FR2518575A1 - Procede pour le traitement superficiel de produits plats, en particulier de peaux, et machine pour la mise en oeuvre du procede - Google Patents

Abstract

PROCEDE POUR LE TRAITEMENT SUPERFICIEL DE PRODUITS PLATS, EN PARTICULIER DE PEAUX, ET MACHINE POUR LA MISE EN OEUVRE DU PROCEDE. ON EXECUTE SUR LA PEAU (90), PAR UNE ACTION DE PRESSAGE ET DE LISSAGE EXECUTEE PAR DES ELEMENTS DE TRAITEMENT (9), LE TRAITEMENT SIMULTANE DE PLUSIEURS ZONES (17) SEPAREES ET ESPACEES ENTRE ELLES ET ON REPETE CYCLIQUEMENT CE TRAITEMENT SUR D'AUTRES GROUPES DE ZONES SEPAREES ET ESPACEES ENTRE ELLES, JUSQU'A CE QUE TOUTE LA SURFACE DE LA PEAU AIT ETE TRAITEE AU MOINS UNE FOIS. APPLICATION NOTAMMENT AU POLISSAGE DES PEAUX.

Description

Procède pour le traitement superficiel de produits plats, en particulier de peaux, et machine pour la mise en oeuvre du procédé.

La présente invention concerne un procédé pour le traitement superficiel de produits plats, en particulier de peaux, et une machine pour la mise en oeuvre du procédé.

Comme on le sait, une des opérations finales du tannage des peaux consiste à les polir ou à les nettoyer, pour donner plus de régularité et d'éclat au grain.

Ce polissage est fait actuellement avec une machine qui se compose essentiellement d'une surface d'appui horizontale, qui reçoit la peau à polir et sert de surface antagoniste a l'action d'un cylindre habituellement en verre, qu'on presse sur la peau et qu'on tire sur celle-ci essentiellement radialement par rapport à la structure de la peau.

La peau est alors étalée sur la surface d'appui et le cylindre de verre, relié à un système à genouillère, est tiré, en une succession rapide, du centre de la peau vers sa périphérie, pendant que l'opérateur tourne progressivement la peau, pour traiter successivement toute sa surface.

Avec cette méthode, la qualité du produit fini dépend beaucoup de l'habileté de l'opérateur, qui exécute les rotations successives de la peau ; le nombre des traitements de la peau est ainsi déterminé sur la base d'une estimation absolument personnelle.

Ces machines et ces méthodes permettent seulement une production très lente et les frais du polissage se répercutent fortement sur ceux du produit final.

Cet aspect devient d'autant plus important que le polissage est une des opérations fondamentales du tannage ; le marché a donc un besoin important d'une machine et d'un procéde qui permettent une large automatisation de ce traitement.

Le but de la présente invention est donc d'éviter les défauts indiqués plus haut et de proposer un nouveau procédé de polissage des peaux ainsi qu'une machine permettant une mise en oeuvre automatique de ce procédé, de manière à obtenir un produit final d'une qualité élevée, indépendamment de l'expe- rience et de l'habileté de l'opérateur.

C'est ainsi que la machine doit permettre une réduction importante des temps de production et contribuer à une réduction sensible des frais de fabrication, tout en apportant le maximum de fiabilité et de sécurité dans l'entreprise.

La présente invention concerne donc un procédé pour le traitement superficiel de produits plats et en particulier de peaux, caractérisé en ce qu'on exécute sur la peau, par une action de pressage et de lissage exécutée par des éléments de traitement, le traitement simultané de plusieurs zones séparées et espacées entre elles et qu'on répète cycliquement ce traitement sur-d'autres groupes de zones séparées et espacées entre elles, jusqu'à ce que toute la surface de la peau ait été traitée au moins une fois.

