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Il Perfectionnements aux machines comptables commandées par cartes perforées ".
La présente invention est relative aux machines comptables du type commande par cartes enregistreuses, et a pour objet prin- cipal une machine susceptible d'être alimentée simultanément avec deux séries distinotes de cartes enregistreuses dont les indiaa- tions numériques sont explorées ou analysées par deux dispositifs analyseurs distincts, de manière à oommander des mécanismes d'en- registrement et de calcul communs en vue de la préparation d'une facture ou d'un bilan complet.
Beaucoup d'établissements commerciaux ont l'habitude d'éta- blir un dossier de cartes dites " cartes maîtresses " qui portent
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l'indication du nom et de l'adresse relatifs à divers comptes, classées par ordre alphabétique, et comprenant en outre une ou plusieurs cartes renfermant des renseignements supplémentaires.
On établit d'autre part un dossier séparé de cartes dites cartes de détail Il classées par ordre alphabétique et renfer- mant des indications concernant diverses opérations commerciales.
En vue de la préparation d'une facture pour chaque compte, il est actuellement nécessaire, en se servant des dispositifs exis- tant dans la technique antérieure, de combiner ces deux dossiers en un dossier unique classé par ordre alphabétique dans lequel les cartes maîtresses sont classées à côté des cartes de détail correspondantes, et de passer ensuite ces cartes à travers une machine comptable qui prépare la facture. ensuite, s'il faut que les cartes soient ramenées à leur ordre de classement primi- tif il est nécessaire de séparer les cartes maîtresses des car- tes de détail. Il faut par suite effectuer trois opérations sé- parées successives, et, quand il s'agit d'un nombre important de cartes, la perte de temps est considérable, sans parler des risques d'erreurs de classement des cartes pouvant résulter de ces manipulations fréquentes.
La présente invention a pour objet une machine susceptible de recevoir séparément deux jeux de cartes et contenant des mé- canismes d'alimentation et d'analyse séparés pour chaque jeu, ainsi qu'un mécanisme comparateur ou unité de comparaison assu- rant l'avance des cartes et leur analyse dans le même ordre ou la même succession que si ces deux jeux avaient été rassemblés en un seul pour être ensuite analysés successivement. Les dis- positifs imprimeurs et calculateurs sont commandés par ces car- tes à mesure que celles-ci sont analysées et les cartes sont ensuite placées dans des poches ou réceptacles séparés dans leur ordre primitif.
Ainsi, des résultats qui exigaient antérieure- ment des manutentions répétas des cartes sont réalisés dans une
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machine unique et par un seul passage des cartes à travers celle-ci.
On prévoit des dispositifs à réglage sélectif tels que, si on le désire, les deux jeux de cartes peuvent être rassemblés en un seul jeu classé par ordre alphabétique, en même temps que se font les opérations d'analyse et d'enregistrement.
Suivant une autre caractéristique de l'invention on pré- voit la possibilité de séparer, en les faisant passer dans une poche spéciale, les cartes maîtresses auxquelles ne correspond aucune carte de détail.
L'invention vise d'autre part des dispositifs permettant aux cartes maîtresses auxquelles ne correspond aucune carte de détail de traverser la machine sans faire fonctionner les dis- positifs d'enregistrement ou de calcul, et assurant de même le passage à travers la machine des cartes de détail auxquelles ne correspond aucune carte maîtresse. Grâce à des dispositifs à réglage sélectif, il est possible d'assurer automatiquement la séparation de ces cartes maîtresses et de ces cartes de dé- tail non apairées et leurs introductions dans des poches indé- pendantes.
L'invention vise d'une manière plus particulière un méca- nisme comparateur alphabétique perfectionné décelant l'égalité ou l'inégalité des indications de deux cartes opposées.
D'autres objets et caractéristiques de l'invention ressor- tiront de la description qui suit, faite en référence au dessin annexé qui illustre à titre d'exemple le moyen général, objet de l'invention et le mode de réalisation préféré de celui-ci.
Sur le dessin : La. figure 1 est une coupe centrale du mécanisme de distri- bution ou d'alimentation et d'analyse des cartes.
La figure la,est un détail d'un levier et d'un contact de cartes de magasin.
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La figure 2 est une vue représentant la commande d'en- traînement du mécanisme de distribution des cartes.
La figure 3 est une autre vue du mécanisme d'entraînement des dispositifs d'alimentation en cartes, montrant en outre l'emplacement des divers dispositifs de commande des contacts de leviers de cartes.
La figure 4 est une vue à plus grande échelle de l'un des embrayages de distribution des cartes, cette vue étant faite en coupe sensiblement suivant la ligne 4 - 4 de la figure 2.
La figure 4a est un diagramme montrant l'ordre dans lequel il y a lieu de disposer les figures du schéma électrique.
La figure 5 est un détail à plus grande échelle des pièces représentées sur la figure 1 pour la commande de distribution des cartes.
La figure 6 est une vue faite en. principe suivant les lignes 6 - 6 de la figure 5.
La figure 7 est une vue de détail montrant la forme des extrémités des lames distributrices des cartes.
La figure 8 est une vue du mécanisme imprimeur.
La figure 9 est une vue du mécanisme d'interlignage.
La. figure 10 est une vue nontrant les éléments essentiels d'un des ordres d'unités du mécanisme accumulateur.
La figure 11 est une vue en coupe suivant la ligne Il - 11 de la figure 10, dans le sens des flèches.
La figure 12 est une vue de détail d'un commutateur d'a- vance pas à pas.
La figure 13 est un échantillon d'une facture destinée à être préparée par la machine sous la commande des cartes enre- gistreuses.
La figure 14 est une vue montrant la disposition des car- tes dans les deux jeux séparés de cartes maîtresses et de cartes de détail.
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La figure 15 est un fragment d'une carte enregistreuse montrant le mode d'enregistrement des diverses indications ou renseignements qu'elle porte.
La figure 16 est un diagramme des temps ou de synchroni- sation des dispositifs de contacts commandés par cames; et
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Les figures 17a, i,7b, 17c et 17d disposées comme indiqué sur la figure 4a constituent un schéma de câblage des circuits électriques de la machine.
CARTES ENREGISTREUSES.
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Las cartes enregistreuses qui commandent les machines sont du type Hollerith bien connu ( figure 15 ) renfermant douze ran-: gées horizontales de positions indicatrices. La carte contient des colonnes dans lesquelles les caractères numériques ou alpha- bétiques sont renregistrês au moyen de perforations suivant un code simple ou combinatoire, grâce auquel les divers caractères sont représentes de la manière suivante
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<tb> Caractères <SEP> : <SEP> Positions <SEP> : <SEP> Caractères <SEP> : <SEP> Positions <SEP> : <SEP>
<tb>
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A R-l y ........ s-l B ............ R-2 K X-8 C R-3 L ........ X-3
EMI5.4
<tb> D <SEP> R-4 <SEP> M <SEP> X-4
<tb> R-5 <SEP> N <SEP> X-5
<tb>
EMI5.5
F R-6 ........
Bzz67
EMI5.6
<tb> G <SEP> R-7 <SEP> ........ <SEP> X-7
<tb> H <SEP> R-8 <SEP> Q, <SEP> ........ <SEP> X-8
<tb>
EMI5.7
............ R-9 R ........ X-9
EMI5.8
<tb> S............ <SEP> C-2 <SEP> 0
<tb>
EMI5.9
T fi3-
EMI5.10
<tb> U <SEP> 0-4
<tb> V <SEP> ............ <SEP> 0-5 <SEP> ........
<tb>
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'll1f" ............ 0-6 4 X ............ 0-7 5 ........ 5 Y ............ 0-8 6 ........ 6 Z ............ ou 7 ........ 7 Suivant le code ci-dessus, la carte de la figure 5 est
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perforée pour représenter le nom J'QHN SUITE à l'extrémité de gauche de la carte.
Dans le but de la constitution d'un dossier
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et d'un contrôle mécanique, toutes les cartes enregistreuses portant des renseignements relatifs au compte de JOHN SMITH Pré- sentent la même zone de gauche perforée au non SMITH ou, au cas où. le non. de famille ne constitue pas un moyen d'identification suffisant, toutes les cartes peuvent 'être perforées du nom com- plet. Une seconde zone de la carte est réservée à l'indication de la rue ou à la ville et au département. Une autre zone encore est réservée à des indications représentant une somme. On pré- voit en outre sur les cartes des colonnes réservées à des perfo- rations spéciales dans les positions indicatrices X et destinées à représenter des renseignements divers.
En se reportant à la figure 14 on voit deux jeux de cartes, la série de cartes maîtresses et la série de cartes de détail, chacune comprenant un certain nombre de cartes se rapportant au compte identifié comme étant celui de JOHN SMITH, et chacune de ces cartes contient des perforations représentant ce. nom.
En outre les cartes renferment les renseignements suivants :
Carte maîtresse 1 Le prénom : JOHN " " Rue etN " " La ville et le département " " 4 Des renseignements explicatifs et une somme " " 5 " " " Panai les cartes maîtresses, les trois premières sont di- tes cartes d'adresse, et pour les distinguer des autres cartes maîtresses ces dernières sont munies d'une perforation spéciale dans la position indicatrice ; d'une colonne déterminée, cette perforation portant la référence 10 ( figures 14 et 15 ). Quand la somme portée est débitrice, une nouvelle perforation X por- tant la référence 11 est faite dans une autre colonne déterminée afin d'avertir la machine que cette quantité est à retrancher.
Enfin chacune des cartes maîtresses que l'on désire retirer de
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la pile de cartes au cours d'une manoeuvre de la machine est perforée d'un autre trou X portant la référence 12 sur le des- sin. Dans la.série de cartes de détail toutes les cartes sont perforées de trous destinés à donner des indications explicati- ves ainsi qu'une somme, et en outre, d'un trou X ( référence 11 sur le dessin ) dans celles des cartes pour lesquelles cette somme doit âtre retranchée.
La figure 13 montre une facture qui doit être préparée par le groupe de cartes de la figure 14 pour le compte SMITH. Un examen de cette facture montre que les cartes du jeu de cartes maîtresses doivent imprimer l'adresse et, qu'après que l'inter- lignage a été effectué, les cartes maîtresses restantes doivent imprimer leurs indications, et qu'enfin les indications prove- nant des cartes de détail sont imprimées sur les lignes succes- sives. Pendant que s'effectue cette impression, les zones des différentes cartes réservées à la somme numérique commandant les dispositifs calculateurs qui ajoutent ou retranchent d'une façon sélective les sommes portées et assurent l'impression du total sur la dernière ligne de la facture.
Ainsi qu'on l'expliquera par la suite, les cartes à mesure qu'elles traversent la machine peuvent être redistribuées afin d'être rassemblées en un jeu unique dans lequel les cartes maîtresses précèdent les cartes de détail pour constituer ainsi, un groupe unique, ou encore les cartes peuvent être divisées en trois groupes dont le premier renferme les trois cartes-adresses, le second les quatrième et cinquième cartes maîtresses, le troisième groupe conservant les cartes de détail. La manière dont ces diverses opérations sont effectuées sera pleinement expliquée par la suite.
Avant d'entreprendre l'explication du fonctionnement de la machine, on va brièvement décrire les unités distinctes de celle- ci, après quoi on va en déduire le fonctionnement de l'ensemble du système et expliquer la suite des opérations en conjonction
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avec le schéma, électrique.
MECANISME DISTRIBUTEUR DE CARTES.
En se reportant à la figure 1 on voit que les cartes maî- tresses sont placées dans le magasin 13 d'où. elles sont ditri- buées une à une par un distributeur 14 à mouvement alternatif vers des couples de rouleaux d'alimentation 15 qui font avancer les cartes horizontalement devant un prenier jeu de balais ana- lyseurs M1, et un second jeu de balais analyseurs M2. Les balais M1 et M2 établissent un contact électrique, à travers les per- forations des cartes enregistreuses, avec des rouleaux de con- tact 16 et 17 respectivement, ces rouleaux jouant en même tenps le rôle de rouleaux d'alimentation ou d'avancement des cartes.
Les cartes de détail sont placées dans le magasin 18 d'où elles sont distribuées une à une par un distributeur 19 à mouvement alternatif vers les couples de rouleaux d'alimentation ou d'a- vancement 20 qui font avancer les cartes le long d'un plan in- cliné devant les balais analyseurs Dl et D2 qui établissent un contact électrique à travers les perforations avec des rouleaux de contacts 21 et 22 respectivement.
Les rouleaux inférieurs 15 et les rouleaux de contact 16 et 17 sont calés sur des arbres portant la référence générale 23 dont les extrémités ( voir figure 2 ) portent des pignons 24 qui engrènent avec des pignons 25 calés sur un arbre horizontal 26. De même les arbres 27 qui portent les rouleaux supérieurs 20 et les rouleaux de contact 21 et 22 portent à leur extrémité des pignons 28 ( voir figure 2 ) qui engrènent avec des pignons 29 calés sur un arbre incliné 30. La figure 2 montre, un arbre 31 dont l'axe est aligné avec celui de l'arbre 26 et qui est entraîné en rotation continue par une source d'énergie appro- priée telle qu'un moteur électrique ( non représenté ).
