FR2472973A1 - Machine a ecrire electronique - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UNE MACHINE A ECRIRE ELECTRONIQUE COMPRENANT UN DISQUE PORTE-CARACTERES 42 A LAMES FLEXIBLES ET UN MOTEUR POUR LA SELECTION DE LA LAME QUI PORTE LE CARACTERE A ECRIRE. ELLE COMPREND EN OUTRE UN TRANSDUCTEUR NUMERIQUE QUI DETECTE LA POSITION ANGULAIRE DU DISQUE 42, UN CIRCUIT D'ASSERVISSEMENT NUMERIQUE DE VITESSE COMMANDE PAR LE TRANSDUCTEUR ET ACTIVANT LE MOTEUR POUR UN POSITIONNEMENT GROSSIER DE LA LAME DU CARACTERE SELECTIONNE, UNE SERIE D'ELEMENTS DE RECTIFICATION MOBILES DE FACON SYNCHRONE DES CRACTERES DU DISQUE 42 ET UN ORGANE DE RECTIFICATION COMMANDE PAR LE TRANSDUCTEUR, POUVANT COOPERER AVEC LES ELEMENTS DE RECTIFICATION ET QUI POSITIONNE EXACTEMENT LA LAME EN FACE DU POINT D'ECRITURE. L'INVENTION PERMET D'OBTENIR UN POSITIONNEMENT PRECIS, FIABLE ET PEU COUTEUX DU PORTE-CARACTERES.

Description

- 1- L'invention concerne une machine à écrire électronique camprenant un

disque porte-caractères à lames flexibles et un moteur pour la sélection de la lame qui porte le caractère

& écrire.

On conna!t un dispositif d'mpresoion de ce type dans lequel la position du disque est détcotée par un transducteur qui fournit des informations analogiques à proximité de chacune des positions angulaires auxquelles peuvent atre sélectionnées les lames du disque. Le mcteur de sélection du disque est alimenté par une seorv-enrde qui, à proximité de la position de sélection du disque, eat ascervie au signal analogique du transducteur qui présente un zéro quand la lame est parfaitement centrée. Etant donné que la précision de positionnement du disque dépend directement du degré de précision du trantducteur et de la réponse des circuits, le

dispositif nécessite l'emploi de c omrants très coûteux.

Par suite, il est prohibitif, quant au prix, dutiliser un dispositif de ce type dans une =mcne & écrire, en particulier

du type portatif.

Le but principal de l'invention est donc de réaliser une machine & écrire électronique c orat unpositionnement trés précis et fiable du dique port ocaractères et utilisant des ccposants relativomant pou cottevu. Dans ce but, la

machine & écrire électronique selon l invention est caracté-

risée par un transducteur nérique qui détcte la position angulaire du disque, par un circuit deaaervi iement numérique de vitesse commandé par le transducteur et activant le amoteur pour un positionnement grorier de la lame du caractère sélectionné, par une série d'éléments de rectification, mobiles de façon synchrone des caractères du disque et par un organe de rectification coamndé par le transducteur, pouvant coopérer avec les éléments de rectification et qui

positionne exactement la lame en fac du point d'écriture.

Un mode d'exécution est caractérisé par le fait qu'entre le moteur de sélection et le disque est disposé un train d'engrenages servant & réduire lavitesse du disque relativement -2- à celle du moteur tandis que le transducteur de position est calé directement sur l'arbre de fixation du disque

porte-caractères pour réduire les erreurs dues à des jeux.

Selon un autre mode d'exécution, le disque porte-carac-

S tères est monté sur un chariot mobile transversalement au cylindre porte-papier et en outre sont prévus un moteur de service monté sur le chariot, des éléments de liaison entre le moteur de service, un marteau pour la frappe du caractère sélectionné et/ou l'organe de rectification du disque et un circuit de commande du moteur de service assurant par conséquent l'activation du marteau et/ou de l'organe de

rectification relié à celui-ci.

Des modes de réalisation de l'invention seront décrits ci-après, à titre d'exemple non limitatif, avec référence aux dessins annexés dans lesquels s La figure 1 est une vue schématique en plan de la machine à écrire selon l'invention i La figure 2 est une vue latérale partielle d'un détail de la machine de la figure 1 S La figure 3 est un plan du détail de la figure 2 z La figure 4 est une vue frontale du détail de la figure 2 t La figure 5 est une perspective éclatée du détail de la figure 2; La figure 6 est une vue latérale d'une partie du détail de la figure 2 1 La figure 7 est une vue latérale d'une autre partie du détail de la figure 2 t La figure 8 est une vue latérale 2 dans une position de travail g La figure 9 est une vue latérale 6, dans une position de travail z du détail de la figure du détail de la figure La figure 10 est une vue latérale d'un autre détail de la machine de la figure 1 g La figure 11 est un plan de certaines parties du détail de la figure 10 z 3- La figure 12 est un schéma-blocs électrique de la machine électronique selon l'invention i La figure 13 est un schéma-blocs électrique d'une variante d'un détail du schéma de la figure 12; La figure 14 est une vue agrandie d'un détail de la figure 4 y La figure 15 est un diagramme de certains signaux du schéma de la figure 13! La figure 16 est un diagramme d'autres signaux du schéma de la figure 13 i La figure 17 est un diagramme de travail d'une partie de la figure 12 t La figure 18 est un schéma électrique d'un bloc de la

figure 12.

Cornmme le montre la figure 1, la machine & écrire électronique indiquée par la r6férenee 20 comprend une base 21 sur laquelle est fixé un chSssis 22 qui supporte un cylindre d'écriture 23, un mécanisme d'interligne 135 et deux barres 24 qui guident avec possibilité de coulissement un groupe d'impression 25. Sur la base 21 sont en outre fixés un clavier 26 du type & contacts, une plaque destinée & une unité électronique de commande 27 et un moteur 28

qui assure les déplacements transversaux du groupe d'impres-

sion 25, par l'intermédiaire d'un fil 29 et d'une poulie 30.

2s L'unité 27 reçoit du clavier 26 le code du caractère à écrire et des fonctions A accomplir et assure l'envoi des commandements correspondants au groupe d'impression 25,

au moteur 28 et au mécanisme d'interligne 135.

Comme le montrent les figures 2 et 3, le groupe d'impression 25 comprend un chariot 31 qui est guide par les barres 24 par l'intermédiaire de douilles 32 et d'une fourche 33. Sur le chariot 31 sont montés, par l'intermédiaire d'un arbre 34, les ailes d'un support 37 qui peut être bloqué sur le chariot 31 par l'intermédiaire de deux broches 36 du support 37 (figure 3) et de deux pinces ou positionneurs & ressort 35 du chariot 31. Le support 37 est muni de deux

&É -1 *- -

-4- plaques 38 et 39 pratiquement verticales, entre lesquelles peut tourner un axe moteur 40. A une extrémité de l'axe 40, dépassant de la plaque 39 vers le cylindre 23, est fixé, par l'intermédiaire d'un élément de blocage 41, un élément porte-caractères 42 du type 'en marguerite' qui porte cent caractères 43, essentiellement de ia façon décrite dans le brevet italien 1 016 590. Sur le chariot 31 sont montés une plaque oscillante 44 qui sert de soutien à une cartouche destinée à un ruban d'écriture 46 (indiqué en trait mixte sur la figure 2) et un châssis 47 servant de guide à un ruban de correction 48. La frappe des caractères 43 est assurée par un marteau 49 guidé par une encoche 51 de la plaque 39 (voir aussi figure 4) et fixé sur un arbre 50

qui a son point d'appui entre les ailes du support 37.

