BE509135A - - Google Patents

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BE509135A
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Description

       

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  MACHINE A CARTES ENREGISTREUSES- PLUS   PARTICULIEREMENT   MACHINE
TABULATRICE. 



   La présente invention se rapporte à une machine à cartes enre- gistreuses, de préférence conçue comme machine à cartes   perforées,   et par- ticulièrement appropriée à l'utilisation de combinaisons de perforations. 



  Dans les machines à cartes perforées les enregistrements sont réalisés par des perforations dans les colonnes, à des emplacements pré-déterminés. Bien que l'invention puisse être adaptée à chaque genre possible de marques d'en- registrement et puisse donc convenir à toute machine à cartes enregistreuses de type   quelconque   on ne parlera dans ce qui suite pour   simplifier,   que de cartes perforées'et de machines à cartes perforées. 



   Dans les machines à cartes perforées (en particulier dans les tabulatrices), un effet de commandeen particulier pour le transfert d'une valennoreprésentée par une perforation, peut être réalisé avantageusement par deux méthodes. 



   Selon la première méthode, qui trouve spécialement son applica- tion dans les machines connues HOLLERITH, la perforation provoque l'accouple- ment du mécanisme enregistreur à un organe d'entraînement comtinu, synchrone de l'avance des cartes. Le désaccouplement est réalisé lors du passage de la ligne des zéros des colonnes sous les balais. De cette manière est donc transféré un trajet correspondant à la distance de la perforation à la ligne . des zéros, et par suite, sur le mécanisme enregistreur, une valeur correspon- dant à ce trajet. 



   L'autre méthode est utilisée depuis longtemps dans les machines POWERS. Selon cette deuxième méthode., tous les emplacements de perforation   d'un±   colonne sont simultanément explorés par des tiges palpeuses et la ti- ge ayant passé par un trou sert de butée pour un organe positionneur à mou- vement d'oscillation alternatif. Le trajet parcouru par l'organe position- neur est transféré au mécanisme enregistreur, par exemple aux totalisateurs 

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 et au dispositif imprimant. Comme ce trajet est équivalent à la distance de la perforation à la ligne des zéros;, l'enregistrement correspondant à la si- gnification des perforations est obtenu. 



   Ces derniers temps, l'emploi des combinaisons de perforations est de plus en plus apprécié, surtout parce que les besoins actuels entraînent, dans les procédés à cartes perforées, le traitement de textes comportant des lettres. La représentation des lettres et chiffres (soit au minimum 36 signes) amène à employer des systèmes à combinaisons de perforation., si l'on ne veut pas que la carte ait des dimensions exagérées et que la consommation de papier prenne des proportions grevant de manière rédhibitoire l'économie du procédé. 



   Mais, les deux méthodes susmentionnées ont cela d'inhérent, qu'el- les sont inutilisables avec des combinaisons de perforations méritant cette   dénomination,     c'est-à-dire   pour lesquelles on emploie le minimum d'emplacements de perforation pour un total donné de signes. En effet, elles reposent sur le système de la perforation unique, suivant lequel un signe est exprimé sym- boliquement par une perforation unique dans la colonne de carte, tandis que dans le système des combinaisons de perforations, on doit employer pour beau- coup de signes plusieurs perforations? leur position relative ayant une signi- fication aussi bien que leur nombre. Pour permettre   l'utilisation   de ces com- binaisons, on a déjà proposé plusieurs méthodes, que l'on peut classer en quel- ques grands groupes. 



   Pour exploiter les   combinaisons   de perforations, on propose sou- vent d'employer des barres ou disques de conversion., dont chacun est affecté à un emplacement de perforation et est déplacé lors de la perforation. Selon le déplacement différent des barres de conversion   l'une   par rapport à l'autre, une seule fente de conversion est dégagées, laquelle correspond à la   signifi-   cation du signe formé par la combinaison des perforations. Une fois que la combinaison de perforations est transformée en cet effet de   commande,unique,   il s'ensuit que les opérations de commande peuvent procéder ensuite suivant une des deux méthodes mentionnées au début.

   Mais   cettefdisposition   des orga- nes de conversion exige   pour,chaque   colonne de perforations un nombre de bar- res de conversion correspondant au nombre des emplacements de perforation. 



  Pour explorer les barres de conversion, il doit être prévu un nombre de bar- res d'exploration correspondant au nombre des signes,   ou   il est nécessaire d'avoir un autre dispositif d'exploration, qui restitue dans le temps ou dans l'espace le résultat d'exploration, en fonction de la position de'l'organe de conversion sélectionné correspondant au signe. Il est donc clair que 1 $ arrangement de tels organes de conversion mécaniques compliqua la machine la rend très encombrante et par suite chère, si l'on réfléchit qu'une machine tabulatrice moderne possède environ cent rangs d'organes d'impression et de totalisateurs. 



   Pour les machines électriques on a aussi proposé des réalisations électriques   équivalente'\9   pour les organes de conversion mécaniques ci-dessus mentionnés. Elles reposent sur le principe suivant lequel chaque emplace- ment de perforation commande un certain nombre de voies de conduction élec- triques, dont la mise en série sélectionne un seul circuit correspondant au signe de la combinaison de perforations. Les différents circuits sont explo- rés électriquement l'un après l'autre, de sorte que l'on obtient des impulsions isolées différenciées dans le temps. Celles=ci peuvent alors être utilisées de la même manière que les impulsions de commande isolées déclenchées par les trous uniques par colonne de carte dans les machines HOLLERITH.

   Comme, dans ces machines à organes de conversion électriques, il est besoin   d'un   organe. de conversion spécial pour chaque colonne de perforation à exploiter, ce qui a été dit pour les machines à organes de conversion mécaniques est aussi va- lable dans le cas présent, en ce qui concerne 1'encombrements la complication et le prix. 



   En raison des inconvénients constatés,\) qui viennent d'être expo- sés, des machines travaillant avec organes de conversion, on a déjà proposé   différentes   réalisations possibles de machines commandées par des combinaisons de perforations, machines que l'on peut considérer, en totalité ou en partie, comme dépourvues d'organes de conversion. Ces machines décrivent presque 

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 exclusivement du principe,, qu'une valeur déterminée est attribuée à chaque' emplacement de perforation et que la somme des valeurs des perforations d'une colonne de carte détermine la signification du signe représenté par la combi- naison de perforations.

   Les   imposions   de commande déclenchées par les empla- cements perforés s'ajoutent, de sorte   que   le résultat total fournit fidèlement une action de commande ayant la signification de la combinaison de perfora- tions 
Dans un groupe de ces machines connues, à chaque emplacement de perforation est affecté un entraînement du mécanisme enregistreur par l'in- termédiaire d'engrenages. Les roues dentées d'entraînement des différents emplacements ont des nombres de dents différents qui rentrent successivement en action. La liaison du mécanisme enregistreur à l'entrainement exigea pour chaque emplacement de perforation, un accouplement particulier à l'élec- tro-aimant.

   D'une manière analogue, beaucoup d'autres dispositifs,9 peur lesquels par exemple les trajets de commande   s'ajoutent,   ont pour chaque emplacement de perforation un organe positionneur et d'accouplement propre. 



  Si l'on évite ainsi les organes de conversion   ci-dessus   mentionnés, mécani- ques ou électriques9 cela est compensé bien au-delà par le nombre relati- vement grand de roues   d'entraînement   et d'électros de couplage, car il faut bien se représenter que pour exploiter l'alphabet, il est en général néces- saire d'avoir au moins six emplacements de perforations par colonne et un nom- bre correspondant de roues dentées et   délectros   de couplage. 



   Un équivalent électrique du dernier mode de réalisation mention- né est possible en utilisant des mécanismes électriques d'avancement pas à pas qui exécutent pour chaque emplacement de perforation un nombre de pas correspondant à la valeur de l'emplacement.. 



   Mais comme dans ces dispositifs la durée de l'avance doit être calculée de manière que l'on puisse exécuter pour les chiffres et l'alphabet au moins 36 pas, il en résulte que ces dispositifs sont limités comme ren- dement et comme vitesse. De plus l'électro d'avancement  coimne   il provoque des déplacements, doit avoir des dimensions suffisamment importantes et par suite les nombreux relais exigent beaucoup de place. 



   En dehors des dispositifs énumérés ci-dessus, on connaît encore différents autres dispositifs qui permettent l'exploitation des combinaisons de perforations sans employer d'organes de conversion. Dans tous ces dispo- sitifs on utilise des méthodes analogues, qui reviennent à ajouter les courants ou les champs magnétiques correspondant aux emplacements de perforation dis- tincts de valeurs différentes, et qui présentent les inconvénients propres aux dispositifs susmentionnés sous l'une   ou   l'autre forme. 



   Par rapport à ces dispositifs connus, la présente invention offre un principale fondamental nouveau., dont les avantages apparaissent particu- lièrement dans l'exploitation des combinaisons de perforation sans organes de   conversions   mais qui peut trouver son emploi avec le système dit de la perforation unique, quand cela est avantageux dans des cas déterminés. Bien que l'idée inventive soit particulièrement adaptée au procédé à cartes per- forées, il ressortira de la description   qu'elle   peut aussi s'appliquer dans des machines, pour lesquelles les marques enregistreuses sont portées sur les cartes autrement que par des perforations. 



   L'invention utilise donc les machines à cartes enregistreuses sus- mentionnées sans organes de conversion, dans lesquelles chacune des marques prévues dans un des emplacements d'enregistrement d'une colonne de carte exer- ce une action de commande sur l'unité d'enregistrement affectée à la colonne., la grandeur de cette action correspondant toujours aux valeurs attribuées aux emplacements dans la colonne 
Mais l'originalité essentielle de   l'invention   réside en ce que pour tous les emplacements d'une colonne il est prévu un organe d'entraînement commun pour l'unité d'enregistrement qui peut lui être accouplée organe qui exécute une course d'avancement pour chaque emplacement, cette course variant automatiquement,:

   lors de l'exploration successive des emplacements, suivant les valeurs affectées aux emplacements. 

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   L'emploi d'un bras d'avancement commun par exemple à tous les emplacements de perforation est   eoxanu   d'apèrs les machines   susmentionnées sans   organes de conversion, mais le bras d'avancement n'y effectue toujours qu'une course   unitaire,   alors qu'une caractéristique essentielle de l'invention con- siste précisément en ce que le course d'avancement peut varier en correspon- dance avec la valeur de l'emplacement. L'utilisation de courses d'avancement de différentes amplitudes pour les différents emplacements de perforation est aussi connue d'apèns les machines susmentionnées sans organes de conversion, mais il y est prévu pour chaque emplacement un organe d'entraînement pour l'avancement et même un accouplement propres, tandis que dans l'invention ces pièces sont communes à tous les emplacements.

   Il est évident qu'il résul- te de cette simplification selon l'invention de gros avantages pour la cons-   truction.   



     Les   avantages de l'invention apparaissent immédiatement si l'on considère la forme de réalisation la plus simple. Celle-ci consiste dans un bras d'avancement actionné de manière appropriée par un cliquet qui engrène de son côté dans une roue de commande. Tandis que dans les dispositifs con- nus,par exemple dans les compteurs électriques à avancement pas à pas, le bras n'exécute toujours que la même course, mais un nombre de fois différent pour chaque emplacement, le bras d'avancement n'exécute selon l'invention pour chaque emplacement qu'une seule course. Mais l'amplitude de cette course est réglée automatiquement selon la valeur correspondant à l'emplacement et la progression de la roue à cliquet est obtenue par une course unique quel que soit l'emplacement. 



   Ce nouveau principe permet donc de connecter en une fois les mé-   canismes   enregistreurs de plusieurs unités, chaque valeur partielle de la combinaison étant transférée d'un seul coup. Ce principe offre donc des pos- sibilités de rendement voisines de celles des machines déjà mentionnées Hol- lerith et   Powers,   dans lesquelles la valeur est également transférée en une fois. 



   Une autre caractéristique très importante consite en ce que aussi bien l'accouplement du mécanisme enregistreur (par exemple dispositif imprimant ou totalisateur) que le désaccouplement du dit mécanisme de son entraînement sont obtenus indépendamment de la course variable de   l'entrai-   nement, toujours en un des deux points d'inversion du mouvement oscillatoire d'entraînement où la vitesse d'entraînement est aille. On obtient même ainsi un avantage par rapport aux machines Hollerith et Powers, parce que grâce à l'accouplement et au désaccouplement au moment de l'annulation de la vitesse, on réalise un fonctionnement extrêmement sûr et avec une usure mini- mum. 



   La modification de la course d'avancement de l'organe d'entraîne- ment est obtenue de préférence par un dispositif de décalage de course, com- mun aux organes d'entraînement de toutes les unités d'enregistrement. De ce fait, le dispositif de décalage n'est nécessaire qu'une fois pour toute la machiner 
Dans une forme de réalisation préférée de l'invention, la varia- tion de la course d'avancement est obtenue, lors de l'exploration successive des emplacements, par déplacement d'un guide-coulisse dans une barre manivelle de l'entraînement. Si un guide-coulisse est déplacé dans la barre manivelle lors d'une course de manivelle à bras la courbe décrite par l'extrémité de la barre de manivelle non reliée à la manivelle varie.

   Grâce à une liaison et à un balancier, ce mouvement courbe peut être transformé en une oscillation dont l'amplitude correspond à la valeur des emplacements de perforation. 



   La variation de la course d'avance peut être adaptée suivant les besoins aux nécessités particulières, mais dans l'exemple de réalisation qui sera décrit ci-après,. elle est réalisée dans les rapports 1 : 2 : 4 :8 : 16 : 16. Il faut remarquer que les deux dernières courses d'avancement ont été partagées en 16 unités; on obtient ainsi que, bien que le plus grand nombre possible de signes puisse être traduit, la course maxima d'avance et la modi- 

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 fication des rapports de leviers restent dans   des.limites     acceptables   
D'autres caractéristiques préférées d'une forme de réalisation de   l'invention   résultent de la   descrription   si-après et des dessins   annexés.   



  Cette forme de réalisation est constituée par une machine tabulatrice   comman-   dée par cartes perforées à deux étages et qui est adaptée à l'impression des montants et des totaux. La machine conforme à 1-'invention sans organes'de conversion permet une construction tellement ramassée, qu'on peut réaliser un modèle de petit format, capable néarmoine, grâce à sa construction selon l'invention,   d'un   débit   considérable.   



   Les dessins ci-annexés représentent : - les Fige la et lb des perspectives de la machine vues de biais, et respec- tivement de la droite et de la gauche; - les Figo 2 et 3, le code des perforations, suivant lequel les cartes sont perforées, la Fig. 3 montrant plus particulièrement le code des chiffres. 



  Dans la colonne P est indiqué le rang de l'emplacement en chiffres romains, et dans la colonne E les valeurs affectées aux différents emplacements Ces valeurs sont différentes sur les Figs. 2 et 3, car le mécanisme imprimant est positionné d'après les valeurs de la Fig. 2 et le totalisateur diaprés celle de la Fig. 3. Dans la rangée supérieure de chiffres de la Fige 2 on a indiqué par un numéro la position qui prend le signe à la périphérie de la roue des types, et les signes mêmes sont portés dans la rangée inférieure. 



  Sur la Fig. 3, seuls les chiffres correspondants aux combinaisons de perfora- tions sont indiqués dans la rangée inférieure. 



  - la Fige   4   montre une carte perforée, telle qu'elle est utilisée pour la pré- sente invention; - les Fig. 5 à 9 montrent schématiquement 1-'actionnement à manivelle dans ses différentes positions; , - la Fig. 10 montre l'actionnement à manivelle dans sa réalisation effective, tel qu'il se présente, lorsque la plaque de fond est enlevée et quand on re- garde la machine par dessous ; - la Fig. 11 est une coupe suivant la ligne A-B à travers le dispositif d'ac- tionnement à manivelle de la Fige 10; - la Fig. 12 montre une partie   .du   dispositif d'actionnement à manivelle en vue arrière; - la Fig. 13 est une vue latérale du coté droit de la machine, carter enlevé; - la Fig. 14 est une coupe de la machine; - la Fig. 15 est une vue partielle d'une roue des types;

   - la Fig. 16 montre en coupe l'électro d'accouplement d'une roue des types . ou de totalisateur; - la Figo 17 montre le mécanisme d'accouplement de la roue des types, en coupe perpendiculaire à   l'axe;   - la Fig. 18 montre le mécanisme d'accouplement de la roue des types, partiel- lement en coupe et en vue du dessus; - les Fig. 19 et 20 montrent le mécanisme d'accouplenent d'une unité de tota- lisateur, en coupe longitudinale et en coupe perpendiculaire à l'axe; - la Fig. 21 montre de 1-lavant la disposition des roues des types du mécanisme imprimante sans représenter les types eux-mêmes, - la Fig. 22 montre la distribution des leviers   d'accouplement;   - la Fig. 23 montre la répartition des accouplements;. 



  - la Figo 24 montre une coupe du totalisateur, - la Fig. 25 montre une unité de totalisateur, vue longitudinalement par rap- port à l'axe; 

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 - les Fig. 26 à 29 représentent les différentes cames pour explorer la position des totalisateurs; - la Fig. 30 est un schéma de connexions pour la suppression de l'impression des zéros devant le chiffre significatif le plus élevé d'un nombre; - la Fig. 31 est une coupe par le dispositif d'exploration des cartes; - la Fig. 32 est un dispositif pour lever les balais lors de l'intervalle en- tre cartes; - la Fig. 33 est une vue arrière de la machine, totalisateurs enlevés;. 



  - les Fig. 34 à 36 montrent des détails du mécanisme d'entraînement des cartes; - la Figo 37 représente schématiquement la disposition du tableau de connexions, en vue en plan; - la Fig. 38 représente schématiquement la disposition du tableau de connexions en perspective; - la Fig. 39 montre une partie du tableau de connexions, en coupe; - la Fig. 40 montre les diverses.zones du tableau de connexionsen vue en plan; - la Fige   41   montre une partie du tableau de connexions avec une prise pour les totalisateurs; - la Fig. 42 montre une partie du tableau de connexions avec une prise pour le contrôle de groupe; - la Fig. 43 est le   schéma   de connexions de la machine ; - la Fig. 44 est le diagramme des relais et cames de la machine; - les Figo 45 à 47 représentent les divers contacts commandés par cames. 



   Le mécanisme de la tabulatrice a été conçu de manière à travailler selon un code qui est représenté sur la figure 2. La disposition du code est telle que la signification d'un signe est déterminé par la valeur qui résulte de l'addition des valeurs partielles attribuées aux différents emplacements. 



  Les affectations de valeurs aux différentes rangées ont été choisies de telle manière qu'une valeur déterminée ne peut être indiquée que par une seule com- binaison de perforations. En établissant le   code.,,   on a admis, de plus, que pour les chiffres, l'alphabet et les autres signes, il est nécessaire d'avoir environ 45 combinaisons de perforations. 



   Pour laisser une certaine marge, le code a été conçu pour 47 si- gnes plus 1 espace vide, Ce qui fait que dans la figure 2 on peut encore af- fecter deux signes à volonté 
L'attribution des signes, peut être réalisée arbitrairement pour les différentes   combinaisons   de perforationsà l'exception des chiffres, et la position d'un signe dans la suite des signes est donc déterminée seulement par la signification numérique de la combinaison de perforations. En dispo- sant les types sur une roue des types, celle-ci doit donc être partagée en quarante-huit parties égales. A chacune de ces parties un signe déterminé est attribué. 



   Le mécanisme imprimant se compose   d'une   série de roues imprimantes juxtaposées. Il est prévu un entraînement commun à toutes les dites roues, entraînement auquel ces roues peuvent être accouplées. L'accouplement est effectué lorsqu'une perforation est détectée à l'emplacement exploré. Le désaccouplement a lieu automatiquement quand la roue des types a été position- née sur la valeur correspondante et la carte est avancée à l'emplacement suivant. On n'imprime que lorsque les 6 emplacements d'une colonne ont été explorés.    Donc,   pour chaque emplacement un accouplement peut être effec- tué, accouplement qui est ensuite automatiquement défait pour l'emplacement suivant partout où il vient   d'être;   effectué.

   Ainsi, il est possible que la 

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 roue des types soit déplacée plusieurs fois successivement avant l'impression. 



   L'entraînement est agencé de manière que la course d'avancement qu'il provoque varie   d'un   emplacement au suivant à l'exception des'deux   empla-   cements inférieurs. S'il existe plusieurs perforations dans une colonne, les courses d'avancement correspondant à leur valeur partielle s'ajoutent l'une à l'autre. Si on suppose par exemple que dans une colonne le troisième et le cinquième emplacement soient perforés, la roue des types progresse de 4' unités lors de l'exploration de l'emplacement III et 16 unités lors de l'ex- ploration de l'emplacement V. En explorant les emplacements I, II,   IV     et VI,   il n'y a pas d'avancement parce qu'aucune perforation n'existe dans ces empla- cements et que par suite il n'en   résrxlte   aucun accouplement.

   La roue   des'ty-   pes a donc progresse de 20 unités, ce qui correspond à la lettre E d'après le code des signes. 



   Les valeurs,! dans la colonne E de la Fig. 2, ,ne sont valables que pour le mécanisme imprimant. Pour le mécanisme totalisateur on a,prévu une autre répartition des valeurs qui est cependant semblable à celle du mécanisme imprimant,celle-si estdonnée dans la colonne E de: la Fig. 3. 



  Naturellement, dans les deux figures..   un?   même combinaison de perforations a aussi la même signification numérique= Grâce à l'exploitation différen- te des emplacements on arrive toutefois à ce que le zéro soit effectivement transféré dans le mécanisme imprimant sans l'être dans le mécanisme totali- sateur. De plus, le code donne pour le mécanisme totalisateur,9 par l'ad- dition des valeurs partielles des différents emplacements de perforation, la valeur numérique exacte, tandis que les types des chiffres du mécanisme imprimant sont situés à d'autres places que celles correspondant à leur si- gnification numérique. 



