LU81935A1 - Chaise - Google Patents

Description

MÉMOIRE DESCRIPTIF

DÉPOSÉ A L’APPUI D’UNE DEMANDE DE

BREVET D’INVENTION

FORMÉE PAR

CENTER FOR DESIGN RESEARCH AND DEVELOPMENT N.V., P O U 27

Chaise.

!

La présente invention concerne une chaise du type général “coquille” comportant un dossier qui s’incline à partir d'une position verticale dans laquelle il est retenu élastiquement et, éventuellement, un siège qui coulisse vers l'arrière et vers l'avant.

Presque tous les individus qui sont employés à des travaux administratifs (bureau) passent plus de la moitié de leurs heures de veille assis. Les ergonomistes et les médecins ont constaté que de mauvaises positions assises sont responsables pour une grande part des affections dorsales et qu'un tra-

GM.HJ.mdb. 7 Pile 235IO-A

$ vailleur qui passe de longues heures penché en avant sur un bureau soumet les muscles et .les autres tissus de son dos à des contraintes considérables, l’atténuation de ces contraintes exige la relaxation fréquenté des muscles du dos que l’on 'obtient le mieux en se penchant de temps à autre vers 1*arrière vers une position relaxée ou étendue. Dans une position relaxée, les efforts musculaires sont réduits au minimum. Des observations réelles faites par des ergonomistes ont montré en fait qu’une personne assise change habituellement de position toutes les 8 à 10 minutes.

La géométrie fixe de la plupart des sièges d'institutions et de bureaux est peu à même de soutenir convena- j blement le dos d'une personne assise dans plus d'une seule position (pour autant qu'il y en ait une). Habituellement, un tel siège est destiné à soutenir le dos lorsque la personne est assise droite. Lorsqu’elle se penche vers I l’arrière vers une position relaxée, elle glisse normalement vers l'avant sur le siège et exerce une pression vers l’arrière contre le dossier du siège mais le milieu de son dos (dans la zone des vertèbres thoraciques inférieures et des vertèbres lombaires) n’est pratiquement pas soutenu dans la position relaxée, ce qui soumet son dos à un type de contrainte qui est différent de celui produit par la position assise droite mais qui est néanmoins une contrainte.

Une réduction sensible de cette contrainte exige que le milieu du dos soit soutenu dans la position relaxéej ce n’est qu’à l’aide de ce soutien que l’on peut atténuer efficacement les contraintes produites par la position assise * droite en se penchant vers l’arrière de temps à autre.

La Demanderesse a déjà amélioré précédemment de façon sensible le confort des chaises d’institutions, d’en- lui permettant dé se déplacer vers l'arrière et vers l'avant et en montant le dossier sur des supports tels que ce dossier s'incline vers l'arrière à partir d'une position relativement verticale retenue élastiquement . Des chaises ainsi perfectionnées, qui sont décrites et représentées dans les "brevets des Etats-Unis d'Amérique n°3*982.785 et ^.08^-.850, changent automatiquement de géométrie pour s'adapter à une position assise quelconque parmi une gamme de positions allant de la position assise droite à la position couchée ou étendue très loin vers l'arrière et assurent donc un soutien confortable dans une large gamme de positions assises. Certaines des chaises décrites et représentées de manière spécifique dans le brevet des Etats-Unis d’Amérique ^^-.08^-.850 sont vendues sous la marque de fabrique "Vertebra" et ont un franc succès. Le principe du montage télescopique du siège décrit dans ce brevet permet de monter le siège sur une [ charpente tubulaire simple d’une manière efficace et relative ment peu onéreuse.

Un type très populaire de chaise d'institutions qui a été commercialisé sous diverses formes comprend un siège et un dossier d’une pièce moule en fibres de verre en contre-plaqué, en métal ou en matière plastique à haute résistance au choc monté sur des pieds, sur un socle ou sur une poutre (rangée de sièges). Ce type de siège est peu onéreux, raisonnablement durable (dans des formes de bonne qualité ) et assez confortable pour la position assise pour laquelle il a été conçu. Il est toutefois nettement inconfortable pour d’autres positions assises; la surface dure et la géométrie fixe ne permettent pas à une personne assise · sur une chaise de ce type d’être confortablement soutenue par exemple dans une position inclinée vers l'ar- même position pendant des périodes prolongées sans se fatiguer et que le relâchement des contraintes dorsales exige un bon soutien du dos dans la position relaxée penchée vers l'arrière, comme décrit plus haut, presque tous les sièges d'institutions,notamment les sièges habituellement utilisés dans des auditoires, des salles de conférence et des salles de lecture dans des écoles, produisent de la fatigue et entraînent une diminution de la vivacité et de l'attention d'autant plus importante que l'on est assis plus longtemps sur un tel siège.

Suivant l'invention, il est prévu une chaise d'institutions qui soit relativement peu onéreuse à fabriquer, présente une durabilité élevée, s'adapte à toute forme de pied,de socle ou de poutre pouvant être utilisée avec l'élément de base comprenant le siège et le dossier et, ce qui est important, soit très confortable dans une gamme de po-Ê sitions assises allant d'une position relativement droite à une position relaxée:, étendue en arrière et affaissée.

Une chaise conforme à l'invention comprend un siège et un bas de dossier d'une pièce, un haut de dossier séparé et au moins une liaison mécanique d'articulation élastique montant le haut de dossier sur le bas de dossier de manière à lui permettre de s'incliner vers l'arrière à partir d'une position relativement droite dans laquelle il est retenu élastiquement. la chaise peut aussi comporter un second élément de siège emboîté dans le siège proprement dit du siège et du bas de dossier d'une pièce et pouvant coulisser vers l'avant - et vers l'arrière sur celui-ci. L'axe horizontal autour duquel le haut de dossier s'incline se trouve à un niveau au-dessus du siège correspondant environ au milieu du dos d'un adulte assis sur de préférence une courbure transversale convexe vers le bas et le bord supérieur du bas de dossier présente une courbure correspondant au bord inférieur du haut de dossier et est étroitement espacé de celui-ci. Dans cette configuration, la hauteur du haut de dossier, au milieu et près, de celui-ci, coïncide avec la majeure partie de la région médiane du dos dJun adulte (allant environ de la taille jusqu'aux omoplates). L'emplacement de l’axe d’articulation du haut de dossier qui se trçuve i un peu au-dessus du milieu du bord inférieur du haut de dossier assure que la partie inférieure du haut de dossier avance lorsque le haut de dossier s’incline vers l’arrière, soutenant ainsi mieux le dos d’une personne qui s'affaisse dans la chaise ou qui s'étend vers l’arrière, et contribue à équilibrer les forces exercées sur le dossier de la chaise au-dessus et en dessous de l'axe d'articulation. Le siège i et le bas de dossier ainsi que le haut de dossier sont de préférence conformés longitudinalement et transversalement de manière à épouser de façon générale les formes anatomiques des parties d’un adulte qui sont soutenues par la chaise. (Toutes les références à des adultes doivent être considérées dans un sens large parce qu'il n’y a évidemment aucune raison empêchant des jeunes et des enfants d’utiliser de telles chaises de dimensions réduites pour s'adapter à leur taille).

