LU83403A1 - Perfectionnements aux dispositifs pour assembler de facon automatique des feuilles telles que par exemple des feuilles de papier - Google Patents

Description

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Hoger Kegnier Meus, 7 Avenue dos Koittys, 4820 lleusy, bolgiqui

Perfectionnements aux dispositifs pour assembler de façon au te matique des feuilles telles que par exemple (les feuilles de papier.

La présente invention se rapporte à des perfectionnements apportés aux dispositifs pour assembler de façon automatique des feuilles, telles que par exemple des feuilles do papier.

Le présent perfectionnement est spécialement applicable lorsque les feuilles, qu'elles soient en papier ou non, ; qui doivent Être assemblées sont par nature, particulièrement lisses ou glissantes .

* bans la technique usuelle de l'imprimerie, on est souvent amené à constituer des fascicules, c'est-à-dire des ensembles de feuilles, parfois différentes, disposées dans ur ordre bien déterminé, généralement dans leur ordre de numéro t£ " ' tion ,

Les feuilles imprimées nécessaires à la constitutic J du fascicule envisagé, peuvent par exemple Stre obtenues à la sortie d'une machine imprimante sous forme d'une suite de £ feuilles identiques formant un paquet, par exemple un paquet < feuilles n°1, puis un paquet de feuilles n°2 et ainsi de suit« 4 % / jî / i I ' * L'opération d'assemblage en fascicules consiste à prélever chaque fois et si possible quasi simultanément une feuille de chacun des paquets intéressés, et à réunir ces l’eu: les dans l'ordre désiré, par exemple dans leur ordre de numér< tation .

La réalisation de cette opération a été longtemps manuelle, et par suite lente et coûteuse . Sous cette forme eJ nécessitait l'emploi d'un personnel important et onéreux, qui risquait en outre de se tromper dans les manipulations des fei » les . De plus, l'espace nécessaire pour réaliser la dispositif ordonnée des paquets de feuilles avant l'assemblage était telJ ment grand dès que le nombre de feuilles par fascicule atteignait une certaine valeur,que ce genre d'assemblage par voie manuelle n'était pratiquement plus possible.

Plusieurs procédés et dispositifs ont déjà été proposés en vue de mécaniser cette opération d'assemblage des fei les en fascicules. Parmi ceux-ci, un dispositif de ce genre a été décrit dans le brevet U.b, 3.173.680 qui permet de réalis« de façon efficace et rapide, ainsi que pratiquement sans risqi de dérangement,une telle opération de mise de feuilles en fast cules.

Une telle machine est constituée par la combinaisoi j de quatre dispositifs principaux montés sur un même bâti et qt sonti un magasin comportant des cases contiguës inclinées et i I nombre au moins égal à celui des feuilles à assembler dans un t même fascicule, cases dans lesquelles on range les feuilles p< ! espèce, à raison d'une seule espèce par case et dans l'ordre dans lequel elles devront se suivre dans les fascicules; un dispositif élévateur destiné k extraire une à une les feuillet hors de chaque case pour les engager dans un dispositif assem·

J

il bleur, lequel dispositif élévateur comporte des"doigts" ou i l . hampes animés d'un mouvement alternatif de bas en haut et de '3 haut en bas, et qui à l'aide de patins dont elles sont munies !i à leur extrémité supérieure, entraînent simultanément dans lei mouvement ascendant la feuille supérieure de chacun des paque

V

* — logée dans les cases du magasin; un dispositif de collecte ou assemblage qui superpose au moins partiellement toutes les feuilles dans l’ordre voulu et les achemine vers un récepteur, dans lequel s’empilent les fascicules successifs ainsi constitués *

Suivant une modalité avantageuse de ce dispositif connu» les hanpæ mobiles de l'élévateur sont articulées par leur extrémité inférieure, sur une barre qui est mise en mouvement alternatif de montée et de descente par une came tour- « nante de profil approprié, actionnée mécaniquement de façon „ connue en soi, les dites hampes étant inclinées par rapport à la verticale, de telle sorte que sous l'effet de la pesanteur, aidée éventuellement par l'action de ressorts, les patins dos hampes sont appliqués avec une force appropriée sur les paquets1 de feuilles respectifs. Ces patins sont en outre munis d'une articulation sur pivot, laquelle a le plus souvent son axe dans le sens et suivant l'cixe propre de la hampe élévatri-ce correspondante, supportant le dit pivot et elle-même, comme dit plus haut articulée sur la dite barre par son extrémité in· férieure. Les patins sont en outre munis d'un pivot secondaire permettant leur basculement ou rotation autour d'un axe horizontal» de telle façon que lors de leur mouvement de montée, L patins se trouvent dans une position déterminée, dite d'entrât· nemeftt des feuilles, et que lors de leur mouvement de descente les patins se trouvent dans une position dite basculée qui leu: r permet de glisser sur les feuilles restant dans les paquets, sans courir le risque d'entraîner les dites feuilles vers le bas « Le passage des patins d'une position à l'autre, se fuit précisément par rotation autour du dit axe horizontal.

