Réducteur de vitesse. La présente invention concerne un réduc teur de vitesse pour bicyclettes et autre véhicules.
Sur l'axe moteur (l'axe du pédalier en cas de bicyclette) sont montés deux pignons dentés (le diamètres plus ou moins égaux dont l'un est claveté sur l'axe, tandis que l'autre est fou sur lui.
Le pignon fixé sur l'axe moteur est relié ;iii moyen d'iin organe de transmission avec un pignon monté sur le moyen d'une roue ar rière du véhicule. Ces deux pignons ont à peu près des diamètres égaux (le sorte que la vi- te@se de l'axe moteur est à peu près la. même que celle de l'axe de la roue arrière.
Au départ ou pour grimper une côte. on applique cette vitesse modérée. Ce sont clone ces deux pignons qui correspondent, au roule ment à vitesse modérée.
Lorsque pendant le voyage on désire mar cher à vitesse accélérée, on fait usage du pi rnon monté fou sur l'axe moteur. A cet effet ce pignon est muni d'un dispositif particulier d'accouplement à coquille, comprenant un ro chet solidaire de l'axe moteur, et Lui cliquet fixe à la coquille solidaire elle-même ('tu pignon fou, l'embrayage et le désem- brayage par le cliquet s'obtenant au moyen d'un levier-came monté sur le pivot du cliquet, et mn, pour l'embrayage par un ressort,
et, pour le désembrayage, par un le vier placé dans un plan perpendiculaire, et ac tionné par le conducteur. Un organe de trans mission relie ce pignon avec un pignon de petit diamètre monté. sur un axe on arbre in- teririédiaire sur lequel est. monté un second pignon ayant un grand diamètre, lequel à son tour est relié avec un pignon de petit diamè tre monté sur le moyeu de la roue arrière.
L a multiplication de vitesse correspondra donc au produit des rapports entre les dia- niètres de cequatre pignons reliés deux à deux.
Afin clc bien i'a.ire comprendre la nature de l'invention celle-ci est représentée, mais, à titre d'exemple seulement, aux dessins an nexés, auxquels: Uig. 1 est une élévation latérale du dis positif indiqué schématiquement; Fi-. 2? est un plan correspondant: â, la fib. 1, les deux pignons étant juxtaposés sur l'axe moteur;
ri#r. 3 est i?ii plan d'une variante construc tive, dans laquelle les deux pignons sont pla cés svmétriquenient par rapport an plan mé dian du véhicule; I'ig. 4 à. 18 montrent les diverses pièces constituant un dispositif d'accouplement en tre l'axe moteur et le pignon monté fou sur l'arbre moteur.
Aux <U>fi-.</U> 1 à. 4, 1 désigne l'axe moteur (en cas d'une bicyclette l'axe (lu pédalier), le quel est actionné soit par un moteur, soit au moyen de la force musculaire. Sur cet axe 1 sont montés deux pignons 2 et 3 qui sont plus ou moins de même diamètre.
Le pignon 2 claveté sur l'axe 1 transmet le mouvement de rotation imprimé à ce der nier ii. un pignon 4 fixé sur le moyeu de la roue arrière (ou d'une des roues arrière), soit au moyen d'une chaîne ou de tous autres or ganes moyen transmission appropriée.
Les diamètres de ces deux pignons 2 et 4 diffèrent peu afin que les vitesses de l'axe moteur et celle de la roue arrière soient peu différentes. C'est la vitesse modérée, qui colt- vient lors du départ ou pour monter des cô- les. S'agit-il de rouler à une vitesse accélérée, le mouvement (le l'axe moteur est transmis a.11 moyen dit pignon fou 3, et à cet effet le dispositif d'accouplement entre ce pignon et l'axe moteur devra être embrayé.
Le pignon 3, à l'aide d'une chaîne, fait tourner un pignon de petit diamètre 6 calé sur un axe intermédiaire 8, lequel porte un second pignon de grand diamètre 7, qui est relu- par une chaîne avec un pignon 9 de petit diamètre calé sur le moyeu de la roue arrière.
L'axe 1 porte un excentrique (non repré senté) pour assurer la tension des chaînes passant sur les pignons 2 et 3; les autres chaînes sont tendues au moyen de dispositifs tendeurs fixés sur l'essieu 5 de la roue (ou des roues) arrière. (Ces tendeurs ne sont pas non plus représentés au dessin).
Les figure: schématiques 1. à 4 représen tent. les dispositifs de transmission en cas (le bicyclette, la partie arrière de celle-ci étant représentée jusqu'à. l'axe du pédalier. La fi-. 2 montre les deus pignons 2 et 3 juxtaposés sur l'axe mol;eur; à la fi--. ') ces deux pignons sont placés symétriquement par rapport au plan médian du véhicule.
Les pignons \? et 'a peuvent être placés tous les deux soit < i droite, soit Ù -louche par rapport à l'axe médian. Dans cet arrangement spécial on peut encore se servir des pignons et 4 pour la marche â vitesse niod@#rée , comme dan: les constructions précédente... Pour la marche accélérée on se sert des pi gnons 3 et 9.
La roue libre 4 et la. roue libr,@ 9 sont bien fixées au moyen de la, roue ar rière, mais il ne faut pas perdre de vue chie l'une et l'autre sont libres sur ce moyeu et non fixées sur l'axe<B>5.</B> En conséquence, quand on embraye le pignon 3, la. roue libre 4 est aussi entraînée. mais tourne à vide sans s'en grener sur le moyeu.
Le dispositif d'a.ccoupletnent entre le pi gnon 3 et l'axe 1 est représenté aux fig. 4 à 18 du dessin.
