FR2539619A1 - Lit anti-escarres medico-chirurgical a suspension et chassis - Google Patents

Lit anti-escarres medico-chirurgical a suspension et chassis Download PDF

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    • A61GTRANSPORT, PERSONAL CONVEYANCES, OR ACCOMMODATION SPECIALLY ADAPTED FOR PATIENTS OR DISABLED PERSONS; OPERATING TABLES OR CHAIRS; CHAIRS FOR DENTISTRY; FUNERAL DEVICES
    • A61G7/00Beds specially adapted for nursing; Devices for lifting patients or disabled persons
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Abstract

LIT-CHASSIS-COUSSINS ANTI-ESCARRES. TOUS USAGES: PRETEND RENDRE ACCESSIBLE EN PERMANENCE LA TOTALITE DU CORPS HUMAIN AUX INTERVENTIONS DU SOIGNANT, Y COMPRIS LE CHIRURGIEN. IL SUPPRIME LE SOMMIER ET LE MATELAS, ET RAMENE LA MANIPULATION (TRANSLATION, RETOURNEMENT...) DU PATIENT A UNE MANIPULATION DE CHASSIS IX DE 35CM DE LARGEUR EN MOYENNE, GARNIS DE COUSSINS AUSSI DIFFERENCIES QUE POSSIBLE, PERMETTANT DE DENUDER LA "TRANCHE" DE CORPS A "TRAVAILLER". 1DES COLONNES I A RESSORTS II VOUEES A LA STABILITE III AUTORISENT LE LEVAGE PAR VERINS VII DE TUBES FORMANT PARALLELOGRAMME V, DANS LESQUELS ON INTRODUIT PAR LE BAS LES CHASSIS CORRESPONDANT A CHAQUE HANDICAP OU DEFICIENCE. LE (DE)VERROUILLAGE EST REALISE PAR UNE MANETTE "MA". UN COUSSIN TRES SPECIAL, D'EMPLOI EXCEPTIONNEL, EST PREVU POUR "TRAVAILLER" LE CRANE, QUI REPOSE SINON SUR DES CHASSIS 20, 10, 28, 40CM, SELON LES NECESSITES PONCTUELLES (EN VIII). NOTER LES PLATEAUX COULISSANTS VII POUR VERINS, ET L'ESPACE EN RETRAIT EN F VIII OU SE RABAT LE FILET OCCIPITAL.

Description

DESCRIPTION
"Si l'on mettait autant de soins 3 étudier et cultiver la mort qu'on en met a gâcher la vie, la mort apparattrait comme un rêve".
(Le poète)
N.B. - L'originalité du présent brevet d'invention est indépendante et exclusive des accessoires présents ou futurs, dus au progrès, qui l'accompagneraient, mais ne sauraient, pour le fond, lui être substitués.
Motivation d'ordre social et philantropique: peu de gens meurent confortablement dans leur environnement (mort subite dans son Tréma, etc...). Comment se prélasser dans un fauteuil toute une vie et mourir sur un châlit misérable ? La mort est épisode essentiel, les autres épisodes sont des péripéties dérisoires.Les
Cryotechniques prétendent prolonger la vie (Dieu (I'homme !) sait quand), après la mort, mais la mort n'est-elle pas plutôt, en elle-même, un chancre, un moment honteux, que l'on veut escamoter, Si ce n' est en tuant davantage. D'ob la nécessité morale, raisonnable en somme, l'urgence, d'approfondir les circonstances matérielles du trépas, l'assistance totale au malade et au mourant, I'adoucissement de son sort (ultime consolation, au physique, au mental...). D'où, en particulier, ce lit anti-escarres, divisé en deux parties::
10) Le lit en lui-même, sorte de lit à colonnes, axé sur l'asepsie, l'antisepsie, l'opération chirurgicale...;
20) Le châssis (caisson, casier ou compartiment), équipé de coussins antiescarres, et ajusté sur les cas divers qui se présentent dans la pratique médicale.
But: noter que le malade n'aura jamais à bouger, que son handicap sera traité sans manutention (translation,...). La synthèse lit-chassis réalise l'intervention permanente dans les conditions optimales.
Le lit à suspension.
a)Les 4 colonnes sont en métal, en plastique dur (thermodurcissable): tubes creux ou pleins au gré du matériau, capables de supporter 250 kg environ.
Section: 11 cm/ll cm. Hauteur: 2 m 20. Présentant une saignée, et en équerre une autre saignée, entaille aux rebords gainés acier, servant de rail, de guidage (recherche du glissement optimum). Le long de cette garniture glisseront des extrémités de tubes horizontaux, à section carrée (4 cm/4 cm, formant palette (ronde, d'épaisseur 2 cm, aux rebords arrondis et abrasé, de section 10 cm). 4 de ces tubes mesurent 2 m 10 de long, les 4 autres 1 m 30. Seuls les 4 tubes longitudinaux portent palette à leurs extrémités. Les tubes dans le sens de la largeur ont une destination différente: dénivelés légèrement (5 cm) par rapport aux tubes longitudinaux, ils comportent à leurs extrémités des sphères (boules de 10 cm de diamètre) reposant sensiblement sur les palettes. Soit 8 sphères sur 8 palettes.
