FR2521605A1 - Dispositif de detection de la longueur d'une couture, machine a coudre munie d'un tel dispositif, et procede de couture partiellement automatise - Google Patents
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Abstract
L'INVENTION CONCERNE LA DETECTION DE LA LONGUEUR D'ETOFFE COUSUE PAR UNE MACHINE A COUDRE. ELLE SE RAPPORTE A UN APPAREIL DE DETECTION DANS LEQUEL UNE MOLETTE 128 EST MONTEE SUR UN ORGANE BASCULANT 88 DE MANIERE QU'ELLE SOIT AU CONTACT DE L'ETOFFE A PROXIMITE IMMEDIATE DE L'AIGUILLE DE COUTURE. LA ROTATION DE LA MOLETTE 128 EST TRANSMISE A UN CODEUR ANGULAIRE 136 QUI TRANSMET DES IMPULSIONS REPRESENTATIVES DE LA LONGUEUR D'ETOFFE SE DEPLACANT A PROXIMITE DE L'AIGUILLE. APPLICATION A LA COMMANDE DES MACHINES DE COUTURE AUTOMATIQUE D'ETOFFES EXTENSIBLES.
Description
La présente invention concerne la détection de la longueur des coutures formées sur les étoffes, notamment extensibles, et elle se rapporte plus précisément à un dispositif de détection de cette longueur, à une machine à coudre munie d'un tel dispositif, comprenant un guide approprié dont la mise en place péut transformer la machine en robot, et a un procédé de couture partiellement automatisé.
Dans l'industrie de la confection et de la bonneterie, ainsi que dans toutes les industries utilisant des machines à piquer (chaussures, maroquinerie, etc...), le personnel reproduit en grandes séries des opérations rigoureusement identiques les unes aux autres, à l'aide de machines à coudre, à piquer ou à effectuer des opérations spécifiques de l'industrie considérée. Par exemple, une ouvrière occupant un poste particulier de travail coud de façon répétitive un fond de pli de jupe ou exécute une surpiqûre d'un col de chemise. Dans une telle opération, certaines parties nécessitent une attention particulière. C'est notamment le cas du début et de la fin d'une couture ou d'un changement de direction, par exemple au niveau des pointes d'un col de chemise.
La tension nerveuse du personnel est donc très importante et on a déjà cherché à la soulager, pendant une partie au moins de l'opération.
On a ainsi cherché à automatiser de telles opérations répétitives par enregistrement initial d'une opération type puis par commande de la machine en robot afin qu'elle forme des pièces successives. I1 existe ainsi des appareils et des procédés de couture automatique dans lesquels les opérations sont commandées d'après des informations obtenues par comptage des points cousus.
Les procédés connus mettant en oeuvre le comptage des points donnent des résultats quelquefois peu encourageant lorsque l'étoffe cousue est extensible. En particulier, ces systèmes connus posent des problèmes lors de la couture d'étoffes telles que les tissus mailles ou les étoffes tricotées utilisées en confection et bonneterie par exemple. Lors de la couture de ce type d'étoffe,par comptage des points exécutés, la position des coutures n'est déterminée que très approximativement et, compte tenu des forces appliquées pour l'entraîne- ment, il arrive que certaines pièces cousues présentent des plis.
Bien entendu, de tels défauts ne sont pas acceptables.
L'invention est destinée à remédier à ces inconvénients.
Plus précisément, l'invention concerne le pilotage d'opérations de couture par détection de la longueur d'étoffe cousue. Cette longueur peut être déterminée directement par mesure de la longueur cousue ou par détermination de la vitesse de défilement de l'étoffe et par intégration de cette vitesse au cours du temps.
Plus précisément, l'invention concerne un dispositif de détection de la longueur cousue à la machine sur une étoffe, notamment extensible, comprenant un mécanisme de support destiné à être monté sur une partie fixe d'une machine à coudre associée, et un capteur porté par le mécanisme de support très près de l'aiguille de la machine à coudre et destiné à détecter un paramètre du déplacement de l'étoffe cousue à proximité immédiate Qe l'emplacement dé couture par l'aiguille, et à former un signal représentatif de ce paramètre détecté.
Dans un mode de réalisation avantageux, le paramètre détecté par le capteur est directement la longueur de l'étoffe qui défile à proximité immédiate de l'aiguille. Le capteur peut alors être avantageusement une molette tournant à proximité immédiate de l'aiguille, dans un plan parallèle à l'aiguille et à la direction de déplacement de l'étoffe sous l'action d'un mécanisme d'entraînement de la machine à coudre.
La molette entraîne de préférence un codeur qui transmet un nombre d'impulsions proportionnel à la longueur de l'étoffe cousue.
