FR2489011A1 - Systeme de commande pour machines cycliques - Google Patents

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Hayssen Manufacturing Co
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Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN SYSTEME DE COMMANDE POUR MACHINES CYCLIQUES. SELON L'INVENTION, DES VALEURS REPRESENTANT LES STADES DE LA MACHINE DANS SON CYCLE SONT PRODUITES ET COMPAREES A DES VALEURS PREFIXEES POUR DES POINTS DE MISE EN ROUTE ET D'ARRET DE FONCTIONS DE LA MACHINE. LES FONCTIONS SONT EXECUTEES TANT QUE LES VALEURS PRODUITES SONT SUPERIEURES A LA VALEUR DU POINT DE MISE EN ROUTE, ET INFERIEURES A LA VALEUR DU POINT D'ARRET CORRESPONDANTS. L'INVENTION S'APPLIQUE ENTRE AUTRES A DES MACHINES D'EMBALLAGE, LE MATERIEL D'EMBALLAGE POUVANT PORTER OU NON UNE IMPRESSION.

Description

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L'invention concerne des systèmes de commande de ma-
chines, et en particulier des systèmes de commande de machi-
nes cycliques (c'est-à-dire des machines qui peuvent tra -
vailler par cycles).
De façon typique, des machines cycliques remplissent
plusieurs fonctions pendant chaque cycle, chaque fonction de-
vant débuter à un stade donné du cycle de la machine (lequel stade peut ou non être unique pour chaque fonction) et devant
s'arrêter à un second stade donné du cycle de la machine (le-
quel peut de nouveau être ou non unique pour chaque fonction). Ces fonctions sont fréquemment liées entre elles, et il est donc important qu'elles débutent et qu'elles s'arrêtent aussi près
que possible des stades prédéterminés dans le cycle de la machi-
ne. Des cadences de 100, 200 ou nime 300 cycles/minute ne sont pas rares. A ces cadences, il est difficile de commander avec
précision les différentes fonctions pendant chaque cycle.
Depuis de nombreuses années, les systèmes de commande ont utilisé des commutateurs de fin de course actionnés par
des cames rotatives.pour commander les fonctions des machines.
Ceci exige cependant de positionner avec précision un assez grand nombre de cames, pour actionner les commutateurs de fin de course à des stades précis du cycle de la machine. Un réglage des cames et des commutateurs est difficile. Après
un usage prolongé, les pannes sont fréquentes à cause de l'u-
sure mécanique et de la détérioration électrique des commu-
tateurs. Les systèmes à cames sont en particulier insatis-
faisants aux cadences supérieures. On a développé des sys-
tèmes de commande à semi-conducteurs pour surmonter certains de ces problèmes, mais ceux qui existent actuellement ont
également des inconvénients, dont le premier est le coût.
Les systèmes de commande à semi-conducteurs sont relative-
ment coûteux à l'achat. De plus, certains de ces systèmes exigent une programmation supplémentaire avant de pouvoir être utilisés avec un type particulier de machine, cette
programmation pouvant également être coûteuse.
Un second inconvénient des systèmes de commande à se-
mi-conducteurs est que certains sont trop complexes pour de
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2. nombreuses machines, en particulier des machines n'ayant qu'un nombre relativement faible de fonctions et n'exigeant qu'une capacité logique limitée. Par exemple, l'industrie de l'emballage utilise des machines de façonnage, remplissage et scellage dont il ne faut commander que quelques fonctions
(par exemple six). Ces fonctions peuvent comprendre l'ali-
mentation de la machine en matériel d'emballage flexible, l'entraînement ou l'alimentation du matériel d'emballage sur
un mandrin, pour former un tube, et dans un poste de scel-
lage, l'ouverture et la fermeture de barres ou de matrices de scellage au poste de scellage pour former des paquets,la
séparation des paquets, la signalisation du fait qu'un appa-
reil d'alimentation en produit fournit plus de produit à em-
baller, etc. Une telle machine est présentée dans la demande de brevet des Etats-Unis d'Amérique no. 69.828, cédée à la demanderesse. Ces fonctions peuvent être commandées par des
minuteries et, dans le cas d'une machine verticale de façon-
nage, remplissage et scellage, il suffirait de neuf à douze minuteries. Ceci pose cependant un problème supplémentaire
chaque fois que la vitesse de la machine est changée. Lors-
que ceci se produit, il faut régler toutes les minuteries.
En fait, la vitesse de la machine n'est usuellement pas con-
stante, mais varie au contraire dans un petit intervalle, ce qui signifie que la commande dans le temps des fonctions ne
sera jamais exactement juste, même à vitesse nominale con-
stante. Ce problème peut être résolu en faisant en sorte que la vitesse de la machine soit vraiment constante, mais ceci
est coûteux.
Des machines de façonnage, remplissage et scellage con-
nues empêchaient la mise en oeuvre de différentes fonctions pour assurer que les fonctions étaient exécutées dans le bon
ordre les unes par rapport aux autres et par rapport à l'a-
limentation de la machine en produit. En ce qui concerne ce
dernier point, l'alimentation du produit est souvent une o-
pération asynchrone par rapport au fonctionnement de la ma-
chine d'emballage. Il en résulte que les machines connues de-
vaient parfois sauter un cycle (appelé'Lycle avide") parce
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3. que le produit n'était pas fourni à ce moment particulier à
la machine d'emballage à une vitesse suffisante.
Un autre type de problème se rencontre, avec les ma-
chines de façonnage, remplissage et scellage connues, lors-
que l'on utilise pour réaliser les paquets un matériel d'em- ballage portant des repères. De façon générale, ces repères
(que l'on appelle "ocelles") sont séparés par des interval-
les correspondant à la longueur des paquets le long du maté-
riel d'emballage. Si l'un de ces repères n'est pas détecté lopar la machine, pour l'une ou l'autre raison, la machine se met rapidement hors de concordance avec le matériel. Ceci pose en particulier un problème avec un matériel d'emballage
imprimé. Un autre problème avec un matériel d'emballage im-
primé est que la machine peut confondre certains éléments imprimés avec un ocelle, ce qui entraîne de nouveau une perte de concordance. Un troisième problème, particulier à
un certain type de machinesd'emballage, soit celles possé-
dant un "oeil fixe" pour détecter les repères, concerne la synchronisation du scellage d'un paquet avec la détection d'un ocelle. Avec un détecteur mobile, le détecteur peut être simplement déplacé par l'opérateur pendant le réglage de la machine pour un matériel particulier, jusqu'à ce que le scellage se fasse au bon endroit. Avec une machine à "oeil fixe", ceci n'est pas toujours possible. Bien que les
"yeux fixes" puissent souvent être déplacés de quelques cen-
timètres le long du trajet du matériel d'emballage, ceci n'est souvent pas suffisant pour permettre le scellage des
paquets au point requis. Une solution possible de ce problè-
me consiste à prévoir un retard temporel préétabli entre la détection d'un ocelle et le scellage du paquet. Ceci pose cependant un autre problème, à savoir qu'une variation de
la vitesse de la machine entraînera une variation de la lon-
gueur de matériel passant dans le poste de scellage pendant
le retard temporel préétabli, entraînant une perte de con-
cordance.
En accord avec cela, il faut remarquer parmi les dif-
férents buts de l'invention la fourniture d'un procédé et
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4. d'un appareil pour commander avec précision les fonctions d'une machine cyclique; la fourniture d'un tel procédé et
d'un tel appareil qui éliminent le recours à des commuta-
teurs de fin de course actionnés par des cames rotatives; la fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil dans les- quels on recourt à des composants à semi-conducteurs; la
fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil qui minimi-
sent le coûIt d'installation et le coût de programmation; la
fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil qui convi-
ennent pour des machines cycliques avec un nombre relative-
ment faible de fonctions et n'exigeant qu'une capacité logi-
que limitée; la fourniture d'un tel procédé et d'un tel ap-
pareil qui commande.nt les différentes fonctions sans minu-
teries; la fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil qui commandent avec précision les différentes fonctions, alors même que la vitesse de la machine n'est pas constante;
la fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil a utili-
ser avec des machines d'emballage, qui éliminent la nécessi-
té d'empêcher la mise en oeuvre des différentes fonctions
à cause d'une alimentation asynchrone de la machine en pro-
duit; la fourniture d'un tel procédé et d'un tel appareil à utiliser avec des machines d'emballage qui résolvent le problème du cycle à vide; la fourniture d'un tel procédé
et d'un tel appareil à utiliser avec des machines d'emballa-
ge qui maintiennent le matériel d'emballage dans la concor-
dance voulue; la fourniture d'un tel procédé et d'un tel ap-
pareil à utiliser avec des machines d'emballage qui résoient le problème de la confusion entre un élément imprimé sur le matériel d'emballage et les repères; et le fourniture d'un
tel.procédé et d'un tel appareil à utiliser avec des machi-
nes de façonnage, remplissage et scellage à oeil fixe, qui
assurent une synchronisation précise du scellage. d'un pa-
quet avec la détection d'un repère, sans utiliser de retard temporel. En général, dans la mise en oeuvre du procédé de 1' invention pour commander une machine pouvant travailler par cycles, la machine remplissant plusieurs fonctions pendant 5.
chaque cycle, des valeurs représentant le stade de la machi-
ne dans son cycle sont engendrées au fur et à mesure que la
machine progresse dans son cycle, les valeurs étant détermi-
nées par le stade réel de la machine, indépendamment du temps. Des points de mise en route et d'arrêt dans le cycle,
pour au moins l'une des fonctions de la machine, sont pré-
fixés en terme de valeurs produites. Les valeurs produites, représentant les stades de la machine dans son cycle, sont comparées aux valeurs préfixées des points de mise en route et d'arrêt. La fonction de la machine est mise en oeuvre et maintenue lorsque les valeurs représentant les stades de la
machine dans son cycle sont plus grandes que la valeur pré-
fixée du point de mise en route, mais inférieures à la va-
leur préfixée du point d'arrêt, et la mise en oeuvre de la fonction est arrêtée lorsque les valeurs représentant les
stades de la machine dans son cycle sont égales ou supéri-
eures à la valeur préfixée du point d'arrêt.
L'appareil de l'invention met en oeuvre ce procédé et comprend généralement un moyen pour engendrer des valeurs représentant les stades de la machine dans son cycle au fur et à mesure que la machine progresse dans son cycle, les valeurs étant déterminées par le stade réel de la machine, indépendamment du temps, un moyen pour préfixer des points de mise en route et d'arrêt dans le cycle pour au moins une des fonctions de la machine, en terme de valeur, et un moyen
pour comparer les valeurs représentant les stades de la ma-
chine dans son cycle aux valeurs préfixées des points de mise en route et d'arrêt. L'appareil comprend également un moyen pour amorcer et maintenir la mise en oeuvre de la fonction de la machine lorsque les valeurs représentant les stades de la machine dans son cycle sont supérieures à la valeur préfixée du point de mise en route, mais inférieures à la valeur préfixée du point d'arrêt, et un moyen pour arrêter la mise en oeuvre de la fonction de la machine lorsque les
valeurs représentant les stades de la machine dans son cy-
cle sont égales ou supérieures à la valeur préfixée du point d'arrêt.
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6.
D'autres buts et caractéristiques de l'invention ap-
paraitront de la description qui suit, et des dessins anne-
xés, sur lesquels: - la figure l est un schéma synoptique des principales parties d'un premier mode de réalisation du système de com- mande de l'invention, - la figure 2 est un schéma électrique d'une section d'entrée typique pour le circuit du système de commande de la figure 1, - les figures 3A et 3B sont des schémas électriques de la section de comparateur du premier mode de réalisation de l'invention,
- la figure 4 est un schéma électrique du circuit lo-
gique pour la fonction de commande de mode du premier mode de réalisation de l'invention, - les figures 5A et 5B sont des schémas électriques du circuit de commande de fonction standard de l'invention, - la figure 6 est un schéma électrique du circuit de commande d'alimentation du premier mode de réalisation de l'invention, - la figure 7 est un schéma électrique du circuit de calcul de fenêtre du premier mode de réalisationde l'invention, - la figure 8 est un schéma électrique d'une partie du
circuit de retard du premier mode de réalisation de l'inven-
tion,
- la figure 9 est un schéma synoptique d'un second mo-
de de réalisation du système de commande de l'invention, - les figures 1OA-10E sont des schémas électriques de la section de microprocesseur du second mode de réalisation de l'invention, et
- les figures liA et iiB sont un organigramme du program-
me pour la section de microprocesseur des figures 1OA-iOE.
Des références numériques correspondantes désignent
des parties correspondantes dans les différentes figures.
En se reportant à la figure 1, l désigne de façon
générale un schéma synoptique d'un premier mode de réali-
sation d'un circuit de commande pour commander une machine
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7. pouvant fonctionner par cycles, laquelle machine remplit plusieurs fonctions pendant chaque cycle. En particulier,
ce schéma synoptoque présente un tel circuit pour comman-
der une machine verticale de façonnage, remplissage et scel-
lage telle que celle présentée dans la demande de brevet des Etats-Unis d'Amérique no. 69.828 susmentionnée, c'est-à-dire
une machine pour sceller des paquets, dans laquelle une ban-
de de matériel d'emballage flexible est façonnée en un tube et passe dans un moyen de scellage pour sceller le tube et former des paquets, bien que l'invention ne soit pas limitée
à de telles machines. Des fonctions typiques qui sont contrC-
lées par le circuit de commande 1 comprennent l'alimentation
de la machine en matériel d'emballage flexible, l'entraîne-
ment ou l'amenée du matériel d'emballage sur un mandrin pour former un tube, et dans un poste de scellage, l'ouverture et la fermeture de barres ou matrices de scellage au poste de
scellage, pour former des paquets, et la séparation des pa-
quets. Le circuit de commande 1 comprend un encodeur 3, plu-
sieurs commutateurs pour fixer des points de mise en route
et d'arrêt dans chaque cycle, pour chaque fonction, les com-
mutateurs de points de mise en route étant désignés par 5, et les commutateurs de points d'arrêt étant désignés par 7, une section de comparateur 9 avec un multiplexeur, un circuit 11 de commande de fonction, qui commande des relais de fonction
associés 13, un circuit de commande d'alimentation ou d'en-
trainement 15 qui commande, par l'intermédiaire d'un embra-
yage 17 et d'un frein 19 pour l'alimentation, l'alimentation de la machine en matériel d'emballage, un circuit à retard 21 relié aux commutateurs d'arrêt 7 de l'alimentation ou de
l'entraînement, un groupe de commutateursde retard 25, plu-
sieurs commutateurs de commande de mode, désignés en bloc par 27, un détecteur de repère 29, et une entrée de mise en
route-ou "feu vert" 31. Dans le système particulier repré-
senté à la figure 1, des valeurs représentant les stades de
la machine dans son cycle, lesquelles valeurs sont détermi-
nées par le stade réel de la machine, indépendamment du
temps, sont fournies par l'encodeur 3. L'encodeur est un en-
codeur optique absolu tel que celui vendu par Litton Systems 8.
