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" Perfectionnements apportés aux appareils pour le travaildu verre "
La présente invention est relative à une machine pour le travail du verre, comprenant un tablier sans fin, trans- porteur du verre ( alimenté de préférence par un ruban de verre ) et des unités de travail du verre se déplaçant à l'unis. son avec le tablier transporteur pendant leur course opéra- tive, le tout comme décrit dans le brevet belge antérieur N 342. 686. La machine de l'invention diffère de la disposi- tion connue, par des particularités importantes, permettant d'obtenir certains avantages sans la production de certains genres.de marchandises.
L'invention est caractérisée par un transporteur du verre, sans fin et continu, se déplaçant suivant une trajectoire formée et constituée par des éléments articulés, destinés à recevoir le verre, de préférence sous forme d'un ruban continu et le d'il transporteur possède une
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série d'orifices au travers desquels le verre peut descendre, la disposition étant associée avec quelques unes ou avec toutes les particularités ci-après :
1., Des mécanismes de travail du terre pour chaque orifice, montés sur les éléments du transporteur, pouvant se déplacer dans une position opérative sur le dit du transporteur et pouvant s'écarter de cette position pour permettre au verre d'y être déposé.,
2.
Des mécanismes de moulage formés en partie, ou com- plètement formés, comme faisant partie du transporteuro Dans le premier cas, des parties de surface de moulage sont montées sur une seconde chaine, pour se déplacer pendant la course opérative des moules, au dessous des ouvertures correspondan" tes du transporteur et en faisant régistre avec elles pour former le verra suivante les dits orificeso Un exemple de ce dernier cas est celui dans lequel l'entièreté du moule est supportée par le transporteur.
30 Des réservoirs d'air associés aux unités de travail du verre et supportés par elles et se déplaçant avec elles dans la trajectoire du transporteur, ces réservoirs étant chargés sur leur trajet avec un-volume d'air déterminé d'a- vance sous une pression déterminée d'avance, afin de le laisser échapper en temps voulu, pour effectuer a formation du verrou
4. Le transporteur est constitué par deux chaines articu- lées, chaque chaine portant une série de demi-plaques de tablier, avec un mécanisme pour déplacer les plaques latérale- ment et vers la ligne moyenne de la machine et pour les en écarter et .'aussi par rapport aux chaînes par lesquelles elles sont supportées.
Le transporteur est caractérisé de plus, par la combi- naison ou la disposition de différentes outillages, dont il est constitué et par sa construction même, comme il sera décrit et revendiqué ci-après.
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Dans les dessins joints au présent mémoire les mêmes éléments sont indiqués par les mêmes signes de référence
Figs. la, 1b. et le, sont, respectivement, des ele- vations vues de côté en partie en coupe, des extrémités de débit et de charge d'une machine selon l'invention.
Figs.. 2a. 2b et 2c, sont des vues en plan de la machine montrée dans les figs. la, 1b, et lco
Fig.3 est une coupe verticale de la machine montrée dans la fige la, cette coupe étant prise près de l'extrémité du débit.
Fig.4 est une coupe verticale par le chassis de la machine des figures précédentes et par certaines voies de come.
Fig.5 est une coupe verticale en detail de la même machine.
Fig..6 est une vue en plan des mécanismes montrés dans la fig.5.
Figo.7 est une vue de côté de certaines parties montrées dans la fig.5.
Fig.8 est une coupe détaillée fragmentaire suivant la
8 8 ligne X -X de la fig. lbo
Fig.8a est une coupe fragmentaire montrant le mode d'in troduction de l'air dans les têtes à air.
Figs.9 et 10 sont des vues perspectives d'un bloc d'ar- ticulation de la chaine.
Fig.ll est une coupe verticale longitudinale d'un bloc d'a rticulation.
, Fig.12 est une vue perspective d'un bloc de support pivoté et porté sur un bloc articulé et supportant une plaque de tablier..
Fig.13 est une vue perspective d'une paire de glissières supportant une plaque de tablier..
Fig.14 est une vue en plan d'un bloc d'articulation de la chine avec certaines parties des pièces qu'il supporteo
Fig.15 est une vue schématique illustrant la formation ,d'une jarre pour fruits,effectués sur une machine comme
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celle représentée aux figures précédentes.