Dans un autre mode de réalisation, le paramètre dé tecté est la vitesse de l'étoffe qui défile à proximité immédiate de l'aiguille, et le dispositif de détection comporte en outre un intégrateur destiné à intégrer un signal représentatif de cette vitesse en fonction du temps et à former un signal représentatif de la longueur cousue.
I1 est avantageux que le mécanisme de support soit réglable et permette ainsi le réglage de la position du capteur dans deux directions sensiblement perpendiculaires l'une à l'autre et sensiblement parallèles au plan dans lequel est disposée l'étoffe à l'emplacement de couture.
Dans un mode de réalisation avantageux, le mécanisme de support comporte une partie fixe et un organe basculant, portant le capteur et articulé autour d'un axe sensiblement parallèle au plan dans lequel est disposée l'étoffe à l'emplacement de couture. Dans ce cas, le mécanisme de support comporte avantageusement un dispositif de rappel de l'organe basculant, sollicitant ce dernier dans un sens tel qu'il tend à éloigner le capteur de la partie fixe du mécanisme. Il est alors aussi avantage que le mécanisme de support comporte en outre un dispositif de manoeuvre destiné à déplacer l'organe basculant en sens opposé à celui dans lequel le dispositif de rappel tend à faire tourner l'organe basculant.
L'invention concerne aussi une machine à coudre de type semi-automatique, destinée notamment à la couture d'étoffes extensibles, comprenant un dispositif de détection de la longueur cousue sur une étoffe, du type indiqué précédemment, et destiné à former un signal représentatif d'un paramètre du déplacement d'une étoffe cousue à proximité immédiate de l'emplacement de couture, et un organe de commande destiné à recevoir ce signal représentatif, à le comparer à des informations mémorisées, et à interrompre le fonctionnement de la machine lorsque la comparaison donne un résultat déterminé.
Par exemple, lorsque le dispositif de détection est du type à molette qui entraîne un codeur formant des impulsions proportionnelles à la longueur de l'étoffe, l'organe de commande comprend avantageusement un dispositif de comparaison de ce signal du codeur à des données mémorisées dans l'organe de commande.
I1 est avantageux que la machine comprenne un dispositif manuel de commande de la mise en route du fonctionnement de la machine, et que l'organe de commande comprenne un microprocesseur et des mémoires et un dispositif de commande de l'arrêt du fonctionnement de la machine.
L'invention concerne aussi un procédé de couture d'une pièce, à l'aide d'une machine à coudre seml-automatioue ccraprenant
la commande de la mise en route du fonctionnement de la machine,
la détection de la longueur d'étoffe cousus par la machine et la formation d'un signal correspondant,
la comparaison de ce signal à des informations mémorisées correspondantes, et
la commande de l'arrêt du fonctionnement de la machine lorsque la comparaison indique une relation déterminée entre le signal de détection et les informations correspondantes.
la commande de la mise en route du fonctionnement de la machine,
la détection de la longueur d'étoffe cousus par la machine et la formation d'un signal correspondant,
la comparaison de ce signal à des informations mémorisées correspondantes, et
la commande de l'arrêt du fonctionnement de la machine lorsque la comparaison indique une relation déterminée entre le signal de détection et les informations correspondantes.
Il est avantageux que la commande de la mise en route du fonctionnement de la machine soit effectuée manuellement et que les autres opérations soient effectuées automatiquement.
Dans un mode de réalisation avantageux, le procédé comprend, avant les opérations précitées, la mémorisation des informations nécessaires par exécution d'une opération de couture d'une manière totalement manuelle et par enregistrement d'informations correspondantes directement par la machine.
De préférence, le procédé selon l'invention comprend la commande de la vitesse de piquage de la machine, la commande dispositifs périphériques ou accessoires qui sont gérés à l'enregistrement et à la reproduction par un microprocesseur et la mesure du temps d'exécution en séquence des différentes opérations.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressor tirent mieux de la description qui va suivre, faite en référence aux dessins annexés sur lesquels:
La figure 1 est une élévation schématique d'une machine à coudre selon l'invention, comprenant un dispositif de détection de la longueur cousue sur une étoffe
la figure 2 est une élévation latérale d'un mode de réalisation du dispositif de détection de longueur cousue;
la figure 3 est une perspective éclatée, avec des parties arrachées, du dispositif de détection de la figure 2 ; et
les figures 4, 5 et 6, sont des vues en plan d'étoffes cousues par mise en oeuvre de l'invention.
La figure 1 est une élévation schématique d'une machine à coudre selon l'invention, comprenant un dispositif de détection de la longueur cousue sur une étoffe
la figure 2 est une élévation latérale d'un mode de réalisation du dispositif de détection de longueur cousue;
la figure 3 est une perspective éclatée, avec des parties arrachées, du dispositif de détection de la figure 2 ; et
les figures 4, 5 et 6, sont des vues en plan d'étoffes cousues par mise en oeuvre de l'invention.