   Par exemple, le chiffre 3 est composé dans le mécanisme tota- lisateur par les valeurs partielles 1 et 2 et par les valeurs partielles   2 + 4 = 6   dans le mécanisme imprimant, c'est-à-dire que le chiffre 3 est à la sixième place à la périphérie de l'ordre des types. 



   Le positionnement des mécanismes   imprimants   et totalisateurs d'a- près les valeurs affectées, est obtenu à partir d'un entraînement commun, un rapport de transmission différent étant prévu pour l'un ou l'autre mécanisme. 



  En outre, le courant est commandé par des contacts à cames et dirigé vers les   éle@tros   d'accouplement des totalisateurs de telle manière qu'aucun courant n'aille aux totalisateurs pour l'exploration des emplacements I et VI. 



   La carte perforée (Fig.   4)   est constituée comme une carte à deux étages, chaque étage ayant trente colonnes avec chacune six emplacements de perforation. Les colonnes de perforation de chacun des deux étages sont ex- plorées simultanément, un emplacement après l'autre, et les résultats d'explo- ration sont amenés aux mécanismes imprimant et totalisateur. La machine est pourvue de 80 unités d'impression qui peuvent être connectées par le tableau de connexion.. à chaque balai ou colonne. Le mode de connexion sera décrit plus   tard,   de manière plus précise. L'entraînement des mécanismes imprimant et totalisateur est réalisé par un dispositif à manivelle. Ce genre de dis- positif a été choisi parce qu'il permet, en ses points morts, un accouplement et un désaccouplement sur et favorable.

   De plus, le mouvement de retour qui existe obligatoirement dans une course de manivelle peut être.utilisé pour le désaccouplement. Les positions que prennent les pièces du dispositif à manivelle pendant l'exploration d'un étage sont illustrées sur les schémas fonctionnels des figures 5 à 9. 



   La manivelle 11 est entraînée   continuellement   à vitesse cons- tante en sens contraire des aiguilles d'une montre. Pendant une révolution de manivelle la carte est toujours avancée   d'un   emplacement. Pour chaque rotation complète de la manivelle 11, la manivelle 12 progresse d'une division en sens contraire de la rotation'des aiguilles d'une montre. Cette progres- sion sera décrite plus loin plus exactement. Sur la manivelle 11 est articu- lée la   tige-14   qui peut coulisser par un mouvement de va et vient dans un guidage ou coulisse 15 (ce guidage n'est représenté que symboliquement sur 

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 les figures 5 à 9, sa réalisation effective est autre). 



   L'extrémité droite de la tige   14   décrit une courbe   ellipsoïdale.   



   Si la coulisse 15 est déplacée cette courbe se modifie. Le ba- lancier 13 est lié à articulation à   l'extrémité   droite de la tige 14 par une barre d'accouplement 16 qui se déplace dans un mouvement oscillant en suivant la dite courbe. L'angle   d'oscillation   du balancier 13 dépend   de' la   forme de la courbe. La coulisse 15 est alors déplacée de telle manière que les diffé- rents angles   d'oscillation   du balancier 13 soient proportionnés aux valeurs de la figure 2. Mais pour les cinq positions (la sixième étant identique à la cinquième) il faut encore déduire un angle constant à l'intérieur duquel le balancier oscille à vide, par suite du jeu entre engrenages etc.... Ce jeu est nécessaire pour une autre raison, comme on le montrera plus loin. 



  Il est encore augmenté artificiellement afin que l'entraînement s'arrête au moment de l'accouplement. Si le jeu n'existait   pas.,   il y aurait toujours, même au point morts! un mouvement d'entraînement. Le moment d'arrêt se ré- duirait alors à un instant extrêmement petit. 



   La position et les dimensions des organes du dispositif à manivelle ont été déterminées de manière qu'en un point mort du balancier 13 la coulisse 15 puisse être déplacéesde même que, l'organe d'entraînement auxiliaire à manivelle qui coopère avec la coulisse et qui n'a pas encore été décrit. 



   Ledit déplacement s'effectue sans que la position du balancier ,   13 soit modifiée ; est nécessaire parce que l'accouplement des unités d'en-   registrement à leur entraînement doit s'effectuer toujours au même endroit, quelle que soit la position où se trouve la coulisse 15 à ce moment. On doit donc faire en sorte que la coulisse 15 ait atteint les positions cor- respondant aux explorations des emplacements des perforations (positions in- diquées sur les figures 5 à 9 par des chiffres romains en correspondance avec la signification des emplacements de perforation) au deuxième point mort du balancier 13 (représenté en pointillé sur les figures 5 à 9),car la position de ce point donne la quantité dont la roue des types doit être décalée. 



  Le   déplaent   de la coulisse 15 est réalisé par la manivelle 12. Celle-ci effectue une révolution par passage de carte. Les dimensions et positions ont été calculées à cet effet pour que les écartements irréguliers de la cou- lisse 15 entre ses positions de réglage sur la tige 14 correspondent à des déplacements réguliers de la manivelle 12. Il en résulte l'avantage qu'on peut avoiren plus de   l'avancement   pas à pas, un entraînement continu de la manivelle 12 à partir de la manivelle 11 si cela est désiré. 



   Comme on voit sur la figure 2, la même valeur 16 est affectée aux emplacements V et   VI.   La position des manivelles pour ces deux empla- cements est représentée sur la figure 9 et comme on l'a indiqué plus haut, elle doit procurer dans les deux cas la même course d'avance bien que la manivelle 12 ait tourné d'une division. Ceci est réalisé grâce au fait que la tige manivelle   17,   qui est dessinée en trait plein sur la figure 9 pour la position V, donner dans la position VI, dessinée en pointillé? une même position de la coulisse 15. 



   La réalisation pratique du mécanisme à manivelles est illustrée sur les figures   10-11-12.   La tige 14 qui se compose en fait de deux barres l'une à côté de   l'autre,,   est articulée sur la manivelle 11. Elle présente un évidement rectangulaire   14a   dans lequel une bague de guidage 20   (Fig.ll)   peut glisser. La bague de guidage 20 peut tourner folle sur l'axe 18 ; de plus, sur cet axe 18, se trouvent les bagues de guidage 19 également folles., qui peuvent glisser dans les guides 21 disposés de chaque côté de la tige 14, ces guides étant fixés sur le bâti. Pour éviter que la tige 14 et les guides 21 ne se gênent réciproquement et que les bagues de guidage ne se déplacent pas latéralement., on a prévu, entre les bagues de guidage 20 et 19 des rondelles 22.

   La disposition des bagues de guidage permet le glissement de l'axe 18 dans les guides 21, le glissement de la tige 14 sur l'axe 18 et la rotation de la tige 14 autour de   l'axe   18 par rapport aux guides fixes 21. Le dépla- cement des bagues de guidage est réalisé grâce aux deux barres d'accouplement 23 qui sont fixées solidaires de l'axe 18. A l'extrémité droite de la tige 

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 14, le balancier 13 est lie à articulation avec la barre d'accouplement 16. 



  Le balancier 13 peut pivoter sur le pivot 24 fixé sur le bâtie pivot autour duquel peut également tourner fou le segment denté 25. Le balancier 13 peut entraîner le segment denté 25 grâce aux deux butées 26 de celui-ci La-posi- tion de ces butées est calculée de manière que le balancier 13 puisse tourner à vide par rapport au segment 25   d'un   certain angle lors du changement de di- rection. Cette rotation à vide est nécessaire pour que l'organe entraîneur soit au repos lors de l'accouplement des mécanismes enragistreurs; accouplement qui s'effectue en un point mort,   comme   déjà dito Le segment denté 25 est en prise avec le pignon 27 qui transmet le mouvement au mécanisme imprimant et aux totalisateurs. 



   Le déplacement des barres d'accouplement 23 et par suite celui de la coulisse 15 est obtenu à partir de la manivelle 12 qui a pratiquement la forme   d9une   roue à rochet. La bielle 28 liée à articulation aux barres d'accouplement 23 peut tourner par son extrémité droite sur le pivot 30 fixé au bâti. La bielle 28 est nécessaire pour assurer toujours la position exac- te de la barre d'accouplement 23 et par suite aussi du guidage. 



   La progression de la roue à rochet 12 est obtenue par le cliquet 29. Le cliquet 29 est monté à pivotement sur le balancier 31 (Fige 10 et 12) et est poussé élastiquement sur la roue à rochet 12. Le balancier 31 est en-   traîné   par un excentrique 33 et la barre d'excentrique   34.     L'excentrique   33 se trouve sur le même arbre que la manivelle 11, de sorte que pour un tpur de   manivelle' 11.9   le balancier 31 oseille une fois. De ce   fait.9   la roue à ro- chet 12 est entraînée d'un   cran   grâce au cliquet 29. De cette progression, résulte le décalage de la coulisse 15 par l'intermédiaire de la tige 17 qui est montée à articulation sur la roue à rochet 12 et par l'intermédiaire de la barre   d'accouplement   23. 



   La position des éléments guidés dans les guides 21 doit être exacte lorsque le balancier 13 a atteint son point mort en position d'oscil- lation extrême. Cela est nécessaire parce   que.-   à ce moment, la roue des types est   désaccouplée.   Comme on l'a dit ci-dessus,ce point mort indique également la valeur de   l'emplacement   correspondant à ce moment. Pendant le reste du temps, la coulisse peut être déplacée sans que ce mouvement ait une influence que le   positionnement   de la roue des types. La position de la coulisse n'a pas de répercussion sur   l'accouplement,   car la course de manivelle et la posi- tion des guides 21 ont été choisies pour que la position d'un point mort ne dépende pas du déplacement de la coulisse. 



   Il a été pris des précautions pour que les forces pouvant inter- venir et tendant à déplacer la coulisse de la position qui lui est attribuée- ce qui ne doit absolument pas se produire lors du point mort en position ex-   trême   d'oscillation- ne puissent avoir d'effet. 



   0'est pourquoi la roue à rochet 12 est arrêtée à ce moment et bloquée pour les deux sens de rotation,, afin que des mouvements non prévus   n'aient   pas lieu. Ce blocage est réalisé par   l'intermédiaire   du levier 35 présentant une échancrure semi-circulaire 35a. Le'échancrure 35a du levier 35 peut se loger autour de la tête de vis 36 ce qui empêche toute rotation de la roue à rochet 12 dans les deux sens. Cet arrêt doit être maintenu un certain temps. En outre, il est souhaitable d'avoir un blocage rapide, ce qui est réalisé grace à une articulation basculante. Le bras 37 (Fig. 12) peut pivoter autour du goujon 38 fixé au bâti et il est lié par la barre d'ac- couplement 39 au balancier   31.   Le bras 37 oscille donc au même rythme que le balancier 31.

   Sur le goujon 38, le levier 35 est également monté à pivo- tement et lié au bras 37 par le ressort 410 Par suite du mouvement oscillant du bras 37, le levier 35 bascule   continuellement   entré la butée 42 et la vis 36. Le   basculemert   a été calculé de manière que le levier 35 rencontre la vis 36 lorsque la coulisse et les vis 36 ont atteint   leur   position exacte. 



   Pour pouvoir compenser les tolérances et le eu et permettre le réglage exact des courses on a prévu pour les différentes vis 36 et dents 43 de la roue à rochet la possibilité d'un décalage individuel. La roue à 

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 rochet 12 est constituée comme un simple disque sur lequel les dents 43 sont fixées individuellement par les vis 36. Les trous de vis dans le disque sont un peu plus grands que nécessaire, ce qui permet un certain réglage. Pour empêcher que les dents 43 ne tournent celles-ci touchent intérieurement un disque   44.   Pour pouvoir égaliser les différences de subdivision pouvant exister lors du montage, il est prévu pour le cliquet 29 une plus grande course que nécessaire pour la subdivision normale. 



   Les six vis 36 et dents 43 qui sont nécessaires pour les diffé- rentes positions de la coulisse 15, ont un plus petit écartement mutuel que les trois autres. Ces trois dernières vis ont été nécessaires pour ramener le dispositif à manivelle, servant au positionnement de la   coulisse?   à sa po- sition de départ. Pendant ce temps s'effectue aussi l'impression et le rem- placement d'une carte par une autre. L'écartement entre ces trois vis a été pris un peu plus grand pour pouvoir effectuer en trois pas la course   équiva-   lente à 4 pas normaux. 



     On   va maintenant décrire le mécanisme   d'accouplement   des roues des types. 



   Le mouvement oscillatoire en avant et en arrière du pignon 27 fixe sur l'arbre 71 (Fig. 10 et 23) est transmis par engrenages., d'une maniè- re qui sera expliquée ultérieurement, à l'arbre 78 portant solidairement les roues dentées 45 (Fig. 17 et 18). La disposition de ces roues sur les figures 17 et 18 ne correspond pas exactement à leur position dans la machine; elle a été choisie pour permettre une coupe visible plus claire sur la figure 18. 



  Une roue dentée 45 est affectée à chaque roue des types cette roue dentée étant en prise avec la roue 46 qui est montée à force sur la bague 47.   Une   échancrure 47a est prévue sur   la bague   47; dans cette échancrure sont montés le cliquet 48 et le ressort   49.   Le cliquet 48 peut être toujours maintenu, grâce au ressort 49, dans une de deux positions de repos. La bague 47 peut seulement tourner sur les dents de la roue de commande 51. La roue dentée 52 est montée à force sur la roue de commande 51 et elle est en prise avec la roue dentée   53.   La roue de commande 51 peut tourner sur l'axe 50 et la roue dentée 53 est solidaire de la roue à caractères 54. 



   Chaque bague   47   entraînée par sa roue dentée 45 tourne en corres- pondance avec la valeur des emplacements de perforation actifs.   Peu   aupara-   vant,   si l'électro d'accouplement a été excité par une perforation existant dans la carte, le levier 81 heurte le cliquet 48 qui est enfoncé dans un intervalle des dents de la roue de commande 51 en entraînant celle-ci dans le sens des aiguilles d'une montre. Par l'intermédiaire des engrenages 52 et 53, la roue des types est déplacée   d'une   manière correspondante. L'accou- plement par le cliquet peut être réalisé seulement dans une position déter- minée sur laquelle on reviendra.

   La position de départ du cliquet est fixée par la course de manivelle, ainsi qu'on l'a déjà dito Le déplacement de la roue de commande 51 correspond toujours à un multiple du pas d'engrenage? de sorte que les dents se trouvent toujours dans une position favorable pour l'accouplement. 



   Dans le mouvement de retour de la bague 47, la roue des types 54 (et par suite la roue dentée 53) est bloquée dans son mouvement en sens inverse, ce qui est obtenu grâce au ressort 56 (Fig.   14).   Le ressort 56 repose sur la roue de blocage 57 qui est liée fixe à la roue dentée 58 laquel- le engrène avec la roue dentée   53.   De ce fait, la roue dentée 51 est égale- ment dans l'impossibilité de tourner en sens contraire du mouvement des aiguil- les d'une montre (Fig.   17).   Le cliquet 48 est poussé par les flancs inclinés des dents vers l'extérieur jusqu'à ce qu'il reste en position extérieure où il est maintenu par le ressort 49; il est ensuite désaccouplé automatiquement des le commencement du mouvement en arrière.

   La bague 47 tourne en arrière alors jusqu'à ce que le point mort soit atteint pour le nouvel   accouplement.   



   Dans le totalisateur (Fig. 19 et 20) le positionnement est réa- lisé d'une manière analogue à ce qui se produit pour la roue des types. L'en- traînement est opéré à partir de la roue dentée 58 qui engrène avec la roue 

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 dentée 59 est montée à force sur la bague 61 dans laquelle se trouve l'échan- crure 6la contenant le cliquet 62. L'accouplement est réalisé au moyen du levier 63. La bagne 61 tourne autour de la roue de commande 64 laquelle ne possède que   10   dents au lieu des 13 dents de la roue 51 du mécanisme impri- mante Le déplacement par la bague 61 grâce à l'organe d'entraînement 58 est réalisé de manière que la postion de la roue dentée 64 indique la position du totalisateur et la roue 64 ainsi représente en même temps la roue du tota- lisateur. 



   On va décrire dans ce qui suit le mécanisme imprimant et ses moyens d'entraînement. 



   Le dispositif à manivelle est disposé dans le fond de la machine de manière qu'il soit facilement accessible du dessous   (Fig.     14).   L'entraine- ment des manivelles est obtenu à partir du moteur 65 (Fig.   33),   par l'inter- médiaire des engrenages 66-67 (figo 14) et du renvoi d'angle 68 et 69 (Fig. 



    14).   Sur l'arbre-vis-sans fin 112, sur lequel est monté le pignon conique 69, est également montée la manivelle 11. L'actionnement du dispositif se fait tant que la machine est en fonctionnement. Le mouvement produit par le mé- canisme à manivelle déjà décrit est transmis à partir du pignon 27 par l'in- termédiaire de l'arbre 71 (Fig. 10 et 13) et les renvois d'angle 72-73 et   74.   



  Le pignon conique 73 (Fig. 23) est fixé avec la roue dentée 75 sur   l'arbre     76.   



  Le pignon 75 est en prise avec les deux roues dentées 77a et 77b qui   entraî-   nent chacune un arbre 78 sur lequel sont montées toutes les roues d'entraî- nent, toutes désignées par la référence 45 pour tous les rangs d'impression, en vue de l'accouplement avec les roues des types. La répartition des accou- plements en deux groupes a été adoptée afin d'obtenir un faible écartement latéral des types. De ce fait on a réussi à avoir un écartement entre colon- nes d'impression de 3 mm (Fig. 21). Pour loger les électros d'accouplement, on a été conduit à les répartir en six groupes. Les électros sont disposés de telle manière qu'il y ait toujours trois groupes d'électros qui agissent sur un des deux groupes d'accouplement. On voit sur la figure 17 que la po- sition du cliquet 48 ou de la bague 47 est indifférente pour l'accouplement. 



  Il faut seulement que la pointe du cliquet se trouve lors de l'accouplement toujours au-dessus d'un creux quelconque entre les dents de la roue de   comman-   de 51. La position du cliquet est ainsi seulement une question de montage et de disposition des leviers d'accouplement. La position et la forme des leviers d'accouplement (Figo 14 et 22) ont été choisies dans cet exemple de manière à avoir des pièces aussi petites que possible et peu de paliers. 



  Les leviers d'accouplement sont montés à pivotement sur les trois axes 79 et dirigés alternativement sur chaque axe vers le haut et vers le bas. Les leviers 81 des deux axes extrêmes 79 agissent sur le même groupe d'accouple- ment tandis que les leviers 82 de l'axe médian 79 agissent alternativement sur un des deux groupes d'accouplement, Les ressorts 83 maintiennent les leviers   daccouplement   à leur position de départ. Sur chaque levier d'accou- plement agit un électro d'accouplement Do 
Pour pouvoir être logés commodément les électros D sont construits d'une manière   inhabituelle.,   Leur réalisation est visible sur la figure 16. 



  Ce mode de construction offre en outre l'avantage que ces électros peuvent être groupés aisément eh formant un ensemble monté sur une paroi. 



   Les électros sont ici fixés sur la paroi intermédiaire 85. L'é- lectro comprend un noyau 86 qui peut glisser dans le fourreau 87; son mouve- ment est limité par l'écrou 88 et le disque 89. Ce dernier est rivé au noyau 86. Le fourreau 87 est tiré par l'écrou 91 contre la paroi 85. Entre la paroi 85 et le fourreau 87 le blindage 92 est fortement serré par l'action de l'écrou 91. Ce blindage est nécessaire pour fermer le circuit magnétique de l'électro. A l'intérieur du blindage 92 se trouve le bobinage 93 sur l'armature 94. Il est prévu deux fentes dans le blindage 92 au travers desquelles les cosses à souder 95 peuvent faire saillie. L'écrou 88 presse sur le levier 81 ou 82 (Figo   14)   et est poussé à l'état de repos par le res- sort 83 par   l'intermédiaire   du levier 81   contre'le   fourreau 87.

   Si l'électro- est excité (en position dessinée sur la Fig. 16), la plaque 89 est attirée 

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 contre le blindage 92. L'écrou 88 presse sur le levier d'accouplement qui pousse à son tour le cliquet 48 dans le fond des dents de la roue de commande 51. Une courte impulsion de courant est envoyée sur l'électro D , car on n'a besoin que d'une attraction brève pour l'accouplement. Ceci permet que des courants relativement importants puissent circuler au travers du bobinage sans que celui-ci soit détruit par un échauffement exagéré. Par suite;, des forces magnétomotrices assez grandes correspondant à ces cou- rants relativement importants peuvent être obtenues alors que ce ne serait pas le cas avec des électros normaux de   marne   dimension. 



   Les roues des types 54 (Figo 14 et 21) peuvent tourner sur l'axe 98. Il est prévu une échancrure 54a dans les roues des types, échancrure dans laquelle se trouve un cliquet 99. Le cliquet 99 peut tourner sur l'axe 101 qui est solidaire de la roue dentée 53. Comme on l'a déjà dit ci-dessus, la roue dentée 53 et la roue des types 54 sont solidaires l'une de l'autre. 



  Le cliquet 99 est poussé par le ressort 102 contre l'axe 98. L'axe 98 pré- sente une rainure 98a. Lorsque la roue des types se met en place, celle-ci tourne dans le sens des aiguilles d'une montre et le cliquet 99 glisse sur l'axe 98. Comme l'axe 98 est actionné   par   le système à manivelle cet axe tour- ne d'une manière oscillatoire dans un sens et dans l'autre. Le rythme de   l' os-   cillation est choisi de telle manière qu'il concorde avec l'exploration des   carton.   Quand les roues des types viennent prendre leur place l'axe 98 tourne contrairement au sens des aiguilles d'une montre. Dans ce mouvement les cli- quets 99 peuvent sauter par dessus la rainure 98a. Une fois l'impression faite, l'axe 98 commence à tourner dans le sens des aiguilles d'une montre. 



  Les cliquets 99 sont saisis selon la position de la roue des types par la rainure 98a et sont entraînés par celle-ci, ce qui fait que les roues sont ramenées à leur position de départ. L'oscillation de l'axe 98 a été en outre choisie de telle manière que celle-ci couvre un peu plus de 47/48 d'une révo- lution totale. Ceci a pour but que pour la remise à zéro, toutes les roues des types décalées soient entraînées tandis que la remise à zéro n'a pas d'ef- fet sur celles non décalées. On reviendra ultérieurement sur l'entraînement de l'axe 98. 



