CH151614A - Machine pour travailler le verre. - Google Patents

Machine pour travailler le verre.

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CH151614A
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CH
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glass
conveyor
machine according
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plates
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Works Corning Glass
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Works Corning Glass
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  • Re-Forming, After-Treatment, Cutting And Transporting Of Glass Products (AREA)

Description


  Machine     pour        travailler    le verre.         Lia,    présente invention a. trait à. une     ma-           < @hine    pour     travailler    .le verre qui, bien  qu'elle     comporte    une bande sans fin pour  transporter le verre, préférablement sous  forme de ruban, .et des organes pour tra  vailler le verre avançant avec la bande,  comme     décrit    dans de brevet suisse n <B>134556,</B>  diffère de cette machine par des     caract6ris-          tiques.        procurant    certains avantages ,

  dans la       iabrication    de     certains        articles.        Ainsi,    la pré  sente machine comporte un     transporteur    pour  le verre     constitué    par une     pluralité    de sec  tions articulées munies     d'orifices    et coopé  rant avec des organes pour     travailler        -le    verre       ,#usceptib-les    d'un mouvement     oscillant    autour  des. .différentes sections du     transporteur.     



  A     cette    machine pourraient être     associé     une     partie    seulement ou la totalité des     dis-          positifs    suivants:  1. Un<I>dispositif</I>     pour        travailler   <I>le verre</I>  monté pour chaque .orifice sur les organes du  transporteur et     capable    de     ,

  s'avancer    d'une  position     au-dessus    du     transporteur    ou de s'en         retirer    pour     permettre    le     .dépôt    de verre sur  le     transporteur.     



  <I>2. Des dispositifs de</I>     moulage    formant en  tout ou en partie une part du transporteur.  Dans le premier cas, des parties des     :surfaces          de    moulage sont     montées    sur une deuxième  bande et marchent     pendant    le moulage en  coïncidence ou     au-dessous.        .des.        oTife.escorres-          pondants    du     transporteur    pour     mouler    le  verre pendant aux orifices, par -exemple lors  que Je moule     complet    est supporté par le       transporteur.     



  <I>3. Des réservoirs</I> -d'air associés     @et    portés  par les     .6téments        pour    travailler le verre et  avançant avec     ceux-ci    pendant la     marche    .du       transporteur,    ces     réservoirs    étant     chaxgés    sur  leur marche d'un     volume-    prédéterminé d'air  d'une     pliession        prédéterminée    qui est relâ  chée au bon moment peur effectuer     le    mou  lage :du verre.  



  4. Un     transporteur        comportant    deux ban  des à chaînons, chaque bande supportant     une          série    de     plaques    formant nappe et. un -dispo-           sitif    pour faire avancer     ces    plaques vers et  se retirer de la     ligne    médiane de la     machine     et des bandes par lesquelles elles :sont sup  portées.  



  En outre,<I>un</I>     arrangement   <I>et</I>     zone   <I>combi-</I>  <I>naison de</I>     moyens    qui seront décrits     plus    par  ticulièrement     ci-après.     



       Dans    le     -dessin    ci-annexé, Tes parties cor  respondantes     dans    des     différentes    figures por  tent les mêmes     chiffres    de référence. Ce des  sin représente, à titre d'exemple, une     fourme     d'exécution -de l'objet île l'invention.  



  Les     fig.    la, lb et le sont. respectivement  des élévations     latérales,    partie en coupe ides  extrémités de charge et de décharge d'une  machine suivant da présente invention:  Les     fig.    2a, 2b et 2e sont     des        plans;

       La     fig.    3 est une coupe transversale     ver-          ticale    près     -de    'l'extrémité de décharge de la       machine,     La     fig.    4 une coupe     transversale        verticale     par     le    bâti de la machine avec     certains    gai  des :

  et     glissières,     La     fig.    5 une coupe     détaillée    transversale       ut    verticale de da machine,  La     fig.    6 -des plans     de        certains        dispositifs     de la     fig.    5,  La     fig.    7 une élévation     latérale    de cer  taines     parties    de la     fig.    5,

    La     fig.    8 une coupe détaillée et     partielle     suivant .la digne     X$-X$    de     1a        fig.    lb,  La     fig.    8a une coupe partielle     .représien-          tant    da manière de -charger les     têtes,de    souf  flage;  Les     fig.    9 et 10 sont     des,    vues en perspec  tive d'un bloc de chaînons;

    La     fig.    11 est une coupe longitudinale ver  ticale à travers     un    tel bloc,  La     fig.    12 une vue -en perspective -d'un  bloc de     support    porté par un bloc de chaî  nons -et     supportant    une plaque de nappe,  La     fig.    13 une vue en perspective d'une  paire de     glissières.    .supportant une plaque de  nappe;  La     fig.    14 est un plan d'un bloc de chaî  non et de     certains    organes montés dessus;

    La     fig.    15 :est     une    vue schématique re  présentant le     moulage    d'une jarre à     fruits    par    une machine suivant les     figures    précéden  tes;

   ,la     fig.    16 est une vue     schématique    repré  sentant     l'.emploi    de d'objet -de l'invention<I>pour</I>  la     manufacture        d'articles    creux au moyen de  moules à     paraison    et     finisseurs;     Les     fig.    17 et 18 sont des détails     repré-          senIant        d'emploi    de d'invention pour la, ma  nufacture     d'articles    dans     -des    moules à  dépouillement.  



