CH177071A - Machine à calculer inscrivant au moins des chiffres. - Google Patents

Machine à calculer inscrivant au moins des chiffres.

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CH177071A
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Precision Societe Industrie De
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Description


  Machine     à,    calculer inscrivant au moins des     chiffres.       La. présente     invention    a pour objet une  machine     ii    calculer inscrivant au moins des       chiffres    et comprenant des organes palpeurs  de cartes perforées, par lesquels elle reçoit  des :données numériques, les cartes utilisées  étant perforées suivant un code qui exprime       (les    signes par les     -combinaisons    que     peuvent     former les perforations .d'une même rangée  par leur     rang    et par leur nombre.  



  Cette machine est caractérisée en ce que       ces    organes palpeurs, lorsqu'ils tombent dans  des perforations, ferment, sur une source  commune de courant, .des circuits dont les  résistances diffèrent les unes -des autres .de  manière que les données -des perforations  soient transcrites par .des courants d'inten  sités diverses. Les valeurs diverses des in  tensités peuvent ensuite être transcrites à  leur tour en des durées diverses auxquelles  correspondent des rotations proportionnelles  d'un cylindre et des déplacements proportion-         nels    d'organes porteurs de types inscrivant  au moins des chiffres sur un cylindre.  



  Les dessins ci-annexés     représentent,    à  titre d'exemple, une forme .d'exécution de la  machine, objet de l'invention, et     .diverses     variantes -de détails.  



  La     fig.    1 montre un dispositif mécanique  de commande de roues     compteuses    et la     fig.    2  un mécanisme :d'inscription des caractères;  La     fig.    3 est un schéma -du dispositif de  traduction -des perforations pour la totalisa  tion et l'inscription et montre les appareils  pour l'addition, la soustraction, la remise à  <I>zéro</I> et le transport des totaux;  La     fig.    4 montre un mécanisme comman  dant des déplacements du rouleau -de papier  dans le cas - de     l'utilisation    de 45 combi  naisons;  La     fig.    5 est une vue d'ensemble des  cames et embrayages mécaniques portés par  un arbre -de la machine;

        La     fig.    6 est un schéma relatif à une ma  chine utilisant 60 combinaisons, et la     fig.    7  en est une variante;  La     fig.    8 montre les caractères du     porte-          type.     



  La     fig,    9 est le schéma d'un montage per  mettant de n'inscrire dans les totaux que les  zéros situés .à. la droite d'un chiffre signi  ficatif;  La fi-. 10 est le schéma d'un montage  permettant de     -discriminer    le total correct à  inscrire, avec son signe; enfin  La     fig.    11 montre le code de perforations  à employer.  



  Dans toutes les figures, les mêmes signes  de référence s'appliquent     aux    mêmes organes;  de plus, pour éviter toute ambiguïté, dans  tout ce qui va suivre, les signes de référence  relatifs à des organes communs à toutes les  colonnes, c'est-à-dire ne se trouvant qu'une  fois dans la machine, seront     suivis    de la       lettre    C.  



  On va tout d'abord procéder à la des  cription des dispositifs mécaniques, puis on  indiquera ensuite comment sont alimentés en  courant lesdits     dispositifs    et comment est  prévu leur fonctionnement relatif.  



  Il est rappelé que, d'une façon générale,  les divers -électrodes commandant -des mouve  ments mécaniques ne travaillent que d'une  manière statique, c'est-à-dire que les arma  tures sont appliquées, au moyen de leviers  commandés par une came portée par un arbre  général de la machine, sur les noyaux où       elles    sont maintenues     magnétiquement    dans  le cas où les bobines sont parcourues par un  courant et lâchées .dans le cas contraire.  



  L'exposé qui va suivre concerne l'enregis  trement, sur une roue     compteuse    totalisa  trice, du chiffre représenté par un groupe  de perforations; on verra plus bas que le  courant reçu par     l'éleetro    a une durée qui  est fonction linéaire de la valeur numérique  de     ce    chiffre.  



  Les durées de ces courants sont en fait:  1 pour le zéro, 2 pour le 1, 3 pour le 2,       etc..    .. 10 pour le 9.    La roue     eompteu.se        est        constituée    par un  tambour 1 chiffré de 0 à 9     (fig.    1), solidaire  d'un pignon 2. D'autre part, un pignon 3  est figé sur l'arbre ,général 4 de la machine  et tourne d'un mouvement continu; enfin,  un pignon 5, supporté par un bras 6 monté  sur l'arbre 4, est toujours en prise avec le  pignon 3, mais ne l'est normalement pas avec  le pignon 2, un ressort 7 maintenant le bras  6 articulé sur l'arbre 4 écarté de la position  d'engrènement des pignons 2 et 5, contre  une butée fixe 8.

   Par ailleurs, -un levier 9  solidaire -d'un arbre 10     entraîné    par un arbre  20 (cet arbre 20,     fig.    2, second arbre général  de la machine, est entraîné par 4) au moyen  d'une came 11, et -d'un levier 12,     (fig.5)     vient, à des moments qui seront déterminés  ci-après, faire basculer autour d'un axe 14  un levier 15 portant l'armature 16 d'un     élec-          tro    17, de façon à appliquer cette armature  contre les     noyaux    dudit     électro    où elle res  tera collée si les bobines reçoivent -du cou  rant; dans le cas contraire, le levier 9 s'étant  immédiatement retiré, le levier 15 retombe  aussitôt, sous l'action d'un ressort 18.

   Enfin  une came     19,,    montée sur l'arbre 20     (fig.    5),  fait basculer en temps voulu un levier 23  autour d'un axe 24; ce levier 23 est terminé  en 25 par une lame articulée en 26 sur le  levier 23, mais maintenue dans sa position  inférieure par un ressort de rappel 27 et une  butée 28 formée par un repli de 25.  