Les tubes en longueur et en largeur sont fortement reliés entre eux (ensemble) par des tubes (barres de 3 cm de section carrée, qui, par soudure ou des anneaux, assurent la stabilité de l'ensemble des tubes. On obtient ainsi l'ossature, le cadre, tels les "bois de lit" d'antan, du lit médical à vocation chirurgicale et soignante.
Les 4 tubes verticaux ont 35 cm de hauteur et se situent à 40 cm des bords longitudinaux (soit, entre eux 50 cm). Les "bois de lit" dans le sens de la largeur, en outre, serviront, en ce qui les concerne, de points d'appui aux vérins élévateurs.
En position "hors patient", le "bois de lit" inférieur se situe à 52 cm du sol, soit 50 cm au dessus du pied rond ou carré servant de base à chaque colonne. Le deuxième rail (3 cm 1/2 d'ouverture comme le premier) reçoit le rétrécissement des tubes porteurs de sphères (boules de 10 cm de diamètre). Il y a donc, en tout, 16 palettes et sphères superposées dont le rétrécissement sur rail représente 3 cm (ou au mieux, si ron préfère: 4 cm), d'où la nécessité d'un métal très résistant garantissant la non-rupture. Les rails ont ainsi une ouverture de glissement (marge, amplitude) de 3 cm 1/2, suffisante pour empêcher les frictions horizontales, les poussées horizontales brusques.Sous le pied de la colonne formant coiffe, 3 roulettes entravées (petits pans coupés de quelques mm.), fixées par leur tige enrobée de ressorts porteurs, de telle sorte qu'un amortissement intervienne verticaliement et latéralement, lorsque le lit regagne le sol : Planche 1, fig. 1. De plus les tubes longitudinaux ainsi que les tubes dans le sens de la largeur sont munis sur toute leur longueur d'un évidement de 1 cm/1 cm, aux fins de fixations et implantations diverses d'éventuels accessoires (chirurgicaux, ete4PW L s colonnes elles-mêmes portent, à des hauteurs différentes, des crochets, patères, etc...
permettant de suspendre tous accessoires de rinçage, antisepsie, lances, atomiseurs, éponges, projecteurs électriques, etc. De même les tubes supérieurs dans le sens de la largeur sont disponibles si l'on souhaite fixer un bras (ou 2) armé d'un système coulissant porteur à son extrémité d'une boule à rotules multidirectionnelles, avec même, rajout d'un manchon à glissière, ce qui permettra la formation de plateaux à rebords. Ces receveurs pivotants, à portée de la main, recevront tous déchets, eaux sales, bavures, projections..., qu'il suffira de vider et nettoyer, et de rabattre sur les côtés. Ces plateaux ne dépasseront pas 65 cm de développement. Ne pas oublier que l'espace sous le lit est un espace opératoire, avec approche maxima du patient et aisance des mouvements.La forme légèrement déclive de ces plateaux permettra de déverser les "eaux" à même le sol, constitué par un receveur d'évacuation (bassin de 1 m 30, sur 2 m 10 (Planche 2, fig. 1), offrant un surélèvement de 5 cm, en matière plastique thermodurcissable et revêtement en polycarbonate). Les soignants voudront bien se munir de semelles antidérapantes. Les "eaux" s'écouleront dans une rigole, où des récipients plats assureront leur éloignement ultérieur. Le polycarbonate est lavable au savon. Voir planche 2 avec accessoires fléchés.
b) Le lit sera complet grâce à 3 couches successives de ressorts à élasticité variable progressive à la base gros ressort à boudin sur 30 cm, 2ème ressort cylindrique plus souple (de D 10 cm), 3ème ressort encore plus flexible. (Pl. 3).
Le 2ème ayant 20 cm de longueur, et le 3ème 15 cm, les ressorts représentent, au total, 65-cm. Chacun est recouvert à la partie supérieure d'une chape (rondelle), le dernier étant recouvert d'une rondelle épaisse formant cavité et coussinet. Les palettes et boules superposées s'appuieront sur le coussinet. Une tige de 3 cm de diamètre et 65 cm de hauteur fixée sur le pied de la colonne et au centre des ressorts, passant à travers les rondelles perforées en leur milieu (perforation de 3 cm 1/2) soutient la verticalité des ressorts, et joue un rôle de stabilité, faisant en sorte que roscillation verticale (le sommier en quelque sorte du lit médical) ne soit ni entravée, ni perturbée par des effets de bascule.
