'au début la roue 58 de commande de la torsion reste d'abord immobile pendant que les cames 56 tournent et, par suite, actionnent l'appareil tendeur qui tend le fil monté dans les dispositifs de serrage et passant autour du paquet, du fait de la coopération des surfaces de commande 57 avec les leviers tendeurs.
Comme on le voit sur la fig. 12, l'opération de tension est terminée au bout d'un demi-tour car les surfaces de commande ;Il se sont déplacées au maximum et ont en conséquence écarté les leviers dans la plus grande mesure possible.
Pendant cette demi-rotation, les pièces d'entraînement 61 et 62 sont restées dans leurs positions à l'intérieur de la roue 56 du fait que la pièce d'en-
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traînement 6l est empêchée de sortir de la roue 58 d'abordé comme on l'a dit plus haut, par la partie fixe 64 qui est au voisinage de l'organe de commande mobile .65. et, ensuite, par la surface de limitation du plateau 66 portant
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contre la roue 58. De façon analogue, la pièce d'entraînement 62 est empêchée de sortir du fait qu'elle s'applique continuellement sur la surface de limi- tation en question.
Au cours de la rotation, l'organe de commande mobile 65
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s'écarte de la zone de la pièce d'entraînement 61 et, également hors de la zone de la pièce de commande fixe , de sorte que, l'organe de commande mo- bile 65 est désormais monté de manière à pouvoir se déplacer librement dans la douille 67.
Lorsque, au cours de la rotation après achèvement de la mise sous tension, l'organe de commande mobile 65 arrive dans la zone de la pièce d'entraînement 62 qui se trouve dans sa trajectoire de rotation, celle-ci
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est libérée de ce fait et, sous l'action du ressort à2,elle sort de la roue 58 et s'enfonce dans la douille 67 du plateau 66, l'organe de commande mobi-
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le venant porter par son épaulement 69 sur un bourrelet 1Q de la douille 67. de sorte que l'extrémité plus étroite de l'organe 65. qui se trouve dans le sens du déplacement en avant de l'épaulement 63.
sort du plateau 66o En continuant à tourner, la paroi intérieure de la douille 67 porte contre la pièce d'entraînement 62 qui pénètre dans la douille et entraîne, par suite, la roue de commande de la torsion, ce qui met en marche l'appareil torsadeur qui effectue la torsion des parties de fil disposées l'une au-dessus de 1' autre.
Après achèvement de la torsion, la partie rétrécie de l'organe de commande mobile .65., qui se trouve maintenant dans la trajectoire de la pièce de commande fixe 64, vient au contact de celle-ci et, en fait, la par- tie rétrécie vient porter sur une partie oblique de la pièce de commande fixe 64 qui se trouve sur sa trajectoire et qui a une forme et une disposition
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telles qu'elle repousse l'extrémité de l'organe 2i sortant du plateau 66, complètement à l'intérieur de la douille 67. Du fait de ce déplacement de
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l'organe 5, la pièce d'entraînement 6g est à nouveau complètement repoussée dans la roue 8 avec compression du ressort , de sorte que la roue de com- mande de la torsion est débrayée à nouveau et rendue inopérante.
La surface oblique en question de la pièce de commande fixe a une forme telle que ce débrayage s'effectue avant que l'appareil de coupe soit actionnée lequel coupe les parties de fil en excès de la même façon que cela a été décrit dans la forme de réalisation ci-dessus.
Après la manoeuvre de l'appareil de coupe, l'arbre 51 complète sa rotation, de sorte que le taquet 54 coupe le courant du moteur en manoeuvrant l'interrupteur 55. De ce fait, l'arbre 51 s'arrête avec les pièces qui lui sont associées. En vue de ramener la roue 58 de commande de la torsion
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dans sa position initiale exacte représentée sur la figo 12, on peut utiliser les dispositifs de réglage décrits à propos de l'exemple précédent, la roue 58 étant soumise, de façon analogue, à l'action d'un dispositif de rappel qui la ramène automatiquement lors d'un dépassement de la position de repos, ce dispositif de rappel comportant un dispositif de sécurité, par exemple un cliquet, qui maintient la roue en position de repos. On peut ainsi régler de façon exacte la position initiale pour une autre opération.