L'arbre 31 peut être accouplé aux arbres 26 ou 30 pour les entraîner au moyen d'embrayages convenables dont on va maintenant décrire
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celui qui correspond à l'arbre 26 à cartes maîtresses.
En se reportant à la figure 4 on voit que l'arbre 31 porte à son extrémité un organe moteur 32 encoche qui par suite est aligné d'un mouvement continu de rotation. Dans le plan de1' élément 32 est disposé un taquet d'embrayage 33 articulé en 34 sur un bras 35 calé sur l'arbre 26 des cartes maîtresses. Le taquet 33 est normalement sollicité par un ressort 36 vers 1' élément moteur 32. mais est maintenu par un verrou 37 articulé en 38 et qui est solidaire de l'armature 39 d'un électro-aimant d'embrayage 40.
Lors de l'excitation de l'électro-aimant 40, l'armature 39 et le verrou 37 oscillent dans le sens des aiguil- ; les d'une montre autour d'un pivot 38 et libèrent le taquet 33 pour lui permettre de venir en prise avec l'élément 32, ce qui assure l'accouplement de l'arbre 26 à l'arbre 31, et l'arbre 26 effectue une rotation complète, au terme de laquelle le taquet 33 est repris par le verrou 37 et le fonctionnement est inter- rompu, à moins que l'électro-aimant 40 ne soit maintenu en exci- tation. Le. mécanisme d'embrayage de la figure 4 est pourvu du levier culbuteur d'embrayage usuel 41 dont le galet roule sur une came 42 pendant la rotation des pièces, de manière à réali- ser l'actionnement positif du verrou 37 et de l'armature 39.
En somme et plus généralement, l'électro-aimant 40 com- mande un embrayage du type à une révolution, par le moyen du- quel l'arbre 26 est accouplé à l'arbre à rotation continue 31.
L'arbre 31 ( figure 2 ) entraîne par l'intermédiaire d'un engre- nage d'angle 44 un élément d'embrayage 32a qui correspond à l'élément d'embrayage 32, et cela par l'intermédiaire d'un mé- canisme d'embrayage à une révolution identique à celui décrit à propos de l'arbre à cartes maîtresses. L'arbre à cartes de détail 30 peut âtre embrayé par l'excitation d'un électro-aimant 43 correspondant à l'électro-aimant 40. L'arbre 31 entraîne par l'intermédiaire de pignons 45 et 46 un certain nombre d'arbres
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47 auxquels sont fixés ( figure 1 ) les rouleaux inférieurs fai- sant partie de couples de rouleaux d'entraînement 40 qui sont ainsi aninés d'une rotation continue.
En se reportant à la figure 3 on voit que l'arbre de droi- te 47 entraîne ¯par l'intermédiaire d'engrenages désignés globa- lement par la référence 49 deux arbres 50 et 51 dans des sens de rotation opposés. En se reportant aux figures 1,5 et 6 on voit que l'arbre 50 porte des rouleaux 52 qui coopèrent avec des rouleaux 53 montés fous sur un arbre intermédiaire 54, et que l'arbre 51 porte des rouleaux 55 qui coopèrent avec des rouleaux 56 montés fous sur l'arbre intermédiaire 54.
On remar- quera que par l'intermédiaire des transmissions à engrenage ain- si définies les arbres 50 et 51 ainsi que les rouleaux 53 et 56 sont animés d'une rotation continue, de sorte qu'au moment où la carte maîtresse ou la carte de détail est avancée vers ces rouleaux, elle sera echeminée vers les rouleaux 48 et de là vers l'une des quatre poches P1, P2, P3 ou P4 suivant les besoins de la distribution établis à ltavance ainsi qu'on va l'expliquer un peu plus loin.
Sur la figure 2, l'un des arbres 23 entraîne un arbre 57 par l'intermédiaire de pignons 58 et l'un des arbres 27 entraîne un arbre 57a par l'intermédiaire d'un train d'engrenage 59. sur la figure 1 ces arbres 57 et 57a portent des cames 60 et 60a respectivement pour assurer la commande de leurs distributeurs de cartes respectifs 14 et 19, par l'intermédiaire des liaisons représentées.
En se reportant à la figure la on voit que le magasin 13 est muni du levier de cartes pivotant usuel 61 qui sert à main- tenir fermés deux contacts. 62m tant qu'il y a des cartes dans le magasin des cartes maîtresses 13. Une paire de contacts si- milaires est prévue pour le magasin 18 des cartes de détail, ces contacts étant désignés sur le schéma de la figure 17d par
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la référence 62D.
En se reportant aux figures 1 et 5, on voit que les cartes maîtresses et les cartes de détail après avoir traversé les rou- leaux 52, 53, 55 arrivent vers un jeu de lames distributrices ( figure 7 ) 63, 64, 65et 66. Ces lames sont disposées de telle manière qu'elles occupent normalement les positions représentées sur la figure 5, sous lesquelles toutes les cartes sont guidées vers l'ouverture ou le passage existant entre les lames 63 et 64, ce passage dirigeant les cartes vers la deuxième poche P2 ( figure 1 ). La lame 63 peut avoir son extrémité relevée de sorte que la carte de détail passe en dessous de la lame auquel cas cette carte entrera dans la poche P1.
L'extrémité de droite de la lame 64 peut être abaissée en dessous de la trajectoire de la carte, auquel cas il s'établit un passage entre les lames 64 et 65, à travers lequel la carte maitresse sera guidée vers la troisième poche P3. Enfin l'extrémité de droite de la lame 65 peut être abaissée en dessous du niveau de la carte maîtresse, auquel cas, ainsi qu'il est évident d'après la figure 7, la lama 64 est elle aussi abaissée et la carte pénètre dans le passage ménagé entre les lames 65 et 66 pour être acheminée dans la dernière poche P4.
En modifiant ainsi la position d'extrémité des lames 63, 64 et 65 il est possible de diriger sélectivement les cartes maîtresses vers l'une quelconque des poches P2, P3 et P4 et les cartes de détail vers l'une ou l'autre des poches P1 et P2 Le mécanisme de déplacement de l'extrémité des lames est commandé par les électro-aimants S1, S3 et S4 ( figures 5 et 6 ) dont on va maintenant décrire le fonctionnement.
Les électro-aimants S3 et S4 sont montés de façon appro- priée dans un support 67 et chacun est pourvu d'une armature 68.
Ces armatures sont prévues avec une saillie 69 et un orifice 70 auxquels s'accrochent des crochets faisant partie de bras 71
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articulés en 72. Ainsi, chacune des deux armatures 68 maintient le bras 71 correspondant normalement en position élevée, dans un cas grâce à l'engagement de son bras avec la saillie 69 et dans l'autre contre le bord inférieur de l'orifice 70. Le bras 71 de commande des lames correspondant à 1'électro-aimant S3 porte un axe 73 sur lequel est montéun galet coopérant avec une came 74 calée, sur l'arbre 50 ; un ressort 75 sollicite nor- malement le galet contre la périphérie de la came.
La est prévue de telle sorte que le bras 71 s'élève légèrement au cours de chaque révolution de l'arbre 50, de Manière à libérer la par- tie en forme de crochet du bras 71 d'avecl'armature 68 et à décharger les électro-aimants S3 et S4 de l'effort résultant du frottement des pièces. L'axe 73 coopère avec une encoche du bras 71 de 1'électro-aimant S4 pour maintenir ce bras relevé contre la tension antagoniste du ressort75. Ainsi les bras 71 sont commandés tous deux par une mené came.
Si 1'électro-aimant S3 est excité, son bras 71 est libéré et peut suivre la came, ce qui entraîne la rotation du bras associé 71, dans le sens inver- se des aiguilles d'une montre, Quand c'est l'électro-aimant S4 qui est excité son armature 68 fait aussi basculer par l'inter- médiaire d'une saillie 76, l'armature 68 de 1'électro-aimant S3 de sorte que les deux bras 71 basculent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre selon la figure 5.
Les bras 71 ont une forme générale en L avec leur extrémité libre en prise avec les lames 64 et 65 de sorte que lorsque les bras 71 sont libé- rés par les électro-aimants correspondants, la lame 64 seule ou les lames 64 et 65 toutes deux se déplacent de manière à déter- miner le passage voulu pour recevoir la carte maîtresse. L'élec- tre-aimant S1 commande un mécanisme analogue dont les éléments sont désignés par les mêmes références suivis de la lettre a;
Ainsi quand 1'électro-aimant S1 est excité il attire l'armature 68a ce qui libère le orochet du bras 7 la et permet à un ressort
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75a. de faire basculer le bras dans le sens des aiguilles d'une montre autour de son pivot 72a, et l'extrémité libre du bras actionne l'extrémité de la lame 63 pour lui faire occuper la: position voulue pour faire pénétrer les cartes de détail dans la poche P1. Les arbres 50 et 51 sont pourvus de la came usuelle destinée à ramener positivement les armatures 68 et 68a à leur position primitive après qu'elles ont été basculées.
En se reportant à la figure 2, on voit que l'arbre 31 en- traîne par l'intermédiaire de l'un des arbres 47 et d'engrenages désignés globalement par la référence 77 deux arbres 78 sur les- quels sont montés des dispositifs pour la commande de contacts, ces contacts étant représentés par la référence générale C et dont le nombre et la synchronisation sont indiqués sur la figure 16. Ces dispositifs sont en fonctionnement continu tant que la machine fonctionne. Un arbre 80 est entraîné à partir de l'arbre de droite 23 par l'intermédiaire d'engrenages 79, et l'arbre 80 ne tourne que tant que le mécanisme distributeur de cartes maî- tresses est embrayé et fonctionne.
Sur cet arbre sont disposées des cames en nombre convenable pour commander les contacts dé- signés d'une façon générale par la référence M, et de la même manière l'arbre 57a du mécanisme distributeur des cartes de dé- tail porte un certain nombre de cames qui commandent des contacts désignés par la référence générale D dont le nombre et la syn- chronisation sont aussi représentés sur la figure 16. Ainsi les contacts C ont un fonctionnement continu, les contacts M ne fonc- tionnent qu'aussi longtemps que le mécanisme distributeur de car- tes maîtresses est embrayé et les contacts D ne fonctionnent que tant que le mécanisme distributeur des cartes de détail est em- brayé.
En se reportant à la figure 3 on voit que des leviers de cartes usuels sont prévus et disposés dans les trajectoires des cartes maîtresses et des cartes de détail. Ces leviers de cartes portent la référence générale 81. Chacun d'eux forme une paire
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de lames de contacts portant la référence générale 82, puis se ferme au moment où une carte s'est rapprochée d'une distance déterminée du jeu correspondant de balais analyseurs M1, M2, Dl, D2. Ces contacts de leviers de cartes sont représentés dans le schéma électrique ( figure 17d ) à propos duquel leur rôle sera expliqué.
MECANISME D'IMPRESSION.
Sur la figure 8 l'arbre 78 représenté est celui des deux arbres 78 de la figure 2 qui est le plus élevé, et il est par suite animé d'une rotation continue, effectuant un tour pour chaque cycle de fonctionnement de la machine. Le mécanisme d'im- pression, qui prend son mouvement de cet arbre est d'un type bien connu décrit dans le brevet américain N 2 199 561 du 7 Mai 1940, et ce mécanisme ne sera par suite décrit que sommaire- ment.
L'arbre 78 est relié par engrenages aux arbres 85 et 86 comme expliqué dans ledit brevet, de manière telle que ces arbres accomplissent deux tours pour chaque tour de l'arbre 78. sur l'arbre 85 est calé un plateau d'embrayage 87 à encoches, près duquel est monté un pignon fou 88 sur lequel pivote un clique!., d'embrayage 89 taré par un ressort, ce cliquet étant normalement maintenu par un bras de débrayage 90 de manière à maintenir le bec d'embrayage 91 hors de prise avec une encoche d'embrayage du plateau d'embrayage 87.
L'embrayage qui vient d'être décrit constitue l'embrayage distributeur des caractères d'impression et provoque la rotation différentielle d'une roue d'impression 92. Pour assurer la rota- tion de la roue à caractères 92, le pignon 88 engrène avec un pignon fou 93 monté sur un arbre 94, et le pignon 93 engrène avec la roue ou pignon porte-types 92 qui porte les types ou caractères numériques O - 9 inclus et qui comprend le groupe de caractères numériques, les caractères numériques étant espacés les uns des autres de quatre dents. La figure 8 montre la dispo-
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sition des dispositifs d'impression pour un ordre unique d'uni- tés, et la. machine est de préférence pourvue d'un dispositif identique pour l'impression des chiffres des différents ordres d'unités.