Voir planche 3, fig. 1. Stabilité assurée donc lors du levage à 2 m 10.
c) Petite adjonction nécessitée par l'observation de l'occiput et le traitement postcrânien éventuel, les soins variés relatifs à la tête. D'un barreau à l'autre, côté chevet, un axe à charnières de 1 cm de diamètre prenant appui sur le dos du barreau inférieur, porte à ses extrémités un volant (5 cm de D) muni d'une roue dentée et d'un cliquet. Ces volants à main permettent de faire basculer sous la tête du patient le système ci-dessous décrit: voir planche 4.
2 leviers, droits, puis courbes (tiges de 8 mm de diamètre) partent de l'axe-charnière et forment au milieu du chevet un espacement de 45 cm, c à d la largeur, dans son amplitude opératoire, de la tête du patient. Les leviers ont dans leur partie rectiligne 13 cm de long, incurvent ensuite en une brève demi-circonférence de rayon 2 cm 1/2 et reprennent leur rectitude sur une longueur de 25 cm, cette 2ème ligne droite étant pratiquement perpendiculaire à la ibère. Les extrémités sont reliées par un axe de même densité mécanique que les leviers. Cet axe fileté (Pl.4, fig. 2) à ses deux extrémités permet grâce à deux écrous à oreilles (Pl. 4, fig. 3) de resserrer légèrement l'espace dans lequel prend place ce que nous appellerons "le filet postcrânienB' : sorte de berceau où reposer le crâne. p 8 & suv.
On trouvera le schéma de ce "berceau" (planclMè-89 figO 1 et 2. Pour replier l'ensemble porteur et ce "berceau" vers l'arrière (Pl. 5, fig. 2) afin qu'ils ne gênent pas l'introduction ultérieure du châssis, il suffit de tourner le volant
vers l'avant et de "placer" le cliquet. (Cf. le levier annuge-cliquet).
Levage. Reste à lever le lit (jusqu'à 2 m 10, s'il le faut, selon la taille des soignants et participants d'abord...). Les deux méthodes les plus recommandables sont, en fin de compte, le vérin hydraulique et le vérin électrique (Pl. 5, fig. 1), ce dernier étant beaucoup plus cher que le premier, mais plus propre, même si 200 à 250 kg à soulever n'entrallnent pas d'ennuis (fuites, ...). Insonore. Synchrone, si l'on a bien réglé les billes et palettes dans les colonnes, après mise au point du métal anti-friction permettant le glissement accéléré (et adjonction d'un piston si cela s'avérait nécessaire, dans les pays où les handicapés vont chercher dans les 120 kg: moujiks, etc...).Dans ce cas du vérin hydraulique seulement, un dispositif élémentaire anti-affaissement, est indispensable, lorsque le levage doit durer plus d'un quart d'heure. Auto-blocage, commandes à distance par boutonspoussoirs, etc. ne sont pas exclus. Un vérin mixte non plus. Par contre, le système à pantographe est à éliminer, ce mode de sustentation mobilisant le dessous de lit, qui doit rester entièrement dégagé. (Planche 5).
La synchronisation étant l'exigence majeure, ne pas oublier que les colonnes sont larges, anti-friction, qu'elles reposent sur roulettes entravées, etc
Il sied d'obtenir un ensemble équilibré, ferme et souple, harmonieux, tâche aisée pour la technique moderne. (Planche 5).
Les châssis.
Les châssis seront insérés par le bas dans le cadre du lit.
