machine à calculer. La présente invention concerne les ma chines à calculer et, en particulier, celles du type à clavier, dans lequel les valeurs à cal culer sont introduites dans la machine par la dépression de touches numériques.
La machine à calculer suivant l'invention comporte plusieurs unités; chaque unité com prenant un élément sélecteur ajustablement monté par rapport à. l'arbre principal portant la manivelle de la machine et plusieurs tou ches dépressibles associées avec cette unité, la dépression d'une touche servant à mettre l'élément sélecteur à la position voulue, titi organe fixé à l'arbre tournant avec lui étant prévu et un organe denté étant disposé pour actionner une roue dentée en connexion avec le mécanisme de comptage de la machine,
mais étant normalement tenir dégagé de ce méca- nisuie, cet organe étant capable de tourner avec ledit organe tournant et étant mobile vers l'extérieur par rapport à lui sous le contrôle de l'élément sélecteur, mis en posi tion par les touches, la disposition étant telle que, lors d'titi ajustement de cet élément par la dépression d'une touche et de la rotation subséquente de l'arbre principal, ledit organe denté est amené sur le chemin de la roue dentée et, suivant la position occupée par l'élément sélecteur, vient en prise avec cette roue suffisamment à temps pour faire avancer celle-ci d'un nombre de dents représenté par la valeur de la touche déprimée.
Grâce à cette disposition la pression né cessaire pour déprimer les touches est réduite au minimum et l'on peut accomplir avec cette machine les diverses opérations de calcul avec tin nombre minimum de mouvements.
Le dessin ci-joint représente, à titre d'exem ple, une forme d'exécution de l'objet de l'in vention.
Fig. 1 est une vue en perspective de la machine Fig. 2 en est une coupe longitudinale verti cale prise, suivant 2-2 fig. 5, à travers le mécanisme de commande du compteur; Fig. 3 est une élévation latérale d'un élément sélecteur de valeurs; Fig.4 est une élévation latérale d'une unité de commande de compteur; Fig. 5 est une élévation d'arrière de la machine, la boîte étant enlevée; Fi* 6 est unie coupe verticale à plus grande échelle suivant 6-6, fig. 5 ; Fig.7 est une coupe verticale suivant.
7-7, fig. 5 ; Fig. 8 est une coupe verticale représen tant le mécanisme de commande du renver- sernent de marche; Fig. 9 est une élévation, partie en coupe, du mécanisme de déplacement du chariot; Fig. 10 est une vue en bout du chariot, la plaque extrême étant enlevée, représentant le moyen pour tenir à zéro l'arbre des roues de comptage; Fig. I1 est une coupe verticale du comp teur indicateur du multiplicateur; Fig. 12 est un plan, représentant la con nexion de l'index du multiplicateur avec le chariot;
Fig. 13 est un détail représentant le contrôle des détentes des éléments sélecteurs; Fig. 14 est une élévation latérale -d'un élément sélecteur et de l'unité de commande coopérant avec lui, assemblés avec le méca nisme de comptage; Fig. 1.5 est une élévation de face d'un élément sélecteur; Fig. 16 est une coupe transversale à tra vers une queue de touche, représentant le moyen employé pour tenir la touche déprimée;
Fil-.<B>17</B> est une coupe suivant 17-17, fig. 5 ; Fig. 18 est une vue d'arrière du dispositif de déplacement du chariot, représentant le moyen pour déclencher celui-ci; Fig. 19 est un plan des leviers actionnés par les touches.
La machine à calculer représentée est du type comportant des touches par lesquelles les valeurs sont introduites dans la machine. La dépression d'une touche introduit une va leur correspondant au chiffre inscrit sur la touche dans un tambour qui est susceptible de tourner à l'intérieur de la machine et que l'on met en rotation au moyen d'une mani- velle située à l'extérieur de cette machine.
Les valeurs introduites dans le tambour sont transmises, lorsque l'on fait tourner la mani velle, aux disques à chiffres du mécanisme de comptage qui, dans le but d'assurer l'action directe des valeurs choisies sur les disques à chiffres de la plus haute valeur possible, est disposé de faon à pouvoir se déplacer paral lèlement à l'axe du mécanisme sélecteur de valeurs.
La machine représentée sur les dessins comprend un socle 2 présentant des plaques latérales 3, 4 (fig. 1), entre lesquelles les dis positifs des mécanismes de sélection et de comptage sont disposés. Ces dispositifs com prennent un mécanisme de comptage, disposé sur un chariot longitudinalement déplaçable; un tambour de commande du mécanisme de comptage qui, lorsqu'il tourne, oblige les va leurs qui y ont été introduites à devenir effectives pour actionner le mécanisme de comptage; des touches pour introduire dans le tambour les valeurs choisies; un indica teur pour mettre en vue les valeurs intro duites dans le tambour;
un indicateur pour mettre en vue le calcul accompli, ou en voie d'accomplissement, et d'autres dispositifs pour contrôler la commande des touches, du méca nisme sélecteur, des dispositifs de comptage et autres organes. La machine contient tous les éléments nécessaires pour effectuer, rapi dement et exactement, l'addition, la -sous traction, la multiplication et la division. Elle est pourvue d'une plaque formant couvercle qui est située entre les plaques latérales et sur laquelle sont disposées les rangées de touches formant le clavier. La machine est pour vue de neuf rangées de touches numériques 5, dont chacune comprend neuf touches numé rotées de 1 à 9, consécutivement (fig. 1 et 2).
Lorsqu'on déprime une touche dans une ran gée, elle reste déprimée et chaque rangée est pourvue, à son extrémité antérieure, d'une touche d'effaçage 6, dont la dépression dé clenche la touche déprimée dans la rangée correspondante. En travers de la machine, entre les plaques latérales 3, 4, s'étendent des barres transversales fixes, 7 et 8, sur lesquelles les sections de touches sont mon tées, chaque section comprenant une rangée de neuf touches 5 et une touche 6. Chaque section constitue un ensemble ou unité et est incorporée comme telle dans la machine; la capacité qu'on désire donner à la machine détermine le nombre des sections à employer.
Chaque section comprend une plaque ou bande de dessus 9, qui forme une partie de la pla que formant couvercle de la machine. A cha que bande de dessus est assujetti, en un endroit adjacent à ses extrémités, mais à un certain écartement de celle-ci, un étrier 12 qui constitue un élément de guidage pour les queues 13 des touches (fig. 2 et 16). Les tou ches sont normalement tenues relevées par (les ressorts 14 portant contre l'étrier 12 et contre des épaulements 14' existant sur les queues des touches. Au-dessous de l'étrier 12 et cil contact avec le dessous de celui-ci, est disposé un coulisseau 15 normalement tenu en avant par le ressort 16.
Ce coulisseau est pourvu de plusieurs ouvertures à travers lesquelles les queues des touches s'étendent et chaque queue de touche. est pourvue d'une détente <B>17,</B> qui, lorsqu'on déprime la touche, prend sous le coulisseau 15 pour tenir la touche déprimée. La touche d'effagage 6 est pourvue, sur sa face, d'une rampe 18; qui, quand on déprime cette touche d'effagage, agit sur le coulisseau pour le déplacer afin de déclencher la touche déprimée (fig. 2 et 16).
La barre, ou levier de sélection, qui est déprimée d'une façon variable par la dépres sion des différentes touches, est située au dessous des tiges de touches et consiste cil un levier double. Le levier principal 21 est articulé, par son extrémité antérieure, à une languette 22 (fig.2) assujettie au bâti et pendant de celui-ci et il est relié; par son extrémité libre ou mobile, avec un levier coudé 26 pivotant sui- la tige 25 et pourvu, à son autre bout, d'une crémaillère courbe 31, engrenant avec une roue dentée 32, du mécanisme de sélection des valeurs (fig. 19).
Sui, une languette 23, située entre les extrémités du levier 21 et plus près de l'extré- mité libre de celui-ci, pivote lin levier secon daire 24 qui est articulé, en 234, au levier principal 21, l'axe d'articulation 234 étant adjacent au pivot existant sur la languette 23, de sorte qu'un mouvement angulaire re lativement faible de l'axe 234 est produit par un mouvement angulaire plus grand du levier 24 (fig. 2). Ce dernier s'étend - vers l'extrémité pivotante du levier 21 et se trouve le long du levier 21.
Les leviers sont dépor tés latéralement juste derrière l'axe 234 (fig. 19), de sorte que la partie principale du le vier 24 est alignée avec la partie arrière du levier principal 21. Les tiges -des touches sont en alignement et, dans la présente cons truction, les tiges des touches représentant les valeurs 1 à 6 inclusivement se trouvent directement au-dessus de la partie principale du levier 24, et celles des touches représen tant les valeurs 7 à 9 inclusivement se trou vent directement au-dessus de la partie ar rière du levier 21.
De cette façon, les touches représentant les valeurs 1 à 6 inclusivement actionnent le levier principal par l'-iiitermé- diaire du levier 24 et celles représentant les valeurs 7 à 9 inclusivement actionnent di- re#,tement le levier principal. Lorsqu'on dé prime, par exemple, une touche représentant la valeur 4, elle déprime le levier 24, en déprimant ainsi l'extrémité libre du levier 21. Lorsqu'on déprime une touche représentant la valeur 9, elle déprime directement l'extré mité libre du levier 21.
Grâce à cette dispo sition, une légère inexactitude dans la Lon- gueur d'une tige de touche, ou dans la quan tité de mouvement d'une tige de touche, ne produira pas une variation sensible dans la mise en position, ou ,,pose" des éléments de sélection des valeurs et ceci permet de plus grandes tolérances de fabrication en rendant ainsi possible une production en série.
