Machine à commande électrique pour effectuer des reports. ()n connait déjà des appareils duplicateurs permettant d'imprimer un texte ligne par ligne, dans lesquels le cylindre porte-cliché ou cylindre imprimeur, normalement dégagé du contact avec la feuille qui doit recevoir l'impression, est amené à s'appliquer sur celle-ci pour imprimer la ligne située le long de la génératrice de tangence, après quoi ce cylindre est relevé, et il a été prévu, lorsqu'il s'agit d'imprimer successivement plusieurs lignes qui se suivent, de faire tourner méca niquement le cylindre d'un interligne chaque fois qu'il se relève après l'impression d'une ligne.
On connaît aussi des appareils duplica teurs permettant d'imprimer, ligne par ligne, plusieurs lignes qui se suivent, dans lesquels le cylindre imprimeur, fixe dans le sens de la hauteur, est mis en rotation à la main, l'opé rateur mettant en prise un rouleau de contre- pression pendant le temps de passage des lignes considérées ou bien dégageant ce rou leau tant que la première ligne n'a pas atteint la génératrice d'impression, le laissant revenir en prise à ce moment et le dégageant à nouveau après le passage desdites lignes.
La présente invention a pour objet une machine à commande électrique pour effec tuer des reports à l'aide d'un cylindre impri meur monté sur un chariot susceptible de prendre un mouvement vertical pour appli quer le cylindre sur une feuille clé papier, ce cylindre pouvant encore subir un mouvement de rotation pour le passage d'une ligne à l'autre, caractérisée par un organe à mouve ment alternatif avançant par saccades et com portant une crémaillère, des cames montées sur un arbre principal de la machine et com mandant en mémé temps le déplacement de la crémaillère et la rotation du cylindre grâce à un doigt agissant sur une roue dentée soli daire du cylindre,
une série de touches com mandant des leviers qui libèrent la crémaillère et lui donnent un déplacement proportionnel au nombre de lignes à imprimer, ce nombre de lignes étant déterminé par la touche actionnée, une came montée sur l'arbre prin- eipal et provoquant périodiquement l'abaisse ment du chariot, un verrou disposé transver salement à la course verticale du chariot et susceptible de maintenir le cylindre en con tact avec la feuille de papier pendant l.'irn- pression de plusieurs lignes consécutives, un levier de commande coopérant avec la cré maillère et.
déplaçant le verrou pour libérer le chariot lorsque la crémaillère atteint sa posi tion de repos, et un deuxième levier actionné par le levier précité et ouvrant le circuit d'alimentation du moteur de commande de la machine lorsque la crémaillère atteint sa po sition de repos.
Le dessin annexé illustre, à. titre d'exe1n-- ples, quelques formes d'exécution de la ma chine faisant l'objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en coupe d'ensem ble, faite par un plan parallèle au plan mé- dian longitudinal, d'une première forme d'exécution.
La fig. 2 montre séparément, en élévation, le dispositif à crémaillère de réglage du nom bre de lignes à imprimer successivement.
La fig. 3 est une vue en plan correspon dante.
La fig. 4 est une vue de côté.
La fig. 5 est une vue analogue à la fig. 2, montrant les organes après l'actionnement de la touche visible sur la fig. 4.
La fig. 6 est une vue de côté analogue à la fig. 4, montrant les organes après l'action- nement de la touche précitée.
La fig. 7 est un détail montrant le déga gement du cliquet de retenue de la crémail lère.
La fig. 8 est une vue faite en regardant la machine dans le sens opposé à celui de la fig. 1, qui montre schématiquement le con tact principal commandé par la crémaillère et 1e moteur sur le circuit duquel il est compris.
La fig. 9 est une vue de détail, à une échelle plus grande que celle de la fig. 1, de l'encliquetage commandant le mouvement saccadé du cylindre imprimeur.
Les fig. 10 et 11 montrent le début et la fin de cet encliquetage sur le cylindre impri meur quand celui-ci est en position haute.
La fig. 12 est une vue montrant l'action du même encliquetage sur ce cylindre lors que celui-ci est verrouillé dans la position basse pour l'impression successive de plu sieurs lignes se suivant sans interruption.
La fig. 13 se rapporte à une variante et est une vue transversale à l'axe du cylindre porte-cliché montrant le clavier du dispositif tabulateur en élévation longitudinale avec les organes associés, clavier qui, dans cette va riante, comprend dix touches ordinaires et mie touche spéciale.
La fig. 14 est une vue en plan partielle au niveau de A-A de la fig. 13, montrant le dispositif de verrouillage de la touche spé ciale.
La fig. 15 est une vue en plan extérieur du clavier. La fig. 16 est une vue partielle en éléva tion correspondant à la fig. 15 et montrant la commande du coulisseau chargé de ramener la crémaillère à sa position de repos.
La fig. 17 est une vue en élévation longi tudinale schématique montrant le verrouil lage du cylindre imprimeur dans sa position basse ou d'impression par l'abaissement de la touche spéciale.
La fig. 18 est une vue en élévation trans versale correspondant à la fig. 17, c'est-à-dire avec la touche spéciale abaissée, illustrant le rôle de celle-ci en combinaison avec la der nière touche du clavier quant au déplacement de la crémaillère préalablement à l'impres sion.
La fig. 19 est une vue en coupe transver sale d'une autre variante, faite en regardant le flasque de gauche de la machine, vue mon trant un dispositif d'alimentation (cylindre imprimeur enlevé), les organes étant dans la position de repos.
La fig. 20 est un schéma en perspective montrant, dans une autre variante, la com mande de l'établissement du circuit du mo teur électrique de la machine par la seule remontée de la touche qui a été préalable ment enfoncée.
La fig. 20a est une vue arrière du contact principal adapté à la commande représentée sur la fig. 20.
Les fig. 21 et 22 sont des vues en bout schématiques montrant respectivement les positions de travail et de mise hors circuit d'iur. mécanisme d'interlignage que compren nent certaines formes d'exécution de la ma chine.
La fig. 23 est une unie partielle de face du mécanisme d'interlignage et de son organe de débrayage.
La fig. 24 est une vue en plan schémati que d'une forme d'exécution comprenant un dispositif sélecteur, vue montrant notamment la liaison de ce dispositif avec le cylindre imprimeur.
Les fig. 25 et 26 sont des vues latérales avec coupe partielle, suivant X-X de la fig. 24, du dispositif assurant automatique- ment le verrouillage du cylindre imprimeur lors de l'abaissement d'un doigt basculant par un goujon du tambour du dispositif sélecteur.
La fig. 27 est une vue en perspective sché matique montrant l'organisation d'ensemble du dispositif sélecteur.
La fig. 28 est une vue à plus grande échelle d'un détail de la fig. 27 à l'effet de montrer l'organisation du cliquet éclipsable coopérant avec les dents d'une crémaillère du dispositif sélecteur.
La fig. 29 est une vue en perspective qui montre un dispositif de remise à zéro automa tique de la crémaillère précitée sous la com mande du moteur de la machine.
La fig. 30 représente une touche du cla vier du dispositif sélecteur avec son verrou mobile commandé par le dispositif de remise à zéro.
La fig. 31 est une vue de détail en pers pective montrant la commande des verrous mobiles du dispositif sélecteur.
Les fig. 32 et 33 montrent une même tou che respectivement en cours d'enfoncement et enfoncée, à l'effet de rendre visible le mé canisme particulier qui maintient ladite touche enfoncée jusqu'au retour de la cré maillère à sa position initiale.
Les fig. 34 et 35 sont des vues en plan schématiques montrant la position de la cré maillère et des butées mobiles lorsque l'opéra teur enfonce la touche 2 des dizaines et la touche 1 des unités du dispositif sélecteur.
La fig. 36 est une vue d'ensemble en pers pective schématique montrant une forme d'exécution comprenant un dispositif sélec teur et un dispositif pointeur.
La fig. 37 est une vue en perspective sché matique montrant la commande du dispositif pointeur ainsi que son montage, le cylindre imprimeur et une bande de contrôle étant en position haute, c'est-à-dire avant l'opération d'impression.
Les fig. 38 et 39 sont des schémas repré sentant un dispositif inverseur électromécani que respectivement dans ses deux positions d'inversion, le cylindre imprimeur étant re- présenté en position haute sur la fig. 38 et en position basse sur la fig. 39.
La fig. 40 est une vue d'une bande de contrôle vierge.
La fig. 41 représente le développement du cylindre pointeur, développement qui a pour but de faire ressortir le décalage des ca ractères.
La fig. 42 montre une partie supérieure du tableau porte-journal muni d'un journal. comptable et d'une bande de contrôle.
La fig. 43 est une vue en perspective sché matique d'une variante présentant, en outre, un dispositif de contrôle visuel en position de travail normale, un volet destiné à mas quer la graduation de la bande de contrôle étant soulevé.
La fig. 44 est une élévation montrant l'amorçage de la chute du volet au moment du débrayage manuel du cylindre d'impres sion.
La fig. 45 est une élévation montrant le relevage du volet au cours de la descente du cylindre d'impression.
Les fig. 46, 47 et 48 sont des vues exté rieures, à plus grande échelle, d'une portion du cylindre imprimeur au voisinage de la fenêtre pratiquée dans le cache recouvrant. les bandes de contrôle, vues prises respective ment sur les fig. 43, 44 et 45.
Sur la fig. 1, 1 désigne l'arbre du cylin dre imprimeur 2, monté à chaque extrémité dans un chariot 3, normalement maintenu par des ressorts 4 dans une position haute, hors du contact de la feuille à imprimer. Chacun des chariots 3 peut se mouvoir verticalement, vers le bas, pour amener le cylindre au con tact. de la feuille à imprimer, sous l'action d'un levier 5 articulé avec lui. Ce levier, oscillant en 6, est commandé par un galet 7 porté par un plateau 8 tournant. avec, un arbre 9 de commande générale de la. machine.
L'arbre 9 est. relié, par une transmission démultiplicatriee, à l'arbre 10 d'un moteur électrique II (fig. 8).
Le circuit de ce moteur comporte un con tact comprenant une borne fixe 12 et une borne mobile constituée par un bras conduc teur 13 isolé sur son axe de pivotement 14.
Le bras 13 est tiré dans le sens de la fer meture du contact par un ressort 15. Il est relié, d'autre part, par une biellette 16, à un autre bras 17 calé sur un arbre intermédiaire 18, parallèle à l'arbre de commande générale. Le bras 17 est relié, par un ressort 19, à un levier à deux bras 20 monté fou sur l'arbre de commande générale 9. Dispositif tabulateur Au repos, la face d'extrémité 21a d'un or gane de réglage du nombre de lignes à impri mer, constitué par une crémaillère 21, pres sant sur un doigt 22 du levier 20, maintient ce levier dans Lune position telle que le con tact 12-13 est ouvert, l'action exercée dans cette position par le ressort 19 sur le bras 17 et, par conséquent, sur le bras 13, étant su périeure à celle exercée en sens inverse par le ressort 15.
Ainsi, dans sa position de repos, la cré maillère 21 verrouille le fonctionnement de la machine en maintenant ouvert le con tact 12-13.
La crémaillère 21, guidée horizontalement sur des vis 23 (fig. 2), est soumise au repos à l'action d'un ressort 24, tendant à la tirer vers la droite des fig. 1 et 2, mais elle est re tenue dans cette position par un cliquet de retenue 25,à ressort 26, enclenché dans la denture 21b de ladite crémaillère.
Au-delà de la position de repos de la face d'extrémité de droite 21c de ladite crémail lère, opposée, par conséquent, à celle 21a déjà citée, sont échelonnés des taquets 27 (fig. 2 et 3) pouvant coulisser verticalement dans des encoches d'une réglette horizontale fixe 28 et maintenus normalement dans cette ré- Blette, hors de la trajectoire de la face 21c par conséquent, chacun par deux petits res sorts 29 (fig. 2 et 4).
Ces taquets sont équidistants les uns des autres et la distance entre la face 21c au re pos et le premier d'entre eux est égale à l'écartement courant entre les autres, lui- même égal à l'écartement de deux dents de la. crémaillère.
Chacun des taquets peut être soulevé isolé ment par un petit piston 30 (fig. 2 et 4), guidé verticalement dans un support 31 et dans la réglette 28.
L'extrémité inférieure de chaque piston 30 est aLi contact d'un levier 32 pivotant en 33 sur mi axe horizontal et articulé en 34 avec la tige 35, guidée verticalement, d'une touche 36. Il y a, par exemple, neuf touches 36 et, par conséquent, neuf mécanismes à taquet, piston, levier et tige, et ces touches corres pondent chacune à un nombre de lignes égal à leur numéro d'ordre de la gauche vers la droite, soit 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9.
Sous l'ensemble des leviers 32 court une barre horizontale 37, montée entre deux bras 38 pouvant pivoter autour d'un axe 39. L'un des bras 38 est pourvu d'un prolongement 38a. qui vient au-dessous du rebord 40a d'un cou- lisseau 40 guidé contre une plaque 41 qui supporte le cliquet de retenue 25 et les vis 23 de guidage et de support de la crémaillère. Ce coulisseau, en s'élevant contre la plaque 41, peut rencontrer un doigt 42 dudit cliquet 25 et le dégager de la crémaillère.
Pour faci liter ce dégagement, on a prévu un levier 43 (fig. 2 à 7) pivotant en 44, dont Lme extré mité vient au-dessus du rebord 40a du cou- lisseau 40, de manière à être soulevé par le bras 38-38a, en même temps que ce coulis- seau.
L'autre extrémité de ce levier porte un doigt 45 qui est disposé pour, dans ce mou vement, faire osciller le levier à deux bras 20 dans -un sens tel que le doigt 22 quitte la face 21a de la crémaillère pour soulager ainsi le cliquet 25 de la pression de la denture ré sultant au repos de la tension du ressort 19; les choses étant établies naturellement pour que ce soulagement intervienne avant le sou lèvement du doigt 42 par le coulisseau 40.
Cela étant, on voit que si, par exemple, on enfonce la touche N 9 (fig. 3 et 5), le le vier 32 correspondant fait abaisser la barre 37 et en même temps soulever le piston 30 et le taquet 27 correspondants. La barre 37 pro- vogue, par le bras 38-38a, le dégagement du cliquet de retenue 2 5 et la crémaillère 21, cé dant à l'action du ressort 24, est tirée brus quement vers la droite et vient buter sur le taquet 27 (fig. 5 et 6). Quand on relâche la touche, le cliquet 25 se réenclenche d'abord dans la crémaillère qui est ainsi immobilisée, et le taquet 27 s'efface ensuite dans la ré glette 28 sous l'action de ses ressorts 29 et fait remonter la touche.
Par ce qui a été dit concernant l'écarte ment des taquets et la disposition des touches, on voit que l'actionnement de l'une quelcon que d'entre elles provoque un déplacement de la crémaillère, à partir de sa position de repos, proportionnel au nombre de lignes cor respondant à ladite touche et marqué sur elle. Il est prévu un index 46 (fig. 2 et 3), fixé à l'extrémité de droite de la crémaillère et se déplaçant sur une petite plaque graduée 47, de sorte qu'une fois la touche remontée, la position de l'index rappelle le numéro de la touche qui a été actionnée.
On a vu qu'aussitôt que la touche a été relâchée, le cliquet 25 s'est réenclenché dans la denture de la crémaillère, la barre 37 étant remontée et le coulisseau 40 redescendu. Le doigt 45 du levier 43 a donc quitté le levier 20 dont le doigt 22 ne bute plus, d'autre part, sur la face 21a de la crémaillère. En consé quence, l'action du ressort 15 (fig. 8) devient prépondérante et ce ressort fait fermer le contact 12-13. La machine peut alors être mise en marche au moyen d'un autre contact à main 48 (fig. 8).
Revenant à la fig. 1, on voit que sur l'ar bre intermédiaire 18 est calé un doigt 50 qui, lorsque la crémaillère est dans la position de repos, maintient, par son action sur un ergot 51, un verrou automatique 52, à ressort 53, hors de la trajectoire verticale du chariot 3. Un dispositif semblable existe de chaque côté de la machine, pour chaque chariot.
Lorsque, après l'actionnement d'une ton- che, la crémaillère quitte sa position de repos et le contact 12-13 se ferme comme il a été dit, le doigt 50, oscillant en même temps que le bras 17 calé comme lui sur l'arbre 18, laisse le verrou 52 céder à l'action de son ressort et se placer sur la trajectoire du chariot 3.
Une fois que la machine est mise en mar che, le galet 7 fait descendre le levier 5 et, par suite, le chariot 3 (situé du côté droit de la machine) qui vient repousser, par son rebord ou talon 3a, le flanc incliné 52a du verrou 52 et s'enclencher sous celui-ci (fig. 12). Les choses sont réglées pour que, lorsque le chariot est dans sa position la plus basse - au moment où le cylindre imprimeur effectue l'impression sur la feuille à impri mer - le talon 3a se trouve quelques dixièmes de millimètre au-dessous du verrou 52 clans un but qui apparaîtra plus loin.
Une fois que le galet 7 a franchi sa posi tion la plus basse et fait ainsi imprimer la première ligne, une came 54 portant un doigt 55 (fig. 1 et 2) vient entraîner vers la gau che une levée 56u d'un coulisseau horizontal 5 6 guidé sur des vis<B>57.</B> Ce coulisseau porte un cliquet 58, tiré par un ressort 59, et muni d'un doigt 60 qui, glissant alors sur une rampe 61 (fi-.<B>7),</B> vient prendre une dent de la crémaillère et la fait avancer vers la gau che des fig. 1 et 2 d'une quantité égale à l'in tervalle entre deux dents. Quand le doigt 55 lâche le cran 56a., le coulisseau revient en arrière sous l'action d'un ressort de rappel 56b, et ainsi, alternativement, à chaque tour.
