<Desc/Clms Page number 1>
"Perfectionnements aux machines tabulatrices" la présente invention est relative aux ma- chines à calculer et concerne, plus spécialement, les ma-
EMI1.1
/tabulatrices chines calculatrices t iaHiaBM'/cosamandées par des car- tes perforées.
L'invention a pour principal objet la réa- lisation d'une machine tabulatrice possédant une sélectivité de fonctionnement perfectionnée et une utilité accrue
<Desc/Clms Page number 2>
en même temps qu'une simplification et qu'un perfection- nement de la structure mécanique ayant pour but de confé- rer à la machine des propriétés supplémentaires de fonc- tionnement, de perfectionner et d'augmenter l'efficacité et de l'utilité des propriétés que l'on rencontrait précé- demment dans les machines du genre en question,
Plus spécialement l'invention a pour objet la réalisation d'un dispositif calculateur mécanique dans lequel une machine à calculer peut être commandée de loin par une autre machine à calculer et dans lequel grâce à un mécanisme perfectionné,
les machines n'ont pas besoin de fonctionner synchroniquement bien que la souplesse du système permette d'obtenir ce synchronisme.
L'invention a aussi pour objet la réalisa- tion d'un dispositif du type spécifié au paragraphe pré- cédent dans lequel des moyens faisant apparaître des don- nées dans les deux machines peuvent être commandés par des opérations réglées différemment dans le temps, les- quelles peuvent, si on le désire, être des impulsions élec4 triques réglées dans le temps.
L'invention a, encore pour objet, la réa- lisation d'un dispositif calculateur dans lequel une /'de com- machine à calculer%contrôleuse peut être associée, au mande ou moyen de connexions à fiches, avec une machine à calculer réceptrice et dans lequel des impulsions électriques réglées dans le temps sont émises par la machine contrô- leuse de façon à faire fonctionner la machine réceptrice.
L'invention a, en outre, pour objet un dispositif calculateur dans lequel une machine à calculer est commandée de loin par une autre machine à calculer, les deux machines étant pourvues de systèmes d'entraîne- ment indépendants, un autre objet dé l'invention consiste dans
<Desc/Clms Page number 3>
la réalisation d'une machine pourvue d'un mécanisme accu- mulateur pouvant être commandé par une machine tabulatrice commandée elle-même par des cartes perforées portant des données représentées par des points indicateurs"
Un autre objet d'invention consiste dans la réalisation d'un dispositif comprenant des machines à calculer commandées de loin, dans lequel l'une des machines
EMI3.1
Aabulatrice en question est une machine JbatniSEbBHK/pourvue de tota- lisateurs et d'un mécanisme d'impression,
tandis que l'au-
EMI3.2
cablilatilce
EMI3.3
tre machine est une machine à taMratBNK/comportant seule- ment des totalisateurs. Ces derniers sont commandés, con- formément aux données des totalisateurs de la première machine et commandent à leur tour le mécanisme d'impression de la première machine.
Dans l'industrie des machines à calculer on a déjà réalisé des appareils comportant des moyens permet- tant de transférer des nombres ou des totaux d'un accu- mulateur à un autre, Ces dispositifs étaient jusqu'à ce jour, entièrement mécaniques et nécessitaient des disposi- tions compliquées. Les opérations de transfert étaient réduites aux mécanismes d'une seule machine et les accumula- teurs transmetteurs et récepteurs devaient, nécessairement fonctionner synchroniquement..
En outre, la complication mécanique de semblables appareils était considérablement augmentée quand on voulait transporter sélectivement des sommes d'un accumulateur quelconque pris, parmi plusieurs autres, dans l'une des machines, à l'un quelconque des autres accumulateurs de l'autre machine et reporter en- suite au mécanisme d'impression de la première machine le résultat de la combinaison des nombres figurant sur les deux accumulateurs.
L'invention a encore pour objet la réalisa-
<Desc/Clms Page number 4>
tien d'un mécanisme de sélection chargé de déterminer, par- mi les accumulateurs de l'une des machines, celui qui de- vra commander le fonctionnement d'un accumulateur- d'une autre xconde machine.
L'invention a, enfin pour objet la réali- sation de moyens perfectionnés pour transférer des totaux de l'un des accumulateurs d'une machine à l'un des accu- mulateurs d'une autre machine et de reporter ensuite du second accumulateur au mécanisme d'impression de la première machine le résultat de ces transferts successifs.
Sur le dessin annexé on a représenté, uni- quement à titre d'exemple, un mode de réalisation de l'in- vention :
La figure 1 est une vue générale de l'appa- reil à deux éléments ;
La figure 2 est une coupe du mécanisme d'im- pression par 2-2 de la figure 1 ; /,Coupe La figure 3 est une% de détail d'un com- /'faite par mutateur, xxxxx de/la ligne 3-3 de la figure 1 ;
La figure 4 est une coupe centrale d'un comp- teur par 4- de la figure 1 ;
La figure 5 est une vue, de détail du méca- nisme de remise à zéro à interrupteur multipolaire %'coupe La figure 6 est une xx/de détail d'un com- / faite par mutateur, xxxxxx de/la ligne 6-6 de la figure 1.
Les figures 'la, 7b, 'le et 7d considérées ensemble forment un schéma complet des circuits de l'appareil. Les figures 'la et 7b, placées l'une au-dessus de l'autre, représentent l'élément secondaire. Les figures 'le èt 7d, placées l'une au-dessus de l'autre,, représentent le tabulateur imprimeur. Les figures 7a et 7b placées à la gauche des figures 7c et 7d montrent l'arrangement
<Desc/Clms Page number 5>
correct des circuits,
La figure 8 est une portion d'une carte de détail ;
La figure 9 est une portion de carte im- primée ;
La figure 10 est une table représentant les phases successives de l'opération qui consiste à préparer la carte imprimée de la figure 9 en partant de cartes de détail.
Pour permettre de suivre plus utilement la description détaillée, on va exposer, ici, d'une manière générale, le fonctionnement du mode de réalisation spécial de l'invention figuré ; l'appareil va être décrit dans son application à un problème se présentant dans une banque', mais il est clair que l'invention pourrait, aussi facile- ment être utilisée dans un grand nombre d'autres établis- sements commerciaux et dans un grand nombre d'autres cas.
Dans certaines maisons de banque, la pra- tique consiste à établir une carte perforée pour chaque opération effectuée entre la banque et un client,. Cette carte perforée peut recevoir le numéro de compte du client, la date de l'opération, son montant es une indication qui fait connaitre si l'opération doit être portée au débit ou au crédit du compte..
Le complément de la somme peut être également perforé dans une zône distincte de la carte de façon à pouvoir être utilisée dans les balances tabula- trices. une telle carte peut affecter la forme représentée sur la figure 8 qui représente la carte bien connue du type ROLLERITH comportant douze positions de points indi- cateurs. Eté genre d'opération est indiqué dans la colonne K ; une perforation figurant dans la position "11" de points indicateurs caractérise une carte débitrice tandis
<Desc/Clms Page number 6>
que l'absence de cette perforation caractérise'une carte créditrice,
Les cartes sont rangées d'après le numéro de compte et la date ;
à la fin de certaines périodes tabulatrice déterminées on les fait passer par la/tabulateur impriou meur ordinaire HOLLERITH de façon à obtenir une totali- sation des divers comptes qui est ordinairement, et sui- vant le cas, le"total créditeur; le "total débiteur" et la "balance débitrice" ou la "balance créditrice"., Dans la répartition des intérêts sur ces comptes on avait l'habitude de faire la balance des opérations de chaque jour pour chaque compte, et de compter les intérêts du jour, puis d'additionner les intérêts successifs de façon à obtenir la balance des intérêts payables à la fin de la période déterminée.. Jusqu'à présent c'était là une opéra- tion longue, exigeant des qualités de calculateur et un grand nombre de multiplications de balances quotidiennes par des taux d'intérêt.
Dans le présent arrangement on a prévu un dispositif pour effectuer automatiquement la somme de toutes les balances quotidiennes correspondant à la période laquelle somme multipliée par l'intérêt par jour donne l'intérêt pour la période, La figure 9 représente un exem- ple de cet enregistrement ; les opérations quotidiennes y sont enregistrées avec les balances quotidiennes et le total de ces dernieres, Ainsi le nombre 372 représente la somme des balances créditrices et 1157 la somme des ba- lances débitrices. Chacune de ces sommes peut être multi- pliée par le taux d'intérêt journalier si ces taux sont différents ; la différence des produits sera 1 t intérêt dû à la banque ou au client, suivant le cas.
<Desc/Clms Page number 7>
L'opération peut être expliquée pour le mieux à propos d'un problème spécial qui peut être celui auquel correspond le dessin. En supposant que l'on veuilleabtenir la balance des intérêts dus pour tous les comptes pour la période qui s'étend du 1er au 18 Mai, on trie les cartes d'après le numéro de compte ; en outre chaque groupe de cartes correspon- dant à un compte de client est trié xxxx d'après l'ordre chronologique.