Sui- (in arbre transversal 25, disposé à l'arrière de la machine, sont montés plusieurs leviers 26 (fig. 2 et 19), dont il existe un pour chaque section de touches. Chaque le vier 26 est. pourvu d'un bras horizontal, relié à l'extrémité du levier 21 et d'un bras ver tical relié à. l'élément de sélection de valeur qui se trouve sur le tambour de commande du compteur. Le bras horizontal est pourvu d'une fente \7 dans laquelle est engagée une cheville ?8 prévue sur le levier 21 afin de permettre un mouvement relatif du bras et du levier à mesure que ce dernier est dé primé par les touches numériques. La dépres sion du levier sur diverses distances prédé terminées produit des déplacements angulaires divers du bras vertical 29 du levier.
Le bras vertical 29 est pourvu, à son extrémité supé rieure, d'une crémaillère 31 concentrique à l'arbre ?.5.. qui engrène avec une roue dentée 32 existant sur l'élément de sélection des va leurs. La dépression d'une touche dans une (les sections produit ainsi un déplacement angulaire de l'élément sélecteur associé avec la section, qui l'amèrr-# à une position corres pondant à, la valeur numérique (le la touche déprimée. II y a un élément sélecteur asso cié avec chaque section de touches: dans le présent cas. il v a donc neuf de ces leviers. Le levier 21 est normalement tenu relevé par un rebsort 235 relié à une cheville prévue sur le levier 26 (fig. ?).
Le tambour de commande du mécanisme de comptage est monté sur l'arbre 33 (fig." et 5), supporté dans la plaque latérale 8 et la plaque intermédiaire 34. Ce tambour com prend neuf roues 35, de commande du méca nisme de comptage, qui sont assujetties à l'arbre 33 et neuf éléments sélecteurs de va leurs 36, fous sur l'arbre, une roue 35 et mi élément 36 étant combinés ensemble pour former une unité de commande. Le tambour comprend également des roues supplémen taires 37 (fin. 5), pourvues de chevilles de report des dizaines et des moyens de blocage des éléments sélecteurs, comme on le verra plus loin.
On peut faire tourner le tambour (sans un sens ou dans l'autre, à partir d'une püsition initiale, sur un tour complet qui le ramène à la position initiale, au moyen d'une manivelle 38, s'étendant à l'extérieur de la boîte, dont l'arbre porte, à son extré rnité, une roue dentée 39 engrenant avec une roue dentée 41 montée sur l'arbre du tam bour. La manivelle 38 est maintenue dans sa position initiale par le bonhomme à res sort 42 attaché à la manivelle et prenant dans un bossage creux 43 prévu sur la boite.
En tirant la manivelle à l'extérieur, on retire le bonhomme du bossage de telle sorte qu'on petit mettre la manivelle en mouvement pour faire tourner le tambour.
Chaque unité de commande comprend une roue de commande du mécanisme de comp tage et un élément sélecteur de valeur,. y associé. La roue de commande comprend un disque ou roue portant un coulisseau diamé tralement disposé 4.5 (fig 4), monté dans la roue de façon à pouvoir glisser diamétrale ment à elle.
Le coulisseau présente, à un bout, une face de commande pourvue de neuf dents 46 (lui sont disposées suivant un arc concentrique 'r l'axe de la roue et ont le même pas que les dents de la roue intermé diaire du mécanisme de comptage. Le cou- lisseau est tenu dans la rainure de la roue par la couronne 47, assujettie à cette roue et il est normalement tenu retiré de façon que les dents, ou crémaillère courbe 46,
se trouvent cri dedans de la périphérie de la roue. L'élément sélecteur a pour rôle de faire sortir le coulisseau, ou de le faire rentrer-, au moment voulu, au cours (le la rotation du tambour, pour, amener le nombre choisi de dents en prise avec le mécanisme de comp tage.
L'élément sélecteur 36 (fig. 2), ;r l'un des côtés duquel la roue dentée 3:? est assu jettie, est pourvu, sur son côté opposé, c'est- à-dire sur le côté qui se trouve contre la roue de commande y associée, d'une came 48 (fig. 3) avec laquelle coopère tin galet 49 (fig. 4) monté sur le coulisseau 45.
La came 48 pré sente une partie haute 51 (fig. 3) et. lorsque le galet est en contact avec cette partie, le coulisseau est tenu retiré tandis que, lorsque le galet est en prise avec la partie basse 52 de la came, le coulisseau est sorti. Pour as surer le mouvement glissant positif du cou- lisseau, une came d'appui 53, complémentaire de la came principale. est disposée en face de la partie basse 52 de celle-ci, en formant ainsi une rainure-carne 54 à travers laquelle le galet passe à mesure que la roue tourne, en assurant ainsi le mouvement glissant po sitif du coulisseau.
Le coulisseau effectue ainsi titi mouvement de va-et-vient pour cha que tour de la roue et le temps de son va-et- vient par rapport à la position de la roue est déterminé par la position occupée par l'élément sélecteur. Lorsqu'on fait tourner la manivelle dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre, le coulisseau est sorti au moment où la face de commande passe la roue intermé diaire du mécanisme de comptage, de sorte que le nombre choisi de dents viennent en prise avec le mécanisme de comptage et il est retiré ou rentré après que ladite face a passé le mécanisme de comptage.
Lorsqu'on fait tourner la manivelle en sens inverse du mouvement des aiguilles d'une montre, le cou- lisseau est sorti avant d'atteindre le méca nisme de comptage et est rentré aussitôt que la roue intermédiaire a tourné du nombre choisi de dents. Lorsque l'élément sélecteur occupe la position zéro, le coulisseau est sorti après que la face de commande a passé le mécanisme de comptage, quand on fait tourner la manivelle dans le sens du mouve ment des aiguilles d'une montre et il est sorti et retiré ou rentré avant que la face de commande atteigne le mécanisme de comp tage, lorsqu'on fait tourner cette manivelle dans la direction opposée.
Chacune des neuf roues de commande du tambour est pourvue d'un coulisseau 45 présentant une crémaillère courbe 46, à son extrémité et, afin que toutes les crémaillères sorties ne viennent pas eu prise avec les roues intermédiaires du mécanisme de comptage, en même temps, à mesure que le tambour est mis en rotation, et n'amènent pas ainsi, brusquement, une forte charge sur la manivelle, les coulisseaux sont espacés angu- lairement les uns des autres autour de la face du tambour, comme cela est représenté à la fig. 5. Les crémaillères successives sont de préférence avancées angulairement chacune.
d'une dent par rapport à la crémaillère qui les précède, de sorte que, ordinairement, à mesure que le tambour tourne, les crérrrail- lères viennent en prise successivement avec les roues intermédiaires du mécanisme de comptage, ce qui fait que la manivelle prend graduellement la charge et que l'on peut ainsi actionner plus facilement la machine. Le groupe de crémaillères ponte ainsi un arc d'environ<B>1800</B> autour du tambour, au lieu de<B>900</B> (longueur approximative de chaque crémaillère) de sorte que le travail à accom plir pour faire tourner les compteurs se trouve ainsi réparti sur un demi-tour de la mani velle au lieu d'être concentré sur un quart de tour.
Des moyens sont prévus pour indiquer les valeurs qui ont été introduites dans la machine par la dépression des touches, de façon que l'opérateur n'ait point besoin de chercher sur le clavier pour déterminer le nombre inscrit dans la machine. Chaque élé ment sélecteur est pourvu d'une section de jante à rebord 56 (fig. 3) sur laquelle les chiffres de zéro à neuf (fig. 15) sont succes sivement tracés et la rangée de chiffres qui se trouvent sur les éléments sélecteurs suc cessifs sont visibles à travers une fenêtre 57 (fig.l) pratiquée dans la boîte.
Lorsqu'on déprime une touche dans une section de tou ches, la valeur numérique de la touche appa raît dans la fenêtre dans la position occupée par la section particulière. Au-dessus de la fenêtre, la boîte est pourvue de chiffres 58, correspondant aux positions des sections de touches.
Les éléments sélecteurs sont capables d'être amenés aux positions choisies .par la dépression des touches, mais ils ne sont pas capables de tourner avec le tambour et des moyens sont prévus pour les empêcher de tourner lors du mouvement initial de la ma nivelle et pour empêcher l'entrée d'aucune valeur dans le tambour après que la mani velle a commencé Ù, être mise eu mouvement à partir de sa position initiale.
Chaque élé ment sélecteur est pourvu d'une crémaillère en arc de cercle 61, (fig. 2), occupant nor malement la position représentée à la fig. 2 et, dans ces crémaillères, peuvent prendre des doigts 62 pour empêcher le mouvement des éléments sélecteurs lorsque la manivelle - ne se trouve pas dans sa position initiale ou normale. Les doigts sont montés sur un arbre transversal 63 (fig. 5 et 13) et sont reliés ensemble pour bloquer, ou déclencher, tous les éléments sélecteurs.
Air manchon auquel tous les doigts 62 sont assujettis, est fixé titi bras 64 (fig. 13) possédant une extré mité arrondie en prise avec la came 65 assu jettie à harbre du tambour. La came est pourvue d'un cran 66 qui coïncide avec l'extrémité du bras lorsque la manivelle de commande se trouve dans sa position initiale et l'extrémité du bras pénètre dans l'encoche en permettant aux doigts de tomber, de leur propre poids, pour se dégager des crémail lères 61.