Dans l'hypothèse, faite plus haut, où l'on a actionné la touche N 9, la crémaillère, dé placée de neuf dents, retourne donc vers sa position de repos, d'une dent pour chaque tour de l'arbre de commande générale. sllécanisme d'interlignage. Une fois par tour également, un doigt 62, porté par le plateau 8 (fig. 1), fait soulever, contre l'action d'un ressort. de rappel 63c, un levier 63 et, par celui-ci, un équipage de deux cliquets 641-64 (fig. 9 à 12).
Dans ce mou vement et sous l'effet de la réaction d'un ressort 65, un doigt. 66, porté par cet équi page, glisse sur une rampe 6 7 et le cliquet inférieur 642 (voir fi,-. 12) vient prendre une dent d'une roue à rochet 68, solidaire du cy lindre imprimeur - lequel est verrouillé dans sa position basse, comme il a été expliqué, par le verrou automatique 52 - et fait tourner ce cylindre d'un interligne, de sorte que, comme ledit cylindre, dans cette position basse, est au contact de la feuille de papier à imprimer f appuyée sur un rouleau élastique r, il peut l'entraîner en avant, chaque fois d'un inter ligne, pour préparer l'impression de la ligne suivante.
Ainsi, donc, corrélativement, chaque fois qu'une ligne est imprimée, l'arbre de com mande générale fait avancer la crémaillère d'une dent dans la voie du retour et tourner le cylindre imprimeur d'un interligne.
Dans l'hypothèse faite de l'actionnement de la touche 9, lorsque le cylindre aura im primé neuf lignes, la crémaillère se sera dé placée de neuf dents dans le sens du retour. Lorsque la crémaillère effectuera sa dernière avance d'une dent après l'impression de la neuvième ligne, et dès le début de cette avance, sa face 21a commencera à agir sur le doigt 22.
Les choses sont établies de façon que cette action sur le doigt 22 et, par conséquent, sur l'arbre 18 et le bras 50 de commande du verrou 52, succède au passage du galet 7 à la verticale, par quoi le rebord 3a du chariot est abaissé de quelques dixièmes de millimètre au-dessous dudit verrou, de sorte que lors que le verrou sera repoussé vers la gauche de la fig. 12, il ne sera plus soumis à l'action de soulèvement dudit rebord qui résulterait de celle des ressorts 4, et pourra ainsi glisser aisément sur ses goujons de guidage 69.
Aussitôt que le verrou aura dégagé le re bord 3a (fig. 10), le chariot 3 et le cylindre imprimeur remonteront et le doigt 62 du pla teau 8 fera remonter l'encliquetage 641-64. En fin de ce mouvement., le cliquet supérieur 641 fera tourner, d'un neuvième interligne, la roue à rochet 68 (fig. 11).
Pendant ce temps, le verrou aura terminé sa course l'amenant complètement hors de la trajectoire du cha riot 3 et, par conséquent, le levier de contact 13, qui tourne en même temps que les bras 17 et 50, aura terminé sa course rompant le contact 12-13, et la machine s'arrêtera, un dispositif de frein étant bien entendu prévu pour arrêter le moteur aussitôt que ledit cou- tact est rompu. Lorsqu'il n'y a qu'une ligne à imprimer, c'est-à-dire lorsque, préalablement à la mise en marche de la machine, on actionne la touche N 1, la crémaillère recule alors seulement d'Luie dent.
Après l'impres sion clé cette unique ligne, la came 54 provo quera le retour de cette crémaillère à sa posi tion de repos, ce qui déterminera, comme pré cédemment décrit, le retrait du verrou 52, la remontée du cylindre et sa rotation d'un interligne sous l'action du cliquet supérieur 641 et l'ouverture du circuit du moteur. Dans ce cas, par conséquent, le cylindre ne sta tionne pas dans sa position basse et remonte aussitôt après l'impression de la ligne con sidérée. Dispositif <I>correcteur.</I> On comprend que, lors de l'actionnement de l'une des touches 36 pour le réglage du nombre de lignes à imprimer, urne erreur peut parfois être commise.
Si l'on a actionné une touche inférieure, c'est-à-dire le N 6 au lieu du N 8, il est facile de réparer l'erreur en abaissant simplement aussitôt après la tou che N 8.
Pour permettre de corriger une erreur supérieure , c'est-à-dire l'abaissement d'une touche de numéro supérieur à celui de la tou che convenable, on a prévu un dispositif per mettant de commander à la main le retour dent par dent, de la crémaillère, vers sa po sition de repos. En se reportant à la fig. 2, où est représenté ce dispositif, on voit qu'en appuyant sur une touche 70 on fait descendre, contre l'action d'un ressort. de rappel 71, -une patte 72 qui fait basculer un levier 73, calé sur un axe 74. Cet axe entraîne un maneton 75 qui, par une biellette 76, fait déplacer le coulisseau horizontal 56 et fait ainsi avancer la crémaillère d'une dent vers sa position d'origine.
Il suffit donc d'actionner la touche 70 autant de fois que le nombre de dents re présentant l'erreur en trop, pour corriger cette erreur. Touche spéciale.
Dans une variante représentée sur les fig. 13 à 18, à la suite de la dernière touche du clàvier ordinaire, c'est-à-dire la touche N 10 dans le présent exemple, est disposée une touche spéciale 100, dont la tige 101, con venablement guidée, porte une barrette 102 qui, au repos, se trouve au-dessus d'un épau lement 103 formé par la tige 35 de la touche N 10 précitée, de manière que l'enfoncement de cette touche spéciale provoque aussi l'en foncement de la touche N 10.
La tige 101 porte aussi une bague conique 104 contre la surface latérale de laquelle, dans la position haute de la touche 100, est appliqué par l'action d'un ressort 105 (fig.14), un levier horizontal 106 pivotant sur un axe fixe 107 supporté de toute ma nière appropriée par la table t du clavier, de manière que lorsqu'on enfonce ladite touche 100, contre l'action d'un ressort de rappel 108, le levier 106 vient s'enclencher automa tiquement au-dessus de la bague 104. La touche 100 est ainsi verrouillée dans sa posi tion d'enfoncement et la touche N 10 qui l'a suivie dans son mouvement est pareillement verrouillée (position des fig. 17 et 18).
Revenant aux fig. 13 et 14, on voit que le levier 106 se prolonge au-delà de son axe d'articulation 107 et présente une levée 106a, destinée à être déviée dans le sens de la flè che de la fig. 14, par une came ou un bossage constitué par une simple vis 109, portée par le cylindre porte-cliché 2, de ma nière que le levier 106, oscillant sous cet effet, déverrouille la touche spéciale 100.
La position en hauteur de la levée 106a est telle que cette rencontre du bossage 109 et de la levée 106a se produise lorsque le cylindre 2 tourne alors qu'il est verrouillé dans sa po sition basse d'impression (tracé en traits mixtes 21, fig. 13) par un dispositif qui sera décrit plus loin. D'autre part, le bossage 109 est calé sur le cylindre 2, par rapport à sa génératrice correspondant à la première ligne du cliché, de faon que le moment de cette rencontre se situe immédiatement avant l'im pression (le la ligne qui correspond à la der- nière touche du clavier ordinaire, soit, dans le présent exemple, avant l'impression de la dixième ligne du cliché comptée à partir de la fin.
Le fonctionnement de la variante qui vient d'être décrite sera donné après l'exposé, qui v a suivre, d'une autre caractéristique de cette variante.
La tige 101 de la touche spéciale 100 est articulée en 110 avec un levier en V, 111, , pivo tant en 112 et articulé à son tour avec une biellette 113 de commande d'une came 114 tournant sur un axe 115. Tant que la touche spéciale 100 est dans sa position haute, cette came maintient un étrier 116, articulé en 117, dans une position, montrée fig. 13, où un cran 116a de cet étrier est enclenché avec une languette 52a du verrou 52, de sorte que ce lui-ci, même si la crémaillère 21 quitte sa po sition de repos, ne peut venir se placer sur la trajectoire du chariot 3.
Il en résulte que le verrouillage du cha riot 3 dans sa position basse se produit seu lement, dans cette variante, dans le cas où la. machine doit imprimer la totalité du cliché.
Cela étant, le fonctionnement est le sui vant: Lorsqu'on veut imprimer la totalité du cliché, on enfonce la touche spéciale 100. Celle-ci, comme on l'a déjà vu, provoque l'en foncement de la dernière touche, N 10, du clavier ordinaire, laquelle fait déplacer la crémaillère, vers la droite de la fig. 13, d'une quantité correspondant normalement à l'im pression de dix lignes (dans le présent exem ple).
'Mais comme la touche N 10 reste ver rouillée avec la touche spéciale (position des fig. 17 et 18), le cliquet 25 reste soulevé par la coulisse 40, de sorte que, à chaque course alternative du coulisseau 56, la crémaillère est aussi déplacée alternativement et n'avance pas positivement sur sa trajectoire de retour au repos.
En admettant que, par exemple, le cliché comporte 64 limes, la machine imprimera, dans ces conditions, les 54 premières lignes. Mais, clès ].'enfoncement de la touche 100, la came 114 a tourné autour de son axe et a fait dégager le cran 116a de l'étrier 116 d'avec la languette 52a du verrou 52. Celui-ci s'est donc déplacé vers la droite pour venir ver rouiller le chariot 3 dès l'instant où le cylin dre est descendu pour l'impression de la pre mière ligne (fig. 17) et sa languette 52a est alors engagée sous le cran 116a (voir fig. 17).
L'impression en cours se produit donc sans que le cylindre remonte après chaque ligne, ce qui limite la fatigue des organes et permet au cylindre d'entraîner lui-même, par fric tion, la feuille de papier f, appuyée sur le rouleau de contre-pression r.
Lorsque l'impression de la 54me ligne est un fait accompli, le bossage 109 du cylindre porte-cliché rencontre la levée 106a du levier 106, lequel déverrouille la touche spéciale 100 et, par conséquent, la touche N 10. Dès lors, comme on le comprendra en se reportant à la fig. 18, la barre 37 est soulagée de la pres sion du levier 32 et le levier 38a laisse redes cendre la coulisse 40, de sorte que le cliquet 25 de retenue de la crémaillère se réenclenche dans celle-ci qui, dès l'impression de la 55me ligne, va avancer d'une dent sur son trajet de retour pour atteindre finalement sa posi tion de repos de la fig. 13 et provoquer l'ar rêt de la machine après l'impression de la 64me ligne.
Il reste à remarquer que, lorsque la tou che 100 s'est relevée sous l'action de son res sort 108, la came 114 a quitté le contact de l'étrier 116, mais celui-ci est resté en l'air et le verrou a continué de maintenir le chariot 3 et le cylindre 2 dans leur position basse, de sorte que l'impression des dix dernières lignes se produit aussi sans que le cylindre remonte après chaque ligne. Ce n'est donc que lorsque la crémaillère atteindra sa position de repos que, agissant sur le doigt 22, elle provoquera le mouvement du levier 20 qui, par le ressort 19 et le levier 50, ramènera le verrou 52 vers la gauche; l'étrier 116, retombant alors libre ment, réenclenchera son cran 116a avec la languette 52a.
Comme il a été dit, quand on agit sur une touche du clavier ordinaire, le cylindre n'est pas verrouillé dans sa position basse. L'avan- cement de la feuille de papier f peut alors être obtenu automatiquement par le dispositif d'alimentation qui va être maintenant décrit. Dispositif d'alimentation. On se reportera à la fig. 19, sur laquelle B désigne le flasque de gauche de la machine, 118 désigne un coulisseau disposé pour repo ser et glisser sur des supports 1.19 et 120, le guidage étant assuré par des vis 121 coulis sant dans des rainures desdits supports.
La feuille de papier ou de carton, à impri mer, posée sur la table de la machine, non re présentée, repose également, par un de ses bords longitudinaux, sur une certaine lar geur, sur la face de dessus 118a du coulisseau avec laquelle affleure ladite table. Le bord transversal du haut de la feuille, ou bien, sui vant le cas, la dernière des lignes déjà portées sur cette feuille, est placé sous le repère A, tracé sur la pince 122, tandis que le bord lon gitudinal précité est appliqué contre la face verticale 122b de cette pince et se trouve, par conséquent, sous le rebord 122a formant la face de serrage de ladite pince.
La pince 122 est mobile verticalement par rapport au coulisseau au moyen de goujons 123, susceptibles de coulisser verticalement dans des trous de ce coulisseau 118, de façon que le bord de la feuille à imprimer puisse être tantôt serré entre les faces 122a et 118n de la pince et du coulisseau respectivement, tantôt libéré de cette action de serrage. Les goujons 123, outre qu'ils ont pour rôle de guider la, pince 122 de manière que sa face de serrage 122a reste parallèle à celle 118a. dit coulisseau, assurent la liaison longitudi nale de ces deux organes 118 et 122.
Des ressorts 124, agissant sur le dessus de la. pince, par l'intermédiaire de poussoirs 125, tendent constamment à appliquer la face 122a sur la face 118a. Au repos, au moment où l'on engage la feuille de papier à imprimer de la manière qui a été indiquée plus haut, la face 122a de la pince est écartée de la face 118a du coulisseau, la pince étant maintenue sou levée par une barre de soulèvement 126, sur le dessus de laquelle reposent les extrémités inférieures des goujons 123. Dans cette posi tion, la barre 126 est elle-même soulevée par un doigt 127 d'un levier 128, pivotant en 129, sur le prolongement duquel presse une came 130 calée sur l'arbre de commande générale 9.
Lorsque, la machine étant mise en route, l'arbre 9 se met à tourner dans le sens de la flèche f1, la came 130 franchit le bossage 128a du levier 128 et la pression des ressorts 124 fait descendre tout le système 122-126-127, le levier 128 oscillant dans le sens de la flèche f2. La feuille de papier à imprimer est alors serrée entre les faces 122a et 118a de la pince et du coulisseau.
Pendant ce temps, un doigt 131, porté par une couronne 132 de l'arbre 9, poursuivant sa course dans le sens de la flèche f1, vient rencontrer un bossage 133 d'une glissière 134, guidée sur des vis 135, et l'entraîne vers la droite de la figure. En se déplaçant, cette glissière fait osciller, dans le sens de la flèche f, au moyen d'un doigt 136, un levier 137 pi votant en 138, qui est attelé en 139 au cou- lisseau 118 par l'intermédiaire d'une biellette 140. L'équipage coulisseau 118, pince 122 et feuille à imprimer se déplace donc vers la droite et le repère A vient au point A1, sé paré du plan vertical d'impression V par un interligne. La feuille de papier est alors en position pour être imprimée.
Un peu après que le doigt 131 a attaqué le bossage 133, un galet 141, porté par la couronne-came 132, vient faire osciller autour de son axe 142 un levier 143 qui est lié, par une liaison glis sante, en 144, à l'un des chariots 3 portant une extrémité de l'arbre 1 du cylindre impri meur 2; un dispositif semblable existe de l'autre côté de la machine à l'autre extrémité dudit arbre. De ce fait, le chariot 3 descend contre l'action de ses ressorts de rappel 4 et le cylindre imprimeur venant au contact du papier, imprime une ligne au droit du plan V, l'équipage pince-coulisseau ayant cessé d'avancer une fois qu'il est arrivé en position d'impression, du fait que le flanc circulaire du bossage 133 est alors concentrique à l'arbre 9.
Lorsqu'il n'y a qu'une ligne à imprimer, le chariot remonte sous l'action des ressorts 4 en même temps que le levier 143 suit le galet 141 et l'équipage pince-coulisseau-feuille de papier revient à sa position de départ sous l'action du ressort de rappel 145 tirant sur le levier 137 du fait que le doigt 131 a lâché le bossage 133. Après que le cylindre est re monté, donc après que le galet 141 a franchi la position 1411 et que l'équipage 122-118 est revenu à la position de départ, la came <B>130,</B> rencontrant à nouveau le levier 128, fait soulever la barre 126 et la pince 122, et la feuille de papier étant ainsi libérée peut être remplacée par une autre.
Comme on le voit sur la fig. 19, le chariot 3 du côté gauche de la machine est pourvu, à sa partie inférieure, d'un rebord 3b qui, lorsque ce chariot descend, vient, à fond de course, se placer au-dessus d'un prolongement 137b du levier 137, lequel a oscillé sous l'ac tion de la glissière 13:l.
Cette disposition prend toute son impor tance du fait que, comme le montre spéciale ment la fig. 12, la machine est, en outre, pré vue pour imprimer plusieurs lignes successi vement, sur une même feuille sans que le cy lindre remonte après l'impression de chaque ligne.
On voit (fi-. 12) que lorsque le chariot 3 de droite de la machine, faisant pendant à celui de la fig. 19 descend, son rebord 3u vient s'accrocher, à fin de course, sous un verrou automatique 52. Un verrou semblable agit sur le chariot 3 de la fig. 19, mais n'a pas été représenté pour éviter de surcharger le dessin. Pendant tout le temps où les cha riots restent ainsi accrochés, le rebord 3b du chariot de la fig. 19 maintient le levier<B>137b</B> dans la position pour laquelle l'équipage pince-coulisseau-feuille à imprimer est dans la position d'impression.