  La lame 25 est normalement située dans  le prolongement d'un appendice 29 du levier  6 terminé par une encoche en V 30 dans  laquelle peut venir s'encastrer la lame 25  dans son mouvement vers la ,droite. Entre le  levier 25 et l'appendice 29 se trouve un  biseau 31 porté par le levier 15 et disposé  de telle sorte que, si     l'électro    n'a pas main  tenu son armature, quand la lame 25 est  déplacée vers la droite (position de la figure),  cette lame     rencontre    la face inclinée dudit  biseau qui la contraint à se déplacer vers le  haut autour de son axe 26 et l'empêche ainsi  de rencontrer l'encoche 30.

   Au contraire, si       l'électro    a maintenu son armature, la lame 25       passe    sans déviation .sous le biseau 31, vient           s'encastrer    dans l'encoche 30 et pousse l'en  semble -du levier 6 vers la     droite,    faisant  engrener les pignons 2 et 5; à ce moment,  un cliquet 32, articulé sur un axe 13 porté  par le levier 6, rappelé par un ressort 22 et  de course limitée par une butée 21 portée  par 6, s'accroche à l'extrémité 33 du levier  15 et empêche ainsi 1e levier 6 d'obéir à  l'action du ressort 7 quand le levier 23, solli  cité par un ressort 34, s'est retiré.

   Dès que       l'électro    17 cesse d'être alimenté, le ressort  18     rappelle    le levier 15 qui libère le levier 6;  les pignons 2 et 5 sont alors .débrayés par  l'action du ressort 7.  



  Un cran d'arrêt 34, s'introduit entre deux  dents du pignon 2, de façon à le placer tou  jours exactement dans les mêmes positions  d'arrêt, positions .correspondant     nécessaire-          ment    à celles qui font apparaître les chiffres  gravés sur le tambour 1 dans les lucarnes de  lecture.  



  Le mécanisme qui vient d'être décrit et  qui permet tout naturellement l'opération de  l'addition peut, dans ce but, être muni d'un  dispositif quelconque de report -des retenues.  Il suffira pour cela que la came 19, soit  munie d'un bossage spécial non représente  sur la figure (pour l'application des arma  tures nécessitée par le rapport des retenues)  et qu'un distributeur envoie en     temps    voulu  un courant de durée convenable dans les  électron tels que 17 à travers des commuta  teurs appropriés.

   De plus, il sera facile d'ob  vier à la -difficulté -due à la faible durée du  contact produit par le creux d'une came por  tée par le tambour chiffré en maintenant,  par     suite    d'un profil adéquat du bossage  spécial de la came     19,,    la durée d'engrène  ment du pignon 5 avec le pignon 2 pendant  le temps nécessaire.  



  On va maintenant décrire le dispositif  d'inscription que comprend la machine: une  plaque 35 (fi-. 2), portant les caractères en  relief comme le montre la     fig.    8, se prolonge  par un appendice 36 sur lequel est fixé un  levier 37 mobile autour d'un axe 38 porté  par l'appendice 36 et soumis à l'action d'un  ressort     39;    ce levier est normalement bloqué         dans    la position de repos par un     cliquet    40  axé en 41 sur l'appendice 36;     il    porte un  prolongement 42 contre lequel vient reposer  un appendice de l'armature 43 d'un     électro     44 qui a été appliquée sur les noyaux au  moment voulu par un levier 53 mû par une  tige 54 et une came 115, portée par l'arbre 20.

    



  Contre l'appendice 36 et dans son plan  se trouve une crémaillère 45 portant 15 dents,  nombre égal à celui .des caractères, crémail  lère qui a été soulevée d'un mouvement uni  forme par un levier commandé .à partir de  l'arbre 4 et de façon convenable par une came  non représentée; lorsque le courant alimen  tant     l'électro    44 vient à être coupé, celui-ci  lâche son armature 43 qui, en basculant sous  l'action d'un ressort 46, appuie sur le cliquet  40 et libère de     cette    façon le levier 37;     celui-          ci,    obéissant au ressort 39, vient, par son  extrémité 47, se prendre dans un des creux  de la crémaillère 45 pendant son mouvement  ascendant.

   Il en     résulte    que la plaque 35 sera  soulevée d'une longueur égale au nombre de  dents restant, au moment .du désamorçage de       l'électro    44, entre le point     d'introduction    de  "extrémité 47 du levier 37 et le bas de la  crémaillère.

   Une came 48, commandée de  façon convenable par l'arbre 4, vient alors  entraîner un     marteau    49 qui comprime un  ressort 50, puis l'abandonne brusquement,  obligeant ainsi ledit marteau à frapper vio  lemment le porte-types 35 qui imprimera. le  caractère voulu sur la bande de papier portée  par le cylindre     100,.    Le marteau 49 est  percé, à son extrémité, d'un trou 501 dans  lequel il est possible d'introduire une ,gou  pille 51 maintenant à poste fixe le ressort  50     comprimé    et supprimant ainsi     l'imprQs-          sion    dans la colonne correspondante.

   Une  butée à ressort 54 ramène ensuite la plaque  35 en arrière, puis un ressort 55 la rappelle  vers le bas pendant le mouvement de descente  de la crémaillère 45;     cette    dernière est munie,  à sa partie supérieure, d'un bec 52 qui a  pour mission de     remettre    .en prise le     cliquet     40 avec le levier<B>37.</B>  



  On va maintenant expliquer comment les  divers groupes de perforations vont     .donner         naissance à .des courants dont la durée est  fonction linéaire de la valeur numérique du  chiffre représenté.  



  Il y aura lieu tout d'abord d'employer le  code de la     fig.    11 pour la traduction des per  forations des fiches.  