La figure 1 représente de façon générale une machine à coudre selon l'invention. La machine est d'un type bien connu ayant un bras 10 portant une tête 12 qui porte une aiguille a] ternative ou déplacée en zigzag et un pied presseur. L'aiguille est entrainée par un mécanisme logé dans le corps et le bras 10 de la machine, à partir d'un volant 14 lui-même entraîné par une courroie
16 dont le mouvement est commandé par un moteur classique 18.
16 dont le mouvement est commandé par un moteur classique 18.
Les éléments cités jusqu'à présent sont de type claE sique. I1 peut s'agir de machines de divers types. En partict lier, l'entraînement de l'étoffe peut être assuré par un dispositif à griffe, à entraînement simple ou double ; il peut aussi s'agir d'un dispositif à entraînement triple, par griffes et aiguilles. Toutes ces machines sont bien connues des hommes du métier et on ne les décrit donc pas plus en détail.
Selon l'invention, la machine représentée sur la
figure 1 comporte un dispositif 20 de détection de la longueur d'une étoffe cousue à proximité immédiate de l'aiguille. Ce dispositif est représenté plus en détail sur les figures 2
et 3 et est décrit dans la suite du présentmémoire. Ce
dispositif 20 de détection transmet des signaux représentatif
de cette longueur à un organe 24 de commande, par une ligne
22. Cet organe 24 de commande est essentiellement un circuit
électroniqùe décrit plus en détail dans la suite du présent mémoire. Ce circuit commande par un fil 26 un organe 28 destiné à arrêter le fonctionnement du moteur 18.
figure 1 comporte un dispositif 20 de détection de la longueur d'une étoffe cousue à proximité immédiate de l'aiguille. Ce dispositif est représenté plus en détail sur les figures 2
et 3 et est décrit dans la suite du présentmémoire. Ce
dispositif 20 de détection transmet des signaux représentatif
de cette longueur à un organe 24 de commande, par une ligne
22. Cet organe 24 de commande est essentiellement un circuit
électroniqùe décrit plus en détail dans la suite du présent mémoire. Ce circuit commande par un fil 26 un organe 28 destiné à arrêter le fonctionnement du moteur 18.
Les figures 2 et 3 représentent plus en détail le dispositif de détection proprement dit. Sur la figure 3, on note l'extrémité de la tête de la machine 12, avec le porteaiguille 30 qui se déplace alternativement en direction verticale sur la figure 3, et le support 32 du pied presseur, qui peut être soulevé ou abaissé et qui glisse dans un mancho
34 ayant une surface externe cylindrique.
34 ayant une surface externe cylindrique.
Le dispositif de détection comprend un support 36
de montage. Celui-ci a la forme d'une plaque percée d'un alé
sage 38. Une fente 40 débouche dâns l'alésage et jusqu'à l'ex
térieur de la pièce afin qu'elle délimite de part et d'autre
deux bras légèrement élastiques. L'un des bras a un trou liss 42 destiné au passage d'une vis 44 qui coopère avec un trou taraudé, non représenté, formé dans l'autre bras. De cette manière, les deux bras peuvent être serrés l'un vers l'autre et permettent la fixation du support 36 sur le manchon cylindrique 34 dépassant sous la tête 12 de la machine.
de montage. Celui-ci a la forme d'une plaque percée d'un alé
sage 38. Une fente 40 débouche dâns l'alésage et jusqu'à l'ex
térieur de la pièce afin qu'elle délimite de part et d'autre
deux bras légèrement élastiques. L'un des bras a un trou liss 42 destiné au passage d'une vis 44 qui coopère avec un trou taraudé, non représenté, formé dans l'autre bras. De cette manière, les deux bras peuvent être serrés l'un vers l'autre et permettent la fixation du support 36 sur le manchon cylindrique 34 dépassant sous la tête 12 de la machine.
Le support 36 a, dans sa partie avant sur la figure 3, une échancrure 46 destinée au passage du support 30 de l'aiguille .I1 a aussi deux ailes 48 dont une seule est utilisée. La disposition de ces deux ailes permet le montage de l'appareil soit à droit soit à gauche de l'aiguille, essentiellement en fonction du fait que l'ou vrière utilisatrice est dans l'obligation de présenter son travail soit à droite, soit à gauche en fonction de sa nature, tout en libérant toute la place nécessaire à un guide éventuel.
Chaque aile 48 a une rainure 50 dans le fond de laquelle est formée une gorge allongée 52 destinée au passage d'un boulon 54 bloqué contre la face inférieure de l'aile 48 par une rondelle 56.
Le boulon 54 se visse dans une glissière 58 et plus précisément dans un trou taraudé 60 d'un bras 62 de la glissière 58. Celle-ci a en outre une partie avant 63 d'épaisseur supérieure à celle du bras 62, comme représenté clairement sur la figure 2. Cette partie 63 a une gorge 64 qui est destinée au passage d'un boulon 66 muni d'une rondelle 68 de blocage.