   Lors de l'impression, les types doivent être exactement disposés suivant une ligne. Ce résultat est atteint grâce au fait que peu avant l'im- pression, l'étrier 103 - Fig.   14-15-   est poussé contre les roues des types. 



  Dans les roues des types, il est prévu des rainures 54b dans lesquelles entre l'angle 103a de l'étrier 103 qui aligne les roues des types. Les types 104 sont encastrés dans des rainures en queue d'arondeo 
Le rouleau de papier est disposé en avant de la machine (Fig. 1 et   14)   et peut être changé facilement. Le papier est conduit sur le rouleau 106 entre les roues des types et le ruban encreur 107,   pais   entre les rouleaux 108 et 109. Le rouleau 108 provoque l'entraînement du papier. Par dessus le ruban encreur 107 se trouve le marteau d'impression 111.

   Les types sont sous- traits au contact direct avec le ruban encreur, ce qui offre l'avantage d'em- pêcher que les types ne se salissent.   Un   avantage particulier de cette dispo- sition consiste en ce que l'écriture est lisible immédiatement après l'impres- sion. 



   Les cycles de travail pour l'alignement des roues des types, pour l'impression et pour la remise à zéro ont lieu en même opération, de sorte que leurs mouvements peuvent être obtenus à partir du même   entraînement.   Cet entraînement est réalisé à partir de la vis sans fin 112 et de la roue tangente 114 (Fig.   14).   La vis sans fin 112 se trouve sur le même arbre que la manivelle 11 du système à manivelle et que la roue   conique   69. Le rapport de transmission entre vis sans fin et roue tangente a été pris égal 1/9. Ceci est imposé par le retour du système à manivelle à sa position de départ après 9 révolutions de la manivelle 11. La roue tangente 114 est montée solidaire de l'arbre 113 qui dépasse la paroi latérale 115 vers la gauche (Fig.33). 



   Sur l'extrémité   gauahe   de l'arbre 113 se trouve la manivelle 116 (Fig. 33 et 13). Sur la manivelle 116 est relié le balancier 118 par l'inter-   médiaire   de la barre 117. Le balancier 118 peut pivoter sur l'axe 119. Le 

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 balancier 122 est de plus   lié à   articulation avec la partie inférieure du ba- lancier 118 par l'intermédiaire de la barre d'accouplement 121. Le balancier 122 peut tourner autour de l'axe 123. En outrer la crémaillère 124 est reliée avec articulation au balancier 118. Cette crémaillère se trouve en prise avec le pignon 125. Ce pignon 125 est fixé sur l'axe 98 qui provoque la re- mise à zéro comme on a déjà décrit ci-dessus La crémaillère 124 est empêchée de tomber par le rouleau 127. Le balancier 122 oscille au même rythme que le balancier 118.

   Le levier 128 peut tourner autour du point d'articulation supérieur du balancier 122 et est tiré par son oreille 128a contre le balan- cier 122 grâce au ressort 129, cette oreille butant contre le balancier. 'Si le balancier 122 se meut vers la gauche le levier 128 bute contre le levier 131, ce qui fait que le levier 128 bascule vers la droite et s'engage derrière le levier 131. Si le balancier 122 se meut à nouveau vers la droite, le le- vier 128 ne peut basculer à cause de l'oreille 128a et il entraîne le levier 131 jusqu'à ce que celui-ci glisse par dessus le levier 128 et revienne brus- quement à sa position de départe par le ressort 132. La position de départ est assurée par un tampon caoutchouté 133 réglable sur la cornière 130. Le levier 131 est fixe sur l'arbre 134 ainsi que le   marte'au   d'impression 111 (Fig. 



  14). C'est la position de repos du marteau d'impression qui est représentée sur la figure   14.   Cette position est réglée par le tampon caoutchouté 133 de telle manière que le papier soit facilement entrainé Comme on a dit, le marteau est armé par le levier 131. Lors de son retour rapide le tampon ca- outchouté cède un peu sous l'impacts de sorte que le marteua appuie le ruban; encreur et le papier sur les types. 



   Si le balancier 122 se déplace vers la droite (Fig. 13) il atteint le rouleau 135, qui se trouve sur le levier 136. Le levier 136 est solidaire de l'arbre 137 et est poussé par le ressort 138 contre la butée 139. Sur l'ar- bre 137 est également monté fixe mais cèdant à l'action d'un ressort spiral, l'étrier mobile 103 (Figo 14) servant à l'alignement des types. Dans son mou- vement, le   balancier   122 amène le levier 136 vers   7,la   droites ce qui fait que, comme on l'a décrit ci-dessus, l'étrier est presse contre les roues des types et les types sont alignés. De plus, sur l'arbre 137, sont montées folles les roues de blocage 57 des roues des types. 



   L'entrainement du papier est obtenu par le rouleau 108 (Fig. 14) qui est fixé sur l'arbre   141.   La roue à rochet 142 (Fig. 13) est aussi montée fixe sur l'arbre 141. La roue à rochet 142 tourne par le cliquet 143 monté à pivotement sur le balancier 118 et qui est pressé par le ressort 144 contre la roue à rochet. Le blocage de la roue à rochet est réalisé par le ressort 145 qui est fixé sur l'équerre 146 et qui est ajusté en position exacte. 



  Lorsque le balancier 118 se meut vers la gauche, le cliquet 143 fait avancer la roue à rochet 142 d'un pas. La grandeur de ce pas correspond à un inter- ligne de l'impression sur le papier. 



   La position de la manivelle 116 a été choisie de manière que le balancier 118 atteigne le point mort de droite une fois que le positionnement des roues des types vient   d'être   terminé. Lorsque le balancier se meut vers la droite, le marteau d'impression s'armes les roues des types s'alignent et l'impression est réalisée. Si le balancier 118 se meut vers la -gauche, la remise à zéro est effectuée ainsi que   1'entraînement   du papier. Le retour de la manivelle et le passage d'une nouvelle carte s'effectuent   indépendam-   mento Les rouleaux de pression 1t9 qui appuient le papier contre les rouleaux d'entraînement 108 peuvent tourner sur l'axe   147,  lequel est fixé dans les deux leviers 148. Chaque levier 148 peut tourner sur un axe 149.

   Le rou- leau 109 est pressé contre le rouleau 108 par le levier   148,   grâce au ressort 151. Le ressort a été disposé de manière qu'en déplaçant vers le haut le levier   148,   à la   main.9   celui-ci peut basculer en arrière. Ceci per- met la mise en place commode du papier. 



   Sur la figure 13, on montre de plus un dispositif permettant de placer et d'extraire facilement le rouleau de papier. Le rouleau de papier 105 à été poussé par son axe dans l'échancrure 152 contre l'action du ressort 153 jusqu'à ce que cet axe repose derrière le levier 154 et soit maintenu par 

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 celui-ci dans cette position. Le levier 154 est poussé par le ressort 155 contre la butée 1560 Si on veut retirer le rouleau de papier, on pousse à la main le levier 154 vers la droite (Fig. 13) ce qui libère l'axé du rouleau de papier et le ressort 153 fait   jaillis?   l'axe avec le rouleau vers l'exté- rieur. 



   On va décrire ci-après le mécanisme additionneur et son entraîne- ment. Les totalisateurs additionnent les valeurs partielles qui leur sont transmises et envoient le résultat au mécanisme imprimant sous forme de valeurs partielles. 



   Ceci est nécessaire parce que le mécanisme imprimant ne peut être positionné que suivant des valeurs partielles 
Le positionnement des totalisateurs est obtenu par un accouple- ment semblable à celui du mécanisme imprimant comme il a été dit ci-dessus. 



  Les totalisateurs se trouvent sur la partie arrière de la machine (Fig. 14 et 24) dans deux rangées comprenant chacune 25 unités. La machine peut donc travailler au total avec 50 unités de totalisateur. Chaque groupe de 25 roues totalisatrices est libre de tourner sur les axes 160a ou 160b. La répartition des unités de totalisation suivant les ordres d'unités décimaux peut être facilement prévue au montage. Dans le cas présent elle est réalisée de manière que les différents totalisateurs soient subdivisés en groupes, à l'extrémité de chacun desquels le report est interrompu et pour cela il est prévu un accouplement pour la remise à zéro sur lequel on reviendra ultérieu- rement. 



   L'entraînement des deux rangées de totalisateurs   s'obtient   à par- tir de l'arbre 161 sur lequel les roues dentées 58 sont montées fixes. Les roues dentées 58 agissent directement sur les unités de totalisateur supérieu- res et par l'intermédiaire de la roue 162 sur les unités de totalisateur in- férieures. L'engrenage intermédiaire 162 est monté fou sur l'axe 163. L'ac- couplement est réalisé par le levier 63a ou 63b grâce à l'électro Z comme on l'a déjà dit ci-dessus. Le désaccouplement est réalisé également de manière connue par rotation en sens inverse de l'entraînement.

   Le blocage du totali- sateur pour   l'empêcher   de tourner en sens inverse est obtenu grâce à la roue à rochet 157 et au ressort 170 (Fig.   24).   La roue à rochet 157 est utilisée aussi simultanément pour les reports. 



   Le système des reports est semblable à celui qui est connu sur les machines Hollerith. Le cliquet 164 peut tourner librement sur le levier. 



  165 et est poussé par le ressort 166 contre la roue à rochet 157. Le levier 165 est monté de manière à pouvoir tourner sur l'axe 160 et il est tiré par le ressort 167 dans le sens contraire du mouvement des aiguilles d'une mon- tre, mais il en est empêché par la saillie 168a du levier 168. Le levier 168 est poussé par le ressort 169 contre l'oreille 165a (Fig. 25) du levier 165. 



  Si la roue   totalisatrice   tourne, le cliquet 164 saute au passage des dents de la roue à rochet 157. Sur le cliquet 164 est fixé une cheville 171 qui passe sous le levier 168 de l'unité   totalisatrice   précédente. Les dents et la cheville 171 sont constituées de telle manière que les dents normales ne soulèvent la cheville 171 que d'une faible amplitude, insuffisante pour attein- dre le levier 168. Sur la roue à rochet se trouve en dehors des dents norma- les une dent plus grande 157a. La position de cette dernière correspond à la position 9 du totalisateur. Si la dent 157a passe sous le cliquet 164, cela signifie que le totalisateur passe de 9 à 0 et le cliquet 164 est soule- vé suffisamment haut pour que la cheville 171 entraîne le levier 168 de l'or- dre d'unité du totalisateur immédiatement supérieur.

   Ce   dernier'   levier 168 libère le levier'165 de l'ordre d'unité correspondant qui, sous l'action de son ressort 167, tourne rapidement vers la gauche jusqu'à ce   qu' il   heurte l'é- trier 172. Si le cliquet   164   touche au passage la dent 157a, plus haute que les autres,il libère de la manière qui vient d'être décrite, le blocage du levier 165 pour l'ordre d'unité voisin du totalisateur.   Une   fois que le positionnement est terminé, l'étrier 172 se meut dans le sens des aiguilles d'une montre et ramène les leviers 165, qui ont été libérés, à leur position de départ. Le cliquet   164   entraine d'une unité dans ce mouvement la roue à 

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 rochet 157, ce qui termine le report. 



   La remise à zéro des totalisateurs n'a pas besoin d'être   effec=   tuée pour les totalisateurs tous ensemble. Au contraire, cette remise à zéro, si on,le désire, peut être exécutée individuellement pour chaque totalisateur. 



  Cela peut être nécessaire lorsque la machine doit être équipée de   manière   con- nue, avec un contrôle de groupe double (groupe principal et sous-groupes). 



  Pour permettre cette possibilité, on a prévu sur l'axe 160 des fourreaux, 173, dont la   longueur   correspond chaque fois à la: longueur des totalisateurs ou au nombre d'ordres d'unités du totalisateur. Il est prévu dans la roue à ro- chet 157 une échancrure 157b dans laquelle se trouve le ressort   174.   Ce res- sort glisse lors du positionnement du totalisateur sur des rainures qui sont prévues dans le fourreau 173. Le fourreau 173 est immobile pendant le posi- tionnement des totalisateurs. Si le totalisateur doit être remis à zéro le fourreau tourne une fois dans le sens des aiguilles d'une montre. Suivant le positionnement des unités de totalisateur les ressorts 174 tombent à des instants différents dans la rainure, de sorte que les unités de totalisateur sont entraînées par le fourreau et remises à zéro.

   La rotation du fourreau est effectuée grâce à une roue dentée (non représentée) montée solidaire du fourreau   173.   Pour chaque totalisateur il est   toujours;prévu   une telle roue dentée à son extrémité. La dite roue dentée est en prise avec la roue den- tée 175 (Fig. 24) qui tourne folle sur l'arbre 176. L'arbre 176 effectue une rotation après chaque positionnement. Une rainure est prévue sur l'arbre 176 ce qui fait-que l'engrenage 175 peut être relié à l'arbre par un accouplement à un tour. Après lecture de la somme, l'électro N de remise à zéro (indiqué seulement schématiquement sur la figure 43) est excité. L'électro de remise à zéro se trouve dans la même rangée   d'électros   que ceux d'accouplement Z et il est de construction semblable.

   L'excitation de   l'électro   de remise à zéro déplace le levier 177 qui libère le cliquet 178. Le cliquet 178 est monté de manière à pouvoir tourner sur la roue dentée 175 et il est poussé par le ressort 179 contre l'arbre 176. Le cliquet tombe dans la rainure de l'arbre 176. Après lecture des unités de totalisateur, l'arbre 176 commence à tour- ner. Le fourreau 173 est entraîné par le cliquet 178 et la roue dentée   175,   ce qui provoque la remise à zéro. A la fin d'une révolution, le cliquet 178 est dégagé de la rainure par le levier 177 qui, dans l'entretemps a été ramené à sa position de repos par le ressort 181. Au même moment, l'arbre 176 est immobile. La remise à zéro de toutes les unités de totalisateur est effectuée à partir du même arbre 176.

   La continuation du mouvement est obtenue ici par la roue intermédiaire 182 qui peut tourner sur l'axe 1630 
L'entraînement pour la remise à zéro et les reports est obtenu à partir de l'arbre 113 qui exécute, par passage de carte, une révolution. 



  A son   extrémité gauche   (Fig. 33) la roue ' chaîne 182 est montée à force. 



  La roue à chaîne 182 entraîne par la chaîne 183 (Fig. 13) la roue à chaîne 184. La roue à chaîne 184 peut tourner sur l'axe 185 et elle est solidaire du segment denté 186 et de la roue,dentée 187. Le segment denté 186 s'étend sur 1/3 de la périphérie   et'il   engrène avec la roue dentée   188..   Le rapport de transmission entre; le segment denté 186 et la roue dentée 188 est de   1/3.   



  De ce fait, la roue dentée 188 fait un tour quand le segment effectue une révolution, mais la rotation de la roue dentée 188 s'effectue pendant 1/3 du temps, tandis qu'elle   rste   au repos pendant les deux autres tiers. La roue dentée 188 est fixe sur l'axe 176 (Fig. 14 et 24) qui provoque la remise à zéro comme on a déjà dit. La position du segment 186 est choisie de telle manière qu'il ne vient en prise avec la roue dentée 188 que lorsque le positionnement du totalisateur ou son exploration sont terminés. 



   Les reports peuvent arriver au même instant car ils peuvent se produire juste après le positionnement. La transmission du report est à nouveau coupée jusqu'à l'exploration qui a lieu au prochain cycle de travail. 



  L'entraînement pour faire osciler l'étrier 172 peut donc être pris à partir de la roue dentée 188. La manivelle 189 (Fig. 13) est liée rigidement à la roue dentée 188. Le balancier 192 est lié à articulation à la manivelle 189 par une bielle 191. Le balancier 192 est fixe sur l'axe l60a sur lequel est monté également fixe l'étrier 172. L'oscillation doit également être 

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 transmise au groupe de totalisateurs inférieur.

   A ce   sujet ,    il   faut remar- quer -que l'oscillation doit s'effectuer en sens inverse puisque le groupe de totalisateurs inférieur est disposé symétriquement par rapport au groupe su-   périeuro   Ceci est obtenu par la transmission du mouvement d'oscillation au balancier 194 par l'intermédiaire de la barre d'accouplement 1939 laquelle est fixée sur l'axe 160 correspondant au groupe de totalisateurs inférieur. 



  Si la roue dentée 188 ou la manivelle 189 font un tour, les deux balanciers 192 et 194 ou leurs étriers 172, exécutent un mouvement de va et vient et ra- mènent les leviers 165 à leur position de départ. La position de départ des deux balanciers et de la roue dentée 188 doit toujours être établie avec exactitude. Quand la rotation est rapide, la roue dentée 188 ne doit pas s'em- baller. De plus, il faut que la roue dentée 188 ne tourne pas folle lorsqu'elle n'est pas en prise avec le segment denté 186. Ceci est réalisé grâce au ressort 195 qui tire sur le balancier 192 dans une position de point mort ce qui fixe la position de la manivelle 189 ou de la roue dentée 188. 



   L'entraînement pour le positionnement des unités (ou roues) de totalisateur est obtenu à partir de la roue conique 74 (Fig. 13) par l'inter- médiaire de l'arbre 196 et des roues coniques 197 et 198. 



   L'exploration des unités de totalisateur doit être réalisée de manière que le résultat de chaque unité puisse être composé de valeurs partiel- les. Une autre condition est imposée par le fait que les zéros existant avant les chiffres significatifs les plus élevés d'un nombre ne doivent pas être imprimés et que, par conséquent,, les unités de totalisateur correspondantes ne doivent pas être connectées au mécanisme imprimant. Ces conditions sont remplies par le dispositif décrit ci-dessous. 



   Chaque unité de totalisateur possède pour lire les résultats quatre disques-cames 201, 202, 203, 204   (Fig.25).   La position des différents disques-cames a été choisie de manière que les cames fournissent les valeurs partielles des positionnements des totalisateurs. Les "disques-cames sont solidaires de la roue dentée 64   (Fig,20)   laquelle indique, comme il a été décrit, le positionnement du compteur. De plus, la roue à cliquet 157 (Fig. 



  24), servant au blocage contre la rotation en arrière et aux reports, est fixée sur la roue dentée 64. Les quatre disques-cames suffisent à la représentation des chiffres, car, en dehors de la position zéro, le code des chiffres ne s'étend que sur'quatre positions. La forme et la position, l'un par rapport à l'autre, des disques sont représentées sur les figures 26 à 29. Le disque 201 correspond à la position II (Fig. 3) avec la valeur partielle 1; le dis-   que 202, à la position III avec la valeur partielle 2 ; ledisque 203, à la   position   IV,   avec la valeur partielle 4 et le disque 204 à la position V avec la valeur partielle 8. Chaque disque est muni d'une lame de contact 205 qui peut être poussée par le disque-came sur le conducteur commun 206.

   Selon la position du totalisateur, les quatre lames sont amenées en contact avec le conducteur commun selon le code adopté (Fig. 3). Toutes les lames 205 sont fixées sur la plaque 208 grâce à un étrier 207. Deux plaquettes isolantes 209a et 209b (Fig. 24) isolent les lames l'une par rapport à l'autre et par rapport à la masse. Les disques-cames sont séparés l'un de l'autre par des disques 211. L'exploration de la position des totalisateurs par les lames 205 est provoquée par les cames 213. L'exploration de   l'unité   de totalisateur se fait d'une manière analogue à l'exploration d'une colonne de carte. De ce fait, on obtient que la machine peut travailler d'une manière continue et régulière pour extraire les totaux, et que seule l'alimentation en cartes est interrompue. 



   L'exploration de la carte s'effectue comme on l'a déjà décrit ci- dessus en six périodes. D'une manière correspondantes pour l'extraction de total, l'exploration est divisée aussi en six périodes. Mais, l'exploration proprement dite ne Détend que de la deuxième à la cinquième position (Fig. 3). 



  La première position est utilisée uniquement pour le zéro et la   sixième   n'en- tre pas en ligne de compte pour les chiffres. 



   Si le totalisateur doit être exploré, l'arbre 212 (Fig. 24) tour- ne pas à pas, la grandeur de ce pas à été choisie de manière que l'arbre 212 

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 retrouve sa position de départ après six pas. 



   L'arbre 212 présente six pans sur lesquels les disques-cames 213 sont enfilés. Un de ces disques 213 est prévu pour chaque lame 205. Les   ca-   mes sont toujours décalées   l'une   par rapport à l'autre de 1/6 de tour. 



  Les lames 205 sont pressées par les cames l'une après l'autre sur la barre' de contact   214.   Les barres de contact 214 sont prévues séparées pour chaque unité de totaliseur et fixées sur le support isolant 215. La barre 214 est reliée par une connexion à l'électro d'accouplement correspondant du mécanis- me imprimant, électro sur-lequel l'unité de totalisateur doit agir. La pres- sion des lames sur la barre de contact correspond dans sa succession dans le temps à l'exploration des emplacements de perforation de la carte. Mais; le courant ne peut alors passer par les lames que lorsque celles-ci sont simul-   tanément   pressées par les cames de totalisateur 201 à 204 sur le conducteur commun 206.

   La position des cames 213 a été choisie de telle manière que, des six périodes ou pas, les deuxième, troisième, quatrième et cinquième agissent sur les cames. Le premier pas est à vide, parce que, dans cette position, le 'zéro est transmis. On reviendra ultérieurement sur ce point. 



  Le sixième pas est également à vides car il n'est pas nécessaire pour'le co- de des chiffres. Le   sixième   pas correspond également dans cette exploration à la position de repos de l'arbre 212. 



