FR2471828A1

FR2471828A1 - Procede pour decouper des bandes dans de longues plaques, et cisaille-guillotine pour la mise en oeuvre de ce procede

Info

Publication number: FR2471828A1
Application number: FR8026731A
Authority: FR
Inventors: Georg Frick; Alois Kirsch; Harro Reiff
Original assignee: Mengele and Soehne Maschinenfabriken Karl GmbH
Current assignee: Mengele and Soehne Maschinenfabriken Karl GmbH
Priority date: 1979-12-15
Filing date: 1980-12-12
Publication date: 1981-06-26
Also published as: DE2950555B1; ATA610180A; NL8006793A; FR2471828B1; SE440987B; AT381889B; BE886606A; IT8026646A0; DE2950555C2; IT1194004B; IT1194003B; IT8026645A0; SE8008727L; US4393570A

Abstract

LA PRESENTE INVENTION CONCERNE UN PROCEDE POUR DECOUPER DES BANDES DANS DE LONGUES PLAQUES, ET CISAILLE-GUILLOTINE POUR LA MISE EN OEUVRE DE CE PROCEDE. PROCEDE CARACTERISE EN CE QU'UNE CISAILLE-GUILLOTINE MUNIE D'UN COUTEAU SUPERIEUR MOBILE, DE PETITE LONGUEUR RELATIVEMENT A CELLE DE LA PLAQUE, EXECUTE LE LONG DE LA LIGNE DE COUPE D'UNE TABLE MAINTENUE FIXE UNE COUPE CORRESPONDANT A SA LONGUEUR ET SE DEPLACE ENDUITE D'UNE DISTANCE EGALE A SA PROPRE LONGUEUR, ET DES COUPES SUCCESSIVES SE RACCORDENT AINSI JUSQU'A CE QUE LA BANDE SOIT COMPLETEMENT SEPAREE A L'AUTRE EXTREMITE DE LA PLAQUE.

Description

1,. L'invention concerne un procédé pour découper des bandes dans de

longues plaques, en particulier des plaques de tôle, et

une cisaille-guillotine pour la mise en oeuvre du procédé.

On connaît déjà des cisailles à roulettes et des procé-

dés correspondants o l'on fait avancer de façon continue un disque de couteau circulaire tournant, à l'aide d'un chariot, sur la ligne de découpage d'une plaque de tôle, Etant donné qu'avec les diamètres de disque pratiquement réalisables, on ne peut obtenir que des angles de coupe excessifs de 30 à 60 , les bandes de tôle sont fortement courbées vers le bas. Si l'on veut donc utiliser à nouveau des bandes de tôle ainsi découpées,

il faut les dresser de façon très coûteuse.

Par contre, dans les cisailles-guillotines, on peut donner

aux lames supérieures un angle de coupe de 2 à 4 O et une cour-

bure des tôles est exclue. L'inconvénient des cisailles-guillo-

tines est que l'on peut les construire seulement avec une lon-

gueur de 6 m, au maximum de 8 m. Même à de telles longueurs, la table et la joue de couteau subissent déjà des efforts de flexion particulièrement grands qui augmentent en fonction du

cube de la distance. La flexion est encore renforcée par l'or-

gane de retenue, nécessaire sur la table. Une compensation de cette flexion serait très coûteuse. C'est pourquoi on devait prendre son parti des imprécisions qui en résultent. Un grand inconvénient des cisaillesguillotines de grande longueur est

encore la dépense de matière. Par exemple, le poids d'une ci-

saille-guillotine de 12 m serait au moins deux fois plus grand

que pour une longueur de 8 m.

Pour toutes ces raisons, jusqu'ici, on construisait rare-

ment les cisailles-guillotines avec une longueur plus grande que

6 à 8 m. Or, pour beaucoup d'usages, y compris en vue d'un tra-

vail continu, des longueurs de table beaucoup plus grandes se-

raient avantageuses.

L'invention a pour but de permettre un procédé et un

appareil évitant les inconvénients décrits des procédés connus.

Le problème est résolu, selon l'invention, par un procédé

de l'espèce définie plus haut, caractérisé en ce qu'une cisaille-

guillotine munie d'un couteau supérieur mobile, de petite bon-

gueur relativement à celle de la plaque, exécute le long de la

ligne de coupe d'une table maintenue fixe une coupe correspon-

dant à sa longueur et se déplace ensuite d'une distance égale a sa propre longueur, et des coupes successives se raccordent ainsi jusqu'à ce que la bande soit complètement séparée à l'autre

extrémité de la plaque.