Inc., Encoder Division, Chatsworth, California, sous la ré-
férence de modèle SBD26-360G3. Il fournit des valeurs repré-
sentant le stade de la machine en degrés (un cycle complet
de la machine allant de 0 à 359 degrés) directement au com-
parateur 9 par dix lignes L1-L1O, chaque ligne représentant un chiffre de la forme décimale, codée en binaire, de la
valeur en degrés. C'est-à-dire que les valeurs que représen-
tent les lignes Ll-L10 sont respectivement 1, 2, 4, 8, 10, , 40, 80, 100 et 200. Tout stade entre 0 et 359 degrés peut être représenté de façon univoque sur ces lignes. La construction de l'encodeur optique absolu susmentionné est telle qu'un code unique est engendré pour chaque degré, quelle que soit la direction de rotation de la machine, ou
les interruptions de l'alimentation.
L'encodeur est monté directement sur la boite de transmission (non représentée) de la machine pour assurer un rapport de 1:1 entre la machine et le signal fourni par l'encodeur au comparateur. L'encodeur 3 constitue donc un moyen pour engendrer des valeurs représentant les stades de la machine dans son cycle, lorsque la machine progresse
dans un cycle.
Physiquement, l'encodeur est commandé par un embra-
yage automatique 33 dans la boite de transmission, lequel
embrayage automatique est à son tour commandé par un cylin-
d'arrêt pneumatique. Le cylindre d'arrêt permet à la machi-
ne de progresser dans-son cycle, de 0 degré jusqu'à un point entre 350 et 359 degrés, auquel point le cylindre d'arrêt fait cesser la progression, à moins que, et jusqu'à ce que l'entrée de mise en route 31 fournisse un signal "feu vert" qui indique par exemple que le système d'alimentation en produit, généralement asynchrone (non représenté) a fourni une quantité de produit suffisante pour remplir le paquet formé par la machine, et donc que la machine peut passer au
cycle suivant. Alternativement, un signal "feu vert" pour-
rait également être fourni par un système destiné à enlever le paquet de la machine. Dans l'un et l'autre cas, le signal "feu vert" indique que la machine peut maintenant passer au 9. cyle suivant. La machine cyclique, dans ce cas la machine
de façonnage, remplissage et scellage, est asservie au sys-
téme d'alimentation en produit, ou d'enlèvement des paquets.
Toutes les fonctions, à l'exception de la fonction de commande de l'alimentation du matériel d'embalJMe, sont
activées par des circuits identiques de commande de fonc-
tion, ll,dans ce mode de réalisation. Deux fonctions de la machine sont commandées par une seule plaquette de circuit imprimé, qui est représentée par le circuit de commande de fonction 11. Pour le caractère général, ces fonctions sont
désignées par fonction A et fonction B, bien que ces fonc-
tions puissent être n'importe laquelle des fonctions de la machine énumérées plus haut. Il est entendu que, bien que un seul de ces circuits de commande il est représenté, le
circuit de commande 1 comprend en pratique plusieurs pla-
quettes de fonction 11. Par exemple, lorsqu'il faut comman-
der dix fonctions, il y aura cinq circuits de commande 11.
Les commutateurs de point de mise en route et de point d'ar-
rêt pour chaque fonction sont associsà chaque plaquette de
fonction. Lorsque l'on utilise une plaquette de circuit im-
primé à deux côtés, les commutateurs de point de mise en route et de point d'arrêt pour la fonction A sont montés d'un côté de la plaquette, et ceux pour la fonction B sont montés de l'autre côté. Les commutateurs de point de mise en route et de point d'arrêt sont connectés par un jeu de
barres à la section de comparateur 9 et constituent un mo-
yen pour préfixer les points de mise en route et d'arrêt
dans le cycle pour les fonctions correspondantes de la ma-
chine, en termes des valeurs fournies par l'encodeur. Comme l'encodeur indique les stades dela machine en degrés, les cormmutateurs indiquent également en degrés les points de
mise en route et d'arrêt. En fait, les commutateurs indi-
quent ces points sous une forme décimale en code binaire.
Les sorties des circuits de commande de fonction peuvent être en 3 à 60 volts, 3 ampères, en courant continu, ou en volts, 3 ampères en courant alternatif, selon 1'apparei l
lage auquel les sorties sont reliées.
10. La section de comparateur 9 sonstitue un moyen pour comparer les valeurs fournies par l'encodeur, représentant les stades de la machine dans son cycle, avec les valeurs
préfixées des points de mise en route et d'arrêt pour cha-
que fonction de la machine. Les résultats de ces comparai-
sonts sont fournis par le comparateur aux circuits de com-
mande de fonction correspondants. Les circuits de commande
avec leurs relais à semi-conducteurs correspondants consti-
tuent un moyen pour faire débuter et maintenir l'exécution
des fonctions correspondantes de la machine lorsque les va-
leurs représentant les stades de la machine dans son cycle sont supérieures à la valeur préfixée du point de mise en
route pour cette fonction, mais inférieure à la valeur pré-
fixée du point d'arrêt, et constituent un moyen pour faire
cesser l'exécution des fonctions correspondantes de la ma-
chine lorsque les valeurs représentant les stades de la ma-
chine dans son cycle sont égales ou supérieures aux valeurs
préfixées correspondantes des points d'arrêt.
Dans ce mode de réalisation particulier de l'inven-
tion, le circuit de commande 15 de l'alimentation comprend un moyen pour mettre la machine au repos, en maintenant en extension le cylindre d'arrêt pneumatique susmentionné,
retenant ainsi la machine au stade correspondant de son cy-
cle (par exemple entre' 350 et 359 degrés), et maintenant
la comparaison des valeurs en substance la même, et un mo-
yen pour faire preprendre le fonctionnement cyclique de la machine par rétraction du cylindre d'arrêt pneumatique. La fonction principale du circuit de commande d'alimentation est la commande de l'alimentation du matériel d'emballage flexible dans la machine et par les barres de scellage ou
un autre moyen de scellage. Ceci est atteint par une com-
mande de l'embragge d'alimentation 17 et du frein d'alimen-
tation 19. En résumé, lorsque la section de comparateur 9 détermine que le stade de la machine est au-delà du point de mise en route préfixé de l'alimentation, il indique au circuit de commande d'alimentation 15 de mettre en route l'alimentation du matériel et, lorsqu'il détermine que le stade de la machine correspond, ou est au-delà du point 11. d'arrêt préfixé de l'alimentation, il indique au circuit 15
d'arrêter l'alimentation du matériel.
Le circuit à retard et ses commutateursde retard s o n t étroitement associés au circuit de commande de l'alimentation, mais ne sont utilisés que lôrsque le maté- riel d'emballage comprend des repères. Ceci est également vrai du détecteur de repère, qui peut être l'un quelconque
des détecteurs du commerce. En se reportant au dernier élé-
ment de la figure 1, les commutateurs de commande de mode,
ceux-ci permettent à l'opérateur de faire travailler la ma-
chine suivant différents modes, par exemple de façon automa-
tique ou manuelle, et avec impression. Dans le mode automa-
tique, l'entraînement principal de la machine est en service
et l'un ou l'autre des systèmes d'alimentation et de produc-
tion des sacs est activé. Dans le mode manuel, l'entraîne-
ment principal est en service, mais le système d'alimenta-
tion et la fonction de production des sacs sont désactivés.
Le commutateur de mode manuel est simplement un commutateur
à sélecteur ou un bouton poussoir à action momentanée com-
mandant une entrée de chaque fonction de sortie. Le mode d'impression est utilisé lorsque le matériel d'emballage utilisé pour former les paquets porte des repères. D'autres commutateurs de mode sont mentionnés ci-après, selon les besoins. De plus, l'opérateur peut activer et désactiver à volonté des fonctions au moyen de commutateurs sélecteurs de fonction compris dans la section des commutateurs de
commande de mode.
En se reportant aux schémas de circuits détaiJ]és, on voit à la figure 2une bande terminale d'entrée pour un circuit de commande de fonction typique, 11. Quatre entrées I1-14 sont prévues par circuit, avec une borne commune G. Toutes les entrées sont en 15 volts, courant continu, et sont amenées en passant par des ponts redresseurs 35 pour rendre l'entrée insensible à la polarité. La sortiededmqpe pont est filtrée par un condensateur Ci pour empêcher tout actionnement erroné dû à un bruit produit électriquement,
et est amenée en passant par une résistance Ri de limita-
tion du courant, à un dispositif d'isolation optique 37, 12.
pour assurer une isolation logique complète. De même, tou-
tes les sorties sont couplées optiquement pour assurer une
*isolation des sorties.
La section de comparateur 9 (présentée en détail aux figures 3A et 3B) comprend un groupe de dix circuits tampon
39 reliés aux dix lignes provenant de l'encodeur, six compa-
rateur 41, 43, 45, 47, 49 et 51, une paire de portes NON-ET GI et G3, un groupe de dix circuits tampon inverseurs 53 reliés par le jeu de barres aux commutateurs de points de mise en route, un groupe de dix circuits tampon inverseurs reliés par le jeu de barres aux commutateurs de points
d'arrêt, quatre portes ET G5, G7, G9 et G1l, et un multiple-
xeur 57 comprenant un oscillateur 59 à base 555 avec une
période de 30 microsecondes (en service pendant 15 microse-
condes et hors service pendant 15 microsecondes), un comp-
teur sexagésimal 61 et un décodeur de quatre à seize lignes 63.
Comme on l'a dit plus haut, la section de compara-
teur 9 compare les points de mise en route et d'arrêt pré-
fixés pour chaque fonction avec le stade de la machine re-
présenté par les valeurs dans les lignes L1-L1O provenant de l'encodeur. Les circuits tampon 39 assurent qu'il existe une seule unité d'alimentation dans les lignes de l'encodeur, et que celles-ci sont isolées des comparateurs. Les entrées
des portes NON-ET Gl et G3 sont connectées aux lignes repré-
sentant 200, 100, 40 et 10 degrés, et leurs sorties passent donc à un poids logique faible chaque fois que la machine se
trouve entre 350 et 359 degrés. Ce signal de poids faible -
est fourni par une paire de bornes 52 au circuit de comman-
de de l'alimentation, et éventuellement aux sections d'ali-
mentation et d'enlèvement du produit du système, indiquant
que la machine est "prête".
Les comparateurs 41, 43 et 45 comparent le stade de la machine au point de mise en route préfixé, quelle que
soit la fonction choisie par le multiplexeur à ce moment.
Des signaux représentant le point de mise en route préfixé
choisi apparaissent dans le jeu de barres sous une forme dé-
cimale codée en binaire, inversée, lorsque la fonction cor-
13. respondante est choisie par le multiplexeur, et apparaissent
dès lors aux bornes désignées par 65. Ces signaux sont in-
versés par les circuits tampon inverseurs 53 et sent ensuite fournis aux comparateurs 41, 43 et 45 qui les comparent aux signaux dans les lignes correspondantes provenant de l'enco- deur. Les comparateurs 41, 43 et 45 sont mis en cascade pour avoir une seule sortie, dans une ligne Lil, qui ne devient de poids fort que lorsque le stade de la machine est au-delà dupoint de mise en route préfixé pour la fonction objet de la comparaison. La ligne Lll envoie cette sortie à une entrée
de la porte ET G7.
De façon similaire, un signal sous une forme décima-
le codée en binaire, inversée, représentant le point d'arrêt
préfixé de la fonction choisie est fourni par le jeu de bar-
res aux bornes 67 de la section de comparateur. Ce signal est inversé par les circuits tampon inverseurs 55 et est ensuite fourni aux comparateurs 47, 49 et 51. Ces comparateurs sont également disposés en cascade pour avoir une seule sortie qui est fournie par la ligne L12 à une entrée de la porte ET G5. Cette sortie des comparateurs 47, 49 et 51 ne devient de poids fort que lorsque le stade de la machine est en-deçà
du point d'arrêt préfixé pour la fonction objet de la compa-
raison. La sortie de l'oscillateur 59 dans le multiplexeur est de poids fort (c'est-à-dire dans l'état TS1) pendant
quinze microsecondes dans chaque période de trente microse-
condes. Le bord avant de ce signal de poids fort incrémente le compteur sexagésimal dont la sortie est incrémentée de un, amenant le décodeur de quatre à seize lignes à choisir
la ligne suivante en amenant le signal dans la ligne appro-
priée à devenir de poids faible. Les lignes de sortie du
décodeur sont représentées connectées à des bornes 69.
Comme on l'explique ci-dessous, chaque ligne de sortie du
décodeur addresse une fonction différente. Lorsque le si-
gnal d'une ligne d'adresse devient de poids faible, les com-
mutateurs correspondants de point de mise en route et d'ar-
rèt de la fonction sont rendus inopérants. L'adresse prove-
nant du décodeur est présente dans le jeu de barres pour 14. l'état TS1 (lorsque la sortie de l'oscillateur est de poids fort) et pour l'état TS2 (lorsque la sortie est de poids faible), et elle est donc présente dans le jeu de barres pour trente microsecondes en tout. Pendant l'état TS1, les signaux provenant des commutateurs de point de mise en rou-
te et de point d'arrêt choisis apparaissent aux compara-
teurs, et les signaux de sortie de ceux-ci apparaissent aux portes ET G5 et G7. Pendant l'état TS2, ces portes, avec la porte ET Gl1, sont rendues opérantes par un signal inversé
provenant de l'oscillateur 59. Si pendant cet état, le sta-
de de la machine est au-delà du point de mise en route pré-
fixé pour la fonction choisie, et en-deçà du point d'arrêt préfixé, les sorties des deux portes G5 et G7 seront de poids fort, entraînant un signal également de poids fort à la sortie de la porte ET G9. Ce signal de sortie de poids fort est inversé et fourni par une borne 71 et le jeu de barres au circuit de commande de fonction correspondant o, comme on l'explique plus loin, il met à un un flip-flop et valide a i n s i la fonction choisie. La sortie de la section de comparateur 9 qui apparaît à la borne 71 peut
donc être considérée comme une sortie de mise à un. La sor-
tie de la porte G9 est fournie par un inverseur à la porte Gll et donc, tant que la sortie de la porte G9 est de poids fort, la sortie de la porte Gll est maintenue à un poids faible. Ce signal de poids faible est inversé et fourni par une borne 73 et le jeu de barres à l'entrée de remise à zéro du flip-flop susmentionné dans le circuit de commande
de fonction choisi. Pendant l'état TSI, les sorties des por-
tes G5, G7 et Gll sont toutes de poids faible et les signaux aux bornes 71 et 73 sont tous les deux de poids fort. En accord avec cela, le flip- flop choisi reste à un pendant
l'état TS1.