Lors du mouvement initial de la manivelle de commande, la came 66 oblige le bras 64 à descendre, en relevant ainsi les doigts en prise avec les crémaillères et cri les tenant dans cette position pendant le temps où la manivelle n'occupe pas sa posi tion normale ou initiale. Le point en lequel les doigts de blocage deviennent effectifs est déterminé par la longueur du cran. ou dé pression 66. Les valeurs introduites ou entrées dans la machine par la dépression des touches rie peuvent par conséquent plus être modifiées après qu'on a commencé à mettre la mani velle en mouvement.
On peut employer la machine à calculer pour effectuer des additions, des soustractions, des multiplications et des divisions, titi degré, ou échelon, dans titre opération quelconque étant accompli par titre rotation de la rnani- velle de commande.
Des moyens sont prévus pour ajuster ou régler le mécanisme afin d'effacer automatiquement le clavier après chaque rotation de la manivelle lorsqu'on fait titre addition ou titre soustraction et de faire que les valeurs entrées sur le clavier restent inaltérées durant des rotations suc cessives de la manivelle lorsqu'on effectue titre multiplication ou titre division. Au mari- choir auquel les doigts 62 sont assujettis, est.
fixé titi bras 66' (fi-. 13) qui, lorsque les doigts sont dégagés des crémaillères, se trouve sur le côté du disque 67 assujetti à la tige à ressort 68 qui s'étend dans le bossage creux 43, en opposition air bonhomme â ressort 42 (fig. 5).
Lorsqu'on veut faire titre multiplica tion ou une division, la tige 68 est libre de se mouvoir davantage dans le bossage 43 lorsque le bras 66' est retiré de devant. le disque 67. Ait début du mouvement de la manivelle, les doigts 6;3 et, par- conséquent; le bras 66' sont arrêtés par les crémaillères, ce qui bloque les éléments sélecteurs et sou lève le bras 66' de la position qu'il occupe le long du disque 67, cri sorte que la tige 68 est. libre de se mouvoir.
La tige se-nieut suffisamment pour placer le disque sous l'extrémité du bras 66' en empêchant ainsi ce bras (le tomber et en tenant les doigts cri prise avec les crémaillères.
On peut alors faire faire à la manivelle un nombre quelconque voulu de tours tans dégager les doigts des crémaillères. Ce dégagcmerit, ou déclenchement, est accompli ci) pla- çant la manivelle dans sa position initiale, et cri permettant au bonhomme 49 de porié- trer dans le bossage creux 43 cri repoussant la tige 68 et en retirant le disque 67 de sous le bras 66',
ce qui permet aux doigts de se dégager des crémaillères, par leur pro pre poids. Au cours d'une multiplication ou d'une division, le clavier n'est pas atitoniati- quement effacé lorsque la manivelle est ver rouillée dans sa position initiale, mais est effacé par l'usage d*uiie touche d'effaçage qui sera décrite plus loin. Au cours d'une addi tion ou d'une soustraction, le clavier est ef facé automatiquement durant la rotation de la manivelle.
Les valeurs entrées dans le tambour sont transférées, lors d'une rotation de celui-ci, au rnécanisine de comptage qui est disposé sur le chariot longitudinalement mobile 71 (fig. 7 et 1Ü), qui est mobile pour permettre l'action des éléments de commande sur les roues de comptage de valeur différente.
Des moyens sont prévus pour déplacer le chariot longitudinalement, soit d'tir) monvernent pas à pas, soit continuellement, à l'une ou à l'autre extrémité de l'étendue (le sa course. Le mé canisme de comptage comprend plusieurs disques à chiffres 7'21. montés sur l'arbre 73 et portant, sur leurs faces, des chiffres visi bles à travers des ouvertures 74 (fig. 7 et 12) pratiquées dans la boîte du chariot.
Chaque disque est pourvu, sur un de ses côtés, d'une roue dentée 75 (fig. 14), y assujettie et en grenant avec une roue dentée intermédiaire 76, folle sur l'arbre 77 (fig. 2). Lors de la rotation du tambour, les faces dentées des éléments de commande viennent en prise avec les roues intermédiaires et font tourner celles-ci ainsi que, par conséquent, les disques à chiffres. Les disques à chiffres sont empê chés de tourner trop loin et sont obligés de se mouvoir d'an mouvement pas à pas par les ancres d'échappement 78 pivotant sur l'arbre 79.
Ces ancres sont tenues en prise avec les roues dentées 75 par les billes à ressort 81, portées par la barre 82 (fig. 2). La barre est montée sur un arbre 83 qui est capable de tourner pour dégager les billes des ancres et libérer ainsi ces dernières lors qu'il est désirable de ramener les disques à chiffres à zéro. Des moyens convenables, ou bien connus, peuvent être employés pour faire tourner les disques à chiffres à zéro par la rotation de l'arbre 73 qui est pourvu, extérieu rement au chariot, d'une manivelle 84 (fig. 1). A l'arbre 73 est assujetti un disque 85 pré sentant une encoche 86 (fig. 10) dans laquelle l'extrémité du doigt 87 est normalement dis posée.
Le doigt est assujetti à l'arbre 83 sur lequel. la barre 82 est montée de sorte que, au début du mouvement de la manivelle 84, le doigt 87 est sorti du cran 86, ce qui fait tourner la barre 82 pour libérer les ancres 78 (fig. 2). Le mécanisme de comptage est également pourvu de leviers de transfert convenables 88, qui agissent concurremment avec les chevilles latéralement mobiles de report des dizaines 89 (fig. 13), existant sur le tambour, pour reporter des valeurs d'un disque de comptage au disque de comptage de l'ordre immédiatement plus élevé.
Des leviers de transfert et des chevilles de re port des dizaines du type représenté ici sont bien connus dans la construction des machines à calculer, de sorte qu'il n'est pas nécessaire de décrire ici la façon dont ils sont construits, ni leur mode de fonctionne ment.
Tout moyen convenable, ou bien connu, peut être employé pour déplacer le chariot longitudinalement d'un mouvement pas à pas et pour le déclencher de façon 'qu'il puisse être amené à bout de course et l'on a, sur les dessins, représenté un mécanisme conve nable à cet effet. Le mécanisme de déplace ment du chariot est actionné par un mouve ment du levier 91 (fig. 2), disposé sur le de vant de la machine, dans un sens ou dans l'autre selon la direction du mouvement qu'on désire donner au chariot. Le levier 91 est assujetti à un arbre 92 tourillonnant dans la boîte et ayant son extrémité inférieure dis posée au-dessous du chariot.
Au bout interne de l'arbre 92 est assujetti un levier 93 (fig. 9) présentant une l'ente 94 dans laquelle est engagée une cheville 95, montée sur le cou- lisseau 96 supporté dans le bâti 97. Le cha riot est monté sur ce bâti et est pourvu, sur son dessous, de plusieurs dépressions espacées 98, ayant un espacement égal à celui des disques numériques du mécanisme de comptage.
Dans le bâti 97 sont montés, de manière à pouvoir glisser verticalement dedans, deux pênes 171, 172, repoussés de bas en haut par des ressorts et pourvus d'extrémités su périeures biseautées disposées pour prendre contre les côtés des dépressions 98 du des sous du chariot. Le pêne<B>171</B> porte contre le côté gauche d'une dépression, en empêchant le mouvement du chariot vers la droite et le pêne 172 porte contre la paroi de droite d'une autre dépression, en empêchant le mou vement du chariot vers la gauche. Le chariot est ainsi normalement empêché d'effectuer un mouvement longitudinal et, en raison de l'usage des deux pênes, il n'a aucun jeu laté ral.
Sur chaque pêne est disposé un galet 173 sur lequel peut agir, pour déprimer le pêne, un chien 174 (fil-. 9), pivotant sur le coulisseau 96 et empêché de se déplacer en s'éloignant dudit galet par un arrêt 175 prévu sur le coulisseau. Lorsque le coulisseau est déplacé de manière à amener le chien vers le galet, la surface inférieure, plate, inclinée, 176 du chien 17.1 passe par dessus le galet e t agit sur celui-ci pour faire descendre le pêne y associé afin de le dégager du chariot.
Sur le coulisseau 96 pivote, sur le même axe que le chien 17.1, titi cliquet 176' qui, quand il est déclenché, est repoussé de bas en haut par le ressort 177 interposé entre le cliquet et le chien 174 (fig. 9). Le cliquet passe à travers une fente 178 de la plaque de dessus 179, du bâti 97 et est normale ment tenu dégagé du chariot par contact avec l'extrémité de la fente en question. Lorsque le coulisseau 96 est mû vers la gau che, le chien 174 déprime le pêne<B>172</B> eu déclenchant le chariot qui petit ainsi se mouvoir vers la gauche.
En même temps, le cliquet 176' s'élève dans la dépression sui- vante du chariot et la continuation dit mouve ment du coulisseau vers la gauche oblige le cliquet 176' à faire mouvoir le chariot vers la gauche.
A mesure que le chariot se meut vers la gauche et avant qu'il arrive à la fin de sa course, le chien 174 abandonne le galet 173 ce qui permet au pêne 172 de se relever dans la dépression suivante du chariot, à droite de la dépression d'où il avait été retiré, en sorte que ce pêne se trouve en position pour arrêter le mouvement du cha riot à la fin de son acheminement ou .,pas'\. Lors du mouvement du chariot vers la gauche, le pêne 171 est déprimé par engagement du côté de la dépression avec le côté biseauté du pêne et prend dans la dépression sui vante après que ce chariot a été déplacé d'rin pas.