Pour la sélection des caractères 43, sur l'axe 40 est fixée, entre les plaques 38 et 39, une roue dentée 55 qui

engrène avec un pignon 56 d'un moteur électrique 57, lui-

mime fixé sur la plaque 38. Sur l'axe 40 est en outre fixé un élément de positionnement 58 qui constitue un transducteur de position à balai et fournit & l'unité électrique de commande des informations numériques sur le positionnement angulaire de la marguerite 42 et sur son sens de rotation éventuel. L'élément 58 contribue en outre à la rectification de la position angulaire de la marguerite 42 et au contr8le de l'intensité de frappe du marteau 49. Sur la plaque 39 sont montés en ciseaux deux bras 53 (figure 4) qui poussent, sous l'action d'un ressort 54, sur le moyeu de l'élément de blocage 41, le freinant de manière à empêcher les oscillations

non désirées de la marguerite 42.

L'élément 58 est en forme de disque et porte, sur une face isolante 63, un circuit imprimé 64 muni d'une piste conductrice commune 59 reliée concentriquement à une piste de synchronisation munie d'une zone de contact à dent unique 60 (figure 14) et de deux pistes 61 et 62 munies chacune de zones de contact & cinquante dents. Les dents des deux pistes 61 et 62 sont déphasées entre elles de 90 _5- et les creux entre les dents occupent environ 50 % de la longueur des deux pistes. De cette manière# les bords des deux pistes 61 et 62 définissent deux cents positions angulaires différentes de l'axe 40 (figure 4) et donc de la marguerite 42. Sur la plaque 39 est fixé, en face de la face 63, un carter 69 qui protège le circuit imprimé 64 et

fixe quatre balais 65, 66, 67 et 68 qui frottent respective-

ment sur les pistes 59, 60, 61 et 62 pour la détection des positions et du sens de mouvement de l'axe 40 de manière en elle-même connue. En outre, afin de réduire l'usure des balais 65 & 68 (figure 14)o due au frottement sur la surface de la face isolante 63, habituellement quelque peu abrasive, la partie vide, adjacente aux dents des pistes 61 et 62 et & la zone conductrice 60, est partiellement recouverte de couches métalliques 69, 70 et 71 formées de la matière même des pistes conductrices mais isolées électriquement de celles-ci. Selon un mode d'exéeution de l'invention, sur le chariot 31 (figure 2) est fixé6 un moteur de service 75 qui fournit l'énergie nécessaire pour rectifier la position de la marguerite 42 ou pour la frappe du marteau 49 sur la lame du caractère 43 sélectionné. En outre, le même moteur 75

assure le levage et l'avancement du ruban 46 et éventuelle-

ment les autres services analogues du ruban de correction 48. En détail, le moteur 75, par l'itermé6diaire d'un train de roues démultiplicatrices 76, fait tourner la partie motrice d'un embrayage â ressort 77, normalement dégagé, dont la partie conduite 80 est munie de deux dents de commande 78 pouvant être relâchées chacune par l'armature 74 d'un électroaimant 79. Quand les dents 78 sont relâchées et que l'embrayage 77 s'engage, la partie conduite 80 entratne, par l'intermédiaire d'un train de roues dentées 81, un arbre porte-cames 82. Sur cet arbre 82 sont fixées deux cames 83 et 84 qui commandent respectivement la frappe du marteau 49 et la rectification de la position angulaire -6- de la marguerite 42 et trois cames 85, 86 et 87 (figure 5) qui commandent les services du ruban d'écriture 46 (figure

2) et du ruban de correction 58.

Pour la commande de la frappe, la came 83 coopère avec un levier palpeur de came 88 qui oscille autour d'un pivot 93 sur un c8té du chariot 31 et fixe une extrémité d'un ressort de frappe 89. L'autre extrémité du ressort 89 est fixée sur un levier de réglage 101 (figure 8) qui a son

point d'appui sur le chariot 31 et est relié, par l'intermé-

diaire d'un doigt 102, à une fente 103 d'un levier 104 ayant lui aussi son point d'appui sur le chariot 31 et qui peut être amené manuellement à l'une de deux positions stables pour faire varier la tension du ressort 89. Le levier 88 (figure 2) est relié, par l'intermédiaire d'une fente 94, à un doigt Dû d'un levier intermédiaire 91 fixé sur l'arbre 50 du marteau 49 tandis qu'un léger ressort en épingle à cheveux 93 tend à maintenir le marteau 49 dans

sa position de repos, loin de la marguerite 42.

Pour la rectification de la position angulaire de la marguerite, la came 84 coopère avec un levier palpeur de came 95 ayant son point d'appui sur un axe 96 qui est relié, par l'intermédiaire d'un joint élastique 97, à une dent de positionnement 98 ayant elle aussi son point d'appui

sur l'axe 96 et guidée dans une encoche 100 du chariot 31.

Cette dent 98 (figure 4) est conçue pour s'engager dans une encoche faisant partie d'une série de cent encoches en V, 99, associées aux caractères 43 de la marguerite 42 (figure ) et pratiquées sur le bord cylindrique de l'élément de

positionnement 58.

Pour la commande automatique de l'intensité de frappe, le levier 95 est enfin relié, par l'intermédiaire d'un deuxième joint élastique 105, à un élément en pont 106 ayant son point d'appui sur l'axe 96 et muni d'un bras 107 et d'un crochet 108. Le bras 107 est guidé par l'encoche 100 et conçu pour coopérer sélectivement avec une dent 109 qui peut être associée à l'un des caractères 43 et qui se -7- dresse sur l'élément de positionnement 58. Le crochet 108 (voir aussi figure 3) est conçu pour coopérer avec un arrêt d'un petit levier 111 ayant son point d'appui sur le pivot 93 et relié au levier de frappe 88 par l'intermédiaire d'un ressort 112. Le ressort 112 est conçu pour recevoir une partie de l'énergie du ressort de frappe 89 quand le bras 107 ne rencontre aucune dent 109 de l'6élément de

positionnement 58.

Pour le service de ruban d'écriture 46 (figure 7), la came 85 est du type à coulisses présentant deux lobes de hauteur différente. Cette came 85 coopère avec un palpeur de came 115 fixé sur la plaque oscillante 44, sur le c8té

du chariot 31 opposé au levier 88 (voir aussi figure 5).

Cette came 85 assure la visibilité du point d'écriture et des levages différenciés de la cartouche 45 et du ruban 46, permettant ainsi d'utiliser des rubans 46 à deux pistes superposées. En outre, pour l'avancement du ruban 46 est prévu un petit levier 116 (voir aussi figure 11), ayant son point d'appui sur le palpeur de came 115 et qui, sous l'action d'un ressort 117, coopère avec une roue 119 & dents de scie d'un pivot moteur 122 conçu pour oopérer avec l'un de deux galets 114 (figure 11) de la cartouche qui assurent l'avancement & sens unique du ruban 46. Un petit levier 120, tiré par un ressort 121, assure enfin

le blocage de la rotation inverse de la roue 119.

Pour le levage du ruban correcteur 48, la came 87 (figure 6) coopère, sous l'action d'un ressort 134, avec un levier palpeur de came 125 qui est conçu pour entraPner sélectivement vers le haut le châssis 47 du ruban correcteur 48, au moyen d'un levier d'interposition 124 tiré par un ressort 123 qui a son point d'appui sur un bras du châssis

47 et commandé par l'armature 126 d'un lectro-aimant 127.

Le ruban correcteur 48 se diroule en particulier d'une bobine débitrice 128 (figure 3) et s'enroule sur une bobine réceptrice 129. Les deux bobines 128 et 129 sont montées sur les deux bras du chSssis 47, leurs axes de rotation sont parallèles au cylindre d'écriture 23 et elles sont fixées

de façon amovible sur deux roues & dents de scie correspon-

dantes 137 et 131.