Après l'impression de la première ligne, comme ce chariot est verrouillé, le galet 141 quitte le levier 143 et franchit. la position 1411 correspondant à la remontée normale de ce levier et du chariot et, par conséquent, au retour normal de l'équipage 122-118 à sa position d'origine. Comme précédemment, c'est-à-dire comme dans le fonctionnement exposé à propos de l'impression d'une seule ligne, le bec de la came 130, après une cer taine rotation de l'arbre 9 faisant suite au passage du galet 141 à ladite position 1411, provoque le soulèvement de la pince 122.
Mais pendant la course du galet 141 cor respondant à la remontée normale du cylin dre, remontée qui ne s'effectue pas dans le cas présent, un doigt 62 (fig. 12), formé sur le plateau 8 qui, du côté droit de la machine, correspond à celui de gauche représenté sur la fig. 19, fait soulever, par l'intermédiaire d'un levier 63 pivotant en 63', un équipage de deux cliquets 641 et 642 et, à l'instant pré cis ou, de préférence, aussitôt après que le bec 130 de la fig. 19 a fait soulever la pince 122, le cliquet 642 fait tourner d'une dent, correspondant à un interligne, une roue à rochet 68 montée sur l'arbre 1 du cylindre imprimeur, du côté du flasque droit de la machine.
Comme la feuille à imprimer a été libérée par le soulèvement de la pince 122, elle est entraînée par le cylindre imprimeur dans cette rotation et avance aussi d'un inter ligne pour recevoir l'impression d'une autre ligne. L'entraînement de la feuille de papier par le cylindre imprimeur peut être facilité en prévoyant, à l'aplomb de l'axe de ce cylindre, une interruption de la table de la machine et en disposant en cet endroit un support sou ple quelconque 146 (fig. 19) tel qu'une ré glette de caoutchouc ou un rouleau, de ma nière que la feuille soit pincée, suivant la ligne d'impression, entre ce cylindre et ce support.
Ainsi, chaque fois que le cylindre avan cera d'un interligne, la feuille avancera pa reillement pour recevoir l'impression d'une nouvelle ligne. Dans la machine représentée, cette impression se produira lorsque le galet 141 repassera à la verticale de l'arbre 9, la position d'enclenchement du verrou 52 étant telle qu'à ce moment les chariots 3 s'abaissent de quelques dixièmes de millimètre. On a vu précédemment que, bien avant le passage du galet 141 à la verticale de l'arbre 9 correspondant à l'abaissement des chariots, la came 130 libérait le levier 128 et laissait la pince 122 serrer à nouveau le papier.
Il en sera<B>dé</B> même ici, de sorte que, après la ro tation du cylindre, au cours de la phase d'ar rêt, par conséquent, du mouvement saccadé du cylindre, et avant que l'impression se pro- duise, la phase de soulèvement de la pince prendra fin et la feuille de papier sera. ainsi maintenue solidement pendant l'impression.
Lorsque, après l'impression de la dernière ligne, les chariots seront déverrouillés par les verrous 52, ils remonteront et le ressort 145, comme dans le cas précédent, ramènera l'équi page coulisseau-pince-feuille de papier à sa position de départ, après quoi la feuille sera à nouveau libérée. <I>Dispositif de commande</I> automatique <I>du</I> moteur <I>de</I> la<I>machine.</I> On a vu que la machine décrite ne se met pas en route automatiquement lors de la re <B>m,</B> ntée de la touche préalablement enfoncée dans le clavier du dispositif tabulateur.
Pour faire démarrer le moteur rotatif de la ma chine, l'opérateur doit, en outre, abaisser le contact à main 48 (fig. 8). Dans iIne va riante, le contact à main 48 est supprimé, ce qui évite ainsi une perte de temps, tout en facilitant la manaeuvre. La mise en marche de la machine s'effectué alors automatique ment par la remontée à sa position initiale de la touche préalablement enfoncée dans le clavier du dispositif tabulateur.
En se reportant aux fig. 20 et 20a, on voit que, dans cette variante, chaque touche 36 du dispositif tabulateur et, en particulier, la touche marquée 9 détermine, lors de son enfoncement, l'ouverture d'un contact 12'-13' disposé en série avec le contact 12-13 sur le circuit du moteur électrique 11 de la machine à reports. L'enfoncement de la touche 36 pro voque, en effet, l'abaissement du point d'ar ticulation 34 de la tige 35 sur le levier 32, le pivotement du levier 32 autour de l'axe horizontal 33, l'abaissement de la barre hori- zontale 37 montée entre les deux bras 38 sus ceptibles de pivoter autour de l'axe 39,
le dé gagement de la lame mobile 13' et l'ouver ture du contact 12'-13'.
D'autre part, simultanément, l'abaisse ment de la barre 37 détermine le basculement d'un levier coudé 147 autour de son axe 148. L'autre extrémité du levier 147, en se dépla çant, permet au contact 12-13 de se fermer sous l'action de son ressort 15 par l'intermé diaire de biellettes 149 et 150 calées sur un même arbre 151, d'un levier 170 articulé en 171 sur un levier 172 pivotant lui-même en 173, d'un étrier 174 articulé sur le levier 172 en 175 et guidé sur un support 176 en forme de fourchette (voir fig. 20a), d'un levier 177 articulé en 178 sur l'étrier 174 et pourvu d'un doigt 179 prenant appui sur la face interne de la lame mobile 13 du contact principal.
Le sens de déplacement des divers organes précités, représenté en traits pleins sur les fig. 20 et 20e, est donné par des flèches.
La machine ne démarre cependant pas, car le circuit du moteur électrique est ouvert en 12'-13'. C'est seulement lorsque l'opéra teur libère la touche 36 que celle-ci, en re montant sous l'action de son ressort associé, permet à la barre 37 de suivre son mouve ment de montée grâce à la descente du cou- lisseau 40 (coopérant avec le cliquet de re tenue 25 de la crémaillère 21 de la machine à reports), coulisseau qui exerce son action sur le prolongement 38a du bras 38 par son rebord 40a.
Dès que la touche 36 a repris sa position initiale, la barre 37 est venue s'appliquer sous la lame 13' et a fermé le contact 12'-13'. A ce moment, comme le contact 12-13 a été préalablement fermé et reste fermé par l'ac tion du ressort 15, le circuit du moteur élec trique 11 (circuit matérialisé en traits pleins sur la fig. 20) se trouve établi et la machine à reports entre en fonctionnement.
Après que les neuf lignes successives cor respondant à l'enfoncement de la touche 9 ont été imprimées sur la feuille de report, l'ouverture du contact principal 12-13 est assurée mécaniquement par la biellette 16 d'un dispositif analogue à celui déjà décrit et la machine s'arrête.
Le dispositif permettant l'ouverture du contact principal lorsque la crémaillère 21 est amenée à sa position de repos a été représenté sur les fig. 20 et 20a, afin de mettre en lu mière les modifications de détail apportées au contact principal.
Sur le dessin, la crémaillère est à la posi tion de repos et le contact principal est ouvert. Le doigt 22 du levier 20, à deux bras, monté fou sur l'arbre de commande principal 9, est repoussé par la face 21a de la cré maillère 21. Le ressort 19, attelé sur le bras 17 calé sur l'arbre intermédiaire 18, fait tourner le bras 180 calé sur le même arbre, de telle sorte que la biellette 16 se trouve entraînée contre l'action de son ressort 181 dans le sens de la flèche visible sur la fig. 20. La tête de la biellette 16 est ainsi amenée sur le trajet d'un doigt 182 d'un levier 183 soli daire de l'arbre 9.
Dès que le doigt 182, en traîné avec l'arbre 9, vient heurter la tête de la biellette 16, celle-ci bascule autour de son axe 184 et fait pivoter l'étrier 174 autour de son articulation 175 par l'intermédiaire de la tige 185 montée sur l'étrier et engagée à tra vers la fente 186 pratiquée dans la biellette 1.6. Ce léger pivotement de l'étrier permet le dégagement d'une plaquette 187 (visible sur la fig. 20a) qui venait buter, par sa tranche, contre le support 176 en interdisant l'ouver ture du contact principal.
Dès que la pla quette 187 montée sur l'étrier est passée entre les branches du support 176,.un ressort i ,eç), ',11able 188 déplace le levier 172 dans le sens de la flèche représentée sur la fig. 2011, ce qui détermine l'ouverture du contact 12-13 con tre l'action antagoniste du ressort 15.
<I>Dispositif de mise hors d'action du</I> mécanisme d'interlignage.
Il est. intéressant, dans certains cas, de répéter plusieurs fois la même ligne d'un texte à reproduire. Afin d'effectuer commo dément cette opération, on met hors d'action le mécanisme d'interlignage par une action exercée sur le levier de débrayage du cylin dre d'impression.
En se reportant aux fig. 21 et 22, on voit que le levier de débrayage 152, articulé sur le bâti en 153, porte un téton 154 susceptible de venir en prise avec l'une de trois encoches 155 ménagées sur un levier coudé 156 pivo tant en 157 et maintenu appliqué contre le téton 154 par un ressort 158. Sur l'extrémité du levier de débrayage, opposée à la tête de man#uvre, s'articule un bras 159 susceptible d'attaquer, d'une part, le cliquet de débrayage du cylindre d'impression par un levier 167 (articulé en 168 et porteur d'une butée 169) et, d'autre part, un levier coudé 160 par l'in termédiaire d'un axe 161 formant butée et capable de s'appliquer contre l'une des extré mités dudit levier 160.
L'autre extrémité du levier 160, qui est articulé en 162, est appli quée, par un ressort 163, contre le bord re plié du bras de débrayage 164 du mécanisme d'interlignage. Ce bras de débrayage 164 est mobile autour d'un axe 165 fixé au bâti et il coopère avec un doigt 166 monté sur la face arrière du levier 64 portant les cliquets supérieur et inférieur 641 et 642 (voir fig. 23).
Dans cette variante, le levier 64, au lieu d'être soulevé, à chaque tour de l'arbre 9 de commande générale de la machine, par un doigt 62 calé sur un plateau solidaire dudit arbre, est articulé sur une coulisse entraînée par un excentrique monté sur l'arbre 9 et attaquant les branches de la coulisse par l'intermédiaire d'une came. Ces organes de commande du mouvement du levier 64 ont été représentés en traits mixtes sur les fig. 21 et 22.
Le fonctionnement du dispositif ci-dessus décrit est le suivant: Pour le travail en posi tion normale avec interlignage, le cliquet su périeur 641 vient en prise avec la rote à ro chet 68 du cylindre d'impression, lorsque ce cylindre remonte après l'impression d'une ligne. Le levier 64 porte-cliquets, entraîné par le coulisseau commandé par l'arbre de com mande générale 9, est guidé par son doigt 166 qui a glissé sur la rampe fixe 67, contre laquelle il s'applique par l'action de son res- sort 65. Le levier de débrayage 152 et les organes qui lui sont associés occupent les po sitions représentées sur la fig. 21.
Quand on désire travailler sans interli gnage, en répétition d'une même ligne, ou fait basculer le levier 152 vers le haut, afin de lui faire occuper la position représentée sur la fig. 22. Le téton 154 vient alors se pla cer dans l'encoche inférieure 155 du levier coudé 156, et le doigt 161 du levier 159 fait basculer le levier 160 autour de son axe 162, de telle sorte que le bec du levier<B>160</B> atta que le bord replié du bras de débrayage 164 en le faisant tourner autour de son axe 165.
Le bras de débrayage prend la position vi sible sur la fig. 22 et le doigt 166 se trouve re poussé par ce bras, avec le levier 64 et ses cliquets, vers la gauche de la. figure. Le bec. du cliquet 641 ne peut plus dès lors venir en prise avec les dents de la roue à rochet 68 et, à chaque tour de l'arbre de commande géné rale 9, le cylindre d'impression ne tourne plus autour de son axe; il est susceptible seu lement d'un mouvement de baisse et monte déterminant l'impression de la même ligne à chaque tour, tant que le levier 152 est relevé.
Il y a lieu de noter que le mécanisme d'in terlignage pourrait être commandé par un le vier autre que le levier de débrayage d'im- pression. <I>Dispositif sélecteur de</I> lignes. Les fig. 24 et 27 montrent les organes essentiels d'un dispositif sélecteur de lignes que présentent certaines formes d'exécution de la machine. Ce dispositif comprend tout d'abord un clavier 201 dont les touches s cor respondent en principe aux lignes du texte à. reproduire. En pratique, pour simplifier la construction, les touches sont réparties en deux groupes, l'un pour les unités (de 1 à 9 ), l'autre pour les chiffres des dizaines, chiffres allant de 2 à 6 inclus.
Pour des raisons de commodité de cons truction, dans le mode de réalisation décrit, la touche 10 a. été disposée sur la rangée des touches imités, immédiatement à droite de la touche 9 . L'enfoncement d'une touche s détermine, par un système de leviers articulés 202 et 203, la sortie, hors de son logement, d'un taquet ou butée mobile 204 qui vient ainsi se placer sur le chemin d'un épaulement 205 d'une crémaillère 206.
En même temps, le dé placement de la butée 204 provoque la libéra tion de la crémaillère 206 maintenue en place, contre l'action d'un ressort 207, par un cli- quet 208 éclipsable latéralement, c'est-à-dire parallèlement à la denture de la crémaillère, grâce à son montage dans un support oscil lant 209 monté sur un axe solidaire du bâti.
Le basculement du support 209 et du cli- quet 208 est provoqué par un levier coud 210 solidaire d'un arbre 211 servant d'axe d'articulation commun à toutes les butées mo biles 204. L'arbre 211 est lui-même commandé en rotation par l'une quelconque des butées mobiles 204 par l'intermédiaire d'une barre 212 qui est appliquée contre la tranche supé rieure des butées mobiles 204 par un ressort 213 et qui est rendue solidaire de l'arbre 211 par des biellettes 214.
On comprend donc que le soulèvement de l'une quelconque des butées mobiles 204 lors de l'enfoncement de la touche correspondante puisse déterminer le déplacement de la cré maillère 206 sous l'action du ressort 207 dans le sens de la flèche f jusqu'à la venue en prise d'un épaulement 205 avec la butée mobile 204 située sur son chemin, de telle sorte que le doigt basculant 215 entraîné avec la crémail lère subisse un déplacement fonction de la hauteur de la ligne dont le numéro corres pond à celui de la touche enfoncée; la posi tion prise par ce doigt 215 matérialise ainsi la ligne à sélecter.
La crémaillère 206 et, par suite, le doigt basculant 215 qui lui est associé sont main tenus à cette position par le cliquet 208 dont le bec est venu de nouveau en prise avec la denture de la crémaillère, en même temps que s'est produite la rentrée de la butée mobile 204 dans son logement sous l'action conjointe des ressorts 213 et 216 (voir fig. 27 et 30).
La remontée (lu levier 202 sous l'action du ressort 216 est rendue possible par suite de l'organisation particulière de la touche s qui, au cours de son enfoncement, se désoli darise du levier 202 ainsi qu'on le verra ci- après.
Le dispositif sélecteur comprend encore un tambour 217 sur la surface duquel se trou vent répartis, suivant une hélice de pas con venable, des goujons ou tétons 218 en nombre égal au nombre de lignes contenues dans le format du texte à reproduire par impression. Dans l'exemple décrit, il y à 64 goujons cor respondant respectivement aux 64 lignes du texte.
Le tambour 217 est calé sur un arbre<B>219</B> et il entraîne, par l'intermédiaire d'une trans mission par chaîne 220 dont les maillons sont en prise avec des roues 221 et 222, le cylindre imprimeur 2 de la machine à reports, cylin dre visible sur les fig. 24, 25 et 26.
L'entraînement du tambour<B>217</B> est assuré par le moteur 223 du dispositif sélecteur par L'intermédiaire de roues dentées 224 et 225, d'un embrayage à cônes 226, d'une roue dentée 227 et de sa vis tangente 228 solidaire de l'ar bre 229 attaqué par le moteur 223.
La commande de l'embrayage à cônes est réalisée par une fourchette 230 articulée autour d'un axe 231 et coopérant avec un res sort 232. Sur l'axe 231 est monté un bras de débrayage 233 fixé, à l'extrémité opposée à son articulation, à un étrier 234 solidaire de l'arbre<B>219.</B>
L'abaissement du bras 233 est provoqué par le basculement du doigt 215 autour de son axe d'articulation 235 (fig. 25 et 26) soli daire du chariot 236 porté par la crémaillère 206. Ce basculement s'effectue contre l'action du ressort 237 au moment où le téton 218 du tambour 217 vient heurter l'extrémité dudit doigt. Cette organisation est telle que la ve nue en contact du téton<B>218</B> avec le doigt 21.5 détermine, par l'abaissement du 1-iras 233. maintenu appliqué contre le doigt 215 par le ressort 232, le débrayage du dispositif à cônes 226 et l'arrêt de l'entraînement du tambour <B>217</B> et du cylindre imprimeur par le mo teur 223.
En même temps, l'abaissement du bras 233 entraîne, grâce à la coopération d'un levier-came 238 avec une cornière 239 soli- daine dudit bras, à la fois la coupure du cir cuit d'alimentation du moteur 223 et le ver rouillage du cylindre imprimeur 2.
On voit, en effet, sur la fig. 27 que le levier-came 238, articulé sur un arbre 240, porte une des lames ll d'un contact inséré dans le circuit d'alimentation du moteur 223. La rotation du levier 238 dans le sens de la flèche g, sous l'action du ressort 241 (fig. 25 et 26) est déclenchée par l'enfoncement de la cornière 239 et du bras 233 qui la porte. Comme on le voit sur la fig. 27, cette rota tion assure l'écartement des lames de contact l3 et l2 dont la venue en prise a été pratiquée auparavant par l'abaissement du levier de dé marrage 242 du dispositif sélecteur, levier qui, par l'intermédiaire du levier 243, a fait tourner le levier 238 dans le sens inverse de la flèche g et est venu mettre au collage les lames l1 et l2.
