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Procédé et dispositif pour amener les boîtes à la machine à remplir, lors du remplissage des boites d'allumettes.
La présente invention a pour objet un procédé pour amener les boîtes à la machine à remplir lorsqu'on remplit les boîtes d'allumettes, ainsi qu'un dispositif destiné l'exécution de ce procédé,
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Dans les procédés et dispositifs connus jusqu'ici pour la fabrication mécanique des allumettes, après avoir enfilé les pièces intérieures ou tiroirs des boites dans les enveloppes extérieures ou étuis des boites au moyen de machines à enfiler, ou après avoir enfilé:
'et étiqueté dans des machines à enfiler et à étiqueter, on laisse tamber les boites enfilées pâle-mêle dans des récipeinte oonvenables, ou bien les boites sont poussées au dehors à tour de rôle dans de petits récipients particuliers, qui,, après avoir été remplies sont enlevés à la main de la ma- chine à enfiler ou de la machine à enfiler et à étiqueter et sont introduits ensuite, également à la main, dans le magasin de la machine à remplir destiné aux boites vides, d'où ils sont poussés au dehors par voie mécanique sur la ohaine de transport des boi- tes de la machine à remplir.
Les boites sont remplies d'allumet- tes sur cette ohaine et sont ensuite poussée au-dehors de la ma- ohine à remplir, Lrosque les récipients pour les boites vides ont été vidés dans la machina à remplir, ils sont renvoyés également à la main à la machine à enfiler ou à la machine à enfiler et à étiqueter pour être remplis à nouveau. Ce procédé connu présente plusieurs inconvénients. Il exige d'une part beaucoup de main- d'oeuvre, et d'autre part, les récipients pour les boites vides sont soumis à une usure considérable de sorte qu'ils doivent ê- tre remplaoés souvent par de nouveaux. De plus, les récipients pour les boites vides exigent un encombrement important dans les locaux d'ussines, lesquesl doivent par conséquent être exécutés avec des dimensions plus grandes qu'il ne le faudrait sans oela.
Le but du.procédé faisant l'objet de l'invention est d'é- liminer ces inconvénients. La procédé consiste principalement en ce que les boites enfilées dans la machine à enfiler sont trans- portées automatiquement au moyen d'organes de transport appropriés de la machine à enfiler vers la machina à remplir. Il est possi- ble ainsi de se passer des récipients mentionnés ci-dessus pour les boites vides qu'il,faut transporter à la et de supprimer
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les inconvénients occasionnés par oes récipients. Le dispositif ménagé pour Inexécution de ce prooédé comprend principalement un ou plusieurs organes de transport qui envoient automatiquement les boites enfilées de la machine à enfiler vers la machine à remplir.
Ce ou ces organes de transport peuvent être à cet effet munis avan tageusement d'organes qui servent à guider les boites et qui sont disposés ou façonnés de telle sorte qu'ils maintiennent les boites enfilées dans des positions déterminées d'avance pendant le trans- port, afin que ces boites ne se mettent pas en désordre. Comme on ne peut pas éviter en pratique que les boites se séparent parfois lors de l'enfilage il peut arriver, pendant ce transport automa- tique des boites de la machine à enfiler vers la machine à remplira que des boites manquent parfois dans les endroits de la machine à remplir où ces boites devraient se remplir d'allumettes.
Pour écar- ter cette diffioulté, l'invention comprend également un dispositif pour régler l'amenée de portion d'allumettes aux postes de remplis- sage de faon à être en coïncidence aveo l'amenée des boites vides, de sorte que des partions d'allumettes ne peuvent pas être poussées aux postes de remplissage pour lesquesl il manque des boites vides pour recevoir ces allumettes.
Aux dessins annexés sont représentées, à titre d'exemple plusieurs formes d'exécution de dispositifs pour effectuer le nou- veau procédé.
Les figures I et 2 représentent un dispositif suivant ltin- vantion pour transporter automatiquement les boites de la machine à enfiler vers la machine à remplir, la figure I montrant le dis- positif en plan et la figure 2 en coupe suivant la ligne II-II de la figure I.
Les figuras 3 et 4 représentent une forme d'exécution quel- que peu modifiée du dispositif de transport automatique destinée à être utilisée en même temps qu'un dispositif de transport des boites de la machina fabriquant les boites à la machine à enfiler
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du type déorit dans la demande de brevet déposée an Belgique la 18 octobre 1928 sous le numéro 279.992 aux noms de MELLGREN, SJÖSTRÖM, SWÄLAS et HEDIN pour: "Procédé et dispositif pour trans- porter pendant leur fabrication les boitas d'allumettes depuis la machine à faire les boites jusqu'à la maohine à les enfiler", la figure 3 montrant le dispositif en plan et la figure 4 en coupe suivant la ligne IV-IV de la figure 3.
Les figures 5 à 7 montrent une forme d'exécution du dis- positif réglant l'amenée des portions d'allumettes aux postes de remplissage de facon à se trouver en coïncidence aveo l'amenée des boites vides.
Les figures 8 à 21 montrent quelques autres formes d'exé- oution de ce dispositif.
Dans la forme d'exécution représentée aux figures I et 2, 1 désigne la machina à enfiler, à laquelle on amène de faon con- nue les étuis ou boites extérieures 2 et les tiroirs ou boites intérieures 3 au moyen de tabliers de transport sans fin 4 et 5, qui circulent chacun dans un tiroir 6 ou 7. On n'a représenté que les organes principaux de la machine à enfiler, parmi lequels la mâchoire d'enfilage 8 formée de languettes élastiques.,'le piston 9 qui sert à introduire les étuis ou boites extérieures 2 dans cette mâohoire, et le piston d'enfilage 10 qui sert (en se dépla- gant vers le bas de la figure 1) à enfiler les tiroirs ou boites intérieures 3 dans les étuis ou boites extérieures à travers la mâchoire 8.
Lorsque les étuis et les tiroirs parviennent vis-à-is des pistons 9 et 10 dans la position d'enfilage, ils s'appuient oontre des butées fixes II et 12, l'étui qui se trouve contre la butée II étant alors attaqué par le piston 9 et poussé quelque peu dans la mâchoire 8, tandis que le tiroir se trouvant le plus près de la butée 12 est attaqué par le piston 10 et est enfilé dans le dit étui à travers la mâchoire 8.
Le piston 9 se déplace ensuite, de façon connue un peu en arrière, tandis que la piston 10 continue à se déplacer en avant (vers le bas/de la figure 1),
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de sorte que l'étui est libéré de la mâohoira 8 et que la boita désormais enfilée se trouve juste vis-à-vis du couloir de poussée 13 et du piston 14, ce piston 14 servant à pousser les boites en- filées dans ce oouloir 13. Les pistons 9 et 10 reviennent alors tout-à-fait en arrière,, de sorte que les tabliers transporteurs 4 et 5,peuvent pousser les étuis et tiroirs suivants contre les butées II et 12, tandis que la boite qui vient d'être enfilée est attaquée par le piston 14 et poussée dans le,oouloir 13 où elle pousse devant elle les boites 15 déjà enfilées précédemment.
La piston 14 revient alors de nouveau en arrière et le cycle d'opé- rations déorit recommence, Après que les boites enfilées 15 ont été ainsi poussées dans le oouloir 13, elles peuvent être pourvues d'étiquettes de faon connue. La dispositif néoessaire à cet effet n'est cependant pas représenta au dessin, car il ne constitue pas l'objet de l'invention.
Dans les machines à enfiler connues jusqu'ici, on laisse tmmber les boites enfilées pêle-mêle du couloir 13 dans un réci- pient collecteur, ou bien ces boites sont repoussées hors du cou- loir 13 vers le cote et), posées sur un bout, elles sont introduites à tour de rôle dans de petits récipients particuliers qui, dès qu' ils sont remplie sont enlevés à la main de la machine à enfiler etsont introduits également à la main dans le magasin de la machi- ne à remplir destiné aux boites vides.
Ces réoipients sont ensuite poussés à tour de rôle hors de ce magasin sur la chaîne de trans- port des boites de la maohine à remplir, pour être déplacés, en étant portés par cette chaîna vers les postes de remplissage où ils se remplissent d'allumettes.,
Au contraire suivant la présente invention., les boites enfilées 15 dans le couloir 13 sont transportées automatiquement et directement vers la machine à remplir. Celle-ci peut être de construction quelconque convenable La machine à remplir représen- tée aux figures I et 2 est du type Lagerman connu, et elle est exéoutée de fapon qu'elle puisse remplir d'allumettes six boites
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à la fois.
Le nombre de boites qua l'on remplit en une seule fois est évidemment sans importance au point de vue de l'invention, pourvu qua l'on veilla à ce que, lorsque l'organe de commande de la machine à enfiler et celui de la machine à remplir sont ac- couplés, leurs nombres de tours soient choisis de telle façon que le nombre des boitas enfilées par unité de temps coïncide avec la nombre de boites remplies pendant la même unité de temps.
La machine à remplir représentée est munie, de la faon habituelle, d'une chaîne sans fin 16 pour le transport des boites, qui sa déplace de façon intermittente dans le sens indiqué par les flèches 17 sur deux roues à chaîne polygonales 18. Les boites enfilées 15 sont poussées directement, au nombre de six à la fois,, du oouloir 13, qui se prolonge jusqu'à la machine à remplir, sur la chaîna de transport 16, au moyen d'un piston 19 qui peut se déplacer suivant,une direction perpendiculaire au couloir 13.