Pendant l'exécution des coupes, on pousse les plaques

contre leur appui, dans la région de coupe et pendant le mouve-

ment de la cisaille-guillotine, on les libère tandis qu'au bord

opposé de la tôle, elles sont constamment retenues.

En principe, le procédé de l'invention peut s'exécuter

sous deux modes d'exécution, à savoir avec une cisaille-guillo-

tine munie d'un couteau supérieur se mouvant contre un couteau inférieur fixe et d'une table à laquelle est adjointe, hors

du bâti de la cisaille, une table de soutien de longueur plu-

sieurs fois supérieure au diamètre du couteau supérieur, la

cisaille-guillotine étant maintenue de manière à pouvoir coulis-

ser longitudinalement par des surfaces de glissement dans des glissières disposées sur le côté longitudinal de la table de soutien et étant, d'autre part, soutenue, par un système de

propulsion pouvant être entraîné, dans un guide ou une crémail-

lère directrice prévue sur le sol, le couteau inférieur fixe étant fixé soit à la table de cisaille sur sa largeur, soit à la tablé de soutien sur sa longueur, des organes de retenue étant prévus de façon correspondante sur la table de cisaille

ou la table de soutien.

L'avantage du premier mode d'exécution mentionné, o le couteau inférieur se trouve sur la table de cisaille, est que les forces de coupe et de retenue sont absorbées par le bâti

de la cisaille sans que les guides les supportent.

Il est évident que grâce au procédé progressif ainsi pos-

sible, qui consiste à couper sur une ligne de coupe, partielle, -

à déplacer la cisaille le long de la table de soutien d'une

distance égale à la longueur du couteau supérieur, puis à ef-

fectuer une nouvelle coupe, le mouvement des organes de coupe ne nécessite que de petites forces, ce qui a aussi des effets sur le poids de la cisaille-guillotine, et qu'étant donné les

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petites longueurs de soutien, il ne peut plus se produire pra-

tiquement que des déformations négligeables, de sorte que les cisaillesguillotines selon l'invention peuvent maintenant être exécutées sans aucune limitation de longueur. Il ne peut plus non plus se produire de déformation des bandes de tôle décou- pées elles-mêmes car on coupé toujours avec le même petit angle

de coupe.

Un autre avantage de l'invention est que l'on peut-allon-

ger selon les besoins des tables existantes ou encore, en cas de besoin, raccourcir à nouveau la table. On peut ainsi adapter

également les cisailles-guillotines selon l'invention à des-be-

soins qui varient légèrement.

En général, les cisailles-guillotines selon l'invention

seront munies d'un bâti en C s'ouvrant vers la table de soutien.

Selon un mode d'exécution, la table présente, du côté op-

posé à la bande découpée, des moyens de serrage des plaques,

retenus dans des rainures transversales.

Selon un mode d'exécution de l'invention, comme appuis des-

tinés aux morceaux de tôle découpés, sur la table de soutien sont disposées, en dessous du plan de coupe, des consoles télescopiques

montées de manière à pouvoir glisser.

Selon une autre idée de l'invention, ces consoles peuvent aussi être conçues pour pouvoir pivoter dans les deux sens sur le soubassement de la machine. Le mouvement de pivotement peut être commandé ou être assuré par butée contre le bâti de la cisaille.

Pour permettre à la cisaille guillotine de couper conti-

nuellement dans les deux sens de mouvement, un organe d'entrai-

nement est relié selon l'invention au chariot de couteau par l'in-

termédiaire de deux tiges filetées et les écrous correspondants sont munis d'un entraînement réversible de telle sorte que le

couteau supérieur, avec le coulisseau, peut être approché alter-

nativement, obliquement par rapport à la ligne de coupe.

Selon l'invention, ce mode de fonctionnement est également

obtenu si le coulisseau est conçu pour être entraîné par l'in-

termédiaire de deux vérins hydrauliques reliés au bâti, l'un des vérins étant sous forme de vérin différentiel dont le haut du cylindre est alimenté par une pompe, tandis que la cavité inférieure du cylindre communique, par l'intermédiaire d'une

colonne d'huile oscillante, avec la cavité supérieure de cy-

lindre de l'autre vérin.

Avantageusement, il est-aussi possible de prévoir, dans l'ouverture de la cisaille-guillotine selon l'invention, une tête de fraisage pouvant coulisser sous l'action d'un chariot vers le bord de coupe de la tôle et munie d'un entrainement de

travail du bord de soudage qui, à cet effet, peut pivoter au-

tour d'un axe transversal à la direction d'avancement.