Des cartes en blanc sur lesquelles on a seulement poinçonné la date et le numéro du compte sont intercalées dans l'ordre convenable pour les jours où il n'y a pas eu d'opération. On dispose à la manière habituelle la machine pour la marche auto- matique; les cartes sont amenées une à une et les données sont réparties entre les divers compteurs comme l'indique la figure 10. Sur cette figure la colonne intitulée "carte" indique les données poinçonnées dans les cartes séparées. Les colonnes intitulées CTR n 1, CTR n 2, CTR n 3, CTR n 4 et CTR n 5 correspondent aux cihq compteurs du tabulateur imprimeur représenté sur la figure 1. Les colonnes intitulées CTR-A et CTR-B correspondent aux deux compteurs de la machine secondaire également repré- sentée sur la figure 1.
La carte perforée préparée peut affec- ter la forme représentée sur la figure 9 où seuls les totaux des divers groupes sont imprimés ; onpeut encore établir une carte perforée plus détaillée sur laquelle sont mis en colonnes les articles de comptes des cartes séparées.
Comme on le voit sur la figure 10, la première ligne de la feuille indique qu'un crédit de
<Desc/Clms Page number 8>
50 est perforé sur la carteen même temps que son complément,.soit 9,950. Ce nombre est analysé par les balais de lecture ordinaires et le nombre 50 est introduit dans CTR n 2 et dans CTR n 4, tandis que son complément est introduit dans CTR n 5.
En même temps le numéro de compte 73 et la date* xx Xxxxxxx50 sont imprimés directement sur la premiè- re ligne de la feuille, comme sur la figure 9, Ces deux nombres sont accessoirement introduits dans CTR n 1 . L'impression du numéro du campte et de la date et l'entrée accessoiredans un compteur s'effectuent d'après le procédé bien connu d'indication de groupe qui a été complètement expliqué et décrit dans le brevet américain Daly et Page n 1.757.123 du 6 Mai , 1930. Il suffira d'indiquer qu'après l'impression du numéro du compte et de la date sur la première ligne du papier enregistreur, l'espacement est supprimé de façon qu'à la fin de la tabulation d'un groupe de cartes le total à imprimer sous le contrôle des quatre compteurs apparaisse sur la même ligne.
On remarquera également dans le brevet précité que les articles de comptes introduits dans CTR n 1 ne sont pas imprimés comme des t otaux.
Comme l'indique la figure 10 la seconde carte porte porte le nombre créditeur 38 et son complément 9,962.
Ces nombres sont également introduits dans les compteurs Nos 2,4 et 5. La machine est pourvue du mécanisme de commande automatique bien connu pour le contrôle mineur sur la date et le contrôle majeur sur le numéro du compte. Lorsque la date change, un cycle d'opérations de transfert se trouve automati- quement amorcé. Pendant ce cycle la machine cherche
<Desc/Clms Page number 9>
lequel des compteurs 4 et 5 contient une balance positive et transfère cette balance, soit au comp- teur A, soit au compteur B de la machine secondaire,
Dans le cas considéré ici, la tabula- tion du groupe de cartes, pour le premier jour du cinquième mois, se traduit par une balance positive Xxxxxxxxxxxx de 88, laquelle est automatiquement transférée au compteur A.
A ce cycle de transfert fait suite un cycle d'impression automatique de to- tal pendant lequel la balance 88 est impiimée sur la feuille enregistreuse sous le contrôle de CTR n 4, Le total de CTR n 2 est également imprimé dans la colonne intitulée"totaux créditeurs journaliers-Cr".
Après l'impression des nombres précités, CTR n 2 est remis à zéro, comme l'est également CTR n 1, aucune impression n'ayant été provoquée par ce der- nier. La machine reprend alors l'amenée des cartes du second groupe représentant les opérations du deu- xième jour. Ainsi qu'on l'a indiqué, cette carte représente une opération débitrice de 20, nombre qui est introduit dans les compteurs 3et 4 sous sa forme vraie tandis que son complément est introduit dans CTR n 4, un changement intervenant de nouveau dans le nombre qui indique la date et dans la balance.
La balance 68 dans CTR n 4 étant encore crédittice, ce nombre est automatiquement transféré au compteur A de l'élément secondaire où il s'ajoute au nombre 88 qui y figure déjà, ce qui donne pour résultat 156.
Un cycle d'impression de total suit, pendant lequel CTR n 4 commande l'impression de la balance 68 sur la seconde ligne du papier; CTR n 3 commande l'impression du total débiteur journalier
<Desc/Clms Page number 10>
sur la même ligne. Le groupe suivant représentant les opérations du troisième jour contient une carte sans perforation. Par suite, aucune entrée n'a lieu, à partir de ladite carte, dans l'un des compteurs de nombres. Un nouveau changement de date provoque un cycle le transfert pendant lequel la balance, 68 se trouve de nouveau transférée au compteur A ce qui amène ce dernier à 224 après quoi le cycle d'impres- sion de total a lieu et la même balance 68 se trouve imprimée sur la troisième ligne du papier.
Comme il n'y a pas eu d'opération réelle ce jour-là, aucune impression n'a lieu dans l'une ou l'autre des colon- nes de totaux journaliers.
L'entrée des articles de comptes repré- sentant les opérations du quatrième jour s'effectue de la même manière; la balance est reportée au comp- teur A et les autres totaux sont imprimés sur le papier et ainsi de suite pour les opérations du cin- quième jour lesquelles sont représentées par quatre cartes dont chacune porte un débit de 80. On remarque- ra qu'après l'introduction de ces quatre articles de comptes dans le compteur convenable la situation du compte est passée d'une balance créditrice à une balance débitrice de 172. Ce changement est noté par la machine et une telle balance,débitrice est par suite transférée au compteur B de l'élément secondai- re ; pendant le cycle d'impression de total qui suit, ladite balance débitrice est imprimée dans la der- nière colonne de papier ainsi qu'on l'a indiqué.
Les opérations correspondant au restant de la période sont distribuées d'une manière semblable, xxxx d'après leur nature, et la balance de chaquejour est trans- férée à la suite soit au compteur A soit au compteur
<Desc/Clms Page number 11>
B suivant,que cette balance représente un débit ou un crédit.
Après que les opérations du dernier jour de la période considérée ont été imprimées et que le numéro du compte a changé, le compteur A contient la somme des balances créditrices journalières cor- respondant à la période, tandis que le compteur B contient la somme des balances débitrices journalières pour la même période. Les compteurs 1, 2 et 3 ont été ramenés à zéro et les compteurs 4 et 5 contiennent la dernière balance journalière et son complément.
Une opération de transfert se trouve de nouveau automatiquement amorcée,dans laquelle le total contenu dans le compteur A est transféré à la machine tabulatrice et reporté dans la colonne du papier ré- servée aux balances créditrices journalières, comme on l'a indiqué sur la figure 9..En même temps la colonne des balances débitrices journalières reçoit le nombre figurant sur le compteur B.
A la suitede cette opération d'impression les compteurs des deux machines sont ramenés à zéro et préparés ainsi à commencer des opérations tabulatri- ces sur le groupe de cartes représentant le compte suivant. Le total final 372 représente la somme les balances créditrices journalières ce nombre multiplié par le taux de l'intérêt journalier donnera l'intérêt payable par la banque au déposant pour la période considérée. Le total 1157 multiplié par le taux de l'intérêt journalier donnera l'intérêt dû par le client à la banque pour la même période de temps.
Bien entendu, la différence des deux produits donnera la somme réellement due.
<Desc/Clms Page number 12>
Four simplifier l'explication et rendre le problème plus intelligible on a représenté les cartes séparées avec les perforations correspondant. au montant de l'opération et au complément de ce nombre,
Toutefois il est clair que la machine peut comporter des mécanismes transformant automatiquement le montant de l'opération en sa valeur complémentaire, ce qui économise de la place sur la carte et n'exige que la perforation, sur une seule zone de la carte, de la valeur réelle de l'opération.
Dans le problème choisi pour l'expli- cation on a supposé que les taux d'intérêt appliqués aux balances créditrices et aux balances débitrices étaient différents. Pour cette raison il a été utile de les accumuler séparément dans deux compteurs A et B.
Mais lorsque les taux d'intérêt sont les même on peut aisément. introduire un mécanisme grâce auquel. au moment où une entrée a lieu de la manière indiquée plus haut dans l'un ou t'autre des accumulateurs, le complément de cette entrée puisse être simultanément introduit dans l'autre compteur, de façon que les deux compteurs portent les vraies balances des sommes des balances journalières. A la fin de la période de tabulation, l'un des compteurs fera apparaître un nombre vrai et l'autre compteur montrera le complé- ment dudit nombre.
