FR3066086A1

FR3066086A1 - Matelas a reglage electromotorise

Info

Publication number: FR3066086A1
Application number: FR1756463A
Authority: FR
Inventors: Eckhart Dewert
Original assignee: De Werth Group AG
Current assignee: De Werth Group AG
Priority date: 2017-05-15
Filing date: 2017-07-07
Publication date: 2018-11-16
Anticipated expiration: 2037-07-07
Also published as: FR3066085B1; CN108851744A; US20200163464A1; FR3066085A1; FR3066086B1; US20180325267A1; CN108851743A; DE102017114091A1; CN108851743B; DE102017114135A1; US10575651B2; CN108851744B; DE102017114127A1; US10463162B2; DE102017114096A1; US20180325268A1; US10863830B2

Abstract

Matelas à réglage électromotorisé 2 comportant une enveloppe 4 commune dans laquelle sont logés au moins un élément de matelassure plat ainsi qu'un dispositif de maintien réglable 6 pour le support de l'élément de matelassure, le dispositif de maintien 6 comportant au moins deux parties de maintien 12, 26 réglables l'une par rapport à l'autre, pourvues, sur leur côté orienté vers l'élément de matelassure, d'éléments de suspension pour le support élastique souple de l'élément de matelassure, au moins une partie de maintien 12, 26 étant pourvue, en plus des éléments de suspension 64 disposés sur le côté tourné vers l'élément de matelassure, d'autres éléments de suspension 66 du côté opposé à l'élément de matelassure, de telle sorte que le dispositif de maintien 6 soit pourvu, le long de son étendue longitudinale, au moins en partie des deux côtés, d'éléments de suspension 64, 66.

Description

Matelas à réglage électromotorisé

La présente invention concerne un matelas à réglage électromotorisé.

Des dispositifs de maintien à réglage électromotorisé servant à supporter un matelas sont connus de façon générale. Les dispositifs de maintien connus comportent des parties de maintien réglables l'une par rapport à l'autre au moyen d'un dispositif d'entraînement électromotorisé. En règle générale, les dispositifs de maintien connus peuvent être réglés entre une position allongée dans laquelle les parties de maintien forment ensemble un plan de maintien pour l'essentiel horizontal et une position assise dans laquelle les parties de maintien sont réglables les unes par rapport aux autres et soutenant un utlisateur se reposant sur le matelas au moins dans la région de son dos, pour alléger ainsi l'assise sur le matelas, par exemple dans le lit. En fonction des exigences respectives, le nombre de parties de maintien du dispositif de maintien peut varier. En règle générale, les dispositifs de maintien comportent au moins une partie de maintien centrale fixe sur place lors du réglage ainsi qu'une partie de maintien de corps supérieur réglable par rapport à la partie de maintien centrale. La partie de maintien de corps supérieur peut pour sa part être réalisée à partir de plusieurs éléments et comporter par exemple une partie de maintien de dos et une partie de maintien de tête ou de nuque. Une partie de maintien de corps inférieur peut être prévue en fonction des exigences respectives en sus de la partie de maintien de corps supérieur reliée à son tour à la partie de maintien centrale au niveau de son extrémité opposée à la partie de maintien de corps supérieur. La partie de maintien de corps inférieur peut également être réalisée avec plusieurs éléments et peut par exemple comporter une partie de maintien de cuisse et une partie de maintien de mollet. L'objectif de la présente invention est de présenter un matelas avec des propriétés améliorées, ledit matelas étant configuré pour être attirant sur le plan esthétique et pour offrir un confort élevé à un utilisateur du matelas.

Cet objectif est atteint du fait de l'invention d'un matelas réglable avec une enveloppe commune dans laquelle sont logés au moins un élément de matelassure plat d'une structure de matelassure ainsi qu'un dispositif de maintien réglable pour le support de l'élément de matelassure ; le dispositif de maintien comportant au moins deux parties de maintien réglables l'une par rapport à l'autre, pourvues, sur leur côté orienté vers l'élément de matelassure, d'éléments de suspension pour le support élastique souple de l'élément de matelassure ; au moins une partie de maintien étant pourvue, en sus des éléments de suspension disposés sur le côté orienté vers l'élément de matelassure ainsi que, sur le côté opposé à l'élément de matelassure, d'autres éléments de suspension, de telle sorte que le dispositif de maintien soit pourvu d'éléments de suspension, au moins en partie des deux côtés, le long de son extension longitudinale. D'autres caractéristiques, propriétés et avantages de la présente invention ressortent de la description et du dessin.

Un exemple de réalisation d'un matelas à réglage électromotorisé selon l'invention va être expliqué plus en détail par la suite en référence au dessin joint. En l'occurrence, toutes les caractéristiques décrites dans la description, illustrées sur le dessin forment en soi et dans n'importe quelle combinaison quelconque adaptée l'objet de la présente invention, indépendamment de leur association dans le brevet et leurs références ainsi qu'indépendamment de leur description ou de leur représentation sur le dessin.

Dessin : la figure 1 illustre, dans une vue en perspective à la façon d'une représentation fantôme, un exemple de réalisation de matelas à réglage électromotorisé selon l'invention dans une position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à une position assise ; la figure 2 illustre, dans la même représentation que sur la figure 1, le matelas selon la figure 1 dans l'autre position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à une position allongée ; la figure 3 illustre, dans une représentation en perspective, un dispositif de maintien du matelas selon la figure 1 ; la figure 4 illustre le dispositif de maintien selon la figure 3 dans une vue de côté, dans la position d'extrémité du mouvement de réglage selon la figure 2 ; la figure 5 illustre, dans la même représentation que sur la figure 4, le dispositif de maintien selon la figure 4, une partie de maintien de corps supérieur étant réglée ; la figure 6 illustre, dans la même représentation que sur la figure 4, le dispositif de maintien selon la figure 4, tant une partie de maintien de corps supérieur qu'une partie de maintien de corps inférieur étant réglées ; la figure 7 illustre, dans la même représentation que sur la figure 4, le dispositif de maintien selon la figure 3 dans une position rabattue ; la figure 8 illustre une vue en perspective du dispositif de maintien selon la figure 3 ; la figure 9 illustre, dans une vue en perspective, un détail du dispositif de maintien selon la figure 3 dans la région d'une partie de maintien de corps supérieur ; la figure 10 illustre, dans la même représentation que sur la figure 9 dans une vue en perspective, un détail du dispositif de maintien selon la figure 3 dans la région d'une partie de maintien centrale ; la figure 11 illustre, dans la même représentation que sur la figure 9, un détail du dispositif de maintien selon la figure 3 dans la région d'une partie de maintien de corps inférieur ; la figure 12 illustre le dispositif de maintien selon la figure 8 dans une autre position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à une position assise ; la figure 13 illustre, dans une vue en perspective, un détail du dispositif de maintien selon la figure 12 dans la région de la partie de maintien de corps supérieur ; la figure 14 illustre un détail de la figure 8 dans une vue en perspective et à l'échelle agrandie par rapport à la figure 8 ; la figure 15A illustre une vue en perspective schématique d'un boîtier moteur de dispositif d'entrainement électromotorisé du dispositif de maintien selon la figure 8 ; la figure 15B illustre, pour représenter la structure du dispositif d'entraînement électromotorisé, le boîtier moteur selon la figure 15A avec le cache de boîtier retiré ; la figure 16 illustre, dans une vue en perspective, un détail d'un organe d'entraînement en sortie du dispositif d'entraînement électromotorisé selon la figure 15 ; la figure 17 illustre le détail selon la figure 16 à partir d'une autre perspective ; la figure 18 illustre, dans une vue de côté, un dispositif de maintien à réglage électromotorisé d'un deuxième exemple de réalisation d'un matelas selon l'invention ; la figure 19 illustre le dispositif de maintien selon la figure 18 dans une vue en perspective, les parties de maintien du dispositif de maintien étant représentées dans une position de départ non réglée ; la figure 20 illustre le dispositif de maintien selon la figure 18 dans une représentation similaire à la figure 19, les parties de maintien du dispositif de maintien étant représentées dans une position de réglage réglée au maximum les unes par rapport aux autres; la figure 21 illustre le dispositif de maintien selon la figure 18 à l'état replié ; la figure 22 illustre le dispositif de maintien selon la figure 18 lorsqu'il est placé dans une structure de matelassure d'un matelas dans une vue en perspective ; la figure 23 illustre, dans la même représentation que sur la figure 22, le dispositif de maintien placé dans la structure de matelassure ; les figures 24A-24F illustrent des étapes de procédé successives lors de la réalisation d'un exemple de réalisation d'un procédé selon l'invention ; la figure 25 illustre une unité de transport et de stockage formée à l'aide du procédé selon les figures 24A à 24E ; la figure 26 illustre, dans une vue en perspective, l'unité de transport et de stockage selon la figure 25, conditionnée de façon à être prête au transport ; et les figures 27A à 27E illustrent différentes phases cinématiques lors du réglage de la partie de maintien de mollet de l'exemple de réalisation selon la figure 1.