La carte est perforée de trous pour représenter les chif- fres de 0 à 9, et passe sous les balais analyseurs M2, D2 ( fi- gure 1 ) afin d'explorer les positions indicatrices dans l'ordre 9, 8, 7, ., O. quand le balai analyseur M2 ou D2 rencontre une perforation, un circuit s'établit qui comprend un électro-aimant de commande d'impression 95, qui correspond à chaque colonne explorée. Lorsqu'un, électro-aimant de commande d'impression 95 est excité, son armature 96 est attirée de manière à tirer vers la droite un câble de traction ou tirette 97. Celle-ci comporte une tête comprenant des saillies 98 et 99, la saillie 98 portant normalement contre la saillie d'un bras 100 qui prolonge vers le bas le bras de débrayage 90 et fait corps avec lui.
L'engage- ment normal de la saillie 98 avec le bras 100 est maintenu pen- dant tout le temps que dure l'analyse des perforations 9,8, 7, 6,5, 4, 3, 2 et 1 pour provoquer ainsi l'oscillation du bras de débrayage 90. Le cliquet d'embrayage 89 est alors pivoté par son ressort de manière que son bec 91 s'engage dans une encoche déterminée du plateau d'embrayage 87 et provoque ainsi la rota- tion de l'engrenage 88 et, par l'intermédiaire du pignon fou 93, la rotation de la roue porte-types 92. si le " 9 " ou la pre- mière perforation avait été analysée, le plateau d'embrayage 87 tournerait d'un cran avant que l'embrayage ne se fasse à la suite de l'excitation de l'éleotro-aimant 95. La roue d'impres- sion 92 tournerait ensuite de manière à amener le caractère nu- mérique " 9 " en regard de la ligne d'impression.
De cette manière les roues porte-types d'impression sont actionnées à des instants successifs de sorte qu'en un point dé- terminé du cycle du fonctionnement de la machine, les roues
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imprimeuses présentent les chiffres choisis devant la ligne d' impression : il y a lieu de remarquer que le type tt 0 il se trou- ve normalement devant la ligne d'impression et que par suite aucun déplacement des roues d'impression n'est nécessaire pour
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la sélection d'un fi 0 fi à imprimer.
Onvoit que l'extrémité libre du câble de traction ou de la tirette 97 passe entre une tige 101 et l'une des barres 102 d'un cadre coudé articulé en 103. L'un des bras latéraux du ca- dre présente un bras d'asservissement 104 dirigé vers le bas et portant un galet 105 coopérant avecune cane 106 fixée à l'arbre
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78.
Après l'analyse de la position indicatrice Il 1 Sr, la perfo- ration " 0 Il est analysée par les balais, si celle-ci est pré- sente, mais avant l'analyse du trou Il 0 ", la rampe inclinée
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1.:)6a d'une partie élevée de la périphérie de la carie 106 agis- sant sur le bras d'asservissement 104 fait osciller le cadre
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articulé dans le sens des aiguilles d'une riontre, obligeant la tige 101 et la barre 102 à abaisser toutes les extrémités libres des tirettes 99 de manière à dégager la saillie 98 d'avec les oreilles des bras 100.
Bien entendu dans cette position, même si ltélbctro-airlant 95 serait excité grâce à la présence d'un trou Il 0 11, l'embrayage sélecteur de caractères servant à en- traîner la roue d'impression ne serait pas en prise, de sorte que quand l'impression s'effectue, c'est le chiffre " O qui
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s' imprime.
Chacune des roues d'inprossion est portée par un bras 1G7 fou sur 'Lui bras 94 nt est nunie de bras d'asservissement lù8 dont chacun porte sur une cainc associée faisant partie d'une paire de cai'Les comp16nentaires 103.
Il existe un embrayage d'imprpssion .1?r'vu pour chaque roue d'irtpression et destiné à provoquer l'opération dfiapres- sion; ces embrayages sont semblables à l'cI11braya[Se s,lection- neur de types prscédC'T:1Ii2.ent décrit, et comprennent chacun un
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plateau d'embrayage 110, un cliquet d'embrayage 111 porté par l'une des cames complémentaires 109 et un bras de débrayage 112 avec lequel fait corps un bras 113 dirigé vers le bas. pour chaque roue d'impression mis en place pour un chiffra quelconque de. 11 1 " à " 9 ", une came 114 fixée à un pignon as- sooié 93 fait osciller un levier à deux bras 115.
L'une des ex- trémités de chacun des leviers 115 porte un doigt 116 s'enga- geant dans une fente d'une biellette 117, cette dernière étant articulée. sur un levier d'interposition 118, une série de leviers d'interposition 118 étant articulée sur une tige 119a. Il est bien évident que lorsque le levier double 115 pivote sous l'ac- tion de la came 114, la biellette 117 est abaissée de manière à faire osciller le levier d'interposition associé 118 Pour amener son extrémité libre, ou extrémité de droite, en face d'une sail- lie 119 du bras 113.
Les leviers d'interposition 118 sont aortes ainsi qu'on l'a indiqué, par la tige 119a et cette dernière est supportée par deux bras 120 dirigés vers le bas, dont l'un est muni d'une saillie 121 coopérant avec une came profilée 122 calée sur l' arbre 78.
Après analyse de toutes les positions indicatrices de la carte, qui comprend les positions indicatrices 0 - 9 et en outre les positions indicatrices spéciales X et R, la saillie 121 tom- be d'une partie élevée de la périphérie de la came 122, à une partie basse de celle-ci, permettant à un ressort 123 fixé à un bras 120 de déplacer tous les leviers d'interposition 118 vers la droite, et ceux d'entre eux qui ont pivoté par suite de l'a- baissement d'une biellette 117 correspondante feront osciller, du fait de leur déplacement, les bras 113 et par suite les bras de débrayage 112, provoquent l'embrayage, de sorte que les cames complémentaires 109 vont dès lors tourner pour faire basculer tous les bras 107 de manière à projeter les roues d'impression
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le'2 contre le ruban encreur et le cylindre 124 classiques,
cy- lindre autour duquel est avancée une feuille de papier destinée à être imprimée. mesure que chacun des bras 107 bascule, la roue d'im- pression tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, .mais étant donné que la roue d'impression roule sur la roue den- tée 93, ce roulement provoque une rotation égale et simultanée dans le sens des aiguilles d'une montre. L'ensemble de ces deux rotations inverses aura en définitive pour effet de rendre la roue d'impression 92 à peu près immobile au moment où elle frap- pe le cylindre 124, le type venant frapper le cylindre fermement et bien d'aplomb pour donner une impression lisible.
Après l'impression, comme l'embrayage est toujours en pri- se, les roues d'impression continuent à tourner jusqu'à ce que le cliquetd'embrayage 89 vienne frapper le bras de débrayage 90, débrayant ainsi le dispositif, ce qui a lieu au moment où les roues d'impression sont à Il O Il. qui oblige la rotation des cames 109 à produire une impression, continue à demeurer en prise pendant une rotation complète des cames 109, et le débrayage est réalisé par l'encrochage du cliquet d'em- brayage 111 avec le bras 112.
La machine est pourvue de types d'impression alphabétiques ainsi que de moyens permettant de mettre en place ces types pour permettre l'impression non seulement de chiffres, mais encore de lettres composant des mots ou des abréviations.
Les caractères alphabétiques sont mis en place suivant certains groupements. Le groupement particulier choisi détermine celui des différents caractères correspondant à une position in- dicatrice donnée qui sera imprimée. Ainsi par exemple, si la était le trou " 2 " et qu'aucun trou pilote n'est utilisé dans l'une quelconque des positions " 0 ", " X " ou " R", c'est le " 2 " qui sera imprimé, si un trou se trouve également
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" il, le trou " 0 " sélectionnera le caractère " S ". S'il y a un trou à la position indicatrice " X " c'est le caractère " K " qui sera sélectionné, et s'il y a un trou à la position indicatrice " R ", c'est le caractère " B qui est choisi.
Pour mieux comprendre le principe du fonctionnement il y a lieu de remarquer que par suite de la forme du contour de la came 122 les caractères numériques sélectionnés voient leurs impressions faites après l'analyse 'de toutes les positions indi- catrices et bien entendu après l'analyse de la position indica- trice " R ". La sélection des caractères alphabétiques est as- surée en prenant l'impression avant l'instant où un caractère @ numérique aurait été imprimé, et ceci se réalise sous la oomman- de des positions indicatrices " 0 ", " X " et " R ".
Si le trou avait été à la position indicatrice " 9 Il seule, la roue d'impression 92 aurait tourné dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que le " 9 " fut sur la ligne d'impression et le bras 107 portant la roue d'impression aurait alors été basculé pour réaliser l'impression. On remar- quera que s'il y avait eu une perforation à la position " R ", et si sous la commande de cette perforation, l'embrayage d'im- pression 110, 111 avait été embrayé, la roue d'impression 92 aurait oscillé plus tôt que dans le cas de l'impression d'un chiffre " 9 " afin de prendre l'impression du type tr I ".
La perforation à la position " X " réalise une Impression à quel- que instant antérieur pour imprimer " R ", et la perforation à la position " 0 " à un instant encore antérieur pour imprimer " Z " Le même principe de fonctionnement est prévu pour la sé- lection des autres types alphabétiques.
Bien entendu l'excitation d'un des électro-aimants 95 provoque après l'analyse de la perforation Il 1 ", l'oscillation du bras 113 et l'oscillation du bras de débrayage 112, et cela à un instant qui dépend du trou pilote analysé. Par suite,
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.L'embrayage d'impression 110, 111 est débraye pour assurer 1' impression, du type choisi.
Il y a lieu de signaler que pour les caractères alphabé- tiques, l'impression se fait à trois instants successifs du cy- cle de fonctionnement, soit après analyse des perforations " 0" " X " et " R " tandis que pour les chiffres, l'impression ne se fait qu'après analyse de toutes les perforations et à un même instant du cycle de fonctionnement.
INTERLIGNAGE.
On voit sur la figure 9 que le cylindre 124 porte la roue rochet d'interlignage usuelle 126, à laquelle est associé le bras à détente usuel 127 et le cliquet 128. Le cliquet 128 est articulé sur un levier coudé 129 relié d'autre part à une biel- lette 130 dirigée vers le bas et dont l'extrémité inférieure comporte une rainure en L traversée par un goujon 132.
L'arma- ture 133 d'un électro-aimant 134 maintient normalement l'extré- mité inférieure de la biellette 130 vers la droite comme repré- sentê. Le goujon 132 est fixé à l'un des bras d'un levier à trois bras 135 qui oscille sous l'effet d'une came 136 calée sur l'arbre 78, de sorte que. pour chaque tour de l'arbre le gou- jon 132 s'élève, puis redescend.
La biellette 130 étant ver- rouillée dans la position représentée, le goujon se déplace à vide dans la partie verticale de la rainure 131 sans déranger la position de la biellette. Quand l'électro-aimant 134: est ex- cité, la biellette 130 est libérée et un ressort 137 la déplace de manière à amener l'extrémité de droite de la rainure 131 en ligne avec le goujon 132 de sorte qu'au moment où le goujon re- conte, il élève cette fois la biellette 130 pour réaliser ltin- terlignage de la feuille de papier.
Le bras 78 porte en outre un plateau 138 dans lequel est fixé un doigt 139 qui attaque un levier coudé 140 dont un goujon 141 fait basculer la biel- lette 130 pour lui faire reprendre sa position de verrouillage
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après l'opération d'interlignage.
MECANISME ACCUMULATEUR.
La machine est pourvue d'un mécanisme d'addition dont la partie correspondant à un certain ordre d'unités est représen- tée sur la figure 10. Ce mécanisme reçoit aussi son mouvement de l'arbre à rotation continue 78 par l'intermédiaire d'un en- grenage 84 monté sur l'arbre. Ce mécanisme accumulateur est du type bien connu représenté dans le brevet américain N 2 165 288 du 11 juillet 1939, auquel on se reportera pour une description plus détaillée. Une description sommaire de son fonctionnement suffira par suite ici.
La pignon 84 de l'arbre 78 entraine un pignon 142 ( figure 11 ) monté fou sur un axe 143, et le pignon fou 142 entraîne à son tour une roue à rochet 144 qui est mobile dans le sens axial mais est maintenue normalement dans la position de la figure 11 par une lame de ressort 145. Une roue à rochet 146 est disposée co-axialement à la roue à rochet motrice 144 et la roue à roohet 146 fait partie de l'unité accumulatrice ou d'addition qui com- prend une roue d'addition 147 et une came de report des dizaines 148 qui font corps avec une tige 149.