Le mécanisme chargé de choisir le /-de nombre à transférer l'un des compteurs 4 ou 5 peut tre utilisé pour choisir le nombre positif à imprimer sur le papier de façon qu'à la fin de la période considérée un seul nombre soit imprimé sur la feuille enre- /*le vrai nom- gistreuse. Ce nombre représente /l'intér6t /à payer et est sa postion sur la fauille indique si est dû par la -=,si cet banque ou par le client. intérêt
<Desc/Clms Page number 13>
Les figures 7c et 7d représentent les circuits électriques complets du tabulateur imprimeur.
La machine est absolument semblable à celle qui a été décrite dans le brevet américain Daly et Page n 1.762.145 du 10 Juin 1930 correspondant au brevet canadien n 286.730 du 22 Janvier 1929, à l'exception des dispositifs de rise de totaux et de commande automatique qui seront décrits en détail plus loin.
Pendant les opérations d'addition la machine est entraînée par un moteur tabulateur TM (fig. 7c) que commande un groupe de circuits 10 contrôlés par des relais et des cames. Fendant les prises de totaux la machine est entraînée par un moteur de remise à zéro RM contrôlé par un groupe de circuits de contact et de relais dont l'ensemble est désigné par 11.
Lorsque le moteur tabulateur ?Il fonc- tionne, il amène les cartes tabulatrices perforées ordinaires (lesquelles portent des points indicateurs arrangés différemment et représentant des chiffres) d'abord sous les balais analyseurs supérieurs UB, et, exactement un cycle de machine plus tard, sous les balais analyseurs inférieurs LB.
Au moyen du mécanisme de commande des groupes dont l'ensemble est désigné par GO, des groupes de cartes, représentés par la présemce d'une même entrée dans certaines colonnes choisies, peuvent être traités séparément,les articles de comptes de chaque groupe étant accumulés et leur total relevé avant que la machine commence à opérer sur le groupe de cartes suivant.
EMI13.1
xL&iBOE7S ACOITNID1ATEURS Lorsque les cartes perforées passent
<Desc/Clms Page number 14>
par les balais inférieurs, leurs points indicateurs ferment instantanément les circuits des balais analy- seurs inférieurs convenables LB de façon à exciter des électro-aimants de compteurs 12 (voir également fig.
7d)
Comme d'ordinaire les excitations réglées dans le temps des dits électro-aimants commandent le mécanisme chargé d'introduire sur les roues de compteurs les données correspondant à la lecture de la carte. Lorsqu'un électro- aimant quelconque 12 est excité, il provoque la fermeture du contact 13 de façon à exciter un électro-aimant d'im- pression 14 qui choisit, pour l'impression, le type correspondant à la donnée intr oduit e. Les articles de comptes accumulés peuvent, de 'cette façon, être mis en colonnes. Les fonctions qui précèdent ne font pas spécialement partie de la présente..invention; Elles ne seront donc pas décrites en détail car elles sont bien connues et ont été complètement décrites et expliquées dans le brevet auquel il a été fait allusion plus haut.
En se reportant maintenant à la figure 4 on voit que les roues de compteurs sont représentées par des roues dentées 15 entraînées par un arbre 16 sous le contrôle des électro-aimants de compteurs 12, ainsi qu'on l'a expliqué précédemment. Comme d'habitude, des roues indicatrices 17 fixées à la roue ;le compteur rendent visibles les données introduites sur cette dernière.
Ce mécanisme d'introduction est iden- tique pour tous les compteurs des deux éléments de l'appareil; les électro-aimants 12 des compteurs A et B sont indiqués sur la figure 7b.
Pendant les prises de totaux l'impres- sion est commandée à partir des compteurs 1,2 et 3 par
<Desc/Clms Page number 15>
de la manière bien connue des techniciens par des cames
EMI15.1
' , , 1 1 1 t 1 ') ro ., 1 1 1 1 . '\,.J:. - - J r.
, ,Il: 1 purt. i 4vl:i U:1. 3,1 :; ; r, - 1¯¯:1 f 1 - , u- les S S e nts 23 tandis que l'autre frotta sur u,. inducteur commun 26 en forme de segment, dont la surfaceépouse le contour du cornmutateur. Les éléments dont s'agit sont représentés schématiquement sur les figures 7b et 7d, Chacun des com- mutateurs 23 correspondant au même chiffre est connecté
EMI15.2
à un conduct,eur commun 27. Grâce à cette 1isposition les segments "9" sont en parallèle, tous les segments "8" également et ainsi de suite.
EMI15.3
IJlECAJ.1ISiM D' IlwlEtL3 IGIt
La figure 2 représenta le mécanisme d'impression qui place la barre à types 30 par rapport au rouleau 31, de façon à amener le type convenable 32 en position d'impression en face iudit rouleau.
L'ar- bre 33 des totaux qu'entraîne le moteur RM de remise à zéro porte une came 34 sur laquelle roule un galet 35 porté par un bras 36, lequel peut tourner librement sur un arbre 37.
Lorsque la came tourne, le bras 36 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, ainsi
<Desc/Clms Page number 16>
qu'un taquet 38 coopérant avec/un bras 39 calé sur l'ar- bre 37. Un arbre 40 fixé à l'arbre 37 est relié, par un système de bielles, à une traverse d'impression 41.
Celle-ci est chargée de soulever les barres à types 30 synchroniquement avec le mécanisme de prise des totaux de façon que les types 32 passent successivement par / rouleau la position d'impression en face du xxxxxxxxxx/31. Mais, grâce au dispositif articulé 42 en forme de ciseaux, actionné par un ressort, les barres à types 30 peuvent être arrêtées dans une position quelconque sans gêner le mouvement ascendant de la traverse 41. La barre à types 30 est arrêtée sous le contrôle d'un électro- aimant d'impression 14. Lorsque ce dernier est excité, il attire son armature 43 et tire ainsi vers la droite une tringle d'appel 44, libérant ainsi un loquet 45 qui normalement retient un cliquet d'arrêt 46.
Lorsque ce dernier est ainsi libéré il est actionné par un ressort de façon à s'engager entre les dents de la crémaillère formée sur la barre à types 30. Le cliquet 46 empêche ainsi tout mouvement ascendant ultérieur de la barre de façon à maintenir un type particulier 32 en position d'impression. Les marteaux d'impression ordinaires 47 sont chargés de pousser le type contre le rouleau,.
ELEMENT SECONDAIRE
L'élément secondaire de l'appareil est représenté sur la fig,ure 1. Il comprend des comp- teurs A et B entraînés par un moteur Si±(de la même façon que les compteurs du tabulateur sont eux-même entraînés) par l'intermédiaire de Marbre à poulie ordinaire 50.
L'arbre à poulie 50 de l'élément secondaire est relié, par un embrayage (fi.6) avec un arbre 51 portant des cames d' interrupteurs. Cet embrayage est du type
<Desc/Clms Page number 17>
ordinaire à demi-tour représenté dans le brevet américain C.D. LAKE N 1.600.413 du 21 Septembre
1926, correspondant au brevet canadien n 247,816 du 17 mars 1925. Il comporte un élément d'entraïne- mant 52 fixé à la poulie 53 montée folle sur l'arbre
50.
L'excitation de l'électro-aimant 54 (non représenté sur le schéma des circuits de la figure
7a) permet l'embrayage de l'arbre 50 avec l'élément d'entraînement 52, et l'arbre 51 fait alors un tour complet. L'arbre 51 est relié par un engrenage à une paire de balais de commutateur 55 et aux commutateurs associés 56. L'engrenage des balais 55 est reliée par rapport à l'arbre d'entraînement du compteur, de façon à tourner synchroniquement avec les comp- teuis A et B de l'élément secondaire.
Les émetteurs dont s'agit sont représentés schématiquement sur la figure 7b, comme étant associés séparément avec les sections* supérieures des compteurs A et B. pendant une révolution du balai 55, ce dernier frotte succes sivement sur des segments 57 lesquels sont connec,. tés, par des fils 27, aux séries correspondantes de segments 23 des compteurs A et B. Les segments 57 sont également connectés, par des fils 58, avec les fils correspondants 27 des compteurs 4 et 5.
En revenant à la figure 1, on voit que l'arbre ordinaire 59 de remise à zéro est également chargé de remettre à zéro les compteurs A et B en faisant un seul tour. A cet effet, le moteur 60 de remise à zéro entraîne l'arbre 59, sous le contrôle d'un embrayage à un seul tour dont l'ensemble et désigné par 61 et qui est mis en jeu par l'électron
<Desc/Clms Page number 18>
aimant 62 représenté schématiquement sur la figure 7a EMETTEURS POUR L'IMPRESSION DES TOTAUX
Sur les figures 1 et 3. on voit que les dispositifs chargés d'émettre des impulsions réglées dans le temps (et synchronisées avec le mouvement des barres à types de façon à choisir le type pour l'impression) comportent un certain nombre de come mutateurs arqués 70, à raison d'un commutateur pour chacun des compteurs 5 et 4.
