CH677510A5 - - Google Patents

Description

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Description

La présente invention se rapporte à un dispositif pour mesurer le passage d'une longueur déterminée d'un tissu au droit de ['aiguille d'une machine à coudre et pour transmettre un signal au circuit de commande de cette machine aux extrémités du passage de cette longueur déterminée, comprenant un dispositif de contact électrique comportant d'une part, une paire de repères conducteurs dont l'un est fixe et forme l'origine de ladite longueur et dont l'autre est solidaire d'un organe de réglage mobile et fixe la fin de cette longueur, des moyens de guidage en prise avec cet organe de réglage pour lui communiquer une trajectoire déterminée et, d'autre part, des moyens de contact disposés entre la paire de repères conducteurs, l'un de ces éléments, moyens de contact, paire de repères conducteurs, étant solidaire d'un mobile en prise avec des moyens de guidage pour lui communiquer une trajectoire parallèle à celle dudit organe de réglage, des moyens pour mettre ce mobile en prise-avec le tissu à coudre pour provoquer son entraînement en fonction de l'avance du tissu et un organe élastique de rappel tendant constamment à ramener ce mobile dans une position dans laquelle le repère fixant l'origine de la longueur à enregistrer et les moyens de contact sont réunis.

On a déjà proposé de nombreux dispositifs pour mesurer une longueur déterminée de tissu, associés à un circuit de commande d'une machine à coudre. Les signaux électriques indiquant au circuit de commande respectivement l'origine et la fin du passage de longueur déterminée du tissu au droit de l'aiguille de la machine à coudre peuvent être engendrés par des moyens mécaniques, magnétiques, électro-optiques ou électriques. L'avantage des moyens électriques est de ne pas avoir recours à un intermédiaire et d'agir directement sur le circuit électrique de commande de la machine ce qui constitue un gage de précision et de sécurité de fonctionnement que l'on ne retrouve pas avec les autres moyens susmentionnés.

Un tel dispositif a déjà été proposé pour effectuer la couture des boutonnières dans le US-A 4409 913. A cet effet, la barre du pied presse-étoffe est conductrice de l'électricité et est reliée d'une part à une borne du circuit de commande de la machine et, d'autre part, à un premier organe de contact, solidaire du pied presse-étoffe. Un second organe de contact, isolé du premier et également solidaire du pied presse étoffe, est connecté à l'autre pôle de ce circuit de commande par un fil passant à l'intérieur de la tige tubuläre de ce pied. Ces deux organes de contact sont chacun muni d'un trotteur, qui est en contact avec une piste isolante, constituée par deux coulîsseaux, dont le premier est monté coulissant sur le pied presseur du presse-étoffe, et est destiné à être entraîné par l'avance du tissu. Ce premier coulisseau porte un conducteur disposé transversalement à la piste isolante, un second conducteur semblable étant porté par le second coulisseau qui est réglable par coulissement sur le premier, pour déterminer la longueur de la course du tissu. Lorsque les organes de contact rencontrent l'un ou l'autre des conducteurs, les deux bornes du circuit de commande sont réunies et le signai indique que le dispositif de mesure se trouve à l'une ou l'autre extrémité de la longueur de course désirée pour la couture du tissu.

Dans la solution proposée, les repères conducteurs solidaires des coulîsseaux respectifs sont, du point de vue électrique, des éléments passifs puisqu'ils ne sont pas directement destinés à être reliés au circuit de commande, mais le sont indirectement, lorsque les organes de contact se rencontrent. Cette solution, dans laquelle les deux organes de contact sont solidaires d'un même élément, nécessite de les isoler l'un de l'autre, multipliant le nombre de pièces nécessaires et augmentant le temps d'assemblage. On comprend aisément que cette solution a été adoptée dans la mesure où il aurait été encore plus compliqué de relier les repères solidaires des coulisseaux à l'une des bornes du circuit de commande. Un autre inconvénient de ce dispositif réside dans le fait qu'il est relativement encombrant et que, pour venir en prise avec le tissu, il est nécessaire de pincer la portion de tissu à coudre, ce qui complique le travail de l'opérateur.

