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est plus particulièrement applicable aux machines de
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quittanoement, lorsqu'il s'agit de saleotionner, Sur les quittances ou les relevés, certaines lignes d'impression déterminées.
Dans ces machines permettant d'établir les
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quittances et les relevés,' 11 se trouve génfra1àJuent une du plusieurs rangées de touches de commande assurant la mise en position d'un mécanisme;' différentiel destine à faire fonctionner un dispositif d'avancement de la quit-
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tance, aux fins de sélectionner une ligne donnée d'im- pression sur cette dernière et ce suivant la touche utilisée.
A titre d'exemple, si la machine en question
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est prévue pou; les quittasses d t41àpho<xs, elle pourra comporter entre autres une touche désignée "Service urbain' , laquelle touche, par 1 t inermdi.ire du mécanisme diffé- rentiel qu'elle commande, sélectionnera une certaine ligne d'impression de la qulis'5ancô sur laquelle, siimprimera le montant débite' pour la ou les communications urbaines, Le montanten question est composé sur le clavier des mos-
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tants.
Si le mé'ms a'D6nné, au lieu d'avoir à µtre débita, possède un crédit sous forme d'avance,, il est nécessaire que la machine sélectionne la même ligne de la quittança;, mais cette fois pour un crédit.
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"'objet principal de -Lq présente j.nTYéni5ion con- '':e-!'f=i un dia-positif de?t5¯#16 commander un organe dï'¯c ir- TThi'1 unique . ?a';"tip due lmsicurs %r..n,gées nu d'orC,- anes df. c,,o3ima-jidE, ;7'1¯ev que touc?'!.es. î;onform6mémt 'L'invention, une machina du genre caisse enregistreuse ou machine comptable analogue comprend
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plusieurs groupes d'organes manuels et des -mécanismes différentiels commandes par ces groupes et est caractérisée par le fait qu'elle comporte deux groupes au moins de ces organes manuels,
un mécanisme différentiel susceptible d'être mis en position par l'un au moins des groupes et des organes disposas entre le second groupe et le mécanisme différentiel et aménagés de faqon telle que l'actionne.nient de l'un quelconque des organes manuels dans le second groupe ait pour effet.d'amener le mécanisme différentiel à la même position que celle dans laquelle il est amené par l'actionnement de l'organe manuel corres- pondant de l'autre groupe.
Pour éviter qu'il y ait erreur de sélection, on a prévu une rangée de touches de crédit qui correspondent à chacun des genres de débit, cette rangée étant adjacente à celle des touches débit. Dans la rangéc des touches crédit, la touche "Service urbain" se trouve sur le même rang que la touche débit portant la même désignation.
Il en est de même pour les autres touches, telles que "Régicnal" et "Interurbain", etc... les touches débit étant en face des touches crédit correspondantes.
La rangée des touches crédit comporte une série de tiges de touches, sans tête,ou touches "borgnes", qui coopèrent chacune avec la touche crédit correspondante.
Chacune de ces tiges coopère avec un organe différentiel solidaire du mécanisme différentiel commanda par les tou- ches de la rangée des débits et elles peuvent être déplacées par les .touches crédit correspondantes pour être amenées sur le trajet de l'organe différentiel an question pour assurer sa mise en position différentielle et, par la-même,
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déterminer celle du mécanisme différentiel et, enfin, la sélection de la même ligne de la quittance qui avait été' sélectionnée par la touche débit opposée.' Cette sélection se fait au moyen d'organes d'avancement commandés par le même mécanisme différentiel dépendant Des touches débit.
Une partie du mécanisme de sélection de lignes'est cepend.- ant représentée ici pour la compréhension d'invention.
On a représente les caractéristiques principales et secondaires de l'invention dans les dessins annexas dans lesquels :
Fig. 1 - est une vus de face, avec coupe partielle, montrant la relation existant entre les touches crédit et les touches débit qui commandent un organe différentiel unique ;
Fig. 2 -est une vue latérale des touches débit et du mécanisme différentiel correspondant ;
Fig. 3 - est une vue en élévation du dispositif de butée à zéro fonctionnant dans les rangées débit et crédit;
Fig. 4 -est une vue latérale de la rangée des touches crédit ainsi que des organes contrôlés par elle, pour com- mander la mécanisme différentiel associé aux touches dêbit ;
Fig. 5 - est une vue latéralepartielle d'une rangée de touches crédit avec le dispositif de butée, à zére;
F'ig. 6 - est une vue en élévation du mécanisme main-. tenant normalement la butée à zéro hors de fonctionnement et montrant également le dispositif amenant cette butée en position active immédiatement après le déclenchement de la machine; Fig. 7 -'représente un fac-similé d'une partie de @
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quittance ou de releva imprimé par la machine en question.