Avec chacun des commutateurs est associé un système de balai 71, mon- té sur l'arbre 33 des totaux. Les émetteurs en ques- tion sont représentés schématiquement sur la fi- gure 7 .
Le balai 71 peut faire un tour pendant l'impression d'un total. Pendant le premier demi- tour, il frotte successivement sur des segments 72 connectés avec les séries correspondantes de seg- ments 23 des compteurs 4 et 5. Les fils 58 relient également les segments 72 aux séries correspondan- tes de segments 23 des compteurs A et B de l'élément secondaire,,
D'après ce qui précède on comprend que chaque série de commutateurs 23 des compteurs asso- ciés reçoit d'un émetteur 70 une impression réglée dans le temps au moment où le type correspondant au segment passe par la ligne d'impression.
Ainsi qu'il a été expliqué précédemment,, les émetteurs 56 envoient, pendant les opérations de transfert, des impulsions semblables aux seg- ments 23 des compteurs 4 et 5, de façon à reporter les lectures faites sur ces derniers aux compteurs A et B. Les impulsions en question ont un réglage
<Desc/Clms Page number 19>
dans le temps différent de celui des impulsions provenant des émetteurs 70 qui reportent aux élémenis d'impression les lectures effectuées sur les comp- teurs N 4, N 5, A et B, rendant le fonctionnement des émetteurs 56, les émetteurs 70 sont inopérants et inversement, de façon que, suivant le type d'o- pération effectuée par la machine, les impulsions convenablement réglées dans le temps soient transmis ses au compteur sur lequel une lecture 6 été rôle** vée.
.CONTACTS D'INTERRUPTION DES CIRCUITS
La figure 4 représente un dispositif d'interruption de circuits qui contrôle les cir- cuits d'une manière qui sera exposée à propos du schéma des connexions. L'un des dispositifs en question est associé avec chacun des compteurs A, xx B, N 4 et N 5; il comprend un certain nombre de contacts à trois ressorts 73 et 74 dont la lame commune est reliée au segment conducteur 26 de la colonne correspondante des compteurs.
Le contact 73 est relié en séné, par un fil 75, avec l'électro-aimant d'impression as- socié 14 (voir figure 7d). les contacts 74 sont reliés en série,par des fils 76. avec les électro- aimants de compteurs correspondants 12 des comp teurs A et B.
/ barre Une xxx/commune 77 (figure 4) en matiè- re isolante est calée sur un arbre 78, lequel por- / de blocage te également un bras/79 sur lequel agit un ressort et qui peut être enclenché avec une armature en tonne de loquet 80, dans la position qu'il peut
<Desc/Clms Page number 20>
venir occuper en tournant dans le sens des aiguil- les d'une montre ; L'excitation de l'électro-aimant /-la barre 81 libère le bras 79 et xxxxxx/77 bascule de façon à permettre l'ouverture du contact 74 et la fermes ture du contact 73,
L'arbre 78 (figure 5) porte, à son ex- trémité, un bras 82, à l'extrémité libre duquel se trouve un bouton réglable qui s'appuie sur un bras de levier 83 pivotant librement en 84.
Les autres bras des divers leviers coopèrent avec une came fi- xée sur l'arbre de remise à zéro 86 du tabulateur et sur l'arbre 59 de l'élément secondaire. L'arbre 86, ainsi qu'on l'a expliqué dans le brevet Daly et Page précité, peut faire un tour complet pour remettre à zéro les compteurs N 1 à N 5, En même temps que la came 85 fait basculer le bras 82 par l'intermédiaire du levier 83, de faon à faire tour- /la barre ner/xxxxxx 77 dans le sens des aiguilles d'une montre et à faire accrocher le bras 79 par le lo- quet 80.
La construction et le fonctionnement du dispositif d'interruption des compteurs A et B sont exactement semblables, avec cette différence toutefois qu'il n'existe qu'un contact 87 pour cha- cune des colonnes du compteur\)' Sur les figures 7b et 7d,les contacts 87 sont reliés par des câbles 88 aux électro-aimants d'impression correspondants 14 des compteurs n 4 et N 5, CARACTERISAMES GENERALES DU SCHEMA
DES CIRCUITS
Dans les machines tabulatrices du type dont s'agit, on utilise communément des systèmes xx
<Desc/Clms Page number 21>
de contacts à came pour controler certaines opéra- tions des circuits.
Pour la clarté du schéma des circuits tous les systèmes de contacts à came qui sont actionnés ensemble et sont montés sur des arbres communs portent des chiffres de référence déter- minés semblables. Par exemple il existe un groupe de contacts désignés par P3 P5, montés sur un certan arbre ; un autre groupe désigné par L1, L11,L12, etc.... est monté sur un autre arbre et ainsi de suite. Tous les contacts à came sont isolés les uns des autres ainsi que de l'arbre sur lequel ils sont montés. Sur le schéma on a placé les cames en question sans s'occuper de leur montage sur des arbres communs et cela pour éviter les complica tions dans les connexions des circuits.
De même, pour la clarté du schéma, il est nécessaire de placer certains contacts de relais en des points éloignés des bobines qui les commandent. Dans ce cas les contacts portent la lettre de référence de leur bobine de commande avec une lettre en indice
CIRCUIT D'ADDITION
On va maintenant expliquer le schéma des circuits ainsi que les phases du fonotionnenment de feuille l'appareil pour la. préparation de la xxxx/représentée sur la figure 9. La feuille enregistreuse ayant été mise en position d'impression, on place les cartes dans le magasin, dans l'ordre prescrit; la carte représentant la première opération de la période se trouve en tête.
Le circuit représenté sur les figures 7c et 7 est une modification de celui qui a été re- présenté dans le brevet précité ; se référera
<Desc/Clms Page number 22>
seulement aux parties dudit circuit nécessaires pour comprendre la présente invention.
Lorsqu'une carte passe par les balais inférieurs,, des impulsions correspondant à la va- leur de l'article de compte(qu'il s'agisse d'un dé- bit ou d'un crédit) et à son complément sont intro- duites dans les compteurs N 4 et N 5 S'il s'agit d'un crédit, l'article de compte est introduit dans les compteurs N 2 et N 4 et son complément dans le compteur N 5. S'il s'agit d'un débit, l'article de , compte est introduit dans les compteurs N 3 et N 5 et son complément dans le compteur N 4
On va maintenant expliquer la façon dont d'effectue le choix du compteur approprié pour la réception des articles de compte en question.
Les douilles de fiches des balais inférieurs LB, corres pondant au champ de la carte dans lequel est per- forée la vraie valeur de l'article de compte, sont reliées aux douilles 90 d'un système sélecteur de classe comprenant des contacts à trpis lames 91 lesquels peuvent être déplacés sous la commande dun électro-aimant 92. Cette connexion est établie au moyen de conducteurs à fiches 93. Une autre con- nexion est établie de la maniére indiquée entre les douilles 94 et les douilles 95 des compteurs N 2 et N 4.
Les douilles 97 des contacts en question sont reliées aux douilles 95 des compteurs N 3 et N 5, Les douilles à fiches des balais inférieurs correspondant au champ de la carte dans lequel est perforé le complément de l'article de compte sont de même xxxxxxxxxxxxxxxxxxxreliées à d'autres douilles 90 des con- tacts 91a et les douilles correspondantes sont reliées aux douilles 95 du compteur N 5.
<Desc/Clms Page number 23>
Les douilles 97a des contacts en ques tion sont reliées aux douilles 95 du compteur N 4,
Pour cette disposition des fiches, le fonctionnement général de la machine est le suivante Quand une carte passe par les balais inférieurs chacun de ces derniers qui rencontre une perfora tion située dans le champ des "valeurs vraies" éta- blit un circuit partant du distributeur d'impul- /*au fil de sions 99 (lequel est reliéxxx xxx 100 xx xx ligne xxx et passant successivement par le fil 101, le balai inférieur commun 102, la perforation de la carte, le balai LB et sa douille, les connexions à fiches 93, les douilles 90, le contact supérieur 91 et la douille 94, pour aboutir aux douilles 95 des compteurs n 2 et N 4.
De même des perforations existant dans le champ des 'compléments" provoquent l'excitation des électro-aimants 12 du compteur N 5, grâce à un circuit partant de la douille du balai inférieur et passant par la connexion à fiches 93a, la douille 90 du contact 91a, l'élément de con- tact supérieur de 91a, la douille 94a et la douille 95 de CTR N 5
Si, avant l'analyse de la carte par les balais inférieurs LB, l'électro-aimant 92 se trouve excité de faon à déplacer les éléments^des contacts 91 et 91a, en ouvrant le contact supérieur et en fermant le contact inférieur, les mêmes perfora- tions existant dans le champ des "valeurs vraies" auront pour effet , par l'intermédiaire de conne- xions à fiches semblables,
d'exciter les électro- aimants 12 des compteurs N 3 et n 5- et les perfo- rations existant dans le champ des "compléments"
<Desc/Clms Page number 24>
commanderont les électro-aimant 12 du compteur n 4.