La roue à rochet 144 peut basculer pour venir en prise avec la roue à rochet 146 afin d' entraîner cette dernière et ce basculement s'effectue sous l'ef- fet d'un disque chanfreiné 150 porté par un levier coudé 151 qui est normalement verrouillé à la position de la figure 10 par l'armature 152 d'un électro-aimant d'addition 153. Quand 1'électro-aimant 153 est excité, le levier coudé 151 est libers et le ressort 154 le fait osciller pour rapprocher le disque 150 de l'axe de la roue à rochet 144, poussant ainsi la roue à rochet 144 pour l'amener en prise avec la roue à rochet menée.
146. Le pignon 142 porte des galets 155 dont le premier porte contre un prolongement du levier 151 de manière à effectuer le débrayage au moment où le premier galet atteint le prolongement
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du levier.
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Coru::c dans 10. tf'chnique courante, 1 T élc ctro-ainan 153 est excita a des instants successifs ,. savoir o un, deux, trois, '2'-':;e.. jus,,7, IL, n<--uf points en divisions du cycle précédant le :,{)irf:1nt 0';:1. le premier galet 65 réalise le débrayage, de sorte (11....(- 1p. valeur mmérique introduite dans lu roue l'7 dépend de l T instèmt d'excitation de', 1 T 81cctro-aÍl'1E,nt 153. Ainsi si un 7 ^'rc introduit, ltêlectro-.;sant 153 est excité à 7 ?oints ,7iant 1,-. position de bsculc:rlr,n't ou de culbutage, et la roue lé /lUrE, avance de sept crans.
La came de report 148 c#r.:m.snde les contacts de report des dizaines usuels comprenant une. lame de contact mobile 159 et des lames de contact fixes 160 et 161,
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qui fonctionnent de telle sorte qu TÈ, chaque fois que la roue 14'7 passe de 9 à zéro, l'organe .6 oscille dans le sens des aiguil- les d'une montre et est maintenu par le verrou 163, COJ'l1:'1e repré- senté sur la figure 10 pour maintenir la lame 159 en prise avec la lane 160.
Chaque fois que la roue. 147 est à 9, un évidement ménagé dans la roue permet à l'organe 162 d'osciller dans le sens in- verse des aiguilles d'une montre, permettant ainsi à la lame 159 de pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre et de venir au contact de la lame 161. Le galet 156 est prévu pour le déclenchement du verrou de levier de report 163 à la fin du cy- cle. Les lames de contact de report 159, 160 sont utilisées pour mettre à zéro la roue d'addition. Cette mise à 0 s'effectue com- me suit : l'électro-aimant 153 s'excite pendant un temps permet- tant à la roue 147 d'avancer de dix crans, etpendant lequel la
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roue passe de 9 à 0 avec comme conséquence ltéta,blissezant du contact entre les lames 159 et 160.
Ainsi qu'on l'expliquera à
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propos du schéma électrique, l'établissement de ce contact pro- vioque l'excitation de l'électro-ainant 164 dit de soustraction.
Cet électro-aime.n.t attire son armature 165 de manière à libérer
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.Le levier 166 pour lui permettre de tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre sur son pivot 167 sous l'effet du ressort 154, Le goujon 168 du levier attaque alors et fait os- ciller le levier coudé 151 dans le sens des aiguilles d'une montre pour désaccoupler les roues à rochet et laisser la roue 147 à sa position de zéro ou de repos. On prévoit le galet usuel 157 qui attaque le levier 166 pour le ramener à sa position normale.
Lorsqu'il s'agit de soustraire un nombre, l'électro-aimant d'addition 153 s'excite à un instant correspondant à l'addition du chiffre 9, et ensuite 1'électro-aimant de soustraction 164 s'excite à un instant correspondant à la valeur du chiffre à soustraire; le résultat définitif est donc que la roue 147 avan- ce d'une quantité correspondant au complément à 9 du chiffre soustraire.Ainsi par exemple s'il s'agit de soustraire le chif- fre 7, l'électro-aimant d'addition est excité à l'instant 9 et la roue 147 commence à tourner comme pour avancer de neuf pas.
Cependant après avoir avancé de deux crans, l'électro-aimant de soustraction s'excite et le débrayage s'effectue, laissant ain- si la roue 147 en position avancée de deux crans, correspondant au complément à neuf du chiffre 7.
COMMUTATEUR D'AVANCE PAS A PAS.
La figure 12 représente un ooramutateur d'avance pas à pas, de forme bien connue, utilisé pour établir le programme d'opé- rations de la machine, et on va procéder à une brève descrip- tien de ce dispositif. l'électro-aimant d'avance pas à pas SM, lorsqu'il est excité, fait basculer son armature 170 sur la- quelle est articulé le cliquet 171, de sorte que le cliquet s'engage dans la roue à roohet 172 et la fait avancer. A la roue à rochet est fixé un bras ou frotteur de commutateur 173 qui, pour chaque cran d'avance de la roue à rochet vient en contact avec un plot différent d'une série de plots de contact
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174.
La roue à rochet172 est nomalenent sollicitée dans le suis inverse des aiguilles d'une montre, par le ressort usuel non représenté et est empêchée de tourner dans ce sens par l'
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armature-verrou 175 de l'électro-a-unant de Ri,; cet électro-aimant quand il est excité, fait osciller son arma- ture pour la dégager de la roue à rochet, de sorte que celle-ci va revenir à son point de départ représenté sur la figure 12.
Pour remplir le but visé par l'invention, la roue à rochet 172
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C')T11)orte dnux trotteurs 173 et deux séries de plots 174 qui sont représentés sohénatique'ent sur la figure l7d¯ sur laquelle le second frotteur et le second jeu de plots seront indiqués en
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l73a et l74a. Les circuits par ces relais d'avance pes à pas seront décrits à propos du schéma électrique.
SC1-:EI:A l.n,3CTRI#,.
On va décrire le schéma électrique ( figure 17 ¯¯ l'7d ) en se reportant particulièrement au 2)roblè:r:le examiné à propos des figures 13 et 14; autrement dit, dans l'explication du- schéi.ia on va supposer que corsée sur la figure ld, deux jeux dc. cartes sont placés dans la riachine et que, dans le fonctionne- Lc0n't; de celle-ci, les deux jeux de cartes vont conm3.nder conjoin- tement les divers afin de préparer la facture de la figure 13.
Dans la description, on va diviser le fonctionnement en cycles opératoires, et la suite des opérations va être expli- quée dans l'ordre où celles-ci se produisent. Dans le schéma, on a utilisé, pour identifier les électro-aimants des relais, un système de référence dans lequel les contacts portent le même
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caractère de référence que Itélectro-ah1ant qui les commande, suivi d'une lettre minuscule. Dans la plupart des cas, les con- tacts sont représentés à côté de leurs électro-aimants de com- mande. Cependant dans un certain nombre de cas, où cette dispo- sition entraînerait une complication exagérée des connexions, les contacts sont représentés éloignés de leurs électro-aimants
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de commande.
Dans les cas de ce genre, c'est le système de ré- férence qui doit servir à identifier les éléments, et en outre, là où un élément est séparé de ses contacts, 1'électro-aimant est représenté en contour pointillé près des contacts correspon- dants. Le fonctionnement des divers contacts à commande par came désignés par C. D. et M est représenté dans le temps sur la fi- gure 16, qu'il y a lieu de consulter en même temps que le schéma.
OPERATION PRELIMINAIRE.
On commence par établir plusieurs connexions par fiches, indiquées en traits interrompus sur le schéma, afin d'associer les différentes zones des cartes aux points voulus des disposi- tifs d'addition et d'impression. On place dans le magasin 13 ( figure 1 ) le jeu de cartes maîtresses de la figure 14, et on place le jeu de cartes de détail dans le magasin 18. On dispose la facture de la figure 13 autour du cylindre 124 (figure 8) avec sa ligne 1 en position d'impression.
Après des opérations préliminaires on envoie du courant dans la ligne principale por- tant la référence 180 sur le schéma ( figures 17a et 17b) et par suite, le moteur d'entraînement principal ( non représenté ) est mis en route de manière permanente pour communiquer une ro- tation continue à l'arbre principal 31 ( figure 2 ) et aux cames de contacts C.
Si l'on appuie alors sur la touche de démarrage afin de fermer le contact 176 1 figure 17b) un circuit s'établit de- puis la ligne 180, passant par le contact 177 de la touche d'ar- rêt, le contact 02, 176, le relais de démarrage ST et de là aboutissant à la masse 190, Le relais ST ferme son contact STa de manière à établir un circuit de verrouillage partant de la ligne 180, passant par le contact 177, les contacts 62M et 62D des leviers de cartes des magasins, le contact STa et le relais ST pour aboutir à la masse 190. Le relais ST demeure en consé- quence excite jusqu'à l'actionnement de la touche d'arrêt ou
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bien jusqu'à l'épuisement des cartes de l'un des deux magasins.
Le contact usuel 03 est prévu pour court-circuiter les contacts
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177, 61 et 62D de telle sorte que si l'un quelconque de ces con- tacts s'ouvre, son circuit reste néannoins maintenu jusqu'à Il ouverture du contact C3 à un instant déterminé du cycle ( voir figure 16 peu de temps après l'excitation du relais ST, le contact C6 se ferme et établit un circuit partant de la ligne 180 ( fi-
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gure 17a ) passant par le contact C6, le fil 178 ( figure l7o ) les contacts de droite E1CL± et DICLD en parallèle, les relais ..LD et Ii.D en parallèle pour aboutir à la nasse 190. Ce circuit s'établit lors de chaque cycle antérieur à l'actionnF,tlent de la touche de démarrage, mais n'a aucun effet jusqu'au cycle actuel.
Lais, maintenant que le contact STb est fermé ( figure 17d ) un circuit s'établit vers la fin du cycle au moment où le contact C4 ( figure 17d)se ferme, ce circuit partant de la ligne 180 ( figure 17d)passant par les contacts C4, STb, le fil 179, en
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parallèle à travers les contacts EDO et T,Dc, les contacts de droite ::'Si Et PS1, (.t les électro-ah,lants d'snbraya;6 des car- tes maîtresses e des cartes de détail 4=0 et 43 pour aboutir. à la L1E sse 19,). cycle ï ; es Cv-'1:
:.18ctro-8,il1Dnts d'im.brayc,gc d'alim.;,nt3.tion en certes étant excités, les contacts b carie T.- et D fonctionnent, r au cours du cycle qui va suivre, les :YI'ecières cartes 1 et D sortr'nt djs magasins 13 et 19 respectivement, et leurs bords G.ttta(1t(., s'avanoent jusqu'à un point situé entre le balai 1:1 -t le second jlL de rouleaux 15 pour la carte in, et jusqu'à un point compris entre le balai Dl et le second jeu de rouleaux 20 pour la carte D.
Cette avance n'est pas suffisante pour action- ner les leviers de cartes de sorte qu'à la fin de ce cycle, le
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cont c't 82 du levier de cartes est toujours ouvert. le contact
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C6 provoque de nouveau l'excitation des relais LD et HD de sor- te qu'au moment où le contact C4 se ferme à la fin du cycle, les électro-aimants d'embrayage 40 et 43 sont de nouveau exci- tés pour amorcer un second cycle de distribution des cartes.
Cycle 2 :
Au cours de ce cycle , les premièrescartes M etD pour- suivent leur avance vers les balais M1 et D1 et ferment, avant d'atteindre ces balais, leur contact 82 de leviers de cartes respectifs, ce qui établit des circuits ( figure 17d) partant de la ligne 180, passant par les deuxième et quatrième contacts 82 à partir de la droite et les relais D1CL et L1CL pour abou- tir à la masse 190. Ces relais ferment les contacts DlCLa et M1CLa respectivement pour établir des circuits de maintien pas- sant par les contacts D11 et M11, circuits qui comme on peut le voir sur la figure 16 restent établis au-delà de la période de fermeture de contact de leviers de cartes, de telle sorte qu'à partir de ce moment les relais demeurent excités tant qu'il y a encore des cartes à venir.
Comparaison des cartes au moyen des balais M1 et Dl :
Au moment où les deux cartes passent devant les balais M1 et Dl, les positions indicatrices sont analysées aux instants indiqués sur la figure 16, le long de la ligne désignée "balais", aux points 9, 8, 7 etc.. et, pour le balai M1, un circuit par- tiel stétablit ( figure 17a ) qui part de la ligne 180, passe par les contacts Cl, M3, M1CLb ( fermés à ce moment ), le rou- leau de contact 16, le balai M1, la connexion par fiches 181, pour aboutir à une douille 182.
Un circuit parallèle existe éga- lement qui part de la ligne 180, passe par les contacts Cl, D3, D1CLb, le rouleau 21, le balai D1, la connexion par fiche 183, et aboutit à la douille 184, On n'a représenté à titre indicatif qu'une seule connexion 181, 183, mais il doit être entendu qu'il existe des connexions distinctes de ce genre allant à des douil-
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les supplémentaires 182, 184 ( figure 17c ), partant de chacun
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des balais Dl et 1-"I qui balaient les colonnes TT non Il des car- tes.