On expliquera l'invention plus en détail à l'aide d'un mode de réalisation donné comme exemple et représenté sur les dessins annexés sur lesquels
la figure 1 est une vue schématique d'une coupe partielle de la machine avec sa table ouverte, avant l'introduction de la peau à traiter
la figure 2 est une coupe partielle de la machine avec sa table fermée, après 11 introduction de la peau
la figure 3 est une coupe suivant la ligne III-III dé la figure 2
la figure 4 est une coupe de détail des dispositifs d'entraînement et d'avance pour la peau à traiter
la figure 5 représente le détail de la roue à cliquet pour l'actionnement des dispositifs faisant avancer la peau
la figure 6 est une coupe suivant VI-VI de la figure 2
la figure 7 est une coupe suivant Vil-Vil de la figure 2
la figure 8 représente un schéma de la peau à traiter ; et
les figures 9 à 13 représentent des schemas des zones successives traitées par le cylindre de traitement.

En se référant aux dessins, la machine de polissage et de nettoyage de la peau comprend un bâti 1, qui possède une première traverse 2, sur laquelle est monté un arbre tournant 3 qui est entraîné autour de son axe par un moto-réducteur 4 ou par un sousensemble analogue, relié à l'arbre par un pignon 5 fixé sur ce dernier (figure 3).

Aux extrémités de l'arbre 3 sont fixés des doigts excentriques 6, qui engrènent en rotation dans les extrémités inférieures des pièces latérales 7, qui portent à leurs extrémités supérieures un cylindre de traitement désigné par le repère général 9.

Dans leur milieu, les pièces latérales 7 sont articulées à des tiges d'articulation 10, dont llau- tre extrémité est articulée a;bâti 1.

Sur un des doigts 6 il est fixé un premier pignon 11, engrenant dans un deuxième pignon 12 qui tourne à une extrémité d'une pièce latérale 7 et est solidaire d'un troisième pignon 13 qui est en liaison, par une chaîne 14, avec un autre pignon 15-fixé sur l'axe du cylindre 9 (figure 3).

L'unité mécanique formée par l'arbre 3, le doigt excentrique 6, les pignons 11 et 12 ainsi que les pièces latérales 7 et les tiges d'articulation 10 contribue à ce -que le cylindre de traitement 9 soit déplacé sur un tronçon de course qui est entièrement parallèle à une table d'appui 20, qui sera décrite plus loin.

Le cylindre de traitement se compose d'un grand nombre de règles longitudinales, qui sont réparties régulièrement sur le pourtour et portent, à des intervalles réguliers, des éléments de traitement 17, qui sont en forme de parallélogramme et dont le but sera décrit plus loin.

La table d'appui 20 déjà nommée est revêtue dlune couche de cuir 21 ou d'une autre matière, qui est fixée dans le haut de la table 20 et reliée, en bas, à des tendeurs 22, qui maintiennent toujours la couche de cuir 21 au contact de la table 20.

La table 20 est reliée à un bloc support 25 au moyen d'une paire de tiges de poussée 26, qui ont entre elles un certain espacement et sont articulées entre le bloc support et la table. Par ailleurs la table est sous l'action d'un vérin pneumatique 27 logé dans le bloc support 25 et raccordé à une source d'air comprimé, pour exercer sur la table 20 la contre-pression voulue.

Pour le déplacement de la table 20, le bloc support 25 est relié par un premier groupe de tiges de poussée 30 à un raccordement central 31, relié de son coté, par un deuxième groupe de tiges de poussée 32 au bâti fixe 1.

Le groupe de raccordement. central 31 est relié à un vérin de poussée 33 ; quand ce vérin monte et soulève donc le raccordement central, il plie la genouillère formée des tiges 30 et 32-, ce qui dégage de la zone de travail le bloc support 25 et la table 20 qui lui est liée.

Sur le bloc support 25 et dans la zone d'une extrémité inférieure de la tige de poussé 30 il est articulé une tige de pression 35, articulée de son côté à un prolongement 36 d'une deuxième traverse fixe 37, soutenant aussi le vérin 33.

A l'extrémité supérieure du bloc support 25, il est articulé, au moyen d'un bras 40, un cylindre - d'appui 41, qui est maintenu en position par un piston 42 articulé entre le bloc support et le bras 40.

Le cylindre d'appui 41 coopère avec un cylindre 50 d'appui et d'entraînement de la peau ; ce dernier cylindre est logé tournant dans le bâti 1 et il porte un revêtement 51, qui ménage la peau en cours de traitement (figure 4).