  Les différents moyens décrits ci-après  sont     portés    par un bâti 1 ayant     -deux    cadres  latéraux étayés et reliés     -ensemble,    de sorte       que        l'espace        entre    les cadres est     d:ibre    pour  recevoir les     éléments    de la machine. Ce ca  dre .est plus long que large et     porte    à chaque  extrémité et de chaque côté .de l'axe     longitu-          -dinal    des roues à chaîne 2, 2a, 3 et 3a.

   Les  deux     roue:,.    à la même :extrémité sont montées  sur un arbre transversal 4 -ou 5.     L'arbre    4  à     l'extrémité    -de     dé:charge    est     supporté    dans  des paliers ,6 fixés aux cadres,     tandis    que  l'arbre 5 à     ,l'extrémité    d'alimentation est  monté     dans,des    bras 7 que des     ressorts    8     ten-          ,dent    à     ,éloigner    de     Varbre    4.  



  .Le moyeu de chacune -des roues 2 et     \?a          est    muni d'une couronne :dentée 8a     (fig.    3)  engrenant avec un pignon 9     claveté    sur     'l'ex-          tmémité    intérieure d'un     tronc        .d'arbre    trans  versal 10 monté sur de cadre     correspondant     du bâti.

   Un pignon 11     claveté        sur    :chaque  extrémité extérieure     dudit    tronc     d'arbre    en  grène -avec une roue 12 sur     d'extrémité    exté  rieure     correspondante    de l'arbre 4. A une de  ses extrémités, d'arbre 4 :est mû par un pi  gnon 13 au moyen     -d'un,d@ispos!itif        @d'actionne-          ment    14 de n'importe quelle     nature    appro  priée. Ainsi ,les roues 2 .et 2a sont mues en  semble autour d'un     arbre-support    4 ,qui les  actionne à une vitesse inférieure.  



  Les expressions ,;droite" et "gauche" se  ront employées pour     désigner    -les deux côtés  de la machine en regardant depuis l'extré  mté     -d'alimentation    vers d'extrémité de<B>dé-</B>  charge.  



  <I>Le transporteur.</I>  



  Le     transporteur        comporte    deux moitiés  séparées longitudinalement qui seront dési-           gnées    pour plus de simplicité par     idroite        -et     gauche. Chaque moitié     consiste    en un certain       nombre    de sections articulées .l'une à d'autre  pour former une bande de chaîne 20 et une  bande sans fin 21.  



  Chaque section de chaque moitié du  transporteur comprend un bloc de chaînon 22  relié au bloc voisin -de<B>la</B> même moitié par des       chevilles    23 traversant -des     oreilles    22a aux  'deux extrémités du bloc et la moitié d'une       plaque    de bande 24. Les deux moitiés cor  respondantes de plaque de bande des, côtés  droite et gauche se touchent sur l'axe     Iongi-          tu.dina.l    de la bande.  



  Le bord     -d'avant    et d'arrière de chaque  plaque sur     la    partie     rectiligne    de la. bande  sont. en contact avec les bords     .des    plaques  voisines, de     sorte    que la bande présente une       #urface        continue    avec     .des    orifices 24a dont  les deux moitiés     :sont    prévues dans les bords       des    plaques, qui se     touchent    sur l'axe     longi-          tudinal    de la     bande.     



  Dans chaque plaque     -de        bande        au-dessus     et autour de l'extrémité supérieure des orifi  ces est prévu un creux 24a pour     recevoir    le  verre. Les contours -de     @ce    trou     @en    !coupe     ver-          ticale    sont tels, que les épaulements     :du    creux  vont en pente vers     d'arifice    ainsi que cela se  voit dans les     fig.    5 et 15.

   De     préférence,    les  diamètres des ouvertures .des creux sont   < égaux à. la     longueur    des plaques, de .sorte .que  le dessous de     la    bande     @eu    coupe     'longitbwdi-          nale    présente une série de hauteurs et     vail-          lons.    Chaque     bande        @de        chaîne    passe par les  cieux roues 2     -et    3, ou 2a et 3a du côté     corres-          hondant,du    bâti.  