Fig. 16 est une vue schématique montrant l'application de l'invention à la fabrication de verres creux à l'aide de paraisons et de moules de finissage..
Figso, 17 et 18 sont des détails montrant les applica- tions de l'invention à la fabrication de verres dans des moules de pressage.
Les différents outillages décrits ci-après sont monter et supportés sur un chassis 1 comprenant deux organes laté- raux convenablement fixés et reliés ensemble de telle façon, que l'espace compris entre les deux organes latéraux soit libre, pour recevoir les différents éléments et permettra leurs mouvements.
Ce chassis est de préférence long par rapport à sa largeur et porte à chacune de ses extrémités opposées et de chaque côté de l'axe longitudinale de la ma- chine, des roues dentées 2, 2a et 3, 3a Les deux roues
2, 2a ou 3, 3a de la même extrémité de la machine, sont glissées sur un arbre transversal 4 ou 5, l'arbre 4.,, se trouvant à l'extrémité du débit, étant supporté dans des paliers 6 rigidement montés sur les chassis, tandis que l'arbre 5. à l'extrémité de réception de la machine, est monté dans des bras pivotés 7, qui sont écartés par des ressorts 8 de l'arbre 40
Le moyeu de chacune des roues 2 et 2a, est pourvu d'un engrenage 8a ( voir figo3 )
s'engageant avec un pignon 9 fixé sur l'extrémité intérieure d'un arbre de couche trans- versal 10 monté dans l'organe correspondant du chassi s., Un engrenage 11 fixé sur l'extrémité extérieur de chaque arbre de couche engage un engrenage 12 de l'extrémité extérieure, de l'extrémité correspondante de l'arbre 4. La roue dentee 12 à l'extrémité de gauche de l'arbre 4, est commandées par un pignon 13 au moyen d'une commande appropriée 14 de n'im- porte quelle construction appropriée. De cette façon, les roues 2 et 2a, sont commandées à l'unission autour de l'arbre de support 4,., qui est également commandé ainsi avec une moindre vitesse tr angulaire.
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Les termes " à droite Il et " à gauche Il sont utilises ici pour la facilité dans la désignation des deux côtés de la machine à décrire, et il se réfèrent à un point de vue partant de l'extrémité de charge vers l'extrémité de débit de la machine.
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LE SYSTEME TRANSPORTEURo -:::¯::::- 36 J 7 l2
Celui-ci comprend deux moitiés, séparées suivant l'axe longitudinale de la machine et, pour la facilité, ces moitiés peuvent être respectivement désignées comme droite et gaucheo, Chaque moitié est à son tour constituée par un nombre de
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sectionarticulées ensemble pour former une chaine sans fin et le tablier transporteur 21 du verre..
Chaque section de chaque moitié du transporteur comprend un bloc de maillons 22 reliés au bloc de chaque section ad- jacente de la même moitié par des pivots 23 passant dans des oreilles 22a des deux côtés de l'extrémité du bloc, et une moitié d'une plaque de tablier 24, les moitiés des plaques de tablier droite et gauche correspondantes, rencontrant et butant l'une contre l'autre dans la ligne centrale du ta- blier transporteur du verre.
Sur la course en ligne droite du tablier, les bords avant et arrière de chaque plaque de tablier, viennent de joindre au bord arrière et avant des plaques adjacentes, de sorte que la chaine transporteuse pré- sente une surface ou tablier continua dans lequel il y a une série d'orifices 24a, l'une des moitié de chacun de ces orifices se trouvant dans chaque paire de plaques de tablier correspondant et dans les ligner médiane du transporteur suivant laquelle les plaques se touchent.
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Dans chaque plaque de tablier, au-dessus et autour des 6n <f J/ l'orifice qui trouve. trouve formée une extrémité de l'orifice qui s'y trouve, se trouve formée une cavité de réception du verre 24a, le contour de la cavité en section verticale étant tel,que les épaulements de la cavité descendent en courbe vars leur jonction avec l'orifice comme montré dans les figs. 5 et 15. De préférence, les diamètres
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des embouchures des cavités sont parfaitement égaux à la longueur des plaques de tablier, de sorte que le fond du ta- blier présente en section centrale longitudinale, une serie de hauteurs et de vallées.
