FR2718093A1 - Chariot pour la manutention de palettes. - Google Patents

Abstract

Dans ce chariot (1), dérivé d' un transpalette manuel classique, le châssis (2) a une hauteur fixe par rapport au sol, la tige (26) du vérin (24) qui sert habituellement de vérin de levage, est immobilisée axialement, et le chariot comporte un tablier élévateur (49) qui est équipé d'une fourche de préhension et de levage (51) pour des palettes et qui est monté mobile en direction verticale par rapport au châssis (2) du chariot. Un vérin de levage (57) ayant une course de quelques dizaines de centimètres est monté entre le châssis (2) et le tablier élévateur (49) et peut être alimenté en fluide hydraulique à partir de la pompe (16) du transpalette par une conduite (62) raccordée à un orifice qui est formé dans la tige (26) du vérin (24) et qui communique avec la chambre de pression de ce vérin par un canal longitudinal dans ladite tige.

Description

La presente invention concerne un chariot pour la manutention de palettes,

du type comprenant un châssis compose d'un tablier vertical et de deux bras qui s'étendent horizontalement près du sol à partir du bas du tablier vers l'arrière du chariot, lequel repose sur le sol par deux roulettes arrières montées respectivement aux extrémités libres des bras et par au moins une roulette avant directrice située en avant du tablier dans le plan médian longitudinal du chariot, une plaque d'appui releiée au châssis & l'avant du tablier, un ensemble formant à la fois pompe, vérin hydraulique et support de roue pour la roue avant directrice, ledit ensemble étant monté pivotant dans la plaque d'appui autour d'un axe vertical confondu avec l'axe de la tige du vérin hydraulique, laquelle tige prend appui, par dessous, sur une tête d'appui fixée rigidement à la partie supérieure du tablier, et un timon muni d'une poignée de manoeuvre à son extrémité supérieure et articulé à son extrémité inférieure sur ledit ensemble autour d'un axe horizontal, le timon servant à la fois à orienter la roue avant directrice et à actionner la pompe. Les chariots de ce type sont bien connus et sont couramment appelés "transpalette à commande manuelle" ou, en abrégé, "transpalette manuel". Lorsque la tige du vérin hydraulique est rentree, les bras horizontaux ont une faible hauteur par rapport au sol pour pouvoir être engages sous une palette à saisir posée sur le sol et, lorsque le vérin hydraulique est actionné pour faire sortir sa tige, le châssis et les bras sont soulevés pour saisir la palette, la décoller du sol et permettre

son transport vers un autre lieu a l'aide du chariot.

Toutefois, dans les transpalettes manuels connus, la course du vérin hydraulique est relativement faible, de l'ordre de quelques centimètres à une dizaine de centimètres. Il en résulte que les palettes sont ellesmêmes très peu soulevées au-dessus du sol. En outre, les transpalettes manuels connus ne permettent en général pas de saisir une palette lorsqu'elle est posée sur une autre palette ou sur une surface de support, même si celle-ci est à un faible niveau au dessus du sol, ou de déposer la palette qu'il transporte sur une palette ou

sur une autre surface de support.

On connait par ailleurs des appareils appelés "gerbeur", qui permettent de soulever des palettes Jusqu'à des hauteurs de plusieurs mètres. Il s'agit là d'appareils plus gros, plus lourds, plus sophistiqués et plus coûteux que les transpalettes. En outre, leur capacité de levage en hauteur est démesurée par rapport à celle qui est nécessaire pour pouvoir saisir ou déposer une palette sur une autre palette ou sur un chariot roulant du genre "servante", c'est-aà-dire dans des cas ou les palettes doivent pouvoir être soulevées

de quelques dizaines de centimètres par rapport au sol.

La présente invention a donc essentiellement pour but -5 de fournir un chariot pour la manutention de palettes, du genre transpalette manuel, mais qui ait egalement la possibilité de saisir des palettes au sol et de les soulever jusqu'a une hauteur de quelques dizaines de centimètres, ou inversement de les saisir à cette hauteur et de les déposer au sol, tout en étant plus

léger, plus simple et moins coûteux qu'un gerbeur.