On comprend également, en examinant les fig. 25 et 26, comment est réalisé le verrouil lage automatique du cylindre imprimeur 2 la rotation du levier basculeur 238 autour de son axe 240, dans le sens de la flèche assure la venue en prise du bec du cliquet 244 avec la denture 68 du cylindre impri meur, sous l'action du ressort de rappel 246, par le jeu des leviers 247, 248 et 249.
Il y a lieu de noter que le basculement du cliquet 244 autour de son axe est commandé positivement par un téton 250 monté sur le levier 249 formant lui-même coulisse pour l'axe 251 du levier 248.
La remise à zéro du dispositif sélecteur est obtenue par le retour en position initiale de la crémaillère 206 lorsque la machine à re ports est mise en action. A cet effet, l'arbre de commande générale 9 de la machine à re ports porte un doigt 252 (fig. 29) qui vient en prise avec une came 253 solidaire d'un secteur denté 254 commandé par un pignon 255; une poulie à gorge 256, calée sur l'axe du pignon 255, entraîne la crémaillère 206 par une transmission flexible 257.
Le retour de la crémaillère 206 à sa po sition initiale est commandé positivement par une plaquette 258 montée sur la transmis sion 257 et prise entre les mâchoires d'un étrier 259 fixé à la crémaillère. La transmis sion flexible 257 est attachée par l'une de ses extrémités à la poulie 256 et par l'autre à un ressort 260 accroché au bâti.
Les flèches visibles sur la fig. 29 indi quent le sens du déplacement des divers or ganes au cours du retour de la crémaillère à sa position initiale, retour qui s'effectue en même temps que la descente du cylindre im primeur 2 à sa position d'impression sous la commande du moteur 11 de la machine à re ports.
La crémaillère porte également, comme on le voit sur les fig. 24 et 27, un axe 261 sus- eeptible de se déplacer dans une coulisse for mée à l'extrémité d'un levier 262 articulé en 263 sur le plateau supérieur du clavier du dispositif sélecteur. Le levier 262 porte lui- même un axe 264 pouvant se déplacer à l'in térieur d'une coulisse ménagée dans un levier 265 articulé en 266 sur un levier correcteur 267 servant à la remise à zéro manuelle et pivotant en 268 sur un axe fixé au bâti.
Le retour à sa position initiale de la cré maillère 206 en sens inverse de la flèche f de la fig. 24, détermine donc le déplacement, dans le sens de la flèche lz, de l'extrémité en forme de bec du levier 262. Ce bec est en prise avec un téton 269 solidaire d'un bras 270 guidé à l'effet de subir une translation parallèle à la direction h.
Le bras 270 est muni, à l'une de ses extrémités, d'iui axe 271 pénétrant dans une mortaise pratiquée dans un levier 272 articulé en 273 sur le plateau supérieur du clavier et pourvu, à son autre extrémité, d'un bras coudé 274 se repliant. sous le plateau supérieur et venant saisir un bras 275 pourvu de deux mortaises 276 pa rallèles, orientées à 45 et coopérant avec deux tétons 277 fixés au plateau supérieur du clavier et disposés au-dessous de ce pla teau (voir fig. 24 et 31).
Dans ces conditions, la translation du bras 270 dans le sens de la flèche<B>IL</B> provoque un déplacement perpendiculaire du bras 275 dans le sens de la flèche i.
D'autre part, le bras 275 coopère, par son bord arrière, avec des verrous 278 convena blement guidés et sollicités par un ressort 279 accroché à un point fixe pris sur le plateau supérieur. Le déplacement du bras 275 dans le sens de la flèche i provoque ainsi le retrait des verrous 278 des touches s, ce qui assure la re montée de ces dernières sous l'action de leurs ressorts de rappel, comme on le voit sur les fig. 32 et 33. La remontée des touches peut également être assurée à la main en cas d'erreur, en agis sant sur le levier correcteur 267 qui com mande le retour de la crémaillère 206 à sa position initiale par le bras 265 et l'axe 264 du levier 262.
Le repérage de la sélection est réalisé vi suellement grâce au fait que la touche s qui a été abaissée par l'opérateur est maintenue enfoncée par le verrou 278 jusqu'à la remise à zéro automatique ou manuelle de l'appareil. A cet effet, chaque touche s comprend un carré supérieur 280, une bague inférieure 281 contre laquelle prend appui un ressort de rappel 282 reposant sur la plaque inférieure du clavier et enfin une bague médiane 283 portant à sa partie inférieure une gorge 284 avec laquelle se trouve en prise le bec d'un crochet 285 articulé sur le levier 202 corres pondant à la touche envisagée. Le bec du cro chet 285 est maintenu en temps normal au contact de la gorge 284 par un ressort 286 accroché au bâti.
Enfin, les supports dans lesquels peuvent coulisser les touches comportent pour cha que touche un levier 287 articulé en 288 sur le support et comportant une rampe inclinée 289 coopérant avec un téton 290 fixé au cro chet 285. Un ressort à lame 291, monté sur le support, applique la rampe 289 du levier 287 contre le téton 290 du crochet 285.
Lorsque l'opérateur enfonce une touche, la descente de la bague 283 provoque l'abais sement du levier 202 entraîné vers le bas par le crochet 285. Au cours de ce mouvement de descente, le carré 280 laisse passage au verrou 278 dont l'extrémité, sous l'action du ressort 279, vient se placer au-dessus du carré 280, comme on le voit sur la fig. 33, en vue de maintenir la touche enfoncée. En même temps, le téton 290 du crochet 285 prend appui sur la rampe 289, ce qui a pour effet de faire échapper le bec du crochet 285 hors de la gorge 284 et de désolidariser ainsi le levier 202 de la touche s.
Lors de la remise à zéro, le verrou 278 se retire dans le sens de la flèche i en fig. 31; il libère ainsi la touche qui remonte sous l'effet du ressort 282 préalablement com primé; les pièces reprennent alors les posi tions relatives qu'elles occupent sur la fig. 30.
Pour mieux faire comprendre le fonction nement du dispositif sélecteur, on va suppo ser que l'opérateur désire sélecter la ligne 21 , par exemple, et faire imprimer automa tiquement, par la machine à reports équipée avec le dispositif sélecteur, successivement les quatre lignes 21 , 22 , 23 et 24 . Préparation. L'opérateur commence par enfoncer la touche 2 de la rangée des dizaines.
Il dé termine ainsi, par l'abaissement du levier de commande 202, la sortie hors de son loge ment de la butée mobile 204 correspondante et la libération de la crémaillère 206 qui, sous l'action du ressort 207, se déplace rapidement dans le sens de la flèche f jusqu'à ce que son premier épaulement 205,à partir de la droite de la fig. 24, vienne heurter ladite butée mo bile 204. La crémaillère occupe alors la posi tion visible sur la fig. 34; le doigt contacteur 215 se trouve ainsi amené sur le trajet du goujon 218 correspondant à la ligne 20 du tambour 217; la position de ce doigt 215 ma térialise la ligne 20 .
La touche 2 des dizaines est restée en foncée par suite de la venue du verrou 278 au-dessus du carré 280. Le levier de com mande 202, qui est devenu indépendant de la touche, est remonté sous l'action du res- sort 216 en assurant la rentrée dans son loge ment de la butée mobile 204. La crémaillère 206 reste cependant en place grâce au cliquet 208 qui est revenu au préalable en prise avec la denture de la crémaillère.
L'opérateur appuie ensuite sur la touche 1 des unités. Il détermine un nouveau dé placement de la crémaillère dans le sens de la flèche f ; ce déplacement correspond à une unité supplémentaire, c'est-à-dire à l'intervalle qui sépare la ligne 20 de la ligne 21 . La course de la crémaillère est limitée par la venue en contact, contre la butée mobile cor respondant à l'unité 1 , du troisième épaule ment 205 à partir de l'épaulement extrême de droite. La crémaillère occupe la position visible sur la fig. 35.
Le doigt 215 est ainsi amené à la position désirée sur le trajet du goujon 218, désigné par 21 , matérialisant sur le tambour 217 la ligne 21 à sélecter. Le doigt 215 et la crémaillère 206 sont maintenus à cette posi tion par l'effet du cliquet 208.
La position du doigt 215 est repérée vi suellement grâce an fait que les touches 2 des dizaines et 1 des unités restent enfon cées; l'opérateur sait ainsi qu'il ne s'est pas trompé et que la machine est prête à fonc tionner pour sélecter la ligne 21 . Sélection. Pour amener la ligne 21 du cylindre d'impression sur la ligne de tangence entre le cylindre et la feuille à imprimer, c'est- à-dire sur la position d'impression, l'opéra teur appuie sur la poignée du levier de dé marrage 242, ce qui assure la fermeture du contact l1-l2 et l'excitation du moteur 223 du dispositif sélecteur en même temps que le déverrouillage du cylindre imprimeur 2 par la venue hors de prise du cliquet 244 d'avec la denture 68,
le levier-came 238 tournant en sens inverse de la flèche g sous la com mande du levier 242.
Dès la mise en route du moteur, le tam bour 217 et le cylindre imprimeur 2 sont en traînés en rotation par l'intermédiaire de l'embrayage 226. Cet entraînement dure jus qu'à ce que le goujon 218 de rang 21 , sur le trajet duquel se trouve disposé le doigt 215, vienne heurter ce dernier; à ce moment, le doigt 215 bascule autour de son axe 235 en surmontant l'action du ressort de rappel 237.
Ce basculement a un triple effet: Tout d'abord il détermine le débrayage par l'enfon cement du bras 233. Le tambour 217 et le cy lindre imprimeur s'arrêtent alors immédiate ment puisque le moteur 223 ne les entraîne phis: Ensuite, le doigt 215, en basculant, libère le levier 238 qui prenait appui sur l'aile su périeure de la cornière 239. Le cylindre im primeur est ainsi verrouillé à la position d'im pression de la ligne 21 grâce à la rotation du levier 238 dans le sens de la flèche g.
Enfin, au cours de son déplacement dans le sens de la flèche g, le levier 238 écarte la lame de contact h de la lame b2 en coupant le circuit d'alimentation du moteur 223. Par conséquent, le basculement du doigt 215 détermine bien le débrayage de l'entraî nement du cylindre imprimeur et du tam bour, le verrouillage du cylindre imprimeur en position d'impression et la coupure du cir cuit d'alimentation du moteur du dispositif sélecteur.
La machine à reports est alors prête a. effectuer son travail. <I>Remise à zéro</I> automatique. L'opérateur appuie sur la touche 4 du dispositif tabulateur de la machine à reports, puis il enfonce le bouton de démarrage de cette machine qui se met alors à imprimer sur la feuille de papier les lignes 21 , \32 , 23 et 24 .
Dès que le cylindre imprimeur 2 descend pour l'impression de la première ligne 21 qui a été sélectée par le dispositif sélecteur, la came 252 (fig. 29), calée sur l'arbre géné ral 9 de la machine à reports, assure le retour de la crémaillère à sa position initiale par la commande flexible 257. Les touches 2 des dizaines et 1 des unités, maintenues enfon cées jusqu'à ce moment, remontent sous l'action de leurs ressorts de rappel 282, grâce au retrait des verrous 278 qui sont tirés en arrière par la barre 275 dont le déplacement est assuré, en fonction du mouvement de recul de la crémaillère, par l'intermédiaire du levier 262, du bras 270 et du levier 272.
Si l'opérateur s'est trompé et a appuyé sur la touche 8 des unités au lieu d'enfon cer la touche 1 des unités et s'il s'en est aperçu avant de faire démarrer la machine à reports qui imprimerait quatre lignes succes sives à partir de la ligne 28 , il peut corri ger son erreur à la main en remettant le dis positif sélecteur à zéro. A cet effet, il tire simplement le levier 267 vers la droite de la fig. 24 en surmontant l'action du ressort asso cié à ce levier. Il agit ainsi à la fois sur la cré maillère 206 et sur le levier 262 par l'inter médiaire de la coulisse 265 qui coopère avec l'axe 264 du levier 262. Il est bien entendu que l'on pourrait apporter au dispositif sélecteur divers chan gements, perfectionnements ou additions sans altérer pour cela l'économie générale de l'in vention.
En particulier, on pourrait commander le déplacement de la crémaillère 206 d'une ma nière électromécanique à l'aide de relais. D'autre part, le nombre des épaulements 205 de la crémaillère peut varier en fonction du nombre de dizaines que comporte le nombre total de lignes du texte à reproduire. Une butée mobile réglable peut arrêter la crémail lère à une distance variable correspondant à la dernière ligne de textes divers de longueurs différentes.
On pourrait aussi remplacer la crémail lère par un tambour analogue au tambour 217; les goujons qui seraient portés par un tel tambour coopéreraient avec un organe de repérage de la hauteur des lignes du texte à reproduire, organe dont la translation serait commandée par la rotation du cylindre impri meur sous la commande du moteur du dispo sitif sélecteur. La commande du dispositif sélecteur peut être assurée par le moteur de la machine à reports par l'intermédiaire d'un embrayage électromagnétique.
On pourrait encore prévoir de nombreuses variantes, pourvu que dans chacune d'elles soit toujours réalisée la matérialisation, dans l'espace et le temps, de la ligne à sélecter, par l'intermédiaire de deux organes entraînés l'un sous l'action de l'enfoncement d'une touche correspondant à la ligne choisie, l'autre par la rotation du cylindre imprimeur d'une ma nière telle que, lors de la rencontre de ces organes, la ligne à sélecter se trouve à la po sition d'impression. Dispositif pointeur de lignes.
Ce dispositif est constitué, d'une part, par l'organe pointeur proprement dit visible sur la fig. 37 et, d'autre part, par une bande de contrôle amovible L visible sur les fig. 36 et 37,40et42. Comme on le voit sur la fig. 37, l'organe pointeur est constitué par un cylindre 301 sur lequel sont montés, répartis en hélice, à sa surface, des goujons porte-caractères 302. Le cylindre pointeur 301 est rendu solidaire, par l'intermédiaire de son axe 303, d'un pignon 30.1. Une transmission par ehaîne 305 relie le pignon 30-1 à un pignon 306 solidaire d'un axe 307 portant un bouton moleté de com mande 308.
Le pignon 306 est. pourvu d'un téton 309 qui vient s'engager dans des orifices <B>310</B> pratiqués sur un barillet 311 fixé au bâti 312. L'axe 307 coulisse librement dans le ba rillet 317 et est constamment rappelé dans le sens de la flèche f par un ressort à boudin 313 qui prend appui, d'une part, sur le bâti 312 et, d'autre part, contre une vis à embase 314.
A la. chaîne 305 est. fixé un index de re pérage<B>315</B> qui se déplace devant une gradua tion 316 comportant autant de divisions que de goujons porte-caractères, une division sup plémentaire R étant toutefois prévue pour amener, devant la position d'impression, la partie non garnie de caractères du cylindre pointeur 301, division dont on expliquera la raison d'être ci-après.
Afin d'empêcher une usure trop grande de l'#il des caractères (par écrasement), le cylindre 301 qui les porte peut suivre le mouvement de descente du cylindre d'impres sion 2. A cet effet, le cylindre 301 est monté dans un étrier 317 susceptible de tourner autour d'un axe fixe 318; ledit étrier est rap pelé en position convenable par un ressort en hélice 319 accroché, d'une part, à une entre toise 320 de la machine et, d'autre part, à un téton 321 prévu sur une branche 322, en forme de double coude, de l'étrier. La course de remontée de l'étrier 317 est limitée par un doigt 323, solidaire du bâti de la machine et contre lequel vient buter la branche 322.
Le fonctionnement du dispositif pointeur est le suivant On place d'abord, en position convenable, le cliché K du journal-comptable et la bande de contrôle vierge L sur le cylindre d'impres sion 2 de la machine (fig. 36), après avoir fixé le journal-comptable M, qui est le dupli cata du cliché, sur le tableau N situé à droite de la machine.
Soit, par exemple, à extraire du journal- comptable M, la ligne 6 correspondant à l'établissement d'une pièce comptable déter minée 0. On convient arbitrairement de dé signer par une lettre, par exemple par la let tre A, les lignes afférentes au compte prix de revient , puis, on amène, à l'aide du bou ton moleté 308, l'index 315 en regard de la lettre A sur la graduation 316, ce qui a pour effet de placer le caractère A, porté par l'un des goujons porte-caractères, en position d'im pression (fig. 38).
On appuie sur la touche 6 du dispositif sélecteur S de la machine à reports et on fait fonctionner cette machine en enfonçant son bouton de démarrage dès que le sélecteur a mis automatiquement la ligne 6 du cliché en position d'impression.
L'abaissement du cylindre d'impression 2 détermine à la fois l'impression de la ligne 6 du cliché K sur la pièce comptable 0 et l'impression de la lettre A sur la bande de contrôle L en regard du chiffre 6 de cette bande. On recommence la même opération pour la ligne 9 , également afférente au compte prix de revient (REV), sans chan ger de place l'index 315 et en appuyant sur la touche 9 du sélecteur S avant de faire démarrer la machine à reports. Une nouvelle lettre A est imprimée en face du chiffre 9 sur la bande de contrôle L en même temps que la ligne 9 du cliché et, par suite, du journal-comptable, est reproduite sur la pièce comptable 0 sous la ligne 6 précédemment extraite du cliché.