Le siège et le bas de dossier d’une pièce ainsi que le haut de dossier peuvent être fabriqués en acier ou en un autre métal ou en bois, par exemple en contre-plaqué moulé, mais il convient peut-être mieux de les fabriquer en une matière polymère rigide à haute résistance au choc, telle que du polypropylène, une matière plastique ABS (copo- résine renforcée par des fibres de verre. En général, il est préférable, pour des raisons de prix de revient, de ne pas prévoir de carcasse de support mais, si cette carcasse est nécessaire, des éléments raidisseurs ou de renforcement peuvent être incorporés an siège et au dossier. La configuration structurelle spécifique du siège et du dossier est à la portée du spécialiste, et peut être dérivée en particulier de chai s es-d’institutions d’une pièce du type décrit plus haut.

La liaison mécanique d’articulation élastique utilisée pour monter le haut de dossier sur le bas de dossier peut prendre diverses formes telles que celles décrites et représentées dans les brevets des Etats-Unis d’Amérique nolt.08^-.850 et H·.157*203. La liaison mécanique d’articulation élastique comprend de préférence un élément de liaison supérieur et un élément de liaison inférieur reliés par un axe, par des ri-? ' vêts ou par des éléments analogues pour assurer l'articulation et reçus dans des logements complémentaires ménagés dans le bas de dossier et dans le haut de dossier, un système à ressort rappelant élastiquement les éléments de liaison dans une position relativement verticale et des butées déterminant la position verticale et la position complètement inclinée vers l’arrière du haut de dossier. Certaines formes d’exécution préférées de liaisons mécaniques d’articulation sont représentées aux dessins annexés et décrites plus loin. Bien qu’il soit parfaitement possible de ne prévoir qu’une seule liaison mécanique au milieu du dossier de la chaise, il est préférable d’utiliser deux liaisons mécaniques espacées l’une de l’autre latéralement. La présence d'une liaison mécanique de chaque côté du dossier est habituellement préférable pour des raisons ergonomiques, mécaniques et esthétiques. Les bords des ouvertures J__1 „___________J-_____' -______1____1 de l’autre et, dans ce cas, un fourreau extensible flexible fixé entre les logements peut être utilisé pour dissimuler et protéger les parties des liaisons mécaniques qui autrement seraient exposées.

Avec la configuration de chaise conforme à l'invention telle que l'on vient de la décrire, le haut de dossier est normalement retenu dans une position relativement verticale ou dressée et offre un soutien confortable pour la région médiane du dos d'une personne assise droite sur la chaise. Dans la position dressée ou verticale, le siège (évidemment) supporte les cuisses et le fessier et le bas de dossier du siège et du bas de dossier d'une pièce soutient le bas du dos. Lorsqu'on cambre le dos vers l'arrière, sans s'affaisser dans une position relaxée quelque peu inclinée vers l'arrière, le haut de dossier (de la chaise) se déplace automatiquement vers une position inclinée vers l'arrière pour sou-^ tenir confortablement la région médiane du dos. Lorsqu'une per sonne s'affaisse dans la chaise, elle glisse naturellement et inconsciemment vers l'avant sur le siège et son dos repousse le haut de dossier de la chaise vers une position inclinée . vers l'arrière. Contrairement aux chaises d'institutions classiques à dossier fixe qui ne soutiennent le dos d'une personne se trouvant . dans une position même légèrement affaissée, étendue ou cambrée, que le long d'une bande étroite située au niveau du bord supérieur du dossier de la chaise, une chaise conforme à l'invention offre un soutien confortable pour la majeure partie de la région médiane du dos dans une gamme de positions assises relativement large allant d'une position verticale droite à une position assez fortement inclinée ou cambrée (étirée).

Suivant l'invention, une chaise peut aussi com- •y-N -wz-N-yi uw πλλλπΛ Α/-τ*λ ατμ>ιλί 4-λ rlovie Ί ο οτ όσο TVPnr\7»am OT"i dit du siège et du bas de dossier d'une pièce et pouvant coulisser vers l'avant et vers l'arrière sur celui-ci. Des butées limitent le coulissement vers l'avant et vers l'arrière du second siège et un ressort retient de préférence le second siège dans sa position postérieure. Des guides coopérant longitudinalement forcent le second siège à suivre un axe longitudinal et le retiennent pressé vers le bas sur le siège proprement dit du siège et du bas de dossier d'une pièce.

Dans des chaises comportant un second siège mobile, le siège se déplace automatiquement dans l'intervalle permis par les butées vers une position adaptée à la position assise de la personne sur la chaise. Dans une position verticale ou étirée de la personne, le .siège est entièrement vers l'arrière; lorsque la personne se penche vers l'arrière, le siège avance dans une mesure déterminée par le degré f· d'inclinaison de la position prise. Pendant ce temps, le haut de dossier s'articule par rapport au bas de dossier de la manière décrite plus haut. Le second siège mobile augmente le confort de la chaise dans des positions incli- 4 nées en soutenant les cuisses de la personne un peu mieux que des chaises comportant un siège fixe. Néanmoins, le haut de dossier articulé est considéré comme représentant l'aspect le plus important des chaises d'institutions perfectionnées décrites ici.

L'avantage le plus important des chaises conformes à l'invention est évidemment une amélioration sensible du confort dans une gamme de positions assises qui est garantie par la géométrie variable du dossier. Cette particularité est évidemment connue, en particulier dans des chaises de secrétaires, des sièges pour automobiles, pour véhicules de nViamin Λ a ion o+r πλιιτ> mH nne rin iröTeivs p.lun' fies 1 nncmss £>t 1 fis sièges d'institutions et de bureaux basés sur les inventions de la D.emanderesse décrites dans les deux brevets précités. La présente invention offre toutefois cette particularité à un prix de revient extrêmement bas grâce à la suppression de la nécessité d'utiliser une carcasse et à l'utilisation de liaisons mécaniques d'articulations relativement simples qui peuvent être fabriquées en masse d'une manière relativement économique.