A cet effet, le chariot selon la présente invention est caractérisé en ce que le châssis a une hauteur fixe par rapport au sol, en ce que la plaque d'appui est reliée au châssis de telle sorte que la distance verticale entre la plaque d'appui et la tête d'appui soit fixe, en ce que la tige du vérin hydraulique est montée sans possibilité de mouvement axial dans le corps dudit vérin hydraulique et comporte dans sa partie extérieure audit corps un orifice qui communique avec la5 chambre de pression du vérin hydraulique par un canal formé longitudinalement dans la tige dudit vérin, et en ce que le chariot comporte en outre un tablier élévateur qui est mobile verticalement par rapport au châssis et qui est équipé d'une fourche de préhension et de levage pour des palettes, des moyens de guidage fixés rigidement au châssis pour guider le tablier élévateur dans ses mouvements verticaux par rapport au chassis, et un vérin hydraulique de levage, qui a une longueur plus grande que celle du verin hydraulique mentionné en15 premier et qui est monté entre une partie inférieure du châssis et une partie supérieure du tablier de levage, la chambre de pression du vérin de levage étant reliée par une conduite de fluide hydraulique audit orifice de la tige du premier vérin.20 Le chariot de la présente invention peut être fabriqué à un coot relativement faible. En effet, on peut utiliser pour sa construction un grand nombre d'éléments standards entrant dans la fabrication des transpalettes manuels, comme par exemple le châssis,25 l'ensemble susmentionné formant à la fois pompe, vérin hydraulique et support de roue pour la roue avant directrice, et le timon de manoeuvre. Les quelques modifications a apporter par rapport à un transpalette manuel classique résident essentiellement dans la30 maniere dont la plaque d'appui est reliée au châssis, et a la manière dont la tige du premier vérin hydraulique est montée fixe en translation dans le corps du premier vérin, la tige étant en outre percée d'un canal à travers lequel le second vérin ou vérin de levage peut35 être alimenté en fluide hydraulique. Le chariot de la présente invention utilise également d'autres éléments <tablier de levage, fourche de préhension et de levage, vérin de levage et moyens de guidage du tablier de levage) qui peuvent être semblables & ceux d'un gerbeur, mais ont des dimensions nettement plus faibles que celles des éléments correspondants d'un gerbeur, dans la mesure o il n'est pas demandé au chariot de la présente invention de soulever les palettes & des hauteurs aussi grandes qu'avec un gerbeur. D'autres caractéristiques et avantages de la présente

invention ressortiront au cours de la description qui va suivre d'une forme préférée d'exécution de la présente

invention donnée & titre d'exemple en faisant référence aux dessins annexés sur lesquels: les figures 1 et 2 sont des vues en perspective,

respectivement de l'avant et de l'arrière, d'un chariot conforme à la présente invention. -

La figure 3 est une vue en partie en élévation latérale et en partie en coupe verticale du charlot des figures 1 et 2.-:-20 Les figures 4 et 5 sont des vues en perspective, respectivement de l'avant et de l'arrière, montrant une variante de réalisation du chariot. La figure 6 est une vue en coupe verticale d'un ensemble classique formant à la fois support de roue avant, pompe et vérin hydraulique pour charlot transpalette, ledit ensemble étant toutefois modifié pour être utilisable dans le chariot de la présente i invention. Les figures ? et 8 sont des vues en coupe verticale

montrant deux variantes de réalisation de l'ensemble de la figure 6.

Comme montré dans les figures 1 et 2, le chariot 1 i comprend un chassis 2 composé essentiellement d'un tablier vertical 3 et de deux bras horizontaux 4, qui35 s'étendent vers l'arrière du chariot & partir du bas du tablier 3.: A l'arrière, le chassis 2 repose sur le sol par l'intermédiaire de deux roulettes 5, tandis que, & l'avant, le châssis 2 repose sur le sol par 1'lntermédiaire d'au moins une roue avant directrice, par exemple deux roues jumelées 6, qui sont situées dans le plan médian longitudinal du chariot et dont: l'orientation peut être déterminée par l'utilisateur du chariot au moyen d'un timon ? muni d'une poisasé de manoeuvre 8 à son extrémité supérieure. A son extreémité inférieure, le timon 7 est pourvu d'une chape d'articulation 9, qui est articulée par un am I1l sur un: ensemble 12 formant & la fois poupe, vérin hydraulique et support de roue pour les roues avant 6. L'enseable 12 est monté pivotant dans une plaque d'appui 13 autour g, d'un axe vertical pour permettre l'orientation des roues 6 dans la direction d'avance désirée pour le chariot 1 en faisant pivoter l'ensemble 12 autour dudit azm

vertical à l'aide du timon 7.