Il n'est pas inutile de signaler ici que des tentative# pour effectuer des assemblages de feuilles de surface * " particulièrement lisse, telles que par exemple des feuilles de papier couché ou semi-couché, ont déjà été faites; elles étaie: basées sur des méthodes pneumatiques, agissant par succion sur la feuille supérieure de chaque paquet . Il ne semble pas que :: ces tentatives aient réellement permis de résoudre le problème

Il poséij d’une façon efficace, .y * ~'l-

La présente invention a pour objet un perfectionn ment apporté notamment à un type de machine du genre décrit ci-dessus, et grâce auquel, celle-ci pourrait également ôtre utilisée, sons aucune difficulté pour des assemblages de feuilles, notamment do papier, dont la surface est panticuli rement lisse (papier couché ou glacé). A titre d'exemple, on peut citer les papiers connus sous le nom de "couché" ou "semi-couclié", c'est-à-dire ceux pour lesquels un entratnome 5 du type classique par un patin muni d'un organe rugueux* ne . permet pas de manière absolument sûre un fonctionnement sans ’ aléa d'une machine assembleuse courante .

Les carnetéristiques de l'invention seront décrit plus loin après que l'on aura décrit un exemple non limitati de réalisation d'un dispositif conforme à celui de l'inventi

Il est nettement spécifié ici, que le dispositif de l'invention, peut être utilise sur de multiples types I de machines assembleuses . 6a descrition est axée sur son ad tation à une machine assembleuse du type décrit dans le pré bule, mais c'est uniquement à titre d'exemple non limitatif, car il peut s'adapter aisément aux assembleuses dont les cas contiguSs sont horizontales, quasi-horizontales ou faiblemen inclinées ( donc par exemple pratiquement superposées l'une l'autre). Il est cependant recommandé de ne pas faire usage d» case dont l'inclinaison sur l'horizontale serait trop voi sine de $0°, ou dans ces cas, des précautions spéciales de-! : vraient être prises pour empâcher tout flambage des paquets d feuilles sous leur poids propre .

Quel que soit le type de machine assembleuse de feuilles en fascicules, les cases de celles-ci comportent puour la mise en place des feuilles à assembler, deux bordure latérales, dont l'écartement est ajustable à la largeur des feuilles, un fond(généralement une tôle mince) pour que les feuilles mises en paquet puissent s'y reposer, ainsi qu'une 16a arrière constituée d'une paroi, le plus souvent perpendic laire au plan du fond, paroi dont la position est ajustable fonction de la longueur dos feuilles à assembler, et permet h en général le passage d’un organo (hampe) pour la mise en mouvement des feuilles à assembler.

* ' · -3- 4

Le dispositif objet de la présente invention est adaptable à tous ces types de machines assembleuses, et est spécialement intéressant dans les cas des feuilles à surfaces glacées, qui comme on le sait présentent entre elles des forces d'attraction électrostatique très importantes, qui en rendent la séparation de feuille à feuille très difficile à maîtriser.

Il reste efficace même pour des feuilles de ce type, ,· particulièrement minces, dont le poids spécifique peut descen dre jusqu'à 30 grammes par mètre carré. On conçoit immédiate-» ment l'intérêt de cette invention, étant donnée la faible résis tance mécanique de telles feuilles aux forces électrostatiques de cohésion mutuelle.

Le dispositif de l'invention comporte notamment un dispositif entraîneur particulier, destiné à la mise en branle de la feuille supérieure de chaque paquet, ainsi qu'un dispositj assurant le décollement de la dite feuille supérieure d'avec la feuille lui immédiatement sous-jacente et le maintien en place de cette feuille dernière nommée. L'action des deux dispositifs sus-nommés ne peut être séparée l'une de l'autre, il s'agit d'une véritable combinaison de moyens, le résultat obtenu dépendant obligatoirement de la mise en oeuvre de ces deux moyens , qui réagissent l'un sur l'autre .

La figure 1, représente de façon schématique et non à l'échelle, une machine assembleuse d'un type connu en soi, sur laquelle on peut adapter le dispositif faisant l'objet de la présente invention, les figures suivantes représentent à titre d'exemples différentes projections des différentes parties d'un dispositif entraîneur proprement dit des feuilles disposées dans les différents casiers de la machine de la figure 1. D'autres figures se rapportent à d'autres parties du dispositif de " l'invention . Ces figures seront expliquées au fur et à mesure des nécessités.

Sur la figure 1, on peut voir en 1, le châssis de la machine assembleuse, en 2 se trouve la batterie des cases inclinées (représentée sur la figure par la case d'extrême gauche) . Les cases de la batterie 2 présentent chacune une butée.arrière 3» soutenant chacune un paquet de feuilles 4 à assembler . Λ no* l· .

j ter que le repère 2 sert également à désigner le fond de chaque case.

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Une tringle 5 commune à tous les casiers est soumise à un mouvement de va-et-vient dans le sens de la flèche 0, par tout moyen connu en soi. La tringle 5,sert de support aux hampe élévatrices 7 articulées en Ö sur la dite tringle 5· Les hampes 7 reposent chacune par leur extrémité supérieure 9 (ou antérieure) sur un paquet de feuilles. Les extrémités supérieures ou antérieures des hampes sont terminées par une tête ou patin 10.