A mesure que le coulisseau revient à sa position centrale ou neutre, le chien 174 passe cri basculant par dessus le galet 173 et revient à sa position normale contre l'ar rêt 175. Avec le pêne 171 sont associés un chien<B>174</B> et un cliquet 176' correspondants, qui fonctionnent comme cela a été indiqué ci-dessus pour le mouvement du chariot vers la droite.
Des moyens sont prévus pour ramener le coulisseau 96 (fig. 9) et le levier 91 à, la po sition neutre ou centrale, après titi ,,pas- ou acheminement. du coulisseau dans un sens ou dans l'autre.
Dans le bâti 97 est supportée, au-dessous du coulisseau 96, une tige<B>181</B> qui s'étend à travers une ouverture d'une oreille 182 existant sur le dessous du coulis seau, sensiblement au milieu de celui-ci. Srir la tige 181, de chaque côté de l'oreille 182, est disposée une rondelle 183 pourvue d'une saillie 184, engagée dans une fente 18;
ï du bâti\97, les fentes ayant une longueur telle que, lorsque les saillies se trouvent aux extré mités adjacentes des deux fentes, l'oreille est tenue dans sa position centrale ou neutre. Sur chaque extrémité de la tige, entre la rondelle 183 et la butée 186 à travers laquelle la tige passe, est disposé titi ressort 187 tra vaillant à la compression, qui tend à tenir la rondelle à l'extrémité de la fente.
Les ressort, tendent à ramener le cmili-sseau à la position neutre ou centrale après qu'il a été mû dans un sens ou dans l'autre, par le levier 91. Le mouvement dit coulisseau dans lin sens ou dans l'autre comprime le ressort situé sur le côté vers lequel le coulisseau se meut, mais tic fait aucunement varier la compression de l'autre ressort, qui re-,te inactif.
Le coulisseau est ainsi centré après chaque mouvement du chariot.
Des moyens sont également prévus pour dégager, ou déprimer, simultanément les deux pênes 171 et<B>172</B> de faon qu'on puisse mou voir librement le chariot à la main. Chaque pêne est pourvu d'une cheville 188 (fig. 18) s'étendant à travers une fente existant dans la paroi arrière 189 du bâti dans lequel le coulisseau est monté. Sur l'extrémité arrière de la paroi 189, est disposé titi coulisseau 191 que l'on peut déplacer longitudinalement en appuyant sur le bouton à ressort 192 fai sant saillie de la boîte.
Le coulisseau<B>191</B> présente, sur son dessous, deux rampes 193, qui portent contre la cheville 188. Le mou vement du coulisseau fait passer les rampes par dessus les cheville., ce qui produit une dépression des pênes et déclenche le chariot.
La machine est pourvue de moyens pour indiquer le troisième facteur du calcul. Un des facteurs est indiqué par la dépression des torr- ches ; l'autre facteur est indiqué sur le méca nisme de comptage situé sur le chariot et le troisième facteur est indiqué ind6pendam- ment des deux premiers. Par exemple, dans la multiplication, le multiplicande se voit à la fenêtre 57 (fig. 1), le produit se voit sur le chariot et le multiplicateur se voit à la fenêtre 102.
Ce troisième facteur est entré dans la machine par la rotation de la mani velle 38 que l'on petit faire tourner dans un sens ou dans l'autre, comme cela a été dit ci-dessus. Le mécanisme indicateur du troi sième facteur est monté entre la plaque laté rale 4 et la plaque intermédiaire 34 et com prend un mécanisme de comptage consistant en plusieurs roues numériques 103 (fig. 6), dont chacune est pourvue, sur son côté, d'une roue dentée 104 et en des roues dentées intermé diaires<B>105,</B> engrenant avec les roues dentées des roues numériques. Les roues de comptage peuvent se mouvoir d'un mouvement pas à pas contrôlé par les détentes à ressort 106.
La roue intermédiaire choisie 105, tourne d'une dent pour chaque tour de la manivelle 38 sous l'action de la dent 107 montée à languette et rainure sur l'arbre 108 et mobile le long de cet arbre pour être amenée dans le plan de la roue intermédiaire de la déno mination ou ordre choisi par le mouvement longitudinal du chariot, de sorte que les va leurs entrées dans le troisième facteur sont du même ordre que celles entrées dans le second facteur ou produit. L'arbre 108 est entouré par un collier 109 auquel la dent 107 est reliée et qui porte un indicateur 112 (fig. 12) indiquant l'ordre du nombre entré dans le troisième facteur.
Au collier 109 est assujettie une tige 113 pourvue, à soir extré mité; d'une crémaillère 114 engrenant avec une roue dentée 115 qui, à sort tour, engrène avec une crémaillère 116 existant sur le chariot. Le mouvement du chariot est par conséquent accompagné d'un mouvement de l'indicateur 112 et de la dent 107. L'indica teur se meut en sens inverse du chariot; de sorte que les ordres des roues de comptage 103 progressent en augmentant de valeur de droite à gauche, comme ils le font dans tous les nombres.
Ainsi, lorsque le chariot et dans sa position extrême à gauche, dans laquelle la valeur entrée par la dépression d'une tou che de la première section de touches à droite est entrée dans le compteur qui se trouve sur le chariot comme une valeur de l'ordre des unités, l'indicateur se trouve à sa position extrême à droite, c'est-à-dire à l'en droit de la roue de comptage 103, des unités. Lorsque le chariot est déplacé d'un pas à droite de sa position extrême de gauche; la valeur entrée par la dépression d'une touche dans la première section de touches à droite est entrée dans le compteur du chariot com me une valeur de l'ordre des dizaines et l'indi cateur se trouve à la roue de comptage 103, des dizaines.
L'arbre 108 (fig. 6) est mis et) rotation par la rotation de la manivelle 38. Sur l'ar bre de la manivelle est monté de façon à pouvoir tourner, un manchon<B>117</B> sur lequel est assujetti un tambour 118 de report des dizaines pour les roues de comptage 103, tambour qui est pourvu de cames 119 et de bonshommes à ressorts 121, qui coopèrent avec les leviers de transfert 122 du méca nisme de comptage pour reporter des dizai nes aux roues de comptage de l'ordre immé diatement plus élevé. Sur le manchon<B>117</B> est montée à languette et rainure une roue dentée 123 qui peut être déplacée le long du manchon par un levier 124 passant à travers la boîte et pivotant sur l'arbre du tambour.
Le levier 124 (fig. 8) est pourvu, à son bout interne, d'un bras 125 concentrique à l'arbre 33 et courbé latéralement. Ce bras porte dans une encoche 126 d'une tige capable de glisser longitudinalement 127 (fig. 5), qui est norma lement retenue dans l'une ou l'autre de ses deux positions par une bille à ressort 128, disposée pour prendre dans l'un ou l'autre des crans 129 de la tige. A la tige 127 (fig. 6 et 7) est assujettie une fourchette 131 qui est en prise avec un collier de la roue dentée 123, de sorte que, en déplaçant le levier 124 on amène la roue 123 à l'une ou l'autre de ses positions.
Dans la plaque in termédiaire, tourillonne un arbre sur l'une (les extrémités duquel est assujettie une roue dentée 132 engrenant avec la roue dentée 39 tandis que, à l'autre extrémité dudit arbre, est assujettie une roue dentée 133. Avec la roue 133, engrène une roue dentée 13-1 qui déborde la roue 133, ou est dé portée par rapport à elle, sur l'un des côtés. La roue 123 est déplaçable latéralement de façon à engrener soit avec la roue 133, soit avec la roue 134.
Lorsqu'elle engrène avec la roue 133, le tambour 118 tourne dans le même sens que la manivelle et, lorsque la roue 123 engrène avec 13.1, le tambour 118 tourne cri sens inverse de la manivelle. L'arbre 108 est relié au tambour 118 par les roues d'engrenage 136, 137 et 138 de façon due l'arbre 108 tourne dans le munie sens que le tambour et en inênie temps avec la rotation de celui-ci (fig, 17).
Grâce à l'existence du mécanisme de re port des dizaines associe: avec les roues de comptage 103, il est possible d'effectuer bien (les calculs avec un nombre bien moindre de mouvements (le la manivelle que cela n'a été possible jusqu'à présent.
Par exemple, pour multiplier, 234:5 par 897, il a été nécessaire, jTisqu'à présent, d'introduire 2345 loris la machine, puis, avec le chariot dans la position des unit:, de faire faire sept tours à la ma nivelle; d'amener ensuite le chariot à la po sition des dizaines et de faire faire neuf tours à la manivelle, puis d'ainerier le chariot à la position des centaines et de faire faire huit tours à la manivelle, ce, qui fait, cri tout, vingt-quatre tours de manivelle.
Avec la présente machine, cette opération est simpli fiée à un degré extrême. On entre la valeur 2345 dans le clavier, puis, avec le chariot dans la position des mille, on fait faire un tour à la manivelle, ce qui multiplie par mille. On amène ensuite le chariot à la po sition des unités et on fait faire, trois tours à la manivelle cri sens inverse, ce qui a pour ettet de soustraire ainsi trois de mille, en don nant comme multiplicateur 997. Après cela, on amène le chariot à la position des centaines et on fait faire à la manivelle un tour cri sens inverse, ce qui donne comme multiplica- teur 897.
Le produit est ainsi obtenir avec cinq tours air lieu de vingt-quatre de la ma- nivelle. Le compteur cru troisième facteur est également employé avec avantage polir dé terminer des réciproques, pour extraire la racine carrée et dans des problèmes de divi sion.