Comme le montre la figure 2. le piston 19 est fixé sur l'un des bras d'un levier coudé 20, qui peut tourner autour d'un axe fixe 21 dans le bâti de la machine et qui est actionné par un ressort 22 et par un disque-came 23 sur l'arbre principal 24 de la machi- ne. La machine à remplir est pourvue en outre de la faon habituel la :
de six pistons 25 servant à repousser un peu les tiroirs hors des étuis (pour ouvrir les boites) afin que les boites puis- sant recevoir les portions d'allumettes, avec. lesquelles elles doivent être remplies,* de six pistons 26 qui,, lors de leur mou- vement vers les boitas, poussent devant eux un même nombre de por- tions d'allumettes et, à l'aide d'autres organes non représentés au dessin, introduisant cas portions d'allumettes dans les boites ouvertes, de six pistons de réanfilage 27 servant à introduire complètement dans les étuis les tiroirs remplis d'allumettes, et d'un large piston d'expulsion 28 qui chassa douze boites à la fois de la chaîne 16 et les repousse dans un récipient récepteur 29.
Tous cas pistons sont mis en mouvement par marbra principal
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24 de la machine ?il y a lieu de remarquer que le piston d'ex- pulsion 28 ne fait par unité de temps que la mpitié du nombre de courses des trois autres groupes de pistons 25, 26 et 27 car il expulse de la machina douze boites à la fois dans chacune de ses courses.
Dès que les boites vides poussées par le piston 19 sur la ohaine de transport 16 sont parvenues vis-à-vis des pistons 25 par suite du mouvement intermittent de la ohaine 16 dans le sens indiqué ci-dessus, ces pistons 25 s'avancent oontre les boi- tes et repoussent un peu les tiroirs hors des étuis. Lorsque la chaine 16 continue à .se déplacer,. les boites ainsi ouvertes par- viennent aux postes de remplissage vis-à-vis des six pistons 26, lesquels sont poussés alors contre les boites et introduisent une portion d'allumettes dans chaque boite correspondante.
Pen- dant le mouvement continu de la ohaine 16, les boites ainsi rem- plies parviennent vis-à-vis des pistons de réenfilage 27, qui in- troduisant complètement dans les étuis les tiroirs remplis. Les boites désormais terminées parviennent finalement vis-à-vis du large piston d'expulsion 28, qui repousse les boites de la chaîne, ces boites sa posant sur l'un de leurs bouts et tombant dans la récipient 29,d'où elles sont ensuite enlevées. Tel est dans son ensemble le oyole d'opérations de tous types de machines à rem- plir qui sont en usage, quelles que soient les différences dans les détails de construction.
Il résulte de la desoription ci-dessus que les boites en- filées dans la machine à enfiler 1 sont transportées tout-à-fait automatiquement de la machina à enfiler à la machine à remplir.
L'organe de transport est constituée dans l'exemple représenté, par le piston 14 qui pousse devant lui les boites dans le oouloir 13, dont les côtés maintiennent les boites dans leurs positions déterminées pendant la transporte On peut évidemment sans s'écar- ter du principe fondamental de l'invention, modifier de façons
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différentes les dispositifs pour faire passer les boites enfilées de la machina à enfiler vers la machine à remplir, les positions relatives mutuelles de ces machines, et les dispositifs pour ao- coupler ces machines entre elles.
Ainsi, il peut être avantageux dans certains cas, par exemple lorsque le couloir 13 a une gran- de longueur, de disposer dans ce couloir un tablier transporteur mobile, qui constitue alors un organe transporteur auxiliaire et qui poussa les boites de façon qu'elles s'appuient contre une butée fixe 30 disposée à l'extrémité du couloirs afin de mieux ajuster ainsi les positions des boites, avant que celles-ci ne soient poussées par le piston 19 sur la chaîne de transport de la machine à remplir. De plus, on peut éventuellement t ménager, soit sur le parcours entra las deux machines, soit dans la ma- chine à remplir, un dispositif qui remplace autant que possible les boites manquantes.
La forme d'exécution du dispositif de transport automati- que et de la maohine à remplir représentée aux figures 3 et 4 est destinée à être utilisée an même temps que la machina à en- filer qui est représentée à la figure 17 de la demande de brevet belge 279.992 mentionnée ci-dessus. Les ohaines à cases 60 et 61 représentées à la figure 17 de cette demande de brevet franais, au lieu de revenir en arrière, après avoir traversé la maohine à enfiler et après que les boites enfilées ont été poussées au de- hors, poursuivent leur chemin vars la machine à remplir et tra- versent celle-ci avec les boites enfilées reposant sur ces chai- nes.
Les dites chaînes à cases, qui sont désignées par 60a et 61a aux figures 3 et 4 et qui se déplacent de façon intermitten- te dans la direction indiquée par la flèche 35 à la figure 3, sont formées de chaînas ou de bandes sans fin, sur lesquelles sont fixées des parois transversales 36, qui ménagent entre elles des cases dont les dimensions sont telles que chaque casa peut raca- voir une boite.
On a admis dans ce cas que les eux ohaines à casas venant de la gauoge de la figure 3 ont déjà passé vis-à-vis
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du piston non représenté au dessin et correspondant au piston 25 de la figure 1, lequel piston a déjà refoulé un peu les tiroirs des étuis, de sorte que les boites sont déjà ouvertes et prêtes à recevoir les portions d'allumettes, comme il est indiqué à gau- ohe de la figure 3. Les deux chaînes à oases 61a et 60a portant les boites ouvertes traversent ensuite ohaoune une machine à rem- plir 37 ou 38, ohaoune de celles-ci étant pourvue de six pistons 39 ou 40, qui, lors de leur mouvement vers les boites, introdui- dent une portion d'allumettes dans la boite correspondante.
Après avoir dépassé cas postes de remplissage, les boites parviennent, par suite de la continuation du mouvement des chaînes à cases, vis-à-vis de deux groupes de pistons de réenfilage 41 et 42, qui effectuant le réenfilage des boites remplies, Les boites termi- nées arrivent finalement aux postes d'expulsion vis-à-vis des larges pistons d'expulsion 43 et 44, qui repoussent les boites vers le coté en dehors des ohaines à oases, les boites tombant dans deux récipients 45 et 46, d'où on les enlève ensuite Les chaînes à cases vidées reviennent alors par le dessous dans laur position initiale pour recevoir de nouveaux étuis ou enveloppes extérieures. Les machines à remplir 37 et 38 peuvent encore dans ce cas être de oonstruotion quelconque appropriée.
On a supposé que ces machines sont du même type que dans la forme d'exécution représentées aux figures I et 2, mais avec cette différence seu- lement que la ohaine de transport 16 des boites de la figure 1 est remplacée ici par la chaîna àcases 61a ou 60a. Dans la fourme d'exé oution déorite on dernier lieu et représentée aux figures 3 et 4, l'organe de transport, qui transporte automatiquement les boîtes de la machine à enfiler vers la machine à remplir, comprend, oom- me on le voit, la chaîne à cases 61a ou 60a, tandis que les pa- rois intermédiaires 36 des chaînes à cases maintiennent les boî- tes dans leurs positions déterminées.
Dans les deux formes d'exécution décrites oi-dessus, les machines à enfiler et les machines à remplir peuvent être évidam-
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ment construites ensemble en pratique, de façon qu'extérieurement elles forment un seul groupe de machines auquel les étuis et las tiroirs doivent évidemment être individuellement amenés (à la main ou automatiquement). Ce groupe de machines doit naturelle- ment cependant être pourvu d'au moins un poste d'enfilage de boî- tes ot d'au moins un poste de remplissage d'allumettes, et les boîtes doivent toujours être transportées automatiquement du pos- te d'enfilage au poste de remplissage.
On a constaté qu'en pratique on ne peut pas éviter que quelques boîtes sa séparent lors de l'enfilage des étuis et des tiroirs. Aussi il peut arriver, lors du transport automatique des boîtes de la machine à enfiler vers la machine à remplir, que des boîtes viennent parfois à manquer dans un ou plusieurs postes de remplissage vis-à-vis des pistons 26, 39 ou 40. Il en résulte que la ou les portions correspondantes d'allumettes sont jetées pêle-mêle au-dessus de la machine., de sorte qu'il faut arrêter cette machine et la nettoyer, ce qui occasionne évidemment une perte de temps notable.
Pour éviter cet inconvénient, on carabine, suivant l'invention, avec la machine à remplir un dispositif qui règle l'amenée des portions d'allumettes aux postes de romplissa- ge de façon à coïncider aveo l'amenée des boîtes vides, de sorte qu'on ne pousse aucune portion d'allumettes, aux postes de remplis sage où il manque des boîtes vides pour recevoir ''ces allumettes.
Ce dispositif de réglage comprend principalement des organes tâ- teurs qui sont disposés de tlle faon qu'ils sont influencés dans certaines positions avant les postes de remplissage, ou dans les postes de remplissage par les boîtes, ou par les organes por- tant les boîtes, ou éventuellement par des organes particuliers actionnés par les boîtes, ces organes tâteurs étant en liaison par voie mécanique, électrique, pneumatique ou hydraulique avec les organes effectuant le réglage, lesquels influencent le dispo- sitif de partage des portions d'allumettes.
de la machina à remplir ou les organes qui amenant les portions d'allumettes aux postes
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,de remplissage de telle façon qu'aucune portion d'allumettes ne soit poussée au poste ou aux postes de remplissage, où il manque précisément des boites vides. De cette faon, des allumettes ne sont distribuées ou amenées qu'aux boîtes qui atteignent effecti- vement les postes de remplissage, et cela indépendamment de la quantité forte ou faible da ces boites.