Au cours du mouvement d'élévation des feuilles supérieures par les têtes 1υ, les dites feuilles sont happées par leurs extrémités antérieures entre une ou plusieurs couri’oifis , collectrices 10 (par leurs brins inférieurs) et une série de rouleaux 11. L'entraînement des feuilles est réalisé dans le sens de la flèche IL, l'ensemble des feuilles ainsi en cours d'entraînement constituant en un train, un fascicule complet, reçu en 13 à l'extrémité de la machine, dans un organe récepteur approprié, qui superpose de façon complète, les unes sur les autres toutes les feuille« du fascicule considéré..

Les courroies collectrices sont du type sans fin, et présentent un brin supérieur 14 de retour, en reposant sur dos rouleaux 15 placés au dessus des rouleaux 11,et qui, au moins par leur poids propre maintiennent les brins inférieurs 10 au contact des rouleaux 11, ce qui assure un bon entraînement des feuilles par leur bord antérieur, une fois qu'elles ont été entraînées vers le haut par les patins, suivant une trajectoire appropriée, les guidant pour être happées entre les rouleaux 11 et les brins 10.

Le mode de commande des courroies, ainsi que celui de la'tringle 5 peut être de tout type connu en soijla machine assembleuse peut se composer de deux ou plusieurs groupes de cases, commandées synchroniquement ou non, sans sortir du domaj ne de l'invention présente.

. * Sur la figure 2, ainsi que sur la figure 3 on peut observer une pièce du dispositif élévateur des feuilles hors d< cases. Ce dispositif élévateur constitue en fait la tête 1b, extrémité antérieure des hampes 7» il se compose de deux ensem- Àbles de pièces et n'est qu'une première partie de la totalité c dispositif faisant l'objet de la présente invention.

Liiextremitéi des hampes, en fait, les têtes 16 sont soumises avec les hampes qui soutiennent chacune d’entre elles à un mouvement de va-et-vient, par l'intermédiaire de la tringle horizontale 5· i:ßs totes H> colportent chacune deux ensembles, le premier est représenté aux figures 2 et 3» Ie second repris sous le repère d'ensemble 17 est représenté aux. figures k et 5. Le premier ensemble de la tête 1b s'emmanche sur la hamp® 7 (en fait l'extrémité effective S.J de cette hampe).

La figure 2 représente une vue latérale de ce premier ensemble ' et la figure 3 eu représente’ une vue en plan, la hampe étant à 9 ce moment, pour la facilité du dessin, supposée horizontale.

La dite première partie est constituée d'une traverse métallique 18, pourvue à chacune de ses deux extrémités 19 et 20, d'une broche 21-22 d'axe perpendiculaire au plan du dessin. Ce deux broches sont destinées à servir de pivot pour la seconde partie (en fait le second ensemble de la tête 16) . La travers

18 est munie sur sa face avant 23 (fig. 3) de deux épaisseurs 2k et 25» disposées aux extrémités de la dite face, et en un matériau à la fois mou, rugueux, non conducteur de l'électrici j‘ tel que par exemple de la mousse de caoutchouc, et dont le rÔL

un mot est de servirHmtée à la partie mobile de la tête 16 (cfr. fig ajoute M_____ 4 et 5)décrite plus loin. L'ensemble représenté aux figures 2 i, et 3 est muni en son centre, mais du côté opposé aux butées 2k- 25* d'une broche métallique 2b, généralement de section circulaire, destinée à être introduite à faible frottement dans l'extrémité antérieure 27 de la hampe 7, représentée en traits interrompus, broche pouvant toutefois tourner dans la hampe autour de l'axe 28 de la dite hampe. Dans le cas où la tête 16 ne doit pas être mise en service, on peut, dans sa case, la re tourner de 180° autour de l'axe 28, et à ce moment, elle repose sur le fond de la case par un intercalaire 29, coiffant sa * partie centrale supérieure, et constituée en une matière électriquement non conductrice. La face supérieure 30 de cet intercalaire est lisse, de façon à ne pas absorber d'énergie par i» i frottement, lors du mouvement de l'ensemble des hampes en ser-,i vice.

2_ / s t j

Les deux pivots .'J 1 et 22 servent d'axe de rotation hirizontale à la partie mobile de la tête 16, partie mobile q constitue en fait son second ensemble. Cette partie mobile es constituée d'un étrier 31 en forme de U dont les deux extrémi tés 32 et 33 sont chacune pourvue*d'un trou 3^“35 destiné à être passé dans les broches-pivots 21-22 . Le jeu laissé entr les faces internes des extrémités 32-33 et celles externes 36-37 de la traverse 18 est insuffisant pour que après montag - de l'U sur les deux pivots (qui peuvent n'être que de simples » prisonniers à vis), celui-ci puisse d'en séparer sans démonta exprès. La face antérieure 38 de l'étrier est munie à ses deu extrémités de deux épaisseurs 39 et 40 , rugueuses, molles et non conductrices d'électricité . Le rôle de ces deux épaisseu 39 et est double, d'une part pendant la montée ou course avant de la hampe, leurs faces antérieures ^7-^8 sont parallel ou quasi à la feuille supérieure du paquet, feuille qu'elles contribuent ainsi à entraîner vers l'avant de par leur nature rugueuse, et d'autre part, au début de la descente ou course rétrograde de la dite hampe, elles provoquent la rotation ver le haut de l'étrier 31 autour de ses pivots 21-22, de telle façon que leur contact avec la feuille en cours d'entraînemen par le dispositif entraîneur (faisant suite au dispositif élé vateur dont la hampe fait partie), soit réduit au minimum, c'est-à-dire à leur arête inférieure h\-k2 et que soit et res interrompu un contact électrique de contrôle réalisé en phase d'ascension(ou déplacement vers l'avant ) de la hampe,entre une borne électrique reliée au circuit général de commande de la machine (non figuré) et une plaque métallique h3 solidaire de l'étrier .