Les roues de conipt < ir;e 103 sont facile ment remises à, zéro par une rotation de la manivelle 141 (fig. 5) assujettie à l'arbre 142 sur lequel ces roues sont montées de faon à pouvoir tourner. Les roues sont normale- ment tenues par les détentes à, ressort 100 (fig. 6).
La rotation de l'arbre 142 fait faire une fraction de tour à un arbre demi-rond 143, de la inéme manière que dans le méca nisme de comptage cru chariot. pour soulever les détentes des roues dentées afin de per mettre aux roues de comptage de tourner facilement.
Plusieurs billes à ressort 145 (fig. 11), prévues dans l'arbre 1.12 à raison d'une bille pour chaque roue de comptage, sont cri prise avec des saillies 146 existant sur l'intérieur des roues de comptage et les entrainent jusqu'à. ce qu'une (lent 147, exis tant sur le côté (le chaque roue, vienne en contact avec le levier de transfert 122, en arrêtant la roue de comptage à zéro.
Des moyens sont prévus pour effacer <I>le</I> clavier et pour disposer la machine pour effectuer des additions et des soustractions. la machine étant normalement disposée polir des multiplications ut des divisions. Sur le côté du clavier sont disposées trois touches, ît savoir (fig. 1 et 7) :
titre touche d'effaçage 151, dont la dépression efface du clavier toute les valeurs introduites, une autre touche 152, marquée qui lorsqu'on la déprime, dis pose la machine pour l'addition et la sous traction et une autre touche 153, marquée
EMI0010.0077
dont la dépression déclenche la touche 152 et rétablit la machine à l'état voulu pour la multiplication et la division.
Les cou lisseaux 15, qui servent à tenir déprimées les touches numériques que Voir a déprimées, sont normalement tenus en avant par des ressorts 16 et sont pourvus, à leurs extré- mités arrière, de lèvres 154 (fig. 7). Sur le bâti de la machine pivote; en avant des lè vres 154, une plaque 155 qui, lorsqu'elle est poussée en arrière, déplace les coulisseaux 15 vers l'arrière et produit ainsi le déclen chement des tiges des touches.
A l'intérieur de la boîte pivote, sur un montant 156, ni) levier 157 dont un des bouts est disposé sous la tige de la touche i51. L'autre bout du levier est pourvu d'une rampe<B>158</B> qui est adja cente à l'extrémité inférieure de la plaque 155, de- telle sorte que la dépression de la touche 151 fait basculer cette plaque 155 et déplace ainsi les coulisseaux 15 pour déclencher toutes les touches numériques déprimées.
Les dispositifs amenés en action par la dépression de la touche<B>152</B> (fig. 7), qui est tenue déprimée par l'engagement du coulis seau à ressort<B>159</B> avec la saillie 161 prévue sur la tige de la touche, comprend une barre 162 articulée à la roue dentée 133 de façon que son extrémité libre va et vient à mesure qu'on fait tourner la manivelle. A soir extré mité libre, cette barre est pourvue d'une saillie 163 qui va et vient sous la plaque 155 et normalement hors de contact avec celle-ci.
La barre est supportée entre ses extrémités et glissa sur titre saillie latérale 164 du le vier 165 pivotant, entre ses extrémités, sur le montant<B>156.</B> L'extrémité antérieure du levier 165 se trouve au-dessous de la tige de la touche 152 de sorte que, quand on déprime cette touche, la saillie 164 se trouve soulevée et soulève l'extrémité libre de la barre 162, ce qui fait que la saillie 163 de cette barre vient cri prise avec la plaque 155 et la fait osciller à chaque tour de la manivelle. Les touches numériques déprimées sont ainsi déclenchées durant la rotation de la mani velle.
Des moyens sont également prévus pour déclencher les éléments sélecteurs qui se trouvent sur le tambour de commande au moment où la manivelle approche de sa position initiale après avoir fait tin tour et ceci est accompli en rendant inactifs les moyens em ployés, dans les opérations de multiplication, pour tenir les éléments sélecteurs bloqués dans les, positions ajustées jusqu'à ce que le bonhomme de la manivelle ait pénétré dans le bossage creux.
Comme cela a été dit pré <B><U>C</U></B> p 'deinmetit, chaque élément sélecteur est pourvu d'une crémaillère en arc de cercle 61 (fig. 13), qui, après que la manivelle a été mise en marche à partir de sa position ini tiale, est engagée par nu doigt 62 pour em pêcher le mouvement de l'élément sélecteur.
Les doigts 62 sont amenés en prise avec les crémaillères par une came 65 assujettie à l'arbre du tambour et coopérant avec un bras 64. Après que les doigts ont été sou levés en prise avec les crémaillères, ils sont tenus en prise avec celles-ci (jusqu'à ce que le bonhomme de la manivelle ait pénétré de nouveau dans le bossage creux) par le disque 67 monté sur la tige longitudinalement mo bile 68_ en empêchant le mouvement du bras 66'. Lorsque la machine est disposée pour l'addition et la soustraction, la tige 68 est empêchée de se déplacer longitudinalement de sorte que le disque 67 rie peut venir sous le bras 68.
Ceci permet à la came 65 de contrôler exclusivement le mouvement des doigts 62 de sorte que; à la fin de chaque tour du tambour, les doigts sont retirés et les éléments sélecteurs déclenchés. La tige 68 est empêchée de se déplacer longitudina lement par l'arrêt cri équerre 168 articulé à l'arbre 25 et en prise avec l'extrémité arrière du levier 165. Lorsqu'on déprime la touche 152, l'arrêt 168 est soulevé en prise avec un renflement 169 de la tige 68, en empêchant ainsi la tige de se mouvoir et en empêchant par conséquent le disque 67 d'agir pour blo quer les doigts 62 en position. La dépression de la touche 153 déclenche la touche 152 et fait revenir les parties à leurs positions ac tives normales pour la multiplication et la division.
La machine représentée sur les dessins possède neuf sections de touches, neuf roues de comptage dans le compteur du multipli cateur et dix-huit roues de comptage dans le mécanisme de comptage du chariot, ce qui donne une machine 9-9-18. Il va toutefois sans dire qu'on peut établir la machine sur. vant des capacités différentes, telles que l2-12-24 ou 6-6--1", selon le genre de service auquel elle est destinée.
calculator. The present invention relates to calculating machines and, in particular, to those of the keyboard type, in which the values to be calculated are introduced into the machine by the depression of numeric keys.
The calculating machine according to the invention comprises several units; each unit comprises a selector element which is adjustable relative to. the main shaft carrying the crank of the machine and several depressible keys associated with this unit, the depression of a key serving to put the selector element in the desired position, titi member attached to the rotating shaft with it being provided and a toothed member being arranged to actuate a toothed wheel in connection with the counting mechanism of the machine,
but normally being kept clear of this mechanism, this member being capable of rotating with said rotating member and being movable outwardly with respect to it under the control of the selector element, placed in position by the keys, the arrangement being such that, during initial adjustment of this element by the depression of a key and the subsequent rotation of the main shaft, said toothed member is brought into the path of the toothed wheel and, depending on the position occupied by the selector element engages this wheel in sufficient time to advance the latter by a number of teeth represented by the value of the depressed key.
Thanks to this arrangement, the pressure required to depress the keys is reduced to a minimum and the various calculation operations can be performed with this machine with a minimum number of movements.
The accompanying drawing represents, by way of example, one embodiment of the object of the invention.
Fig. 1 is a perspective view of the machine FIG. 2 is a vertical longitudinal section taken, according to 2-2 fig. 5, through the counter control mechanism; Fig. 3 is a side elevation of a value selector element; Fig.4 is a side elevation of a meter control unit; Fig. 5 is a rear elevation of the machine with the box removed; Fi * 6 is a vertical section on a larger scale according to 6-6, fig. 5; Fig.7 is a following vertical section.
7-7, fig. 5; Fig. 8 is a vertical section showing the reversing control mechanism; Fig. 9 is an elevation, partly in section, of the movement mechanism of the carriage; Fig. 10 is an end view of the carriage, the end plate removed, showing the means for holding the shaft of the counting wheels at zero; Fig. I1 is a vertical section of the indicator counter of the multiplier; Fig. 12 is a plan showing the connection of the index of the multiplier with the carriage;
Fig. 13 is a detail showing the control of the detents of the selector elements; Fig. 14 is a side elevation of a selector element and of the control unit cooperating with it, assembled with the counting mechanism; Fig. 1.5 is a front elevation of a selector element; Fig. 16 is a cross section through a key tail, showing the means employed to hold the key depressed;
Fil-. <B> 17 </B> is a section on 17-17, fig. 5; Fig. 18 is a rear view of the device for moving the carriage, showing the means for triggering the latter; Fig. 19 is a plan of the levers operated by the keys.
The calculating machine shown is of the type comprising keys by which the values are entered into the machine. The depression of a key introduces a value corresponding to the number written on the key in a drum which is capable of rotating inside the machine and which is set in rotation by means of a crank located at outside of this machine.
The values entered in the drum are transmitted, when the crank is turned, to the digit disks of the counting mechanism which, in order to ensure the direct action of the selected values on the digit disks of the most high possible value, is arranged so that it can move parallel to the axis of the value selector mechanism.