Chaque chaine 20 passe sur deux roues dentées 2 et 3, ou 2a et 31!,au côté correspondant du châssis.,
Chaque bloc de maillons22 possède à l'intérieur et à l'extérieur de ce qui se présente comme étant son bord infé- rieur lorsqu'il est dans la course supérieure entre les deux roues dentées, des collets de guidage 22b glissant dans deux guidages opposés 25, ces deux guidages étant supportés par les organes latéraux correspondants du châssis et s'y projetant vers l'intérieur. Les blocs de maillons sont longitudinalement bifurqués sur leur fond, comme en 22±, en ce qui est visible dans les figso, 9 et 10, pour permettre à la jante et aux dents de la roue dentée, de pénétrer entre oux pour permettre aux dents d'engager les chevilles d'articulation 23 et de commahder ainsi la chaine sans fin.
Chaque bloc de maillons de la moitié gauche au-dessus de son bord inférieur, possède deux creux transversaux parallèles 22b, dans lesquelles sont montés librement des glissières 26.
Les extrémités intérieures de chaque paire de glissières portent une des demies plaques de tablier et les extrémités extérieures sont reliées par une tête 26a, portant à sa surface inférieure une roulette 26b, roulant dans une voie à cames 27 fixée au chassis de la machine et permettant que pendant le trajet de chaque section transporteuse, les glissières soient déplacées transversalement en entrant et en sortant par rapport à leur chaine correspondante, en faisant mouvoir ainsi les plaques de tablier correspondantes pour les approcher et les écarter de la ligne médiane de la machine.
Chaque glissière 26c. est engagée pour glisser dans un collet de tourillon, qui est pivoté au moyen d'un pivtt longitu- e dinal 26d, sur et près ,de l'oreille 22 de l'extérieur du
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bloc de chainons Les extrémités intérieures des glissières sont normalement maintenues contre les demis supports 22f réalisés dans une projection 22g de l'intérieur du bloc de par chainon et près de son sommet,/des demis supports 28a d'une tête supportée sur l'extrémité intérieure d'un bloc de sup- port 28 pivoté dans un creux transversale 22b du bloc de chainonet ayant un ressort 28b interposé entre la surface supérieure de son extrémité extérieure et la tête du bloc.
Ainsi, les demis supports 28a tendent à lever les extrémités inférieures des glissières et à maintenir levées les plaques correspondantes de tablier, ceci étant permit par le montage à pivot du tourillon 26c. Cependant, par des pressions indû- ment exercées sur la surface supérieure d'une plaque du ta- blier, cette dernière peut être pressée contre la tension du ressort 28b en évitant ainsi un bris possible dû à une "pierre" venant s'engager entre le tablier et le mécanisme formateur dont il sera question plus loin.
Le montage des plaques de tablier du côté droit de la . chaine sans fin est analogue à celui ci-dessus décrit pour le côté gauche, excepté qu'au lieu de supporter les plaques rigidement sur les glissières 26, elles y sont montées à résilience, du fait d'un ressort 29 interposé dans la conae- xion, de manière à empêcher le bris possible des parties, si du verre devrait pénétrer entre les moitiés de plaque, avant qu'elles se soient refermées et pour réaliser une tolérance de fabrication dans la machine.. 365712
L'invention réalise donc ainsi un tablier transporteur, sur lequel on peut déposer un ruban de verre qui doit être transformé en articles aux différents orifices du tablier..
Evidemment, le mécanisme de formation peut êtrevarier dans sa construction suivant l'article qui est a fabriquer et suivant le procédé qui est à employer dans sa fabrication.
Dans les figso 1 à 15 des dessins, on a/ illustré l'usage du tablier transporteur du verre de l'invention,
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dans une machine destinée à la fabrication de la gobeletterie soufflée, telle que des jarreso Dans ce but, des mécanismes appropriés de soufflage et de moulage sont nécessaires et ceux-ci sont construits comme suit : 365712
Dans des oreilles 22-1 du sommet de la projection in- térieure 22g de chaque bloc de maillon de la chaine de gauche, il y a un arbre 30a qui, au moyen de bras rigides 30b prévus à ses extrémités opposées, supporte un élément de montage 30 montré sous forme d'une plaque ayant un support 30c qui, lorsque la plaquer est horizontale, comme représenté dans la fig.5, fait régistre avec l'orifice,. correspondant du tablier.