Pour mieux comprendre l’invention, on se référera à la description suivante de certaines formes d'exécution données3à titre d’exemple, avec référence aux dessins annexés dans lesquels: les Pig. 1 à H- sont respectivement une vue en élévation de face, une vue en élévation de côté, une vue du dessus et une vue du dessous d'une forme d'exécution de l’invention; j la Pig. 5 est une vue en élévation de côté du dossier de la chaise représentée sur la Pig. 1, une partie étant arrachée pour montrer une forme de liaison mécanique d'articulation adéquate servant à monter le haut de dossier .sur le bas de dossier; la Pig. 6 est identique à la Pig. 5 mais montre le haut de dossier incliné vers l'arrière; la Pig. 7 est une vue arrière fragmentaire du dossier de chaise en partie arraché et en coupe pour montrer la liaison mécanique d'articulation représentée sur les Pig. 5 et 6; la Pig. 8 est une vue en coupe du dessus fragmentaire suivant la ligne 8-8 de la Pig. 7 et dans le sens des flèches; la Pig. 9 est une vue de côté en coupe prise juste tränt une autre forme de liaison mécanique d’articulation dans la position verticale; la Fig. 10 est identique à la Fig. 9 sauf que le haut de dossier est incliné vers l'arrière; la Fig. 11 est une vue en coupe arrière fragmentaire de la liaison mécanique d’articulation représentée sur les Fig. 9 et 10; la Fig. 12 est une vue en coupe du dessus fragmentaire suivant la ligne 12-12 de la Fig. 11; la Fig. 13 est une vue en coupe de côté fragmentaire illustrant une autre liaison mécanique d’articulation dans la position verticale; la Fig. 14 est semblable à la Fig. 13 sauf qu’elle illustre le haut de dossier incliné vers l’arrière; la Fig. 15 est une vue en coupe arrière de la liaison mécanique représentée aux Fig. 13 et 1^-, suivant I la ligne l5-l5 de la Fig. 13; la Fig. 16 est une vue en coupe du dessus fragmentaire suivant la ligne l6-l6 de la Fig. l5; la Fig. 17 est une vue de côté en coupe fragmentaire d’une chaise comportant une autre liaison mécanique d’articulation qui est représentée dans la position verticale; la Fig. 18 est une vue semblable à la Fig. 17 mais illustre le haut de dossier dans la position inclinée vers l’arrière; la Fig. 19 est une vue en coupe arrière fragmentaire suivant la ligne 19-19 de la Fig. 17; la Fig. 20 est une vue en coupe du dessus fragmentaire suivant la ligne 20-20 de la Fig. 19; la Fig. 21 est une vue de côté en coupe suivant lé milieu du siège d'une chaise semblable a celle représentée mvif T?·; η. 1 A )ι n<-.n-P flnJûll û iiftitinriTtf! lin Qor>nnrI σ-ϊοσα ηηηΤτΐ 1 o dans le sens longitudinal (représenté dans sa position limite avant) ; la Fig. 22 est une vue en coupe de côté du siège représenté sur la Fig. 21 et illustre le second siege mobile dans sa position limite arrière; la Fig. 23 est une vue en coupe fragmentaire du siège représenté aux Fig. 21 et 22 suivant la ligne 23“23 de la Fig. 22 ; la Fig. 2b est une vue en coupe fragmentaire suivant la ligne 2V*2k de la Fig. 22; la Fig- 25 est une vue du dessus fragmentaire de la partie médiane du siège de la Fig. 21 (dans la position avant), certaines parties étant arrachées pour montrer le mécanisme de montage et de guidage; la Fig. 26 est une vue en coupe prise juste en dessous du corps principal du second siège mobile des Fig.21 I et 22 et illustre le siège mobile dans sa position limite arrière; la Fig. 27 est une vue de côte en coupe suivant le plan longitudinal médian d'une chaise semblable à celle représentée aux Fig. 1 à b mais comportant un; second siège mobile construit et monté quelque peu différemment de celui représenté sur les Fig. 21 à 26, ce siège étant représenté dans sa position limite avant; la Fig. 28 est une vue de côté en coupe semblable à la Fig. 27 mais montre le siège dans sa position limite arrière; la Fig. 29 est une vue en coupe fragmentaire du siège représenté aux Fig. 27 et 28, suivant la ligne 29-29 de la Fig. 28 et dans le sens des flèches; la Fig. 30 est une vue en coupe fragmentaire suivant la Fig. 31 est une vue du dessus fragmentaire d’une chaise équipée du siège représenté aux Fig. 27 et 28, certaines parties étant arrachées pour montrer le mécanisme de montage et de guidage pour le second siège; la Fig. 32 est une vue en coupe du dessus fragmentaire du mécanisme de montage et de guidage du siège des Fig. 27 à 31 et est semblable à la Fig. 31 sauf qu'elle montre le second siège mobile dans sa position limite arrière; la Fig. 33 est une vue de côté en coupe prise juste à l'intérieur du côté proche du dossier de la chaise et illustrant une autre liaison mécanique d'articulation, * le haut de dossier se trouvant dans la position verticale; la Fig. 3V est une vue semblable à la Fig. 3 sauf que le haut de dossier est incliné vers l'arrière; la Fig. 35 est une vue en coupe arrière fragmentaire prise de l'arrière du côté gauche du dossier de la chaise f représenté sur les Fig. 33 et 3^5 la Fig. 36 est une vue en coupe du dessus fragmentaire suivant la ligne 36-36 de la Fig. 35» et la Fig. 37 est une vue en élévation de côté de la liaison mécanique d'articulation des Fig. 33 à 36, certaines parties étant arrachées.

La chaise représentée sur les Fig. 1 à *+ comprend un siège et un bas de dossier d'une pièce 10 et un haut de dossier 12 séparé qui sont tous deux conformés transversalement et longitudinalement de manière à soutenir confortablement le fessier et le dos d'un adulte assis sur la chaise. (Comme mentionné plus haut, le référence au mot nadulte" pour les chaises n'exclut en aucun cas les chaises de dimensions réduites destinées aux jeunes ou aux enfants)· Chacun des éléments 10 et 12 est fabriqué de préférence par moulage par injection en une matièr »-vT rtn-1 λ -V» J M>î J A i. A..i>A -1Λ / « *î Π + Λ1Λ Λ Λ Λ1·Ι Ί Λ Λ)Π Λι γΙιΤ η αΊ "ΓΓΊΑ 7>Α pylène ou un copolymère d’acrylonitrile, de butadiène et de styrène. Le haut de dossier 12 est monté sur le bas de dossier 1^ de l’élément 10 comprenant le siège et le bas de dossier par deux liaisons mécaniques d’articulation élastiques adéquates disposées respectivement à chaque côté de la chaise et enfermées chacune dans un fourreau extensible flexible 16 en forme de soufflet. Plusieurs formes d'exécution préférées de liaisons mécaniques d'articulation sont représentées aux dessins et décrites ci-après. Le dessous du siège (voir la Fig. 4·) comporte une série de nervures raidisseuses 18 et quatre petits bossages 20 gui reçoivent des vis par lesquelles un pied ou un support quelconque adéquat à utiliser avec un socle ou une poutre est fixé a la chaise. Les pieds 21 représentés sur les Fig. 1 à 4-ne sont donnés qu’à titre d’exemple et ne font pas partie de l’invention. Ils sont faits de tubes d’acier cou-j dés selon la configuration représentée, configuration.qui permet l’empilage.

L'axe d'articulation horizontal transversal du haut de dossier 12 au bas de dossier 14- est placé d’une manière générale au milieu du soufflet IfS, un endroit qui se trouve au niveau approximatif du milieu de la région médiane du dos d’un adulte assis sur la chaise. Le bord inférieur du haut de dossier 12 est courbé de façon convexe dans le sens transversal (vu de l'avant ou de l'arrière), de manière à présenter une hauteur dans la partie médiane du haut de dossier qui coïncide en substance avec la majeure partie de la région médiane du dos d’un adulte, allant environ de la taille jusqu’aux omoplates. Le haut de dossier 12 soutient donc convenablement le dos d’une personne assise sur la chaise. Le bord supérieur du bas de dossier est courbé de manière à nnrresnondre au bord in férieur du haut de dossier en ne laissant qu'un espace relativement étroit de largeur en substance uniforme entre les bords adjacents du haut de dossier 12 et du bas de dossier lH·. Les emplacements relatifs du bord inférieur de la partie médiane du haut de dossier et de l’axe d’articulation du haut de dossier contribuent à équilibrer les forces qui s'exercent sur le haut de dossier de chaque côté de l'axe d'articulation et assurent que,lorsque le haut de dossier s'incline vers l'arrière(ï'ig. 2), son bord inférieur avance pour contribuer à soutenir le bas du das d’une personne gui s'affaisse ou s’étend dans la chaise.