The machine shown in the drawings comprises a base 2 having side plates 3, 4 (fig. 1), between which the devices of the selection and counting mechanisms are arranged. These devices com take a counting mechanism, arranged on a longitudinally movable carriage; a counting mechanism control drum which, when rotating, causes the values entered therein to become effective for operating the counting mechanism; keys to introduce the selected values into the drum; an indicator to show the values entered in the drum;
an indicator to show the calculation completed, or in the process of being completed, and other devices for controlling the control of the keys, the selector mechanism, the counting devices and other parts. The machine contains all the elements necessary to perform, quickly and accurately, addition, pulling, multiplication and division. It is provided with a cover plate which is located between the side plates and on which are arranged the rows of keys forming the keyboard. The machine is for view of nine rows of number keys 5, each of which comprises nine number keys rotated from 1 to 9, consecutively (Figs. 1 and 2).
When depressing a key in a row, it remains depressed and each row is provided, at its front end, with a clearing key 6, the depression of which triggers the depressed key in the corresponding row. Across the machine, between the side plates 3, 4, extend fixed crossbars, 7 and 8, on which the key sections are mounted, each section comprising a row of nine keys 5 and a key 6. Each section constitutes a whole or unit and is incorporated as such in the machine; the capacity which one wishes to give to the machine determines the number of sections to be employed.
Each section includes a top plate or strip 9, which forms part of the machine cover plate. To each top band is secured, in a place adjacent to its ends, but at a certain distance from the latter, a bracket 12 which constitutes a guide element for the shanks 13 of the keys (fig. 2 and 16). The keys are normally held up by (the springs 14 bearing against the caliper 12 and against the shoulders 14 'existing on the shanks of the keys. Below the caliper 12 and in contact with the underside thereof, there is a slide 15 normally held forward by the spring 16.
This slider is provided with several openings through which the key tails extend and each key tail. is provided with a trigger <B> 17, </B> which, when the button is depressed, takes under the slide 15 to hold the button depressed. The erase key 6 is provided, on its face, with a ramp 18; which, when this release button is depressed, acts on the slide to move it in order to trigger the depressed button (fig. 2 and 16).
The bar, or selector lever, which is variably depressed by the depression of the different keys, is located below the key stems and consists of a double lever. The main lever 21 is articulated, by its front end, to a tongue 22 (FIG. 2) secured to the frame and hanging therefrom and it is connected; by its free or mobile end, with an elbow lever 26 pivoting on the rod 25 and provided, at its other end, with a curved rack 31, meshing with a toothed wheel 32, of the value selection mechanism (fig. 19). ).
Then, a tongue 23, located between the ends of the lever 21 and closer to the free end thereof, pivots the secondary lever 24 which is articulated, at 234, to the main lever 21, the axis d The hinge 234 being adjacent to the pivot existing on the tongue 23, so that relatively small angular movement of the axis 234 is produced by a greater angular movement of the lever 24 (Fig. 2). The latter extends - towards the pivoting end of the lever 21 and lies alongside the lever 21.
The levers are shifted laterally just behind the pin 234 (fig. 19), so that the main part of the lever 24 is aligned with the rear part of the main lever 21. The key rods are aligned and, in In this construction, the rods of the keys representing the values 1 to 6 inclusive are located directly above the main part of the lever 24, and those of the keys representing the values 7 to 9 inclusive are located directly above the main part of the lever 24. the rear part of lever 21.
In this way, the keys representing the values 1 to 6 inclusive operate the main lever through lever 24 and those representing the values 7 to 9 inclusive directly operate the main lever. When one depresses, for example, a key representing the value 4, it depresses the lever 24, thus depressing the free end of the lever 21. When depressing a key representing the value 9, it directly depresses the extremity. free mite of lever 21.
Thanks to this arrangement, a slight inaccuracy in the length of a fingerboard, or in the amount of movement of a fingerboard, will not produce a noticeable variation in positioning, or ,, installation of value selection elements and this allows greater manufacturing tolerances thereby making series production possible.
On the transverse shaft 25, arranged at the rear of the machine, several levers 26 are mounted (fig. 2 and 19), of which there is one for each section of keys. Each lever 26 is provided with a horizontal arm, connected to the end of lever 21 and a vertical arm connected to the value selection element which is on the control drum of the counter The horizontal arm is provided with a slot \ 7 in which is engaged a peg 8 provided on the lever 21 to allow relative movement of the arm and the lever as the latter is depressed by the numeric keys Depressing the lever over various predetermined distances produces displacements various angles of the vertical arm 29 of the lever.
The vertical arm 29 is provided, at its upper end, with a rack 31 concentric with the shaft? .5 .. which meshes with a toothed wheel 32 existing on the value selection element. The depression of a key in a (the sections thus produces an angular displacement of the selector element associated with the section, which brings it to a position corresponding to, the numerical value (the the depressed key. has a selector element associated with each button section: in this case, there are therefore nine of these levers. Lever 21 is normally held up by a rebate 235 connected to a pin provided on lever 26 (fig.?) .
The control drum of the counting mechanism is mounted on the shaft 33 (fig. "And 5), supported in the side plate 8 and the intermediate plate 34. This drum comprises nine wheels 35, for controlling the counting mechanism. , which are secured to the shaft 33 and nine value selector elements 36, idle on the shaft, a wheel 35 and a half element 36 being combined together to form a control unit. The drum also comprises additional wheels 37 (end. 5), provided with tens transfer pins and means for blocking the selector elements, as will be seen below.
The drum can be rotated (without one direction or the other, from an initial position, on a complete revolution which brings it back to the initial position, by means of a crank 38, extending to the exterior of the box, the shaft of which carries, at its end, a toothed wheel 39 meshing with a toothed wheel 41 mounted on the drum shaft. The crank 38 is held in its initial position by the stick man. 42 attached to the crank and taking in a hollow boss 43 provided on the box.
By pulling the crank outside, we remove the man from the boss so that we can put the crank in motion to turn the drum.
Each control unit comprises a control wheel for the counting mechanism and a value selector element ,. associated with it. The control wheel comprises a disc or wheel carrying a diametrically disposed slide 4.5 (fig 4), mounted in the wheel so as to be able to slide diametrically to it.
The slide has, at one end, a control face provided with nine teeth 46 (they are arranged in a concentric arc 'r the axis of the wheel and have the same pitch as the teeth of the intermediate wheel of the counting mechanism. The slide is held in the groove of the wheel by the crown wheel 47, secured to this wheel and is normally held withdrawn so that the teeth, or curved rack 46,
are found cry within the periphery of the wheel. The role of the selector element is to bring out the slide, or to make it re-enter, at the desired moment, during the rotation of the drum, in order to bring the chosen number of teeth into engagement with the counting mechanism.
The selector element 36 (fig. 2),; r one of the sides of which the toothed wheel 3 :? is fitted, is provided, on its opposite side, that is to say on the side which is against the control wheel associated therewith, with a cam 48 (fig. 3) with which the roller 49 ( fig. 4) mounted on slide 45.
The cam 48 has an upper part 51 (FIG. 3) and. when the roller is in contact with this part, the slide is held withdrawn while, when the roller is in engagement with the lower part 52 of the cam, the slide is extended. To ensure the positive sliding movement of the slide, a support cam 53, complementary to the main cam. is disposed in front of the lower part 52 thereof, thus forming a cam-groove 54 through which the roller passes as the wheel rotates, thus ensuring the sliding po sitif movement of the slider.
The slide thus performs titi back and forth movement for each revolution of the wheel and the time of its back and forth with respect to the position of the wheel is determined by the position occupied by the selector element. When turning the crank clockwise, the slider is pulled out as the control face passes the intermediate wheel of the counting mechanism, so that the chosen number of teeth come in. taken with the counting mechanism and it is withdrawn or retracted after said face has passed the counting mechanism.
When turning the crank counterclockwise, the slide is extended before reaching the counting mechanism and retracted as soon as the intermediate wheel has turned the selected number of teeth. When the selector element occupies the zero position, the slide is extended after the control face has passed the counting mechanism, when the crank is rotated clockwise and it is extended and withdrawn or retracted before the control face reaches the counting mechanism, when this crank is rotated in the opposite direction.
Each of the nine control wheels of the drum is provided with a slide 45 having a curved rack 46 at its end and, so that all the extended racks do not come into contact with the intermediate wheels of the counting mechanism, at the same time, As the drum is rotated, and thus do not suddenly place a heavy load on the crank, the slides are angularly spaced from each other around the face of the drum, as shown in Figure fig. 5. The successive racks are preferably each angularly advanced.
of a tooth relative to the rack preceding them, so that, ordinarily, as the drum rotates, the racks engage successively with the intermediate wheels of the counting mechanism, so that the crank takes the load gradually so that the machine can be operated more easily. The group of racks thus lays an arc of about <B> 1800 </B> around the drum, instead of <B> 900 </B> (approximate length of each rack) so that the work to be done for turning the counters is thus distributed over half a turn of the crank instead of being concentrated over a quarter of a turn.
Means are provided for indicating the values which have been introduced into the machine by the depression of the keys, so that the operator does not need to search on the keyboard to determine the number entered in the machine. Each selector element is provided with a flanged rim section 56 (fig. 3) on which the digits from zero to nine (fig. 15) are successively drawn and the row of digits which are on the selector elements successively. Cessives are visible through a window 57 (fig.l) made in the box.
When depressing a key in a key section, the numeric value of the key appears in the window in the position occupied by the particular section. Above the window, the box is provided with numbers 58, corresponding to the positions of the key sections.
The selector elements are capable of being brought to the chosen positions by the depression of the keys, but they are not capable of rotating with the drum and means are provided to prevent them from rotating during the initial movement of the level and to prevent them from rotating. prevent entry of any value into the drum after the crank has started Ù, be set in motion from its initial position.