Un autre mode d'exécution avantageus de l'invention est caractérisé en ce que sur la glissière de la table de soutien sont montées de manière à pouvoir glisser des consoles munies

de surfaces de soutien supplémentaires, divisées au moyen d'or-

ganes de traction flexibles qui les relient entre elles dans une

position qui assure un espacement déterminé entre elles et pou-

vant être amenées à une position d'arrêt rapprochée et auxquel-

les est adjoint un dispositif de coupage au chalumeau pouvant également coulisser sur le côté longitudinal de la table de

soutien et dont la tête de coupage peut coulisser sur un bras-

dépassant les consoles de soutien, transversalement à la tra-

jectoire d'avancement. Avec le dispositif de coupage au chalu-

meau, on peut diviser de plus grandes plaques et ensuite les

rogner avec la cisaille-guillotine.

Aux systèmes de propulsion de la cisaille-guillotine com-

me du dispositif de coupage au chalumeau sont adjointesselon l'invention des glissières disposées au sol, dont au moins une est sous forme de crémaillère directrice destinée à un pignon

entraîné prévu au moins sur la cisaille-guillotine. --

Selon un mode d'exécution, à la cisaille-guillotine est adjoint un dispositif de coupage transversal. Selon une idée de l'invention, celuici peut être prévu sur le-bâti de la cisaille-guillotine ou encore, être conçu pour se déplacer

séparément, de même que celle-ci, sur la table de soutien.

Comme dispositif de coupage transversal, on peut aussi envisa-

ger la tête de fraisage prévue qui, à cet effet, peut être réglée à une position de coupe, transversalement à la ligne de

coupe de la cisaille-guillotine.

Bien entendu, pour nettoyer les glissières, on prévoit de leur adjoindre des balais à rainures ou organes similaires qui peuvent être conçus pour être entraînés par l'entraînement

de fond de l'appareil.

L'invention est expliquée plus précisément à propos d'un exemple d'exécution représenté par les dessins, dans lesquels la figure 1 montre une cisaille-guillotine, vue par l'arrière de la table de soutien; la figure 2 est une vue en élévation latérale correspondant à la figure 1, la figure 3 montre un détail de la cisaille-guillotine selon les figures 1 et 2; la figure 4 montre une cisaille-guillotine selon la figure 1, comportant un dispositif additionnel, et la figure 5 est une vue en élévation latérale correspondant à

la figure 4.

Sur les figures 1 et 2, on a désigné par 1 une table de soutien et par 2 une plaque de tôle reposant sur celle-ci. On a désigné par 3 un bâti en C dont l'ouverture 4 est tournée vers la table de soutien 2. A la même hauteur que la table de soutien

est disposée, en dessous de l'ouverture 4, une table de cisail-

le étroite 5 - voir figure 6, et au-dessus de celle-ci, un or-

gane de retenue. A l'arrière de la table de cisaille 5 est prévu un couteau inférieur fixe 7a. Un couteau supérieur 7b coopérant avec le couteau inférieur 7a est disposé sur un coulisseau 8

disposé de façon réglable en hauteur sur un balancier d'entraî-

nement Il par l'intermédiaire de deux tiges filetées 9 et d'é-

crous 10. Les bras latéraux lia et llb du balancier d'entraîne-

ment sont montés de façon pivotante dans le bâti 3 de la cisaille

par des articulations 12 et sont entraînés par un vérin 13 agis-

sant sur la traverse postérieure du balancier d'entraînement llc.

Selon l'invention - comme l'illustre la figure 1 - la lon-

gueur de la cisaille ne représente qu'une fraction de la lon-

gueur de la table de soutien. Sur toute la longueur de la table

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de soutien s'étendent, à l'avant de celle-ci, des glissières 14

dans lesquelles sont montés de manière à pouvoir coulisser lon-

gitudinalement des galets 15 reliés au bâti de cisaille 3. Au

sol, le bâti 3 de la cisaille s'appuie par un pignon d'entraî-

nement 16 sur une glissière 17 munie d'une crémaillère direc- trice. L'un des pignons d'entraînement 16 est entraîné par un

moteur d'entraînement 18 par l'intermédiaire d'un arbre à car-

dan 19. Le moteur d'entraînement 18 entraine, par l'intermédiai-

re d'un autre arbre à cardan 20, un pignon d'entraînement 21 qui

engrène avec une crémaillère directrice de la glissière 14b.