Sur le cylindre d'entraînement 50 il est fixé une couronne dentée ou roue à rochet 52, sur laquelle agit un cliquet 53, relié à l'extrémité d'un levier 60, qui, dans sa partie moyenne, est articulé sur le bâti 1 et possède, à son autre extrémité, une lumière oblongue 61, dans laquelle se fixe l'articulation.

d'un levier antérieur 62, dont l'autre extrémité est fixée à un tronçon central des pièces latérales 7.

La liaison réciproque est telle que, quand le cylindre de traitement 9 accomplit sa course de travail sur la table 20, le cliquet 53 tourne fou sur la couronne dentée 52, de sorte que le cylindre d'centrale nement 50 est maintenu en position par un cliquet d'arrêt 54 ; dès que le cylindre de traitement 9 se dégage de la table 20 et donc du produit qui est en traitement, le cliquet 53 tombe dans la couronne den tée 52 et la fait tourner d'un pas dans le sens de la sortie, par rapport à la position du doigt de coulissement 55 entre les leviers 60 et 62.

La figure 6 représente des organes de réglage pour la position du bloc support 25 et donc de la table 20.

On prévoit en particulier une barre 70, qui comporte un volant de manoeuvre 71 et un premier pignon conique 72, qui engrène avec un deuxième pignon conique 73 d'axe vertical, solidaire en rotation avec une tige filetée 74, qui est mobile verticalément mais pas en rotation.

Le haut de la tige filetée 74 pénètre dans une douille taraudée 75, reliée par une articulation au raccordement central 31.

La fonction de la douille 75 est de régler le parallélisme de la table 20. Après le réglage, la douille est bloquée dans sa position et elle sert de butée ; la rotation du volant 71 entraîne un deplace- ment de la douille, celle-ci étant élevée ou abaissée, ainsi qu'un changement de l'inclinaison de la genouillère formée par les tiges de poussée 30 et 32 ainsi donc qu'un changement de la pression de la table 20 contre le cylindre de traitement 9.

Le raccordement central 31 est relié à des entraîneurs filetés 80 et 81, qui agissent pratiquement sur les points d'articulation entre les tiges 30 et 32, changent la position verticale de la table 20 et l'adaptent à la linéarité de la course de travail du cylindre de traitement 9.

Le fonctionnement de la machine conforme à l'invention va être expliqué maintenant : dès qu'on met en mouvement le moto-réducteur 4, la rotation de l'arbre 3 fait déplacer, par l'intermédiaire de la liaison à excentrique, le cylindre de traitement 9.

parallèlement à lui-même ; ce cylindre est pressé, dans un pas de sa course, contre la table 20 et il exécute le traitement de la peau 90.

Pendant le pas de sa course, durant lequel il touche la table 20 et donc la peau 90 appliquée sur celle-ci, le cylindre de traitement 9 tourne d'un pas donné sur son axe, de sorte que les Elé- ments de traitement 17 entrent en action sur un certain tronçon de leur pourtour. Comme ces éléments de traitement sont en forme de parallélogrammes, les zones de contact avec la peau, sur laquelle le traitement s'exécute, ont une allure oblique par rapport à l'axe longitudinal de la peau, ce qui étire celleci vers l'extérieur et lui évite des ondulations ou des dommages.

Une fois que la phase de déroulement du cylindre de travailsur la table 20 est finie, le cylindre se dégage de la table au moyen des systèmes d'entraînement indiqués et il remonte en continuant sa rotation sur son axe, de sorte qu'à l'application suivante ducylindre 9 sur la table 20, un nouveau groupe d'éléments de traitement entre en contact avec la table ; ces éléments traitent la peau dans des zones décalées par rapport aux précédentes et ayant entre elles un certain espacement, de sorte qu'avec le cycle de traitement continu, on peut obtenir le traitement de toute la surface de la peau.

