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"PERFECTIONNEMENTS AUX MACHINES A FONDRE ET COMPOSER @ LES CARACTERES MOBILES D'IMPRIMERIE"
La présente invention a pour objet des perfectionnements aux machines à fondre et composer les caractères mobiles d'imprimerie, telles que la "Rototype" selon les brevets beby N ' 247718@@ 39 396.
Ces machines sont généralement pourvues jusqu'ici d'un cadre porteur des blocs de matrices coulissant sur ledevant de la machine à l'aide d'une manivelle et d'une vis. Pour le changement des caractères, l'opérateur est obligé de déverrouiller le cadre et de tourner la manivelle jusqu'à ce que le bloc désiré se trouve à la hauteur du moule.
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Avec lacadre porte-matrices selon l'invention, au contraire, on peut obtenir ce changement sans autre intervention de l'opérateur qu'un simple abaissement de deux touches sur le clavier. Il marque ainsi par exemple; par deux cliquets du tambour général porteur des cliquets, que le changement des caractères doit se produire au moment où.. ces cliquets, soulevés par le clavier, arrivent vis-à-vis de Il embrayage du mouvement opérant le changement des blocs. Celui-ci stopère automatiquement.
Pendant la composition, le bloc qui se trouve devant le mode est animé, comme il est connu., de deux mouvements : d'un mouvement de rotation et d'un mouvement de va-et-vient, L'action du cliquet mis en saillie par la première touche abaissée arrête le mouvement de va-et-vient de ce bloc quand celuici se trouve à une extrémité .de sa course, par exemple à gauche.
C'est seulement en cette position qu'il peut être déplacé, d'un quart de tour, si les blocs sont au nombre de quatre.
C'est Inaction du cliquet mis en saillie par la seconde touche qui provoque ce remplacement. Le bloc ainsi mis en place devant le moule reprend immédiatement son mouvement de va-et-vient la composition ne subit aucun retard .
D'autre part, la composition des tableaux sur les machines du type rappelé se fait jusqu'ici à la main par colonnes séparées qu'on assemble ensuite sur le marbre. Sur la "Rototype" cela peut se faire ainsi sans aucune difficulté en composant colonne par colonne à la justification voulue et les assemblant ensuite ,
Le dispositif de l'invention évite , à cet égard, la manipulation et l'assemblage manuel des colonnes, ce qui accélère d'autant la composition .
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En outre, il peut .pour la composition des tableaux, être mis en place très rapidement et enlevé avec la même rapidité pour passer à la composition normale sans tableautage. Appliqué à la Rototype, on profite naturellement des avantages de cette dernière; en particulier, il est possible d'employer dans un même tableau différents types de caractères. Ce changement de caractères s'opère de lamanière la plus simple en utilisant le cadre porte-matrices dont il a été question ci-dessus .
Une forme de réalisation d'une machine perfectionnée selon l'invention est décrite ci-après ,à titre d'exemple avec référence au dessin annexé , dans lequel : la fig. 1 est une vue en plan du cadre porte-motrices: la fig. 2 est une vue de côté correspondante ; la fig. 3 est une coupe transversale correspondante; les figs. 4 et 5 sont des vues de détail ; la fig. 6 est une vue par l'avant du dispositif pour la composition des tableaux ; la fig. 7 est une vue de coté correspondante; la fig. 8 est une vue en plan correspondante; la fig. 9 est une vue de détail, de côté ; la fige 10 est une vue en plan correspondant à la fig. 9 .
Pour certains organes non visibles sur le dessin, on se réfère aux brevets ci-dessus rappelés .
Les blocs de matrices , dans l'exemple au nombre de quatre , sont montés entre deux disques solidaires 198 logés dans le cadre porte-matrices 199. Au centre, entre les quatre blocs 201, se trouve un axe carré 200, servant d'appui aux blocs pendant la coulée des caractères. Il maintient
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également les deux disques 198 à l'écartement voulu .
Vers son extrémté droite, l'axe carré 200 porte une douille 202 qui maintient à l'écartement deux disques extérieurs dont l'un, 203, sert à l'avancement des blocs d'un quart de tour, et l'autre, 213, au blocage des disques 198 et pax conséquent du bloc des matrices intéressé dans la position exacte devant le moule .
Le cadre 199 est fait en deux parties : l'une , inférieure, qui peut s'introduire entre deux glissières 204 fixées sur le bâi de la machine, l'autre , 199a, formant couvercle pour les deux disques 198. Ce couvercle 199a est fixé sar la partie inférieure par quatre vis ; les deux disques cy- lindriques Igue tournent sans jeu entre la partie inférieure et le couvercle. D'Entre part, celui-ci possède , à sa partie supérieure, une poignée afin que l'ensemble puisse être fa- cilement introduit et enlevé derrière les glissières 204.