  Chaque bloc ,de     chaînons    22     porte    à l'in  térieur .et l'extérieur de .son .bord inférieur,       lorsqu'il    est dans sa. :course supérieure entre  ,les deux roues à chaîne, des     nervures        22b     de guidage qui peuvent glisser dans deux       coulisses    25     supportées    par des     consoles    à   l'intérieur     .des    cadres du     bâti.    Les     blocs    -de  chaînon sont     fourchus,

      sur leur dessous en       22c    ainsi qu'on voit     dans        les        fig.    9 et 10,  pour y     recevoir        @l:a    jante et les dents     des     roues de chaîne dont     les    dents peuvent venir    en prise avec les     chevililes    de charnière 23 et  actionner les -bandes.  



       Chaque        bloc    -de chaînon possède ,deux per  forations parallèles     transversales,    22d dans       lesquelles    peuvent     glisser        ,librement    des     bar-          res-coulisseaux    26.

   Les     extrémités    de ces       coulisseaux    du côté     intérieur        :des    blocs sont  fixées aux     demi-plaques        -de    bande et les     @sup-          po.rtent,        tandis    que les     ,extrémités.    extérieures       ,sont    reliées par un joug 26a muni sur sa  face     inférieure    -d'un galet 26b qui roule dans  une     coulisse    à     came    27     fixé    au bâti.

   Par cet  arrangement pendant     -la    marche -du     transpor-          tour,    lies     coulisseaux    peuvent être     déplacés          transvers,alemen@déplaçant    par 'là les pla  ques     correspondantes    de la bande vers . l'axe       longitudinal    de     la.    machine.

   Chaque     coulis-          ,seau    26 peut     glisser        .dans    un     collier    26c, et  entre les deux     colliers        des    deux     coulisseaux     est maintenu un pivot 26d traversant un sail  lant.

   22e prévu sur le côté extérieur du bloc  de     chaînon.    Les extrémités     intérieures    des       coulisseaux    sont     normalement    poussées     contre     les     demi-paliers        22f    prévus dans des     saillies     <B>2,

  29</B>     sur        @le    côté     intérieur    du bloc au moyen  deus     demi-paliers    28a prévus sur un té     porté     par .l'extrémité     intérieure    d'un     levier    28 qui  est pivoté dans un renfoncement     22h    :du bloc  4e chaînon, un     ressort        28b    étant intercalé en  tre la surface supérieure, de l'extrémité exté  rieure et     la    tête .du bloc.

   Ainsi, les     demi-          paliers    28a cherchent à soulever les     jextr6mi-          té,s    intérieures des     coulisseaux    et à soulever  les     plaques        correspondantes    de 'la bande sans  fin, grâce au montage à pivot 26c, 22e.

   Ce  pendant, lorsqu'une pression     exâ.,çrér6e.    -est       appliquée    sur la     surface        supérieure        -d'une          ,p,laque    :de bande,     cette        plaque    peut céder en       eomp,rimant    .le     ressort    28b. De cette manière  toute     casse        -occasionnée    par une     pierre    péné  trant entre la !bande et les organes de mou  lage     -décrits    ci-après     -est    évitée.  



  Le montage     :des    plaques -de bande du  côté droit de la bande est semblable à     celui          ,décrit        fci-,dessus    pour     le    côté gauche, sauf  que les plaques     @de    bande, au dieu d'être mon  tées     rigidement    sur les     coulisseaux    26 y sont       montées        élastiquement    au moyen     de    ressorts      29     intercalés        -entre        coulissear    et plaque,

   afin       d'éviter    la     -casse    si du verre     s'introduit        entre     les     demi-plaques,    avant qu'elles se ferment  et     -de        procurer        @du    jeu lors d     @e    .la.     fabrication.     



  On a donc     construit    une     bande    pour le  transport de verre, bande sur laquelle le     verre     peut être     dëposé    pour former des objets au  moyen de différents orifices     prévus    dans la  bande.     Evidemment,    -les organes de moulage  peuvent     être        changés    .suivant l'objet et     -,le          p-rorcédé        empluyé    pour sa     fabrication.     



  Les     fig.    1 à 15 représentent une bande  pour .le     transport    -du verre dans une machine       destiné!.-    à la. fabrication     d'articles.    soufflés  tels que des jarres. A cet effet, .des -disposi  tifs     de_        soufflage    et     @de    moulage     sont    néces  saires..

   Ils .sont     construits    comme suit:  Une broche 30a est montée entre des       pattes    221 sur le     idessus    des     saillies    229     -dc     chaque     #b,lo.e    ,à chaînon de     la    bande -de gauche.

         Cette    broche porte sur des     bras    rigides 30b  un     dispositif    30 dans une     monture    30e     qui,     dans sa position horizontale     montrée    en       fig.    5 coïncide     -exactement    avec     l'orifice        @cor-          respandant    de la nappe.