Comme montré dans la figure 6, l'ensemble 12 comporte, de façon connue, un corps 14 en fonte moulée, qui forme avec un cylindre 15, rapporté sur le corps 14, le corps d'une pompe hydraulique 16. Le corps 14 comporte deux flasques espacés 14a sur lesquels la chape 9 du timon 7 s'articule par l'axe 11. La chape 9 porte un galet 17 qui, lorsque l'utilisateur fait pivoter le timon 7 autour de l'axe 11, agit vers le bas sur le piston plongeur 18 de la pompe 16 contre la force du

ressort 19 qui repousse le piston 18 vers le haut.

Le corps 14 de l'ensemble 12 comporte un appendice cylindrique vertical 14b, qui est monté à rotation, sans possibilité de mouvement axial, dans la plaque d'appui 13 par l'intermédiaire d'un roulemnt à bille 21. A son extrémité inférieure, l'appendice 14b comporte un logement 22 dans lequel est monté l'axe ou essieu 23 des roues avant 6. Ainsi, les roues avant 6 peuvent être orientées dans la direction désirée en se servant de l'appendice 14b comnme pivot et en faisant pivoter le corps 14 autour de l'axe de l'appendice 14b & l'aide du

ti mon 7.

L'appendice 14b est creux et forme le corps d'un vérin hydraulique 24. A son extrémité supérieure, le corps du vérin hydraulique 24 est fermé par un bouchon annulaire 25, à travers lequel passe la tige 26 du vérin 24. A son extrémité supérieure, le tablier 3 comporte une tète d'appui 27 (figures 1, 3 et 6), qui fait saillie vers 1' avant et repose par 1' interumdiaire d'une butée à bille 28 sur l'extrémité supérieure de la tige 26 du

vérin 24.

Un réservoir 29, réalisé par exemple sous la f arme d'une vessie en caoutchouc et contenant un fluide hydraulique, est logé dans un carter 31 fixé de manière détachable au corps 14. Le réservoir 29 est raccordé à: un orifice 32 qui est formé dans le corps 14 et qui; communique avec la chambre 33 de la poupe 16 & travers: une gorge annulaire 34 formée dans la surface périphérique du bouchon annulaire 25, et à travers des canaux 35, 36 et 37 formés dans le corps 14. La chambre 38 du vérin 24 peut être mise en communication avec la chambre 33 de la pompe 16 à travers un canal 39 également formé dans le corps 14 et à travers les canaux 36 et 37 précités. Une cartouche hydraulique 41, logée dans le canal 36 contient les clapets d'aspiration et de refoulement de la pompe 16. La cartouche 41 est reliée par une chaîne 42 et par un câble 43 à une poignée de 30 commande 44 (figures 1 et 2) située à l'extrémité supérieure du timon 7. L'utilisateur du chariot peut

commander le fonctionnement de la pompe 16 et du vérin 24 a l'aide de la poignée de commande 44. Celle-cl a -e- trois positions auxquelles correspoondent trois états de -

fonctionnement de la cartouche hydraulique 41. Dans une première position ou position neutre, l'actionnement de la pompe 16 n'a aucun effet sur le vérin 24 (si l'on

fait osciller le timon 7 autour de l'axe 11, le fluide -

hydraulique est aspiré dans la chambre 33 & partir du réservoir 29 lors de la course montante du piston 18, et il est refoulé dans le réservoir 29 lors de la course: descendante du piston 18). Dans une seconde position de la poignée 44, la chambre 38 du vérin 24 est mise en communication avec le réservoir 29 à travers un étranglement (non montré) dans la cartouche 41 (si la chambre 38 était remplie de fluide sous pression, le fluide sous pression retourne alors lentement dans le i réservoir 29). Dans une troisième position de la poisgnée 44, en faisant osciller le timon 7 autour de l'axe 11, la pompe 16 peut être utilisée pour aspirer du fluide 't? hydraulique dans le réservoir 29 et le refouler sou8 s -'

pression dans la chambre 38 du vérin 24. -

Le chariot 1 qui a été décrit jusqu'ici est tout-&-

fait semblable à un transpalette classique et ses t éléments constitutifs sont les umes que ceux d'un transpalette classique. Le chariot 1 de la présente