Si l'on veut, maintenant, extraire du jour nal M les lignes concernant le compte divers (indiqué DIV sur le journal-comptable), c'est-à-dire les lignes 2 , 3 et 4 , lignes que l'on imprimera sur une autre pièce comp table, on choisit arbitrairement une autre lettre, C par exemple, pour les désigner. On amène l'index 315 en regard de la. lettre C de la graduation 316; automatiquement, le goujon portant le caractère C vient en position d'impression. L'opérateur enfonce ensuite la touche 2 du sélecteur S de la.
machine à reports et la touche 3 du tabulateur<I>Ta</I> de cette même machine. La ligne 2 du cliché K est amenée, par le sé lecteur, dans la position d'impression. Dès que l'opérateur appuie sur le bouton de démar rage de la machine à reports, cette machine imprime successivement et à la suite les lignes 2 , 3 et 4 du cliché en même temps que la lettre C sur la bande de contrôle en regard des chiffres 2 , 3 et 4 portés par cette dernière.
En fin de travail, pour vérifier s'il n'y a pas eu d'omissions, on superpose sur le ta bleau N la bande de contrôle au journal comptable en amenant en regard les uns des autres les chiffres portés respectivement par le journal et par la bande de contrôle.
Si, en regard d'une ligne concernant, par exemple, un des comptes que l'on vient de relever, ne figure pas la lettre servant à iden tifier le compte en question, on peut être cer tain que cette ligne a été omise par l'opéra- teur. C'est ce qui s'est passé pour la ligne 1 du compte prix de revient .
Comme on peut le voir sur les fig. 38 et 39, une certaine partie du cylindre pointeur 301 ne porte pas de caractères, ceci dans le cas où l'on veut, par exemple, reproduire le cliché en entier. On amène alors le repère 315 en regard de la division R de la graduation 316, ce qui place devant la position d'impres sion la partie du cylindre pointeur 301 non garnie de caractères. 8i l'on ne prend pas cette précaution, on risque de détériorer la bande de contrôle et le ruban encré qui co opère avec le cylindre pointeur.
Le mouvement de déplacement du ruban encré précité doit changer de sens dès qu'une bobine est presque complètement déroulée.
Comme on le voit sur les fig. 38 et 39, un dispositif inverseur électromécanique com porte un chariot 324 animé d'un mouvement de va-et-vient grâce à une fourchette 325 dans laquelle tourne une came 326 fixée sur l'arbre de commande générale 9 de la ma chine à reports. Le chariot 324 est guidé dans ce mouvement alternatif rectiligne par deux boutonnières 327 et 327' glissant sur deux tétons 328 et 328' solidaires d'une platine 329. Le chariot 324 porte un fléau 330 susceptible d'osciller autour de l'axe 331 solidaire du chariot 324.
Les extrémités 332 et 332' de ce fléau sont taillées en biseau et forment cli- quets de commande des roues à rochet 333 et 333' solidaires des axes porte-bobines 334 et 334' sur lesquels s'enroule et se déroule alter nativement le ruban encré 335. On réalise ainsi le déplacement du ruban, après chaque impression, en synchronisme avec la rotation saccadée du cylindre imprimeur.
Lorsque le ruban encré 335, qui s'enroule, par exemple, sur l'axe 334, atteint un certain diamètre, il vient commander, par l'intermé diaire d'un galet 336, sur lequel il appuie, la fermeture d'un contact. L'une des lames 337 de ce contact est portée par l'extrémité d'un levier 338 articulé en 339 formant point fixe. Ce levier est maintenu appuvé contre la bo bine par un ressort 340. L'autre lame 341 du contact est solidaire du fléau 330. La venue au contact des lames 337 et 341 détermine l'excitation de l'électro-aimant 342 qui attire son plongeur 343, qui occupait auparavant la position représentée sur la fig. 39.
Le plongeur 343, lors de son déplacement, entraîne, par le moyen d'une boutonnière 344 prévue en son milieu, un téton 345 solidaire d'une des extrémités d'un levier 346 pivotant en 347. Le levier 346, qui occupait précédem ment la position représentée sur la fig. 39 porte à son autre extrémité un galet 348 qui, passant de la position représentée sur la fig. 39 pour venir occuper la position de la fig. 38, fait basculer le fléau 330; la roue à rochet 333 est libérée et le bec 332' du fléau 330 vient en prise avec la roue à rochet 333', ce qui a pour effet d'inverser le sens de dé placement du ruban 335.
Le levier 346 est. immobilisé dans l'une ou l'autre de ses positions de basculement grâce à. 11n ressort en hélice 3-19 toujours tendu ; ce ressort. est, en effet, accroché, d'une part, à l'axe du galet 348 et, d'autre part, à l'une des extrémités 350 d'un levier 351 articulé en 352 et portant une fourchette 353 entre les branches de laquelle se déplace le téton 345. Dans une autre forme d'exécution, les ca ractères amovibles du cylindre pointeur pour raient être remplacés par ceux d'un cliché. D'autre part, le dispositif inverseur du sens de déplacement du ruban encré pourrait être uniquement mécanique comme, par exemple, le dispositif utilisé sur les machines à écrire.
Dispositif <I>de</I> sécurité interdisant une sélection <I>manuelle.</I>
En se reportant à. la fig. 43, on voit qu'en position normale, c'est-à-dire lorsque le levier de débrayage 152 occupe la. position horizon tale qui correspond à. l'embrayage du cylin dre d'impression 2, un volet 401 à section en L est maintenu en position haute, contre l'action de son ressort 402, par un épaulement 403 ménagé sur un verrou 404 articulé en 105 sur le bâti, épaulement contre lequel re pose le bord inférieur dudit volet. Dans cette position, le prolongement 406 du volet 401 dégage une fenêtre 407 découpée dans un cache 408 fixé au bâti.
Ce cache, dont on n'a représenté qu'un fragment sur le des sin annexé, recouvre complètement la bande de contrôle L fixée au cylindre 2, de telle sorte que l'observateur voie seulement, à tra vers la fenêtre 407, le nombre qui est le numéro de la ligne destinée à occuper la posi tion d'impression lorsque le cylindre 2, en- tramé par ses chariots 3, sera descendu sur la feuille de report.
Sur les fig. 43 et 46, c'est la dixième ligne du cliché à partir du haut que l'observateur repère à travers la fenêtre 407; cette ligne est en position d'impression. Lorsque l'opérateur, pour une raison ou pour une autre, par exem ple pour réparer le cliché, désire faire tour ner à la main le cylindre d'impression 2, il le débraye en abaissant la tête du levier 152, comme on le voit sur la fig. 44.
La ro tation du levier 152 dans le sens de la flèche autour de son axe 153 détermine, par l'inter médiaire d'une bielle 159 articulée à l'autre extrémité du levier 152 et pourvue d'une lu mière coopérant avec le téton 169 d'une biel- lette 167 articulée sur le bâti en 168, le dé gagement du bec du cliquet de débrayage 244 hors de la denture de la roue à rochet 68 so lidaire du cylindre d'impression. La rotation du cliquet 244 est assurée, comme on le voit sur la fig. 44, par l'action du levier 167 contre l'effet du ressort 246.
En même temps que ce débrayage se pro duit, le téton 154 du levier 152 quitte l'en coche 155 médiane, pratiquée sur le levier coudé 156, pour venir se placer dans l'encoche 155 supérieure. Au moment où ce téton 154 se trouve à cheval sur la dent qui sépare les encoches supérieure et médiane, le levier 156 est contraint de tourner légèrement dans le sens de la flèche autour de son axe 157. Cette rotation, effectuée contre l'action du ressort 158, détermine un déplacement vers la droite de la. tête de ce levier qui heurte l'extrémité inférieure du verrou 404 et déverrouille ainsi le volet 401.
Ce dernier, sollicité par son res- sort 402, quitte sa position haute représentée sur la fig. 43 pour occuper sa position basse visible sur la fig. 44; il est guidé par les axes de deux vis 409 fixées au bâti et passant à travers une fente 410 pratiquée sur sa face latérale. Le prolongement 406 du volet vient alors occulter la fenêtre 407 en masquant la gra duation de la bande de contrôle L. L'opéra teur n'a donc pas la possibilité, après avoir débrayé le cylindre d'impression, de sélecter une ligne déterminée en faisant tourner à la main ce cylindre, puisque la graduation re pérant les numéros des diverses lignes n'est pas visible.
Après avoir effectué le travail désiré, l'opérateur embraye le cylindre d'impression en remettant le levier 152 à la position hori zontale et il est obligé, pour commencer son travail, de sélecter une ligne en se servant du dispositif sélecteur.
Dès que 1a machine à reports fonctionne, c'est-à-dire dès que la sélection a été faite et qu'une touche déterminée du dispositif tabu lateur est revenue à sa position initiale après avoir été enfoncée, le cylindre d'impression \? descend et, au cours de ce mouvement, le doigt 411 solidaire d'un des chariots 3 sup portant le cylindre heurte, comme cela est représenté sur la fig. 45, l'extrémité repliée 412 d'une bielle 413 articulée en 414 sur un levier 415 pivotant autour d'in axe 416 fixé au bâti.
Le bec 417 du levier 415 est au con tact d'une butée 418 formée, par exemple, par la tête d'une vis fixée à la face latérale du volet 401. On comprend dès lors que la. descente du cylindre d'impression détermine, par le jeu des leviers 413 et 415, la remon tée du volet 401 contre l'action de son ressort 402 et le verrouillage du volet en position haute par le verrou 404 dont l'épaulement 403 vient se placer sous le bord inférieur du volet 401 par une simple rotation dudit ver rou autour de son axé 405 sous le seul effet de son poids.
La graduation de la bande de contrôle L est alors de nouveau visible pour l'opérateur à travers la fenêtre 407 dès que le cylindre d'impression, après avoir imprimé la ligne à sélecter, est revenu en position haute.
Sur la fig. 48, on a supposé que l'opéra teur a sélecté la ligne 58 qu'il voit appa raître à travers la fenêtre 407 dès que le cy lindre d'impression est remonté.
Electrically controlled machine for carrying out transfers. () n already knows duplicating devices making it possible to print a text line by line, in which the printing plate cylinder or printing cylinder, normally free from contact with the sheet which is to receive the printing, is brought to bear on this to print the line located along the generator of tangency, after which this cylinder is raised, and it has been provided, when it comes to printing successively several lines which follow one another, to rotate mechanically the cylinder with a line space each time it is raised after printing a line.
Duplicating devices are also known which make it possible to print, line by line, several consecutive lines, in which the printing cylinder, fixed in the direction of the height, is rotated by hand, the operator setting in motion. taking a backpressure roller during the passage time of the lines considered or releasing this roller until the first line has reached the printing generator, letting it come back into engagement at this time and releasing it again after the passage of said lines.
The present invention relates to an electrically controlled machine for carrying out transfers using a printing cylinder mounted on a carriage capable of taking a vertical movement to apply the cylinder to a key sheet of paper, this cylinder being able to take a vertical movement. still undergo a rotational movement for the passage from one line to another, characterized by a reciprocating movement member advancing in jerks and comprising a rack, cams mounted on a main shaft of the machine and controlling the same time the movement of the rack and the rotation of the cylinder thanks to a finger acting on a toothed wheel which is integral with the cylinder,
a series of keys controlling levers which release the rack and give it a displacement proportional to the number of lines to be printed, this number of lines being determined by the key pressed, a cam mounted on the main shaft and periodically causing the lowering of the carriage, a latch disposed transversely to the vertical stroke of the carriage and capable of maintaining the cylinder in contact with the sheet of paper during the pressure of several consecutive lines, a control lever cooperating with the create mesh and.
moving the lock to release the carriage when the rack reaches its rest position, and a second lever actuated by the aforementioned lever and opening the supply circuit of the machine control motor when the rack reaches its rest position.
The accompanying drawing illustrates, at. as examples, some embodiments of the machine forming the subject of the invention.
Fig. 1 is an overall sectional view, taken along a plane parallel to the longitudinal median plane, of a first embodiment.
Fig. 2 shows separately, in elevation, the rack device for adjusting the number of lines to be printed successively.
Fig. 3 is a corresponding plan view.
Fig. 4 is a side view.
Fig. 5 is a view similar to FIG. 2, showing the components after actuation of the key visible in FIG. 4.
Fig. 6 is a side view similar to FIG. 4, showing the components after actuation of the aforementioned key.
Fig. 7 is a detail showing the release of the lère rack retaining pawl.
Fig. 8 is a view taken looking at the machine in the direction opposite to that of FIG. 1, which schematically shows the main contact controlled by the rack and the motor on the circuit of which it is included.
Fig. 9 is a detail view, on a larger scale than that of FIG. 1, of the snap-fastening controlling the jerky movement of the printing cylinder.
Figs. 10 and 11 show the start and end of this snap-fit on the printing cylinder when the latter is in the high position.
Fig. 12 is a view showing the action of the same snap on this cylinder when the latter is locked in the low position for the successive printing of several lines following one another without interruption.
Fig. 13 relates to a variant and is a view transverse to the axis of the cliché cylinder showing the keyboard of the tabulator device in longitudinal elevation with the associated parts, which keyboard in this variant comprises ten ordinary keys and a special key .
Fig. 14 is a partial plan view at A-A of FIG. 13, showing the locking device of the special key.
Fig. 15 is an exterior plan view of the keyboard. Fig. 16 is a partial elevation view corresponding to FIG. 15 and showing the control of the slide responsible for returning the rack to its rest position.
Fig. 17 is a schematic longitudinal elevation view showing the locking of the printing cylinder in its lowered or printing position by lowering the special key.
Fig. 18 is a transverse elevational view corresponding to FIG. 17, that is to say with the special key lowered, illustrating the role of the latter in combination with the last key of the keyboard as regards the displacement of the rack prior to printing.
Fig. 19 is a dirty cross-sectional view of another variant, taken by looking at the left flange of the machine, seen showing a feed device (printing cylinder removed), the members being in the rest position.
Fig. 20 is a perspective diagram showing, in another variant, the control of the establishment of the circuit of the electric motor of the machine by the sole raising of the key which was previously pressed.
Fig. 20a is a rear view of the main contact adapted to the control shown in FIG. 20.
Figs. 21 and 22 are schematic end views showing the iur working and switching off positions, respectively. interlining mechanism included in some embodiments of the machine.
Fig. 23 is a partial united face of the interlining mechanism and of its disengagement member.
Fig. 24 is a schematic plan view of an embodiment comprising a selector device, a view showing in particular the connection of this device with the printing cylinder.
Figs. 25 and 26 are side views with partial section, along X-X of fig. 24, of the device automatically ensuring the locking of the printing cylinder when a tilting finger is lowered by a stud of the drum of the selector device.
Fig. 27 is a schematic perspective view showing the overall organization of the selector device.
Fig. 28 is a view on a larger scale of a detail of FIG. 27 for the purpose of showing the organization of the eclipsable pawl cooperating with the teeth of a rack of the selector device.
Fig. 29 is a perspective view which shows an automatic reset device of the aforementioned rack under the control of the engine of the machine.
Fig. 30 shows a key of the keypad of the selector device with its movable lock controlled by the reset device.
Fig. 31 is a detailed perspective view showing the control of the movable locks of the selector device.
Figs. 32 and 33 show the same key respectively being pressed and pressed, for the purpose of making visible the particular mechanism which keeps said key pressed until the crankset returns to its initial position.
Figs. 34 and 35 are schematic plan views showing the position of the crankcase and movable stops when the operator presses the 2 tens key and the 1 selector device key 1.
Fig. 36 is a schematic perspective overall view showing an embodiment comprising a selector device and a pointer device.
Fig. 37 is a schematic perspective view showing the control of the pointer device as well as its assembly, the printing cylinder and a control strip being in the high position, that is to say before the printing operation.
Figs. 38 and 39 are diagrams showing an electromechanical reversing device respectively in its two reversing positions, the printing cylinder being shown in the high position in FIG. 38 and in the low position in FIG. 39.
Fig. 40 is a view of a blank control strip.
Fig. 41 represents the development of the pointer cylinder, the purpose of which is to bring out the shift in characters.
Fig. 42 shows an upper part of the newspaper table provided with a newspaper. accountant and a control band.
Fig. 43 is a schematic perspective view of a variant having, in addition, a visual inspection device in the normal working position, a flap intended to hide the graduation of the inspection strip being raised.
Fig. 44 is an elevation showing the initiation of the drop of the shutter at the time of manual disengagement of the printing cylinder.
Fig. 45 is an elevation showing the lifting of the shutter during the descent of the impression cylinder.
Figs. 46, 47 and 48 are exterior views, on a larger scale, of a portion of the printing cylinder in the vicinity of the window made in the covering cover. the control strips, views taken respectively in fig. 43, 44 and 45.
In fig. 1, 1 designates the shaft of the printer cylinder 2, mounted at each end in a carriage 3, normally held by springs 4 in a high position, out of contact with the sheet to be printed. Each of the carriages 3 can move vertically, downwards, to bring the cylinder into contact. of the sheet to be printed, under the action of a lever 5 articulated with it. This lever, oscillating at 6, is controlled by a roller 7 carried by a turntable 8. with, a general control shaft 9 of the. machine.
Tree 9 is. connected, by a gear reduction, to the shaft 10 of an electric motor II (FIG. 8).
The circuit of this motor comprises a contact comprising a fixed terminal 12 and a movable terminal constituted by a conductor arm 13 isolated on its pivot axis 14.
The arm 13 is pulled in the direction of closing the contact by a spring 15. It is connected, on the other hand, by a link 16, to another arm 17 wedged on an intermediate shaft 18, parallel to the shaft. general control. The arm 17 is connected, by a spring 19, to a lever with two arms 20 mounted loosely on the general control shaft 9. Tabulator device At rest, the end face 21a of an organ for adjusting the number of printing lines, constituted by a rack 21, pressing on a finger 22 of the lever 20, maintains this lever in a position such that the contact 12-13 is open, the action exerted in this position by the spring 19 on the arm 17 and, consequently, on the arm 13, being greater than that exerted in the opposite direction by the spring 15.