Un petit levier 130, ayant son point d'appui sur le chariot 31, coopère avec la dent 131 sous l'action d'un ressort 136 (figure 5) et assure l'avancement du ruban 48 en l'enroulant sur la bobine 129 en même temps qu'il est levé sous l'action du châssis 47. Un petit levier 113, tiré par un ressort 138 et ayant son point d'appui sur le chissis 47, empêche les rotations de la roue 131 qui déroulent le ruban 48. Un petit levier 132, ayant son point d'appui et pouvant coulisser sur le châssis 47, coopère normalement sous l'action d'un ressort 133 avec les dents de la roue 137 et maintient constamment tendu le ruban 148 enroulé sur la bobine 128 tandis qu'il est entraîné et saute sur

la roue 137 pendant l'avancement normal du ruban 48.

Dans le fonctionnement du groupe d'impression 25, à chaque cycle d'écriture, l'unité de commande 27 fournit une alimentation constante au moteur de service 75 et une alimentation par impulsions au moteur de sélection 57 (figure 2) de la façon décrite ci-après, jusqu'à positionner la lame du caractère 43 en face du marteau 49, avec une précision angulaire de 1/4 de pas relativement à sa position

centrée. Cette position atteinte# l'unité 27 active l'électro-

aimant 79 qui libère l'une des dents 78 de l'embrayage 77,

entratnant en rotation l'arbre porte-cames 82.

La came 85 (figure 7) commence à soulever la plaque 44 pour positionner l'une des deux pistes du ruban 46 en face du point d'écriture. En outre, la came 86 et le levier 116, par l'intermédiaire de la dent 118 et de la roue 119, font tourner le pivot moteur 122 et l'un des galets 114 de la cartouche 45 pour l'avance simultanée du ruban 46. La came 84 (figure 2), par un profil de hauteur croissante, commande positivement le levier palpeur de came 95 qui, par l'intermédiaire des joints élastiques 97 et 105, entratne en rotation en sens inverse des aiguilles d'une montre la 9- dent de positionnement 98 et l'élément à pont 106. A la fin du prépositionnement du caractère 43, la dent 98 se trouve centrée relativement au sommet de l'encoche en V 99 de façon suffisante pour quOelle puisse s'engager sûrement dans l'encoche associée au caractère sélectionnéo L'action de la dent 98 sur l'encoche 99 est telle qu'elle fait tourner la marguerite 42 dans la mesure néuosaire au centrage exact

de la lame du careotèro électionné en face du marteau 49.

Poursuivant sa rotation, le levier 95 fait tourner davantage le bras 107, Si aucune dent 109 de l'élément 58 n'est disposée en face de ce bras 107# l'élément 106 (figure 8) est libre de tourner et éloigne le crochet 108 de la trajectoire de l'arr8t 110 du levier 111. Quand la came 83 (figure 2) présente une dépreusion rapide, le levier palpeur 88 tourne rapidement sous l'action du ressort 89, en même temps que le levier 111, as.ant la frappe du marteau 49 avec l'intensité marinale qui avait &-é posée manuellement sur le levier 101. Sie par contre, le bras 107 rencontre une dent 109 de l'élément 58, l'élâarnt en pont 106 s'arrête et tend le joint élastique 105 tandis que le crochet 109 (figure 8) reste sur la trajectoire de l'arr4t 110 du levier 111. Le levier 111 ne peut plus alors suivre le levier palpeur de came 88 lancé par le ressort 39 et met sous tension le ressort 112 (figure 2) qui réduit la force de frappe du marteau 49o En particulier leo dents 109 sont alignées sur les caractères et leo symboles ayant une surface de frappe plus petite et qui, grâce & ce réglage, sont ainsi écrits avec une force de frappe considérablement réduite relativement à celle des caractères de plus grande surface, empêchant le burinage de la feuille d'écrmture Ensuite, les cames 83, 84 ramènent au repos le marteau 49, la dent 98 et le bras 107 et la came 85 (figure 7) ramène au repos la plaque 44 et donc le ruban 46, pour la visibilité du caractère écrit. L'armature 77 de l'électro-aimant 79 rencontre ensuite une des dents de commande 78 de l'embrayage 77 qui est ainsi dégagé à nouveau tandis qu'en un temps

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suivant, l'unité électronique 27 assure la désexcitation

du moteur 75.

Pendant le cycle d'écriture, la rotation de la came 87 (figure 6) et donc l'oscillation du levier palpeur de came 125 n'ont eu aucun effet sur le châssis 47 du ruban de correction 48. Si, par contre, on a sélectionné sur le clavier un cycle de correction, l'unité électronique 27 excite non seulement l'électro-aimant 79 mais en outre l'électro-aimant 127. L'armature 126 libère alors le levier d'interposition 124 qui, sous la poussée du ressort 123, se dispose en face du levier palpeur de came 125. Dans la suite de la rotation de la came 87, le levier 125 est mis en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre,

rencontre le levier 124 et soulève le chassis 47 (figure 9).

Le ruban de correction 48 se dispose ainsi en face du point d'écriture du cylindre 23 pour la correction du caractère écrit. En outre, quand le chassis 47 se soulève, la roue dentée 131 se déplace relativement au levier 130 et provoque l'avancement du ruban de correction 48* Pour le remplacement de la marguerite 42 (figure 8), on fait tourner manuellement le support 37 autour de l'arbre 34, libérant ses broches 36 des positionneurs à ressort 35 jusqu'à ce que la plaque 38 bascule d'un angle d'environ

300. Cela-permet de saisir facilement le moyeu de la margue-

rite 42 pour l'enlever de l'élément de blocage 41. Pendant cette rotation, le doigt 90 du levier intermédiaire 91 monté sur le support 37 coulisse librement dans la fente

94 du levier palpeur de came 88, libérant le marteau 49.

Le ressort en épingle à cheveux 92 maintient le marteau 49 dans sa position de repos, le levier 91 étant arrêté contre la broche 36 pour faciliter ensuite la reprise de coopération entre le doigt 90 et la fente 94. A son tour, l'élément de positionnement 58, soulevant sa partie inférieure avec les encoches en V 99 et les dents 109, n'accroche aucunement la dent de positionnement 98 et le bras 107 (figure 2) qui restent dans les positions de repos respectives sur le

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chariot 31.

Outre les facilités de remplacement de la marguerite 42, cette structure particulière de soutien permet d'obtenir un groupe simpl1e qui peut 8tre retiré des autres parties du chariot pour assurer un accès facile en vue du montage du groupe lui-m3me et des réparations ou de lentretien éventuels du transducteur 58 et des parties relatives â la sélection de la marguerite 42, LI levage du support 37 permet en outre d'accéder facilement aux mécanismes relatifs

au moteur de service 75.

Pour les déplacements du groupe d'impression 25, le moteur 28 (figure 1) est du type pas--pas & quarante huit positions angulaires. Sur son rotor est calé un tambour 154 sur lequel est enroulé le fil 29 dont les extrémités sont fixées sur le chassis 22 Pour les déplacements du chariot, le fil 29 s'enroule non seulement sur les poulies 30 pouvant tourner sur le châssis 22 mais encore sur deux autres poulies 155 pouvant tourner sur le chariot 31. Le moteur 28, par l'intermédiaire du tambour 154e ccmande des avances du chariot 31 avec des pas derpacement de 2,54 m, 2"12 m et 1, 69 nm que l'on peut obtenr respectivement en faisant

tourner le rotor de 6, 5 et 4 pas élémentaires.

Comme le montre la Zfigure l0o lavance du cylindre 23 est obtenue au moyen d'un moteur à courant continu 140 fixé au châssis 22 et relié par 1intermédiaire d'un train

d*engrenages démultiplicateurs 141 à deux cames 142 et 143.