Bien sur, chaque fois que le stade de la machine ne se trouve pas entre les points de mise en route et d'arrêt préfixés, la sortie de l'une ou l'autre des portes G5 et G7 sera de poids faiblependantie temps TS2. Ceci fait que la
sortie de la porte G9 est également de poids faible. Ce si-
gnal de poids faible est inversé, et le signal de poids 15.
fort résultant est fourni à la porte Gli, dont la sortie de-
vient de poids fort. Ce signal de poids fort est inversé et
fourni à la borne 73, amenant la remise à zéro du flip-flop.
Comme on l'explique plus loin, ceci assure que la fonction choisie est i n v a 1 i d é e chaque fois que la machine se trouve dans un stade en dehors de l'intervalle préfixé pour
cette fonction.
Le circuit logique pour le fonction de commande de
mode du circuit de commande 1 est présenté à la figure 4.
Ce circuit logique comprend quatre portes NON-ET G13, G15 G17 et G19, un inverseur 75 et deux bornes de sortie 77 et 79. Les entrées de la porte G13 sont connectées au circuit
d'entrée de la figure 2 dont les entrées sont des commuta-
teurs qui indiquent si les fonctions d'alimentation et de
fonctionnement sont en service, tandis que l'entrée de l'in-
verseur 75 est un signal indiquant si l'entraînement prin-
cipal de la machine est en servie. Si l'une ou l'autre des
fonctions d'alimentation et de fonctionnement est en servi-
ce, la sortie de la porte G13 est de poids fort. Ce signal de poids fort est inversé par la porte G17 et le signal de poids faible résultant est fourni à la porte G19 dont la sortie devient de poids fort. Cette sortie de poids fort est fournie à la borne 79. Si l'entraînement principal est
également en service en même temps, la sortie de l'inver-
seur est de poids fort. Il en résulte que les deux entrées de la porte G15 sont de poids fort, et que sa sortie est de poids faible. Ce signal de poids faible est fourni à la borne de sortie 77 et indique que la machine est dans le
mode automatique, c'est-à-dire que l'entraînement princi-
pal est en service et l'une ou l'autre des fonctions d'ali-
lmetation et de fonctionnement est en service.
Dans le mode manuel, d'autre part, les deux commu-
tateurs d'alimentation et de fonctionnement sont coupés, ce qui fait que les deux entrées de la porte G13 sont de poids fort et que sa sortie est de poids faible. Dans ce cas, la sortie de la porte GS15, et donc le signal à la borne 77, deviennent de poids fort. La sortie de poids faible de la
porte G13 fait également que la sortie de la porte G17 de-
vient de poids fort. Si l'entraînement principal de la machine est en service en même temps, les deux entrées de la porte G19 sont donc de poids fort, et sa sortie devient de
poids faible. Ce signal de poids faible est fourni à la bor-
ne 79 et indique le fait que la machine est dans le mode ma-
nuel, c'est-à-dire que l'entraînement principal est en ser-
vice et que les deux commutateurs d'alimentation et de fonc-
tionnement sont coupes. Ainsi, les bornes 77 et 79 fournis-
sent au reste du circuit de commande 1 des signaux qui indi-
quent si la machine est dans le mode automatique ou le mode
manuel, respectivement.
La plaquette de commande de fonction 11 (présentée aux figures 5A et 5B) est le module d'extension universel du
système. Dans le présent mode de réalisation, on peut utili-
ser jusqu'à cinq plaquettes de fonction avec le système, pour un total de dix fonctions. Déux fonctions identiques
se trouvent sur chaque plaquette, la fonction A et la fonc-
tion B. Le circuit de commande de fonction Il comprend qua-
tre inverseurs d'entrées 81 connectés aux entrées de quatre
portes NON-ET G21, G23, G25 et G27, respectivement, un flip-
flop de. fonction A 83, un flip-flop de fonction B 85, des
inverseurs supplémentaires, douze portes NON-ET supplémen-
taires G29, G31, G33, G35, G37, G39, G41, G43, G45, G47, G49 et G51, et deux bornes de sortie 87 et 89. On voit également à la figure 5B les commutateurs de points de mise en route et d'arrêt préfixés pour les fonctions A et B, les commutateurs pour la fonction A étant présentésà droite,
les commutateurs pour la fonction B étant présentés à gau-
che, les commutateurs de points de mise en route étant pré-
sentés en haut, et les commutateurs de points d'arrêt en bas. On voit également plusieurs diodes de découplage, pour
découpler les commutateurs du jeu de barres lorsque les com-
mutateurs ne sont plus choisis. Pour l'illustration, les commutateurs de point de mise en route pour la fonction A ont été ajustés à 182 degrés, les commutateurs de points d'arrêt pour la fonction A ont été ajustés à 228 degrés,
les commutateurs de points de mise en route pour la fonc-
tion B ont été ajustés à 78 degrés, et les commutateurs de 17.
point d'arrêt de la fonction B ont été ajustés à 359 degrés.
Comme ces commutateurs sont des commutateurs décimaux à co-
de binaire, plus d'un contact par commutateur peut être fermé à un instant donné. Ceci est spécialement illustré pour les commutateurs de la fonction B. Les commutateurs d'arrêt de la fonction B illustrent également une autre caractéristique du présent circuit. Ces commutateurs sont ajustés à 359 degrés, ce qui se trouve dans la période de repos. Ceci est fait lorsque l'on souhaite maintenir une fonction en service sur toute la période de repos. Lorsque la période de repos se termine, la fonction sera bien sfr mise hors service. Les sorties décimales en code binaire des commutateurs de mise en route et d'arrêt sont fournies
au reste du système par plusieurs bornes 91 et 93.
Pour illustrer le fonctionnement du circuit de com-
mande de fonction, supposons que le multiplexeur a adressé la fonction A. De ce fait, la borne résultante, dans ce cas la seconde depuis le bas de la figure 5A devient de poids
faible. Ce signal de poids faible est inversé par l'inver-
seur 81 correspondant, et le signal de poids fort résultant
est inversé de nouveau et fourni à la porte G51 (figure 5B).
La sortie de la porte G51 devient de poids fort, allumant un transistor NPN Q3. Lorsque le transistor Q3 conduit, il active les commutateurs de mise en route et d'arrêt de la fonction A, en reliant les bornes communes des commutateurs à la masse. Bien slr, leurs données apparaissent dans le jeu de barres, par l'intermédiaire des bornes 91, sous une forme inversée. De cette façon, les commutateurs de mise en route et d'arrêt de la fonction A sont maintenus connectés
au jeu de barres pendant les états TS1 et TS2. Le compara-
teur, comme décrit plus haut, compare ces valeurs des commu-
tateurs avec le stade de la machine et, si nécessaireervo'i-
ent des signaux de mise à un et de remise à zéro sur les
bornes 71 et 73 pendant l'état TS2. Pour le moment, suppo-
sons que le résultat de la comparaison fait que la borne de mise à un devient de poids faible. Ce signal de poids faible est inversé par l'inverseur 81 correspondant, et le signal de poids fort résultant est fourni à la porte G21 (associée 18.
à la fonction A) et à la porte G23 (associée à la fonction B).
Comme le multiplexeur adresse la fonction A à ce moment, et non la fonction B, l'autre entrée de la porte G21 est de poids
fort, mais l'autre entrée de la porte G23 est de poids fai-
ble. La sortie de la porte G21 devient de poids faible, ce qui met à un le flip-flop 83 de la fonction A. Le flip-flop de la fonction B n'est pas mis à un, parce que la sortie de la porte G23 est de poids fort à ce moment. La sortie du flip-flop de fonction A est connectée à une entrée de la porte G29, et l'autre entrée de celle-ci est connectée par un inverseur à la borne 77 du circuit logique de commande
de mode représenté à la figure 4. Lorsque la broche 77 re-
çoit un signal de poids faible, ce qui signifie que la ma-
chine est dans le mode automatique, les deux entrées de la porte G29 sont de poids fort, et sa sortie est de poids faible. Ce signal de poids faible est fourni à la porte G37, faisant que sa sortie devient de poids fort. La sortie de
la porte G37 est fournie à une entrée da la porte G41. L'au-
tre entrée de la porte G41 est connectée par un inverseur
au commutateur de validation - de la fonction A. En sup-
posant que l'opérateur a v a 1 i d é la fonction A, le signal de v a 1 i d a tion A est de poids faible, et l'entrée
correspondante de la porte G41 est de poids fort. Il en ré-
sulte que la sortie de la porte G41 devient de poids faible.
Ce signal de poids faible est fourni par la borne 87 au re-
lais de fonction correspondant 13 pour activer la fonction A. En même temps, la sortie de la porte G43 devient de poids faible, allumant une lampe de signalisation indiquant que la
fonction A a été activée.
En avançant dans le cycle de la machine, supposons maintenant que l'on a atteint le stade o il faut désactiver
la fonction A. Lorsque ceci se produit, la sortie du compa-
rateur sur la borne 73 devient de poids faible pendant l'é-
tat TS2. Ce signal de poids faible est inversé et le signal de poids fort résultant est fourni aux.portes G25 (associée à la fonction A) et G27 (associée à la fonction B). Comme La fonction A est celle choisie à ce moment, l'autre entrée de.la porte G25 est de poids fort et l'autre entrée de la
24890 1 1
19.
porte G27 est de poids faible. La sortie de la porte G25 de-
vient donc de poids faible, remettant à zéro le flip-flop de
la fonction A. La sortie du flip-flop de la fonction A de-
vient de poids faible, faisant que la sortie de la porte G29 devient de poids fort, que la sortie de la porte G37 devient
de poids faible et que les sorties des portes G41 et G43 de-
viennent de poids fort. Ceci désactive le relais de fonction A et coupe la lamps de signalisation de la fonction A. Le circuit pour la fonction B fonctionne de manière identique. Lorsque le multiplexeur choisit la fonction B, la borne inférieure 69 de la.figure 5A reçoit un signal de poids faible, lequel signal est inversé deux fois et est fourni à la porte G49 (figure 5B). La sortie de la porte G49 devient
de poids fort, faisant conduire un transistor NPN Q5, acti-
vant ainsi les commutateurs de mise en route et d'arrêt de
la fonction B. Le comparateur lit les indications de ces com-
mutateurs et, si nécessaire, change lesniveauxlogiques sur les bornes 71 et 73. Comme la fonction B est choisie, ce sont les portes G23 et G27 qui sont validées. Il en résulte qu'un signal de poids faible à la borne 71 met à un le flip-flop de la fonction B, par l'action de la porte G23,
et un signal de poids faible à la borne 73 entraîne une re-
mise à zéro du flip-flop de la fonction B., par l'action de la porte G27 pendant l'état TS2. La sortie du flip-flop B est fournie à l'une des entrées de la porte G31. Lorsque ce
flip-flop est à un et que la machine est dans le mode auto-
matique, la sortie de la porte G31 est de poids faible. Ce signal de poids faible eEt fourni à la porte G39, o il est inversé. Le signal de poids fort résultant est fourni à une entrée de la porte G45. Si le commutateur de mise en service de la fonction B est fermé, l'autre entrée de la porte G45 est également de poids fort, et sa srtie est de poids faible
comme celle de la porte G47. Le signal de poids faible résul-
tant à la borne 89 active le relais de la fonction B, et le signal de poids faible à la sortie de la porte G47 allume la
lampe de signalisation pour la fonction B. De même, un si-
gnal de poids faible à l'entrée de remise à zéro fait que les sorties des portes G45 et G47 deviennent de poids fort, 20. désactivant ainsi le relais de la fonction B et coupant la lampe de signalisation de la fonction B. Dans le mode manuel, l'entrée du circuit de commande
de fonction 11 sur la borne 79 est de poids faible. Ce si-
gnal de poids faible est inversé et fourni aux portes G33 et
G35. Supposons que l'opérateur a choisi d'exécuter la fonc-
tion A manuellement (en fermant le commutateur approprié indiqué à la figure SA par "A manuel"), l'autre entrée de la porte G33 est également de poids fort et sa sortie devient
de poids faible. Ce signal de poids faible fait que la sor-
tie de la porte G37 devient de poids fort et, comme la fonc-
tion A est validée, la sortie de la porte G41 devient de poids fort, activant ainsi le relais de la fonction A. La
fonction A reste en service uniquement tant que le commuta-
teur "A manuel" est maintenu fermé et que la fonction A est -validée. De même, si le commutateur "B manuel" est fermé,
les deux entrées de la porte G35 sont de poids fort, la sor-
tie de cette porte est de poids faible, la sortie de la por-
te G39 est de poids fort, et la sortie de la porte G45 est de poids faible, adivant ainsi le relais de la fonction B.
Les lampes de signalisation appropriées s'allument exacte-
ment de la même manière que dans le mode automatique.
Le circuit de commande de l'alimentation 15 (figure 6) est semblable au circuit de commande de fonction il dans ce premier mode de réalisation, mais il y a des différences
importantes. Le circuit de commande. de l'alimentation com-
prend quatre inverseurs d'entrées 95, quatre porte NON-ET d'entrée G53, G55, G57 et G59, et une paire de flip-flop
97 et 99. Le flip-flop 97 est appelé flip-flop d'entraIne-
ment (indiquant que le matériel d'emballage doit être entrai-
né ou amené dans le poste de scellage de la machine) et le flip-flop 99 est appelé flip-flop de fenêtre (indiquant qu'
il faut une "fenêtre" sur la longueur du matériel d'emballa-
ge, dans laquelle il faut chercher le repère). Le circuit
de commande de l'alimentation comprend également des inver-
seurs supplémentaires, douze portes NON-ET supplémentaires G61, G63, G65, G67, G69, G71, G73, G75, G77, G79, G81 et G83, un flip-flop supplémentaire 101, un transistor NPN Q7 21. qui ne doit pas être un dispositif discret, et un groupe
de circuits tampon 103 à trois états.