Un secteur denté 30d fixé sur l'arbre 30a engage une crémail- lière 30e montée à glissières dans le sommet du bloc de chainon5, l'extrémité extérieur de la crémaillère portant un gallet 30f t ravaillant dans\voie à cames 31 supportée par une console se projettant vers l'intérieur sur le côté gauche du chassis., Dans la position de l'élément de montage 30 repré- sentée fig5, un galet 30g sur l'extrémité libre du dit élé- ment, s'engage dans une voie à cames 32 du côté droit du chas- sis et maintient ainsi la plaque de montage en depression et rigidement, pendant la période de cet engagement.
Lorsque le galet est sorti de la voie à cames, la plaque de montage peut être tournée autour de l'axe de l'arbre 30 par le mouvement extérieur de la crémaillère sous l'influence de la voie de cames 31, jusqu'à ce que la plaque de montage prend une position verticale comme réprésenté en t raits pleins dans la fig.3o Les deux plaques de moitié de tablier de chaque élément, peuvent être alignées au moyen de trous à chavilles 24c.
LE MECANISME DE SOUFFLAGE.
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Sur le support 30c des différentes plaques 30,, se trouve un manchon 33a ayant sur son extrémité inférieure un collet. 33., destiné à pénétrer par le dessus dans la cavité 34b de la plaque de tablier, au dessus et concentriquement avec l'orifice correspondant qui s'y trouvée. En section diamétrale, les collets sont en courbe vers le bas et vers léextérieur, comme
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montré dans la fig.5, de telle sorte que lorsqu'ils descendent dans les creux ils compriment ou serrent le verre dans ces derniers vers les orifices.
La fonction du collet est donc d'introduire du verre dans l'orifice et pour ce motif il est dénommé ici plongeur d'alimentation. 3657 12
Dans le plongeur d'alimentation 33 se trouve monté un plongeur de formation du col 34. dont la partie inférieure est faite pour pénétrer dans l'orifice correspondant des pla- ques de tablier et pour former les parties supérieures de la cavité supérieure de la jarre.. L'extrémité supérieure du plongeur 34 de formation du col est relié pivot en 35a à une tête d'air creuse 35, qui est normalement maintenue rele- vée par un ressort à boudin 36, la base de la tête d'air ayant un creux 35b, qui entoure le manchon 33a et le ressort 35a.
La tête d'air 35 est pourvue d'une extension supérieure
35c à l'un des côtés de son sommet, cette extension portant en ligne avec le plongeur 33 et 34, un galet 35d, qui, dans la course supérieure du tablier transporteur, engage une voie à cames 37.. La voie à cames est formée de telle façon, qu'en des temps donnés elle dépresse la tête d'air, le plongeur annu- laire de col étant ainsi projeté dans l'orifice du tablier, comme on le désire.
Dans le but d'introduire de l'air de soufflage dans les articles, chaque plongeur de formation du col 34, est pourvu d'un passagxial 34a,communiquant à son extrémité supérieure avec un réservoir d'air à l'intérieur de la tête d'air,
Si l'on considère uniquement une construction dans laquelle il est désiré de régler l'admission de l'air de soufflage, la- connexion entre le forrage du plongeur de pressage et la cham- bre de la tête d'air, est contrôlée par une soupape de soufflage 38 montée dans la téta d'air et actionnée à des temps appropriés, par une voie à cames 39 support'2--du côté droit du chassis de la machine et faisant contact avec la tige de soupape..
Il est préférable d'utiliser la tête d'air comme un réser....
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voir pour l'emmagasinage d'un volume d'air défini et déterminé d'avance et se trouvant à une pression également déterminée d' avance et, dans ce but, on monte du côté gauche de la machine au sommet et près de l'extrémité de charge,, une lumière d'alimenta... tion d'air comprimé 43 se trouvant dans un manchon 40a glissant transversalement par rapport à la machine dans une boîte 40b supportée sur là chassis et ayant une tête lisse 40c sur le côté intérieur de la boîte.
Le manchon 40a. se projette intérieurement sçus l'action d'un ressort, de sorte que sa tête est pressée contre le sommet de l'extension de la tête d'air au moment ou cett,e dernière arrive au sommet de la course horizontale du tablier transporteur. A ce moment, l'élément de plaque de monta- ge 30 est vertical de sorte que la tête d'air se trouve de son côté avec sa surface du sommet, une surface verticale destinée à faire un contact parfait avec la tête du manchon La tête de l'extension a une lumière 44 contrôlée par une soupape d'admis- sion 45.