Avant d'achever le tracé des circuits, on renvoie à la
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figure 19c où. sont représentés les contacts C12 à C17 ainsi qu'à la figure 16 sur laquelle on voit que le. contact C12 se ferme au moment de la lecture des positions 7, 4 et 1 des cartes, que le contact C13 se ferme au moment de la lecture des positions 8,5 et des cartes, le contact C14 au moment de la lecture des positions 9, 5, 4 et 3, le contact C15 au moment de la lec- ture des positions 9,8, 7 et 6, le contact C16 au moment de la lecture des positions 0 et X, et enfin, que le contact C17 se ferme au moment de la lecture des positions O et R des cartes.
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En conséquence les relais RI, R2, R3, R6, FeC et RR sont excités aux instants où leurs contacts connectés 01Z à C17 se fement, co:mrc- ïl est évident d'après la figure 17c. Ces relais ferment les contacts représentés en alignement vertical avec eux sur les figures 19a et 17e et appelés Rla, R2a etc...
En supposant que les colonnes analysées contiennent la lettre S représentée par des perforations dans les positions 2 etO ( voir figure 15 ) alors, au moment où le trou 2 de la car- te maîtresse Est devant les balais M1, le circuit déjà partiel-
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lenent établi se- prolonge à partir de la douille bzz ( figure 17 ) par le fil 185, le contact R2a ( fermé alors ), un des c.nroulennts d'un relais à deux enroulenents R2' pour aboutir 2. le masse 190 0;n rWne t::cxas le circuit partant de la douille 184 sc continue par le fil 186, une autre paire de lame contact 2 El et Ic- relais R2D jusqu'à la nasso 19'). un instant ultéri- ur du cycle, au 7-Loilcrt de l'U1o.1yse du trou 1, d2s circuits : c,.c:
llèle s'établissant à pprtir des douilles 182 et 184, ¯s- Stnt par les fils 185 et 186, les contacts TUe., 7a, les relais ?.2J.:, K1:D, RR!' et RRD pour aboutir à la. masse 190.
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pour une seconde colonne de comparaison de l'exemple choi- si, la colonne de la carte contenant la lettre M ( figure 15 ) verra ses balais analyseurs reliés aux douilles 182, 184 de la figure 17c et puisque les perforations correspondant à cette lettre se trouvent dans les positions 4 et X, les relais R1M, R1D, R3M et R3D seront excités lors de la lecture du trou 4 et les relais RXM et RXD seront excités lors de la lecture du trou X. Ces relais sont bien entendu ceux représentés sur la figure 17c.
Chaque fois que l'un des relais portant le suffixe M ( com- me le relais R1M) est excité il ferme les contacts de suffixe a (comme les contacts R1Ma) qui assurent un circuit de main- tien passant par le second enroulement du relais, ce circuit partant par exemple de la ligne 180 ( figure 17a ), passant par le contact M6, le fil 189, le contact R1Ma et le relais R1M pour aboutir à la, masse 190. De même les relais de suffixe D ( comme le relais R1D ) quand ils sont excités, ferment les contacts de suffixe a ( tel que le contact RIDA ) pour établir un circuit de maintien partant de la ligne 180, passant par le contact D6, le fil 187, le contact RIDA et le relais R1D Pour aboutir à la masse 190.
Dans le cas des relais RXD et RRD, le circuit de maintien part du contact D6, passe par le fil 187, l'un des contacts à suffixe b des relais R1D à R6D, le fil 188, les contacts RXDa ou RRDa conduisant à ces relais pour aboutir à la masse 190.
De même, dans le cas des relais RXM et RRM, le circuit de main- tien part du contact M6, passe par le fil 189, l'un des contacts de suffixe b des relais R1M à R6M et le fil 191, pour aboutir au relais RXM ou RRM et enfin à la masse 190. Conformément à ce système de relais, comme on l'a expliqué, les chiffres de 9 à 1 provoquent l'excitation de certaines combinaisons de relais dont la référence commence par R1, R2, R3 ou R6, tandis que les posi- tions indicatrices 0, X et R provoquent l'excitation de l'un ou
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d' s deux relais dont la Préférence COT;ï' 8P1CO po.r et t'un . Le ta- bleau suivant indique lesrelais qui sont excités pour chaque lettre' de l'alphabetetpour chaque signe distinct de la carte maîtresse.
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<tb>
Caractères <SEP> : <SEP> Relais: <SEP> Caractères <SEP> : <SEP> Relais <SEP> , <SEP>
<tb>
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A Fi 1 ,, J HX!.: RLI - B " R2H I Il R2K C R3E L " R3I: D " Rll- R2K 1-1 "R1J ; R3H E TT R2l: R31! N " R2U R3 " R 61'. " R 6' G Il Rlli RQL: R Il,', R6l: Il R8H R61: Il R2t: R61.I I Il R311 R61 R Il R3K RE S R'. R: Ra: RRI:' Bzz T Il R3JI Riz " RlM R31;i 2 R 21-1 Tr " R8MR3M 3 R31i" n " R6E': 4 RU': ROI- " " R:!JZ R 6}; 5 R 2' R 31 y Il Raî R6H 6 R 61r, Z Il Il R3!' R6T,é 7 Rll: R6!.:
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<tb> 8 <SEP> R2M <SEP> R6M
<tb> 9 <SEP> R3M <SEP> R6M
<tb>
Ces relais, lorsqu'ils ont été excités, restent dans cet état jusqu'au cycle suivant quand les contacts M6 ou D6 s'ouvrent et inversent aussi leurs contacts représentés à la gauche des
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figures 1'ia et l'7c, contacts portant les suffixes c et d.
Ces contacts sont interconnexés pour former ce que l'on peut dénom- mer une chaîne de comparaison grâce à laquelle il est possible de déterminer l'égalité des colonnes analysées ou dans le cas de leur inégalité, laquelle des deux cartes contient la désigna- tion la plus élevée dans l'ordre alphabétique ou numérique.
Pour l'exemple choisi, les relais sont excités conformé- nent au nom SMITH tant dans les cartes maîtresses que dans les cartes de détail, de sorte que les relais suivants de la figure 17a seront excités après analyse de toutes les positions indi- catrices des deux cartes dans les colonnes contenant la lettre S.
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RR1, RXM et R pour la carte maîtresse et
RRD, RXD et R2D pour la carte de détail.
La lettre Le dans la colonne suivante aura provoqué l'ex- citation des relais suivants de la figure 17c;
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KSN, R3M et RUE pour la carte maîtresse et
RXD, R3D et R1D pour la carte de détail.
On n'a représenté clue deux jeux de relais et il doit être entendu que l'on prévoit des jeux supplémentaires pour tenir
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compte des colonnes oamparatrioes supplémentaires.
Quand le contact 06 ( figure 17a) se ferme vers la fin du cycle, il s'établit en conséquence un circuit, indiqué en traits renforcés et qui est la suivant : il part de la ligne
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180 ( figure l9a ) passe par le contact 06, les contacts RXDo¯ ( droite ) E#1; ( droite ) RRDo ( droite ) Rem ( droite ) R6Dc ( gauche ) Ruz'0 { gauche ) R3D { gauche ) R3Mo¯ ( gauche) R2Dç ( droite ) )'R2h'c ( droite ) RIDE ( gauche ) R ( gauche ), la fil ,19 ( figure 17c ) les contacts RXD± ( droite ) KSMd (droite) RRDo ( gauche ) RR11 ( gauche ) R6De { gauche ) R61ilo ( gauche ) R3D.± ( gauche ) R3M.± ( gauche ) R2D.± ( gauche ) R2.M.± ( gauche ) RIDE ( droite ) Rlr.!d ( droite ), le fil 193, le contact Lolo ( fermé à ce moment ) et le relais E pour aboutir à la masse 190.
Chaque fois que les colonnes comparées portent les mêmes désignations, le relais E est excité. Pour montrer ce qui se passe dans le cas d'une différence de désignations, on va sup- poser que les deux mêmes colonnes de la carte maîtresse contien- nent les lettres ST et celles de la carte de détail les lettres SM. Il s'en suit que les relais de la figure 17a s'excitent suivant les mêmes combinaisons que précédemment en ce qui con- cerne la lettre S. Les relais de la figure 17c s'excitent de la manière suivante :
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RRt', :l:l'J -, R31 pour la 'lettre / T dans 1a carte naître 8se , .li3D, RID 11 te If r: fi Il '1 de détail.
Le circuit qui s'établit par suite lors de la, fe ra2< tuxa du contact C6 est le rfr.te que cnlui que l'on a déjà défini sur la figure à et se prolonge par le fil 192 1 figure 17o ) les contacts R;'J)o¯ ( droite ) R:J::.9:. ( droite ) RRDC ( gauche ) RI.a,-c ( droite ) , le fil 194 le contact 1lCL ( inversé à ce I:iQl'1E,nt ) et le relais LD pour aboutir à la ruasse; 19J. Ce relais LD est ainsi excité ah,, ;'U0 fois que c'est la carte de détail qui est la plus basse, dans l'ordre alphabétique ou nuuéri que, parmi les deux cartes comparées.
Afin de donner une illustration de Ici troisième relation possible, celle de la supériorité de la carte de détail par rap-
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port à la carte maîtresse, on va supposer que la carte maîtresse contient les lettres SM et que la carte de détail contient les
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lettres s ST. Il s'en suit que les relais de la figure 19a s'excitent suivant les nemes combinaisons que préceder;'Lr5-en.t pour la lettre S etle circuit va du contact C6 aux fils d'égalité 192.
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Les relais de la figure 17o s'excitent c#SB.e suit : RRD, RW7, R3D pour la lettre T de la carte de détail R:21, R31-, RHJ tr 11 n r Il Il tt ma1tresse..
Le circuit qui s'établit alors se prolonge à partir du fil 192 ( figure 17c ) par les contacts RXDo¯ ( droite ), R:d ( droite ) RRDo¯ ( droite ) E## ( gauche ), le fil 105, le con- tact D1CLd ( inverse à ce moment ) et le relais HD pour aboutir à la masse 190. Ce relais HD estainsi excité chaque fois que c'est la carte de détail qui est supérieure en valeur numérique ou dans l'ordre alphabétique.
En conséquence,pour revenir au problème de la figure. 14,
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rflais d'égalité -:, s'excite lors de la fermeture du contact d'épreuve C6. Le relais ; ferme son contact 'n b ( figure 17d pour exciter le relais de démarrage de progr#tme PS qui ferme
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son tour son contact PSb pour établir un circuit de maintien passant par le contact C5 ( voir figure 16 ) qui maintient le relais XD excité pendant toute la durée du cycle suivant.
La relais E ferme également une paire de lames de contact Ea ( figure 17d ) à travers lesquelles un circuit s'établit dès lors, partant de la ligne 180, passant par les contacts C4, STb, le frotteur de commutateur 173, le plot 174 N 1, la connexion par fiche 196, les contacts R19b, Ea, PSi, l'électro-aimant d' embrayage de distribution de cartes maîtresses 40 pour aboutir à la masse 190.
La distribution de cartes maîtresses continue par suite pendant un cycle de plus, tandis que la distribution des cartes de détail est interrompue, étant donné qu'il n'existe plus de circuit pour assurer l'excitation de l'électro-aimant d'embrayage 43. cycle 3 :
Au cours de ce cycle la carte maîtresse seule avance vers les balais M2 ( figure 1 ) fermant tout d'abord le contact de levier de cartes correspondant 82 ( le plus 5 droite sur la fi- gure 17d) pour exciter le relais qui établit un circuit de maintien passant par les contacts M2CLa et M12.
quand le con- tact M6 ( figure 17a) s'ouvre, les relais excités à la suite de la lecture de la première carte maîtresse voient leur exci- tation coupée, tandis que ceux qui avaient été excités à la sui- te de la lecture de la première carte de détail, voient leur ex- citation maintenue puisque le contact D6 demeure fermé au moment où. la distribution des cartes de détail s'est arrêtée. Par sui- te, au moment où la seconde carte maîtresse passe maintenant de- vant les balais M1, et puisqu'elle aussi contient le nom SMITH, les mêmes relais maîtres se trouvent actionnés et réglés que dans le dernier cycle, et le contact M6 maintient ce réglage coma précédemment.
Avant l'analyse de la première carte maîtresse par les
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balais K2, le contact C7 1 ( figures 17d et 16 ) sc ferme pour
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établir un circuit par tant de la ligne 180, passant par les con-
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tacts srj, PSh, C7 et le relais SU pour aboutir à la masse 190.
