FR2881127A1 - Etrier d'equitation 3d a assistance de pied amortissant, ergonomique, antiblocage, adaptable au poids du cavalier - Google Patents

Abstract

La présente innovation concerne un étrier pour l'équitation, et tout spécialement sur un mécanisme conçu pour assister le pied, il amortit les chocs et les vibrations transmises aux muscles, aux os, aux tendons et aux articulations du cavalier. Une innovation ergonomique du plancher, une innovation anti-blocage dans la forme de sa structure complémentée par une butée latérale. Une structure portante 1 se terminant par un carré 7 qui supporte un ensemble 8 et 5, ce même ensemble travaillant en rotation sur le carré 7, pour en arriver à matérialiser une mini barre de torsion dont l'amplitude ne dépasse pas 20 degrés. Un ensemble 3 et 6 ayant pour but d'actionner cette mini barre de torsion par l'intermédiaire du pied vient l'emprisonner. Par la poussée verticale sur l'avant ou sur l'arrière du plancher 3 ce système accompagne et remet en position horizontale le pied du cavalier. Des sphères 4 viennent se loger entre le plancher 3 et le dessus de la barre de torsion, dans des emplacements prévus à cet effet, dans une poussée verticale sur le plancher 3 les sphères se compriment et remontent créant un mouvement de va et vient souple et bien dosé pour le pied. Ces sphères étant éloignées l'une par rapport à l'autre, elles génèrent deux fonctions indépendantes de basculement du pied à droite et à gauche. Ces sphères de dureté et de couleurs différentes peuvent être adaptées au poids du cavalier. Une forme de la structure au ¾ fermée par une butée souple en font un étrier de sécurité anti-blocage. La présente invention est destinée aux cavaliers qui passent beaucoup de temps sur leur montures.

Description

La présente invention concerne un étrier d'équitation, visant à apporter

au cavalier, aux différentes allures, une stabilité, un confort, et une sécurité. Les différents moyens mécaniques mis en uvre étant très justement calculés en rapport des forces opposées. L'intérêt de cette innovation étant la diminution de la fatigue musculaire, et du microtraumatismes engendrés par les chocs, la sécurité du fait d'une structure porteuse ouverte au trois quart facilitant l'évacuation du pied; d'un plancher ergonomique épousant la forme du pied.

Quatre vingt dix pour cent des étriers commercialisés ne sont pas munis d'un système amortissant dans certains cas la semelle d'appui du pied peut être garnie d'une semelle caoutchouc servant plutôt d'antidérapant que d'amortisseur. A certaines allures rapides (plein galop) dans les contres -10 coups, les pieds du cavalier ont tendance à sauter sur la dite semelle d'où perte d'équilibre, ou perte de l'étrier. Le confort et la stabilité du cavalier restent assez précaires, les chocs imposés par sa monture sont directement transmis aux os, aux muscles et aux ligaments.

Les dix pour cent restant sont des étriers articulés munis d' amortisseur, ces modèles utilisant soit des ressorts, soit des silentblocs caoutchouc, le reproche que l'on puisse faire à ces modèles -1 H. existants sont leur trop grande souplesse. Les forces d'opposition, les matière utilisées ne sont pas suffisamment adaptées; ce qui a pour effet d'augmenter les mouvements du pied au lieu de les assister. Beaucoup de cavaliers les ont testés puis abandonnés, la technique ne correspondant pas aux besoins.

Compréhension du dispositif selon l'invention, deux moyens mécaniques imbriqués (ou intimement liés) pour en arriver à finaliser un dispositif ou un système intégral ayant cinq fonctions (ou mouvements indépendants différents). La structure porteuse du mécanisme étant fabriquée en une seule pièce moulée mono bloc dans un métal dur, la dite structure se terminant par un carré métallique (ou tout autre forme géométrique par exemple type cruciforme) dont l'arête supérieure et l'arête inférieure de ce même carré sont orientées dans la parallèle de l'axe de cette structure. Un tube métallique de section appropriée est logé autour de ce même carré. Des sections de matières souples, élastiques résistant à la compression tel que polyuréthane, caoutchouc, silicone, ou toutes autres matières de profil rond, triangulaire, rond avec un replat ou coulée: de longueur, de diamètre, de dureté adaptée sont intercalées entre les quatre faces de ce même carré et les angles intérieurs du tube métallique, pour en arriver à fabriquer une mini barre de torsion. Cette mini barre de torsion étant coiffée d'un mécanisme amortissant faisant corps avec un plancher ergonomique (sur lequel vient reposer le pied du cavalier) sert à limiter, à réguler, à doser, et surtout à assister les mouvements du pied dans ses appuis sur l'avant et sur l'arrière. Elle limite et assiste les mouvements de balancement en les régulant, elle rétablit l'équilibre et la stabilité en avant en arrière, du fait du rapport de couple ramenant le plancher ou le pied en position initiale ou horizontale, la souplesse étant justement calculée pour laisser libre choix au cavalier de 2S