DESCRIPTION GÉNÉRALE.
Etant donné les indications préliminaires déjà fournies plus haut, il est suffisant d'indiquer que la présente invention comporte plusieurs groupes ou rangées de dispositifs manuels telles que touches, l'une des rangées correspondant aux débits et l'autre aux crédits.
La rangée des touches de débit commande un mécanisme dif- férentiel qui contrôla à son tour un dispositif de trans- port ou d'avancement de la quittance ou relevé pour amener automatiquement ce document sur certaines lignes bien déterminées, chaque position ou ligne correspondant à cer- taines touches de la rangée du débit.
A titre d'exemple, et comme indiqua ci-dessus, une machine de ce genre peut -être utilisée pour établir les quittances ou relevas des abonnes du téléphone, mais il va de soi que' sans sortir du cadre de l'invention, la même machine pourrait être utilisée pour d'autres appli- cations.
La quittance, Fig. 7,a imprimées sur chacune -de ses lignes une indication de la nature du débit ou cré- dit qu'elle doit représenter. Par exemples- la ligne "A" - "Service International" la ligne "B" - "Service Interurbain"
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la ligne "CI' - ilService'Régiol1all! la 'ligne "D" - \1 Service Urbain" la ligne "E" - "Messages Téléphones"
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la i'igne "fui' "Télégrammes, Téléphones" la ligne "G" -"Radio"
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la ligne "R" - "Publicité Annuaire"
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la ligne s9sss ¯ "Mois Procèdent" la ligne "J" - "Total".
Chacune des touches de la rangée de crédit correspond à une ligne d'impression sur laquelle la quittance est transportée! et le crédit s imprimé tou- jours sur la même ligne sur laquelle un débit de même nature doit; s'imprimer. Par exemple, les débits con- cernant le"Service Urbain!! sont, Fig. 7, imprimes sur la quatrième ligne de la quittance et les crédits de. ce même il Servi ce Urbain sont également imprimas sur la même ligne, lorsque la machine fonctionne en crédit.
Le but que se propose l'invention est atteint par 1'aménagement, entre les rangées crédit et débit, d'un nouveau mécanisme spécial qui se trouve sous la commando de la rangée des touches crédit et qui contrôle le mécanisme différentiel actionné normalement par la rangée des touches débit.
DESCRIPTION DETAILLE.
Rangées de touches.
Dans l'exemple représenté, on a prévu deux rangées de touches désignées généralement par touches de transaction ou de commande.
Pour les besoins de la cause, on désignera la rangée de gauche (Fig. 1) corme touches de débit et la rangée de droite comme touches de crédit.
Chaque rangée comporte neuf touches 20 (Fig. 1 ct 2) logées comme d'habitude dans le bâti 21 supporta par des entretoises 22 et 23, elles-mêmes montées dans les flasques latéraux (non représentes) de la machine.
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Les 'touches 20 portent des goujons 24 faisant saillie de chaque cote et coopérant avec des ressorts 25 qui
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ontzendanae, à maintenir' Àôtma1ement les touches en position inaotive ou relevée
A droite de la rangée des touches débit 20
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se trouvent neuf touches de crédit 30 (Fig. '1, 4 et 5) logéesdans un bâti 31 porté également par les entre- toises 22 et 25. Ces touches 30 comportent des goujons 34 coopérant avec des ressorts 35 maintenant les touches
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30 normalement dans leur position relevée ou .inaotive.
Chacune des touches 30 est munie d'un autregoujon 36 coaxial avec les goujons 54 .et faisant saillie de l'autre côte de la touche. L'objet de ce goujon 36 sera spécifié plus loin.