En dessous de la glissière 14b sont disposées des consoles té-

lescopiques 24, distribuées sur le côté longitudinal de la table de soutien 1 et pouvant se déployer hors de carters 23. Au-dessus de la table sont prévues des rainures transversales 25 dans lesquelles sont retenus de manière à pouvoir glisser des vérins de serrage 26, par lesquels la plaque de tôle 2 est retenue,

au bord de la tôle opposé à la bande à découper.

Sur le bâti 3 de la cisaille sont prévus - comme le mon-

trent les figures 2 et 3 - des guides 27 et 28 sur lesquels est disposé, de manière à pouvoir coulisser dans la direction des flèches c, un chariot 29 muni d'une fraise 30, qui peut, en outre, pivoter dans la direction des flèches d. A l'aide de la fraise 30, on travaille les bords de coupe de la plaque de tôle 2. Le mode de fonctionnement de la cisaille- guillotine selon l'invention est illustré par la figure 1 sur laquelle elle est indiquée, à gauche, dans la position après la première coupe de la plaque 2. Ensuite, à l'aide des pignons entraînés 16 et 21, on déplace la cisaille vers la droite pour la deuxième coupe sur la ligne de coupe flèche a - et ensuite on sépare un nouveau

morceau de la bande de tôle 2a.

Aussitôt que la cisaille-guillotine a dépassé les consoles 24b et 24c, celles-ci se déploient automatiquement de sorte que, de même que la console 24a, elles soutiennent la bande de tôle

coupées 2a. Aussitôt que la cisaille est arrivée du côté droit -

comme indiqué en trait mixte - le coulisseau 8 et le couteau inférieur 4 sont amenés à la position oblique opposée, grâce à l'entraînement non représenté des écrous de tige filetée 9 et une fois la plaque de tôle 2 introduite dans l'ouverture 4 du bâti, une autre bande de tôle est découpée dans le sens de travail opposé, flèche b.

Comme le montrent les figures 4 et 5, la cisaille-guil-

lotine selon l'invention peut aussi être combinée avantageuse-

ment à un dispositif de coupage au chalumeau 30 qui peut être guidé le long de la glissière 17-, par des galets 31 et 33, dans une autre glissière 32 sur le côté longitudinal de la table de

soutien lo Sur un bras en porte-à-faux 34 du dispositif de cou-

page au chalumeau 30 peut coulisser sur un guide 35 - comme on l'a indiqué - un chalumeau coupeur 36 qui sert, par exemple,

à couper préalablement des bandes plus larges. Dans les glis-

sières 14a et l4b, des consoles 39 sont disposées de manière à pouvoir glisser sur des galets 37 et 38 et reliées entre elles

par des membrures 39, figure 4. Ainsi, on peut amener les con-

soles 30 à la position de service indiquée en trait plein à

droite de la figure 4 ou à une position d'arrêt indiquée à gau-

che.

Le mode de fonctionnement d'un te1tdispositif de coupage

au chalumeau est suffisamment connu, de sorte qu'il est super-

flu de le décrire.

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Claims

-R E V E N D I C A T I 0 N S -

1. Procédé pour découper des bandes dans de longues pla-

ques, en particulier des plaques de tôle, caractérisé en ce qu'une cisaille-guillotine munie d'un couteau supérieur mobile, de petite longueur relativement à celle de la plaque, exécute le long de la ligne de coupe d'une table maintenue fixe une coupe correspondant à sa longueur et se déplace ensuite d'une distance

égale à sa propre longueur, et des coupes successives se raccor-

dent ainsi jusqu'à ce que la bande soit complètement séparée à

l'autre extrémité de la plaque.

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que pendant l'exécution des coupes, on pousse les plaques contre leur appui, dans la région de coupe, et pendant le mouvement d'avance progressive de la cisaille-guillotine, on les libère, tandis qu'au

bord opposé de la tôle elles sont constamment retenues.

3. Cisaille-guillotine comportant un couteau supérieur dé-

placé vers un couteau inférieur fixe et une table de cisaille et caractérisée en ce qu'à la table de cisaille (5) est adjointe,

hors du bâti (3) de la cisaille, une table de soutien (1) de lon-

gueur plusieurs fois supérieure au diamètre du couteau supérieur,

la cisaille-guillotine étant maintenue de manière à pouvoir coulis-

ser longitudinalement par des surfaces de glissement (15, 21) dans des glissières (14) disposées sur le côté longitudinal de la table de soutien et étant, d'autre part, soutenue, par un système de propulsion (16) pouvant être entraîné, dans un guide ou une crémaillère directrice (17) prévue sur le sol, le couteau inférieur

fixe (7a) étant fixé soit à la table de cisaille (5) sur sa lar-

geur, soit à la table de soutien sur sa longueur, des organes de retenue (6) étant prévus de façon correspondante sur la table de

cisaille ou la table de soutien.