La came 142 comprend deux secteurs cylindriques de hauteur différente et agit sur l616ment de commande d'un déviateur 144. Ce déviateur 144 possède une borne comune 139 reliée électriquement au moteur 140 et deux bornes 150 et 151 reliées & l'unité électronique 27 (figure 121 En particulier, l'unité 27 alimente normalement la bene 151 et maintient & zéro la borne 1501 la came 142 (figure 10) positionne à son tour l'élément de comande du déviateur 144 de manière & relier les bornes 139 et 150 et à maintenir au repos le

moteur 140.

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A la came 143 s'applique, sous l'action d'un ressort 156, un levier palpeur de came 145 qui, par l'intermédiaire d'une bielle 149, commande un encliquetage 146 muni d'une dent 152 qui coopère à son tour avec une roue dentée 147 du cylindre 23. L'arc d'accrochage entre la dent 52 et la roue 147 peut être posé manuellement par un levier 148 sous l'action d'un carter 153 pour régler l'interligne du

cylindre 23 de manière en elle-même connue.

Pour l'actionnement du mécanisme 135, l'unité électroni-

que 27 (figure 12) alimente le moteur 140 par l'intermédiaire de la borne 150 pendant un temps suffisant pour faire tourner

le came 142 (figure 10) pour la commutation du déviateur 144.

Le moteur 140 est ainsi alimenté automatiquement par la borne 151, même en l'absence de tension à la borne 151. Au bout d'un tour entier des cames 142 et 143, il se produit une autre commutation du déviateur 144 et l'arrêt du moteur 140. La rotation de la came 143 fait accomplir un cycle de fonctionnement à l'encliquetage 146 qui effectue ainsi

l'interligne du cylindre 23, posé par le levier 148.

Comme le montre la figure 12, l'unité électronique de commande 27 comprend un bloc d'alimentation 159 à deux tensions continues de 5 et 24 V, un oscillateur 160 et deux microprocesseurs, mattre 161 et esclave 162, qui sont en interface avec le clavier 26 et sont temporisés par 160, par l'intermédiaire d'une ligne 157. Le microprocesseur 161 code les données de 26 grâce à huit lignes d'exploration

163 et de lecture 164.

Deux circuits 165 et 166, par l'intermédiaire de lignes 158 et 167, convertissent les niveaux de tension de 5 V des lignes 163 et 164 en signaux de 24 V sur les contacts

de 26 qui minimisent les incertitudes sur les connexions.

Cela est obtenu par exemple au moyen d'amplificateurs de V, 165, d'une alimentation de 24 V, 167 et d'amplificateurs différentiels entre 167 et 164, l'autre entrée étant polarisée

& 12 V.

Le microprocesseur 161 assure, grâce à une série de

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touches de service du clavier 26, les déplacements en avant et en arrière du chariot et en outre, la mémorisation, dans une mémoire de mise en forme, du format d'impression et, dans une mémoire de mot0 ds codes des dix derniers caractères frappés en 26 pour leur annulation sur la feuille. Le microprocesseur 161 comprend un tampon servant & mémoriser les données frapp5es et non encore 61abréoe et exécute les comandes de re versement et derreur ur doubles frappes. Le microprcs nne 161 ibne en outre les données d'un sélecteur 168 deux bits pour envoyer 6, 5 ou 4 impulsions au moter pa&pas 28 pour les espacements de 6, 5 et 4 pas du chariot et un signal de synchronisation d'un interrupteur de fin de course 169 pouvant etre activé

par le chariot dans s poittion de fin de course au début.

Le microprocesseur 161, par lVintredéiaire de lignes et d'un amplificateur l71 fournit successivement les impulsions de cmmande pur lo mteur pasâ-pas 28 y en outre, par l'intermêdiairo 1e deux lignes 172 et 180, des lignes 173 et 174 et d-a mpli cateur a trois voies 175, il active le maoteur de sevice 75 et les électro-aimants 79 et 127 et par l'ilntermdiairo d'une ligne 176 et d'un amplificateur à plusieurs voieG 177, il active le moteur d'interligne 140 y enfin, par l'intermédiaire d'une ligne

178, il assure la coimande d8nn avoetisaeur acoustique 179.

Le microprocesseur eol1ave 162 reçoit sur huit lignes 163 le code de la touche, élnor& par le microproesseur 161. Au moyen de quatre mw-@oiros de clavier, pouvant être sélectionnl&es part un sélecteur dow bits 181 ce code est convenablement conv-rti pour utiliser avec le m&me clavier 26 des marguerites à fontec de caractères différentes, permettant ainsi l'écriture en plusieurs langues avec la même machine. Le microprocesseur 162 reçoit, par eux lignes 184 et 185, les signaux des balais G7 et 68, eux-mêmes privés, grace & un circuit filtre 186, des signaux de rebondissement et élabore ces signaux des balais pour

mémoriser le code de position actuelle de la marguerite.

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Le microprocesseur 162 confronte ce code avec le code de la position désirée, fourni par la mémoire de clavier et calcule l'erreur de position, à annuler dans le sens de l'arc le plus court. Le microprocesseur 162 active ensuite, de la façon la plus appropriée, le moteur de sélection 57, par l'intermédiaire de deux lignes 187 et 188 et de

l'amplificateur 177.

Les deux cents commutations par tour que l'on peut obtenir sur les lignes 184 et 185 sont utilisées pour déterminer à tout moment aussi bien la vitesse de la marguerite que sa position angulaire relativement au marteau. Le microprocesseur esclave 162 réalise une servocommande avec un asservissement de vitesse de type numérique et permet au moteur 57 de positionner le caractère désiré avec une erreur de + 1/4 de pas relativement à sa position de centrage par rapport au marteau. Cette position une fois atteinte, le microprocesseur 162 arrête le moteur

57 et envoie un signal d'arrêt de moteur 189 au microproces-

seur 161. Ce dernier assure l'activation successive du moteur 75, de l'électro-aimant 79 et éventuellement de l'électro-aimant 127 et des autres moteurs 28 et 140 pour imprimer le caractère sélectionné et exécuter les autres fonctions de la façon décrite précédemment. Si, par contre, aucunetouche du clavier 26 (figure 12) n'est actionnée, le

microprocesseur 162 commande le positionnement de la margue-

rite à sa position zéro et de visibilité, de la façon décrite dans le brevet italien 986 534. Cet état de visibilité est reconnu par le microprocesseur 161 qui, lorsqu'il recevra le signal d'arrêt de moteur parles lignes 189, n'activera ni le marteau pour l'impression ni les autres électro-aimants

de service.

L'unité 27 comprend encore un circuit de remise à zéro automatique 194 qui met en oeuvre un cycle d'initialisation des microprocesseurs 161 et 162. Cela provoque une rotation lente des moteurs 57 et 28 dans le sens des aiguilles d'une montre qui se termine dans la position zéro de la marguerite

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et dans la position de fin de course du chariot. Cela est révélé par le balai 66 et par l'interrupteur 169 qui mettent & zéro respectivement les registres de mémoire des positions actuelles de la marguerite et du chariot. Un diviseur de fréquence 196 fournit des séries d'impulsions de fréquence différente qui sont envoy&es à deu portes NOT OU 197 et 198 de l'avertisseur 179 et de l'amplificateur 175, en même temps que les signaux des lignes 178 et 172. En particulier, le moteur 75, dont la tension normale de fonctionnement est de 12 V, est activé pour un fonctionnement à une tension continue de 24 V pendant le cycle de remise à zéro.- Cela permet d'obtenir un grand couple de démarrage permettant de mettre en rotation l'arbre à cames 82 (figure 1) et d'exécuter un cycle ccmplet d écriture, même dans l'hypothèse o l'embrayage 77 serait resté dégagé et o les diverses cames seraient dans la positiom de charge maximale. Quand la machine est mise en marche, l'alimentation du moteur 75 est porté6e par contre à sa valeur nominale en activant, de façon pulsatoire partialise & 50 %D l'amplificateur 175, par l'intermédiaire de la ligne 180 et d'une porte NON ET 182

(figure 12).