   Un secteur denté  30d fixé sur la broche 30a engrène avec     une     crémaillère 30e qui pleut glisser     dans    le des  sus -du bloc .de -chaînon.     L'ex@rémité        exté-          rieure    de la     :crémaillère        porte    un galet 30f  qui peut glisser dans une coulisse à came  31 portée par un support qui fait     saillie    de  puis le cadre     gauche,du    bâti.

   Dans. la. position       du.        dispositif    30, montrée -dans la     fig.    5, un  galet<B>309</B>     sur        l'extrémité    libre du dispositif  30 roule     danse    une     coulisse    à :

  came 32 sur le  côté droit du bâti -et     maintient    ainsi     @    le     dis-          pasitif    30     dans    .sa position     rabattue.    Si ce       galet        309    quitte     @la        coulisse    32,     @le        ,dispositif     30 peut être soulevé :en glissant la crémail  lère 30d vers     l'extérieur    au moyen de ,la cou  lisse à     :

  cama    31 jusqu'à ce que le dispositif  soit dans sa position     119,    plus     élevée    repré  sentée dans     da        fig.    3 en coupe.     Les,deux        demi-          plaques    de chaque élément     de    nappe peuvent  être     alignées    au moyen des, barres     coulisseaux     26     engagées,        :dans    les trous 240.    <I>Dispositif de soufflage.</I>  



  Un manchon 33a portant à son     extrémité          inférieure    un bourrelet 33 qui peut s'intro  duire     depuis    e haut de     la    cavité 24a .dans  la plaque de bande sans fin et     concentrique     <B>,</B>     ave        ,c        i1'orifice        correspondant        est        monté        dans        la     monture 30e de chaque dispositif 30.

   Les       baurrelet.s    ont une     surface        :circonférentielhe          ,conique    ainsi que cela se voit -à la     fig.    5, de  sorte qu'en     s'introduisant    .dans les cavités, ils       resserrent    le     verre        dans    les     orifices.        Poix          cette    raison,     :

  ee    bourrelet     s.ara.        appeilé        ci-          après    plongeur     d'alimentation.     



  Un autre plongeur 34 est monté dans ce       plongeur    33 pour former les goulots,     plon-          geur,dont    .la partie     inférieure    .est capable de  s'introduire dans les     orifices        -correspondants          des        plaques    de nappe et de mouler la     partie     supérieure de     Ja    jarre. L'extrémité     supérieure     du plongeur 34     est    pivoté.- en 35a sur une  tête     creuse,de        .soufflage    35 qui, normalement.

    est maintenue :en position élevée par un res  sort     hé#icoi#dal    36. Le     fond,de        qa    tête de souf  flage     est    muni -d'un     renforcement    35b qui en  toure .le manchon 33a :et le     ressort        35a.     



  La     tête,de    soufflage 35 est munie     d'un:.-          partie    35e saillante vers .le haut -et supportant  un galet 35d et aligné     sur        lies,    plongeurs 33  et 34 qui, pendant.     qa        eourse    supérieure de  la     bande        est    guidé dans une     coulisse        -,    came  37.

   Cette coulisse a. une forme telle qu'elle  fait abaisser la tête .de soufflage-au moment  voulu pour introduire le     plongeur    pour le       mo,uilage,du    goulot dans. l'orifice de     da    nappe.  



  Pour     l'introduction    de -l'air dans les ob  jets à souffler, chaque plongeur 34 devant  former le goulot est     muni    d'une     .lumière    d'air  centrale 34a qui est en communication à son       extrémité        supérieure    avec un réservoir .d'air       aménagé    à .l'intérieur de la tête -de     soufflage.     



       Enconsidérant    maintenant     seulement    une       construction    dans     'laquelle    on     -désire    régler       l'admission    de l'air de soufflage, on voit sui  vant les     fig.    6 et 18 que la communication  entre     ils    .lumière du     plongeur    à     pression    et  <B>la</B> chambre de la     tête    de soufflage     est    con  trôlée par une soupape     @de    soufflage 38 ac  tionnée au moment voulu par une coulisse à      came 39     (fig.    5)

   !en     contact    avec la tige de la  soupape et supportée par     le    cadre du côté  droit du bâti.  



  La tête de soufflage est employée comme       réservoir    pour -emmagasiner un volume pré  déterminé d'air sous pression et à cet     effet     une lumière d'admission d'air sous pression       1-3    est.

   prévue sur le côté gauche de .la ma  chine     (fig.    8a) dans un coulisseau 40a qui  est animé d'un mouvement transversal dans  un     châssis.    40b fixé au bâti possède une tête  plate 40e du     -côté        intérieur    du     châssis.    Le     cou-          lisseau    40a est     poussé    vers l'intérieur clé la  machine par un     ressort    40d, ode sorte que la  tête 40c .est pressée     contre    le dessus ode la  parties saillante de la tête de :soufflage lors  que     :

  celle=ci        entre    dans. la course supérieure       horizontale    de     qa    bande.  