Entre les deux rangées de touches' 20 et 30, sont 'disposes une série de. tiges borgnes 40 (Fig. 1, 4 et 5) logées dans un bâti 41 supporte par les entre- toises 22 et 23. Chaque tige borgne 40 comporte un goujon 44 coopérant avec un ressort 45 maintenant : or- malement la tige en position inactive représentée en Fig. 1. Les tiges 40 comportent également un autre goujon 46 disposé immédiatement au-dessous et sur le trajet dugoujon 36 porte par chaque touche crédit 30
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(Fig. ,1 et 4).
Chaque touche de débit 20 coopère avec un -coulisseau 50 dont seule la partie inférieure est rep-
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résentée en F'ig. 2. Ce co.Lxl:1>ssci.u est articule $on 51 sur un bras 52 monte ¯'ou sur. un téton 53 porte par le bâti 21. Lorsqu'on enfonce une des toucher 20, le goujon 24 déplace lecoulisseau 50 vers le bas et fait
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pivoter dans le sens dextrorsum le bras 52 qui vient coopérer avec un téton 54 (Fig. 3) porte par une butée
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à z$to 55 fixée à un petit axe 56 porte! par le bâti 21.
Les touches de crédit 50 coopèrent avec un
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coulisse8.u 60 dont la partie inférieure est représentée en Fig. 5 et qui pivote en 61 sur un bras 62 porte' par
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un téton 6S fixe au bâti 31. Chaque fois qu'une touche 130 esic les goujon# 3F, cori-.3spoiidan-bs d*place5i-it-, es'c enfoncée; les goujons correspondants déplacent le coulisseau vers le bas en faisant ?ivo!'.er le bras 63, lequp'l vient coopérer avec un téton 6.4 19gag, 2 et 3) porté par une butée à zéro 65 pivotant on 66 sur le bâti 51.
Lorsqu'on enfonce une touche de débit 20 pour enregistrer une transaction de débita cette action
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pour 0fl'et, grâce au bras 52, d'écarter la bute'e à zéro 55 de sa. position de retenue repre'sente'e en Fig. 2, de telle sorte que 10 mécanisme différentiel (décrit plus loin) de la rangée des débits puisse venir prendre une position correspondant à la touche..enfoncée.
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Quend, au coxi"sz?a5- é; on enfonce une touche de c>1d::t ;:)0,. le pivotement du bras 52 '8. pour effet d.Sdoar?"cF=>r la butée 65 de sa position de retentie, ce qui permet au mécanisme différentiel de cette rangée de venir prendra 'la position corrsrapondant à li. touche enfonçât?'.
Les têtes de touches 20 et 30 portant des désignations correspondant aux différents genres de
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transactiors, neuf différentes dans l'exemple considérer qui s'impriment sur la quittance (Fig. 7), au-dessus
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d'une mention "total" Etant donne que, suivant'la présente invention, le mécanisme différentiel combine aux touches de débit est celui qui commande également le transport ou avance- ment du relevé ou quittance 68 représente'- en Fig.
7, il devient nécessaire de commender la butée à zéro 55 et de retenir celle-ci en position inactive, chaque fois que l'une des touches de crédit est enfoncée, de façon que le différentiel puisse déterminer la position voulue de la quittance pour impression à la ligne convenable correspondant à la .touche de débit 20 immédiatement adjacente à la touche de crédit 30
Par conséquent, chaque fois que le bras 62 est amené'en contact avec le téton 64 pour maintenir la butée à zéro 65 en position inactive,, ce téton 64 qui est normalement'en contact avec un bras 70 fixé à l'axe 56 (Fig.
2 et 3) et maintenu sous l'action d'un ressort 'il retiendra donc la butée 55 en position inactive puisque cette butée est également goupillée à 'l'axe 56. Il en résulte que le mécanisme différentiel coopérant avec les touches de débit 20 peut également être -de la manière quiva être décrite, par les touches de crédit 30 par l'intermédiaire d'une tige borgne 40.
On voit,, d'après ce qui précède, qu'une fois que la machine à commence son opération avec l'une des touches de grédit 30 enfoncée, la butée à zéro 55 est retenue en position inactive par le mécanisme que 1 'on vient de décrire.
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a1Jauy ?e Éou<:h& 1 ?iesõ Si aucune touche 30 n'est enfoncée, la butée zéro correspondante 65 est maintenue en position de retenue par un ressort 72 (Fig. 3 et 5) relie à un bras '?6 fixe à l'axe 66 mentionneci-dessus et sur lequella butée 65 est goupillée.