Une manivelle 205 reliée à un arbre 48 exécute un tour exact quand le cliquet mis en saillie par la seconde touche abaissée agit sur l'organe d'embrayage correspondant,, par exemple , à la manière décrite dans le brevet390396.
Le maneton 206 de la manivelle 205 est engagé dans un cou- lissa@u 206a se déplaçant dans une coulisse 207a d'un grand levier 207 Le mouvement de rotation de la manivelle 205 entraîne dans un mouvement oscillant le levier 207 .
Dans la figure 2 ,les leviers 207-209 et 211 sont dessinée dans leur position de repos mais dans la fig. 1 le levier 211 est tourné de 90 en avant afin que son axe 216 et le cliquet 212 soient vi sibles.
Dans la première phase du mouvement tournent de la manivelle 205, le leviez 207 est poussé vers la droite par
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rapport â la verticale dara le sens cilie la flèche . Zl rencon- tre le téton 208 d'un levier 209 monté autour de l'axe 210
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et dégage le bec 209a, conique, de ce levier d'une entaille a, également conique pour assurer la position exacte et pra-
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tiquée dans le disque 2. . En même temps , il entraîne , par son extrémité foarahue , un levier 211, placé entre les disques 203 et 2I3 , vers la droite jusque ce que le cliquet 212 de ce levier, monté autour <fus l'axe 216, ait atteint le creux bl pratiqué dans le disque 203 et s'azngage dedans.
A ce moment , la manivelle 205 a décrit un quart de tour et emmené le levier ?07 dans sa position extrême à droite ,
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En continuant son mouvement tournant , lamanivelle 2p6 commence à pousser le levier 207 à g8.l1che , vers sa posi- tion de départ. Comme le cliquet 212 est engagé dans le creux b1 du disque 203, ce dernier et avec lui toute la partie mo-
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bile du cadre, -c'est-à-dire les disques 198, l'axe central arno , les quatre blocs de matrice 201, avec leurs axes, les quatre pignons 214 et tambours 215- est entraîné dans le sens marqué par une flèche de 90 en avant.
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Ce bloc des matrices qui se trouvait pxécédem# nt devant le moule est donc remplacé par le bloc suivant , à 90 du précédent.
La manivelle 205, continuant son mouvement de rotation vers la position du départ, ramène le levier 207 dans la position dessinée sur la fig. 2, et s'arrête .
En quittant sa position extrême à droite pour revenir vers la gauche , le levier 207 quitte le téton 208 du levier 209, qui, sous l'action d'un ressort non figuré sur le dessin, approche le bec 209a du pourtour du disque 213 qui se trouve justement en rotation. Ce bec exerce une certaine pression sur le disque 213 qui,, loin d'être nuisible au fonctionnement,
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a pour effet de diminuer la force vive engendrée par le rapide mouvement de l'ensemble ,
A la fin du mouvement du. levier 207 vers la gauche, l'entaille suivante a se présente devant le bec 209 a du levier 209 qui, poussé par son ressort, s'y engage immédiatement et assure ainsi la position exacte du nouveau bloc par rapport au moule .
Ce mouvement de rotation d'un quart de tour se fait rapidement et engendre du fait du poids de l'ensemble une force vive assez importante qui, à l'arrêt de ce mouvement, se traduirait par un choc. Pour éviter ce choc , l'appareil est pourvu de deux leviers 217 et 218 montés chacun à une extrémité de l'axe 219 (figs. 2 et 3).
Le levier 217 est placé entre le levier 209 et le cadre 199; quand le levier 209 est poussé par le levier 207 dans le sens de la flèche , il agit par un téton 208 a sur le levier 217 et le déplace d'un certain angle .
Solidaire de l'axe 219 et du levier 218, il éloigne donc l'extrémité de ce dernier du pourtour d'un disque 220 .
Celui-ci est fixé par des vis sur le disque gauche 198 et tourne en conséquence avec toute la partie mobile. Le disque 220 porte, sur sa circonférence, quatre encoches dans lesquelles le levier 218 peut s'engager. Ces encoches sont semblables aux encoches b pratiquées dans le disque 203; le levier 218 y pénètre avant l'arrêt complet de la rotation. Les leviers 217 et 218 sont sollicités , par un ressort non figuré, vers le centre ; l'extrémité du levier 218 s'engage done dans l'une des encoche allongées du disque 220 aussitôt qu'elle se présente.
Les emplacements et la fixation du disque 220 du
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levier 218 et de son axe 219 ont été choisis de manière à absorber le plus efficacement le choc qui se prpduit à l'arrêt du mouvement et l'ensemble fonctionne parfaitement.