Les parois de l’élément 10 comprenant le siège et le bas de dossier et du haut de dossier 12 sont d’une épaisseur généralement uniforme mais peuvent être surépaissis. lorsque cela s'avère nécessaire pour la résistance. Des nervures raidisseuses ou des rebords peuvent j être ajoutés, selon les besoins. Les parties 10 et 12 sont bordées par un rebord périphérique gui, dans une certaine mesure, est une particularité esthétique mais contribue aussi à la résistance et à la rigidité.

Quatre formes différentes de liaisons mécaniques d’articulation sont représentées aux dessins et sont couvertes par les descriptions gui suivent. Dans chaque cas cependant, les liaisons mécaniques d’articulation sont construites de manière à s'ajuster dans des logements complémentaires 22 et 2\ de chaque côté respectivement du bas de dossier et du haut de dossier. Les logements s'ouvrent l'un vers l'autre, sont en général de même dimension et de même forme et comprennent une paroi antérieure 26 délimitée par les bords d'une série de nervures (afin d'économiser de la matière plastique et de maintenir des épaisseurs de parois en moulage et produire des contours mieux finis tout en formant une face antérieure conformée et une face postérieure effectivement plane), une paroi postérieure 28 gui s'incline en s'écartant de l'ouverture vers la paroi antérieure, des parois latérales 30 et 32 et une paroi supérieure 3k- ou, dans le cas des logements prévus dans le las de dossier,' une paroi de fond.

Chacune des guatre liaisons mécanigues d'articulation représentées aux dessins (Fig. 5 à 20 et 33 à 37) comprend des éléments de liaison généralement .tubulaires supérieur et inférieur qui sont généralement semblables dans la mesure où ils comportent chacun une paroi antérieure, des parois latérales et une paroi postérieure (ou des rebords formant une paroi postérieure partielle) qui attaquent des parois avant, latérales et postérieure correspondantes des logements. En dépit des similitudes, il y a des différen-r ces de détails entre les éléments de liaison spécifiques des diverses liaisons mécanigues articulées et des chiffres de référence différents y sont attribués. La description générale qtui précède peut être appliquée à toutes ces liaisons mécaniques et ne sera pas répétée. Les éléments de liaison sont également semblables dans la mesure où on les fabrique en découpant des flans, dans de l'acier relativement épais et en les pliant sous une forme généralement tubulaire ou qua-drangulaire. Chaque élément de liaison est ancré en place dans le logement par un adhésif, par des oreilles de blocage ou par des organes d>assemblage adéquats.

La liaison mécanique d'articulation élastique 36 représentée sur les Fig. 5 à 8 des dessins est très semblable à une liaison mécanique décrite et représentée dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique no2+.l57-203 (mentionné plus haut).

__ _ ^ . > _ _ . - Am m A /m / > de liaison inférieur 1+0 qui sont semblables sauf que les bords supérieurs des parois latérales de l’élément de liaison inférieur sont pliés vers l’intérieur en vue d’être reçus avec chevauchement dans les bords inférieurs des parois latérales de l'élément de liaison supérieur (voir Fig. 7)· Un axe W2 relie les deux éléments de liaison pour 1*articulation et porte une plaque de réaction de ressort WW comportant des lames qui s'étendent vers le haut dans l’élément & liaison supérieur et vers le bas dans l’élément de liaison inférieur. Des ressorts de compression W6 ayant la forme de corps en un élastomère relativement rigide tel que du néoprène ou un polyuréthane, sont engagés sous une force de précontrainte modérée entre chaque lame de la plaque de réaction WW et la paroi antérieure de l'élément de liaison 38 ou WO correspondant. Les ressorts W6 réagissent contre la plaque de réaction et maintiennent élastiquement le haut 1 de dossier 12 dans une position verticale par rapport au bas de dossier en exerçant une pression contre les parois antérieures des éléments de liaison. Chaque ressort W6 est fixé à la plaque de réaction par des bossages W7 qui sont ajustés de force dans des trous correspondants prévus dans la plaque de réaction. La position verticale limite est établie par contact entre les rebords prévus au dos de chaque élément de liaison et les extrémités des bossages W7 qui font saillie vers l’extérieur à partir du dos de la plaque de réaction et amortissent et étouffent le contact dans la position limite verticale.

Lorsqu'une personne assise sur la chaise se penche vers l’arrière avec une force suffisante pour surmonter la force de précontrainte dans les ressorts W6 de la liaison mécanique, les ressorts cèdent élastiquement et permettent . . ··-· -, 1 ·\ port au "bas de dossier 10. La limite postérieure est établie par contact entre la plaque de réaction de ressort Ψ* et les extrémités libres de pattes 50 partiellement astampées puis rabattues vers l'arrière à partir des parois antérieures des éléments de liaison. Lorsque la force exercée vers l'arrière sur le baut de dossier est éliminée,les ressorts 1*1*- rappellent lë baut de dossier vers la position verticale.

Comme mentionné plus baut, les espaces entre les ouvertures des logements dans le baut et dans le bas de dossier où des parties des liaisons mécaniques d'articulation sont exposées, sont remplis par des manchettes flexibles et extensibles 16 en forme de soufflets tubulaires qui présentent une section transversale s'.adaptant au profil en coupe transversale des périmètres des logements (voir Fig.8). Comme le montre clairement la vue de détail fragmentaire à plus grande échelle de la Fig. 7, les manchettes tubulai-| res 16 sont ondulées. Elles sont faites d'une matière po lymère flexible élastique, telle qu'un vinyl nitrile ou du néoprène.

Les liaisons mécaniques d'articulation représentées sur les Fig. 9 à 12 comprennent des éléments de liaison supérieur et inférieur 50 et 52 reliés par des rivets 5k (en utilisant un élément d'espacement pour empêcher les rivets de bloquer les deux parties de telle façon qu'elles ne puissent pas s'articuler) et comprennent des rebords 56 et 58 qui s'étendent vers l'intérieur, qui sont juxtaposés et qui sont pliés à partir des parois antérieures aux endroits où les éléments de liaison se rejoignent. Des ressorts en matière élastomère 60, qui sont soutenus par des rondelles à chaque extrémité, sont engagés entre les faces des rebords 56 et 58 éloignées l'une de l'autre et, dans le cas du ressort férieur, un écrou 6*f. Le boulon traverse des trous prévus dans les rebords et retient ainsi les ressorts en place. Les ressorts sont soumis à une précontrainte modérée qui presse les rebords 56 et 58 l'un vers l'autre et qui retient par conséquent ’ * élastiquement le baut de dossier 12 dans la position verti- · cale en vue d'un soutien confortable. Lorsqu'une force orientée vers l'arrière exercée sur le haut de dossier surmonte la force de précontrainte présente dans les ressorts, Ceux-ci sont comprimés et permettent au haut de dossier de s'incliner vers l'arrière (voir Fig. l). Lorsque la force exercée vers l'arrière sur le haut de dossier est éliminée, les ressorts rappellent à nouveau les rebords l'un contre l'autre. -La limite de l'avancement du haut de dossier par rapport au bas de dossier (c'est-à-dire la position verticale du haut de dossier) est établie par contact entre les faces adjacentes des rebords 56 et 58. La limite de l'inclinaison vers l'arrière du haut de dossier est établie par contact des rondelles supérieure et inférieure de l'ensemble de ressorts avec les parois antérieures des deux éléments de liaison (voir Fig. 10).

