FR2519155A1 - Circuit de commande d'exposition pour un flash electronique automatique - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN CIRCUIT DE COMMANDE D'EXPOSITION ASSOCIE A UN FLASH ELECTRONIQUE TTL. LE CIRCUIT DE COMMANDE D'EXPOSITION COMPREND UN CIRCUIT DE COMMANDE DE DIAPHRAGME 40. LORSQUE LE FLASH ELECTRONIQUE EST MONTE SUR UN APPAREIL PHOTOGRAPHIQUE A PHOTOMETRIE DIRECTE TTL QUI EST CAPABLE D'EFFECTUER UNE PHOTOMETRIE DE LA LUMIERE REFLECHIE PAR UNE SURFACE DU FILM DE MANIERE A COMMANDER UNE PRISE DE VUE A L'AIDE DU FLASH ELECTRONIQUE, LE CIRCUIT DE COMMANDE DE DIAPHRAGME ASSURE L'EMISSION DE LUMIERE PAR LE FLASH D'UNE MANIERE SURE EN ETABLISSANT AUTOMATIQUEMENT UNE OUVERTURE DE DIAPHRAGME COMPRISE ENTRE UNE VALEUR DONNEE ET UNE VALEUR MINIMALE, CE CIRCUIT DE COMMANDE COMPRENANT UN CIRCUIT DE CORRECTION 41, 42, 43, UN AMPLIFICATEUR NON-INVERSEUR 51, 52, 53, UN CONDENSATEUR 47, DEUX COMMUTATEURS ANALOGIQUES 45, 54, UNE SOURCE DE COURANT CONSTANT 64, UN CIRCUIT DE SYMETRIE DE COURANT 62, 63 ET UNE RESISTANCE VARIABLE 57.

Description

La présente invention concerne un circuit de commande d'exposition pour un

flash électronique automatique TTL (à travers la lentille) et, plus particulièrement, un circuit de commande d'exposition utilisable avec un appareil de prise de vues pouvant effectuer une photométrie par réflexion à partir d'une surface de film et ayant la capacité de commander

l'émission de lumière à partir d'un flash électronique automa-

tique TTL, et dans lequel le circuit de commande d'exposition comprend un circuit de commande de diaphragme associé au flash électronique automatique TTL pour commander une ouverture de diaphragme lors d'une prise de vues faite en utilisant le

flash électronique automatique.

Dans une combinaison classique d'un appareil photo-

graphique reflex classique à une seule lentille et d'un flash électronique automatique, une valeur d'ouverture de

diaphragme spécifiée par le flash électronique est auto-

matiquement préréglée dans l'appareil en réponse à un signal de terminaison de chargement fourni par le flash électronique, et une période d'exposition est synchronisée dans une relation fixe avec le fonctionnement du flash électronique Une telle technique est applicable àun agencement dans lequel l'émission de lumière est commandée par la capacité de terminaison

d'émission du flash électronique automatique proprement dit.

Au contraire, avec un flash électronique automatique TTL récemment mis au point et dans lequel l'émission de

lumière est commandée par un circuit de commande d'exposi-

tion d'un appareil photographique à photométrie directe TTL, notamment un appareil apte à une photométrie par réflexion à partir d'une surface de film, il est inutile de fixer

l'ouverture de diaphragme de l'appareil à une valeur spêci-

fique telle que F 2 8, F 5 6 ou semblable, mais on peut utili-

ser n'importe quelle ouverture L'émission de lumière par le flash électronique se produit quand l'obturateur est complètement ouvert de façon à compenser un éclairement insuffisant assuré par la lumière naturelle et, par conséquent il est également inutile de choisir unepériode d'exposition qui soit en relation synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique, de sorte qu'on obtient un gros écart par rapport à la commande d'émission de lumière par un flash

électronique qui est effectuée dans la pratique courante.

Cependant, lorsqu'un appareil à photométrie directe TTL, apte à une photométrie par réflexion à partir d'une surface de film est utilisé en coopération avec un flash électronique automatique TIJ, le flash électronique peut émettre ou non de la lumière en fonction du choix de l'ouverture de diaphragme, excepté lorsqu'un clairement très brillant est établi sur un objet en train d'être

photographié Spécifiquement, lorsque l'ouverture de dia-

phragme est réduite, le degré d'exposition établi par la lumière naturelle diminue de manière à provoquer une augmentation de la durée de la période d'exposition, de sorte que les contacts de synchronisation sont fermés

pour produire une émission de lumière par le flash électro-

nique quand l'obturateur est complètement ouvert (en

synchronisme avec le fonctionnement du flash électronique).

Inversement, lorsque l'ouverture de diaphragme est augmentée, une augmentation du degré d'exposition établi par la lumière naturelle se traduit par une réduction de la durée de la

période d'exposition, ce qui empêche la fermeture des con-

tacts de synchronisation et ce qui provoque, par conséquent, l'exécution de l'opération photographique seulement sous

la lumière naturelle.

Cependant, puisque l'objectif envisagé en ce qui con-

cerne la coopération du flash électronique avec l'appareil

photographique consiste à influencer l'opération de photo-

graphie par le flash électronique, il est souhaitable que ce flash électronique soit déclenché d'une manière sûre pendant l'opération de photographie lorsque la combinaison précitée est utilisée Il est également souhaitable que,

sans diminution des caractéristiques de l'opération photo-

graphique réalisée à l'aide du flash électronique automa-

tique TTL, il soit possible d'utiliser la gamme complète

d'ouvertures de diaphragme de son maximum à son minimum.

En conséquence, l'invention a pour but de créer un

circuit de commande d'exposition utilisable dans un appa-

reil photographique à photométrie directe TTL, qui est apte à une photométrie par réflexion à partir d'une surface de film et qui comprend un circuit de commande de diaphragme qui

assure la commande automatique d'une ouverture de dia-

phragme à une valeur permettant d'établir une période d'exposition qui est en synchronisation étroite avec le fonctionnement du flash électronique, en relation avec la brillance d'un objet en train d'être photographié à chaque fois que l'appareil est utilisé en coopération

avec un flash électronique automatique TTL.

L'invention apporte un certain nombre d'avantages: ( 1) l'appareil photographique n'a pas besoin d'être limité à une ouverture particulière de diaphragme comme dans la pratique courante, o cette ouverture est en concordance avec l'indice d'ouverture F de la lentille

de prise de vues, mais il est possible d'établir automa-

tiquement une ouverture de diaphragme comprise entre une valeur d'ouverture complète (ou une valeur d'ouverture inférieure à la valeur d'ouverture complète d'un nombre donné d'échelons) et une valeur minimale, en exploitant avantageusement le fonctionnement caractéristique d'un flash électronique automatique TTL; ( 2) à moins qu'un objet en train d'être photographié soit placé dans un éclairement très brillant, il s'établit une ouverture de diaphragme qui permet la synchronisation d'une période d'exposition, commandée en concordance avec la photométrie par réflexion à partir d'une surface de film, avec le fonctionnement du flash électronique, en produisant ainsi en toute sécurité une émission de lumière par le flash électronique automatique TTL; et ( 3) il s'établit une ouverture de diaphragme qui synchronise étroitement une période d'exposition avec le fonctionnement du flash électronique afin d'empêcher une augmentation de durée de la période d'exposition quand cette période est commandée par photométrie par réflexion

de lumière naturelle à partir d'une surface de film.