Les figures 5, 6 et 7 représentent, respectivement, en coupe transversale, en plan et en élévation de face, une machine à remplir les boîtes avec une construction d'un dispositif de réglage transmettant électriquement les impulsions des organes tâteurs aux organes effectuant le réglage, et la figure 8 rempré- sente une autre forme d'exécution aveo transmission mécanique des impulsions.
La machine à remplir représentée aux figures 5 à 7 est du type Lagerman ou Jônkôping généralement connu, dans lequel les allumettes à introduire dans les boîtes se trouvent dans un maga- sin 50, dans lequel elles tombent oontre des dispositifs de par- tage de portions ménagés au fond du magasin la quantité de ces dispositifs étant égale au nombre de boîtes qui doivent être rem- plies en une seule fois. Ce nombre varie habituellement en pra- tique entre 1 et 10. Dans la forme d'exécution représentée aux figures 5 à 7, deux boîtes doivent être remplies à la fois. Au fond du magasin 50, les allumettes sont portées alternativement par les fonds à portion 51 et par les couteaux 52 de partage des portions disposés un peu au-dessus de ces fonds.
Les fonds 51 portent les allumettes, pendant que les oouteaux 52 séparent les portions d'allumettes, et les couteaux 52 portent les allumettes situées au-dessus d'eux-mêmes pendant que les fonds 51 amènent les portions d'allumettes séparées vers le poste de remplissage.
Les fonds à portions 51 sont fixés,à un étrier 53, qui pivote autour de l'axe 54. Dès que les portions d'allumettes séparées , ont été abaissées jusqu'à ce qu'elles parviennent vi -â-vis des pistons d'introduction 55, elles sont poussées par ces pistons
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des fonds 51 dans les tiroirs 56, lesquels ont été préalablement poussés en partie hors des étuis 57 de la façon décrite ci-dessus.
Les boîtes vides ouvertes sont amenées dans les postes da raplis- sage vis-à-vis das pistons d'introduction 55 au moyen d'une chai- ne sans fin à casas ou autre organe analogue 58, qui se déplace à travers la machina à remplir de façon intermittente dans la direc- tion de haut en bas en regardant la figure 6, la chaîne avançant chaque fois qu'une longueur correspondant à la largeur du nombre de boîtes qu'il faut remplir en une fois, c'est-à-dire dans la cas présent, de la largeur de deux boîtes.
Les deux pistons d'intro- duction 55 sont fixés sur une pièce transversale 59, laquelle est portée à son tour par deux tiges parallèles 61 logées de fagon à pouvoir coulisser dans le bâti 60 de la machine, ces tiges subis- sant un mouvement de va-et-vient au moyen d'une came non représen- tée au dessin et calée sur l'arbre 62 de la machine.
Les couteaux 52 da séparation des portions sont au nombre de deux dans chacun des dispositifs de partage des portions du ty- pe de machine représenté. Ces couteaux sont fixés sur des leviers 63 en forme de Z, qui peuvent tourner autour d'axes fixes 64 de telle facon que les deux couteaux appartenant au même dispositif de partage des portions puissent osoiller dans un même plan en se rapprochant ou en s'éloignant l'un de l'autre. Ce mouvement est produit au moyen de coins 65, qui peuvent se déplacer vers le haut et vers le bas et qui agissent sur les bras postérieurs du levier 63 ainsi qu'à l'aide de ressorts 66. Les coins 65 sont déplacés d'un mouvement de va-et-vient dans leur sens longitudinal par un étrier 67 et par des ressorts 68.
L'étrier 67 est fixé sur une douille 70 tournant autour de l'axe fixe 69, sur lequel est éga- lement fixé un bras 71 qui s'appuie à l'aide d'un galet 72 contre une came 73 sur l'arbre 62. Lorsque la came 73 permet aux ressorts 68 de faire tourner l'étrier 67 vers le haut dans la figure 5, les coins 65 sont dans ce cas déplacés également vers le haut, ce qui écarte les couteaux de séparation de portions 2 appartenant .
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à la même paire de couteaux sous l'action des ressorts 66.- De ce fait,les allumettes tombent dans le magasin 50, de sorte qu'elles parviennent sur les fonds 51, qui se trouvent dans ce cas dans leurs positions les plus élevées, indiquées à la figure 5,
ces disposi- tions étant choisies de façon que l'espace entre chaque fond et les deux couteaux correspondants 52 de séparation des portions oontien- nent justement la nombre d'allumettes qui peut prendre place dans une boîte. Sous l'action de la came 73 et de l'étrier 67 (avec com- pression des ressorts 68), les coins 65 sont ensuite poussés vers le bas, ce qui fait pivoter les deux couteaux 52 de chaque paire vers l'intérieur l'un contre l'autre en séparant les portions d'al- lumettes ainsi déterminées des allumettes situées au-dessus des couteaux. Les fonds 51 sont alors abaissés, de sorte que les portions d'allumettes parviennent juste vis-à-vis des pistons d'introduction 55, qui poussent alors les portions d'allumettes dans les tiroirs ,56 (voir figure 5).
La séparation des portions déterminées d'allumettes est donc ce que exéoutée par/les couteaux 52 s'écartant deux à deux et laissant tom- ber les allumettes sur les fonds 51. Pour régler l'amenée des por- tions d'allumettes aux postes de remplissage de façon à coïncider aveo l'amenée des boîtes vides, afin qu'aucune portion d'allumettes ne soit amenée au poste ou aux postes de remplissage où il manque- rait par hasard des boîtes vides pour recevoir ces allumettes, on a, suivant l'invention; pourvu la machine à remplir décrite d'un dis- positif qui empêche automatiquement l'écartement indiqué des cou- teaux 52 de séparation des portions, lorsqu'il manque des boîtes vides quelconques dans les cases de la chaîne 58.
Ce dispositif com- prend, dans l'exemple présent, deux organes tâteurs en forme de bras élastiques 74 qui sont disposés au-dessus des cases de la chaîne 58 qui se trouvent à deux largeurs de cases avant les deux postes de remplissage en considérant le sens du mouvement de la chaîne (la chaîne 58 se déplace chaque fois d'une longueur égale à deux lar- geurs de cases). Ces bras tâteurs peuvent tourner autour d'un axe 75
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et sont réunis à un bras 76;, lequel porte un galet 77 qui est maintenu appuyé à l'aide d'un ressort non représenté contre une came 78 sur l'arbre 62.
Lorsque cet arbre tourna, les bras 74 sont donc abaissés une fois pendant chaque révolution (ou une fois pour chaque mouvement de la chaîne à cases 58) contre les boîtes vides se trouvant dans la chaîne à cases, afin d'établir s'il y a ou non des boîtes dans les cases considérées. Si dans ce oas, l'un queloonque des bras tâteurs 74 ne rencontre pas une boîte 57, laquelle empêcha ce bras da se déplacer vers le bas (figure 5), ce bras s'abaissera d'une quantité telle que la pointe de contact 79 fixée sur ce bras plongera dans une cuvette de mercure 80 disposée endessous du bras, ce qui fermera pendant un court moment le circuit électrique d'une source de courant oonvenable non représentée au dessin (une petite batterie par exemple), le courant produit traversant un électro-aimant correspondant 81, qui ast disposé fixement juste vis-à-vis du coin 65,
qui sert à actionner la paire carrespondante de couteaux 52 de séparation des portions. Chaque électro-aimant est pourvu d'un noyau 82 qui doit ooopérer avec une sail lie 83 sur la face arrière du coin correspondant 65.
Lorsque l'un des bras tâteurs 74 ferme, de la façon indiquée ci-dessus;, le circuit à travers 1'électro-aimant correspondant 81:, par suite de ce que ce bras ne rencontre pas de boîte, le noyau 82 de cet électro-aimant se déplacera dans ce cas vers la droite de la figure 5, de sorte qu'il se placera dans le chemin de la saillie 83 du coin correspondant 65, en empêchant oelui-oi de se déplacer vers le haut sous l'action de son ressort 68,, lorsque l'étrier 67 tourne vers le haut. Il enrésulte qu'on empêche alors aussi l'éoartement de la paire correspondante de couteaux 52 de séparation des portions, de sorte que ces couteaux ne laissent pas tomber d'allumettes sur le fond correspondant 51.
Lorsque le pister d'introduction correspondant 55 se déplace la fois suivante oontre la chaîne à cases (vers la gauche de la figure 5);, il n'a donc pas de portion d'allumettes à pousser-dans la oase où ne se trouve pas de boîte. pa
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De cette façon, les organes tâteurs 74 agissent de telle sorte que des portions d'allumettes ne sont données en partage et ne sont poussées que dans les boîtes vides qui atteignent réellement les postes de remplissage.
Lorsque l'étrier 67 tourne ensuite vers le bas et pousse vers le bas l'autre coin 65 (dont l'électro-ai- mant 81 n'a pas été traversé par le courante car le bras corres- pondant 74 a rencontré une boîte, de sorte que la paire correspon- dante de couteaux 52 a séparé une portion d'allumettes), le noyau 82 de l'électro-aimant 81, qui a été traversé précédemment par le courant, est ramené à la position de départ représentée à la figure 5 au moyen d'un étrier 85 qui peut tourner autour de l'axe est 84, s'engage sous les têtes 86 des noyaux d'aimants 82 et/réuni à un bras 87, lequel est actionné par un ressort non représenté au dessin et par une came 88 sur l'arbre 62.