Les deux butées à zéro 55 et65 sont normalement maintenues dans leur position inactive, par des moyens pour son décrits plus loin, jusqu 1 Et ce que la machine soit déclenchée / fonctionnement et si toutes les touches de crédit .30 res- tent non, enfoncées, le ressort '72 fait pivoter le bras 73, l'axe 86 et la butés 65 dans le sens dextrorsum (Fig.5) pour amener cette butée 65 eo position active,dans laquelle elle retient le mécanisme différentiel de la- rangée des crédits en position zéro.
Comme mentionné plus haut, les deux butées 55 et 65 sont, -avant le déclenchement de la machine, maintenues dans leur position inactive ('représentée ) et un mécanisme que 1*on va décrire, vient au moment, où l'on fait fonction- ner la machine, libérer les butées 55 et 65 de la commande des touches 30.
Si l'on se réfère plus particulièrement ± la Fig.
6, on voit que la machine comporte un arbre dit de déclen- chôment ou de libération 75 sur lequel est goupille un bras '76 articulé par une biellette 77 à un bras 78 pivotant en 79. Un étrier 80 relie le bras 78 à un autrebras 81 portant un goujon 82.
Sur un moyeu 83 (Fig. 1, 2 et 6) supporte par des flasques 84 (dont un seul est représente en Fig. 1 et 2) pivote un bras 86 dont une arête 87 'est normale- ment en contact avec le goujon 82 sous l'action d'un ressort 88. Une autrebranche 89 du bras 86 présente un doigt 90
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dirige vers le bas et normalement en contact avec un gou- jon 91 du bras 73 décrit plus haut. Une partie de ce doigt 90 est représentée er Fig. 5.
Les pièces étant en position normale représentée en Fig. 6, avant 1! enclenchement de la machine, on voit que le doigt 90 maintient, par son contact avec le goujon 91, le bras 73, l'axe 66 et le butée à zéro 65 en position in- ,active, c'est-à-dire hors de trajet du mécaniome différen- tiel aménage dans la rangee des touches de crédit 30. En même temps,, le goujon 64 porte par la, butéeà zéro 65 main- tient lebras 70, l'axe 56 et la butée à zéro 55 en posi- c'est-à-dire tion inaoti ve hons .du trajet' du mécanisme différentiel d.e la rangée des touches de débit 20.
.Par des moyens connus dans la machine prise à titre d'exemple, lorsqu'on enclenche cette machine par l'action,.d'une touche motrice, l'arbre de libération 75 bascule immédiatement dans le sens dextrorsum (Fig. 6 ), ce qui, par la disposition des pièces, fait pivoter les bras 78 et 81 dans le sens contraire pour écarter le goujon 82 du trajet de l'arête, 87 et l'amener dans une position représentée en pointillé en 95. Sur ces entrefaites, le ressort 88 tire' le bras à double branche 86/89 dans-' le sens dextrorsum jusqu'à ce que ce soit une arête 96 qui vienne contacter le goujon 82.
Par ce mouvement, le doigt 90 vient se placer au-dessus, du goujon 91 permettant au ressort 72 de faire pivoter le bra's 73 et la butée 65 dans 'le sens dextrorsum jusqu'à ce que le goujon 64 vienne en contact avec le bras 62 qui permet 0 la butée d'arrêt 65 d'être amenée sur le trajet du mécanisme différentiel de la rangée des- touches de crédit 30 au cas où aucune des touches crédit n'est enfoncée.
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Lf' m01J.'\Tement du goujon 64 a pour effet de l'éloigner du bras 70 (:u-iL.. 2 ; et de libérer la butée c. zéro 65 de la commande des touches de débit 20, mais e"orn:a: une touche de" débit n'est enîcnéée que lorsqu 1 aucune des touches de crédit zozo n'est utilisée, l'enfoncement d'une touche 2.t5 'a ou pour effet de déplacer le coulisseau 60 vers le bas et d l' t J b' " 6 du trajet d ' . et d'écarter la butée a zéro 65 du trajet du mécanisme différentiel des débits, grâce il la chaîne mécanique
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décrite plus haut.