Le cadre 199 porte quatre blocs de matrices 201 dont deux seulement sont figurés sur le dessin fig. 1. Chacun des blocs 201 tourne avec son tambour 215 et son pignon 214 dans des paliers pratiqués sur les disques 198; ils peuvent se déplacer horizontalement sur les arbres 221 sous l'action d'un levier 222 qui imprime au bloc en regard un mouvement de va- et-vient .
C'est donc seulement le bloc qui se trouve devant le moule qui reçoit les deux mouvements. Les trois autres blocs sont immobilisas dans la position déterminée par la nervure 223 du cadre 199 qui pénètre dans leur collier , c'est-à-dire vers leur extrémité gauche et les empêche de se déplacer horizontalement.
Le changement d'un bloc s'obtient de la façon suivante:
Le changement est enregistré sur deux cliqueta du tapeur ; le premier agit sur l'arrêt du mouvement de va-etvient ; cet arrêt se produit au moment où le bloc 201 se trouve dans sa position extrême à gauche , comme montré fig. 1, Le levier 222 reste donc également arrête dans la même position. Ceci se produit pour un certain avancement du tambour.
A l'avancement suivant, le cliquet correspondait à la deuxième touche abaissée agit sur l'embrayage de la manivelle 205 . La manivelle 205, par son maneton 206 , entratne le levier 207 qui dégage le bec 209a du levier 209 du disque 213. Le le- vier 211, par son cliquet 212, tourne le disque 203 d'un quart de tour en avant et avec lui les blocs de matrices.
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Le bloc 201 qui se trouvait devant le moule descend donc d'un quart de tour plus bas et est remplacé par le second bloc, on par le troisième on le quatrième s'il le faut. Natu- rellement , chaque nouveau changement doit être enregistré à l'avance sur les cliquets par action sur le clavier. Le mouvement de rotation n'a pas été arrêté pendant le changement ; le bloc partant s'est dégagé d'emprise avec le pignon moteur du mouvement et le pignon suivant s'est engagé avec ce pignon moteur aussi facilement .
Le mouvement de va-et-vient reste à être mis en marche. A cet effet, le disque 203 porte sur sa face extérieure quatre saillies c (fige. 1 et 2) écartées l'une de l'autre de 90 . Sur le chemin de ces saillies se trouve un levier d'embrayage qui, repoussé à la fin du mouvement de rotation du disque 203, accoupla le mouvement du levier 222 et remet ainsi le mouvement longitudinal du bloc 201 en marche. La composition peut donc être poursuivie immédiatement , sans perte de tempe.
On va maintenant décrire le dispositif pour la composition de tabl@aux.
On rappelle que, dans la machine Rototype , le compos- tour de reçoit les caractères coulés, expulsés du moule l'un après l'autre, jusqu'à ce que la ligne soit entièrement ter- minée. Les caractères 224 sont maintenus dans le composteur d'une part par deux cliquets inférieurs 225 logés dans le compostaur,et, d'autre part, par une tête mobile 226 qui joue le râle de cliquet supérieur ; à fin de ligne , cette tête entraine la ligne coulée vers la galée et revient à sa position primitive . Elle est mise en mouvement par l'inyermédiaire d'un levier 227 commandé par la came 228 qui, à la fin de
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chaque ligne , est miseen rotation par l'action d'un cliquet 5 du tamboux 4.
Chacune des lignes coulées jouit de sa justification propre ; l'élément qui transmet au moule la mesure des espaces de la ligne correspondante est éclipsé en fin de ligne et remplacé par un autre, analogue , mais transmettant la mesure des espaces correspondant,, à la ligne suivante. Dans cette machine, si on désire composer des lignes divisées en plusieurs colonnes et donner à chaque colonne une longueur exacte, on considère chaque partie de la ligne , c'est-à-dire chaque élément de colonne , comme une ligne indépendante, ayant sa justification propre et on la compose en conséquence.
On sait, diantre part, que la "Rototype" possède un compteur des épaisseurs des lettres et un compteur des espaces ; à la fin de chaque ligne tapée sur le clavier et enregistrée sur le tambour 4, l'abaissement d'une touche détermine automatiquement la justification ; celle-ci consiste dans le mesurage , dans la ligne composée, du vide restant à combler par les espaces et dans la division de ce vide par le nombre d'espaces contenus dans la ligne et enregistre sur le compteur des espaces. Le résultat de cette opération automatique est transmissur les éléments qui règlent couverture du moule pour la fonte dos espaces perdant la coulée de la ligne correspondante.
La tige centrale qui, à la fin de la ligne composée,, par son approche vers la tige du compteur mesure le vide à combler dans cette même ligne , est remplacée par autant de tiges que le tableau doit comporter de colonnes.