Lorsque le multiplexeur fait que le signal à la se-
conde borne du bas 69 de la figure 6 devient de poids fai-
ble, la sortie de l'inverseur associé 95 devient de poids fort et ce signal de poids fort est fourni aux deux portes
NON-ET, les portes G53 et G55,,associèes au flip-flop d'en-
trainement. Ce signal de poids fort est également inversé
de nouveau, et le signal de poids faible résultant est four-
ni aux entrées de la porte G61 dont la sortie devient de
poids fort, allumant le transistor Q7. Ceci active les com-
mutateurs de mise en route de l'entraînement, 5, et la for-
me décimale en code binaire du stade de la machine en degrés
auquel il faut mettre en route l'alimentation ou l'entraîne-
ment du matériel d'emballage est fourni par plusieurs bornes
et le jeu de barres à la section de comparateur. Le si-
gnal de poids faible à la borne 69 désactive également les
circuits tampon 103, ce qui fait que les données concer-
nant l'arrêt de l'alimentation ou de l'entraînement, prove-
nant des commutateurs 7, apparaissent dans le jeu de barres par l'intermédiaire de plusieurs bornes 107. Les données
provenant des commutateurs 7 sont égabnent fournies en conti-
nu au circuit de retard, decrit plus loin.
Le circuit de commande de l'alimentation commande
trois composants de base du sytme: l'embrayage de l'enco-
deur, l'embrayage d'alimentation et le frein d'alimentation.
L'embrayage de l'encodeur est commandé par la borne de sor-
tie 109 du circuit de commande de l'alimentation. Lorsque
le signal à cette borne devient de poids faible, le cylin-
dre d'arrêt pneumatique pour cet embrayage est rétracté.
Ce cylindre ne devrait être rétracté que lorsque trois con-
ditions existent simultanément, soit que la machine devrait se trouver entre 350 et 359 degrés dans son cycle, qu'elle devrait être dans le mode automatique, et que le signal de "feu vert" devrait avoir été reçu du système d'alimentation du produit ou du système d'enlèvement du produit. Un signal représentant la première de ces trois conditions est fourni au circuit de commande de l'alimentation sur la borne 52, en 22. provenance de la porte GL (figure 3A). Lorsque la machine est au stade approprié, ce signal est de poids faible. Ce signal de poids faible est inversé et fourni à une entrée de la porte NON-ET G63. Un signal indiquant si la machine est dans le mode automatique est fourni par la borne 77 (figure
4) au circuit de commande de l'alimentation. Lorsque ce si-
gnal est de poids faible, la machine est dans le mode auto-
matique, et une seconde entrée de la porte G63 est de poids fort. Le signal de "feu vert" est fourni par la porte G65 à
la troisième entrée de la porte G63. Chiue fois que le si-
gnal de "feu vert" est de poids faible, la sortie de la por-
te G65 est de poids fort. Lorsque toutes les entrées de la
porte G63 sont de poids fort, sa sortie est de poids faible.
Ce signal de poids faible est inversé deux fois, entratnant un signal de poids faible à la borne 109, et retirant ainsi le cylindre d'arrêt pneumatique. La sortie de la porte G63 est également renvoyée à l'entrée de la porte G65, bloquant ainsi sa sortie à un poids fort. Ceci permet au signal de "feu vert" de disparaitre tout en maintenant l'embrayage de l'encodeur dans la bonne position. Lorsque la machine passe de 359 degrés à 0 degré dans son cycle, la borne 52 reçoit un signal de poids fort. Ce signal de poids fort est inversé et le signal de poids faible résultant amène à un poids fort la sortie de la porte G63, débloquant ainsi la porte G65 et, ce qui est plus important, amenant un signal de poids fort à la borne 109. Ceci coupe le courant pris par la charge et
désactive le cylindre pneumatique d'arrêt. Le cylindre s'é-
tend dans sa position normale dans laquelle il est contacté par l'embrayage de l'encodeur quelque part entre 350 et
359 degrés dans le cycle suivant de la machine.
Pour illustrer les caractéristiques du circuit de commande de l'alimentation, supposons que le comparateur a
déterminé qu'il faut commencer l'entraînement ou l'alimen-
tation du matériel d'emballage. Lorsque ceci se produit, le signal à la borne 71 devient de poids faible. Ce signal
de poids faible est inversé et le signal de poids fort ré-
sultant amène à un poids faible la sortie de la porte G53, puisque son autre entrée est également de poids fort. Ce 23.
signal de poids faible met à un le flip-flop 97 et sa sor-
tie devient de poids fort. Ce signal de poids fort est four-
ni à une entrée de la porte NON-ET G79. Si la machine est dans le mode automatique, une seconde entrée de la porte G79 est également de poids fort (parce que la borne 77 recevra un signal de poids faible). Si la machine n'est pas dans le mode pour pellicule à repères, l'entrée marquée "impression"
sera de poids fort. Ce signal de poids fort fait que la sor-
tie de la porte G77, qui est connectée à la troisième entrée
de la porte G79, est de poids fort, ce qui fait que la sor-
tie de la porte G79 devient de poids faible. Ce signal de poids faible est fourni à une entrée de la porte G81, amenant
sa sortie à un poids fort. Ce signal de poids fort est inver-
sé et le signal de poids faible résultant, fourni à la borne 111, fait que l'embrayage d'alimentation est activé et que le matériel d'emballage est entraîné dans la machine. La sortie de la porte G81 est également fournie à une paire
d'inverseurs en série qui sont connectés à une borne 113.
Lorsque la sortie de la porte G81 est de poids fort, la bor-
ne 113 reçoit un signal de poids fort. Cette borne est con-
nectée au frein d'alimentation et, lorsqu'elle reçoit un
* signal de poids fort, le frein d'alimentation est coupé.
La sortie de poids faible de la porte G81 allume également une lampe de signalisation, indiquant ainsi qu'une fonction
d'entraînement a été amorcée.
L'entraînement ou l'alimentation de matériel sans
repère dans la machine continue jusqu'à ce que le compara-
teur détermine que le point d'arrêt préfixé a été atteint.
Lorsque ceci ce produit, la borne 73 reçoit un signal de poids faible, faisant que la sortie de la porte G55 devient
de poids faible. Ceci remet à zéro le fl p-flop d'entraIne-
ment dont la sortie devient de poids faible. Ce signal de poids faible fait que la sortie de la porte G79 devient de poids fort. Supposons que la machine n'est pas dans le mode d'entraînement manuel; la sortie de poids fort de la porte G79 fait que la sortie de la porte G81 devient de poids faible. A cause de ceci, la borne 111 reçoit un signal de poids fort qui désactive l'embrayage d'alimentation, la 24. borne 113 reçoit un signal de poids faible, qui active le
frein d'alimentation, arrêtant ainsi l'alimentation du maté-
riel dans la machine, et la lampe de signalisation est étein-
te. En résumé, dans le mode à pellicule unie ou ne portant pas de repère, l'embrayage suit l'action du flip-flop d'en-
traînement chaque fois que la machine est dans le mode au-
tomatique et que le commutateur d'impression est coupé.
Dans le mode manuel, l'embrayage d'alimentation et le frein sont commandés de façon indirecte par la porte NON-ET
G83. Les deux entrées de cette porte sont les formes inver-
sées des signaux à la borne 79 (indiquant que la machine est
dans le mode manuel) et provenant du commutateur d'entraî-
nement manuel. Lorsque ces deux signaux sont de poids faible, les deux entrées de la porte G83 sont de poids fort. Ceci
fait que sa sortie est de poids faible, faisant que la sor-
tie de la porte G81 est de poids fort, activant ainsi l'em-
brayage d'alimentation et désactivant le frein d'alimenta-
tion. Une fois que l'entrée du commutateur d'entraînement
manuel devient de poids fort, la sortie de la porte-G83 de-
vient de poids fort, la sortie de la porte G81 devient de poids faible, l'embrayage d'alimentation est désactivé et le frein d'alimentation est activé. Il faut remarquer que
si la machine avait été dans le mode automatique, la fonc-
tion d'entraînement manuel aurait été invalidée parce que
la sortie de la porte G79 aurait été de poids faible.
Lorsque la machine est dans le mode pour pellicule im-
primée ou à repères, le comparateur fait que la borne infé-
rieure 69 de la figure 6 reçoit un signal de poids faible, qui est inversé par l'inverseur 95 associé; le signal de poids fort résultant est fourni aux portes G57 (dont la sortie est reliée à l'entrée de mise à un du flip-flop de fenêtre) et
G59 (dont la sortie est reliée à l'entrée de remise à zéro).
Ce signal de poids fort est également inversé de nouveau et fourni par une borne 115 au circuit de retard, o il fait qu'un
point de départ de fenêtre est calculé et fourni au compara-
teur. Une fois que la machine atteint le point de départ de
fenêtre, le comparateur fait que la borne 71 reçoit un si-
25. gnal de poids faible. Ce signal de poids faible est inversé et le signal de poids fort résultant fait que la sortie de la porte G57 devient de poids faible, mettant ainsi à un le flip-flop de fenêtre 99. Le signal de poids fort résultant provenant du flip-flop 99 est fourni à la porte G67. L'autre entrée de la porte G67 est la forme inversée du signal du dé-
tecteur 29, indiqué "oeil" à la figure 6. Lorsque l'entrée "oeil" devient de poids faible, indiquant la détection d'un repère, les deux entrées de la porte G67 sont de poids fort
(en supposant que la fenêtre n'est pas terminée). Il en ré-
sulte que la sortie de la porte G67 devient de poids faible.
Ce signal de poids faible est fourni par une borne 117 au
circuit de retard, dans un but décrit plus loin, et à l'en-
trée de remise à zéro du flip-flop 101. Ceci fait que la
sortie un du flip-flop 101 devient de poids faible, allu-
mant ainsi une lampe de signalisation indiquant qu'un ocel-
le a été détecté dans la fenêtre pour le sac entralné. Le flip-flop 101 est mis à un à chaque cycle par le signal de la borne 52 qui devient de poids faible pendant la partie
de 350 à 359 degrés du cycle.
Dans le mode avec impression, l'alimentation du ma-
tériel d'emballage se fait comme suit: lorsque le cycle de la machine commence, les deux entrées de la porte G71 (la
sortie de la porte G69 et une entrée 119 du circuit de re-
tard) sont de poids fort, et sa sortie est de poids faible.
Ce signal de poids faible fait que la sortie de la porte G73 est de poids fort. Ce signal de poids fort est inversé
et le signal de poids faible résultant est fourni à une en-
trée de la porte G69. L'autres entrée de la porte G69 devient
de poids fort dés que le cycle débute, puisqu'elle suit di-
rectement le niveau du signal à la borne 52, mais ce signal de poids fort est combattu par le signal de poids faible sur l'autre entrée. La sortie de poids fort de la porte G73 est
fournie à une entrée de la porte G75. Dans le mode avec im-
pression, l'autre entrée de cette porte est également de poids fort puisqu'elle est connectée par un inverseur au commutateur d'impression. De ce fait, la sortie de la porte G75 est de poids faible, ce qui fait que la sortie de la
24890 11
26.
porte G77 est de poids fort. En supposant que l'on se trou-
ve dans le mode automatique, les trois entrées de la porte G79 seront de poids fort lorsque le flip-flop d'entralnement sera à un. Lorsque ceci se produit, sa sortie devient de poids faible, faisant devenir de poids fort la sortie de la
porte G81, activant ainsi l'embrayage d'alimentation et dé-
sactivant le frein d'alimentation, comme décrit plus haut.
Lorsque l'entrée "oeil" devient de poids faible alors que le flip-flop de fenêtre est à un, la rtie de la
porte G67 devient de poids faible, et ce signal de poids fai-
ble est fourni au circuit de retard par la borne 117. Si ceci
ne se produit pas, indiquant qu'un-repère n'a pas été détec-
té dans la fenêtre, le frein et l'embrayage d'alimentation sont commandés par le flip-flop d'entraînement et non par le circuit de retard. Cependant, si le repère a été détecté
dans la fenêtre, la borne 119 du circuit de retard devien-
dra de poids faible lorsque se sera écoulé le temps de re-
tard préfixé. Ce signal de poids faible fait que la sortie de la porte G71 devient de poids fort, ce qui fait devenir de poids faible la sortie de la porte G73. Ce signal de poids faible fait que la sortie de la porte G75 devient de
poids fort. Il en résulte que la sortie de la porte G77 de-
vient de poids faible, la sortie de la porte G79 devient de poids fort, et la sortie de la porte G81 devient de poids
faible, désactivant ainsi l'embrayage d'alimentation et ac-
tivant le frein d'alimentation. Ceci signifie que, lorsque un ocelle est détecté dans la fenêtre, l'alimentation de la pellicule est arrêtée ensuite pendant le temps de retard préfixé. Lorsque la sortie de la porte G73 devient de poids fort, elle force la sortie de la porte G69 à devenir de poids faible et à le rester jusqu'à ce que le signal à la borne 52 devienne de poids faible, c'est-à-dire jusqu'à ce
que la machine atteigne le stade de 350 degrés dans son cy-
cle. Ceci bloque à un poids fort la sortie de la porte G71,
même après que le signal à la borne 119 du circuit de te-
tard est redevenu de poids fort. Ceci est exigé pour empê-
cher que l'embrayage ne soit de nouveau activé après que le 2 4 8 9 0 t 1 27. signal à la borne 119 est devenu de poids fort. Si l'on
n'er#oyait pas de circuit de verrouillage, l'embrayage se-
rait désactivé sur un degré, puis serait réactivé jusqu'à
ce que le flip-flop d'entraînement le désactive de nouveau.
Le circuit de retard (figure 7) comprend quatre mé-
moires M1, M3, M5, et M7, deux comparateurs 121 et 123, plu-
sieurs circuits tampon de sortie 125, une porte NON-ET G85,
plusieurs circuits tampon inverseurs 127 connectés directe-
ment aux commutateurs d'arrêt d'alimentation pour fournir l'information d'arrêt d'alimentation au circuit de retard, des commutateurs de retard 25 dont les sorties représentent sous une forme décimale en code binaire un retard préfixé,
et plusieurs circuits tampon inverseurs 129 reliant les com-
mutateurs de retard au circuit de retard. Le concept à la base de ce circuit est le suivant: du fait de la nature du
matériel d'emballage et en particulier de la pellicule d'em-
ballage, il existe une relation linéaire entre la longueur de pellicule alimentée ou entraînée dans la machine et le nombre de degrés que couvre l'encodeur pendant le même laps de temps. Supposons,par exemple, qu'un degré de l'encodeur
correspond à un entraînement de 3,17 mm. A titre d'illustra-
tion, supposons que la distance entre repères est de 304,8 mm et que l'on souhaite entraîner un sac ayant une longueur répétitive supérieure de 6, 35 min à cette distance, en faisant
débuter l'entraînement à dix degrés. Un sac de 304,8 mm exi-
gerait 12 fois 8, ou 96 degrés, et le supplément de 6,35 mm exigerait deux degrés de plus, soit 98 degrés en tout. Donc, le réglage du départ de l'alimentation sur les commutateurs de mise en route 5 serait de 10 degrés, et le réglage de
l'arrêt de l'alimentation sur les commutateurs d'arrêt 7 se-
rait de 108 degrés.