a) Le châssis se compose, dans la quasi-totalité des cas (il y a une gamme de châssis prévue pour les cas les plus divers), d'une boite de 1 m 22 de long, 35 de haut et 35 cm de large. On dispose, en permanence, de boites ayant 40 cm de large, ou même 20 cm de large (pour enfants, etc...).Ces divers calibres ne seront dans la pratique utilisés que très peu ensemble, les formats en 40 cm étant, par exemple, réservés aux extrémités du corps (malades de grande taille, patients touchés surtout à la tête...). C'est surtout le 35 cm qui sera employé, car il correspond notamment à la partie du corps humain (en son milieu) qui est la plus exposée aux excréments et aux échauffements, ainsi qu'aux occasions de contact avec l'environnement (les coudes, les épaules ont des contacts, des stagnations persistants, mais sont relativement aussi infectés. Noter que le 35 a été étudié et calculé pour qu'il n'y ait en aucun cas de glissement du corps dans le passage laissé libre (très brièvement) par l'enlèvement du châssis.Pour cela, en particulier, bien observer le decubitus dorsal, par exemple, en le situant à égale distance du chevet et du pied de lit. On renouvellera les châssis en principe chaque jour (et même plus éventuellement cas d'incontinences, recoins et plages sensibles aux agents pernicieux...). Mais l'infirmière est juge de l'emploi opportun sur telle ou telle portion du corps. Le matériau est un plastique thermodurcissable, que l'expérience permettra, en outre, de sélectionner. A cet égard, annexe page 12
b) Cette boite (casier) est remplie d'un coussin rectangulaire aux dimensions du châssis lui-même.A la base, un bloc de 1 m 21 sur 34 de large et 13 cm de hauteur, de résilience améliorée, de préférence en thérmodurcissable (socle) doit renfermer, dans la masse, (par roto-moulage, par exemple), 3 poches côté droit et 3 poches côté gauche, chacune de 2 cm de diamètre. Plusieurs matières plastiques sont indiquées: il est bon qu'elles ne soient pas affectées par l'humidité. La partie supérieure de ce bloc est ornée de cavités à dessin variable (formant compartiments fonctionnels, obtenues par fraisage (par fraiseuses du type "A. Kessel", "Delligsen W. Germany", dite "Rillo").Par ce coussin, à lui seul, on peut obtenir des figures multiples répondant aux exigences des handicapés (poches sphériques, tranchées paraboliques, etc, etc,...) et préparer, à Avance, des coussins K1, K2, K3, K4..., dont on saura qu'ils répondent à l'attente de tel ou tel handicapé... Hors standard, si un moulage personnalisé est possible, on pourra confectionner (maisons spécialiséesO..) ce même bloc infra-structure, et aussi les 2 étages préconisés ci-dessous. Ce coussin modérateur, d'élasticité compensée, sera dans une housse extra-souple, en PVC, de quelques mm d'épaisseur. (planche 6).
c) Un second étage est constitué par un coussin sous housse PVC résistante, formé de crin animal, de flocons de latex, le tout en couches serrées, entrecoupées de minces matelas piqués faits de chutes de fourrure (épaisseur: 1 cm). Une variante de ce coussin est déjà dans le commerce (modelés notamment par ssCoram"), mais le meilleur assemblage de moyens, et en mesure surtout de compenser les glissements, les déformations, les fluctuations exagérées, les bosses et contre-bosses, est obtenu en questionnant l'intéressé, si possible, et en observant Si sa position reste stable. Quelquefois un retournement de coussin (le très gros à 3 étages) peut suffire à délimiter le gite précis. D'où l'idée de marquer par la lettre A le dessus et la lettre D le dessous de ce coussin global. Les handicapés légers ou moyens vous apporteront leurs habitudes nocturnes, les uns sensibles à une élasticité mitigée, les autres préférant le "mou".
d) Un troisième étage est fait, par exemple, d'un système anti-escarres américain ou de type similaire : le système de flottaison sèche "Roho". Confectionnés sur demande dans les tailles et les conceptions appropriées (avec compartiments discontinus, dispersants, divergents à souhait sans être divagants ni dissolvants), en forme dalvéoles, en forme de coing ou mieux de grosse figue, ces supports sur mesure se comporteront admirablement, notamment en présence de "Vestan (Bayer)!', sorte de mackintosh moderne velu et soyeux, épais, qui serait une enveloppe idéale, un nappage non seulement pour ce 3ème étage, mais encore pour la totalité du coussin.
e) Cette housse de "Vestan 16" devra entourer la totalité des superpositions à effets latéraux et verticaux, elle sera perforée en 6 points, au même titre que les housses de chacune de ces superpositions (en PVC). Elle présentera une couture en longueur et largeur formant ainsi un parallélépipède à arêtes et à petites poignées minces repliables.
Toutes les housses étant perforées (10 à 12 perforations sur un coussin de 1 m 22, 13 cm de haut et 35 de large, par exemple...), ce système à soufflet se comportera fort bien au lavage et à l'autoclave.
A cet égard (choix notamment des "synthèses plastiques, etc...), il faut souligner que le présent brevet anticipe automatiquement, et de son propre chef,sur la venue de nouveaux plastiques et ingrédients, ou agents..., dans la mesure où il définit un ensemble original, non encore divulgué ou exploité.
Tous accessoires se situent donc désormais, dans la perspective du présent brevet, sans, pour autant, le dépasser dans ce qu'il a d'original, notamment la synthèse lit à suspension - châssis de substitution.
De même, il faut noter expressément que le système ainsi défini doit s'ajuster aux divers cas d'espèce (brûlures, membres disloqués, handicaps de toute sorte...), d'où la patience et la minutie répondant à chaque nécessité.