Dans le fonctionnement, l'actionnement d'une touche d'écriture, détecté par le microprocesseur 161, provoque immédiatement l'activation de la ligne 180 et done la mise en rotation du rotor du moteur 750 Le miroprocesseur 162 assure & son tour le positionnement de la lame du caractère désiré en face du point d'éc6riture envoyant ensuite le signal d'arrêt de moteur 189. Après un retard d'environ ms depuis la fin de la sélection, le microprocesseur mattre 161 assure, pendant un temps prédéterminé, lexcitation de l'électro-aimant 79. Si en outre on avait actionné préalablement une touche de correction 199 (figure 1), il assure aussi l'excitation de l'électroaimant 127. I1 en résulte l'engagement de l'embrayage 77 (figure 2) et éventuellement la préparation à l'utilisation du ruban de correction 48. Après un nouveau retard, le microprocesseur 161

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(figure 12) active ensuite le moteur pas-à-pas 28 pour l'avance du chariot, à raison de l'espacement sélectionné

par le sélecteur 181.

Si aucun autre caractère n'a été sélectionné, le mattre 161 désactive la ligne 180, arrêtant le moteur de service 75. Par contre, dans le cas de plusieurs caractères à écrire successivement, le mattre 161 maintient le moteur 75 toujours excité et envoie le commandement pour l'électro-aimant 79, aussitôt que le signal 189 a été reçu, économisant ainsi sur le temps de mise en marche du moteur 75 pour chaque

caractère qui suit le premier.

selon une autre caractéristique, dans la mémoire de mise en forme du microprocesseur 161 peuvent être posées, au moyen de touches 209 (figure 1) et 210, une série de positions de tabulation et de marges du chariot 25 le long de la ligne décriture. Ces positions sont atteintes par

des mouvements du chariot aussi bien en avant qu'en arrière.

Le programme du microprocesseur mattre est en outre conçu pour faire arriver le chariot à la position désirée, toujours à la même vitesse et avec le même sens de mouvement, par exemple de gauche à droite. A cet effet, les vitesses imposées au chariot sont tabulées en fonction du nombre de pas de déplacement. En outre, si le sens de mouvement du chariot est opposé à celui du programme, le maltre 161 positionne d'abord le chariot avec déplacement d'un pas à gauche du point désiré et ensuite, le déplace d'un pas à droite jusqu'à la position choisie. Cela permet d'utiliser des fils 29 de transmission de mouvement assez souple, par exemple en fibres de matières plastiques, des tambours 154 et éventuellement des engrenages réducteurs non rectifiés, sans que l'alignement des points d'écriture devienne moins bon. A cet effet, le microprocesseur 161 comprend un registre servant à mémoriser un bit relatif au sens de mouvement du chariot dans la tabulation ou dans le retour au début, comme on le désire, si l'on actione une touche 216 ou une touche 217. Si le bit est celui du sens de mouvement

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préétabli, le code de la position désirée est directement transféré à un registre de travail. Si par contre le bit

est différent, il est transféré avec diminution d'un pas.

Le microprocesseur fait encuite avancer le chariot et remet A zéro le registre de mémoire. Le micropr ocsseur 161- coimade le moteur pas à pas 28, par exemple de la façon décrite dans le brevet italien 1 009 488. SoUS la dépendance de la position de 168, une touche 230 ou 231 déplace le chariot 28 d'un pas ou d'un demi-pas en arrière. Le microprocesseur 161 envoie, au chariot 28, 6, 5 ou 4 impulsions pour 230 et 3 ou 2 impulsions pour 231. Si 168 est dans la position 2,12 ma, il envoie par contre, la deuxième fois que la touche 231 est actionnée, trois impuloions, remettant en phase le pas

du chariot 28.

Leas fonction2 de 162 sont aussi exécut6ées par l'unité de commande 199 de la figure 13, comprenant uncircuit de conversion 200 des 8 bits des lignes 163. Sur la base de l'état des lignes 181, un uirouit de reconnaissance 208 active une ligne a 7 bite avec un code associé aux cent positions angulaires possibles de la marguerite 42 et qui

représente la position angulaire déiréxe de celle-ui.

Les signaux 184 et 185, tirés directement des balais 67 et 68, sont considérés aprèê filtrage, come des bits d'un code de Gray, 10, 1L, 01 et O0 qui définiseat, dans l'absolu, les quatre positions possibles que l'on peut obtenir dans le cadre de l0un des cinquante pas angulaires des pistes 61 et 62 (figure 14) du circuit imprimé 64. Les signaux 184 et 185 sont envoyés à un circuit 202 (figure 13) qui convertit le code renu en un code binaire d'activation des sorties 203 et 204 (voir aussi figure 15) et qui représente les deux chiffres les moino significatifs du code de position de la marguerite 42 Les commutations de 11 à 00 ou de 00 à 11 des sorties 203 et 204 se produisent, alternativement, dans le cas de rotations du circuit 64 dans le sens des aiguilles d'une

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montre ou en sens inverse. Elles sont détectées dans un circuit logique 205 <figure 13) qui reconnaît ce sens de rotation de la marguerite dans le sens des aiguilles d'une montre ou en sens inverse et active respectivement les entrées d'accroissement et de décroissement d'un compteur à double sens 206. Le compteur 206 a une capacité de 6 bits et sa sortie 207 représente de façon incrémentielle les déplacements angulaires de la marguerite en cinquantièmes de tour. A la phase d'initialisation, on met à zéro le compteur 206 et il est donc synchronisé avec la position zéro de la marguerite 42, quand le balai 66 détecte la dent unique 60 (figure 14) de la piste de synchronisation correspondante. Après l'initialisation, les six bits des lignes 207 (figure 13) du compteur 206 et les deux bits des lignes 203 et 204 représentent donc à tout moment le code de chacune des deux cents positions différentes de la marguerite 42 qui peuvent être détectées par les balais

67 et 68.

La distance angulaire entre la position momentanée et la position désirée de la marguerite 42 s'obtient, en grandeur et en signe, dans un circuit soustracteur 211 qui soustrait algébriquement le codé des lignes 203, 204 et 207 du code des lignes de sortie 201 du convertisseur 200. En outre, aux sept bits de la ligne 201 est ajouté, sur une ligne 212, un huitième bit constamment à 1, de façon que la différence entre les deux codes soit seulement nulle quand la marguerite 42 est positionnée, relativement au marteau, par l'un des

caractères et non par le creux entre caractères adjacents.

Un circuit 213 effectue le complément à cent de la distance angulaire et en change le signe dans le cas o la distance calculée est supérieure à cent, ce qui impliquerait une rotation de plus de 180 de la marguerite. Le circuit 213 présente une sortie 214 à huit bits et une ligne 215 à 1 bit qui représentent donc respectivement en grandeur et en signe l'erreur de position ou le code du plus petit nombre de pas angulaires qui manquent pour la sélection du caractère

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désiré. Selon un mode d'exécution de l'invention, la machine & écrire comprend un circuit tachymétrique 220 qui détecte de façon numérique la vitesse du moteur de sélection 57 et un circuit d'asservissement qui impose au moteur une vitesse proportionnelle à l'erreur de position angulaire de la marguerite. Le circuit d'asservissement alimente le moteur de façon numérique grace à des impulsions de tension constante dont la durée varie incrémentiellement de manière & partialiser de façon progressive la puissance du moteur sous la dépendance de l'erreur entre la vitesse détectée et la vitesse posée. Cela permet d'obtenir une servocommande de grande fiabilité et très peu coûteuse relativement aux

systèmes d'asservissement mixtes du type analogico-numérique.