  Les cinq :derniers groupes, -de 10 à 14,  pourront être employés pour représenter des  signes quelconques; la combinaison ne com  portant aucune perforation n'est pas utilisée.  



  Deux trous supplémentaires permettent  de former en tout 60 combinaisons utiles;       toutefois,    pour des commodités de construc  tion, on se limitera généralement aux 45 que  l'on     obtient    de la façon     suivante:    à savoir  les 15 combinaisons indiquées ci-dessus, les  mêmes plus le 5   trou, et les mêmes plus  le 6   trou (sans le 5  ). Les 45 caractères  correspondants suffiront pratiquement pour  écrire à peu près n'importe quoi.  



  La fiche est amenée à la manière habi  tuelle     sous,des    peignes -de lectures 56     (fig.    3)  formés de six aiguilles     palpeuses    57, 58 et       59a,,    59b,     59,,        59,1;    négligeant provisoirement  les deux dernières à gauche, 57 et 58, rela  tives aux 5   et 6   trous, on voit que le cou  rant venant de la     source    60, arrive directe  ment à ces quatre aiguilles 59 qui ne sont  pas isolées entre elles. Au-dessous de cha  cune d'elles se trouve un contact métallique  noyé dans une plaque isolante.

   De ces  aiguilles et à travers les perforations de la       carte,    le .courant atteint quatre résistances       61a,    61b,     61,,        61,1    et enfin quatre enroule  ments. magnétisants     63a,,        63b,        63,,        63,1    d'un  relais polarisé 64, après quoi il retourne à  la source (sur la figure on n'a représenté  qu'un de ces enroulements 63).

   Soient m la  valeur     commune    des résistances des enroule  ments 63 et     Ra;,    Rb,     R,,    Ri les valeurs res  pectives des résistances     61a,,    61b,     61,,    61d.

   Si  ces dernières sont choisies ainsi qu'il suit  (R ayant une valeur arbitraire, mais con  venablement     choisie):        Ra,    = 8     R        -f-    7     m,,          Rb=4R+3in,        R,=2R+ma;        Rd=R,     de sorte que les résistances respectives  totales -des circuits<I>a, b, c, d</I> seront:

           Ra-@m=8(R-I-m),        R,,-L-m=-1(R@-rn).          R@        --Ï--   <I>m = 2</I> (R     -@-   <I>m),</I>     Rd        -@--        7n   <I>= R</I>     -@        yrr.     



  On voit que le courant alimentant le relais  64 pourra être représenté par<I>i, 2 i,</I> 4 i, 8 i  suivant qu'il aura traversé la résistance     61.1.     61b,     61,,        61,1;    par conséquent, suivant le  groupe de perforations présenté par la fiche,  le courant total traversant ce relais 64 sera  égal à i,<I>2 i, 3 i, 4 i</I><B>...</B> 15 i. Il est aisé de  vérifier ce fait sur l'exemple des combinai  sons de perforations indiqué plus haut, la  ligne supérieure correspondant au circuit a,  la suivante à b, -etc.  



  D'autre part, un distributeur 66, (com  mun à toutes les colonnes de la machine)  envoie dans l'enroulement démagnétisant 65  du relais 64, à des intervalles de temps  égaux, des courants successifs<I>2 i, 3 i</I><B>...</B> 16<I>i.</I>  On peut alors se rendre aisément     compte    que  ce relais fonctionnera au bout d'un temps  fonction linéaire de la valeur numérique .du  chiffre perforé à traduire, comme précisé  ci-dessus.  



       Le    distributeur 66, est constitué par un  bras 67, commandé de façon convenable par  l'arbre 4 et se déplaçant sur des plots réunis  entre eux par des résistances     r1,   <I>r2...</I>     r14     dont les valeurs sont déterminées par la con  dition que le courant distribué prenne les  intensités successives 2 i; 3 i<B>...</B> 16 i. En  outre,     une    résistance 91, est prévue entre la  source et le bras 67, pour permettre le ré  glage.  



  On pourrait ne disposer dans le relais 64  qu'un seul enroulement 63 recevant à la fois  les     eaurants    venant de     59a,,    59b,     59,,   <B>59,1;</B>  mais alors les courants fournis par le -distri  buteur 66, ne devraient plus varier en pro  gression arithmétique, leur valeur devrait  être déterminée par la     condition    que le cou  rant     venant    de ce distributeur soit toujours  supérieur, d'une     quantité    fixe suffisante pour  faire fonctionner le relais 64, au courant pas  sant, pour chaque combinaison de perfora  tions, dans l'enroulement 63.  



  Le relais 64 ferme normalement en 68  le circuit -des     électros    17     (fig.    3 et 1) com  mandant la marche des enregistreurs (voir           fig.l);    par conséquent, le tambour 1 tour  nera depuis le moment où le levier 23 aura  embrayé les pignons 5 et 2 jusqu'à celui du  fonctionnement du relais 64.

   On devra donc  caler le distributeur 66, par rapport à l'arbre  général 4 de la machine de telle sorte que  le courant 2     i    soit envoyé dans l'enroulement  65 du relais 64 un peu avant le mouvement  du levier 9     (fig.    1) venant appliquer l'arma  ture de     l'électro    17 de façon que les zéros  ne s'enregistrent pas; en outre, les dimensions  des plots de 66, et leur écartement devront  être choisis pour que le courant 3 i vienne  alimenter l'enroulement 65 exactement au  moment où le tambour aura tourné d'un  dixième de tour après l'engrènement des  pignons 2 et 5, que le début du courant 4 i  corresponde de même à deux :dixièmes de  tour du tambour 1, etc.  



  Il est bien évident que dans     cette    partie  de la machine les combinaisons 10, 11, 12,  13, 14 ne jouent aucun rôle, sauf dans le cas  d'une machine non inscrivante.  