Les organes tâteurs 74 peuvent être évidemment exéoutés en pratique de différentes façons et ils peuvent être mobiles dans un sens quelc onque oonvenable, soit contre les étuis, soit contre les tiroirs, sans s'écarter du principe fondamental de l'invention. De même, la disposition des électro-aimants 81 et le choix des organes des dispositifs de partage de portions qui doi- vent actionner ou arrêter les électro-aimants sont sans importan- ce pour le principe de l'invention. La construction du dispositif de réglage représenté aux figures 5 à 7 a été choisie principale- ment en envisageant la possibilité de pouvoir adapter le disposi- tif en question sur des machines à remplir déjà existantes avec le moins de modifications possible de ces machines.
Il est aussi possible de faire travailler par exemple les noyaux des électro- aimants directement sur les couteaux 52 de séparation des portions ou sur les leviers 63 qui les portent, de façon à les arrêter. Les électro-aimant peuvent aussi être pourvus de noyaux fixes et d'ar- matures mobiles, qui constituent les organes d'arrêt, c'est-à-di- re les organes qui effectuant le règlage.
Dans les machines à remplir les boîtes, qui /,remplissent en
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une seule fois un plus grand nombre de boites, par exemple 6 à 10 boîtes, il y a lieu de préférer à la transmission méoanique la transmission électrique des impulsions décrites ci-dessus entre les organes tâteurs et les organes effectuant la réglage. Par con- tre, dans des machines plus petites pour le remplissage des boîtes qui ne remplissent que de 1 à 4 boîtes à la fois, on peut employer sans difficultés une transmission purement mécanique des impulsions . des organes tâteurs aux organes effectuait le réglage.
La figure 8 représente une semblable forme d'exécution appliquée à une machine à remplir du même typa que celle représentée aux figures 5 à 7; aus- si à la figure 8, les organes principaux de la machine à remplir elle-même ont été désignés par les mêmes signes de référence qu'à la figure 5.
Dans la forme d'exécution représentée à,la figure 8, les noyaux 82 des électro-aimants de la figure 5 sont remplacée par des boulons 90 qui sont portés de façon à pouvoir glisser dans des supports 91 réunis fixement au bâti 60 de la machine vis-à"vis des coins 65 servant à actionner les couteaux 52 de séparation des por- tions.
Les organes tâteurs sont formés dans ce cas de leviers coudés
92, qui peuvent tourner autour d'un axe commun 93 et qui sont ao- tionnés d'une part chacun par un ressort à boudins 94 qui tend à faire tourner la levier ooudé correspondant 92 dans le sens des aiguilles d'une montre à la figure 8, et d'autre part par un étrier
95 qui est commun aux deux leviers coudés 92, peut tourner autour de l'axe 96 et est réuni à un bras 97 s'appuyant à l'aide d'un ga- let 98 contre une came 99 sur l'arbre 62. Les bras sensiblement horizontaux des leviers coudés 92 sont assujettis, de la même façon qu'il a été déorit pour les bras tâteurs 74, à s'abaisser une fois pour chaque déplacement de la chaîna à cases 58 contre les boîtes vides portées par cette ohaîne, pour établir s'il y a ou non des boîtes dans les cases.
Lorsque l'un des bras ne rencontre pas une boîte 57, pour empêcher son mouvement vers le bas, ce bras tourne vers le bas sous l'action-du ressort 94 d'une quantité telle que le
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bras sensiblement vertical du même levier ooudé 92 pousse contre le boulon correspondant 90 et déplace celui-ci vers la droite de la figure 8, ce boulon se plapant ainsi dans le chemin de la sail- lie 83 du coin oorrespondant 65, da sorte que ce coin ne peut-'pas être soulevé par son ressort 68. Il en résulte que dans ce cas aus- si, on empêche l'éoartement de la paire correspondante de couteaux 52 de séparation des portions, de sorte que cette paire,de couteaux ne laisse pas tomber d'allumettes sur le fond correspondant 51.
Pour ramener à sa position de départ représentée à la figure 8 le boulon 90 qui a été déplacé dans la position d'arrêt, on emploie aussi dans ce cas un étrier 100 qui peut tourner autour de l'axe 96, s'en- gage sous les têtes IOI des boulons 90 et est réuni à un bras 102 lequel est déplacé par une came 103 sur l'arbre 62.
La liaison mécanique représentée à la figure 8 entre les organes tâteurs 92 et les organes 90 effectuant le réglage peut évi- demment être modifiée aussi de différentes facons, sans s'écarter du principe de l'invention. Les organes tâteurs 92 peuvent être exécutés d'autre façon, quelconque convenable et être déplacables soit contre les étuis; soit contre les tiroirs des boîtes.
Les bou- lons 90 peuvent être aussi disposés de telle façon qu'ils agissent directement sur les couteaux de séparation des portions ou sur les leviers qui les portent de facon à les arrêtera
Au lieu de faire influencer par les organes tâteurs les or- ganes qui séparent les portions d'allumettes, comme dans les formes d'exécution décrites ci-dessus et représentées aux figures 5 à 8, de talle fapon que des portions d'allumettes ne soient séparées que pour les boîtes qui atteignent réellement les postes de remplis- sage, on peut aussi laisser séparer toutes les portions d'allumet- tes pour les dispositifs de partage des portions, mais empêcher de faire avancer par les organes effectuant le réglage les portions d'allumettes séparées vers les postes de remplissage où des boîtes vides peuvent manquer par hasard.
On peut exécuter cet e variante soit en faisant empêoher par les organes effeotuant le réglage la
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mouvement des pistons d'introduotion, qui se trouvent vis-à-vis des postes de remplissage où il manque des boites vides,, soit en faisant arrêter par les organes de réglage les fonds à portions 51, de sorte que ceux-ci ne peuvent pas abaisser les portions d'allu- mettes séparées devant les pistons d'introduction.
Les figures 9 et 10 représentent sohématiquemet deux formes d'exécution du disposi- tif de réglage, dans lesquelles on emploie la première solution men- tionnée (en utilisant suivant la figure 9 la transmission électri- que et suivant la figure 10, la transmission mécanique des impul- sions entre les organes tâteurs et les organes effectuant le régla- ge), et la figure Il,représente une forme d'exécution du dispositif de réglage, dans laquelle on emploie la deuxième solution mention-
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née.
Suivant la,figure 9, les pistons d'introduction 105, qui poussent les portions d'allumettes des fonds à portions abaissés 106 dans les tiroirs 107 portés par la chaîne à cases 108, sont montés de façon à pouvoir glisser dans leur sens longitudinal dans une pièce transversale 109 qui est fixée à des tiges 110, lesquel- les peuvent coulisser dans le bâti de la machine et sont animées d'un mouvement de va -et-vient,' Chaque piston est pourvu d'une tê- te 111 à son extrémité postérieure et est soumis à l'action d'un ressort 112 qui tend à maintenir le piston dans la position indi- quée à la figure 9 en traits pleins.
Les organes tâteurs sont for- més dans ce cas de bras 113 qui peuvent tourner autour d'un axe commun 114 et qui sont actionnés d'une part chacun par un ressort à boudins 115, ces ressorts tendant à faire tourner les bras 113 vers le bas contre les étuis 116 portés dans la chaîne à cases 108, et d'autre part par un étrier 117 commun aux deux bras tâteurs ou à la totalité des bras tâteurs, cet étrier pouvant aussi tourner autour de l'axe 114 et étant réuni à un bras 118 qui s'appuie à l'aide d'un galet 119 contre une came 120 sur l'arbre prinoipal 121.
Chaque bras tâteur porte une pointe de contact 122, qui doit coopérer aveo un contact fixe 123, lequel est relié électriquement à unélectro-aimant
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124 qui est disposé sous le piston d'introduction correspondant 105 et qui est muni d'un noyau 125 constituant l'organe effec- tuant le réglage.
Las bras tâteurs 113 sont assujettis à s'abaisser une fois pour chaque déplacement de la chaîne à cases 108, contre les boîtes vides portées dans cette chaîne, de la même facon qu'il a été décrit ci-dessus, afin d'établir s'il y a ou non des boites dans les oases, Lorsque l'un des bras ne rencontre pas de boîte II6, qui empêche son déplacement, ce bras tournera vers le bas sous l'action de son ressort 115 d'une quantité telle que la pointa de contact 122 de ce bras viendra toucher le contact correspondant 123. Un courant provenant de la batterie 126 tra- verse ainsi 1'électro-aimant correspondant 124, qui soulève son noyau 125, de sorte que celui-ci vient se placer dans le chemin de la tête 111 du piston d'introduction correspondant 105 en em- pêchant ainsi ce piston d'effecuer sa coursa d'introduction.
La portion d'allumettes, qui se trouve sur le fond à portions oor- responsant 106 et qui reste donc en repos sur ce fond, est ensui- à nouveau te soulevée/par le fond contre le magasin et revient la fois sui- vante vers le bas avec le fond 106 pour être alors introduite, si une boîte est venue se placer dans le poste de remplissage correspondant.
Suivant la figure 10, on emploie au contraire une trans- mission mécanique des impulsions entre les organes tâteurs et les organes qui empêchent la course d'introduction des pistons d'introduction, lorsque des boîtes vides font défaut. La machine à remplir représentée à la figure 10 est au surplus du.même type que celle représentée à la figure 9, et c'est pourquoi les orga- nes principaux de la machine de la figure 10 ont conservé les mêmes signes de référence qu'à la figure 9. Les noyaux 125, re- présentés à la figure 9, qui servent à empêcher la course d'in- troduotion des pistons 105, sont remplacés ici par des boulons 130 qui sont montés de faon à pouvoir glisser dans des guides
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. fixas 131 du bâti de la machine, soit à raison d'un boulon par piston d'introduction 105.