Avec une machine à oeil fixe, il est nécessaire de
retarder l'arrêt d'entraînement d'une longueur fixée pour ob-
tenir une relation fixe entre la détection d'un ocelle et le scellage du paquet. En plus du retard, il est nécessaire de prévoir une fenêtre dans laquelle l'oeil est activé, pour
permettre une impression entre les ocelles, et aider à évi-
ter un déclenchement erroné da à des réflexion sur la pel-
24890 11
28.
licule. Supposons que la fenêtre a une largeur de dix de-
grés, correspondant à un entraînement de la pellicule sur 31,75 mm. Il faut remarquer que ceci constitue une longueur
de fenêtre, et non-une duréede fenêtre. Pour déplacer l'o-
celle par rapport à la fermeture des mAchoires de scellage, on règle le retard sur les commutateurs 25. Ce retard peut se produire n'importe o sur la longueur du sac, à cause d'
une variation dans la position des ocelles, et il représen-
te la longueur du matérial d'emballage, en degrés, ayant passé par les mâchoires de scellage après détection d'un ocelle. Ceci signifie que les 108 degrés pour l'arrêt de l'alimentation représentent l'arrêt absolu du mécanisme d'alimentation puisque, si le retard débutait après le point o il s'étendrait au-delà de 108 degrés, la machine ne
serait plus commandée par l'oeil. Pour un point d'arrêt d'en-
traînement absolu donné et un retard donné, le circuit de re-
tard 21 calcule les points de départ et d'arrêt pour la fe-
nêtre. Le réglage de l'arrêt d'entraînement (108 degrés dans cet exemple) constitue le point de référence. La valeur du
retard fourni par les commutateurs27 est soustraite du ré-
glage de l'arrêt d'entraînement sur les commutateurs 7 pour
déterminer la valeur pour l'arrêt de la fenêtre. Une cons-
tante (par exemple 10 degrés) est soustraite de cette diffé-
rence calculée pour donner le point de départ de la fenêtre.
Ceci signifie que, pour tout délai, les points de départ et d'arrêt de la fenêtre sont déterminés par seulement deux
groupes de commutateurs, les commutateurs d'arrêt d'entraî-
nement et les commutateurs de retard. Tout ce calcul est
fait avec les quatre mémoires mortes Ml, M3, M5 et M7.
La différence entre les chiffres décimaux les moins significatifs du réglage de l'arrêt de l'entraînement et
du réglage du retard est calculéepar la mémoire Mi, la dif-
férence entre les chiffres des dizaines est calculéepar la mémoire M3, et la différence entre les chiffres décimaux les
plus significatifs est calculée dans la mémoire M7. La mé-
moire M5 soustrait la longueur constante de la fenêtre du résultat-donné par la mémoire M3 pour indiquer le point de
départ de la fenêtre. Ce calcul est entièrement statique.
24890 11
29.
Les lignes représentant les valeurs décimales en code bi-
naire des commutateurs d'arrêt d'entraînement et de retard
sont reliées aux bornes d'adresse des mémoires correspon-
dantes, et le contenu de la mémoire à chaque adresse est la différence décimale entre les valeurs des commutateurs
d'arrêt d'entraînement et de retard qui adressent cet en-
droit particulier de la mémoire.
Pour l'exemple ci-dessus, les mémoires Ml et M3 sont programmées selon les tableaux 1 à 20 qui suivent. Dans ces
tableaux, les données Ai à A80 concernent les poids déci-
maux en code binaire des commutateurs d'arrêt d'entratne-
ment. Les données Bl à B80 concernent les valeurs décimales en code binaire des commutateurs de retard. L'entête de
chaque tableau, par exemple B = 60 indique la valeur déci-
male du chiffre des commutateurs de retard soustrait du
chiffre correspondant des commutateurs d'arrêt d'entraîne-
ment dans la mémoire particulière. Le contenu des mémoires est indiqué inversé dans ces tableaux, pour la facilité de
la compréhension.
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ADRESSE
A2 B2 A4 B4 A8 B8 SEXADECIMALE
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ADRESSE
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A1 B1 A2 B2
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ADRESSE
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CONTENU
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MEMOIRE M1
B= 3
ADRESSE
2 32 4 64 8 128
ADRESSE
A2 B2 A4 B4 A8 B8 SEXACIMALE
0 1 0 0 0 0: 030:
0 1 0 0 0 0: 031
1 1 0 0 0 0: 032:
1 1 0 0 0 0: 033
0 1 1 0 0 0: 034:
0 1 1 0 0 0: 035
1 1 1 0 0 0: 036:
1 1 1 0 0 0: 037:
0 1 0 0 10: 038:
0 1 0 0 1 0: 039:
Rete- nue A1 Al B1i
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CONTENU
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TABLEAU 4
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MEMOIRE M1
B= 4
ADRESSE
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B1 A2 B2 A4 B4 A8 B8: SEXADZIMALE
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TABLEAU 5
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MEMOIRE M1
B= 5
ADRESSE
16 2 32
B1 A2 B2
4 64
A4 B4
0 0 0 1
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8 128
ADRESSE
A8 B8 SEXADECI2J2 CONTENU
0 0: 050: 5
0 0: 051: 6
0 0: 052: 7
0: 053: 8
0: 054: 9
0 0: 055: 0
0 0: 056: 1
0 0,: 057: 2
1 0: 058: 3
1 o: 059: 4 Rete- nue A1
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MEMOIRE M1
ADRESSE
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: ADRESSE:
A8 B8: SEXADECMALE: CONTENU
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0 0 071 4
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0 0: 075 8
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TABLEAU 8
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*TABLEAU 10
ADRESSE
16 2 32 4 64 8 128
B1 A2 B2 A4 B4 A8 B8
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SEXADECIM
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1 1 0 0 0 0 1 092
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1 0 0 1 0 0 1: 094
1 0 0 1 0 01 095
1 1 0 1 0 0 1 096
1 1 0 1 0 0 1: 097
1 0 0 0 0 1 1 098
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MEMOIRE M1
TABLEAU 11
MEMOIRE M3
ADRESSE
16 2 32
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TABLEAU 12
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1 0
MEMOIRE M3
ADRESSE
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: ADRESSE:
B80: SDEXADECDIMALE
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0: 015:
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0: 017:
0: 018
O: 019:
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O: 111:
0: 112
0: 113
0:114
0: 115
0: 116
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0: 118
0: 119
Rete- nue o o o o o o o o o i i i i A10 0l o o
CONTENU
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TABLEAU 13
Rete- nue o o o o o o o o A10 AOi 0' o o o o o o o
MEMOIRE M3
ADRESSE
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B10 o o o o o o o o o o o o o
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TABLEAU 14
MEMOIRE M3
ADRESSE
256 1 16 2 32 4 64 8 128
Rete-: ADRESSE nue A10 B10 A20 B20 A40 B40 A80 B80: SEXADECDIMALE: CONTENU o o o o o o o o o i i o o o o
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B = 30
o o o o o o o o o o o o o o
TABLEAU 15
Rete- nue o o i o o o o O o i i i i
MEMOIRE M3
ADRESSE
1 16 2 32
A10 o o o o o o o o o B10 o o o o - o o o o o o o o o o o o o o o o A20 o o i o o o o o o o o A B20 0. o o o o o o o o o o o o o o o o o o o
*B = 40
4 64 8 128::
: ADRESSE:
A40 B40 A80 B80: SEADEC2IMALE: CONTENU
o o o o i i o o o o o o i i i i i o o o o o o o o o o o o o o o 0: O: À O O: 0 ' O: 0' O: O: 0: O: 0: 0: 0: 0' 0: 0: 0: O O : 7 : 9 : 0 : 1 : 5 : 5
: 6
: 9
: O0
: 3
: 4
N j'> 0 t Co %0 O
ú 691 0
z 991 0 T
I: L9ST 0 0
0: 99I: 0
6: I: 0
Z: 8SI: 0 0
I: LSI: 0 O
9. o
9: SSI: 0 0
8: S 191 O O
L:0SI: O 0
S': 690: 0
ú: 890: T I
z: LSO: 0 o
I: 9S90: O O
0: S990 0 0O
6 t go O O
8 ú90: 0 O
L ZSO 0 0
9: ISO: 0
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fNSIMOD:: lGMS: 0 9 0 8V :.sstZaf:
:: 8Z1 8
OS = g T T T T T T T lI l9 I I I
0 0 0
0 0 0
I 0 1
1 0 I
1 0 0
1 0 0
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0 0 T
0 0 0
0 0 0
0 0 0
0 0 0
I 0 I
T 0 I
T 0 0
T 0 0
0 0 I
0 0
0 0 0
0 0 0
o o o o o o o o o o o o 01 Og OEV o o o o o o ot'V ozg 0zV P Zú z assaucav E SESIOw
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I I I I I I I I I T T I I I I T T T OIE I o o o o T o I o I o o T I I I T I I I I I I I I I I I T o O o o o o o anu t99l 9SZ o C> 0% Co Nr w UP 9 úIvsEliV.I
:69T: 0 T0 O 0 0 O T T
o, vT:. 891 : O I O T O O 0T
I, O0: L9T: O I T T T O I T
6. 99T O O T T T T O O T
8: 99T: 0 I T I 0 0 I I
L: t9T O O T T T O O O T 9 ú9T: O O T O T I 0 o I
* 91. O O T 0 T T 0 O I
: 1T9 I 0 I 0T 0 I IT
ú: 091. 0 0 I O O O I
ú: 690: 0 T O T O Q T O
Z 890 0 T T 0 T O O O O
DI: L90: O I T T T 0 I 0
0. 990 O O I T I TO O O
6: 90: 0 T T T O O T O
8. 90 0 0 1 I T 0 0 0 0
L: ú90: 0 T O I I O I O
9: Z90 0 I T T T 0O O O
S: 190: 0 T 0 I 0 O I O
O O I O T O O O O
fnNElNODr: 'l CIEMS: 08E08VO0E 0V0 0V OZIE 0OV enu : ESSEHUa: -a:4a :: 8ZI 8 t9 t Zú Z 91 1 9sZ 09 = EW IO WLTfVssaav 09 EN s[aIOws1 L I n'îEIEIV
TABLEAU 18
MEMOIRE M3
ADRESSE
32 4 64
B20 A40 B40
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 1 1
1 1 1
1 1 1
1 1 1
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 0 1
1 1 1
1 1 1
1 1 1
1 1 1
1 0 1
1 0 1
A80 o o o o 128:
: ADRESSE:
B8: SEXADECIMALE: CONTU
0: 070 3
0 071 4
0O 072 5
::
0 073 6
0 074 7
0 075 8
0 076 9
0 077 0
0: 078: 1
0: 079: 2
0: 170: 2
0: 171: 3
0: 172: 4
0: 173: 5
0: 174: 6
0: 175: 7
0: 176: 8
0: 177: 9
0: 178: 0
0: 179: 1
B = 70
Rete- nue o O O O O o O i i A10 1' i o o B10O A20 -J tu oo o %0 CI
B = 80
ADRESSE
256 1 16 2 32 4 64 8 128::
Rete-: ADRESSE : nue A10 B10 A20 B20 A40 B40 A80 B80:SEXDECIMALE: CONTENU
0 0 0 0 0 0 0 0 1: 080: 2
0 1 0 0 0 0 0 0 1: 081: 3
o o 0 0 0 0 0 1: 082: 4
0 1 0 1 0 0 0 0 1: 083: 5
0 0 0 0 0 1 0 0 1: 084: 6
0 1 0 0 0 1 0 0 1: 085: 7
0 0 0 1 0 1 0 0 1: 086: 8
0 1 0 1 0 1 0 0 1: 087: 9
0 0 0 0 0 0 0 1 1: 088: 0
0 1 0 0 0 0 0 1 1: 089: 1
1 0 0 0 0 0 0 0 1: 180: 1
1 1 0 0 0 0 0 0 1: 181: 2
1 0 0 1 0 0 0 0 1: 182: 3
1 1 0 1 0 0 0 0 1: 183: 4
1 0 0 0 0 1 0 0 1: 184: 5
1 1 0 0 0 1 0 0 1: 185: 6
1 0 0 1 0 1 0 0 1: 186: 7
1 1 0 1 1 101 O1: 187: 8
1 0 0 0 0 0 0 1 1:188: 9
1 1 0 0 0 0 0 1 1: 189: 0
TABLEAU 19
MEMOIRE M3
TABLEAU 20 MEMOIRE M3 B = 90
ADRESSE
256 1 16 2 32 4 64 8 128
Rete- ' ADRESSE nue A10 B10 A20 B20 A40 B40 A80 B80 SEDECDIMALE CONTENU
0 0 1 0 0 0 0 0 1: 090: 1
0 1 1 0 0 0 0 1: 091: 2
0 0 1 1 0 0 0 0 1: 092: 3
0 1 1 1 0 0 0 0 1: 093: 4
0 0 1 0 0 1 0 0 1: 094: 5
0 1 1 0 0 1 0 0 1: 095: 6
0 0 1 1 0 1 0 01: 096: 7
0 1 110 1 0 0 1: 097: 8
0 0 1 0 0 0 0 1 1: 098: 9
0 1 1 0 0 0 0 1 1: 099: O
1 0 1 O O O O 0 1: 190: O
1 1 1 0 0 0 0 0 1: 191: 1
1 0 1 1 0 0 0 0 1: 192: 2
1 1 1 1 0 0 0 0 1: 193: 3
1 0 1 0 0 1 0 0 1: 194: 4
1 1 1 0 0 1 0 0 1: 195: 5
1 0 1 1 0 1 0 0 1: 196: 6
1 1 1 1 0 1 0 0 1: 197: 7
1 0 1 0 0 0 0 1 1: 198: 8
1 1 1 0 0 0 0 1 1: 199: 9
50.
Le résultat de la soustraction des chiffres de dizai-
nes dans la mémoire D3 est fourni aux lignes d'adresse de
la mémoire MI5, dans laquelle on en soustrait 10 (ou une au-
tre constante appropriée). Cette mémoire est programmée se-
lon le tableau 21. On n'a indiqué que la partie de la mé- moire correspondant à une largeur de fenêtre de dix. Dans ce tableau, le contenu n'est pas inversé, de telle sorte que 1101 représente 20 (décimal) , et non 130. "LSD" concerne les chiffres les moins significatifs, et "MSD" les chiffres
les plus significatifs.