invention se distingue d'un transpalette classique par -

les caractéristiques suivantes. La distance verticale entre la plaque d'appui 13 et la tête d'appui 27 du tablier 3 est maintenue fixe, de telle sorte que le chassis 2 garde une hauteur fixe par rapport au sol. A cet effet, la plaque d'appui 13 est attachée entre deux flasques 45 (figures 1 à 3) qui sont fixés rigidement à une traverse inférieure 46 du tablier 3, aux extrémités de laquelle sont fixés les bras horizontaux 4 du châssis 2. En outre, la tige 26 du vérin 24 est montée sans possibilité de mouvement axial dans le bouchon annulaire du corps du vérin 24. Par exemple, une bague d'arrêt 47 est fixée à l'extrémité interne de la tige 26 et une butée axiale a billes 48 est interposée entre la bague d'arrêt 47 et la face interne du bouchon d'extrémité 25. De cette manière, lorsque la chambre 38 du vérin 24 est alimentée en fluide sous pression, la tige 26 ne peut pas sortir du corps du vérin 24 et la but" axiale 48 permet une rotation aisée du bouchon 25 et aussi de l'ensemble 12 autour de la tige 26 qui reste fixe.-5 Le chariot 1 comporte en outre un tablier élévateur 49, qui est mobile verticalement par rapport au chussis 2 et qui est équipé d'une fourche de préhension et de - levage 51 pour des palettes. Le chAssis 2 comporte de moyens de guidage pour guider le tablier élévateur 4910 dans ses mouvements verticaux. Par exemple, les moyens de guidage peuvent être constitués par deux profiles 52 à section en U, qui sont fixés rigidement & la traverse inférieure 46 près de ses extrémités et se dressent

verticalement vers le haut à partir de celle-cl. Damns ce 15 cas, le tablier élévateur 49 peut comporter, de chaque côté, des galets 53 pouvant rouler dans les profilés 52.

Le tablier élévateur 49 et sa fourche 51 peuvent avoir une structure semblable à celle du tablier! élévateur et de la fourche d'un gerbeur classique. En outre, comme cela est connu dans un gerbeur, les deux bras 5la et 51b de la fourche 51 peuvent être montés sur le tablier élévateur 49 de façon & être réglables en écartement. A cet effet, chacun des deux bras 5la et 51b V peut avoir, de façon connue, une forme en L et 1'extrémité supérieure de la branche verticale de chaque bras 51a ou 51b est accrochée ou montée coulissante sur un élément profilé 54, telle qu'une barre à section ronde ou un fer plat, qui comporte un système de crans ou de repères permettant d'indexer la position des bras 30 51a et 51b en fonction des dimensions des palettes à manutentionner (palette standard, 1/2 palette, 1/4 palette,...). Les profilés de guidage 52 n'ont pas besoin d'avoir à% une longueur (hauteur) aussi grande que pour un gerbeur, étant donne que dans l'application du chariot qui est envisagée ici, les palettes ont seulement besoin d'ltre u g ssnbsul:;: sat.rd *x;:]:. sa C[ Tnddv.p enbeld VT ranb !$vj: np Tos nu!Jodd[u. "d ex-j ae.sai 'ne: nu: eT:uop ge Z slsevqo un e uo$.ueuT a. uaseid UT ap I %OTJeqo aT <'sp:ogid 'nb uod;aTos.op el ap.z ossa.i uTeo anb suTyv g9 eans2j; uI suwp aq:uc amoo gz ae2T E ,. UUUp ?ua. UStuypnT2uolT q..o; S9 TuT o un atd Z uFxia np :.:. QS uoTssmJd ap aSqUvqo uvi oaA enbrTuruoo 9 g aoT;ojj, - u* IA np sdcoo np.naTaq. xe, v aAno. a Tnb gz a52T 1 ap SP na;zdns aSrZaUd vi suep eamo; tg aeo;- o r. un V ú9 p.oou. un aud aapJoo>oJ zg Tq enpuoo aun SxaAgJ: : uoT seicd snos anbTTrnuipq ap'rn.: ua auaoeTT( a-4:p : nmd Lg eonbTlnv-pLq uTJ np uo':ssaid ap eazqmm;qo)' JS --'.:,-1 TS aqono; uI,nod aea'ssp STlP S:eoT%.zSA ne.noo VT ap UOTouoj Ue aTSTO[qo %u ^ ^ LSg u;.z np.nenruoi TI 'IZ aTqUasuaT ap tg r enb nbintln q uTJqa np allrao anb apus zB snld uaaqTSuas -nanengoi en u iS enbTlnvzp.Lq uq a a -gr Tnddv,p OZ :-,t. tnb!ld i eop a.enaeJF3ruI aoot vi suvp;amog lunaRO T 2..% un sup wpuea qsS jr$ U-taA np Ig uoWs;d ap e2-T UT Sp snlJnT.IIdte q:THJe.XST enb sTPpuU%. 'g4 as.ISvx:% UT ep l ' rTnelin n1 eqx;; ise fS uTJag np 6S sdzoo np aJn;igJvuT î - ri2j Ii suUp ga 'uc ammoO *6t, Jna:4Ae1 Sl i J.TTqlvq np.znreInqdrs eT%.Zud vi V %uaeapT2T-z aeXT; gg