Cette disposition pei'met de vérifier si toutes les hampes ont effectivement, au moyen de leur patin,entraîné une feuille vers l'avant (dans l'exemple présent, vers le haut) .8 cette condition n'est pas remplie, un des patins n'est pas mi en rotation par la feuille happée par le dispositif entraîneu f, j'f le contact entre la plaque k'} et la borne correspondante n'es »JjL, pas rompu et la machine s'arrête automatiquement, ? / f / /

La face antérieure 38 du dit étrier est également munie de deux organes pointus 43-44, en matière dure, dont les extrémités 45-46 dépassent las l'aces avant 47-48 des épaisseurs 39-40.Ces deux organes pointus, ci-après appelés"aiguilles" sont fixés par vis 49 chacune dans un support 50-3·» eux-mêmes attachés aurdeux branches de l'étrier U par des vis 5^-53·

Les pointes îles aiguilles 43—4‘t, d'une part dépassent vers l'avant les faces 47-48 d'une distance suffisante, (à régler expérimentalement dans chaque cas) et d'autre part » sont d'une finesse appropriée pour exercer sur la face supériou· re de la feuille à entraîner un effort de frottement, l’églable notamment avec le poids de la traverse, capable d'effectuer le démarrage de la feuille, sans toutefois la percer et sans laisser sur la feuille, une trace pratiquement perceptible. Ce déplacement est contrôlable et réglé au moyen des vis 49 fixant la position des aiguilles dans leurs supports 50-5··

Ce réglage est très important, car il ne faut pas oublier que l'on a spécialement affaire à des feuilles telles que du papier couché, ou seiai—couché ou glacé, dont les forces électrostatiques d'attraction mutuelle sont importantes et dont la moindre altération de la qualité brillante de la surface ne peut Être admise .

Plusieurs types de matières peuvent être envisagés v pour la constitution des aiguilles, matières dures et qui ne s'usent pratiquement pas, par exemple du quartz, ou différents métaux durs. On donne cependant la préférence à des aiguilles en aciers, éventuellement spéciaux, ou en carbure de tungstène.

Il est à noter qu'en phase montante de la hampe, les étriers sont par rotation autour de leurs pivots, dans une position telle que les pointes des aiguilles sont entrées en * * contact avec la feuille à entraîner, tandisqu'en phase descen dante de la hampe, l'étrier a pivoté autour des dits pivots " en sens inverse de la précédente rotation, jusqu'à ce que les faces arrières 54-55 des supports 50-51 soient en contact avec les faces avant 56-57 des épeiisseurs élastiques 24-25. A ce mo- !» | ment, les pointes des aiguilles sont dégagées de la feuille· entraînée, les arêtes 41-42 sont pratiquement les seuls organes

A

y* f -10- en contact avec la feuille supérieure, et la plaque 43 s’est électriquement séparée de sa borne de contact correspondante.

Par mesure de précaution on peut rendre particulièrement liss du côté de son extrémité inférieure la dite plaque 43 pour qu dans le cas où en phase descendante la dite plaque viendrait contact avec la feuille montante ou la feuille sous-jacente, aucun dommage ne pourrait survenir aux dites feuilles .

Comme dit plus haut, le dispositif élévateur ne ! ‘ constitue que la première partie du dispositif faisant l’obj { · de la présente invention, et exerce sa fonction en combinaiso: avec la seconde partie de ce dispositif, qui est décrite ci-après .

| La fonction de la tête 10 consiste donc comme décr

ci—dessus à assurer sans dommage le démarrage de la feuille j supérieure du paquet de feuilles se trouvant dans la case . I

! convient toutefois de s'assurer simultanément que la feuille immédiatement sous-jacente ne soit pas également entraînée ave la première feuille, par attraction électrostatique notamment Cet objectif est réalisé grâce à la seconde partie du disposi tif de l'invention .

j Chaque paquet de feuilles, quel que soit le type d machine assembleuse utilisé est disposé dans une case (ou casier) comportant un fond, sur lequel le paquet repose, une butée arrière contre laquelle les bords postérieurs des feuil les sont en contact, et deux bords latéraux dont l'interdista ce est adaptée à la largeur des feuilles .

auatre mots v La seconde partie du dispositif de l’invention cou . Γ? en une première variante ajoutes A. sisteéd’une part à assurer à ces bords latéraux une lnngueur —au moins égale à celle des feuilles à entraîner, tout en maint ^ nant la différence entre d'une part les distances(suivant l'a j longitudinal du casier) butée arrière —avant des bords latéra | _ et d'autre part la longueur des feuilles, relativement faible par exemple quelques millimètres .Cette seconde partie du Hit | deux mots dispositif consiste d’autre part à munir les extrémités^^fant • ajoutés , , .