Four quatre colonnes, par exemple , un petit chariot 229 porte quatre trous dans lesquels on fixe quatre tiges
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98a-98d de l@nguous diff@rentes. La chariot est m@s à la place de la tige simple utilisés pour la copos@tion de lignes non divisées. Les longueurs des quatre tiges sont réglées suivant la largeur des colonnes à composer.
Ellessont telles que l'extrémité libre de la première tige 98a est avant composition, placée, par rapport à la tige centrale du. compteur, à une distance correspondante à la largeur de la première colonne, l'extrémité de la seconde tige à une distance corres- pondant à la largeur des deux premières colonnes, etc....; l'extrémi té de la dernière tige 98d est placée à une dis- tance correspondant à la largeur totale des quatre colonnes, c'est-à-dire à la largeur totale du tableau ,
Le chariot 229 peut être déplacé dans une glissière 230 afin que la tige appropriée se trouve face à la tige centrale du compteur. Ce déplacement peut se faire soit à la. main, soit automatiquement. Dans l'exemple représenté, ona prévu un déplacément à la main .
Une bille 231 poussée par un ressort contre la paroi du chariot 229 assure la position de celui-ci . A fin de colonne, le chariot est poussé d'une position à la suivante et , à fin de ligne, il est ramené à sa position primitive. On pourrait également disposer ces figea 98 sur un barillet qu'on ferait tourner pour passer dtune position à. l'autre .
Sous une règle flexible du compteur, on emprisonne une bande de papier sur laquelle sont marquéss les la rgeurs des colonnes, de sorte que l'index fixé sur la tige centrale, se déplaçant à chaque lettre sur leclavier, indique l'approche de la fin de la premier colonne.. L'opérateur appuie alors sur la touche de fin de ligne comme dans la composition ordinaire
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Le vide à combler dans cette première . colonne est mesuré par l'intermédiaire de la tige 98a du chariot 229; la mesure des espaces pour cette première colonne est envoyée au moule par l'élément de transmission correspondant .
L'opératour a, au préalable, rabattu le levier de commande du retour au zéro du compteur de la largeur des caractères frappés, de sorte qu'en appuyant sur la touche de fin de ligue ce compteur n'est pas ramené en arrière
L'opérateur , avant de déplacer la tige 98a qui a servi pour la justification de la première colonne, en approche la tige centrale pour l'addition des épaisseurs des caractères, afin qu'elle indique la longueur tptale composée.
Il pousse ensuite le chariot 229 de manière que la seconde tige 98b se trouve devant cette tige centrale du compteur.
Il compose la seconde colonne, appuie sur la touche de fin de ligne, déplace la tige centrale vers la seconde tige 98b, fait avancer la troisième tige, compose la troisième colonne, etc,..
Après la justification de la quatrième colonne , l'o- pérateur tire le chariot 229 avec ses quatre tiges à saposition du départ et commence aussitôt la composition de la seconde ligne ,
Il est nécessaire après la fonte de chaque tronçon de ligne, (colonne) que la tête 226 fasse à vide son mouve ment d'entraînement des lettres, c'est-à-dire sans enlever ces lettres du composteur , de sorte que les lettres d'une colonne s'ajoutent à celles de la précédente jusqu'à ce que la ligne soit complète. Quand la ligne est complète, elle doit être poussée vers la galée par la tête 226, et cela automatiquement, quel que soit le nombre des colonnes qui la
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composent.
A cet effet, le support du. composteur reçoit une paire de pignons 232 et 233 montés sur un axe commun 233a, qui porte d'ailleurs à son autre extrémité un bouton 234 pour sa rotation à la main .Cet axe, et les pièces qu'il porte, est monté dans un palier 235 fixé sur l'arrière du support du composteur , de manière à pouvoir être détaché ou remis en place très rapidement. Dans le palier 255 est en outre ménagée une botte à ressort 236 dans laquelle est abrité un piston 237 pénétrant entre les dents du pignon 233 et qui maintient ce lui-ci dans la position qui lui a été donnée soit à la main au. début de la composition, soit mécaniquement poux la suite du fonctionnement.
A la partie inférieure du. support 148 du composteur est logée une tige 238 portant un cliquet à chaque extrémité, Le cliquet gauche 239 est engagé entre les dents du pignon 233; quand la tige 238 est poussée vers la gauche , par le levier 227 sous l'action de la came 228, ce cliquet pousse le pignon 233 d'une dent et d'une seule, Le mouvement du levier 227 étant propre à transporter la ligne coulée est très ample mais la tige 238 est poussée de la stricte quantité né-
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osesa.ire , 1 grtae au second cliquet 240 qui émerge sllt'f1sam- ment pour être accroché par le levier 227 mais doht l'extrémité gauche ,abaissée par un ressort non représenté, rencontre une petite rampe 242 du support qui la soulève,
ce qui fait échapper son extrémité droite de l'emprise du levier après une course nécessaire et suffisante de la tige 238 .