La partie épaisse 63 de la glissière est destinée à se loger dans un étrier 70 et plus précisément dans une rainure 72 de celui-ci. Un trou taraudé 74 est formé au milieu de la rainure et est destiné au passage du boulon 66 afin que la glissière 58 puisse être rendue solidaire de l'étrier 70.
L'étrier 70 comporte en outre deux bras 76 percés chacun d'un alésage 78. Enfin, la partie arrière de l'étrier
(sur la figure 3) porte un doigt 80, plus clairement repré senté sur la figure 2, percé d'un trou taraudé destiné au passage d'une vis 82 de butée.
(sur la figure 3) porte un doigt 80, plus clairement repré senté sur la figure 2, percé d'un trou taraudé destiné au passage d'une vis 82 de butée.
La partie avant de l'étrier présente une rainure 84, dans laquelle sont percés deux troues taraudés 85, destinés au vissage de deux vis 86 de fixation d'un support décrit dans la suite du présent mémoire.
Une bascule 88 a un corps dont la partie supérieure 90 est percée d'un alésage 92. Celui-ci est destiné à loger un axe 94. Les extrémités de celui-ci ont un diamètre réduit et sont destinées à se loger dans la bague interne de roulements à billes 96 qui se logent dans les alésages 78 des bras 76 de l'étrier 70 dans lesquels les roulements,96 sont retenus par des vis 97. En outre, l'axe 94 a un plat 98 afin qu'il puisse être serré par une vis 100 de blocage vissée dans un trou taraudé 102 de la partie supérieure 90 de la bascule 88. Ainsi, la bascule 88 peut pivoter par rapport 3 l'étrier 70, avec l'axe 94.
La partie centrale de la bascule 88 a un alésage 104 destiné à loger un vérin pneumatique 106. Celui-ci a une tige 108 de piston qui dépasse à une extrémité et une tubulure 110 qui dépasse à l'autre extrémité. Le vérin est maintenu dans l'alésage 104 par une vis 112 d'arrêt, cette disposition apparaissant clairement sur la figure 2.
La partie inférieure de la bascule 88 forme un flasque 114 percé d'un alésage 116 qui s'élargit à ses deux extrémités en formant des chambrages. Ceux-ci sont destinés à loger deux roulements à billes 120. Un axe 122 est destiné à tourillonner dans les deux roulements 120 et il a un plat 124. La partie de l'axe 122 qui comprend le plat 124 est destinée à dépasser latéralement au-delà de la bascule afin qu'un pignon 126 et une mollette 128 puissent y être fixés par serrage de vis d'arrêt, de manière classique. L'axe 122 est retenu à son autre extrémité par une bague élastique 130 se lo gelant dans une gorge de l'axe.
Le flasque inférieur 114 de la bascule 88 comporte enfin une anse 132, dirigée vers l'arrière et ayant un orifice 134 destiné au montage d'un codeur 136 à impulsions. Celuici a un arbre qui porte un pignon 138 dont les dents ont un pas identique à celui du pignon 126. Le codeur 136 est destiné à transmettre des impulsions par l'intermédiaire d'une ligne 140, analogue à la ligne 22 représentée sur la figure 1. Les pignons 126 et 138 sont destinés à être reliés par une chaîne 142 montée entre eux.
Le dispositif de détection comporte enfin un support de tension 144. Celui-ci a une partie supérieure 146 de section transversale en forme de T et un bras 148 qui dépasse vers le bas, en di rection inclinEe cmne indiqué sur la figure 2. Des trous 147 formés dans la partie supérieure 146, dont ltextranité arrière, correspondant au pied du T de la section est reçue dans la rainure 84 de l'étrier 7O,par les vis précitées 86. Le bras 148 a une ouverture allongée 150 et la partie avant du support 144 a un trou taraudé 152 dont la disposition apparaît clairement sur la figure 2.Un manchon fileté 154, ayant une extrémité moletée'156, est destiné à se visser dans le trou taraudé 152, et une bague 158 est destinée à venir en butée contre la surface supérieure du manchon 154. Plus précisément, un ressort 160 de traction est destiné à s accrocher d'une part à une goupille 162 disposée diamétralement dans la bague 158 et d'autre part à un orifice formé à ltextrémité d'un goujon fileté 164 destiné à se visser dans un trou taraudé 166 de la partie su périeure 90 de la bascule 88. De cette manière, le ressort 160 tire la bague 158 contre la face supérieure du manchon 156, et la rotation de ce dernier permet le réglage de la force de traction exercée sur le goujon 164.
Les divers éléments décrits précédemment sont montés les uns sur les autres comme représenté sur la figure 2. Celleci indique que le support 36 de montage est fixé sur le manchon cylindrique 34, solidaire de la tête 12 de la machine.