   L'entraînement de l'arbre 212 a lieu pas à pas grâce à l'électro 216   (Figa   13). Si le totalisateur doit être exploré l'électro 216 reçoit des impulsions de courant. La suite d'impulsions concorde avec la rotation de la   manivelle .11   du mécanisme à manivelle. On reviendra ultérieurement sur la succession dans le temps et sur la limitation des impulsions quand on dé- crira le schéma de montage. L'électro 216 attire à chaque impulsion son armature 217. L'armature 217 est ramenée à sa position de repos par le ressort 218. Le cliquet 219 peut tourner sur l'armature 217 et y est poussé par le ressort 221 contre la roue de commande 222. A chaque excitation de l'électro 216, la roue de commande 222 progresse d'un pas. La roue de comman- de 222 peut tourner sur le pivot 223 et elle est solidaire,de la roue dentée 224.

   Cette roue 224 est en prise avec la roue dentée 225 et, par l'intermé- diaire de la roue 226, avec la roue dentée   2270   La roue dentée 227 est fixe sur l'arbre 212a du groupe des totalisateurs supérieur tandis que la roue dentée 225 est fixe sur l'arbre 212b. Le rapport de transmission entre roues est 1/1. 



   On a énoncé ci-dessus la condition que l'impression des zéros devant le chiffre significatif le plus élevé d'un nombre devait être supprimé. 



  Ce résultat est atteint par un montage particulier des contacts. (Fig. 30) La figure 30 indique seulement schématiquement les éléments utilisés pour la suppression des zéros. D'autres éléments qui se trouvent en fait en circuit, mais qui ont d'autres rôles, sont laissés de côté et seront décrits par la suite lors de la description du schéma général. A chaque unité de totalisa-   teur es't affecté un jeu de contacts désignés d'aune manière générale par bIV. 



  Celui-ci comprend quatre lames de contact dont les deux lames supérieures   (Fig. 24) se touchent à l'état détendu. Dans la position zéro de la roue de totalisateurs la lame de contact la plus longue est pressée vers le bas, ce qui fait que les trois lames en dessous de la lame supérieure établissent une connexion électrique et le contact passant par la lame supérieure est interrompu (Fig. 27). L'actionnement de ces contacts est commandé par les cames 211a sur le disque intermédiaire 211. La position des cames est choisie de manière que le jeu de contacts bIV soit actionné pour la position   "zéro"   du totalisateur. Si la roue de totalisateur est déplacée hors de la position   "zéro",   il s'ensuit l'inversion décrite des contacts. 



   Sur la figure 30 l'exposant en chiffres arabes des électros   d'accouplement D et des contacts bIV indique à quelle unité de totalisateur ils sont affectés. Ce faisant, on admet que le rang des unités est désigné   par l'exposant 1 et les rangs suivants par les exposants 2, 3, 4, 5. Si on admet, par exemple, que le nombre 3050 doit être exploré dans le totalisateur, les contacts bIV2 et bIV4 sont inversés; leurs positions sont montrées sur 

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 la figure 3g le rang des dizaines (correspondant à b IV2) et le rang des mille   (correspondant à bIV4) étant ceux où les roues de totalisateur sont décalées. 



  La position zéro du mécanisme imprimant a donc lieu pour le rang de totalisa-   teur non décalé à l'intérieur du nombre de la manière suivante le position- 
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 nement ?zéro" est réalisé sur l'électro d9accouplement du mécanisme imprimant par l'intermédiaire des contacts W'IV.I1 bv4.11 bq3, pour l'électro d9aaeouplement D et par les contacts wIV.I1 b-y2p brvI.9 pour 19é1ectro d9accouplement I3 Le montage est donc établi de manière que lorsque le mécanisme à manivelle se place sur la valeur 1 (dans la partie du mécanisme d'impression)   ou sur   
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 remplacement 1.1) une impulsion de courant passe par rl et D3 et D- sont excités.l1 ce qui fait que les roues de totalisateur affectées à ces électros sont positionnées sur "zéro". 



   Il ne peut pas circuler de   courant   par D5 et les électros d'ac-   couplement de rangs de totalisateur supérieurs car le contact bIV4 a interrompu la connexion dans cette directiono Il ne peut son plus circuler de courant   par D4 et D2, car pour ces électros, la liaison est interrompue aux contacts bIV4 et bIV2 (qui ont été inversés par leur unité de totalisateur   correspon-   dante). 



   Le positionnement des chiffres 3 et 5 est effectué ensuite pour les positions suivantes du mécanisme à manivelle de la manière qui a déjà été décrite ci-dessus. 



   L'entraînement de la carte est obtenu par les deux chaînes 227 (figo 14 et 33). La carte est poussée de manière connue par les couteaux 228 qui l'extraient du magasin   229.   Les deux couteaux 228 sont montés sur une coulisse 231 qui est guidée sur les deux tiges 232. Le mouvement de la coulisse 231 est obtenu grâce à une manivelle. La manivelle 233 est solidaire de la roue à chaîne 234 montée sur l'arbre   2350   Les dimensions de la roue à chaîne ont été calculées pour qu'une rotation complète de la roue à chaîne 
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 corresponde à l'acheminement d'une carteo La barre d'accouplement 236 est reliée par la bielle 237 à la manivelle 233.

   La barre d'accouplement est re- liée par son extrémité supérieure à la coulisse 231 et par son extrémité in-   férieure   au   bamaneier   238. Le balancier 238 est fixé à pivotement par son extrémité gauche   (Figo   33) sur   l'équerre   239. Sur l'arbre 235 sont également fixés les deux rouleaux 241   (figo13)   Sur ceux-ci pressent deux galets 242   (Figo   33) qui sont montés à pivotement sur les bras 243. De même les dits bras 243 sont montés à pivotement sur les équerres 244.

   Les bras 243 et les gâlets 242 sont pressés par les ressorts 245 vers le bas 
La carte est poussée par les couteaux 228 entre les rouleaux 241 et les galets   242   et elle est   entraînée   par   ceux-ci.   La pression des galets   242   a été établie de telle manière que pour une résistance déterminée 
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 de' la carte les rouleaux 24à commencent à g7isser par rapport à la carte. 



  Le diamètre des rouleaux 21,,'1 est un peu plus grand.' que celui du cercle primi- tif de la roue à chaine, ce qui fait que 19entraînement par les rouleaux est un peu plus rapide que par la chaîne Si la carte est saisie par les rouleaux 
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 241 et les galets 2l*29 elle circule plus vite que les chaînes jusque a ce que elle heurte par son bord avant les saillies 227a des deux chaînes 227. De cette manière un engagement en biais éventuel de la carte est compensé dès le début . Aussitôt que l'extrémité de la carte quitte les rouleaux 241, les 
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 saillies suivantes 227a assument 1-'entrelnement. L' éearteaent entre deux saillies est exactement égal à une hauteur de carte.

   La chaîne n'a que la charge de l'entraînement de la   carteo   La carte repose sur la piste 246 qui sert simultanément au guidage de la chaîne (Figo 14 et 33) La carte est guidée latéralement par les deux guides 250 fixés aux parois latérales de la 
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 machine. On renforce ainsi en mëàe temps le support des dispositifs d9exatra- nement des cartes et daexplorationo La carte arrive tout d9abord sous la première b rosse 247 (Fig-31) qui sert seulement au contrôle de groupe.

   Ensuite., la carte passe sous la 
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 deuxième brosse 248 qui a pour rôle Pexploration proprement dite (Figo 14-31 et   33).   Les deux brosses sont d'une construction semblable et sont supportées 

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 par les deux supporta 2490 La brosse   247   comprend deux fois 30 'balais 251   car   les deux 'étages de la carte doivent être explorés simultanément.   Les-ba-   lais sont   soutenus     par   les plaquettes 252 et guidés séparément dans les pei- gnes 253. Les balais 251 dont   pression   sur la plaque de contact 254 fixée par l'intermédiaire de plaquettes isolantes 255 sur des barres 256. Les barres 256 sont fixées sur les guides 250 en même temps que les peignes 253   (Figo   33). 



   Pour chaque brosse il est prévu des rouleaux 257 et 258 servant de moyens auxiliaires d'entraînement, ces rouleaux entraînant la carte sous les balais. Les rouleaux doivent avoir la même vitesse que la   chaîne.   Mais comme les rouleaux ont un diamètre plus grand que le diamètre primitif de la roue des cartes, les rouleaux d'entraînement doivent tourner plus lentement   ce qui est obtenu par une transmission à engrenages. o Les rouleaux sont montés   pour pouvoir tourner sur les axes 259 ou 261. L'axe 261 est lié fixe avec   une.roue   à chaîne 262 (Fig.14),   l'axe   259 est entraîné par la chaîne. De plus, la roue dentée 263 est solidaire de la roue à chaine 262 et la roue dentée 264 est liée aux rouleaux.

   La roue dentée 264 est entrainée par la roue den- tée 263 par l'intermédiaire d'un engrenage comprenant les roues dentées 265 et 2660 Les axes 259 et 261 (Figo 31) ainsi que les engrenages intermédiaires sont montés   dans',les   équerres 260 (Figo 14 et 33) La transmission a été cal- culée pour que la vitesse d'entrainement des rouleaux soit égale à celle de la chaîne. La carte est poussée par les galets 267-268 sur les rouleaux 257- 258. Les galets sont fixes sur les axes 269 et 271 pouvant tourner dans les supports   2490   Les supports   249   peuvent   8=-Mêmes   pivoter dans les équerres 272, celles-ci étant vissées sur les guides 250 (Figo 33). Les ressorts 273   repoussent,-les   supports ou balais et les galets vers,le bas. 



   Les cartes sont transportées plus rapidement pendant le change- ment de carte pour réduire la   course   à vide de la machine. Pour pouvoir exécuter cet entraînement rapide sans perturbations, les balais sont soulevés, ce qui est réalisé en basculant vers le haut les supports 249 (Fig.32). Sur l'arbre 261 est,fixé le disque-came 274. L'arbre 261 effectue une révolution, lors d'une progression de la chaîne égale à l'avance d'une carte, puisque la roue à chaîne 262 est fixée sur ledit arbre. Le disque-came est adapté dans sa forme à la   succession   dans le temps des explorations d'une carte. Le dis-   que-came     274     peut   soulever le levier   2750   Celui-ci est fixe sur l'arbre 276;, de même que les leviers 277.

   Les leviers 277 s'engagent sous la tige 271 et poussent'vers le haut les supports 249. L'arbre 276 est   monté   dans les   équer-   res 278 qui sont vissées sur la paroi latérale 2790 La forme de la came a été choisie de telle manière que le levier 275 soit soulevé quand une carte est remplacée par une autre ou lorsque l'exploration est terminée; 
Le mouvement de la chaîne ou l'entraînement des cartes est réali- sé pas à pas. L'avance pas à pas a été conçue de telle manière que la carte se meuve lentement lors de 1'exploration et que le remplacement   des¯cartes   s'effectue rapidement. Le rythme de   l'entraînement   des cartes concorde avec celui du dispositif à   manivelleo   Il est subdivisé en 6 pas de travail et trois pas à vide.

   Il peut être obtenu à partir du même entraînement que celui du dispositif à manivelle. 



   L'entrainement de l'organe d'entraînement des cartes est réalisé à partir de la roue dentée 67 qui sert aussi de manivelle Le balancier 281 (Fig.33) est relié par la barre d'accouplement 282 à la manivelle. Le balan- cier 281 est monté à pivotement sur l'axe 283 qui est vissé dans'l'équerre 260. Les cliquets 284 et 285 sont montés pour pouvoir tourner sur le balan- cier 281 et ils actionnent les roues à rochet 286 et 287 qui sont toutes deux fixes sur l'arbre 261 (Fig.34-35). Les dents sur les roues à rochet ne sont pas   distribuées     sur   toute la périphérie Elles sont réparties de manière qu'un cliquet remplace l'antre dans sa fonction.

   Le   oliquet   284 et la roue   corres-   pondante 286 servent au transport rapide pour le passage des   cartes.'Le   cli- quet 285 et la roue correspondante 287 assument l'entraînement lent pendant 1-'exploration. Tandis qu'un cliquet travaille,   !-autre   glisse sur la partie de la périphérie de la roue sur laquelle il ne se trouve pas de dent. Par 

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 suite du transport rapide, le cliquet 284 a une course plus grande et la roue à cliquet 286 présente un espacement plus grand des dents tandis que le cli- quet 285, par suite de l'entraînement plus lent a une course plus petite et la roue 287 un espacement plus petit de dents.

   La différence des courses est   réaliser   du fait que les cliquets montés sur le balancier 281 ont des bras de levier différents. Le positionnement exact ainsi que le blocage empêchant la rotation en sens inverse sont obtenus grâce à la roue de blocage 288 et à la lame de blocage 289 (Fig. 36). La roue de commande 288 est également fixe sur l'arbre 261. La lame 289 est vissée sur la paroi latérale 279 et elle est réglable grâce à des trous oblongs de sorte que la position de la carte peut être exactement fixée. Les dentsc'est-à-dire les intervalles entre dentsont été établis sur la roue de blocage 288 de manière à être distribuées en correspondance avec l'avance des cliquets. Une butée 291 (Fig. 



  34) a été prévue pour éviter le rebond de la lame lors de l'entraînement rapide; cette butée 291 a été vissée avec la lame 289 sur la paroi 279 et elle est également réglable grâce à des trous oblongs. 



   Si on veut extraire la somme ou si le contrôle de groupes est excité,   l'entraînement   des cartes doit cesser. Il est alors possible que le contrôlee de groupes soit excité déjà lors de l'exploration du premier empla- cement de perforation. Mais l'entraînement des cartes ne doit pas s'arrêter immédiatement,la carte doit être explorée jusqu'à la fin. Ceci est obtenu en soulevant le cliquet   284   d'entraînement rapide, de manière qu'il n'engrène pas dans la roue 286. Le cliquet d'exploration 285 provoque cependant l'en- traînement jusqu'à la fin d'exploration. 



   Le soulèvement du cliquet 284 est obtenu grâce à l'oreille 292a de;l'armature 292. L'armature 292 est attirée par l'électro K. L'armature est ramenée et maintenue dans cette position de repos par le ressort 294. 



  Cette position de repos est fixée par la butée 295. L'électro K est fixé par son étrier 296 à la paroi intermédiaire 97 (Fig. 14); cet électro n'est toute- fois pas dessiné sur la figure 14 pour la rendre plus claire. Si le relais G de contrôle de groupe (dont on parlera ultérieurement lors de la description du schéma de connexions) est excité, celui-ci ferme le circuit de l'électro K qui soulève par l'armature 292 le cliquet   284.   Néanmoins;, le mouvement se poursuit par le cliquet 285 jusqu'à   l'échange   de leurs fonctions. Si l'arma- ture 292 retombe., le cliquet 284   tombe   sur la roue correspondante 286 et entraîne encore celle-pi. 



   Lorsque l'exploration d'une carte est terminée, celle-ci est en- traînée par les rouleaux 258 dans la case de réception 297 grâce au chemin de cartes 298. Le chemin de cartes est guidé par des rouleaux 299 le long de la paroi 301 et il est poussé vers le haut par les ressorts 302. Si le chemin de cartes atteint la position basse il ouvre le contact m.a qui décon- necte la machine. On va décrire ci-après le tableau de connexions de la ma- chine. 



   Dans l'exemple de réalisation décrite, il est possible de connec- ter à volonté les balais d'exploration, les roues des types et les totalisa- teurs. De plus les relais de contrôle de groupe peuvent être connectés sur chaque colonne de la carte. Le mode de connexion est évident et la façon d'opérer très simple. A cet effet9 on a utilisé les fiches sans cordon qui sont connues dans la technique des téélé communications. 



   Chaque élément du montage qui doit être sélectionné, comme par exemple les balais, totalisateursetc.... est affecté à une barre. Ces bar- res sont disposées l'une par rapport à l'autre de telle manière qu'elles croi- sent celles des éléments avec lesquels elles doivent être réunies électrique- ment. Les barres qui se croisent se trouvent à des hauteurs différentes. 



  Partout où existe un croisement., il se trouve un trou dans les barres. Grâ- ce à des fiches, on peut établir la liaison entre les barres'en insérant les fiches au point de croisement correspondant. 



   Sur la figure   37,   on a représenté schématiquement la répartition dans les différents groupes et la figure   38'indique   l'empilage des groupes. 



  Dans la zone D des barres les électros d'accouplement des mécanismes   impri-   

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 mants sont connectés, dans la zone bII sont connectés les balais de la brosse 248 et dans la zone bI les balais de la brosse 247. Les couches bI et bII sont disposées   Si'une   au-dessus de l'autre comme on le voit sur la figure 38. Les - deux couches pour les deux connexions de relais de contrôle de groupes se trou-   vent dans la zone GI et GII. Il est prévu pour cette machine 6 relais de contrôle de groupes. Les relais d'accouplement pour les unités de totalisateurs   ainsi que le dispositif d'exploration pour le positionnement des totalisateurs se trouvent dans les zones des barres Z et bIII. 



   La disposition pratique du tableau de connexions se voit sur les figures 39 à   41.   La figure 39 montre le tableau des fiches dans la zone D x bII; la figure 40 montre la disposition des différents empilages vus en plan. 



  Sur la figure 41 on voit l'empilage de la zone D x Z/bIII et sur la figure    42 l'empilage GI/GII x bI/bII. l'empilage des barres est réalisé entre les -L-L   plaques isolantes 305. 



   Dans la zone D x bII, à chaque croisement, il n'y a que deux bar- res l'une au-dessus de l'autre de sorte qu'il suffit à cet endroit d'une fichesimple 306. Dans la zone GI/GIIxbI/bII, on obtient la connexion de deux groupes, à savoir : 1 - de bI sur GI et, 2 - de bII sur GII du relais de contrôle des groupes. La fiche double 307 est alors nécessaire, fiche dont les deux pointes   de connexion sont isolées l'une par rapport à l'autre. Dans la zone D x Z/bIII, on peut obtenir au choix une connexion de D x Z et D x bIII; Pour la premiè-   re connexions il suffit d'employer la fiche courte 306, tandis que pour la deuxième, il faut employer une fiche 308. Celle-ci est isolée à sa partie supérieure de sorte qu'il ne peut pas y avoir de contact   par Z.   



   Avec cette méthode de fiches sans cordon, il est possibble de combiner l'un avec l'autre plusieurs éléments de montage ou de les mettre en parallèle en connectant par une fiche plusieurs barres sur une seule. Mais il n'est pas utile ici de s'étendre sur la multiplicité des combinaisons et des possibilités d'utilisation, car celles-ci dépendent des problèmes qui peu- vent tre posés à la machine. Le tableau de connexions (Fig. 14 et 33) dési- gné   d'une   manière générale par   304,   est d'un accès facile sur la machine et est protégé par le couvercle 309. 



   Il va être décrit ci-après le schéma de connexions de la machine. 



  Dans la représentation du schéma de la machine tabulatrice on a choisi une forme simplifiée qui est usuelle dans la technique des télécommunications. 



  Etant donné qu'il y a plusieurs éléments semblables, comme les électros d'ac- couplement ou les balais, on n'a   représenté-qu'un   seul de ces éléments sur le schéma, les autres étant seulement indiqués par les connexions de répar-   titi on..   Le nombre des unités est fourni par le chiffre arabe en indice. 



  Les relais et électros sont désignés par des lettres majuscules, et"les con- tacts qu'ils actionnent par les lettres minuscules correspondantes. Les contacts actionnés à la main sont schématisé par un crochet en forme de tou- che à l'extrémité supérieure de 1-'organe de contact mobile.   D'une   manière - générale, dans les indications de   référence   celles-ci fifurent à la droite des électros, relais et contacts correspondants ou sur le symbole du schéma pour autant que la lisibilité du schéma n'en soit pas diminuée. La position des contacts est représentée pour   l'état   de repos de la machine. 



   Le schéma de connexions est représenté sur la figure 43. Pour en faciliter la lecture le diagramme des relais ou cames est également montré sur la figure 44. Ce diagramme donne les temps d'excitation ou de fermeture des relais ou contacts en fonction du cycle de travail de la machine pour l'exemple ici décrite tel   que;?   après le passage d'une carte il s'ensuive un cycle d'extraction de total., puis après celui-ci, la première carte d'un nouveau groupe.Comme unité de cycle de travail, on a choisi une révolution de la manivelle 11 du dispositif à manivelle. Cette unité correspond à l'ex- ploration d'une seule rangée d'emplacements de perforations de la carte. Ainsi 

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 qu'on a indiqué   auparavanty   il y a dans un cycle de cartes   9'de   ces unités donc 9 cycles de travail.

   Si l'interrupteur de la machine est fermer la ma- chine ne commence pas encore à tourner. Ce n'est que lorsque la touche de mise en route est abaissée que le moteur M reçoit du courant du'moins par cet- te touche et le contact de magasin m.a. Le moteur commence à tourner et amène des cartes aux brosses En même temps, le moteur commence à faire tourner les disques-cames agissant sur les contacts à cames   w   (Figo 13, 45 à 47) Mais ceux-ci n'ont pas d'effet tant que le levier de cartes bien connu n'est pas atteint par les cartes Comme la disposition des contacts des leviers de carte est en soi connue, elle ne figure pas sur les   désaxas   pour les ren- dre plus clairs.

   Lorsque la première carte atteint la deuxième brosse 248 Fig. 31, le levier de carte affecté à cette brosse est actionné et ferme ses    deux contacts ka- et kaII. Si ceux-ci sont fermés, la touche d'actionnement peut être abandonnée.   tes contacts à came sont désignés d'une manière générale par w et différent les uns des autres par leurs indices en chiffres romains. 



  Le mouvement de leurs cames peut donc dériver de la roue dentée 187   (Figo   13) qui fait un tour par cycle de cartes. Les cames sont montées sur l'axe 312 et liées rigidement à la roue dentée 311 se trouvant en prise avec la roue dentée 187. Les contacts   w   sont fixés sur un étrier 3130 Pour les différents    contacts wI à wV, il est prévu 3 cames différentes qui sont visibles sur la figure 45 a 47. La durée d'actionnement des contacts par rapport au cycle   des cartes se voit sur le diagramme des relais. En outre, il est prévu un contact i à impulsions (Fig.   10)   qui est   actionné   par la came lla se trouvant sur la manivelle 11 du dispositif à manivelle Ce contact   fournit,-les   impul- sions aux électros Z et D.