L'intérieur du manchon communique avec une source appro- priée d'air comprimé indiquée sous forme d'un conduit 41, la connexion étant contrôlée par une soupape d'alimentation 42 dont la tige est destinée à être engagée et actionnée par les galets 35d de la tête de l'extension de la chambre d'air, lors- que la soupape d'admission 45 de l'extension fait registre avec le forrage du manchon. De cette façon, la chambre de la tête d'air reçoit une charge d'air lorsque son extension passe sur la lumière d'air et l'air étant emmagasiné dans la chambre est ensuite utilisé dans le soufflage de la jarre à des temps con- trôlés par l'ouverture de la soupape de soufflage 38.
Dans certaines conditions, il peut être désirable d'injec- ter non seulement de l'air de soufflage dans les articles fabri- qués, mais également d'en aspirer de l'air, et dans de tels cas, on divise l'intérieur de la tête d'air en deux compartiments; dont l'un sert pour l'air comprimé comme ci-devant décrit et l'autre à réaliser une chambre de vide et l'on prévoit en plus de la soupape de soufflage 38 décrite, une soupape de succion 38a de const ruction anàlogue mais différemment orientée.
On prévoit
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également une lumière à vide 43a, une soupape à vide 45a et une valve de production du vide 42à, correspondant respective- ment à la lumière de soufflage 43, à la soupape d'admission d'air comprimé 45 et à la soupape d'alimentation de l'air com- primé 42 décrite plus haut. 36 5 7 1 2
LE MECANISME DE MOULAGE.
Les mécanismes de moulage appropries pour être utilisés dans la machine de l'invention, peuvent évidemment présenter des formes diverses. Dans les figs. la à 5, le mécanisme de moulage a été montré comme comprenant une série de moules de finissage 50, répartis sur le plan longitudinale médian de la machinée. Chaque moule est constitué de deux parties pivotées sur un chainon d'une chaire sans fin 51 des moules,se dépla- çant dans une trajectoire verticale fermée de la ligne médiane de la machine et au-dessous des orifices précédemment décrits
Comme il est montré, chaque chainon de la chaine à moules est constitué par une plaque 51 articulée aux plaques adjacentes et de chaque côté par des chevilles 51b portant des roulettes 51c,
qui sont engagées par les dents des deux paires de roues dentées 52, 53,une paire se trouvant à chaque extremité de la partie opérative du trajet du moule., et les dites roulettes étant ou dirigées dans des voies/guides 54 entre les dites paires de roues.,.
Les roues 52 sont fixées sur l'arbre 4 et servent de comm mande pour la chàine sans fin des moules, la vitesse relative de rotation des roues 2, 2a et 52, étant telles, que le trans- porteur à verre et la chaîne des moules se déplacent à la même vitesse.. Chaque plaque 51a possède un support vertical dans lequel peut glisser un manchon 55 pourvu d'une tête 55a à soon extrémité supérieure, cette tête étant reliée par des bielles 55b avec les moitiés de moule, de telle sorte,, qu'un mouvement ascendant du manchon a pour effet de rapprocher ensemble les
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deux moitiés des moules.
Le manchon 55 est remonté lorsqu'il est désiré de fermer les moules et,.ce au moyen d'un ressort 56 logé entre la tête de moule et la tête d'une tige - poussoir 57,, dont l'extrémité inférieure porte une roulette 57a se déplaçant dans une voie à cames 58 supportée dans le cadre de la machine..
Etant donné que les commandes du transporteur à tablier et de la chaine à moules, sont d'une construction telle et action- nées de telle façon, que chaque moule dans sa course opérative se déplace à l'unisson avec l'orifice co-opérant, il se fait que dans le but de maintenir rigidement les deux organes en régistration, on préfére comme représenté, entourer les extré- mités inférieures des orifices 24a par des moyeux tubulaires 60a et de fermer les moules sur les dits moyeux, les moules étants pourvus de sièges 50a pour les recevoir o
On préfère également de placer dans les orifices, des coussinets en deux pièces 60, qui forment les moules du col de l'article à fabriquer.
FONCTIONNEMENT.