Si la carte est une carte débitrice, il existe un trou poinçonné dans la position "X" d'une colonne quelconque de ladite carte. Quand cette der- nière passe par les balais supérieurs il s'établit un circuit partant du conducteur 103 et passant par le balai supérieur en question, le fil 104, le contact à came L5, le balai superieur commun, la perforation "X" le balai UB, la connexion à fiches 105, une douille 106, le contact 107 (momentanément fermé à la position "X"). la bobine 108 pour aboutir au .fil de li- gne 100 Xxxxxxxx par le fil 109. L'électro-aimant d'interruption 92 est ainsi excité et amène les con- tacts 91 et 91a dans la position inverse de celle qui est représentée sur la figure 7c.
L'excitation de /de saintien la bobine 108 établit un circuit xxxx/partan4 du conducteur 103 et passant paille contact 110, lequel, à ce moment, est fermé et reste ainsi jusqu'àla fin de la partie du cycle de machine suivant qui corres" pond à l'addition.
Mais, si la carte qui passe par les balais supérieurs ne présente pas de perforation dans la position "X", clest une carte créditrice; l'électro- aimant 92 reste dlors sans excitation pendant tout le cycle suivant et les contacts 91 et 91a demeurent dans la position représentée sur la figure 7c.
De cette façon, la perforation spéciale prévue à cet effet fait connaître à la machine si l'article du compte figurant sur la carte dont s'agit est un débit ou un crédit et la machine, conformément à cette information, répartit les articles de comptes sous la forme appropriéa.entre les accumulateurs con-
<Desc/Clms Page number 25>
venables. Les compteurs N 2, 3, 4 et 5 sont utili- ses dans ce but et acnumulent respectivement le To- tal Créditeur le Total Débiteur, la Balance Cré- ditrice et la Balance Débitrice des cartes qui tra versent la machine,
On peut remarquer ici que l'on peut faire usage d'un mécanisme traducteur pour rendre inutile le poinçonnage des compléments.
Ce mécanisme peut être du type représenté dans la demande de brevet américain J.W. BRYCE n 119,803 du 1 Juillet 1926, correspondant au brevet canadien n 287,236 délivré le 12 Février 1929 Lais, pour simplifier l'illus- tration de la présente invention on n'y a pas incor- poré le mécanisme traducteur dont s'agit.
CIRCUITS DE CONTROLE AUTOMATTIQUE
On va décrire brièvement le système de contrôle automatique majeur et mineur utilisé dans la présente machine, de maniée à montrer certaines caractéristiques d'interruption sélectives qui font partie de la présente invention.
Les électro-aimants de contrôle automatique ordinaires 111 (figure 7c) sont pourvus de contacts ordinaires en série, de façon à empêcher les étincelle s aux balais analy- seurs. Chaque électro-aimant de contrôle ou de com- mande peut être connecté en série au moyen de con- nexions à fiches, entre un balai analyseur supérieur quelconque et un balai analyseur inférieur quelcon- que, de façon à réaliser le contrôle automatique à partir d'une co lonne de carte quelconque.Les con- tacts de contrôle automatique 112 dont un est asso cié avec chacun des électro-aimants de commande, sont disposa de manière à se fermer individuellement lors que l'électro-aimant de commande corres commande correspondant 111 est
<Desc/Clms Page number 26>
excité.
Tous s'ouvrent simultanément vers la fin de chaque cycle de tabulation ou de mise en colonnes.
Lorsque les perforations de commande des cartes suc- cessives se correspondent sous les balais analyseurs supérieurs et sous les balais analyseurs inférieurs, tous les contacts de commande 112 qui sont convena- blement connectés au moyen de fiches pour le. contrôle' automatique se ferment à un certain moment du cycle.
Aucontraire, lorsque les perforations ne concordent pas un ou plusieurs des contacts ne se ferment pas. contrôle Le contacts de xxxxxx/automatique 112 sont connectés en série et il existe entre deux con- tacts successifs une douille 113, de sorte qu'on peut utiliser un nombre quelconque desdits contacts et que le contrôle .peut être divise, -en un point quel- conque en une section majeure et en une section mineure. Avec une telle disposition, quand un chan- gement de groupe se produit dans la section mineure (c'est-à-dire un changement de date) il se produit un cycle de transfert automatique pendant lequel les articles de comptes sont transférés à l'élément se- condaire.
A la suite de ce transfert-, l'impression de total s'effectue sous la commande des compteurs du tabulateur, dont certains sont remis à zéro. Quand un changement de groupe intervient, aans la section majeure (c'est-à-dire un changement de numéro de compte) le même processus se déroule comme pour un changement mineur. En outre, après l'impression des articles de comptes à partir des compteurs du tabula teur: les totaux sont imprimés à partir des comp tours, de l'élément secondaire et l'appareil tout en- tier est remis à zéro...
Le contact de commande à came L11 règle
<Desc/Clms Page number 27>
le fonctionnement de la machine sous le contrôle majeur et le contact de commande à came L12 règle le fonctionnement de la machine sous le contrôle mineur.
Normalement ces deux contacts sont fermés mais ils s'ouvrent un instant vers la fin de chaque cycle de tabulation ou de mise en colonnes. Le contact Lll peut, au moyen d'ure connexion à fiches, être connec- té en parallèle avec le contact de commande 112 choi- si pour le contrôle majeur et le contact 112 peut, au moyen de fiches, être relié en parallèle avec le contact de commande 112 choisi pour le contrôle mineur. Ainsi qu'on l'a représenté le contact 112 est en parallèle avec les contacts automatiques mi- neurs 112 numérotés de 1 à 3 et le contact Lll est en parallèle avec les autres contacts automatiques majeurs 112.
La dérivation établie sur le contact à came Lll par les contacts de contrôle majeur 112 part de la borne supérieure du contact Lll jusqu'à la lame de l'interrupteur 115, laquelle est reliée, par fiches, à l'une des bornes des contactsde con- trôle majeur reliés en série. La dérivation passe ensuite par les contacts de xxxxxxxx contrôle majeur:-; 112 (dont l'autre borne est reliée par fiches au contact 116a du relais du levier supérieur de carte fermé par les cartes situées sous les balais supé- rieurs, tant que la commande de groupe majeurefonctionne) pour aboutir au conducteur 100 et revenir à l'autre borne du contact à came Lll. Pour cette opération les interrupteurs 114 et 115 doivent être ouverts, c'est-à-dire qu'ils doivent occuper la position figurée en pointillé.
La, connexion parallèle comprenant les contact de contrôle majeur 112 et le contact à came l11 est en série avec un relais de contrôle majeur 117, tandis que la conne
<Desc/Clms Page number 28>
xion parallèle comprenant les contacts de contrôle mineur 112 et le contact à came L12 est en série avec un relais de contrôle mineur 1180
Le relais de contrôle majeur est d'un contact arrière 117a et d'un contact avant 117b, tandis que le relais de contrôle mineur est pourvu d'un contact arrière 118a et d'un contact avant 118b.
Les contacts avant des contacts de relais des contrôles majeur et mineur relient directement les bobines de relais au fil de ligne 1030 Le circuit de maintien du relais de contrôle majeur part du fil de ligne 103 et passe par le contact avant 117b, le relais de contrôle majeur 117, la connexion paral- lèle comprenant le contact à came L11 et les contacts de contrôle automatique majeur 112, pour aboutirau 100 fil de ligner Le circuit sera interrompu pour sup- primer l'excitation du relais de contrôle majeur 117, pour l'ouverture du contact à came Lll, à la fin d'un cycle quelconque de mise en colonnes ou de tabula.- tion pendant lequel l'un des contacts de contrôle automatique majeur 112 ne se fait'pas,
par suite d'une discordance entre les perforations de classi- fication majeure sur les cartes de commande perfo- rées.
Le circuit de maintien du relais de con- trôle mineur 118 part du fil de dxx ligne 103 et passe successivement par le contact avant 118b, la bobine de relais mineure 118, l'électro-aimant de commande 119 du bouton de remise à zéro et les bobines 120 et 125 pour aboutir à l'interrupteur 114. Ce dernier est relié au fil de ligne 100 par les connexions comprenant les contacts à came L12 et Lll les contacts de contrôle automatique mineur 112 ainsi que la.
<Desc/Clms Page number 29>
connexion comprenant le contact à came l111 et les contacts de contrôle automatique majeur 112.