  A ce moment, le dispositif 30a assume  une position     verticale,    de sorte que ,le     dessus     de la tête -de     soufflage        rabattue    est     verticail     et peut venir en contact intime avec     Ida    tête  du     coulisseau.    La partie saillante de la     tête          die    soufflage possède une (lumière 44 contrô  lée par     une    soupape     d'arrêt    45.

   L'intérieur  du     coulisseau    communique avec une source  d'air     comprimé    marquée par un tuyau 41,  communication qui -est     -contrôlée    par une sou  pape 42 dont la     tige    vient -en contact avec et  est actionnée par un galet 35d monté sur la  tête de     .soufflage    lorsque de passage de .la sou  pape     d'arTêt    45     coïncide    avec de passage du       eou,lisseau.     



  Donc le     réservoir    ,de la tête     @de    :soufflage  reçoit une charge d'air lorsque da     partie        saâl-          lante    de da tête passe devant la lumière     d'aad-          mission    d'air sous pression 43 -et Vair -ainsi       r#mmagasin        édans    ladite chambre est utilisé  pour le     :

  soufflage        ,de    la     jawre    pendant     un    mo  ment réglé par     l'ouverture        @de    la     soupape    de       ,zoufflage    38.  



  Dans     -certaines    conditions, il peut être     dé-          .ira,bl$,    non seulement d'injecter de l'air     ,dans     les objets à souffler, mais     aussi    d'en retirer  l'air. Dans -ce cas, la tête de soufflage sera     -di-          @-isé.e    en deux compartiments, l'un pour l'air  comprimé tel qu'on l'a     décrit    ci-dessus et  l'autre relié à une chambre à vide.

   Il y aura    alors à     part    la     soupape    38 une     soupape    de       succion    38a d'un     arrangement    semblable  mais orientée autrement. Il y aura aussi une  lumière à vide 43a, une soupape d'arrêt du  vide 45a -et une soupape d'admission du vide  42a correspondant respectivement à la lumière  de     .soufflage    43, la soupape d'arrêt .d'air  comprimé 45 et la soupape d'admission d'air  comprimé 42     décrits    ci-dessus.    <I>Dispositif de moulage.</I>  



  Les dispositifs -de     moulage        pour        ;la        ma-          'chine    décrite peuvent être très     différents..     Dans les     fig.    la à 5, le dispositif     représenté     qui     comporte    une série     -de        moules    ,de finissage  50 :

  qui ont     leur    plan  < de séparation ,sur l'axe  médian de la machine,     les    deux     moitiés        -de     chaque     moûle    étant pivotées sur .des pivots  portés par une bande 51 guidée     dans,des        cou-          lisses    en     @dessous        ides        orifices        mentionnés        ci-          dessus.    Chaque chaînon     ,

  d-e    la bande     comporte          une    plaque 51a articulée aux plaques voisines  sur chaque côté     par,des    broches     51b    portant  des galets     51c    qui     s'engagent    avec ,les     ,dents     ;de -deux paires de roues à chaîne 52, 53 dont  une paire est     prévue    à chaque     extrémité    de  la partie     opérative    de la course de     moulage     et qui sont guidés dans .des     ,coulisses    54.  



  Les roues 52 sont     figées    sur     l'arbre    4 ,et  servent à faire marcher la     bande,d@e    moulage  et ,la vitesse relative des     roues    2, 2a et.52     :est          talle    que de transporteur  < de verre     et    la     bande     de moulage se meuvent     @de    la même vitesse.  Chaque plaque 51a a -un palier     vertical,    dans       lequel        peut        glisser    un manchon 55     muni     d'une crosse 55a à son extrémité supérieure.

    Cette crosse     est    reliée par -des chaînons     55b     aux     demi-moules,    de s     orte    qu'un mouvement  vers le haut du manchon cause la     fermeture     des     demi-moules.    Le manchon 55 est soulevé  pour fermer les moules su moyen     d'un    res  sort 56 intercalé :

  entre sa tête et .la     tête    d'un       poussoir    57 !dont     l'extrémité    inférieure porte  un galet 57a guidé dans une coulisse 58       fix6e    au bâti de la     machine.       Les mises en marche de la bande     'sans    fin  et de la bande à moules sont     construites    de      façon que chaque moule, pendant sa.

   course  op     érative,    marche en     coïncidence    avec son       orifice    respectif     -coopérant,    en outre on peut  entourer les extrémités inférieures .des orifi  ces 24a     (fig.    5) de mamelons.     tubulaires    60a  .et fermer les     moules    sur     aces        mamelons,    les  moules étant munis     à,cet    effet de sièges 50a.  