Le but de la présente invention est d'apporter une simplification à ce dispositif aussi bien du point de vue de sa fabrication que de son utilisation et de réduire son encombrement.

A cet effet, la présente invention a pour objet un dispositif pour mesurer le passage d'une longueur déterminée de tissu au droit de l'aiguille d'une machine à coudre selon la revendication 1.

D'autres avantages du dispositif, objet de cette invention, apparaîtront à la lumière de la description qui va suivre et du dessin annexé qui en illustre, schématiquement et à titre d'exemple, une forme d'exécution.

La fig. 1 est une vue en perspective d'un pied presse étoffe et d'une forme d'exécution du dispositif destiné à être relié à ce pied de façon amovible.

La fig. 2 est une vue en coupe de ce dispositif selon la ligne II-II de la fig. 3.

La fig. 3 est une vue en coupe selon la ligne Ill-III de la fig. 2.

La fig. 4 est une vue en coupe selon la ligne IV-IV de la fig. 2.

La fig. 5 est un schéma-bloc de commande d'une machine à coudre électronique à mémoire.

Le dispositif pour mesurer le passage d'une longueur déterminée d'un tissu au droit de l'aiguille de la machine à coudre comporte un bâti 1 muni de deux coulisseaux 2 destinés à s'engager à frottement dans deux coulisses 3 ménagées sur le presse-étoffe 4 de la machine à coudre.

Ce bâti présente deux flasques 1a, 1b dans lesquelles un arbre 5 est chassé. Cet arbre 5 traverse librement un cylindre 7 solidaire d'un bras 8 portant le mécanisme de mesure de longueur que l'on décrira ci-après. Le cylindre 7 porte à une extrémité, une cheville excentrique 9 qui pénètre dans un dégagement 10 du flasque 1 a. Un ressort à boudin 11, disposé dans un logement du bâti 1, appuie contre une surface du bras 8, appliquant la cheville excen5

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trique 9 contre le dégagement 10, limitant ainsi le déplacement vers le bas du bras 8 par rapport au bâti 1.

Ce bras 8 porte une tige fixe 15 qui s'étend latéralement vers l'extérieur ainsi que deux pignons 16 et 17 solidaires d'un arbre commun 18 monté rotative-ment à travers un alésage du bras 8 parallèle à la tige fixe 15. Le diamètre du pignon 16 est supérieur à celui du pignon 17.

La tige fixe 15 est destinée à recevoir un barillet 19 comportant une denture 21 en prise avec celle du pignon 17 et renfermant un ressort spirale 20 dont l'extrémité intérieure se croche sur un crochet 22 solidaire de cette tige 15, alors que son extrémité extérieure est rendue solidaire de la face cylindrique interne du barillet 19. Ce barillet 19 porte encore, sur sa face externe, une cheville 23 qui s'étend parallèlement à son axe.

Le bâti 1 et le bras 8 sont en matière plastique isolante, alors que le barillet 19 et sa cheville 23 sont en métal. Un frotteur métallique 24 destiné à être relié à l'une des bornes d'un circuit de commande de la machine que l'on décrira par la suite, est fixé au bâti isolant 1 et est destiné à s'appuyer élastiquement sur la face latérale non dentée du barillet 19, pour le relier à cette borne du circuit de commande. A cet effet une borne 24* de ce frotteur 24 se trouve sur une face du bâti 1 destinée à venir en contact avec un conducteur (non représenté) porté par le pied presse-étoffe 4.

Une platine 25 (fig 1, 2 et 3), en matière isolante, est percée d'une ouverture centrale pour le passage de la tige fixe 15 et d'une ouverture en arc de cercle 27 centrée sur l'ouverture centrale pour le passage de la cheville 23 du barillet 19. Cette platine 25 est fixée au bras 8 à l'aide de deux vis 26 et porte un élément de contact électrique élastique 28 disposé à une extrémité de l'ouverture en arc de cercle 27, et présentant une branche 28a qui s'étend dans une gorge annulaire 25a.