Il est donc évident xxxxx qu'un changement dans l,es données du groupe majeur supprime l'excitation des relais de contrôle majeur et mineur à la fin du cy- cle, tandis qu'un changement dans les données du groupe mineur supprime seulement l'excitation du relais de contrôle mineur. Bien entendu la suppres- sion de l'excitation desdits relais ouvre lems con- tacts avant 117b et 118b et ferme leurs contacts arrière 117a et 118a.
Le résultat définitif de cette suppres- sion de l'excitation des relais de contrôle majeur et mineur est de provoquer, pour le premier relais, deux cycles de remise à zéro de façon à permettre l'impression des totaux majeurs et mineurs succes- sifs et, pour le second relais, un seul cycle de remise à zéro. Le contact arrière 117a du relais de contrôle'majeur relie, au conducteur 100, le re- lais de commande ordinaire 122 du moteur et l'étec- tro-aimaant de commande 123 de la remise à zéro; le: contact arrière 118a du relais de contrôle mineur relie les mêmes éléments au conducteur 100 par l'intermédiaire d'un circuit xx paralléle.
La suppression de l'excitation soit du relais de con- trôle majeur, soit du relais de contrôle mineur excite alots le relais de commande 122 du moteur et l'électro-aisant de commande 123 de remise à zéro, lesquels restent excités jusqu'à ce que les relais de contrôle majeur et mineur soient tous les deux excités de nouveau. Comme on l'a expliqué dans le brevet Daly et Page précité, l'excitation du relais de commande 122 du moteur ouvre son contact 122a pour arrêter le moteur tabulateur et empêche ce dernier de repartir jusqu'à o.......................
<Desc/Clms Page number 30>
ce due le relais de commande 122 du moteur cesse de nouveau d'être excité.
L'excitation de l'élec- tro-aimant de commande 123 de la remise à zéro ferme le contact 123a pour empêcher le contact à came P5 de prendre le contrôle du moteur de remise à zéro, ce qui provoque des cycles successifs de remise à zéro jusqu'à ce que l'électro-aimant de commande 123 de remise à zéro cesse de nouveau d'être excité.
Pendant chaque cycle de remise à zéro, le contact à came Lp1 se ferme et s'ouvre et, immé- diatement après son ouverture, le contact à came LP2 se ferme et s'ouvre. Le contact à came Lp1 relie le relais de contrôle majeur 117 au fil de . ligne 103 par l'intermédiaire du, contact avant 118b du relais de contrôle mineur 116. Par suite, la fermeture du contact à came LP1 n'excite le relais majeur 117 que si le relais mineur a été précédem- ment excité. Comme la suppression de l'excitation du relais de contrôle majeur entraîne toujours la suppression de l'excitation du.relais de contrôle mineur, la fermeture des contacts en question, pen- dant le premier cycle de remise à zéro, reste sans effet.
La fermeture du contact à came Lp1. pen- dant le premier cycle de remise à zéro, excite de nouveau le relais de contrôle mineur 118 lequel, à son tour, rétablit son circuit de maintien. Si, à ce moment, le relais de contrôle majeur est ex- cité avec son contact arrière ouvert (ce qui se produit s'il est intervenu un changement de groupe dans la section de contrôle mineur seule).
Cette excitation du relais de contrôle mineur, en ouvrant
<Desc/Clms Page number 31>
son contact arrière 118a, coupe le circuit da re- lais de commande 122 du moteur et de l'électro-ai- mant de commande 123 de la remise à zéro ; les con- tacts 122a et 123a se ferment alors, ce qui permet d'interrompre la remise à,zéro et de reprendre la fabulation après un seul cycle de remise à zéro., Si le relais de contrôle majeur a cessé d'être excité, à la fin du premier cycle de remise à zéro, son contact arrière 117a fournit un circuit pour le xxxxxxx relais de commande 122 du moteur et pour l'électro-aimant de commande 123 de la remise à zéro, en maintenant les contacts ouverts, de façon à provoquer un second cycle de remise à zéro.
Pen- dant ce second cycle, la fermeture du contact à came LP1, excite le relais de contrôle majeur 117 en établissant son circuit de maintien et en ouvrant son contact arrière 177a pour supprimer l'excitation du relais"de commande 122 du moteur et de l'élec- troéaimant de commande 123 de la remise à zéro. La remise à zéro est alors interrompue à la fin du second cycle et la tabulation peut être reprise.,
Les caractéristiques des contrôles ma- jeur et mineur ne sont pas limitatives car, si on le désire, ils peuvent âtre mis hors service et la machine peut être actionnée soit sous le contrôle automatique direct soit par l'opération de la dernière carte.
Si l'interrupteur 115 est fermé, il court-circuite le contact à came Lll et met toute la série des contacts de contrôle automatique 112 en parallèle avec le contact à came L12, Il fournit également pour le relais de contrô- le majeur, un passage au courant, en dehors du contact L11 et de chacun des contacts de contrôle
<Desc/Clms Page number 32>
automatique 112.
Dans ces conditions le relais de contrôle majeur 117 reste constamment excité et le relais de contrôle mineur 118 contrôle la ma- chine pour le contrôle automatique direct,
Si c'est l'interrupteur 114 qui est fermé, un courant'permanent est également fourni pour le relais de contrôle mineur, de façon à maintenir ce dernier constamment excité et la ma- chine est disposée pour l'opération de la dernière carte si aucun des électro-aimants 111 n'est re- lié en série avec une colonne quelconque de balais supérieurs et inférieurs.
D'après ce qui précède, il est clair que pendant la, tabulation du premier'groupe de cartes, les électro-aimants 118, 119, 120 et 125, dans le circuit de contrôle mineur, sont continuellement excités et que les électro-aimants 121, 122, 123, 124 et 126 du circuit majeur ne sont jamais excités.
Lors d'un changement dans le nombre du groupe mineur, c'est-à-dire dans la date, la bobine de relais 118 cesse d'étre excitée en même temps que les électro-aimants 119, 120 et 125. Le déplace- ment des éléments de contact 118a et 118b des re- lais, de façon à fermer 118a, provoque l'excitation des bobines 121, 122, 123, 124 et 126. La bobine 122 ouvre le contact 122a dans le circuit de commande du moteur d'entraînement TM, de façon à provoquer l'arrêt du tabulateur.
L'excitation de la bobine 121 ferme son contact 121a de façon que lorsque le contact à came Ll se ferme vers la fin du dernier cycle d'addition, il se complète
<Desc/Clms Page number 33>
un circuit de fonctionnement de l'élément secon daire Ce cycle part du conducteur 103a (figure 7a) du circuit secondaire et passe successivement par le contact 127a de la bobine de relais de blocage 127, le fil 129, le contact 131, l'élec- tro-aimant d'embrayage 52, la bobine de relais 132, le fil 133 (figure 7c), le contact à came L1.les plots de contact 121a, le fil 134 et le contact à came SL1 maintenant fermé pour aboutir au conduc- teur 100a.
Un circuit de maintien part du conduc- teur 103a et passe par le fil 129, le contact 131, l'électro-aimant 54, la bobine 132, le contact 132a le contact SL1 pour aboutir au conducteur 100ao
Lorsque l'électro-aimant 54 est excité, le contact 131 s'ouvre et la bobine 130 est inter- calée dans le circuit.
La bobine 130 ferme son con- tact 130a, de façon à compléter le circuit du mo- teur à partir du conducteur 103a, par le contact 130a et le moteur SM, jusqu'au conducteur 100a Le moteur SM de l'élément secondaire fonctionne main- tenant pour entraîner les compteurs A et B et les émetteurs 56 fonctionnent également,
Pendant ce cycle, la balance positive est transférée, soit du compteur N 4 soit du com- pteur N 5 à l'un ou à l'autre des compteurs A ou B, d'une manière qui va être expliquée maintenant.
Pendant ce cycle, le contact SL1 s'ouvre pour cou- per les circuits d'embrayage et du moteur et ame- ner l'élément secondaire à l'arrêt., Versla fin du / à came cycle, le contact/S12 se ferme momentanément pour amorcer un cycle d'impression de total et de re- mise à zéro dutabulateur. Le circuit art du condua- teur 103 (figure 7c) et passe par le moteur RM,
<Desc/Clms Page number 34>
l'électro-aimant d'embrayage 137 pour la remise à zéro, le ro1tact 138, le fil !39 (figure 7a), le contact S12, le fil 140, le contact 123a de la bobine 123 (maintenant fermé), l'interrupteur 141 de la remise automatique à zéro, la touche d'arrêt 142 et le contact P3 pour revenir au con- d.ucteur 100.
On amorce ainsi de la manière habi- tuelle un cycle ordinaire d'impression de total et de remise à zéro du tabulateur. Pendant le cy- cle en question, les totaux sont imprimés comme sur la première ligne de la figure 9 et les comp- teurs N 2 et N 3 sont remis à zéro. Pendant ce cycle de remise à zéro, le contact à came LP2 se ferme de manière à rétablir le circuit de contrôle mineurs et la tabulation reprend sur le groupe de cartes suivant.