  Passons maintenant à, l'explication de  l'inscription des caractères: On a vu plus  haut que le porte-types 35     (fig.2)    :se sou  levait d'une hauteur fonction de la durée du  courant parcourant     l'électro    44; reste donc     èà     rendre, comme ci-dessus, cette durée fonction  du groupe de perforations à traduire et trans  crire.

      Envisageons d'abord le cas des quatre  trous et de 15 caractères:  Un     électro    polarisé 69, semblable à     l'élec-          tro    64, possède un (ou quatre) enroulement  démagnétisant 70 monté en dérivation sur  le (ou les) enroulement 63 du relais 64;

    d'autre part, un     distributeur        71,,    analogue  au distributeur 66, et dont le bras 74, est  commandé de façon convenable par l'arbre 4,  recevant son courant de la     source    60, à tra  vers une résistance 92, prévue pour le ré  glage, envoie dans un enroulement magnéti  sant 72 du relais 69 des courants successifs  égaux (dans le cas où le relais 69 a quatre  enroulements 70) .à 14i,     13--...        ï,    0.

   Il en  résulte que ce relais lâchera son armature    quand le distributeur 71, arrivera à sa pre  mière touche si les perforations représentent  14, à sa seconde touche pour 13, etc.... à  sa treizième pour 2, à sa quatorzième pour 1  et à sa quinzième pour 0; enfin, il ne la  lâchera pas si la fiche ne     présente    aucune  perforation sous les peignes.  



  La     palette    73 du relais 69 ferme, dans  sa position de gauche, le circuit de     l'électro     44     (fig.    3 et 2) ; en conséquence, si l'on a _  soin de caler par rapport au distributeur     71,,     (dont le calage propre sera fixé plus bas)  la came 115, commandant le     levier    53     (fig.    2)  d'application des armatures et celle comman  dant le soulèvement de la crémaillère 45, de  telle sorte que simultanément:

   a) l'armature  de     l'électro    44 soit appliquée, b) la crémail  lère 45 se soulève et c) le bras 74, vienne en  contact avec la première touche du distribu  teur     71,;    si, au surplus, le temps mis par le  bras 74, pour passer d'une touche à la sui  vante est exactement égal à celui de la mon  tée d'une dent de la crémaillère 45, on voit  que, si la fiche présente le groupe de perfora  tions 14, le     cliquet    37 .entrera dans la pre  mière échancrure supérieure de la crémaillère  45; par suite, le porte-types 35 sera soulevé  de toute la longueur de la crémaillère;

   pour  le groupe de perforations correspondant à 13,  le porte-types sera soulevé de l'espace corres  pondant à une dent en moins (espace choisi  naturellement égal à la distance entre deux  caractères consécutifs portés par 35),     etc....     jusqu'au zéro pour lequel la crémaillère  n'aura plus que la hauteur d'une dent à fran  chir.

   Enfin, s'il n'y a aucune perforation  sous les peignes, le relais 69 alimente cons  tamment     l'électro    44 qui ne lâche pas son  armature; le     porte-types    35 n'est donc pas  soulevé et il est facile de lui donner une  forme     telle    que, dans ce cas, le marteau 49  ne puisse le frapper, par exemple en dis  posant une encoche à la     place    voulue     (fig.    2).  



  Dans le cas général de six perforations  et de 45 caractères, le     porte-types    prend -de  grandes dimensions et il peut y avoir des  difficultés à réaliser les grands déplacements  qui en     résultent.    Pour obvier à cet incon-           vénient,    il peut être avantageux de     diviser          l'inscription    en     trois    fractions. Le porte  types n'aura ainsi besoin de se soulever que  du     tiers    de sa longueur.

   Ceci est réalisé de  la façon suivante: le rouleau 100,     (fig.4)     sur lequel s'enroule le papier est monté sur  des glissières verticales     101,;    il repose sur  un cliquet 102, ou sur un cliquet     103.,          actionnés    par les     tiges    104, et 105, comman  dées elles-mêmes par une came<B>106,</B> laquelle  peut être rendue solidaire de l'arbre 4 par un  embrayage magnétique à un tour     107,,    pre  nant :sa rotation sur l'arbre 4 et dont de nom  breux modèles sont     couramment    employés  maintenant.

   La durée de fonctionnement des       cliquets    102, et 103 est très courte, de sorte  que le chariot. abandonné par le cliquet supé  rieur,. n'arrive sur le second que lorsque  celui-ci est déjà revenu à sa position de repos.  Enfin, un ergot fixe 108, détermine la posi  tion inférieure du rouleau.

   Une came     111g,     tournant à une vitesse égale au tiers -de celle  de l'arbre général et entraînée par des  pignons 109, et     110,    (109, est solidaire de  la came     106J,    agit par un levier     112,    sur"  une pièce     113,,    glissant sur les glissières     101,     pour remonter en temps voulu le rouleau     100,;     (ce mouvement est représenté schématique  ment sur la     fig.    4).  



  On expliquera     maintenant    l'utilisation des  deux perforations supplémentaires pour la  traduction des 30 combinaisons complémen  taires. Les combinaisons correspondant à des  chiffres comportant au maximum quatre per  forations, ces deux perforations supplémen  taires ne sont     utilisées    que pour lis     lettres    et,  dans ce cas, les     électros    17 n'ont     évidemment     aucun rôle à jouer.  



  Un tambour 75,     (fig.    3) reçoit le courant  venant de la source 60, en 76 et le distribue  en 77 et 78 aux     cinquième    et sixième  aiguilles (isolées) des peignes de lecture. Ce  tambour tourne à une     vitesse    égale au tiers  de la vitesse de l'arbre général 4 de la ma  chine et est construit de façon à envoyer du  courant en 58 pendant le premier tiers -de  tour à partir de sa position de repos, en 57       pendant    les deux premiers tiers et de couper    tout courant pendant le troisième     tiers.    L     c-:

       contacts inférieurs 79 et 80 correspondant  aux aiguilles 57 et 58 sont reliés entre     eux     et à l'enroulement     magnétisant    94 du relais  69 à travers une résistance 81 telle que le  courant passant par l'enroulement 94 soit  égal au courant maximum passant en 70 et  venant des perforations de la fiche en lec  ture.