Au cours des mouvements que l'on vient de décrire,
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la butée à zéro 65 vient en position représentée en Fïy. 2 et la butée à zéro 65 aur2 été déplacée dans le s'ens dext- rorSt1m de la position représentes en Fig. 5 et 6, de sorte qutiJ¯ est de ramener cetve but4e 65 à la posi- ',.-!.on dé t'9.,. 6 qui est la position normale. Ceci est
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obtenu de* la manière suivante : vers la fin du fonctionnement
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de la machine, l'arbre d6 libération 75 reçoit un mouvement dans le sens sénos trorsum jusqu'à une position qui se trouve au-delà de la position drcrlgine. Par l'intermédiaire de la biellette 77 et des bras 78 et nul, le goujon 82 revient vers le haut dans unr, position repreaente'e en pointillé en 97 (Fig. 6 1.
Ceci pour effet du faire p5.<Tc.';<ar le bras é1611BQ> dans le sens sensstrorsum, de façon que 1''arête 9b du doigt 9(.' vienne agir sur le goujon 91, pour faire revenir le' bras 75 l''axe 66 et la but0 à zéro 65 â la position de Fig. 6,,-tores quoi l'arbre 75 .revient Idgeremant dans le sens àex."Ji<;rxu! à la position d'origine, ce qui ramons,
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d'une, part le goujon 82 9 sa position représentée en trait
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plein et, part, le oigt 90 en conto.et avec la partir? droite du goujon 91, de lî1snièl'e e â maintenir la butée 65 en position inactivA et, par son contact avec le bras 70, à
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maintenir l'axe 56 et la butée 55 en position normale.
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Ftëc.an5.srrc cl:
î¯. erea3iel - -, inWaii me différentiel est prévu dans la rangée des touches de débit 20 et ce mécanis- me comporte, de manière connue, un bras différentiel
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7¯duc (Fig. :1¯ et 2) pivotant sur le moyeu 82'1. Un cliquet 102 pivote en ICI sur le bras 100 etsur ce cliquet 102 pivote en 103 un bras 104 comportant un bec105 susceptible
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de s'engager' dans une-'das 3ïlCOCi2ES 106 pratiquées dans une plaque fixe 10'7 solidaire 3.u bâti de touches 21,. Un levier' coude 109, qui se trouve dans le plan des touches de débit 30, pivote en 102 sur le bras différentiel 100.
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1,8 cliquet 102 est i.e.t¯:'eiu par un ressort 1-10 en prise avec un ëpaulemenc 112 d'un entraîneur 111. A chaque opération de la 1118,C':J.ne} 1'entraîneur 111 reçoit un mouvement pendulaire constant, d'abord dans le sens dextrorsum, puis dans le sens contraire jusqu'à la position normale. Au cours du pre'nier mouvement:, 11 épaulement 112
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entrafne le bras différentiel 100 par l'intermédiare du cliquet 102 jusqu'à ce que l'extrémité du levier coudé 109 rencontre le pied de la touche 20 enfoncée, après quoi la
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continuation du mouvement de l! 6r:
r!1'alnel.ll 111 a pour effet . de faire basculer le levier coude 109 dans le sens s<;nesï,ro7sun ce qui, grâce au bras 104 dégage le clique-t 102 de 1 f.ips.ulemen'c il'2 et produië l'engagement du bec 105 du bras 104 avec une des encoches 106. L'entraîneur 111 continue son mouvement :La sens dextrorsum et son arête 113 glisse le long du cliquet 102 en le maintenant, ainsi
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que le bras différE'nt5.61 1!)D, dans une position correspond- ant à la touche de débit 20 enfoncée. rs mouvement de 1', 1 en"c raînetà III est as suré par le mécanisme suivant;'une biellette 114 relie l'entraîneur
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111 à un levier 115 à trois branches pivotant en 116 sur le flasque 84.
Ce levier 115 porte deux galets Il'7 et 118 coopérant avec une double came 119/120 fixée sur un
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arbre principal 121. Ce dernier; à chaque @pérat:ion, est anime d'un mouvement rotatif complet. Il fait donc.tour - ner 1a. double came 119/120 dans le sens d?]ç/j'rorsllm, ce qui imprime an mouvement basculant s-u levier 116 et p2#' COl1s.rJ-, cSUCiW 3 l'entraîneur 1--il. tout d'abord dans le sens d!xY-. trorsum, L':L.. dans le sens contraire.