La glissière 58 est fixée sur le support 36. L'étrier 70 est lui-même fixé sur la glissière 58. Enfin, le support 144 est fixé sur l'étrier 70. Toutes ces pièces forment donc un tout rigide. Cependant, elles permettent divers réglages. En effet, la forme allongée des gorges 52 et 64 permet le réglage de la position de l'étrier 70 par rapport au manchon 34 dans deux directions perpendiculaires l'une à l'autre et comprises dans un plan sensilement horizontal.
Comme l'indique la figure 2, le réglage de la position de la glissière 58 dans la rainure 50 permet le réglage dè la molette 128 d'une manière telle que, lorsque celleci est au contact d'une étoffe 168 placée sur le dispositif d'entraînement de la machine, l'axe de rotation de la molette 128 recoupe l'axe de déplacement de l'aiguille, repéré par la référence 170. Par ailleurs, le réglage de l'étrier 70 en direction transversale, sur la partie avant 63 de la glissière, permet la disposition de la mollette 128 très près de l'a; guille, comme indiqué sur la figure 1. De cette manière, le point de contact de la molette 128 et de l'étoffe 168 peut être très proche de l'emplacement auquel l'aiguille forme un point.
La bascule 88 et les éléments qu'elle porte sont par contre mobiles comme l'indique la figure 2. En effet, la bascule est montée sur l'axe 94 qui peut tourner dans les rou lements 96. Cependant, le pivotement permis est très limité.
En effet, la vis 82 constitue une butée venant en appui contre une pastille 91 logée dans la partie supérieure 90 de la bascule.En conséquence, celle-ci ne peut pas pivoter, dans le sens horaire sur la figure 2, au-delà de la position indiquée sur cette figure. Par contre, la bascule peut pivoter dans le sens anti-horaire sur la figure 2 lorsque de l'air comprimé parvient à la tubulure 110 et fait sortir la tige 108 du vérin 106. La tige, prenant appui sur l'extrémité du bras 148, soulève la bascule si bien que la molette 128 s'écarte de l'étoffe 168. Dans cette position, une étoffe peut donc être mise en place sous le pied presseur. Dès que le vérin 106 n'écarte plus la bascule, cell ci est rappelée par le ressort 160, avec une force réglée, si bien que la molette 128 revient au contact de l'étoffe 168, en position de détection de la longueur cousue.
Ainsi, le dispositif de détection a une partie fixe et une partie mobile entre une position de travail dans laquelle la molette est au contact d'une étoffe et une positio de repos. La commande est assurée par le vérin pneumatique 106.
Le dispositif de détection décrit jusqu'à présent f me, à la sortie du codeur 136, un signal sous forme d'impulsions, en nombre proportionnel à la longueur d'étoffe déplacé à proximité immédiate de l'aiguille. Ce signal parvient avant geusement au circuit de commande 24 représenté sur la figure 1. Celui-ci comprend avantageusement un microprocesseur, une mémoire vive et une mémoire programme. Ce circuit peut être programmé de manière connue des hommes du métier afin que d'une part il puisse enregistrer des informations représentatives d'une opération de couture à exécuter, comme décrit plus en détail dans les exemples qui suivent, et que d'autre part il commande ensuite les opérations en mode de reproduction.Il est cependant avantageux que l'organe 28 commandé par le circuit 24 n'assure que l'arrêt du moteur 18 et la régulation de sa vitesse, la mise en route du moteur 18 étant commandée manuellement par l'opératrice, par exemple à l'aide d'une pédale.
On considère maintenant des exemples de mise en oeuvre d'une machine à coudre selon l'invention.
Dans un premier exemple, la machine est utilisée pour la couture d'un fond de pli de jupe, comme représenté sur la figure 4.Lorsque l'opération est exécutée manuellement, elle comprend la disposition l'un sur l'autre de deux panneaux textiles 172, 174, leur présentation sous le pied presseur de la machine, l'exécution d'un premier point d'arrêt 176, au début de la couture, puis la couture sur une certaine longueur qui est inférieure à la longueur totale de la jupe, et la formation d'un point d'arrêt 178 à l'extrémité de la couture.
Lors de l'exécution de l'opération sur la machine à coudre selon l f invention, il faut d'abord procéder à un enregistrement, c'est-à-dire à la mise en mémoire des informations nécessaires à l'opération. A cet effet, l'opératrice met la machine en mode d'enregistrement et soulève le pied presseur. Elle superpose les deux panneaux 172, 174 et les présente sous le pied presseur qu'elle abaisse alors au point 176. Elle dispose un gabarit de piquage entre les deux points 176 et 178, et pointe alors les panneaux. Elle pique le point d'arrêt avant 176, puis elle pique jusqu'au point 178. Elle exécute alors le point d'arrêt arrière 178. Elle commande le dispositif coupe-fil qui provoque le soulèvement du pied presseur. Elle indique enfin à la machine que l'enregistrement est terminé. Les informations ont été alors mémorisées dans le circuit 24, par exemple sur une cassette amovible.