   Par conséquent, pendant un ou deux  tours du distributeur     71,,    suivant que le cou  rant viendra par 57 ou 58, le relais 69 ne  lâchera pas son armature,     l'électro    44 recevra  du courant et le     porte-types    35 restera dans  sa position de repos, tout ceci quelle que soit  la combinaison des quatre perforations<B>59;</B>  ce ne sera .donc que pour la troisième ou la  seconde position du rouleau 100, que l'im  pression aura lieu.  



  S'il était absolument indispensable d'aug  menter le nombre des combinaisons de six  perforations, on pourrait le porter à 60 en  utilisant en addition aux 45 précédentes les  15     combinaisons    que fournissent les cin  quièmes et sixièmes trous pris ensemble. On  emploiera alors le dispositif de la     fig.    6; les  contacts 57 et 58     commandant    dans     ce    cas  deux relais 98 et 99 montés comme l'indique  la figure; d'autre part, le distributeur 75,  tourne     quatre    fois moins vite que l'arbre 4  et il     distribue    des courants à travers la résis  tance 81 durant un, deux ou trois quarts du  temps d'une de ses révolutions.  



  La     fig.    7 indique une solution simplifiée  où les commutations sont faites directement  par les tiges     palpeuses    571 et 58, remplaçant  les contacts 57 et 58; dans ce cas, la plaque  des contacts est perforée et les     petits    commu  tateurs sont placés dessous,     comme    l'indique  la figure, enfin le distributeur 75, tourne  également     quatre    fois moins vite.  



  Le dispositif d'inscription et de traduc  tion décrit ci-dessus et caractérisé essentielle  ment par l'emploi de résistances convenables  et des distributeurs 66, et 71, se prête aisé  ment à l'exécution de la soustraction par la  méthode classique des compléments: en effet,  il     suffit,de    prévoir un commutateur 86 placé      entre la palette du relais 64 et     l'électro    17  et assurant le contact<B>84-87</B> pour le cas de  la soustraction, le plot 87 étant placé sur une  dérivation prise sur l'alimentation de     l'électro     44. Ce sera donc alors le relais 69 qui four  nira le courant de     l'électro    17.

   D'autre part,  on aura eu soin de caler le distributeur     71..     sur l'arbre de telle sorte que l'application  des armatures des électron 17 se fasse exacte  ment au moment où ce distributeur 71,  fournit le courant 9     i..    Si la, carte porte le  groupe de perforations correspondant au  chiffre zéro, l'armature du relais 69 sera  lâchée au dernier plot du distributeur 71,,;  si elle porte le groupe correspondant à, 1,  à l'avant-dernier plot etc., comme on peut  s'en assurer aisément, il en résulte que le  pignon 2 et le tambour 1 auront tourné de  9 unités pour le zéro, de 8 pour le 1,<B>...</B>       etc..    . . de 1 pour le 8 et d'aucune pour le 9 ;

    autrement dit, la roue     compteuse    1     (fig.1)          Pnregistre,    c'est-à-dire additionne le complé  ment par rapport à 9 du chiffre perforé sur  la fiche. Dans le cas toutefois où la colonne  en lecture ne présente aucune perforation, la  roue     compteuse    ferait un tour complet au lieu  de neuf dixièmes de tour comme dans le cas       dix    zéro:

   pour pallier à cet inconvénient, le  fil de retour des électron 17 est coupé, après  un certain temps correspondant à neuf  dixièmes de tour de la roue 1, par un inter  rupteur mécanique     62,,    commandé par une  came 97, solidaire du bras 67, du distribu  teur     66,.    Il suffira., en outre, de fermer à  demeure le circuit de retenue du dernier  chiffre à droite du nombre à retrancher pour  obtenir la différence cherchée. La mise en  position du commutateur 86 ainsi que la fer  meture préalable du courant de retenue du  dernier chiffre à droite du groupe de colonnes  considéré pourront être réalisées au moyen  de relais commandés par une perforation  faite dans une colonne spéciale de la fiche.

    Un relais suffisant en général pour faire les  commutations relatives à trois ou quatre co  lonnes, si le groupe considéré en comporte  plus, il y aura lieu de disposer deux relais  ou plus en dérivation.    Au lieu de disposer un commutateur 86  par colonne, on pourrait employer des élec  tron 17 à deux enroulements dont l'un serait  connecté au plot 68 du relais 64 et l'autre  au plot 73 du relais 69; il suffirait alors  de commuter sur le fil de retour général de  la machine par un seul commutateur le fil  de retour commun à chacun de ces enroule  ments.  



  Dans le cas où l'on aurait adopté ce der  nier montage, le relais -de commutation in  diqué plus haut n'ayant jamais à réaliser  plus d'une commutation et d'une fermeture  quel que soit le nombre des colonnes en jeu,  il n'y aurait jamais lieu d'envisager son  doublement.  



  Le dispositif indiqué pour la soustraction  donnera, après     totalisation    d'un certain nom  bre de quantités positives ou négatives, un  résultat qui sera exact s'il est positif et qui  sera représenté par son complément à une  puissance de 10 dans le cas contraire, rien  ne permettant d'ailleurs de savoir par sa  simple lecture si l'on a affaire à un nombre       positif        ou        au        complément        d'un        nombre     Cela n'aura pas d'importance dans le  cas où l'on est sûr d'obtenir un résultat posi  tif (diminutions d'escomptes qui sont tou  jours inférieures aux sommes elles-mêmes,  etc.), mais il peut en être autrement et il  sera.

   alors nécessaire d'adapter audit dispo  sitif une modification parant à cet incon  vénient. On décrira ci-dessous, à     titre     d'exemple, un tel dispositif.  