Le circuit tachymétrique 220 (figure 13) reçoit le code de moindre'poids 204 venant du convertisseur et constitué de l'une des deux cents comutatAons par tour de la marguerite 42. Le circuit 220 est temporisé par les signaux d'horloge de la ligne 157 et un compteur interne 219 de ce circuit compte le nombre des sigmaf d'horloge compris uentre le dernier code reçu et celui qui précède immédiatamento Ce

nombre, inversement proportionnel à la vitesse de la margue-

rite, est converti par l'intermédiaire d'un circuit de conversion & tableau 218 et fournit, sur six lignes 221, la mesure de la vitesse du moteur 57e Le circuit 218 est en outre muni d'un seuil interne prévu pour faire considérer comme une vitesse nulle celle qui correspond & un temps de commutation d'environ 6 mes Un circuit 223, alimenté par les lignes 203 et 204, active une ligne 222 indiquant le sens de mouvement angulaire de la marguerite. Le code comportant les six bits des lignes 221 plus le bit de la ligne 222 est envoyé à un comparateur 225 qui le compare au code de l'errer de position détectée sur les lignes 214 et 215. Le comparateur 225 est du type & quatre quadrants et selon que l'un ou l'autre des deux codes est plus grand, il active, par l'intermédiaire des

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lignes 226 et 227, respectivement une porte ET 228 ou une porte ET 229 qui, à leur tour, imposent des rotations du moteur 57 dans le sens des aiguilles d'une montre ou en sens inverse, En outre, quand les deux codes sont semblables# les deux portes sont bloquées et interrompent l'alimentation

du moteur 57.

Les valeurs absolues du code de vitesse à six bits 221 et du code de position à huit bits 214 sont envoyées à un circuit soustracteur 238 muni de quatre lignes de sortie 239 indiquant la différence des deux codes. Le soustracteur 238, par ses lignes 239, commande un circuit modulateur 240 qui, à son tour, alimente les portes ET 228 et 229. Selon que l'une ou l'autre des lignes 239 est excitée, le modulateur 240 fournit un signal continu (figure 16) comme en a, ou bien des signaux progressivement partialisés b & e, sous la dépendance de valeurs décroissantes de la différence calculée entre code de vitesse et code de position. En

particulier, quand la différence entre les codes est supé-

rieure à 4 bits, les quatre lignes 239 sont à 1 et le moteur 57 est piloté avec un courant maximal pour l'accélération maximale tandis que le moteur est aliments par un courant de valeur moyenne de plus en plus petite quand la différence entre les codes diminue progressivement. Le courant du moteur 57 est en phase avec sa f.e.m. pendant l'accélération tandis

qu'il est en opposition de phase pendant le freinage.

Grâce à la comparaison entre code de position et code de vitesse et au pilotage du moteur en fonction de la différence entre les codes, la loi de mouvement imposée au moteur est celle o les vitesses sont proportionnelles aux erreurs de position (en tireté sur la figure 17). La partialisation sur le courant du moteur, obtenue par le modulateur 240, permet de minimiser les oscillations de la vitesse du moteur (trait plein sur la figure 17) relativement à la loi posée. Quand le caractère à écrire est à proximité du marteau, la vitesse correspondant & la dernière commutation est considérée comme nulle par le circuit 220, l'erreur de

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position est déjà nulle et le soustracteur 238 détecte en permanence une difference nulle. Le modulateur 240 désexcite alors le moteur 57 qui tend encore à faire accomplir par inertie une rotation résiduelle à la marguerite 42 (figure 2), contre l'action de frein des bras en ciseaux 53 sur l'élé6ment 58. Cela révite que des rotations par inertie supérieures à 1/4 de pas angulaires ne puissent amorcer des oscillations plus ou moins permanentes autour des positions de repos et cela assure que le positionnement final du caractère s'effectue avec la précision voulue de

1/4 de pas relativement à la position de référence.

Dans les cycles d'impressio normaux, un circuit de décodage 242 détecte la valeur zéro de erreur de position sur les lignes 214 et active un générateur d'impulsion

retardée 243 qui fournit le signal 189 nécessaire à l'acti-

vation de 1 'eaibrayage 78 (figure 2).

Dans le cas o l'en n'a fraeppé aucune touche du clavier, le circuit de rconnaissance r8 reoano t l'absence de données en entrêle et, apzès un retard prédéterminé, fournit aux lignes 201 le code de la lame de soulignement qui favorise la visibilité du dQrnier caractère écrit et envoie en outre au g<5érateur de'ipulsionsa 243 n signal 244 qui en inhibe le fonctionnement à 1 'arrivée du signal de commande

du circuit 242.

Pendant la phase d'intialisaion, un circuit 247L activé par le signal de reioe sàzo sur la ligne 195, alimente le moteur pour ne rotation à petite vitsee et en sens inverse des aiguilles d'une ontre, au moyes d'impulsions envoyées à la porte 228, par l'intermédiaire d'une ligne 245 et d'une porte OU 246. Cela continue jusqu'â ce que le balai 66 détecte le passage de la marguerite par la position zéro. Le signal du balai 66 met alors à zéro le compteur de position 206 et inLbe le circuit 247,

arrêtant la marguerite dans la position zéro.

Le bloc d'alimentation 159 (figure 14) comprend un transformateur 250 (figure 18) dont le secondaire 251 -22 - fournit, relativement à la masse, la tension stabilisée de +5 V destinée aux circuits logiques, par l'intermédiaire d'un redresseur 252 et d'un circuit intégré de régulation 253, de manière en elle-même connue. Le transformateur 250 est muni d'un secondaire 254 auquel sont reliés un redresseur 255 et d'un stabilisateur de tension 260 pour une alimentation stabilisée à 24 V, nécessaire aux circuits de puissance

de la machine.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le stabilisateur 260 comprend un transistor de puissance TRI utilisé comme régulateur en série et dont le collecteur est relié à la masse. Le courant de régulation de TRI est fourni par un transistor de pilotage TR2 qui compare une partie de la tension de sortie, tirée d'un diviseur à résistance R3 et R4, à une tension de référence fixe constituée de la tension de 5 V stabilisée par le circuit 253. Un condensateur Cl entre collecteur et base du transistor TR2 empêche l'amorçage d'oscillations parasites et les résistances R1 et R2 assurent respectivement le couplage entre les deux

transistors et leur polarisation.

Le circuit décrit ci-dessus, qui règle la tension de sortie sur le côté relatif & la masse, permet de fixer le collecteur du transistor de puissance TRI, constitué de l'enveloppe métallique de ce même transistor, en contact direct avec le dissipateur thermique correspondant. Ce

dernier, généralement relié & la masse, favorise la dissi-

pation maximale de la chaleur du transistor, sans la barrière thermique représentée par les isolants indispensables dans le cas des stabilisateurs connus o la réaction s'effectue

du côté à tension élevée.

La liaison de TRI avec la masse et l'utilisation de la tension stabilisée à 5 V pour les parties logiques de la machine permettent d'éliminer le circuit spécifique de formation de la tension fixe de référence et de réduire la tension de saturation de TRl. Ce schéma est particulièrement

avantageux lorsqu'on désire une deuxième tension stabilisée.

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Dans ce dernier cas, en effet, la tension de 5 V du circuit logique représente la tension de référence, aussi pour un autre stabilisateur indiqué en trait mixte en 265 sur la figure 130 Le collecteur du transistor de puissance de ce deuxième stabilisateur sera aussi relié directement à son dissipateur qui pourra être également celui du transistor

TR1 de 260.

Il est évident que l'on peut apporter diverses

modifications & la description sans sortir du cadre de

l'invention.