La présente invention met à disposition un matelas à dispositif de réglage intégré.

Un premier exemple de réalisation de matelas à réglage électromotorisé selon l'invention va être expliqué plus en détail par la suite en référence aux figures 1 à 17. En l'occurrence, les mêmes composants sont pourvus des mêmes références sur les figures du dessin, sachant que certaines références individuelles sont retirées sur quelques figures à des fins de visibilité. Des composants individuels sont en outre retirés sur quelques figures pour des raisons de représentation. Les composants manquants peuvent être complétés mentalement là où cela fait sens.

La figure 1 illustre, dans une vue en perspective et à la façon d'une représentation fantôme, un exemple de réalisation de matelas à réglage électromotorisé 2 équipé d'un dispositif de réglage électromotorisé intégré. Le matelas 2 comporte une enveloppe 4 commune (taie) composée d'une matière textile et dans laquelle sont logés un élément de matelassure plan ainsi qu'un dispositif de maintien à réglage électromotorisé 6 servant à supporter l'élément de matelassure.

Le dispositif de maintien à réglage électromotorisé 6 est expliqué plus en détail plus bas à l'aide des figures 3 à 17.

Pour permettre une vue d'ensemble, l'élément de matelassure plan remplissant l'espace entre le côté inférieur de l'enveloppe 4 et le côté supérieur du dispositif de maintien et recouvrant le dispositif de maintien 6 pour l'essentiel sur l'ensemble de sa surface n'est pas représenté sur la figure 1. L'élément de matelassure se compose d'un matériau souple élastique, par exemple d'un matériau en mousse. Des éléments de matelassure correspondants, par exemple les matelas traditionnels, sont connus de l'homme du métier pour ce qui est de leur structure et du matériau utilisé et ne sont donc pas expliqués plus en détail.

Le dispositif de maintien 6 comporte, de façon expliquée plus en détail ci-dessous, des parties de maintien réglables les unes par rapport aux autres au moyen d'un dispositif d'entraînement électromotorisé également expliqué plus en détail ci-dessous. La figure 1 illustre le matelas 2 avec le dispositif de maintien 6 dans une position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à une position assise et dans laquelle les parties de maintien du dispositif de maintien 6 sont réglées de façon pivotante les unes par rapport aux autres.

La figure 2 illustre le matelas 2 avec le dispositif de maintien 6 dans l'autre position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à une position allongée et dans laquelle les parties de maintien sont fixées les unes avec les autres dans un plan de maintien pour l'essentiel horizontal.

La figure 3 illustre le dispositif de maintien 6 pris isolément, donc sans l'enveloppe 4 et l'élément de matelassure, dans la position allongée.

Les figures 4 à 6 représentent le dispositif de maintien 6 dans différentes positions de réglage dans lesquelles les parties de maintien du dispositif de maintien 6 peuvent être réglées les unes par rapport aux autres à l'aide du dispositif d'entrainement électromotorisé.

Dans l'exemple de réalisation représenté, le dispositif de maintien 6 comporte une partie de maintien centrale 8 fixe sur place lors du réglage (voir la figure 3) avec une extrémité de laquelle une partie de maintien de corps supérieur 12 est reliée de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal 10.

La partie de maintien de corps supérieur 12 comporte, dans l'exemple de réalisation représenté, une partie de maintien de nuque 14 à l'extrémité de laquelle une partie de maintien de dos 18 est reliée de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal 16. La partie de maintien de dos 18 est reliée, au niveau de son extrémité opposée à la partie de maintien de nuque 14, à une partie de maintien de bassin 22 de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal 20, ladite partie de maintien de bassin étant reliée, avec son extrémité opposée à la partie de maintien de dos 18, à la partie de maintien centrale 8 de façon à pouvoir pivoter autour de l'axe de pivotement 10.

Une partie de maintien de corps inférieur 26 est reliée à l'extrémité opposée de la partie de maintien de bassin 22 de la partie de maintien centrale 8 de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal 24, la partie de maintien de corps inférieur comportant, dans cet exemple de réalisation, une partie de maintien de cuisse 28 et une partie de maintien de mollet 30. Une extrémité de la partie de maintien de cuisse 28 est reliée à la partie de maintien centrale 8 de façon à pouvoir pivoter autour de l'axe de pivotement 24 tandis que son extrémité opposée à la partie de maintien centrale 8 est reliée à la partie de maintien de mollet 30 de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal 32.

Les axes de pivotement 10, 16, 20, 24, 32 sont parallèles les uns par rapport aux autres, de sorte que le dispositif de maintien 6 puisse être réglé, en partant de la position d'extrémité du mouvement de réglage (position allongée) représentée sur la figure 4, par un réglage par pivotement des parties de maintien, dans l'autre position d'extrémité du mouvement de réglage (position assise) représentée sur la figure 6.

Chacune des parties de maintien 8, 14, 18, 22, 28, 30 définit au niveau de son côté orienté vers l'élément de matelassure, correspondant au côté supérieur dans la position d'utilisation du matelas 2, une surface de maintien contre laquelle ou sur laquelle l'élément de matelassure s'appuie. Dans la position allongée, les partie-S de maintien 8, 14, 18, 22, 28, 30 forment entre elles un plan de maintien pour l'essentiel horizontal, alors que les parties de maintien 8, 14, 18, 22, 28, 30 sont réglées par pivotement les unes par rapport aux autres dans la position assise.