! des dites bordures laterales de redans detranglement (Cfr. fi ! J 6) de faible importance, par exemple il à 3 mm, et suffisammen I F.

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; -11- lisses pour ne pas endommager les bords des feuilles qui viendront buter contre eux au cours de leur mouvement ascendant.

Sous l’entraînement que la première feuille subit de lu part des pointes de la tète, son bord antérieur atteint la zonP rétrécie par les deux redans de 1 *étranglement et est obligé de prendre une forme quelque peu arquée vers le haut (par un phénomène quelque peu semblable au flambage d'une poutre). Ce faisant, elle ne peut que se détacher nettement de ln. feuille sous-jacente, ce qui fait disparaître quasi * complètement les forces d'attraction électrostatique’entre les deux feuilles. La dite feuilles supérieure est entraînée vers l€> haut par les pointes jusqu'au moment où son bord antérieur s'introduit entre la courroie ΙΟ et le rouleau 11 correspondant. La vitesse d'entraînement de ce couple "courroie-rouleau" étant supérieure à la vitesse de déplacement de la haïr pe et donc de la tête 1b entraîneuse, celle-ci bascule sous l'action de la feuille, écartant ainsi les pointes de leur contact· avec la dite feuille . Celle-ci continue son chemin entre courroies et rouleaux tandisque la hampe amorçe son mouvement rétrograde pour aller agripper la feuille suivante.

L'importance dti rétrécissement est à déterminer expérimentalement en fonction des caractéristiques de la feuille et notamment de sa raideur naturelle, car apres avoir franchi la zone de rétrécissement avec un profil transversal non rectiligne et nécessairement déformé vers le haut, la feuille doit pouvoir reprendre naturellement son profil transversal rectiligne, grâce à sa raideur naturelle, et surtout sans présenter la moindre trace de pliure.

Différentes formes de redans peuvent être utilisés avec intérêt, celui qui est décrit ultérieurement, ne l'est - ' qu’à titre d'exemple non limitatif. Rentre dans le domaine de la présente invention tout système de rétrécissement remplissant la même fonction en se basant sur les mêmes principes.

I£n ce qui concerne la feuille sous-jacente, qui a tendance à être entraînée avec la première feuille en vertu , des attractions électrostatiques mutuelles, on a constaté ex-! périmentalement que ces risques d'entraînement sont faibles, voir« suis. D'une part en effet cette seconde feuille subit ! : ' -12- l’attraction de la troisième feuille sur laquelle elle repose, et d'autre part, même si elle avait tendance à se mettre en branle, il lui eerait plus difficile de franchir la zone de réti cissement, puisqu’on cet endroit, le seul espace qu'elle pourri occuper pour se déformer est déjà occupé par la première feuil] Selon une variante avantageuse du dispositif de l’invention, la seconde partie peut comporter un organe permettant d'assurer instantanément le blocage sur plr " , ce de la feuille immédiatement sous-jacente à celle qui doit quatre lettres u 1 i ajoutées Γ être entraînée. Les deux variantes peuvent être utilisée simult

Ce dispositif de blocage entre en fonction aussitôt / que la hampe a commencé son mouvement ascendant,il est par / ailleurs préférentiellement commandé par la hampe elle-même.

Il est constitué d'un organe de pression agissant sur 1'extrême bord arrière de la feuille sous-jacente pour l'empêcher de se déplacer avec la première feuille. Avantageusement cet organe c pression est constituéd'une ou plusieurs pointes, par exemple du genre de celles entraînant la feuille supérieure, mais ces pointes sont solidaires d'une traverse ou organe dont tout mouvement 'dans le sens de déplacement des feuilles est rendu mécai quement impossible. Le poids de cet organe ou traverse ainsi qi les caractéristiques des pointes sont calculées de façon à bloquer efficacement la seconde feuille, sans toutefois la marque] de manière réellement visible. Un tel organe est d'autant plus efficace que la position initiale des paquets de feuilles se rapproche de 1' horizontale.

Les figures 6 et 7 montrent comment on peut concevo: le dispositif d'étranglement local des feuilles. La figure 6 représente une vue d'en haut et une vue latérale de ce dispositif, la vue d'en haut étant perpendiculaire au plan du fond < casier correspondant . La figure 7 en représente une coupe en travers. Soit en 5S”59 les deux bords latéraux du casier dont le fond est représenté par les deux faces coplanaires (»0-61, i l'interdistance 58-59 est réglable de manière connue en soi,

Il pour s'adapter à la largeur des feuilles * La partie antérieur« 'lL· / -1 Ilde chacune des deux bordures 58-59, soit 62-63 dépassant légèrement le bord antérieur 6*1 du fond 6Ο-61, est munie d'uii re bord extérieur transversal 65-66, pourvu d’un trou 67-68 servant à la fixation d'une plaque (cfr. figure 8 représentant en agrandi une coupe horizontale des extrémités antérieures des deux bordures latérales)69-70 pourvue vers l’intérieur du casier d'un redan lisse 71-72. L’interdistance 71-72 est régla ble en fonction des caractéristiques de la feuille à faire s passer dans le sens de la flèche 73 » elle eet naturellement inférieure à l’interdistance 62-63 et réglée facilement grftce s au fait que les redans sont munis d'un trou 7^-75 dont les dimensions dans le sens perpendiculaire à celui de la flèche 7 et dans le plan du dessin de la figure 8 sont inférieures à ce les des trous 67-68 dans le même sens, lesquels peuvent ainsi servir de glissière pour la fixation des plaques 69-70.