Ce dispositif comporte une coquille I fix(@c @iir le pi.-non 3 (fig. 5 et 6), une roue à. roehel; Il (fig. 7 et 8). calée sur l'axe 1, 111i cliquet 12 (fig. Il et 12@. enfin un écrou de serrage 13 (fig. 9 et<B>10)</B> et un contre-écrou 11 (fig. 13 et 141.
Sur l'axe d'oscillation du cliquet 12 est monté un levier-came 15 (fig. 16). Cette came 15 actionne le cliquet 12 pour l'amener en prise avec la roue â rochet 11 ou le dé-,a-(-r des dents de cette roue.
La fig. 17 montre que le cliquet 12 est monté avec le levier 15 de façon que, quand la pointe du levier s'abaisse. le cliquet se lève et inversement.
Quand le cliquet est engagé clans Ies dents du rochet, l'accouplement entre le l)ignon 3 et l'axe 1 est établi. Dans le cas où le cliquet est dégagé, l'accouplement est débrayé.
La came 15 est elle-même actionnée par un levier 16 (fig. l-5). Ce dernier est monté sur le châssis du véhicule clans un plan per pendiculaire à celui du pignon 3. Le pivot de ce levier-16 est donc parallèle ,iii- pignon ;. Lorsque le cliquet 12 engrène : cc let dents de la roue à rochet 11, le levier 16 ire peut plus déplacer la carne 15 sur son axe.
Dans cette position donc le pignon 3 est. ennbravo avec l'axe 1. Cette position est maintenue par s 'te (lu ressort<B>17</B> (fig. <B>15)</B> relié au lo-e- ni #1 ment du pédalier.
Pour 1 embrayage, la came 1<B>5</B> est main tenue en position levée pour un ressort < < lame 18 (fig. 17).
Pour débrayer, le levier 16 est tiré vers le haut à l'aide (le la corde 19 attachée par son extrémité opposée à un levier monté, soit sur un tube du cadre, soit au guidon (non re présenté). Lorsqu'on tire sur la corde 19, le levier 16 oscille sur son axe de rotation et pousse vers le bas la came 15 (fi,,. 17), la quelle fait osciller le cliquet de bas en bout en le dégageant (les (lents (le 1:7 roue à rochet.
La fi-. 4 et une vue en plan perpendicu laire à la fig. 17. et elle indique la disposi- Gm du cliquet 12 et des leviers 15 et 16.
La. fig. 17 représente ces divers organes pendant leur fonctionnement. La position de la came reprt"@-ntée un traits pleins corres- Pond < i. 1 < t position (l'embrayage. le cliquet 1\? engrenant avec la roue à rochet.
L a position de la came là et du levier 16 indiquée en traits interrompus correspond au débrayage, le cliquel; n'engrenant plus dans les (lents de la roue ii rochet<B>Il.</B>
De plus on fait usage d'une "clavette de secours" pour caler le pignon 3 sur l'axe iuo- teur 1 en cas où l'un ou l'autre organe dit mécanisme d'accouplement décrit ci-dessus viendrait ii se casser ou à devenir défectueux. Bien entendu, le bieyeliste ou conducteur dis véhicule devra clans ce cas descendre de son. siège pour placer la clavette dans la position vouble.
Cetl.e clavette peut avoir toute forme ap propriée, par exemple la forme ordinaire pour le calage d'un manchon sur son arbre. et ell- peut être chassée dans des entailles corres- pondantes pratiquée= <B>il</B> 1:i pe@riplnqrie inlern, de la coquill(#. par exemple.
EMI0003.0067
L <SEP> ;
i <SEP> <B>fi-.</B> <SEP> 18 <SEP> représente <SEP> une <SEP> coupe <SEP> partielle
<tb> d7i <SEP> dispositif <SEP> en <SEP> place <SEP> sur <SEP> l'axe <SEP> moteur <SEP> 1. <SEP> 11
<tb> désigne <SEP> la <SEP> roue <SEP> it <SEP> rochet <SEP> solidaire <SEP> de <SEP> l'axe <SEP> et
<tb> tournant, <SEP> avec <SEP> interposition <SEP> d'un <SEP> roulement
<tb> â <SEP> bille, <SEP> clans <SEP> la, <SEP> coquille <SEP> 10 <SEP> fixée <SEP> sur <SEP> le <SEP> pi <B>0,11 <SEP> 011</B> <SEP> 3. <SEP> .L'écrou <SEP> 13 <SEP> est <SEP> vissé <SEP> sur <SEP> le <SEP> moyeu <SEP> de
<tb> la <SEP> roue <SEP> < i <SEP> rochet <SEP> et <SEP> maintenu <SEP> par <SEP> le <SEP> contre écrou <SEP> 11.
<tb> Il <SEP> est <SEP> évident <SEP> (lue <SEP> l'un <SEP> ou <SEP> l'autre <SEP> des <SEP> or 1;
tneS <SEP> dudit <SEP> dispositif <SEP> peut <SEP> différer <SEP> de <SEP> celui.
<tb> décrit <SEP> ci-dessus <SEP> en <SEP> référence <SEP> aux <SEP> figures. <SEP> et
<tb> que <SEP> tel <SEP> oc( <SEP> tel <SEP> arrangement <SEP> peut <SEP> varier <SEP> dans
<tb> son <SEP> ensemble <SEP> sans <SEP> que <SEP> pour <SEP> cela <SEP> le <SEP> principe
<tb> de <SEP> l'invention, <SEP> tel <SEP> qu'il <SEP> est <SEP> exposé <SEP> ci-dessus
<tb> et <SEP> revendiqué, <SEP> soit <SEP> él.u(1(@.