  Une remarque préliminaire permet de ré  soudre la question. Supposons qu'on ait  prévu des nombres de p chiffres au maxi  mum et soit à effectuer la différence     n-n.';     la méthode des compléments consiste à ajou  ter à     7z    la différence     1OP-n    (qui est un  nombre de p chiffres), le résultat sera  <I>d =</I>     10P        +        n-n   <I>.</I> Si     n.--n'    est négatif,<I>d</I>  est intérieur à     10P    et n'a, par suite, que  <I>p</I> chiffres;

   au contraire, si     n-n    est positif       ou.    nul, d est au moins égal à 10P sans pou  voir parvenir à atteindre 2     X        10P;    donc d  aura toujours p     -i-    1 chiffres dont le pre-           mier    à gauche sera un 1 résultant d'une  retenue.  



  En conséquence, c'est seulement dans le  cas on l'on obtient un nombre positif, en ajou  tant un nombre quelconque au total déjà  enregistré, que l'on peut disposer d'un cou  rant de retenue fourni par le contact de la  première roue correspondant à la gauche du  groupe de colonnes considéré.  



  Reste     maintenant    à utiliser ce courant.  Le plus simple     consistera    dans l'enregis  trement simultané dans deux groupes diffé  rents de colonnes de quantités complémen  taires, donc double enregistrement     -dès    le  début. On verra plus loin comment on  peut obtenir l'enregistrement simultané dans  des groupes de colonnes différents d'un  nombre et de son complément. On obtiendra  ainsi des totaux dont l'un sera le total vrai  et l'autre son complément. Il suffira donc  alors de choisir entre les deux pour l'inscrip  tion finale sur la bande -de papier.  



  Le dispositif pratique s'en déduit immé  diatement.  



  Le courant de retenue dont il a été ques  tion ci-dessus sera dirigé dans un relais 114       (fig:    10) muni d'un circuit de collage inter  rompu par un     interrupteur    116 à chaque tour  de l'arbre 4, un peu avant     l'émission    du cou  rant de retenue par l'interrupteur 116; cet       interrupteur    116 est commandé par une came  solidaire du distributeur 66, de façon que,  d'une part, cet     électro    114 maintienne son  armature     attirée    après le déclic des retenues,  et que, d'autre part, il ne fonctionne que  pour chacun des totaux successifs.  



  Ce relais aura pour effet de commuter  le fil de retour des     électros    44 soit vers les       électros    17 des roues     compteuses    du total  vrai     (c'est-à-dire    vers 87) s'il est excité,  soit vers ceux du total complémentaire (vers  119) dans le cas     contraire.     



  Enfin, pour qu'il     ,soit    possible de recon  naître sur le total inscrit s'il est positif ou  négatif,     ce    relais 114 pourra dans ce dernier       cas    interrompre en 120 le courant     provisoire     envoyé :dans     Félectro    44 de la colonne à    gauche de celle réservée aux colonnes for  mant totalisateur; si donc l'on a eu soin que  le signe "14" porté par la lame 35 soit     prA-          cisément    le signe moins, celui-ci s'inscrira  devant le total négatif.  



  La remise à zéro des roues     compteuses     et l'inscription des totaux peut se faire en  alimentant ces     électros    17 et 44 par un cou  rant dont la durée sera déterminée par la  position même des roues     compteuses.    En  effet, laissant de côté les moyens devant pro  voquer cette remise à zéro et le transport des  totaux, on pourra supposer qu'au moment  opportun, on disposera d'un courant con  venable ou bien même que l'on provoquera  l'opération à la main, en agissant sur un  levier par exemple, ou de     toute    autre ma  nière.

   On alimentera donc,     après    application  des armatures, les     électros    17 à travers un  rupteur 83 fermé par une came -de retenue 82  portée par la roue     compteuse    1 quand le  tambour 1 passe de 9 à 0. Ce rupteur étant,  muni -d'un encliquetage, le courant sera dé  finitivement coupé.

   Il sera commode, pour  éviter la multiplication des contacts, de dis  poser le rupteur 83 et le     distributeur    fournis  sant le courant de remise à zéro sur un fil  joignant le plot 90 du relais 64 à la source       60,;    mais il sera alors nécessaire -de faire  précéder toute remise à zéro d'un envoi de  courant dans l'enroulement démagnétisant 65  pour amener toutes les palettes des relais 64  à être en contact avec les plots 90     (interrup-          teurs    122 Ta).

   Il faudra d'autre part que les  armatures des     électros    44 soient attirées par  un interrupteur (122 Tb) qui vient     aliménter     provisoirement ces     électros,    pour     permettre     aux crémaillères 45 -de s'élever de 14 à 10.

    A     ce    moment,     ce    courant auxiliaire est coupé  par ledit     interrupteur,    tandis que le courant  ,l'alimentation des     électros    17 est fermé par  un interrupteur (122     TJ    ; il en résulte que  les     électros    44 continuent à recevoir du cou  rant par le plot 73 puisque l'enroulement       magnétisant    94 est en dérivation sur     l'élec-          tro    17,     l'interrupteur    95, commandé par le  dispositif de commande da remise à zéro (par  exemple, comme on a supposé au début, à      la main), ayant été préalablement fermé.

    Cependant, un courant démagnétisant infé  rieur à celui qui parcourt l'enroulement 94  est reçu par l'enroulement 70     (interrupteur     122     TI)    ; il en résulte que, dès que le rupteur  83 fonctionne, il en est de même du relais 69  et que     l'électro    44 lâche son armature.