L v il D a ú10 E10 f710 DIO t'lO alo si0 L0 O I I I I I I o0 o0 o o I I I I I o o o o o I I o o I o I I flNMHNOD almToalpmretq asw î-cisw î+aISq Gli sSSHGIv 01 - EN SIIONSN VIDHOS 'sw sHIOww qr- cX 0% os co -l Ln 52. La soustraction des chiffres les plus significatifs des commutateurs d'arrêt d'entraînement et de retard est
effectuée par la mémoire M7, dont la programmation est don-
née par le tableau 22. Comme pour les mémoires M1 et M3, les lignes de données concernées, dans ce cas AlOO,A200,
B100 et B200, sont connectées directement aux bornes adres-
se de la mémoire. Il y a deux entrées supplémentaires, ex-
pliquées plus loin, qui doivent ttre utilisées pour adres-
ser- le résultat correct dans cette mémoire. Comme pour le
tableau 21, les données du tableau 22 ne sont pas inversées.
TABLEAU 22: MEMOIRE M7
ADRESSE: CONTENU:
* 32 16 2 8 4 1:Départ fenêtre:Arrêt fenêtre:: Rete-: : : Adresse : M3 nue A100 B100 A200 B200: 100 200: 100 200 %exadécimale: CONTENU
0 0 0 0 0 0: 1 1: 1 1: 000: F:
: 0 0 1 0 0 0: 0 1: 01: 002: 5:
: 0 1 1 0 0 0: 1 1: 1 1: 012: F:
:0 0 0 0 1 0: 1 0: 1 0: 004: A:
: 0 0 0 0 1 1: 1 1: 1 1: 005: F
: 0 1 0 0 1 0: 0 1: 0 1: 014: 5
: 0 0 1 0 1 0: 0 0: 0 0: 006: 0
: 0 0 1 0 1 1: 1 0: 1 0: 007: A
: 0 1 1 0 1 0: 1 0: 1 0: 016: A
: 0 1 1 0 i i 1 i 1 i 017 F 0 0 1 1 O 1 i: OOA F
: 0 0 0 1 1 0 1 0 1 0 O: OC A
: 0 1 0 1 0: 1 1: 1 1 i: 0C: F
: 0 0 1 1 1 0: 0 1: 0 1: 00E: 5
: 0 0 1 1 1 1: 1 1: 1 1: 00F: F
0 1 1 1 1 0: 0 1: 0 1: 01 OE: 5
:1 0 1 0 0 0: O 1: 1 1: 022: 7:
Co ::o TABLEAU 22: MEMOIRE M7 (suite)
ADRESSE CONTENU
2 8 4 1:Départ fenêtre:Arrêt fenêtre: Adi A100 B100 A200 B20-: 100 200: 100 200:hexa
0 0 1 0: 1 O: 0 1:
0 0 1 0: 0 1: 1 1:
1 0 1 0: O 0: 1 0:
1 0 1 1: 1 0: O 1:
1 0 1 0: 1 O: O 1:
0 1 1 0: O 1: 1 1:
1 1 1 0: 1 0: O 1:
1 1 1 0 0 1: 1 1:
esse décimale: CONTENU:
024: 9:
034: 7:
026: 2:
027: 9:
036: 9:
02C: 7:
02E: 9
03E: 7
: 32 : M3 Rete- nue o0 o0 o o en ru o1 NO
24890 1 1
55.
En se reportant à la figure 7, Bl, B2, B4, B8, etc. con-
cernent les poids décimaux en code binaire des commutateurs de retard et représentent des connexions appropriées entre ces commutateurs et le reste du circuit des figures 7 et 8, tandis que Al, A2, A4, etc. concernent les poids décimaux en code binaire des commutateurs d'arrêt d'entraînement et représentent de nouveau des connexions appropriées. Comme on l'a mentionné plus haut, ces connexions comprennent des
connexions aux bornes adresse des mémoires Ml, M3 et M7.
Les lignes A1-A80 et Bl-B80 sont également connectées aux entrées des comparateurs 121 et 123. Le but de ceci est de prévoir la situation dans laquelle les chiffres dEsunités
ou des dizaines, ou les deux, de la valeur de retard dépas-
sent le chiffre correspondant de l'arrêt d'entraînement.
Lorsque le chiffre des unités des commutateurs de retard
dépasse le chiffre des unités des commutateurs d'arrêt d'en-
traînement, par exemple lorsque la valeur de l'arrêt d'en-
* trainement est 123 et le retard 95, le comparateur engendre un signal de retenue (de poids fort) sur la borne 2 et le fournit au comparateur 123 pour un calcul ultérieur dans la décade des dizaines. Ce signal de poids fort est également fourni à une borne adresse de la mémoire M3. Ce signal est
indiqué dans la colonne "retenue" des tableaux 11-20. De mê-
me, s'il faut une retenue dans les dizaines, le comparateur
123 fournit un signal de poids fort à la mémoire M7. Ce si-
gnal est indiqué dans la colonne "retenue" au tableau 22.
Il y a une autre entrée adresse à la mémoire M7, et le be-
soin de celle-ci se présente lorsque la soustraction dans les dizaines donne zéro. Lorsque ceci se produit, la sortie
de la mémoire M5 est 90 (décimal) et si le chiffre des cen-
taines (sortie de la mémoire M7) n'est pas réduit de un pour
le début de la fenêtre, la sortie sera incorrecte. Pour ob-
tenir cette entrée, les sorties de la mémoire M3 sont tou- tes connectées aux entrées de la porte G85. Si, et seulement
si ces trois entrées sont de poids fort, indiquant une dif-
férence nulle dans les dizaines, la sortie de la porte G85 sera de poids faible. Ce signal de poids faible est inversé et fourni à une borne adresse de la mémoire M7. Ce signal
24890 11
56.
est indiqué dans la colonne. "M3" du tableau 22.
Par exemple, supposons que la valeur d'arrêt d'entral-
nement est 108 degrés, et que le retard voulu est 29 de-
grés. Dans ce cas, AIO, A8, B20, B8 et Bi sont de poids fort, et le reste des entrées des commutateurs d'arrêt d'en- traînement et de retard est de poids faible. Lorsque le multiplexeur valide les mémoires et circuits tampon de la
figure 7 en faisant devenir de poids faible la borne corres-
pondante 69, le calcul de la fenêtre est effectué. En se re-
portant au tableau 10, la sortie de la mémoire Mi, dans ces
conditions, est un 9 inversé so.us forme binaire. Cette sor-
tie est fournie par les circuits tampon125 aux bornes de sortie 131 o elle représente le chiffre des unités du point de départ de la fenêtre, et aux bornes de sortie 133 o elle
représente le chiffre de unités du point d'arrêt de la fe-
nêtre. Comme le chiffre des unités du nombre indiquant le
retard est supérieur au chiffre des unités du nombre indi-
quant le point d'arrêt, la borne 2 du comparateur 121 de-
vient de poids fort. Donc, en examinant le tableau 13 pour
le résultat de la soustraction des dizaines, il faut regar-
der la partie inférieure du tableau o la retenue = 1. Dans ce tableau, le contenu de la position de mémoire adressée
est la forme binaire inversée de 7. Ce nombre binaire in-
versé estla sortie de la mémoire M3 et est fourni aux bornes adresse de la mémoire M5 et aux bornes de sortie 135 o il représente le chiffre des dizaines du point d'arrêt de la fenêtre. Au tableau 21, la sortie de la mémoire M5 pour
cette entrée est la forme binaire inversée de 6, qui repré-
sente le chiffre des dizaines du point de départ de la fe-
notre. Cette sortie est fournie à la section de comparateur par les bornes de sortie 137. Comme le chiffre des dizaines des commutateurs d'arrêt d'entraînement était inférieur à celui des commutateurs de retard, la borne 2 du comparateur 123 est de poids fort et, au tableau 22, il faut considérer
les lignes o la retenue = 1. De plus, la sortie de la mé-
moire M3 n'était pas zéro (décimal), de telle sorte que l'en-
trée dans cette colonne, pour cet exemple, est zéro. Au ta-
bleau 22, le contenu de la mémoire M7 à cet endroit est la 57. forme binaire inversée de zéro à la fois pour le point de
départ de la fenêtre et pour le point d'arrêt de la fenêtre.
La sortie point de départ de la fenêtre de la mémoire M7 est fournie au comparateur par les bornes de sortie 139, et la sortie point d'arrêt est fournie par les bornes de sortie 141. Le comparateur lit les signaux sur les bornes de sortie 131, 133, 135, 137, 139 et 141, de même que sur
tout autre groupe de commutateurs, et utilise cette informa-
tion pour mettre à un et remettre à zéro le flip-flop de fenêtre du circuit de commande de l'alimentation. Dans cet exemple, le flip-flop de fenêtre serait mis à un lorsque la machine a atteint le stade 69 degrés, et serait remis à
zéro lorsque la machine a atteint 79 degrés.
La partie restante du circuit de retard (figure 8) com-
prend trois compteurs binaires en cascade 143, 145 et 147, une porte NONET G87, deux bacules monostables 149, 151, et deux inverseurs 153, 155. Les bornes de préajustage des compteurs 143, 145 et 147 sont connectées aux lignes Bi, B2, B4, etc. des commutateurs de retard. Lorsque la sortie de
la porte G67 (figure 6) dans le circuit de commande de l'a-
limentation devient de poids faible, la borne 117 devient
de poids faible, validant ainsi les compteurs et préajus-
tant la longueur de retard dans les compteurs. Au vu de la
description qui précède, ceci se produit chaque fois qu'un
ocelle est détecté dans la fenêtre. Ces compteurs sont décrémentés de un chaque fois que l'encodeur marque un degré de plus. L'entrée de l'inverseur 155 est connectée par la ligne Ll au chiffre le moins significatif de la sortie de l'encodeur. La sortie de cet inverseur est connectée à la fois à l'inverseur 153 et à la bascule monostable 151. La
sortie de l'inverseur 153 est à son tour fournie à la bas-
sule monostable 149. Les deux bascules monostables sont con-
nectées aux entrées de la porte G87. Avec cet agencement, la bascule monostable 149 déclenche sur le bord croissant,
et la bascule monostable 151 déclenche sur le bord décrois-
sant, et la sortie de la porte G87 devient donc de poids fort une fois pour chaque degré, assurant ainsi la vitesse voulue de dëcrémentation des compteurs. Lorsqueles-compteurs
24890 11
58.
ont été décrémentés jusqu'à zéro, ce qui indique que le re-
tard est écoulé, la sortie des compteurs devient de poids
faible, et ce signal de poids faible est fourni par la bor-
ne 119 à la porte G71 (figure 6) dans le circuit de comman-
de de l'alimentation ce qui (comme on l'explique plus loin) désactive l'embrayage d'alimentation et active le frein d'alimentation.
Un second mode de réalisation de l'invention est présen-
té sous la forme d'un schéma synoptique à la figure 9. Ce mode de réalisation diffère du premier en ce qu'une section de microprocesseur 156 remplace la section de comparateur 9 et le circuit de retard 21, et en ce que la commande de l'alimentation est maintenant accomplie par un circuit de commande de fonction standard tel que celui présenté aux
figures 5A et 5B, au lieu de l'être par un circuit spéciali-
sé. En se reportant au circuit de commande standard, il faut comprendre que des circuits tampon à trois états pourraient être utilisés.à la place des diodes de découplage indiquées
à la figure 5B.
La section de microprocesseur 156 (figures 1OA-1OE) com-
prend trois adaptateurs à interface périphérique (ci-après PIA, en abrégé) type 6520, 157, 159, 161, un PIA type 6532, 163, un microprocesseur Rockwell type 6502, 165, une horloge de 3MHz, 167, un compteur hexadécimal 169, et une mémoire morte 171.DeS connexions P1-P5 sont indiquées pour connecter les lignes de la section 157 qui s'étendent d'une feuille à
l'autre, mais en fait ces lignes sont continues. En se re-
portant d'abord à la figure 10A, le PIA 157 remplace le mul-
tiplexeur 57 du premier mode de réalisation. Cest-à-dire que le PIA 157 est utilisé comme comEandedemultiplexeur pour
commander les lignes adresse des différents circuit de fonc-
tion, par l'intermédiaire d'un groupe de commandes de voie 173. Pour information,.les sorties du PIA 157 sont les suivantes
24890 11
59. -Borne No. Fonction
2 relais d'alimentation prin-
cipal/(alimentation + foncti-
onnement) 3 sortie à un
4 relais d'alimentation prin-
cipal (alimentation + foncti-
onnement) sortie à zéro 6 adresser 5 7 adresser 6 8 adresser 3 9 adresser 4 adresser 1 11 adresser 2 12 adresser 11 13 adresser 12 14 adresser 9 adresser 10 16 adresser 7 17 adresser 8 On voit clairement ci-dessus que le PIA 157 commande toutes les lignes adresse multiplexées vers les circuits de
fonction, de même que les sorties un, zéro, mode automati-
que et mode manuel de ces circuits; La fonction principale du PIA 159 (figures 10A et B) est d'amener les données de l'encodeur (par les lignes L1-L10) dans le système. Les bornes du PIA 159 sont les suivantes: Borne No. Fonction 2 information 1 de l'encodeur 3 information 2 de l'encodeur 4 information 4 de l'encodeur information 8 de l'encodeur 6 information 10 de l'encodeur 7 information 20 de l'encodeur 8 information 40 de l'encodeur 9 information 80 de l'encodeur 60. Borne No. Fonction (suite) information 100 de l'encodeur 11 information 200 de l'encodeur 12 sortie en correspondance 13 sortie 350 - 359 degrés 14 indicateur hors du domaine entrée alimentation 16 entrée relais d'alimention principal 17 entrée fonctionnement Toutes les bornes sont des entrées, à l'exception de
12, 13 et 14 qui sont des sorties.