Il en résulte une émission minimale de lumière par le flash électronique, ce qui-réduit le temps nécessaire au flash électronique pour se préparer à une émission de

lumière suivante.

D'autres avantages et caractéristiques de l'invention

apparaîtront à la lecture de la suite de la description,

donnée à titre d'exemple non limitatif, et sur les dessins annexés dans lesquels: la Fig l est une vue en coupe schématique d'un appareil

photographique reflex à une seule lentille du type à photo-

métrie directe TTL, ou apte à une photométrie par réflexion sur une surface de film, cet appareil comportant un circuit de commande de diaphragme conforme à l'invention;

la Fig 2 est un schéma d'un circuit de commande d'ex-

position conforme à un mode de réalisation de l'invention; les Fig 3 A à 3 D sont des diagrammes illustrant des programmes de commande de diaphragme par le circuit de commande d'exposition de la Fig 2;

la Fig 4 est un schéma d'un circuit de commande d'ex-

position conforme à un autre mode de réalisation de l'in-

vention; et la Fig 5 est un diagramme représentant des programmes

de commande de diaphragme par le circuit de commande d'ex-

position de la Fig 4.

Sur la Fig 1, on a représenté un appareil photogra-

phique 1 comportant un bottier à miroir (non représenté).

A l'intérieur du bottier à miroir, un miroir mobile 3, qui est utilisé à des fins d'observation, est monté à rotation sur un axe porteur 2 et il porte un miroir de

photométrie 4 sur son côté arrière Une lentille collec-

trice 5 et un élément transducteur photoélectrique, photo-

métrique 6, tel qu'une photodiode au silicium, sont dis-

posés en dessous du miroir mobile 3 en un emplacement placé

à l'écart d'un trajet de lumière de prise de vues.

L'élément transducteur 6 comporte une surface de réception

de lumière qui est placés enregard de la surface réflé-

chissante du miroir 5 et de la surface avant d'une première lame 12 d'un obturateur de plan focal à chaque fois que

le miroir mobile 3 prend sa position à 450, comme indiqué.

En conséquence, de la lumière provenant d'un objet en train d'être photographié et qui passe au travers d'une lentille de prise de vues 7 et d'un diaphragme 14 ayant un certain degré d'ouverture et qui a été transmise au travers d'une moitié 3 a du miroir 3, est réfléchie par le miroir 4 de façon à arriver sur la surface de réception de lumière de

l'élément transducteur 6 au travers de la lentille col-

lectrice 5 De cette manière, l'élément transducteur 6 effectue une photométrie de la lumière provenant d'un objet en train d'être photographié lorsque le diaphragme 14 est ouvert et avant qu'un déclenchement de l'obturateur ne s'effectue De la lumière provenant de l'objet en train d'être photographié et qui est réfléchie par le miroir mobile 3 arrive sur un verre de focalisation 8 et passe ensuite au travers d'un pentaprisme 9 et d'un oculaire 10 avant d'arriver sur l'oeil Il d'un photographe à des fins d'observation Lorsque le déclenchement de l'obturateur se produit, le circuit de commande de diaphragme commande l'ouverture du diaphragme 14 Comme cela a été décrit, l'ouverture du diaphragme 14 est automatiquement établie en concordance avec la quantité de lumière reçue par l'élément transducteur 6 ou bien la brillance d'un objet en train d'être photographié, et de la vitesse du film utilisée Lorsque la commande de l'ouverture de diaphragme est terminée, le miroir mobile 3 est entraîné élastiquement vers le haut jusque dans sa position 3 a représentée en

traits mixtes, o il ferme le trajet de lumière d'observa-

tion et ouvre le trajet de prise de vues Lorsque le trajet de lumière de prise de vues est ouvert, la première lame de l'obturateur commence à se déplacer et, en conséquence,

de la lumière provenant d'un objet en train d'être photo-

graphié est focalisée sur la surface frontale de la première lame 12 et sur la surface photosensible d'un film 13 qui est exposée lorsque la première lame se déplace La lumière focalisée est ensuite réfléchie par les surfaces respective

de façon à arriver sur l'élément transducteur 6 par l'in-

termédiaire de la lentille collectrice 5, cet élément trans ducteur 6 effectuant une photométrie de la lumière provenan

d'un objet en train d'être photographié après le déclenche-

ment de l'obturateur.

La Fig 2 représente un schéma d'un circuit de commande d'exposition, comprenant un circuit de commande de diaphragme,

de l'appareil photographique décrit, qui est capable d'as-

surer une photométrie de la lumière réfléchie par une sur-

face de film En référence à la Fig 2, il est prévu un

amplificateur opérationnel 21 comportant une entrée non-

inverseuse qui est reliée à une borne 22 à laquelle est

appliquée une tension de référence VREF La borne de sortie.

de l'amplificateur est reliée, par l'intermédiaire d'un commutateur analogique semi-conducteur 23, à la base et

au collecteur d'un transistor PNP 24, qui assure une com-

pression logarithmique L'émetteur du transistor 24 est

relié à l'entrée non-inverseuse d'un amplificateur opéra-

tionnel 25, qui fonctionne comme un intégrateur L'élément

transducteur 6 est relié par son anode à l'entrée non-

inverseuse et par sa cathode à l'entrée inverseuse de l'amplificateur 25 Un condensateur d'intégration 27

est contnecté entre l'entrée non-inverseuse de l'amplifi-

cateur 25 et la masse Le commutateur analogique semi-

conducteur 23 comprend une borne de commande qui est reliée

à une borne 26 à laquelle est appliqué un signal de dé-

clenchement SO Le signal de déclenchement SO passe du niveau 'H" (haut) à son niveau "L" (bas) en relation synchronisée avec le début de fonctionnement de la première lame et après la commande de diaphragme qui s'effectue en réponse au déclenchement de l'obturateur La borne de sortie de l'amplificateur 25 est connectée aux bornes d'entrée inverseuses des amplificateurs 25 et 21, en formant ainsi une boucle de réaction La borne de sortie de l'amplificateur 25 est également connectée à la borne d'entrée non-inverseuse d'un amplificateur opérationnel 28, qui fonctionne comme un comparateur La borne d'entrée

inverseuse de l'amplificateur 28 est connectée au col-

lécteur d'un transistor PNP 36 et elle est également connectée à une extrémité d'une résistance variable 30

dont l'autre extrémité est connectée à la borne 22.