Le cas le plus fréquent correspond à Remploi de 5 fois 35 cm, soit une taille de 1 m 75. Le 40 sera utilisé en bout de literie. Les châssis 30 et 40 sont des châssis dappoint (malades de 1 m 90 ou même 2 m de taille, ou extrémité du chevet...). Il sied dy ajouter, si indispensable, le procédé déjà esquissé et décrit en détail plus loin, relatif à la tête du patient (le filet occipital). Mais ce filet n'est encore qu'une esquisse, seul le principe est nouveau, le présent brevet préjuge de toutes sortes d'accessoires à base de matériaux nouveaux, même dil doit se contenter de "moyens approchants" actuellement disponibles.
Il est souhaitable que tel soignant dynamique expérimente aussi des combinaisons de porte-à-faux si indispensables dans la mise en oeuvre de contacts dermiques aussi obviants que possible Ex le dessous du coussin asymétrique par rapport au dessus, boursouflures, fraisures en forme d'ellipse, d'ovale,...
dispositifs se contrariant avec juste le doigté nécessaire... Un champ assez vaste s'offre à une recherche dans le cadre du présent brevet. Voir aussi page 1 le châssis 35 spécial grabataire.
Fixation des châssis et leur libération, un par un.
f) Une lame (plaque), planche 7, fig. 3, métallique de préférence, de 3 cm de largeur, 2 cm d'épaisseur, est, par surmoulage, fixée sous le châssis: elle déborde des deux côtés, au milieu, et offre une surélévation de 13 cm qui, martelée en forme de trapèze, présente une gorge de 1 cm d'ouverture, et se termine par une poignée en avant de 10 cm de long (poignée gainée également.
Cette gorge est appelée à recevoir la pointe (en faucille), planche 7, fig. 1, dun bras d'acier (battant) pivotant fixé sur le rebord du lit (sur le "bois de lit supérieur"). Ce bras, dont le "bec" a 4 cm de long, pivote à 2 cm hors tout sur un axe fixé à la partie supérieure du "bois de lit" supérieur. Etant donné l'épaisseur du "bec", l'encoche qu'il comporte au ras de la courbure, ce battant offre un jeu d'immobilisation du châssis très serré. Pour déverrouiller, il suffit de rabattre le bras d'acier vers le haut, en utilisant le ppmmeau qu'il porte en son milieu.
Voir planche 7, fig. 2.
Le pommeau ira se loger aisément par sa cheville conique dans un cône de réception (planche 7, fig. 4) pratiqué sur le "bois de lit supérieur. Voir schéma planche 79 fig. 5o En effet, la cheville conique offre un jeu de manipulation accéléré: elle va et vient dans l'ouverture ménagée dans le bras, le cône dPintro- duction porte à son extrémité un bref filetage: le cône de réception ménagé dans le "bois de lit" porte à son extrémité un filetage correspondant. Fraisure et filetage ssemboitent avec facilité, ceci pour donner à l'intervenant les plus grandes facilités de manipulation.Un mouvement rotatif de la main suffit, tandis que Autre main soutenait le châssis à extraire.
Un second pommeau (bouton), planche 7, fig. 6), cette fois fixé sur le châssis, mais à 10 cm de la poignée précédemment dépeinte, et à 20 cm en hauteur, est logé dans le châssis d'où il peut émerger en tirant, ce qui le fait basculer sur son axe. Le mérite de ce pommeau à gorge est, qu'une fois extrait de son logement, il sert à placer (en facilitant ainsi l'insertion) avec la main gauche le châssis en voie de fixation en appuyant sur le châssis voisin qui le jouxte. En outre, ii ntest pas exclu d'utiliser la gorge en verrouillant de la même manière que pour la poignée. principale. Le battant aura seulement, dans ce cas, 13 cm de longueur.
Il peut être plus léger que le précédent, et ce bras articulé ainsi devra être toutefois assez résistant, si, éventuellement, pommeau et bras deviennent un organe de fixation subsidiaire (cas de patients obèses, ou très lourds9 ou agités, etc...). Résumé des avantages: 10) soulever et guider le châssis > 20) consolider le châssis en cas de surcharges.
g) Autre mode de fixation. Un support (lame, barre plate de 1 m 27 de long, fixée à la partie inférieure du châssis, se terminant par deux perpendiculaires de 13 cm de long portant charnière...) exige un axe particulièrement solide en bordure de lit, et des charnières également résistantes (planche 8, fig. 1). Cette considération fait que le procédé déjà présenté est de loin plus "fiable". Par contre, le point de fermeture est plus rapide, accessible et maniable. Effectivement, les poignées (gainées, elles aussi), de 37 cm de long, si elles sont un peu trop "pendantes", s'accrochent, en revanche, avec agilité, à l'évidement qui court le long du "bois de lit" supérieur" (planche 8, fig. 2).Elles portent deux griffes (bec-ressort en acier flexible) qui pénètrent dans l'évidement et se bloquent (planche 8, fig. 3). Le dégagement intervient grâce à un poussoir actionné par le pouce, qui imprime à la griffe un mouvement de repli. Ce dispositif, s'il arrange l'infirmière, est un mode- à retenir (planche 8).
h) Le filet occipital. Ce filet (ce berceau où reposer la tête), esquissé page 3 , répond à une nécessité. La tête exige un raffinement appareil et d'exécution très poussé.