L'éleotro-ainant SI-¯ fonctionne de manière, à faire avancer les frotteurs des dtavance pas à pas 173, ( 173a ) et établir le contact avec leurs plots ro 2 de sorte que plus tard, au l".OJ:11.ent de la fermeture du contact Cl8, un circuit s'é- tabli partant de la ligne 180, passant par le trotteur de cora- mutateur .7a, le plot 174a ? 2, la connexion 197 et le relais R18 à la r,l8.SS6. Un peu plus tard un second circuit s'établit qui part de la ligne 180, passe par les contacts Cl8, L9, la connexion 198 et le relais R15 pour aboutir à la masse 190.
Les relais R18 et R15 inverse.nt leurs contacts respectifs, RISA et Rl5a ( figure 17b¯ ) de sorte qu'au moment ou la première carte Y'lGître-sse ::;1sse nainté"nant devant les balais I'¯2, des cir- cui ts s'établiront vers lE m.éc2'.nisnA d'impression pour faire. apparaître le nom J.3EH SITE sur la facture r;'o 13. On peut in- diCJ.ucr en ce point de l'exposé qu'au :ois.nt où la carte traverse les balais 118 et au moraent ou le contact C8 ( figures 17d ot 16) se xErrc, un circuit s'établit qui part de 1'-' ligne 180, passe par les contacts 3Tc, 7Sh, C8, et l'électro-aÍ1:l.ant de cylindre 134 pour aboutir à la. masse z, Ceci fait passer facture de la ligne 1 à la ligne 2 grâce au ri-canisrie de la figure 19 ex- p1iCJ.ué plus hau t .
On n'a représenté la connexion de conriande d'ire.pression
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que dans le cas d'une seule colonne de la carte, ce qui suffit
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pour faire comprendre le fonctîm2zzer.m,nt, et cette connexion st
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établit de la manière suivante : elle part de la ligne 180 ( fi-
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Sure 17a ) passe par les contacts Clk3, Sf , lI2CLb, le rouleau caz?u.n 17, le balai 1'2 balayant la zone Il non Il de la carte ( le balai I'2 le plus à gauche ) la connexion par fiche 199 ( figure 17b ) le contact RISA ( droite ) la connexion 300, le contact
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R15a ( droite ), le contact R14a ( fermé ) ainsi qu'on va bien- tôt l'expliquer, le contact R9a et l'électro-aimant d'impres- sion 95 pour aboutir à la masse 190.
Le contact R14a se ferme quand le relais R14 s'excite par l'intermédiaire d'un circuit 'partant de la ligne 180, passant par le contact C27 (figure 16) et le relais R14 pour aboutir à la masse 190. Les électro-aimants d'impression 95 à la suite de l'analyse des perforations de la carte, vont mettre les roues porte-types en position pour l'im- pression, sur la ligne 2 de la facture, du nom JOHN SMITH.
Cette impression provenant de la première carte maîtresse a lieu pendant que les relais comparateurs reçoivent leur ré- glage numérique sous la commande de la seconde carte maîtresse qui passe sous les balais M1 et vers la fin du cycle au moment où le contact C6 se referme, le relais E ( figure 17c ) s'excite de nouveau et provoque à son tour l'excitation du relais PS, de sorte que le circuit conduisant à 1'électro-aimant d'embrayage 40 de distribution de cartes maîtresses s'établit de nouveau, en empruntant cette fois le trajet suivant :
ligne 180 ( figure 17d) contacts C4, STb, frotteur 173, plot 174 N 2, connexion 196, contacts R19b, Ea, PSi et électro-aimant 40 pour aboutir à la masse 190. par suite, les cartes maîtresses continuent à être distribuées pendant le nouveau cycle au cours duquel la troisième carte passe sous les balais M1, tandis que la seconde carte passe sous les balais M2 et la première carte passe dans la poche P2. La distribution de cartes de détail demeure inac- tive .
Cycle 4: :
Quand le contact C7 se ferme, 1'électro-aimant SM ( figure 17d ) s'excite et fait avancer les frotteurs 173, 173a sur leurs plots ? 3. On remarquera qu'au moment où le contact C18 se fer- me dans ce cycle, il n'existe aucun circuit pouvant assurer 1' excitation du relais R18 de sorte que son contact RISA reste à
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;La position de la figura17b.
Le relais R15 par contre s'excite
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cornue 1 ' et au noBient où la seconde carte. naîtresse, contenant 1'indication, de. la rue, passe devantles balais M2, des circuits d'impression s'établissent, parmi lesquels on peut indiquer le suivant à titre illustratif : ligne180 ( figure
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17ç,i ) contacts Cl, US, --e3Sf, 4"2CLb, rouleau 17, balai N3 qui tra- verse la zone de l'indication de rue, connexion 201, (figure 19b) contacts Rl8a¯ ( gauche ) R.5a ( droite ) Rl4a, R9a et enfin électro-aimant d'impression.95 afin d'imprimer l'indication de rue provenant d'une zone différente de la carte maîtresse sous la commande des mêmes roues porte-types que celles qui avaient
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servi è l'inpression du nom provenant de la carte précédente.
Au cours de ce cycle, les relais comparateurs de cartes Maîtresses des figures 17a et 19c voient és"leIilent leur excita- tion coupée et un nouveau réglage s'établit comme précédemment puisque la carte, passant sous les balais M1 pendant ce cycle
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contient aussi le non. S1:ITf:I. Au nouent (le la femsture du con- tact d'épreuve 06, le relais "!; s'excite de nouveau pour provo- quer l'avance de la quatrième carte maîtresse devant les balais
Cycle 5 :
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Au cours de ce cycle les frotteurs 173 et 173a des C#in"'cU- tateurs d'avance pas à pas avancent d'un cran pour établir le contact avec leurs plots N 4.
La troisième carte naîtresse pas- se devant les balais M2 qui analysent la zone Il ville et dépar-
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tement Il de la carte et commandent l'im,pression de la même nra- nière que celle vue précédGIl1111ent pour le cycle 4. La quatrième carte maîtresse va de nouveau établir dans les relais compara-
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teurs maîtres un réglage correspondant au noyi;i-I et comme précédemment le relais E va. s'exciter vers la fin du cycle en vue de déclencher un nouveau cycle de distribution de cartes maîtresses.
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Cette quatrième carte maîtresse ( figures 14 et 15 ) con- tient la perforation spéciale 10 qui indique qu'il s'agit là d' une carte portant une somme et elle contient également la per- foration spéciale 12 indiquant que cette carte doit être éjec- tée dans la poche P3. Le trou 10 est analyse par un balai M1 et le circuit qui le traverse part de la ligne 180 ( figure 17a) passe par les contacts Cl, M3, M1CLb, le rouleau 16, le balai Ml la connexion par fiche 202 et le relais R19 pour aboutir à la masse 190. Ce dernier relais ferme son contact R19c pour éta- blir un circuit de maintien passant par le contact M7 et destiné à maintenir le relais excité jusqu'au cycle suivant.
Le relais R19 inverse son contact R19b ( figure 17d) de sorte qu'au moment où le contact C4 va se fermer vers la fin du cycle, 1'électro-aimant d'embrayage de distribution des cartes maîtresses 40 n'est plus réexcité comme dans le cycle précédent.
La distribution des cartes maîtresses s'arrête donc à la fin de ce cycle, avec les relais comparateurs réglés de manière à re- présenter le nom SMITH et le contact C6 excite comme précédem- ment le relais E, qui excite à son tour le relais PS (fig. 17d).
Cycle 6 :
Lorsque le contact C7 se ferme dans ce cycle ( au cours duquel les mécanismes de distribution des cartes sont tous deux inactifs, les frotteurs 173, 173a passent à leur plot N 5 et au moment de la fermeture du contact C8 le cylindre tourne de manière à présenter la ligne 5 de la facture ( figure 13 ) à la ligne d'impression.
Cycle 7
Ce cycle constitue une répétition du cycle 6 ; pendant ce cycle les frotteurs 173, 173a passent sur les plats 6 et le cy- lindre tourne pour présenter la ligne 6 de la facture. cycle 8 :
Ce cycle reproduit lui aussi le cycle 6 ; au cours de ce
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cycle les frotteurs 173, 173a avancent sur les plots 7 etle cylindre tourne pour présenter la ligne 7 de la facture. Au mo- ment de la fermeture du contact C4 vers la fin du cycle un cir- cuit s'établit qui part de la ligne 180 ( figure 17d) passe
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par les contacts C4, S'tb, le trotteur 173, le plot 174 ? 7, la connexion 3, les contacts 19a ( droite ), Rl9b¯ ( droite !Si, et l'électro-aimant d'embrayage de distribution des cartes maîtresses 40 pour aboutir à la nasse 190.
Ainsi il se produit une interruption de la distribution, des cartes pour per- mettre la translation de la facture de.puis la partie supérieure de la feuille qui doit recevoir l'adresse au corps de la même feuille sur laquelle on va maintenant procéder à l'enregistre-
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ment des articles de conpte.. la reprise de l'alimentation en s'effectue ensuite au cours du cycle suivant.
Cycle 9 :
Les canes M étant de nouveau en fonctionnement, le contact
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1-7 s'ouvre pour couper l 'exci tbtion du relais RIS et la cinquième carte maîtresse passe sous les balais 11 au rioment Où la qua- trième curte maîtresse passe sous los balais U2. La cinquième carte établit de nouveau un réglage de relais comparateurs pour représenter le non. SMITH après que le réglage représentatif pré-
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cédent e, été F\LTLUlé par l'ouverture du contact de ;-nimtinn I'.6, df-, sorte que vers la fin du cycle le relais ; se -trouve à nou- veau excité.
Au fion-ent où le contact 07 sc f;rze vu début du cycle, Ité1e.ctro-ai-Ls..Ylt d'avance pas 2- pas srr s'excite pour faire avan- c. r lc<s trotteurs l'i4 , 173a vers leur plot 1 8 E-t peu de temps u.près, au uoncnt où le contact 018 se fér:.11G, un circuit s'éta- blit qui part de la ligne 180 ( figure .7d ) passe par le. con- tact 018, le trotteur 173a, le: plot 174a !','0 8, la connexion S 04, 1'-' cntct CS2 et le relais R7 pour aboutir :1. ln. piassc. 190. Vers h, i;t:,1.4 T:l.0n: ;:'et le contact I"9 excite égaleuent le relais r15.
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En conséquence, au moment où la quatrième carte maîtresse passe sous les balais M2, l'indication " solde débiteur " est analy- sée pour commander les roues d'impression, et simultanément la quantité " 7,50 " dans la zone correspondant à la somme est lue et des circuits s'établissent dont le suivant est donné à titre illustratif; ligne 180 ( figure 17a) contacts C1, M3, PSf, M2CLb, rouleau 17, balais M2, connexion 205 ( figure 17b ) con- tact R15a ( droite ) connexions 206, contacts R11c ( gauche ) R7a ( droite), R9b ( gauche ), électro-aimant d'addition 153 pour aboutir à la masse 190.
Ce circuit est bien entendu établi à l'instant particulier qui dépend de la valeur numérique lue, et la roue d'addition avancé en conséquence 'pour introduire le chiffre lu dans l'accu- mulateur. pendant cette période d'introduction, le contact C8 ( figure 17d ) se ferme pour exciter le relais 134, de sorte que le cylindre fait avancer la facture à la ligne 8 et l'impres- sion s'effectue comme indiqué sur la figure 13.
En se reportant aux figures 17b et 16 on voit que la con- tact à came C26 est fermé pendant la période d'analyse de la carte, de sorte que le relais R13 est excité et que son contact R13a est fermé pendant cette période. Il s'en suit que le cir- cuit d'addition bifurque à partir du contact R15a pour passer par les contacts R13a, R9a ( droite vers 1'électro-aimant d' impression 95 et la masse 190 pour assurer ainsi l'impression de la quantité ajoutée. Aucune opération de report de dizaines n'est réalisée au cours de ce cycle, car il s'agit de la pre- mière introduction du chiffre dans l'accumulateur. Les circuits de report des dizaines seront décrits dans le cycle suivant.
La cinquième carte maîtresse contient aussi les perfora- 'tions spéciales 10 et 12, la perforation 10 provoquant la ré- excitation du relais R19 comme pour la quatrième carte. En ou- tre, cette cinquième carte contient la perforation de soustrac-
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.tien spéciale 11 qui est analysée par les balais M1 afin d'ex-
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citer le relais R8u ( figure 17a ) par l'intemédiaire d'une connexion à fiche 307. Le relais R30 ferme son contact t R2Jb qui établit un circuit de maintien à travers le contact M7 de sorte
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que ce relais est maintenu pendant le néne temps que dure le verrouillage du relais R.9.
Au J'iH!ne rlOl11ent les trous 10 et 12 de la prenière carte sont analysés par les balais ri, le: trou 13 de la quatrième car- te est analysé par un balai M2, et un circuit s'établit à tra-
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vers cc trou, passant par une connexion 2,DS ( figure l'la ) pour exciter le relais R12, qui férue son contact R12b pour établir
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un circuit de Ilaintien à travers le contact CZ5.