Un tambour 29, muni d'une ouverture axiale 32 (fig. 4), est monté rotativement sur la tige fixe 15. Ce tambour comporte une graduation 30 (fig. 1) sur sa face cylindrique externe, qui peut être déplacée en regard d'un repère 31 qui apparaît sur un rebord de la plaquette 25. Ce tambour comporte encore une gorge en arc de cercle 33 centrée sur l'ouverture axiale 32. Un élément de contact élastique 34 est disposé à une extrémité de cette gorge 33. Ce tambour 29 est en un matériau isolant de l'électricité, tel qu'en matière plastique, et il porte une bague métallique 35 qui fait saillie axialement et contre la face interne de laquelle s'appuient une branche 34a de l'élément de contact 34, ainsi que la branche 28a de l'autre élément de contact 28 solidaire de la platine 25, lorsque le tambour est monté sur la tige fixe 15 et que la partie saillante de la bague métallique 35 pénètre dans la gorge annulaire 25a. Un frotteur 36 appuie élastiquement contre la face externe de cette bague métallique 35 et est relié à la seconde borne du circuit de commande, par sa borne 36* destinée à venir en contact avec un conducteur (non représenté), porté par le presse-étoffe 4. Par conséquent, les contacts 28 et 34 sont reliés à une même borne, tandis que le barillet 19 et sa cheville

23 sont reliés à l'autre borne. Une butée fixe 37 fait saillie de la platine 25; elle est destinée à pénétrer dans la gorge en arc de cercle 33 du tambour 29 pour en limiter la course angulaire.

Lorsque les différents éléments du dispositif de mesure décrit sont assemblés sur la tige fixe 15 du bras 8, comme illustré par la fig. 2, la cheville 23 du barillet 19 passe à travers l'ouverture en arc de cercle 27 et pénètre dans la gorge en arc de cercle 33.

Le schéma-bloc de la fig. 5 illustre un exemple d'utilisation du dispositif de mesure décrit ci-dessus, appliqué à la confection d'une boutonnière, étant entendu que ce dispositif de mesure peut être utilisé pour fa confection de toutes sortes de motifs, par exemple, pour la répétition d'une couture de longueur constante.

Ce schéma-bloc comporte une mémoire d'adresses de phases 38 des différentes phases de la boutonnière, dans cet exemple, celles-ci sont au nombre de six, illustrées par une portion de mémoire électronique 39. La mémoire d'adresses de phases 38 est reliée à une sélection de la mémoire 40 qui permet de choisir un type de boutonnière dans cette mémoire et de choisir entre un mode automatique ou un mode manuel, ce dernier consistant à ce que la machine s'arrête après chaque phase du programme affiché dans la mémoire électronique 39. Cette mémoire d'adresses de phases 38 est encore reliée à un compteur d'adresses de phases 41 et à un compteur 42 qui est relié à un détecteur de position 43 de la barre à aiguille (non représentée) et qui forme une impulsion chaque fois qu'un point est terminé.

Ce compteur 42 est encore relié à un bloc 44 destiné à transmettre son impulsion à l'une des entrées d'un élément logique ET 45 dont la sortie est reliée au compteur d'adresses de phases 41 et dont la seconde entrée est reliée à un bloc générateur d'impulsions 46, lui-même connecté à la sortie d'un élément logique OU 47 dont les entrées sont reliées, d'une part, au dispositif de commande décrit ci-dessus et dont les éléments de contact 23, 28 et 34 ont été représentés dans un rectangle symbolisant ce dispositif et, d'autre part, à un contact manuel 48 dans le cas où la sélection de la mémoire 40 a été choisie pour effectuer manuellement la boutonnière, c'est-à-dire où le début de chaque phase est commandé par l'opérateur.

On a encore représenté sur ce schéma-bloc une pédale 49 reliée à une commande 50 d'un moteur 51 d'entraînement de la machine.