  On peut     aussi    placer dans les orifices       des        -coussinets    60 en     deux    parties,     qui,consti-          tuent    les     moules,du    goulot     -des,    objets à fabri  quer.  



       Fonctionnement.     <B>Il</B> faut constater que ,les     -coulisses    à -cames  mentionnées ci-dessus sont placées sur la.  course -de la nappe sans fin et de la bande  à     moule    et sont formées -de façon     telle    que  les dispositifs     décrits,        ci-dessus    sont     actionnés     au moment voulu     -et,de    la manière     voulue.    Le  fonctionnement de     cette    machine se fait  comme suit:

    Quand     :chaque    chaînon .de la nappe sans  fin     arrive    à la hauteur de la     course    supé  rieure -de la     nappe,du    ,côté de l'alimentation,  les deux moitiés 24 -des plaques se sont sépa  rées et les dispositifs 30 sont dans leurs po  sitions relevées;     les        têtes        @de    soufflage sont  aussi rabattues sur le côté gauche de l'axe  médian -de .la nappe. Ainsi, à ce moment, la  chambre d'air de chaque tête     est    tournée de  côté et     glisse    pendant sa marche le long de  la tête plate 40e -et de la ou :des soupapes 41.

    Pendant ,ce glissement, le galet 35d touche la  tige de la ou des     soupapes        d'admission    d'air  ou de vide 42 pour     admettre,    ou faire sortir  -de l'air .depuis les chambres -de pression ou  de vide dans la tête     de    soufflage.  



       Pendant    que le chaînon continue d'avan  cer, les deux     demi-plaques    de bande se re  ferment et des plaques forment alors une sur  face continue pour recevoir le ruban de verre       .qui    est -délivré par un dispositif non     Tepré-          senté.     



  Le     ruban    de verre est transporté en avant  par la bande et le verre s'affaisse dans les  orifices de la nappe. Peu après le .dépôt. du  ruban sur la nappe, le dispositif 30 -du chaî  non     respeet.if    est rabattu     iàe    sa     position    rele-         vée    et est maintenu dans cette position par  la rainure 32.

   Cela amène ale plongeur 33       -dans.    la     cavité        241)        au-dessus    de l'orifice     c.or-          respondant    et pousse     @le    verre qui se trouve  dans cette cavité à travers l'orifice pour four  nir la     quantité    nécessaire     @de    verre pour for  mer l'objet. Peu après, Ils tête de soufflage  et avec lui le plongeur pour former le goulot  34 est abaissé ,par la coulisse à came 31.

   Le  plongeur 34     ,descend    et en     c.opération    avec les  coussinets 60     insérés    dans l'orifice forme .le  goulot de     @la    jarre.     Les,    soupapes ,de soufflage  ou -du vide 38 sont mises en     fonction    pour  allonger et souffler le verre au -delà de l'ori  fice, sur qui le moule de finissage 50 se  ferme sur le verre suspendu et le     soufflage     est terminé.  



  Lorsque .le chaînon respectif du transpor  teur s'approche de     @l'extrémité    de -décharge     .de     la machine, ,le dispositif 30 est     relevé    dans  une position verticale et     reste    dans     cette    posi  tion jusqu'à -ce que le chaînon respectif arrive  de nouveau à la hauteur de 'la     @course    supé  rieure du     transporteur;        ,les        demi-plaques    de  la bande s'ouvrent. et     restent    dans     cette    posi  tion     jusqu'au    moment indiqué ci-dessus.

   Dans  l'entre temps, les, moules correspondants se  sont     ouverts        -et    retournent .dans pleur course       supérieure.    L'objet     soufflé    -est laissé ainsi  suspendu à du     ruban    solidifié qui a ainsi       servi    pour souffler plusieurs     -objets.    Un     tel          ruban    peut     être    enlevé     @de   <B>la</B> machine d'une  manière quelconque et l'objet -est cassé du  ruban sur la partie amincie produite par  l'épaulement 34 !du plongeur     pour        former    le   

      goulot        #-oopërant    avec le -coussinet du goulot.    <I>Modifications et</I>     caractéristiques          additiosmeltes.       Puisque     :les.    moules sont utilisés pendant  une partie seulement de la :

  course supé  rieure du transporteur de verre, il     .est        évi-          dent    que la bande      & s    moules peut     @seule-          ment    être établie sur la .dernière partie de       cette    course, laissant ainsi l'espace au  dessous du     transporteur,    près de l'extrémité  d'alimentation disponible pour     d'autres    usa-           ges.    Également, on peut, comme il est mon  tré à da     fig.    16,