Inddu*p awz Sin 4a C j9alqu: np gt ainaJlTaju-T eszAUJi.

uT aSj.u %uUSTOT-ZSa euom %sa Tnb '/.S anbrln-iUpiq u.lJT puoo.s un,p uScm nv s9nqloa;;a eaSJ %ua.nad i 6Uane:a V a.nTlqw% n:e sp auasap1 a ae.,a aq 01 -,g Tnddv,p aq. U %a 91 e.'lnaTqp- JuT esaJAU.T vi a-%ua %uawanbTjqo puae,.s:nb C 'ú OllqU% np gg uoglonJzsuoo ep;tIoedsai 1uan)la un lu ia eS i$de %uiucm un V aunovqo 'saapnos al9rdmxa - ud 'saq; iuos 'olwp!ozCd[4 l. uauaATFat-xo-Xdd amu.o; g :o p '9 sel94. xnap 'Zg s:$uvuoe xnap sa.red ea z sTssyto l Zud goi elqueuel Ja;;;pI ap Ul;e 'suçmuuvg a (*O çt U axm nD je mO 9 C *rimTuTm nu) saSJiTiueo Sap S$rtZ-Tp senblanb ap J:nal.nq aun 'V saAfalnos

1 6.......

2718093 ?

la traverse inférieure 46 du châssis 2 et que la tige 26 du vérin 24 est emptchée de se déplacer axialement. A cet égard, on notera que la tipge 26 est ibilisé axialement dans les deux sens, d'une part par la but" axiale à bille 48 et d'autre part par un épaulement annulaire qui est formi dans la partie inférieure de la:, tige 26 et qui coopère avec une bague d'arrêt 66 (figure 6). Ainsi, dans le chariot de la présente invention, le: vérin 24 n'est pas utilisé come un vérin de levge, mais seulement come un Joint hydraulique tournant, qui permet l'alimentation du vérin de levase 57 an fluide

hydraulique à partir de la pompe 16 de l'ensemble 12.

Dans le mode de réalisation qui a été décrit ci-

dessus, les bras horizontaux 4 du chàsis 2 sont fixéek rigidement aux extrémités de la traverse inférieure 46 du tablier 3. Afin que l'écartement des bras 4 puissent être adaptés à des palettes de dimensi ons différents, les bras 4 peuvent etre reliés au chss-is 2 de façon à etre réglables en écartement. Ceci peut être obtenu avec le mode de réalisation représenté dans les figures 4 et 5. Dans ce mode de réalisation, les éléments qui sont

identiques ou qui Jouent le même r8le que ceux du mode -

de réalisation des figures 1 à 3 sont désignés par les mmes numéros de reférence et ne seront pas décrits à nouveau en détail. Dans le mode de réalisation des figures 4 et 5, chacun des deux bras 4 comporte, à son extrémité avant, un appendice latéral 4a, de section carrée, qui est embo îté dans une extrémité correspondante de la traverse 46 constituée par un profilé creux à section carrée, dont les dimensions intérieures correspondent aux dimenslons extérieures de 1'appendice latéral 4a. Ce dernier peut coulisser dans la traverse 46 et être immobilisé dans celle-ci dans l' une quelconque parmi plusieurs posltlons corrspondnt & des ecartements desires des bras 4, écartements correspondants eux-mimes à différentes dimensions de " palettes. Chacun des deux appendices 4a comporte une série de trous convenablemesnt espacés et peut &tre immobilisé par rapport à la traverse 46 au myen d'un boulon ou d'une broche 67 qui passe dans un trou de la traverse 46 et est engagé dans un trou sélectionn de

l'appendice 4a.