Pour procéder à la couture d'une boutonnière à l'aide du dispositif de mesure décrit, l'opérateur choisit la longueur de la boutonnière à l'aide du tambour 29 en tournant la graduation 30 jusqu'à ce que la valeur de cette longueur se trouve vis-à-vis du repère 31. Ensuite, l'opérateur sélectionne le type de boutonnière ainsi que son mode de réalisation (automatique ou manuel) à l'aide de la sélection de la mémoire 40 et, dès ce moment, il met la machine en marche en actionnant la pédale 49. La machine exécute alors la phase 1 du programme représenté dans la mémoire électronique 39.

Lorsque le tissu T est entraîné, celui-ci fait tour5

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ner le pignon 16 qui appuie élastiquement contre lui, de sorte que le pignon 17, qui engrène avec le barillet 19, provoque, d'une part, le déplacement angulaire de la cheville 23 en direction de l'élément de contact 34 solidaire du tambour 29 et, d'autre part, J'armage du ressort spirale 20, dont l'extrémité intérieure est solidaire de l'arbre fixe 15.

Lorsque la cheville 23 rencontre l'élément de contact 34, une impulsion est produite par le générateur d'impulsion 46 et transmise à l'élément logique ET 45» Etant donné que cette impulsion peut intervenir avant la fin d'un point, le détecteur de position 43 de la barre à aiguille communique au compteur 42, le moment où le point en cours de confection est terminé. Ä ce moment, une impulsion apparaît à la sortie du bloc 44, de sorte que l'élément logique ET 45 produit un signal qu'il transmet au compteur d'adresses de phases 41, qui indique, à la mémoire d'adresses de phases 38, la fin de la phase en cours. Si l'opérateur a choisi un mode de travail automatique, la mémoire d'adresses de phases 38 commute la mémoire électronique 39 sur la phase 2 et fait repartir le processus de couture qui avait été interrompu à la fin de la phase 1. Dans le cas du mode de travail dit «manuel», l'opérateur doit actionner le contact manuel 48 pour amorcer la phase suivante,

La machine ramène le tissu T en arrière en effectuant une couture droite parallèle à la couture en zig-zag de la phase 1. Comme le pignon 16 n'a pas quitté le tissu, il est tourné en sens inverse, ramenant la cheville 23 vers le contact 28 et désarmant le ressort 20.

Dès que cette seconde phase est terminée, par la rencontre de la cheville 23 et de l'élément de contact 28 et l'indication, par le compteur 42, de la fin du point en cours d'exécution, le processus d'amorçage de la phase 3 se répète, comme dans le cas du passage de la phase 1 à la phase 2 décrit ci-dessus. Ensuite, les phases 4, 5 et 6 sont exécutées successivement de la même manière, après quoi la boutonnière est terminée. En relevant le pied presse-étoffe 4 de la machine, le pignon 16 est libéré, permettant au ressort 20 de ramener le barillet 19 dans sa position Initiale avec la cheville 23 contre l'élément de contact 28.

Grâce, notamment, au ressort 20 qui ramène le barillet 19 et sa cheville 23 à leur position de départ dès que le pignon 16 est dégagé du tissu, ce dispositif peut être utilisé pour répéter n'importe quel motif sur une même longueur déterminée par la position de la graduation 30 du tambour 29. En effet, une fois la longueur choisie, sur cette graduation 30, celle-ci reste dans cette position et la cheville 23 se déplace de l'élément de contact fixe 28 à l'élément de contact 34 solidaire du tambour 29. Dès que le pied presseur 4 est relevé, cette cheville 23 est ramenée contre l'élément de contact 28 sans que la graduation 30 ne bouge, de sorte que la même longueur de couture peut être répétée tant que l'on ne modifie pas la position de la graduation 30 du tambour 29.