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baisser ou d'orienter son talon dans la position qu'il désire. Les muscles, les os, les tendons étant moins sollicités du fait d'une position du pied plus naturellement horizontale ou plus à plat. La dite mini barre de torsion est coiffée ou emprisonnée par un ensemble métallique formant le plancher ayant une côte intérieure supérieure (dans sa hauteur) de 10 mm environ par rapport au tube constituant la mini barre de torsion, Cet ensemble métallique muni du plancher étant ajusté de façon libre, peut glisser du haut vers le bas ou du bas vers le haut sur les flancs du tube constituant la dite mini barre de torsion.

Deux ou plusieurs sphères de matières souples sont logées entre le dessous du plancher et le dessus du tube de la dite barre de torsion, deux ou plusieurs trous ou réservations sont prévus dans le t plancher pour y recevoir ces sphères.Des sphères, des carré, des rectangles ou toutes autres formes en polyuréthane, caoutchouc, silicone ou toute autre matière souple ou éventuellement des ressorts pouvant être utilisés. La poussée verticale du pied du cavalier comprime et détend les sphère emprisonnée entre le dessous du plancher et le dessus du tube. On peut aisément comprendre le confort apporté au cavalier par l'élasticité des sphères compressées juste sous son pied. Les sphères étant éloignées l'une de l'autre, elles travaillent indépendamment comme deux amortisseurs, le plancher s'adapte aux différents aplombs du pied du cavalier en latéral.

Le plancher de l'étrier travaille en trois dimensions assistées avec retour au point 0 à l'horizontale, poussée du pied à la verticale sur l'avant ou sur l'arrière, retour en position initiale point 0 par l'intermédiaire de la barre de torsion. Poussée à la verticale, en souplesse assistée par Q e l'intermédiaire des sphères comprimées sous le plancher.

Poussée à la verticale, en latérale par l'intermédiaire des sphères éloignées (donc indépendantes). Des sphères ou toute autre forme de matériaux, de dureté, de différentes couleurs peuvent être utilisés et adaptés au poids de chaque cavalier, par exemple par tranche de 15 kilos pour adapter la souplesse au poids de chacun.

1S Une pièce en matière souple vient finaliser et fermer l'étrier au trois quart de son ouverture et tenir le mécanisme, elle se fixe par l'intermédiaire d'un moyen de fixation en bout du carré de la structure, elle peut être de hauteur de largeur différente, elle peut éventuellement se régler pour réduire ou augmenter l'espace réservé à la chaussure, donc l'étrier est adaptable à la largeur du pied. Elle peut éventuellement avoir une forme beaucoup plus fermée et plus haute en retour sur la > chaussure du cavalier pour en faire un étrier de contact (pour éviter de perdre l'étrier). Cette demi branche ou butée latérale a pour but de tenir en place latéralement le pied du cavalier sur le plancher (ou dans l'étrier), elle est suffisamment haute pour que le pied ne passe pas pardessus.

Les matières utilisées sont serai dures (pour éviter de blesser le cavalier et sa monture en cas de 5Î chute) polyuréthane, caoutchouc, silicone ou tout autre, elle peut éventuellement être en métal recouverte de matière souple. Elle peut éventuellement pivoter à l'horizontal sur sa fixation en cas de chute du cavalier ou en cas de choc.

L'étrier ainsi muni de cette pièce, forme un trois quart d'étrier fermé.

On peut facilement comprendre tout l'intérêt de cette forme (fermé au trois quart) au niveau de la sécurité du cavalier en cas de chute, une forme de la structure progressive très ouverte dans sa hauteur pour faire glisser le pieds, une ouverture d'un quart pour évacuer le pied, une pièce souple (ou butée latérale) qui se tord ou pivote pour libérer le pied.

Le plancher ergonomique est courbé il est ajusté à la forme de l'avant pied, sa surface et sa longueur sont judicieusement calculées pour ne pas gêner et apporter une stabilité maximum, sa surface et sa longueur et suffisamment importante pour mettre en action le mécanisme de la dite mini barre de torsion. Il travaille comme un bras de levier sur le mécanisme en action.