Las organes tâteurs sont formés de leviers ooudés 132 qui peuvent tourner autour d'un axe commun 133 et qui sont actionnés d'une part chacun par un ressort à bou- dins 134, ces ressorts tendant à faire tourner les leviers dans la sens des aiguilles d'une montre à la figura 10, et d'autre part par un étrier 135 qui est commun à tous les leviers coudés, peut tourner autour de l'axe 136 et est réuni à un bras 137 qui s'appuie à l'aide d'un galet 138 contre une came 139 sur l'arbre principal 121. Chaque levier coudé 132 est réuni au boulon d'ar- rêt 130 au moyen d'une bielle 140 et d'un levier coudé 141, le- quel peut tourner autour de 11-axe 142 et dont l'un des bras est relié à la bielle 140, tandis que l'autre bras de ce levier cou- dé s'appuie contra l'extrémité inférieure du boulon d'arrêt 130.
Les bras horizontaux des leviers coudés 132 sont assujettis, de la même facon que précédemment, à s'abaisser une fois pour cha- que dépla cement de la chaîne à cases 108 contra les boîtes vides portées dans cette chaîne, pour établir s'il y a ou non des boî- tes dans les cases se trouvant sous les bras. Lorsque l'un des bras ne rencontre pas de boîte 116 qui empêche son déplaoement, ce bras tourne vers le bas, sous l'action du ressort oorrespon- dant 134, d'une quantité telle que le boulon d'arrêt correspon- dant 130 est soulevé, par l'intermédiaire de la bielle 140 et du levier coudé 141, dans le chemin de la tête 111 du piston d'in troduotion correspondant 105 en empêchant ainsi ce piston d'ef- fectuer sa course d'introduction.
La différence de fonctionnement entre les organes tâteurs 113 et 132, qui sont représentés aux figures 9 et 10, et les or- ganes tâteurs 74 et 92 représentés aux figures 5 à 8 réside prin- cipalement dans le seul fait que les organes tâteurs des figures 9 et 10 doivent de préférence venir appuyer contre les boîtes qui se trouvent déjà dans les postes de remplissage, tandis que las organes tâteurs des figures 5 à 8 doivent appuyer contre les
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boîtes, dont le tour est venu d'être poussées aux postes de rem- plissage.
La figure 11 représente une forme d'exécution dans laquel le les organes effectuant le réglage arrêtent de la façon men- tionnée oi-dessus les fonds à portions 145, de sorte que ces fonds ne peuvent pas abaisser les portions séparées d'allumettes devant les pistons d'introduction 146, qui se trouvent vis-à-vis de postes de remplissage où des boîtes vides manquent dans la chaîne à cases 147. Chaque fond à portions 145 est fixé dans ce cas à un bras de guidage arqué 148, qui traverse une ouverture dans l'étrier 149 servant à soulever et à abaisser les fonds et qui est pourvu à son extrémité inférieure d'une tête 150, un res- sort à boudins 151 étant placé entre cette tête 150 et l'étrier 149.
Les bras tâteurs 152 peuvent tourner autour d'un axe commun 153 et ils sont actionnés d'une part chacun par un ressort à bou- dins 154, ces ressorts tendant à faire tourner les bras 152 vers le bas oontre les étuis 155 portés dans la chaîne à cases 147, et d'autre part par un étrier 156 qui est commun aux deux bras tâteurs ou à la totalité des bras tâteurs., qui peut tourner au- tour de l'axe 153 et qui est réuni à un bras 157 recevant son mouvement d'une oame 158 sur l'arbre principal 159. Chaque bras tâteur est pourvu d'une pointe de contact 160 qui coopère avec un contact fixe 161. Ces deux contacta sont intercalés dans un circuit'contenant une batterie 162 et un électro-aimant 163.
Ce dernier est pourvu d'une armature 164 qui est fixée à un cliquet 167 rotatif autour de l'axe 165 et soumis à l'action d'un res- sort 166, ce cliquet constituant dans ce cas l'organe effectuant le réglage.
Les bras tâteurs 152 sont assujettis:, comme dans les for- mes d'exécution décrites précédemment, à s'abaisser une fois pour chaque déplacement de la chaîne à cases 147 contre les boîtes vi- des portées dans cette chaîne;, afin d'établir s'il y a ou non des boîtes dans les cases. Lorsque l'un des bras ne rencontre pas
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de boîte 155, ce bras tourne vers le bas d'une quantité telle que la pointe de contact 160 de ce bras vient toucher le contact correspondant 161. Il en résulte qu'un courant venant de la bat- terie 162 traverse 1'électro-aimant correspondant, lequel attire ainsi son armature 164.
Le cliquet 167 bascule alors sous la tête 150 du bras de guidage 148 du fond à portions correspondant 145, de sorte que ce fond est empêché de se déplacer vers le bas, et ainsi la portion d'allumettes se trouvant sur ce fond ne peut pas s'abaisser devant la piston d'introduction correspondant 146. Le ou les fonds à portions qui sont ainsi empochés de se déplacer vers le bas restent dans leur position supérieure, tandis que l'étrier 149 descend avec les autres fonds.afin d'introduire dans las boîtes les portions d'allumettes se trouvant sur cas fonds à l'aide des pistons 146.
Il est évident que dans ce cas également la liaison entre les organes tâteurs 152 et les organes d'arrêt - 167 peut être exécutée comme une liaison mécanique, à peu près de la même faon que dans la forme d'exécution représentée à la fi- gura 10.
Les figures 12 à 14 représentent une autre forme d'exécu- tion du dispositif de réglage, qui est combinée avec la machine à remplir les boîtes du type construit par la firme "A-B. GER- HARD ARENHNS MERK. VERKSTAD" à Stockholm. La machine qui est des- tinée à remplir quatre boîtes à la fois, est représentée à la fi- gure 12 en élévation de faoe, à la figure 13 en élévation latéra- le et partiellement en coupe, et à la figure 14 en plan.
Le maga- sin d'allumettes 170, qui sert à recevoir les allumettes avant le partage en portions, présente, à sa partie inférieure, la forme de quatre couloirs d'allumettes 171, munis chacun d'une paire de couteaux 172 de séparation des portions et d'un fond à, portions 173, lequel sert à abaisser les portions séparées d'allumettes dans la position de laquelle elles sont introduites dans la châî- ne à cases 174.
Cette chaîne à cases, qui se déplace de façon in- termittente à travers la machine dans le sans de la flèche 175 aux figures 12 et 14, est pourvue d'une part de cases 1 6 pour reoe-
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.-voir les portions d'allumettes 177, et d'autre part de cases 178 pour recevoir les boîtes ouvertes 179, les oases 178 se trouvant juste vis-à-vis des cases 176, mais un peu en-dessous de celles- ci.
La chaîne à cases 174, pendant son mouvement mentionnée pas- se d'abord à un poste d'introduction des boîtes, où les boîtes vides sont introduites dans les cases 178, puis à un poste d'introduotion des allumettes, où les portions d'allumettes sont introduites dans les cases 176, ensuite à un poste de remplissage des boîtes, où les portions d'allumettes sont poussées des cases 176 dans les boîtes, et enfin %un poste d'évacuation des boîtes.
Dans les figures 12 à 14, on/a oependant représenté que le poste d'introduction des allumettes avec le dispositif de partage des portions correspondant à ce poste.
Dans les couloirs d'allumettes 171, les allumettes reposent sur les couteaux 172 de séparation des portions, pendant que les fonde 173 se déplacent vers le bas pour introduire les portions d'allumettes dans les cases 176 au moyen des pistons d'introduotion 180. Dans leur position la plus haute;, les fonds 173 se trouvent en-dessous des couteaux de séparation des portions à une distance qui correspond à la hauteur des portions d'allumettes que l'on veut séparer. Lorsque les fonds à portions 173 sont arrivés dans cette position la plus haute, les couteaux 172 sont retirés deux par deux des couloirs à allumettes 171, de sorte que les allumettes tombent sur les fonds 173. Les couteaux 172 sont alors repoussés de nouveau dans les couloirs d'allumettes, ce qui sépare les portions voulues des allumettes se trouvant au-dessus des couteaux.
Les couteaux 172 de séparation des portions sont fixés eux-mêmes, dans l'exemple représenté, aux extrémités supérieures de leviers à deux bras 181, qui peuvent tourner deux à deux autour de pivots fixes 182 à la faon des branches de ciseaux et qui sont réunis entre eux deux à deux à la partie inférieure au moyen de ressorts à boudins 183 qui servent à retirer les couteaux 172 des couloirs d'allumettes 171.
Dans /. les extré-
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,mités inférieures des leviers sont insérés des goujons 184 qui s'engagent dans les rainures allongées 185 et 186 de deux bielles 187 et 188;, de telle facon que dans les rainures allongées 185 de la bielle 187 s'engagent les goujons 184 des quatre leviers 181 qui tournent autour des pivots 182 dans le sens dés aiguilles d'une montre à la figure 12;, lorsque les couteaux 172 sont poussés dans les couloirs d'allumettes 171 afin de séparer les portions d'allumettes (c'est-à-dire le levier 181 situé le plus à gauche à la figure 12 et les trois autres leviers de position semblable), tandis que les goujons 184 des quatre autres leviers 181 s'engagent dans les rainures allongées 186 de la bielle 188.