Le PIA 161 (figure O10B) n'a que des bornes d'entrée,
sauf une. Sa fonction est d'amener dans le système les don-
nées des commutateurs de mise en route pour chacune des fonc-
tions, et d'indiquer comme sortie que le détecteur de cor-
respondance est en service. Les bornes de ce PIA sont les suivantes: Borne No. Fonction 2 information 1 de mnIe en route 3 information 2 de mise en route 4 information 4 de mise en route information 8 de mise en route 6 information 10 de mise en route 7 information 20 de mise en route 8 information 40 de mise en route 9 information 80 de mise en route information 100de mise en route 1il information 200de mise en route 12 indicateur "oeil en service" Le PIA 163 [figure 10C) a une mémoire de travail de 128 mots et 16 canaux d'entrée/sortie. Dans ce mode de réalisation tous les canaux sont programmés comme entrées, comme suit:
24890 11
61. Borne No. Fonction 8 information 1 d'arrêt 9 information 2 d'arrêt information 4 d'arrêt il information 8 d'arrêt 12 information 10 d'arrêt 13 information 20 d'arrêt 14 information 40 d'arrêt information 80 d'arrêt 24 information 100 d'arrêt 23 information 200 d'arrêt 19 entrée "feu vert"
18 impression/absence d'impres-
sion 17 entrée "oeil" 16 entraînement manuel La fonction principale du PIA 163 est d'amener dans le système les données provenant des commutateurs d'arrêt
pour chaque fonction. En plus des fonctions indiquées ci-
dessus, ce PIA est également la mémoire de travail du sys-
tème. En se reportant à la figure IOD, l'horloge 167 est présentée reliée au compteur hexadécimal 169. Le but de ce
compteur est de former une impulsion d'horloge en onde car-
rée symétrique à fournir à la borne 37 du microprocesseur, et de diviser la fréquence d'entrée de l'horloge par 2, 4
ou 8, à volonté, en connectant la borne 37 du microproces-
seur à la borne de sortie appropriée du compteur. De cette façon, on peut utiliser des fréquences autresque 3MHz vec le même circuit. De plus, il n'est pas nécessaire avec cet agencement d'avoir une impulsion d'horloge en onde carrée symétrique puisque le compteur fournit automatiquement une onde carrée symétrique quelle que soit la forme d'onde d'entrée, du fait qu'il ne déclenche que sur le bord avant de la forme d'onde. Dans ce mode de réalisation particulier de l'invention, on préfère que la fréquence d'horloge soit
de 1,5MHz.
24890 11
62.
En se reportant de façon plus spécifique au micropro-
cesseur lui-méme, on voit en 175 un circuit RC fixé à la borne
de remise à zéro du microprocesseur pour assurer que le micro-
processeur est automatiquement remis à zéro sans qu'il faille de boutonpoussoir ou analogue. Le microprocesseur a huit li- gnes de données connectées auxPIA et à la mémoire morte 171 par un jeu de barres bidirectionnel,* et seize lignes adresse (dont on n'en utilise que douze). La borne adresse la plus à
droite est utilisée pour activer la méimire morte 171. Lors-
que cette borne reçoit un signal de poids fort, la sortie
d'une porte NON-ET G91 devient de poids faible, activant ain-
si la mémoire morte 171. La mémoire morte 171 contient le
programme exécuté par le microprocesseur et cette borne adres-
se présente usuellement un signal de poids fort.
L'adressage des PIA est effectué par la borne adres-
se la plus à droite et la quatriène borne adresse.à partir de
la droite. Lorsque la borne la plus à droite présente un si-
gnal de poids faible, la sortie de la porte G91 est de poids
fort. Cette sortie est fournie à la borne 6 (l'une des en-
trées de validation) d'un décodeur 177 de 3 à 8 lignes. La quatrième ligne adresse à partir de la droite est connectée à la borne 5 du décodeur 177 (l'autre borne de validation) et, lorsque cette borne présente un signal de poids faible, le
décodeur 177 est validé. Une fois validée, la sortie du déco-
deur 177 est déterminée par trois autres lignes adresse qui sont connectées aux bornes 1, 2 et 3 du décodeur. Lorsque les trois lignes présentent des signaux de poids faible et que le
décodeur est validé, la borne 15 du décodeur (qui est connec-
tée à la borne 23, la borne de validation, du PIA 161) présente un signal de poids faible, sélectionnant ainsi le PIA 161. Lcrsque la première des lignes adresse présente un signal de poids fort, la borne 14 du décodeur devient de poids faible. Ceci amène à un poids fort la sortie d'une porte NON-ET G93 et amène à un poids faible la sortie d'une seconde porte NONET G95. La sortie de poids faible de la porte G95 est fournie à une borne 37 du PIA 163 sélectionnant ainsioe PIA. De façon similaire, le PIA 159 est sélectionné lorsque la seconde ligne adresse devient de poids fort et le PIA 157 est sélectionné lorsque la première et la seconde lignes adresse deviennent de poids fort. On préfère que les lignes adresse soient choisies de telle sorte que les adresses des PIA soient situées dans les 256 positions inférieures de la mémoire parce que ceci permet de les désigner par seulement deux instructions de mémoire. L'adressage delaménrire de travail dans le PIA 163
utilise les deux mêmes lignes adresse du microprocesseur.
Chaque fois que la ligne la plus à droite présente un signal
de poids faible et que l'autre de ces lignes adresse présen-
te un signal de poids fort, les deux entrées d'une porte NON-ET G97 sont de poids fort. Sa sortie devient de poids faible. Ce signal de poids faible est fourni à une borne 36
de validation du PIA 36 et également à une entrée de la por-
te G93. Il en résulte que la borne 37 présente également un signal de poids faible comme avant. Lorsque les deux bornes 36 et 37 présentent un signal de poids faible, la mémoire
de travail est adressée.
Le programme pour le microprocesseur 165 suit l'or-
ganigramme des figures l1A et 11B. A la mise en route, le système est mis dans les conditions de départ, c'est-à-dire que les compteurs sont vidés, les indicateurs sont mis en condition de départ, etc. L'opération suivante consiste à voir si le relais d'alimentation principal est fermé. Sinon, les sorties des modes automatique et manuel sont coupées Le programme continue par toutes les fonctions dans ce cas mais,
comme les sorties des modes automatique et manuel sont cou-
pées, aucune des sorties ne sera mise en service. Une fois
que le relais principal est fermé, le programme vérifie en-
suite si l'alimentation ou le fonctionnement est en service.
Si c'est le cas, la machine est dans le mode automatique.
Si ce n'est pas le cas, elle est dans le mode manuel. Dans
l'un et l'autre cas, la sortie appropriée (manuel ou auto-
matique) est mise àun et le programme continue.
L'opération suivante consiste à comparer la valeur
donnée par l'encodeur avec la valeur lors du passage pré-
cédent dans le programme. Si la valeur de l'encodeur n'a
pas changé, la valeur (qui est mise en mémoire de telle sor-
te que toutes les comparaisons effectuées pendant le même passage dans le programme sont effectuées sur la même valeur
24890 11
de l'encodeur) est conservée et le programme continue. Si ce
n'est pas le cas, la valeur en mémoire est changée et on en-
tre dans une boucle de contrôle du retard. Si la machine n' est pas dans le mode d'impression, la boucle est excitée et le programme continue. Si la machine est dans le mode d'im- pression, on contrôle l'indicateur de correspondance. S'il est en service, on continue dans la boucle; s'il ne l'est pas, la boucle est excitée. Finalement, le compteur de retard
est contrôlé, et s'il n'est pas à zéro, il est décrémenté.
Les deux branches du programme convergent maintenant. Si la machine est à la fois dans le mode automatique et dans le mode d'impression, le compteur de retard est alimenté et le multiplexeur (PIA 157) est ensuite mis àun pour adresser la
première adresse.
Pour ce mode de réalisation particulier, la première adresse est le circuit de commande de l'alimentation. Comme mentionné plus haut, dans ce premier mode de réalisation, le circuit de commande de l'alimentation utilise le circuit de
commande de fonction standard présenté aux figures 5A et 5B.
Pour réaliser ceci, toutes les décisions logiques sont pri-
ses par le microprocesseur. La sortie A du circuit de fonc-
tion choisi comme circuit de fonction d'alimentation comman-
de l'embrayage d'alimentation et le frein d'alimentation et les commutateurs A fournissent les points de mise en route et d'arrêt pour la fonction d'alimentation. Les commutateurs de mise en route de la fonction B sont utilisés pour fixer le retard pour le système, et les commutateurs d'arrêt de la fonction B ne sont pas utilisés. La sortie de la fonction B est utilisée pour commander l'embrayage de l'encodeur. Les entrées de validation de A et de B sont câblées pour être de poids faible pour le circuit de commande d'alimentation
puisque les fonctions doivent être validées à tout moment.
Ainsi, une fois que la fonction d'alimentation est adressée dans
le programme (en mettant à un le multiplexeur, MUX = 1), l'o-
pération suivante consiste à comparer la valeur de l'encodeur avec les points de mise en route et d'arrêt Préfixés de la fonction d'alimentation. Si la valeur de l'encodeur ne se trouve pas dans l'intervalle préfixé, les rouleaux d'alimentation sont arrêtés (en désactivant l'embrayage). Si la valeur de
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l'encodeur se situe quelque part entre les points de mise en route et d'arrêt préfixés, l'opération suivante consiste à déterminer si la machine est dans le mode d'impression. Si ce n'est pas le cas, les rouleaux d'alimentation sont mis en service et le programme continue. Si l'on se trouve dans le
mode d'impression, on contrôle l'indicateur de correspondance.
S'il est hors service, on contrôle si le repère est détecté
dans la fenêtre. Si ce n'est pas le cas, les rouleaux d'ali-
mentation sont mis en service et le programme continue. Si l'ocelle est détecté dans la fenêtre calculée, le compteur de
retard est ajusté sur la valeur du retard (par les commuta-
teurs de mise en route B du circuit de commande d'alimenta-
tion) et les rouleaux d'alimentation sont mis en service. Dès que l'ocelle est détecté dans la fenêtre, l'indication de correspondance est donnée. De ce fait, seul le bord avant de l'ocelle entraîne la mise en charge du retard. De cette façon,
le système est insensible à la largeur de l'ocelle.
Si la machine est dans le mode d'impression et que l'indicateur de correspondance est en service, le compte du retard est contrôlé pour voir s'il vaut zéro. Si ce n'est pas le cas, les rouleaux d'alimentation sont mis en service et le programme continue. Si le compte du retard égal zéro, le retard a été décrémenté et les rouleaux d'alimentation
sont donc mis hors service.
Une fois que les rouleaux d'alimentation ont été mis en ou hors service, la sortie du multiplexeur est fixée
à deux. Ceci adresse la fonction.de l'embrayage de l'enco-
deur et permet la mise en condition pour le cycle suivant.
Si la valeur de l'encodeur n'est pas supérieure ou égale à 350 dégrés, la sortie de l'embrayage (fonction B du circuit de commande de l'alimentation) est coupée et le programme continue. Si la valeur de l'encodeur est supérieure ou égale à 350 degrés, la sortie de l'embrayage est examinée pour voir
si elle est déjà en service. Si c'est le cas, elle est lais-
sée dans cet état et le programme continue. Ceci bloque l'em-
brayage en service jusqu'à ce que l'encodeur arrive à zéro
degré. A ce moment, la fonction d'embrayage est automatique-
ment mise hors service. Si d'autre part la valeur de l'enco-
deur est supérieure ou égale à 350 degrés, mais que la sortie
de l'embrayage est en service, le signal "feu vert" du sys-
tème d'alimentation ou du système d'enlèvement est examine.
Si le signal "feu vert" est présent, l'embrayage est mis en service et le programme continue. Si ce n'est pas le cas, l'embrayage de l'encodeur n'est pas encore mis en service.
Cette fonction particulière (commande de l'embrayage de l'en-
codeur) ne dépend pas des valeurs aux commutateurs de mise
en route ou d'arrêt.
Après avoir mis en service l'embrayage de l'encodeur,
on exécute les fonctions restantes. En particulier, la sor-
tie du multiplexeur est incrémenté de 1 et le résultat est comparé avec le nombre total de fonctions plus une pour voir
si toutes les fonctions (dans ce cas douze) ont été contrd-
lées. Si toutes les fonctions ont été contrôlées, le program-
me revient à son départ. Si ce n'est pas le cas, les commu-
tateurs de mise en route et d'arrêt pour la fonction suivan-
te sont comparés à la valeur de l'encodeur. Si la valeur de
l'encodeur tombe dans l'intervalle préfixé pour cette fonc-
tion, la fonction est mise en service. Si ce n'est pas le cas, elle est coupée. Dans l'un et l'autre cas, l'opération suivante consiste à incrémeter le multiplexeur une nouvelle fois. Le programme continue dans cette boucle jusqu'à ce que toutes les fonctions aient été exécutées, auquel moment il
retourne à son début, l'exécution du programme étant recom-
mencée. On a trouvé qu'avec ce système on peut atteindre une résolution de un degré à des vitesses allant jusqu'à 250 tours/minute.
A partir de ce qui précède, on comprendra que l'enco-
deur constitue un moyen pour engendrer des valeurs représen-
tant les stadesd'une machine dans son cycle au fur et à me-
sure que la machine progresse dans un cycle, et que les com-
mutateurs 5 et 7 constituent un moyen pour préfixer des points de mise en route et d'arrêt dans le cycle, pour au moins une des fonctions de la machine, en termes des valeurs
des stades. De plus, la section de comparateur 9 dans le pre-
mier mode de réalisationet le microprocesseur dans le second
mode de réalisation constituentun moyen pour comparer la va-
leur représentant des stades de la machine dans son cycle aux
24890 11
valeurs préfixées des points de mise en route et d'arrêt.
Chaque circuit de commande de fonction constitue un moyen pour faire débuter et maintenir la fonction correspondante
de la machine lorsque-les valeurs de l'encodeur sont supé-
rieures à la valeur du point de mise en route préfixé, mais inférieures à la valeur du point d'arrêt préfixé,pour cette fonction, et pour arrêter la fonction de la machine lorsque
lesvaleursde l'encodeur représentants les stades de la machi-
ne dans son cycle sont égales ou supérieures à la valeur du point d'arrêt préfixé pour cette fonction. L'embrayage de
l'encodeur,conjointement avec le circuit de commande d'ali-
mentation,constituent un moyen pour mettre la machine au re-
pos, maintenant ainsi la machine au stade correspondant de ce cycle et maintenant en substance identique la comparaison
des valeurs, et pour faire reprendre le fonctionnement cycli-
que de la machine.