La figure 7 montre une variante de réalisation de -

l'ensemble 12, dans laquelle les éléments qui sont t identiques ou qui jouent le m rôle que ceu du mode de réalisation de la figure 6 sont désignés par lm mimes numéros de référence et ne seront pas décrits à nouveau en détail. Dans le mode de réalisation de la figure 7, la cuve du réservoir 29 de fluide hydraulique est réalisée d'une seule pice avec le corps 14 de l'ensemble 12. La cuve du réservoir 29 entour concentriquement la tige 26 du vérin 24 au-deusu du bouchon 25 qui forme une partie du fond du réservoir 29. -' A sa partie supérieure, le réservoir 29 est ferai par un bouchon annulaire 68 qui comporte un trou central 69 à travers lequel passe la tige 26, et un trou latéral 71 permettant le remplissage du réservoir 29 avec du fluide hydraulique. Le trou 71 peut &tre obturé par un bouchon 72. La figure 8 montre une autre variante de réalisation de l'ensemble 12, dans laquelle les éléments qui sont identiques ou qui Jouent le mrae rôle que ceux du od de réalisation de la figure 6 sont désignés par les mimes numéros de référence et ne seront pas décrits à nouveau en détail. Le mode de réalisation de la figure 8 diffère de celui de la figure 6 en ce que la tige 26 du vérin 24 est formée d'une seule pièce avec le bouchon 25 (on notera cependant que, dans ce mode de réalisation, la tige 26 et le bouchon 25 pourraient être constituée par deux pièces distinctes fixées rigldmen&t 1 une l'autre par exemple par vissage). Etant donné que da ns ce mode de réalisation la tige 26 tourne avec la corps UOTIueauT l op Sa.p.o np zT-1.ios 4uut4nu.nod suus JT * ap o,1r.zud ssa:zoddv-umerT- o; a;uahned GS g or:. UOTTpa sasni.zqmou ap enb q.a 'lq pVq.wTl l. uesmenu :I.IoFlU:PUT u.ms.z nd.tdadexa.p aT. Tq. saquuop 9.4i uo srnSp-To seT.zoPp ql.:uo Tnb UOTqçl.uATF e;uesaJd VI p uoT.no9xap u. zo; Balnb Tos ap ua II 9 ai 4Tnpuoo Oz T l.eL SJ T.Tunu'uu octqo u '19 aOTTTo.1 ';9 T uo

l ftZ UTJ9A np QS O.IqUUq u '6 ' 9ú ' Lú xnuuo sa-

U'; A (Cg V I u..nt*;>,:) S wal op uT.zA aT se..aua.uTp 9' mod T.zud ognoTex uoTsmez shnoS oTTnq,.I V %uv:uaemed u l. l 2t' *n q ut u p. zsu.e nol.:.ned g9 z2T. uT '. Z:. uoo :- *.l. ep 9P ap [9'U.ep eSl.t.o e eqoqi:e ' t, ango2q v Wp l:qdlT.ld U mvP o; U.O uS.ioq nos. un suup e2u.ue STT gW e eun m4ussqad rnb 4a 8Z '.z Tndd.p UT Ma" '9 m: 5 TA Ise Tnb '9, oTA. uLl o,-, aJ.TUTInuum h;.Xlquuqo UT op e..:nm,poa..Zudop L, enouq uI je 0I i, g| 'STI. UT e5 dXue 91 1OUU-9. KI ql9aUnse sonb.zol. siuTo * xna 19 sO$IT.ZOx P uOT9.I VI suvp 1ti, anrvcq uI suvp *tUld uo:.e 9OZ dT VI aup Te.a.ud ue o5lio: jua(: g2, e1.e ITUXrmuu 5u Sufn 'Oz OST. UI op. z.,l ea.notIue $n! t- sn2q un,p qpnezv:U Xu.z-UT eolr:;T.zO un suup T* S A S9 P.O>OUJ el '1,4u=mi; od sn4la L:ku u.no;

",E.:'