La figure ^ montre une vue latérale de cette extrémité antérieure, prise selon la flèche 76, perpendiculairement à la flèche 73· On peut y observer que la plaque 70 est munie de deux rebords 77—78 encadrant les bords supérieur et inférieur du rebord 65 de façon à empêcher toute rotation de la 'dite plaque 70 autour de son axe 79· La solidarisation de la plaque 70 avec le rebord 65 par l’intermédiaire des trous 75-68 peut se faire de manière connue en soi, mais la préférence est donnée à un moyen élastique, par exemple comportant un res sort permettant d’une part le maintien en place appropriée de la plaque 70 par rapport au rebord 65 et d’autre part le dépla cernent manuel de la dite plaque 70 suivant la flèche 76 sans devoir procéder à aucun démontage. La modification de la position du redan en est etinsi grandement facilitée .La forme arron . die des redans 71-72 n’est donnée qu’à titre d'exemple, d'autr » formes peuvent également convenir qui remplissent également le même rêle.

Il ne sort pas du domaine de l'invention de donner aux deux plaques 69-70 une forme telle que les redans 71—72 soient faiblement convergents vers le bas, ce qui facilite en-*, core le décollement d’une feuille quelconque par rapport à la y feuille sous-jacente.

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Il va de soi que le rapprochement maximum ainsi admis entre redans ne peut atteindre une valeur qui risquerai de provoquer dans les dernières feuilles du paquet, un pli qu ne disparaîtrait pas après franchissement de la zone d'étran-j · glement.

Un avantage particulier de cette partie du disposi tif de l'invention, consiste dans le fait qu'il peut être « adapté seins difficulté à une machine préexistante, car il suf „ (Cfr. fig.b vue de droite) par exemple de replier l'extrémité ’ antérieure des fonds 60-61, conformément au repère 80 en ne laissant qu'un faible intervalle 81 entre 61 et 80 pour dispo ser l'entièreté du dispositif sur les fonds des casiers d'une un mot \ ' fond ajouté Λ machine préexistante en introduisant le bord avant du/de clinq ¢------casier de la dite machine dans une paire (gauche et droite) ! des pièces représentées à la figure 6 par la fente 81 dont ce ) pièces sont pourvues.

j Le domaine de l'invention ne couvre donc pas uniqu ment une machine pourvue des perfectionnements sus-mentionnés mais également l'adaptation de ceux-ci à toute machine suscep tible de les recevoir, quel que soit le mode précis de fixati des dits perfectionnements aux dites machines.

Le dispositif auxiliaire de maintien en place de 1 feuille sous-jacente pendant le démarrage de la feuille supér eure peut se concevoir comme suit.

La butée antérieure du casier, contre laquelle on vient disposer les feuilles est le plus souvent interrompue e t sa partie centrale pour laisser libre passage à la hampe 7. Cette butée est généralement mais non obligatoirement perpend culaire au plan du fond du casier.

Le schéma du dispositif décrit à titre d'exemple aux figure 10 et 11 à savoir en coupe longitudinale et en vue arrière, est relatif à un casier dont la pente du fond est ! de l'ordre de 45°· Cet exemple n'a aucun caractère limitatif i -et le dessin n'est pas à l'échelle.

Soit figure 10, l'horizontale figurée en S2, le fo i.

- - i 5- d'un casier est en 83» la butée fcrrière en 84(dont la position par rapport à 83 est réglable de manière connue en soi) . En 97 se trouve le paquet de JL'euilles. L'extrémité inférieure de la hampe 7 est ε-irticulée en 8 sur la tringle 5» (cfr. fig. 1). Cette extrémité 85 qui passe entre les deux parties latérales de la butée 84, présente en 86 une zone inclinée, réduisant son encombrement vertical dans la direction de l'articulation 8 .

. La réduction affecte 1“épaisseur de la hampe 7 essentiellement du côté de sa face supérieure (repérée également 86). A l'arrière de la butée 84 et prenant appui d'une part sur la face supé rieure de la hampe au moyen d'une roulette 87 et d'autre part sur un plan incliné 88 sensiblement parallèle à 84, au moyen de galets 89 et 90» (il y a donc deux plans inclinés 88 à savoir un derrière chaque moitié de la butée 84)une masse pesante 91 faisant pont au dessus de la hampe repose sur les dits deux plans 88 et sur la hampe . Chaque plan 88 supporte donc la mass 91 par l'intermédiaire d'une paire de galets 89 et 90. Cette môme masse 91 est munie d'au moins une pointe 92 réglable en position par une vis 93· Ces pointes, car le plus souvent il y en a deux,sont éituées de part et d'autre de la hampe 7, en avant des et entre les deux butées 84,et elles suivent le mouvement de la masse pesante 91· Elles sont susceptibles de venir au contact des feuilles lorsque la zone inclinée de moindre épaisseur 86 permet à la masse de descendre. La distance entre la pointe 9^ et la butée 84 est aussi réduite que possible.