Bien entendu, comme cette opération doit être repro duite en fonction des informations mémorisées, elle doit être exécutée avec beaucoup de soin. Le pointage des panneaux et la pose du gabarit représentent ensenble à peu près la moitié du temps total d 'exécution.
L'opératrice peut alors utiliser la machine en mode de reproduction. Lorsque la machine est ainsi réglée, l'opératrice présente les deux panneaux superposés sous le pied presseur. Elle enfonce ensuite la pédale afin de mettre en route la machine. Ensuite, elle n'effectue ni pointage, ni pose de gabarit et n'a plus à toucher à la machine jusqu'à la fin de l'opération, les différentes phases étant identiques à celles de la phase d'enregistrement, mais étant exécutées automatiquement.
Dans un autre exemple, décrit en référence à la figure 5, un motif décoratif est ajouté à l'extrémité de la couture exécutée comme décrit en référence à l'exemple précédent.
Plus précisément, la couture décrite en référence à la figure 4 est exécutée entre un point d'arrêt 180 et un point 182, et est terminée par une mouche et un point d'arrêt repérés par les références 184 et 186. Les premières opérations, jusqu'à la descente du pied presseur, sont analogues à celles qu'on a décrit en référence à l'exemple précédent, pour le mode d'enregistrement. L'opératrice place ensuite le gabarit de piquage sur la pièce et pointe les points 182, 184 et 186. Elle exécute alors la couture entre les points 180 et 182, en faisant un point d'arrêt en 180. Elle arrête le piquage en 182, relève le pied presseur, fait pivoter la pièce de 900, descend le pied presseur puis pique entre les points 182 et 184. Elle lève alors à nouveau le pied presseur, fait pivoter la pièce de 1350.
descend le pied presseur et pique entre les points 184 et 186.
Elle exécute alors un point d'arrêt au point 186. Ensuite, elle termine l'opération d'enregistrement comme décrit précédernment, c 'est-à-dire qu'elle commande le dispositif coupe-fil provoquant la relevée du pied presseur. Elle indique ensuite que l'enregistrement est terminer celui-ci étant alors dans la mémoire de l'uni té centrale, le contenu de cette mémoire peut-être transféré dans une cassette, ainsi d'ailleurs et successivement que tous les enregistrements réalisés: on peut alors disposer d'un ensemble aussi vaste que l'on veut d'enregistrements et les rappeler à l'exécution à volonté.
Lorsque J 'opération doit être réalisée autcmatiqusment, en mode de reproduction, l'opératrice n'exécute que les opérations déjà décrites en référence a l'exemple précédent.
On considère maintenant un troisième exemple dars lequel certaines opérations sont exécutées automatiquement et d'autres manuellemént. Ces dernières correspondent en particulier aux parties les plus délicates de la couture. Le circuit 24 (microprocesseur) est conçu de telle sorte qu'il provoque l'arrêt delta marche automatique, dès lors qu'à l'enregistrement1 l'opératriee lui indique en enfonçant le bouton d'arrêt programmé, qu'il aura à reproduire cet arrêt.
La machine retrouve alors son fonctionnement à commande ma nuellé. Elle reprendra sa marche automatique et poursuivra l'éxécution du programme, lorsque l'ouvrière aura talonné la pédale de la machine (ou, à son gré, aura actionné le bouton convenable de la face avant du boitier de commande).
On décrit ce mode de réalisation en référence à la surpiqûre d'un col de chemise, comme indiqué sur la figure 6.
L'opératrice place d'abord la machine en mode d'enregistrement, lève lè piéd presseur, présente le col sous celui-ci au point 188 et abaisse le pied presseur. Elle pique la couture entre les points 188 et 190, ce dernier se trouvant à quelques millimètres au point 192 qui représente la pointe du col. Elle enfonce alors le bouton d'arrêt de programme et pique entre les points 190 et 192 avec la précision voulue.Elle lève alors le pied presseur et fait pivoter la pièce de manière qu'elle puisse ensuite coudre entre les points 192 et 194. Elle remet alors la machine en position d'enregistrement et pique entre les points 192 et 194. Ce dernier se trouve à quelques millimètres du point 196 qui constitue la seconde pointe du col.
Au point 194, l'opératrice enfonce à nouveau le bouton d'arrêt de programme et recommence les opérations décrites en référence aux points 190 et 192. En effet, elle pique entre les, points 194 et 196 puis lève le pied presseur et fait pivoter la pièce vers le point 198. Elle abaisse le pied pres seuroet remet la machine en mode d'enregistrement. Elle coud ensuite entre les points 196 et 198. A ce dernier point, elle commande le dispositif coupe-fil qui provoque la relevée du pied presseur. Elle indique ensuite que l'enregistrement est fini. Celuici est alors mémorisé par exemple sur une cassette interchangeable.