La résistance variable 30 est utilisée pour prérégler la vitesse du film utilisée dans le calcul d'une période d'exposition en concordance avec une information de vitesse de film La base du transistor 36 est connectée à la base et au collecteur d'un transistor PNP 37, qui possède une caractéristique identique au transistor 36 Le collecteur du transistor 37 est connecté à la masse par l'intermédiaire d'une source de courant constant 29 Les émetteurs des deux transistors 36, 37 sont reliés à une borne 31 à laquelle est appliquée une tension d'alimentation +Vcc La borne

de sortie de l'amplificateur 28 est connectée A une ex-

trémité d'un électro-aimant 32 dont l'autre extrémité est connectée à la borne 31 L'électro-aimant 32 agit de manière

à empocher le fonctionnement de la seconde lame de l'obtu-

rateur La borne de sortie de l'amplificateur 28 est éga-

lement connectée par l'intermédiaire d'un inverseur 33

à une borne 34 à partir de laquelle un signal de terminai-

son d'émission ST est appliqué à un flash électronique associé.

La jonction Pl entre le commutateur 23 et le transis-

tor 24 est connectée à la base d'un transistor PNP 41 qui représente l'entrée d'un circuit de commande de diaphragme Le collecteur du transistor 41 est connecté à la borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 43 tandis que son

émetteur est connecté à la borne de sortie de l'amplifica-

teur L'entrée inverseuse de l'amplificateur 43 est reliée à la masse par l'intermédiaire d'une résistance 42, tandis

que l'entrée non-inverseuse est reliée à la borne 22.

La combinaison de la résistance 42, du transistor 41 et de l'amplificateur 43 forme un circuit de correction qui transforme la valeur de brillance (Bv) d'un objet en train d'être photographié pendant une opération de photométrie en une quantité linéaire qui convient pour être utilisée

dans le calcul de sommet.

La borne de sortie de l'amplificateur 43 est reliée,

par l'intermédiaire d'un commutateur analogique semi-

conducteur 45 à la borne d'entrée non-inverseuse d'un

amplificateur opérationnel 48, qui représente un conver-

tisseur d'impédance Le commutateur 45 comporte une borne de commande qui est reliée à une borne 46, à laquelle est appliqué un signal d'échantillonnage-et-maintien S Le signal SSH prend le niveau "H" avant que l'obturateur soit déclenché mais il passe au niveau "L" en relation

synchronisée avec le déclenchement de l'obturateur.

La borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 48 est reliée à la masse par l'intermédiaire d'un condensateur 47, qui agit de façon à maintenir la tension de sortie de

l'amplificateur 43 La borne d'entrée inverseuse de l'ampli-

ficateur 48 est reliée à une borne de sortie de ce dernier,

qui est reliée à son tour par l'intermédiaire d'une résis-

tance 51 à la borne d'entrée inverseuse d'un amplificateur

opérationnel 53 La borne d'entrée non-inverseuse de l'am-

plificateur 53 est reliée à la borne de sortie de l'ampli-

ficateur 43 Une résistance 52 est connectée entre la

borne d'entrée inverseuse et la borne de sortie de l'ampli-

ficateur 53 et elle est shuntée par un commutateur analo-

gique semi-conducteur 54 La combinaison des résistances

51, 52 et de l'amplificateur 53 forme un amplificateur non-

inverseur Le commutateur 54 comporte une borne de commande qui est reliée à une borne 55, à laquelle est appliqué un signal de chargement de flash électronique Sc Le signal

Sc passe du niveau "L" au niveau "H" quand le flash élec-

tronique automatique TTL monté à l'appareil a terminé son

opération de chargement et est prêt à émettre de la lumière.

En conséquence, le commutateur analogique 54 est ouvert pendant une opération de photographie qui utilise le flash

électronique et il est fermé pendant une opération de photo-

graphie qui n'utilise pas le flash électronique.

De cette manière, l'amplification de l'amplificateur non-

inverseur varie en concordance avec la condition d'ouver-

ture et de fermeture du commutateur 54.

La borne de sortie de l'amplificateur 53 est connectée

à une extrémité d'une résistance variable 57, qui est uti-

lisée pour prérégler la vitesse du film intervenant dans le calcul d'une ouverture de diaphragme en relation avec une information de vitesse de film L'autre extrémité de la résistance variable 57 est connectée à la borne d'entrée non-inverseuse d'un amplificateur opérationnel 58, qui fonctionne comme un comparateur, et elle est également connectée au collecteur d'un transistor PNP 62 La borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 58 est reliée à la

borne 22 par l'intermédiaire d'une résistance 60, qui dé-

termine une période d'exposition pour une ouverture com- mandée du diaphragme La borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 58 est également reliée au collecteur d'un transistor PNP 61 Les bases des transistors 61, 62 sont

connectées à la base et au collecteur d'un transistor PNP 6-

qui possède une caractéristique identique à celles des transistors précités Le collecteur du transistor 63 est relié à la masse par l'intermédiaire d'une source de courant constant 64 Les émetteurs de ces transistors 61, 62 et 63 sont connectés à la borne 31 La borne de sortie de l'amplificateur 58 est connectée à la borne 31 par l'intermédiaire d'un électro-aimant 59 qui commande le diaphragme. En fonctionnement, quand le flasch électronique automatique TTL est relié à l'appareil, capable d'opérer par photométrie de la lumière réfléchie par une surface de film et comportant le circuit de commande de diaphragme , et quand l'interrupteur de puissance (non représenté) est fermé, la tension d'alimentation +Vcc est appliquée à la borne 31 et une tension de référence V est appliquée REF à la borne 22 Lorsqueltflash est chargé, le signal de déclenchement de niveau "H" est appliqué à la borne 26 et le signal d'échantillonnage et maintien SSH de niveau

"H' est appliqué à la borne 46 Lorsque le flash électro-

nique est prêt à émettre de la lumière, le signal de

chargement Sc de niveau "H" est appliqué à la borne 55.

Quand l'appareil est dirigé vers un objet à photographier, de la lumière émise par cet objet, qui passe au travers de la lentille de prise de vues 7 et du diaphragme 14 comportant un certain degré d'ouverture et qui réfléchit

par le miroir photométrique 4, arrive sur l'élément trans-

ducteur 6 En conséquence, l'élément transducteur 6 produit un photocourant Ip en relation avec la quantité de lumière incidente Du fait que le signal de déclenchement de niveau est appliqué à la borne 26, et par conséquent à la borne de commande du commutateur analogique 23, ce dernier est fermé, en établissant la boucle de réaction par combinaison avec les amplificateurs 21 et 27 En conséquence, la tension de référence VREF est appliquée à la borne d'entrée non-inver- VREF deté

seuse de l'amplificateur 25, et le condensateur d'intégra-

tion 27 est chargé jusqu'au niveau de la tension de réfé-

rence VREF Quand l'élément transducteur 6 produit le photocourant Ip, le même courant Ip parvient, par l'intermédiaire de l'émetteur, au collecteur du transistor 24 En conséquence, le potentiel de collecteur au point Pl du transistor 24 est défini par la relation suivante: k T Qn Zp ( 1) n P V Pl = VREF Is 1 o k représente une constante de Boltzmann, T la température absolue, q la charge d'un électron, et Is 1 le courant de

saturation inverse du transistor 24.