Thus, in its rest position, the mesh 21 locks the operation of the machine by keeping the contact 12-13 open.
The rack 21, guided horizontally on screws 23 (FIG. 2), is subjected at rest to the action of a spring 24, tending to pull it to the right of FIGS. 1 and 2, but it is held in this position by a retaining pawl 25, spring 26, engaged in the teeth 21b of said rack.
Beyond the rest position of the right end face 21c of said 1st rack, therefore opposite to that 21a already mentioned, are staggered cleats 27 (fig. 2 and 3) which can slide vertically in notches of a fixed horizontal strip 28 and maintained normally in this rebate, out of the path of the face 21c therefore, each by two small spells 29 (fig. 2 and 4).
These cleats are equidistant from each other and the distance between the face 21c at rest and the first of them is equal to the current spacing between the others, itself equal to the spacing of two teeth of the. rack.
Each of the cleats can be lifted in isolation by a small piston 30 (fig. 2 and 4), guided vertically in a support 31 and in the strip 28.
The lower end of each piston 30 is in contact with a lever 32 pivoting at 33 on a horizontal mid axis and articulated at 34 with the rod 35, guided vertically, with a key 36. There are, for example, nine keys 36 and, therefore, nine cleat, piston, lever and rod mechanisms, and these keys each correspond to a number of lines equal to their serial number from left to right, i.e. 1, 2, 3, 4 , 5, 6, 7, 8 and 9.
Under the set of levers 32 runs a horizontal bar 37, mounted between two arms 38 capable of pivoting about an axis 39. One of the arms 38 is provided with an extension 38a. which comes below the flange 40a of a slide 40 guided against a plate 41 which supports the retaining pawl 25 and the screws 23 for guiding and supporting the rack. This slide, by rising against the plate 41, can meet a finger 42 of said pawl 25 and release it from the rack.
To facilitate this release, there is provided a lever 43 (fig. 2 to 7) pivoting at 44, the end of which comes above the rim 40a of the slide 40, so as to be lifted by the arm 38- 38a, at the same time as this slide.
The other end of this lever carries a finger 45 which is arranged to, in this movement, cause the two-arm lever 20 to oscillate in a direction such that the finger 22 leaves the face 21a of the rack to thus relieve the pawl 25 of the pressure of the teeth resulting in the rest of the tension of the spring 19; things being established naturally so that this relief occurs before the lifting of the finger 42 by the slider 40.
This being the case, we see that if, for example, we press the key N 9 (fig. 3 and 5), the corresponding lever 32 lowers the bar 37 and at the same time raises the piston 30 and the corresponding latch 27. The bar 37 causes, by the arm 38-38a, the release of the retaining pawl 2 5 and the rack 21, yielding to the action of the spring 24, is pulled sharply to the right and comes up against the latch. 27 (fig. 5 and 6). When the key is released, the pawl 25 first re-engages in the rack which is thus immobilized, and the latch 27 then retracts into the ruler 28 under the action of its springs 29 and raises the key.
From what has been said concerning the spacing of the tabs and the arrangement of the keys, it can be seen that the actuation of any one of them causes a displacement of the rack, from its rest position, proportional to the number of lines corresponding to said key and marked on it. There is provided an index 46 (fig. 2 and 3), fixed to the right end of the rack and moving on a small graduated plate 47, so that once the button is raised, the position of the index recalls the number of the key that was pressed.
We have seen that as soon as the key has been released, the pawl 25 is re-engaged in the toothing of the rack, the bar 37 being raised and the slide 40 lowered. The finger 45 of the lever 43 has therefore left the lever 20, the finger 22 of which no longer abuts, on the other hand, on the face 21a of the rack. Consequently, the action of the spring 15 (fig. 8) becomes preponderant and this spring closes the contact 12-13. The machine can then be started by means of another hand contact 48 (fig. 8).
Returning to fig. 1, we see that on the intermediate shaft 18 is wedged a finger 50 which, when the rack is in the rest position, maintains, by its action on a lug 51, an automatic lock 52, spring 53, out of the vertical path of the carriage 3. A similar device exists on each side of the machine, for each carriage.
When, after the actuation of a key, the rack leaves its rest position and the contact 12-13 closes as has been said, the finger 50, oscillating at the same time as the arm 17 clamped like it on shaft 18, lets latch 52 yield to the action of its spring and position itself on the path of carriage 3.
Once the machine is started, the roller 7 lowers the lever 5 and, consequently, the carriage 3 (located on the right side of the machine) which pushes, by its edge or heel 3a, the inclined side 52a of the lock 52 and snap under it (fig. 12). Things are set so that when the carriage is in its lowest position - when the printing cylinder is printing on the printed sheet - the stub 3a is a few tenths of a millimeter below the latch 52 with a goal which will appear later.
Once the roller 7 has passed its lowest position and thus causes the first line to be printed, a cam 54 carrying a finger 55 (fig. 1 and 2) drives to the left a lift 56u of a horizontal slide. 5 6 guided on screws <B> 57. </B> This slide carries a pawl 58, pulled by a spring 59, and provided with a finger 60 which, then sliding on a ramp 61 (fi. <B> 7), </B> takes a tooth of the rack and moves it to the left of fig. 1 and 2 by an amount equal to the interval between two teeth. When the finger 55 releases the notch 56a., The slide returns back under the action of a return spring 56b, and thus, alternately, on each revolution.
In the hypothesis, made above, where the key N 9 has been pressed, the rack, displaced by nine teeth, therefore returns to its rest position, by one tooth for each revolution of the control shaft. general. line spacing mechanism. Also once per revolution, a finger 62, carried by the plate 8 (FIG. 1), is lifted against the action of a spring. return 63c, a lever 63 and, through the latter, a set of two pawls 641-64 (FIGS. 9 to 12).
In this movement and under the effect of the reaction of a spring 65, a finger. 66, carried by this team, slides on a ramp 6 7 and the lower pawl 642 (see fi, -. 12) takes a tooth of a ratchet wheel 68, secured to the printing cylinder - which is locked in its low position, as has been explained, by the automatic lock 52 - and rotates this cylinder by one line, so that, like said cylinder, in this lower position, is in contact with the sheet of paper to be printed f pressed on an elastic roller r, it can drive it forward, each time from an interline, to prepare the printing of the next line.
Thus, therefore, correlatively, each time a line is printed, the general drive shaft advances the rack one tooth in the return path and turns the printing cylinder one line.
Assuming that button 9 is actuated, when the cylinder has printed nine lines, the rack will have moved nine teeth in the direction of return. When the rack performs its last advance of one tooth after printing the ninth line, and from the start of this advance, its face 21a will begin to act on finger 22.
Things are established so that this action on the finger 22 and, consequently, on the shaft 18 and the control arm 50 of the latch 52, succeeds the passage of the roller 7 vertically, whereby the flange 3a of the carriage is lowered a few tenths of a millimeter below said lock, so that when the lock is pushed back to the left in FIG. 12, it will no longer be subjected to the lifting action of said rim which would result from that of the springs 4, and will thus be able to slide easily on its guide pins 69.
As soon as the lock has released the edge 3a (fig. 10), the carriage 3 and the printing cylinder will go up and the finger 62 of the plate 8 will raise the catch 641-64. At the end of this movement, the upper pawl 641 will rotate, by a ninth space, the ratchet wheel 68 (FIG. 11).
During this time, the lock will have finished its course bringing it completely out of the trajectory of the carriage 3 and, consequently, the contact lever 13, which turns at the same time as the arms 17 and 50, will have finished its course breaking. contact 12-13, and the machine will stop, a brake device being of course provided to stop the engine as soon as said contact is broken. When there is only one line to print, that is to say when, prior to starting the machine, key N 1 is pressed, the rack then moves back only by the tooth.
After the key printing of this single line, the cam 54 will cause the return of this rack to its rest position, which will determine, as previously described, the withdrawal of the latch 52, the raising of the cylinder and its rotation. 'a line space under the action of the upper pawl 641 and the opening of the motor circuit. In this case, therefore, the cylinder does not stop in its lowered position and rises immediately after printing the line under consideration. <I> correction device. </I> It will be understood that, when one of the keys 36 for adjusting the number of lines to be printed is actuated, an error may sometimes be made.
If a lower key has been pressed, i.e. N 6 instead of N 8, it is easy to repair the error by simply lowering immediately after key N 8.
To make it possible to correct a greater error, that is to say the lowering of a key with a number greater than that of the appropriate key, a device has been provided which allows the return to be controlled by hand tooth by tooth. , of the rack, towards its resting position. Referring to fig. 2, where this device is shown, it can be seen that by pressing a key 70 it is lowered against the action of a spring. return 71, -a tab 72 which swings a lever 73, wedged on a pin 74. This pin drives a crank pin 75 which, by a link 76, moves the horizontal slide 56 and thus moves the rack forward by one tooth back to its original position.
It is therefore sufficient to actuate the key 70 as many times as the number of teeth showing the error in excess, to correct this error. Special touch.
In a variant shown in FIGS. 13 to 18, following the last key of the ordinary key, that is to say key N 10 in the present example, a special key 100 is placed, of which the rod 101, suitably guided, carries a bar 102 which, at rest, is located above a shoulder 103 formed by the rod 35 of the aforementioned key N 10, so that the depression of this special key also causes the pressing of the key N 10 .
The rod 101 also carries a conical ring 104 against the lateral surface of which, in the high position of the key 100, is applied by the action of a spring 105 (fig. 14), a horizontal lever 106 pivoting on an axis fixed 107 supported in any suitable manner by the table t of the keyboard, so that when said key 100 is pressed, against the action of a return spring 108, the lever 106 automatically engages above of the ring 104. The key 100 is thus locked in its depressed position and the key N 10 which has followed it in its movement is likewise locked (position of FIGS. 17 and 18).
Returning to fig. 13 and 14, it can be seen that the lever 106 extends beyond its articulation axis 107 and has a lift 106a, intended to be deflected in the direction of the arrow in FIG. 14, by a cam or a boss formed by a single screw 109, carried by the plate cylinder 2, so that the lever 106, oscillating under this effect, unlocks the special key 100.
The height position of the lift 106a is such that this meeting of the boss 109 and the lift 106a occurs when the cylinder 2 rotates while it is locked in its low printing position (dashed line 21, fig. 13) by a device which will be described later. On the other hand, the boss 109 is wedged on the cylinder 2, with respect to its generator corresponding to the first line of the cliché, so that the moment of this meeting is located immediately before the printing (the line which corresponds to the last key of the ordinary keyboard, ie, in the present example, before printing the tenth line of the image counted from the end.
The operation of the variant which has just been described will be given after the description, which follows, of another characteristic of this variant.
The rod 101 of the special key 100 is articulated at 110 with a V-shaped lever, 111,, pivots both at 112 and in turn articulated with a rod 113 for controlling a cam 114 rotating on an axis 115. As long as the special key 100 is in its high position, this cam maintains a caliper 116, articulated at 117, in a position, shown in fig. 13, where a notch 116a of this bracket is engaged with a tongue 52a of the lock 52, so that the latter, even if the rack 21 leaves its rest position, cannot come to be placed on the path of the carriage 3 .
It follows that the locking of the cha riot 3 in its low position occurs only, in this variant, in the case where the. machine must print the entire image.
This being the case, the operation is as follows: When you want to print the entire image, you press the special key 100. This, as we have already seen, causes the last key to be pressed, N 10, of the ordinary keyboard, which moves the rack to the right of FIG. 13, by an amount normally corresponding to the printing of ten lines (in the present example).
'But as the key N 10 remains rusty with the special key (position of fig. 17 and 18), the pawl 25 remains raised by the slide 40, so that, at each reciprocating stroke of the slide 56, the rack is also moved alternately and does not advance positively on its return path to rest.
Assuming that, for example, the cliché contains 64 files, the machine will print, under these conditions, the first 54 lines. But, key]. 'Depression of the key 100, the cam 114 has rotated around its axis and released the notch 116a of the caliper 116 from the tongue 52a of the latch 52. The latter has therefore been released. moved to the right to come to rust the carriage 3 as soon as the cylinder dre is lowered for printing the first line (fig. 17) and its tongue 52a is then engaged under the notch 116a (see fig. 17).
The printing in progress therefore takes place without the cylinder going up after each line, which limits the fatigue of the components and allows the cylinder to drive itself, by friction, the sheet of paper f, supported on the roller of back pressure r.
When the printing of the 54th line is a done deal, the boss 109 of the cliché cylinder meets the lifting 106a of the lever 106, which unlocks the special key 100 and, consequently, the key N 10. Therefore, as one will understand by referring to fig. 18, the bar 37 is relieved of the pressure of the lever 32 and the lever 38a leaves the slide 40 again, so that the pawl 25 retaining the rack is re-engaged therein which, as soon as the 55th line, will advance one tooth on its return path to finally reach its resting position of fig. 13 and stop the machine after printing the 64th line.
It remains to note that, when the key 100 is raised under the action of its output 108, the cam 114 has left the contact of the caliper 116, but the latter remained in the air and the latch continued to hold carriage 3 and cylinder 2 in their down position, so that printing of the last ten lines also occurs without the cylinder moving up after each line. It is therefore only when the rack reaches its rest position that, acting on the finger 22, it will cause the movement of the lever 20 which, by the spring 19 and the lever 50, will bring the latch 52 to the left; the caliper 116, then falling freely, will re-engage its notch 116a with the tongue 52a.
As has been said, when we act on an ordinary keyboard key, the cylinder is not locked in its lower position. The advancement of the sheet of paper f can then be obtained automatically by the feed device which will now be described. Feeding device. Reference is made to fig. 19, on which B designates the left flange of the machine, 118 designates a slide arranged to rest and slide on supports 1.19 and 120, the guidance being provided by screws 121 sliding in grooves of said supports.
The sheet of paper or cardboard, printed, placed on the machine table, not shown, also rests, by one of its longitudinal edges, on a certain width, on the top face 118a of the slide with which flush with said table. The transverse edge of the top of the sheet, or else, depending on the case, the last of the lines already carried on this sheet, is placed under the mark A, drawn on the clamp 122, while the aforementioned longitudinal edge is applied against the vertical face 122b of this clamp and is therefore located under the rim 122a forming the clamping face of said clamp.
The clamp 122 is movable vertically with respect to the slide by means of studs 123, capable of sliding vertically in holes of this slide 118, so that the edge of the sheet to be printed can sometimes be clamped between the faces 122a and 118n of the clamp and slide respectively, sometimes released from this clamping action. The studs 123, in addition to their role of guiding the clamp 122 so that its clamping face 122a remains parallel to that 118a. said slide, ensure the longitudinal connection of these two organs 118 and 122.
Springs 124, acting on top of the. clamp, by means of pushers 125, constantly tend to apply the face 122a to the face 118a. At rest, when the sheet of paper to be printed is engaged in the manner which was indicated above, the face 122a of the clamp is separated from the face 118a of the slide, the clamp being kept raised by a bar lifting point 126, on top of which rest the lower ends of the studs 123. In this position, the bar 126 is itself lifted by a finger 127 of a lever 128, pivoting at 129, on the extension of which a pressure is pressed. cam 130 set on the general control shaft 9.
When, the machine being started, the shaft 9 starts to rotate in the direction of the arrow f1, the cam 130 crosses the boss 128a of the lever 128 and the pressure of the springs 124 lowers the whole system 122-126- 127, the lever 128 oscillating in the direction of the arrow f2. The sheet of paper to be printed is then clamped between the faces 122a and 118a of the clamp and the slide.
During this time, a finger 131, carried by a crown 132 of the shaft 9, continuing its travel in the direction of the arrow f1, meets a boss 133 of a slide 134, guided on screws 135, and the drives to the right of the figure. While moving, this slide makes oscillate, in the direction of the arrow f, by means of a finger 136, a lever 137 pi voting at 138, which is coupled at 139 to the slide 118 by means of a rod 140. The slide assembly 118, clamp 122 and sheet to be printed therefore moves to the right and the mark A comes to point A1, separated from the vertical printing plane V by a line spacing. The sheet of paper is then in position to be printed.
Shortly after the finger 131 has attacked the boss 133, a roller 141, carried by the cam crown 132, causes a lever 143 to oscillate around its axis 142 which is linked, by a sliding link, at 144, to one of the carriages 3 carrying one end of the shaft 1 of the printing cylinder 2; a similar device exists on the other side of the machine at the other end of said shaft. As a result, the carriage 3 descends against the action of its return springs 4 and the printing cylinder coming into contact with the paper, prints a line to the right of the plane V, the gripper-slide assembly having stopped moving once. that it has reached the printing position, due to the fact that the circular flank of the boss 133 is then concentric with the shaft 9.
When there is only one line to be printed, the carriage rises under the action of the springs 4 at the same time as the lever 143 follows the roller 141 and the clamp-slide-sheet of paper assembly returns to its position. starting under the action of the return spring 145 pulling on the lever 137 due to the fact that the finger 131 has released the boss 133. After the cylinder is re-assembled, therefore after the roller 141 has passed the position 1411 and that the The crew 122-118 returned to the starting position, the cam <B> 130, </B> again meeting the lever 128, raised the bar 126 and the clamp 122, and the sheet of paper being thus released can be replaced by another.
As seen in fig. 19, the carriage 3 on the left side of the machine is provided, at its lower part, with a flange 3b which, when this carriage descends, comes, at the full stroke, to be placed above an extension 137b of the lever 137, which oscillated under the action of the slide 13: l.