Lorsque la machine doit fonctionner en mode de reproduction, l'opératrice place la machine en mode de repro duction et présente le col sous le pied presseur. Elle enfoncez alors la pédale de commande et la machine assure la couture automatique entre les points 188 et 190. Elle s'arrête alors automatiquement. L'opératrice coud alors entre les points 190 et 192, lève le pied presseur, fait pivoter la pièce et baiss le pied presseur. Elle enfonce à nouveau la pédale si bien que la machine exécute automatiquement la couture entre les points 192 et 194. La machine s'arrête alors et l'opératrice exécute la couture entre les points 194 et 196, lève le pied presseur, fait pivoter le col et abaisse le pied presseur.
Elle enfonce alors la pédale à nouveau et la machine exécute automatiquement la couture jusqu'au point 198.
Ainsi, dans ce dernier mode de réalisation, la machine exécute automatiquement la plus grande partie des coutures mais laisse à l'opératrice le soin d'exécuter avec précision les parties les plus délicates. De cette manière, la tension nerveuse de l'opératrice est très réduite par rapport à une opération manuelle car cette tension peut se relâcher pendant que la machine fonctionne automatiquement.
Bien qu'on ait décrit l'invention en référence à un type particulier de machine à coudre, elle s'applique pratiquement à tous les types existants de machine.
Bien que le dispositif de détection décrit précédemment soit d'un type à molette qui détecte directement la longueur de l'étoffe défilant au niveau de l'aiguille, d'autr modes de réalisation sont possibles. Par exemple, dans une variante, le capteur peut détecter la vitesse de l'étoffe au niveau de l'aiguille et le circuit 24 comprend alors un intégrateur qui intègre le signal de vitesse et détermine ainsi la longueur parcourue. L'appareil peut aussi détecter d'autres paramètres du moment qu'il permet finalement la détermination de la longueur d'étoffe réellement cousue, surtout dans le cas des étoffes extensibles.
L'avantage de l'invention est que la mise hors circuit du circuit 24 de commande permet l'utilisation directe de la machine selon ses possibilités habituelles.
Il est bien entendu que l'invention n'a été décrite et représentée qu'd titre d'exemple préférentiel et qu'on pourra apporter toute équivalence technique dans ses éléments constitutifs sans pour autant sortir de son cadre.
Claims (16)
1. Dispositif de détection de la longueur cousue à la machine sur une étoffe notamment extensible, caractérisé en ce qu'il comprend
un mécanisme de support (36, 58, 70, 88) destiné à être monté sur une partie fixe de la machine à coudre associée, et
un capteur (128, 136) porté par le mécanisme de support très près de l'aiguille de la machine à coudre et destiné à détecter un paramètre du déplacement de l'étoffe cousue à proximité immédiate de l'emplacement de couture par l'aiguille, et à former un signal représentatif du paramètre détecté.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le paramètre détecté par le capteur (128, 136) est la longueur d'étoffe défilant à proximité immédiate de l'aiguille.
3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que le capteur (128, 136) comporte une molette (128) tournant à proximité immédiatement de l'aiguille dans un plan parallèle à l'aiguille et à la direction de déplacement de l'étoffe sous l'action du mécanisme d'entraînement de la machine à coudre.
4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que la molette (128 > entraîne un codeur (136) transmettant un nombre d'impulsions proportionnel à la longueur d'étoffe cousue.
5. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le paramètre détecté est la vitesse de l'étoffe défilant à proximité immédiate de l'aiguille, et le dispositif de détection comporte en outre un intégrateur destiné à intéger un signal représentatif de la vitesse en fonction du temp et à former ainsi un signal représentatif de la longueur cousue.
6. Dispositif selon l'une quelconque des revendication précédentes, caractérisé en ce que le mécanisme de support (36, 58, 70, 88) est réglable et comprend un dispositif (52, 54) de réglage de la position du capteur (128, 136) dans une première direction sensiblement perpendiculaire à l'aiguille, et un dispositif de réglage (64, 66) de la position du capteur (128, 136) dans une seconde direction sensiblement perpendiculaire à l'aiguille et à la première direction.
7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le mécanisme de support comporte une partie fixe (36, 58, 70) et un organe basculant (88) portant le capteur (128, 136) et articulé autour d'un axe (94) sensiblement parallèle au plan dans lequel est disposée l'étoffe à l'emplacement de couture.
8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que le mécanisme de support comporte un dispositif (160) de rappel de l'organe basculant (88) dans un sens tel qu'il tend à éloigner le capteur (128) de la partie fixe (36, 58, 70) du mécanisme de support.