' Au moment où l'entraîneur revient en position normale, une de ses arêtes 130 vient contacter un goujon 131 porte par le bras différentiel 100 et ramone ce dernier
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à la position normale de F 19. 2.....
La mise en position différentielle du bras 100 est transmise par un balancier 132 articule en 133 sur le
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bras et relie, par une partie fourchue, â un. galet 135 p-srie pa'r une bielle' 154. L'extrémité inférieure de la bielle 154 est articulée à un or8S 156 dont l'objet est de fixer 'la position d'un mécanisme commandant .le déplacement du
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document à imprimer (la quittance 68 représentée en Fig. ,-. r ) pour la sélection de la J5gne appropriée et'correspondant a la toucha 20 qui a été E,nfo1}cè(:...
Le '.ffi'canismp de trans- port du (JO(1.:tX'd.0nt n'ast pas. 1')0reerr'ê' ici mise en position du balancier 152, die la bielle 154 et du bras 156 s'effectue coBraie suit: alors q1.1J:. le 0}a CL7.".L Lï'c'7Il CiF .1 OC) se déplace vers le haut, l'extrémité du gauche du. 1:,alG.11c;.:teJ) 152 pivote dans le sens de.:t:-crorf)'n.TI1 autour du centre du moyeu 8) 'qui se trouve en contact avec un manchon 137 entourant le moyeu 85.
Lors-
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que 18 moyeu 115 bascule C.S.1?û le sens dextrorsum:, un galet :Ú'>8 vient contacter une a.:.,é"ve 159 du balancier 158 et
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maintient calle-ci en contact avec la manchon 137 de man ière à fixer la position de la bielle 134 et du bras 136 en concordance avec celle du bras 100. Lorsque ce dernier est ramené en position normale, 1'extrémité de gauche du
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balancier J.32 se déplace vers le bas autour du galets comme centre de pivotement, de sorte que ni la, bielle 134, ni le bras 136 ne peuvent se déplacer ; ilsrestent bloqués dans les positions dans lesquelles il ont été amenés.
Au cours d'une opération subséquente, une autre touche 20
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est :par 'c;r;n,¯11'e e-.0fon(,ér. Une fois que le bras 100 a dans été m1s/1a position correspondant a la nouvelle touche, le galet 158 vient contacter l'arête 139, et déplace la b1(?11,''\ 154 et le bras 136 jusqu'à ce que le- partie supér- ieure du balancier 152 touche le manchon' 13'7, mettant ainsi la bielln 154 et le bra's :¯36 dans une position correspond- ant à celle de la nouvelle touche utilisée.
On voit, d'après ce qui précède, que la quittance 68 représentée en Fig. 7 peut ainsi être amenée à une position d'impression qui correspond à la touche de débit 20 enfoncer.
Comme! indique plus haut, si l'adonné possède un
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crédit, par exemple pour ;.es oornmunicationd urbaines, il est des ira oie que ce crédit soit ilnpr.il1é sur 12. même ligne, en regard du texte approprie, que celle sur laquelle un débit "Service Urbain" aurait été imprimé. C'est pour- quoi il. es nécessaire que le mécanisme différentiel qui co'mmando; le déplacement do la quittance soit aussi commande par les 'touches de crédit 30. Ceci est obtenu par le fait
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'que chaque -bouche de crédit 3C) actionne une touche borgne 40 qui, à son tour, commande le mécanisme différentiel des débits.
On a vu en effet que la touche 30 comporte un
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goujon 36 disposé immédiatement au-dessus du. goujon 46 de la -touche borgne 40, de telle sorte que, si une touche crodit 30 est enfoncée, elle entraine la touche 40 corres- pondante .
Lorsqu'elles sont enfoncées, les touches borgnes 40 se trouvent sur le trajet d'un bras 141 (Fig. 1 et 4)
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fixe à un moyeu'14S solidaire d'un bras 1:3 muni d'une lumière coopérant avec un goujon 144 porté par le levier coudé 10ç .disposé, on l'a vu, dans le mécanisme différen- tiel des débits. Pour augmenter la rigidité des pièces, les bras 141 et 143 sont relies par un rivet 145.
Par conséquent, lorsqu'on enfonce une touche de
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crédit 5CÎ par exemple celle désignée par "Service Vrbain" la touche borgne correspondante 40 'est ,entraînée sur le trajet du bras 141 et lorsque le bras différentiel 100 est déplacé vers le haut, la goupille 144 du levier coude 109,.