Une palette (planchette) de 3 cm de large et 1 m 40 de longueur, gainée d'un velours très doux et épais permettra sabord de se glisser sous le cou du malade (noter le creux entre crâne et épaule), avec appui sur les rebords du lit.
(planche 9, 1). En quelques secondes on pourrait donc, sans trop contraindre le patient, remplacer le châssis pollué. Mais l'intervention prolongée (soins d'antisepsie même moins fréquents qu'en d'autres points du corps, examens et problèmes de chirurgie...) entraînent le plus souvent une tactique d'approche beaucoup plus sophistiquée. D'où la. mise en place d'abord à la surface inférieure du "bois de lit" inférieur (voir planche 4), (à l'arrière du chevet) d'un axe portant charnières et armé dun dispositif (leviers coudés-à angles droits) permettant de rabattre vers la cage intérieure le "filet occipital" qu'ils enserrent entre leurs extrémités (planche 4, fig. 4). Tout le dispositif doit normalement être - suspendu tout à fait à l'arrière du lit. Ceci se produit par la seule intervention des volants et du cliquet. La stabilité est aussi grande que si l'on pose une targette à l'arrière de la colonne. Aseptisé, préparé et vérifié à l'avance sur sa position de départ à l'arrière, le "filet" inséré entre les extrémités du dispositif porteur, n'a plus qu'à être basculé, rabattu vers la cage (l'emplacement du châssis), dès l'instant que ce dernier a été retiré et déposé. La palette gainée velours a été auparavant glissée sous la nuque du malade et amarrée sur les rebords du lit (planche 9). Avec toute. la célérité nécessaire, le "filet occipital" est amené à hauteur de la tête du malade.De la phase de non-utilisation à l'en- cadrement du crâne, le filet pivotant en "5", doit hrouver son application en
...7r- o quelques secondes. En effet, resserré à 45, 44, 4Xcm par les écrous à oreilles (planche 9, fig. 3), selon l'exiguité recherchée par le praticien, il sera, en outre, arrimé à l'évidement pratiqué sur le bord du bras de lit (planche 10, fig. 2), qui est, au surplus, muni d'entailles (encoches) tout le long des derniers 50 cm du tube. Le système darrimage consiste en de simples rubans de nylon (planche 10, fig. 1) sortant de deux boites à enroulement automatique (2 boites à chaque pôle du filet) (planche 10, fig. 5): ces rubans portent à leur extrémité une griffe qui vient se fixer dans l'évidement, à l'encoche voulue par le praticien.On t obtient ainsi une assise ferme ou souple, en d'autres termes une résisance calculée en fonction des impératifs du moment. Au préalable, on aura enlevé la palette-velours. Il ne faudra pas oublier de la réintroduire sous la nuque (portion sous-cervicale bien délimitée) avant évacuation du filet, et réinsertion d'un châssis dépollué.
i) l'accélération demandée dans l'accomplissement des tâches n'est qu'apparente, et exige du soignant un entratnement de quelques jours. Il arrivera, certes, par exemple, que la palette-velours venant au moment le plus délicat dans ces manoeuvres ponctuelles, on préférera, si l'état du crâne l'exige, avoir recours à la main humaine, et même à 2-3 soignants. Ces cas exceptionnels ne sont rien si l'on envisage le tact raffiné, le doigté si indispensables au "travail" de la tête et du crâne. Là, le chirurgien... etc, ont besoin d'une dextérité de dentellière. D'ob la suggestion ci-après:
On pourra avec le ruban de nylon antérieur procurer à la région souscervicale une assiette ferme en refoulant le filet vers le haut.Et de même, si l'on a nécessité d'utiliser certains dispositifs de coercition ou de contention, il sera très possible de les implanter sur les tubes (4 cm de large).