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le mécanisme de support comporte en outre un dispositif de manoeuvre (160) destiné à déplacer l'organe basculant (88) en sens opposé à celui dans lequel un dispositif de rappel (160) tend à faire tourner l'organe basculant (88).
10. Machine à coudre automatique notamment pour étoffes extensibles, caractérisée en ce qu'elle comprend
un dispositif de-détection de la longueur cousue sur une étoffe, notamment extensible, selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, destiné à former un signal représentatif d'un paramètre du déplacement d'une étoffe cousue à proximité immédiate de l'emplacement de couture, et
un organe (24) de commande destiné à recevoir ledit signal représentatif, à le comparer à des informations mémorisées, et à interrompre le fonctionnement dè la machine lorsque la comparaison donne un résultat déterminé.
11. Machine selon la revendication 10, caractérisée en ce que le dispositif de détection de la longueur cousue est selon la revendication 4, et l'organe de commande (24) comporte un dispositif de comparaison du signal du codeur (136) à des données mémorisées dans l'organe de commande (24).
12. Machine selon l'une des revendications 10 et 11, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif manuel de commande de la mise en route du fonctionnement de la machine, et l'organe de commande (24) de la machine comprend un microprocesseur et des mémoires ainsi qu'un dispositif (28) de commande de l'arrêt du fonctionnement de la machine.
13. Procédé de couture à l'aide d'une machine à coudre, caractérisé en ce qu'il comprend
la commande de la mise en route du fonctionnement de la machine,
la détection de la longueur d'étoffe cousue par la machine et la formation d'un signal correspondant,
la comparaison dudit signal à des informations mémorisées correspondantes, et
la commande de l'arrêt du fonctionnement de la machi ne lorsque la comparaison indique une relation déterminée enti le signal de détection et des informations correspondantes.
14. Procédé selon la revendication 13, caractérisé en ce que la commande de la mise en route du fonctionnement de la machine est effectuée manuellement, et les autres opérations sont effectuées automatiquement.
15. Procédé selon la revendication 13, caractérisé en ce qu'il comprend, avant les opérations précitées, la mémorisation des informations par exécution d'une opération de couture de façon totalement manuelle et par enregistrement des informations correspondantes directement par la machine à coudre.
16. Procédé selon la revendication 15, caractérisé en ce qu'il comprend
- la commande de la vitesse de piquage de la machi ne,
- la commande de dispositifs périphériques ou ac
cessoires qui sont gérés a l'enregistrement et
à la reproduction par un microprocesseur,
- la mesure du temps d'exécution en séquence des
différentes opérations.
Priority Applications (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR8202694A FR2521605A1 (fr) | 1982-02-18 | 1982-02-18 | Dispositif de detection de la longueur d'une couture, machine a coudre munie d'un tel dispositif, et procede de couture partiellement automatise |
Applications Claiming Priority (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR8202694A FR2521605A1 (fr) | 1982-02-18 | 1982-02-18 | Dispositif de detection de la longueur d'une couture, machine a coudre munie d'un tel dispositif, et procede de couture partiellement automatise |
Publications (2)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
FR2521605A1 true FR2521605A1 (fr) | 1983-08-19 |
FR2521605B1 FR2521605B1 (fr) | 1984-11-23 |
Family
ID=9271114
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
FR8202694A Granted FR2521605A1 (fr) | 1982-02-18 | 1982-02-18 | Dispositif de detection de la longueur d'une couture, machine a coudre munie d'un tel dispositif, et procede de couture partiellement automatise |
Country Status (1)
Country | Link |
---|---|
FR (1) | FR2521605A1 (fr) |
Cited By (2)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
EP0366630A1 (fr) * | 1988-10-21 | 1990-05-02 | Husqvarna Aktiebolag | Dispositif pour machine à coudre |
EP0373105A1 (fr) * | 1988-11-30 | 1990-06-13 | Mefina S.A. | Dispositif pour mesurer le passage d'une longueur déterminée d'un tissu au droit de l'aiguille d'une machine à coudre |
Citations (3)
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US1724681A (en) * | 1926-08-18 | 1929-08-13 | Roseman Leo | Automatic work-starting mechanism for sewing machines |
FR2231048A1 (fr) * | 1973-05-22 | 1974-12-20 | Quick Rotan Becker & Notz Kg | |
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-
1982
- 1982-02-18 FR FR8202694A patent/FR2521605A1/fr active Granted
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AU618152B2 (en) * | 1988-11-30 | 1991-12-12 | Mefina S.A. | A device for measuring the passage of a predetermined length of cloth at right angles to the needle of a sewing machine |
Also Published As
Publication number | Publication date |
---|---|
FR2521605B1 (fr) | 1984-11-23 |
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ST | Notification of lapse |