La figure 5 illustre une position de réglage dans laquelle la partie de maintien de corps inférieur 26 n'est pas réglée par rapport à la partie de maintien centrale 8 alors que la partie de maintien de corps supérieur 12 est réglée.

En sus des axes de pivotement 10, 16, 20, 24, 32, le dispositif de maintien 6 comporte dans cet exemple de réalisation deux axes de rabattement et de pliage 34, 36 (voir notamment la figure 7) disposés à une certaine distance l'un de l'autre dans la direction longitudinale du dispositif de maintien 6 ainsi que par rapport aux axes de pivotement. En l'occurrence, l'axe de rabattement et de pliage 34 est associé à la partie de maintien centrale 8 et la subdivise en deux parties individuelles 8, 8' reliées entre elles de façon rabattable à l'aide de l'axe de rabattement et de pliage 34. L'axe de rabattement et de pliage 36 est associé à la partie de maintien de bassin 22 et la subdivise en deux parties individuelles 22, 22' reliées entre elles de façon rabattable à l'aide de l'axe de rabattement et de pliage 36 (voir la figure 7).

On peut voir sur la figure 7 que pour plier le matelas, les axes de rabattement et de pliage 34, 36 sont disposés de telle sorte que les parties de maintien du dispositif de maintien 6 sont rabattables de telle sorte les unes sur les autres avec l'élément de matelassure disposé contre que les parties de maintien définissent, à l'état rabattu du dispositif de maintien 6, une section transversale de type en U. À l'état plié du matelas et ainsi à l'état rabattu du dispositif de maintien 6, les surfaces de maintien des parties de maintien 221', 18 et 14 d'une part et les surfaces de maintien des parties de maintien 8’, 28 et 30 d'autre part sont orientées l'une vers l'autre de l'autre côté et sont disposées pour l'essentiel parallèlement les unes par rapport aux autres.

Selon la présente invention, on entend par axe de rabattement et de pliage un axe entre deux parties de maintien permettant un pivotement des parties de maintien tant que, à l'état plié du matelas 2 et ainsi dans l'état à rabattre les unes sur les autres des parties de maintien, les surfaces de maintien, contre lesquelles s'appuie la matelassure, d'au moins deux parties de maintien, sont orientées l'une vers l'autre. L'axe de rabattement et de pliage permet ainsi un rabattement du dispositif de maintien pour plier le matelas, pour réduire son extension mesurée dans la direction longitudinale et pour rendre ainsi le matelas compact et faciliter le transport ou le stockage du matelas. Un axe de rabattement et de pliage peut notamment permettre un pivotement de deux parties de maintien l'une par rapport à l'autre de 45° ou plus, ces parties étant reliées entre elles via l'axe de rabattement et de pliage.

Lors de l'agencement de deux axes de rabattement et de pliage, le matelas peut par exemple être plié une fois approximativement au milieu pour réduire approximativement de moitié son extension dans la direction longitudinale. Pour réduire encore davantage l'extension du matelas dans sa direction longitudinale, il est toutefois également possible de plier, au moyen d'un axe de rabattement et de pliage, une première extrémité du matelas en direction du centre puis de plier contre, au moyen d'un deuxième axe de rabattement et de pliage, l'autre extrémité du matelas également en direction du milieu et ainsi de la plier au-dessus de la première extrémité. À l'état rabattu du dispositif de maintien 6, le matelas 2 est plié et forme une unité de transport et de stockage compacte et pouvant ainsi facilement être transportée. Du fait du mécanisme de rabattement prévu selon la présente invention, le matelas 2 peut notamment être replié de façon si compacte qu'il peut être expédié par les voies postales ou de coursier usuelles, de façon à éviter tout transport cher et compliqué par transporteur.

Tel que le montrent les figures 4 à 7, les axes de rabattement et de pliage 34, 36 sont agencés dans la direction perpendiculaire au plan de maintien, donc dans la direction verticale, au niveau de l'extrémité orientée vers l'élément de matelassure, donc en haut au niveau du dispositif de maintien 6, alors que les axes de pivotement 10, 16, 20, 24, 32 sont agencés dans la direction perpendiculaire au plan de maintien au niveau de l'extrémité opposée à l'élément de matelassure, donc en bas au niveau du dispositif de maintien 6.

La figure 8 illustre le dispositif de maintien 6 dans une vue en perspective. Pour régler les parties de maintien du dispositif de maintien 6 les unes par rapport aux autres, un dispositif d'entraînement électromotorisé 38 est prévu, celui-ci étant expliqué plus en détail par la suite.

Le dispositif d'entraînement électromotorisé 38 comporte un organe d'entraînement en sortie qui est en liaison d'entraînement d'une part avec au moins un moteur électrique et en liaison active d'autre part avec quatre câbles Bowden 40', 40'', 42', 42'' (voir la figure 11), ces câbles étant reliés de telle sorte en liaison active avec les parties de maintien associées que sous l'effet de traction des câbles Bowden respectifs, les parties de maintien respectives peuvent être déplacées ou réglées les unes par rapport aux autres.

Dans l'exemple de réalisation illustré, les câbles Bowden 40', 40'' sont associés à la partie de maintien de corps inférieur 26 pour la régler par rapport à la partie de maintien centrale 8 tandis que les câbles Bowden 42', 42'' sont associés à la partie de maintien de corps supérieur 12 pour la régler par rapport à la partie de maintien centrale 8.

Un moteur électrique 84 individuel commun est prévu pour 1'actionnement des câbles Bowden 42', 42'', 40', 40'', ce moteur étant disposé dans un boîtier 44 (boîtier moteur, voir la figure 11 et la figure 15) du dispositif d'entraînement électromotorisé 38 et étant en liaison d'entraînement tournant, via une transmission à vis sans fin, avec une broche filetée 86 disposée de façon tournante sur laquelle un écrou de broche 46 est disposé de façon sécurisée contre la rotation et mobile de façon linéaire dans la direction axiale de la broche filetée 86, cet écrou formant l'organe d'entraînement en sortie, mobile de façon linéaire, du dispositif d'entraînement électromotorisé 38 (voir la figure 15B).

La figure 15A illustre le boîtier 44 composé de deux parties moulées par injection en matière plastique réalisées sous la forme de demi-coques 80, 82, à l'état fermé. Le boîtier 44 est étanchéifié contre l'entrée de fluide ou d'humidité, par le biais de moyens d'étanchéité, à l'aide d'au moins un joint.