4. Cisaille selon la revendication 3, caractérisée en ce que le couteau inférieur (7a) est disposé au bord postérieur de

la table (5).

5. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3 et

4, caractérisée en ce que le bâti (3) est en C et que son ouver-

ture (4) est tournée vers la table de soutien (1).

6. Cisaille selon l'une quelconque des revendications

3 à 5, caractérisée en ce que du côté de la table de soutien opposé au cÈté de la cisaille sont distribuées sur cette table des rainures transversales (25), dans lesquelles sont maintenus de manière à pouvoir glisser des moyens de serrage des plaques (2).

7. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 6, caractérisée en ce que sur la table de soutien sont dispo-

sées, en dessous du plan de coupe, des consoles télescopiques (24) montées de manière à pouvoir glisser,destinées à la bande

de tôle découpée (2a).

8. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3 à

7, caractérisée en ce que des consoles disposées de manière à pouvoir pivoter dans les deux sens sur le soubassement de la machine, devant la table de soutien sont destinées aux bandes de tôle découpées (2a), et en ce que le mouvement de pivotement

peut être assuré par des butées bilatérales du bâti.

9. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 8, caractérisée en ce qu'un organe d'entraînement-est relié au chariot de couteau (7b) par l'intermédiaire de deux tiges filetées (9) et les écrous correspondants (10) sont munis d'un entraînement réversible de telle sorte que le couteau supérieur (7b), avec le coulisseau (8), peut être approché alternativement,

obliquement par rapport à, la ligne de coupe.

10, Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3 à

9, caractérisée en ce que le coulisseau est conçu pour être en-

traîné par l'intermédiaire de deux vérins hydrauliques reliés au bâti, l'un des vérins étant sous forme de vérin différentiel dont

le haut du cylindre est alimenté par une pompe, tandis que la ca-

vité inférieure du cylindre communique, par l'intermédiaire d'une colonne d'huile oscillante, avec la cavité supérieure de

cylindre de l'autre vérin.

11. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3 à

, caractérisée en ce que dans l'ouverture (4) du bâti de ci-

saille (3) est prévue une tête de fraisage pouvant coulisser (flèche c) sur un chariot (29) vers le bord de coupe, le long d'un guide (27/28) à l'aide d'un entrainement, pour le travail du bord de soudage, et à cet effet, elle peut pivoter (flèche

d) autour d'un axe transversal à la direction d'avancement.

12. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 11, caractérisée en ce que sur la glissière (14) de la table de soutien (1) sont montées de manière à pouvoir glisser des consoles (30) munies de surfaces de soutien supplémentaires, divisées au moyen d'organes de traction flexibles (39) qui les relient entre elles dans une position qui assure un espacement déterminé entre elles et pouvant être amenées à une position d'arrêt rapprochée et auxquelles est adjoint un dispositif de coupage au chalumeau pouvant également coulisser sur le côté longitudinal de la table de soutien et dont la tête de coupage (36) peut coulisser sur un bras (34) dépassant les consoles de

soutien (30), transversalement à la trajectoire d'avancement.

13. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 12, caractérisée en ce qu'aux systèmes de propulsion (16, 31,

33) sont adjointes des glissières prévues sur le sol.

14. Cisaille selon la revendication 13, caractérisée en

ce que deux glissières (17, 32) sont prévues, celle de l'inté-

rieur étant destinée aux galets (16) de la cisaille-guillotine et toutes deux étant destinées aux galets (31, 33) du dispositif

de coupage au chalumeau (30).

15. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 14, caractérisée en ce qu'au moins une glissière (17) est sous la forme d'une crémaillère directrice avec laquelle engrène

un pignon (17) de la cisaille, entraîné par un moteur d'entraî-

nement (18).

16. Cisaille selon l'une quelconque des revendications 3

à 15,.caractérisée en ce qu'à la cisaille est adjoint un dispo-

sitif de coupage transversal.

17. Cisaille selon la revendication 16, caractérisée en ce que le dispositif de coupage transversal est prévu sur le bâti

de la cisaille.

18. Cisaille selon la revendication 16, caractérisée en ce

que la tête de fraisage est disposée de manière à pouvoir pivo-

ter de 90 relativement à la ligne de coupe de la cisaille.

l9. Cisaille selon l'une quelconque des revendications

13 et 14, caractérisée en ce qu'aux glissières (17, 34) est adjoint un dispositif de nettoyage qui peut être conçu pour

être entraîné par le moteur (18)-