   placer au-dessous de la pre  mière partie de la course     utile    du transpor  teur une bande 65 composée de plaque     arti-          cuMes    65a guidées dans .des     coulisses    à re  bord et munie d'une buse 65b dirigée vers .le  haut vers un     orifice.    Ces     plaques    peuvent       former,    sur la partie opération de la bande,

    le dessus d'une boîte de soufflage station  naire 66 alimentée par .l'air     comlirimé.    La       partie    supérieure de cette boîte est divisée  en une série de buses fixes 66a ayant cha  cune un clapet     66b    pair     !lequel    l'intensité ,du  jet d'air sortant .des buses     mobiles    sur cer  taines parties -de leur course utile. De telles  buses peuvent être employées pour régler     .le     prolongement du verre qui s'affaisse dans  les     orifices,    ou bien pour former ce prolon  gement ou pour refroidir son fond. Grâce au  fait que la     buse    marche avec le verre.

   Bien       a.,justé,    l'effet. -du jet .d'air est symétrique.  



  On peut aussi .disposer .des     mabres    6 7       (fig.    le) au-dessous des     -orifices    au commen  cement de da bande de     transport    pour sup  porter le verre ;directement quand il débou  che par     des    orifices et pour le     mabrer.     



  Pour     @la    fabrication -de certains     objets     avec .des goulots très étroits, on peut aussi  employer     -d'abord    à côté des moules de finis  sage 50 -des     moules    -de     paraison        (fig.    16). Les  moules de     paraison    70 peuvent     être    suppor  tés par une bande accessoire qui remplace  la. bande 65 de la     fig.    18.

   Dans ce procédé,     la     feuille de     verre    pressée à travers     l'orifice    par  le     T#loangeur    33 est enfermé     dans    un moule  de     paraison.    Le plongeur de moulage 34  forme !le creux .du goulot et un soufflage ini  tial forme la paraison. Le moule de     paraison     s'ouvre alors et     l'ébauche    est avancée par le  mouvement ,de la bande sur la bande de fi  nissage où il est enfermé dans un moule de  finissage 50.  



  L'objet de cette invention peut aussi  être utilisé pour la fabrication     @d'objets,où    des  moules indivisibles sont     ,employés    et où on  se sert ,de la pression. De     oes        moules    sont       représentés,    par exemple, dans , -les     fig.   <B>17</B> -et  18. Dans la     fig.    17 est montrée<B>l</B>a confec-         tion    d'un gobelet. Le plongeur d'alimentation  33 est du type décrit ci-dessus. Les parties  ,de     moulage    comportent le moule -du goulot  60a .et un moule     indivisible    70.

   Ce     dernier     est porté par la tête d'une tige verticale 70a.  coulissant dans un manchon     70b    allongé venu       dans    la. plaque 51a de chaque chaînon     -d'une     bande     -disposée    comme la bande de     moulle    dé  crite ci-dessus. Un poussoir 70e     -est    guidé       par    ce manchon et     parte    sur son extrémité in  férieure un galet 70â se mouvant dans une  coulisse à, came 70e fixée au     bâti    de la ma  chine.

   Un     reccsort    70f est intercalé entre le       poussoir    .et .la tige 70a pour amortir la pous  sée du moule -produit par la coulisse 70e.  Aucun organe     pneumatique    n'est montré  dans     cette    figure parce -que le procédé est à  pression,     c'est-à-dire    où l'objet est formé     par     4e mouvement descendant d'un plongeur au  qual on a donné une forme appropriée.  



  Dans. la     fig.    18 est montré un moule in  -divisible 80 qui, -à     l'exception    de :son fond  mobile, est     porté    par le transporteur de  verre. Le fond 80a constitue -la     tête    d'une  tige     80b    qui peut glisser dans     une    :saillie  formée sur la face inférieure de chaque nappe  sans fin. Le bout     ide    la tige glisse à certain  temps sur une came 81     qui    soulève le fond.  Cette     figure    montre l'emploi d'un plongeur  à pression pour mouler l'orifice du gobelet et  l'arrangement     ,de    la tête de soufflage.  