-t L'antidérapant est créé par une multitude de trous dont la circonférence est repoussée en saillies vers la surface supérieure du plancher, ou par des excroissances de métal. Un emplacement peut être prévu sur un des côtés pour y fixer latéralement la pièce souple ou dite butée.

La boucle retenant l'étrivière est orientée parallèlement à la monture du cavalier, afin de positionner l'ouverture de l'étrier face à la pointe du pied.

-15 Exemple d'une réalisation de l'invention, elle sera mieux comprise grâce à la description ci-dessous, ainsi qu'aux dessins qui l'accompagnent dans un mode de réalisation, non limitatif.

La figure 1 représente une vue de face de la structure porteuse intégrée du mécanisme, et finalisée par la butée de pied en matière souple.

2 o La figure 2 représente une vue de face de la dite mini barre de torsion.

La figure 3 représente une vue éclatée de l'ensemble des deux systèmes mécaniques ainsi qu'une vue assemblée.

La figure 4 représente une vue des deux mécanismes assemblés sur la structure porteuse.

La figure 5 représente un type d'assemblage différent (ou de positionnement) de la butée de pied en Q S matière souple fixée sur le rebord du plancher.

La figure 6 représente une vue de la butée de pied fixée sur le rebord du plancher, de forme différente, en retour sur la chaussure.

Comme le montre la figure 1 l'étrier d'équitation est formé d'une structure porteuse 1 sur laquelle S c vient reposer un ensemble mécanique 12 se terminant par u n e butée de pied en matière souple I l cet ensemble mécanique 12 à la faculté par l'intermédiaire du plancher 3 de s'abaisser De O à 50 degrés maximum (en rapport des forces opposées) en avant ou en arrière de la verticale de la structure 1, ce même ensemble 12 par la poussée verticale sur le plancher 3 descend et remonte, toujours par la même poussée sur le plancher 3 il peut s'abaisser indépendamment côté ç, structure 1, côté butée 11.

Détail dans le mode de réalisation, comme on peut le voir sur les figures 1, 2, 3, 4.

La structure porteuse 1 figure 2 dans sa forme, se termine par un carré plein 7, ce carré ou tout autre forme géométrique par exemple cruciforme ayant plusieurs fonctions il sert d'appui au support mécanique 12, sur lequel le mouvement de torsion vient se créer; à son extrémité un moyen de fixation 14 est ménagé par l'intermédiaire d'une pièce moulée dans la masse, ce même carré statique 7 ayant au moins deux arêtes positionnées dans le sens vertical de la structure 1 une section de tube 8 de côte intérieure supérieure aux quatre arêtes du carré 7 vient se loger autour du carré 7 pour 1' emprisonner. Ce même tube 8 va générer le mouvement de torsion (ou de pivot) avant, arrière. Des parties de matières souples 5 de longueur, de diamètre ajustés, de formes rondes avec replat ou triangulaire, de dureté adaptée tel que polyuréthane, caoutchouc, silicone ou autres, Z ü vont pénétrer en force entre les quatre faces du carré 7 et les angles intérieurs du tube 8 pour concrétiser les mouvements de torsion du tube 8.

Les moyens utilisés pour générer les mouvements de torsion de cet ensemble 7, 5 et 8 sont le plancher 3 et ses supports profilés 6 réunis.

Un ensemble métallique figure 3 formé de deux pièces 6 en forme de U de côte ajustée, et d'une hauteur intérieure de 10 mm environ supérieur au tube 8, relié au plancher 3 et formant qu' une seule pièce moulée, ce même ensemble vient coiffer ou emprisonner le tube 8.

Ce même ensemble 3 et 6 ayant 3 fonctions mécaniques différente.

Cet ensemble mécanique 3 et 6 ajusté en contact des deux face du tube 8 peut naviguer de bas en haut, il est guidé et retenu latéralement sur un des côté par la butée 4 munie d'une rondelle, sur c l'autre côté par l'épaulement moulé dans la structure 1.

Des sphères 4, deux ou plus, des carré, des rectangles de dureté, de taille (de volume) adaptées en matière souple tel que polyuréthane ou autres, ou des ressorts métalliques, vont se logés entre le plancher 3 et le tube support 8 figure 4, des emplacements ou réservations 10 sont usinés ou ménagés dans le plancher 3 pour maintenir en place à une distance déterminée les sphères 4.

2 Cet ensemble mécanique ainsi assemblé comme on peut le voir en figure 4 par l'intermédiaire du pied du cavalier reposant sur le plancher 3, génère cinq fonctions différentes en assistant son pied en souplesse.

Première fonction, force d'appui à la verticale sur l'avant de l'ensemble 3 et 6, l'ensemble 3 et 6 bascule et entraîne le tube 8 qui contraint les matières souples 5 sur le carré fixe 7. La force d'appui c se libérant le plancher 3 revient à l'horizontal (ou point 0).