Un levier à deux bras 243 est monté oscillant sur le support 148 ; son extrémité gauche formant un bec 243a est engagée entre les dents du pignon 232 ; par l'avance du pi-
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gnon 233, claveté également sur 1' axe 233a, le bras de ce levier reposant sur la tête 226 est abaissé.
Au-dessus du levier 243 est suspendu un doigt 244 sollicite par un ressort 245 . Tant que le levier 243 reste dans sa position de reps , ces organes sont dans la position montrée fige 1. Quand le pignon 235 est poussé d'une dent par le cliquet 239, le bras droit du levier 243 s'abais- se, ce qui abaisse la tête 226 . Le doigt 244 attiré vers la gauche par le ressort 245 sort de l'encoche du levier 243 dans laquelle il était engagé et empêche le bras droit du levier 243 de remonter à sa position primitive .
L'extrémité droite de la. tête 266, montée à pivot , est soulevée et lors de son entraînement par le levier 227 elle passe par dessus les lettres coulées, sans las entrai** ner Ce levier fait donc son mouvement vers la gaiche à vide, et ceci chaque fois qu'une partie de la ligne (élément de colonne) est terminée. Ainsi , le ou les éléments de colonnes coulés restent dans le composteur jusqu'au dernier .
Pour chaque partie de la ligne (colonne) le pignon 232 tourne d'une dent ; pour la fin de la ligne (après la dernière colonne) le bec du levier 243 ne rencontre aucune dent à cause d'une discontinuité du pignon 232; malgré l'avante du pignon 232 le levier 243 ne change alors pas de po- sition; la tête 226 n'est pas déplacée non plus et, restant engagée derrière les lettres 224 qui se trouvent dars le composteur , entraîne celles-ci vers la gauche lors du mouvement du levier 227 .
Dans l'exemplede la figure , le pignon 232 a douze dents et chaque quatrième dent est manquante. Pour composer des lignes de trois colonnes, chaque troisième dent manque-
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rait, pour des lignes de deux colonnes, chaque deuxième dent.
Tour cinq colonnes, en emploierait un pignon de dix dents (nombre divisible par cinq) 0 Le pignon 233 à qui @ manque aucune dent, et avançant à chaque impulsion du cliquet 239 reste toujours le même
REVENDICATIONS :
1)Cadre porte-matrices pour les machines à fondre et composer les earactères mobiles d'imprimerie du genre "Boto'- type 8 caractérisé par l'agencement de quatre ou plusieurs blocs de matrices dans un seul appareil qui, suivamt les besoins, met au moment voulu, automatiquement et sans intervention de l'opérateur, par une rotation de l'ensemble des blocs,l'un ou l'autre de ces blocs dans la.position de travail, devant le moulé , et 1 e met en marche aut omatiquement.
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"IMPROVEMENTS IN MELTING AND COMPOSING MACHINES @ MOBILE PRINTING CHARACTERS"
The object of the present invention is to improve machines for melting and composing movable type printing, such as the "Rototype" according to beby patents N '247718 @@ 39,396.
Until now, these machines have generally been provided with a frame supporting the die blocks sliding on the front of the machine using a crank and a screw. For the change of characters, the operator is obliged to unlock the frame and turn the crank until the desired block is at the height of the mold.
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With the die-holder frame according to the invention, on the contrary, this change can be obtained without any intervention by the operator other than a simple lowering of two keys on the keyboard. He thus marks for example; by two pawls of the general drum carrying the pawls, that the change of the characters must occur at the moment when these pawls, raised by the keyboard, arrive opposite to the clutch of the movement operating the change of the blocks. This stops automatically.
During the composition, the block which is in front of the mode is animated, as it is known., Of two movements: of a movement of rotation and of a movement of back and forth, The action of the pawl set in projection by the first lowered key stops the back and forth movement of this block when the latter is at one end of its stroke, for example to the left.
It is only in this position that it can be moved, a quarter turn, if the blocks are four in number.
It is Inaction of the pawl protruding by the second key which causes this replacement. The block thus placed in front of the mold immediately resumes its back-and-forth movement, and the composition is not delayed.
On the other hand, the composition of the paintings on machines of the type mentioned has hitherto been done by hand in separate columns which are then assembled on the marble. On the "Rototype" this can be done without any difficulty by composing column by column to the desired justification and then assembling them,
The device of the invention avoids, in this regard, the handling and manual assembly of the columns, which further accelerates the composition.
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In addition, it can. For the composition of tables, be set up very quickly and removed with the same speed to pass to the normal composition without boarding. Applied to the Rototype, we naturally benefit from the advantages of the latter; in particular, it is possible to use different types of characters in the same table. This change of characters is made in the simplest way using the die-holder frame discussed above.