This arrangement takes on its full importance from the fact that, as shown in particular in FIG. 12, the machine is, moreover, designed to print several lines successively, on the same sheet without the cylinder going up after the printing of each line.
It can be seen (fi-. 12) that when the carriage 3 on the right of the machine, which parallels that of FIG. 19 descends, its rim 3u hooks, at the end of its travel, under an automatic lock 52. A similar lock acts on the carriage 3 of FIG. 19, but has not been shown to avoid overloading the drawing. Throughout the time that the chariots remain thus hooked, the edge 3b of the carriage of FIG. 19 maintains the lever <B> 137b </B> in the position for which the clamp-slide-sheet assembly to be printed is in the printing position.
After printing the first line, as this carriage is locked, the roller 141 leaves the lever 143 and crosses. position 1411 corresponding to the normal ascent of this lever and of the carriage and, consequently, to the normal return of the crew 122-118 to its original position. As before, that is to say as in the operation explained with regard to the printing of a single line, the nose of the cam 130, after a certain rotation of the shaft 9 following the passage of the roller 141 at said position 1411, causes the lifting of the clamp 122.
But during the travel of the roller 141 corresponding to the normal rise of the cylinder dre, which does not take place in the present case, a finger 62 (fig. 12), formed on the plate 8 which, on the right side of the machine, corresponds to the left one shown in fig. 19, raises, by means of a lever 63 pivoting at 63 ', a set of two pawls 641 and 642 and, at the precise instant or, preferably, immediately after the spout 130 of FIG. 19 has raised the clamp 122, the pawl 642 rotates by one tooth, corresponding to a line spacing, a ratchet wheel 68 mounted on the shaft 1 of the printing cylinder, on the side of the right flange of the machine.
As the print sheet has been released by the lifting of the clamp 122, it is driven by the printing cylinder in this rotation and also advances one interline to receive the print of another line. The drive of the sheet of paper by the printing cylinder can be facilitated by providing, directly above the axis of this cylinder, an interruption of the machine table and by placing any flexible support in this place 146 (fig. 19) such as a rubber slider or a roller, so that the sheet is pinched, along the printing line, between this cylinder and this support.
Thus, each time the cylinder advances one line, the sheet will advance in equal measure to receive the impression of a new line. In the machine shown, this impression will occur when the roller 141 returns to the vertical of the shaft 9, the engagement position of the latch 52 being such that at this time the carriages 3 are lowered by a few tenths of a millimeter. We have seen previously that, well before the passage of the roller 141 vertically to the shaft 9 corresponding to the lowering of the carriages, the cam 130 released the lever 128 and left the clamp 122 to tighten the paper again.
It will be <B> de </B> even here, so that after the rotation of the cylinder, during the stop phase, therefore, the jerky movement of the cylinder, and before the printing occurs, the lifting phase of the gripper will end and the sheet of paper will be. thus held securely during printing.
When, after printing the last line, the carriages will be unlocked by the locks 52, they will go up and the spring 145, as in the previous case, will return the slide-clamp-sheet of paper team to its starting position. , after which the sheet will be released again. <I> Automatic </I> control device </I> of the </I> engine <I> of </I> the <I> machine. </I> We have seen that the machine described does not switch on route automatically when re <B> m, </B> ntation of the key previously pressed in the keyboard of the tabulator device.
To start the rotary engine of the machine, the operator must also lower the hand switch 48 (fig. 8). In iIne va riante, the hand contact 48 is eliminated, thus avoiding a waste of time, while facilitating the operation. The machine is then started up automatically by returning to its initial position the key previously pressed in the keyboard of the tabulator device.
Referring to fig. 20 and 20a, it can be seen that, in this variant, each key 36 of the tabulator device and, in particular, the key marked 9 determines, when it is pressed, the opening of a contact 12'-13 'arranged in series with contact 12-13 on the circuit of the electric motor 11 of the transfer machine. The depression of the key 36 causes, in fact, the lowering of the point of articulation 34 of the rod 35 on the lever 32, the pivoting of the lever 32 around the horizontal axis 33, the lowering of the horizontal bar 37 mounted between the two arms 38 capable of pivoting around axis 39,
the release of the movable blade 13 'and the opening of the contact 12'-13'.
On the other hand, simultaneously, the lowering of the bar 37 determines the tilting of an angled lever 147 about its axis 148. The other end of the lever 147, by moving, allows the contact 12-13 to be moved. to close under the action of its spring 15 by the intermediary of rods 149 and 150 wedged on the same shaft 151, of a lever 170 articulated in 171 on a lever 172 itself pivoting in 173, of a caliper 174 articulated on the lever 172 in 175 and guided on a support 176 in the form of a fork (see fig. 20a), by a lever 177 articulated in 178 on the yoke 174 and provided with a finger 179 bearing on the face internal of the movable blade 13 of the main contact.
The direction of movement of the various aforementioned members, shown in solid lines in FIGS. 20 and 20, is given by arrows.
The machine does not start, however, because the electric motor circuit is open at 12'-13 '. It is only when the operator releases the key 36 that the latter, by rising again under the action of its associated spring, allows the bar 37 to follow its upward movement thanks to the descent of the slide. 40 (cooperating with the retaining pawl 25 of the rack 21 of the transfer machine), a slide which exerts its action on the extension 38a of the arm 38 by its rim 40a.
As soon as the key 36 resumed its initial position, the bar 37 came to rest under the blade 13 'and closed the contact 12'-13'. At this moment, as the contact 12-13 has been closed beforehand and remains closed by the action of the spring 15, the circuit of the electric motor 11 (circuit shown in solid lines in fig. 20) is established and the transfer machine comes into operation.
After the nine successive lines corresponding to the depression of the key 9 have been printed on the transfer sheet, the opening of the main contact 12-13 is provided mechanically by the connecting rod 16 of a device similar to that already described. and the machine stops.
The device allowing the opening of the main contact when the rack 21 is brought to its rest position has been shown in FIGS. 20 and 20a, in order to highlight the detail modifications made to the main contact.
In the drawing, the rack is in the rest position and the main contact is open. The finger 22 of the lever 20, with two arms, mounted idle on the main control shaft 9, is pushed back by the face 21a of the mesh 21. The spring 19, coupled to the arm 17 wedged on the intermediate shaft 18 , turns the arm 180 wedged on the same shaft, so that the rod 16 is driven against the action of its spring 181 in the direction of the arrow visible in FIG. 20. The head of the connecting rod 16 is thus brought into the path of a finger 182 of a lever 183 integral with the shaft 9.
As soon as the finger 182, trailing with the shaft 9, strikes the head of the connecting rod 16, the latter tilts around its axis 184 and causes the caliper 174 to pivot around its articulation 175 by means of the rod 185 mounted on the caliper and engaged through the slot 186 made in the rod 1.6. This slight pivoting of the caliper allows the release of a plate 187 (visible in FIG. 20a) which abuts, by its edge, against the support 176, preventing the opening of the main contact.
As soon as the plate 187 mounted on the caliper has passed between the branches of the support 176, a spring i, eç), ', 11able 188 moves the lever 172 in the direction of the arrow shown in FIG. 2011, which determines the opening of contact 12-13 against the antagonistic action of spring 15.
<I> Device for disabling the </I> interlining mechanism.
It is. interesting, in some cases, to repeat several times the same line of a text to be reproduced. In order to perform this operation as well, the interlining mechanism is disabled by an action exerted on the printing cylinder clutch lever.
Referring to fig. 21 and 22, it can be seen that the release lever 152, articulated on the frame at 153, carries a stud 154 capable of engaging with one of three notches 155 made on an angled lever 156 both pivot at 157 and kept applied against the stud 154 by a spring 158. On the end of the release lever, opposite to the operating head, an arm 159 is articulated capable of attacking, on the one hand, the release pawl of the cylinder d printing by a lever 167 (articulated at 168 and carrying a stop 169) and, on the other hand, an angled lever 160 via a pin 161 forming a stop and capable of pressing against the one of the ends of said lever 160.
The other end of the lever 160, which is articulated at 162, is applied, by a spring 163, against the folded edge of the release arm 164 of the interlining mechanism. This release arm 164 is movable around an axis 165 fixed to the frame and it cooperates with a finger 166 mounted on the rear face of the lever 64 carrying the upper and lower pawls 641 and 642 (see FIG. 23).
In this variant, the lever 64, instead of being lifted at each turn of the general control shaft 9 of the machine, by a finger 62 wedged on a plate secured to said shaft, is articulated on a slide driven by a eccentric mounted on the shaft 9 and attacking the branches of the slide by means of a cam. These members for controlling the movement of the lever 64 have been shown in phantom in FIGS. 21 and 22.
The operation of the device described above is as follows: For work in the normal position with line spacing, the upper pawl 641 engages with the rotator 68 of the printing cylinder, when this cylinder rises after the printing a line. The pawl-holder lever 64, driven by the slide controlled by the general control shaft 9, is guided by its finger 166 which has slipped on the fixed ramp 67, against which it is applied by the action of its res - exits 65. The release lever 152 and the members associated with it occupy the positions shown in FIG. 21.
When it is desired to work without interli gnage, in repetition of the same line, or to tilt the lever 152 upwards, in order to make it occupy the position shown in FIG. 22. The stud 154 then comes to be placed in the lower notch 155 of the elbow lever 156, and the finger 161 of the lever 159 causes the lever 160 to tilt around its axis 162, so that the beak of the lever <B> 160 </B> attack the folded edge of the release arm 164 by rotating it around its axis 165.
The release arm assumes the position visible in fig. 22 and the finger 166 is re pushed by this arm, with the lever 64 and its pawls, to the left of the. figure. Beak. of the pawl 641 can therefore no longer come into engagement with the teeth of the ratchet wheel 68 and, at each turn of the general control shaft 9, the printing cylinder no longer rotates around its axis; it is susceptible only of a downward movement and upward determining the impression of the same line at each turn, as long as the lever 152 is raised.
It should be noted that the alignment mechanism could be controlled by a lever other than the print release lever. <I> Line selector device </I>. Figs. 24 and 27 show the essential parts of a line selector device that certain embodiments of the machine have. This device firstly comprises a keyboard 201, the keys of which correspond in principle to the lines of the text to. reproduce. In practice, to simplify the construction, the keys are divided into two groups, one for the units (from 1 to 9), the other for the tens digits, digits ranging from 2 to 6 inclusive.
For the sake of construction convenience, in the embodiment described, button 10 a. has been arranged on the row of imitated keys, immediately to the right of key 9. The depression of a key s determines, by a system of articulated levers 202 and 203, the exit, out of its housing, of a movable stopper or stop 204 which thus comes to be placed in the path of a shoulder 205 d 'a rack 206.
At the same time, the displacement of the stop 204 causes the release of the rack 206 held in place, against the action of a spring 207, by a pawl 208 which can be eclipsed laterally, that is to say in parallel. to the toothing of the rack, by virtue of its mounting in an oscillating support 209 mounted on an axis integral with the frame.
The tilting of the support 209 and of the pawl 208 is caused by an elbow lever 210 integral with a shaft 211 serving as an articulation axis common to all the movable stops 204. The shaft 211 is itself controlled by rotation by any one of the movable stops 204 by means of a bar 212 which is applied against the upper edge of the movable stops 204 by a spring 213 and which is made integral with the shaft 211 by connecting rods 214.
It is therefore understood that the lifting of any one of the movable stops 204 when the corresponding key is pressed can determine the displacement of the mesh 206 under the action of the spring 207 in the direction of arrow f up to the engagement of a shoulder 205 with the movable stop 204 located on its path, so that the tilting finger 215 driven with the 1st rack undergoes a displacement according to the height of the line, the number of which corresponds to that of the key pressed; the position taken by this finger 215 thus materializes the line to be selected.
The rack 206 and, consequently, the tilting finger 215 which is associated with it are hand held in this position by the pawl 208, the nose of which has again come into engagement with the teeth of the rack, at the same time as has occurred. the retraction of the movable stop 204 in its housing under the joint action of the springs 213 and 216 (see Figs. 27 and 30).
The ascent (the lever 202 under the action of the spring 216 is made possible as a result of the particular organization of the key s which, during its depression, becomes detached from the lever 202 as will be seen below. .
The selector device also comprises a drum 217 on the surface of which there are distributed, along a propeller of suitable pitch, studs or nipples 218 in a number equal to the number of lines contained in the format of the text to be reproduced by printing. In the example described, there are 64 studs corresponding respectively to 64 lines of text.
The drum 217 is wedged on a shaft <B> 219 </B> and it drives, by means of a chain transmission 220, the links of which are engaged with the wheels 221 and 222, the printing cylinder 2 of the transfer machine, cylinder visible in fig. 24, 25 and 26.
The drive of the drum <B> 217 </B> is provided by the motor 223 of the selector device via toothed wheels 224 and 225, a cone clutch 226, a toothed wheel 227 and its tangent screw 228 integral with the shaft 229 driven by the motor 223.
The cone clutch is controlled by a fork 230 articulated around an axis 231 and cooperating with a res out 232. On the axis 231 is mounted a release arm 233 fixed, at the end opposite its articulation, to a yoke 234 integral with the shaft <B> 219. </B>
The lowering of the arm 233 is caused by the tilting of the finger 215 around its articulation axis 235 (fig. 25 and 26) integral with the carriage 236 carried by the rack 206. This tilting takes place against the action of the spring 237 when the pin 218 of the drum 217 strikes the end of said finger. This organization is such that the ve nu in contact of the stud <B> 218 </B> with the finger 21.5 determines, by lowering the 1-iras 233. held applied against the finger 215 by the spring 232, the disengagement of the cone device 226 and stopping the drive of the drum <B> 217 </B> and the printing cylinder by the motor 223.
At the same time, the lowering of the arm 233 causes, thanks to the cooperation of a cam lever 238 with an angle 239 solid with said arm, both the cutting of the supply circuit of the motor 223 and the worm. rusting of the printing cylinder 2.
We see, in fact, in FIG. 27 that the cam lever 238, articulated on a shaft 240, carries one of the blades 11 of a contact inserted in the supply circuit of the motor 223. The rotation of the lever 238 in the direction of the arrow g, under the the action of the spring 241 (fig. 25 and 26) is triggered by the depression of the angle 239 and of the arm 233 which carries it. As seen in fig. 27, this rotation ensures the spacing of the contact blades 13 and 12, the engagement of which has previously been effected by lowering the starting lever 242 of the selector device, which lever, by means of the lever 243, turned the lever 238 in the opposite direction to the arrow g and came to bond the blades l1 and l2.
It will also be understood, by examining FIGS. 25 and 26, how the automatic locking of the printing cylinder is carried out 2 the rotation of the rocking lever 238 around its axis 240, in the direction of the arrow ensures that the nose of the pawl 244 engages the teeth 68 of the printing cylinder meur, under the action of the return spring 246, by the play of levers 247, 248 and 249.
It should be noted that the tilting of the pawl 244 around its axis is positively controlled by a stud 250 mounted on the lever 249 itself forming a slide for the axis 251 of the lever 248.
The resetting of the selector device is obtained by the return to the initial position of the rack 206 when the transfer machine is put into action. To this end, the general control shaft 9 of the re port machine carries a finger 252 (FIG. 29) which engages a cam 253 integral with a toothed sector 254 controlled by a pinion 255; a groove pulley 256, wedged on the axis of the pinion 255, drives the rack 206 by a flexible transmission 257.
The return of the rack 206 to its initial position is positively controlled by a plate 258 mounted on the transmission 257 and gripped between the jaws of a yoke 259 fixed to the rack. The flexible transmission 257 is attached by one of its ends to the pulley 256 and by the other to a spring 260 hooked to the frame.
The arrows visible in fig. 29 indicate the direction of movement of the various organs during the return of the rack to its initial position, which return takes place at the same time as the descent of the printing cylinder 2 to its printing position under the control of the motor 11 of the transfer machine.
The rack also carries, as can be seen in FIGS. 24 and 27, an axis 261 capable of moving in a slide formed at the end of a lever 262 articulated at 263 on the upper plate of the keyboard of the selector device. The lever 262 itself carries an axis 264 which can move inside a slide made in a lever 265 articulated at 266 on a corrector lever 267 serving for manual reset and pivoting at 268 on a fixed axis. to the frame.
The return to its initial position of the chainring 206 in the opposite direction to the arrow f in fig. 24, therefore determines the displacement, in the direction of arrow lz, of the beak-shaped end of lever 262. This beak is engaged with a stud 269 integral with an arm 270 guided to the effect of undergoing a translation parallel to direction h.
The arm 270 is provided, at one of its ends, with an axis 271 penetrating into a mortise made in a lever 272 articulated at 273 on the upper plate of the keyboard and provided, at its other end, with an angled arm 274 folding back. under the upper plate and coming to grasp an arm 275 provided with two mortises 276 in parallel, oriented at 45 and cooperating with two pins 277 fixed to the upper plate of the keyboard and arranged below this plate (see fig. 24 and 31) .
Under these conditions, the translation of the arm 270 in the direction of the arrow <B> IL </B> causes a perpendicular displacement of the arm 275 in the direction of the arrow i.
On the other hand, the arm 275 cooperates, by its rear edge, with latches 278 suitably guided and urged by a spring 279 hooked to a fixed point taken on the upper plate. The movement of the arm 275 in the direction of the arrow i thus causes the removal of the locks 278 of the keys s, which ensures the re-raising of the latter under the action of their return springs, as can be seen in FIGS. 32 and 33. The keys can also be raised manually in the event of an error, by acting on the corrector lever 267 which commands the return of the rack 206 to its initial position by the arm 265 and the axis. 264 of lever 262.