Dans la phase ou ce cylindre est dégagé de la table, le cylindre d'entrainement 50 est entraîné par le système d'entraînement composé des leviers 60 et 62, au moyen du cliquet 53, de sorte que lapeau est tirée d'un certain pas vers l'extérieur.

Comme on l'a déjà indiqué, pour l'introduction de la peau, lavable se dégage du cylindre de traitement 9 dans la phase de traitement, de sorte que l'opérateur peut introduire facilement la peau dans la zone de traitement, en la disposant avec son axe longitudinal horizontal, le traitement commençant par la zone centrale longitudinale de la peau et allant vers la périphérie, de sorte qu'on agit toujours sur la peau du centre vers la périphérie, d'une manière surtout radiale.

Dans ce but les éléments de traitement sont inclinés en opposition par rapport à la zone centrale du cylindre de sorte que tous ces éléments ont un effet de traitement qu'on peut définir comme essentiellement radial.

Le nouveau procédé de polissage de la peau prevoit surtout la possibilité de traiter en même temps sur celle-ci un grand nombre de zones séparées et espacées entre eiles, comme on l'a schématisé sur les figures 9 à 13 : à la première passe, les zones 91 sont traitées par leurs éléments et elles ont une inclinaison qui correspond essentiellement au sens normal de la fibre.

Après la première passe, une rotation du cylindre de traitement d'un pas donné met en action une nouvelle série d'éléments pour le traitement de la peau ; ces éléments exécutent un traitement nouveau dans d'autres zones que les précédentes ; ces zones sont aussi essentiellement inclinées radialement.

Le cycle se répète jusqu'à ce que toute la surface de la peau ait été traitée au moins une fois.

Si on règle en conséquence la phase de pré lèvement de la peau, il est possible aussi de polir plusieurs fois la même zone, en superposant plus ou moins les zones de traitement qui se suivent.

Indiquons encore, pour être complet, que le cylindre de traitement, qui exerce sur la peau une action de lissage et de pressage liée à une légère rotation afin d'obtenir un traitement essentiellement radial, comporte intérieurement des dispositifs de chauffage réglés par un thermostat, pour que la peau soit traitée à la température voulue.

Les indications ci-dessus permettent de reconnaître que la présente invention atteint le but indiqué plus haut ; il raut souligner spécialement que le nouveau procédé, qui permet l'usinage simultané de plusieurs zones séparées et espacées entre elles, permet l'automatisation complète du cycle de travail, en garantissant en même temps que le polissage ou le nettoyage de la peau s'exécute en suivant l'allure naturelle des fibres de la peau, ce qui lui donne un déploiement progressif, sans le risque d'un pliage, qui en diminuerait la qualité.

Par ailleurs l'utilisation de la machine conforme à l'invention permet de créer un produit dont la qualité n'est pas influencée par le savoir ou l'expérience de l'opérateur, puisque la répartition nouvelle et rationnelle des éléments de traitement permet un traitement régulier sur toute la surface de la peau.

L'invention décrite plus haut peut être changée et variée à beaucoup de points de vue ; de même tous les détails peuvent être remplacés par d'autres, techniquement équivalents, de même qfle, dans la pratique, les matériaux, dimensions et formes utilisés peuvent être choisis à volonté, sans qu'on sorte pour cela du cadre de l'invention.

Claims (14)

REVENDICATIONS

1. Procédé pour le traitement superficiel- de produits plats et en particulier de peaux, caractérisé en ce qu'on exécute sur la peau, par une action de pressage et de lissage exécutée par des éléments de traitement, le traitement simultané de plusieurs zones séparées et espacées entre elles et qu'on répète cycliquement ce traitement sur d'autres groupes de zones séparées et espacées entre elles, jusqu'à ce que tous te la surface de la peau ait été traitée au moins une fois.

2. Procédé suivant la revendication 1, carac térisé en ce que chaque zone présente essentiellement une allure inclinée du centre vers la périphérie, suivant ainsi essentiellement l'allure naturelle des fibres de la peau.

3. Procédé suivant l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que les zones indiquées, qui sont traitées en même temps, s'alignent essentiellement les unes derrière les autres sur une ligne parallèle à l'axe longitudinal de la peau en traitement.