An embodiment of an improved machine according to the invention is described below, by way of example with reference to the appended drawing, in which: FIG. 1 is a plan view of the power train frame: FIG. 2 is a corresponding side view; fig. 3 is a corresponding cross section; figs. 4 and 5 are detail views; fig. 6 is a view from the front of the device for the composition of the tables; fig. 7 is a corresponding side view; fig. 8 is a corresponding plan view; fig. 9 is a detail view, from the side; the rod 10 is a plan view corresponding to FIG. 9.
For certain components not visible in the drawing, reference is made to the patents recalled above.
The die blocks, in the example four in number, are mounted between two integral disks 198 housed in the die-holder frame 199. In the center, between the four blocks 201, is a square axis 200, serving as a support to the blocks during the casting of the characters. He maintains
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also the two discs 198 at the desired spacing.
Towards its right end, the square axis 200 carries a sleeve 202 which maintains the spacing of two outer discs, one of which, 203, is used to advance the blocks by a quarter turn, and the other, 213 , the blocking of the disks 198 and pax consequently of the block of the dies concerned in the exact position in front of the mold.
The frame 199 is made in two parts: one, lower, which can be inserted between two slides 204 fixed on the frame of the machine, the other, 199a, forming a cover for the two discs 198. This cover 199a is fixed on the lower part by four screws; the two cylindrical discs Igue turn without play between the lower part and the cover. On the other hand, it has, at its upper part, a handle so that the assembly can be easily inserted and removed behind the slides 204.
A crank 205 connected to a shaft 48 executes an exact turn when the pawl protruding by the lowered second key acts on the corresponding clutch member, for example, as described in the patent 390396.
The crank pin 206 of the crank 205 is engaged in a slider 206a moving in a slider 207a of a large lever 207 The rotational movement of the crank 205 causes the lever 207 in an oscillating movement.
In figure 2, the levers 207-209 and 211 are drawn in their rest position but in fig. 1 the lever 211 is rotated 90 forward so that its axis 216 and the pawl 212 are visible.
In the first phase of the movement turn of the crank 205, the lever 207 is pushed to the right by
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vertical relation dara the direction ciliates the arrow. Zl meets the stud 208 of a lever 209 mounted around the axis 210
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and disengages the nose 209a, conical, of this lever from a notch a, also conical to ensure the exact and practical position.
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ticked in the disc 2.. At the same time, it drives, by its foarahue end, a lever 211, placed between the discs 203 and 2I3, to the right until the pawl 212 of this lever, mounted around <fus the axis 216, has reached the hollow bl practiced in the disc 203 and becomes angular in it.
At this moment, the crank 205 has made a quarter of a turn and brought the lever? 07 to its extreme right position,
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Continuing its rotating movement, the 2p6 crank starts to push lever 207 to left, towards its starting position. As the pawl 212 is engaged in the hollow b1 of the disc 203, the latter and with it all the mo-
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bile of the frame, i.e. the discs 198, the central axis arno, the four die blocks 201, with their axes, the four sprockets 214 and drums 215- is driven in the direction marked by an arrow from 90 forward.
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This block of dies which was previously in front of the mold is therefore replaced by the following block, 90 from the previous one.
The crank 205, continuing its rotational movement towards the starting position, brings the lever 207 back to the position drawn in FIG. 2, and stop.
By leaving its extreme right position to return to the left, the lever 207 leaves the stud 208 of the lever 209, which, under the action of a spring not shown in the drawing, brings the nozzle 209a near the periphery of the disc 213 which is just in rotation. This nozzle exerts a certain pressure on the disc 213 which, far from being harmful to operation,
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has the effect of reducing the live force generated by the rapid movement of the assembly,
At the end of the movement of the. lever 207 to the left, the next notch a appears in front of the nose 209 a of the lever 209 which, pushed by its spring, engages therein immediately and thus ensures the exact position of the new block relative to the mold.
This quarter-turn rotational movement takes place quickly and, due to the weight of the assembly, generates a fairly large living force which, when this movement stops, would result in a shock. To avoid this shock, the device is provided with two levers 217 and 218 each mounted at one end of the axis 219 (figs. 2 and 3).
The lever 217 is placed between the lever 209 and the frame 199; when the lever 209 is pushed by the lever 207 in the direction of the arrow, it acts by a pin 208a on the lever 217 and moves it by a certain angle.
Solid with the axis 219 and the lever 218, it therefore moves the end of the latter away from the periphery of a disc 220.
This is fixed by screws on the left disk 198 and rotates accordingly with the entire moving part. The disc 220 carries, on its circumference, four notches in which the lever 218 can engage. These notches are similar to the notches b made in the disc 203; the lever 218 enters it before the rotation has come to a complete stop. The levers 217 and 218 are urged, by a spring not shown, towards the center; the end of the lever 218 therefore engages in one of the elongated notches of the disc 220 as soon as it occurs.