Les formes d'exécution des Fig. 5 a 8 e.t des Fig.9 à 12 ont un principe commun, à savoir l'équilibre automatique des forces de compression entre les deux éléments de ressort. La plaque de réaction de la forme d'exécution des Fig. 5 a 8 prend, par rapport aux axes de chaque élément de liaison, une inclinaison égale à environ une moitié de l'angle d'articulation pour équilibrer les forces de ressort. Oette relation est aussi valable pour les formes d'exécution des Fig. 9 à 12 et 33 à 37.

’ _ La liaison mécanique d'articulation représentée sur les Fig. 13 à 16 comprend des éléments de liaison su- verse des trous prévus dans des parties chevauchantes des parois latérales des éléments de liaison. Le haut de dossier est normalement maintenu dans une position verticale par un ressort du tjpe pour souricière 76 modérément précontraint qui est enroulé autour d'une douille de matière plastique 73 glissée sur l'axe 7H· et qui comporte des branches . 80 et 82 qui s'étendent vers l'extérieur et attaquent les parois antérieures des éléments de liaison 70 et 72. La position verticale du haut de dossier est établie par contact entre une oreille 8½ pliée vers l'intérieur à partir du bord supérieur d'une paroi latérale de l'élément de liaison inférieur 72 et un tampon en matière élastomère en substance en IJ fixé à l'élément de liaison supérieur par de petits bossages 83 engagés de force dans des trous corres- · pondants percés dans les parois de l'élément de liaison supérieur (voir Fig. 16). Comme le nom qui lui a été attri- £ bué l'implique, le tampon 86 étouffe et absorbe l'énergie y des mouvements brusques du haut de dossier vers l'une ou l'.autre de ses- positions limites. Les butées de fin de course vers l'arrière comprennent une oreille 90 pliée vers l'intérieur à partir du bord supérieur d’une paroi latérale de l'élément de liaison inférieur 72 et la partie antérieure du tampon 86 (voir les traits interrompus sur la Fig. 1½).

Le mode de fonctionnement de cette forme d'exécution ne doit pas être décrit.

La quatrième forme de liaison mécanique d'articulation représentée aux dessins (Fig. 17 à 2.0) comporte des éléments de liaison supérieur et inférieur 100 et 102 qui sont reliés à des fins d'articulation par un axe 10^- et qui sont normalement maintenus dans une position verticale (Fig. 17) par un ressort de traction 106 installé sous une tension . modérée entre des oreilles 108 et 110 pliées vers l'intérieur à partir des parois antérieures des éléments de liaison 100 et 102. L'agencement des butées (oreilles sur le bord supérieur d'une paroi latérale de l'élément de liaison inférieur 102) est le même que celui des butées de la forme d'exécution des Fig.13 à 16 décrite plus baut et aucune description supplémentaire ne paraît nécessaire.

Une force dirigée vers l'arrière et exercée sur le baut de dossier 12, suffisante pour surmonter la précontrainte du ressort 106,force le haut du dossier à pivoter vers l'arrière autour de l'axe 10½, augmentant ainsi la tension du ressort 106. L'énergie accumulée dans le ressort rappelle le baut de dossier 12 vers la position verticale lorsque la personne assise revient vers une position verticale.

Les Fig. 21 à 26 montrent le siège d'une cbaise du type décrit plus baut, à savoir une cbaise comportant un siège et un bas de dossier d'une pièce et un baut de j. dossier monté sur le bas de dossier de manière à pouvoir s'incliner vers l'arrière, modifiée par l'adjonction d'un second siège 120 qui s'emboîte dans le siège proprement dit .122 du siège et du bas de dossier 10 d'une pièce et qui est monté et guidé ' sur le siège, proprement dit 122 de manière à se déplacer entre une position limite postérieure (Fig. 22) et une position antérieure ou étendue (Fig. 21). Dans la forme d'exécution des Fig. 21 à 26, un long cbenal étroit et surbaissé 12½ est formé par moulage dans le siège t proprement dit 122 du siège et du bas de dossier 10 d'une pièce. Le siège mobile 120 comporte une nervure longitudinale verticale 126 dont le bord inférieur traverse une fente 128 ménagée dans la partie antérieure de la paroi , inférieure du cbenal 12½. Les épaulements orientés vers le baut d'un bourrelet 130 de section en Y prévu sur le bord inférieur de la nervure 126 maintiennent le siège mobile 120 appliqué sun le siège proprement dit 122 du siège et du bas de dossier 10 d*une pièce. La forme en coin de la partie du bourrelet 130 orientée vers le bas permet cependant de forcer la nervure à travers la fente 128, en déformant réciproquement le bourrelet et les parois de la fente au cours de ce processus. Un ressort de traction 132 fixé à une extrémité à la nervure 126 et à l’autre à un crochet de retenue 13è· fiché à l’extrémité postérieure du chenal 12h rappelle normalement le siège mobile 120 vers une position postérieure (Fig. 22 et 26) mais permet au· siège mobile 120 de coulisser automatiquement vers l’avant lorsqu'une personne assise sur la chaise avance son fessier pour prendre une position jstendue vers l’arrière (Fig-» . 21 et 25). L'avancement ou l'extension du second siège 120 est arrêté par contact entre le bord antérieur de la nervure 126 et le bord antérieur de la fente 128 (Fig. 21) tandis que le recul I du siège est arrêté par contact entre le bord postérieur de la nervure 126 et le bord postérieur de la fente 128.

La nervure et la fente remplissent trois fonctions, limiter l'avancement et le recul du siège mobile 120, guider le siège suivant un axe longitudinal et maintenir le second siège appliqué sur le siège proprement dit du siège et du bas de dossier d?une pièce.

Les Fig. 27 à 32 illustrent une autre forme de siège mobile. Le siège mobile 1^-0 comprend une base en matière plastique conformée 1^-2, une mince couche de rembourrage Ihh et une garniture lH-6 repliée en dessous des bords du périmètre de la base en matière plastique lk2 et agrafée ou collée en place. (Le haut de dossier de la chaise peut aussi être rembourré et garni). Leux guides latéralement espacés sont moulés dans la base lh2 du siège mobile, η.Ήαο.πη ri •ornr ό-hnn-h nnneti trio nor line aile on an’h.Qtann.o on Ti ]A8 qui fait saillie à partir du dessous de la base 1½ (voir Fig. 29). Une série de nervures longitudinales 150 fait aussi saillie sur la surface inférieure de la base lk-2 et glisse sur la surface supérieure du siège proprement dit l52 du siège 10 et du bas de dossier 10 d'une pièce. Une fente 15k s’étend vers l’avant à partir du guidage formé par les nervures 1U8, s’ouvre dans celui-ci et est bornée par un rebord périphérique .