  Dans ,les deux     fig.    17 .et 18 a     été        .repré-          sent6        un    dispositif     pour    amincir     1e    goulot eu  82 pour faciliter !la     séparation    de l'objet du  ruban -de verre.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine pour travailler le verre, caracté risée en ce ,qu'ellecomporte pour le verre un transporteur constitué par une pluralité de sections articulées l'une à l'autre -et munies d'orifices et associées à des organes -de mou lage capables d'un mouvement oscillant -au tour des différentes :sections du transporteur.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine suivant la revendication, carac- t6risée en .ce que les organes pour tra- vailler le verre sont capables d'exécuter des oscillations latérales et comportent des moyens pour exécuter ces mouvements pendant la marche du transporter.r. 2 Machine suivant la revendication, earac- térisée en ce :
    que le transporteu :r comporte deux bandes parallèles ,à chaînons arti- oulés, chacune avançant dans des cou lisses avec rebord faisant saillie vers l'in térieur .et :des plaques supportées par les ehaîn:ono des bandes susdites, ces chaî nons se rencontrant dans l'axe Iongitu- dinal de la machine et étant conformés de manière à s'ajuker .l'un à d'autre :
    en ménageant .des orifices dans lesquels le verre peut s'enfoncer, .des moyens étant. prévus pour alimenter le transporteur d'un ruban de verre ainsi :que des @m6ca- nismes d'@alimen@atio:n d'air sous pres sion qui avancent avec ,les plaques et entrent .dans des :orifices de :ces plaques.
    3 Machine suivant la. sous-.revendication 2, ,caractérisée en :ce que chaque orifice possède une :cavité évasée aru-idess:us :
    d-e et concentrique avec ,l'orifice, et qu'un -dis positif de moulage est arrangé sous le transporteur de verre, les mécanismes d'alimentation d'air sous, pression compor tant au moins un piston se mouvant avec le transporteur et pouvant s'introduire dans les orifices et forcer le verre à travers ces orifices pour former des étranglements aux :
    objets fabriqués. -1 Machine suivant da suus-revendication 3, .caractérisée en .ce que le mécanisme d'a limentation comporte, pour former des <B>go</B> ùlots, un plongeur capable -de s'intro duire :dans :chaque orifice et (de former définitivement le goulot de l'article. 5 Machine suivant la sous-revendication 4, caxactérisée par un mabre placé en des sous et en ligne uve.c la direction de mar che des orifices.
    6 Machine suivant la sous-reven:dicatio:n 3. caractérisée par des becs à air sous pres sion dirigés vers les orifices .et avançant au-dessous des orifices et avec ces .der niers. r Machine suivant la sous-:revendication 6, raractéri:sé par .deux bandes .sans fin ar rangées l'une derrière l'autre et dont cha cu:u possèède une partie opérative -en ,ligne :
    droite au-dessous du transporteur munie d'organes de forme différente pour mouler le verre. 8 Machine suivant 1:a reveudkation, carac- térisée par des dispositifs de soufflage de verre comportant .chacun un réservoir d'air et une soupape de soufflage et tous arrangés -de façon à osciller latérale- ment sur les différents chaînons du transporteur et.
    par des moyens pour charger .lesdits réservoirs et pour ,en uti liser .la charge pour le soufflage. 9 Machine suivant la. sous-revendication 8, caractérisée en ce qu'une ,lumière d'a-d- mission -d'air est prévue, en face de la quelle les réservoirs :
    d'air passent pendant la manche du transporteur. 10 Machine suivant la, sous-reveudication 8, caractérisée en ce que .les réservoirs d'air sont munis d'une soupape d'arrêt et -d'une soupape d'admission .d'air actionnée lors de la coïncidence de la soupape d'ar rêt et de da. lumière d'admission d'air.
    11 Machine suivant la revendication, carac térisée en ce que (le transporteur comporte deux moitiés @de plaques articulées et<B>mu-</B> nies d'orifices, plaques. qui :se rencontrent dans un sens longitudinal :et :des moyens pour rapprocher et éloigner mutuellement les deux moitiés, des ressorts étant prévus entre des organes produisant ce mouve ment.
    12 Machine suivant la revendication, ca.ra:c_ térisée en ce que le transporteur comporte deux moitiés, dont :chacune comprend une série de blocs articulés en forme de chaîne et une série de plaques formant une nappe animée d'un mouvement latéral et supportée par la chaîne.
    1.3 Machine suivant la revendication, cara-c- t:éris.ée -en ee que le transporteur @de verre présente sur sa surface inférieure .des bourrelets qui entourent la partie inférieure des orifices du transporteur, une !série de moules étant prévue qui marchent en unisson avec la nappe et en trent en prise -avec lesdits bourrelets. 14 Machine suivant .la revendication,
    carac- térisée en @ce qu'un élément du transpor teur comprend un bloc de @èhaînes arti- eulé sur .les blocs ,contigus du transpor teur,
    une plaque supportée par le !blae de chaînon eapable d'un mouvement qaté- ral et un palier .élastique qui supporte 1a plaque sur le bloc & chaînon. 15 Machine suivant la sous-revendication 14, ,caractérisée en ce que Ses éléments poux travailler le verre sont capables d'osciller latéralement sur le bloc de chaînon.
    <B>16</B> Machine suivant .la revendication, carac- téris6e en ce -que da surface @du transpor- teur -de verre sans fin -comporte dans une partie ayant un mouvement Tectiligne une -série -de dépressions -et d'élévations ,et des orifices au fond ,
    de .chaque dépres- sion.
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