Le relais Rl8; ferme une paire de lames de contact ',12a ( figure 17d) à travers lesquelles un circuit s'établit vers la fin du cycle circuit qui part de la ligne 180, passe par les
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contacts C, S,2b, le fil 179, le contact zl2a, la connexion à fiches 209, l'sicotro-aio.an.t s3 pour aboutir à la masse 190. lt é1c etro-aimant S3 provoque 1 t abaissement de la lame distribu- trice 64 de la figure 7 de sorte que la quatrième carte maîtres- se sera acheminée vers la poche P3 tandis que les trois cartes
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précédentes avaient été achrrrinées à la poche Cycle 10
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Au début de ce cycle les re.lais R19 et sont excités.
Lorsque la cinquième carte llaîtresse passe devant les balais li2 l'indication Il reçu le 15 juin tt sera imprimée en rlêm.e tel1J;PS que le 11Dntant t 7,5,D 11, sur la ligne 9 de la facture. L'intro- duction de ce nontant s'effectue néanmoins sous for.e8 soustrac- tive de la manière suivante : Le relais R20 ferrie son contact R8C ( figure .'7d ) de sorte que lorsque le contact '!'8 se feme, un circuit s'établit qui pert L!p la ligne l8Z), passe par les contacts I'8, R20a¯, -sa tle relais Rll pour aboutir . la masse, le relais Rll fendant
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son contact R11b pour assurer un circuit de maintien à travers le contact 1:8.
Le relais Rll inverse ses contacts R11c et Rlld suivant la figure 17b de sorte qu'au moment où se fait l'intro- duction du chiffre " 9 " pendant le cycle, moment qui est celui de la fermeture du contact C20, des circuits parallèles s'éta- blissent à travers tous les électro-aimants dtaddition, partant de la ligne 180, passant par les contacts PSd, C20, les contacts Rlld, R7a, R9b ( gauche ) vers les électro-aimants 153, Pour celles des colonnes qui contiennent des -,perforations numériques, les circuits d'introduction ultérieurs partent de la connexion 205, passent par le contact R15 ( droite ), la connexion 206, les contacts R11c ( droite), R9d ( gauche ),
l'électro-aimant de soustraction 165 pour aboutir à la masse 190. Ainsi les roues d'addition avancent d'une quantité proportionnelle au complé- ment à 9 de la quantité lue, et, dans l'exemple choisi, la son- me posée dans l'accumulateur à la fin du cycle contient des 9 dans tous les ordres d'unités.
Tout comme pour la quatrième carte, la perforation 12 est analysée par un balai M2 pour exciter le relais R12 qui à son tour provoque l'excitation de 1'électro-aimant S3 qui fait dé- vier la carte vers la poche P3,
Pendant que s'effectuent les opérations de soustraction et de mise en liste précédentes, la première carte maîtresse correspondant au nom STEVENS passe devant les balais M1 et les relais comparateurs reçoivent maintenant un nouveau réglage qui est différent de celui de la carte de détail, réglage qui a été conservé pendant les différents cycles précédents.
Il sera évi- dent d'après l'explication qu'on a faite plus haut de la chaîne de relais comparateurs, qu'au moment où le contact d'épreuve C6 va se fermer cette fois vers la fin du cycle, le relais LD ( fi- gure 17 ) va s'exciter ce qui indique l'infériorité de la car- te de détail.
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1uanci le contact 04s(-- ferme vers la fin du cycle, un cir- cuit s'établit qui part de la ligne 180, passe par les contacts C4 ( figure l'7d ) STb, le frotteur 173, le plot 174 IO 9, la connexion ?v, le contact R19a ( gauche ) les contacts DFa, psi ( gauche ) , l'électro-aliuant d'embrayage de distribution des certes de détail 43 pour aboutir à la nasse 190 et par suite la carte de détail avance maintenant tandis que la carte maîtresse demeure inactive.
Cycle 11 :
Au cours de ce cycle le contact C7 établit un circuit d' excitation de l'électro-aimant SM qui -Lait avancer les frotteurs d'avance Pas à pas 173, 173a sur leurs plots N 10, et le relais R7 s'excite de nouveau, mais le relais R15 ne s'excite pas puis-
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que le contact 1.9 demeure cette fois ouvert. Au Bnnpnt ou la première carte de détail passe maintenant devant les balais D2 après avoir fermé le contact de levier de cartes correspondants, pour exciter le relais D2CL ( figure 17d ), des circuits d'in- troduction s'établissent pour imprimer l'indication sur la ligne
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10 de la facture et ajouter la s4ime de 9,00 dans l'accumulateur.
A titre d'exemple on peut indiqu.er le circuit d'introduction suivant : ligne 180 ( figure 1?a j contacts C1D3, Psa, D2CLb, rouleau 22, balais D2, connexion par fiche 211 ( figure 17b)
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contacts RlSa ( gauche ) Rl3a, R9a ( droite ), pour aboutir à l'électro-aÍI11ant d'impression 95. Le circuit bifurque à travers la connexion 06 vers les contacts Rllc ( gauche ) R7a R9b ( gauche ) pour aboutir à ltéleetro-a:i.r.ia7.t d'addition 153 et à la, nasse 190.
Dans les colonnes contenant les indications des-
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criptives, le circuit ne se prolonge que jusqu'aux élE. ctro-ai- l'Jauts d'impression et part par exemple de la ligne 180 ( figure 17a) pour passer par les contacts Cl, D3, ?sa, D2CLb, le rou-
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leau Z2, les balais D2, la connexion par fiche 312 ( figure 1'7b ) , les contacts R15a¯ ( gauche ) } Rl4a, R9a ( droite ), et l'électro-
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aimant d'impression 95 pour aboutir à la masse 190.
Etant donné que la somme posée dans l'accumulateur avant le début du cycle actuel était 999,99 ( pour un accumulateur à cinq unités, l'addition de la somme de 9,00 provoque un report de dizaines des unités du troisième ordre à travers celle du quatrième et du cinquième ordre et des unités du cinquième or- dre vers celle du premier pour y introduire l'unité dite fugi- tive ou complémentaire. Ceci est réalisé de la manière suivante:
dans le troisième ordre, l'addition de 9 a pour effet que le balai de report 159 ( figures 17b et 10 ) vient en contact avec le bras 160 de sorte qu'au moment de la fermeture du contact C21 pour la dernière fois vers la fin du cycle ( voir figure 16 un circuit s'établit depuis la ligne 180, passant par les con- tacts PSd, C21, le bras 160 dans le troisième ordre ( qu'il faut considérer comme l'ordre le plus à droite de la figure 17b) le balai 159, les contacts R8a, R9b ( gauche ) pour aboutir à .l'électro-aimant 153 du quatrième ordre.
Ce circuit bifurque au contact R8a à travers le bras 161 et le balai 159 du qua- trième ordre, les contacts R8a et R9b pour aboutir à l'électro- aimant 153 du cinquième ordre, et ce circuit bifurque à son tour pour traverser le bras 161 et le balai 159 du cinquième ordre à travers le fil 213 vers les contacts R8a et R9b de 1' ordre le plus bas. Ces circuits sont synchronisés de manière à introduire une unité dans les différents ordres de la manière usuelle. Le contact R8a est fermé par un relais R8 ( figure 17d) qui est excité à travers un circuit qui part de la ligne 180 passe par le contact C18, le frotteur 173a, le plot 174a N 10 la connexion 204, le contact C23 et le relais R8 pour aboutir à la masse 190.A la fin de ce cycle la somme posée dans l'ac- cumulateur est 9,00.
Au cours de ce cycle la première carte de détail passant devant les balais D2 est comparée à la. seconde carte de détail
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passaat sir..lult;ninEnt s,bus les balais Dl. Jette comparaison sert SY'p].E.E-I1t 2 déùerr3.iibr si oui ou non les deux cartes Se rnppor- tant au j.1LF;r'jf; savoir le oonpte BI.1TH et utilisent un circuit équilibré d'un type bic-,ri connu comprenant pour chaque colonne à couparer un relais dt:sinc p<,.r OC sur la figure' 17b, Cl us e;".. ces relais y étant représentés.
Le relais est relié par connexions s. fiches 183 et 215 aux ba.la.s D1 et D2 correspondant .1 la x c.fx ,E: colonne des s cartr.s , de sorte que si L;s dl 1..1:& colonnes oontiennr-nt la ou les r'-eries perforations, les circuits seront tous deux shuntés, autour de-, 1'électro-aimant à travers des ré-
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sist2noE:s 216. si l'un ou l'autre de ces circuits est établi sans l'autre, 1'électro-aimant va s'exciter et fermer son con- tact GCa.
Ces circuits s'établissent de la manière suivante : colui correspondant au balai Dl part de la ligne 180 (figure
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17?, ), passe par les contacts Cl, D3, DICLB, le rouleau 21, le balai Dl, la connexion 183 ( figure l'7b ) et la résistance 16 pour aboutir à la nasse; celui correspondant au balai D2 part de la ligne 180, passe par les contacts C1, D3, PSc, D2CLb, le rouleau 22, le balai D2, la connexion 215 et la résistance 216 pour aboutir à la masse.
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Puisque les deux cartes analysées siniultanénent au cours de ce cycle sont semblables, les électro-aimants GC ne sont pas excités à ce moment. Quand le contact C6 va se fermer vers la fin du cycle, le relais LD s'excite de nouveau comme précédem- ment et comme on l'a expliqué à propos du cycle 10, de sorte qu'au moment où plus tard le contact C4 se ferme, l'électro- aimant 43 d'embrayage de distribution des cartes de détail se trouve de nouveau excité comme on l'a déjà vu.
Cycle 12 :
Au cours de ce cycle, la seconde carte de détail passe de- vant les balais D2 au moment où la troisième carte de détail passe devant les balais Dl ; cela, les frotteurs 173, 173a
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avancent pour venir sur leur plot 11. Les opérations se produi- sant dans le cycle, sont les mêmes que. pour le cycle 11, c'est- à-dire que l'indication est imprimée sur la ligne 11 de la fac- ture et la somme 9,50 est introduite sous forme additive dans l'accumulateur de la seconde carte.
La troisième carte de détail contient la perforation spé- ciale 11 qui indique que la somme portée par cette carte est à soustraire, et cette perforation est analysée par un balai Dl pour exciter le relais R10 ( figure 17a) par un circuit qui part de la ligne 180, passe par les contacts C1, D3, D1CLb, le rouleau 21, le balai Dl, la connexion 218 et le relais R10 pour aboutir à la masse. Le relais R10 ferme son contact R10b pour établir un circuit de maintien par contact D7 et ferme aussi le contact R10a ( figure 17d) à travers lequel un circuit s'éta- blit partant de la ligne 180 passant par le contact D8 ( qui se ferme avant que le contact D7 ne s'ouvre dans le cycle suivant @ R10a, PSa, le relais Rll pour aboutir à la masse 19C.
Le relais Rll comme on l'a vu prépare les circuits de la figure 17b pour les mettre dans un état qui assure que l'introduction- numérique au cours du cycle suivant va se faire soustractivement.
Cycle 13 :
Au cours de ce cycle, la troisième carte de détail passe par les balais D2, la ligne 12 de la facture est imprimée, est la somme 9,00 est introduite sous forme soustractive dans l'ac- cumulateur de sorte que le total qui s'y trouve alors devient 9,50.
Les frotteurs 173, 173a avancent sur leur plot 12.
La première carte de détail du groupe portant la désigna- tion STEVENS passe maintenant sous les balais D1 et les relais comparateurs de détail reçoivent un nouveau réglage qui est é- quivalent à celui conservé par les relais comparateurs-maîtres de sorte qu'au moment de la fermeture du contact C6 le relais
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'ég01ité va se trouver/excite.
Un ou. plusieurs des relais GO ( figure l'7b ) va s'exciter aussi en raison de la différence de noms sus les cartes qui pas- sent sÎI1ml tanér'J.ent devant les balais 17. et DS au cours de ce cy- cle. La f(-rmettre résultante d'un contact GO::.. quelconque va éta- blir un circuit partant de ln. ligne 18 0, passant )0,1' l(,s con- 't cts D6a, ;2Sc, GCs- et las relais DF pour aboutir â le masse, :; le relais Di' va fermer son contact Dru pour se nainbe-nir c.n excitation la réouverture du contact C6.
Vers 1:. fin du cycle, quand lt contact C4 va se fenrcr, le circuit de l"jlé'ctro-airlE\l1.'t 43 nI' va pas s'établir, puisque 1'' contact DFa ( figura 19d ) est ouvert c, t :lt #lt. ctro-niz.ûmt 4D n''. Sc'ra pas lui non plus excité. I.es d -:ux ",caniSIJ¯6S dis@tri- 'ûutiOIl s0nt par suitc- au r';3!OS la fin du cycle', 2t las contacts Do et F6 6 a',aizz-I;i¯:ment les relais coriparatours dans 1,-ur r-5g1age; la factr.re est aonevée l'exception de l'irtipression du total sur un'; 1ign:. suivante.