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Claims (32)

REVENDICATIONS

1.- Machine à écrire électronique comprenant un disque porte-caractères 42 à lames flexibles et un moteur 57 pour la sélection de la lame qui porte le caractère 43 à écrire, caractérisée par un transducteur numérique 64, 65,... 68 qui détecte la position angulaire du disque 42, par un circuit d'asservissement numérique de vitesse 161, 162, 193 commandé par le transducteur et activant le moteur pour un positionnement grossier de la lame du caractère sélectionné, par une série d'éléments de rectification 99, mobiles de façon synchrone des caractères du disque et par un organe de rectification 98 commandé par le transducteur, pouvant coopérer avec les éléments de rectification et qui positionne

exactement la lame en face du point d'écriture.

2.- Machine selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le transducteur est conçu pour détecter un nombre 200 de pas angulaires du disque double relativement au nombre 200 des lames et que le circuit d'asservissement positionne le disque dans une zone comprise entre les deux pas angulaires adjacents à la lame qui porte le caractère

à écrire.

3.- Machine selon l'une des revendications 1 et 2,

--caractérisée par un circuit soustracteur 211 commandé par le transducteur et servant à calculer l'erreur de position du disque portécaractères entre la position angulaire nécessaire à la sélection du caractère à écrire et la position instantanée et que le circuit d'asservissement,161, 162, 193 impose au moteur une vitesse proportionnelle à cette

erreur de position.

4.- Machine selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le circuit soustracteur 211 est muni d'une série de sorties 214, 215 qui représentent le code numérique de l'erreur de position et que le circuit d'asservissement comprend un circuit tachymétrique 220 dont les sorties 221 représentent le code numérique de la vitesse du disque et un circuit de comparaison 238 qui fournit un commandement

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d'activation 239 destiné au moteur, en réponse à un code numérique de différence entre le code numérique de vitesse

et le code numérique de l'erreur de position.

5.- Machine selon la revendication 4, caractérisée par le fait que le transducteur fournit à chaque pas une informa-

tion numérique sur la position angulaire du disque porte-

caractères et que les sorties 221 du circuit tachyrétrique 220 représentent la vitesse moyenne du disque, calculée en

réponse à la derniere information numérique du transducteur.

6.- Machine selon l'une des revendications 1 à 5,

caractérisée par le Zait qu'elle comporte un axe moteur 40 sur lequel est fixé le disque porte-caractères 42 et un disque de positionnement 58 calé sur l'axe moteur et que les éléments de rectification 99 compr nnent une série d'encoches en V pratiquées sur un bord périphérique du disque de positionnement et associées aux lames, 7.- Machine selon la revendication 6, caractérisée par le fait que le transducteur (partie mobile 64) est porté

par le disque de positionnement.

8.- Machine selon luee des revendications 1 à 7,

caractérisée par le fait qnuelle cPeporte un frein 53, 54 agissant sur le disque pour en aSortir les oscillations éventuelles pendant son positionnement approexietif en face

du point d'écriture.

9.- Machine selon la revendication 8, caractérisée par le fait que le frein 54, 55 comprend au moins un patin de

freinage agissant sur l'axe moteur du disque porte-caractères.

10.- Machine selon l'une des revendications 1 à 9,

caractérisée par le fait qu'elle comporte un arbre 40 sur lequel est monté le disque et un train d'engrenages 55, 56 prévu entre le moteur et cet arbre pour réduire la vitesse

du disque relativement & celle du noteur et que le transduc-

teur (partie mobile 64) est fixé sur l'arbre.

11.- Machine selon l'une des revendications 1 à 10,

caractérisée par le fait qu'elle comporte un moteur de service 75, des éléments de liaison 81, 84, 95, 105 entre

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le rotor du moteur de service et l'organe de rectification et un circuit de commande 161, 175 du moteur de service qui active l'organe de rectification après le positionnement

du caractère positionné.

12.- Machine à écrire comportant un disque porte- caractères 42 et un moteur 57 qui fait tourner le disque par intermittence pour la sélection des caractères à écrire et caractérisée par un arbre 40 sur lequel est monté le disque, par un train d'engrenages 56, 55 prévu entre le moteur et cet arbre pour réduire la vitesse du disque relativement à celle du moteur et par un transducteur 64, calé sur l'arbrepour détecter exactement la position

angulaire du disque.

13.- Machine selon la revendication 12, caractérisée par le fait qu'elle comporte un circuit d'asservissement 193 commandé par le transducteur et activant le moteur pour un positionnement grossier de l'arbre de fixation du disque, un disque de rectification 58 fixé sur l'arbre et muni d'une série d'encoches périphériques 99 associées aux caractères du disque et une dent de rectification 98 pouvant coopérer avec les entailles du disque pour le positionnement

précis du caractère & écrire en face du point d'écriture.

14.- Machine à écrire comprenant un cylindre d'écriture 23, un chariot 57 et un disque porte-caractères 42 fixé de façon amovible sur un support 37 pouvant basculer sur le chariot pour faciliter le remplacement du disque et caractérisée par un marteau 49 monté sur le support pour la frappe d'un caractère sélectionné du disque, par un organe d'actionnement 88 monté sur le chariot et par une liaison à doigt 90 et fente 94 entre l'organe d'actionnement et le marteau pour libérer le marteau dans la position

basculée du support.

15.- Machine à écrire comprenant un cylindre d'écriture 23, un disque porte-caractères 42 à lames flexibles disposé en face du cylindre, un marteau 49 pouvant être actionné de manière à amener à la position d'impression sur le

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cylindre la lame du caractère sélectionné et un organe d'actionnement 88 89 du marteau, caractérisée par un élément réducteur 111 de la force de frappe du marteau, relié à l'organe d'actionnement et normalement entrainé par le marteau, plusieurs éléments d'arrêt 109 mobiles de façon synchrone du disque et associés & certains des caractères, un élément 107 qui palpe la présence des éléments d'arrêt et un crochet 108 déplacé par l'élément palpeur de manière & arrêter sélectivement l'élément réducteur pendant le mouvement de frappe du marteau de manière à réduire la force de frappe au moment o les éléments d'arrêt sont présents.

16.- Machine selon la revendication 15, caractérisée par le fait que l'organe d'actionnement comprend un levier de frappe 88 sollicité par un ressort 29 et commandé par came 83, que l'élément réducteur comprend un deuxième levier 111 relié par un joint élastique 112 au levier de frappe et que l'élément palpeur 107 est lui aussi commandé par

came 84 et est relié en pont au crochet.

17.- Machine selon l'une des revendications 15 et 16,

caractérisée par le fait que les éléments d'arrêt sont portés par un disque de support 58 fixé sur l'arbre moteur

du disque porte-caractèes.

18.- Machine selon là revendication 17 ucaract6risée par le fait que le disque de support est muni sur un bord d'une couronne d'encoches 99 de positionnement associées aux caractères du disque porte-caractères et qu'une dent de rectification 98 est conçue pour coopérer avec les encoches pour le positionnement précis du caractère

sélectionné.

19.- Machine selon l'une des revendications 14 et 18,

caractérisée par le fait que les éléments d'arr&t se dressent à une face du disque de support 58 et que l'élément palpeur 107 et l'élément réducteur 111 sont montés sur le chariot

en dessous du point d'écriture, du c8té opposé au marteau 49.

20.- Machine à écrire électronique comprenant un

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cylindre porte-papier 23, un chariot 25 mobile transversalement au cylindre sur lequel sont montés un élément porte-caractères 42, un moteur 57 servant à sélectionner par intermittence le caractère à écrire de l'élément, en face du point d'écriture et un marteau 49 pour l'écriture du caractère sélectionné, caractérisée par un moteur de service 75 monté sur le chariot, par des éléments de liaison entre le rotor du moteur de service et le marteau et/ou un positionneur 98 pour rectifier la position du caractère sélectionné et par un circuit de commande 161, 175 du moteur de service servant à activer ensuite le marteau et/ou le positionneur qui lui est relié,

après le positionnement du caractère sélectionné.