s- nbTpw.xq X ulor unp aS.zTTpa.4uTI.1 d ge2T VI ep $^2>S t9 50t3.T v.Wp.zoouj 2.90 Z9 e2Trnpuoo Ul 'TZ setilcq V lusTrno. np mX sIp.nolnm ZT aequssue,T ap VT ú:60iz qu. q.m w) unbTlnm.zpLq uT.Xia np (gz) ai*T1 uw anb eo ue '.xr;:; os <(Z) Tndduvp a*l uv la (CI) lnddvp *nblid T1 0.xue eOua: So:ulsTp vwanb.zosasl;l up urnvqo nw $a.si:. wa (ci) Tnddu.p anbeld wr anb Mo vu '[om nw:..oddw..zd Xm j. nlSnwuq Sen e (Z) s8999o *1 enb noe uS 9 0.I ' (91)aduod l.zeuuo; lou V l (9) moT$1oe-Tp:uwAU arno. u eXuuaISo v sTot; v1 % 1m.Euarm u l. al 'C(IT) IvU1ozT.ion ex unp Jno:lnu (ZI) uruS - T PI.1 ans. n. eIj-uT e plUmg.xa uos e lnoT,..ze e enl:JSdnr V11lwi.z:xe vos (8) ae. znaouv ap aiu2lod munp Tum (j>) uoUTl un la '<(c).sTlqw; np a.xnoT. xzdns eTqxud wu q:I.umapT. aUxT; (,Z) Tnddu.,pe:.4 n znso 'snommp ua.Md 'lnddc pua.d (9z) Tq allarenbevI >Z enb$lnu.p:q uTiipa np (gz) a.2; VT ap axw, I OS& npUOXUO lU0Tzma OeX un,p.zno:ne (ET); nddu,p *nbultd u umup;uuoalad amoe[;uw;l alqueme iTpel ' (g) mo$.zi.0, T:Pp wau enoz.v znod (ZZ t>) inoi ep.zoddclns m <() *nbTynu.zpLq UT.. g 'cgr) admod soT; lt V lu.zso; cZI) *jq!a un l'.m Iqu; np liumA, I V sTsVo0 nw 0I ItISJ (C) Tfnddu,p ubvtd sun ';o.Xwo np ulpnrtTUoî UWTmPW uud *I uU P zllqel np;uuw& ua agnlTs (9) mOTJ. 40.zp luuau no.x sun suToE nve.wd a sum.q sep aiql mP:^qkx:Fx* xnm lwm[almla.x smluav () a.a..x m...rTno. xn" pI1d los a*.ans asodasi anbr '(<1) 1oT.jwqo np ".j.x.,X mImA.xTTql np smq np.T;.xud c 1los np sazd UmleTulUz.zq l4Ul.,s Tnb (<) sw.q xn-p ap la (C) 1uo1:,ZSA J"lq. unqen u,p eodoo (z) sTssVqo un luuaJdmoo S'm4SlTUdop UOflUStnum uV. anod:oT.zvq - 1

ú6VI8ITAH

9;?. q mnt[qo OP elcrmà (61t) zneaf Qia eTTlqU. al enb eao C * We. TO-S-TTO eP J:il.,xp T?(:d V.nu, er szeA.uemteTT:.eA 4W.1 -e.pe 'tp4flvJatze ses ap siad'(gt)> esjeAU1w: i:P: - TPuT P r.:ep T. z e sxtP;uos.nb'fl ue uOT.oes V 1TTWld XnSp.ZU d Sgn..Tf.suoo.uos (6t).nel. u,&aq JzsOTIqU01.xnod[ CZ) aOuPTrn ap sueúow set enb eo oc U.S- ' lTJqOUJUo 'Z uOTliuOT1UAea uV uTOTs q.o1Txvq -* !!:. ' T *nddc "S 1",Jd (&G) 2aueT Op uT.z& np (6S) sdzoo al eTTllenbt o ep nellTT el Jns 4 <(Z) 5T5to np (t) xnevuozTaoq r; "IiqsSl I.USenoJ. as aetTenbuE apa xne <gti S sjea.ZA. eun l i.%umepT,.z sixTj:;:uos Tnb C(S) sanbsvu; i ML P eTzlue 09[ou;F Ilse; (Ct) Tndd.,p enbuld vT enb ao : a 9T,-1Ol.z ruO 'T uoT-oTpuaAe,. ut uoTles.O.FXZq - z (t,) UT,.zea txeaad Mnp (OZ) ST1. T o*p t o'TJT.,zo.:;pnu (Zq) enbT:nu'.ZpKq o S iz pl.. nT op elTnpuOo mun zsd eqTT-. ueq. (Z<g) e2gAeT Op.UT.1Anp UO:"jd ope.quqo u1 ' (et) JnomAPTQ JS;xqvu4 nUp9gg) ainrzdns eTud aun ae (Z) s o np (c1) aS.n*T.zuiT elTjUd oun ae:ue *;uou 3e T-nb ?. S. JS.Tl:d ue PuuOTF (kZ) UJ.ZA np aleTo enb epuzS 5 snld.nnrkot euin Tn:b ' (Z,)> eSUvAsal ap enb:Tnu.vzp:q UJu.. lq f n. 'S qo nt a Jo:cddUx.xid xnvoTll.JeA suaweAnom : s/e: m- ip (6Ct).nElua.l - JeTlqutelT.zepTi, nod CZ) UTMSmO nv 11-.UmepT2.t sgX:T (cg) eaprTn Sp sueSm " M p 's4i1Td sep.nod (1Tg)> eaUAeT ep a UoTesueiq.zd 01 - p Mqoino; n,p dlsnb9 %se lpnb.e (Z) s!:svqo nu : Iodduid lTo., A elTqoa is Tnb (e t)b<61>.ne;.a J-STTequ- un ox.no us *siodwoo (<>;o06. zqo el enb ao us 1%. 'SUT.19 1.Tpnp (0e) STq. [l suvp u mUelwuTpnT. Suol

V zo;M (99r>UVO un Xud (M e enbTInujpú.