Deuxième fonction, la force d'appui a la verticale sur l'arrière de l'ensemble 3 et 6 provoquant les mêmes effets de retour à l'horizontal (ou point 0). Les forces élastiques étant calculées pour que le plancher 3 ne prenne pas un angle supérieur à 20 degrés.

Troisième fonction, la force d'appui à la verticale sur l'ensemble du plancher 3 comprime et détend 3 5. les sphères 4 reposant sur le tube 8créant un mouvement de va et vient. On peut aisément comprendre tout l'intérêt de ces sphères comprimées qui s'enflent et se désenflent sous la pression libérant une énergie progressive.

Quatrième et cinquième fonctions, ces mêmes sphères 4 étant éloignées l'une de l'autre figure 3 dans leur logement 10, à la compression elles créent deux fonctions indépendantes, l'aplomb du pied en latéral peut donc être corrigé en écrasant l'une ou l'autre de ces deux sphères. La butée 11 figure 1 de pied en matière souple servant à tenir le mécanisme en place et maintenir latéralement le pied du cavalier dans l'étrier elle vient se fixer au bout du carré 7, elle peut éventuellement pivoter sur sa fixation 14 figure 2. Elle peut aussi se fixer sur le côté du plancher 3 figure 5, elle peut aussi se régler et glisser dans sa fixation 16 pour en faire un étrier réglable à la largeur du pied.

La butée 11 figure 6 peut aussi avoir une forme en retour sur la chaussure pour maintenir le pied X10 sur le plancher 3 et ainsi en faire un étrier de contact dans sa hauteur tout en gardant une sécurité maximum.

Un plancher ergonomique 3 figure 4 de forme courbé vers le haut sur sa partie avant et arrière dans un angle de 165 degrés environ, épouse la forme de la semelle, sa surface, sa longueur et sa forme étant suffisamment importante pour donner un maximum de stabilité au pied, il est muni d'anti- -,j 5 dérapant 9 crée directement dans la matière, ou rapporté.

Le mécanisme, peut bien sur être exploité sur une forme d'étrier classique fermé.

Dans l'équitation 1' étrier figure 1 de la présente invention peut être utilisé à plusieurs niveaux, il s'adapte aux différentes disciplines équestre de par son concept et sa prestation, il cible surtout les cavaliers passant de longues heures sur leur montures, endurance, randonnée, moniteur, carrière et 2 0 cso. Il apporte un maximum de confort et de sécurité au cavalier.

Bien entendu l'invention n'est pas limitée au seul mode de réalisation décrite des modifications restant possible du point de vue de la constitution des divers éléments, ou par la substitution d'équivalent technique sans pour autant sortir du domaine de protection de la présente invention citée.

Claims (9)

REVENDICATION

1 Etrier pour l'équitation formé d'une structure portante 1, terminée par un carré plein 7, un mécanisme, 8, 5 monté pivotant dans un angle de 0 à 50 degrés sur l'avant et sur l'arrière, Est inséré dans la partie basse de la structure 1 et autour du carré 7, un deuxième ensemble mécanique dont un ou deux profil U 6, un plancher 3, des sphères 4 ayant la faculté de déplacement vertical par rapport a l'axe de la structure portantel; comprime et détend les sphères 4 par la poussée sur le plancher 3 ce mécanisme vient se loger et emprisonner le premier mécanisme 7,8,5. Une butée de pied est également montée à l'extrémité de la structure let en bout du carré 7, (elle viens maintenir le mécanisme et fermé l'étier au 3 /4), elle peut pivoter sur sa fixation. Un plancher ergonomique 3 courbé, adapté à la semelle muni d'anti-dérapant 9, moulé ou rapporté dans sa structure, une boucle d'étrivière orientée parallèlement à la monture.

2 Etrier selon la revendication 1, caractérisé en ce que la structure portantel se termine dans sa partie basse par un carré plein 7, (ou toute autre forme géométrique exemple cruciforme) et solidaire de cette dernière, deux arêtes opposés de ce carré 7 sont orientées dans l'axe de la structure 1, un moyen de fixation (non limitatif) est ménagé en bout de ce même carré 7 par un trou fileté une rondelle inox, une vis, ou une partie saillante.

Etrier selon l'une des revendication 1: caractérisé en ce qu'un tube métallique 8 de longueur adaptée et de côte intérieur supérieur aux quatre arêtes du carré plein 7 vient se loger autour du carré 7.