å )Le filet occipital texture interne. La partie scrupuleuse du support cervical et occipital requiert un soin tout particulier. La technique de ce "berceau" douillet fera appel à des "tulles" dune finesse extrême, faits de la fine fleur des produits plastiques connus successivement. Voir description, annexe, page 12-
Un rail (guidage) à gouttière de section ovotide, égale dans se plus grande extension à 5 mm, trace une ellipse de diamètre 30 cm dans le sens opposé aux 45 cm du grand diamètre. En métal anti-friction, en quelque sorte huilé, il laisse glisser en son intérieur les oreilles (curseurs) de nombreux segments de "tulle" spécial (segments de 5 cm qui "plissent" très légèrement, en raison dune bordure mince dite "en peau intégrée").Un des produits plastiques très disponible actuellement serait, à cet égard, un feutre alvéolaire en polyéthylène (fabriqué sous le nom général de"films ou feutres cellulaires en polyéthylène". Voir page 12
annexe. Aujourd'hui, les fabricants, armés d'ordinateur, sont en mesure d'élaborer
des produits d'une rare finesse par synthèse de produits déjà connus, et de
sous-tendre, napper, etc. On dispose donc dune petite "litière" douce, dont les bords opposés virent et glissent mollement d'un rebord à l'autre, assez immo-
biles cependant pour rester stables, et former un oreiller moelleux. Un second
rail de même gabarit est superposé au premier (5 à 6 mm d'intervalle) (planche 10,
fig. 4), avec la différence que les segments de "tulle" sont orienté perpendicu
lairement (ou transversalement: trame en diagonale...) aux premiers.L'ajuste
ment au malade est facilité par le dispositif ci-après:
Les deux ellipses guide-curseurs sont articulées aux extrémités du petit
diamètre. Elles se séparent en deux, en s'incurvant vers le bas en forme de
godet élargi. Les deux godets s'emboitent strictement (planche 10, fig. 3), mais
pas au point de ne pouvoir s'emboiter davantage, grâce à une emboiture assez
lâche pour permettre un resserrement de 1, 2, 3, 4 cm. Cette progression est
légèrement circulaire. En aucune façon, le dos et la nuque du patient ne sont
gênés par ce mouvement. Planche 10. Le "berceau" est rattaché au dispositif
de levage par des anneaux (manchons) (à section hexagonale comme celle de
l'axe) qui glissent sur l'axe situé au bout du levier.En serrant les écrous "3",
(planche 4, fig. 3), on ajuste le "berceau" latéralement. Les deux moitiés de
l'ellipse se rapprochent et s'ovalisent, et le "berceau" (ses deux couches de
"tulle" se moulent sans se gêner mutuellement ni adhérer en quelque point que
ce soit) n'a plus qu'à être fixé grâce aux rubans de nylon mentionnés précédem
ment, qui servent d'arrimage.
Le "nid" douillet, aussi velouté que possible grâce aux nouvelles et futures
techniques plastiques notamment, va permettre dtintervenir par le bas et latéra
lement, la tête se trouvant ainsi pratiquement au ras de son coussin. Une pince
appropriée, un doigt pourront dès lors déplacer à droite, à gauche, sur l'angle
et l'écartement souhaitables, les segments correspondant à la surface à "soigner"
ou "travailler". La plage découverte apparaîtra sous le jour le plus accessible.
Voir planche 11.
Il va de soi que ce procédé, qui ne concerne que le chevet, se limite à des
cas exceptionnels. Il se veut néanmoins complémentaire d'un dispositif d'ensemble
qui envisage le handicapé dans la généralité de ses infirmités et de ses tourments.
En résumé, cette gamme de châssis, filet occipital, palette-velours,
etc;.. affectations mûrement réfléchies de chacun de ces moyens, paraissent
favoriser les actes médicaux les plus fréquents ou exceptionnels, antisepsie,
massage, pose de plaques élastiques du type "Curagard", approche de tous les
cas d'ulcération, sécrétions tenaces, chirurgie, ... en épargnant les efforts du
personnel soignant.
Mention spéciale: un châssis 35 aménagé pour gâteux, paralysés, ... en urinal, ... et autre dé verseur Une cavité de 40 cm de long est pratiquée dans le coussin en son milieu: elle s'ovalise au centre jusqu'à 25 cm de diamètre.
" "
Elle est renforcée par un film de Terphane ou Polyane, qui préserve le coussin.
Cette tranchée reçoit un bac en polycarbonate (par ex.) retroussé sur ses bords, garni de mousse plastique de très bonne tenue. Cette mise au point serait facilitée par "BASF", "RHONE-POULENC", etc...
Le lit-châssis de modèle réduit permet intentionnellement envisager des frais également réduits. On peut le rendre plus performant, ouvert à de plus
amples interventions (plus de plateaux transférables, plus de...) en développant
longueur, largeur, intervalles entre "bois de lit" (50 cm au lieu de 35). Une
seule constante: châssis de 35 cm, sauf enfants, nains, g-éants...

Claims (6)

  1. DESCRIPTION ANNEXE
    Note préliminaire : A chaque étape dans l'avenir, il siéra de présenter un "cahier des charges" à divers industriels et transformateurs. Assistés d'un ordinateur (C A O), ils répondront (PROCOOP) aux nombreux critères répondant à vos besoins: étanchéité, inertie chimique, résistance à la corrosion, etc... toutes exigences spécifiques, tous impératifs du "médico-chirurgical".