UTitJA np (OSfi:) Uo;.zd op ae.Zquqo ut oSaa enbturummoo nb (tg) S;; .zo un msdo I. pnf ajneTJalxa ep.jud lS imvp ell.D;rio a *nb;rnu. psq u-Faip 4;pnp (gZ qtl) udjo ey1 vup rupoe 4ueano ap 9, iTltqTesodsuws

ú608TZ

Usso. *m.u.z:il. T q.-xzodduc..aud (,u) soTpuaddul sat s.:ua;.nod n&raq#d:um cZ9) a* 2:oorTq ap sueom sep enb s 0o lu l.* 'sTs9qlo np xn'.utoz$.zoq sv.q sap lumt.zxVop ua ft8- mlll e* j.ze-lmumd.nod To- eleo suvp.zessTTlnoo lned i. (9t) emmne u.xa:uj. uw op i:TulE.xa aun suvp 91oqma m Inbm9reo UOTtou ep (i)> lu.zqtvl eoTpuadduun *; lam *11.z-x uou V *-1xodutoo (t) xnvluozroq svaq 9sp o unouqo *nb *o us,.zOJ.O uo;oe9s xnelo 9.. t;ozd un.zd "*nTqUo0,.4e (9t) *SSJav.zl vl enb eo ue asT. ouJuD lz '.S * zSuoT.mopPua-JSet uoles.oT.zq[D- 8 ?. 1';uME. mo ua salqulSip.;uos (Z) s-ssVqo np (t) xnfluv1ozI.o1 u.zq sl eanb ao uae gsT.zou.ivo '9 V S a,,p. - Uo:1. Tpl.ea J sep enbuootenb aun. uoltes loT;mMD -'

: Un m v V -1i5 t V uabu; oP (6t> JnflS,;uh bn l.pqu S-

z-i 99s um S 4 uo (IS) slbuêe Sp -a uoTsueq7zd Sp aqoSno;j u; VI 'p EMTs n i) suTq msel enb o uS q'sTJ:-ouvjvo g V r O ,. sO$l.OTlp. am. osp enbuoolenb eun.l uoles lo'l.rmqD -'g (<CL) quuumMo4 enblTnu. jpúls -uTor unp SJTuTpaSuT.l ud < (t uzÉ.zu â.z.lmd np (cg) e2S. lt ap (tg) ao;;it-zo.1 ç aSpaxuJ W.- (z9) unb;tnu.p,:q apTnlu: ap e.. npuoo alep.l sl };. ub no Ue '( '(tZ) u1.a np 9d.oo np (SZ) 9.,,p uoo uqonoq lun y 1'pu22'moo ajo; u.. (te) enblnv.rpq u=ia !.'Msd tp <(g) Sl;T. wt onb eo ue 9ST.X.ou.xw' 'ú v T !,j îpuê%..z m, p enbuoolenb eun.T uoles:.oT.XqD -'V (C9) "pK.X:S.P uOMonIOq:}pnp Su.zequ; sVo; ut la O0 CJ.t>:L, D,p *nU t 5T ue,0qod.lUT. we (et>) se-TIq v aleFxW *"nq *un.nb *o us Xa <9g) S2TI.:;fpuT ap euXuT,. z;r v w I T. ( o z.,u, ano ( o enS2qsunnb o lu '(<) UT-a np adjoo np (SgZ) 9m9xe.p uoqonoq Un sIwp 14u...Ou;Xuo euo %.se (ct) enbçlnu- zpLq uT., s z.iwezd np 9o) *2;i wr.nb oo ue s;%ou.zuo ' q mmri.uBOFPga u'e p mm unboltenb aun.1 uoles;o q: -_t i (M5 eBvpTng -op a USl u;jozjd seI meup je-noz;umanod (<S_) 1.s-Tu sep -s s ST ?.S. (46) dans une position sélectiomnée parmi plusieurs Ai positions correspondant & différents écartesats des bras horizontaux (4) du châsis (2).: e.) .... -j