La bielle 187 est réunie à un levier coudé 190 rotatif autour de l'axe 189 et elle est déplacée par ce levier coudé qui, à son tour est déplacé par un second levier coudé 192, qui est rotatif autour de l'axa 191, est réuni à la deuxième bielle 188 et s'appuie à l'aide d'un galet 193 contre une came 194 sur l'arbre de commande 195.
Les fonds à portions 173 sont animés d'un mouvement de va-et-vient vertical au moyen de deux bras 196, qui sont fixés à un axe 197, lequel subit un-mouvement de rotation alternatif au moyen d'un bras 198 et d'une bielle 199 commandés par une came non représentée au dessin. Sur les fonds à portions 173 s'appuient les quatre pistons d'introduction 180 qui, dans cet exemple, participent au mouvement de va-et-vient vertical des fonds 173 et qui sont fixés sur une pièce transversale 200 montée rotativement dans deux bras 201, lesquels peuvent tourner autour d'un, axe fixe 202 et subissent un mouvement oscillant de va-etvient au moyen d'une bielle 203 commandée par une came non représentée au dessin.
Lorsque les fonds à portions 173 viennent occupar leur position inférieure représentée à la figure 13, les pistons 180 sont déplacés de cette façon vers la gauche de la figure 13 et poussent ainsi les portions séparées d'allumettes 177 dans les cases 176 de la chaîne 174 qui se trouvent devant ces pistons.
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' Pour régler l'amenée des pistons d'allumettes ax cases 176 de fapon à coïncider avec l'amenée des boitas vides aux cases 178, et de telle sorte que des portions d'allumettes ne soient pas in- troduites dans les cases 176 qui correspondent aux cases 178 où il manque le cas échéant des boîtes vides pour recevoir ces portions d'allumettes, la machine est pourvue d'un dispositif de réglage qui empêche automatiquement les couteaux 172 de séparation de por- tions de s'écarter l'un de l'autre sous l'action des ressorts 183, lorsque des boîtes vides quelconques manquent dans les cases 178.
Ce dispositif da réglage comprend, dans l'exemple présent, quatre organes tâteurs en forme de bras coudés 204 qui sont montés de fa- pon à pouvoir glisser dans des guides fixes 205 du bâti de la ma- chine, de telle façon que les branches supérieures sensiblement horizontales des bras 204 se trouvent au-dessus des cases 178 de la chaîne 174 qui doivent se placer, lors du/déplacement suivant de la chaîne, aux postes d'introduction des allumettes vis-à-vis des fonds à portions 173 et des pistons 180.
Les bras tâteurs 204 sont actionnés d'une part chacun par un ressort 206, ces ressorts tendant à abaisser les bras, et d'autre part par une barre 207 commune à l'ensemble des bras et disposée sous les extrémités in- férieures de ces bras, cette barre étant portée par un bras 208 . tournant autour d'un axe 209 auquel est fixé un bras 210 qui s'ap- puie à l'aide d'un galet 211 contre une came 212 sur l'arbre de commande 195, Chaque bras tâteur 204 est pourvu en outre de deux saillies 213 et 214, disposées à une certaine distance l'une de l'autre et destinées à coopérer avec l'une des extrémités d'un le- vier à deux bras 216 pouvant tourner autour de l'axe 215.
Ce le- vier 216 porte à son extrémité opposée une plaque d'arrêt 217 qui est destinée à être engagée entre deux saillies 218 disposées sur les deux faces en regard des leviers 181 appartenant au dispositif correspondant de partage des portions et portant les couteaux 172.
A cet effets les leviers 216 sont disposés obliquement sous la chaîne à cases 174, comme le montre la figure 14, de sorte que les
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deux extrémités opposées de chaque levier sont décalées l'une par rapport à l'autre d'une longueur égale à chaque déplacement de la chaîne à cases. Les plaques d'arrêt 217 constituent dans ce cas les organes qui effectuant la réglage et qui., lorsqu'ils sont introduits entre les saillies 218, empêchent les couteaux correspondants 172 de séparation des portions de s'écarter l'un de l'autre.
Les bras tâteurs 204 sont assujettis, comme dans les fora mes d'exécution décrites ci-dessus, à se déplacer une fois vers le bas contre les boîtes vides 179 se trouvant dans les cases 178 pendant chaque déplacement de la chaîne à cases 174, sous l'ac- tion de la came 212 et des ressorts 206, afin d'établir s'il y a ou non des boîtes dans toutes les cases. Lorsque l'un des bras ne rencontre pas de boîte 179, qui l'empêche de poursuivre son mouvement vers le bas, ce bras se déplace vers le bas d'une quan- tité telle que la saillie 213 de ce bras bute contre la levier correspondant 216, de sorte que celui-ci tourne autour da l'axa 215 en sens inverse des aiguillles d'une montre à la figure 13.
Il en résulte que la plaque d'arrêt 217 de ce levier bascule vers le haut entre les saillies 218 des leviers 181 des couteaux oor- respondants 172 de séparation des portions, de sorte que ces oou- teaux sont verrouillés et sont empochés de séparer une portion d'allumettes. Par contre, les autres paires de couteaux de sépa- ration des portions, dont les organes tâteurs 204 ont rencontré des boîtes et ont par conséquent été arrêtés plus tôt pendant leur mouvement de descente de sorte que les leviers 216 correspon dants n'ont pas été déplacés, peuvent effectuer sans obstacle la séparation des portions par suite des rainures allongées 185 et 186 des bielles 187 et 188, quoique les leviers 18 arrêtés par la plaque d'arrêt soulevée 217 restent immobiles.
Dès que la oame 194 a tourné suffisamment pour que les autres paires non arrêtées de couteaux de séparation des poxtions aient séparé leurs portions d'allumettes, les bras tâteurs 204 sont ramenés vers le haut par
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la barre 207 et par la came 212. Par suite de ce mouvement, la saillie inférieure 214 du bras 204, qui n'avait pas rencontre de boîte et qui s'était par conséquent déplacé plus loin vers le bas, pousse contre le levier correspondant 216 et fait tourner en sens inverse au mouvement précèdent , de sorte que la plaque d'arrêt soulevée 217 bascula de nouveau vers le bas et libère les couteaux verrouillés de séparation des portions.
Dans les formes d'exécution décrites ci-dessus du disposi- tif automatique de réglage, les impulsions des organes tâteurs sont transmises aux organes effectuant le réglage soit électriquement, soit mécaniquement. L'invention n'est pas limitée cependant à ces deux procédés de transmission, mais on peut dans certains cas em- ployer avantageusement aussi d'autres procédés analogues, tels que par exemple la transmission hydraulique ou pneumatique des im- pulsions, le vide ou la pression pouvant être employé dans ce der- nier cas.
Les figuras 15 et 16 représentent un dispositif de ré- glage avec transmission hydraulique des impulsions, qui est combi- néavec une machina àremplir les boîtes du même type que celle qui est représentée aux figures 12 à 14, la figure 15 montrant la dispositif en vue latérale et partiellement en coupe et la figura 16 étant une coupe suivant la ligne XVI-XVI de la figure 15. Les figures 17 et 18 représentent un détail relatif à ce dispositif de réglage. La figure 19 représente un dispositif de réglage avec transmission des impulsions par la vida; la figura 20 représente une forme d'exécution du dispositif de réglage, dans laquelle les impulsions sont transmises par l'air comprimé, et la figure 21 re- présente une forme d'exécution avec transmission pneumatique et électrique combinée des impulsions.
La machine à remplir les boîtes représentée aux figures 15 et 16 est pourvue .d'une chaîne à cases 221, ayant d'une part des cases 222 pour recevoir les portions d'allumettes 223 et d'au- tre part les nases 224 pour recevoir les boites ouvertes 225,, d'un ou de plusieurs couloirs d'allumettes 226 avec des outeaux oorres-
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'pondants 227 de séparation des portions fixés sur des leviers
228 à deux bras, de fonds à portions 229 et de pistons d'introduc- tion 230, qui sont disposés et commandés de la Même facon que dans la forme d'exécution représentée aux figures 12 à 14. Las figures 17 et 18 montrent, à échelle agrandie, un maillon de la chaîne à cases 221.
Cette chaîna est pourvue d'organes tâteurs insérés d'un type particulier, qui sont destinés à être utilisés dans les cas où on a besoin d'une force relativement grande pour effectuer le réglage., tout en voulant faire travailler les organes tâteurs cependant contre des parties faibles des boîtes, par exem- ple contre les côtés des tiroirs. Le maillon représenté à la figu- re 17 est pourvu de deux cases 224 pour recevoir des boîtes ou- vertes., c'est-à-dire des boîtes dont les tiroirs intérieurs 231 ont été un peu retirés des étuis extérieurs 225 pour recevoir les portions d'allumettes.
Entre ces deux cases, on a inséré dans le maillon deux languettes 232 et 233, qui peuvent tourner chacune autour d'un axe 234 et qui se trouvent sous l'influence d'un fai- ble ressort à boudins 235 intercalé entre ces languettes) ce res- sort tendant à écarter les languettes l'une de l'autre et à main- tenir les extrémités libres de ces languettes appliquées avec une faible pression contre les cotés longitudinaux des tiroirs inté- rieurs se trouvant dans les cases.
Ces languettes occuperont donc des positions différentes, suivant qu'il y a ou non des boîtes dans les oases, comme il ressort clairement de la figure 17, où la languette 232 s'appuie contre un tiroir et est par conséquent repoussée en arrière, tandis que la languette 233 ne s'appuie contre aucune boîte et a été basculée par conséquent quelque pau dans la case inférieure vide 224.