   La position de la came lla a été choisie de maniè- re que le contact i fournisse toujours une impulsion aux électros   d'accouple-   ment au moment   où   le mécanisme de la manivelle a atteint le point mort pen- dant lequel se produit l'accouplement ainsi qu'il a été indiqué   ci-dessus.   



  Au commencement de l'exploration (cycle de travail 1, Fig. 44) les contacts wI et i sont   inversés.\!   de sorte que le courant peut passer à partir du   moins   par les contacts kaII, ma, kaI, wI, i, hI, les balais bII, le tableau de connexions représenté symboliquement par un cercle en pointillé et l'électro D, jusqu-au pluso   Slon   les perforations existant dans la carte, les électros D s'excitent et accouplement les roues des types.

   En même tempsle courant   peut passer par bII, le tableau de connexions, le contact gI' par 1-l'enroulement de gauche du relais de contrôle de groupe G, jusqu'au plus Si le numéro   de groupe de la carte suivante concorde avec celui qui vient   d'tre   explorée il circule un courant à partir du contact hI par la   première   brosse bI, le contact gII, le   tablera   de connexions et l'enroulement de droite du relais G, jusqu'au plus. Le relais G de contrôle de groupes est constitué came un re- lais différentiel et ne s'excite pas quand il reçoit du courant sur ses deux enroulements. 



   Avant le passage sur l'emplacement de perforation suivant, le contact i est revenu à sa position de repos. La carte est avancée, i s'inverse, et les circuits qui viennent d'être décrits sont à nouveau fermésen corres- pondance avec les perforations dans les colonnes de l'emplacement de perfora- tion suivante En explorant   1-'emplacement   II, le contact wIII est fermé par sa came, de sorte que l'impulsion d'accouplement peut alors passer aussi par les électros d'accouplement Z des totalisateurs. Comme les numéros de groupes ne peuvent naturellement pas être additionnés, il s'agit des balais qui sont connectés sur les colonnes de montants et par suite sur le mécanisme imprimant et les totalisateurs, mais non sur le contrôle des groupes. Le processus se   répète, le contact WIII restant fermé jusqu'à la position ,V incluse.

   En explorant la position VI, WIII s'est à nouveau inversé et ne laisse pas passer d'impulsions au travers dès électros des totalisateurs, ce qui aussi était   interdit en position I. Après exploration de la position VI; le contact de came w revient dans sa position de repos de sorte que dans les trois cycles à vide suivants,lors du passage d'une carte à une   autres ,le   circuit allant aux électros D, Z et G reste coupé. Lors de l'exploration de la carte suivante 

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 les mêmes   phénomènes   se répètent. 



   Si le   numéro   de groupe de la carte suivante ne concorde pas avec la carte précédente, un des balais bI ou bII a son circuit coupé par la carte. 



  Un courant circule alors dans un des enroulements du relais différentiel G de sorte   que   celui-ci s'excite et actionne un denses contacts gI à gIV, con-    tacts dont le rôle est précisé-par la suite. Le contact gI s'inverse. De ce faits un courant circule à partir du moins par les contacts kaII, ma, gI   par   l'enroulement   de gauche du relais G, jusqu'au plus. En même temps le contact gII   s'est   inversée mais il ne peut pas circuler de courant par l'en- roulement de droite car le circuit est interrompu par le contact wII, Le relais G de contrôle de groupes reste donc excité même si la carte est avancée. 



  De plusles contacts gIII ont fermé le circuit de l'électro de désaccouple- ment K qui s'excite et interrompt l'entraînement des cartes, Mais l'arrêt de la carte n'a lieu   qu'à   la fin de l'exploration, ce qui a été déjà décrit ci-dessus. 



   L'exploration de   l'électro   K a entraîné la fermeture de son contact k. Si le contact wI revient à sa position de repos à la fin de l'exploration   d'une     carte,\)   le circuit passant par le relais auxiliaire H   est fermé; ce relais s'excite et actionne ses contacts hI à hIV. Le relais H prépare, grâce à ce contacta l'extraction du total de la machine.   



  Au début du cycle des cartes suivantes, utilisé pour l'exploration du tota- lisateur et pendant lequel l'avance des cartes s'arrête et l'exploration des cartes est déconnectée de 1?alimentation en tension par le contact hI, le    contact wI est à nouveau inversé. Le relais H ne se désexcite pas, car un circuit de maintien passe par le contact hIV. Le contact hi a en fait dé-   connecté les balais bI et bII mais il a connecté bIII et bIV servant à l'ex- ploration des totalisateurs. Le contact bIV sert à cet effet., comme on a déjà   dit.,   pour la suppression de l'impression des zéros en avant du chiffre significatif le plus élevé. L'exploration du totalisateur par les lames 205 a été indiquée d'une manière générale pour rendre la chose plus claire, par le contact bIII.

   Lorsque le dispositif à manivelle se positionne sur la    position I, les contacts w , i, hI, se sont inversés et le contact wIV s'est fermé, de sorte que dans le cas ou le contact bIV s'est inversés l'impulsion   pour   "zéro"   a 'été amenée jusqu-aux électros D du mécanisme imprimant des uni- tés de totalisateur suivantes,? ce qu'on a déjà décrit ci-dessus. Dans le pas- sage à remplacement de perforation suivante le contact wIV s'est à nouveau inversé entre temps de sorte que maintenant l'impulsion de tension passe par les contacts hI, bIII, le tableau de connexions ét l'électro D jusqu'au plus. 



  Il ne peut circuler de courant par   l'électro Z   puisque ce circuit est inter- rompu par le contact hII. 



   L'avance pas à pas pour exploration des totalisateurs est obtenue par l'électro A. Il reçoit ses impulsions par le contact i et le contact fer- mé hIII. Au début de 1?exploration du totalisateur le contact à came wV se ferme de sorte qu'un courant peut passer depuis le moins par kaII, ma, hIV, wV, gIV, par   l'électro   N de remise à zéro, jusqu'au plus.

   Cet électro s'excite et déclenche l'embrayage à un tour pour la remise à zéroo Comme on l'a déjà décrit   ci-dessus,?   la remise à zéro ne se produit toutefois qu'une fois l'ex- ploration des totalisateurs terminéeo 
Si l'exploration du totalisateur est   finie,\!   les contacts wI et wV   reviennent.à   leur position de repos ce qui fait que le circuit passant par les électros de remise à zéro N et les électros A est   interrompe   et ceux-ci se désexcitent. Peu de temps,   après,\)   le contact wII se ferme de sorte   quun   

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 courant circule par les contacts hIV, wII, gII; le tableau de connexions.- l'enroulement de droite du relais différentiel G, jusque au plus.

   Les deux enroulements du relais différentiel sont alors parcourus par un courant de sorte que le relais est désexcité et que les contacts g reviennent à leur po- sition de repos. De ce fait, le circuit passant par l'électro d'accouplement K et le contact gIII est interrompu de sorte que ce relais se désexcite et coupe, par son contact k le circuit passant par le relais auxiliaire H qui se désexcite également et qui à nouveau prépare la machine par ses contacts h, pour l'exploration de la carte   suivanteo   
Si le magasin de réception est rempli de cartes, le chariot 298 ouvre le contact ma, ce qui fait que tout le circuit passant par la machine est coupé et que celle-ci s'arrête. Il en est de même quand il n'y a plus de cartes entrainées et que le levier de cartes revient à sa position de repos, les deux contacts kaI et kaII étant ouverts. 



   Pour la soustraction, le principe de l'addition peut être utilisé aussi bien que pour l'addition, grâce à l'addition du complément. Comme il est seulement nécessaire à cet effet d'utiliser des moyens connus en associa- tion avec les   dispositifa   qui ont été décrits ci-dessus, il n'est pas néces- saire de décrira dans tous ses   détails,   le fonctionnement de la soustraction. 



   On sait qu'un chiffre peut être soustrait en ajoutant le complé- ment. La plupart des machines tabulatrices utilisées actuellement travaillent suivant ce principe. Il est seulement nécessaire, dans l'application de la présente invention à la soustraction de choisir un code de perforations dans lequel les emplacements non perforés représentent toujours le complément à neuf des emplacements perforés d'un chiffrée Comme le mode de fonctionnement selon l'invention peut être obtenu avec n'importe quel code de perforations additif et, s'il est nécessaire, que le mécanisme totalisateur peut être ac- tionné au moyen de son propre mécanisme à manivelle suivant une autre loi que celle du mécanisme imprimant, il n'y a aucune difficulté à adapter l'in- vention au code de perforations utile.

   Le dispositif pour l'exploration des positions de totalisateurs doit cependant être adapté aux valeurs des codes de   cintres   de manière que celui-ci agisse sur le mécanisme imprimant. Si dans le code de perforations choisi et approprié ce sont les emplacements perforés (pour montants positifs) ou ceux non perforés (pour montants né- gatifs) qui servent pour la commande (ce qui est possible en fonctionnant avec un courant de travail ou de repos) on additionne, pour un montant négatif., la valeur complémentaire. 



   Le choix du transfert de la valeur vraie ou valeur complémentaire est déterminé par un trou pilote caractérisant la valeur comme négative. De manière connue,on peut obtenir l'introduction de la valeur 1 supplémentaire ainsi que la détermination du signe positif ou négatif du soldée 
De ce qui   précède.,   il résulte en tout cas que la soustraction par valeur complémentaire, qui est en réalité une addition, peut être égale- ment exécutée à l'aide de l'invention.



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  CARD RECORDING MACHINE - MORE PARTICULARLY MACHINE
TABULATOR.



   The present invention relates to a recording card machine, preferably designed as a punch card machine, and particularly suitable for the use of combinations of perforations.



  In punched card machines, the recordings are made by punching holes in the columns, at pre-determined locations. Although the invention can be adapted to every possible kind of registration mark and can therefore be suitable for any type of card recording machine, we will speak in what follows for simplicity only of punched cards and machines. punched cards.



   In punch card machines (in particular in tabulators), a control effect, in particular for the transfer of a value represented by a perforation, can advantageously be achieved by two methods.



   According to the first method, which finds its application especially in known HOLLERITH machines, the perforation causes the recording mechanism to be coupled to a continuous drive member, synchronous with the advance of the cards. The uncoupling is carried out during the passage of the row of zeros of the columns under the brushes. In this way is therefore transferred a path corresponding to the distance from the perforation to the line. zeros, and consequently, on the recording mechanism, a value corresponding to this path.



   The other method has long been used in POWERS machines. According to this second method, all the perforation locations of a column are simultaneously explored by feeler rods and the rod having passed through a hole serves as a stop for a positioner with reciprocating oscillation movement. The path traveled by the positioner is transferred to the recording mechanism, for example to the totalizers

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 and the printing device. Since this path is equivalent to the distance from the perforation to the zero line, the registration corresponding to the meaning of the perforations is obtained.



   In recent times, the use of combinations of perforations is more and more appreciated, especially because the current needs involve, in the processes with perforated cards, the processing of texts comprising letters. The representation of letters and numbers (i.e. a minimum of 36 characters) leads to the use of systems with combinations of perforations., If we do not want the card to have exaggerated dimensions and the paper consumption to take on burdensome proportions. crippling the economy of the process.



   However, the two aforementioned methods have this inherent, that they are unusable with combinations of perforations deserving this denomination, that is to say for which one employs the minimum of perforation locations for a given total. of signs. In fact, they are based on the system of single perforation, according to which a sign is symbolically expressed by a single perforation in the card column, while in the system of combinations of perforations, many must be used. signs several perforations? their relative position having a meaning as well as their number. To allow the use of these combinations, several methods have already been proposed, which can be classified into a few large groups.



   In order to exploit the combinations of perforations, it is often proposed to employ conversion bars or discs, each of which is assigned to a perforation location and is moved during the perforation. Depending on the different displacement of the conversion bars relative to each other, only one conversion slit is released, which corresponds to the meaning of the sign formed by the combination of the perforations. Once the combination of perforations is transformed into this unique control effect, it follows that control operations can then proceed according to one of the two methods mentioned at the beginning.

   But this arrangement of the conversion members requires for each column of perforations a number of conversion bars corresponding to the number of the perforation locations.



  To explore the conversion bars, a number of exploration bars must be provided corresponding to the number of signs, or it is necessary to have another exploration device, which restores in time or in space. the exploration result, depending on the position of the selected conversion member corresponding to the sign. It is therefore clear that the arrangement of such mechanical converters complicated the machine, making it very cumbersome and therefore expensive, if one considers that a modern tabulator machine has about one hundred rows of printing members and totalizers. .



   For electrical machines, equivalent electrical embodiments have also been proposed for the mechanical conversion members mentioned above. They are based on the principle according to which each perforation location controls a certain number of electrical conduction paths, the serialization of which selects a single circuit corresponding to the sign of the combination of perforations. The different circuits are electrically exploded one after the other, so that isolated pulses differentiated in time are obtained. These can then be used in the same way as the isolated control pulses triggered by the single holes per board column in HOLLERITH machines.

   As, in these machines with electric converters, there is a need for an organ. conversion rate for each perforation column to be exploited, what has been said for machines with mechanical conversion members is also valid in the present case, as regards the size, the complication and the price.



   Because of the drawbacks observed, \) which have just been explained, of machines working with conversion members, various possible embodiments of machines controlled by combinations of perforations have already been proposed, machines which can be considered in in whole or in part, as devoid of conversion organs. These machines almost describe

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 exclusively on the principle that a determined value is assigned to each perforation location and that the sum of the perforation values of a card column determines the meaning of the sign represented by the combination of perforations.

   The command impositions triggered by the perforated locations are added, so that the total result faithfully provides a command action having the meaning of the combination of perforations.
In a group of these known machines, at each perforation location is assigned a drive of the recording mechanism by means of gears. The toothed drive wheels of the different locations have different numbers of teeth which come into action in succession. The connection of the recording mechanism to the drive required, for each perforation location, a special coupling to the electromagnet.

   Similarly, many other devices, to which for example the control paths are added, have for each perforation location its own positioner and coupling member.



  If one thus avoids the above-mentioned conversion components, mechanical or electric9, this is compensated well beyond by the relatively large number of drive wheels and coupling electros, because it is necessary to imagine that in order to use the alphabet, it is generally necessary to have at least six perforation locations per column and a corresponding number of cogwheels and coupling electros.



   An electrical equivalent of the last mentioned embodiment is possible by using electrical stepping mechanisms which perform for each puncture location a number of steps corresponding to the value of the location.



   But as in these devices the duration of the advance must be calculated in such a way that one can execute for the numbers and the alphabet at least 36 steps, it follows that these devices are limited in efficiency and in speed. In addition, the electric advancement mechanism causes movements, must have sufficiently large dimensions and consequently the numerous relays require a lot of space.



   Apart from the devices listed above, various other devices are also known which allow the use of combinations of perforations without using conversion members. In all these devices, analogous methods are used, which amount to adding the currents or the magnetic fields corresponding to the distinct perforation locations of different values, and which have the drawbacks specific to the aforementioned devices under one or more of these devices. other form.



   Compared to these known devices, the present invention offers a new main principle, the advantages of which appear particularly in the use of perforation combinations without conversion members, but which can find its use with the so-called single perforation system. , when this is advantageous in specific cases. Although the inventive idea is particularly suited to the perforated card process, it will emerge from the description that it can also be applied in machines, for which the registration marks are carried on the cards other than by perforations.



   The invention therefore uses the aforementioned card-recording machines without conversion members, in which each of the marks provided in one of the recording locations of a card column exerts a control action on the control unit. record assigned to the column., the magnitude of this action always corresponding to the values assigned to the locations in the column
But the essential originality of the invention lies in that for all the locations of a column there is provided a common drive member for the recording unit which can be coupled to it member which performs a forward stroke for each location, this course varies automatically:

   during the successive exploration of the locations, according to the values assigned to the locations.

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   The use of a common advancement arm, for example at all the perforation locations, is eoxanu according to the aforementioned machines without conversion members, but the advancement arm still only performs a single stroke, so that an essential feature of the invention is precisely that the travel stroke can vary in accordance with the value of the location. The use of advancement strokes of different amplitudes for the different perforation locations is also known from the aforementioned machines without conversion members, but there is provided for each location a drive member for advancement and even a clean coupling, while in the invention these parts are common to all locations.

   It is obvious that this simplification according to the invention results in great advantages for the construction.



     The advantages of the invention appear immediately if we consider the simplest embodiment. This consists of an advancement arm suitably actuated by a pawl which engages on its side with a control wheel. Whereas in the known devices, for example in electric stepping meters, the arm always executes only the same stroke, but a different number of times for each location, the advancing arm does not execute. according to the invention for each location only one race. But the amplitude of this stroke is automatically adjusted according to the value corresponding to the location and the progression of the ratchet wheel is obtained by a single stroke regardless of the location.



   This new principle therefore makes it possible to connect the recording mechanisms of several units at once, each partial value of the combination being transferred at once. This principle therefore offers efficiency possibilities similar to those of the machines already mentioned Hollerith and Powers, in which the value is also transferred at once.



   Another very important characteristic consists in that both the coupling of the recording mechanism (for example printing device or totalizer) and the uncoupling of said mechanism from its drive are obtained independently of the variable stroke of the drive, always in one of the two reversal points of the driving oscillatory motion where the driving speed is going. This even gives an advantage over Hollerith and Powers machines, because by coupling and uncoupling at the moment of speed cancellation, extremely safe operation is achieved with minimal wear.



   The modification of the advance stroke of the driving member is preferably obtained by a stroke shift device, common to the driving members of all the recording units. Therefore, the shift device is only necessary once and for all the machine
In a preferred embodiment of the invention, the variation of the advance stroke is obtained, during the successive exploration of the locations, by displacement of a slide guide in a crank bar of the drive. If a slide guide is moved in the crank bar during a crank-to-arm stroke the curve described by the end of the crank bar not connected to the crank varies.

   Thanks to a link and a balance, this curved movement can be transformed into an oscillation whose amplitude corresponds to the value of the perforation locations.



   The variation of the advance stroke can be adapted according to the needs to the particular necessities, but in the exemplary embodiment which will be described below ,. it is carried out in the ratios 1: 2: 4: 8: 16: 16. It should be noted that the last two advancement races were divided into 16 units; we thus obtain that, although the greatest possible number of signs can be translated, the maximum advance stroke and the modification

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 fication of lever ratios remain within acceptable limits
Other preferred features of an embodiment of the invention result from the following description and the accompanying drawings.



  This embodiment consists of a tabulator machine controlled by punched cards with two stages and which is suitable for printing amounts and totals. The machine according to 1-'invention without conversion members allows such a compact construction, that a small-format model can be produced, capable of nearmony, thanks to its construction according to the invention, of a considerable flow.



   The appended drawings represent: - Figures 1a and 1b of the perspectives of the machine viewed from the side, and respectively from the right and from the left; - Figs 2 and 3, the perforation code, according to which the cards are perforated, Fig. 3 showing more particularly the code of the digits.



  In column P is indicated the rank of the location in Roman numerals, and in column E the values assigned to the different locations These values are different in Figs. 2 and 3, because the printing mechanism is positioned according to the values in Fig. 2 and the totalizer in accordance with that of FIG. 3. In the upper row of figures of Fig. 2 the position which takes the sign at the periphery of the type wheel has been indicated by a number, and the signs themselves are carried in the lower row.



  In Fig. 3, only the numbers corresponding to the perforation combinations are shown in the lower row.



  FIG. 4 shows a perforated card, as used for the present invention; - Figs. 5 to 9 schematically show 1-crank actuation in its various positions; , - Fig. 10 shows the crank actuation in its actual embodiment, as it appears, when the bottom plate is removed and when the machine is viewed from below; - Fig. 11 is a section taken on line A-B through the crank actuator of Fig. 10; - Fig. 12 shows part of the crank actuator in rear view; - Fig. 13 is a side view of the right side of the machine, housing removed; - Fig. 14 is a section of the machine; - Fig. 15 is a partial view of a type wheel;

   - Fig. 16 shows in section the electro coupling of a type wheel. or totalizer; - Figo 17 shows the coupling mechanism of the type wheel, in section perpendicular to the axis; - Fig. 18 shows the coupling mechanism of the type wheel, partly in section and in top view; - Figs. 19 and 20 show the coupling mechanism of a totalizer unit, in longitudinal section and in section perpendicular to the axis; - Fig. 21 shows from 1-before the arrangement of the wheels of the types of the printing mechanism without showing the types themselves, - fig. 22 shows the distribution of the coupling levers; - Fig. 23 shows the distribution of the couplings ;.



  - Fig. 24 shows a cross-section of the totalizer, - Fig. 25 shows a totalizer unit, viewed longitudinally with respect to the axis;

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 - Figs. 26 to 29 represent the different cams for exploring the position of the totalizers; - Fig. 30 is a circuit diagram for suppressing printing of zeros in front of the highest significant digit of a number; - Fig. 31 is a section through the card scanning device; - Fig. 32 is a device for lifting the brushes during the interval between cards; - Fig. 33 is a rear view of the machine, totalizers removed ;.



  - Figs. 34-36 show details of the card drive mechanism; - Fig. 37 schematically shows the arrangement of the connection panel, in plan view; - Fig. 38 schematically shows the arrangement of the connection panel in perspective; - Fig. 39 shows part of the connection board, in section; - Fig. 40 shows the various zones of the connection panel in plan view; - Fig. 41 shows part of the connection board with a socket for the totalizers; - Fig. 42 shows part of the connection board with a socket for group control; - Fig. 43 is the circuit diagram of the machine; - Fig. 44 is the diagram of the relays and cams of the machine; - Figures 45 to 47 represent the various contacts controlled by cams.



   The tabulator mechanism has been designed to work according to a code which is shown in figure 2. The layout of the code is such that the meaning of a sign is determined by the value which results from the addition of the partial values. assigned to the different locations.



  The assignments of values to the different rows have been chosen in such a way that a given value can only be indicated by a single combination of perforations. In establishing the code. ,, it has also been admitted that for the numbers, the alphabet and the other signs, it is necessary to have about 45 combinations of perforations.