Une plaque de retenue 158, qui est fixée par des écrous spéciaux 160 et des vis 162 sur la surface supérieure du siège proprement dit l52, maintient le siège mobile 1^0 contre le siège proprement dit 152 du siège et du bas de dossier 10 d'une pièce et le guide pendant son déplacement longitudinal au moyen des rebords 16½ qui s’étendent vers l’extérieur de chaque côté de la plaque de retenue au-dessus des parties longitudinales des .ailes 148 qui s’étendent vers î l'intérieur le long du dessous du siège mobile 1^0. Un ressort de traction 166 fixé entre l’extrémité antérieure de la fente 1¾ et la plaque de retenue 158 rappelle le siège dans sa position postérieure (Fig. 26, 28 et 32). Lorsqu’une personne assise sur la chaise s'affaisse dans celle-ci vers l'arrière et vers le bas vers une position étendue ou relaxée, le siège mobile coulisse automatiquement vers l’avant sur le siège proprement dit lî?2 (Fig. 27 et 31)· Les limites de l’avancement et du recul du siège mobile sont établies par contact entre les extrémités des rebords l*t8 du guidage et les extrémités de la plaque de retenue 158.

Une plaque de couverture 168 rivée au siège après installation du ressort 166 et de la plaque de retenue 1^8 couvre l’ouverture prévue au milieu du siège mobile lVO.

Après avoir installé cette plaque, on ajoute le rembourrage . , - - . , -, « \ ___ le siège proprement dit l52 en le mettant en place, en plaçant la plaque de retenue en coïncidence avec les trous destinés aux vis et en installant les vis. Une particularité, notable des chaises, qui est mise en évidence par le processus d'assemblage quel 'on vient de mentionner, est la grande facilité d’assemblage, un facteur qui contribue au coût relativement peu élevé des chaises conformes à l’invention.

Dans les deux formes de chaises comportant.des' sièges mobiles (Fig. 21 à 32), le siège proprement dit du siège et dossier d'une pièce et le siège mobile comportent des surfaces complémentaires en contact de coulissement qui sont courbes dans le sens longitudinal. Par conséquent, à mesure que le siège mobile avance, son inclinaison augmente, cette inclinaison accrue améliorant le confort de la chaise..pour les positions assises étendues en arrière ou relaxées.

j. Les Fig. 33 à 36 illustrent une autre forme de liaison mécanique d’articulation servant à monter le haut de dossier 12 sur le bas de dossier 1½ faisant partie du siège et du bas de dossier 10 d'une pièce. Cette forme d'exécution est très semblable aux liaisons mécaniques d’articulation décrites et représentées dans le brevet des Etats-Unis d’Amérique n0l+.157*203 (mentionné plus haut) et à la liaison mécanique représentée sur les Fig. 5 à 8 et décrite plus haut, mais comprend aussi un certain nombre de raffinements souhaitables. La liaison mécanique d'articulation comprend un élément de liaison inférieur 170 qui est reçu dans le logement 22 du bas de dossier 1½ du siège .et du bas de dossier d'une pièce et un élément de liaison supérieur 172 qui est reçu dans le logement 2k prévu dans le côté du haut de dossier 12. Les deux éléments de liaison 170 et 172 I · _Tt I · _ _ _ _ _ _ «Λ Vt-J- M J·.·. νΝΛ 4 1rt4- *3 Λ τνη t Λ /-11 *r coût un avantage qui est obtenu par réduction du nombre de pièces différentes nécessaire pour la liaison mécanique. Etant donné qu'il sont identiques, seul l'élément de liaison inférieur 170 . sera décrit dans le détail.

L’élément de 11 ai son 170 comprend une partie antérieure en U 17½ comportant deux parois latérales 17½ et 17½. Une languette généralement semi-circulaire 176a, 176b part de l’extrémité supérieure des parois latérales 171½ et 17½ correspondantes. Chaque languette est percée d’un trou 178 poinçonné et est ensuite estampée de manière à former un petit rebord annulaire. La languette 176b est décalée vers l’intérieur de la partie plus importante de la paroi 17½, ce qui permet aux languettes prévues sur les éléments de liaison supérieur et inférieur de s’emboîter de la manière représentée clairement sur la Fig. 35, les trous étant en coïncidence et les languettes se chevauchant (Fig. 37). Un ^ pivot 180 traverse les quatre trous coïncidents et relie les deux éléments de liaison de manière à leur permettre de s'articuler autour de l'axe du pivot.

La paroi antérieure 17½ de l'élément de liaison comporte un rebord estampé en échelon l8l qui fait saillie vers l'intérieur et qui forme des sièges de retenue pour un petit ressort intérieur 182 .et un ressort extérieur 18½ plus grand. De petites saillies orientées vers l'intérieur, qui ne sont pas visibles aux dessins, sont repoussées près du bord postérieur de chaque paroi latérale 17½ et 17½ de la partie antérieure 17½.

L'élément de liaison 170 comporte aussi une partie postérieure 186 qui comprend une paroi postérieure 186a et deux ailes latérales l86b et 186c. qui s’étendent vers l'avant à partir de l'extrémité inférieure, sur une partie de la longueur totale de l'élément de liaison et qui s'ajustent à 1'intérieur des parties postérieures inférieures des parois latérales 17½¾ et 17H-Ç. de la partie antérieure de l'élément de liaison. Chaque aile latérale de la partie postérieure 186 présente un certain nombre de creux 188 repoussés dans sa face extérieure et dans lesquels s'ajustent les petites saillies précitées prévues sur les parois latérales de la partie antérieure. Les saillies et les creux qui s'emboîtent maintiennent les parties antérieure et postérieure 17½ et 186 de l'élément de liaison assemblées mais ces deux parties peuvent évidemment être assemblées par des rivets ou par d'autres moyens d'assemblage ou encore par soudage.

La paroi postérieure 186a comporte deux petites pattes 190 et 192 estampées suivant leurs bords supérieurs et latéraux et repoussées ensuite à l'extérieur de manière à présenter des bords ou des épaulements orientés vers le \ haut qui sont reçus dans des évidements comportant des épaulements orientés vers le bas formés par moulage dans le logement 22 du bas de dossier 1½.

Pour installer 1 ' élément de liaison 170 dans le logement 22, on l'enfonce simplement vers le bas; la· paroi du logement se déforme élastiquement afin de permettre aux pattes 190 et 192 de pénétrer dans le logement et de sauter finalement élastiquement en position de blocage dans les encoches correspondantes du logement (voir Pig. 33)· L'installation de l'élément de liaison dans le logement est facilitée par la présence d'une petite saillie 19½ qui s'étend vers l'extérieur et qui est repoussée dans chaque paroi latérale 17½¾ et 17½^ de la partie antérieure; les saillies 19½ maintiennent l'élément de liaison solidement en place latéralement tout en laissant un jeu latéral entre les faces Λ*ν4* û*m λ1 ΤΜλ η λ n mv n <-t T λ 4- ΑηοΊ λο /4 λ T t ίΊ Xwi äv\4— J 1 4 a 4 λιλ a 4- les faces intérieures des parois latérales du logement, et cette aisance empêche l’élément de liaison de se coincer lorsqu'il est enfoncé en place.