La figure 15B illustre le boîtier 44 avec la demi-coque 82 supérieure retirée (cache de boîtier). Un moteur électrique 84 individuel commun est logé dans le boîtier 44, ce moteur étant en liaison d'entraînement avec l'écrou de broche 46. L'écrou de broche fait partie d'un mécanisme de broche dont la broche filetée 86 est disposée fixement sur place dans le boîtier 44 et est en liaison d'entraînement tournant avec le moteur électrique 84. Dans l'exemple de réalisation illustré, la liaison d'entraînement tournant est établie entre le moteur électrique 84 et la broche filetée via une transmission à vis sans fin dont la vis sans fin 88 est formée au niveau de l'arbre d'entraînement en sortie du moteur électrique 84 et est en prise avec une roue hélicoïdale 90 reliée solidairement en rotation à la broche filetée 86. Un palier sphérique est prévu pour loger de façon tournante la broche filetée 86 dans le boîtier 44. L'écrou de broche 46 est disposé de façon mobile dans la direction axiale sur la broche filetée 86 et est sécurisé contre la rotation au moyen d'un guide linéaire formé dans la demi-coque 80 inférieure du boîtier 44. Pour l'alimentation en tension et l'excitation du moteur électrique 84 sont prévus des moyens d'alimentation en tension et de commande dont la structure est connue de façon générale de l'homme du métier et n'est donc pas de ce fait expliquée plus en détail ici ni illustrée. La broche filetée 86 tourne en suivant la direction de rotation choisie de l'arbre d'entraînement en sortie, de sorte que l'écrou de broche 46 puisse être déplacé de façon linéaire dans l'une ou l'autre direction pour actionner les câbles Bowden 40', 40'', 42', 42''. L'écrou de broche 46 apparaît également sur les figures 16 et 17, celui-ci étant représenté, à des fins de visibilité, de façon séparée sans la broche filetée 86 sur les figures 16 et 17.

Quant à la façon dont une partie de maintien d'un dispositif de maintien est réglée via respectivement deux câbles Bowden, l'attention est attirée sur le document EP 2 792 277 Bl.

Les câbles Bowden 42', 42'' (voir la figure 16) comportent respectivement un câble de traction 48' ou 48'' et une gaine (gaine de câble Bowden) 50' ou 50''. De façon correspondante, les câbles Bowden 40', 40'' comportent respectivement un câble de traction 52' ou 52'' et une gaine 54' ou 54'' (voir la figure 16).

Le fonctionnement des câbles Bowden va être expliqué plus en détail par la suite à titre d'exemple à l'aide du câble Bowden 42'. Le fonctionnement du câble Bowden 42'' est correspondant.

Le câble de traction 48' est sorti à travers une ouverture 54 pratiquée dans le boîtier 44 (voir la figure 15A) . Une extrémité du câble de traction 48' est fixée fixement de manière résistante à la traction à l'écrou de broche 46 (voir la figure 17) par le biais d'un élément de fixation 56' en forme de tonneau. L'autre extrémité du câble de traction 48' est fixée à la partie de maintien de nuque 14 à l'aide d'un autre élément de fixation en forme de tonneau (voir la figure 7).

La gaine 50' du câble Bowden 42' est fixée d'une part au boîtier 44 (voir la figure 15) et d'autre part à la partie de maintien centrale 8. La figure 9 illustre notamment la façon dont le câble de traction 48' est guidé de la partie de maintien centrale 8 à la partie de maintien de nuque 14 via la partie de maintien de bassin 22 et la partie de maintien de dos 18.

Le raccordement du câble Bowden 42'' à la partie de maintien de nuque 14 s'effectue de façon correspondante, les câbles Bowden 42', 42'' s'accrochant aux différents côtés de la partie de maintien de nuque 14 par rapport au plan central longitudinal du dispositif de maintien 6, pour introduire de cette façon la force de réglage de façon constante dans la partie de maintien de nuque 14, de façon à éviter tout problème de torsion de la partie de maintien de nuque 14 lors du réglage.

Pour régler la partie de maintien de nuque 14 conjointement avec la partie de maintien de dos 18 et la partie de maintien de bassin 22 par rapport à la partie de maintien centrale 8, le moteur électrique 84 entraîne la broche filetée 86 de telle sorte que l'écrou de broche 46 sur la figure 16 ou sur la figure 17 soit déplacé vers la droite (ou sur la figure 15B vers la gauche) . L'écrou de broche 46 tire ainsi, à l'aide des éléments de fixation en forme de tonneau, sur les câbles de traction 48', 48'', de sorte que la partie de maintien de nuque 14 puisse d'abord pivoter, conjointement avec la partie de maintien de dos 18 et la partie de maintien de bassin 22, par rapport à la partie de maintien centrale 8 jusqu'à atteindre la position d'extrémité du mouvement de réglage illustrée sur la figure 6 ou la figure 1.

Les câbles Bowden 40', 40'' servent de façon correspondante à régler la partie de maintien de cuisse 28 et ainsi la partie de maintien de corps inférieur 26 par rapport à la partie de maintien centrale 8. Les gaines 54', 54' ' sont à leur tour fixées d'une part au boîtier 44 (voir la figure 15) et d'autre part à la partie de maintien centrale 8. Le câble de traction 52' comporte au niveau d'une extrémité un élément de fixation 60 en forme de tonneau et au niveau de son autre extrémité un élément de fixation 62 en forme de tonneau (voir la figure 8) fixé à la partie de maintien de cuisse 28. La gaine 54 du câble Bowden 40' est fixée d'une part au boîtier 44 (voir la figure 15) et d'autre part à la partie de maintien centrale 8. Le raccordement du câble Bowden 40' 1 à la partie de maintien de cuisse 28 est réalisé de façon correspondante.

Le rappel des parties de maintien du dispositif de maintien dans la position de départ du mouvement de réglage s'effectue du fait de la force de pesanteur de son poids propre ainsi que de celle de la personne se reposant dessus, toutefois lorsque le dispositif d'entraînement est connecté.

Le moteur électrique 84 commun individuel est en liaison active dans l'exemple de réalisation représenté avec la partie de maintien de corps supérieur 12 et la partie de maintien de corps inférieur 26 de telle sorte que le réglage de la partie de maintien de corps supérieur 12 et de la partie de maintien de corps inférieur 26 puisse s'effectuer de façon décalée dans le temps, au moins par phases, pendant le mouvement de réglage. Dans l'exemple de réalisation représenté, le décalage dans le temps est réalisé de telle sorte que le réglage de la partie de maintien de corps inférieur 26 commence après le réglage de la partie de maintien de corps supérieur 12. Les câbles Bowden 42', 42'' ou 40', 40'' associés à la partie de maintien de corps supérieur 12 d'une part et à la partie de maintien de corps inférieur 2 6 d'autre part sont réalisés et disposés de telle sorte à cette fin que l'organe d'entraînement en sortie tire d'abord, pendant le réglage, sur les câbles Bowden 42', 42'' associés à la partie de maintien de corps supérieur 12 puis seulement lors d'une trajectoire supplémentaire du mouvement de réglage sur les câbles Bowden 40', 40'' associés à la partie de maintien de corps inférieur 26, de telle sorte que le réglage de la partie de maintien de corps inférieur 26 commence après le réglage de la partie de maintien de corps supérieur. L'écrou de broche 46 se déplace vers la droite sur la figure 16 ou sur la figure 17, réglant ainsi d'abord, de la façon décrite ci-dessus, la partie de maintien de nuque 14 conjointement avec la partie de maintien de dos 18 puis la partie de maintien de bassin 22 par rapport à la partie de maintien centrale 8.