   To leave a certain margin, the code was designed for 47 signs plus 1 empty space, so that in figure 2 we can still assign two signs at will.
The allocation of signs can be carried out arbitrarily for the different combinations of perforations except for the numbers, and the position of a sign in the series of signs is therefore determined only by the numerical significance of the combination of perforations. By arranging the types on a type wheel, it must therefore be divided into forty-eight equal parts. To each of these parts a determined sign is assigned.



   The printing mechanism is made up of a series of juxtaposed printing wheels. There is provided a drive common to all said wheels, drive to which these wheels can be coupled. Mating is performed when a puncture is detected at the location explored. The disconnection takes place automatically when the type wheel has been positioned on the corresponding value and the map is advanced to the next location. We only print when the 6 locations of a column have been explored. Therefore, for each location a coupling can be made, which coupling is then automatically undone for the next location wherever it has just been; performed.

   Thus, it is possible that the

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 type wheel is moved several times in succession before printing.



   The drive is arranged so that the advance stroke which it causes varies from one location to the next with the exception of the two lower locations. If there are several perforations in a column, the feed strokes corresponding to their partial value are added to each other. Assuming, for example, that in a column the third and fifth locations are perforated, the type wheel advances by 4 units when exploring location III and 16 units when exploring location III. location V. In exploring locations I, II, IV and VI, there is no advancement because no perforation exists in these locations and therefore no mating results.

   The type wheel has therefore progressed by 20 units, which corresponds to the letter E according to the sign code.



   Values,! in column E of Fig. 2,, are only valid for the printing mechanism. For the totalizing mechanism, another distribution of the values has been provided which is however similar to that of the printing mechanism, which is given in column E of: FIG. 3.



  Of course, in both figures .. one? same combination of perforations also has the same numerical meaning = Thanks to the different use of the positions, however, it is possible that the zero is effectively transferred into the printing mechanism without being transferred into the totalizing mechanism. In addition, the code gives for the totalizing mechanism, 9 by adding the partial values of the different perforation locations, the exact numerical value, while the types of the digits of the printing mechanism are located in places other than those corresponding to their numerical meaning.



   For example, the number 3 is made up in the totalizing mechanism by the partial values 1 and 2 and by the partial values 2 + 4 = 6 in the printing mechanism, that is to say that the number 3 is at the sixth place at the periphery of the order of types.



   The positioning of the printing and totalizing mechanisms according to the assigned values is obtained from a common drive, a different transmission ratio being provided for one or the other mechanism.



  In addition, the current is controlled by cam contacts and directed to the coupling ele @ tros of the totalisers in such a way that no current flows to the totalisers for the exploration of locations I and VI.



   The punch card (Fig. 4) is constructed as a two-tiered card, each tier having thirty columns each with six punch locations. The perforation columns of each of the two stages are explored simultaneously, one location after another, and the exploration results are fed to the printing and totalizing mechanisms. The machine is provided with 80 printing units which can be connected through the connection board .. to each brush or column. The connection mode will be described more precisely later. The printing and totalizing mechanisms are driven by a crank device. This type of device was chosen because it allows safe and favorable coupling and uncoupling at its dead points.

   In addition, the return movement which necessarily exists in a crank stroke can be used for uncoupling. The positions that the parts of the crank device take during the exploration of a stage are illustrated in the block diagrams of Figures 5 to 9.



   Crank 11 is driven continuously at constant speed in an anti-clockwise direction. During a crank revolution the map is always moved forward by one location. For each complete rotation of the crank 11, the crank 12 advances one division counterclockwise. This progression will be described more exactly below. On the crank 11 is articulated the rod-14 which can slide by a reciprocating movement in a guide or slide 15 (this guide is only represented symbolically on

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 Figures 5 to 9, its actual realization is different).



   The right end of the rod 14 describes an ellipsoidal curve.



   If the slide 15 is moved this curve changes. The balance beam 13 is articulated at the right end of the rod 14 by a coupling bar 16 which moves in an oscillating movement following the said curve. The angle of oscillation of the balance 13 depends on the shape of the curve. The slide 15 is then moved in such a way that the different angles of oscillation of the balance 13 are proportional to the values in FIG. 2. But for the five positions (the sixth being identical to the fifth), an angle must still be deduced. constant within which the balance oscillates when empty, as a result of the play between gears, etc. This play is necessary for another reason, as will be shown later.



  It is further increased artificially so that the drive stops at the time of mating. If the game did not exist, there would always be, even at a standstill! a training movement. The stopping moment would then be reduced to an extremely small instant.



   The position and dimensions of the members of the crank device have been determined so that in a dead center of the balance 13 the slide 15 can be moved as well as the auxiliary crank drive member which cooperates with the slide and which has not yet been described.



   Said movement is effected without the position of the balance, 13 being modified; is necessary because the coupling of the recording units to their drive must always take place in the same place, regardless of the position in which the slide 15 is at that moment. It is therefore necessary to ensure that the slide 15 has reached the positions corresponding to the explorations of the locations of the perforations (positions indicated in FIGS. 5 to 9 by Roman numerals in correspondence with the meaning of the perforation locations) at the second neutral point of balance 13 (shown in dotted lines in Figures 5 to 9), because the position of this point gives the amount by which the type wheel must be offset.



  The displacement of the slide 15 is carried out by the crank 12. The latter performs one revolution by passage of the card. The dimensions and positions have been calculated for this purpose so that the irregular spacings of the slide 15 between its adjustment positions on the rod 14 correspond to regular movements of the crank 12. This results in the advantage that can be achieved. have in addition to the step by step advancement, a continuous drive of the crank 12 from the crank 11 if this is desired.



   As seen in Figure 2, the same value 16 is assigned to locations V and VI. The position of the cranks for these two locations is shown in Fig. 9 and as indicated above, in both cases it should provide the same advance stroke although the crank 12 has turned one division. . This is achieved by the fact that the crank rod 17, which is drawn in solid lines in FIG. 9 for the position V, give in the position VI, drawn in dotted lines? the same position of the slide 15.



   The practical realization of the crank mechanism is illustrated in Figures 10-11-12. The rod 14 which in fact consists of two bars next to each other, is articulated on the crank 11. It has a rectangular recess 14a in which a guide ring 20 (Fig.ll) can slide. The guide ring 20 can turn idle on the axis 18; in addition, on this axis 18, there are also idle guide rings 19, which can slide in the guides 21 arranged on each side of the rod 14, these guides being fixed to the frame. In order to prevent the rod 14 and the guides 21 from interfering with each other and that the guide rings do not move sideways., Between the guide rings 20 and 19, washers 22 have been provided.

   The arrangement of the guide rings allows the sliding of the axis 18 in the guides 21, the sliding of the rod 14 on the axis 18 and the rotation of the rod 14 around the axis 18 relative to the fixed guides 21. The guide rings are moved by means of two coupling bars 23 which are fixed integral with the axis 18. At the right end of the rod

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 14, the balance 13 is linked to articulation with the coupling bar 16.



  The rocker 13 can pivot on the pivot 24 fixed to the pivot frame around which the toothed segment 25 can also turn crazy. The rocker 13 can drive the toothed segment 25 thanks to the two stops 26 of the latter. stops is calculated in such a way that the balance 13 can turn idle with respect to the segment 25 by a certain angle during the change of direction. This idle rotation is necessary for the drive member to be at rest when the recording mechanisms are coupled; coupling which takes place in a dead center, as already said. The toothed segment 25 is engaged with the pinion 27 which transmits the movement to the printing mechanism and to the totalisers.



   The displacement of the tie rods 23 and therefore that of the slide 15 is obtained from the crank 12 which has practically the shape of a ratchet wheel. The connecting rod 28 linked to articulation to the coupling bars 23 can turn by its right end on the pivot 30 fixed to the frame. The connecting rod 28 is necessary to always ensure the correct position of the tie rod 23 and therefore also of the guide.



   The progression of the ratchet wheel 12 is obtained by the pawl 29. The pawl 29 is pivotally mounted on the balance 31 (Pin 10 and 12) and is elastically pushed on the ratchet wheel 12. The balance 31 is driven. by an eccentric 33 and the eccentric bar 34. The eccentric 33 is on the same shaft as the crank 11, so that for a crank tpur '11.9 the balance 31 sorrel once. As a result, the ratchet wheel 12 is driven by a notch thanks to the pawl 29. This progression results in the offset of the slide 15 by means of the rod 17 which is mounted in articulation on the wheel. ratchet 12 and through the tie rod 23.



   The position of the elements guided in the guides 21 must be exact when the balance 13 has reached its neutral point in the position of extreme oscillation. This is necessary because - at this time the type wheel is uncoupled. As said above, this dead point also indicates the value of the location corresponding to that moment. During the rest of the time, the slide can be moved without this movement having an influence only on the positioning of the type wheel. The position of the slide has no effect on the coupling, since the crank stroke and the position of the guides 21 have been chosen so that the position of a neutral point does not depend on the movement of the slide.



   Precautions have been taken so that the forces which can intervene and tend to move the slide from the position assigned to it - which must absolutely not occur during neutral in the extreme oscillation position - do not may have any effect.



   This is why the ratchet wheel 12 is stopped at this time and blocked for both directions of rotation, so that unforeseen movements do not take place. This blocking is achieved by means of the lever 35 having a semi-circular notch 35a. The notch 35a of the lever 35 can be housed around the screw head 36 which prevents any rotation of the ratchet wheel 12 in both directions. This stop must be maintained for some time. In addition, it is desirable to have a quick release, which is achieved by a tilting joint. The arm 37 (Fig. 12) can pivot around the pin 38 fixed to the frame and it is linked by the coupling bar 39 to the balance 31. The arm 37 therefore oscillates at the same rate as the balance 31.

   On the stud 38, the lever 35 is also pivotally mounted and linked to the arm 37 by the spring 410. As a result of the oscillating movement of the arm 37, the lever 35 continuously rocks between the stop 42 and the screw 36. The rocker has was calculated so that the lever 35 meets the screw 36 when the slide and screws 36 have reached their exact position.



   In order to be able to compensate for the tolerances and the eu and to allow the exact adjustment of the strokes, provision has been made for the various screws 36 and teeth 43 of the ratchet wheel for the possibility of an individual offset. The wheel at

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 ratchet 12 is formed as a single disc to which the teeth 43 are individually secured by screws 36. The screw holes in the disc are a little larger than necessary, allowing some adjustment. To prevent the teeth 43 from turning, they internally touch a disc 44. In order to be able to equalize the differences in subdivision which may exist during assembly, there is provided for the pawl 29 a greater stroke than necessary for the normal subdivision.



   The six screws 36 and teeth 43 which are necessary for the different positions of the slide 15 have a smaller mutual distance than the other three. These last three screws were necessary to bring back the crank device, used to position the slide? to its starting position. During this time the printing and replacement of one card by another is also carried out. The distance between these three screws was taken a little larger in order to be able to carry out in three steps the course equivalent to 4 normal steps.



     The mechanism for coupling the wheels of the types will now be described.



   The oscillatory movement forward and backward of the pinion 27 fixed on the shaft 71 (Figs. 10 and 23) is transmitted by gears., In a manner which will be explained later, to the shaft 78 integrally supporting the wheels. toothed 45 (Figs. 17 and 18). The arrangement of these wheels in Figures 17 and 18 does not exactly correspond to their position in the machine; it was chosen to allow a clearer visible cut in figure 18.



  A toothed wheel 45 is assigned to each wheel of the types this toothed wheel being in engagement with the wheel 46 which is force-fitted on the ring 47. A notch 47a is provided on the ring 47; in this notch are mounted the pawl 48 and the spring 49. The pawl 48 can always be maintained, thanks to the spring 49, in one of two rest positions. The ring 47 can only rotate on the teeth of the drive wheel 51. The toothed wheel 52 is force-fitted on the drive wheel 51 and is in mesh with the toothed wheel 53. The drive wheel 51 can rotate on the drive wheel 51. 'axis 50 and toothed wheel 53 is integral with character wheel 54.



   Each ring 47 driven by its toothed wheel 45 rotates in correspondence with the value of the active perforation locations. Shortly before, if the electro coupling was excited by a perforation existing in the card, the lever 81 strikes the pawl 48 which is pressed into an interval of the teeth of the control wheel 51, driving the latter in clockwise. Through the gears 52 and 53, the type wheel is moved in a corresponding manner. The coupling by the pawl can be achieved only in a determined position to which we will come back.

   The starting position of the pawl is fixed by the crank stroke, as has already been said. The displacement of the control wheel 51 always corresponds to a multiple of the gear pitch? so that the teeth are always in a favorable position for mating.



   In the return movement of the ring 47, the type wheel 54 (and hence the toothed wheel 53) is blocked in its movement in the opposite direction, which is achieved by the spring 56 (Fig. 14). The spring 56 rests on the locking wheel 57 which is fixedly linked to the toothed wheel 58 which meshes with the toothed wheel 53. As a result, the toothed wheel 51 is also unable to turn in the opposite direction. the movement of the hands of a watch (Fig. 17). The pawl 48 is pushed by the inclined sides of the teeth towards the outside until it remains in the external position where it is held by the spring 49; it is then automatically uncoupled from the start of the backward movement.

   The ring 47 then rotates backwards until neutral is reached for the new coupling.



   In the totalizer (Fig. 19 and 20) the positioning is carried out in a manner analogous to what occurs for the type wheel. The drive is operated from the toothed wheel 58 which meshes with the wheel

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 toothed 59 is force-fitted on the ring 61 in which the notch 6a containing the pawl 62 is located. The coupling is effected by means of the lever 63. The prison 61 rotates around the control wheel 64 which does not have only 10 teeth instead of the 13 teeth of the wheel 51 of the printing mechanism The displacement by the ring 61 thanks to the drive member 58 is carried out so that the position of the toothed wheel 64 indicates the position of the totalizer and wheel 64 thus represents at the same time the totalizer wheel.



   The printing mechanism and its drive means will be described in what follows.



   The crank device is placed in the bottom of the machine so that it is easily accessible from below (Fig. 14). The cranks are driven from the motor 65 (Fig. 33), through the gears 66-67 (figo 14) and the bevel gear 68 and 69 (Fig.



    14). On the worm-shaft 112, on which the bevel gear 69 is mounted, the crank 11 is also mounted. The device is actuated while the machine is in operation. The movement produced by the crank mechanism already described is transmitted from the pinion 27 through the shaft 71 (Fig. 10 and 13) and the bevel gear 72-73 and 74.



  The bevel gear 73 (Fig. 23) is fixed with the toothed wheel 75 on the shaft 76.



  The pinion 75 is engaged with the two toothed wheels 77a and 77b which each drive a shaft 78 on which are mounted all the drive wheels, all designated by the reference 45 for all printing rows, in view of the coupling with the wheels of the types. The division of the couplings into two groups has been adopted in order to obtain a small lateral spacing of the types. As a result, we succeeded in having a spacing between printing columns of 3 mm (Fig. 21). To house the coupling electrodes, we were led to divide them into six groups. The appliances are arranged in such a way that there are always three groups of appliances which act on one of the two coupling groups. It can be seen in FIG. 17 that the position of the pawl 48 or of the ring 47 is irrelevant for the coupling.



  It is only necessary that the point of the pawl is always above any recess between the teeth of the control wheel 51 during coupling. The position of the pawl is thus only a question of mounting and arrangement. coupling levers. The position and shape of the coupling levers (Figs 14 and 22) have been chosen in this example so as to have parts as small as possible and few bearings.



  The coupling levers are pivotally mounted on the three axes 79 and directed alternately on each axis up and down. The levers 81 of the two end shafts 79 act on the same coupling group while the levers 82 of the central shaft 79 act alternately on one of the two coupling groups, The springs 83 keep the coupling levers in their position starting point. On each coupling lever acts an electro coupling Do
In order to be able to be conveniently housed, the D appliances are constructed in an unusual way., Their realization is visible in figure 16.



  This method of construction also offers the advantage that these appliances can be grouped easily eh forming an assembly mounted on a wall.



   The appliances are here fixed to the intermediate wall 85. The electro comprises a core 86 which can slide in the sleeve 87; its movement is limited by the nut 88 and the disc 89. The latter is riveted to the core 86. The sheath 87 is pulled by the nut 91 against the wall 85. Between the wall 85 and the sheath 87 the shield 92 is strongly tightened by the action of nut 91. This shielding is necessary to close the magnetic circuit of the electro. Inside the shield 92 is the coil 93 on the armature 94. There are two slots in the shield 92 through which the solder lugs 95 can protrude. The nut 88 presses on the lever 81 or 82 (Figo 14) and is pushed into the rest state by the spring 83 by means of the lever 81 against the sleeve 87.

   If the electro- is energized (in the position drawn in Fig. 16), the plate 89 is attracted

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 against the shield 92. The nut 88 presses on the coupling lever which in turn pushes the pawl 48 into the bottom of the teeth of the control wheel 51. A short current pulse is sent to the electro D, because only a brief attraction is needed for mating. This allows relatively large currents to flow through the winding without the latter being destroyed by excessive heating. As a result, rather large magnetomotive forces corresponding to these relatively large currents can be obtained while this would not be the case with normal electros of marl dimension.



   The wheels of the types 54 (Fig. 14 and 21) can rotate on the axis 98. A notch 54a is provided in the wheels of the types, in which a notch is located a pawl 99. The pawl 99 can rotate on the axis 101 which is integral with the toothed wheel 53. As has already been said above, the toothed wheel 53 and the type wheel 54 are integral with one another.



  The pawl 99 is urged by the spring 102 against the pin 98. The pin 98 has a groove 98a. When the types wheel is in place, it turns clockwise and the pawl 99 slides on the axis 98. As the axis 98 is actuated by the crank system this axis turns. do in an oscillatory way in one direction and the other. The rhythm of the oscillation is chosen in such a way that it matches the exploration of the cartons. When the wheels of the types come to take their place the axis 98 turns contrary to the direction of the needles of a watch. In this movement the pawls 99 can jump over the groove 98a. After printing, the axis 98 begins to rotate clockwise.



  The pawls 99 are grasped according to the position of the type wheel by the groove 98a and are driven by it, whereby the wheels are returned to their starting position. The oscillation of axis 98 has also been chosen such that it covers just over 47/48 of a total revolution. The purpose of this is that for resetting all wheels of the offset types are driven while resetting has no effect on those not offset. We will come back to the drive of axis 98 later.



   When printing, the types must be exactly arranged along a line. This result is achieved thanks to the fact that shortly before printing the caliper 103 - Fig. 14-15- is pushed against the wheels of the types.



  In the type wheels, grooves 54b are provided in which the angle 103a of the caliper 103 which aligns the type wheels enters. Types 104 are recessed in dovetail grooves
The paper roll is placed in front of the machine (Fig. 1 and 14) and can be changed easily. The paper is led on the roller 106 between the type wheels and the ink ribbon 107, thick between the rollers 108 and 109. The roller 108 causes the paper to be drawn. Over the ink ribbon 107 is the printing hammer 111.

   The types are protected from direct contact with the ink ribbon, which has the advantage of preventing the types from getting dirty. A particular advantage of this arrangement is that the writing is readable immediately after printing.



   The work cycles for the alignment of the wheels of the types, for the printing and for the zeroing take place in the same operation, so that their movements can be obtained from the same drive. This drive is performed from the worm 112 and the tangent wheel 114 (Fig. 14). The worm 112 is located on the same shaft as the crank 11 of the crank system and as the bevel wheel 69. The transmission ratio between worm and tangent wheel was taken equal to 1/9. This is imposed by the return of the crank system to its starting position after 9 revolutions of the crank 11. The tangent wheel 114 is mounted integral with the shaft 113 which protrudes from the side wall 115 to the left (Fig.33).



   On the left end of shaft 113 is crank 116 (Fig. 33 and 13). On the crank 116 is connected the balance 118 by the intermediary of the bar 117. The balance 118 can pivot on the axis 119. The

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 balance 122 is moreover linked in articulation with the lower part of the balance wheel 118 by means of the coupling bar 121. The balance 122 can rotate around the axis 123. In addition, the rack 124 is connected with articulation to the balance 118. This rack is in engagement with the pinion 125. This pinion 125 is fixed on the axis 98 which causes the resetting as has already been described above The rack 124 is prevented from falling by the roller 127. Balance wheel 122 oscillates at the same rate as balance wheel 118.

   The lever 128 can rotate around the upper articulation point of the balance 122 and is pulled by its lug 128a against the balance 122 thanks to the spring 129, this lug abutting against the balance. 'If the pendulum 122 moves to the left the lever 128 butts against the lever 131, which causes the lever 128 to swing to the right and engage behind the lever 131. If the pendulum 122 moves to the right again , the lever 128 cannot tilt because of the lug 128a and it drives the lever 131 until the latter slides over the lever 128 and suddenly returns to its starting position by the spring 132 The starting position is ensured by a rubberized pad 133 adjustable on the angle iron 130. The lever 131 is fixed on the shaft 134 as well as the printing hammer 111 (Fig.



  14). This is the rest position of the printing hammer which is shown in figure 14. This position is adjusted by the rubberized pad 133 so that the paper is easily drawn. As said, the hammer is cocked by the lever. 131. During its rapid return, the rubber stamp gives way a little under the impact, so that the marteua presses the tape; inkpad and paper on types.



   If the rocker 122 moves to the right (Fig. 13) it reaches the roller 135, which is on the lever 136. The lever 136 is integral with the shaft 137 and is pushed by the spring 138 against the stop 139. On the shaft 137 is also mounted fixed but yielding to the action of a spiral spring, the movable stirrup 103 (Figo 14) serving for the alignment of the types. In its movement, the rocker 122 moves the lever 136 towards 7, the straight line so that, as described above, the caliper is pressed against the wheels of the types and types are aligned. In addition, on the shaft 137, are mounted idle the locking wheels 57 of the wheels of the types.



   The paper drive is obtained by the roller 108 (Fig. 14) which is fixed on the shaft 141. The ratchet wheel 142 (Fig. 13) is also mounted fixed on the shaft 141. The ratchet wheel 142 rotates by the pawl 143 pivotally mounted on the balance 118 and which is pressed by the spring 144 against the ratchet wheel. The locking of the ratchet wheel is achieved by the spring 145 which is fixed to the bracket 146 and which is adjusted in exact position.