Il est évident, que les différentes voies à cames précé- demment rappelées et spécifiées, sont disposées lelong du tra- jet du tablier transporteur et de la chaine à moules et qu'elles sont formées de telle façon, qu'elles actionnent aux temps de- sirés et à la manière désirée, les différents eléments précédem- ment décrits, qui sont actionnés par elleso. Avec une machine disposée et construite de cette façon, le fonctionnement est le suivant :
Au moment où chaque section du tablier transporteur arrive sur le trajet supérisur du tablier à l'extrémité de charge de la machine, les deux moitiés 24 des plaques de tablier sont séparées l'une de l'autre et la plaque de montage 30 est relevée, en dé- plaçant ainsi les mécanismes de pressage et de soufflage vers la ligne médiane du côté gauche du tablier.
Conséquemment, à ce moment, la chambre d'air correspondante à chaque section est de
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son côté vertical avec sa tête lisse et se trouve ainsi dans une position, dans son mouvement d'avancement, pour faire contact et pour osciller vers la ou les lumières 41 de glissage.. Pendant cette action de poussée le galet 35d de l'extension, fait contact avec la tige des soupapes 42 d'air et d'alimentation ou de vide,,pour admettre et/ou aspirer de l'air à partir de la pression et/ou des chambres à vide, dans la tête d'air, une quantité définie d'air.
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Les deux moitiés des plaques de tablier sont maintenant dans la suite du trajet de la section, amenées ensemble dans la ligne médiane de la machine et les différentes plaques forment un tablier pratiquement continu pour recevoir du verre,qui y est déposé en un ruban, par n'importe quel dispositif approprié qu'il n'est pas nécessaire de décrire, quoique l'on dit montré le ruban qui se dépose..
Le ruban de verre est alors transporté en avant par un tablier et le verre qui le constitue, descend à une certaine profondeur au travers des orifices du tablier. Peu de temps après la réception du ruban sur les plaques de tablier de n'im- porte quelle section, l'élément de montage 30 de la section est balancé de sa position verticale dans sa position horizontale et est maintenue dans cette dernière par la voie 32. Ceci amène la plongeur d'alimentation 33 dans La cavité 24b au-dessus de l' orifice correspondant et refoule le verre qui est dans cette cavité au travers de l'orifice pour y introduire la quantité nécessaire à la formation de larticle. peu après, la tête d'air et avec elle le plongeur 34 de formation du col, sont mise en dépression par la voie à cames 31.
Le plongeur annulai- re du col; descend et, conjointement avec les coussinets 60 insérés dans l'orifice, il forme le col de la jarre. Les soupapes de soufflage et/ou de vide 38 sont alors actionnées pour contrô- ler ou produire l'allongement et l'expansion du verre ai-desous de l'orifice et les moules de finissage 50 se forment autour du verre et le soufflage est terminé.
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Lorsque la section du transporteur approche de l'extrémité du débit à l'extérieur de la machine, la plaque de montage re- vient dans la position verticale ( danslaquelle position elle reste jusqu'à ce que la section en question arrive de nouveau dans sa course supérieure à l'extrémité de charge de la machine) et les deux moitiés de la plaque de tablier s'ouvrent ( position écartée dans laquelle elles restent jusqu'à ce qu"elles soient refermées comme décrit précédemment* Entre temps, les moules correspondantes se sont ouverts et retournent vers le commen- cement de leur course supérieure.
L'article soufflé reste donc suspendu au ruban de verre solidifié et à partir duquel diffé- rents articles ont été soufflés, Ce ruban peut être enlevé de la machine de n'importe quelle manière désirée et les articles peuvent être détachés dans la partie mince qui est produite par un épaulement 34 sur le plongeur annulaire du col coopérant avec les coussinets annulaires du col..
VARIANTES ET PARTICULARITES ADDITIONNELLES.
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Il résulte évidemment de la description qui précéde, que pour autant que les moules ne sont en usage que pendant une partie de la course supérieure du transporteur du verre, la voie des moules ne doit s'étendre que sur cette dernière par- tie de la course du transporteur, en abandonnant l'espace au dessus du transporteur utilisable près de l'extrémité de hharge de la machine, pour différents buts.