The locations and fixing of disc 220 of the
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lever 218 and its axis 219 have been chosen so as to most effectively absorb the shock which occurs when the movement is stopped and the assembly works perfectly.
The frame 199 carries four die blocks 201, only two of which are shown in the drawing fig. 1. Each of the blocks 201 rotates with its drum 215 and its pinion 214 in bearings formed on the disks 198; they can move horizontally on the shafts 221 under the action of a lever 222 which gives the block opposite a back and forth movement.
It is therefore only the block which is in front of the mold that receives the two movements. The other three blocks are immobilized in the position determined by the rib 223 of the frame 199 which penetrates their collar, that is to say towards their left end and prevents them from moving horizontally.
The change of a block is obtained as follows:
The change is registered on two taps of the tapper; the first acts on stopping the back-and-forth movement; this stop occurs when the block 201 is in its extreme left position, as shown in fig. 1, The lever 222 therefore also remains stopped in the same position. This happens for a certain advance of the drum.
On the next advance, the pawl corresponded to the second lowered key acts on the clutch of the crank 205. The crank 205, by its crank pin 206, engages the lever 207 which releases the nose 209a of the lever 209 of the disc 213. The lever 211, by its pawl 212, turns the disc 203 a quarter of a turn forward and with him the matrix blocks.
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The block 201 which was in front of the mold therefore descends a quarter of a turn lower and is replaced by the second block, one by the third or the fourth if necessary. Of course, each new change must be registered in advance on the pawls by pressing the keyboard. The rotational movement was not stopped during the change; the starting block disengaged from its grip with the driving pinion of the movement and the following pinion engaged with this driving pinion just as easily.
The back and forth movement remains to be set in motion. For this purpose, the disc 203 carries on its outer face four projections c (fig. 1 and 2) spaced from each other by 90. On the path of these projections is a clutch lever which, pushed back at the end of the rotational movement of the disc 203, coupled the movement of the lever 222 and thus restarts the longitudinal movement of the block 201 in motion. The composition can therefore be continued immediately, without loss of temple.
We will now describe the device for the composition of tabl @ aux.
Remember that, in the Rototype machine, the compost receives the cast characters, expelled from the mold one after the other, until the line is completely finished. The characters 224 are maintained in the composter on the one hand by two lower pawls 225 housed in the compostaur, and, on the other hand, by a movable head 226 which plays the upper ratchet ratchet; at the end of the line, this head drives the sunk line towards the galley and returns to its original position. It is set in motion by means of a lever 227 controlled by the cam 228 which, at the end of
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each line is rotated by the action of a pawl 5 of the drum 4.
Each of the cast lines has its own justification; the element which transmits to the mold the measurement of the spaces of the corresponding line is eclipsed at the end of the line and replaced by another, similar, but transmitting the measurement of the corresponding spaces, to the following line. In this machine, if we want to compose rows divided into several columns and give each column an exact length, we consider each part of the row, that is to say each column element, as an independent row, having its own proper justification and we compose it accordingly.
We know, on the other hand, that the "Rototype" has a counter for the thicknesses of the letters and a counter for spaces; at the end of each line typed on the keyboard and recorded on drum 4, the lowering of a key automatically determines the justification; this consists in the measurement, in the compound line, of the void remaining to be filled by the spaces and in the division of this void by the number of spaces contained in the line and records on the space counter. The result of this automatic operation is transmitted to the elements which regulate the cover of the mold for the melting of the spaces losing the casting of the corresponding line.
The central rod which, at the end of the compound line, by its approach towards the meter rod measures the gap to be filled in this same line, is replaced by as many rods as the table must contain columns.
Four column oven, for example, a small carriage 229 carries four holes in which four rods are fixed
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98a-98d of the different l @ nguous. The carriage is m @ s instead of the single rod used for the copos @ tion of undivided lines. The lengths of the four rods are adjusted according to the width of the columns to be composed.
They are such that the free end of the first rod 98a is, before composition, placed, relative to the central rod of the. counter, at a distance corresponding to the width of the first column, the end of the second rod at a distance corresponding to the width of the first two columns, etc ...; the end of the last rod 98d is placed at a distance corresponding to the total width of the four columns, that is to say to the total width of the table,
The carriage 229 can be moved in a slide 230 so that the appropriate rod faces the central rod of the meter. This movement can be done either at the. main, or automatically. In the example shown, provision has been made for displacement by hand.
A ball 231 pushed by a spring against the wall of the carriage 229 ensures the position of the latter. At the end of the column, the carriage is pushed from one position to the next and, at the end of the line, it is returned to its original position. We could also place these figea 98 on a barrel that we would turn to move from one position to. the other .