The selection is marked out visually by virtue of the fact that the key s which was lowered by the operator is held down by the lock 278 until the device is automatically or manually reset. To this end, each key s comprises an upper square 280, a lower ring 281 against which bears a return spring 282 resting on the lower plate of the keyboard and finally a middle ring 283 carrying at its lower part a groove 284 with which to rest engages the beak of a hook 285 articulated on the lever 202 corresponding to the envisaged key. The beak of the hook 285 is normally maintained in contact with the groove 284 by a spring 286 attached to the frame.
Finally, the supports in which the keys can slide comprise for each key a lever 287 articulated at 288 on the support and comprising an inclined ramp 289 cooperating with a stud 290 fixed to the hook 285. A leaf spring 291, mounted on the support, apply the ramp 289 of the lever 287 against the stud 290 of the hook 285.
When the operator presses a key, the descent of the ring 283 causes the lowering of the lever 202 driven downwards by the hook 285. During this downward movement, the square 280 allows passage to the latch 278 whose end, under the action of the spring 279, comes to be placed above the square 280, as seen in FIG. 33, in order to keep the key pressed. At the same time, the stud 290 of the hook 285 bears on the ramp 289, which has the effect of causing the beak of the hook 285 to escape from the groove 284 and thus disengage the lever 202 from the s key.
When resetting, the lock 278 is withdrawn in the direction of the arrow i in fig. 31; it thus releases the key which rises under the effect of the spring 282 previously compressed; the parts then resume the relative positions which they occupy in FIG. 30.
To better understand the operation of the selector device, we will assume that the operator wishes to select line 21, for example, and have the transfer machine equipped with the selector device automatically print successively the four lines 21 , 22, 23 and 24. Preparation. The operator begins by pressing key 2 of the tens row.
It thus ends, by lowering the control lever 202, the exit out of its housing of the corresponding movable stop 204 and the release of the rack 206 which, under the action of the spring 207, moves rapidly in the direction of arrow f until its first shoulder 205, from the right in FIG. 24, comes to strike said movable stop 204. The rack then occupies the position visible in FIG. 34; the contact finger 215 is thus brought onto the path of the stud 218 corresponding to the line 20 of the drum 217; the position of this finger 215 controls line 20.
The tens key 2 remained dark due to the coming of the lock 278 above the square 280. The control lever 202, which became independent of the key, is raised under the action of the spring 216 by ensuring that the movable stop 204 returns to its housing. The rack 206 however remains in place thanks to the pawl 208 which has previously come into engagement with the teeth of the rack.
The operator then presses the 1 key on the units. It determines a new displacement of the rack in the direction of arrow f; this displacement corresponds to an additional unit, that is to say to the interval which separates line 20 from line 21. The travel of the rack is limited by the coming into contact, against the movable stop corresponding to the unit 1, of the third shoulder 205 from the extreme right shoulder. The rack occupies the position visible in fig. 35.
The finger 215 is thus brought to the desired position on the path of the stud 218, designated by 21, materializing on the drum 217 the line 21 to be selected. The finger 215 and the rack 206 are held in this position by the effect of the pawl 208.
The position of the finger 215 is identified visually thanks to the fact that the keys 2 for the tens and 1 for the units remain pressed; the operator thus knows that he was not mistaken and that the machine is ready to operate to select line 21. Selection. To bring the line 21 of the printing cylinder to the line of tangency between the cylinder and the sheet to be printed, that is to say to the printing position, the operator presses the handle of the release lever. starting 242, which ensures the closing of the contact l1-l2 and the excitation of the motor 223 of the selector device at the same time as the unlocking of the printing cylinder 2 by the coming out of engagement of the pawl 244 with the teeth 68,
the cam lever 238 rotating in the opposite direction to the arrow g under the control of lever 242.
As soon as the engine is started, the drum 217 and the printing cylinder 2 are dragged in rotation by means of the clutch 226. This drive lasts until the stud 218 of row 21, on the path of which the finger 215 is disposed, comes to strike the latter; at this time, the finger 215 swings around its axis 235, overcoming the action of the return spring 237.
This tilting has a triple effect: First of all it determines the disengagement by the insertion of the arm 233. The drum 217 and the printing cylinder then stop immediately since the motor 223 does not drive them phis: Then, the finger 215, by tilting, releases the lever 238 which rested on the upper wing of the angle iron 239. The printing cylinder is thus locked in the position of printing of the line 21 thanks to the rotation of the lever 238 in the direction of the arrow g.
Finally, during its movement in the direction of arrow g, the lever 238 moves the contact blade h away from the blade b2 by cutting off the supply circuit of the motor 223. Consequently, the tilting of the finger 215 clearly determines the position. disengaging the printing cylinder and drum drive, locking the printing cylinder in the printing position and cutting off the supply circuit to the motor of the selector device.
The transfer machine is then ready a. do their work. <I> Automatic reset </I>. The operator presses the 4 key of the tabulator device of the transfer machine, then he presses the start button of this machine which then begins to print on the sheet of paper lines 21, \ 32, 23 and 24.
As soon as the printing cylinder 2 descends for printing from the first line 21 which has been selected by the selector device, the cam 252 (fig. 29), wedged on the general shaft 9 of the transfer machine, ensures the return of the rack to its initial position by flexible control 257. Keys 2 for tens and 1 for units, held down until this moment, rise again under the action of their return springs 282, thanks to the removal of the locks 278 which are pulled back by the bar 275, the displacement of which is ensured, as a function of the backward movement of the rack, by means of the lever 262, the arm 270 and the lever 272.
If the operator made a mistake and pressed key 8 of the units instead of pressing key 1 of the units and if he noticed this before starting the transfer machine which would print four successful lines sives from line 28, he can correct his error manually by resetting the selector device to zero. For this purpose, it simply pulls the lever 267 to the right of FIG. 24 by overcoming the action of the spring associated with this lever. It thus acts both on the mesh 206 and on the lever 262 by the intermediary of the slide 265 which cooperates with the axis 264 of the lever 262. It is of course understood that various selector device could be provided. changes, improvements or additions without thereby altering the general economy of the invention.
In particular, the movement of the rack 206 could be controlled in an electromechanical manner using relays. On the other hand, the number of shoulders 205 of the rack can vary as a function of the number of tens included in the total number of lines of the text to be reproduced. An adjustable movable stop can stop the 1st rack at a variable distance corresponding to the last line of various texts of different lengths.
One could also replace the 1st rack by a drum similar to the drum 217; the studs which would be carried by such a drum would cooperate with a member for locating the height of the lines of the text to be reproduced, a member whose translation would be controlled by the rotation of the printing cylinder under the control of the motor of the selector device. The control of the selector device can be provided by the motor of the transfer machine via an electromagnetic clutch.
We could still provide many variants, provided that in each of them is always realized the materialization, in space and time, of the line to be selected, by means of two bodies driven one under the action by pressing a key corresponding to the chosen line, the other by rotating the printing cylinder in such a way that, when these components meet, the line to be selected is at the position of 'impression. Line pointer device.
This device is constituted, on the one hand, by the actual pointer member visible in FIG. 37 and, on the other hand, by a removable control strip L visible in FIGS. 36 and 37,40 and 42. As seen in fig. 37, the pointer member is constituted by a cylinder 301 on which are mounted, distributed in a helix, on its surface, character-carrying pins 302. The pointer cylinder 301 is made integral, by means of its axis 303, d 'a pinion 30.1. A chain transmission 305 connects the pinion 30-1 to a pinion 306 integral with a pin 307 carrying a knurled control knob 308.
The pinion 306 is. provided with a pin 309 which engages in holes <B> 310 </B> made on a barrel 311 fixed to the frame 312. The axis 307 slides freely in the bay rillet 317 and is constantly returned in the direction of the arrow f by a coil spring 313 which bears, on the one hand, on the frame 312 and, on the other hand, against a flange screw 314.
To the. chain 305 is. fixed a registration index <B> 315 </B> which moves in front of a graduation 316 comprising as many divisions as there are character-carrying pins, an additional division R being however provided to bring, in front of the printing position , the part not filled with characters of the pointer cylinder 301, the reason for which will be explained below.
In order to prevent excessive wear of the type eye (by crushing), the cylinder 301 which carries them can follow the downward movement of the printing cylinder 2. For this purpose, the cylinder 301 is mounted in a caliper 317 capable of rotating about a fixed axis 318; said caliper is removed in a suitable position by a helical spring 319 hooked, on the one hand, to an between rod 320 of the machine and, on the other hand, to a stud 321 provided on a branch 322, in the form of a double elbow, caliper. The upstroke of the caliper 317 is limited by a finger 323, integral with the frame of the machine and against which the branch 322 abuts.
The operation of the pointer device is as follows. We first place, in a suitable position, the cliché K of the accounting journal and the blank control strip L on the printing cylinder 2 of the machine (fig. 36), then have fixed the accounting journal M, which is the duplicate catalog of the cliché, on the table N located to the right of the machine.
Let, for example, be extracted from the accounting journal M, line 6 corresponding to the establishment of a specific accounting document 0. We arbitrarily agree to denote by a letter, for example by the letter A, the lines relating to the cost price account, then, using the knurled knob 308, the index 315 is brought opposite the letter A on the graduation 316, which has the effect of placing the character A, carried by one of the character-holder pins in the printing position (fig. 38).
The key 6 of the selector device S of the transfer machine is pressed and this machine is made to operate by pressing its start button as soon as the selector has automatically placed line 6 of the cliché in the printing position.
The lowering of the impression cylinder 2 determines both the printing of line 6 of the cliché K on the accounting document 0 and the printing of the letter A on the control strip L opposite the number 6 of this strip . The same operation is repeated for line 9, also relating to the cost price account (REV), without changing the position of the index 315 and by pressing the button 9 of the selector S before starting the transfer machine. A new letter A is printed opposite the number 9 on the control strip L at the same time as line 9 of the cliché and, consequently, of the accounting journal, is reproduced on the accounting document 0 under line 6 previously extracted from the cliche.
If we now want to extract from the nal journal M the lines concerning the miscellaneous account (indicated DIV on the accounting journal), i.e. lines 2, 3 and 4, lines which will be printed on another part comp table, we arbitrarily choose another letter, C for example, to designate them. The index 315 is brought next to the. letter C of graduation 316; automatically, the stud bearing the character C comes into printing position. The operator then presses button 2 of selector S on the.
report machine and key 3 of the <I> Ta </I> tabulator of this same machine. Line 2 of the cliché K is brought, by the selector, into the printing position. As soon as the operator presses the start button of the transfer machine, this machine prints successively and in succession lines 2, 3 and 4 of the cliché at the same time as the letter C on the control strip opposite the numbers 2, 3 and 4 carried by the latter.
At the end of the work, to check whether there have been any omissions, we superimpose on table N the control strip in the accounting journal by bringing the figures shown respectively by the journal and by the control strip.
If, next to a line concerning, for example, one of the accounts that we have just noted, does not appear the letter used to identify the account in question, we can be sure that this line has been omitted by the operator. This is what happened for line 1 of the cost account.
As can be seen in fig. 38 and 39, a certain part of the pointer cylinder 301 does not carry characters, this in the case where it is desired, for example, to reproduce the entire cliché. The reference 315 is then brought opposite the division R of the graduation 316, which places in front of the printing position the part of the pointer cylinder 301 not furnished with characters. If this precaution is not taken, there is a risk of damaging the control strip and the inked ribbon which co-operates with the pointer cylinder.
The movement of movement of the aforementioned inked ribbon must change direction as soon as a reel is almost completely unwound.
As seen in Figs. 38 and 39, an electromechanical changeover device com carries a carriage 324 driven by a reciprocating movement by means of a fork 325 in which turns a cam 326 fixed on the general control shaft 9 of the transfer machine . The carriage 324 is guided in this rectilinear reciprocating movement by two buttonholes 327 and 327 ′ sliding on two studs 328 and 328 ′ secured to a plate 329. The carriage 324 carries a beam 330 capable of oscillating about the integral axis 331 of carriage 324.
The ends 332 and 332 'of this flail are bevelled and form control pawls for the ratchet wheels 333 and 333' integral with the spool-holder pins 334 and 334 'on which the tape is wound up and unwound alternately. inked 335. The movement of the ribbon is thus carried out, after each printing, in synchronism with the jerky rotation of the printing cylinder.
When the inked ribbon 335, which is wound up, for example, on the axis 334, reaches a certain diameter, it comes to order, through the intermediary of a roller 336, on which it presses, the closing of a contact. One of the blades 337 of this contact is carried by the end of a lever 338 articulated at 339 forming a fixed point. This lever is kept pressed against the coil by a spring 340. The other blade 341 of the contact is integral with the beam 330. The coming into contact of the blades 337 and 341 determines the excitation of the electromagnet 342 which attracts its contact. plunger 343, which previously occupied the position shown in FIG. 39.
The plunger 343, during its movement, drives, by means of a buttonhole 344 provided in its middle, a stud 345 integral with one of the ends of a lever 346 pivoting at 347. The lever 346, which previously occupied the position shown in FIG. 39 carries at its other end a roller 348 which, passing from the position shown in FIG. 39 to come and occupy the position of FIG. 38, tilts the beam 330; the ratchet wheel 333 is released and the nose 332 'of the flail 330 engages with the ratchet wheel 333', which has the effect of reversing the direction of movement of the tape 335.
Lever 346 is. immobilized in one or the other of its tilting positions thanks to. 11n spiral spring 3-19 always taut; this spring. is, in fact, hooked, on the one hand, to the axis of the roller 348 and, on the other hand, to one of the ends 350 of a lever 351 articulated at 352 and carrying a fork 353 between the branches of which moves the stud 345. In another embodiment, the removable characters of the pointer cylinder could be replaced by those of a cliché. On the other hand, the device for reversing the direction of movement of the inked ribbon could be solely mechanical, such as, for example, the device used on typewriters.
<I> Safety </I> device preventing manual <I> selection. </I>
Referring to. fig. 43, we see that in the normal position, that is to say when the release lever 152 occupies the. horizontal position corresponding to. the clutch of the printing cylinder 2, a flap 401 with an L-section is held in the high position, against the action of its spring 402, by a shoulder 403 formed on a latch 404 articulated at 105 on the frame, shoulder against which rests the lower edge of said flap. In this position, the extension 406 of the shutter 401 releases a window 407 cut in a cover 408 fixed to the frame.
This mask, of which only a fragment has been shown on the attached drawing, completely covers the control strip L fixed to cylinder 2, so that the observer can only see, through the window 407, the number which is the number of the line intended to occupy the printing position when the cylinder 2, drawn in by its carriages 3, will be lowered onto the transfer sheet.
In fig. 43 and 46, it is the tenth line of the photograph from the top that the observer locates through the window 407; this line is in print position. When the operator, for one reason or another, for example to repair the cliché, wishes to turn the impression cylinder 2 by hand, he disengages it by lowering the head of the lever 152, as can be seen. in fig. 44.
The rotation of the lever 152 in the direction of the arrow around its axis 153 determines, by the intermediary of a connecting rod 159 articulated at the other end of the lever 152 and provided with a light cooperating with the stud 169 of a link 167 articulated on the frame at 168, the release of the nose of the release pawl 244 from the teeth of the ratchet wheel 68 so lidary of the printing cylinder. The rotation of the pawl 244 is ensured, as seen in FIG. 44, by the action of lever 167 against the effect of spring 246.
At the same time as this disengagement takes place, the pin 154 of the lever 152 leaves the median notch 155, made on the bent lever 156, to come to be placed in the upper notch 155. When this stud 154 is straddling the tooth which separates the upper and middle notches, the lever 156 is forced to turn slightly in the direction of the arrow around its axis 157. This rotation, carried out against the action of the spring 158, determines a displacement to the right of the. head of this lever which strikes the lower end of the latch 404 and thus unlocks the shutter 401.
The latter, urged on by its spring 402, leaves its high position shown in FIG. 43 to occupy its lower position visible in FIG. 44; it is guided by the axes of two screws 409 fixed to the frame and passing through a slot 410 made on its side face. The extension 406 of the shutter then obscures the window 407 by masking the gra duation of the control strip L. The operator therefore does not have the possibility, after having disengaged the printing cylinder, to select a line determined by turning this cylinder by hand, since the graduation marking the numbers of the various lines is not visible.
After having performed the desired work, the operator engages the impression cylinder by returning the lever 152 to the horizontal position and he is obliged, to begin his work, to select a line by using the selector device.
As soon as the transfer machine is in operation, that is, as soon as the selection has been made and a certain key of the tabulator has returned to its initial position after being depressed, the impression cylinder \? descends and, during this movement, the finger 411 integral with one of the carriages 3 sup carrying the cylinder hits, as shown in FIG. 45, the folded end 412 of a connecting rod 413 articulated at 414 on a lever 415 pivoting about an axis 416 fixed to the frame.
The beak 417 of the lever 415 is in contact with a stop 418 formed, for example, by the head of a screw fixed to the lateral face of the shutter 401. It is therefore understood that the. descent of the printing cylinder determines, by the play of levers 413 and 415, the raising of the shutter 401 against the action of its spring 402 and the locking of the shutter in the high position by the latch 404 whose shoulder 403 comes from place under the lower edge of the shutter 401 by a simple rotation of said red worm around its axis 405 under the sole effect of its weight.
The graduation of the control strip L is then visible again to the operator through the window 407 as soon as the printing cylinder, after having printed the line to be selected, has returned to the upper position.
In fig. 48, it is assumed that the operator has selected line 58 which he sees appearing through window 407 as soon as the printing cylinder is raised.