Quand la tension Vpl est appliquée à la base du tran-

sitor 41 dans le circuit de commande dediaphragme 40, le circuit de correction comprenant le transistor 41, la résistance 42 et l'amplificateur 43 produit une tension Vp 2 au point P 2 qui représente la borne de sortie de l'amplificateur 43, conformément à la relation suivante: KT 9 n VREF Vp 2 = V Pl + q N Is 2 h ER 2 Sh FER 1 = V+ k T VREF' Is REF q I *I 2 ip Is 2 h FE R ( 2) o R 1 représente la valeur ohmique de la résistance 42, h FE le facteur d'amplification de courant du transistor 41,

et Is 2 le courant de saturation inverse du transistor 41.

En supposant que le transistor 41 possède la même carac-

téristique que le transistor 24, il en résulte que Is 1 = Is 2.

En conséquence, l'équation ( 2) peut être ré-écrite de la façon suivante: k T VREF VP 2 = VREF + q Iph FER ( 3) F Eh FE La tension VP 2 est directement appliquée à la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 53 Puisque le commutateur analogique 45 est rendu conducteur par l'application du signal d'échantillonnage et maintien SSH de niveau "H" appliqué à sa borne de commande à partir de la borne 46,

la tension VP 2 est appliquée à la borne d'entrée non-

inverseuse de l'amplificateur 48 par l'intermédiaire du

commutateur 45, en chargeant le condensateur 47.

Lorsqu'il se produit maintenant un déclenchement de l'obturateur, le signal SSH passe au niveau "L", de sorte que la commutateur 45 est bloqué Cependant, la tension de sortie VP 2 de l'amplificateur 43, définiepar l'équation ( 3), est emmagasinée par le condensateur 47 sous la forme d'une valeur de photométrie d'ouverture, qui est prise à la borne de sortie de l'amplificateur 48 En conséquence, si on désigne le photocourant pendant la photométrie

d'ouverture par Ipo, la tension Vp 3 au point P 3 représen-

tant la borne de sortie de l'amplificateur 48 peut être dérivée de l'équation ( 3) de la manière suivante: VREF Vp 3 VREF + k T N REF ( 4) VP 3VRF +q I Poh FER 1

La tension Vp 3 obtenue pendant la photométrie d'ouver-

ture est appliquée par l'intermédiaire de la résistance 51 à la borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 53, dont

la borne d'entrée non-inverseuse reçoit la tension Vp 2.

En conséquence, si on désigne respectivement les valeurs ohmiques des résistances 51 et 52 par R 2 et R 3, on voit que la tension Vp 4 au point P 4, représentant la borne de

sortie de l'amplificateur 53, peut être dérivée des équa-

tions ( 3) et ( 4) de la façon suivante:

R

VP 4 = VP 2 + R 23 (VP 2Vp 3) ( 5) Cependant, puisque le commutateur analogique 54 est rendu conducteur par l'application du signal de chargement Sc de niveau "H" à sa borne de commande en provenance de la borne 55, la résistance 52 est court-circuitée, de sorte que R 3 = O dans l'équation ( 5) En conséquence, Vp 4 = Vp 2 k T VREF

= RF+ N ( 6)

REF q Iph FER 1 ( 6) En conséquence, quand le flash électronique automatique TTL monté sur l'appareil photographique est prêt à émettre de la lumière, la tension Vp 4 produite àla borne de sortie de l'amplificateur 53 est égale à la tension de sortie VP 2

produite par l'amplificateur 43.

On voit que la source 64 fournit un courant constant Ij, qui passe par le collecteur du transistor 63 Par un effet de symétrie de courant, le même courant Ij passe dans les collecteurs des transistors 61, 62 En conséquence, le courant Ij passe dans la résistance variable 57 reliéeà la borne de sortie de l'amplificateur 53, en produisant dans celui-ci une chute de tension qui est égale à Rsv 2 Ij o

Rsv 2 représente la valeur ohmique de la résistance 57.

En conséquence, la tension Vp 5 au point P 5, c'est-à-dire la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 58, est définie par la relation suivante: Vp 5 = Vp 4 + Rsv 2 Ij ( 7) La substitution de l'équation ( 7) dans l'équation ( 6) donne: V V +R I k T VREF VP 5 = VREF q Iph FER ( 8) q Iph FER 1 Le courant Ij passe également dans la résistance 60, en produisant dans celle-ci une chute de tension qui est égale

à Rp Ij, o Rp représente la valeur ohmique de la résistance 60.

En conséquence, la tension VP 6 au point P 6, c'est-à-dire la borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 58, est définie par la relation suivante: VP 6 = VREF + Rp Ij ( 9) On voit par conséquent que l'amplificateur 58 compare les

tensions Vp 5 et VP 6 l'une avec l'autre.

Lorsque le déclenchement de l'obturateur se produit, un mécanisme de diaphragme (non représenté) qui est connu en soi commande l'ouverture du diaphragme 14 La commande de diaphragme est autorisée tant que la tension de sortie de l'amplificateur 58 reste à son niveau "L" par suite d'une comparaison entre les tensions Vp 5 et VP 6 et l'électr

aimant 59 reste excité.

En supposant que l'objet en train d'être photographié est soumis à un éclairement brillant, l'élément transducteu: 6 produit un photocourant Ip d'une valeur accure, de sorte que les tensions Vp 5 et VP 6 sont liées par la relation

Vp 5 < Vp 6, ce qui permet au signal de sortie de l'amplifi-

cateur 58 de rester à son niveau "L" En conséquence, l'électro-aimant 59 reste excité, ce qui permet de

commander le diaphragme 14 pour réduire l'ouverture.

Quand l'ouverture de diaphragme diminue, la grandeur du photocourant Ip diminue graduellement et les tensions de sortie VP 2 et Vp 4 des amplificateurs 43, 53 augmentent graduellement, en augmentant ainsi la grandeur de la tension Vp 5 Quand le photocourant Ip a réduit jusqu'à un point o la tension Vp 5 est égale à la tension Vp 6, le signal de sortie de l'amplificateur 58 passe du niveau "L" au niveau "H", en désexcitant alors l'électro-aimant 59 pour arrêter la commande de diaphragme En établissant l'égalité entre les équations ( 8) et ( 9), on obtient: Rsv 2 Ij + k TN REF = Ip Ij ( 10) q Ip'h FER 1 L'équation ( 10) définit la terminaison de la commande de diaphragme Il est à noter que Ip' représente dans cette

équation la grandeur du photocourant à la fin de la com-

mande de diaphragme.

Cela va être expliqué de façon plus détaillée en référence aux diagrammes représentés sur les Fig 3 A à 3 D. En supposant qu'on,utilise une lentille de prise de vues correspondant à Fl 4 et que la résistance variable 57 est réglée pour une vitesse de film de ASA 100, la commande de diaphragme s'effectue en concordance avec un programme b indiqué par des lignes en trait interrompu sur la Fig 3 A. Spécifiquement, le programmes b indique que, pour une brillance d'un objet en train d'&tre'- photographié qui estdéfinie par l'inégalité 7 < Bv < 14, le diaphragme est commandé de façon à établir une valeur d'ouverture A qui établit elle- même une période d'exposition de 1/60 de seconde essentiellement synchronisée avec le fonctionnement du flash

électronique.