Claims (1)

1. Revendications

   1. Dispositif pour mesurer le passage d'une longueur déterminée d'un tissu au droit de l'aiguille d'une machine à coudre et pour transmettre un signal au circuit de commande de cette machine aux extrémités du passage de cette longueur déterminée, comprenant un dispositif de contact électrique comportant d'une part, une paire de repères conducteurs (28, 34) dont l'un est fixe et forme l'origine de ladite longueur et dont l'autre est solidaire d'un organe de réglage mobile (29) et fixe la fin de cette longueur, des moyens de guidage en prise avec cet organe de réglage pour lui communiquer une trajectoire déterminée et, d'autre part, des moyens de contact (23) disposés entre la paire de repères conducteurs, l'un de ces éléments, moyens de contact, paire de repères conducteurs, étant solidaire d'un mobile (19) en prise avec des moyens de guidage pour lui communiquer une trajectoire parallèle à celle dudit organe de réglage, des moyens (16,17, 18,21) pour mettre ce mobile (19) en prise avec le tissu à coudre pour provoquer son entraînement en fonction de l'avance du tissu et un organe élastique de rappel (20) tendant constamment à ramener ce mobile (19) dans une position dans laquelle le repère (28) fixant l'origine de la longueur à enregistrer et les moyens de contact (23) sont réunis, caractérisé par le fait que ces repères conducteurs (28, 34) sont tous deux reliés à une même borne électrique du dispositif tandis que les moyens de contact, isolés électriquement desdits repères, comportent un élément conducteur relié à la seconde borne électrique du dispositif, ces bornes étant destinées à être connectées aux bornes respectives du circuit de commande de la machine à coudre.

   2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que cette paire de repères conducteurs (28, 34) d'une part, et ces moyens de contact (23) d'autre part, sont reliés à deux bornes (24*, 36*) du dispositif par l'intermédiaire de deux pistes circulaires (19, 35) respectives, montées rotativement autour d'un axe commun et associées à deux trotteurs conducteurs respectifs (24, 36), l'une de ces pistes étant solidaire dudit mobile (19), tandis que l'autre est solidaire de l'un desdits repères (34) et en contact avec l'autre repère et constitue ledit organe de réglage pour varier l'écartement entre les repères.

   3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé par le fait que ledit axe commun (15) porte, ledit mobile (19) muni à sa périphérie de l'une desdites pistes et dont une face axiale porte- Iesdits moyens de contact (23), cet axe (15) étant par ailleurs solidaire d'une platine isolante (25) traversée par une ouverture en arc de cercle (27) centrée sur lui et destinée au passage desdits moyens de contact (23) et à une extrémité de laquelle se trouve l'un desdits repères (28), et que cet axe (15) porte de plus, un mobile de réglage de longueur (29) en matière isolante monté pivotant et comportant, sur une face adjacente à ladite platine (25), une gorge circulaire (33), concentrique et de même rayon que ladite ouverture en arc de cercle (27), pour recevoir Iesdits moyens de contact (23), le second desdits repères (34) disposé à une extrémité de ladite gorge (33) et une bague métallique (35) faisant saillie axia-lement pour s'engager dans un dégagement corres-

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   pondant (25a) de ladite platine (25) et venir en contact avec une portion de chacun desdits repères (28, 34) et, avec l'un desdits trotteurs conducteurs (36) destinés à être reliés à l'autre borne dudît circuit de commande,

   4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé par le fait que ledit mobile (19) est constitué par un tambour renfermant un ressort de rappel (20) en spirale dont l'extrémité interne est fixée audit axe commun (15) et l'extrémité externe est fixée à la face latérale interne du tambour dont la face latérale externe présente une denture en prise avec un pignon (17) solidaire d'un arbre (18) parallèle audit axe commun (15), monté rotativement et solidaire d'un second pignon (16) de plus grand diamètre que le premier pignon, destiné à venir en prise avec le tissu à coudre.

   5. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé par le fait que ledit axe commun (15) est solidaire d'un bras (8) articulé autour d'un axe (5) qui lui est parallèle et que l'angle d'articulation de ce bras vers le tissu est limité par un dispositif de butée (9, 10), des moyens élastiques (11) tendant à appliquer constamment ce bras (8) vers cette butée (10).

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