Lors d'un mouvement supplémentaire de l'écrou de broche 46, celui-ci entre ensuite en prise avec les éléments de fixation 60', 60'' en forme de tonneau, de sorte que la partie de maintien de cuisse 28 soit ensuite réglée par rapport à la partie de maintien centrale 8, conjointement avec la partie de maintien de mollet 30. De cette façon, lors du réglage, c'est d'abord la partie de maintien de corps supérieur 12 qui est réglée, suivie par la partie de maintien de corps inférieur 26.

Ceci permet que selon la présente invention, le réglage de la partie de maintien de corps supérieur 12 et de la partie de maintien de corps inférieur 26 se produise de façon décalée dans le temps au moins par phases pendant le mouvement de réglage.

Dans l'exemple de réalisation représenté, l'écrou de broche 46 (organe d'entraînement en sortie) effectue donc d'abord, par rapport aux câbles de traction 521 , 52 ’ ’, une course à vide avant que l'écrou de broche 46 commence à tirer sur les câbles de traction 52', 52'' et règle ainsi la partie de maintien de corps inférieur 26. Par le biais de la longueur de la course à vide il peut être fixé de manière constructive, lors du réglage de la partie de maintien de corps supérieur 12 et de la partie de maintien de corps inférieur 26, s'il existe, et dans quelle mesure, un décalage de temps.

Il est toutefois également possible, selon la présente invention, d'effectuer simultanément le réglage de la partie de maintien de corps supérieur 12 et de la partie de maintien de corps inférieur 26.

Il est en outre possible, selon la présente invention, de ne réaliser de façon réglable que la partie de maintien de corps supérieur 12 alors que la partie de maintien de corps inférieur 26 reste toujours non réglée dans sa position représentée sur la figure 4 et la figure 5. Il est également possible de prévoir, pour le réglage séparé de la partie de maintien de corps supérieur 12 et de la partie de maintien de corps inférieur 26, au moins deux moteurs électriques pouvant être excités indépendamment l'un de l'autre. En fonction des exigences respectives, il est également possible de prévoir plus de deux moteurs électriques.

Pour supporter l'élément de matelassure, les parties de maintien du dispositif de maintien 6 sont pourvues, sur leur côté orienté vers l'élément de matelassure (voir la figure 1), d'éléments de suspension souples élastiques, dont un élément de suspension est pourvu, à titre d'exemple sur la figure 3, de la référence 64.

Selon la présente invention, au moins une partie de maintien comporte également, en sus des éléments de suspension 64 disposés sur le côté orienté vers l'élément de matelassure, des éléments de suspension supplémentaires disposés sur le côté opposé à l'élément de matelassure, c'est à dire le côté inférieur sur la figure 3, de telle sorte que le dispositif de maintien 6 soit pourvu, le long de son extension longitudinale, au moins en partie des deux côtés, d'éléments de suspension. Parmi les autres éléments de suspension, seul un élément de suspension est pourvu, à titre d'exemple, de la référence 66 sur la figure 3.

Dans l'exemple de réalisation illustré, les éléments de suspension 64 sont réalisés sous la forme de lattes et sont en matière plastique.

Comme le montre la figure 3, toutes les parties de maintien du dispositif de maintien 6 illustrées dans l'exemple de réalisation sont pourvues des deux côtés d'éléments de suspension 64, 66. Il est toutefois également possible, selon la présente invention, que seules des parties de maintien individuelles soient pourvues des deux côtés d'éléments de suspension 64, 66, alors que d'autres parties de maintien sont uniquement pourvues d'éléments de suspension 64 sur leur côté orienté vers l'élément de matelassure. Les éléments de suspension disposés sur les deux côtés du dispositif de maintien 6 permettent d'accroître d'une part le confort de suspension. Le matelas 2 peut d'autre part être placé sans couche inférieure supplémentaire sur le sol, garantissant une aération suffisante de l'élément de matelassure.

On peut notamment également voir sur la figure 14 que les parties de maintien du dispositif de maintien 6 sont pourvues des deux côtés d'éléments de suspension 64, 66.

Le réglage de la partie de maintien de bassin 22 s'effectue d'une part, tel que précédemment décrit, conjointement avec la partie de maintien de dos 18 et la partie de maintien de nuque 14 et le réglage de la partie de maintien de cuisse 28 s'effectue d'autre part par rapport à la partie de maintien centrale 8, sous l'effet d'entraînement du dispositif d'entraînement électromotorisé 38. Lors du pivotement de la partie de maintien de cuisse 28 par rapport à la partie de maintien centrale 8, la partie de maintien de mollet 30 pivote sans entraînement, du fait de la pesanteur, autour de l'axe de pivotement 32, par rapport à la partie de maintien de cuisse 28, comme le montre par exemple la figure 11.

Pour empêcher que la partie de maintien de mollet 30 se déplace de façon lâche dans une position réglée par rapport à la partie de maintien de cuisse 28 autour de l'axe de pivotement 32, des moyens de fixation de la partie de maintien de mollet 30 sont prévus dans la position réglée par rapport à la partie de maintien de cuisse 28. Ces moyens comportent dans l'exemple de réalisation représenté une bride 68 en métal sous la forme d'un fer plat (voir la figure 7 et la figure 11) dont les extrémités sont reliées de façon articulée d'une part, au niveau des points d'articulation 29, 31, à la partie de maintien centrale 8 à une certaine distance de l'axe de pivotement 24 et sont reliées d'autre part à la partie de maintien de mollet 30, à une certaine distance de l'axe de pivotement 32. Une bride correspondant à la bride 68 est également disposée sur l'autre côté longitudinal du dispositif de maintien 6. La fonction de la bride 68 va être expliquée plus en détail par la suite à l'aide de la figure 27.

Dans l'exemple de réalisation illustré, un élément de matelassure 70 supplémentaire (voir la figure 1) est disposé sur le côté, opposé à l'élément de matelassure, du dispositif de maintien, de sorte que le dispositif de maintien soit disposé de façon intercalée entre les éléments de matelassure. La surface des éléments de matelassure correspond en l'occurrence à la surface du dispositif de maintien 2.

Un deuxième exemple de réalisation de matelas 100 selon l'invention va être expliqué plus en détail par la suite à l'aide des figures 18 à 26.

Dans l'exemple de réalisation illustré, le dispositif de maintien 102 comporte une première partie de maintien 104 centrale à l'aide des extrémités de laquelle d'une part une deuxième partie de maintien 110 formant une partie de maintien de corps supérieur et d'autre part une troisième partie de maintien 112 formant une partie de maintien de corps inférieur, sont reliées autour d'axes de pivotement 106, 108 parallèles entre eux.

La liaison entre la deuxième partie de maintien 110 et la première partie de maintien 104 d'une part et entre la troisième partie de maintien 112 et la première partie de maintien 104 d'autre part est réalisée de telle sorte à l'aide d'axes de rabattement et de pliage que pour le pliage du matelas 100, la troisième partie de maintien 112 peut être rabattue sur la première partie de maintien 104 et qu'ensuite, la deuxième partie de maintien 110 peut être rabattue sur le côté opposé à la partie de maintien centrale 104, de la troisième partie de maintien 112.