Cycle 14 : Au cours de ce cycle lt J. c'tra-wir.ut d'avance )8.S,ft pas S wc lt :;1. ctro-.,.':.a.n de cylindre. 154 sont de nouveau excitas pour faire avancer les frotteurs 173, 173a, sur leur plot 13 et faire passer la facture z, la ligne 15.
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Cycle 15 :
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Au cours de ce cycle d'avance pas à pas SU et l'électro-èJ,illEult de cylindre 124 sont de. nouveau excites
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pour faire avancer les trotteurs 173 et 173a sur leurs plots 14
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'-t taisre passer la facture à la ligne 14.
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Cycle 16 :
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Au cours de ce cycle l'é1ectrQ-aimant d'avance pas à pas et l'é1ectro-aL8nt de cylindre 134 sont de nouveau excités
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pour faire avancer les trotteurs 173 et 173a sur leur plot 15 et faire passer la facture à la ligne 15.
Un circuit va s'établir
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par le frotteur 173a et son quinzième plot 174a au Dament de la fermeture du contact C18; ce circuit part de la ligne 180 ( fi- gure 17d0 passe par le contact C18, le frotteur 17 Sa, le plot 174a N 15, la connexion 219, le contact C24 et le relais R9 pour aboutir à la masse 190.
Le relais R9 inverse ses contacts R9a et R9b selon la fi- gure 17b de sorte qu'au moment où le contact C19 se ferme, des circuits s'établissent à travers tous les électro-aimants d'ad- dition 153, ces circuits partant de la ligne 180, passant par les contacts PSd, C19, le contact R9b ( droite ) et les électro- aimanta d'addition 153 pour aboutir à la nasse.
Ce circuit est réglé dans le temps de manière à tendre à provoquer l'addition d'un 10 dans toutes les roues d'addition, de sorte qu'à un in- stant déterminé au cours de sa rotation, chaque roue -passe de 9 à 0 et ferme ses contacts de report 159, 160; à cet instant un circuit va s'établir pour chaque roue, ce circuit partant de la ligne 180 passant par les contacts PSd, C21, les contacts 160, 159, la douille 220, une connexion 221, le contact R9a (gauche) pour aboutir à l'électro-aimant d'impression 95 afin d'imprimer la somme posée dans la roue accumulatrice.
Ce circuit bifurque aussi à la douille 220 pour traverser un autre contact R9b (droite) vers les électro-aimants de sous- traction 165 qui ont pour effet de débrayer les roues d'addition dans la position de 0 ou de repos, vidant ainsi l'accumulateur.
Cycle 17 :
Au cours de ce cycle les frotteurs 173, 173a avancent sur leurs plots 16 et la feuille de papier passe à la ligne 16.
Cycle 18 :
Au cours de ce cycle les frotteurs 173, 173a avancent sur leurs plots 17 et la feuille de papier passe à la ligne 17.
Au moment où le contact C18 ( figure 17d) se ferme un 'circuit s'établit qui part de la ligne 180, passe par le contact
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018, le frotteur 173a, le 17e plot 174a, la connexion 222, le contact C9 et le relais REL pour aboutir à la masse 190. Le re- lais REL ferme son contact RELa pour établir un circuit de main-
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tien passant par le contact CIO et ouvre son contact ',T3LO pour permettre au contact C5 de couper le circuit de maintien du re- lais C3 vers la fin du cycle.
Le relais REL ferme aussi son contactRELb de sorte que
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lors de la fermeture du contact 011, l*électro-aimant de déclen- chement RU s'excite pour libérer les frotteurs 173, 17Sa et per- mettre leur retour à leur position de départ, quand le contact 06 se ferme alors, un circuit s'établit vers le relais d'égali- puisque les relais comparateurs sont réglés pour représent-
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ter lu nom STEYENS a la fois pour les cartes J"laîtresses et les certes de détail. partir de ce nor.1Emt les opérations d5oritps plus haut s. reproduisent pour les jeux de c8rtls correspondant au second compte.
RECAPITULATION.
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,)n va résuller sor,Jl'?ire:1eT1 la suite d'opérations corres- pondant à un StTl Jê,L1 Cl0 cartes tT7-,f¯lrt:.naJ7.t t LAi1 rlîilû COïï=9te.
3P jeu comprend un groupe de crts in.aîtresses contenant trois cartes d'adresses et doux cartes de rens"i;ac:rnents, Et un grou- pe de dÓk il comprenant trois eç-rtFS de ronseigneiients. Les roups de, cartes sont placés dans le.urs r-iagasins respectifs pour t:CE-, distl'ibu8..:;B dd1.LS l'ordre ,;scnG.alt et, aU. fur et à sur,- de; 1011T distribution il St.,,'fE,C't'tï4 W1E:> CJily72,r2.iS021 tt traiisvrs-lc " entre 1<78 cLr-ts naitresses d'une part ,,:.t de de- tail d'un': autre, ainsi qu'une comparaison 11 longitudinale fi ',ntlY; c5r'(-s de détsil successives, '-uisque les prenières certes CC)3?"F',r :é:S sont sf:l,1bl:,.1Jlc"B, CtC;
>i-d-Ù.i-C'E "tU' "lIes appar- timncnt toutes deux au couple SIT:::1':::, le' relais d'égalité est excité et ceci provoqua, l'interruption provisoire, de la distri-
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bution des cartes de détail et la conservation de la lecture du nom effectuée sur la première carte de détail jusqu'au moment où toutes les cartes maîtresses portant le même nom ont été ana- lysées et leurs indications enregistrées et introduites dans 1'accumulateur.
Quand la première carte maîtresse du compte suivant, soit le compte STEVENS est lue, la comparaison Il transversale " pro- voque l'excitation du relais LD d'infériorité de la carte de détail ce qui entraîne la suspension du fonctionnement du méca- nisme distributeur des cartes maîtresses, et la machine attend alors que le commutateur d'avance pas à pas et que la facture aient avancé à la ligne prévue. Il y a lieu de remarquer en ce peint que si les deux dernières cartes du groupe des cartes maîtresses avaient été Omises, l'excitation du relais RL ne se- rait produite deux cycles plus tôt, auquel cas la machine aurait eu besoin de deux cycles à vide supplémentaires pour amener les frotteurs 173, 173a à la position choisie pour actionner l'é- lectro-aimant d'embrayage de distribution des cartes de détail 43.
Les cartes de détail avancent alors et les dispositifs de comparaison Il longitudinale " fonctionnent pour interrompre cet- te distribution au moment où. la dernière carte de détail du groupe SMITH a été lue et les indications qu'elle portait enre- gistrées. Le nombre de ces cartes de détail peut aussi être va- riable ; enfin après que la machine a déplacé la 'feuille de fac- ture jusqu'à la ligne prévue pour le total, le solde ou total débiteur est imprimé et l'accumulateur remis à zéro.
La connexion par fiche- 809 ( figure 17d) étant établie, les cartes, après avoir été analysées, sont distribuées de ma- nière que les cartes à adresses passent dans la poche P2, les deux autres cartes maîtresses dans la poche P3 et les cartes de détail dans la poche P2. Il est évident que si l'on avait
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omis contta connexion 209 toutes les cartes seraient acheminées vers la poche P2 pour former une pile dans laquelle les cartes de. détail se trouveraient à la suite des cartes maîtresses.
SUPERIORITE DE LA CARTE DE DETAIL.
Dans le problème examine ci-dessus le comparaison des cartes ne donnait que la condition d'égalité ou celle d'inféri- orité des cartes de détail. On obtient un état de supériorité de la carte de détail lorsqu'il n'existe aucune carte de détail pour un groupe donné de cartes maîtresses. Pour illustrer le cas de fonctionnement on va supposer que les trois cartes de détail SMITH sont manquantes. Alors au cours du cycle ci -des- sus, quand le contact 06 se ferme, le relais MD s'excite à la place du relais E puisque la comparaison se fait entre ( carte. maîtresse ) et STEVEMS ( carte do détail ).
Il s'ensuit que l'électro-aimant 40 d'embrayage de distri- bution des cartes maîtresses s'excite par un circuit qui part de la ligne 180 ( figure 17d ) passe par les contacts C4, STb le fil 179, lescontacts HDc, PSi (droite) et 1'électro-aimant 40 pour aboutir à la messe 190, On voit que le relais PS n'est pas excité de sorte qu'au moment où la carte maîtresse avance devant les balais 12 aucun circuit d'analyse n'est établi.
Au- trement.dit lorsqu'un jeu de cartes comptables ne comprend que des cartes maîtresses, celles-ci traversent la machine sans que la machine n'enregistre aucune de leurs indications, puisque, comme on 1 la indiqué, le relais n'est pas excité dans ces conditions, son contact PSh ( figure 17d) reste ouvert de sorte que les commutateurs pas à pas n'avancent pas et l'interlignage de la facture ne se fait pas.
Si on le désire, ces cartes maîtresses non assorties peu- vent être séparées et placées dans la poche :,4. Jour cela on établit une connexion par fiches 223 ( figure, 17d). En ce cas, au moment où le relais HD ( figure 17d) est excité, son contact
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HDb établit un circuit partant de la ligne 180, passant par les contacts M4, PSg, HDb et le relais H pour aboutir à la masse 190. Ce relais ferme son contact Hb pour établir un circuit de maintien à travers le contact M5 et ferme aussi son contact Ha ( figure 17d) de sorte que lors du cycle suivant un circuit s'établit de la ligne 180 par les contacts C4, STb, le fil 179, le contact Ha, la connexion 223 et 1'électro-aimant S4 pour a- boutir à la masse.
L'électro-aimant S4 va déplacer les lames distributrices pour guider la carte vers la poche P4.
D'une manière semblable si les cartes maîtresses d'un jeu manquent, de sorte qu'au moment de l'analyse de la première car- te de détail il se produise un état d'infériorité, de la carte de détail, le relais LD s'excite et ferme à son tour son contact LDb pour exciter le relais L qui à son tour ferme son contact Lb pour établir un circuit de verrouillage par le contact D5. En- suite, quand le contact 04 se ferme dans le cycle suivant, l' électro-aimant S1 s'excite à travers un circuit ( figure 17d) qui part de la ligne 180, passe par les contacts C4, STb, le fil 179, le contact La¯, la connexion 219 et l'électro-aimant S1 pour diriger les cartes de détail vers la poche P1.
Le résultat définitif est donc de réunir les jeux conte- nant à la fois les cartes maîtresses et les cartes de détail dans la poche P2, d'acheminer les cartes maîtresses non assor- ties dans la poche P4 et les cartes de détail non assorties dans la poche P1. En outre toute carte maîtresse assortie contenant la perforation spéciale 10 est dirigée vers la poche p3.
Il est évident d'après ce qui précède que si l'on veut conserver les deux piles de cartes dans leur ordre initial et séparées l'une de l'autre, toutes les cartes maîtresses pourrai- ent être perforées du trou spécial 10 et l'on pourrait omettre les connexions par fiches 223 et.217. Il s'ensuivra que toutes les cartes maîtresses seront acheminées vers la poche P3 et tou-
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tt s la,s cartr-s de détail/vers la poche ",'2.
On a décrit et représente les caractéristiques nouvelles îond mental.cs de l'invention, dans leur application, à un node de réalisation unique nais il doit enüendu que l '110):".1JJle de Il art prut apporter d2 -vcrses oriissions, substitutions ou 1'10'difica- tions à la forme et aux détails du dispositif représenté et de son f nctiqnn;.x.cnt sans s'écarter pour cela de l'esprit de l'in- vention.
R E S U il 3
La présente invention a pour objet le produit industriel nouveau que constitue une machine comptable du type à commande par cartes enregistreuses, machine comportant deux dispositifs distributeurs de cartes enregistreuses, chacun ayant pour effet de faire avancer les cartes une à une devant un dispositif ana- lyseur associé, et un dispositif commandé conjointement par ces dispositifs analyseurs pour provoquer l'avance sélective d'une carte par l'un ou l'autre de ces dispositifs distributeurs, sé-
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':paréL1Emt ou en combinaison.
La 1:13chine objet de l'invention est caractérisée par les points suivants : 1.) On prévoit un accunulate,ur 0 21Un susceptible d'être co=..ie,.nd6 par les deux dispositifs analyseurs précités pour in- troduire des indications provenant des cartes distribuées, et un autre dispositif commandé conjointement par les deux dispo-
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sitifs analyseurs pour rendre sélectiv6ent l'accumulateur sen- sible à l'analyse de certaines des cartes distribuées seulement, ce qui permet d'obtenir le total des indications portées par ces cartes seulement, dans les deux piles.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.