Each selector element is provided with an arcuate rack 61, (fig. 2), normally occupying the position shown in fig. 2 and, in these racks, can take fingers 62 to prevent movement of the selector elements when the crank - is not in its initial or normal position. The fingers are mounted on a transverse shaft 63 (Figs. 5 and 13) and are connected together to block, or trigger, all the selector elements.
An air sleeve to which all the fingers 62 are attached is attached to the arm 64 (Fig. 13) having a rounded end in engagement with the cam 65 attached to the shaft of the drum. The cam is provided with a notch 66 which coincides with the end of the arm when the control crank is in its initial position and the end of the arm enters the notch allowing the fingers to fall, of their own weight , to free themselves from the racks 61.
During the initial movement of the control crank, the cam 66 forces the arm 64 to descend, thus raising the fingers in engagement with the racks and cry holding them in this position during the time when the crank is not in its position. normal or initial. The point at which the locking fingers become effective is determined by the length of the notch. or depression 66. The values introduced or entered in the machine by the depression of the keys rie can therefore no longer be modified after the crank has been started to move.
The calculating machine can be used to perform additions, subtractions, multiplications and divisions, one degree, or step, in any operation being accomplished by rotating the control ruler.
Means are provided for adjusting or adjusting the mechanism in order to automatically erase the keyboard after each rotation of the crank when the addition or subtraction title is made and to ensure that the values entered on the keyboard remain unchanged during successive rotations of the crank when performing title multiplication or title division. To the pot to which the fingers 62 are attached, is.
fixed titi arm 66 '(fig. 13) which, when the fingers are released from the racks, is on the side of the disc 67 fixed to the spring rod 68 which extends in the hollow boss 43, in opposition air man â spring 42 (fig. 5).
When it is desired to do as a multiplication or a division, the rod 68 is free to move further in the boss 43 when the arm 66 'is withdrawn from the front. the disc 67. At the start of the movement of the crank, the fingers 6; 3 and, consequently; the arm 66 'are stopped by the racks, which locks the selector elements and lifts the arm 66' from the position it occupies along the disc 67, so that the rod 68 is. free to move.
The rod engages enough to place the disc under the end of the arm 66 'thus preventing this arm (dropping it and holding the fingers cry caught with the racks.
It is then possible to make the crank make any desired number of turns without freeing the fingers from the racks. This disengaging, or triggering, is accomplished by placing the crank in its initial position, and shout allowing the man 49 to enter the hollow boss 43 shout pushing back the rod 68 and withdrawing the disc 67 from under the arm 66 ',
which allows the fingers to free themselves from the racks, by their own weight. During a multiplication or a division, the keyboard is not automatically erased when the crank is locked in its initial position, but is erased by the use of the erase key which will be described. further. During addition or subtraction, the keyboard is automatically erased during the rotation of the crank.
The values entered in the drum are transferred, during a rotation of the latter, to the counting mechanism which is arranged on the longitudinally movable carriage 71 (fig. 7 and 11), which is movable to allow the action of the elements. control on the counting wheels of different value.
Means are provided for moving the carriage longitudinally, or to pull) monvernent step by step, or continuously, at one or the other end of the extent (the stroke. The counting mechanism comprises several discs with figures 7'21 mounted on the shaft 73 and bearing, on their faces, figures visible through openings 74 (fig. 7 and 12) made in the box of the cart.
Each disc is provided, on one of its sides, with a toothed wheel 75 (fig. 14), secured thereto and by graining with an intermediate toothed wheel 76, idle on the shaft 77 (fig. 2). During the rotation of the drum, the toothed faces of the control elements engage with the intermediate wheels and rotate these and, consequently, the number discs. The number discs are prevented from spinning too far and are forced to move in step-by-step motion by the escape anchors 78 pivoting on the shaft 79.
These anchors are held in engagement with the toothed wheels 75 by the spring balls 81, carried by the bar 82 (FIG. 2). The bar is mounted on a shaft 83 which is capable of rotating to disengage the balls from the anchors and thereby release the anchors when it is desirable to reset the number discs to zero. Suitable or well known means may be employed to rotate the digit discs to zero by the rotation of the shaft 73 which is provided, outside the carriage, with a crank 84 (Fig. 1). To the shaft 73 is secured a disc 85 having a notch 86 (Fig. 10) in which the end of the finger 87 is normally placed.
The finger is secured to the shaft 83 on which. the bar 82 is mounted so that, at the start of the movement of the crank 84, the finger 87 is released from the notch 86, which turns the bar 82 to release the anchors 78 (FIG. 2). The counting mechanism is also provided with suitable transfer levers 88, which act concurrently with the laterally movable tens transfer pins 89 (Fig. 13), existing on the drum, to transfer values from a counting disk to the disk. count of the immediately higher order.
Transfer levers and transfer pins of the tens of the type shown here are well known in the construction of calculating machines, so it is not necessary to describe here how they are constructed, nor their mode. Operating.
Any suitable or well-known means can be employed to move the carriage longitudinally in a step-by-step movement and to trigger it so that it can be brought to the end of its travel and it is seen from the drawings that shown a suitable mechanism for this purpose. The movement mechanism of the carriage is actuated by a movement of the lever 91 (fig. 2), arranged on the front of the machine, in one direction or the other depending on the direction of movement that one wishes to give to the machine. cart. The lever 91 is secured to a shaft 92 journaled in the box and having its lower end placed below the carriage.
At the internal end of the shaft 92 is secured a lever 93 (fig. 9) having a slot 94 in which is engaged a pin 95, mounted on the slide 96 supported in the frame 97. The carriage is mounted on this frame and is provided, on its underside, with several spaced depressions 98, having a spacing equal to that of the digital disks of the counting mechanism.
In the frame 97 are mounted, so as to be able to slide vertically in, two bolts 171, 172, pushed from bottom to top by springs and provided with bevelled upper ends arranged to take against the sides of the depressions 98 of the under of the cart. Bolt <B> 171 </B> bears against the left side of a depression, preventing movement of the carriage to the right and bolt 172 bears against the right wall of another depression, preventing movement of the carriage to the left. The carriage is thus normally prevented from making a longitudinal movement and, due to the use of the two bolts, it has no lateral play.
On each bolt is disposed a roller 173 on which can act, to depress the bolt, a hammer 174 (fil-. 9), pivoting on the slide 96 and prevented from moving away from said roller by a stop 175 provided on the slide. When the slide is moved so as to bring the hammer towards the roller, the lower, flat, inclined surface 176 of the hammer 17.1 passes over the roller and acts on the latter to lower the associated bolt in order to release it from the roller. cart.
On the slider 96 pivots, on the same axis as the hammer 17.1, titi pawl 176 'which, when it is released, is pushed back upwards by the spring 177 interposed between the pawl and hammer 174 (fig. 9). The pawl passes through a slot 178 in the top plate 179, the frame 97 and is normally held clear of the carriage by contact with the end of the slot in question. When the slide 96 is moved to the left, the hammer 174 depresses the bolt <B> 172 </B> having triggered the carriage which can thus move to the left.
At the same time, the pawl 176 'rises into the next depression of the carriage and the continued movement of the slide to the left forces the pawl 176' to move the carriage to the left.
As the carriage moves to the left and before it reaches the end of its travel, hammer 174 abandons roller 173 which allows bolt 172 to rise in the next depression of the carriage, to the right of the depression from which it had been withdrawn, so that this bolt is in position to stop the movement of the cart at the end of its routing or., not '\. On movement of the carriage to the left, the bolt 171 is depressed by engagement of the depression side with the beveled side of the bolt and engages in the next depression after this carriage has been moved by step.
As the slide returns to its central or neutral position, hammer 174 passes tilting cry over roller 173 and returns to its normal position against stop 175. With bolt 171 is associated a hammer <B> 174 < / B> and a corresponding 176 'pawl, which operate as indicated above for movement of the carriage to the right.
Means are provided for returning the slide 96 (FIG. 9) and the lever 91 to the neutral or central position, after titi ,, pas- or routing. of the slide in one direction or the other.
In the frame 97 is supported, below the slider 96, a rod <B> 181 </B> which extends through an opening of an ear 182 existing on the underside of the bucket slider, substantially in the middle of that. -this. Crimping the rod 181, on each side of the ear 182, is disposed a washer 183 provided with a projection 184, engaged in a slot 18;
In the frame 97, the slits having a length such that, when the projections are at the adjacent ends of the two slits, the ear is held in its central or neutral position. On each end of the rod, between the washer 183 and the stop 186 through which the rod passes, is arranged a spring 187 working in compression, which tends to hold the washer at the end of the slot.
The springs tend to return the cmili-bucket to the neutral or central position after it has been moved in one direction or the other, by the lever 91. The movement known as the slide in the direction or in the other compresses the spring located on the side towards which the slide moves, but tic does not vary the compression of the other spring, which re, you inactive.
The slide is thus centered after each movement of the carriage.
Means are also provided for simultaneously disengaging or depressing the two bolts 171 and <B> 172 </B> so that the carriage can be seen freely by hand. Each bolt is provided with a pin 188 (Fig. 18) extending through a slot existing in the rear wall 189 of the frame in which the slider is mounted. On the rear end of the wall 189, there is a titi slide 191 which can be moved longitudinally by pressing the spring button 192 protruding from the box.
The slide <B> 191 </B> has, on its underside, two ramps 193, which bear against the ankle 188. The movement of the slide causes the ramps to pass over the ankles., Which produces a depression of the bolts and triggers the carriage.