    Produits plastiques: déjà complexes en eux-mêmes, il y a aussi les complexités inventées par l'homme, qui le disputent en nombre aux labiées, papilionnacées, etc. Citons quelques exemples pouvant convenir à l'agencement du lit-chassie : 1) Voir page 1 . Il faut choisir le thermodurcissable le moins cassant, un phénoplaste ad hoc. Le métal sera préférable tant que les "composites'7 tâtonneront un peu.
    7
  2. 2) Voir page 3 . Le polycarbonate a pris une ampleur étonnante dans les applications. Il est net, translucide de préférence, craint les détergents, mais se lave admirablement au savon.
    Vérins: Concertation analogue avec les industriels français ou étrangers: petits vérins et sustentation stricte (sans à-coup) du lit sont à la portée de la technique actuelle.
    Produits plastiques:
  3. 3) Voir page 4 . "Ugikapon T 216" est indiqué pour le châssis, caisse rigide et confortable. De même, "Ugikapon D 420 Ri. "L"hostalen", et même "L'hostalen Gur" (en raison de ses capacités de glissement) est également à recommander. De même "Stamylan HD".
  4. 4) Voir page 5 . Au lieu de thermodurcissable, on peut encore envisager pour le socle (le méthacrylate n'étant pas tout à fait exclu) une semelle en élastomère traité "RIM". Pour la housse externe, se fier au PVC "Artévyl", ou encore au "PP" orienté, ou à la rigueur "Savaria ST/100"... Pour les coussins, les plastiques d'élasticité variable sont légion, les mousses de polyuréthane vont du rigide au micro-cellulaire, liant, etc... certaines résines (processing-aid Plastiflo) peuvent conduire à des mousses semi-rigides et souples, etc... L'essentiel est de ne pas calquer aveuglément les dispositifs cités dans le présent brevet, les courbes de fluage, fluidité, ... respectives à chaque plastique s'avérant de plus en plus prometteuses.Voir pages 5. & 8.
    8
  5. 5) Voir page 8 . Obtenir une palette-velours demi-souple, d'incidence, d'insertion quasi charnelle, serait aisé grâce aux compounds "B eetle", par jumelage s'il le faut.
  6. 6) Voir page 9 . Tulle : superposition de films, suave dessus, feutres à bulles, plus un film moins texturé, tenax, ou plastique toilé, dessous/"Superdouff" plus sophistiqué... ou PE + PA avec bordure en peau intégrée. Cf. voiles de
    mousse "Douff" + doublure, avec, en sandwich, 5 mm de PP orienté.-Cf. aussi
    "Duvex" (Dumo-Plastics), élément flexible et ferme, good entre-deux.
    1- Lit anti-escarres médico-chirurgical, lit à suspension-châssis, caractérisé en ce qu'il n'est pas un gadget anti-escarres, mais qu'il permet par sa conception (synthèse fonctionnelle) l'approche totale du malade, handicapé ou autre, grâce à l'introduction par le bas (plus de sommier et de matelas) de châssis aseptisés, lavables, de 35 cm de largeur (modèle tous usages n'excluant pas des modèles plus diversifiés) ; en ce qu'il utilise vérins, produits plastiques ad hoc les plus récents; en ce qu'il monopolise dans son principe (idée générale), étant doté de perfectibilité intrinsèque et extrinsèque, tous procédés perfectibles qui seraient le fait, dans le domaine notamment des accessoires, d'innovations techniques telles que "plastiques affinés", vérins plus performants, etc.
    REVENDICATIONS
    2 - Lit anti-escarres médico-chirurgical, selon revendication 1, caractérisé par un dispositif tel que le patient n'aura, en aucun cas, à être manipulé, translaté, etc., qu'il pourra être soigné, opéré sur sa couche, après antisepsie de sa position grabataire, et autres soins et préparations pré-opératoires. Après habilitation de quelques jours, le personnel soignant, infirmières, médecins, etc.
    sera en mesure de prendre en charge immédiatement accidentés de la route, traumatisés graves, etc. avec le maximum de commodités.
    3 - Lit anti-escarres médico-chirurgical, dispositif à suspension et châssis, selon revendications 1 et 2, caractérisé par les innombrables perspectives d'adaptation aux divers cas, ainsi que d'adaptation de nouveaux accessoires de tous ordres (élévateurs, produits plastiques, lances à septiser le corps humain, sprayers, etc.) au vaste champ opérationnel du dispositif lit-châssis.
    4 - Lit. anti-escarres médico-chirurgical, dispositif selon les revendications 1, 2, 3, caractérisé par le fait qu'il a une conséquence morale très importante sur le sursaut ultime du malade, en lui apportant ce qui peut passer pour la moitié de la guérison: le confort in extremis, la quasi-immobilité, l'oubli des drames vécus dans la chair de parents ou d'amis gémissant sur leur châlit misérable.
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