   Or,  si le tambour 1 était à 0 avant la remise à  zéro, il a tourné d'un tour complet; la cré  maillère 45 est montée -de 10 unités à partir  du chiffre 10 et, par suite, le porte-types  s'est élevé de la. hauteur d'un caractère: ce  sera donc un zéro qui sera imprimé; si le  tambour 1 était au 1, la rotation .se faisant  toujours dans le sens de l'enregistrement nor  mal, il devra tourner de 9 dixièmes de tour  pour revenir au zéro et il est visible que c'est  un 1 qui. sera. imprimé...

       etc...    De     cette     façon, l'inscription des totaux indiqués sur  les roues     compteuses    avant l'opération de re  mise à zéro s'effectue     automatiquement    en  même temps que cette     manoeuvre    de remise  à zéro des roues     compteuses.    Ce dispositif  d'inscription a le défaut d'imprimer tous les       zéros,"qu'ils    soient à droite ou à gauche :d'un  chiffre significatif.

   On peut remédier à cet  inconvénient ainsi qu'il ,suit: tous les plots 89  des relais 69 des différentes colonnes sont  mis en sérié par l'intermédiaire d'interrup  teurs 96 (fi g.2, 3, '9) fermés par les arma  tures des électron 44 quand elles sont appli  quées sur les noyaux; d'autre part, le plot  89 du relais 69 de la première colonne à  gauche de chaque groupe de colonnes est con  necté à un interrupteur 122T, envoyant un  courant commençant un peu avant l'ouver  ture du rupteur 83, c'est-à-dire après neuf  dixièmes de tour des roues     compteuses    1, et  ayant une durée au moins égale au temps       nécessaire    à la montée d'une dent de la cré  maillère 45.

   D'autre part, les contacts du  relais 69 sont établis de     telle    sorte que la fer  meture en 89 s'effectue avant la rupture en  73. Dans ces conditions, dans toutes les co  lonnes à gauche du premier chiffre signifi  catif, le courant sera maintenu après le zéro       c        t    rien ne s'inscrira, tandis que, pour chacune  des autres, la chaîne étant coupée au moment    de l'inscription du .premier chiffre signifi  catif, lequel s'inscrit toujours avant le zéro,.  le présent dispositif n'aura aucune action et  le zéro s'inscrira.  



  Pour terminer, il reste à déterminer les  relations entre les différents agencements dé  crits ci-dessus.  



  Avant tout, il y aura lieu de remarquer  l'extrême souplesse présentée par cette ma  chine. Rien ne s'oppose, en effet, par exem  ple, à ce que les mêmes quantités s'ajoutent  dans certaines colonnes et se retranchent  dans d'autres, opération avantageuse, entre  autres, dans le cas d'escomptes qui sont à  déduire des sommes à payer et à totaliser  dans un compte spécial; on a vu qu'il suffi  sait d'une indication (signe moins par  exemple) portée dans une colonne pour ob  tenir qu'un nombre se retranche au lieu -de  s'ajouter; il n'y a aucune difficulté à n'en  registrer un nombre sur les roues     compteuses     qu'à la condition qu'il soit également précédé  du signe plus:

   il suffit, pour cela, que le cir  cuit de retour des électron 17 du groupe de  colonnes considéré soit fermé par un relais  (non représenté) commandé par ce signe.  Dans ces conditions, rien ne s'opposera ,à ce  que, sans aucune modification, au groupement  des colonnes, la machine puisse     recevoir     successivement et sans transition des fiches  représentant des caractères d'écriture, même  numériques, et d'autres, comportant aux  mêmes places de la fiche des nombres à addi  tionner ou à soustraire. Cela pourra présen  ter de l'intérêt dans les confections de fac  tures par exemple, où il sera possible :d'ins  crire tout d'abord les nom et adresse du desti  nataire, puis les différents constituants de  ladite facture.  



  D'autre part, il y aura intérêt à accélérer  la marche de la machine, dans le cas où la  fiche à enregistrer ne comporte pas de signes  alphabétiques, en supprimant deux tours sur  trois du distributeur     71,;    d'autre part,     clans     le cas -de l'inscription de     lettres,    il faudra  éviter     que    les nombres à totaliser ne s'en  registrent trois fois.

   Pour cela, le distribu  teur 75, ne sera pas entraîné     directement    par      l'arbre 4, mais par l'intermédiaire d'un em  brayage magnétique à un tour; de plus, ce  distributeur portera une came 85, comman  dant un rupteur 88, de façon à coupez le  fil de retour des     électros    17 pendant les -deux  derniers tiers de tour du     distributeur.    Enfin,  un relais     93,        (fig.    3) sera mis .en série sur le  fil     d'alimentation    du distributeur     75,;

      la  résistance de .son enroulement sera faible pour  ne pas perturber les courants traversant les       relais-69    et c'est ce relais     93,    qui alimentera,  par son plot de travail,     Félectro    d'embrayage  du distributeur     75,;    celui-ci ne pourra donc  tourner que si une carte présente au moins  un caractère alphabétique.  



  La     fig.5    représente l'ensemble des em  brayages magnétiques et des cames et distri  buteurs ont il a été question dans le cours  de la description (les embrayages     magné-          tques    à un tour dont le système importe peu  ici ont été simplement indiqués schématique  ment par des rectangles hachurés munis d'un  fil, tels que     121J.    Ces embrayages .sont     coin-          mandés    comme il a été dit ci-dessus.