The machine is provided with means for indicating the third factor of the calculation. One of the factors is indicated by the depression of the streams; the other factor is indicated on the counting mechanism located on the carriage and the third factor is indicated independently of the first two. For example, in multiplication, the multiplicand is seen at window 57 (fig. 1), the product is seen on the cart and the multiplier is seen at window 102.
This third factor is entered into the machine by the rotation of the crank 38 which can be rotated in one direction or the other, as has been said above. The third factor indicating mechanism is mounted between the side plate 4 and the intermediate plate 34 and comprises a counting mechanism consisting of several number wheels 103 (Fig. 6), each of which is provided on its side with a counting mechanism. a toothed wheel 104 and intermediate toothed wheels <B> 105, </B> meshing with the toothed wheels of the digital wheels. The counting wheels can move in a stepped movement controlled by the spring detents 106.
The chosen intermediate wheel 105 rotates by one tooth for each turn of the crank 38 under the action of the tooth 107 mounted with tongue and groove on the shaft 108 and movable along this shaft to be brought into the plane of the intermediate wheel of the denomination or order chosen by the longitudinal movement of the carriage, so that the values entered in the third factor are of the same order as those entered in the second factor or product. The shaft 108 is surrounded by a collar 109 to which the tooth 107 is connected and which carries an indicator 112 (Fig. 12) indicating the order of the number entered in the third factor.
To the collar 109 is subject a rod 113 provided, at evening end; a rack 114 meshing with a toothed wheel 115 which, in turn, meshes with a rack 116 existing on the carriage. The movement of the carriage is therefore accompanied by a movement of the indicator 112 and of the tooth 107. The indicator moves in the opposite direction to the carriage; so that the orders of the count wheels 103 progress by increasing in value from right to left, as they do in all numbers.
Thus, when the carriage is in its far left position, in which the value entered by the depression of a key of the first key section on the right is entered into the counter which is on the carriage as a value of l order of the units, the indicator is in its extreme right position, that is to say to the right of the counting wheel 103, of the units. When the carriage is moved one step to the right from its extreme left position; the value entered by the depression of a key in the first key section on the right is entered into the carriage counter as a value of the order of tens and the indicator is at the count wheel 103, tens.
The shaft 108 (fig. 6) is set and) rotated by the rotation of the crank 38. On the crank shaft is mounted so as to be able to turn, a sleeve <B> 117 </B> on which is subject to a tens transfer drum 118 for the counting wheels 103, which drum is provided with cams 119 and spring figures 121, which cooperate with the transfer levers 122 of the counting mechanism to transfer tens to the wheels count of the immediately higher order. On the sleeve <B> 117 </B> is mounted a tongue and groove a toothed wheel 123 which can be moved along the sleeve by a lever 124 passing through the box and pivoting on the drum shaft.
The lever 124 (FIG. 8) is provided, at its internal end, with an arm 125 concentric with the shaft 33 and curved laterally. This arm carries in a notch 126 a rod capable of sliding longitudinally 127 (fig. 5), which is normally retained in one or the other of its two positions by a spring ball 128, arranged to take in one or the other of the notches 129 of the rod. To the rod 127 (fig. 6 and 7) is attached a fork 131 which engages a collar of the toothed wheel 123, so that by moving the lever 124 the wheel 123 is brought to one or the other. another of its positions.
In the intermediate plate, a shaft is journalled on one (the ends of which is fixed a toothed wheel 132 meshing with the toothed wheel 39 while, at the other end of said shaft, a toothed wheel 133 is secured. With the wheel 133, engages a toothed wheel 13-1 which overhangs the wheel 133, or is offset relative to it, on one of the sides. The wheel 123 is movable laterally so as to mesh either with the wheel 133 or with the wheel. wheel 134.
When it meshes with the wheel 133, the drum 118 rotates in the same direction as the crank and, when the wheel 123 meshes with 13.1, the drum 118 rotates in the opposite direction of the crank. The shaft 108 is connected to the drum 118 by the gear wheels 136, 137 and 138 so that the shaft 108 rotates in the same direction as the drum and in time with the rotation of the latter (fig, 17 ).
Thanks to the existence of the tens transfer mechanism associated with: with the counting wheels 103, it is possible to perform well (calculations with a much smaller number of movements (the crank than it was possible until 'now.
For example, to multiply, 234: 5 by 897, it has been necessary, until now, to introduce 2345 loris the machine, then, with the carriage in the position of the units :, to make seven turns at the same time. level; then bring the cart to the tens position and crank the crank nine times, then bring the cart to the hundreds position and crank the crank eight times, which does, cry all , twenty-four turns of the crank.
With the present machine, this operation is simplified to an extreme degree. We enter the value 2345 in the keypad, then, with the carriage in the thousand position, we make the crank turn, which multiplies by a thousand. We then bring the carriage to the position of the units and we make do three turns of the crank cry in the opposite direction, which has the effect of thus subtracting three from a thousand, giving as a multiplier 997. After that, we bring the trolley to the hundreds position and the crank is made to make a reverse turn cry, which gives the multiplier 897.
The product is thus obtained with five air turns instead of twenty-four of the level. The third factor raw counter is also used with advantage in polishing to finish reciprocals, to extract the square root and in division problems.
The conection wheels 103 are easily reset to zero by a rotation of the crank 141 (Fig. 5) secured to the shaft 142 on which these wheels are mounted so as to be able to turn. The wheels are normally held by the spring detents 100 (fig. 6).
The rotation of the shaft 142 causes a half-round shaft 143 to make a fraction of a turn, in the same way as in the green carriage counting mechanism. to lift the toothed wheel detents to allow the counting wheels to turn easily.
Several spring balls 145 (fig. 11), provided in shaft 1.12 at the rate of one ball for each counting wheel, are caught with projections 146 existing on the inside of the counting wheels and drive them up to at. that a (slow 147, existing both on the side (the each wheel, comes into contact with the transfer lever 122, stopping the count wheel at zero.
Means are provided for erasing <I> the </I> keyboard and for arranging the machine to perform additions and subtractions. the machine being normally arranged to polish multiplications and divisions. On the side of the keyboard are three keys, namely (fig. 1 and 7):
title deletion key 151, whose depression erases from the keyboard all the entered values, another key 152, marked which when depressed, dis pos poses the machine for addition and under traction and another key 153, marked
EMI0010.0077
the depression of which activates the key 152 and restores the machine to the state desired for multiplication and division.
The sliders 15, which serve to hold the number keys depressed which Voir has depressed, are normally held forward by springs 16 and are provided at their rear ends with lips 154 (FIG. 7). On the frame of the machine swivels; in front of the lips 154, a plate 155 which, when pushed back, moves the sliders 15 rearward and thus produces the release of the key rods.
Inside the box pivots, on an upright 156, ni) lever 157, one end of which is placed under the rod of the key i51. The other end of the lever is provided with a <B> 158 </B> ramp which is adja cente to the lower end of the plate 155, so that the depression of the button 151 causes this plate to tilt 155 and thus moves the sliders 15 to trigger all depressed numeric keys.
The devices brought into action by the depression of the button <B> 152 </B> (fig. 7), which is held depressed by the engagement of the spring bucket slide <B> 159 </B> with the projection 161 provided on the shank of the key, comprises a bar 162 articulated to the toothed wheel 133 so that its free end moves back and forth as the crank is rotated. At night free end, this bar is provided with a projection 163 which comes and goes under the plate 155 and normally out of contact with the latter.
The bar is supported between its ends and slid on the side projection 164 of the pivoting lever 165, between its ends, on the post <B> 156. </B> The front end of the lever 165 is located below the bar. rod of the key 152 so that, when this key is depressed, the projection 164 is raised and lifts the free end of the bar 162, which causes the projection 163 of this bar to be caught with the plate 155 and makes it oscillate with each turn of the crank. The depressed numeric keys are thus triggered during the rotation of the crank.
Means are also provided for triggering the selector elements which are on the control drum at the moment when the crank approaches its initial position after having made one turn and this is accomplished by rendering inactive the means employed, in the multiplication operations. , to keep the selector elements locked in the adjusted positions until the handle on the crank has entered the hollow boss.
As has been said before <B><U>C</U> </B> p 'deinmetit, each selector element is provided with an arcuate rack 61 (fig. 13), which, after the crank has been started from its initial position, is engaged by finger 62 to prevent movement of the selector element.
The fingers 62 are brought into engagement with the racks by a cam 65 secured to the drum shaft and cooperating with an arm 64. After the fingers have been lifted into engagement with the racks, they are held in engagement with them. ci (until the man of the crank has re-entered the hollow boss) by the disc 67 mounted on the longitudinally movable rod 68_ preventing movement of the arm 66 '. When the machine is set up for addition and subtraction, rod 68 is prevented from moving longitudinally so that disk 67 can come under arm 68.
This allows the cam 65 to exclusively control the movement of the fingers 62 so that; at the end of each revolution of the drum, the fingers are withdrawn and the selector elements released. The rod 68 is prevented from moving longitudinally by the angled stop 168 articulated to the shaft 25 and in engagement with the rear end of the lever 165. When the key 152 is depressed, the stop 168 is lifted upwards. engaged with a bulge 169 of the rod 68, thereby preventing the rod from moving and therefore preventing the disc 67 from acting to lock the fingers 62 in position. Depressing key 153 triggers key 152 and returns parts to their normal active positions for multiplication and division.
The machine shown in the drawings has nine key sections, nine counting wheels in the multiplier counter and eighteen counting wheels in the carriage counting mechanism, resulting in a 9-9-18 machine. It goes without saying, however, that one can set the machine on. with different capacities, such as 12-12-24 or 6-6--1 ", depending on the kind of service for which it is intended.