4. Procédé suivant l'une quelconque des reveBn- dications 1 à 3, caractérisé en ce que le traitement est exécuté essentiellement à partir de la zone centrale longitudinale de la peau, en direction de la périphérie et que le reste de la peau est traité d'une manière analogue.

5. Machine pour la mise en oeuvre du procédé suivant l'une-quelconque des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu'elle comporte un cylindre de traitement (9), .dont la surface latérale a un certain nombre de règles, qui sont réparties régulièrement sur le pourtour et maintiennent entre elles, suivant une certaine distance, un certain nombre d'éléments de traitement.-

6.Machine suivant la revendication 5, caractérisée en ce que les éléments de traitement (17) sont essentiellement en norme de parallélogramme, deux côtés étant parallèles à l'axe du cylindre (9)et les deux autres côtés inclinés et en ce que les éléments de traitement (17) ont, à partir-de-l'axe transversal central du cylindre de traitement (9), les uns par rapport aux autres, une allure' inclinée et de sens contraire.

7. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 et 6, caractérisée en ce que le cylindre de traitement (9) est logé à l'extrémité' supérieu- re d'une paire de pièces latérales (7) qui, -dans une -partie centrale sont articulées, au moyen de tiges d'articulation (10), à un bâti (1) de la machine, et qui comportent à leur extrémité inférieure un doigt (6) coopérant avec un arbre (3) entraîné en rotation par un moto-réducteur '(-4), et en ce que des mécanismes (11-15) sont prévus pour faire tourner le cylindre de traitement (9) sur son propre axe.

8. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisée en ce que les méca neumes '(11-15) d'entraînement en rotation du cylindre de traitement (9)-comprennent un premier pignon (11) fixé sur le doigt (6) et engrenant avec un deuxième pignon (12), logé tournant à l'extrémité des pièces latérales (7) et solidaire d'un troisième pignon (13) qui est relié par une chaîne (14) à un autre Pignon (15) fixé sur l'axe du cylindre (9).

9. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 8, caractérisée en ce qu'elle comporte une table d'appui (20), contre laquelle le cylindre de traitement (9) agit pendant son pas de travail, cette table étant dans un plan essentiellement vertical et étant revêtue par une couche de cuir (21) reliée à des tendeurs (22).

10. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 9, caractérisée en ce qu'elle'com- prend des mécanismes dégageant la table (20) du cylindre de traitement (9) pour l'introduction de la peau (90) et composés d'un premier et d'un deuxième groupe de tiges de poussée (30, 32), articulées à une pièce de raccordement central (31), qui est mobile pour un déplacement de la table (20) parallèlement à elle-même, les premières tiges de pousse (30) étant raccordées à un bloc support (25), auquel est reliée la table d'appui (20) au moyen d'une paire de tiges de poussée (26), la table (20) étant soumise à l'action d'un piston (27) logé dans le bloc support (25)-.

11. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 10, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens de maintien et d'entraînement destinés à la peau en traitement (90) et constitués par un cylindre d'appui (41),qui est logé sur un bras (40) articulé au bloc support (25) et soumis à l'action d'un piston de réglage (42), par un cylindre d'entrai- nement (50) pouvant agir contre le cylindre d'appui (41), le cylindre d'entrainement étant logé tournant dans le bâti (1) et relié à des moyens (52, 53) permettant l'avance dans un sens.

12. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 11, caractérisée en ce que les moyens assurant l'avance dans un sens se composent d'une couronne dentée (52) fixée sur le cylindre d'entraînement (50), avec laquelle coopère un cliquet (53), relié à l'extrémité d'un levier (60), qui est articulé, dans son milieu, au bâti (1) et sont l'autre ex trémité est articulée à un levier antérieur (62), ar ticulé lui-même aux pièces latérales (7) du cylindre de traitement (9).

13. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 12, caractérisée en ce que le point d'articulation entre les leviers (60) et le levier antérieur (62) peut etre fixé à différentes distances du point d'articulation central du levier (60).

14. Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 13, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens commandés par un thermostat pour le chauffage du cylindre de traitement (9).