Lors d'une augmentation de la brillance de l'objet en train d'être photographié, c'est-à-dire lorsque Bv 2 7, les tensions Vp 5 et Vp 6 sont liées par une relation telle que Vp 5 < Vp 6, comme mentionné ci-dessus L'amplificateur 58 produit à sa sortie un signal de niveau "L", de manière à exciter l'électro-aimant 59 pour permettre la commande

du diaphragme jusqu'à ce que l'équation ( 10) soit satisfaite.

Si la brillance de l'objet en train d'être photographié est définie par Bv = 10, par exemple, la commande du diaphragme est poursuivie jusqu'à ceque le diaphragme 14 soit commandé avec une ouverture de A = 4, à la suite de quoi le signal de sortie de l'amplificateur 58 passe à son niveau "H",

en désexcitant l'électro-aimant 59 pour arrêter la com-

mande de diaphragme lorsque l'équation ( 10) est satisfaite.

Quand la commande de diaphragme est arrêtée, le miroir mobile 3 est entralné vers le haut et la première lame 12

commence à fonctionner En conséquence, le signal de dé-

clenchement SO de niveau "L" est appliqué à la borne 26, en bloquant le commutateur analogique 23 Cela ouvre la boucle de réaction de l'amplificateur 21, de sorte qu'il ne passe aucun photocourant Ip dans le transistor 24,mais ce photocourant Ip passe dans le condensateur d'intégration 27 En conséquence, l'opération d'intégration est amorcée

lorsque le commutateur 23 est bloqué et, lorsque le conden-

sateur 27 est chargé par le photocourant Ip, la tension aux bornes de ce condensateur augmente graduellement à partir de la tension de référence VREF La tension Vc aux bornes du condensateur d'intégration 27 est appliquée à la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 28 à partir de la borne de sortie de l'amplificateur 25, pour être comparée avec une tension de décision Vj qui est utilisée pour déterminer une période d'exposition et qui est appliquée à la borne d'entrée inverseuse de l'ampli- ficateur 28 En désignant la valeur ohmique de la résistance variable 30 par Rsvl et le courant constant passant dans la

source 29 par Ij, on voit que, du fait de l'effet de symé-

trie de courant, le courant de collecteur du transistor 36 est aussi égal à Ij En conséquence: Vi = VREF + Rsvl Ij ( 11)

En désignant la capacité du condensateur 27 par Cl, la ten-

sion intégrée Vc est donnée par la relation suivante: V =REF C Pl ( 12) Tant que la tension intégrée Vc est inférieure à la tension de décision V, ou bien lorsque Pt < Rsvl Ij, comme obtenu J i 1 par la combinaison des équations ( 11) et ( 12), le signal de sortie de l'amplificateur 26 reste à son niveau "L", de sorte que l'électro-aimant 32 reste excité pour empêcher la seconde lame de l'obturateur de fonctionner Egalement,

la borne 34 est maintenue à son niveau "H".

Puisque la commande de diaphragme mentionnée ci-dessus produit une ouverture de diaphragme (par exemple, A = 4 pour Bv = 10), qui empêche une période d'exposition de devenir inférieure à 1/60 de seconde, il est impossible

que la tension intégrée Vc atteigne le niveau de la ten-

sion de décision V dans un intervalle de temps inférieur à 1/60 de seconde Lorsqu'une période de 1/60 de seconde s'est passée, le flash électronique est déclenché pour amorcer une émission de lumière Simultanément, la tension Vc atteint la tension de décision V En conséquence,

l Rt 2 Rsvl Ij, de sorte que le signal de sortie de l'ampli-

ficateur 28 passe à son niveau "H" Cela désexcite l'électro aimant 32, de sorte que la retenue exercée sur la seconde

lame est supprimée et que cette lame commence à fonctionner.

En même temps, l'inverseur 33 applique le signal de termi-

naison d'émission ST de niveau "L" à la borne 34 et, par

conséquent, au flash électronique Cela interrompt l'émis-

sion de lumière par le flash électronique et, quand la seconde lame termine sa course, une opération d'exposition

ou de photographie à l'aide du flash électronique automa-

tique TTL est terminée.

Pour répéter, pendant une opération de photographie

à l'aide d'un flash électronique automatique TTL, le cir-

cuit de commande de diaphragme 40 produit une ouverture de diaphragme comprise dans la gamme définie par 1.4 A 16 de sorte qu'on obtient une période d'exposiition

de T 11/6 U de seconde pour une brillance de l'objet photo-

graphié qui est comprise dans une gamme définie par 7 Bv 14, comme indiqué par le programme b de la Fig 3 A lorsqu'on utilise une lentille de prise devue de F 1 4 et une vitesse de film de AS Al O O En conséquence, lorsqu'une telle commande de diaphragme est effectuée, la majorité de l'exposition du film est assurée par la lumière naturelle tandis que le flash électronique émet de la lumière pendant

la phase finale de l'exposition En conséquence, l'exposi-

tion est immédiatement terminée après l'émission de lu-

mière par le flash électronique, de sorte que ce dernier émet une quantité minimale de lumière Par comparaison avec l'utilisation d'un flash électronique du type à commande-série, la terminaison de l'émission de lumière par le flash après émission d'une quantité minimale de lumière empêche un condensateur principal prévu dans le flash électronique dese décharger complètement Il en résulte que le temps de charge nécessaire pour préparer

l'émission suivante est réduit au minimum.

Quand l'objet en train d'être photographié est soumis à un éclairement très brillant ou à un éclairement très sombre qui sortent de la gamme de brillance mentionnée ci-dessus, on ne peut pas obtenir une période d'exposition qui soit étroitement synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique Spécifiquement, puisque la valeur maximale d'ouverture de diaphragme est A = 16, si la brillance d'un objet en train d'être photographié est telle que bv > 14, le photocourant Ip ne peut pas atteindre la grandeur du photocourant Ip' si la valeur d'ouverture de diaphragme est commandée a A = 16 En conséquence, une période d'exposition est arrêtée avant que la synchronisa- tion avec le flash électronique soit établie, et il en résulte qu'une opération de photographie est effectuée complètement sous la lumière naturelle sans aucune émission

de lumière par le flash électronique.

Comme le montre le programme b de la Fig 3 A, quand l'objet en train d'être photographié est soumis à un fort éclairement et que la brillance est telle que Bv < 7, le photocourant Ip produit par l'élément transducteur 6 est inférieur au photocourant Ip', de sorte que les tensions Vp 3 et Vp 5 sont liées par la relation Vp 3 > Vp 5, ce qui oblige l'amplificateur 58 à produire à sa sortie

* un signal de niveau "H" En correspondance, l'électro-

aimant 59 est désexcité à partir du début du déclenchement de l'obturateur, en laissant le diaphragme 14 dans sa condition d'ouverture complète En conséquence, dans ce cas, le diaphragme prend une valeur d'ouverture complète de A = 1,4 Dans cette condition, l'émission de lumière par le flash électronique est interrompue au moment o un degré correct d'exposition a été obtenu sur le film sous l'effet de ladite émission et simultanément la seconde lame commence à se déplacer, en terminant ainsi une exposition. Lorsque le flash électronique n'est pas utilisé, le signal de chargement Sc n'est pas appliqué à la borne 55, qui prend par conséquent un niveau "L" maintenant le

commutateur analogique 54 en condition d'ouverture.