Dans l'exemple de réalisation illustré, la liaison entre la première partie de maintien 104 et la deuxième partie de maintien 110 est formée via une première partie de maintien intermédiaire 114 reliée à la première partie de maintien 104 de façon à pouvoir pivoter autour de l'axe de pivotement 106. La deuxième partie de maintien 110 est reliée à la première partie de maintien intermédiaire 114 via un axe de pivotement 116 parallèle à l'axe de pivotement 106.

Dans l'état rabattu ou replié du matelas 100 (voir la figure 24F), la deuxième partie de maintien 110 est disposée pour l'essentiel parallèlement à la première partie de maintien 104, la longueur de la première partie de maintien intermédiaire 114 étant sélectionnée de telle sorte qu'à l'état replié, en intégrant l'épaisseur de la structure de matelassure (élément de matelassure) du matelas 100, la distance entre une surface faisant face de la deuxième partie de maintien 110 et de la première partie de maintien 104 correspond pour l'essentiel à l'épaisseur de la troisième partie de maintien 112 avec la structure de matelassure et les surfaces de la troisième partie de maintien 112 reposent contre chaque surface faisant face de la deuxième partie de maintien 110 et de la première partie de maintien 104.

De façon correspondante, la liaison entre la troisième partie de maintien 112 et la première partie de maintien 104 est formée via une deuxième partie de maintien intermédiaire 118 reliée sur un côté à la première partie de maintien 104 de façon à pouvoir pivoter autour de l'axe de pivotement 108. La troisième partie de maintien 112 est reliée avec l'autre extrémité de la deuxième partie de maintien intermédiaire 118 autour d'un axe de pivotement 120 parallèle à l'axe de pivotement 108, la longueur de la deuxième partie de maintien intermédiaire 118 étant calculée de telle sorte qu'en cas de troisième partie de maintien 112 rabattue sur la première partie de maintien 104, incluant la structure de matelassure, la troisième partie de maintien 112 et la première partie de maintien 104 sont disposées pour l'essentiel parallèlement l'une par rapport à l'autre (voir la figure 21 et la figure 25).

Tandis que dans le premier exemple de réalisation, des axes de rabattement et de pliage sont prévus en sus des axes de pivotement, les axes de pivotement 116, 120 prennent, dans le deuxième exemple de réalisation, simultanément la fonction d'un axe de rabattement et de pliage.

Pour le réglage de la deuxième partie de maintien 110 par rapport à la première partie de maintien 104, un dispositif de réglage électromotorisé est prévu comportant un dispositif d'entraînement électromotorisé en liaison active avec les parties de maintien via un mécanisme de réglage. La structure correspondante de dispositifs de réglage électromotorisés correspondants est connue de façon générale de l'homme du métier et n'est donc pas expliquée ici plus en détail. Le dispositif de réglage électromotorisé peut par exemple et est notamment réalisé de la façon décrite en référence au premier exemple de réalisation.

Le dispositif de réglage électromotorisé est en l'occurrence réalisé de telle sorte que la deuxième partie de maintien 110 avec la structure de matelassure puisse être rabattue sur la première partie de maintien 104 (voir la figure 21 et la figure 25). Un organe de réglage du dispositif de réglage électromotorisé règle à cette fin de façon lâche la deuxième partie de maintien 110 ou la première partie de maintien intermédiaire reliée à elle, pour permettre un rabattement de la deuxième partie de maintien 110 sur la première partie de maintien 104 au-delà de la position d'extrémité du mouvement de réglage réglée au maximum définie par le dispositif de réglage électromotorisé.

Dans l'exemple de réalisation illustré, la troisième partie de maintien 112 est reliée de façon rabattable à la première partie de maintien 104 via la deuxième partie de maintien intermédiaire 118 (voir la figure 21 et la figure 25), sans pour autant être réglable de façon électromotorisée. Si cela est souhaité en fonction des exigences respectives, la troisième partie de maintien 112 peut toutefois être également réglée de façon électromotorisée par rapport à la première partie de maintien 104.

La figure 19 illustre les parties de maintien 110, 112, 114 dans une position de départ non réglée dans laquelle la deuxième partie de maintien 110 avec la première partie de maintien intermédiaire 114 définit, conjointement avec la première partie de maintien 104 et la troisième partie de maintien 112 avec la deuxième partie de maintien intermédiaire 118, un plan de maintien pour l'essentiel horizontal.

La figure 20 illustre le dispositif de maintien 102 dans une position d'extrémité réglée au maximum du mouvement de réglage dans laquelle la deuxième partie de maintien 110 avec la première partie de maintien intermédiaire 114 est réglée au maximum par pivotement par rapport à la première partie de maintien 104.

La figure 21 illustre de façon schématique le rabattement des parties de maintien 102, 112 l'une sur l'autre ou sur la première partie de maintien 104 afin de plier le matelas 100, sachant que des composants du dispositif de maintien 102 sont retirés pour simplifier la représentation.

Les figures 22 et 23 illustrent le placement du dispositif de maintien 102 dans le matelas 100. Dans l'exemple de réalisation illustré, le matelas 100 présente une structure de matelassure 130 comportant, dans l'exemple de réalisation illustré, au moins deux éléments de matelassure horizontaux disposés l'un au-dessus de l'autre parmi lesquels seul un élément de matelassure supérieur est identifiable sur les figures 22 et 23 et est pourvu de la référence 132.

La structure de matelassure comporte en outre un élément de matelassure inférieur sur lequel le dispositif de maintien 102 est placé, tel qu'illustré sur la figure 23. Après le placement du dispositif de maintien 102 sur l'élément de matelassure inférieur, l'élément de matelassure 132 supérieur peut être couché sur le dispositif de maintien 102, de façon à loger de façon intercalée le dispositif de maintien 102 entre l'élément de matelassure inférieur et l'élément de matelassure 132 supérieur. La structure de matelassure 130 avec le dispositif de maintien 102 inséré peut alors être amenée dans une enveloppe du matelas 100, tel qu'illustré sur la figure 24A.

Un exemple de réalisation de procédé de préparation du matelas 100 au transport ou au stockage va être expliqué par la suite à l'aide des figures 24A à 24F.

La figure 24A illustre le matelas 100 dans son état de départ. Pour former une unité de transport et de stockage compacte, le matelas 100 est amené dans une enveloppe 134 pour l'essentiel étanche aux gaz formée dans cet exemple de réalisation par un film plastique transparent.

Les figures 24B et 24C illustrent la façon dont l'enveloppe est d'abord tirée sur le matelas 100.

La figure 24D illustre le matelas 100 dans un état dans lequel le matelas 100 est entièrement logé dans l'enveloppe 134.

Tel que le montrent les figures 24B - 24D, la deuxième partie de maintien 110 a d'abord été amenée dans la position d'extrémité réglée au maximum du mouvement de réglage par rapport à la première partie de maintien 104, à l'aide du dispositif de réglage électromotorisé.