  As the balance 118 moves to the left, the pawl 143 advances the ratchet wheel 142 by one step. The size of this pitch corresponds to an interline of the printing on the paper.



   The position of the crank 116 has been chosen so that the balance 118 reaches the right neutral point once the positioning of the type wheels has just been completed. When the pendulum moves to the right, the printing hammer arms the type wheels line up and printing is done. If the rocker 118 moves to the left, the reset is performed as well as the paper feed. The return of the crank and the passage of a new card are carried out independently The pressure rollers 1t9 which press the paper against the drive rollers 108 can turn on the axis 147, which is fixed in the two levers 148. Each lever 148 can rotate on an axis 149.

   The roller 109 is pressed against the roller 108 by the lever 148, thanks to the spring 151. The spring has been arranged in such a way that by moving the lever 148 upwards, by hand, the latter can swing back and forth. back. This allows convenient placement of the paper.



   In Figure 13, there is further shown a device for easily placing and extracting the paper roll. The paper roll 105 has been pushed by its axis in the notch 152 against the action of the spring 153 until this axis rests behind the lever 154 and is held by

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 this one in this position. The lever 154 is pushed by the spring 155 against the stopper 1560 If you want to remove the paper roll, you push the lever 154 to the right by hand (Fig. 13) which releases the axis of the paper roll and spring 153 sprung? the axis with the roller outward.



   The adder mechanism and its drive will be described below. The totalizers add up the partial values transmitted to them and send the result to the printing mechanism in the form of partial values.



   This is necessary because the printing mechanism can only be positioned according to partial values.
The positioning of the totalizers is obtained by a coupling similar to that of the printing mechanism as mentioned above.



  The totalizers are located on the rear of the machine (Figs. 14 and 24) in two rows each comprising 25 units. The machine can therefore work with a total of 50 totalizer units. Each group of 25 totalizing wheels is free to rotate on axes 160a or 160b. The distribution of the totalization units according to the orders of decimal units can be easily planned during the assembly. In the present case, it is carried out in such a way that the different totalizers are subdivided into groups, at the end of each of which the transfer is interrupted and for this there is provided a coupling for resetting to zero which we will come back to later.



   The driving of the two rows of totalizers is obtained from the shaft 161 on which the toothed wheels 58 are fixedly mounted. The toothed wheels 58 act directly on the upper totalizer units and through the wheel 162 on the lower totalizer units. The intermediate gear 162 is mounted idle on the axis 163. The coupling is effected by the lever 63a or 63b thanks to the electro Z as has already been said above. The uncoupling is also carried out in a known manner by rotating the drive in the opposite direction.

   Locking the totalizer to prevent it from turning in the opposite direction is achieved by the ratchet wheel 157 and the spring 170 (Fig. 24). The ratchet wheel 157 is also used simultaneously for the transfers.



   The transfer system is similar to that known on Hollerith machines. The pawl 164 can rotate freely on the lever.



  165 and is pushed by the spring 166 against the ratchet wheel 157. The lever 165 is rotatably mounted on the axle 160 and is pulled by the spring 167 in the counterclockwise direction of the clockwise movement. - be, but it is prevented from doing so by the projection 168a of the lever 168. The lever 168 is urged by the spring 169 against the lug 165a (Fig. 25) of the lever 165.



  If the totalizer wheel turns, the pawl 164 jumps as the teeth of the ratchet wheel 157 pass. On the pawl 164 is fixed a pin 171 which passes under the lever 168 of the previous totalizer unit. The teeth and the pin 171 are made in such a way that the normal teeth raise the ankle 171 only by a small amplitude, insufficient to reach the lever 168. On the ratchet wheel are outside the normal teeth. a larger tooth 157a. The position of the latter corresponds to position 9 of the totalizer. If tooth 157a goes under pawl 164, it means that the totalizer goes from 9 to 0 and the pawl 164 is lifted high enough that the pin 171 drives the lever 168 of the totalizer unit order. immediately higher.

   This last lever 168 releases the lever 165 from the corresponding order of unity which, under the action of its spring 167, turns rapidly to the left until it strikes the caliper 172. If the pawl 164 in passing touches the tooth 157a, higher than the others, it releases in the manner which has just been described, the locking of the lever 165 for the unit order close to the totalizer. Once positioning is complete, caliper 172 moves clockwise and returns levers 165, which have been released, to their starting position. The pawl 164 drives by one unit in this movement the wheel to

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 ratchet 157, which ends the transfer.



   Resetting the totalizers does not need to be performed for the totalizers all together. On the contrary, this resetting, if desired, can be carried out individually for each totalizer.



  This may be necessary when the machine is to be equipped in a known way, with double group control (main group and subgroups).



  To allow this possibility, sheaths, 173 are provided on the axis 160, the length of which corresponds in each case to the length of the totalizers or to the number of unit orders of the totalizer. There is provided in the ratchet wheel 157 a notch 157b in which the spring 174 is located. This spring slides during the positioning of the totalizer on grooves which are provided in the sleeve 173. The sleeve 173 is stationary during movement. positioning of totalizers. If the totalizer is to be reset, the sleeve rotates clockwise once. Depending on the positioning of the totalizer units the springs 174 fall at different times in the groove, so that the totalizer units are driven by the sleeve and reset to zero.

   The rotation of the sleeve is effected by means of a toothed wheel (not shown) mounted integral with the sleeve 173. For each totalizer there is always such a toothed wheel provided at its end. Said toothed wheel engages with toothed wheel 175 (Fig. 24) which idles on shaft 176. Shaft 176 rotates after each positioning. A groove is provided on the shaft 176 so that the gear 175 can be connected to the shaft by a one-turn coupling. After reading the sum, the reset electro N (shown only diagrammatically in figure 43) is energized. The reset electro is in the same row of electros as those of the Z coupling and is of similar construction.

   The energization of the reset electro moves the lever 177 which releases the pawl 178. The pawl 178 is rotatably mounted on the toothed wheel 175 and is urged by the spring 179 against the shaft 176. The pawl falls into the groove of shaft 176. After reading the totalizer units, shaft 176 begins to rotate. The sleeve 173 is driven by the pawl 178 and the toothed wheel 175, which causes the reset. At the end of one revolution, the pawl 178 is released from the groove by the lever 177 which, in the meantime, has been returned to its rest position by the spring 181. At the same time, the shaft 176 is stationary. All totalizer units are reset to zero from the same tree 176.

   The continuation of the movement is obtained here by the intermediate wheel 182 which can turn on the axis 1630
The drive for resetting and transfers is obtained from the shaft 113 which executes, by card passage, one revolution.



  At its left end (Fig. 33) the chain wheel 182 is force-fitted.



  The chain wheel 182 drives through the chain 183 (Fig. 13) the chain wheel 184. The chain wheel 184 can rotate on the axis 185 and it is integral with the toothed segment 186 and the toothed wheel 187. toothed segment 186 extends over 1/3 of the periphery and it meshes with toothed wheel 188 .. The transmission ratio between; the toothed segment 186 and the toothed wheel 188 is 1/3.



  Therefore, the toothed wheel 188 makes one revolution when the segment makes one revolution, but the rotation of the toothed wheel 188 takes place for 1/3 of the time, while it remains at rest for the other two thirds. The toothed wheel 188 is fixed on the axis 176 (Figs. 14 and 24) which causes resetting as we have already said. The position of the segment 186 is chosen such that it engages with the toothed wheel 188 only when the positioning of the totalizer or its exploration is completed.



   Postponements can occur at the same time as they can occur immediately after positioning. The deferral transmission is cut off again until the exploration which takes place in the next work cycle.



  The drive to oscillate the caliper 172 can therefore be taken from the toothed wheel 188. The crank 189 (Fig. 13) is rigidly linked to the toothed wheel 188. The balance 192 is linked in articulation to the crank 189. by a connecting rod 191. The balance 192 is fixed on the axis 160a on which is also fixed the caliper 172. The oscillation must also be

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 transmitted to the lower totalizer group.

   In this regard, it should be noted - that the oscillation must be carried out in the opposite direction since the lower group of totalizers is arranged symmetrically with respect to the upper groupo This is obtained by the transmission of the oscillation movement to the balance 194 by means of the tie rod 1939 which is fixed on the axis 160 corresponding to the lower group of totalizers.



  If the toothed wheel 188 or the crank 189 makes one revolution, the two rockers 192 and 194 or their calipers 172, execute a back and forth movement and return the levers 165 to their starting position. The starting position of the two balances and the toothed wheel 188 must always be established exactly. When the rotation is fast, the toothed wheel 188 should not become entangled. In addition, the toothed wheel 188 must not turn idle when it is not engaged with the toothed segment 186. This is achieved by means of the spring 195 which pulls the balance 192 in a neutral position which fixes the position of the crank 189 or the toothed wheel 188.



   The drive for the positioning of the totalizer units (or wheels) is obtained from the bevel gear 74 (Fig. 13) via the shaft 196 and the bevel gears 197 and 198.



   The exploration of the totalizer units must be carried out in such a way that the result of each unit can be composed of partial values. Another condition is that the zeros existing before the highest significant digits of a number must not be printed and, therefore, the corresponding totalizer units must not be connected to the printing mechanism. These conditions are fulfilled by the device described below.



   Each totalizer unit has four cam discs 201, 202, 203, 204 for reading the results (Fig. 25). The position of the various cam discs has been chosen so that the cams provide the partial values of the positions of the totalizers. The cam discs are integral with the toothed wheel 64 (Fig, 20) which indicates, as has been described, the positioning of the counter. In addition, the ratchet wheel 157 (Fig.



  24), which is used for locking against reverse rotation and for transfers, is fixed to toothed wheel 64. The four cam discs are sufficient to represent the figures, because, apart from the zero position, the code of the figures does not apply. 'extends over' four positions. The shape and position, with respect to each other, of the disks are shown in Figures 26 to 29. The disk 201 corresponds to position II (Fig. 3) with the partial value 1; the disk 202, at position III with the partial value 2; the disc 203, in position IV, with the partial value 4 and the disc 204 in position V with the partial value 8. Each disc is provided with a contact blade 205 which can be pushed by the cam-disc on the conductor common 206.

   Depending on the position of the totalizer, the four blades are brought into contact with the common conductor according to the adopted code (Fig. 3). All the blades 205 are fixed to the plate 208 by means of a bracket 207. Two insulating plates 209a and 209b (Fig. 24) isolate the blades from one another and from the ground. The cam discs are separated from each other by discs 211. The exploration of the position of the totalizers by the blades 205 is caused by the cams 213. The exploration of the totalizer unit is carried out by in a manner analogous to exploring a map column. As a result, it is obtained that the machine can work in a continuous and regular manner to extract the totals, and that only the supply of cards is interrupted.



   The exploration of the map is carried out as already described above in six periods. Correspondingly for the total extraction, the exploration is also divided into six periods. But, the actual exploration only relaxes from the second to the fifth position (Fig. 3).



  The first position is used only for zero and the sixth is irrelevant for digits.



   If the totalizer is to be explored, the shaft 212 (Fig. 24) will turn step by step, the size of this step has been chosen so that the shaft 212

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 returns to its starting position after six steps.



   The shaft 212 has six faces on which the cam discs 213 are threaded. One of these discs 213 is provided for each blade 205. The cams are always offset with respect to each other by 1/6 of a turn.



  The blades 205 are pressed by the cams one after the other onto the contact bar 214. The contact bars 214 are provided separate for each totalizer unit and fixed to the insulating support 215. The bar 214 is connected by a connection to the corresponding coupling electro of the printing mechanism, electro on which the totalizer unit must act. The pressure of the blades on the contact bar corresponds in its succession over time to the exploration of the perforation locations of the card. But; current can then flow through the blades only when they are simultaneously pressed by the totalizer cams 201 to 204 on the common conductor 206.

   The position of the cams 213 has been chosen such that, of the six periods or not, the second, third, fourth and fifth act on the cams. The first step is empty, because in this position the 'zero is transmitted. We will come back to this point later.



  The sixth step is also empty because it is not necessary for the coding of digits. The sixth step also corresponds in this exploration to the rest position of the shaft 212.



   The drive of the shaft 212 takes place step by step thanks to the electro 216 (Figa 13). If the totalizer is to be scanned the electro 216 receives current pulses. The sequence of pulses matches the rotation of the crank .11 of the crank mechanism. We will come back to the succession in time and to the limitation of the pulses later when we describe the assembly diagram. Electro 216 attracts its armature 217 with each pulse. The armature 217 is returned to its rest position by the spring 218. The pawl 219 can turn on the armature 217 and is pushed there by the spring 221 against the control wheel. control 222. Each time the electro 216 is energized, the control wheel 222 advances by one step. The control wheel 222 can turn on the pivot 223 and is integral with the toothed wheel 224.

   This wheel 224 is engaged with the toothed wheel 225 and, through the intermediary of the wheel 226, with the toothed wheel 2270 The toothed wheel 227 is fixed on the shaft 212a of the upper totalizer group while the toothed wheel 225 is fixed on the shaft 212b. The transmission ratio between wheels is 1/1.



   The condition was stated above that the printing of zeros in front of the highest significant digit of a number should be suppressed.



  This result is achieved by a particular assembly of the contacts. (Fig. 30) Fig. 30 shows only schematically the elements used for the suppression of zeros. Other elements which are in fact in the circuit, but which have other roles, are left aside and will be described later when describing the general diagram. Each totalizer unit is assigned a set of contacts generally designated by bIV.



  This comprises four contact blades of which the two upper blades (Fig. 24) touch each other in the relaxed state. In the zero position of the totalizer wheel the longer contact blade is pressed down, causing the three blades below the upper blade to make an electrical connection and the contact through the upper blade is interrupted ( Fig. 27). The actuation of these contacts is controlled by the cams 211a on the intermediate disc 211. The position of the cams is chosen so that the set of contacts bIV is actuated for the “zero” position of the totalizer. If the totalizer wheel is moved out of the "zero" position, the described reversal of the contacts follows.



   In figure 30 the exponent in Arabic numerals of the coupling electrodes D and the bIV contacts indicates to which totalizer unit they are assigned. In doing so, we assume that the rank of the units is designated by the exponent 1 and the following ranks by the exponents 2, 3, 4, 5. If we admit, for example, that the number 3050 must be explored in the totalizer, contacts bIV2 and bIV4 are reversed; their positions are shown on

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 FIG. 3g the row of tens (corresponding to b IV2) and the row of thousand (corresponding to bIV4) being those where the totalizer wheels are offset.



  The zero position of the printing mechanism therefore takes place for the row of totalizer not shifted within the number as follows:
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 zero "coupling is carried out on the electro-coupling of the printing mechanism via contacts W'IV.I1 bv4.11 bq3, for electro-coupling D and by contacts wIV.I1 b-y2p brvI.9 for 19 coupling electro I3 The assembly is therefore established in such a way that when the crank mechanism is placed on value 1 (in the part of the printing mechanism) or on
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 replacement 1.1) a current pulse passes through rl and D3 and D- are excited.l1 so that the totalizer wheels assigned to these appliances are positioned on "zero".



   Current cannot flow through D5 and the coupling electrodes of higher totalizer rows because contact bIV4 has interrupted the connection in this direction o It cannot flow current through D4 and D2, because for these electrodes , the link is interrupted at contacts bIV4 and bIV2 (which have been inverted by their corresponding totalizer unit).



   The positioning of the digits 3 and 5 is then carried out for the following positions of the crank mechanism in the manner which has already been described above.



   The card is driven by the two chains 227 (fig. 14 and 33). The card is pushed in a known manner by the knives 228 which extract it from the magazine 229. The two knives 228 are mounted on a slide 231 which is guided on the two rods 232. The movement of the slide 231 is obtained by means of a crank. . The crank 233 is integral with the chain wheel 234 mounted on the shaft 2350 The dimensions of the chain wheel have been calculated so that a complete rotation of the chain wheel
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 corresponds to the routing of a carteo The tie rod 236 is connected by the connecting rod 237 to the crank 233.

   The coupling bar is connected by its upper end to the slide 231 and by its lower end to the beam 238. The balance 238 is pivotally fixed by its left end (Figo 33) on the square 239. On the shaft 235 are also fixed the two rollers 241 (figo13) On these press two rollers 242 (Figo 33) which are mounted to pivot on the arms 243. Likewise the said arms 243 are mounted to pivot on the brackets 244 .

   The arms 243 and the gates 242 are pressed by the springs 245 down
The card is pushed by the knives 228 between the rollers 241 and the rollers 242 and is driven by them. The pressure of the rollers 242 has been established in such a way that for a determined resistance
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 of the card the rollers 24à begin to slide in relation to the card.



  The diameter of the rollers 21, 1 is somewhat larger. than that of the pitch circle of the chain wheel, so that the drive by the rollers is a little faster than by the chain If the card is gripped by the rollers
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 241 and the rollers 21 * 29 it circulates faster than the chains until it strikes by its front edge the projections 227a of the two chains 227. In this way any biasing engagement of the card is compensated from the start. As soon as the end of the card leaves reels 241, the
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 subsequent protrusions 227a assume 1-interlacing. The area between two protrusions is exactly equal to a board height.

   The chain only has the load of driving the card o The card rests on track 246 which serves simultaneously to guide the chain (Fig. 14 and 33) The card is guided laterally by the two guides 250 fixed to the side walls of the
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 machine. This reinforces at the same time the support of the card extraction and exploration devices. The card first arrives under the first bump 247 (Fig-31) which serves only for group control.

   Then the card goes under the
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 second brush 248 which has the role of the actual exploration (Figs 14-31 and 33). Both brushes are of similar construction and are supported

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 by the two supports 2490 The brush 247 includes twice 30 'brushes 251 because the two' stages of the card must be explored simultaneously. The brushes are supported by the plates 252 and guided separately in the combs 253. The brushes 251 are pressed against the contact plate 254 fixed by means of insulating plates 255 on bars 256. The bars 256 are fixed on the guides 250 at the same time as the combs 253 (Figo 33).



   For each brush there are provided rollers 257 and 258 serving as auxiliary drive means, these rollers driving the card under the brushes. The rollers must have the same speed as the chain. But since the rollers have a larger diameter than the pitch diameter of the card wheel, the drive rollers have to turn more slowly which is achieved by a gear transmission. o The rollers are mounted to be able to rotate on the axes 259 or 261. The axis 261 is linked fixed with a chain wheel 262 (Fig. 14), the axis 259 is driven by the chain. Furthermore, the toothed wheel 263 is integral with the chain wheel 262 and the toothed wheel 264 is linked to the rollers.

   The toothed wheel 264 is driven by the toothed wheel 263 by means of a gear comprising the toothed wheels 265 and 2660 The axes 259 and 261 (Figo 31) as well as the intermediate gears are mounted in ', the brackets 260 (Figs 14 and 33) The transmission has been calculated so that the driving speed of the rollers is equal to that of the chain. The card is pushed by the rollers 267-268 on the rollers 257- 258. The rollers are fixed on the pins 269 and 271 which can rotate in the supports 2490 The supports 249 can 8 = -Also pivot in the brackets 272, these being screwed onto the guides 250 (Figo 33). The springs 273 push the supports or brushes and the rollers back down.



   Cards are transported more quickly during card change to reduce the empty stroke of the machine. To be able to perform this rapid training without disturbances, the brushes are raised, which is achieved by tilting the supports 249 upwards (Fig. 32). On the shaft 261 is, fixed the cam-disc 274. The shaft 261 performs one revolution, during a progression of the chain equal to the advance of a card, since the chain wheel 262 is fixed on said. tree. The disc-cam is adapted in its form to the succession in time of the explorations of a map. The cam disc 274 can lift the lever 2750 This is fixed on the shaft 276 ;, as can the levers 277.

   Levers 277 engage under rod 271 and push up brackets 249. Shaft 276 is mounted in brackets 278 which are screwed to side wall 2790 The shape of the cam has been chosen as such. so that the lever 275 is lifted when a card is replaced by another or when the exploration is finished;
The movement of the chain or the drive of the cards is carried out step by step. The step-by-step advance has been designed in such a way that the board moves slowly during exploration and that the boards are replaced quickly. The rhythm of the card training matches that of the crank device. It is subdivided into 6 working steps and three empty steps.

   It can be obtained from the same drive as that of the crank device.



   The drive of the card drive member is performed from the toothed wheel 67 which also serves as a crank. The balance 281 (Fig. 33) is connected by the coupling bar 282 to the crank. The balancer 281 is pivotally mounted on the axle 283 which is screwed into the bracket 260. The pawls 284 and 285 are mounted to be able to rotate on the balancer 281 and they operate the ratchet wheels 286 and 287. which are both fixed on shaft 261 (Fig. 34-35). The teeth on the ratchet wheels are not distributed over the entire periphery. They are distributed so that a pawl replaces the cavity in its function.

   The oliquet 284 and the corresponding wheel 286 serve for the rapid transport for the passage of the cards. The pawl 285 and the corresponding wheel 287 assume the slow drive during the exploration. While one pawl is working, the other slides over the part of the periphery of the wheel on which there is no tooth. Through

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 As a result of the fast transport, the pawl 284 has a larger stroke and the ratchet wheel 286 has a larger tooth spacing while the pawl 285, as a result of the slower drive has a smaller stroke and the wheel 287 smaller tooth spacing.

   The difference in the strokes is achieved by the fact that the pawls mounted on the balance 281 have different lever arms. The exact positioning as well as the locking preventing reverse rotation is achieved by the locking wheel 288 and the locking blade 289 (Fig. 36). The drive wheel 288 is also fixed on the shaft 261. The blade 289 is screwed to the side wall 279 and is adjustable through oblong holes so that the position of the card can be exactly fixed. The teeth i.e. the intervals between teeth have been set on the locking wheel 288 so as to be distributed in correspondence with the advance of the pawls. A stopper 291 (Fig.



  34) has been designed to prevent blade kickback during rapid training; this stop 291 has been screwed with the blade 289 on the wall 279 and it is also adjustable by means of oblong holes.