CIRCUITS DE TRANSFERT.
Avant de transférer les nombres des comp- teurs N 4 ou N 5 aux compteurs A ou B, il est né- cessaire de déterminer d'abord lequel des compteurs de balances contient un nombre vrai et lequel con- tient un complément car seul le nombre vrai doit être transféré. La balance vraie en question est toujours indiquée par la présence d'un "0" dans 1'.ordre d'unité le plus élevé du compteur et un complépent est indiquée par la présence d'un "g" au meme endroit. Ce fait est utilisé de la manière suivant pour effectuer le transfert de la balance vraie. Sur les figures 5 et 7d, les émetteurs 70 sont pourvus d'un segment spécial 72a avec lequel les balais 71 sont en contact pendant les opéra- fiions tabulatrices.
Les segments 72a sont reliés l'un à l'autre et aussi à l'un des segments 23
<Desc/Clms Page number 35>
lorsque les commutateurs de lecture extérieur se trouvent dans la position "9".
Si l'on suppose que CTR N 5 contient un complément, les balais 24 des ordres des unités les plus élevés seront montés de façon à coupler les segments 23 correspondant aux "9" avec les lames conductrices correspondantes 26.
Au départ d'une opération de changement mineur quelconque, l'électro-aimant 120 (figure 7c) cesse d'être excité comme on l'a indiqué précédem- ment et ses contacts 120a et 120b viennent occu- per la position représentée sur la figure 7d.
L'électro-aimant 126 est également excité de façon à fermer son contact 126a (figure 7d).
Immédiatement après cette fermeture, il s'établit un circuit partant du conducteur 103 (figure 7d) et passant successivement par le fil 143, le ba- lai 71 de CTR N 5, le segment 72a, le fil 144, le voisin de voisin de plot 23 correspondant à "9" dans l'ordre des unites xxxxxxxxxx l'ordre le plus élevé, le balai 24, le conducteur 26 (qui est à "9"), les fils 145 et 146 (figure 7b), le relais 147, le fil 148, le con- tact 126a et le contact à came P3 pour aboutir au conducteur 100. Si CTR N 4 avait contenu un complu ment, un circuit semblable aurait été établi de façonà exciter le relais 149.
L'excitation du relais 147 (figure 7b) ouvre le contact 1 47a de façon à couper la commu- nication du balai 55 d'avec le conducteur 103a.
Ce circuit est conservé jusqu'à ce que le contact P3 s'ouvre pendant le cycle d'impression de total suivant du tabulateur,
<Desc/Clms Page number 36>
A cet endroit se place/le transfert réel des données de CTR N 4 à CTR-A. Les séries de balais 24 de CTR N 4 ont été pendant les opérations tabulatrices précédentes de la machine disposées conformément à la lecture des données de leurs roues additionneuses associées. Par suite, l'un des ba- lais de la série repose sur un serment de commuta- teur 23 correspondant à la lecture de sa mues tans dis que l'autre balai de la série repose sur le segment conducteur 26.
Ce dernier est relié à 1'électro-aimant d'addition 12 de l'ordre des uni- tés correspondant de CTR - A, par l'intermédiaire du contact 74 et du fil 76 (figure 7b et 7d). L'é metteur 56 de CTR-A qui est entrafné pendant le fone tionnement de l'élément secondaire amène son balai 55 successivement sur les segments 57 du commuta- teur, de façon que chacun des fils 58 et, par suite, le fil; 27 de CTR N 4 reçoivent une impul- sion au temps du compteur correspondant.
Quand le balai 55 passe sur le plot 57 correspondant aux "9", le compteur A est en posi- tion pour être déclenché en vue d'une entrée de "9" Le circuit part du coiducteur 103 a (figure 7b) et passe successivement par le contact de re- lais 149a, le balai 55, le plot 57 correspondant à "9",les fils 58 et 27 pour aboutir à tous les segments 23 correspondant à "9".de CTR N 4. Si un /des commutateurs"9" doit être transféré, un balai 24 sera en contact avec le segment du "9" en question et le circuit s'étendra par la série de balais 24 et le segment conducteur 26 jusqu'au contact 74 puis, par le fil 76, jusqu'à l'électro-aimant 12 pour revenir au conducteur 100a par le contact à came SL5 lequel
<Desc/Clms Page number 37>
est fermé pendant les opérations de transfert.
De cette façon tous les cidres d'unités qui sont à "9" déclenchent les électro-aimants 12 de CTR"A à la position "9" du compteur. Les autres électro- aimants 12 seront déclenchés d'une manière sem blable conformément à la disposition de la série de balais 24 qui correspond à la lecture du compteur.
Ainsi en un seul tour de l'émetteur 56, toutes les données de CTR N 4 peuvent être transférées à CTR-A Le même processus se déroulera sous la commande de l'émetteur 56 de CTR-B quand CTR N 5 contiendra une balance vraie.
Vers la fin du cycle d'opérations de l'élément secondaire, les contacts à came S13 et SL4 (figure 7b) se ferment de façon à établir un circuit pour préparer le tabulateur à imprimer la vraie balance à partir de CTR N 4 ou de CTR N 5, suivant le cas . Si l'on suppose que CTR N 5 con- tient le complément, un circuit s'étend à ce moment à partir du conducteur 103 (figure 7d),par le ba- lai 71, CTR N 5, le segment 72a, le fil 144, le segment 23 du commutateur, le conducteur 26, le fil 145, le fil 150 (figure 7b), le contact SL4, le fil 151, l'électro-aimant de déclenchement 81-4 de CTR N 4, le contact 74a, les fils 152, le contact 120b et le contact LP10 jusqu'au conducteur 100.
Si CTR N 4 avait contenu le complément, un circuit semblable aurait excité l'électro-aimant de déclen chôment 81-5 de CTR N 5, L'excitation de l'électro- aimant 81-4 écarte les contacts 74, 73 de la posi- tion représentée sur la figure 7d et le contact 74a s'ouvre pour couper le circuit qui vient d'être
<Desc/Clms Page number 38>
décrit.
Le tabulateur entraîne alors, comme on l'a déjà expliqua le cycle d'impression de total et de remise à zéro, pendant lequel la barre à types monte jusqu'à la position d'impression et les balais 71 de l'émetteur tournent avec l'arbre 33 des totaux (figure 3). Le balai 71 de CTR N 4 frotte successivement sur les segnents 72 du com- mutateur 70, de façon que chacun des fils 27 de
CTR N 4 reçoive une impulsion au moment où lepe correspondant passe par la position d'impression.
Pour les colonnes dans lesquelles le balai 24 est à "9". le circuit part du conducteur 103 et passe successivement par le fil 153, le balai 71, le seg ment "9". le fil 27, le segment 23 et le conduc- teur 26, le contact 73, maintenant fermé, le fil
75, l'électro-aimant d'impression 12, le fil 154, le contact LP4 (maintenant fermé) pour aboutir au conducteur loo. De cette façon, tous les types qui doivent imprimer "9" sont placés en face du rouleau.
Les autres types seront choisis d'une ma. nière convenable, conformément à la disposition de la série de balais 24 qui correspond à la lecture de CTR N 4, Ainsi, pour un seul passage, des segments
72. tous les types qui doivent imprimer le total sous la commande de CTR N 4 sont convenablement placés en face du rouleau, de façon à imprimer complète.. ment la vraie balance figurant sur les diverses-- roues du compteur Au même moment des totaux sont imprimés à partir de CTR N 2 et de CTR N 3, à la maniére bien connue, sous la commande des cames à gradins Ordinaires 18.
A la suite de l'impression des to- taux, les compteurs N 2 et N 3 sont remis à zéro
<Desc/Clms Page number 39>
de la manière habituelle et la tabulation recommence sur le groupe de cartes suivant, comme on l'a in- diqué plus haut.
CONTRCLE DE GROUPE MAJEUR
Le processus consistant successivement dans la tabulation d'un groupe mineur de cartes, le transfert de la balance à l'élément secondaire, l'impression du total à partir du tabulateur et la remise à zéro de certains compteurs, continue jus- qu'à ce qu'il se produise un changement dans l'in- dication du groupe majeur. Lorsque ce changement se,produit, la même série d'opérations a lieu. d'a- bord conne pour un changement de groupe mineur.
Autrement dit, la dernière balance journalière est transférée à l'élément secondaire et est égale- ment imprimée dans la colonne appropriée de la feuil le enregistreuse. Toutefois, l'opération de remise à zéro commence avec cette impression de total con- tinue pendant un second cycle pendant lequel la somme des balances de CTR-A et CTR-B est imprimée et l'appareil tout entier est remis à zéro,
Lorsque le numéro de classe majeure chan ge (voir figure 7c). les relais mineur et majeur 118 et 117 cessent tous deux d'être excités, L'ex- citation accessoire de l'électro-aimant 121 amorce le fonctionnement de l'élément secondaire comme on l'a déjà expliqua.