Under a flexible rule of the counter, we imprison a strip of paper on which are marked the rgeurs of the columns, so that the index fixed on the central rod, moving with each letter on the keyboard, indicates the approach of the end. of the first column .. The operator then presses the end of line key as in ordinary dialing
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The void to be filled in this premiere. column is measured through rod 98a of carriage 229; the measurement of the spaces for this first column is sent to the mold by the corresponding transmission element.
The operator has previously folded the control lever for the return to zero of the counter of the width of the characters struck, so that by pressing the end of league key this counter is not brought back.
The operator, before moving the rod 98a which served for the justification of the first column, brings it closer to the central rod for the addition of the thicknesses of the characters, so that it indicates the compound tptal length.
He then pushes the carriage 229 so that the second rod 98b is in front of this central rod of the counter.
He composes the second column, presses the end of line key, moves the central rod to the second rod 98b, advances the third rod, composes the third column, etc.
After the justification of the fourth column, the operator pulls the carriage 229 with its four rods to its starting position and immediately begins the composition of the second row,
It is necessary after the melting of each section of line (column) that the head 226 makes its letter drive movement empty, that is to say without removing these letters from the composter, so that the letters of a column are added to those of the previous one until the row is complete. When the line is complete, it must be pushed towards the galley by the head 226, and this automatically, whatever the number of the columns which it is.
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make up.
For this purpose, the support of. composter receives a pair of pinions 232 and 233 mounted on a common axis 233a, which also carries at its other end a button 234 for its rotation by hand. This axis, and the parts it carries, is mounted in a bearing 235 fixed to the rear of the composter support, so that it can be detached or replaced very quickly. In the bearing 255 is further provided a spring boot 236 in which is housed a piston 237 penetrating between the teeth of the pinion 233 and which maintains the latter in the position given to it either by hand or. beginning of the composition, or mechanically lice the rest of the operation.
At the bottom of the. support 148 of the composter is housed a rod 238 carrying a pawl at each end, the left pawl 239 is engaged between the teeth of the pinion 233; when the rod 238 is pushed to the left, by the lever 227 under the action of the cam 228, this pawl pushes the pinion 233 with one tooth and a single tooth, The movement of the lever 227 being suitable for transporting the line casting is very ample but the rod 238 is pushed by the strict amount necessary
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osesa.ire, 1 grtae to the second pawl 240 which emerges sllt'f1sam- ment to be hooked by the lever 227 but the left end, lowered by a spring not shown, meets a small ramp 242 of the support which lifts it,
which causes its right end to escape from the grip of the lever after a necessary and sufficient travel of the rod 238.
A two-arm lever 243 is pivotally mounted on the support 148; its left end forming a nose 243a is engaged between the teeth of the pinion 232; by the advance of the pi-
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gnon 233, also keyed on one axis 233a, the arm of this lever resting on the head 226 is lowered.
Above the lever 243 is suspended a finger 244 biased by a spring 245. As long as lever 243 remains in its reps position, these components are in the position shown at freeze 1. When pinion 235 is pushed one tooth by pawl 239, the right arm of lever 243 is lowered, this lowering the head 226. The finger 244 attracted to the left by the spring 245 comes out of the notch of the lever 243 in which it was engaged and prevents the right arm of the lever 243 from returning to its original position.
The right end of the. head 266, pivotally mounted, is lifted and when it is driven by the lever 227 it passes over the cast letters, without dragging them.This lever therefore makes its movement towards the empty gaiche, and this each time that part of the row (column item) is complete. Thus, the poured column element (s) remain in the composter until the last.
For each part of the row (column) the pinion 232 rotates by one tooth; for the end of the line (after the last column) the nose of the lever 243 does not meet any teeth because of a discontinuity of the pinion 232; despite the front of pinion 232, lever 243 then does not change position; the head 226 is not moved either and, remaining engaged behind the letters 224 which are in the composter, drives them to the left during the movement of the lever 227.
In the example of the figure, pinion 232 has twelve teeth and every fourth tooth is missing. To compose rows of three columns, every third tooth is missing-
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would, for rows of two columns, every second tooth.
Turn five columns, would employ a pinion of ten teeth (number divisible by five) 0 The pinion 233 which @ misses no teeth, and advancing with each impulse of the pawl 239 remains always the same
CLAIMS:
1) Die-holder frame for melting and composing machines for mobile printing presses of the type "Boto'-type 8 characterized by the arrangement of four or more blocks of dies in a single apparatus which, according to requirements, puts at the desired time, automatically and without operator intervention, by rotating all the blocks, one or the other of these blocks in the working position, in front of the mold, and 1 st starts up automatically.