   If one wants to extract the sum or if the group control is energized, the card training must stop. It is then possible that the group control is already energized when exploring the first perforation location. But card training should not stop immediately, the card should be explored to the end. This is achieved by lifting the fast drive pawl 284 so that it does not engage with the wheel 286. The exploration pawl 285, however, causes the dragging until the exploration is complete.



   The lifting of the pawl 284 is obtained by means of the lug 292a of the armature 292. The armature 292 is attracted by the electro K. The armature is brought back and maintained in this rest position by the spring 294.



  This rest position is fixed by the stop 295. The electro K is fixed by its bracket 296 to the intermediate wall 97 (Fig. 14); this electro is however not drawn in figure 14 to make it clearer. If the group control relay G (which will be discussed later when describing the connection diagram) is energized, this closes the circuit of the electro K which lifts the pawl 284 by the armature 292. Nevertheless ;, the movement continues with the pawl 285 until the exchange of their functions. If the armature 292 falls back, the pawl 284 falls on the corresponding wheel 286 and still drives the same pi.



   When the exploration of a card is finished, it is dragged by the rollers 258 into the receiving box 297 thanks to the card path 298. The card path is guided by rollers 299 along the wall. 301 and it is pushed upwards by the springs 302. If the card path reaches the low position it opens the contact ma which disconnects the machine. The machine connections table will be described below.



   In the exemplary embodiment described, it is possible to connect the exploration brushes, the type wheels and the totalisers at will. In addition, group control relays can be connected to each column of the card. The connection mode is obvious and the way to operate very simple. For this purpose9 cordless plugs which are known in the telecommunications art have been used.



   Each element of the assembly that must be selected, such as for example brushes, totalizers, etc., is assigned to a bar. These bars are arranged with respect to one another in such a way that they cross those of the elements with which they must be joined electrically. The crossing bars are at different heights.



  Wherever there is a cross, there is a hole in the bars. By means of plugs, the connection between the bars can be established by inserting the plugs at the corresponding crossing point.



   In Figure 37, there is schematically shown the distribution in the different groups and Figure 38 'indicates the stacking of groups.



  In zone D of the bars, the electrical coupling of the printing mechanisms

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 mants are connected, in the area bII are connected the brooms of the brush 248 and in the area bI the brooms of the brush 247. The layers bI and bII are arranged Si'one above the other as seen on Figure 38. The - two layers for the two group control relay connections are in the GI and GII zone. 6 group control relays are provided for this machine. The coupling relays for the totalizer units as well as the scanning device for the positioning of the totalizers are located in the areas of the Z and bIII bars.



   The practical layout of the connection board can be seen in Figures 39 to 41. Figure 39 shows the table of plugs in area D x bII; FIG. 40 shows the arrangement of the various stacks seen in plan.



  In FIG. 41 we see the stacking of the zone D x Z / bIII and in FIG. 42 the stacking GI / GII x bI / bII. the stacking of the bars is carried out between the -L-L insulating plates 305.



   In zone D x bII, at each crossing, there are only two bars one above the other so that at this point a single 306 card is sufficient. In zone GI / GIIxbI / bII, we obtain the connection of two groups, namely: 1 - of bI on GI and, 2 - of bII on GII of the group control relay. The double plug 307 is then necessary, the plug of which the two connection points are insulated from one another. In the zone D x Z / bIII, a connection of D x Z and D x bIII can be obtained as desired; For the first connection it is sufficient to use the short plug 306, while for the second one must use a plug 308. This is insulated at its upper part so that there can be no contact. by Z.



   With this method of cordless plugs, it is possible to combine several assembly elements with each other or to put them in parallel by connecting several bars on one single plug. But it is not useful here to dwell on the multiplicity of combinations and possibilities of use, because these depend on the problems which may be posed to the machine. The connection board (Figs. 14 and 33), generally designated 304, is easily accessible on the machine and is protected by cover 309.



   The machine connection diagram will be described below.



  In the representation of the diagram of the tabulating machine, a simplified form has been chosen which is customary in telecommunications technology.



  Since there are several similar elements, such as the electric coupling or the brushes, only one of these elements has been shown on the diagram, the others being only indicated by the repair connections. - titi on .. The number of units is provided by the Arabic numeral as a subscript.



  The relays and appliances are designated by capital letters, and "the contacts which they actuate by the corresponding lowercase letters. The contacts actuated by hand are shown schematically by a hook in the shape of a key at the upper end of the switch. 1-movable contact device In general terms, in the reference indications, these lie to the right of the corresponding electros, relays and contacts or on the diagram symbol, provided that the diagram is not legible. The position of the contacts is shown for the idle state of the machine.



   The connection diagram is shown in figure 43. To make it easier to read, the relay or cam diagram is also shown in figure 44. This diagram gives the energization or closing times of the relays or contacts as a function of the switching cycle. machine work for the example described here such as ;? after the passage of a card, a total extraction cycle follows, then after this, the first card of a new group. As a unit of work cycle, we have chosen a revolution of the crank 11 of the crank device. This unit is the exploration of a single row of hole punch locations on the card. So

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 that we indicated previously there are in a cycle of cards 9 'of these units therefore 9 cycles of work.

   If the machine switch is turned off the machine does not yet start to run. It is only when the start button is depressed that the motor M receives current from this button and the magazine contact m.a. The motor begins to turn and brings cards to the brushes At the same time, the motor begins to rotate the cam discs acting on the cam contacts w (Figo 13, 45 to 47) But these have no effect as long as the well-known card lever is not reached by the cards As the arrangement of the card lever contacts is known per se, it does not appear on the offset to make them clearer.

   When the first card reaches the second brush 248 FIG. 31, the card lever assigned to this brush is actuated and closes its two contacts ka- and kaII. If these are closed, the actuation button can be abandoned. your cam contacts are generally designated by w and different from each other by their indices in Roman numerals.



  The movement of their cams can therefore derive from toothed wheel 187 (Figo 13) which makes one revolution per card cycle. The cams are mounted on the shaft 312 and rigidly linked to the toothed wheel 311 being in engagement with the toothed wheel 187. The contacts w are fixed on a caliper 3130 For the various contacts wI to wV, 3 different cams are provided which are visible in figure 45 to 47. The duration of actuation of the contacts in relation to the cycle of the cards can be seen on the relay diagram. In addition, a pulse contact i (Fig. 10) is provided which is actuated by the cam 11a located on the crank 11 of the crank device. This contact supplies the pulses to the electros Z and D.

   The position of cam lla has been chosen so that contact i always supplies an impulse to the coupling electrodes at the moment when the crank mechanism has reached neutral point during which the coupling takes place. as indicated above.



  At the start of the exploration (work cycle 1, Fig. 44) the contacts wI and i are reversed. \! so that the current can flow from at least the contacts kaII, ma, kaI, wI, i, hI, the brushes bII, the connection board represented symbolically by a dotted circle and the electro D, up to the pluso According to the perforations existing in the card, the D appliances are energized and coupling the wheels of the types.

   At the same time, the current can flow through bII, the connection board, the contact gI 'through 1-the left winding of the group control relay G, up to the plus If the group number of the following card matches that which has just been explored, a current flows from contact hI through the first brush bI, contact gII, the connection board and the right-hand winding of relay G, up to plus. The group control relay G is made up of a differential relay and does not energize when it receives current on its two windings.



   Before moving to the next perforation location, contact i has returned to its rest position. The board is advanced, reversed, and the circuits just described are closed again corresponding to the perforations in the columns of the next perforation location. By exploring location II, the contact wIII is closed by its cam, so that the coupling impulse can then also pass through the coupling electrodes Z of the totalizers. As the group numbers cannot of course be added together, these are brushes which are connected to the upright columns and consequently to the printing mechanism and the totalisers, but not to the group control. The process is repeated, contact WIII remaining closed until the position, V included.

   By exploring position VI, WIII is again inverted and does not allow pulses to pass through the electros of the totalizers, which was also prohibited in position I. After exploring position VI; the cam contact w returns to its rest position so that in the following three empty cycles, when switching from one card to another, the circuit going to the D, Z and G appliances remains cut. While exploring the next map

  <Desc / Clms Page number 23>

 the same phenomena are repeated.



   If the group number of the next card does not match the previous card, one of the bI or bII brushes has its circuit cut off by the card.



  A current then circulates in one of the windings of the differential relay G so that the latter is excited and actuates a dense contacts gI to gIV, contacts whose role is specified below. The contact gI is reversed. As a result, a current flows from at least through contacts kaII, ma, gI through the left winding of relay G, up to plus. At the same time, the gII contact is reversed but no current can flow through the right-hand winding because the circuit is interrupted by the wII contact. The group control relay G therefore remains energized even if the card. is advanced.



  In addition, the gIII contacts have closed the circuit of the uncoupling electro K which is energized and interrupts the drive of the cards, But the card stops only at the end of the exploration, what has already been described above.



   The exploration of the electro K resulted in the closure of its contact k. If contact wI returns to its rest position at the end of scanning a map, \) the circuit passing through auxiliary relay H is closed; this relay energizes and activates its hI to hIV contacts. Relay H prepares, thanks to this contacta, the extraction of the total from the machine.



  At the start of the cycle of the following cards, used for the exploration of the totalizer and during which the advance of the cards stops and the exploration of the cards is disconnected from the voltage supply by the contact hI, the contact wI is inverted again. Relay H does not de-energize, because a holding circuit passes through contact hIV. Contact hi has in fact disconnected the bI and bII brushes, but it has connected bIII and bIV used to explore the totalisers. The contact bIV serves for this purpose., As has already been said., For the suppression of the printing of the zeros in front of the highest significant digit. The exploration of the totalizer by the blades 205 has been indicated in a general way to make the matter clearer, by the contact bIII.

   When the crank device is positioned on position I, the contacts w, i, hI, are reversed and the contact wIV is closed, so that in the case where the bIV contact is reversed the pulse for "zero" has been taken to electros D of the mechanism printing subsequent totalizer units ,? what has already been described above. In the changeover to the following perforation replacement, the contact wIV has been reversed again in the meantime so that the voltage pulse now passes through the contacts hI, bIII, the connection board and the electro D up to more.



  No current can flow through the Z electro since this circuit is interrupted by the hII contact.



   The step-by-step advance for exploring the totalisers is obtained by electro A. It receives its impulses through contact i and contact closed hIII. At the start of the exploration of the totalizer the wV cam contact closes so that a current can flow from at least kaII, ma, hIV, wV, gIV, through the reset electro N, to more.

   This electro gets excited and triggers the one-turn clutch for resetting o As already described above ,? however, resetting only occurs once the exploration of the totalizers is completed.
If the exploration of the totalizer is finished, \! the contacts wI and wV return to their rest position, which means that the circuit passing through the reset electrodes N and the electros A is interrupted and they de-energize. Shortly after, \) the contact wII closes so that a

  <Desc / Clms Page number 24>

 current flows through contacts hIV, wII, gII; - the right-hand winding of the differential relay G, up to the maximum.

   The two windings of the differential relay are then traversed by a current so that the relay is de-energized and the contacts g return to their rest position. As a result, the circuit passing through the electro-coupling K and the contact gIII is interrupted so that this relay de-energizes and cuts, by its contact k, the circuit passing through the auxiliary relay H which also de-energizes and which at new prepares the machine by its contacts h, for the exploration of the following map o
If the receiving magazine is full of cards, the carriage 298 opens the contact ma, which causes all circuit passing through the machine to be cut off and the machine to stop. The same is true when there are no more trained cards and the card lever returns to its rest position, the two contacts kaI and kaII being open.



   For the subtraction, the principle of the addition can be used as well as for the addition, thanks to the addition of the complement. As it is only necessary for this purpose to use known means in association with the devices which have been described above, it is not necessary to describe in all its details the operation of the subtraction.



   We know that a number can be subtracted by adding the complement. Most of the tabulating machines in use today work on this principle. It is only necessary, in the application of the present invention to the subtraction to choose a code of perforations in which the non-perforated locations always represent the nine complement of the perforated locations of a cipher As the mode of operation according to the invention can be obtained with any additive perforation code and, if it is necessary, that the totalizing mechanism can be actuated by means of its own crank mechanism according to a law other than that of the printing mechanism, it does not There is no difficulty in adapting the invention to the useful perforation code.

   The device for exploring the positions of the totalisers must however be adapted to the values of the codes of the hangers so that it acts on the printing mechanism. If in the chosen and appropriate perforation code, it is the perforated positions (for positive uprights) or those not perforated (for negative uprights) which are used for the control (which is possible by operating with a working or quiescent current. ) the complementary value is added for a negative amount.



   The choice of the transfer of the true value or complementary value is determined by a pilot hole characterizing the value as negative. In a known manner, it is possible to obtain the introduction of the additional value 1 as well as the determination of the positive or negative sign of the balance.
From the above, it follows in any case that the subtraction by complementary value, which is in reality an addition, can also be carried out with the aid of the invention.


    

Claims (1)

RESUME. ABSTRACT. 1. Machine à cartes enregistreuses dans laquelle chacune des mar- ques prévues dans un des emplacements de la colonne de carte ou des signes exerce une action de commande sur l'unité d'enregistrement affectée à la co- lonne, action dont l'amplitude correspond toujours aux valeurs affectées aux emplacements., la machine étant telle qu'un organe d'entraînement commun à tous les emplacements-des signes et effectuant un mouvement oscillant est prévu pour l'unité d'enregistrement qui peut lui être accouplée, organe qui exécute une course qui varie automatiquement dans l'exploration successive des diffé- rents emplacement en conformité avec les valeurs affectées aux emplacements. 1. Card recording machine in which each of the marks provided in one of the locations of the card column or signs exerts a control action on the recording unit assigned to the column, the amplitude of which always corresponds to the values assigned to the locations., the machine being such that a drive member common to all the marked locations and performing an oscillating movement is provided for the recording unit which can be coupled to it, member which runs a course which varies automatically in successive exploration of the different locations in accordance with the values assigned to the locations. Ladite machine peut-être encore caractérisée par les points suivants pris isolément ou en combinaison; 2. L'accouplement du mécanisme enregistreur (par exemple méca- <Desc/Clms Page number 25> nisme imprimant ou totalisateur) avec l'organe d'entraînement est effectué., de même que le désaccouplement indépendamment de l'amplitude variable de la course d'entrainement, en un des deux points d'inversion du mouvement de va- et-vient d'entrainement alors que la vitesse d'entraînement est nulle. Said machine may also be characterized by the following points taken individually or in combination; 2. The coupling of the recording mechanism (for example, <Desc / Clms Page number 25> printing or totalizer) with the drive member is performed., as well as the uncoupling independently of the variable amplitude of the drive stroke, at one of the two points of reversal of the back and forth movement drive while the drive speed is zero. 3. La variation de la course des organes d'entraînement (balan- ciers,cliquets, etc...) est obtenu à partir d'un dispositif de décalage de course (dispositif à manivelle) commun aux organes d'entraînement de toutes les unités d'enregistrement. 3. The variation of the stroke of the drive members (balancers, pawls, etc.) is obtained from a stroke offset device (crank device) common to the drive members of all the drives. recording units. 4. Un dit point d'inversion occupe toujours la même position que que soit le positionnement du dispositif de décalage de course, position dans laquelle s'effectue l'accouplement des unités d'enregistrement à l'organe d'entraînement, 5L'organe d'entraînement se déplace à vide momentanément par rapport à son entraînement au point d'inversion de sorte qu'une augmentation de la durée de l'arrêt est obtenue en ce point. 4. A said reversal point always occupies the same position regardless of the positioning of the stroke offset device, position in which the coupling of the recording units to the drive member takes place, The drive member moves momentarily off-load with respect to its drive at the reversal point so that an increase in the duration of the stoppage is obtained at this point. 6. Le changement de la course lors de l'exploration successive des emplacements de marques est réalisé par le déplacement d'une coulisse sur unt tige de manivelle, tige dont une extrémité est liée à un organe d'entraî- nement oscillant commun à toutes les unités par l'intermédiaire d'une barre d'accouplement et dont l'autre extrémité est reliée à une manivelle tournant de manière continue. 6. The change of the stroke during the successive exploration of the mark locations is carried out by moving a slide on a crank rod, one end of which is linked to an oscillating drive member common to all. the units via a tie rod and the other end of which is connected to a continuously rotating crank. 7. Le déplacement de la coulisse est également obtenu par un mé- canisme à manivelle qui est actionnéopas à pas, dont la manivelle effectue une révolution pour une exploration de carte. 7. The movement of the slide is also obtained by a crank mechanism which is actuated in steps, the crank of which makes one revolution for a map exploration. 8. Le dispositif à manivelle est arrêté dans la position corres- pondant aux emplacements de marques explorés à cet instant grâce à un cliquet qui empêche la rotation dans les deux sens. 8. The crank device is stopped in the position corresponding to the mark locations explored at this time by means of a pawl which prevents rotation in both directions. 9. Les dents de la manivelle constituée comme une roue à cliquet sont déplagables dans certaines limites, ce qui permet un réglage exact de'la position et la compensation des tolérances de fabrication du dispositif à manivelle. 9. The teeth of the crank formed as a ratchet wheel are movable within certain limits, allowing exact adjustment of the position and compensation for manufacturing tolerances of the crank device. 10. En employant 6 emplacements de marques dans une colonne de cartes, la variation de la course s'effectue dans les rapports : 1, 2, 4, 8, 16, 16. 10. By using 6 locations of marks in a column of cards, the variation of the course is carried out in the ratios: 1, 2, 4, 8, 16, 16. 11. L'organe d'entraînement de chaque unité d'enregistrement est constitué par un balancier porte-cliquet oscillant plus ou moins loin lors de l'exploration des emplacements de marques à partir de sa position de repos, balancier qui peut être accouplé par un cliquet avec l'organe d'enregistrement grâce à une roue à cliquet agissant seulement dans la direction du position- nement,tandis que-la roue à cliquets bloquée pour ne pas tourner en sens inverse. provoque le désaccouplement lors du mouvement en sens inverse du cli- quet. 11. The drive member of each recording unit is constituted by a pawl-holder swinging more or less far when exploring the mark locations from its rest position, which pendulum can be coupled by a ratchet with the recording member by means of a ratchet wheel acting only in the direction of positioning, while the ratchet wheel blocked so as not to rotate in the opposite direction. causes disconnection when the pawl moves in the opposite direction. 12. Le cliquet d'accouplement est monté sur une bague pouvant tourner sur la roue à cliquets et ce cliquet peut être poussé dans la roue à cliquet par un électro d'accouplement et maintenu par un arrêta de sorte qu'il entraîne la roue à cliquets accouplée à l'unité d'enregistrement lors de l'oscillation deeladite bague. 12. The coupling pawl is mounted on a ring rotatable on the ratchet wheel and this pawl can be pushed into the ratchet wheel by an electro coupling and held by a stopper so that it drives the wheel to the ratchet. pawls coupled to the recording unit during oscillation of said ring. 13. L'électro d'accouplement possède un noyau mobile lié à un disque qui est attiré contre le blindage,'lors de l'excitation de l'électro et qui transmet le mouvement par le noyau et par l'armature de celui-ci sur le cliquet d'accouplement.4' 14. La prolongation de la durée de l'arrêt aux points d'inversion est obtenue par un accouplement à butées fonctionnant avec jeu dans les deux sens. 13. The electro coupling has a movable core linked to a disc which is attracted against the shield, during the energization of the electro and which transmits the movement through the core and by the armature thereof. on the coupling pawl. 4 ' 14. The extension of the stopping time at the reversal points is obtained by a coupling with stops operating with play in both directions. 15. Un seul dispositif de déplacement commun au mécanisme d'en- registrement et au mécanisme totalisateur, est prévu pour l'avance. <Desc/Clms Page number 26> 15. A single movement device common to the recording mechanism and the totalizing mechanism is provided for the advance. <Desc / Clms Page number 26> 16. La même avance est transmise au mécanisme drenregistrement et au mécanisme totalisateur avec des reports de transmission différents. 16. The same advance is transmitted to the recording mechanism and to the totalizing mechanism with different transmission carryovers. 17. L'exploration des positions des totalisateurs ainsi que la transmission ultérieure des positions de totalisateurs au mécanisme imprimant est réalisée suivant les mêmes combinaisons de valeurs partielles que pour la transmission des données numériques de la carte au mécanisme imprimant. 17. The exploration of the positions of the totalizers as well as the subsequent transmission of the positions of the totalizers to the printing mechanism is carried out according to the same combinations of partial values as for the transmission of digital data from the card to the printing mechanism. 18. Les unités de totalisateurs sont munies de disques cames et sont explorées électriquement et successivement en correspondance avec le dispositif de décalage. 18. The totalizer units are provided with cam disks and are explored electrically and successively in correspondence with the shift device. 19. Pour l'entraînement des totalisateurs les positions affectées aux valeurs correspondant aux différents emplacements sont dans les rapports 0, 1, 2, 4, 8, la valeur "O" étant obtenue par interruption du circuit d'ac- couplement par un contact à came et les valeurs 1, 2, 4, 8, par une autre transmission à engrenage que celle du mécanisme imprimant, de sorte que le "0" est transféré dans le mécanisme imprimant comme une unité, mais non dans les totalisateurs. 19. To drive the totalizers, the positions assigned to the values corresponding to the different locations are in the ratios 0, 1, 2, 4, 8, the value "O" being obtained by interrupting the coupling circuit by a contact. cam and the values 1, 2, 4, 8, by a different gear transmission than that of the printing mechanism, so that the "0" is transferred in the printing mechanism as a unit, but not in the totalizers. 20. Une unité de totalisateur se trouvant hors de la position "0" fournit au mécanisme imprimant., lors de l'extraction du total par l'intermé- diaire d'un contact une impulsion de courant pour la valeur "0" en passant par les unités de totalisateurs inférieures, mais elle se ferme elle-même aux impulsions provenant d'une unité de totalisateur d'ordre supérieur. 20. A totalizer unit located out of the "0" position supplies the printing mechanism., When the total is extracted through a contact, a current pulse for the value "0" passing through. by lower totalizer units, but it closes itself to pulses from a higher order totalizer unit.
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