La forme de réalisation de la fig. 13 se distingue de celle de la
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figo 12 du fait que l'organe de commande mobile constitue directement la piè- ce d'entraînement de la roue de torsion. Cette dernière est encore désignée
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par z et elle comporte deux évidements n, diamétralement opposés l'un à l' autre, qui se trouvent encore sur la trajectoire de l'organe de commande mobile 72 servant de pièce d'entraînement et qui est monté de façon à pouvoir coulisser axialement dans un alésage du plateau 66;
l'organe de commande 72 est
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soumis à l'action d'un ressort 11 qui tend à le pousser dans la position extré- me représentée sur la figo 13, dans laquelle l'extrémité tÇ)urnée vers la ro# 58 se trouve complètement à l'intérieur du plateau 66, tandis que 1 autre ex- trémité fait saillie sur le plateau 66 d'une certaine quantité et se trouve par suite sur la trajectoire de la partie de commande fixe o Cette pièce de commande fixe 64 comporte encore une surface oblique qui se trouve sur la tra- jectoire de la pièce d'entraînement 11 et qui a une forme et une disposition telles que la pièce 2-2.
en venant porter sur la surface oblique, rentre dans l'évidement correspondant 21 de la roue 5.-8e en comprimant simultanément le ressort 110 L'9rgane de commande 16 fonctionnant comme pièce d'entraînement accouple alors la roue ¯58 --¯e de sorte que Celle -ci prend part à la rotation du plateau 660 Naturellement, cet accouplement s'effectue encore au même moment,
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après achèvement de la mise sous tension, comme cela a été décrit plus haut,
de même que le débrayage s'effectue à la fin de l'opération de torsion et ce- la de façon telle que la pièce fixe de dimension correspondante libère l'organe de commande 72 de telle sorte que le ressort 73 fasse sortir la piè- ce de commande 72 de l'évidement 71 de la roue.58 pour l'amener dans la posi- tion extrême représentée sur la fig. 13.
L'arrêt de l'arbre 51, à la fin de chacune des opérations, peut encore se faire d'une autre façon que par arrêt du moteur. Par exemple, un or- gane tel que le taquet 54,actionné par le déplacement de l'arbre 51 peut' servir d'organe de manoeuvre d'un dispositif de débrayage monté en un point quelconque de la commande. Par exemple, le pignon 50 peut être relié à l'arbre 51 au moyen d'un embrayage sur lequel agit l'organe en question, disposé du même côté,à la m3me extrémité de l'arbre 51, et pouvant par suite être monté directement sur l'organe de commande de l'embrayage.
REVENDICATIONS.
Machine commandée selon un sens de rotation constant et servant à tendre, torsader et couper un fil métallique enroulé autour d'un paquet, le fil étant d'abord tendu au moyen d'un appareil tendeur, après quoi les parties de fil venant se recouvrir sont tordues ensemble au moyen d'un appareil à tor- sader et, enfin, les parties de fil en excès sont coupées par un appareil à cisailler, ces opérations se faisant dans l'ordre voulu au moyen d'une comman- de automatique, la dite machine étant caractérisée par les points suivants, séparément ou en combinaisons :
1 - Elle comporte un arbre monté de façon à pouvoir tourner et à être actionné, sur lequel sont calées deux cames dont chacune coopère avec un dispositif de serrage du fil, par l'intermédiaire des leviers tendeurs pivo- tants de l'appareil tendeur et entre lesquelles se trouve la roue motrice de l'appareil de torsion, montée de manière à pouvoir tourner sur l'arbre en ques- tion en ayant même axe que lui, la dite roue pouvant être accouplée à la com- mande de la machine, celle-ci étant assurée de telle sorte qu'au début les cames ne font qu'écarter l'un de l'autre les leviers, de façon à tendre le fil, après quoi, au moyen d'une pièce d'entraînement coulissante, la commande est accouplée automatiquement à la roue de commande de la torsion de sorte que les parties de fil sont torsadées ensemble, après quoi, sous l'action d'une pièce de commande fixe,
la dite pièce d'entraînement débraye la roue de comman- de de la torsion avant que l'appareil à cisailler ne soit actionné, l'arbre à cames venant à l'arrêt après la coupe du fil.
2 - L'arbre pouvant être actionné coulisse suivant son axe, il porte la pièce d'entraînement pouvant se déplacer axialement et il coopère avec la pièce de commande fixe, le tout étant disposé de telle sorte que, d' abord sous l'effet du déplacement axial de l'arbre de l'une de ses positions extrêmes à l'autre, l'arbre est accouplé à la commande et qu'après torsion des parties de fil il recule sous l'action de la pièce de commande fixe tout d'abord seulement d'une distance suffisante pour débrayer la roue de commande de la torsion, tandis que son recul complet, provoquant son débrayage d'avec la commande, ne s'effectue qu'après la coupe du fil.
3 - L'arbre est creux et coulisse sur un bout d'arbre fixe.
4 - La pièce de commande fixe est munie d'une surface de commande et l'arbre d'une saillie axiale coopérant avec la dite surfacea
5 - L'arbre comporte une pièce radiale d'entraînement qui coopère avec une griffe, faisant saillie axialement, d'une roue d'entraînement dispo- sée sur le dit arbre
6 - La dite roue d'entraînement tourne sur le dit arbre.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.