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produit la rotation dextrorsUli1 du bras 143, du moyeu 142 et du bras 141 jusqu'à ce que l'extrémité de ce dernier vienne contacter le pied de la touche ,40 enfoncée, position à laquelle le bras est stoppe. Cet arrêt fait basculer lelevier coude' 109 dans lesens senestrorsum et dégage
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le cliquet 102 de l'entraîneur 11.î-.
La "iti88' en position différentielle des bras 141/145 a pour eii?c;."5 d'amener 1P bras 100 a. la position ".<rr¯'.r.-: Ul'baini! mais cette fois sous la cOIrmlQ.1Jd( des touches d? crédit 30, après quoi 1'-.' balancier 132 positionne la bielle 134 et le bras 156 da :('8JOD que la quittance 68 (Flg. 7 soit amenée à la ligne d'impression IIServic'3 Urbain". Da cette façon, un crédit urbain est imprimé sur la même ligne qu'un débit urbain.
Lorsque l'entraîneur 111 revient à sa position
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prim:U;iv0, le bras difféx ontiol 100 est également ramena
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i sa position normale et la liaison l1l(1caniquWAntl"f} le levier coude 109 et le bras 143 ramené ce dernier ainsi que le bras 141 à leur position normale.pendant le fonctionnement
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de la machine au cours de laqu811e une touche de crédit 50 j a été utilisée, la butée a'zéro G5. a été maintenue en pos- ition inactive grâce à la goupille 64 du bras 70 et à l'axe 66 qui'maintient également;
la butée 65 en position ce inactive,/qui permet au mécanisme différentiel des débits de prendra une position correspondant- à la touche de crédit.
On a prévu également un mécanisme différentiel associe 'à la rangée de touches de crédit 30 pour la mise en
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position différentielle des caractères O.r ;.1i1'î::5.".'ti'lCr7¯t destines à designer la naturedu crédit à enregistrer et à imprimer.
Ce mécanisme différentiel comporte un bras différentiel
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150 :i'ig. 1) portant un'levier coude 151 relie par une gou- pille 152 à un bras 153. Ces éléments sont respectivement identiques aux pièces 100, 109 et 143 de l'autre-mécanisme différentiel déjà décrit. Le bras 150 porte également un cliquet (nonreprésente'), mais qui, comme le cliquet 102,
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est commande par un entraîneur identique a 1'- i e=n"tra:iIneui< .L11.
Le mode opératoire ressort déjà su:'fif::a1j1ment olpirement da la description Ck:1 mécanismes qui vient G1. 'tYc :l'i*:1-"51: . 0).-, ajoutera cependant, que la machin-:- v3011'tr2il,,^, à ?.p :.Ilvi'1-:¯Oï! comporte plusieurs rel1gc;e, de "t:'(Y'J.C,]:lÎ.)3 de ..Uï!!;'2lc.:JC:<? combinées avec un mécanisme Ct'i î':4vrc'L?'i::l.^'¯ qui, à soii tour. assure ].a mise en position différentielle du c.o.tJJn81']t à imprimer.. Ce mécanisme différentiel est amén- age d.l'; :(iL'.Tl¯i 0:t'-l3 à pcuvoir commander une autre rangée do touchas par .ï¯ .n'GGrlGl2dic^::L.:'t; Q.'Liz mécanisme nouveau produisant
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le déplacement différentiel du document dans la même position que celle qui est commandée par des touches de même désignation, mais disposée dans une autre rangée.
REVENDICATIONS.
1. Caisse enregistreuse et machine comptable analogue comprenant plusieurs groupes d'organes manuels et des mécanismes différentiels commandés par ces organes, caract- érisée par le fait qu'elle comporte au moins deux groupes de ces organes manuels, un mécanisme différentiel commandé directement par l'un de ces groupes et des dispositifs intermédiaires disposés entre le second groupe d'organes manuels et le mécanisme différentiel, dispositifs aménagés de façon que l'actionnement de l'un quelconque des organes manuels du second groupe ait pour effet d'assurer la mise en position du mécanisme différentiel sur une même amplitude que celle qui est obtenue par un organe manuel de même nature, mais disposé dans l'autre groupe.