   En par  ticulier, les cames 11, et     19.,    agissant sur  l'application des     armatures    des     électros    17 et  les     leviers    ,d'embrayage 23, .se trouveront rem  placées par les cames 11<I>T</I> et 19<I>T</I> lors -des  remises à zéro;

   de même, la came 115,     agis-          saut    par l'intermédiaire du levier 54 sur       l'application    -des armatures .des     électros    44  sera remplacée au même moment par la     came     115<I>T.</I> Enfin, une came 121<I>T</I> exécute les  fermetures et ouvertures de circuits aux mo  ments indiqués dans la     description    de la  remise à zéro     (interrupteurs        122,de    la     fig.    3).  Pour plus de     commodité    dans le dessin, cette  came est représentée dans chacun de ses plans  sur la     fig.3.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à calculer inscrivant au moins des chiffres et comprenant des organes pal peurs -de cartes perforées, par lesquels elle reçoit des données numériques, les cartes uti lisées étant perforées :suivant un code qui exprime -des signes par les combinaisons que peuvent former les perforations d'une même rangée par leur rang et par leur nombre, caractérisée en ce que les organes palpeur:, lorsqu'ils tombent dans des perforation:, ferment, sur une source commune @de courant. des circuits dont les résistances ont .des valeurs diverses, dans le but que les diverses combinaisons de perforations ,soient trans crites par des courants d'intensités diverses.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine selon la revendication, carac térisée en ce qu'elle comprend une pre mière série de relais (64) à plusieurs en roulements, dont des enroulements magné- tisants (63) font partie des circuits que ferment les organes palpeurs et dont cha cun a au moins un enroulement démagné tisant (65) relié à un distributeur tour nant (66J branché sur la source com mune (60,) mentionnée, des électro- aimants (17) commandés par lesdits relais (64) et dont les armatures (16) appar tiennent à des dispositifs compteurs, une seconde série de relais (6'9)
    à plusieurs enroulements dont les enroulements ma- gnétisants (70) sont montés en dérivation sur ceux des relais (64) de la première série et des électro-aimants (44) comman dés par lesdits relais (69) de la :
    seconde série et dont les armatures appartiennent à des dispositifs d'impression, un second distributeur tournant (71j alimentant les enroulements démagnétisants (72) des relais (69) de la seconde série et les deux distributeurs tournants (66,, et 71J ayant chacun leurs plots de contact reliés les uns aux autres par des résistances, de manière que la somme de celles de ces résistances qui sont intercalées ans le circuit du frotteur de chacun des -distri buteurs décroît lorsque ce frotteur se dé place du premier au dernier plot,
    dans le but que le courant démagnétisant de chaque distributeur croisse et annule le magnétisme des relais (63, 6'9) correspon dants, au bout de temps qui soient fonc tions des courants magnétisants et, par tant, -distinctifs des combinaisons qui transcrivent au moins ,des chiffres.
    2 Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que les dispositifs comp teurs comprennent chacun une roue (3) solidaire d'un arbre (4) commun animé d'une vitesse constante, une roue eomp- teuse (2) à tambour de lecture (1), un renvoi (5) toujours en prise avec l'une des deux susdites roues et monté sur une chape mobile (6) permettant son en grènement temporaire avec l'autre, un levier portant l'armature de l'électro aimant (1 7) mentionné, deux leviers com mandés par came,
    dont l'un est destiné à appliquer mécaniquement cette armature contre les noyaux de cet électro et dont l'autre est destiné à agir sur la chape du renvoi dans le but de relier temporaire ment les trois roues mentionnées, la durée de cette liaison dépendant du temps au bout duquel l'électro-aimant relâche son armature. 3 Machine selon la sous-revendication ?, caractérisée en ce qu'elle comprend un dis positif pour le report des retenues, com portant un profil spécial d'une came (19J commandant l'entrée en prise du renvoi.
    4 Machine selon la. sous-revendication 3, caractérisée en ce que le dispositif d'im pression mentionné comprend des leviers commandés par came pour appliquer l'ar mature contre les noyaux de l'électro cor respondant (44), une plaque porte-types animée d'un mouvement vertical ascen dant au moyen d'une crémaillère et d'un cliquet, un mécanisme pour rendre ce mouvement fonction de la durée d'exci tation de l'électro et un mécanisme pour faire frapper la plaque porte-types contre un cylindre enregistreur.
    5 Machine selon la sous-revendication 1., dans laquelle les organes palpeurs sont en nombre suffisant pour transcrire en outre des caractères autres que des chiffre, caractérisée en ce que des groupes de ces palpeurs (57, 58) ferment leurs circuits sur une résistance commune (81) et sont branchés sur la source par l'intermédiaire d'un tambour distributeur (75J. 6 Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que le tambour distri buteur (75J est alimenté par l'inter médiaire d'un relais (93,) pour le cas de 60 combinaisons.
    7 Machine selon la sous-revendication 2, caractérisée par un commutateur permet tant de brancher les électros .de commande (17) des roues compteuses (2) sur les relais des dispositifs d'impression. 8 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée par un interrupteur pour les colonnes qui ne présentent aucun chiffre, lequel agit après neuf dixièmes de tour. 9 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée par un dispositif permettant de distinguer un résultat positif :d'un ré sultat négatif représenté par son complé ment et comprenant un relais (114) pour double enregistrement.
    10 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée par un dispositif envoyant un courant provisoire dans les électro-aimants des dispositifs d'impression (44) pour que les plaques porte-types passent de leur quatorzième à leur dixième graduation. 11 Machine selon la sous-reven.dication 4, caractérisée par un dispositif permettant le transport .des totaux pour l'impression. 12 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée en ce qu'elle comprend un :dis positif pour empêcher l'impression des zéros à gauche des chiffres .significatifs et comprenant des interrupteurs (96) com mandés par les électros (44) des -disposi tifs d'impression.
    13 Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée en ce qu'elle comprend une came (85,) commandant un rupteur (88J pour empêcher que les nombres ne s'en registrent trois fois. 14 Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif d'accélération constitué par un embrayage et un relais (93J.
CH177071D 1933-04-21 1934-04-16 Machine à calculer inscrivant au moins des chiffres. CH177071A (fr)

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