Les différentes positions des languettes 232 et 233 sont utilisées dans la dispositif de réglage hydraulique représenté aux figures 15 et 16 pour influencer les organes tâteurs princi- paux. Ces organes comprennent dans ce cas des bras 236, dont le nombre est égal au nombre de boîtes qu'il faut remplir en une seu-
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la foiso Ces bras 236 peuvent tourner autour d'un axe commun 237 et sont actionnés d'une part chacun par un ressort à boudins 238, ces ressorts tendant à faire tourner les bras 236 vers le bas contre les languettes mentionnées oi-dessus 232 ou 233 dans la chaîne à cases 221, et d'autre part par un étrier 239 qui est commun à tous les bras, peut également tourner autour de l'axe
237 et est réuni à un bras 240,
lequel appuie à l'aide d'un ga- let 241 contra une came 242 sur l'arbre de commande 243.
Sous chaque bras 236 est disposé fixement un cylindre hy- draulique 244, pourvu d'un piston 245 dont la tige 246 s'élève à travers le couvercle du cylindre contre une saillie 247 du bras tâteur correspondant 236. Le cylindre 244 communique au moyen d'un tube 248 avec un deuxième cylindre 249 également disposé fixement, dans lequel se déplace un piston 250 dont la tige 251 sortant du cylindre passe entre les deux leviers 228 qui portent les couteaux 227 da séparation des portions.
La tige du piston 251 porte une plaque d'arrêt 252 qui est destinée à être poussée entre deux saillies 253 sur les faces en regard des leviers 228 (voir figure 16), de sorte que les couteaux correspondants 227 de séparation des portions peuvent être ainsi verrouillés dans leur position pour laquelle ils sont poussés dans le couloir à allumet- tes 226, pour pouvoir libérer les couteaux de séparation de por- tions ainsi verrouillés, on a disposé en dehors des extrémités des tiges de pistons 251 un étrier 254 qui peut tourner autour d'un axe 255, est actionné par un ressort 256 et est réuni à un bras 257, lequel s'appuie à l'aide d'un galet 258 contre une came 259 sur l'arbre 243.
Les bras tâteure 236 sont assujettis, de la même façon qu'il a été déorit précédemment, à basouler une fois vers le bas contre la chaîne à cases 221 pour chaque déplacement de cette ohaî- ne 221, afin d'établir s.'il y a ou non des boites dans les cases correspondantes.
Les bras 236 sont disposés dans ce cas de faon que leurs extrémités extérieures 260 recourbées vers le bas s'ap-
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puient contre les languettes 232 et 233 représentées à la figure 17, pourvu que ces languettes soient maintenues repoussées on ar- rière par les tiroirs se trouvant dans les cases adjacentes 224,, o'est-à-dire pourvu que ces languettes occupent la position qu'oc- cupe la languette supérieure 232 à la figure 17;
au contraire, ces bras 236 ne s'appuient pas contre ces languettes, mais pas- sent à côté de ces languettes, lorsque celles-ci occupent le cas échéant la même position que la languette 233 à la figure 17, o'est-à-dire lorsque ces languettes ntont d'appui sur aucun côté de tiroir dans les cases adjacentes. Lorsque, pour une cause sem- blable, l'un des bras tâteurs 236 ne rencontre pas pendant sa cour se descendante sa languette correspondante qui met obstacle à son déplacement, ce bras tourne vers le bas sous l'action de son res- sort 238 d'une quantité telle que la saillie 247 de ce bras pousse contre la tige de piston correspondante 246 et abaisse le piston 245.
Ce mouvement du piston 245 est transmis, par le fluide (de l'huile par exemple) contenu dans le cylindre 244, le tube 248 et le cylindre 249, sur le piston correspondant 250, qui se dépla- ce par conséquent vers la droite à la figure 15 et pousse ainsi la plaque d'arrêt 252 ménagée sur la tige de piston 251,entre les saillies 253 des leviers 228 portant les couteaux de séparation de portions. Les couteaux 227 de séparation des portions sont ain- si verrouillés de la même fapon qu'aux figures 12 à 14, et ils sont ainsi empêohés de séparer une portion d'allumettes pour la case 222 de la chaîne à cases qui se trouve vis-à-vis de la case 224 dans laquelle il n'y a pas de boîte.
Après que les portions d'allumettes ont été séparées par les autres paires de couteaux 227 de séparation de portions, dont les organes tâteurs oorrespon- dants 236 ont rencontré des languettes maintenues repoussées en ar rière par des tiroirs de boîtes dans la chaîne à casas, et qu'ain- si ces organes tâteurs ont été arrêtés plus tôt dans leur mouve- ment de descente, de sorte que les pistons correspondants 245 et 250 et les plaques d'arrêt 252 n'ont pas été écartés de la position
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normale représentée à la figure 15, la plaque d'arrêt 252 dépla- cée précédemment sera ramenée par l'étrier 254 et par la came 259 dans la position représentée à la figure 16, de sorte que les cou- teaux 227 de séparation de portions précédemment verrouillés seront de nouveau libérés.
La forme d'exécution du dispositif de réglage représentée à la figure 19, dans laquelle les impulsions des organes tâteurs sont transmises aux organes effectuant le réglage au moyen du vida, est combinée avec une machine à remplir les boîtes du même type que celle représentée aux figures 5 à 7, dans laquelle les couteaux de séparation des portions sont actionnés par des coins 265 pouvant s'élever et s'abaisser et étant déplacés d'un mouvement de va-et- vient longitudinal d'une part par un étrier 267 rotatif autour de l'axe 266 et d'autre part par des ressorts 268, à raison d'un res sort par coin.
Les portions séparées d'allumettes sont alors in- troduites au moyen de pistons (non représentés à la figure 19) dans les boîtes ouvertes 269, qui sont amenées aux postes de remplissa- ge vis-à-vis des pistons d'introduction par une chaîne à cases 270 traversant la machine à remplir d'un mouvement intermittent et se déplaçant chaque fois d'une longueur correspondant à la largeur du nombre de boites qu'il faut remplir en une fois. Chaque case de la chaîne 270 est percée dans son fond d'un trou 271, qui est ce- pendant recouvert par la boîte 269, lorsqu'une boîte semblable sa trouve dans la case envisagée.
Sous la chaîne à cases se trouvent des tubulures fixes 272., en nombre égal au nombre de boîtes qu'il faut remplir en une fois, ces tubulures étant disposées de faqon à se trouver juste en-dessous des trous 271 de oelles des cases qui doivent être avancées aux postes de remplissage vis-à-vis des pis- tons d'introduction lors du déplacement suivant de la chaîne à oa- ses; ces tubulures sont exécutées de faon à se trouver aussi près que possible de la face inférieure de la chaîne à cases.
Chaque tubulure semblable communique par un tube 273 avec un cylindre 274 disposé fixement vis-à-vis du coin 265 qui sert à actionner la pai-
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re correspondante de couteaux de séparation des portions, c'est-à- dire la paire de couteaux qui doit séparer une portion d'allumet- tes pour la boîte 269 se trouvant au-dessus de la tubulure 272 réunie au cylindre envisagé.
Dans chaque cylindre 274 se déplace un piston 275 muni de deux tiges, dont l'une 276 est destinée à ooopérer avec une saillie 277 sur la face arrière du coin corres- pondant 265, tandis que l'autre tige 278, qui traverse le couver- cle arrière du cylindre, est destinée à être actionnée par un étrier 279;
, qui est commun à toutes les tiges de pistons, peut tourner autour de l'axe 280 et est réuni à un bras 281, lequel est soumis à l'action d'un ressort 282 et s'appuie à l'aide d'un galet 283 contre une oame 284 sur l'arbre de commande 285, Dans le couvercle antérieur du cylindre est ménagé un trou 286, de sor- te que dans la partie avant du cylindre, à droite du piston 275, il règne toujours la-pression atmosphérique, tandis que la partie arrière du oylindre à gauche du piston 275 communique par un tube 287 aveo un aspirateur ou une pompe à vide non réprésentée au des- sin.
Les organes tâteurs sont constitués dans ce cas par les tubulures 272, tandis que les organes effectuant le réglage sont formés par les tiges de piston antérieures 276 qui sont destinées à se placer dans le chemin des saillies 277 et à empêcher ainsi le déplacement des coins 265 et par suite aussi celui des couteaux de séparation de portions, lorsqu'il manque des boîtes dans les cases de la chaîne 270. Pour chaque déplacement intermittent de cette chaîne, toutes les tiges de pistons 276 seront déplacées vers la, droite de la figure 19 sous l'action de l'étrier 279, du ressort 282 et de la came 284, de sorte que ces,tiges se pla- cent dans la chemin des saillies 277 des coins 265, Lorsque les trous 271 dans les fonds des cases sont couverts par des boîtes 269,
o'est-à-dire lorsqu'il y a des boîtes dans toutes les cases,, il subsistera un certain vide dans les partiespostérieures de tous les cylindres 274 derrière les pistons/275, et lorsque l'é-
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trier 279 reviendra vers la gauche, toutes les tiges de pistons 276 le suivront dans ce cas sous l'action de la pression atmos- phérique sur les pistons, de sorte que les coins 265 sont aussi- tôt libérés à nouveau et que toutes les paires de couteaux de sé- paration des portions pourront séparer des portions d'allumettes.