En conséquence, la résistance 52 est reliée aux bornes de l'amplificateur 53 dont la tension de sortie Vp 4 est définie par la relation suivante, obtenue par substitution des équations ( 3) et ( 4) dans l'équation ( 5):

V R I

k T ún REF + 3 k T N ( 13) q 'Iph FER-1 R 2 q Ip En conséquence, le déclenchement de l'obturateur fait en sorte que la tension Vp 4 définie par l'équation ( 13) soit produite par l'amplificateur 53, et il en résulte que la tension Vp 5 appliquée à la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 58 est définie par la relation suivante: Vp 5 = VREF + Rsv 2 Ij + k T N REF + -3 CT N IPO) ( 14) VP 5 = VREF q Iph FE Ri R 2 q Ip La tension Vp 5 est comparée à la tension VP 6 appliquée à la borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 58 Dans ce cas, la commande de diaphragme s'effectue en concordance,avec le programme a représenté en trait plein sur la Figure 3 A. Spécifiquement, si la brillance d'un objet en train d'être photographié est suffisamment grande pour que Bv k 7, il se produit un photocourant Ip d'une grandeur élevée et, en conséquence, les tensions Vp 5 et VP 6 sont liées par

une relation telle que Vp 5 < Vp 6 L'amplificateur 58 pro-

duit à sa sortie un signal de niveau "L", de sorte que l'électro-aimant 59 est excité pour commander l'ouverture du diaphragme 54 Lorsque l'ouverture de diaphramge est progressivement réduite, la grandeur de la tension Vp 5 augmente, et le signal de sortie de l'amplificateur 58 passe au niveau "H" de manière à arrêter la commande de diaphragme quand Vp 5 = Vp 6 A ce moment, on déduit des équations ( 9) et ( 14): Rsv 2 Ij + k T N VREF R 3 k T N I) = Rp Ij q Ip'h FER 1 + q 2 q-I ( 15) L'équation ( 15) constitue un critère de terminaison de la commande de diaphragme Dans cette équation, Ipo représente le photocurant produit quand le diaphragme 14 'est ouvert, tandis que Ip' représente le photocourant à la fin de la

commande de diaphragme.

Quand la commande de diaphragme est terminée, le

commutateur analogique 23 est bloqué, en permettant l'amor-

çage d'une opération d'intégration La tension de sortie Vc fournie par l'amplificateur 25 augmente avec une pente définie par l'équation ( 12) Lorsque la tension Vc atteint la tension de décision VJ définie par l'équation ( 11), le signal de sortie de l'amplificateur 28 passe à son niveau "H", de sorte que l'électro-aimant 32 est désexcité, ce qui permet à la seconde lame de fonctionner pour terminer une exposition Il ressort du programme a de la Fig 3 A que la valeur d'ouverture de diaphragme est commandée de manièreà être située dans une gamme définie par 1,4 < A < 16 pour une gamme de brillance définie par 7 < Bv < 18, de sorte qu'une période d'exposition est commandée de manière à être située dans une gamme comprise approximativement entre un soixantième et un millième de de seconde en étant définie par photométrie de réflexion

à partir d'une surface de film.

Quand la brillance est faible, de sorte que Bv 7, la valeur d'ouverture de diaphragme de A = 1,4 est maintenu E et, en conséquence, la période d'exposition est comprise

dans une gamme définie approximativement par 1/1 > T 2 1/60.

Quand la valeur ohmique Rsv 2 de la résistance variable 57 du circuit de commande de diaphragme 40, qui est utilisée pour prérégler la vitesse de film, est ajustée à ASA 400, la commande de diaphragme s'effectue en concordance avec les programmes indiqués sur la Fig 3 B Pour permettre d'obtenir une période d'obturateur qui soit définie par ces programmes, la valeur ohmique Rsvl de la résistance variable 30 qui est utilisée pour prérégler la vitesse de film est également ajustée sur ASA 400 demanière à

calculer une période d'exposition Lorsque le flash électro-

nique automatique TTL n'est pas utilisé, la commande d'exposition est basée sur la photométrie par réflexion à partir d'une surface de film, le programme indiqué sur la Fig 3 B commande l'ouverture du diaphragme jusqu'à une valeur définie par la gamme 1,4 < A < 16 tant que la brillance d'un objet en train d'être photographié est comprise dans la gamme définie par 5 < Bv < 16, comme indiqué par le programme a, en produisant ainsi-une période d'exposition définie par 1/60 > T > 1/1000 et déterminée par photométrie par réflexion à partir d'une surface de film Lorsque le flash électronique automatique I

est relié à l'appareil photographique, l'ouverture de dia-

phragme est commandée dans une gamme de 1,4 A 16 ou bien depuis la valeur maximale jusqu'à la valeur minimale d'ouverture, à condition que la brillance de l'objet en train d'être photographié reste dans la gamme définie par Bv < 12, comme indiqué par le programme b Par suite de cette commande de diaphragme, une période d'exposition de T = 1/60 de seconde, synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique, est produite comme résultat de la photométrie par réflexion à partir d'une surface de film, de la même manière que mentionné ci-dessus, en terminant ainsi une exposition en même temps que l'émission de

lumière par le flash électronique.

Lorsqu'on utilise une lentille de prise de vues de F 2 8 en même temps qu'une vitesse de film de ASA 100, la commande de diaphragme est effectuée en concordance avec les programmes indiqués sur la Fig 3 C Si on choisit une vitesse de film de ASA 400, la commande de diaphragme est effectuée en concordance avec les programmes indiqués sur la Fig 3 D Il ressort des Fig 3 C et 3 D que l'ouverture de diaphragme est commandée depuis la valeur maximale (A = 2,8) jusqu'à la valeur minimale (A = 16) en relation avec la brillance de l'objet en train d'être photographié, comme indiqué par les programmes b, et la commande de diaphragme fait en sorte qu'une période d'exposition soit étroitement synchronisée avec le fonctionnement du flash

électronique, excepté quand l'objet en train d'être photo-

graphié est, soit très fortement éclairé, soit très fai-

blement éclairé, à chaque fois que le flash électronique automatique TTL est relié à l'appareil photographique apte à effectuer une photométrie par réflexion àpartir d'une

surface de film En correspondance, l'exposition est ter-

minée en même temps que l'émission de lumière par le flash électronique Lorsque le flash électronique automatique TTL n'est pas utilisé, la commande de diaphragme est faite de la valeur d'ouverture complète (A = 2, 8) jusqu'à la valeur minimale (A = 16), comme indiqué par les programmes a, la période d'exposition étant commandée en relation avec

une valeur particulière de l'ouverture de diaphragme.