Lorsque la hampe J est en mouvement de retour, la masse 91 est écartée au minimum du paquet de feuilles 97 et la pointe 9^ reste au contact de la feuille supérieure. A la fin de la période descendante, la roulette 87 subit un déplacement dans le sens de la flèche 95 du fait de son contact avec la 1 * zone inclinée 86 et la pointe 9^ quitte le contact de la feuill supérieure.

Au moment où la course de la hampe 7 reprend vers le haut, la roulette 87 est à nouveau sur la zone 86 ce qui permet Immédiatement à la pointe 94 de reprendre un contact auto-, bloquant avec la feuille immédiatement sous-jacente à son ex- /; trême bord inférieur, et de conserver ce contact, car le profil supérieur longitudinal de la hampe ne pennet aucun déplace ment ;TT................' ..... 1

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de la roulette 87 entre la zone 86 et 1*extrémité ini'érieure de la hampe.

Un avantage particulier de ce dispositif est qu'i. est facilement adaptable à toutes les inclinaisons des fonds de casiers et qu'il peut s'enlever immédiatement du casier, ; son besoin cesse de se faire sentir . Il va de soi que la po: tion de la zone 86 ainsi que son profil en long sont à déten ner et à adapter dans chaque cas spécifique, et notammant poi tenir compte des variations ‘de l'inclinaison de la hampe 7 ai fur et à mesure de l’épuisement des feuilles du paquet.

Ce dispositif auxiliaire est également représenté à la figure 11 suivant la flèche (fig. 10), tel qu'il est vu de l'articulation 8. On y distingue facilement la masse 9 faisant pont au dessus de la hampe 7» le fond 100 reliant la paroi 88 à 8k ainsi que deux plaques guides $8-99 permettant avec un jeu suffisant le déplacement de la masse 91 dans un perpendiculaire au plan du fond 83 du casier considéré.

Il y a lieu de faire remarquer que la vitesse ave laquelle on doit actionner la dite hampe est à adapter soigneusement aux caractéristiques des feuilles, spécialement I lorsque celles-ci sont très minces

Il n'est pas inutile d'ajouter ici que la butée arrière 8k n'est pas nécessairement perpendiculaire au plan fond 83, que le plan incliné 88 pourrait présenter une léger courbure pour tenir compte également des variations d'inclin son des hampes au cours de l'épuisement des paquets, et que (Cfr. fig. 9) les portes redans 69“70 ne sont pas nécessair ment dans un plan perpendiculaire au plan du fond du casier} légère inclinaison conférant à leur plan, dans le sens long! dinal un angle un peu supérieur à 90°(par exemple jusqu'à 10 avec celui du dit fond, contribuerait à faciliter le décolla des feuilles.

Pour terminer, il est rappelé que le domaine de 1 ventions'étend aux perfectionnements ci-dessus, à leur adapt ^ tion à toute machine préexistante, quelles que soient les op fl rations auxquelles les feuilles sont soumises, une fois qu'e jJ les ont été extraites des casiers.

A

Claims (12)

1.- Machine assembleuse rie feuilles, et spéeinlomen de feuilles lisses comme par exemple des feuilles de papier couché, semi-couché, glacé,..., comportant: - un magasin composé ci'un certain nombre de cases ou casiers, en nombre au moins égal à celui des feuilles à nsse bler, pour former un fascicule ou une partie de J'as . cicule, cases dans lesquelles on range en paquet le feuilles par espqce( suivant un critère dé terminé ) , dans l’ordre dans lequel elles devront se suivre da , le fascicule à constituer, - un dispositif extracteur destine à extraire une à une les feuilles hors de chaque case pour les engager dans un dispositif assembleur ( ou collecteur), lequel dispositif extracteur comporte des hampes animées d'un mouvement de va-et-vient et qui, à l'aide de patins dont elles sont munies à leur extrémité mité rieure entraînent soit simultanément dans leur mouvement extracteur la feuille supérieure de chaque paquet se trouvant dans une case (à raison d'un paquet par case), soit avec une séquence temporelle suffisamment rapide de case à case pour permettre, la sortie des cases, par exemple au moyen d'un disp sitif collecteur la superposition au moins partiell . de feuille à feuille, de toutes les feuilles desti nées à la. composition du dit fascicule, les patins dont sont munies les hampes pouvant présenter une articulation sur pivot autour d'un axe sensiblement parallèle à celui de leur hampe, mais présentant un articulation leur permettant un mouvement de rotati autour d'un axe horizontal perpendiculaire ou ortho I gonal à celui de leur hampe, de telle façon que, *fy lorsque la hampe se déplace pour extraire la feuill supérieure dos paquets, les dits patins présentent i / -1 ; - » i ] 9 ' une face rugueuse ai. contact des dites feuilles pc les entraîner, et cjue lors du déplacement retour t ' la dite liampe, les dits patins présentent une fact lisse(donc non entraîneuse)au contact de la fcuill supérieure ou sous-jacente du paquet, - des cases constituées d'un fond, de deux bordures latérales dont l’écartement est généralement réglable en foi tion des feuilles à assembler, et d'une butée arri re fixée par exemple sur le fond et dont la posit-d s est le plus souvent réglable sur ce fond, en fonc tion de la longueur des feuilles à assembler, caractérisé en ce qu’il comporte simultanément d'une part un patin dont la fonction "entraîneuse" est réalisée au moyen de pointes, et d'autre part des moyens pour empêcher la feuille sous-jacente de se laisser entraîner par la feuille supérieur i lors du démarrage de celle-ci.

2, - Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que ces moyens consistent en des casiers dont les parties avant, ou les extrémités avant des bords latéraux con portent une zone d'étranglement pour les feuilles à extraire des casiers, c'est-à-dire une zone où l'interdistance entre les dites parties avant ou axtinmités avant est inférieure à la largeur des feuilles, les_.quelles doivent traverser cette zone d'étranglement au cours do leur trajet de sortie des casiers .

3, - Machine suivant l'une ou l'autre des revendiez tions 1 et 2,caractérisée en ce que le patin de chaque hampe est composé de deux parties distinctes; - lapremière comportant une traverse 18 munie en son milieu d'une broche 26 destinée à être introduite dans 1 l'extrémité avant 27 de la hampe 7» la dite travei éta»t munie en ses extrémités de deux pivots per-| mettant à la seconde partie du patin de tourner av tour d'un axe horizontal perpendiculaire à celui 1 Tjb de la hampe, la face avant de la dite traverse etc A ,u. J • -,y- pourvue de butées élastiques 56—57 destinées à. servir d'appui à la seconde partie du patin, lorsque celle-ci, tournant autour des dits pivots, prend ui position dite "relevée"correspondant au mouvement < descente de la hampe 7» - la seconde partie affectant la forme d'un "U" dont les deux extrémités, munies chacune d'un trou approprié, soi a destinées à être engagées avec un faible jeu dans ‘ dits pivots, de -telle sorte que la dite seconde pai puisse tourner autour des dits pivots, la branche centrale de 1' "U" présentant sur sa face avant 3Ö, préférentiellement côté de chacune de ses extrémiti une surépaisseur 39—hQ en une matière analogue à di caoutchouc-mousse, ainsi que deux pointes (ou aigu: les)43**^ en une matière dure, dépassant les faces avant des surépaisseurs d'une longueur réglable pai un moyen approprié et l'onction des caractéristiques des feuilles, le tout de telle façon qu'en position dite"abaissée" le patin repose sur la première feuille pratiquement uniquement par lei pointes et qu'en position dite "relevée" le patin après rotat: de la seconde partie autour des pivots faisant corps avec la première partie, repose sur les feuilles uniquement par l'arê ou bord inferieur des deux surépaisseurs 39-^0» l'arrière de ! face 38 s'appuyant à ce moment sur les butées élastiques 56-5'

4. Machine suivant la revendication 3, caractériel en ce que les aiguilles sont en quartz,

5. Machine suivant la revendication 3t caractériel en ce que les aiguilles snnt métalliques, et de préférence en acier et/ou en carbure de tungstène.

6. Machine suivant l'une et/ou l'autre des revend cations 1 à 3»caractérisée en ce que les moyens pour empêcher toute feuille sous-jacente de suivre par entrainement la feui le lui supérieure, à faire démarrer et sortir de son casier, consistent en ce que la partie avant ou les extrémités des bo: I dures latérales du casier contenant les feuilles présentent "T3 chacune>une zone de rétrécissement (71-72), telle qu'en cet /-- -:.0- *► endroit l'interdistance entre les deux bordures soient inféri-eure à la largeur des feuilles, les dites zones de rétrécissem étant de préférence en l'ace l'une de l'autre.

7·- Machine suivant les revendications 2 et/ou 6, caractérisée en ce que l'importance des rétrécissement est régi ble par tout moyen approprié.

8.- Machine suivant l'une et ou l'autre des revendi cations 2,é ou 7»caractérisée en ce que les zone de rétrécisse Iment sont particulièrement lisses.

9. Machine suivant l'une et/ou l'autre des revendi cation 1 à 8 caractérisée on ce que les moyens pour empêcher toute feuille sous-jacente de suivre par entraînement la feuil supérieure à faire démarrer et sortir de son casier consistent en un organe de pression 92, prenant appui sur l'extrême bord arrière de la dite feuille sous-jacente, organe dont la comnm ! de est, par tout moyen connu en soi, synchronique du démarrage de la hampe 7 dans sa course avant.

10.“ Machine suivant la revendication 9 caractérisé en ce que l’organe de pression est constitué de pointes 94, pr féremment du genre de celles garnissant le patin de la lmmpè, pointe solidaire d'une masse 91 de poids approprié.

11,— Machine suivant l'une ou l'autre des revendica tions 9 et 10, caractérisée en ce que la mise sous pression de la feuille sous-jacente par les dites pointes est réglée par 1 poids de la dite masse, dont le déplacement dans le sens de 1' exercice de la dite pression ou dans le sens contraire est coin mandé par la hampe elle—même, de préférence grâce à un profil en long approprié 86 de la face supérieure de la dite hampe, sur laquelle la dite masse prend appui, par exemple par l'inte médiaire d'une roulette .

12. Machine assembleuse telle que décrite et repr sentée ci—dessus 13*” Machine assembleuse à laquelle on aurait appli que l'un ou l'autre des perfectionnements tels que décrits, de sinés ou revendiqués ci-dessus. j - .7» l J ï