Un dispositif de sous-pression est ensuite raccordé à l'enveloppe 134 par l'intermédiaire d'un tuyau flexible 136 et une sous-pression est produite dans l'enveloppe 134, commençant ainsi à comprimer la structure de matelassure 30 du matelas 100.

La figure 24F illustre le matelas 100 dans un état dans lequel la structure de matelassure 134 est comprimée au maximum. Dans cet état, la troisième partie de maintien 112 est rabattue sur la première partie de maintien 104 puis la deuxième partie de maintien 110 est rabattue sur la troisième partie de maintien 112, tel que représenté sur la figure 24F.

La figure 25 illustre l'unité de transport et de stockage 136 formée à la fin du processus. On peut voir que la troisième partie de maintien 112 est rabattue sur la première partie de maintien 104 et que la deuxième partie de maintien 110 est rabattue sur la troisième partie de maintien 112, de sorte que la deuxième partie de maintien 110 et la première partie de maintien 104 soient disposées pour l'essentiel parallèlement l'une par rapport à l'autre et que les surfaces de la troisième partie de maintien 112 reposent contre la surface faisant face respectivement de la première partie de maintien 104 ou de la deuxième partie de maintien 110. Dans cet état, une ouverture pratiquée dans l'enveloppe 134 à laquelle le tuyau flexible 136 est raccordé est fermée de façon étanche aux gaz, par exemple par soudure du film plastique.

On peut voir que de cette façon une unité de transport et de stockage compact est formée dans laquelle notamment l'extension longitudinale définie par l'extension longitudinale du matelas 100 est pour l'essentiel réduite. Étant donné son caractère compact, l'unité de transport et de stockage peut être expédiée comme un simple paquet. En cas de retrait par utilisateur, le transport est également simplifié en raison du caractère compact de l'unité de transport et de stockage 138 et elle est transportable sans voiture.

Pour simplifier encore davantage le transport, l'unité de transport et de stockage 138 peut être pourvue de roulettes.

La figure 26 illustre un exemple de réalisation dans lequel l'unité de transport et de stockage 138 est logée dans un emballage 140, par exemple en carton, pour protéger l'enveloppe de tout endommagement pendant le transport et le stockage. Dans l'exemple de réalisation illustré, le moyen de roulement comporte deux roulettes 142, 144 disposées latéralement à une certaine distance l'une de l'autre, ces roulettes étant fixées à l'emballage 140. Une fixation des roulettes 142, 144 avec un élément de fixation de type cheville ou tige peut respectivement être prévue à cet effet, cette fixation étant comprimée ou enfoncée dans l'emballage 140.

Après le transport chez un utilisateur, cette unité de transport et de stockage 138 peut être sortie de l'emballage 140 et l'enveloppe 134 peut être retirée, faisant que la structure de matelassure 130 du matelas 128 s'étend de nouveau et reprend son état d'origine et que les parties de maintien 110, 112 peuvent être dépliées. Dans cet état, le matelas 100 est alors prêt à 1'emploi.

Le procédé selon l'invention permet facilement et à bon prix de préparer un matelas en formant une unité de transport et de stockage compacte permettant d'économiser de l'espace pour un stockage ou un transport.

Les figures 27A à 27E montrent les différentes phases cinématiques lors du réglage de la partie de maintien de cuisse 28 conjointement avec la partie de maintien de mollet 30 ainsi que la fonction de la bride 68 expliquée plus en détail par la suite. La partie de maintien de mollet 30 est reliée sans entraînement à la partie de maintien de cuisse 28 par le biais de l'axe de pivotement 32, de façon à pivoter, lors du pivotement de la partie de maintien de cuisse 28 dans la partie de maintien de mollet 30, sous l'effet de son poids par rapport à la partie de maintien de cuisse 28. Sans mesures supplémentaires, la partie de maintien de mollet 30 serait mobile de façon lâche dans une position réglée par rapport à la partie de maintien de cuisse 28 autour de l'axe de pivotement 32. Pour éviter cela, la bride 68 permet de fixer la partie de maintien de mollet 30 dans une position réglée par rapport à la partie de maintien de cuisse 28.

La figure 27A illustre la partie de maintien de mollet 30 conjointement avec la partie de maintien de cuisse 28 dans une position de départ non réglée.

Dans l'exemple de réalisation illustré, la position des points d'articulation 29, 31 est choisie de telle sorte qu'en cas de réglage de la partie de maintien de cuisse 28 avec la partie de maintien de mollet 30 d'une position de départ non réglée dans une première phase cinématique, la partie de maintien de mollet 30 est d'abord soulevée et n'est pivotée qu'ensuite, lors d'une deuxième phase cinématique, conjointement avec la partie de maintien de cuisse 28.

Tel qu'illustré sur la figure 27B, la partie de maintien de mollet 30 est d'abord soulevée (première phase cinématique) lors du pivotement de la partie de maintien de corps supérieur 28.

Tel que le montrent les figures 27C et 27D, la partie de maintien de mollet 30 est ensuite pivotée par rapport à la partie de maintien de corps supérieur 28 lors d'une deuxième phase cinématique.

Comme on peut voir sur la figure 27E, la cinématique du mouvement de réglage est réalisée de telle sorte que la partie de maintien de mollet 30 puisse être abaissée à la fin du mouvement de pivotement. La figure 27E représente la position d'extrémité du mouvement de réglage correspondant à un réglage maximal. La partie de maintien de mollet 30 est ainsi d'abord soulevée au début du mouvement de pivotement pour éviter une charge trop importante du côté inférieur du matelas 2 par frottement sur le sol.