La liaison mécanique comprend en outre un élément de réaction de ressort 196 qui comprend une paroi postérieure . 196a et deux ailes latérales 196b et 196c. Chaque aile latérale est percée d'un trou qui reçoit le pivot, l'élément de réaction de ressort étant monté à .rotation sur le pivot.

La paroi postérieure l96a comporte des rebords supérieur et inférieur à échelon I98 identiques à ceux prévus dans les parois antérieures des éléments tubulaires, ces rebörds formant des .sièges de retenue pour les extrémités postérieures des ressorts 182 et 18½.

On assemble les liaisons mécaniques avec les deux jeux de ressorts comprimés de telle sorte qu'ils exercent une force entre l'élément de réaction de ressort et chaque ^ élément de liaison. Il va sans dire que la dimension et le nombre de ressorts utilisés dans la liaison mécanique dépendent de la force élastique que l'on souhaite exercer pour retenir le haut de dossier dans une position verticale, mais quatre ressorts relativement petits auront probablement une durée de vie supérieure à celle de deux ressorts relativement grands qui produisent la même force. La position verticale du haut de dossier est établie par des butées supérieure· et inférieure 200, de préférence des plaques en caoutchouc ou en matière plastique relativement dure avantageusement montées sur la paroi postérieure de l'élément de réaction 196. Les plaques amortissent et assourdissent le rappel élastique du haut de dossier vers la position verticale lorsqu'une personne assise sur la chaise libère brusquement le haut de dossier alors qu^il se trouve dans la position inclinée vers

Lorsqu'une personne assise sur la chaise s'étire vers l'arrière ou s'affaisse vers l'arrière dâns la chaise, les ressorts 182 et 181*· cèdent élastiguement et permettent au haut de dossier 12 de pivoter autour de l'axe du pivot des deux liaisons mécaniques. La force de ressort est équilibrée entre les jeux de ressorts supérieur et inférieur par suite du mouvement de pivotement relatif de chaque élément de liaison par rapport à l'élément de retenue de ressort (ïlg. 3½) et les deux jeux de ressorts contribuent évidemment dans des mesures sensiblement égales à la force totale qui résiste à une inclinaison vers l'arrière du haut de dossier.

La limite du pivotement vers l’arrière du haut de dossier est déterminée par des butées constituées par les bords antérieurs obliques supérieur et inférieur des ailes latérales 196b et l96ç de l'élément de réaction de ressort qui viennent en contact avec les parois antérieures 1 f des deux éléments de liaison lorsque le haut de dossier est incliné à fond vers l'arrière.

Comme dans les autres formes d'exécution représentées aux dessins ,11 espace entre les deux éléments de liaison de la liaison mécanique est dissimulé e.t protégé par une manchette extensible 202 en forme de soufflet. En variante, les logements peuvent présenter des prolongements chevauchants télescopiques.

Bien entendu, l'invention n'est en aucune manière limitée aux détails d'exécution décrits auxquels de nombreux changements et modifications peuvent être apportés sans sortir de son cadre.

Claims (29)

1. Chaise caractérisée en ce qu'elle comprend un siège et un bas de dossier d’une pièce, un haut de dossier, et au moins une liaison mécanique d'articulation élastique montant le bas de dossier sur le haut de dossier de manière à permettre un mouvement d’articulation entre une position relativement verticale retenue élastique-ment et une position inclinée vers l'arrière autour d’un axe horizontal transversal à une hauteur au-dessus du siège correspondant environ à la région médiane du dos d’un adulte assis sur la chaise.

2. Chaise suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le siège . et le bas de dossier d’une pièce et le haut de dossier sont constitués tous deux de corps monolithiques en une matière polymère à haute résistance au choc en substance rigide.

3. Chaise suivant la revendication. 1,caractérisée \ en ce que le bord inférieur du haut de dossier est courbé de façon convexe vers le bas dans le sens transversal et comprend une partie médiane qui s'étend en dessous de l’axe autour duquel le haut de dossier s'articule, de sorte que le haut de dossier coïncide dans le sens vertical avec la majeure partie de là région médiane du dos d’un adulte assis sur la chaise et la soutient. h - Chaise suivant la revendication 1, caractérisée ' ♦ t » * » en ce que le siège et le bas de dossier d’une pièce et le haut de dossier sont conformés dans le sens longitudinal et dans le sens transversal de manière à épouser en substance les formes anatomiques des parties du corps d’un adulte assis qui sont soutenues par la chaise.

5. Chaise suivant la revendication 1, caractérisée - » · _ _ « _ _ J _ «T J i Μ MM M MA MM mMA /Nil MCI î ο "VJ-J— A ΛπΊ O 4" ·? A T O rfl"4 Λ Π Λ Cl i montent le haut de dossier sur le h as de dossier, une liaison mécanique étant adjacente a chaque côté de la'chaise.

6. Ghaise suivant la revendication 5, caractérisée en ce que le bas de dossier et le haut de dossier comportent des logements complémentaires de chaque côté qui s'ouvrent l’un vers l'autre et qui reçoivent des éléments des liaisons mécaniques d'articulation correspondantes.

7. Chaise suivant la revendication 6, caractérisée en ce que chaque liaison mécanique d'articulation comprend un élément de liaison supérieur et un élément de liaison inférieur, des moyens reliant les éléments de liaison de manière à leur permettre de s'articuler autour de l'axe, des ressorts sollicitant élastiquement les éléments de liaison autour de l'axe dans un sens dirigé vers la position relativement ver-ticale du haut de dossier et des butées pour établir la po-sition verticale du haut de dossier et sa position inclinée ! à fond vers l'arrière.

8. Chaise suivant la revendication 7, caractérisée en ce que chaque élément de la liaison mécanique d'articulation comporte une paroi antérieure, la liaison mécanique comporte une plaque de réaction de ressort qui pivote autour de l'axe de pivotement par rapport' aux éléments de liaison et les ressorts comprennent des ressorts de compression engagés sous compression entre les parois antérieures des éléments de liaison et la plaque de réaction de ressort.

9. Chaise suivant la revendication 8, caractérisée en ce que les ressorts de compression sont des corps en matière élastomère.

10. Chaise suivant la revendication 9, caractérisée en ce que les corps en matière élastomère sont montés sur la plaque de réaction par le fait que des bossages saillants prévus dans la plaque de réaction.

11. Chaise suivant la revendication 8, caractérisée en que les butées comprennent, dans la position verticale, les extrémités des bossages prévus sur les ressorts qui , attaquent des parties des parois postérieures des éléments de liaison et, dans la position inclinée vers l'arrière, des éléments qui s'étendent vers l'arrière à partir des parois antérieures des éléments de liaison et qui attaquent la plaque de réaction de ressort dans ia position inclinée à fond vers l'arrière du haut de dossier.

12. Chaise suivant la revendication 7, caractérisée en ce que les éléments de liaison comprennent des parois antérieures comportant des rebords complémentaires qui s'étendent vers l'arrière et les ressorts comprennent des ressorts de compression engagés entre les surfaces des rebords éloignés l'une de l'autre et des éléments de retenue j de ressort reliés l'un à l'autre et comprimant les ressorts contre les rebords de telle sorte que les ressorts sollicitent les rebords l'un vers l'autre et les éléments de liaison vers la position verticale.