21.- Machine selon la revendication 20, caractérisée par le fait que les éléments de liaison comprennent une partie à came 84 déplacée par le moteur de service et un élément palpeur de came 95 conduit par la partie à camepour la

commande du marteau et/ou du positionneur.

22.- Machine selon la revendication 21, caractérisée par le fait qu'un embrayage 77 est interposé entre le rotor

du moteur de service et la partie à came et qu'un électro-

aimant 79 commandé par le circuit de commande est prévu pour

actionner cycliquement l'embrayage.

23.- Machine selon l'une des revendications 20 à 22,

caractérisée par le fait que l'élément porte-caractères est formé d'un disque encoché à lames flexibles sur les extrémités

desquelles sont disposés les caractères respectifs.

24.- Machine selon la revendication 23, caractérisée par le fait que le disque est monté sur un support 37 pouvant

basculer relativement au chariot pour faciliter le remplace-

ment du disque, que le marteau est monté sur le support basculant et que les éléments de liaison comprennent une liaison à doigt 90 et à fente 94 conçue pour libérer le

marteau dans la position basculée du support.

25.- Machine selon l'une des revendications 20 à 24,

caractérisée par le fait que d'autres éléments de liaison 86, 85 sont prévus entre le moteur de service et un dispositif

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116, 115 d'avancement et de levage d'un ruban d'écriture 46

relativement au point d'écriture.

26.- Machine selon l'une des revendications 20 à 25,

caractérisée par le fait qu'elle comporte un élément 124 conçu pour relier le moteur de service 75 à un dispositif d'avancement 13040 131 et de levage 47 d'un ruban de correction 48 relativement au point d'écriture et un dispositif électromécanique 127e pouvant être sélectionné par le circuit de commande, pour l'activation de l'élément de liaison,

27,.- Machine à écrire comprenant un cylindre porte-

papier 23, un élèment porte-caractères 42 monté sur un chariot 25 et mobile transversalement au cylindre et un ruban 46 servant à 4crire un caractère sélectionné de l'élément porte-caractères, caractérisée par un moteur 75 monté sur le chariot, un circuit 161" 175 conçu pour actionner cycliquement le moteur et des éléments 85, 86 116, 115 reliant le moteur au ruban pour les commandes de levage et d'avancement du ruban relativement au point d'écriture* 28.- Machine à écrire comprenant un cylindre d'écriture 23, un élément porte-carattères 42 monté sur un chariot mobile 25 relativement au cylindre, un moteur pas-&-pas 28 servant à déplacer le chariot 25 le long d'une série de positions d'impression et une liaison à fils 29 et poulies 154, 30, 155 pour la transmission du mouvement entre moteur et chariot, caractérisée par un circuit de pilotage 161, 171 du moteur servant à déplacer le chariot dans un sens pour l'amener à une position d'impression désirée, indépendamment du sens de mouvement de rapprochement vers la position

d'impression.

29.- Dispositif d'écriture comprenant un clavier 26

et un cylindre porte-papier 23 et caractérisé par une margue-

rite porte-caractères 42, un moteur de sélection 57 qui fait tourner la marguerite par intermittence pour la sélection du caractère, un chariot 25 qui supporte la marguerite et le moteur de sélection, un moteur de transport 28 pour le

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déplacement transversal du chariot, un microprocesseur principal 161 qui répond à la frappe des touches du clavier

pour mémoriser les données du clavier et activer sélective-

ment le moteur de sélection et/ou le moteur de transport, et un microprocesseur de gestion 162 commandé par le microprocesseur principal, qui mémorise la position angulaire de la marguerite et impose au moteur de sélection un courant de pilotage selon l'erreur qui existe entre la position

momentanée de la marguerite et la position désirée.

30.- Dispositif de correction pour machine à écrire, comprenant un châssis 47 pour le levage du ruban et un élément oscillant 87 à actionnement cyclique et caractérisé par un organe d'interposition entre châssis et élément oscillant et par un électro-aimant de commande servant à amener l'organe d&interposition sur la trajectoire du palpeur

de came.

31.- Machine à écrire comprenant un point d'écriture qui se déplace sous l'action d'un moteur 28 le long de la ligne d'écriture selon un nombre 6, 5, 4 de pas élémentaires qui peut être modifié et posé à l'avance, caractérisée par une touche de demi-pas 231 et par un circuit de commande 161 qui, dans le cas d'un nombre 5 de pas impair, mémorise l'actionnement de la touche et alimente le moteur pour un nombre 2, 3 de pas approximativement égal à la moitié du nombre d'espacements et prépare la correction de la partie manquante 3, 2 ou en excès sur le demi-pas, pendant une

deuxième frappe de la touche.

32.- Dispositif pour l'introduction de données, compre-

nant un clavier à contacts 26 muni de lignes d'exploration 158 et de lignes de lecture 167 pouvant être reliées sélectivement aux lignes de lecture en réponse à la frappe des touches, caractérisé par un microprocesseur 161 qui alimente les lignes d'exploration et reçoit les informations sur les lignes de lecture et par un circuit de séparation 165, 166 entre le clavier et le microprocesseur qui établit, entre les contacts du clavier, une tension supérieure à la

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tension de travail du microprocesseur.

33.- Servomécanisme pour le positionnement d'un organe en mouvement 42, comprenantun détecteur 202, 205, 206 qui reçoit une série d'impulsions de position 184, 185 de l'organe pour fournir un code de position d'erreur et un moteur 57 pour le positionnement de cet organes caractérisé par un détecteur de vitesse 220 qui répond aux impulsions du détecteur et active de façon num6rique une série de lignes 221 par un code représentatif de la vitesse du moteur, un circuit qui compare le code 214 de l'erreur de position à celui de la vitesse pour activer un circuit modulateur 240 par un ou plusieurs signaux 239 indiquant la différence entre les deux codes, et par le fait que le circuit modulateur commande le moteur par des impulsions de courant dont la valeur moyenne dépend de la différence détectée par le circuit de comparaison 34.- Transducteur de position pour organe en mouvement 42, comprenant une piste conductrice 60, 61, 62 présentant une série de discontinuités un support isolant 63 pour cette piste, un circuit 162e 186 d'almentation de la piste et une série de balais frotteurs 65 o.. 68 conçus pour détecter les discontinuités de la piste, associée aux diverses positions de l'organe, Qaractérisé par au moins une couche conductrice 72, 70, 71 isolée de la piste et portée par le suport 63 une courte distance de la piste

pour réduire le frottement des balais sur le support isolant.

35.- Dispositif de mesure numérique de la position d'un organe en mouvement, comprenant un transducteur 64 synchrone

de cet organe et muni de multiples parties 100 de synchro-

nisation 61, 62 associées chacune a un pas préétabli et divisées en deux groupes, respectivement déphasés d'un demi-pas, et une paire de capteurs 670 6S servant & détecter le passage des parties de manière à définir quatre positions numériques différentes selon un code de Gray, caractérisé par un circuit 202 de conversion du code de Gray en code binaire, qui fournit sur deux lignes 203, 204 les deux

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bits les moins significatifs du code de position de l'organe, un compteur 206 conçu pour compter le report du code à chaque déplacement d'un pas de l'organe et dont les sorties 209 représentent les codes binaires les plus significatifs de la position de l'organe, et un élément de synchronisation qui remet le compteur a zéro lors du passage des parties

en face d'une ligne d'arrivée préétablie.

36.- Dispositif de régulation et de stabilisation d'un générateur de courant 159 du circuit de puissance d'une machine électronique, comprenant un générateur de tension stabilisée 253 pour la commande des circuits logiques de la machine et caractérisé par un transistor TR1 de régulation en série présentant une électrode (collecteur) reliée à une borne du générateur de tension stabilisée et un deuxième transistor TR2 qui pilote le transistor de puissance par un signal amplifié, différence entre la tension stabilisée V et une tension tirée de la tension de sortie 24V du

générateur de courant.