Si, par oontre, une boîte manque dans une case quelconque, de sor- te que le trou 271 dans le fond de cette case reste découverte il arrivera que lorsque ce trou parviendra vis-à-vis de sa tubulure 272, de l'air sera aspiré à travers cette tubulure dans la par- tie arrière du cylindre correspondant 274 derrière le piston 275, de sorte qu'il ne subsistera pas de vide appréciable dans ce cy- lindre. Le piston de ce cylindre restera alors immobile et la ti- ge de piston 276 de ce cylindre restera dans le chemin de la sail- lie 277 du coin correspondant 265, de sorte que celui-ci ne pour- ra pas être soulevé par son ressort 268, lorsque l'étrier 267 tour. ne vers le haut.
On empêche ainsi également le mouvement d'écar- tement de la paire oorrespondante de couteaux de séparation des portions, de sorte que ces couteaux ne sépareront pas de portion d'allumettes pour la case où il n'y a pas de boîte.
Par contre à la figure 20 est représenté un dispositif de réglage dans lequel les impulsions sont transmises au moyen d'air comprimée Ce dispositif de réglage est aussi combiné aveo une machine à remplir les boîtes du type représenté aux figures 5 à 7. Les couteaux 290 de séparation des portions sont donc aus- si actionnés par des coins 291 animés d'un mouvement de va-et- vient de montée et de descente et déplacés vers le haut et vers le bas par un étrier 293 pouvant tourner autour da l'axe 292 et par des ressorts 294, à raison d'un ressort par coin.
Les portions séparées d'allumettes sont alors introduites au moyen de pistons dans les boîtes ouvertes 295, qui sont amenées aux postes de remplissage vis-à-vis des pistons d'introduction par une chaîne à cases 296 traversant la maohine à remplir 'un mouvement inter- mittent. Les organes tâteurs sont formés dans ce oas de tuyères à
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,air comprimé 297, en nombre égal au nombre de boîtes qu'il faut remplir en une fois, ces tuyères étant fixées chacune à l'aida d'un tube 298 sur un arbre creux monté relativement 299,
sur le- quel est fixé un bras 300 qui peut être animé d'un mouvement os- cillant de va-et-vient au moyen d'une came 301 sur l'arbre de com-' mande 302 et d'un ressort non représenté au dessin et maintenant appliqué contre la came le galet 303 porté par le bras 300. Les tuyères 297 communiquent par les tubes 298 avec l'espace creux de l'arbre 299, lequel à son tour communique par un tuyau plus gros 304 avec une pompe foulante, un compresseur ou autre maohi- ne analogue non représentée au dessin. Chaque tuyère 297 communi- que en outre par un tuyau flexible 305 avec un cylindre 306, qui est monté fixement dans le bâti de la machine vis-à-vis du coin 291 qui sert à actionner.la paire correspondante de couteaux 290 de séparation des portions.
Dans chaque cylindre 306 peut se dé- placer un piston 307, qui dans ce cas est également pourvu de deux tiges, dont l'antérieure 308 est destinée à coopérer avec les sail lies 309 sur la face arrière du coin correspondant 291, tandis que la tige postérieure 310 est destinée à être actionnée par un étrier 311 commun à toutes les tiges de pistons. Cet étrier peut tourner autour de l'axe 312 et il est réuni à un bras 313 qui peut être animé d'un mouvement oscillant de va-et-vient au moyen d'une deu- xième came 314 sur l'arbre 302 et d'un ressort non représenté au dessin. Un trou 315 est ménagé dans le couvercle arrière du cy- lindre, de sorte que la pression atmosphérique règne toujours dans la partie arrière du cylindre à gauche du piston 307.
Les organes effectuant le réglage sont-également consti- tués dans ce cas, comme dans la forme d'exécution décrite en der- nier lieu, par les tiges antérieures 308 des pistons, qui sont destinées à se placer dans le chemin des saillies 309 et à empê- cher ainsi le déplacement des coins 291 et par suite celui des couteaux 290 de séparation des portions, lorsqu'il manque des boî- tes dans les oases de la chaîne à oases 296.our chaque déplaoe-
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ment de cette chaîne, toutes les tiges 308 des pistons sont dé- placées vers la droite du dessin par l'action de l'étrier 311, da sorte que ces tiges se placent dans le chemin des saillies 309 des coins 291.
Immédiatement après ce mouvement, les organes tâteurs 297 sont assujettis à osciller vers le bas contre les boîtes vides se trouvant dans la chaîne à cases 296, pour établir s'il y a ou non des boîtes dans les cases. Lorsqu'il y a des boites dans toutes les cases, les tuyères 297 s'appuient contre ces boîtes 295, de sorte que celles-ci bouchant les orifices de sortie des tuyères.
Il se produit de ce fait aussitôt une sur- pression dans les parties antérieures de tous les cylindres 306 du côté droit du piston 307 à la figure 20, et lorsque l'étrier 311 oscilla de retour vers la gauohe, toutes les tiges 308 de pistons suivent dans ce cas ce mouvement par suite de l'action de la surpression sur les pistons, de sorte que les coins 291 sont aussitôt libérés de nouveau et que toutes les paires de couteaux 290 de séparation des portions peuvent séparer des portions d'al- lumettes. Par contre s'il manque une boîte dans l'une quelconque des casas de la chaîne à oases, la tuyère correspondante 297 ne sera évidemment pas bouchée, et par conséquent il n'y aura pas de surpression dans la partie antérieure du cylindre correspon- dant 306.
Le piston de ce cylindre reste alors immobile, et la tige 308 du piston de ce cylindre reste dans le chemin de la sail- lie 309 du coin correspondant 291, de sorte que ce coin ne peut pas être déplaoé vers le haut par son ressort 294, lorsque l'é- trier 293 tourne.vers le haut. On empêohe ainsi également dans ce cas l'écartement de la paire correspondante de couteaux 290 de séparation des portions, de sorte que ces couteaux ne peuvent pas séparer de portion d'allumettes pour la came dans laquelle il n'y a pas de boîte.
La figure 21 représenta enfin une forme d'exécution de l'organe tâteur pour un dispositif de régla et dans lequel on emploie une transmission oombinée pneumatique et éleotrique pour
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les impulsions, et qui peut être combiné par exemple avec une ma- ohine à remplir les boîtes du type représenté aux figures 5 à 7.
Les boîtes ouvertes 320 sont amenées aux postes de remplissage vis- à-vis des pistons d'introduction par une chaîne à cases 321 qui traverse la machine à remplir d'un mouvement. intermittent. Cette chaîne à cases est dans ce cas du même type que la chaîne à cases 270 représentée à la figure 19, c'est-à-dire que chaque case est percée dans son fond d'un trou 322 qui est couvert par une boite, lorsqu'il s'en trouva une dans la case considérée.
Au-dessus de la ou des cases de la chaîne qui se trouvent dans les positions où leon veut établir s'il y a ou non des boîtes dans ces cases, on a disposé des tuyères fixes à air comprimé 323j qui communiquent avec une pompa à air ou un compresseur non représenté au dessin soit d'une façon permanente, soit d'une fapon intermittente. Juste au- dessous de chacune de ces tuyères et sous la chaîna à oases, on a disposé une petite plaque 324 facile à déplacer et fixée sur un levier coudé 325 qui peut tourner autour de l'axe 326 et qui est soumis à l'action d'un ressort faible 327, lequel maintient la plaqua 324 habituellement relevée dans la position représentée à la figure 21. Chaque plaque porte une pointe de contact 328, sous laquelle est disposée une cuvette 329 contenant du mercure.
Cette cuvette et cette pointe de contact 328 sont intercalées dans un circuit non représenté au dessin et contenant un électro-aimant qui, lorsqu'il est parcouru par le courant, actionne un dispositif de réglage ou d'arrêt, par exemple de l'un des types représentés aux figures 5 à 7, 9 ou 11.
Les organes tâteurs sont constitués dans ce cas par les courants d'air qui sont insufflés par les tuyères fixes 323, pour établir sail y a ou/non des boites dans toutes les casas, S'il y a des boîtes dans toutes les cases situées sous las tuyères, les plaques 324 et par conséquent les dispositifs d'arrêt ne sont pas influencés. Si par.contre$ il manqua une'boite dans l'une quelcon- que des cases, la jet d'air sortant de la tuyère correspondante 323
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traverse le trou 322 dans le fond de cette case et actionne la pla- que 324 qui se trouve sous le trou, de sorte que cette plaque tour-. ne vers le bas et la pointe de contact 328 de cette plaque plonge dans la cuvette à mercure 329.
Un courant s'établit ainsi à tra- vers l'électro-aimant correspondant, et celui-ci aotionne le dis- positif d'arrêt, de sorte qu'aucune portion d'allumettes n'est avancées dans la case où il n'y a pas de boîte pour recevoir ces allumettes.
Les formes d'exécution décrites ci-dessus et représentées aux dessins ne doivent être considérées que comme des exemples et peuvent évidemment subir de multiples modifications, sans s'écar- ter du domaine de l'invention. L'invention n'est évidemment pas limitée non plus à son application aux deux types de machines à remplir décrits ci-dessus, mais on peut encore l'appliquer à des machines à remplir d'autres types.
REVENDICATIONS.
EMI37.1
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1.- Procédé pour amener les boites à la machine à remplir (poste de remplissage) lors du remplissage de boîtes au moyen d'al- lumettes, caractérisé en ce que les boîtes enfilées dans une maohi- ne à enfiler (poste d'enfilage) sont transportées automatiquement de la machine à enfiler (poste d'enfilage) jusqu'à la machine à remplir (poste de remplissage).