4 Etrier selon la revendication 3: caractérisé en ce que quatre sections unique ou en plusieurs éléments de matière souple viennent pénétrer en force entre les quatre faces du carré plein 7 et les quatre angles intérieur du tube 8, cette matière souple étant préférentiellement du polyuréthane, du caoutchouc, ou de la matière moulé ou coulée.

2S. 5 Etrier selon les revendications 3, caractérisé en ce que cet ensemble mécanique 7, 8 et 5 a la faculté de pivoter sur l'avant sur l'arrière dans un angle de 0 à50 degrés par rapport à la structure portante 1, avec retour en position initiale, il est actionné par un nouvel ensemble plancher 3, profil U 6 lié ou formant une seule pièce.

0 6 Etrier selon l'une des revendications 1 ou 5 caractérisé en ce que un ou deux profils U 6 liés est faisant partie intégrante du plancher 3, vient se positionner et glisser sur la face avant et arrière du tube 8, la hauteur intérieur de ces profilés 6 étant d'une côte moyenne de f0 mm (environ) supérieure à la hauteur du tube 8, pour y ménager un emplacement, ce même ensemble U 6 et plancher 3 étant moulés en fonderie d'une seule pièce ou reconstitué.

7 Etrier selon la revendication 6 caractérisé en ce que des sphères 4 deux ou plus, en matière souple et ou résilientes, préférentiellement, polyuréthane, caoutchouc, de densité, de dureté et de couleur différentes, viennent se loger entre le plancher 3 et le tube 8, servant de support aux sphères 4 dans des emplacements prévus ou usinés 10. A la compression à la détente ces sphères 4 viennent matérialiser les mouvements de descente et de remontée du -1C plancher 3.

8 Etrier selon la revendication 7 caractérisé en ce que les sphères 4, sont disposées éloignées l'une de l'autre de chaque côté du plancher 3 ou du tube 8, logées dans les emplacements 10 ménagés dans le plancher 3, elles génèrent deux fonction indépendantes à la poussée verticale (de par et d'autre) sur le plancher 3.

9 Etrier selon la revendication 7 caractérisé en ce que des sphères, des carrés ou toute autre forme, ou ressorts métalliques, de par leurs densité, leur dureté, sont adaptés au poids différent de chaque cavalier, par tranche de poids successivement déterminées, une couleur différente de ce matériau correspondant à chacune de ces tranches.

Etrier selon la revendication 1 caractérisé en ce que une butée de pied latérale 11 servant à tenir le mécanisme 12 en place, en matière souple ou semi dure, préférentiellement polyuréthane, caoutchouc ou métal recouvert de matière souple vient se fixer en bout du carré 7, par le moyen de fixation 14 et ayant la faculté de pivoter sur ce même moyen de fixation 14, pour en faire un étrier au 3/4 fermé.

11 Etrier selon la revendication 1 caractérisée en ce que la structure portante est fermée au trois quart environ, une ouverture dans la partie haute de la structure est ménagée pour dégager le pied.

Etrier selon l'une des revendications let 10 caractérisé en ce que une variante de positionnement de la butée de pied latérale 11 figure 5 en matière souple ou serai dure, préférentiellement polyuréthane, caoutchouc ou métal recouvert de matière souple vient se fixer au plancher 3 et sous le plancher 3 sous son côté extérieur, face à la structure 1 par un moyen de fixation 16 ayant la faculté de glisser pour diminuer, ou augmenter l'espace réservé au pied. 2C 'S

13 Etrier selon la revendication 12, caractérisé en ce que la butée de pied latérale 11 figure 6 en matière souple ou semi dure, préférentiellement polyuréthane, caoutchouc ou de métal recouvert de matière souple vient se fixer au plancher 3 et sous le plancher 3, sous son côté extérieur face à la structure 1 par un moyen de fixation 16 ayant la faculté de glisser dans le moyen de fixation 16 pour diminuer ou augmenter l'espace réservé au pied, de forme remontante au dessus du pied, pour en faire un étrier de contact au pied et le maintenir.

14 Etrier selon la revendication 1 caractérisé en ce que un plancher 3 ergonomique, et cintré dans sa partie avant et arrière vers sa face supérieure dans un angle de 165 degrés environ, d'une longueur, d'une largeur et d'une surface suffisamment importante pour actionner le mécanisme 7, 8 et 5, est muni d'anti-dérapant 9 crée dans sa masse, ou ajouré d'une multitude de trous dont la circonférence est repoussée vers le haut.

Etrier selon l'une quelconque des revendications caractérisée en ce que le mécanisme peut..-j < bien sur être exploité sur une forme d'étrier classique fermé.