La suppression de l'excitation de l'électro-aimant 120 prépare les circuits d'élec- tro-aimants de déclenchement multipolaires (figure 7d) et la suppression de l'excitation de l'électro- aimant 119 permet l'ouverture de son contact 119a (figure 7c), de façon à interrompre les circuits /de remise à aboutissant- aux électro-aimants 155 du bouton/zéro,
<Desc/Clms Page number 40>
/ Un électro-aimant 156, en série avec le relais de .contrôle majeur, 117, maintient son contact 156b ouvert quand il est excité.
Lorsque cet éléctro-ai- mant cesse d'être excité, il permet audit contact de se fermera Les électro-aimants 121, 122, 123, 124 et 126 ont été excités lors d'un changement de groupe majeur, l'électro-aimant 122 interrompant le fonctionnement du tabulateur et l'électroaimant 126 établissant les circuits sélecteurs de balances décrits précédemment.
Les contacts à came LP2 et LP1 (figure 7c) sont commandés par le mécanisme de remise à zéro du tabulateur et se ferment / successivement pour un instant xxxxx xxxxxxxxxx suivant les opérations de remise à zéro, LP1 se fermant et s'ouvrant de nouvea,u avant que LP2 ne se forme.
Ainsi, pendant le cycle de remise à zé- ro suivant, l'impression de total (lequel a lieu comme dans le cas d'un changement de groupe mineur), la fermeture du contact LP2 complète un circuit partant du conducteur 103 et passant par le contact à came LP2, le relais de contrôle -mineur, 118, les électro-aimants 119, 120 et 125 et l'interrupteur 114 pour revenir au conducteur 100, d'une manière habituelle. La fermeture du contact LPl reste sans /1 'entrée en. e ffet sur les circuits avant xxxxxxxxxxx/du reaction lais de contrôle mineur. , car un circuit comprenant ledit contact doit être complété par le contact 118b du relais de contrôle mineur 118.
Ainsi pendant ce premier cycle de remise à zéro, les électro-aimants 119, 120 et 125 sont de npuveau excités. L'électron
<Desc/Clms Page number 41>
/"e t 120b / aimant 120 amène ses contacts 12a/(figure 7d) à leur autre position et l'excitation de l'électroaimant 125 a provoqué la fermeture de son contact 125ao Lors de la nouvelle fermeture du contact à cmae LP10, pendant le premier cycle de remise à zéro, il s'établit un circuit qui part du conducteur 100 (figure 7d) et passe successivement par le contact Lp10, le contact 120a, le fil 157 (figure 7b), les électro-aimants de déclenchement 81-A et 81-B, le fil 158, le contact 125a et le fil 159 pour revenir au conductour 103.
L'excitation des électro-aiments 81-A et 81-B provoque la fermeture des contacts 87 correspondants de façon à préparer les circuits d'impression de totaux qui seront décrits plus loin, /contrôle En revenant à la figure 7c, on voit que le contact à came ordinaire P5 se frme pendant chaque cycle de remise à zéro. Son rôle consiste à mettre en court-circuit l'électro-aimant d'em= brayage 137 pour la remise à zére, de facn que le moteur de remise à zéro RM vienne à l'arr6t à la fin du cycle. :Mais l'excitation de l'électroaimant 123 dans le circuit de /xxxxxxx majeur maintient ouvert le contact 123a qui est en série avec le contact à came P5, de facon à empêcher l'électro-aimant d'embrayage pour la remise à zéro d'être a insi court-circuité et le mécanisme de remise à zéro entame un second cycle d'opération.
Pendant le second cycle, le contact à come LP1, lorsqu'il se ferme, compoéte un circuit qui part du conducteur 103 et passe successivement par le contact 118b maintenant fermé, le contact LP1, le relais de xxxxx/majeur 117, l'électro- contrôle
<Desc/Clms Page number 42>
aimant 156 et le contact Lll pour aboutir au conuc- tour 100. La suppression acccessoire de l'excitation de l'électro-aimant 123 permet à son contact 123a de se fermer et le contact à came P5 peut alors obliger le mécanisme de remise à zéro à venir à l'arrêt après avoir complété le second cycle.dont s'agit .
On va maintenant décrire les circuits mis en jeu dans le transfert de la lecture des compteurs A et B au mécanisme d'impression. Pen- dent le second cycle de remise à zéro, les balais émetteurs 71 des commutateurs 70 passent de nouveau par les segments 72 pendant la première moitié du cycle et des impulsions successives sont transmises aux fils 58, à la manière maintenant bien connue, puis aux fils 27 des commutateurs des compteurs % concordance avec A et b.
En xxxxxx/de la disposition des balais
24 dans les compteuxs en question, les circuits d / par se prolongent par les contacts 87 maintenant fer- més et/les câbles 88 jusqu'aux électro-aimants d'impression 12 et ensuite jusqu'au conducteur 100.'
A la suite du transfert des sommes des compteurs A et B et pendant que le tabulateur re- vient à zéro, le cycle de remise automatise à zéro de l'élément secondaire s'effectue de la mariére suivante :
Pendant le premier cycle de la remise à zéro du tabulateur, l'électro-aimant 124 est excité, ce qui provoque la fermeture de son contact 124a (figure 7d); plus tard, lors de la fermeture du contact à cameLP9, un circuit se trouve complété à partir du conducteur 103a (figure 7a) par le fil 162, le contact de relais 124a (figure 7d), le fil 160, le contact LP9, le fil 161 (figures 7c et 7d)
<Desc/Clms Page number 43>
la bobine de relais 163 et le contact SP2 jusqu'au conducteur 100a.
La fermeture de ce circuit provoque la fermeture du contact de relais 162a de sorte que, dans le cycle suivante lorsque le contact à came LP8 se ferme (avant le contact LP9) le circuit s'é- tablit dans la machine tabulatrice à partir du cone tact 103a et passe par le contact 163a, le fil 161, le contact à came LP8, le fil 164, la bobine de re-
EMI43.1
lais 127, la bobine 128 llêlectro-4aimant 62 de remise à zéro et le contact à carre SP2 pour aboutir au conducteur 100a,
L'excitation des bobines 127 et 128 change la position des contacts respectifs 127a et 128a.
La fermeture du contact 127b établit un cir- cuit ' par la bobine de relais et 1 'électro- aimant 62 d'embrayage jusqu'à l'ouverture du contact SP2 sur l'arbre de remise à zéro de l'élément se- condaire La fermeture du contact 128a complète le circuit du moteur 60 de remise à zéro et ce circuit reste établi jusqu'à ce que la bobine 128 cesse d'être excitée, Mais, à ce moment, le contact à came SPI maintient établi le circuit du moteur et le coupe au moment convenable pour arrêter les organes dans leur position de repos
La remise à zéro des compteurs N 4 et N 5 du tabulateur est obtenue au moyen des électro-ai- /de maintien mants ordinaires 155 du bouton;Zéro indiques sur la
EMI43.2
reNise fioemre '1 t . t sont organisés de remise 19lire 70.
Ces e ec rO-s'lman s sont organises de façon à relier les compteurs en question à l'arbre de remise à zéro lorsqu'ils sont excités. Comme le contact de relais 156a est fermé pendant le premier cycle de remise à zéro la fermeture du contact à came LP11 comète un circuit qui part du conducteur
<Desc/Clms Page number 44>
103 et passe par les électro-'aimants 155, le fil 166, le contact à came LP11, les électro-aimants 155, le contact 156a et le fil 167 pour aboutir au conducteur 100. Ce circuit provoque la remise à zéro des compteurs N 4 et N 5 pendant le premier cycle de remise à zéro qui fait suite à un changement de groupe majeur.
EMI44.1
FONCTIOTT INDEPENDA1iJT DU TABULATEUR
L'élément secondaire peut être complè.. tement séparé du tabulateur et ce dernier peut être utilisé à la manière habituelle pour accumuler des totaux et les imprimer sur des feuilles enregistreu- ses,, A cet effet, toutes les connexions représentées schématiquement comme passant des figures 7a et 7b aux figures 7c et 7d ont été rassemblées dans un câ- blo commun 170 (voir figure 1) qui se termine dans un bloc 171. Ce bloc est pourvu d'un certain nombre de fiches 172 qui, lorsqu'on les enfonce dans un bloc associd 173 (monté sur le tabulateur), établit les connexions entre les deux éléments indiqués sur les schémas des circuits., Le tabulateur comporte également divers interrupteurs qui, lorsqu'on les manoeuvre,
permettent de faire fonctionner isolément le tabulateur sans disjoindre les tronçons du câble 170.
Il est bien entendu que l'invention n'est nullement limitée aux dispositifs décrits et repré sentés ici, lesquels sont susceptibles d'être modi- fiés sans que l'économie de l'invention puisse être altérée par les modifications en question