Claims

Revendications

1. Matelas réglable (2) ; avec une enveloppe (4) commune dans laquelle sont logés au moins un élément de matelassure plat d'une structure de matelassure ainsi qu'un dispositif de maintien réglable (6) pour le support de l'élément de matelassure ; le dispositif de maintien (6) comportant au moins deux parties de maintien (12, 26) réglables l'une par rapport à l'autre, pourvues, sur leur côté orienté vers l'élément de matelassure, d'éléments de suspension pour le support élastique souple de l'élément de matelassure ; au moins une partie de maintien (12, 26) étant pourvue, en sus des éléments de suspension (64) disposés sur le côté orienté vers l'élément de matelassure ainsi que, sur le côté opposé à l'élément de matelassure, d'autres éléments de suspension (66), de telle sorte que le dispositif de maintien (6) soit pourvu d'éléments de suspension (64, 66), au moins en partie des deux côtés, le long de son extension longitudinale.
2. Matelas selon la revendication 1, au moins un dispositif d'entrainement électromotorisé (38) logé dans l'enveloppe (4) commune étant prévu pour régler les parties de maintien (12, 26) l'une par rapport à l'autre, de telle sorte que le matelas soit réglable de façon électromotorisée.
3. Matelas selon la revendication 1 ou 2, deux parties de maintien (8, 12 ou 8, 26) réglables l'une par rapport à l'autre du dispositif de maintien (6) étant respectivement reliées entre elles via un axe de pivotement (10 ou 24).
4. Matelas selon la revendication 1, 2 ou 3, le dispositif de maintien (6) présentant au moins deux axes de rabattement et de pliage (34, 36) espacés l'un de l'autre le long de sa direction longitudinale, lesquels sont disposés de telle sorte que les parties de maintien (12, 26), avec l'élément de matelassure ou les éléments de matelassure disposés dessus, puissent être rabattues l'une sur l'autre de telle sorte que à l'état plié, l'étendue du matelas (2) dans sa direction longitudinale soit inférieure à son étendue à l'état déplié.
5. Matelas selon l'une quelconque des revendications précédentes, les parties de maintien (8, 12, 26) comportant au moins une partie de maintien centrale (8) à l'extrémité de laquelle une partie de maintien de corps supérieur (12) est reliée et à l'autre extrémité de laquelle une partie de maintien de corps inférieur (26) est reliée.
6. Matelas selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, le dispositif d'entrainement électromotorisé (38) comportant un moteur électrique (84) individuel commun pour régler la partie de maintien de corps supérieur (12) et la partie de maintien de corps inférieur (26) par rapport à la partie de maintien centrale.
7. Matelas selon la revendication 6, le moteur électrique (84) commun étant en liaison active avec la partie de maintien de corps supérieur (12) et la partie de maintien de corps inférieur (26) de telle sorte que le réglage de la partie de maintien de corps supérieur (12) et de la partie de maintien de corps inférieur (26) s'effectue de façon décalée dans le temps au moins par phases pendant le mouvement de réglage.
8. Matelas selon l'une quelconque des revendications 5 à 7, la partie de maintien de corps inférieur (26) comportant une partie de maintien de cuisse (28) dont une extrémité est reliée à la partie de maintien centrale (8) de façon articulée et de façon à pouvoir tourner autour d'un axe de pivotement horizontal (24) et une partie de maintien de mollet (30) étant reliée avec son autre extrémité, de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal (24), de telle sorte que lors du pivotement de la partie de maintien de cuisse (28) par rapport à la partie de maintien centrale (8), la partie de maintien de mollet (30) est pivotée sans entraînement sous l'effet de la pesanteur par rapport à la partie de maintien de cuisse (28), dans une position réglée, et des moyens de fixation dans la position réglée de la partie de maintien de mollet (30) par rapport à la partie de maintien de cuisse (28) étant prévus.
9. Matelas selon l'une quelconque des revendications 5 à 8, la partie de maintien de corps supérieur (12) présentant une partie de maintien du dos (18), à l'extrémité opposée à la partie de maintien centrale (8) de laquelle est reliée une partie de maintien de la nuque (14), de manière articulée et de manière à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal (16).
10. Matelas selon l'une quelconque des revendications 5 à 9, la partie de maintien de corps supérieur (12) étant reliée à une partie de maintien de bassin (22) de façon articulée et de façon à pouvoir tourner autour d'un axe de pivotement horizontal (20) dont l'extrémité opposée à la partie de maintien de corps supérieur (12) est reliée à la partie de maintien centrale (8) de façon articulée et de façon à pouvoir pivoter autour d'un axe de pivotement horizontal (10).
11. Matelas selon l'une quelconque des revendications précédentes, les éléments de suspension (64, 66) étant réalisés sous forme de lattes et étant de préférence en matière plastique.
12. Matelas selon l'une quelconque des revendications précédentes, le dispositif d'entraînement électromotorisé (38) comportant au moins un organe d'entraînement en sortie (46) en liaison d'entraînement d'une part avec au moins un moteur électrique (84) et en liaison active d'autre part avec au moins un câble Bowden (40', 40'', 42', 42''), lequel est en liaison active avec les parties de maintien (12, 26) de telle sorte que sous l'effet de traction du câble Bowden (40', 40'', 42', 42''), au moins deux parties de maintien (12, 26) sont réglées ou réglables l'une par rapport à l'autre.
13. Matelas selon l'une quelconque des revendications 6 à 12, le moteur électrique (84) commun étant en liaison active avec un organe d'entraînement en sortie (46) individuel, mobile de préférence de façon linéaire, du dispositif d'entraînement électromotorisé (38).
14. Matelas selon l'une quelconque des revendications 12 ou 13, deux câbles Bowden (40', 40'' ou 42', 42'') étant respectivement associés à la partie de maintien de corps supérieur et à la partie de maintien de corps inférieur, ces câbles étant en liaison de traction avec l'unique organe d'entraînement en sortie du dispositif d'entraînement (38), de telle sorte qu'en cas de mouvement de l'organe d'entraînement en sortie, les câbles Bowden (40', 40'' ou 42', 42'') associés tant à la partie de maintien de corps supérieur (12) qu'à la partie de maintien de corps inférieur (26) sont actionnés.
15. Matelas selon la revendication 13 ou 14, la liaison entre les câbles Bowden (40', 40'', 42', 42'') et l'organe d'entraînement en sortie ainsi qu'entre les câbles Bowden (40', 40'', 42', 42'') et la partie de maintien de corps supérieur (12) ainsi que la partie de maintien de corps inférieur (26) , est formée de telle sorte que le réglage de la partie de maintien de corps supérieur (12) et de la partie de maintien de corps inférieur (26) s'effectue de façon décalée dans le temps au moins par phases pendant le mouvement de réglage.
16. Matelas selon l'une quelconque des revendications précédentes, au moins un élément de matelassure plat supplémentaire étant disposé sur le côté du dispositif de maintien (6) opposé à l'élément de matelassure, de telle sorte que le dispositif de maintien (6) soit logé de façon intercalée entre les éléments de matelassure.
17. Matelas selon l'une quelconque des revendications 4 à 16, les axes de rabattement et de pliage (34, 36) étant disposés le long de l'extension longitudinale du matelas (2) à distance des axes de pivotement.
18. Matelas selon l'une quelconque des revendications 3 à 17, au moins un axe de rabattement et de pliage (34, 36) étant disposé de telle sorte au niveau d'une partie de maintien que l'axe de rabattement et de pliage (34, 36) subdivise la partie de maintien respective dans la direction longitudinale du matelas (2) en deux parties individuelles reliées entre elles de façon rabattable à l'aide de l'axe de rabattement et de pliage (34, 36).
19. Matelas selon l'une quelconque des revendications 4 à 18, au moins un axe de rabattement et de pliage (36, 34) étant disposé au niveau de la partie de maintien centrale (8) et de la partie de maintien de bassin (22).
20. Matelas selon l'une quelconque des revendications 2 à 18, les axes de pivotement étant disposés perpendiculairement à la surface de maintien du dispositif de maintien (6), respectivement au niveau du côté, opposé à l'élément de matelassure, des parties de maintien.
21. Matelas selon l'une quelconque des revendications 3 à 20, les axes de rabattement et de pliage (34, 36) étant disposés perpendiculairement à la surface de maintien du dispositif de maintien (6), respectivement au niveau du côté, orienté vers l'élément de matelassure, des parties de maintien.
22. Matelas selon l'une quelconque des revendications précédentes, le dispositif de maintien (6) étant pourvu d'éléments de suspension le long de la totalité de son extension longitudinale, des deux côtés.