Dans le circuit de commande de diaphrame 40 repré-

senté sur la Fig 2, la commande de diaphragme est faite depuis la valeur d'ouverture complète jusqu'à la valeur minimale Cependant, il est à noter que, lors d'une prise de vue à l'aide du flash électronique, on ne peut généra- lement pas obtenir une image de bonne qualité avec une valeur d'ouverture complète du diaphragme En conséquence, une pratique courante consiste à effectuer une photographie avec une ouverture de diaphragme qui est inférieure de

plusieurs échelons à la valeur d'ouverture complète.

On va maintenant décrire un mode de réalisation qui est

agencé de cette manière.

La Fig 4 est un schéma d'un circuit de commande d'exposition conforme à un autre mode de réalisation de l'invention Sur la Fig 4, la structure de circuit, à l'exception d'un circuit de commande de diaphragme 70,

est tout à fait identique à la partie de circuit corres-

pondante représentée sur la Fig 2, et le circuit de commande de diaphragme 70 est essentiellement semblable au circuit de commande de diaphragme 40 de la Fig 2, exceptées certaines modifications qui vont être décrites dans la suite Spécifiquement, la borne de sortie de l'amplificateur 43 est reliéeà la borne d'entrée inverseuse d'un amplificateur opérationnel 72, qui fonctionne comme un comparateur La borne de sortie de l'amplificateur 48 est reliée, par l'intermédiaire d'une résistance 71,

à la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 72.

La borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 72 est connectée au collecteur d'un transistor PNP 76, dont

la base est reliée à la base et au collecteur d'un transis-

tor PNP 77, qui possède une caractéristique identique à celle du transistor 76 Le collecteur du transistor 77 est relié à la masse par l'intermédiaire d'une source de courant constant 78 Les émetteurs des transistors 76, 77

sont reliés à la borne 31 La borne de sortie de l'ampli-

ficateur 72 est reliéeà une borne d'entrée d'une porte NON-ET 73, dont l'autre borne d'entrée est reliée à la born , à laquelle est appliqué le signal de chargement du flas électronique La borne de sortie de la porte 73 est reliée à une borne d'entrée d'une porte ET 75, dont l'autre borne

d'entrée est connectée à la borne de sortie de l'amplifica-

teur 58, qui fonctionne a nouveau comme un comparateur.

La borne de sortie de la porte 75 est connectée à une

extrémité de l'électro-aimant 59, qui commande le diaphragme.

Dans le circuitde commande de diaphragme 70, le courant constant Ij provenant de la source 78 passe dans le collecteur du transistor 77, et également dans la résistance 71 à partir du collecteur du transistor 76 et sous l'effet de symétrie du courant En conséquence la tension Vp 7 au point P 7 ' qui représente la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 72, est définie par la relation suivante: Vp 7 = Vp 3 + Ro Ij ( 16)

o R représente la valeur ohmique de la résistance 71.

La substitution de l'équation ( 16) dans l'équation ( 4) donne: 2 R k VREF Vp 7 =VREF Ro Ij+ k-T n R ( 17) 7 = Eq I Poh FER 1 L'amplificateur 72 compare la tension Vp 7 à la tension de sortie VP 2 de l'amplificateur 43 Lors d'une prise de vue à l'aide d'un flash électronique automatique TTL et quand la brillance d'un objet en train d'être photographié est très faible, les tensions Vp 5 et VP 6 appliquées à la borne d'entrée noninverseuse et à la borne d'entrée inverseuse de l'amplificateur 58 sont dans une relation telle que Vp 5 > Vp 6, comme mentionné précédemment, de sorte que l'amplificateur 58 produit à sa sortie un signal de niveau "H" Avec le circuit de commande de diaphragme 40 du mode de réalisation précédemment décrit,

le signal de sortie de l'amplificateur 58 commande direc-

tement l'excitation de l'électro-aimant 59 et, par conséquent, dans ce cas, l'électro-aimant 59 est désexcité en même temps que le déclenchement de l'obturateur, ce qui fixe le diaphragme à sa valeur d'ouverture Cependant, avec le circuit de commande de diaphragme 70, bien que le signal de sortie de l'amplificateur 58 se trouve à son niveau'H"dans ce cas, la tension Vp 7 appliquée à la borne d'entrée non-inverseuse de l'amplificateur 72 est supérieur

de R O Ij, à la tension appliquée à sa borne d'entrée inver-

seuse, ou bien à la tension de sortie Vp 2 de l'amplificateur 43, de sorte que l'amplificateur 72 produit à sa sortie un signal de niveau "H" Puisque le flash électronique est relié à l'appareil photographique, et puisque le signal de chargement Sc appliqué à la borne 55 prend son niveau "H la porte 73 produit à sa sortie un signal de niveau "L", de sorte que la porte 75 produit à sa sortie un signal de niveau "L", bien que le signal de sortie de l'ampoificateur 58 se trouve au niveau "H", ce qui permet l'excitation de l'électro-aimant 59 pour amorcer la commande de diaphragi L'ouverture du diaphragme 14 est progressivement réduite et en conséquence, la grandeur du photocourant Ip diminue progressivement pour permettre à la tension VP 2 d'augmenter graduellement jusqu'à ce qu'elle atteigne la valeur de la tension Vp V, ou bien jusqu'à ce que l'équation suivante s'applique lse référer aux équations ( 3) et ( 17)1: k T VREF k T VREF ( 8 q Ip'h R = R Ii + N Ip h RE ( 18) q Ip'h FER O i F Ensuite, le signal de l'amplificateur 72 passe au niveau "L" de sorte que la sortie de la porte 73 passe au niveau "H", ce qui oblige la porte 75 à produire à sa sortie un signal de niveau "H" En conséquence, l'électro- aimant 59 est désexcité, ce qui arrête la commande de diaphragme Il

est évident que Ip apparaissant dans l'équation ( 18) re-

présente la grandeur du photocourant quand le diaphragme 14 est ouvert, tandis que Ip' représente la grandeur du

photocourant à la fin de la commande de diaphragme.

En d'autres termes, lorsque le flash électronique automatique TTL est utilisé, la présence du signal Sc de chargement de flash électronique provoque une réduction de l'ouverture de diaphragme d'un nombre donné d'échelons

à partir de la valeur d'ouverture complète, qui est déter-

minée à la tension de polarisation R Ij appliquée aux o bornes de la résistance 71 En conséquence, la commande de

diaphragme effectuée par le circuit 70 s'effectue confor-

mément au programme représenté sur la Figure 5, par exemple.

La Figure 5 représente des programmes pour l'utilisation d'une lentille de prise de vues de F 1,4 et une vitesse

de film de ASA 100 Par comparaison aux programmes repré-

sentés sur la Fig 3 A, on voit que les programmes a utilisés pendant une opération de photographie normale qui

est effectuée sans l'aide d'un flash électronique automa-

tique TTL restent les mêmes entre les deux figures.