Il faut comprendre également que les commutateurs de
retard 25 constituent un moyen pour fixer une longueur de re-
tard prédéterminée de tube à faire passer dans le moyen de scellage de la machine après détection d'un repère, avant que se produire le scellage d'un paquet. C'est-à-dire que,
pour chaque paquet, le scellage ne se produit qu'après détec-
tion de l'ocelle correspondant et l'entraînement ultérieurde
la longueur prédéterminée de matériel d'emballage dans la ma-
chine et, en particulier, devant les barres de scellage. De plus, les commutateurs de retard 25 conjointement avec les commutateurs d'arrêt d'entraînement ou d'alimentation 7 et le circuit de commande de l'alimentation du premier mode de
réalisation ou le microprocesseur du second mode de réalisa-
tion constituentun moyen pour recevoir des signaux du détec-
teur de repère uniquement pendant que des parties prédéter-
minées du tube passent devant le détecteurassurant ainsi
que l'on ne détecte que des repères se trouvant dans la por-
tion prédéterminée (c'est--dire la fenêtre) du tube. Dans le premier mode de réalisation, les mémoires Ml, M3, M5 et M7
et dans le second mode de réalisation le microprocesseur cons-
tituent un moyen sensible aui commutateurs d'arrêt d'entraîne-
ment ou d'alimentation et auxcommutateuitde retard pour indi-
quer au moyen de réception qu'il doit accepter les signaux
24890 11
* du détecteur (détecteur de repère) au stade du cycle précé-
dant le point d'arrêt préfixé d'une quantité égale à la lon-
gueur de retard plus la longueur de la fenêtre. Le circuit de la figure 8 constitue un moyen pour déterminer lorsque la longueur de retard du tube est passée par le moyen de scel-
lage après détection du repère et, conjointement avec le cir-
cuit dl'alimentation, constituait un moyen pour arrêter 1 'ali-
mentation du tube lorsque la longueur de retard est passée par le moyen de scellage, pour permettre le scellage du tube
en ce point. Le microprocesseur dans le second mode de réa-
lisation et le circuit de commande d'alimentation dans le premier mode de réalisation constituent également un moyen sensible à un signal extérieur pour faire cesser le repos de
la machine et faire reprendre son fonctionnement cyclique.
Les circuits de commande de fonction constituent des circuits
logiques pour faire débuter l'exécution des fonctions cor-
respondantes en réponse à un signal prédéterminé (signal de mise àun) et maintenir la fonction jusqu'à réception d'un
second signal prédéterminé (signal de remise à zéro).
Au vu de ce qui précède, on verra que les différents
buts de l'invention sont atteints, ainsi que d'autres résul-
tats avantageux.
Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux mo-
des de réalisation représentés et décrits qui n'ont été
choisis qu'à titre d'exemples.
24890 11

Claims (33)

REVENDICATIONS.
1. Procédé de conande d'une machine qui travaille par cycles, cette machine exécutant plusieurs fonctions pendant chaque cycle, caractérisé en ce qu'il consiste à engendrer des valeurs représentant les stades de la machine dans son
cycle au fur et à mesure que la machine progresse dans un cy-
cle, ces valeurs étant déterminées par le stade réel de la machine indépendamment du temps, préfixer des points de mise
en route et d'arrêt dans le cycle pour au moins une des fonc-
tions de la machine, en termes des dites valeurs, comparer les valeurs représentant les stades de la machine dans son cycle, avec les valeurs des points de mise en route et d'arrêt
préfixés, faire débuter et maintenir l'exécution de la fonc-
tion de la machine lorsque les valeurs représentant les sta-
des de la machine dans son cycle sont supérieures à la va-
leur du point de mise en route préfixé mais inférieures à la valeur du point d'arrêt préfixé,et arrêter la fonction de la
machine lorsque les valeurs représentant les.stades de la ma-
chine dans son cycle sont égales ou supérieures à la valeur
du point d'arrêt préfixé.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'une des fonctions de la machine est l'alimentation de matériel d'emballage flexible sous la forme d'un tube en passant par des moyens de scellage pour sceller le tube et
former des paquets, ladite opération d'ajustement compre-
nant la détermination de points de mise en route et d'arrêt
dans le fonctionnement cyclique pour l'alimentation du tube.
3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce
que le matériel d'emballage flexible porte une série de repè-
res, comprenant de plus les opérations consistant à détecter les repères, à préfixer une longueur de retard prédéterminée
de tube à faire passer par les moyens de scellage après dé-
tection d'un repère, avant que le moyen de scellage ne scelle
le tube.
4. Procédé selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'on ne détecte que des repères se trouvant dans des
parties prédéterminées du tube.
5. Procédé selon la revendication 3, caractérise en ce qu'il comprend de plus l'opération consistant à indiquer
à un opérateur qu'un repère a été détecté.
6. Procédé selon la revendication 3, caractérisé en
ce que l'opération consistant à détecter les repères com-
prend la réception- de signaux provenant d'un détecteur pour
détecter les repères.
7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que l'opération de réception comprend la réception des
signaux du détecteur uniquement pendant que des parties pré-
déterminées du tube passent par le détecteur, assurant ainsi
la détection des repères uniquement dans les portions prédé-
terminées du tube.
8. Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que la réception des signaux du détecteur commence au stade du cycle de la machine correspondant à un point qui se
trouve en avant du point d'arrêt préfixé, d'une quantité é-
gale à la longueur de retard plus la longueur de la portion
prédéterminée du tube.
9. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend de plus la mise au repos de la machine
dans un cycle à moins que, et jusqu'à ce qu'un signal exté-
rieur indiquant que le fonctionnement cylique peut repren-
dre, soit reçu par la machine.
10. Procédé selon la revendication 9, caractérisé en
ce que la mise au repos débute par le verrouillage d'un em-
brayage dans une position d'arrêt du fonctionnement cyclique
de la machineet se termine par le déverrouillage de cet em-
brayage lors de la réception du signal extérieur.
11. Procédé de commande d'un appareil pour sceller des
paquets dans lequel une bande de matériel d'emballage flexi-
ble portant une série de repères est façonnÈben un tube et est amen aà passer par un moyen de scellage pour sceller le tube et former des paquets, caractérisé en ce qu'il comprend
la détection des repères, l'ajustement d'une longueur de re-
tard prédéterminée de tube à faire passer par le moyen de
scellage après détection d'un repère et avant scellage du tu-
be, la détermination du fait que la longueur prédéterminée de tube est passée par le moyen de scellage après détection du repère, et l'arrêt de l'alimentation du matériel dans le
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moyen de scellage lorsque la longueur prédéterminée du tube
est passée par le moyen de scellage.
12. Procédé selon la revendication 11, caractérisé en ce que l'opération de détermination comprend la production et la fourniture de signaux indiquant la longueur de tube pas- sée par le moyen de scellage, comprenant de plus l'opération consistant à ajuster une longueur maximum de tube à faire
passer par le moyen de scellage par paquet et en ce que l'o-
pération de commande comprend la commande du moyen de scella-
ge pour sceller le tube si la longueur maximum de tube est
passée par le moyen de scellage.
13. Procédé selon la revendication 11, caractérisé en ce que l'opération de détection comprend la réception de signaux provenant d'un détecteur pour détecter les repères uniquement pendant que des parties prédéterminées du tube passent par le détecteur assurant ainsi que ne sont détectés que des
repères se trouvant dans les parties prédéterminées du tube.
14. Procédé selon la revendication 13, caractérisé en
ce que les signaux du détecteur sont reçus à partir du mo-
ment o passe par le moyen de scellage un point du tube si-
tué à une distance de l'extrémité du paquet, déterminée par l'ajustement de la longueur maximum, égale à la longueur de
la partie prédéterminée plus la longueur de retard.
15. Procédé selon la revendication 13, caractérisé en
ce que les signaux du détecteur cessent d'être reçus lors-
que passe par le moyen de scellage un point du tube situé à
une distance de l'extrémité du paquet, déterminée par l'a-
justement de la longueur maximum,égale à la longueur de retard.
16. Procédé selon la revendication 11, caractérisé en
ce que l'opération de détermination comprend la mise en mé-
moire d'une valeur représentant la longueur prédéterminée de retard et la décrémentation de cette valeur lorsque le tube passe
par le moyen de scellage après détection du repère, propor-
tionnellement à la longueur du tube qui est passée.
17. Appareil pour commander une machine travaillant
par cycles, cette machine exécutant plusieurs fonctions pen-
dant chaque cycle, caractérisé en ce qu'il comprend un moyen
pour engendrer des valeurs représentant les stades de la ma-
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chine dans son cycle au fur et à mesure que la machine pro-
gresse dans un cycle, ces valeurs étant déterminées par le stade réel de la machine indépendamment du temps, un moyen pour préfixer des points de mise en route et d'arrêt dans le cycle pour au moins une des fonctions de la machine, en ter-
mes des dites valeurs, un moyen pour comparer les valeurs re-
présentant les stades de la machine dans son cycle avec les valeurs des points de mise en route et d'arrêt préfixés, et un moyen pour faire débuter et maintenir l'exécution de la fonction de la machine lorsque les valeurs représentant les
stades de la machine dans son cycle sont supérieurs à la va-
leur du point de mise en route préfixée mais sont inférieures à la valeur du point d'arrêt préfixé et pour faire cesser l'exécution de la fonction de la machine lorsque les valeurs représentent les stades de la machine dans son cycle sont égales ou supérieures à la valeur du point d'arrêt préfixé
18. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que l'une des fonctions à points de mise en route et d'arrêt préfixés est la fonction d'alimentation d'un matériel d'emballage flexible sous la formed'un tube, en passant par
un moyen de scellage pour sceller le tube pour former des pa-
quets, ce moyen de préfixation comprenant un moyen pourajuster les points de mise en route et d'arrêt dans le cycle pour
l'alimentation du tube passant par le moyen de scellage.
19. Appareil selon la revendication 18, caractérisé en ce que le matériel d'emballage flexible porte une série de
repères, comprenant de plus un moyen pour détecter les repè-
res, et un moyen de retard pour fixer une longueur de retard prédéterminée de tube à faire passer par le moyen de scellage
après détection d'un repère, avant de sceller un paquet.
20. Appareil selon la revendication 19, caractérisé en ce qu'il comprend de plus un moyen pour recevoir des signaux
provenant du moyen de détection uniquement pendant que des par-
ties prédéterminées du tube passent par le moyen de détection,
assurant.ainsi que ne sont détectés que des repères se trou-
vant dans la partie prédéterminée du tube.
21. Appareil selon la revendication 20, caractérisé en ce qu'il comprend de plus un moyen sensible au moyen de préfixation et au moyen de retard pour indiquer au moyen de
réception qu'il doit accepter les signaux du moyen de détec-
tion au stade du cycle de la machine précédant le point d'ar-
rêt préfixé d'une quantité égale à la longueur de retard plus
la longueur de la partie prédéterminée du tube.
22. Appareil selon la revendication 19, caractérisé
en ce qu'il comprend de plus un moyen d'affichage pour indi-
quer la détection d'un repère.
23. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce qu'il comprend de plus un moyen pour mettre la machine au repos et faire reprendre le fonctionnement cyclique de la
machine, ledit moyen de mise au repos étant sensible à un si-
gnal extérieur pour faire cesser la mise au repos et faire
reprendre le fonctionnement cynique de la machine.
24. Appareil selon la revendication 23, caractérisé en ce que le moyen de mise au repos comprend un embrayage et
un moyen pour verrouiller cet embrayage en position pour ar-
rêter le fonctionnement cyclique de la machine pendant la mise au repos, et pour déverrouiller cet embrayage lors de
la réception du signal extérieur.
25. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que le moyen pour engendrer des valeurs représentant les stades de la machine comprend un encodeur pour engendrer des
valeurs représentant des stades absolus de la machine.
26. Appareil selon la revendication 17, caractérisé en ce que le moyen de mise en route et de maintien comprend un circuit logique pour faire débuter l'exécution de la fonction en réponse à un signal prédéterminé et maintenir l'exécution
de la fonction jusqu'à réception d'un second signal prédéter-
miné, ces signaux prédéterminés étant engendrés par le
moyen de comparaison.
27. Appareil pour sceller des paquets, dans lequel une bande de matériel d'emballage flexible portant une série de
repères est façonne en un tube et passe par un moyen de scel-
lage pour sceller le tube et former des paquets, comprenant un système de commande caractérisé en ce qu'il comprend un moyen de détection pour détecter les repères, un moyen de retard pour fixer une longueur de retard prédéterminée de tube à faire passer par le moyen de scellage après détection d'un
repère, et un moyen sensible au moyen de détection pour dé-
terminer lorsque la longueur prédéterminée de tube est passée par le moyen de scellage après détection du repère, et faire
cesser l'alimentation du tube lorsque la longueur prédéter-
minée de tube est passée par le moyen de scellage, pour per-
mettre le scellage du tube en ce point.
28. Système de commande selon la revendication 27, caractérisé en ce que le moyen de détermination comprend un moyen pour fournir des signaux indiquant la longueur de tube passée par le moyen de scellage, et comprenant de plus un moyen pour fixer une longueur maximum de tube à faire passer par le moyen de scellage par paquet, et en ce que le moyen de commande comprend un moyen sensible au moyen de fixation de la longueur maximum et au moyen fournissant les signaux indiquant la longueur, pour commander le moyen de scellage et sceller le tube si la longueur maximum de tube est passée
par le moyen de scellage.
29. Système de commande selon la revendication 28,
caractérisé en ce qu'il comprend de plus un moyen pour accep-
ter des signaux du moyen de détection uniquement pendant que des parties prédéterminées du tube passent par le moyen de
détection, assurant ainsi que ne sont détectés que des repè-
res se trouvant dans les parties prédéterminées du tube.
30. Système de commande selon la revendication 21, caractérisé en ce que les parties prédéterminées du tube ont une longueur en substance identique et en ce que le moyen
de réception comprend un moyen sensible au moyen de fixa-
tion de la longueur maximum et au moyen de retard pour rece-
voir des signaux du moyen de détection à partir du moment o la longueur de tube à faire passer par le moyen de scellage,
avant d'atteindre la longueur maximum,est égale à la lon-
gueur de la partie prédéterminée plus la longueur de retard prédéterminée.
31. Système de commande selon la revendication 30, caractérisé en ce que le moyen de réception comprend un
moyen à mémoire pour calculer les stades de la machine aux-
quels les signaux du moyen de détection sont reçus. -
32. Système de commande selon la revendication 27, caractérisé en ce que le moyen de détermination comprend un
moyen pour mettre en mémoire une valeur représentant le re-
24890 11
tard de longueur prédéterminé et pour d&crémenter cette va-
leur au fur et à mesure que le tube passe par le moyen de scellage après détection du repère, proportionnellement à la
longueur de tube qui est passée.
33. Système de commande selon la revendication 32,
caractérisé en ce que le moyen de mise en mémoire et de dé-
crémentation comprend un compteur.
FR8116055A 1980-08-21 1981-08-21 Systeme de commande pour machines cycliques Granted FR2489011A1 (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US06/180,039 US4391079A (en) 1980-08-21 1980-08-21 Control system for cyclic machines

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR2489011A1 true FR2489011A1 (fr) 1982-02-26
FR2489011B3 FR2489011B3 (fr) 1983-07-08

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ID=22658982

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