Conséquemment, comme montre fig.18, on a placé au-dessous de la première partie de la course opérative du transporteur, une chaine 65 constituée par des plaques articulées 65a se déplaçant dans une voie fermée verticale, chacune de ces plaques étant pourvue/ d'une tuyère 65b dirigée vers le haut sur un orifice qui se trouve au-dessuso Dans la coursa opérative, de la chaine de tuyères, ces plaques peuvent former le sommet d'une boîte à vent stationnaire 66 dans laquelle arrive de l'air sous pression.
La partie supérieure de la boîte à vent est divisee en une série de tuyères fixes 66a dans chacune desquelles se trouve un
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amortisseur 66b, au moyen duquel l'intensité du courant d'air provenant des tuyères mobiles peut être contrôlée sur diffé- rentes parties de leur course operative.- Ces tuyères peuvent n être utilisées pour contrôler l'alitement du verre descendant par les orifices, en le supportant partiellement et aussi, pour le former et pour refroidir le fond du verre descendu.-
Pour autant que la tuyère se déplace avec le verre, tout en faisant régistre avec ce dernier, le support réalisé est symétrique. 365712
Dans certaines circonstances il peut être également désirable de disposer une plaque de sustentation 67 ( voir fig.
le) au dessous des orifices de course initiale de la chaîne transporteuse, afin de supporter positivement le verre sortant des orifices.
Pour la production de certains articles, tels que des objets à col étroit, il peut être désirable d'utiliser des moules primaires ou de paraison et ce, en plus des moulas de finissage 50. Dans la fig.16 on a montré une methode de fabrication de l'espèce. Les moules de paraison 70 peuvent évidemment être supportés sur une chaine à moules supplémentai- re, remplaçant la chaind du tuyères 65 montrée dans la fig.
1b. Dans ce mode de procéder,la bouffée de verre forcee au travers de l'orifice par la plongeur d'alimentation 33,,est reçue dans un moule de paraison, et le plongeur de formation 34 forme la cavité du col, tandis que le soufflage initial est effectué pour former la paraison. La moule de paraison s'ouvre alors et la paraison résultante est amenée par le mouvement du tablier sur la chaîne des moules de finissage pour y être enfermée dans un moule de finissage 50 qui y est supporté.
Il est également évident, que la présente invention est applicable à la fabrication d'articles dans lesquels on em- ploie des moules de pressage au lieu d'employer des moules séparables, l'opération se faisant par pressage., Des formes d'éxécution de lespèce sont représentées dan les figso 17 et
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Dans la fig. 17 on montre la pressage d'un gobeleto.
Le plongeur de coulée 33 est du type précédemment décrite Las parties de moulage comprennent la moule annulaire de col 66a et le moule de pressage 70, ce dernier étant supporté sur l'extrémité supérieure d'une tige verticale 70a, pouvant glisser dans un support vertical allongé 70b, formé dans la plaque 51a de chacun des chainons de la chaine, correspondant en connexion avec la chaine de moules précédemment décrite.
Un poussoir 70c se projette dans le support à partir de son extrémité inférieure et porte à sa base un galet 70d se dé- plaçant dans une voie à cames 70e fixée dans le chassis de la machine.. Un ressort 70f est interposé entre le poussoir et la tige pour amortir la remonte du moule effectuée par la voie à cames 70e. Aucune pièce d'air n'est montré dans cette figure, étant donné que l'opération indiquée est une opéra- tion de pressage, dans laquelle l'article est formé dans les pièces de moule par la descente du plongeur de pressage, qui est convenablement formé à cet effet, 365712
Dans la fig. 18 on a montré un moule de pressage 80, qui est supporté par le transporteur à verre, sauf pour la remonte et la descente des fonds..
Le fond 80a se trouva monté sur l'extrémité supérieure d'une tige 80b, en vue d'un mouvement de glissement vertical, dans une console 80c dépendant de la surface inférieure de chaque plaque de tabliero. L'extrémité inférieure de la tige passe en des temps donnés appropriés sur une voie à cames 81, par laquelle le fond est remonté., Cette figure montre l'usage d'un plongeur de pressage pour former l'embouchure du gobelet et indique la présence d'un mécanisme de soufflage tel que celui précédemment décrit.
Sur les deux figures 17 et 18, on a illustré un amin- cissement des parois des articles, par une construction réalisée en 82 di col annulaire, afin de permettre le déta- chage aisé du verre se trouvant au dessus du tablier.