Cependant, en ce qui concerne les programmes b qui se produisent lorsqu'on utilise un flash électronique

automatique TTL pour une prise de vue, on voit en réfé-

rence à l'agencement de la Fig 5 que l'ouverture de diaphragme ne reste pas à sa valeur d'ouverture complète de 1,4 mais prend une valeur (A 2,2) qui est réduite d'un échelon et demi par rapport à la valeur d'ouverture complète (A = 1,4) En conséquence, lors de la prise d'une vue à l'aide du flash électronique automatique TTL, l'ouverture de diaphragme est commandée à une valeur qui est inférieure à la valeur d'ouverture complète d'un nombre donné d'échelons, en assurant l'exécution d'une opération de photographie satisfaisante sous la lumière

du flash.

Lorsque l'objet à photographier présente un certain niveau de brillance, la commande de diaphragme produit une valeur d'ouverture de diaphragme qui est comprise entre la valeur d'ouverture mentionnée en dernier (A 2,2) et la valeur minimale d'ouverture (A = 16), ce qui établit

une période d'exposition (T = 1/60) essentiellement syn-

chronisée avec le fonctionnement du flash électronique, d'une manière semblable àce qui a été mentionné ci-dessus

en référence au précédent mode de réalisation En consé-

quence, l'exposition est terminée essentiellement en même temps que l'émission de lumière par le flash électronique, et l'émission de lumière par le flash électronique est

supprimée pour sa valeur minimale.

Quand le flash électronique n'est pas utilisé, le signal de chargement Sc de niveau "L" n'est pas appliqué à la borne 55, de sorte que le signal de sortie de la porte 73 prend son niveau "H" En conséquence, le niveau de sortie de la porte 75 coïncide avec le niveau de sortie de l'amplificateur 58, en permettant une commande de diaphragme de la même manière que dans le mode de

réalisation représenté sur la Fig 2.

Dans les circuits de commande de diaphragme 40, 70 des modes de réalisation décrits ci-dessus, c'est la valeur ohmique Rp de la résistance 60 qui détermine une période d'exposition de T = 1/60 de seconde, qui est

obtenue sous l'effet de la commande de diaphragme.

En conséquence, par un choix approprié de la résistance Rp, la commande de diaphragme peut établir une période

d'exposition de T = 1/30 de seconde par exemple.

Dans le processus de photométrie avec réflexion à partir d'une surface de film, une période d'exposition est déterminée en résultat à une photométrie immédiate de la lumière réfléchie par une surface de film En conséquence, s'il se produit une variation de la brillance d'un objet en train d'être photographié pendant l'exposition du film, il en résulte une modification correspondante de la période d'exposition Pour assurer une émission de lumière par le flash électronique, on peut établir une période d'exposition qui est légèrement plus longue que celle

synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique.

Claims (4)

REVENDICATIONS

1. Dans un appareil photographique à photométrie di-

recte TTL apte à effectuer une photométrie par réflexion sur une surface de film et ayant la capacité de commander la quantité de lumière émise par un flash électronique automatique TTL, un circuit de commande d'exposition, associé au flash électronique automatique TTL et qui est caractérisé en ce qu'il comprend: un circuit photométrique pour dériver une tension

correspondant à un courant de sortie d'un élément transduc-

teur photoélectrique qui est utilisé dans le but d'une photométrie; un circuit pour calculer une valeur d'ouverture de diaphragme, le circuit agissant à chaque fois que le flash électronique automatique TTL est utilisé en combinaison avec l'appareil photographique, et réagissant à la grandeur de la tension de sortie du circuit photométrique qui dépend de la brillance d'un objet en train d'être photographié, par calcul d'une valeur d'ouverture de diaphragme de l'appareil photographique; un circuit pour établir une tension de référence correspondant à une période d'exposition synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique; l un comparateur pour comparer une tension de sortie du circuit de calcul avec la tension de référence fournie par le circuit d'établissement de tension de référence précité; un moyen pour commander une valeur d'ouverture de diaphragme en concordance avec un signal de sortie du comparateur; et un circuit de commande pour établir une période d'exposition en concordance avec la brillance d'un objet en train d'être photographié; l'agencement étant tel qu'une période d'exposition soit commandée en concordance avec la brillance d'un objet en train d'être photographié quand la brillance est inférieure à un premier niveau qui est déterminé par une valeur donnée d'ouverture de diaphragme et une période d'exposition synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique et quand la brillance est supérieure à un second niveau qui est déterminé par une valeur maximale d'ouverture de diaphragme et la période d'exposition synchronisée avec le fonctionnement du flash électronique

tandis qu'une commande de diaphragme s'effectue en concor-

dance avec la brillance à chaque fois que la brillance d'un objet en train d'être photographié est comprise

entre le premier et le second niveau.

2 Circuit de commande d'exposition selon la reven-

dication 2, caractérisé en ce que le circuit de calcul d'une valeur d'ouverture de diaphragme comprend un circuit de correction ( 41, 42, 43) pour convertir une valeur de la brillance d'un objet en train d'être photographié qui est déterminée pendant une photométrie d'ouverture en une quantité linéaire appropriée pour être utilisée dans le calcul de sommets, un amplificateur non-inverseur ( 51, 52, 53) recevant à son entrée une tension de sortie provenant du circuit de correction, un condensateur ( 47) pour emmagasiner une tension de sortie du circuit de correction en réponse à un signal d'échantillonnage et de maintien quand un obturateur de l'appareil photographique est chargé, un commutateur analogique ( 45) réagissant au

signal d'échantillonnage et de maintien, un autre commu-

tateur analogique ( 54) pour commuter son niveau de sortie

quand le flash électronique monté sur l'appareil photo-

graphique a terminé son opération de chargement et est prêt à émettre de la lumière, une source de courant constant ( 64), un circuit de symétrie de courant ( 62, 63) et une résistance variable ( 57) qui est utilisée pour prérégler

la vitesse de film.

3. Circuit de commande d'exposition selon la reven-

dication 1, caractérisé en ce que le circuit d'établisse-

ment de tension de référence comprend une résistance ( 60) reliée à une borne à laquelle la tension de référence est appliquée, cette résistance ayant une valeur ohmique qui détermine une période d'exposition, une source de courant

constant ( 64) et un circuit de symétrie de courant ( 63, 64).

28 25 19155

4 Circuit de commande d'exposition selon la revendication 1, caractérisé en ce que le comparateur comprend un amplificateur

opérationnel ( 58).

Circuit de commande d'exposition selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit moyen de commande de la valeur d'ou-

verture de diaphragme comprend un électro-aimant ( 59).

6 Circuit de commande d'exposition selon la revendication 1, dans lequel la valeur donnée d'ouverture de diaphragme représente

une valeur d'ouverture complète de diaphragme.

7 Circuit de commande d'exposition selon la revendication 1, caractérisé en ce que la valeur donnée d'ouverture de diaphragme représente une valeur d'ouverture de diaphragme qui est inférieure, d'un nombre donné d'échelons, à la valeur d'ouverture complète de diaphragme. 8 Circuit de commande d'exposition selon la revendication 7, caractérisé en ce que le nombre donné d'échelons est déterminé par une résistance ( 71) qui définit par pré-réglage une tension de polarisation correspondant à la valeur photométrique d'ouverture et par rapport à laquelle une tension photométrique de sortie est

comparée après le déclenchement de l'obturateur.