13. Chaise suivant la revendication 12, caractérisée en ce que les butées sont formées par les surfaces de rebords qui se font face et qui viennent en contact dans la position verticale, et par des parties des éléments de retenue de ressort qui attaquent les faces postérieures des parois antérieures des éléments de liaison dans la position inclinée vers l'arrière. Ih - Chaise suivant la revendication 7, caractérisée en ce que les éléments de liaison comprennent des parois antérieures et le ressort comprend un ressort de torsion du type pour souricière comportant des branches qui attaquent sur un axe qui relie les éléments de liaison.

15. Chaise suivant la revendication 1*ν, caractérisée en ce que les éléments de liaison comprennent des parois latérales qui se chevauchent partiellement et les "butées comprennent des oreilles sur la paroi latérale d'un élément de liaison,dont l'une attaque la paroi antérieure de l'autre élément de liaison pour établir la position verticale et dont l'autre attaque une paroi postérieure de l'autre élément de liaison pour établir la position inclinée à fond vers l'arrière.

16. Chaise suivant la revendication 7, caractérisée en ce que les éléments de liaison comprennent des parois antérieures et le ressort est un ressort de traction relié sous tension aux parois antérieures correspondantes.

17. Chaise suivant la revendication 16,caractérisée en ce .que les éléments de liaison comprennent des parois I latérales qui se chevauchent partiellement et les butées comprennent des oreilles sur la paroi latérale d'un élément de liaison, dont l'une attaque la paroi antérieure de l'autre élément de liaison pour établir la position verticale et dont l'autre attaque une paroi postérieure de l'autre élément de liaison pour établir la position inclinée à fond vers l'arrière.

18. Chaise suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le bas de dossier et le haut de dossier comprennent des logements complémentaires qui s'ouvrent l'un vers l’autre et la liaison mécanique d'articulation comprend des éléments inférieur et supérieur généralement tubulaires reliés l'un à l’autre de manière à permettre un mouvement d'articulation et reçus dans les logements respectifs, les ressorts rappelant élastiquement les éléments de liaison autour de l'axe butées établissant la position verticale limite et la position inclinée vers l’arrière limite du haut de dossier.

19. Chaise suivant la revendication 18, caractérisée en ce que les ouvertures des logements sont espacées l’une de l’autre et un tube extensible flexible relie les ouvertures pour dissimuler et protéger les parties sinon exposées de la liaison mécanique d'articulation.

20. Chaise suivant la revendication 1, caractérisée en que le haut de dossier et le bas de dossier comportent des logements complémentaires de chaque côté qui s'ouvrent l'un vers l’autre et une liaison mécanique d’articulation * élastique est prévue de chaque côté et comprend un élément tubulaire supérieur reçu dans le logement du haut de dossier, un élément tubulaire inférieur reçu dans le logement correspondant du bas de dossier, un axe ou pivot reliant 1*élément tubulaire supérieur et l’élément tubulaire inférieur j de manière à permettre un mouvement d’articulation, une pla que de réaction de ressort reçue sur l'axe de manière à pivoter sur celui-ci et comportant des lames supérieure et inférieure qui s'étendent dans les éléments tubulaires supérieur et inférieur respectifs, au moins un ressort de compression engagé entre la paroi antérieure de l'élément tubulaire supérieur et la lame supérieure de la plaque de réaction, au moins un ressort de compression engagé entre la paroi antérieure de l'élément tubulaire inférieur et la lame inférieure de la plaque de réaction et des butées pour établir la position verticale et la position inclinée à fond vers l'arrière du haut de dossier.

21. Chaise suivant la revendication 20, caractérisée en ce que les ressorts sont des ressorts hélicoïdaux métalliques. % en ce que la plaque de réaction de ressort est profilée en IJ en bout et comprend des ailes latérales qui s'étendent vers les parois antérieures des éléments de liaison supérieur et inférieur.

23. Chaise suivant la revendication 22, caracté risée en ce que les butées, dans la position inclinée vers l'arrière, comprennent des bords antérieurs obliques sur les ailes latérales de la plaque de réaction disposés de manière à attaquer les parois anterieures des éléments de liaison supérieur et inférieur respectifs. 2k- - Chaise suivant la revendication 20, caractérisée en ce que les butées dans la position verticale du haut de dossier, comprennent des surfaces de la plaque de réaction de ressort et des parois postérieures des éléments de liaison qui viennent mutuellement en contact.

25. Chaise suivant la revendication 2*t, caracté- 1 risée en ce qu'un élément amortisseur est intercalé entre les surfaces de butée ou d'arrêt vers l'arrière de la plaque de réaction et les éléments de liaison pour assourdir le contact lorsque les ressorts rappellent le haut de dossier vers la position verticale.

26. Chaise suivant la revendication 20, caractérisée en ce que chaque logement comprend, sur une surface interne, un évidement définissant un épaulement de blocage orienté vers le haut, et une paroi correspondante de chaque élément de liaison comprend une oreille saillante présentant . un bord orienté vers le bas qui attaque l'épaulement de blocage et fixe l'élément de liaison dans le logement.

27. Chaise suivant la revendication 20, caracté risée en ce que les éléments' de liaison supérieur et inférieur sont identiques et comprennent chacun une paroi latérale > * la paroi latérale opposée de l’autre élément de liaison près de l’axe ou pivot.

28. Chaise suivant la revendication 1, caracté-risée en ce gu'elle comprend un second siège supporté sur le siège proprement dit du siège et du bas de dossier d’une pièce de manière à pouvoir se déplacer vers l’avant et vers 1'.arrière et un dispositif limitant le mouvement de recul et d’avancement du second siège.

29. Chaise suivant la revendication 20, caractérisée en ce gue le second siège est constitué d'un corps monolithigue en une matière polymère rigide à haute résistance au choc.

30. Chaise suivant la revendication 20 caractérisée en ce gu'elle comprend un ressort retenant le second siège dans sa position postérieure.

31. Chaise suivant la revendication 20, caracté- I risée en ce gue les sièges comprennent des guides longitu dinaux coopérants .qui forcent le second' siège à se déplacer suivant un axe longitudinal.

32. Chaise suivant la revendication 23, caractérisée en ce gue les guides comprennent des ailes transversalement espacées sur le dessous du second siège et un bossage sur la face supérieure du premier siège, le bossage étant affouillé le long de ses bords latéraux et les ailes comportant des nervures tournées vers l’intérieur reçues dans les parties affouillées pour maintenir le second siège vers le bas sur le premier et pour le guider longitudinalement.

33. Chaise suivant la revendication 23, caractérisée en ce gue les guides comprennent un chenal longitudi- „ nal allongé ouvert vers le haut sur le premier siège, ce che nal comportant une fente longitudinale et une longue nervure e *» du second siège à travers la fente du chenal, la nervure comportant, le long de son "bord inférieur, un bourrelet qui est plus large que la fente et qui maintient le second siège vers le bas sur le premier. 3!+ - Chaise suivant la revendication 25, caractérisée en ce que la fente est plus longue que la nervure et le déplacement vers l'avant et vers l'arrière est limité par contact des extrémités de la nervure avec les extrémités de la fente. » *·